FRANCÉS

CERTIFICADO NIVEL BÁSICO

CONVOCATORIA ORDINARIA 2012

COMPRENSIÓN AUDITIVA

TRANSCRIPCIÓN


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 ÉPREUVE 1 :
PUBLICITÉ ET MESSAGES

EXEMPLE (AUDIO 0)

Est-ce que comme 90 % des gens vous ne buvez pas votre eau du robinet.
Oui, c’est vrai. Elle n’a pas bon goût. Moi, je me suis équipé d’un système
Culligan, une vraie eau minérale qui coule de mon robinet. Mais le meilleur de
tout ça, c’est les économies que je fais. J’ai remplacé l’achat de bouteilles d’eau
par mon propre traitement d’eau, chez moi. Pour savoir combien je fais
d’économies ou simplement par curiosité, rendez-vous dans votre boutique de
l’eau Culligan ou appelez. Vous n’allez pas en croire vos oreilles. Culligan
Reims. 14, rue Jacques Maritain, Val de Murigny. 03 26 04 82 83

AUDIO 1

TGV a créé TGV Pro. Pourquoi ? Parce que le pro est toujours débordé, sinon
ça ne serait pas un pro. Et le pire, quand on est débordé, c’est d’avoir une
réunion à décaler. Mais, le pro s’en moque, car son billet TGV pro est “ flexible”
et quand le pro arrive à la gare, il n’a pas à attendre son taxi, car un vrai pro
sait déléguer les tâches. Alors, c’est le taxi qui attend le pro. C’est ainsi que le
pro arrive à l’heure en réunion, ce qui le distingue de l’amateur. Service soumit
à conditions TGV Pro : la nouvelle offre de TGV pensée pour les
professionnels. SNCF...

AUDIO 2

La “ Chti’te Fleur ”, créateur de bonheur. “ Anémone, Anémone…” “ Hein ? Quoi

? ” “ Regarde, la voilà ”. “ Ah, mon dieu ! Je suis comment ? ”. “ Chut ! ” “ Les
filles, pour la sélection arrivage de printemps 2006, les nominées sont :
Mademoiselle Anémone, Mademoiselle Marguerite, Mademoiselle Violette…” “
Quoi ? Elle ? ” “ Chut ! ” “ Mademoiselle Rose, et Mademoiselle Tulipe”. “ C’est
nous ! ” Le printemps arrive à la “ Chti’te Fleur ”. La “Chti’te Fleur “, un magasin
encore plus grand et tout un choix de compositions et de fleurs coupées pour
tous les budgets. La “Chti’te Fleur, Place du Château d’eau à Noeux-les-mines.
03 21 27 68 94

AUDIO 3

Pour arriver à ma boutique, c’est facile. Vous avez trouvé le petit pont ? Et bien,
après le rempart vous comptez les portes en bois, c’est le plus facile pour pas
louper la ruelle, après la septième à gauche c’est la suivante à droite, ou à
gauche, si vous arrivez dans l’autre sens, mais à ce moment-là, c’est la
troisième. Non, la quatrième. Attendez ! Deux plus un trois, je rapporte quatre,
plus six … Et si vous vous offriez un GPS Garmin. Garmin. Voyagez mieux,
arrivez heureux. Garmin


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AUDIO 4

Les vacances à la neige au Club Med de Val d’Isère. Alors, avant de passer
aux choses sérieuses : hamman, stretching, l’après-midi : indispensable, une
sieste au soleil ou sur la terrasse. Après ça, c’est bon, je suis d’attaque pour
enchaîner les pistes. Les vacances à la neige au club Med, c’est bien plus que
de la neige. 100 euros offerts par personne sur votre séjour à partir de 4 ans.
Plus que 4 jours pour réserver dans les agences Club Med et agences agréées.
Offre soumise à conditions, valable uniquement sur certains villages et à
certaines dates. Club Med, il reste tant de monde à découvrir.

AUDIO 5

Et pour empêcher le monoxyde de carbone de se répandre dans votre maison,

vous faites quoi ? Le monoxyde de carbone est un gaz mortel, invisible et
inodore qui chaque année tue 300 personnes chez elles par émanation des
appareils de chauffage. Pour l’éviter, ayez le bon réflexe : faites régulièrement
entretenir vos installations par un professionnel. Un réflexe en plus, c’est un
risque en moins. C’était un message de l’INPES et du Ministère de la santé de
la jeunesse et des sports.

ÉPREUVE 2 :

EXTRAIT 1 : « LES HABITUDES ALIMENTAIRES »

Source: © Radio France

Dans leur vie quotidienne, beaucoup d’Européens coupent leur journée de

travail par des repas pris à l’extérieur de leur domicile. Cette restauration hors
foyer est d’ailleurs le thème du salon SIREST, qui s’ouvrira demain à la Porte
de Versailles, à Paris. Que l’on soit au restaurant, dans un snack, une pizzeria
ou une cantine, ces déjeuners sont généralement rapides et partout en Europe,
le temps du repas a diminué au fil des années: il est de quinze minutes en
moyenne dans l’Europe du Nord, ou trente et une minutes en France, contre
une heure et demie dans les années soixante-dix. Ce temps plus compressé a
fait la part belle aux sandwichs et à l’image des Anglo -Saxons, les Français
l’adoptent de plus en plus pour leurs repas hors domicile.

EXTRAIT 2 : « METABIEF, STATION DE SKI »

Source : © www.zevisit.com

Metabief, station de ski

À une altitude s’étageant de 900 à 1420 mètres, Metabief s’amuse joyeusement

de la neige ou de la verdure que lui donne le Mont d’Or sur les flancs duquel
elle repose.


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Station de sport d’hiver avec 42 km de piste de descente et un domaine
nordique de 240 km de tracé, Metabief troque aux beaux jours le ski et la
raquette contre le VTT, la luge d’été ou les chaussures de marche.

Cette station, qui a tout d’une grande, varie encore les plaisirs avec son école
d’escalade et son centre équestre et son parcours aventures à la cime des
arbres.

Eté comme hiver, le télésiège vous catapultera sur le sommet du Morond, point
de départ pour la randonnée à ski ou à pied.

Enfin, la fromagerie “Sancey Richard” vous initiera au secret des fabrications du

Comté.

EXTRAIT 3 : : « RECETTE MAROCAINE »

Source: © www.youtube.com




Tajine de bœuf aux prunes
Ingrédients : 600gr de bœuf, 180 gr de prunes, du sucre, de la canelle en
poudre, de l’huile d’olive, des oignons, du curry et du paprika.
Préparation :
Prenez les oignons et émincez-les sur une planche à découper. Replacez-les
ensuite dans une assiette. Dans un tajine ou dans un récipient en terre,
disposez les morceaux de bœuf, les oignons et versez une quantité importante
d’huile d’olive. Saupoudrez d’une cuillerée à café de sel, d’une de curry et d’une
de paprika.

ÉPREUVE 3 :

« UNE COMMERÇANTE A PARIS »

Avec vous Aurélie Sphez. On va s’intéresser à une commerçante qui paraît-il

une des plus anciennes commerçantes installées à Paris, depuis 1946, mais ce
qui nous intéresse c’est à quelle heure le Bac pro ou le BEP sont
particulièrement mal menés, on le voit en ce moment avec toutes ses
manifestations. Eh bien l’apprentissage est une notion qu’il ne faudrait pas
délaisser. C’est un petit peu l’axe de votre reportage, Aurélie, vous avez choisi
de mettre l’accent sur un autre aspect de..., des formations à la vente que nous
avons parfois moquées.

- Oui, là..., là on s’éloigne un peu de la grande distribution, de la société de

consommation, et je propose un de ces reportages, joli, charmant,

- Vécu, du vécu.

- Du vrai de vrai, elle s’appelle Monique, elle a une petite boutique… Enfin tout
ça fait très parisien, tout est bucolique et tout le monde l’appelle Madame
Jacques. Elle est grande, elle a les cheveux blancs, elle a un regard assez


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aigu. Elle est toujours parée d’une multitude de bijoux fantaisies parce que
dans son magasin de bijoux, qui est situé dans le Marais à Paris, on se sent un
peu en décalage et à des kilomètres, ce qu’on disait tout à l’heure, de... de la
grande distribution. Et donc depuis toujours Madame Jacques forme des
jeunes apprentis. Elle les forme à la vente. Ils viennent d’horizons
complètements différents et elle se confronte ainsi au choc des générations...

- Et aux cultures.

- ... et des cultures et des langages. Donc on s’éloigne des écoles de

commerce et autres forces de vente dont on n’en peut plus… et je vous
propose l’histoire vraie...

- Même si cet apprenti est quand même formé dans une école de commerce
qui s’appelle Negocia... mais c’est du vécu, comme vous dites, chose vue et
entendue…

- On a du vécu, vécu..., le maître Madame Jacques et sa petite élève de vingt

ans Jocylaine.

- Je m’appelle Monique Jacques. Je suis une dame d’un âge très avancé. Ça
fait 61 ans que je vis dans les bijoux, que j’aime les bijoux, que je fais des
bijoux, j’adore les bijoux.

- Comment ça s’est passé ?

- Eh bien, tout suite après la guerre, puisque ça date de 61 ans, ma mère

voulait un magasin de détails et nous avons commencé par vendre de la petite
maroquinerie et des parapluies, puisque c’était l’industrie où mon père
travaillait, et vous voyez vous avez la photo là-bas du magasin, c'est-à-dire,
c’était la moitié du magasin. Ah, c’était tout petit. J’avais à l’époque quatorze
ans et demi, j’ai tanné ma mère en lui disant : j’aime les bijoux ! Pourquoi est-ce
qu’on vend pas de bijoux ? J veux qu’on fasse des bijoux, et elle m’a écoutée.
C’est bien pour une maman d’écouter sa fille. Il faut vous dire que quand j’étais
toute petite fille, je jouais à la marchande, je voulais être marchande, oh oui je
voulais être marchande, je vendais.

- Bonjour madame.

- Bonjour.

- Je peux vous aider madame.

- Je voudrais acheter une bague pour ma petite-fille.

- Bien madame.

- Elle a quatre ans et elle est très coquette.


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- C’est très bien il faut qu’elle soit coquette… elle le sera comme ça plus tard. Et
elle sera cliente plus tard

- Tout à fait.

(Source : Interview France Inter, émission « Service publique »).


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