Professional Documents
Culture Documents
Véhicules motorisés de la
SMFPA en 1936.
Source :
Album photo de la SMFPA,
SOPFEU, Centre provinciale de
lutte, Québec.
M
algré tous les moyens préventifs mis en place pour
réduire les conséquences incendiaires de l’activité
humaine, la pression toujours croissante que subit
la forêt québécoise entre les années 1912 et 1972 exigea une cons-
tante supervision de la part des autorités de la protection. La
détection devint alors un enjeu prioritaire, avec comme objectif
de découvrir les feux le plus rapidement possible, et ce, au moindre
coût. De la patrouille à l’avion en passant par les tours d’ob-
servation, la détection s’imposa pendant cette période comme le
Patrouille à bicyclette près de la
pilier central du système québécois de protection. rivière Nouvelle en Gaspésie.
Source :
Les patrouilleurs Archives privées d’Annette Bois.
T
Depuis l’abolition de la
taxe de feu en 1905, les déten-
teurs de permis de coupe
avaient l’obligation d’organiser
une patrouille sur leur territoire.
S’ils manquaient à leur devoir,
le gouvernement québécois
pouvait se substituer à eux et
leur faire payer la facture.
D’abord introduite par un
ordre en conseil, cette obliga-
tion eut véritablement force de
loi à partir de 1919189.
136
L’ H I S T O I R E D’UNE GUERRE
137
L’ H I S T O I R E D’UNE GUERRE
141
L’ H I S T O I R E D’UNE GUERRE
143
L’ H I S T O I R E D’UNE GUERRE
145
L’ H I S T O I R E D’UNE GUERRE
147
FEUX DE FORÊT
148
FEUX DE FORÊT