Joan Francés BLANC. Los Aujòls de Joan Baptista Blanc VIII

Joan Francés Blanc
Los aujòls de Joan Baptista Blanc

VIII: Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de
Roglo. Nòtas: generacions 21 e 22
© 2018 Joan Francés Blanc

Licéncia Creative Commons CC-BY-NC-SA
Genealogia n°28 http://j.f.blanc.free.fr
-ii-
ENSENHADOR
I.
Pourquoi ce livre n’est pas en français.......................v
About this book..........................................................vi
Introduccion..............................................................vii
Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Lista corta............1
II. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa

de Roglo. Lista corta...............................................217
III. Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Las vint

primièras generacion. Lista longa..........................571
IV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa

de Roglo. Lista longa, generacions 1 a 23..............935
V. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Lista longa, generacions 24 a 28..........1387
VI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Lista longa, generacions 29 a 61..........1867
VII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa

de Roglo. Nòtas. Generacions 1 a 20...................2219
VIII.Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacions 21 e 22.................2671
IX. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 23...........................3161
X. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
iii
XI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
XII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
XIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
XIV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
XV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
XVI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
XVII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacions 31 a 33.................6381
XVIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la
basa de Roglo. Nòtas. Generacions 34 a 61.........6689
iv
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Generacion 21
1.481.728:
GUILLAUME DE SAINT MAURICE IIe du nom, chevalier, seigneur de Montpaon,
épousa une femme qui n'est connue dans les titres que sous le nom de Jeanne. Il
rendit hommage en 1282 pour ses terres à Raymond de Calmont, évêque de
Rodez et reçut lui même hommage la même année de Déodat Gaucelin et de
Bertrand Dicher, chevaliers pour ce que le premier tenait en fief franc dans la
haronnie de Montpaon et le second à La Bastide des Fonds. Montpaon relevait de
l'évêque de Rodez, mais les châteaux de Saint Caprazi de La Tour et de Monta-
gnol dont Guillaume de Saint Maurice avait la seigneurie haute, relevaient du roi
et celui de La Bastide des Fonds, de l'évêque de Lodève. Dans un hommage
rendu le jour des nones d'avril de la même année 1282, à ce dernier on trouve de
curieux détails. Le seigneur de Saint Maurice reconnaît tenir en fief de
Brenguier, évêque de Lodève, le château de La Bastide des Fonds et en signe de
dépendance il remet audit évêque les clefs dudit château et le château lui même
dont il sort à l'instant. Alors l'évêque fait planter sa bannière sur les murs et les
portes et crier par un hérault "Lodève Lodève" pour l'évêque de Lodève "Saint
Geniez Saint Geniez". Après quoi il rend les clefs à Guillaume de Saint Maurice
qui rend foi et hommage à genoux et dans les formes ordinaires. Parmi les
témoins figurent Bertrand Dicher, chevalier, et Sicard Dicher, damoiseau.
Anciennes archives de l'évêché de Rodez dans un registre concernant Montpaon,
Le Clapier etc .Guillaume de Saint Maurice transigea en 1285 avec Ermengarde
d'Arpajon, abbesse de Nonenque.Il ne vivait plus en 1298, époque à laquelle lui
avait succédé Raymond son fils. En 1280, Guillaume de Saint-Maurice, seigneur
de Montpaon , reconnut à Bérenger, évêque, le château de la Bastide , diocèse de
Vabres , en signe de quoi il lui en fit la tradition par la remise des clefs, par
1
l'exaltation de son étendard et par la proclamation du précon . Le Château de St-
Rome de Tarn L’actuel château fut construit par Alphonse Dejean en 1866. Il
demeure dans le village plusieurs maisons seigneuriales intéressantes mais dont
l’historique n’est pas connu et dont une aurait été l’hôtel particulier des
seigneurs. Saint Rome relevait de la vicomté de Creissels, et aurait appartenu à
la famille de Saint Maurice, qui l’apporta ensuite aux d’Auriac et aux
Mostuéjouls. En 1392, la communauté du bourg racheta tous les droits familiaux
et Saint Rome devint domaine des rois de France avec la maison de Gozon. Les
guerres de religion y furent particulièrement virulentes. Baudinet, calviniste, prit
la ville en 1568 et passa toute la garnison au fil de l’épée, elle fut reprise trois
mois plus tard et d’Arbussels de Tubières fut mis à mort par Vezins, son propre
cousin germain.
Château de La Bastide des Fonts
-2671-
Le château de Saint-Caprazy
Château de Saint Beaulize, ancienne commune de Montpaon.
Le château de Saint Beaulize de Lirondel se situe à 2 km au nord de Montpaon et

est toujours existant entouré de remparts. Il appartint à la famille de Montpaon
qui le transmit aux Sévérac. Il était propriété lors de la révolution d’Alexandre
Lauzières de Themines, évêque de Blois, qui refusa de prêter serment à la
-2672-
constitution civile du clergé et choisit d’émigrer.
Références
1. On nommait Précon, le valet de ville qui remplissait les fonctions

de crieur public au son de la trompette. Ce nom et ces fonctions
se sont perpétués dans le Lodevois.
Fonts:- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Histoire de la ville de Lodève, de son
ancien diocèse et de son arrondissement actuel, depuis les temps les plus reculés
jusqu'à nos jours) 2iii2011
- família: J-L. Dega
1.481.729:
Fonts:- família: J-L. Dega
1.481.764:
Actes en 1302, 1327, 1336 La filiation est prouvée depuis Hugues
Fonts: - persona: Renaud de Paysac (Pierre de Raffin, généalogie Raffin de la
Raffinie) 5 x 07 ; - família: Renaud de Paysac (Pierre de Raffin, généalogie Raffin
de la Raffinie) 5 x 07
1.481.765:
Fonts:- família: Renaud de Paysac (Pierre de Raffin, généalogie Raffin de la
Raffinie) 5 x 07
1.481.888:
1.481.889:
1.481.904:
Fonts:- persona: J-L. Dega, O.AUFFRAY
- família: J-L. Dega, A. de Maere 13.11.2005, O.AUFFRAY
-2673-
1.481.905:
Fonts:- família: J-L. Dega, A. de Maere 13.11.2005, O.AUFFRAY
1.481.905b:
Fonts:- persona: J-L. Dega, O.AUFFRAY
- família: J-L. Dega, O.AUFFRAY
1.481.905c:
Fonts: - persona: J-L. Dega
1.481.928:
Fonts:
- persona: O.Martel (gnéalogie familiale)
- família: O.Martel (généalogie familiale), J-P de Palmas (Moreri, dictionnaire
historique, vol.5) 4 vii 2011
1.481.929:
Fonts: - persona: O.Martel (gnéalogie familiale) / Jean-Louis Dega (Maurice Onfroy
: Montaigut-de-Quercy) 16 xi 2016
- família: O.Martel (généalogie familiale), J-P de Palmas (Moreri, dictionnaire
historique, vol.5) 4 vii 2011
1.481.929b:
DES PRÈS, Pierre (ca. 1280/1288-1361) Birth. Ca. 1280/1288, Montpezat, diocese
of Cahors, France. Son of Raimond II des Prés, seigneur of Montpezat, and
Aspasie de Montaigut. His last name is also listed as de Pratis, del Prato, Després
and Prez. Education. Obtained a doctorate in civil law at the University of
Toulouse. Early life. Professor of law at the University of Toulouse. Provost of
Clermont. Papal chaplain. Auditor of causes of the Apostolic Palace from 1316; as
such, he intervened in the process of Hugues Géraud, bishop of Cahors.
Episcopate. Elected bisho of Riez, March 31, 1318. Consecrated, May 7, 1318,
Avignon, by Cardinal Niccolò Alberti, O.P., bishop of Ostia e Velletri. Promoted to
the metropolitan see of Aix, September 11, 1318; occupied the see until his
promotion to the cardinalate. Cardinalate. Created cardinal priest in the
consistory of December 20, 1320; received the title of S. Pudenziana after January
28, 1321. Opted for the order of cardinal bishops and the suburbicarian see of
Palestrina, May 25, 1323. Vice-chancellor of the Holy Roman Church, April 1325.
In 1329, he was charged with reforming the statutes of the University of Toulouse.
Participated in the conclave of 1334, which elected Pope Benedict XII. Dean of the
Sacred College of Cardinals, June 1336. Participated in the conclave of 1342,
which elected Pope Clement VI. Legate before King Philippe V Valois of France
and King Edward III of England in 1342 to negotiate the peace between them; he
was able to arrange a truce in Malestroit on January 19, 1343. Built the collegiate
church of Saint Pierre in Avignon. Participated in the conclave of 1352, which
elected Pope Innocent VI. Death. May 16, 1361 (1), of the plague, at an advanced
age, Avignon. Buried on June 13, 1362, in the tomb he had built in the church of
Saint-Marin in Montpezat, where he had founded a collegiate chapter.
Bibliography.
Albanès, Joseph Mathias Hyacinthe ; Chevalier, Ulysse. Gallia christiana
novissima. Histoire des archevêchés, évêques et abbayes de France. 7 vols. 1895-
1920, III. 869-875. Other Title : Gallia Christiana. Responsibility: D'après les
-2674-
documents authentiques recueillis dans les registres du Vatican et les archives
locales. Complétée, annotée et publiée par le chanoine Ulysse Chevalier, I, col. 79-
80and col. 603-604; Cardella, Lorenzo. Memorie storiche de' cardinali della Santa
Romana Chiesa. Rome : Stamperia Pagliarini, 1793, II, 117-118; Chacón, Alfonso.
Vitæ, et res gestæ Pontificvm Romanorum et S. R. E. Cardinalivm ab initio
nascentis Ecclesiæ vsque ad Vrbanvm VIII. Pont. Max. 2 volumes. Romae : Typis
Vaticanis, 1677, II, col. 416-417; Du Chesne, François. Histoire de tous les
cardinaux françois : de naissance, ou qui ont esté promeus au cardinalat par
l'expresse recommandation de nos roys, pour les grands services qu'ils ont rendus
a leur estat, et a leur couronne. Comprenant commairement leurs legations,
ambassades & voyages par eux faits en divers pays & royaumes, vers les papes,
empereurs, roys, potentats, republiques, communautex & universitez, pour
affaires importantes à l'église universelle, & à l'auguste majesté de nos
souuerains. Enrichie de leurs armes et de leurs portraits. Divisée en deux tomes,
et justifiée par tiltres et chartres du thresor de sa majesté, arrests des parlemens
de France, registres des Chambres des comptes; donations, fondations, epitaphes,
testamens, manuscripts, ancients monumens, chroniques & chartulaires
d'abbayes, & autres histoires publiques & particlieres. 2 vols. A Paris : Aux
despens de l'autheur, & se vendent chez luy , 1660, I, 436-445; "Essai de liste
générale des cardinaux. Les cardinaux du XIVè siècle jusqu'au Grand Schisme".
Annuaire Pontifical Catholique 1930. Paris : Maison de la Bonne Presse, 1930, p.
144; Eubel, Conradus and Gulik, Guglielmus van. Hierarchia Catholica Medii Aevi.
Volumen I (1198-1431). Münich : Sumptibus et Typis Librariae Regensbergianae,
1913; reprint, Padua : Il Messagero di S. Antonio, 1960, pp. 15, 37, 46, 96 and
417. Links. Engraving of his tomb and biography, in French, p. 436-445;
biography, in French, col. 79-80; biography, in French, col. 603-604; biography, in
French; biography, in French, toward the end of the page; biography, in French,
toward the end of the page, under "Pierre des Prés"; Extraict de l'Obituaire du
Chapitre de Montpezat, in French, at the end of the page; his jascent statue and
biography, in French; his jascent statue; and his engraving.
(1) This is according to the Fench sources; "Essai de liste générale des cardinaux.
Les cardinaux du XIVè siècle jusqu'au Grand Schisme". Annuaire Pontifical
Catholique 1930, 144; and Eubel, Hierarchia Catholica Medii Aevi, I, 15 and 37.
Sa fiche sur wikipedia
Pierre des Prés (ou Desprès) est un cardinal français né en 1280/1282 à
Montpezat en Aquitaine et décédé le 16 mai 1361 à Avignon.
Repères biographiques
Pierre des Prés étudie à l'université de Toulouse et y est professeur de droit. Il est
prévôt à Clermont et auditeur au palais apostolique. Des Prés est élu évêque de
Riez en 1318 et promu à l'archidiocèse d'Aix-en-Provence la même année. Des
Prés est créé cardinal par le pape Jean XXII lors du consistoire du 20 décembre
1320. Il est nommé vice-chancelier de la Sainte-Église en 1329 et est chargé de la
réforme des statuts de l'université de Toulouse. Le cardinal des Prés est légat
auprès des rois Philippe V de France et Édouard III d'Angleterre pour négocier la
trêve de Malestrroit (1343). Il fait bâtir la collégiale Saint-Pierre à Avignon. Le
cardinal des Prés participe aux conclaves de 1334 (Benoît XII), de 1342 (Clément
VI) et de 1352 (Innocent VI). Liens externes wikipedia Histoire des cardinaux
français
Fonts:
- persona: O.Martel (généalogie familiale), J-P de Palmas (The Cardinals of the
Holy Roman Church) 28 v 2011
-2675-
1.481.929c:
Fonts:- persona: J-P de Palmas (Moreri, dictionnaire historique, vol.5) 4 vii 2011
1.481.948:
Fonts:- persona: J-L. Dega
1.481.949:
1.481.950:
Fonts:- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005) / Jean-Louis Dega
(Dictionnaire de la noblesse) 16 xi 2016
- casament: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
1.481.951:
Fonts:- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
1.481.984:
Fonts:- persona: J-L. Dega
1.481.985:
1.482.848:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Florence Humblot citant : Bulletin hist.& scient.
de l'Auvergne - 1881) 14 viii 2013
- família: J-P.de Palmas (Florence Humblot citant : Bulletin hist.& scient. de
l'Auvergne - 1881) 14 viii 2013
1.482.849:
1.482.849b:
1.482.849c:
1.482.849d:
-2676-
1.482.992:
Fonts: - persona: F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
- família: F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
1.482.993:
Fonts:- família: F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
1.482.994:
1.482.995:
1.483.264:
GIRAUD Adémar [I] de Monteil, son of GUILLAUME HUGUES [I] de Monteil & his
second wife Lecerina --- (-after 1164). "Geraldus Aemarivus
et…Lambertus…domini Montilii" to Montélimar of "terra avi et patris sui" by
charter dated 1198[1352]. "Nos patrueles Giraudus et Lambertus Adhemarii de
Montilio, domini Montilii Adhemarii, cum filiis nostris primogenitus Giraudeto
Adhemarii barone de Rupe Maura, Vivarien. diœcesis et Hugone Adhemarii
barone de Garda Adhemarii, Tricastin. diœcesis" donated property to Montélimar,
confirming the previous donations of "avos et patres nostros", by charter dated 2
Apr 1198, classified as spurious in the compilation[1353]. m ---. The name of
Giraud´s wife is not known. Giraud Adémar [I] & his wife had two children.
[1352] Montélimar, IX, p. 20. [1353] Montélimar, X, p. 22.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (in Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de
l'Ordre du Temple (1136-1214))
- família: J-P de Palmas (in Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de
l'Ordre du Temple (1136-1214) et FMG)
1.483.265:
Fonts:- família: J-P de Palmas (in Cartulaire de la Commanderie de Richerenches
de l'Ordre du Temple (1136-1214) et FMG)
1.483.266:
Bertrand des Baux, né vers 1137, très certainement au château des Baux et mort
vers 1181-1183, est un prince d’Orange, le premier de la maison des Baux,
Sa date de mort peut être un le jour de Pâques 1181 assassiné, ou tué avec
Raimond-Bérenger III de Provence dans une embuscade en allant porter la
guerre vers Montpellier, ou en 1183 selon Arthur Engel. Son tombeau est à
l’abbaye de Silvacane. Porte : De gueules à l'étoile d'argent de seize rais. Voir sa
biographie complète sur wikipedia
-2677-
Ruines du château des Baux.
Bibliographie
 L.Barthélemy, Inventaire du château des Baux, Revue des sociétés

savantes, 8ème série, T. VI, 1877
 L. Barthélemy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la
maison des Baux, Marseille, 1882
 L. Paulet, Les Baux et Castillon : Histoire des communes des Baux, du
Paradou, de Maussane et de Mouriès, Saint-Rémy de Provence, 1902
 P. Destandau, Documents inédits sur la ville des Baux, T. III, Mémoires
de l’Académie du Vaucluse, 1903
 G. Noblemaire, Histoire de la Maison des Baux, Paris, 1913
 Fernand Benoit, Les Baux, Paris, 1928
 O. Maufras, Le castrum des Baux de Provence : histoire d’un site fortifié
médiéval, Provence Historique, 40, fasc. 159, 1990
Tombeau de Bertrand des Baux à l’abbaye de Silvacane
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer), J-P de Palmas
-2678-
(notes, iconographie : wikipedia) 3 viii 2011
- família: Aurejac, H.R.Moser/EuSt
1.483.267:
TIBURGE d'Orange, widow of GAUFRED de Mornas, daughter of GUILLAUME
d'Omelas [Montpellier] & his wife --- (-after 13 Aug 1198). The testament of
“Guillelmus de Omellacio”, dated 5 Jun 1156, bequeathes “villam de Muroveteri“
to “alii filiæ meæ Tiburgæ, uxori quondam Gaufridi de Mornas“[1132]. As she is
named after her sister also named Tiburge in this testament, it is suggested that
Tiburge wife of Geoffroy de Mornaz, and later of Bertrand de Baux, was the
younger sister. The testament of Tiburge princesse d'Orange names Bertrand de
Baux husband of her daughter Tiburge, his son Guillaume V, her son Raimbaud IV,
and Adhemar de Murvieux husband of her daughter Tiburgete[1133]. "Tiburge
dame de Baux et ses fils" abandon rights to the provost of Saint-Paul by charter
dated 31 Oct 1180, which presumably indicates that her husband had
predeceased this document[1134]. "Hugues de Baux", on the advice of "sa mère
Tiburge", granted property to Hugues Pélissier by charter dated 13 Aug
1198[1135]. Bertrand & his wife had [five] children.
[1132] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CLXII, p. 480.
[1133] Baux Chartes 41, p. 10, citing Mss du Dr Martial Millet, d'Orange.
[1134] Baux Chartes 74, p. 20, citing Livre rouge d'Arles, 1 369 v, Reg. Invent. B
1209, B.-du-R.
[1135] Baux Chartes 87, p. 23, citing Reg. B., 1069, f. 233 v, B.-du-R.
Jean-Pierre de Palmas : Projects MedLands - Provence (FMG)
Fonts: - persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer),

JL.Mondanel (généalogie des Baux) 13 iii 2011, J-P.de Palmas (FMG) 11 iii 2012
- casament 1: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
- família 1: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
- família 2: Aurejac, H.R.Moser/EuSt
1.483.267a:
Fonts: - persona: O.AUFFRAY
- família: Aurejac, O.AUFFRAY
1.483.268:
Attesté en 1157 et 1196. SICARD [V] (-1193 or after). “Sicardus vicecomes
Lautricensis” donated property to “S. Pontio", to enable "filium meum
Raymundum“ to become a monk there, by charter dated 1159, signed by "Sicardi
filii sui"[307]. Vicomte de Lautrec. “Sicardus vicecomes de Lautrec etPetrus frater
eius” confirmed the donations to Candeil by “Sicardus vicecomes pater noster" by
charter dated 1160[308].
m (before 1176) ADELAIS de Béziers, daughter of RAYMOND TRENCAVEL,
Vicomte de Béziers & his [second] wife Saura ---. Her parentage and marriage are
confirmed by the charter dated Feb 1188 under which "Sicardus vicecomes de
Lautrec" the dowry received from "D. vicecomiti BiterrensiD. Rogerio" when he
married "Alazaici sorore tua"[309].
References
 [307] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves,

CLXXVII, p. 490.
-2679-
CLXXVII, p. 490.
 [309] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, II, p. 533.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Une Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec
par Philippe Zalmen, CNRS, 2002) xi2009
- família: J-P de Palmas (Une Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec par
Philippe Zalmen, CNRS, 2002) xi2009
1.483.269:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (H. Debax, La féodalité languedocienne p. 345
(Trencavel) Toulouse 2003)
1.483.269b:
Fonts: - persona: B.Tournier (Vte de Bonald)
- naixement: J-P de Palmas
- defunció: J-P de Palmas
- casament: J-P de Palmas
- família: J-P de Palmas;
1.483.269c:
Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain)
- família: J-L. Dega (Jaurgain)
1.483.904:
Est le premier de sa famille qui paraît dans l' histoire. C' était un personnage
important puisqu'il assista comme témoin, avec de nombreux seigneurs de la
région, à la donation du château de Penne faite en avril 1109 par l' évêque d' Albi,
Aldegarius à Bernard ATHON vicomte d' Albi .
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Doat t. 165, fos 265 et 266. Histoire de Languedoc t. V, p.
807. Edmond Cabié. Les seigneurs de Penne aux XIème et XIIème siècles. Revue
du Tarn, t. 25, p. 83. Vidal Paulin R du Tarn) 29 iv 2016
- família: J-P.de Palmas (in La Maison de Rabastens de H.L Rabino - 1932) 2004
1.483.905:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Doat t. 165, fos 265 et 266. Histoire de Languedoc
t. V, p. 807. Edmond Cabié. Les seigneurs de Penne aux XIème et XIIème siècles.
Revue du Tarn, t. 25, p. 83. Vidal Paulin R du Tarn) 29 iv 2016
- família: J-P.de Palmas (in La Maison de Rabastens de H.L Rabino - 1932) 2004
1.483.906:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
1.483.907:
-2680-
1.483.907a:
- família: A.Euverte ( Henri Guilhamon : "La maison de Durfort au moyen âge" ) 8 v
2006, C.Saint-Félix ( Didier Panfili : "Histoires de familles" ) 20 ix 2014
1.483.907b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
1.483.908:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Mireille Mousnier - Vicomtes de Gimois ou de Terride -
Pages 73 à 96 in Vicomtes et vicomtés dans l’Occident médiéval) 22 iv 2015
- família: J-P.de Palmas (Mireille Mousnier - Vicomtes de Gimois ou de Terride -
1.483.909:
Une difficulté anthroponymique surgit à propos du mariage de la fille de Gautier
de Terride, Escaronne, avec Bernard Jourdain de l’Isle : deux textes s’y
rapportent, avec des variantes et en particulier sur le nom de l’épousée. Si
Escaronne domine dans tous les autres textes (comme dans une charte de
Grandselve 10, dans la charte de coutumes de l’Isle- Jourdain, et dans la vente du
Gimois par Arnaud de Montaigut à Jourdain – voir les annexes suivantes –), le
contrat de mariage au f° 1417 v° de la Saume appelle la fille de Gautier Guillelma
11. Je me range, comme l’historiographie, à Escaronne. Les témoins sont
Bernardus de Marestaing et Guillelmus de Montpezat et Bertrandus Jordanus et
Bernardus Guillelmus de Saint-Jean et Petrus de Drudas et Gualabrun de
Salbolena (Saubolée) et Jourdain de Corbarrieu et Raymond Guirald et Guilhardus
de Sancta Guabella (Cintegabelle), Othon de Séguenville, Bernard Esquivat, Oto
Escot : ce contrat a été passé en présence de toute la fine fleur de l’aristocratie
environnante et certainement alliée.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Mireille Mousnier - Vicomtes de Gimois ou de Terride -
- família: J-P.de Palmas (Mireille Mousnier - Vicomtes de Gimois ou de Terride -
1.483.910:
ROGER BERNARD [I] "le Gros" de Foix (-Nov 1188). "Roggerus-Bernardi comes
Fuxensis, filius Roggerii et Xaminiæ" shared property with the abbey of Saint
Antonin de Pamiers by charter dated 1149 which names "avum meum Roggerium"
by charter dated Nov 1149[962]. He succeeded his father in [1147/48] as Comte
de Foix. “Pe de Sant Feliz et Ber de Sant Feliz, mos fraire, et filii mei Guillelmus
Petri e P. Guillelm e Bertrans e Galards” swore allegiance to “Ro comte de Fois fil
de Eissamena et…a Ro fil de Cecilia” by charter dated Aug 1176[963]. Governor of
Provence 1185.
m ([1151]) CECILE de Béziers, daughter of RAYMOND "Trencavel", Vicomte de
Béziers et d'Albi & his wife Adelaide --- (-after 4 Dec 1167). Her marriage is
indicated by the charter dated 1160 under which “Arnaldus de Cher filius de
Berengaria” swore allegiance to “Rogerio-Bernardo comite de Foys, fil de
-2681-
Eissamena, et filio tuo Rogerio fil de Cecelia"[964]. Her marriage is confirmed by
the charter dated 4 Dec 1167 under which “Raymundus comes Tolosæ" donated
property to "Rogerio Bernardi Fuxensi comiti, viro Cæciliæ filiæ quondam
Trencavelli, et eidem Cæciliæ" previously held by "Rogerius frater supra nominati
Trencavelli in fine vitæ suæ"[965]. Comte Roger Bernard [I] & his wife had [five]
children:
a) ROGER de Foix (before 1160-1182). “Arnaldus de Cher filius de Berengaria”

swore allegiance to “Rogerio-Bernardo comite de Foys, fil de Eissamena, et filio
tuo Rogerio fil de Cecelia" by charter dated 1160[966]. “Pe de Sant Feliz et Ber de
Sant Feliz, mos fraire, et filii mei Guillelmus Petri e P. Guillelm e Bertrans e
Galards” swore allegiance to “Ro comte de Fois fil de Eissamena et…a Ro fil de
Cecilia” by charter dated Aug 1176[967].
b) RAYMOND ROGER de Foix (-Château de Mirepoix 27 Mar 1223). "Rogerius

Bernardicomes Fuxi" names "bonæ memorie dominus Raymundus Rogerii pater
nosteretiam comes Fuxi" in a charter dated 15 Mar 1199, witnessed by
"Esclarmunda soror comitis Fuxensis"[968]. He succeeded his father in 1188 as
Comte de Foix.
- see below.
c) daughter . The marriage contract between “Rogerius-Bernardi comes Fuxensis

Essemenæ filiusfiliam suam” and “Arnaldus-Bernardi de Marcafaba filius
GallardæArnaldus-Bernardifilium suum" is dated Dec 1162[969]. m (contract Dec
1162) ARNAUD GUILLAUME de Marquefave, son of ARNAUD BERNARD de
Marquefave Haute-Garonne & his wife ---.
d) ESCLARMONDE de Foix (-after 1215). "Rogerius Bernardicomes Fuxi" names

"bonæ memorie dominus Raymundus Rogerii pater nosteretiam comes Fuxi" in a
charter dated 15 Mar 1199, witnessed by "Esclarmunda soror comitis
Fuxensis"[970]. "Jordanus de Insula" swore his testament on his deathbed Sep
1200 in which he named "uxori meae Esclarmondae"[971]. "Esclarmunda
sororcomitis Fuxi Ra. Rogerii" donated property to "sanctæ Mariæ de Bolbona" by
charter dated 1201[972]. She was known as "la Grande Esclarmonde", a famous
Catharist "parfaite", as shown by the charter dated 21 Apr 1244 in which
"Berengarius d'Avelanet" charged with inquiring into heresies swore that "apud
Fanojovis Fanjaux, Aude Esclarmunda, soror Raimundi Rogerii comitis Fuxensis,
avi istius comitis Fuxensis uxor Jordani de Insula" had welcomed heretics[973].
The Chronicle of Guillaume de Puylaurens records that "la sœur de Bernard Roger
comte de Foix se montrait ouvertement protectrice de l´Hérésie"[974]. m
JOURDAIN [III] Seigneur de l'Isle-Jourdain, son of JOURDAIN [II] Seigneur de
l'Isle-Jourdain Gers & his wife Escaronne de Terrides near Labourgade, Tarn-et-
Garonne (-[Sep 1200/1204]).
e) [daughter . The primary source which confirms her parentage and marriage has
not yet been identified. m ROGER [I] Vicomte de Couserans, son of BERNARD [III]
Comte de Comminges & his wife --- de Toulouse (-before 3 Apr 1211).]
[962] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CXXXVIII, p.
-2682-
457.
[963] Layettes du Trésor des Chartes V, 70, p. 24.
[964] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CLXXXIII, p.
493.
[965] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CCXIX, p. 519.
[966] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CLXXXIII, p.
493.
[967] Layettes du Trésor des Chartes V, 70, p. 24.
[968] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, XXXIII, p. 552.
[969] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CXCVI, p. 503.
[971] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, XXXIV, p. 554.
[973] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome VIII, 373.III, col. 1147. See
also Palauqui, L. (1911) Esclarmonde de Foix (Foix). Vidal, J.-M. (1911/2001)
Esclarmonde de Foix dans l'histoire et le roman (Toulouse/Nîmes). [J.-C. Chuat]
[974] Chronique de Guillaume de Puylaurens, Chap. VIII, p. 33.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG - "de Foix") 17 ix 2012
- casament: J-P de Palmas (H. Debax, La féodalité languedocienne, p. 345
"Trencavel", Toulouse 2003)
- família: J-P de Palmas (H. Debax, La féodalité languedocienne, p. 345
1.483.911:
CECILE de Béziers (-after 4 Dec 1167). The testament of “Raymundo Trencavelli
vicecomite”, dated 21 Apr 1154 during his captivity in Toulouse, bequeathes
“Balaguer et Chercorb et Chercorbez“ to “Cæciliæ meæ filiæ“, appoints “Rogerio
filio meo“ as his heir and if he dies childless “Cæciliæ meæ filiæ“[104]. The
chronology suggests that Raymond´s two daughters would have been children of
his second wife, named in 1137, if it is correct as shown above that he married
twice. Her marriage is confirmed by the charter dated 4 Dec 1167 under which
“Raymundus comes Tolosæ" donated property to "Rogerio Bernardi Fuxensi
comiti, viro Cæciliæ filiæ quondam Trencavelli, et eidem Cæciliæ" previously held
by "Rogerius frater supra nominati Trencavelli in fine vitæ suæ"[105].
m ([1151]) ROGER BERNARD, Comte de Foix, son of ROGER III Comte de Foix &
his wife Jimena de Barcelona.
[104] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CLIV, p. 474.
[105] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CCXIX, p. 519.
A propos du château de Péreille
La mention la plus ancienne de Péreille semble dater de 1168 dans laquelle est
notée l’existence du château (donation par le comte de Toulouse à la fille du
vicomte Trencavel de Béziers, Cécile, qui avait épousé le comte de Foix Roger-
Bernard). Cependant, Jean Darnaud (avant son décès), avait trouvé des preuves
que la famille de Péreille possédait Roquefixade en 1065 (ce qui en faisait la
mention la plus lointaine, autant pour Péreille que pour Roquefixade). Le château
de Péreille est mentionné dans un hommage au comte de Foix Roger III (vers
1120). 1167 : Raymond V de Toulouse donne à Roger-Bernard ses droits sur
Péreille (sous réserve de la fidélité au comte de Toulouse). Le personnage
historique par son action dans le fait cathare, Raymond de Péreille, descendait de
la famille de Bellissens, possesseur de la seigneurie de Mirepoix. Selon A. Moulis,
il prit le patronyme de sa mère, Fournière de Perelha. Marié, en 1205 à
Roquefixade, avec Corba de Lanta, fille de Jourdan de Lanta et de Marquiesa de
-2683-
Villemur de Pailhès, il eut 5 enfants, dont Esclarmonde (parfaite) qui périt sur le
bûcher de Montségur. Raymond de Péreile reconstruit le château de Montségur
vers 1200 et y accueillera les cathares. A la chute de Montségur, bien que très
âgé, il sera emprisonné à Carcassonne (dernière trace écrite sur ce personnage : 9
mai 1244, date de son interrogatoire). Après la chute de Montségur, Pierre Roger
de Bellissen est dépossédé de son fief de Mirepoix qui est cédé en 1229 à Guy de
Lévis, par le traité de Paris : Péreille relèvera de cette seigneurie.
NB: Dans le registre de Bernard de Caux (Pamiers, 1246-1247) de J. Duvernoy (P.
69) : Consolement d’Alzeu de Massabrac père à Péreille vers 1228 Pereille
(histariege.com)
A propos du château de Roquefixade. Roquefixade, citadelle cathare… C’est ce
qu’en disent les guides touristiques… A vrai dire, peu de textes mentionnent cette
cité pour le début du premier millénaire. Les recherches réalisées par Jean
Darnaud, peu avant son décès, concluaient à l’existence du château en 1034 et sa
possession par la famille de Péreille en 1065. Cependant, Michel Sabatier, quant à
lui, précise que le lieu n’est pas au Péreille, mais à la famille Amiel depuis au
moins 1050. L’Histoire Générale du Languedoc ne mentionne Roquefixade pour la
première fois qu’en 1243. 1187: Claudine Pailhès cite pour cette date la donation
par Bernard Amiel de ses droits d’usages sur Roquefixade aux cisterciens.
L’histoire locale retient le mariage, en 1205 de Corba de Lanta (parente des
Villemur de Pailhès) avec Raymond de Péreille, défenseur de la citadelle de
Montségur. Y auraient assisté le comte de Foix et sa sœur Esclarmonde. Ils eurent
5 enfants dont une Esclarmonde qui périt sur le bûcher de Montségur.
Roquefixade(histariege.com)
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (H. Debax, La féodalité languedocienne, p. 345
"Trencavel", Toulouse 2003 et FMG)
- casament: J-P de Palmas (H. Debax, La féodalité languedocienne, p. 345
1.483.936:
 Marestaing (alias Marestan, Marestang etc) est proche de L'Isle-Jourdain
(32) jblg
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 xii 2015, JB.de La Grandiere
(Anselme (Père) Histoire gén et chrono de la MRF t. II pp. 703/712 (L'Isle-
Jourdain) Paris 1726) 17 vi 2016
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 xii 2015
1.483.937:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 xii 2015
1.483.970:
condamné par l'Inquisition en 1244
-2684-
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Gwendoline Hancke : "L'hérésie en héritage") 24xi2006
- família: C.Saint-Félix (Gwendoline Hancke : "L'hérésie en héritage") 24xi2006
1.483.971:
Fonts:
1.483.971b:
Fonts: - persona: F.de Bernis (base jfAntoine) 15 i 09
1.483.972:
Fonts: - persona: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
- família: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
1.483.973:
Fonts: - família 1: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
1.483.973b:
Auteur de la branche des seigneurs de Badefol et de Saint Genies
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 30 xi 2004, S. de L'Espinay (Gén.
Gontaut-Hautefort)
1.483.973c:
1.483.973d:
Testa en 1251.
Fonts:
- persona: Ancestry of Jean Vincent d'Abbadie de Saint-Castin-RSC, S. de L'Espinay
(Gén. Gontaut-Hautefort)
1.483.973e:
citée en 1208.
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
1.483.974:
Fonts: - persona: J-L. Dega. - família: J-L. Dega
1.483.975:
Fonts: - persona: J-L. Dega. - família: J-L. Dega
1.483.975b:
-2685-
Fonts: - persona: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut)
1.483.984:
Fonts: - persona: H.de Riberolles(Base Geraude), JB.de La Grandiere (Maurice
Vuillier, basé sur Navelle "Histoire de la famille de Mauléon") 28 viii 2013
1.483.985:
Fonts: - persona: H.de Riberolles(Base Geraude), JB.de La Grandiere (Maurice
Vuillier, basé sur Navelle "Histoire de la famille de Mauléon") 28 viii 2013
1.484.032:
Raymond VI (VIII) de Toulouse (Saint-Gilles (Gard), 27 octobre 1156 - Toulouse, 2
août 1222) fut comte de Melgueil (Raymond IV) de 1173 à 1190 puis comte de
Toulouse, de Saint-Gilles, de Rouergue en 1209, duc de Narbonne, marquis de
Gothie et de Provence de 1194 à 1222. Il était fils de Raymond V, comte de
Toulouse, de Saint-Gilles, marquis de Gothie et de Provence et duc de Narbonne
et de Constance de France, sœur du roi Louis VII. La chronique d'Albéric de Trois
Fontaines le nomme ""heretici comitis de Tolosa Raymundi" fils de "Constantia
(filia rex Ludovicus cognomento Grossus). En octobre 1202, il est en Palestine
1
sans sa cinquième femme. En Février 1211 Concile de Montpellier Raimond VI
est mis en demeure de se soumettre lui et les siens a l' Eglise , à Monfort et au Roi
de France . En accord avec ses vassaux il refuse et est excommunié (il le sera cinq
fois). Il se place sous la protection de Pierre II d'Aragon qui se disputait avec le roi
de France la suzeraineté de ces régions. Pierre II d'Aragon, beau-frère de
Raymond VI vient à son secours mais ils sont vaincus par les croisés à Muret le 12
septembre 1213. Pierre II sera tué pendant la bataille. En 1215 les croisés font
leur entrée dans Toulouse qu'ils pillent. Raymond VI se réfugie alors à la cour de
Jean Sans Terre en 1215, d'où il va tenter avec son fils et son vassal le comte de
Foix de reconquérir ses états. En Avril 1216 le vieux comte de Toulouse et son fils
débarquent à Marseille. Ils sont reçus avec enthousiasme et la nouvelle de leur
arrivée se répand dans tout le pays.Avignon envoie des messagers elle n' avait
pourtant pas eu a souffrir. Même enthousiasme et même désir de libérer les terres
opprimées leur sont témoigné par une grande partie de la Provence dont villes et
châtelains viennent rendre hommage à Raymond VI.Il rassemble ses troupes dans
Avignon. Mai 1216- Tandis que son père se dirige vers l' Aragon pour y lever des
troupes le jeune Raymond, 19 ans ,marche sur Beaucaire; les habitants qui l'
appellent offre de lui livrer la garnison Francaise. Il entre dans la ville en
libérateur mais ne réussit pas à prendre la garnison qui s'est refugiée dans le
château où elle va se trouver assiégée. Apprenant que les habitants de Toulouse
se sont soulevés et que le vieux comte a repassé les pyrénées à la tête d'une
armée Simon de Montfort se décide à négocier (Septembre 1217). C' est la
première défaite des croisés. D'une liaison, le comte de Toulouse eut aussi une
fille illégitime, Indie, mariée à Guillaume, vicomte de Lautrec, puis en 1226 à
Bernard II de l’Isle-Jourdain.
Iconographie
Raymond VI, galerie des Illustres, Capitole de Toulouse, photo J-P de Palmas,
Juillet 2007
Références
1. Rüdt-Collenberg, W. H. (1968) 'L'Empereur Isaac de Chypre et sa

-2686-
fille (1155-1207)', Byzantion XXXVIII, reprinted in Familles de
l'Orient latin XIIe-XIVe siècles (Variorum Reprints, London, 1983),
I, p. 169.
Liens externes FMG

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (notes, wikipedia & Iconographie galerie des Illustres,
Capitole de Toulouse, Juillet 2007)
- família 2: J-P de Palmas (H. Debax, La féodalité languedocienne, p. 345
- casament 4: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum le 15 juin 2005)
- família 4: J-P de Palmas (in Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse
de France, P. Lainé, T.I, p.462)
- família 7: M.Rébeillé-Borgella
- família 8: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006
1.484.033:
Fonts: - família: M.Rébeillé-Borgella
1.484.033-4a:
NOTICE RAYMOND VII 1222-1249 on Foundation for Medieval Genealogy
RAYMOND de Toulouse (Beaucaire, Gard Jul 1197-Millau, Aveyron 27 Sep 1249,
bur Fontevraud). The Annals of Burton record the birth in 1197 of “Reimundum
suum primogenitum” to “Johanna comitissa de Sancto Egidio, soror Ricardi regis
Angliæ”[614]. The Chronicle of Guillaume de Puylaurens records that Raymond
was born in 1197 at "Beaucaire dans le diocese dÁrles"[615]. A "Chronique en
Languedocien, tirée du cartulaire de Raymond le Jeune comte de Toulouse"
records the birth in Jul 1197 of "R. coms de Tholosa fils de la regina
Johanna"[616]. The testament of "Raymundus…dux Narbone, comes Tolosæ,
marchio Provinciæ" is dated 11 Sep 1209 and names "…Raymundo filio
meo…"[617]. "Raymunduscomes iuvenis Tolosæ, filius Raymundi comitis Tolosæ
et reginæ Johannæ uxoris quondam eiusdem" donated property to "Raymundo de
Rochafolio" by charter dated 5 Jan 1217[618]. He succeeded his father in 1222 as
RAYMOND VII Comte de Toulouse. Emperor Friedrich II granted the county of
Venaissin to Comte Raymond by charter dated Sep 1234[619]. The testament of
"R…comes Tholose, marchio Provincie, filius quondam domine regine Johanne",
dated 23 Sep 1249, chooses burial at Fontevraud, and appoints "filiam nostram
Johannam uxorem…Alfonsi comitis Pictavensis" as his heir[620]. Matthew of Paris
records the death in 1249 of "comes Sancti Egidii sive Thosolanus Reimundus",
specifying that he was "miles strenuus et circumspectus et domino Papæ
amicissumus" and that he requested burial at Fontevrault at the feet of "regis
Ricardi cuius consanguineus erat"[621]. The Annales Sancti Victoris Massilienses
record the death in 1249 of "Raymundus comes Tolosanus"[622]. A manuscript
chronicle records the death in 1249 of "D. Raymundus comes Tolesanus"[623]. A
"Chronique en Languedocien, tirée du cartulaire de Raymond le Jeune comte de
Toulouse" records the death "lo quart dia en la fi de Setembre en Dimenge" in
1249" of "R. coms de Tholosa fils de la Regina Joanna as Amihau"[624]. An early
13th century genealogy of the comtes de Toulouse written by Bernardus Guidonis
records the death "1249 VI Kal Octapud Amiliacum" of "Raymundus ultimus
comes Tolosanus" aged 52 and his burial "apud Fontem-Ebrauldum"[625].
-2687-
Betrothed (Oct 1206) to Infanta doña SANCHA de Aragón, daughter of don
PEDRO II King of Aragon & his wife Marie de Montpellier (1205-[1206]).
"Petrus…Rex Aragoniæ et comes Barchinoniæ et dominus Montispessulani" and
"Raimundo…Duci Narbonæ, Comiti Tolosæ et Marchioni Provinciæ" arranged the
marriage of "filiam meam…et dominæ Mariæ uxoris…Sanciæ" and "Raimundo filio
tuo et Reginæ Joannæ", by charter dated Oct 1205[626].
Betrothed (1209, contract broken) to --- de Montfort, daughter of SIMON [IV] Sire
de Montfort & his wife Alix de Montmorency. The Historia Albigensium of Pierre
de Vaux-Cernay records that "comes…Tolosanus" betrothed "filius suus" to "filiam
comitis Montis-fortis" but later reneged on the promise, dated to 1209 from the
context[627]. It is not known whether this daughter was the same as one of the
other daughters who are named in other sources.
m firstly (Jan [1211], divorced 1241) Infante doña SANCHA de Aragón, daughter
of don ALFONSO II King of Aragon & his wife Infanta doña Sancha de Castilla
([1196]-shortly after 1241). The Gestis Comitum Barcinonensium names "Sanxa"
as third of the three daughters of "Ildefonsi"[628]. The Crónica de San Juan de la
Peña records that Pedro II King of Aragon arranged the marriage of his "tercera
hermana Sancha" to "al hijo del conde de Tolosa", by whom she was mother of
"una hija que fué mujer de Alfonso conde de Poitiers, hermano de Luis rey de
Francia"[629]. The Chronicle of Guillaume de Puylaurens records that "Raymond-
le-Jeune" married "dona Sancha sœur du roi Pierre dÁragon", dated to 1211 from
the context[630]. A "Chronique en Languedocien, tirée du cartulaire de Raymond
le Jeune comte de Toulouse" records the marriage in Jan 1203 (although the year
must be incorrect) of "Raymundum comes Tholosanus filius regine Constancie"
and "sororem regis Aragonum"[631]. She was the sister of her husband's
stepmother. "Sancia soror quondamregis Aragoniæ, et uxor Raymundi filii domini
Raymundiducis Narbonæ, comitis Tolosæ, marchionis Provinciæ" confirmed the
privileges of Nîmes by charter dated 13 Nov 1218[632].
Betrothed (1241) to SANCHA de Provence, daughter of RAYMOND BERENGER IV
Comte de Provence & his wife Beatrix de Savoie (Aix-en-Provence [1225]-
Berkhamstead Castle, Buckinghamshire 5 or 9 Nov 1261, bur Hayles Abbey,
Gloucestershire). A charter dated 11 Aug 1241 records the marriage contract
between "R comitis Tolosæ" and "Sanciam filiam…R Berengarii Comitis
Provinciæ…et…Beatrix Comitissa"[633].
m secondly (1243, non-consummated, divorced 25 Sep 1245 on grounds of
consanguinity) as her first husband, MARGUERITE de Lusignan, daughter of
HUGUES [XI] "le Brun" Sire de Lusignan, Comte de la Marche et d'Angoulême &
his wife Isabelle Ctss d’Angoulême (-22 Oct 1288). A charter dated 13 Jun 1245
relates to the dissolution of the marriage between “Margaretæ filiæ…Hugonis
comitis Marchiæ et Engolismæ” and “Raimundum Tholosæ comitem”[634]. A
charter dated 13 Jul 1245 records the enquiry into the consanguinity between
“dominus Raymundus comes Tholosanus” and “Margaritam filiam domini comitis
Marchie”, and states that “domina regina Constancia avia sua et dominus Petrus
de Cortiniaco, avus domine Ysabellis uxoris comitis Marchie fuerunt fratres
carnales”[635]. A charter dated 25 Sep 1245 confirms the dissolution of the
marriage between “comiti Tholosano” and “filiam…comitis Marchie”[636]. The
obituaire de Saint-Marcial records the death "XII Kal Nov" of "Margarita
Engolismensis comitissa, mater Ademari vicecomitis"[637]. She married secondly
Aimery [IX] Vicomte de Thouars, and thirdly Geoffroy [V] Sire de Châteaubriand.
Comte Raymond VII & his first wife had one child.
[619] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, CLXXVI, p. 679.
-2688-
[620] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome VIII, Preuves, Chartes, 413,
col. 1255.
[621] MP, Vol. V, 1249, p. 90.
[622] Annales Sancti Victoris Massilienses 1249, MGH SS XXIII, p. 5.
[623] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, IV, "Chronique
tirée dún ancien manuscrit de lÁbbaye de Berdoüez, au diocèse dÁuch", p. 531.
[624] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXX, p. 680.
[625] RHGF XIX, De genealogia comitum Tolosanorum, auctore Bernardo
Guidonis ordinis prædicatorum monitum, p. 228.
[626] Spicilegium Tome III, p. 567.
[627] Petri Monachi Cœnobii Vallium Cernaii Historia Albigensium, XXXIV,
Patrologia Latina, Vol. 213, col. 0582B.
[628] Ex Gestis Comitum Barcinonensium, RHGF XII, p. 380.
[629] Crónica de San Juan de la Peña XXXIV, p. 136.
[630] Lagarde, C. (trans.) (1864) Chronique de Maître Guillaume de Puylaurens
sur la guerre des Albigeois (1202-1272) (Béziers), Chap. XVIII, p. 82.
[632] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, XCI, p. 603.
[634] Layettes du Trésor des Chartes II, 3360, p. 571.
[637] Leroux, A., Molinier, E, and Thomas, A. (1883) Documents Historiques bas-
latins, provençaux et français concernant principalement La Marche et Le
Limousin (Limoges), Tome I, Obituaire de Saint-Marcial, p. 77.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 xi 2013
- naixement: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006
- defunció: J-P de Palmas (FMG)
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família 3: H.R.Moser/EuSt,S. de L'Espinay (Bernard Lebeau-Généalogie
Chateaubriand-1998)11/2009
7v2006
1.484.033-4b:
The Clypeus Nascentis Fontebraldensis Ordinis records that a living child was
removed from Joan´s body after she died and lived long enough to be baptised,
but died and was buried at the church of Notre-Dame de Rouen.
Fonts:- persona: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum le 15 juin 2005)
1.484.033-8a:
Elle reçoit de son père les seigneuries de Saint Jory et de Montlaur.
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur
entourage") 7v2006 - família 1: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et
leur entourage") 7v2006
1.484.034:
MATFRED de RABASTENS cède à Raimond VII, comte de Toulouse, en décembre
-2689-
1224, sa part du château de Rabastens, qu'il échangea contre les châteaux de
Puycelsi et de Coufouleux, plus trois mille sous de Cahors et de réserve ses
possessions de Laroque. Il tiendra en fief du Comte ses nouvelles possessions.
Raimond VII s engage à faire épouser la fille de Matfred, COMTORESSE, à son
frère illégitime Bertrand auquel il donnera les lieux de Bruniquel, Montclar et
1
Salvagnac. Témoins de cet échange : Azémar de Rabastens et Pons de Rabastens
Matfred de Rabastens (ainsi que Pelford de Rabastens) scelle l acte de féauté que
promettent au Roy les Barons de l'Albigeois en mars 1242 v.s. Son scel rond de 52
mill. Est équestre à gauche, aux armes (trois raves) lesquelles, quant à la housse,
2
ne se trouvent que sur la croupe. S. Matfre de rabastens . L acte fut passé à
Puycelsi.
Matfred de Rabastens prête serment à Alphonse, Comte de Poitiers en décembre
3
1249 . Matfred est mentionné le 8 mai 1260 .
Références
1
Layette. Tome II ? P. 502A 6 Douet d Arcq. N° 3346. La Plagne. Sceaux Gascons.
Archives de Gascogne fascicule 17 p. 470. sceau décrit.
2
Layettes. Tome III, p.88b.
3
Cabié. Droits, etc, p. 37
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (La Maison de Rabastens par H.L Rabino - 1932) 2005
- família: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006
1.484.035:
Fonts: - família: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur
entourage") 7v2006
1.484.035a:
GUILLAUME de RABASTENS fut témoin, le 15 juin 1204, aux pactes de mariage,
1
passés à Montpellier, entre Marie, dame de Montpellier, et Pierre, Roy d Aragon
. Il fut témoin, le 1er juillet 1204, de la promesse faite par Pierre d' Aragon, aux
consuls de Montpellier, qu' il réparera jamais les châteaux de la ville de
Montpellier.
Enfin il fut aussi témoin à la coutume de Montpellier, accordée, par acte passé à
Montpellier, le 15 août 1204, aux habitants, par Pierre d'Aragon, et sa femme,
2
Marie, dame de Montpellier .
Les seigneurs de Rabastens promettent au Comte de Toulouse et au peuple de

Rabastens de ne prendre et arrêter aucun des habitants de ce château, de son
bourg ou de ses faubourgs et de ne pas tolérer qu on lui fasse violence ou qu on s
empare de ses biens. Les dits seigneurs et chevaliers donnent en même temps au
Comte leurs droits de justice dans la même localité, savoir la justice criminelle et
les confiscations, le 8 février 1210 v.s. Parmi les chevaliers et seigneurs figurent :
Pelfort et Pierre Raimond de Rabastens, frères ; Raimond de Rabastens ; Pierre de
Rabastens et Adhémar de Rabastens et les frères de ce dernier à savoir Pierre de
Salvagnac et Hugues-Bernard, et Bertrand de Rabastens, dont le frère Pelfort est
seigneur de Penne. Parmi les témoins est Raimond de Rabastens, autrefois évêque
de Toulouse . Cet acte a été publié dans l histoire de Languedoc, tome VII, p. 602,
par Teulet dans Layettes tome I, p. 253 ou 263 ; par Compayre dans ses Etudes
-2690-
Historiques, p. 441, et par E. Marty dans ses Cartulaires de Rabastens, Revue du
Tarn, tome 18, p. 93 et suivantes.
Références
1
Layettes. Tome I, p. 253b.
2
Layettes. Tome I, p. 265b.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (La Maison de Rabastens par H.L Rabino - 1932) 2004, C.
Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage") 7v2006
1.484.035c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006
1.484.035d:
Fonts:
7v2006
1.484.048:
Le château de Brengues fut séparé des biens qui restaient à la branche ainée en
1227.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Famille de Cardaillac) xii2009
- família 2: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois)
1.484.049:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Jacques de Roquemorel : généalogie Cardaillac) 2 i
2014
1.484.049b:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jacques de Roquemaurel : généalogie
Cardaillac) 2 i 2014
1.484.050:
Michel Smaniotto dans "Ducs et comtes en Aquitaine" pp. 66/73 -comtes de
Périgord-Bordeaux 1986 corrige Saint-Allais (compilé par Courcelles et alii) en
ajoutant un degré.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 29, 19/11/2012, JB.de La Grandiere (
Michel Smaniotto Ducs et comtes en Aquitaine pp. 66/73 (comtes de Périgord)
Bordeaux 1986) 2 i 2014
1.484.051:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto Ducs et comtes en Aquitaine pp.
66/73 (comtes de Périgord) Bordeaux 1986) 3 i 2014
-2691-
1.484.051-2a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Michel Smaniotto Ducs et comtes en Aquitaine pp.
- família 2: S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 33, 19/11/2012
1.484.052:
RAYMOND [III] de Turenne, son of RAYMOND [II] Vicomte de Turenne & his wife
Hélie --- ([1164/70]-before 12 Jun 1219). The Chronicon Gaufredi Vosiensis names
"Raymundum…et Bosonem" as children of "Raymundus" and his wife "Helis filia
Bernardi de Castelnau", adding that Raymond was wounded in the head[1229].
Vicomte de Turenne.
m HELIE de Severac, daughter of and heiress GUY de Severac & his wife ---. The
primary source which confirms her parentage and marriage has not yet been
identified.
Vicomte Raymond [III] & his wife had five children.
[1229] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 23, RHGF XII, p. 424.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 10 vi 2014
- família: C. Saint-Félix (M. Roquebert "Muret ou la dépossesion") 24vi2006, J-P.de
Palmas (FMG) 10 vi 2014
1.484.053:
Alix, se marie à un Raymond, vicomte de Turenne.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Maison de Sévérac) 29 v 2014
- família: C. Saint-Félix (M. Roquebert "Muret ou la dépossesion") 24vi2006, J-P.de
Palmas (FMG) 10 vi 2014
1.484.053d:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
1.484.054:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05, JB.de La Grandiere (René de
Cosnac La maison de Malemort en Limousin Brive 1955) 14 x 2014
- família: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05
1.484.055:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05, JB.de La Grandiere (René de
Cosnac La maison de Malemort en Limousin Brive 1955) 14 x 2014
1.484.055a:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05
-2692-
1.484.056:
Dit Capbertrand. Filiation modifiée : "Pratiquemet tous les historiens récents sont
d'accord pour dire que les Toulouse Lautrec sont en fait des Lautrec et que
Baudoin de Toulouse n'eut pas d'enfant de son épouse née de Lautrec. La preuve
en a été établie par l'historien israélien Philippe Zalmen dans sa thèse sur la
vicomté de Lautrec au XIIIe et XIVe siècles. Il a découvert une charte donnant la
filiation des vicomtes au XIIe et XIIe siècles et prouvé ainsi ce que laissait déjà
penser tout un faisceau d'indices." (Jean-Louis Dega, forum 21v2006 20h48)
SICARD [VI] . Vicomte de Lautrec. "Sicardus vicecomes…" witnessed the contract
of marriage between "Matfredus de RabastenxComtoressæ filiæ [suæ]" and "D.
Ramundoduci Narbonæ, comiti TolosæBertrando fratrem nostrum" dated Dec
1224[322].
m AGNES de Mauvoisin
[322] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, CXXI, p. 630.
Note de J-P de Palmas du 26 octobre 2009
jblg : vicomte de Lautrec pour 1/8°
Quelques éléments de réflexion (dans l'article de Stéphane Cosson, ci-après),
relativement à l'hypothèse de Philippe Zalmen Ben-Nathan, à propos de laquelle je
suis également perplexe, mais je viens de commander la dite:
généalogie inédite des vicomtes de Lautrec du XIIIe au XVe siècle, afin d'en avoir
le coeur net . L'auteur de la Généalogie inédite du XVe siècle, Michel du Bernis,
1
que cite Philippe Zalmen dans sa thèse, était archiviste de Gaston de Foix
Les origines de la famille de Toulouse-Lautrec un article de Stéphane Cosson du
22 mai 2006. En 1981, Philippe Zalmen Ben-Nathan a soutenu une thèse de
2
doctorat à l'Université de Toulouse Le Mirail portant sur La vicomté de Lautrec
aux XIIIe et XIVe siècles : aspects économiques et sociaux du pouvoir public en
Albigeois médiéval, sous la direction de Philippe Wolff. Il enseigne actuellement
3
en Israël. En 2002, dans Les Annales du Midi , il a publié un article sur les
origines de la famille de Toulouse-Lautrec, notamment sur le fameux passage des
Lautrec aux Toulouse. C'est un résumé de cet article que je vous propose
aujourd'hui. A partir du XVIIe siècle, une tradition historique s'est mise en place :
lors de la Croisade contre les Albigeois, la famille de Lautrec serait tombée en
quenouille et aurait laissé place à une nouvelle famille : les Toulouse-Lautrec.
Vers 1196 Alix de Lautrec, l'héritière de cette lignée de quatre siècles et demi, se
serait mariée avec le frère du comte de Toulouse : Baudouin. Vu comment la
maison de Toulouse a fini, il semble à l'auteur que les chroniqueurs de l'époque
n'auraient pas manqué d'en parler. Or il n'en fut rien ! Philippe Zalmen Ben
Nathan, au cours de ses recherches, a découvert une généalogie de cette famille,
3
œuvre de l'archiviste et chroniqueur fuxéen Michel du Bernis. Cette généalogie
est plus ancienne que la tradition du XVIIe siècle : elle date en effet des années
1455. Cette généalogie se trouve aux Archives Départementales des Pyrénées
Atlantiques. C'est la plus ancienne actuellement connue (et la plus méconnue des
auteurs, quels qu'ils soient, qui ont rédigé un jour sur cette famille). Michel du
Bernis est réputé pour être quelqu'un d'absolument fiable dans ce qu'il affirme,
s'appuyant sur les documents en sa possession. Cette généalogie permet de
démontrer que, le mariage d'Alix de Lautrec et de Baudouin de Toulouse réel ou
supposé, le lien avec la famille de Toulouse ne se fait pas par eux. Les enfants
supposés de ce couple sont, selon Michel du Bernis, les enfants de Frotard III de
Lautrec, donné par tous les auteurs comme mort sans postérité. Ce fait appelle en
moi une autre réflexion : toujours vérifier à la source les dires des personnes. Ne
pas se contenter de ce qu'ils affirment. Il n'y a que comme cela que la généalogie
peut avancer, progresser et que des mythes peuvent s'arrêter ou ne plus se
-2693-
répandre.
1. Un archiviste des comtes de Foix au quinzième siècle.Le chroniqueur

Michel du Bernis, Toulouse 1894, in 8°, publ par H.Courteault
2. Ph. Z. BEN NATHAN, La vicomté de Lautrec aux XIIIe et XIVe siècles.
Aspects économiques et sociaux du pouvoir public dans l’Albigeois
médiéval, thèse de doctorat de 3e cycle, Toulouse, 1981, 2 t. tapuscrits.
Les sources manuscrites utilisées sont présentées dans le t. 1, p. 20-25.
C’est aux A. D. du Tarn que se trouve l’essentiel des sources utilisées,
notamment le registre Domanial de Lautrec (E 2197, 344 feuillets). Ce
document consigne les résultats de l’enquête ordonnée par Philippe VI de
Valois afin de connaître exactement les droits respectifs de la couronne,
des vicomtes et de l’évêque de Cahors, à l’intérieur de la vicomté de
Lautrec. Commencée en août 1338, l’enquête fut achevée à la fin de
1339.
3. Une généalogie inédite des vicomtes de Lautrec du XIIIe au XVe siècle, par ZALMEN
BEN-NATHAN Philippe, 2002, vol. 114, no239, pp. 369-379 [11 page(s) (article
Fin de note J-P de Palmas du 26-x-2009

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Une Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec
par Philippe Zalmen, CNRS, 2002) 26 x 2009, JB.de La Grandiere ( Maurice
Vuillier "Comtes de Toulouse et vicomtes de Lautrec 107 pages Toulouse sept.
2005 ) 27 x 2009
- naixement: J-P de Palmas - defunció: J-P de Palmas - casament: H.de La Villarmois
(Vuillier/Lautrec) 27 ii 2006 - família: H.de La Villarmois (Vuillier/Lautrec) 27 ii
2006, J-P de Palmas (Une Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec par Philippe
Zalmen, CNRS, 2002) 26 x 2009
1.484.057:
AGNES Mauvoisin . The primary source which confirms her parentage and
marriage has not been identified.
m SICARD [VI], Vicomte de Lautrec, son of --- (-[Dec 1224/1240]).
Fonts: - persona: B.Tournier (Vte de Bonald), J-P.de Palmas (FMG) 30 v 2014
- casament: H.de La Villarmois (Vuillier/Lautrec) 27 ii 2006
- família: H.de La Villarmois (Vuillier/Lautrec) 27 ii 2006, J-P de Palmas (Une
Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec par Philippe Zalmen, CNRS, 2002) 26
x 2009
1.484.057a:
Ecartelé au 1 et 4 de gueules à la croix de Toulouse, aux 2 et 3 de gueules
au lion d'or.
PIERRE (-after 24 May 1258). The manuscript genealogy of the vicomtes
de Lautrec, attributed to Michel du Bernis and dated to [1455], names
“dominus Petrus, dominus Amalricus “lo Pros”, dominus Isarnus, dominus
Frotardus et dominus Bertrandus fratres eius” as sons of
“Sicardofiliodomini Frotardi”[387]. Vicomte de Lautrec. A manuscript
chronicle records that "Petrus vice-comes Lautrici" swore allegiance to
Raymond VII Comte de Toulouse in 1240 for "castro suo de Brugeria et
aliis"[388]. "Bertrand vicomte de Lautrec…et Pierre, Isarn, Sicard, Gui,
Bertrand et Amalric frères, vicomtes de Lautrec ses neveux" agreed to
-2694-
partition the vicomté de Lautrec by charter dated Apr 1242[389]. A
charter dated 13 Feb 1258 was issued "coram domino Bertrando
vicecomite Lautricensi et domino P. vicecomite Lautricensi, domino
Isarno, domino Bertrando et domino Amalrico vicecomitibus fratribus
suis"[390]. A charter dated 24 May 1258 records an agreement between
"dominum Philippum de Monteforti juniorem" and “dominum Petrum
vicecomitem Lautricensemeius uxor domina Vacqueria” relating to
“castro de Affiaco”, naming “Isarnus et Bertrandus fratres eiusdem”[391].
m as her first husband, VACQUERIE de Monteil-Ademar, daughter of
LAMBERT Adémar de Monteil (now Montélimar, Drôme) Seigneur de
Lombers & his wife Bérengère de Lautrec[392]. A charter dated 24 May
1258 records an agreement between "dominum Philippum de Monteforti
juniorem" and “dominum Petrum vicecomitem Lautricensemeius uxor
domina Vacqueria” relating to “castro de Affiaco”, naming “Isarnus et
Bertrandus fratres eiusdem”[393]. She married secondly Jourdain [IV]
Seigneur de lÍsle-Jourdain. A charter dated 2 Oct 1271 records disputes
between "dominam Vacqueriam uxoremdomini Jordani de Insula" and
"dominos Bertrandum et Amalricum fratres, vicecomites Lautricenses"
about the dowry of the former for her marriage to "dominum Petrum
quondam vicecomitem Lautricensem, virum suum quondam dicte domine
Vacquerie" whose heirs were the latter brothers[394].
[387] Zalmen Ben-Nathan ‘Lautrec’ (2002), p. 378.
[388] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, II,
"Chronique tirée dún manuscrit de MM. Sabbathier de la Bourgade, de
Toulouse", p. 528.
[389] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, X.IV, p.
428, citing Archiv. du dom. de Montpellier, Lautrec, no. 14.
[390] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome VIII, Preuves,
Chartes, 473, col. 1432.
Chartes, 473.II, col. 1434.
[392] ES XIV 4.
Chartes, 473.II, col. 1434.
Chartes, 464.VIII, col. 1407.
A propos du château de Lagrave (Tarn) Le château de Lagrave fut pris par
Simon de Montfort, qui y laissa une garnison ; mais lorsque en 1211 le
comte de Toulouse eut remis sous son obéissance la plupart des villes de
l'Albigeois, les habitants de Lagrave tuèrent le gouverneur et firent main
basse sur tous les Français. Pierre de Vaucernay nous a transmis les
détails de cette action dont un ouvrier de la localité donna le signal. Le
gouverneur faisait réparer des tonneaux, et comme il surveillait le travail,
le tonnelier le pria d'examiner les pièces, et au moment où il se courbait
pour en voir une de plus près. il lui donna un coup de hache sur la tète et
le tua. A cette nouvelle, Baudouin, frère de Raimond VI, allié de Simon de
Montfort, accourut avec toutes ses troupes à Lagrave ; il n'eut pas de
peine à s'en emparer, car aussitôt que les habitants aperçurent ses
enseignes sur lesquelles étaient empreintes les armes de Toulouse, ils
crurent que c'était le comte lui-même qui venait à eux, et ouvrirent leurs
portes. Baudouin, à peine entré, les fît passer tous au fil de l'épée.
Lagrave retourna bientôt après sous l'obéissance du comte de Toulouse.
-2695-
En 1227 il fut assiégé par Humbert de Beaujeu, gouverneur de la
province pour le roi, et chef de la guerre contre Raimond VII. Le château
de Lagrave était du nombre des localités du comté de Toulouse et de la
vicomte d'Albi qui furent données à Simon de Montfort et puis à Philippe
de Montfort, sous le nom de seigneurie de Castres. En 1258 Philippe de
Montfort céda à Pierre, vicomte de Lautrec, et à Vacquerie de Monteil-
Adhémar, son épouse, ses droits sur le château de Lagrave. Philippe et
Pierre étaient en désaccord, comme nous l'avons dit ailleurs, au sujet des
limites de la terre de Brens, appartenant à Vacquerie, et sur la moitié du
port de l'isle. Sainte Sigolène avait été enterrée dans l'isle qui avoisinait
son monastère de Troclar, et il est a croire que c'est du port de ce lieu
qu'il est question dans l'acte d'accord de l'année 1258 entre Philippe de
Montfort et les époux Pierre et Vacquerie, par lequel Philippe se désista
de ses prétentions sur l'isle et abandonna de plus le château voisin de
Lagrave. La seigneurie de Lagrave appartint donc, à dater de 1258, à
Pierre de Lautrec et à Vacquerie. Cependant la famille de Grave devait
peut-être la tenir de la même manière que la famille de Pierre avait la
terre de Brens sous la domination des mêmes Pierre et Vacquerie. En
1259, Pierre de Grave, avec quelques autres des principaux seigneurs de
la sénéchaussée de Carcassonne, soutint le sénéchal dans ses démêlés à
main armée avec l'évêque d'Albi ; il figure parmi les cavaliers qui
composaient les garnisons des places fortes de la sénéchaussée de
Carcassonne, à la solde de 5 sols par jour. Vacquerie de Monteil-
Adhémar, veuve de Pierre de Lautrec, apporta ses droits sur Lagrave à
Jourdain de Lille, son second époux. La seigneurie de Lagrave et celle de
Puillacher échurent, dans le partage de la succession, à Jeanne de Lille-
Jourdain, une de ses filles qui avait épousé Amalric, vicomte de Narbonne;
celle-ci, avant l'année 1313, les donna à Guillaume de Narbonne, un de
ses fils ; Jean de Narbonne, fils du précédent, épousa Catherine de
Roquefeuil et eut deux enfants qui moururent en bas âge ; il se qualifie
dans son testament de l'année 1360 de chevalier, seigneur de Lagrave et
autres places, et se dit héritier universel de Guillaume de Narbonne. La
seigneurie de Lagrave passa entre les mains de la famille de Voisins,
seigneur d'Ambres, vicomte de Lautrec ; en 1455 Jean de Voisins en était
possesseur. Le titre de baron était attaché à cette seigneurie dès les
premières années du XVIIe siècle. Le cadastre de Lagrave, qui date de
cette époque, nomme messire Marc-Antoine de Voisins comme seigneur
et baron de Lagrave. Messire de Pujol est indiqué en qualité de seigneur
de Lagrave sur le carc de la communauté et sous la date du 10 avril 1671.
La famille de Pujol conserva cette seigneurie avec tous droits de justice
jusqu'à la Révolution. Elle levait un droit de péage qui fut supprimé par
arrêt du 1er mars 1749. La communauté servait annuellement au
seigneur une albergue de 22 livres 10 sous. Extrait de Patrimoine de
France - Site archéologique de Sainte-Sigolène à Lagrave
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG et Patrimoine de France ) 4 v 2014
- família: Base H.Gros
1.484.057b:
BERTRAND . Vicomte de Lautrec.
"Bertrand vicomte de Lautrec…et Pierre, Isarn, Sicard, Gui, Bertrand et Amalric
frères, vicomtes de Lautrec ses neveux" agreed to partition the vicomté de
Lautrec by charter dated Apr 1242[344]. Alphonse Comte de Poitou et de
-2696-
Toulouse instructed "Philippo de Monteforti, militi" to restore "villamBrugueria"
(Labruguière, Tarn) to "Ysarni vicecomitis Lautricensis et Bertrandi fratris ipsius"
having taken it from them unlawfully, by document dated 4 Aug 1267 and 1 Dec
1267[345]. A charter dated 2 Oct 1271 records disputes between "dominam
Vacqueriam uxoremdomini Jordani de Insula" and "dominos Bertrandum et
Amalricum fratres, vicecomites Lautricenses" about the dowry of the former for
her marriage to "dominum Petrum quondam vicecomitem Lautricensem, virum
suum quondam dicte domine Vacquerie" whose heirs were the latter
brothers[346]
m ---. The name of Bertrand´s wife is not known. Bertrand & his wife had one
child:
a) BEATRIX (-[1352]). Vicomtesse de Lautrec. "Béatrix de Lautrec" bequeathed
money for her future marriage to her daughter Regine, by her testament dated 30
Jul 1315[350]. Jean I Comte dÁrmagnac, acting for his wife "fille et heritière de
feu Bertrand de Goth vicomte de Lomagne et dÁuvillars", assigned a pension to
"Béatrix de Lautrec, veuve de Bertrand de Goth" by charter dated 10 Jun
1324[351]. "Regina de Gutto comitissa Armaniaci Fesenciaci et Ruthenensis
vicecomitissaque Leomaniæ et Altavillaris", under her testament dated 12 Aug
1325, appointed "dominæ Beatrici vice-comitissæ Lautricensi matri suæ…Rogerio
de Armaniaco et Domino Amanevo de Lebreto" as her executors[352].
m firstly BERTRAND de Goth, son of ARNAUD GARSIE de Goth [later Vicomte de
Lomagne et dÁuvillars] & his wife Miramonde de Mauléon (-[22 May/4 Jun]
1324). He succeeded his father in 1311 as Vicomte de Lomagne et dÁuvillars.
m secondly ROGER de la Barthe, ecuyer, son of ---.
[344] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, X.IV, p. 428,
citing Archiv. du dom. de Montpellier, Lautrec, no. 14.
[345] Alfonse de Poitou Correspondance Tome I, 305 and 354, pp. 188 and 220.
[346] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome VIII, Preuves, Chartes,
464.VIII, col. 1407.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG ) 23 iv 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 4 v 2014
1.484.058:
Régent du Comté de Toulouse de septembre 1249 à la majorité de la comtesse
Jeanne. En 1250, il mate la rébellion du château de Najac qui avait été entraînée
par le fait qu'à la mort de Raymond VII, en 1248, Alphonse de Poitiers, frère de
Louis IX devint propriétaire du château. Il est le fondateur des villes de Bouloc et
de Montastruc-la-Conseillère en 1241, de Saint-Félix de Lauragais en 1245.
GÉOGRAPHIE DES PÉAGES DE LA GARONNE
Sur le Tarn, la création du péage de Saint-Géry, à une lieue en amont de
Rabastens, est plus exemplaire encore du caractère de l'institution en relation
1
avec le renouveau de la navigation . Le Tarn était barré là par une paissière.
Sicard Alaman, alors lieutenant de Raimond VII de Toulouse, saisit l'importance
de son aménagement pour l'avenir du trafic des vins d'amont : il acheta donc le
barrage à Jourdain de Rabastens pour la somme considérable de 35 000 sous
cahorsins, avec droit d'y ouvrir un passage pour les bateaux. Après quoi, il traita
avec les consuls de Gaillac, qui consentirent à contribuer pour 10 000 sous à
l'achat et aux travaux de la navière, et, désormais, à la levée d'un péage à ce
passage dont le tarif fut établi d'un commun accord (avril 1248). Si les péages de
Lisle, après la fondation de la bastide, de Rabastens et de Coufouleux appartinrent
au comte de Toulouse, très vite Sicard Alaman « usurpa » le second et reçut en
-2697-
don Coufouleux, et son fils ouvrit une navière dans le barrage de Saint-Sulpice sur
2
l'Agout, mais, semble-t-il, sans péage (1279) . En aval, les péages de l'eau de
3
Villemur et de Villemade, d'abord toulousains, devinrent royaux ; et c'est
l'administration royale qui autorisa les Hospitaliers de Fronton à établir un port
4
avec péage à la chaussée d'Orgueil (1332) .
1. . Sur tout ce qui suit, voir Ch. Higounet, Les Alaman, seigneurs bastidors
et péagers du xme siècle, dans Annales du Midi, 1956, pp. 227-253 ;
également E. Rossignol, Droits de navigation sur le Tarn à Saint- Juéry
[corriger Saint-Géry] et de passage au pont de Gaillac, dans Congrès
scientifique de France, Bordeaux, 1861, t. 4, pp. 577-583.
2. . Cartulaire et divers actes des Alaman, des de Lautrec et des de Lévis,
éd. E. Cabié et L. Mazens, Toulouse, 1882, p. 19 (août 1279).
3. . Arch, nat., JJ 25, fol. 354 (Villemur, 1272) ; Arch, nat., J 1031, n° 11
(Villemade, ac. 1267) ; voir É. Laval, Les chartes de coutume du Bas-
Quercy octroyées par Alphonse de Poitiers, dans Bull. hist, et philol. du
Comité des travaux, 1914, p. 85.
4. . A. Du Bourg, Histoire du Grand-prieuré de Toulouse, Toulouse, 1883,
pp. 277- 278.
in Géographie des péages de la Garonne et de ses affluents au Moyen Âge, par

Charles Higounet, Journal des savants, année 1978
Archives du Tarn 30 J 2 Sicard Alaman le vieux (décédé en 1275)
Testament de Sicard Alaman en faveur de son fils Sicard (1er juin 1275)
Accord entre Raymond Alaman, chanoine, et Sicard Alaman, son frère, à qui il
abandonne tous les biens hérités de son père (8 juin 1275).
Dates : 1275
Nombre éléments : 2 pièces parchemin
Modalités entrée : Acquisition Archives nationales 1954
Langue et écriture : Latin
Ancienne cote 1 : 105 AP art. 4
Ancienne cote 2 : 30 J art. 4
Fonts:
- persona: J-L. Dega, N de Meyrignac (base soudet2, 28vii2008), J-P de Palmas
(Chartrier de Graulhet, Castelnau de Lévis par Romain Joulia, 2008) x2009
- defunció: J-P de Palmas (testa le 1-vi-1275)
- família 1: J-L. Dega, J-P de Palmas (Chartrier de Graulhet, Castelnau de Lévis par
Romain Joulia, 2008) x2009
1.484.059:
Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Chartrier de
Graulhet, Castelnau de Lévis par Romain Joulia, 2008) x2009
1.484.059b:
Archives départementales du Tarn 30 J 3
Sicard Alaman le jeune (décédé en 1280)
Donation de tous ses biens dans les diocèses d'Agen, Albi, Cahors, Rodez et
Toulouse à Raymond-Amiel de Penne (8 mars 1278)
Accord au sujet de la succession de Sicard Alaman le jeune entre Amalric de
Lautrec et sa femme Elise et Bertrand, vicomte de Lautrec, frères (1281).
-2698-
Dates : 1278-1281
Nombre éléments : 2 pièces parchemin
Modalités entrée : Acquisition Archives nationales 1954
Langue et écriture : Latin
Ancienne cote 1 : 105 AP art. 4
Ancienne cote 2 : 30 J art. 4
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Chartrier de Graulhet, Castelnau de
Lévis par Romain Joulia, 2008) x2009
- família 1: J-L. Dega
1.484.059c:
Cartulaire et divers actes des Alaman, des de Lautrec et des de Lévis, éd. E. Cabié
et L. Mazens, Toulouse, 1882, p. 19 (août 1279).
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Cartulaire et divers actes des Alaman, des de
Lautrec et des de Lévis, éd. E. Cabié et L. Mazens, Toulouse, 1882, p. 19 ) 18 iii
2013
1.484.060:
Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega
1.484.061:
1.484.062:
Fonts: - persona: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque,
BdeRauglaudre, site de carné
1.484.063:
Fonts: - persona: , JB.de La Grandiere ( Detlev Schwennicke Europäische
Stammtafeln t XIV p 147 (Pelet d'Alès) Marburg 1991 ) 20 ii 2012
1.484.063b:
Teste 1/9/1252 et n'était plus en vie le 26/9/1252
Fonts: - persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t XIV p
147 (Pelet d'Alès) Marburg 1991) 29 iii 2013
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer), J-L. Dega
1.484.104:
Fonts: - persona: J-L. Dega (Navelle), H.de La Villarmois (Bouillet IV) 24 xi 2010
- família 1: J-L. Dega (Navelle)
- família 2: H.de La Villarmois (Bouillet - Nobiliaire d'Auvergne IV) 10 xii 2003
1.484.105:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Nobiliaire d'Auvergne) 31 viii 2016
- família: H.de La Villarmois (Bouillet - Nobiliaire d'Auvergne IV) 10 xii 2003
1.484.106:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Arnaud de Dumast in "Histoire généalogique
de la Maison de Carbonnières", 2006 Mayenne) 31 viii 2016
-2699-
- defunció: H.de La Villarmois (Geneanet base Chautruf) 18 xii 2006
- família: JB.de La Grandiere (Arnaud de Dumast in "Histoire généalogique de la
Maison de Carbonnières", 2006 Mayenne) 31 viii 2016Arnaud de Dumast in
"Histoire généalogique de la Maison de Carbonnières", 2006 Mayenne
1.484.107:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Arnaud de Dumast in "Histoire généalogique de la
Maison de Carbonnières", 2006 Mayenne) 31 viii 2016
Maison de Carbonnières", 2006 Mayenne) 31 viii 2016Arnaud de Dumast in
"Histoire généalogique de la Maison de Carbonnières", 2006 Mayenne
1.484.107a:
Fonts:
- casament: Arnaud de Dumast in "Histoire généalogique de la Maison de
Carbonnières", 2006 Mayenne
- família: A. de Maere 06.03.2006
1.484.107b:
Fonts:
- defunció: mercredi après l'octave de la Pentecôte
1.484.107c:
Fonts:
1.484.107d:
Fonts:
1.484.108:
BERNARD [II] (-after Aug 1256). A monumental inscription records the deaths of
“dominus Archambaldus vicecomes de Combornio et dominus Bernardus filius
eius et dominus Archambaldus filius domini Bernardi et domina Margarita mater
dicti domini Archambaldi et dominus Guido filius domini Archambaldi”[134].
Vicomte de Comborn. A charter dated Oct 1246 records an agreement between
"Bernardus de Comborn" and Humbert [V] Seigneur de Beaujeu, relating to
Bernard's rights "in terra et baronia Bellijoci ex parte dominæ Guichardæ
quondam matris nostræ" granted to "Archambaldo…vicecomiti de Comborn patri
nostro" by "dominus Guichardus de Bellojoco quondam pater ipsius
Humberti"[135].
-2700-
m (Aug 1207) MARGUERITE de Turenne, daughter of BOSON [III] Vicomte de
Turenne & his wife ---. A late-13th/early 14th century monument names "dominus
Archambaldus vicecomes de Combornio et dominus Bernardus filius eius
et…domina Margarita mater dicti domini Archambaldi…"[136]. A monumental
inscription records the deaths of “dominus Archambaldus vicecomes de
Combornio et dominus Bernardus filius eius et dominus Archambaldus filius
domini Bernardi et domina Margarita mater dicti domini Archambaldi et dominus
Guido filius domini Archambaldi”[137]. Bernard [II] & his wife had one child.
[134] Documents historiques Limousin bas-Latins (1883), Tome I, Supplément au
recueil des incriptions du Limousin, 14, p. 98.
[135] Baluze (1717), Appendix Actorum Veterum, col. 549.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
1.484.109:
MARGUERITE (-after Aug 1256). A late-13th/early 14th century monument names
"dominus Archambaldus vicecomes de Combornio et dominus Bernardus filius
eius et…domina Margarita mater dicti domini Archambaldi…"[1230]. A
monumental inscription records the deaths of “dominus Archambaldus vicecomes
de Combornio et dominus Bernardus filius eius et dominus Archambaldus filius
domini Bernardi et domina Margarita mater dicti domini Archambaldi et dominus
Guido filius domini Archambaldi”[1231].
m (Aug 1207) BERNARD [II], Vicomte de Comborn, son of ARCHAMBAUD [VI]
Vicomte de Comborn & his wife Guicharde de Beaujeu (-after Aug 1256).
[1230] Documents historiques La Marche et Le Limousin, Monuments, No. 14, p.
98.
[1231] Documents historiques Limousin bas-Latins (1883), Tome I, Supplément au
recueil des incriptions du Limousin, 14, p.98
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
1.484.110:
Teste 1255
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Michel Smaniotto "Les sires de Pons des
origines au XIV° siècle" Bordeaux 1987 ) 30 xii 2011
- família: Renaud de Paysac (base Boisdeffre) 11 xi 06
1.484.111:
Agathe n'a pas les parents et grand'parents qui conviennent. sa grand'mère
paternelle est Agathe de Preuilly et sa grand'mère maternelle est Adélaïde de
Courtenay Alice de Courtenay. Un grand charivari a du être occasionné par le
mélange des numéros chronologiques qui sont donnés aux Hugues de Lusignan,
numéros très variables suivant les auteurs !! (Les plus anciens auteurs ayant une
moins bonne connaissance de la filiation Lusignan donnaient forcément des n°
"moindre"). Voir H&G n°173 p.382. Tout ceci promet de "grosses réparations" à
effectuer avec les connaisseurs. Le site de Patrick Déret corrige bien la partie
maternelle mais donne un grand'père et une grand'mère, coté paternel, qui sont
en fait des arrières grand'parents Rien n'est parfait mais nous tendons à faire
mieux. Jean-Baptiste de La Grandière 2/1/2012
-2701-
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (GénéaNet/Patrick Déret) 2/01/2012, JB.de La

Grandiere ( ) 2 i 2012 - família: Renaud de Paysac (base Boisdeffre) 11 xi 06
1.484.111b:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "Les sires de Pons des
1.484.111c:
JB de La Grandière 30/10/2016 : Le rarissime prénom est "traduit" Garmasie par
Michel Smaniotto (Les sires de Pons..) et Germaise par Georges Musset (Chartrier
de Pons, SAHSA, tome XXI, en ligne ici .
[17] Germaise de Pons épousa Aimeri IX, vicomte de Rochechouart, mort sans
enfants vers l'an 1306. Leur contrat de mariage était du mardi après l'exaltation
de la sainte Croix, 16 septembre 1292. traduction donné par l'auteur, provenant
du texte latin suivant : Reginaldum, Garmasiam[17] et Yolendim[18] , liberos
meos, heredes michi instituo pro porcionibus infrascriptis. Legans dicte Garmasie,
filie mee, videlicet pro institucione sua et jure institucionis sue, sive pro
appanamento suo, sexaginta libras rendales in terra mea sibi locis competentibus
assignandas. Item lego dicte Yolendi, filie mee. Le prénom honore l'ancêtre
Germaise N et sera porté par deux descendantes : Germaise de Pons et Germaise
de Pons. Grimaesa N doit être une variante
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "Les sires de Pons des origines au
XIV° siècle" Bordeaux 1987 ) 30 xii 2011
- família: JB.de La Grandiere (Smaniotto "Le Médoc Féodal" pp. 35/49
(Blanquefort) CGSO Bordeaux 1988) 30 xii 2011
1.484.111e:
Il s'agit bien de la même Agnès de Pons mais, avant de décrocher cette dernière
d'un père "décalé", je prends avis de JCV .
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "Les sires de Pons des
1.484.111f:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E.S XIV T. 50) 17.11.2006
- família: J-C de Vaugiraud (E.S XIV T. 50) 17/11/2006, JB.de La Grandiere (André
Debord "La Société laïque" sgrs de Barbezieux p. 523 Paris 1984 ) 30 xii 2011
1.484.112:
Fonts: - família: G.Hazard (Mémoires Académie Sciences & Lettres Montpellier)
i2008
1.484.113:
Fonts: - família: G.Hazard (Mémoires Académie Sciences & Lettres Montpellier)
i2008
1.484.168:
Fonts: - família 2: C.Saint-Félix (Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés
d'Hélène Debax) 12x2014
-2702-
1.484.169:
Infanta doña SANCHA de Navarra, daughter of GARCIA VI King of Navarre & his
second wife doña Urraca Alfonso “la Asturiana” de Castilla (1148-1176). Rodrigo
de Toledo records that "Rex Garsias tertiam filiam…Sanciam" married "Gastoni
vicecomiti Bearnensi", that the couple died childless and that she married
secondly "Petro comiti Molinensi" by whom she had "filium…Aimericum qui fuit
vicecomes Narbonensis"[947]. She married secondly (1173) as his first wife,
conde don Pedro Manrique de Lara Vicomte de Narbonne.
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (B. Leroy et JP Barraqué "de l'Aquitaine à l'Ebre")
27xi2006, J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- família 1: C. Saint-Félix (B. Leroy et JP Barraqué "de l'Aquitaine à l'Ebre")
27xi2006
1.484.169b:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène
Debax) 12x2014
1.484.169-2a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène
Debax) 12x2014
1.484.170:
MATHIEU de Montmorency, son of MATHIEU [I] Seigneur de Montmorency & his
first wife Alix [of England] (-Constantinople 27 Aug 1204). "Matheus de
Montemorenciaco" donated property to the abbaye du Val, with the consent of
"filii mei Buchardus, Theobaldus, Matheus", by charter dated 1160[4101].
"Bucardus de Monte Morenciaco" donated money to Notre-Dame des Vaux de
Cernay by charter dated to [1160/77], witnessed by "Teobaldo fratre meo, Matheo
fratre meo…"[4102]. His parentage is confirmed by the donation to Port-Royal
dated Dec 1227 by "Matheus dominus Montismorenciaci" which names "bone
memorie Matheus de Monte Morenciaco patruus noster et…consanguinei nostri
Buchardus et Malliaco filii eiusdem Mathei"[4103]. Seigneur de Marly et
d'Attichy. "Matheus dominus Marleii" donated property to Notre-Dame des Vaux
de Cernay by charter dated to [1177], witnessed by "Milone de Nielpha…"[4104].
“Matheus de Montemorenciaco Marlei dominus” granted exemptions to Bon Port
Notre-Dame in “castro nostro Marlei et in terra nostra Mellentii”, with the consent
of “uxoris mee Matildis”, by charter dated 1190[4105]. "Matheus de
Montemorenciaco dominus Marliaci", leaving on crusade, instructs "Matildis uxor
mea" for a pious foundation by charter dated before 1204[4106]. The necrology of
Port-Royal records the death "VI Kal Sep" of "mons. Mathieu de Marly"[4107].
m ([1189/90]) as her second husband, MATHILDE de Garlande, widow of

HUGUES de Gallardon Seigneur de Gallardon, daughter of GUILLAUME de
Garlande & his wife Idoine de Chaumont (-16 Mar 1224). “Matheus de
Montemorenciaco Marlei dominus” granted exemptions to Bon Port Notre-Dame
in “castro nostro Marlei et in terra nostra Mellentii”, with the consent of “uxoris
mee Matildis”, by charter dated 1190[4108]. "Matildis filia Willelmi de Garlanda
et Idonee uxoris sue et uxor domini Mathei de Montemorenciaco" founded the
priory of Notre-Dame de Gournay on the anniversary of her father by charter
dated after Jul 1191[4109]. A charter dated Mar 1193 (O.S.) records an agreement
-2703-
between Notre-Dame de Josaphat and “dominam Mathildim uxorem domini
Mathei de Montemorenciaco” concerning “molendino de Galardonein
locoRichebort” acquired by “Hugo de Galardone et predicta M. quondam eius
uxor”, and the confirmation by Mathilde and her second husband, with the
consent of “filiis eorum Burchardo, Matheo, Guillelmo” of a donation made by
“sepedictus H. de Galardone”[4110]. "Domina Matildis de Maliaco, Buchardus
filius eius et Matheus frater eius" witnessed a donation to Port-Royal by "dominus
Paganus de Ursinis" by charter dated Aug 1204[4111]. The Historia Albigensium
of Pierre de Vaux-Cernay records that "mater Buchardi de Marliaco" escaped from
"Minerbam" after the castle surrendered to Raymond VI Comte de Toulouse in
1210[4112]. "Bucherius Malliaci dominus…et M uxor mea et domina M mater
mea" donated property to Port-Royal by charter dated 1218[4113]. "Matildis de
Marleio" noted a donation to Port-Royal by "dominus et maritus noster Matheus
de Montemorenciaco" by charter dated Feb 1223/24[4114].
Matthieu & his wife had four children.
[4101] Duchesne (1624), Preuves, p. 52.
[4102] Notre-Dame des Vaux de Cernay, Tome I, XVIII, p. 23.
[4103] Porrois (Port-Royal), XCV p. 105.
[4104] Notre-Dame des Vaux de Cernay, Tome I, L, p. 67.
[4105] Bon-Port Notre-Dame, VI, p. 5.
[4106] Porrois (Port-Royal) I, p. 25.
[4107] Obituaires de Sens Tome I.2, Abbaye de Port-Royal, p. 642.
[4109] Paris St Martin-des-Champs, Tome III, 518, p. 111.
[4110] Josaphat Notre-Dame, Tome I, CCLXXXVI, p. 332.
[4111] Porrois (Port-Royal) III, p. 28.
[4112] Petri Monachi Cœnobii Vallium Cernaii Historia Albigensium, XXXVII,
[4113] Porrois (Port-Royal) XXXV, p. 58.
[4114] Porrois (Port-Royal) LXVIII, p. 84, footnote 1 noting that her death is noted
in the necrology of Port-Royal 16 Mar 1224.
En bref
Auteur de la branche de Montmorency-Marli. Il fut un des héros de son siècle, se
croisa en 1189, avec Philippe-Auguste, et se distingua au siège d'Acre.
Dans la guerre que les Anglais firent ensuite à la France,il devint la terreur des
ennemis, et fit prisonnier devant Arques, en 1194, Robert, comte de Leycestre,
surnommé l'Achille d'Angleterre.
Il se croisa de nouveau en 1202, et contribua par sa valeur à rétablir l'empereur
Isaac l'Ange, sur le trône de Constantinople. Mais ce prince ayant méconnu les
services des Français, se vit assiégé par eux dans sa capitale. Le sire de Marli se
signala dans plusieurs assauts qui furent donnés à la place, et mourut au sein de
sa victoire. Sa branche s'est éteinte vers 1356. Elle a fourni un grand chambellan
de France et un grand échanson.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Nobiliaire universel, t. III, M. de Saint-Alais & FMG)
2012 et 2016
1.484.171:
MATHILDE (-16 Mar 1224). “Matheus de Montemorenciaco Marlei dominus”
granted exemptions to Bon Port Notre-Dame in “castro nostro Marlei et in terra
nostra Mellentii”, with the consent of “uxoris mee Matildis”, by charter dated
1190[1999]. "Matildis filia Willelmi de Garlanda et Idonee uxoris sue et uxor
-2704-
domini Mathei de Montemorenciaco" founded the priory of Notre-Dame de
Gournay on the anniversary of her father by charter dated after Jul 1191[2000]. A
charter dated Mar 1193 (O.S.) records an agreement between Notre-Dame de
Josaphat and “dominam Mathildim uxorem domini Mathei de Montemorenciaco”
concerning “molendino de Galardonein locoRichebort” acquired by “Hugo de
Galardone et predicta M. quondam eius uxor”, and the confirmation by Mathilde
and her second husband, with the consent of “filiis eorum Burchardo, Matheo,
Guillelmo” of a donation made by “sepedictus H. de Galardone”[2001]. "Domina
Matildis de Maliaco, Buchardus filius eius et Matheus frater eius" witnessed a
donation to Port-Royal by "dominus Paganus de Ursinis" by charter dated Aug
1204[2002]. The Historia Albigensium of Pierre de Vaux-Cernay records that
"mater Buchardi de Marliaco" escaped from "Minerbam" after the castle
surrendered to Raymond VI Comte de Toulouse in 1210[2003]. "Bucherius
Malliaci dominus…et M uxor mea et domina M mater mea" donated property to
Port-Royal by charter dated 1218[2004]. "Matildis de Marleio" noted a donation to
Port-Royal by "dominus et maritus noster Matheus de Montemorenciaco" by
charter dated Feb 1223/24[2005].
m firstly HUGUES de Gallardon, Seigneur de Gallardon, son of HERVE [II]
Seigneur de Gallardon & his wife --- (-[5 Feb 1188/1189]).
m secondly ([1189/90]) MATHIEU de Montmorency, Seigneur de Marly, son of
MATHIEU [I] Seigneur de Montmorency & his first wife Alix [of England] (-
Constantinople 27 Aug 1204).
[2000] Paris St Martin-des-Champs, Tome III, 518, p. 111.
[2001] Métais, C. (ed.) (1911) Cartulaire de Notre-Dame de Josaphat (Chartres)
(“Josaphat Notre-Dame”), Tome I, CCLXXXVI, p. 332.
[2002] Dion, A. de (ed.) (1903) Cartulaire de l'abbaye de Porrois (Port-Royal), Vol.
I 1201-1280 (Paris) (“Porrois (Port-Royal)”), III, p. 28.
[2003] Petri Monachi Cœnobii Vallium Cernaii Historia Albigensium, XXXVII,
[2004] Porrois (Port-Royal) XXXV, p. 58.
[2005] Porrois (Port-Royal) LXVIII, p. 84, footnote 1 noting that her death is noted
in the necrology of Port-Royal 16 Mar 1224.
À son départ en croisade, son mari lui laissa de fortes sommes d'argent pour des
œuvres pieuses. Elle fonde en 1204 avec l’aide de l’évêque de Paris, Eude de
Sully, un prieuré qui deviendra l'abbaye de Port-Royal-des-Champs. En
construction de 1207 à 1216, c'était une communauté religieuse féminine située
en « Porrois » (marécages/broussailles) dans le vallon humide du Rhodon, à
Magny-les-Hameaux (Yvelines). Soutenue par Philippe Auguste, puis Louis VIII,
elle en fait en 1214 une véritable abbaye cistercienne qui devient, en 1240, Notre
Dame de Port-Royal. En 1230, une église est ajoutée par l’architecte de la
Cathédrale d’Amiens, Robert de Luzarche. Mathilde de Garlande n'a jamais été
abbesse de Port-Royal, en revanche elle s'est attachée à procurer à sa fondation
des garanties d'indépendance. E. Bournazel la donne morte en 1223. Le portrait
de Mathilde de Garlande est visible au Musée National des Granges de Port-Royal.
Bibliographie
1204 - Adolphe de Dion, Cartulaire de l’abbaye de Porrois au diocèse de Paris,
plus connue sous son nom mystique Port-Royal, premier volume, 1204-1280, Paris
: Alphonse Picard et fils, 1903, XVI-339 p.
1204 - Mathieu de Montmorency, seigneur de Marly, partant pour la

croisade, charge sa femme Mathilde et Eudes, évêque de Paris,
-2705-
d'employer à une fondation pieuse une rente de quinze livres sur Meulan.
J-P.de_Palmas (ajout du Cartulaire - Ecole des chartes) 17 v 2016
 1216 - Carta domine M. de Malli, de decima Orfin : "Matildis, domina Marliaci,

universis presens scriptum inspecturis, salutem in vero salutari : Notum sit
omnibus quod ego laudavi et concessi quatinus monachi Vallium Sarnaii habeant
et teneant in perpetuum decimam, quam Ernaudus de Nemore, miles, vendidit eis,
quam habebat in terra quam emit ab Alexandro de Longa Quercu et Ysabel uxore
ejus ; que erat de feodo meo, quod tenebam nomine dotis (1). Quod ut
ratamobtineat firmitatem, sigilli nostri munimine roboravimus presens scriptum.
Actum anno gratie Mº CCº XVIº."
C'était la dot que Mathilde de Garlande avait reçue lors de son premier mariage
avec Hugues de Gallardon. En vertu du même titre, cette dame et ses descendants
possédèrent un autre fief assis à Gallardon et nommé le fief de Marly : Bouchard
et Mathieu le déclarent eux-mêmes dans une charte de 1212, extraite d'un
registre de la chambre des comptes du chapitre de Chartres : Quod defunctus
Hugo, quondam dominus Galardonis, antecessor uxorum nostrarum.
(1) Ce fief de Marly fut dans la suite une châtellenie, dont on retrouve un sceau
armorié de Marly aux archives d'Eure-et-Loir. En 1400, il appartenait à N de Lévis
de Florensac, descendant de la famille de Marly, et en 1467 Louis de Crussol de
Florensac le vendit à la maison d'Alençon. C'est par suite de cette acquisition qu'il
fut réuni à Gallardon. Une des rues de cette commune porte encore le nom de rue
de Marly.
( Original en parchemin. — Inv., p. 89, l. 1, nº 3.
http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/html/Vaux-de-Cernay.html) C.Faucherand
(ajout titre: acte de 1216 en note) 1 v 2016.
Fonts:
- persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien) - Y. Gobilliard
1.3.2010 (Wikipédia et site de Magny-les-Hameaux), C.Faucherand (ajout titre:
acte de 1216 en note) 1 v 2016, J-P.de Palmas (FMG) 17 v 2016
- família 1: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), N.de Wissocq
(Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, tome II, Chartres, 1860, p.
293-302) 3 x 2017
1.484.171c:
Fonts:
- defunció: Ch. Faucherand (Cartulaire de l'abbaye de Porrois/Port-Royal, éd.
Adolphe de Dion, Paris, 1903) 29 iv 2016
- família: J-P.de Palmas (FMG) 16 xii 2014
1.484.171-1a:
Fils aîné. Cité pour la première fois en 1203, lorsqu'il donne au chapitre de
Chartres une quittance de la ferme annuelle de quinze livres pour laquelle avait
été cédé par Hugues, son prédécesseur, le droit des frous et voiries sur la terre
dudit chapitre à Gallardon. Cité dans d'autres actes de 1208, 1211, 1212, 1213
(avec sa femme Alix), 1216, 1224.
Fonts:
- persona: N.de Wissocq (Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir,
tome II, Chartres, 1860, p. 293-302) 3 x 2017
-2706-
- defunció: N.de Wissocq (Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir,
tome II, Chartres, 1860, p. 293-302) 3 x 2017
- família: N.de Wissocq (Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, tome
II, Chartres, 1860, p. 293-302) 3 x 2017
1.484.171-1b:
Fonts: - persona: N.de Wissocq (Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-
Loir, tome II, Chartres, 1860, p. 293-302) 3 x 2017
1.484.171-1c:
Fonts: - persona: N.de Wissocq (Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-
Loir, tome II, Chartres, 1860, p. 293-302) 3 x 2017
1.484.172:
PIERRE BERMOND [VI] (-Rome end 1215). His parentage is confirmed by the
charter dated 9 Sep 1218 under which "Raymundusdux Narbonæ et comes
Tolosæ, marchio Provinciæ" and "Petro Bermundo domino de Salve nepoti meo,
nato ex filia mea" reached agreement about "castrumde Valserga" acquired by
"patre tuo quondam Petro Bermudo genero meo etavo tuo Bernardo de
Andusia"[1970]. Seigneur d'Anduze et de Sauve. "Bernardi de Andusia, Petri
Bremundi filii eius" were among the witnesses of the charter dated Oct 1205
under which "Petrus…Rex Aragoniæ et comes Barchinoniæ et dominus
Montispessulani" and "Raimundo…Duci Narbonæ, Comiti Tolosæ et Marchioni
Provinciæ" arranged the marriage of their children[1971]. "P. Bermundi"
witnessed the charter dated 15 Jul 1210 under which "Willelmum de Baucio filium
Bertrandi de Baucio" and "D. R. comitem Tolosæ reginæ Constanciæ filium"
confirmed the settlement of their dispute[1972].
m as her second husband, CONSTANCE de Toulouse, divorced wife of don
SANCHO VII "el Fuerte" King of Navarre, daughter of RAYMOND VI Comte de
Toulouse & his second wife Béatrice de Béziers ([1180]-after 12 May 1260). The
Chronicle of Guillaume de Puylaurens records that the daughter of Comte
Raymond VI and his wife Beatrix de Béziers married "le roi de Navarre", but
confuses her with her mother when he adds that the latter married secondly
"Pierre Bermond de Salvio" after her repudiation[1973]. Her second marriage is
confirmed by the letter by Pierre Bermond Seigneur de Sauve to Pope Innocent III
dated 1212 in which he refers to his "uxorem…quondam filiam comitis Tolosani"
when requesting that he be recognised as nearest heir to the comte de
Toulouse[1974]. Her name is confirmed by the charter dated Nov 1219 under
which "Raymundus, filius domini Raymundiducis Narbonæ, comitis Tolosæ,
marchionis" confirmed dispositions by "pater meus" to "Petro Bermundi di Salvi
nepoti meo, nato ex sorore mea domina Constancia"[1975]. Pierre Bermond [VI] &
his wife had six children.
[1970] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, XCII, p. 604.
[1972] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, LIX, p. 578.
[1973] Chronique de Guillaume de Puylaurens, Chap. V, p. 20.
[1974] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, II.IV, p. 403,
quoting "Innoc. III liv. xi. ep. 222".
Fonts:
- persona: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990), C. Saint-
Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage") 7v2006, J-P.de Palmas
-2707-
(Filiations Languedociennes d'Hubert de Vergnette, 2004 et FMG) 23 v 2012
- família: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edouard Dumas, 1990)
1.484.173:
CONSTANCE de Toulouse ([1180]-after 12 May 1260). The Chronicle of Guillaume
de Puylaurens records that the daughter of Comte Raymond VI and his wife
Beatrix de Béziers married "le roi de Navarre", but confuses her with her mother
when he adds that the latter married secondly "Pierre Bermond de Salvio" after
her repudiation[611]. Her second marriage is confirmed by the letter by Pierre
Bermond Seigneur de Sauve to Pope Innocent III dated 1212 in which he refers to
his "uxorem…quondam filiam comitis Tolosani" when requesting that he be
recognised as nearest heir to the comte de Toulouse[612]. Her name is confirmed
by the charter dated Nov 1219 under which "Raymundus, filius domini
Raymundiducis Narbonæ, comitis Tolosæ, marchionis" confirmed dispositions by
"pater meus" to "Petro Bermundi di Salvi nepoti meo, nato ex sorore mea domina
Constancia"[613].
m firstly ([1195], divorced [1200]) don SANCHO VII "el Fuerte", King of Navarre,
son of don SANCHO VI "el Sabio" King of Navarre & his wife Infanta doña Sancha
de Castilla (after 1170-Tudela 7 Apr 1234, bur Roncevalle).
m secondly PIERRE BERMOND [VI] d'Anduze, Sire de Sauve et d'Anduze, son of
BERNARD [VII] d’Anduze Sire d'Anduze et de Sauve & his wife Marquise --- (-
1215).
[611] Chronique de Guillaume de Puylaurens, Chap. V, p. 20.
[612] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, II.IV, p. 403,
quoting "Innoc. III liv. xi. ep. 222".
Fonts: - persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P.de Palmas
(FMG) 14 xi 2013
- família 1: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry)
- família 2: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edouard Dumas, 1990)
1.484.173a:
Reçoit de Saint-Louis le château du Cayla 08/1248. Son fils reçoit le Cayla en
échange de Sommières.
Fonts:
- persona: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990), J-P.de
Palmas (Filiations Languedociennes d'Hubert de Vergnette, 2004) 23 v 2012
- família: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990), J-P.de
Palmas (Filiations Languedociennes d'Hubert de Vergnette, 2004) 23 v 2012
1.484.173d:
SIBYLLE d'Anduze (-after 9 Jun 1279). The primary source which confirms her
parentage and marriage has not yet been identified, although her parentage is
suggested by the agreement dated 1240 between "Raymond VII Comte de
Toulouse" and "Guigues Comte du Viennois" referring to the marriage of the latter
to "Cécile sa nièce, fille de Barral de Baux"[2228]. Her name is confirmed by the
letter dated 4 Jun 1269 from Alphonse Comte de Poitou et de Toulouse relating to
"castri de Carumbo, quodtenet nobilis domina Sybilia, uxor quondam nobilis viri
defuncti Barralli, domini Baucii"[2229]. m (before 21 Aug 1240) BARRAL Sire des
Baux, son of HUGUES des Baux Vicomte de Marseille & his wife Barale
Vicomtesse de Marseille (-[31 Jul/13 Oct] 1268, bur Sylvacane).
-2708-
Fonts:
- persona: Benoît Ravinet "Les Camaret" par Alain Fière, J-P.de Palmas (Charles
Cawley & FMG) 2016
- família: Aurejac, H.R.Moser, J-P de Palmas (wikipedia) i2010
1.484.173e:
Raymond obtient la quatrième partie d'Anduze, la moitié des châteaux
d’Aigrefeuil, de Calcades et de Cervière, dont il rend hommage à Amaury de
Montfort, comte de Toulouse, en 1224. Il fonde la tige des barons de Florac.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
- família: H.de Lagarde
1.484.174:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES III-IV Tafel 740) 21/04/2008
- casament: J-C de Vaugiraud (ES III-IV Tafel 740) 21/04/2008
- família: J-C de Vaugiraud (ES III-IV Tafel 740) 21/04/2008
1.484.175:
Haute et puissante dame damoiselle Philippa de Faÿ épousa le comte de
Valentinois auquel elle apporta tous les fiefs et châteaux qu'elle avait recueillis de
la successipon de ses père et mère, tant en Dauphiné qu'en Vivarais. C'est à savoir
comme nous l'apprenons de l'hommage qu'elle rendit en en 1229 à Etienne de
Chalançon, évêque du Puy, de la donation qu'elle fit en 1250 à Aymar de Poietiers,
comte de Valentinois son petit-fils, et de l'hommage qu'elle redit en 1251 : le
châtreau et mandement du Fay, Montréal, Queyrières, Mézenc, Chanéac, 2/3
Chambarlhac, 3/4 de Châteauneuf en Boutières et peut-être Saint-Agrève. De sa
mère, elle avait hérité de la terre et baronnie de La Voulte, Pierregourde, Glun,
une partie de la terre de Clérieu et autres biens de sa maison, Charmagneux et
LaRoche de Glun. La comtesse Philippa fut la dernière de sa race. Le 27
septembre 1250, elle fit donation à son petit-fils Aymar, comte de Valentinois, de
tout ce qu'elle possédait, s'en réservant la jouissance.
La baronnie de Faÿ resta dans la maison de Poitiers comtes de Valentinois
jusqu'en 1350, époque où elle fut vendue à Guillaume Roger de Beaufort, vicomte
de Turenne, et demeura dans cette maison de Turenne pendant un siècle et demi.
En 1613, le vicomte de Turenne, Henri de La Tour, duc de Bouillon, la vendit à
Messire Charles de Clermont, baron de Chaste, puis vers 1760 elle passa aux
mains de la famille de LaSalle qui en était encore possesseur en1789.
Pour la baronnie de Mézenc, elle demeura plus d'un demi siècle après la vente de
la baronnie de Faÿ entre les mains de la maison de Poitiers. Ce ne fut que le 3
avril 1399 qu'elle fut aliénée par le comte de Valentinois, Louis de Poitiers, au
profit de Messire Guillaume de Montravel (l'Hermite de la Faye). Elle passa
ensuite à la famille de Talaru-Chalmarel, puis fut le 5 décembre 1617 vendue par
celle-ci aux Chartreux de Bonnefoy qui la conservèrent jusqu'à la Révolution.
Philippa de Fay (-[7 Sep 1251/26 Oct 1258]). "Ademarus comes Valentinensis"
confirmed the donation of "predecessor meus Heustachius Valentinensis
prepositus" of "Clivum" to the abbey of Saint-Guy du Puy by charter dated Jul
1219, naming "Ph[ilippa] uxor comitis et W[illelm]us eorum filius"[1668].
After her grandson took control of her territories in 1250, she purported to
change prior testamentary dispositions and bequeath all her property to her other
-2709-
grandson Roger de Bermond d'Anduze [1669], who ceded his rights to the
brothers Roger and Silvion de Clérieu on condition that they defend them against
Aymar de Poitiers Comte de Valentinois [1670].
m (before 1197) AYMAR [II] de Poitiers, Comte de Valentinois, son of
GUILLAUME [I] de Poitiers Comte de Valentinois & his [second] wife Beatrix
d'Albon [Viennois] (-[1250]).
[1668] Saint-Guy du Puy, Chartarum Appendix, CCCCXLVI, p. 186.
[1669] Essai historique sur Die, t. I, p. 477, cited in Mémoirs Valentinois et Diois",
p. 229.
[1670] De Gallier, Essai historique sur la baronnie de Clérieu, pp. 54 and 89, cited
in Mémoirs Valentinois et Diois, p. 235.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Armorial du Vivarais de B.d'Entrevaux - Privas
1907 et FMG) - casament: J-C de Vaugiraud (ES III-IV Tafel 740) 21/04/2008
- família: J-C de Vaugiraud (ES III-IV Tafel 740) 21/04/2008
1.484.190:
Guillaume eut Reyrevignes (cela n'est pas précisé dans l'acte de 1231) et une
partie d'Assier (l'autre partie étant aux Hospitaliers). Guillaume de Barasc, qui
avait pris part à la défense de Toulouse contre Amaury de Montfort, eut une fille
Marguerite qui épousa, vers 1250, Bertrand de Bruniquel, vicomte de Montclar.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe, Quercy
Historique)
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe, Quercy
Historique)
1.484.191:
Fonts: - família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe,
Quercy Historique)
1.484.208:
Fonts: - persona: LFlichy 15v06 (base chistera)
- família: LFlichy 15v06 (base chistera)
1.484.209:
Fonts: - família: LFlichy 15v06 (base chistera)
1.484.209b:
Fonts: - persona: C. Patrouix (base "jmg2003"), C. Saint-Félix (site de Charles
Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
1.484.212:
Fonts: - persona: A.Euverte(Noulens:Maison de Soubiran de Compaigno)20.ix.2005
- família: A.Euverte(Noulens:Maison de Soubiran de Compaigno)20.ix.2005
1.484.213:
Fonts: - família: A.Euverte(Noulens:Maison de Soubiran de Compaigno)20.ix.2005
1.484.213b:
Fonts: - persona: J-L. Dega (Villain) - família: J-L. Dega (Villain)
-2710-
1.484.242:
Fonts:
- persona: G.de Paysac/Anselme, JB.de La Grandiere ( ES XIV -Lévis, sgrs de Marly
tableau 120, 1991 ) 15 v 2016
1.484.243:
 Septembre 1261: Pierre de Châtres confirme le don d'Agnès de Marly sur sa
grange de Fontenay:
"Universis presentes litteras inspecturis, Petrus de Castris, miles, salutem in

Domino. Notum facio presentibus et futuris quod ego volo et concedo quod
abbatissa et conventus de Portu Regis, suo et monasterii sui nomine, teneant et in
manu morta quiete et pacifice in perpetuum possideant, quantum in me est, sine
coactione vendendi aut extra manum suam ponendi, unum modium bladi quem
defuncta Agnes, quondam domina Marliaci, ob remedium anime sue et Buchardi,
filii sui primogeniti, dedit dictis abbatisse et conventui in puram elemosinam et
perpetuam, capiendum eisdem, singulis annis, apud Fontanetum, versus
Corbolium, de proventibus terrarum suarum qui proveniunt vel provenire debent,
ad granchiam dicte defuncte sitam in dicta villa ; que omnia supradicta primo de
meo feodo movent.. Promittens, bona fide, quod contra hujusmodi concessionem,
per me vel per alium, in posterum venire nullatenus attemptabo. Immo, dictum
modium bladi dictis monialibus garantizabo dictis monialibus contra omnes
tanquam primus dominus.. Ysaura vero, uxor mea, hanc concessionem voluit et
concessit, et quicquid ibidem habebat, jure dotalicii vel alio quoquo modo, quitavit
dictis monialibus, fide data. Et pro concessione ista facienda, ego et uxor mea
predicta, recepimus quindecim libras parisieusium de bonis dictarum abbatisse et
conventus in pecunia numerata. In cujus rei testimonium et munimen, presentes
litteras sigilli mei munimine roboravi. Actum anno Domini millesimo ducentesimo
sexagesimo primo, mense septembris."
(Cartulaire de l'abbaye de Porrois au diocèse de Paris, plus connue sous son nom
mystique Port-Royal, éd. Adolphe de Dion, Paris, 1903.
http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/html/Port-Royal.html) C.Faucherand, 20 iv
2016.
 12 novembre 1262: Pierre de Châtres confirme le don de Guillaume, défunt, fils

aîné de Bouchard et Agnès de Marly à l'abbaye des Vaux de Cernay
"Omnibus presentes litteras inspecturis, officialis curie Parisiensis, salutem in

Domino : Noveritis quod dominus Petrus de Castris, dictus de Mota, miles,
asseruit et recognovit coram nobis quod defunctus Bouchinus (1), primogenitus
defuncti Bouchardi, quondam domini de Malliaco, militis, legaverat religiosis viris,
abbati et conventui Vallium Sarnay, ob remedium anime ipsius defuncti Bouchini,
in puram et perpetuam elemosinam, dimidium modium ordei quem dicti religiosi
percipere debent in granchia de Fontaneto, in Corboliensi, super granagio
hereditatis domine Agnetis, quondam matris dicti Bouchini, aducto in dicta
granchia ; que hereditas predicta movet de feodo dicti domini Petri, ut dicebat :
volens et concedens idem Petrus, tamquam dominus capilalis dicti feodi, ut
dicebat, quod dicti religiosi teneant et possideant, in manu mortua, ex nunc im
perpetuum, dictum dimidium modium ordei, sine contradictione aliqua, pacifice et
-2711-
quiete, sine cohactione aliqua vendendi seu extra manum suam ponendi ; quittans
eciam dictis religiosis omne jus et dominium, quod habebat vel habere poterat in
predictis, ratione dicti feodi et per fidem, pro quadraginta solidis parisiensibus ;
renuncians, etc. In cujus rei testimonium, presentes litteras sigillo curie
Parisiensis fecimus sigillari. Datum anno Domini millesimo ducentesimo
sexagesimo secundo, die dominica post festum beati Martini hiemalis, et mense
novembri.
(1) Guillelmus de Castris.
(École des chartes » ELEC » Cartulaires d'Île-de-France » Vaux-de-Cernay » Tome

premier (2e partie) 1251-1300 » 1261-1270 » 12 nov. 1262
http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/Vaux-de-Cernay/0616) C.Faucherand, 11 v
2016.
Fonts:
- persona: o guionneau, C.Faucherand (ajout titre: Bibl. nat. de France, lat. 10998,
nº 23, en note) 29 iv 2016
1.484.243a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES XIV -tableau 120, sgrs de Marly, 1991) 15 v
2016
1.484.243c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES XIV -tableau 120, sgrs de Marly, 1991) 15 v
2016
1.484.243d:
 Février 1260-1261: Béatrix, fille de Bouchard de Marly, donne à Port-Royal le
quint de ses biens:
"Omnibus presentes litteras inspecturis, Officialis Curie Parisiensis, salutem in

Domino. Notum facimus quod in presencia nostra constituta, Beatrix, filia defuncti
Buchardi quondam domini de Marliaco, etatis annorum quindecim vel circiter
existens, ut dicebat, proponens ad frugem melioris vite transire, dedit et concessit
pure ac irrevocabiliter, in puram et perpetuam elemosinam, monasterio de Portu
Regis ac abbatisse et conventu ejusdem loci, quintam partem tocius hereditatis
sue, ubicumque sit et quibuscumque rebus consistat, necnon et omnia bona sua
mobilia ac etiam jocalia, ubicumque sint et in quibuscumque rebus consistant.
Cedens ex nunc in perpetuum eisdem omne jus, dominium, possessionem et
proprietatem et etiam actionem que sibi competebant et competere poterant
quoquo modo in eis, et ex nune transferens in jus et proprietatem abbatisse et
conventus ac monasterii predictorum. Si vero predictam donationem ab heredibus
dicte Beatricis seu parentibus vel amicis seu cognatis vel agnatis, modo quolibet,
contingeret impugnari, revocari vel in aliquo infirmari, vel ipso contra ipsam
donationem venire contingeret in posterum, didit et concessit dicta Beatrix coram
nobis, pure ac irrevocabiliter in puram et perpetuam elemosinam, predictis
abbatisse et conventui ac monasterio earumdem omnia bona sua mobilia et
-2712-
immobilia quecumque ipsam contingentia modo quolibet, ubicumque sint et in
quibuscumque rebus consistant, et quicquid de jure debet et postet ; et
transferens in eosdem abbatissam et conventum et monasterium quicquid, modo
quolibet, donare potest ; et cedens in eis omne jus et proprietatem et dominium ac
possessionem que sibi competebant seu competere poterant in bonis mobilibus et
immobilibus supradictis. Pomittens, fide data, quod contra donationem hujusmodi,
par se vel per alium non veniet in futurum.. Datum anno Domini millesimo
ducentesimo sexagesimo, mense februarii.."
(Cartulaire de l'abbaye de Porrois/Port-Royal, Bibl. nat. de France, lat. 10998, nº

49, http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/html/Port-Royal.html) C.Faucherand, 29
iv 2016.
 Avril 1270-1271: Mathieu de Marly dote sa sœur Béalrix de 20 livres sur

Meulan:
"A tous ceulx qui verront et oiront ces présentes lettres Mahy, sire de Marly,
chevalier, salut en Nostre Seigneur. Sache tuit que nous avons donné et octroyé à
l'abaesse et au couvent de Port-Rois et à l'église dudit lieu vingt livres de parisis
de annuelle vente a tenir et poursuivre de l'abaesse du couvent dessus dit a pure
et perpetuelle aumosne. Et sommes tenus et promettons a bonne foy a asseoir et
amortir à l'abaesse, au couvent et à l'église dessus dits en notre terre. Voulons et
octroyons que l'abaesse et les dessus dits ayent et recoivent chacun an vingt livres
en nostre rente de Meurlenc par les termes qu'elle nous est due jusqu'à tant que
nous aions assis à l'abaesse et au couvent les XX livres de rente illecques ou
ailleurs en nostre terre en telle manière que Beatrix notre seur nonnain du devant
dit lieu, ait chaque année quatre livres des deniers dessus dis tant comme elle
vivra pour querre ses robbes et ce que mestier lui sera. Pour laquelle chose faire
et accomplir nous obligeons à l'observation ci-dessus, nous et nos hoirs, et tous et
chacun de nos biens en quelque lieu qu'ils soient. En tesmoing et en garnissement
de laquelle chose nous avons donné a l'abaesse et au couvent de l'église dessus
dite ces présentes lettres scellées de nostre scel. Ce fut fait en l'an de
l'Incarnation Nostre Seigneur mil deux cens soissante et dix, au mois d'avril."
(Arch. nat., K 181, nº 211) Ch. Faucherand , 29 iv 2016.
 Décembre 1271: Mathieu de Marly assigne sur Meulan la dote de sa sœur

Béatrix:
"Omnibus presentes litteras inspecturis Matheus, dominus Marliaci, cambellanus

Francie, salutem in Domino. Cum pro quinta parte totius hereditatis carissime
sororis nostre Beatricis, moniales de Portu Regis, teneamur assidere et etiam
amortisare, quantum ad nobis est, abbatisse et conventui de Portu regis ac
monasterio dicti loci in terra nostra viginti libras annui et perpetui redditus,
notum facimus quod dictas viginti libras assignamus et assidimus in terra nostra
de Mellento recipiendas in terminis qui secuntur : videlicet primadie decembris
centum solidos parisiensium, prima die martis totidem prima die junii totidem
prima die septembris totidem. Volumus insuper et concedimus quod predicte
abbatissa et conventus predictas viginti libras recipiant, et eas tanquam primus
dominus amortisamus et eas garantire promittimus bona fide, nos et heredes
-2713-
nostros quantum ad omnia supra specialiter obligantes. In cujus rei testimonium
presentes litteras dedimas sigilli nostri caractere sigillatas. Actum anno Domini
millesimo ducentesimo septuagesimo primo, mense decembri."
(Arch. nat., K 181, nº 212. Cartulaire de l'abbaye de Porrois au diocèse de Paris,

plus connue sous son nom mystique Port-Royal, éd. Adolphe de Dion, Paris, 1903.
http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/html/Port-Royal.html) C.Faucherand, 29 iv
2016.
Fonts:
- persona: C.Faucherand (Cartulaire de l'abbaye de Porrois/Port-Royal, Bibl. nat.
de France, lat. 10998, nº 49) 29 iv 2016
- defunció: Ch. Faucherand (Arch. nat., K 181, nº 211, en note) 29 iv 2016
1.484.243e:
 Juin 1267: Mathieu de Marly confirme le don de la Couperie:
"Ge, Mahi, sires de Marli, fay asavoir a toz cels qui verront ces presentes letres
que, par devant moi vindrent Sedile, Agnes Margerite et Perronele, filles jadis
Monseignor J. Judas de la Coperie, chevalier, et recognurent que eles avoient
donné piecea a Dieu et Notre Dame et a l'église de Porreis, et as nonnains servanz
Dieu en icelui leu, els et lor biens muebles et non muebles, en quelque leu que il
fussent que en quelque choses ; et mesmement tot l'eritage que eles avoient a la
Coperie, du descendement de lor pere en quelque choses que il fust, en terres
arables, en mesons o totes les apartenances et en prez. Lesqueles choses muevent
en partie de mon fié premierement et en partie du fié Jehan Bernier, de l'eritage
Odeline, sa fame, et empres du mien. Adecertes, li diz Jahen et ladite Odeline, sa
fame, vindrent devant moi et voldrent et otroierent que l'abeesse et le couvent de
Porreis tiegnent des ore en avant, a toz jarz en pez, delivrement et franchement,
en main morte, sanz force de vendre ou de metre hars de lor main, totes les
choses qui muevent de lor fié et enpres du mien ; et promistrent par lar foi que,
encontre cest otroi et cest amortissement, ne vindront james par els ne par autre.
Et par cest amortissement fere et otrier, li diz Jahans et Odeline, sa fame ont
receu et eu XX livres de torneis de devant diz l'abbeesse et le convent, en deniers
numbrez, si comme il ont reconneu devant moi. Autresi, je, devant dit Mahy, qui
sui li premiers sires des choses devant nommées en partie, et en partie segonz, si
comme il est dit par devant, vueil et otroi que la devant dite abbeesse et le
convent de Porreis tiegnent le don lequel les dites Sedile, Agnes, Margerite,
Perronnele ont fet et doxné a l'abeie de Porreis, desore en avant a toz jars mes en
main morte, sanz force de vendre ou de metre hars de lor main ; sauve a moi et a
mes heirs tote maniere de jostice, esceptés cens, ventes, forages et roages qui
seroient as devant dites dames, se il i avenoient. Totes ces devant dites choses
volt et otroia Margerite, ma fame, et quita ce que elle i avoit ou pooit ou devoit
avoir por la reson de doaire ou por autre chose. Et por cest otroi, je, devant dit
Mahi, e receu des devant dites Dames XL livres de parisis.
En tesmoig de laquel chose, je, et la devant dite Margerite, ma fame, avons mis
nos seaus en ces presentes letres. Ce fu fet en l'an de l'ncarnation Nostre Seignor
MCCLXVII, ou mois de jung."
-2714-
(Bibl. nat. de France, lat. 10998, nº 54; Cartulaire de l'abbaye de Porrois au
diocèse de Paris, plus connue sous son nom mystique Port-Royal, éd. Adolphe de
Dion, Paris, 1903; http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/html/Port-Royal.html)
C.Faucherand 29 iv 2016.
Fonts:
- persona: C.Faucherand (ajout titre: Bibl. nat. de France, lat. 10998, nº 54, en
note) 29 iv 2016
- família: P Ract Madoux (Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la
RocheAuguste Moutié. Paris.Plon.1862; p 367) 19 xi 2003
1.484.243f:
Fonts:
- persona: P Ract Madoux (Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la
RocheAuguste Moutié. Paris.Plon.1862: p 390) 19 xi 2003
1.484.244:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (J. Duvernoy "Le catharisme") 16v2006
1.484.245:
Fonts:
1.484.245e:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (J. Duvernoy "Le catharisme") 16v2006
1.484.246:
Il hérite de la Bigorre
Fonts:
- persona: G.Marsan (Don Francisco Fernandez de Bethencourt ( 1897 - 1910) :
Historia Genealógica y Heráldica de la Monarquía Española, Casa Real y Grandes
de España)
- família 1: Jean-Louis Dega
- casament 2: Stéphane Bontron (contrat de mariage du 2 avril 1273, à Saint-
Georges-d'Espéranche, cité par Delaborde suivant régeste genevois, n° 1094)
- família 2: S. Bontron (site de Hervé Gros) 11.2006
- família 4: J-L. Dega (Vuillier)
- família 5, família 6: J-L. Dega
1.484.247:
MATHE [Amata] de Marsan (after 1228-[6 Feb 1270/Apr 1273]). "Petronilla
comitissa Bigorre et vicecomitissa Marcianensis" donated all her property
inherited "ex bonis patris nostri" to "Gastoni de Bearnio et Mathe uxori vestre et
filie nostre" by charter dated 1250[1176]. The testament of "domina Petronilla
comitissa Bigorre", dated 1251, appointed "dominum Esquivatum nepotem meum
filium filie mee domine Aalis" as her heir "in…comitatu Bigorre", and if he died
-2715-
childless "dominus Jordanus frater dicti domini Esquivati", failing whom "domine
Mathe filie mee"[1177]. "Gasto…vicecomes Bearnensis et de Marciano et…domina
Matha uxor eiusdem" recognised the rights of "domino Eschivato…comiti Biguorre
et domino Cabanasii", in accordance with "dictum vel arbitrium domini
R….comitis Faxi [Fuxi]", by charter dated 16 Sep 1256[1178]. The contract
between "domini Gastonis…vicecomitis Bearnensis" and "Alfonso…regi Castellæ
et dominæ Violant reginæ Castellæ…uxori" provides for the marriage between
"Guillelmam filiam" of the former to "infanti domino Sancio filio" of the latter, and
names "dominæ Mathæ eius uxoris", dated 6 Feb 1270[1179].
m (before [1245/50]) as his first wife, GASTON [VII] Vicomte de Béarn, son of
GUILLAUME [II] Vicomte de Béarn & his wife Gersende de Provence [Aragón]
(1225-26 Apr 1290).
[1176] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, I, p. 314, quoting Cartulaire de

Bigorre, ch. 39.
[1177] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, II, p. 314, quoting Cartulaire de

Bigorre, ch. 40.
[1178] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, III, p. 315, quoting Cartulaire de

Bigorre, ch. 4.
Branche décrite dans les livres de Don Francisco Fernandez de Bethencourt

(Madrid 1897 - 1910) sur "Historia Genealógica y Heráldica de la Monarquía
Española, Casa Real y Grandes de España".
Mathe de Masta, vicomtesse de Marsan, par son mariage avec Gaston VII de
Moncade en 1240, fit entrer la vicomté de Marsan et le comté de Bigorre dans la
Maison de Béarn, qui devint le plus puissant pays de Gascogne. Ils eurent quatre
filles, dont l’aînée Marguerite hérita du Béarn. Constance, vicomtesse de Marsan
et comtesse de Bigorre, épouse en 1258, Alphonse d’Aragon et en 1267 Henri
d’Angleterre. La troisième, Mathe de Moncade, épousa en 1260, Géraud V, comte
d’Armagnac. Quant à la benjamine Guillelma de Moncade, elle s’unit en premières
noces à Sanche IV roi de Castille et en deuxième noces à Pierre d’Aragon.
Liens externes Wikipédia
Fonts:
de España), J-P.de Palmas (FMG) 13 xii 2014
- defunció: G Marsan
- família: Jean-Louis Dega
1.484.247a:
Constance de Montcade († 1310), est une vicomtesse de Marsan et une comtesse
-2716-
titulaire de Bigorre, fille de Gaston VII de Moncade, vicomte de Béarn et de Mathe
de Matha, vicomtesse de Marsan.
Biographie
Elle épouse d’abord le prince Alphonse d’Aragon qui meurt trois jours après le
mariage. Après des négociations de mariage avec le futur roi Henri Ier de
Navarre, elle est mariée en 1269 à Henri d'Almayne, qui est assassiné à Viterbe
deux ans plus tard.
Le testament de sa grand-mère maternelle Pétronille de Comminges († 1251),

comtesse de Bigorre et vicomtesse de Marsan, précisait que la Bigorre revenait à
sa fille aînée Alix de Montfort, tandis que le pays de Marsan revenait à sa fille
cadette Mathe de Matha. Alix meurt en 1255, laissant la Bigorre à son fils
Eschivat IV de Chabanais, et Mathe meurt entre 1270 et 1273, laissant le pays de
Marsan à Constance. Gaston VII soutient Eschivat à conserver son comté face aux
ambitions de Simon V de Montfort, mais conteste le testament de Pétronille à la
mort d’Eschivat, et dispute la Bigorre, qu’il revendique au nom de Constance, à
Laure de Chabanais, la sœur d’Eschivat.
Mais le roi Edouard Ier d’Angleterre n’accepte pas cette union entre le Béarn et la
Bigorre, qui rend Gaston trop puissant à son goût, et fait occuper le comté de
Bigorre par son lieutenant Jean de Grailly, obligeant Gaston à rappeler ses
troupes. Constance en appelle alors à Philippe IV le bel, roi de France, qui
ordonne la saisie du comté, se basant sur un acte du comte Bernard II de Bigorre,
qu’il interprète comme une donation.
Mariages
Elle épouse en premières noces le 23 mars 1260 Alphonse d'Aragon († 26 mars

1260), fils de Jacques Ier le conquérant, roi d'Aragon, et d'Eléonore de Castille.
Elle se remarie en secondes noces le 15 mai 1269 avec Henry de Cornouailles

(1235 † 1271), fils de Richard de Cornouailles, comte de Cornouailles, puis roi des
romains et d'Isabelle Maréchal.
Enfin, elle épouse en troisièmes noces en 1279 avec Aymon II, comte de Genève (†
1280).
Elle n’a eu aucun enfants de ses trois mariages.
Références
 Bigorre, Chritine Bonneton Editeur, Paris, 1988 (ISBN 2-86253-081-6)

 Biographies médiévales : Constance de Moncade
 Foundation for Medieval Genealogy : Gaston VII de Béarn
-2717-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010
- família 1, família 2: J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010
- família 3: J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010
1.484.247d:
Elle donna l'esentiel de ses domaines catalans au Roi Jaime II d'Aragon (avril
1300)frère de son deuxième mari.
Roger-Bernard III de Foix voulait s'y opposer.
Comme sa soeur Constance, elle "fit aussi deux mariages royaux avec Alphonse
Manuel, neveu du roi de Castille, en 1270, et Pierre d'Aragon, en 1291, sans
postérité" (BdeRauglaudre, Jacques de Cauna (Cadets de Gascogne, la Maison de
Marsan de Cauna) 7vii2008)
Fonts:
- persona: G.Marsan
- família 1: Jlouis Dega
- família 2: Jean-Louis Dega
1.484.247-3a:
Fonts:
- persona: "la maison de Gramont", J de jaurgain et R. Ritter
- família 1: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005)
- família 2: P Ract Madoux (Jean de Jaurgain & Raymond Ritter: "La Maison de
Gramont, 1040-1967." Tarbes 1968) 25 vi 2004
1.484.247-4a:
Surnommé "L'Aspois" (Laspes)
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Vuillier)
- família: J-L. Dega (Vuillier)
1.484.247-5a:
Fils de Roger Bernard de Foix ? (BdeRauglaudre, Histoire de la vicomté de Juliac,
21vi2012)
Fonts:
- persona: J-L. Dega
1.484.247-6a:
Fonts:
1.484.250:
seigneur de Bomiers, Montfaucon, et autres lieux.
-2718-
Fonts:
- persona: D.de Raugl (J.P.Masson), F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile
Chénon, Tome I ) 20 iv 2009
- família 1: F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile Chenon, Tome I) 30 iii
2011
- família 2: T. Denis (base Aurejac); F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile
1.484.251:
Agnès, avait épousé Robert III de Bomez, seigneur de Bomiers, Condé,
Montfaucon et autres lieux ; mais devenue veuve en 1254 (entre le mois de février
et le mois de juillet), elle avait suivi son mari de près dans la tombe, laissant une
petite fille âgée de cinq ans à peine, que les textes appellent Marguerite, et La
Thaumassière Guyotte.
Histoire de Chateaumeillant par Emile Chénon (1940), Chapitre VIII
Fonts:
- persona: T. Denis (base Aurejac); (F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile
Chénon, Tome I ) 20 iv 2009 ) 20 iv 2009
- família: T. Denis (base Aurejac); F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile
1.484.251-1a:
Fonts:
- persona: , JB.de La Grandiere ( JC Chuat H&G 145 p 371 rép: à 95 II Blaison ) 24
ii 2010
- família 1, família 2: D.de Raugl (J.P.Masson)
- casament 2: J-C de Vaugiraud (d'après HG 1998 p 183) 21/03/2009
1.484.251-1b:
Marguerite avait été confondue avec sa nièce Marguerite épouse de Louis de
Beaujeu.. J'ai rectifié. jblg 18/2/2010
Fonts:
- persona: , JB.de La Grandiere ( ESS XIII p 36 des Barres ) 18 ii 2010
1.484.252:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Dominique Barthélémy "La Socièté dans le comté
de Vendôme XII-XIVèmes siècles" Paris 1993 pp 888/890" ) 12 v 2010
- defunció: JB.de La Grandiere ( Dominique Barthélémy "La Socièté dans le comté
- casament: JB.de La Grandiere ( Dominique Barthélémy "La Socièté dans le comté
- família: Y. Gobilliard (1-7-06), Y. Gobilliard (30-6-06), Aurejac
1.484.253:
Fonts:
- casament 1, casament 2: JB.de La Grandiere ( Dominique Barthélémy "La Socièté
-2719-
dans le comté de Vendôme XII-XIVèmes siècles" Paris 1993 pp 888/890" ) 12 v
2010
- família 1: E.Polti (d'après le site "France balade"), F-L. Jacquier (Pierre
L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de Tancarville)
- família 2: Y. Gobilliard (1-7-06), Y. Gobilliard (30-6-06), Aurejac
1.484.253b:
Blanche est inconnue de Dominique Barthélemy, spécialiste incontesté de la
famille de Vendôme à cette époque : il conviendrait de couper ce lien : JB de La
Grandière 8/6/2010 Dominique Barthélémy La Société dans le comté de Vendôme
Paris 1993
JBLG 10/6/2014 : St-Venant (qui donne une Blanche de Vendôme comme mère de
Guillaume) n'était pas aussi bien "outillé" que Dominique Barthélemy, je viens
donc de couper le lien.
Fonts:
- persona: A Brabant (sitefrebault) 5.2.06
- família: A Brabant (sitefrebault) 5.2.06
1.484.253c:
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après le site "France balade")
1.484.253d:
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après le site "France balade")
1.484.253e:
Fonts:
- persona: E.Arminjon
- família: Aurejac, E.Arminjon
1.484.253-1a:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires
de Tancarville)
- família: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de
Tancarville)
1.484.254:
PHILIPPE [II] de Montfort, son of PHILIPPE de Montfort Lord of Tyre & his first
wife Eléonore de Courtenay (-Tunis 24 Sep 1270, bur Castres). The Lignages
d'Outremer name "Phelippe qui fu nom Coton" as son of "Phelippe de Monfort"
and "la fille au comte d'Ausseure", stating that Philippe "morut"[281]. Seigneur de
Castres et de la Ferté-Alais. "Symon de Monteforti comes Lincestrie" granted his
proxy to administer the county of Bigorre to "dominum Philippum de
Monteforti…consanguineum nostrum" by charter dated 9 Apr 1259[282]. The
testament of "Philippus de Monteforti", dated 1 Apr 1271, names "uxoris nostre
Johanne"[283]. A fragment written by Bernard Guidonis records the death "IV Kal
-2720-
Oct" in 1270 of "dominus Philippus de Monte Forti junior, filius Philippi senioris"
and his burial "ad fratres Castrenses"[284].
m JEANNE de Levis, daughter of GUY [II] de Levis Maréchal de Mirepoix & his
wife Jeanne --- (-30 May 1284, bur Castres). A fragment written by Bernard
Guidonis names "dominæ Johannæ" as widow of "dominus Philippus de Monte
Forti junior, filius Philippi senioris"[285]. A charter dated 15 May 1295 included in
the cartulary of Notre-Dame de la Roche records the partition of property of
Montfort and Castro, agreed by "Joannes de Monteforti comes Squllacii et Montis-
Caviosi ac regni Siciliæ camerarius, Bernardus de Convenis miles…et domicella
Elienore de Monteforti" which names their parents "bonæ memoriæ D Philippi de
Monteforti patris et D Joannæ de Leviers matris nostrum predictorum Joannis,
Lauræ et Elienoris"[286]. A fragment written by Bernard Guidonis records the
death "III Kal Jun" in 1284 of "domina Johanna uxor quondamdomini Philippifilia
domini Mirapicis"[287].
Philippe [II] & his wife had five children.
[281] Lignages d'Outremer, Le Vaticanus Latinus 4789, CCC.XLIII, p. 107.
[282] Merlet, L. ´Procès pour la possession du comté de Bigorre (1254-1503)´,

Bibliothèque de lÉcole des Chartes, Vol. 18, no. 1 (1857), Pièces Justificatives, VI,
p. 316, quoting Cartulaire de Bigorre, ch. 16.
col. 1694.
[284] RHGF XXI, Fragmenta Bernardi Guidonis de Ordine Prædicatorum, p. 744.
[286] Moutié, A. (ed.) (1862) Cartulaire de lábbaye de Notre-Dame de la Roche

au diocèse de Paris (Paris) ("Notre-Dame de la Roche"), Notes Historiques et
Généalogiques sur les Seigneurs de Lévis, Pièces Justificatives, 25, p. 458.
Ses biens et ceux de sa femme sont partagés entre leurs enfants le 15 mai 1295:
cf:(Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la RocheAuguste Moutié.
Paris.Plon.1862: pages 458-459)
PHILIPPE II DE MONTFORT († 1270)
Philippe II de Montfort fut seigneur de Brétencourt, de Beynes, de La Ferté-Alais

en partie et de Castres (4). Le 24 mai 1253, il céda le château de La Grave à
Pierre, vicomte de Lautrec, en échange de celui de Fiac. Au mois d’août 1255, il
obtint du roi des lettres mandant au sénéchal de Carcassonne de s’interposer
entre lui et Pierre de Lautrec, puis d’autres pour imposer silence à Amaury,
-2721-
vicomte de Lautrec, qui l’avait assigné devant l’autorité ecclésiastique (5). Le 17
novembre 1256, au nom de son père et au sien, comme seigneur de Castres, il
reçut l’hommage d’Amaury de Lautrec pour le château d’Ambres. En mai 1258, il
transigea avec Pierre de Lautrec au sujet des dépendances de Fiac (6). Bertrand,
vicomte de Lautrec, et ses neveux prétendirent que les biens confisqués pour
hérésie dans l’étendue de leur vicomté devaient être réunis à leur domaine.
Philippe soutenait qu’ils lui appartenaient en qualité de suzerain et il se mit en
campagne pour appuyer sa thèse par les armes. Informé de l’incident, le roi
manda à son sénéchal de s’interposer pour éviter une effusion de sang et de
s’informer de leurs possessions respectives antérieurement à l’inféodation de
1229 (7). [p.105]
(4) D. VAISSÈTE, VIII, 1434.
(5) D. VAISSÈTE, VIII, 1361, 1363, 1434; V, 679, 855.
(6) D. VAISSÈTE, VI, 679, 855.
(7) D. VAI5SÈTE, VI, 854 ; VIII, n° 328.
En novembre 1259, au nom de son père Philippe, seigneur de Tyr, il assigna aux
filles de Guy Ier de Montfort, Alice et Agnès, religieuses à Port-Royal, la somme de
120 livres pour leur quint dans les biens situés en Albigeois; en outre, il confirma
à l’abbaye la grange de Marbois, près La Ferté, que défunt Guy II de Montfort,
son oncle, lui avait donnée: mention est faite de l’assentiment de sa femme,
Jeanne (1).
(1) A. DE DION, Cart. de Porrois, p. 260.
Sur enquête de Pierre d’Auteuil, sénéchal de Carcassonne, le Parlement rendit un

arrêt, le 1er juin 1259, disant que la ville de Graulhet mouvait en fief du roi et non
de Philippe de Montfort. Ce dernier ne se tint pas pour battu; il produisit une
réception d’aveu par son père, établissant le contraire: le 2 février 1260, un
nouvel arrêt, en acceptant sa preuve, le maintint en possession de cette mouvance
(2).
(2) BOUTARIC, Actes du Parlement, n°°316, 405. — BEUGNOT, Les Olim, n° 77.
La même année, il plaida contre les officiers du roi à propos du péage de la Croix
du Quartier, perçu sur le chemin d’Étampes à Corbeil, au pont de Bouray, qui
formait la limite entre les châtellenies de La Ferté et de Montlhéry. Philippe de
Montfort soutenait que les officiers de Guillaume des Barres et de ses successeurs
dans la châtellenie de La Ferté-Alais avaient toujours perçu ce péage sur les
marchands portant des denrées sujettes à la taxe; que les dits officiers avaient été
en saisine de ce droit depuis le jour où la ville de La Ferté fut donnée à Guillaume
des Barres, sauf pendant la croisade où, profitant du désarroi général, les officiers
du roi avaient prélevé le péage. Depuis, les seigneurs de La Ferté avaient protesté
contre cette violation de leurs droits et repris la perception du péage. Les officiers
du roi objectaient que le péage ne pouvait appartenir à Philippe de Montfort,
-2722-
parce qu’il n’avait ni la souveraineté, ni le domaine de la châtellenie; que le roi
l’avait toujours perçu, etc. Sur les doléances des parties, une enquête fut confiée
au bailli d’Orléans: sa conclusion fut que, dès son investiture, Guillaume des
Barres avait effectivement perçu le péage et en avait gardé la saisine, qu’il avait
transmise à ses héritiers et successeurs, mais cette perception avait été illégale;
en conséquence, au nom du roi, il inclinait à ce que le péage fût supprimé: aucune
des parties n’aurait à l’avenir le droit de le percevoir. Un arrêt du Parlement,
rendu à la Chandeleur 1260 (n. st.), homologua cette décision (3).
(3) BEUGNOT, Les Olim, n°103.
En 1262, Philippe de Montfort le jeune se qualifiait «successeur [p.106] en

Albigeois, au delà du Tarn, des comtes de Toulouse et de Montfort, des vicomtes
de Béziers et autres seigneurs», dans un acte de pariage qu’il conclut avec
Raimond, abbé de Candeil. En janvier 1265, «du conseil et de la volonté des
chevaliers-terriers de son père», il confirma les coutumes de Castres. Il se dit,
dans cet acte, «vice-gérant de Philippe de Montfort, seigneur de Tyr et de Thoron,
son père, à Castres, dans le Narbonnais, en Albigeois et dans toutes les terres
qu’il possédait en Albigeois, avec pouvoir de les gouverner et d’en réformer l’état
à cause du droit qu’il devoit avoir un jour sur ces terres» (1).
(1) D. VAISSÈTE, VIII, 1476; VI, 855.
Sur ces entrefaites, cédant à l’appel du pape, Charles d’Anjou s’embarqua à

Marseille, en octobre 1265, pour aller faire la conquête de la Lombardie et des
royaumes de Naples et de Sicile sur Mainfroi, fils naturel de l’empereur Frédéric
II. Philippe de Montfort fit partie de l’expédition: dès le commencement de
l’année, il avait été détaché avec un corps de troupes pour préparer les voies au
delà des Alpes, commission dont ce chevalier, qui était fort brave, s’acquitta avec
honneur, car il battit les partisans de Mainfroi. Avec le maréchal de Mirepoix, il
commandait l’avant-garde de Charles, à la fameuse bataille de Bénévent, que ce
prince gagna sur Mainfroi, son concurrent, le 26 février 1266. Après cette
victoire, Charles avait d’abord songé à nommer Philippe de Montfort gouverneur
de Milan, avec le titre de podestat, puis il se ravisa et l’envoya en Sicile avec les
pouvoirs de vice-roi. Un peu plus tard, il le nomma commandant des troupes
chargées de défendre les États de l’Église. Dans les registres angevins, Philippe
est plusieurs fois qualifié cousin du roi (2).
(2) D. VAISSÈTE, VI, 892. — Del GIUDICE, Codice diplomatico, I, 248. —

DURRIEU, Arch. angevines de Naples, XXIX, f°°9 et 17 ; III, f°28. — DU CHESNE,
Histor. Franc. Scriptores, V, 837.
Le 4 août 1267, Alphonse, comte de Poitiers et de Toulouse, informa Philippe de

Montfort que ses gens avaient enlevé le blé des vicomtes de Lautrec à
Labruguière et l’invita à leur rendre justice. A la même date, il l’avisa que son
bailli, Raimonnet de Contains, s’était rendu coupable de plusieurs méfaits à
l’égard de Sicard Alemand, chevalier, et lui demanda de l’obliger à réparer ses
torts. Le 13 septembre, le même Sicard s’étant plaint que Philippe de Montfort
percevait injustement un péage de trois deniers à Loupiac, il le pria de s’en
abstenir à l’avenir. En décembre, Philippe accorda des lettres de sursis à Isarn,
-2723-
vicomte de Lautrec, [p.107] pour le fouage qu’il lui devait à raison de certaines
terres (1). Ce même mois, au nom de son père, il amortit les acquisitions de Port-
Royal dans sa seigneurie de Beynes (2).
(1) D. VA1SSÈTE, VIII, 1606, 1608; VI, 902.

Arch. nat., JJ 24c, f°49.
(2) A. DE DION, Cart. de Porrois, p. 308.
En 1268, Philippe de Montfort fut invité par le sénéchal de Carcassonne à venir

résider dans la ville, un certain temps de l’année, ainsi que ses fiefs l’y
obligeaient. Il y assista, en tête de la noblesse, à l’assemblée des trois États
convoquée pour voter les subsides demandés par le roi pour l’expédition d’outre-
mer. La même année, en raison de la lettre de son père, il fut investi du comté de
Castres et en présenta l’hommage au roi Louis IX. Le 13 septembre, il s’accorda
avec les vicomtes de Lautrec au sujet d’une somme de 400 marcs qu’ils lui
devaient. Le 25 juillet 1269, il assista à une nouvelle réunion des trois État (3). Au
château de Roquecourbe, le 1er avril 1270, en présence de Jeanne, sa femme, il fit
son testament, par lequel il institua tous ses enfants héritiers suivant la coutume
de France, avec cette réserve que celles de ses filles qui auraient été dotées
durant sa vie ou celle de sa femme, n’y auraient point part. Il fondait un chapelain
à Roquecourbe, près de Carcassonne, et assignait divers legs, notamment une
rente de dix livres aux Frères Prêcheurs de Castres, qu’il avait fondés en 1258 (4).
(3) D. VAISSÈTE, VI, 905, 913; VIII, 1661, 1665, 1630.
(4) Arch. du domaine de Montpellier, Castres, liasse 1, n°1. — D. VAISSÈTE, VI,

924; VIII, 360. — D. MARTÈNE, Ampl. coll., VI, 485.
Aussitôt après, il repartit pour Naples, où Charles d’Anjou l’attendait pour passer
en Afrique. Il mourut devant Tunis le 28 septembre 1270: Géraud de Burlas,
chevalier et son écuyer, fit enterrer ses entrailles et ses chairs dans le camp, mais
il apporta ses ossements et son cœur à Castres, où ils furent inhumés dans l’église
de Saint-Vincent le 9 septembre de l’année suivante, en présence de Jeanne de
Lévis, sa femme, et de toute la noblesse du comté. Un tombeau avait été préparé à
droite de l’autel du saint, du côté de la sacristie; les religieux y firent graver une
épitaphe où l’on vantait ses talents et ses vertus, mais surtout ses exploits
militaires; ils le représentaient comme la fleur de la chevalerie de son temps, bien
fait, libéral, rempli d’honneur, de probité, de piété, de courage et de sagesse (5).
En voici l’inscription: [p.108]
IN CELVM RECIPI DE FORTE MONTE PHILIPPI FAC ANIMAM, CHRISTE, FLOS

MILITIE FVIT ISTE, LARGVS, FORMOSVS, HVMILIS, SAPIENS, ANIMOSVS,
MILITIE RECTOR CAROLINE PVGNAT VT HECTOR. ORDINIS INVENTVS
FVNDATOR ET EDIFICATOR HVIVS CONVENTVS NON EST ITA VERVS
AMATOR. TVNICII MORITVR, SOLEMNITER HIC SEPELITVR; CONTINET HEC
FOSSA TANTI DOMINI COR ET OSSA.
(D. MARTÈNE, Ampliss. coll., VI, 498. — D. VAISSÈTE, VI, 924. [Traduction
littérale: “Fais, ô Christ, que soit accueillie au ciel l’âme de Philippe de Montfort.
Il fut la fleur de l’armée, libéral, beau, humble, sage, vaillant. Général de l’armée
-2724-
de Charles il se bat comme Hector. Considéré comme le fondateur et le bâtisseur
de notre ordre, ami plus véritable de ce couvent que personne d’autre, il meurt à
Tunis, est enseveli ici solennellement. Cette fosse contient le cœur et les os de ce
si grand seigneur.” (B.G. 2007)])
(Gustave Estournet, in: http://www.corpusetampois.com/che-20-

estournet1944lafertealais.html#guy1montfort), C.Faucherand (ajout titres 3 et 4)
27 iv 2016.
Fonts:
- persona: G.Marsan (Fernandez de Bethencourt, Historia Genealógica y Heráldica
de la Monarquía Española, Casa Real y Grandes de España), J-P.de Palmas (FMG)
12 xi 2013, C.Faucherand (en note) 27 iv 2016
- família: J-P.de Palmas (FMG) 12 xi 2013
1.484.255:
JEANNE (-30 May 1284, bur Castres). A fragment written by Bernard Guidonis
names "dominæ Johannæ" as widow of "dominus Philippus de Monte Forti junior,
filius Philippi senioris"[3592]. A charter dated 15 May 1295 included in the
cartulary of Notre-Dame de la Roche records the partition of property of Montfort
and Castro, agreed by "Joannes de Monteforti comes Squllacii et Montis-Caviosi
ac regni Siciliæ camerarius, Bernardus de Convenis miles…et domicella Elienore
de Monteforti" which names their parents "bonæ memoriæ D Philippi de
Monteforti patris et D Joannæ de Leviers matris nostrum predictorum Joannis,
Lauræ et Elienoris"[3593]. A fragment written by Bernard Guidonis records the
death "III Kal Jun" in 1284 of "domina Johanna uxor quondamdomini Philippifilia
domini Mirapicis"[3594].
m PHILIPPE de Montfort, Seigneur de Castres et de la Ferté-Alais, son of

PHILIPPE de Montfort Lord of Tyre & his first wife Eléonore de Courtenay (-Tunis
24 Sep 1270, bur Castres).
[3593] Notre-Dame de la Roche, Notes Historiques, Pièces Justificatives, 25, p.

458.
Jeanne de Lévis est fille de Guy II et donc petite fille de Guy et Guiburge. cf:
(Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la RocheAuguste Moutié.
Paris.Plon.1862; p 357 et 365). prm 19 xi 2003
Fonts:
de España),, J-P.de Palmas (FMG) 12 xi 2013
- família: J-P.de Palmas (FMG) 12 xi 2013
-2725-
1.484.255a:
JEAN [II] de Montfort (-Foggia [1/3] Dec 1300, bur Foggia, transferred 29 Jun
1305 to Castres). The Lignages d'Outremer name "Johan…conte d'Esquilach et
conte chamberlain" as second son of "Phelippe de Monfort" and "la fille au conte
d'Ausseure", stating that Jean died without heirs[292], but this confuses Philippe
[I] with Philippe [II]. A charter dated 15 May 1295 included in the cartulary of
Notre-Dame de la Roche records the partition of property of Montfort and Castro,
agreed by "Joannes de Monteforti comes Squllacii et Montis-Caviosi ac regni
Siciliæ camerarius, Bernardus de Convenis miles…et domicella Elienore de
Monteforti" which names their parents "bonæ memoriæ D Philippi de Monteforti
patris et D Joannæ de Leviers matris nostrum predictorum Joannis, Lauræ et
Elienoris"[293]. Conte di Squillace e Montescaglioso. Captain-General of Calabria
1299. A fragment written by Bernard Guidonis records the death "Kal Dec" in
1300 of "dominus Johannes de Monte Forti comes Squillaci et Montis Caveosi ac
camerarius regni Siciliæ, dominus terræ Albigesii", his burial "Fogiain ecclesia
Fogitana" where he died, and his transfer 29 Jun 1305 "ad conventum
Castrensem"[294].
m firstly ISABELLA Maletta, daughter of MANFREDO Maletta & his wife [Filippa
di Antiochia]. The primary source which confirms her parentage and marriage has
not yet been identified.
m secondly GIOVANNA di Fasanella, Signora di Genzano, daughter of PANDOLFO

di Fasanella & his wife ---. The primary source which confirms her parentage and
marriage has not yet been identified.
m thirdly MARGUERITE de Beaumont-en-Gâtinais, daughter of PIERRE Seigneur

de Beaumont-en-Gâtinais & his wife --- (-Marseille Mar 1307). Her parentage and
first marriage are confirmed by the charter dated 1290 under which “Johannes de
Monteforti, Squillacii et Montiscanosi comes, ac regni Sicilie camerarius et
Margarita uxor mea” confirmed a bequest by “quondam dominus Petrus, dominus
Bellimontis…socer noster et pater prefate Margarete” to the abbey of Saint-
Antoine[295]. The primary source which confirms her second marriage has not yet
been identified. She married secondly Robert [II] de Dreux Seigneur de Beu
[Capet] (-1303).
Fonts:
- enterrament: J-P de Palmas (Foggia, Foggia, Pouilles, Italie en 12/1300, puis
Castres en 1305)
RocheAuguste Moutié. Paris.Plon.1862: p 367) 19 xi 2003
1.484.255b:
JEANNE de Montfort ([1255/60]-1300). Her birth date range is estimated from the
birth of her first child (by her first marriage) in [1274/75]. Jeanne must have been
considerably older than her sister Eléonore, considering her own estimated birth
date and that her sister gave birth to four children after her marriage in
[1295/1302]. A charter dated [1/28] Nov 1282 records an agreement between the
monks of Cluny and "Ludovicum dominum Bellijoci", and names “dominam
Ysabellam matrem suam, relictam domini Raynaudi, quondam comitis Forensis,
-2726-
patris sui” and “dominam Johannam, relictam Guidonis, quondam fratris dicti
Ludovici, et comitis Forensis”[288]. The court of Lyon confirmed the guardianship
of "Gioanni figlio pupillo di Guidone Conte di Forest" naming "Gioanna di Monfort
Contessa di Forest Madre del detto Gioanni" and her second marriage with
"Lodovico di Savoia Signore di Vaud fratello del Conte Amedeo" by charter dated
23 Jun 1283[289]. The testament of "dominæ Joannæ de Monteforti quondam
comitissæ Forensis, uxorisque quondam…domini Ludovici de Sabaudia domini
Vaudi" dated Nov 1293 chooses her burial "in cimiterio Fratrum Minorum
Montisbrisonis" and makes bequests to "a Gioanni di lei figlio Conte di Forest…ad
Isabella di Lei figlia moglie di Berardo di Merevel…a Lora, Margarita, Gioannetta,
Beatrice, Eleonora, Cattarina e Bianca pur sue figlie…a Pietro di Lei figlio…altri
suoi Benidto Lodovico suo figlio"[290]. She is not named in the agreement dated
15 May 1295 which records the partition of property between her brother and
sisters (see above)[291], which suggests that she may have died before that date.
m firstly (1268) GUY [VI] Comte de Forez, son of RENAUD Comte de Forez
[Albon] & his wife Isabelle de Beaujeu (-19 Jan 1278).
m secondly (1278) as his second wife, LOUIS de Savoie Baron de Vaud, son of
THOMAS II Conte [Marchese] del Piemonte & his second wife Beatrice Fieschi
([1254]-[10 Jan 1302/27 Apr 1303]).
[288] Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye
de Cluny (Paris) Tome VI, 5295, p. 719.
[289] Inventory of the State Archives of Turin (“State Archives”), volume 102,
page 14.2, fascicule 1, consulted at <http://ww2.multix.it/asto/asp/inventari.asp>
(14 Nov 2003).
[290] State Archives, volume 104, pages 33 and 34, fascicules 20.1 and 20.2, and
La Mure, J. M. de (1675 manuscript, 1860) Histoire des ducs de Bourbon et des
comtes de Forez (Paris), Tome III, Preuves, 81, p. 73.
[291] Notre-Dame de la Roche 25, p. 25.
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Olivier Dessemontet, «Le testament de Jeanne de
Montfort dame de Vaud», in Nouvelles pages d'histoire vaudoise, 1967, p? 45-61)
29 viii 2011, J-P.de Palmas (FMG) 12 xi 2013
- família 2: D.de Raugl (Stéphane Bontron)
1.484.255d:
LAURE de Montfort (-before 1 Dec 1300). A charter dated 15 May 1295 included
in the cartulary of Notre-Dame de la Roche records the partition of property of
Montfort and Castro, agreed by "Joannes de Monteforti comes Squllacii et Montis-
Caviosi ac regni Siciliæ camerarius, Bernardus de Convenis miles…" which
specifies that the latter was "primogenitus D comitis Convenarum" and that he
was acting for "Lauræ de Monteforti consortis nostræ"[296].
-2727-
m BERNARD [VII] Comte de Comminges, son of BERNARD [VI] Comte de
Comminges & his wife Thérèse --- (-21 Jul 1312).
[296] Notre-Dame de la Roche, Notes Historiques, Pièces Justificatives, 25, p. 458.
 "5° Laure, qui atteignit sa quinzième année en février 1274; elle épousa
Bernard VI, comte de Cominges, et mourut avant son mari, laissant neuf enfants."
(http://www.corpusetampois.com/che-20-
estournet1944lafertealais.html#guy1montfort) (G. Estournet, citant Père
Anselme, II, 632, en note) C.Faucherand, 26 iv 2016.
Fonts:
de España)
- naixement: C.Faucherand (G. Estournet, citant Père Anselme, II, 632, en note) 26
iv 2016
- família: H.R.Moser/Anselme-II/633
1.484.255e:
SIMON de Montfort (-Apulia 24 Jan 1275, bur Castres). A fragment written by
Bernard Guidonis records the death "IX Kal Febin partibus Apuliæ" in 1275 of
"dominus Simon de Monte Forti miles, filiusdomini Philippi patroni nostri" and his
burial "in eadem ecclesia Sancti Vicentii ad pedes genitoris sui"[300].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 12xi2013
1.484.256:
Source : Schwennicke n° 13-60.
Fonts:
- persona: F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet) http://pdelyon.free.fr
- família 1: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 123, sgr de Lèves, 1990) 15 v 2016
- casament 2: N.Chardiny 9.11.09 (pierfit)
- família 2: N.Chardiny 09.11.09 (pierfit)
1.484.257:
Fonts:
- casament: N.Chardiny 9.11.09 (pierfit)
- família: N.Chardiny 09.11.09 (pierfit)
1.484.258:
"The Histoire des ducs de Normandie records “mareschaus de l’ost Adans de
Biaumont, qu on apieloit en sornon Brostesinge” in the army sent by Louis (the
future Louis VIII King of France) to invade England in Dec 1215."
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/CENTRAL%20FRANCE.htm)
-2728-
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t. III-4 tableau 667 -
Beaumont-du-Gâtinais-, Marburg 1989) 6 v 2016
- família: H.R.Moser/EuSt-III.4/667
1.484.259:
Fonts:
1.484.259a:
 sans postérité connue
Fonts:
1.484.259b:
"Jean-Guillaume de Beaumont (mort en 1257), fils d'Adam II de Beaumont-Gâtinais
et d'Isabelle de Mauvoisin, seigneur de Beaumont-du-Gâtinais prend la dignité de
Maréchal de France avec une obligation de 230 livres tournois dont le roi Saint
Louis avait répondu pour lui à Acre au mois de juin 1250.
Guillaume a participé à la septième croisade en Égypte en 1248. Après l'échec de

la croisade en 1250, il accompagne le roi Louis IX à Acre, où il est maréchal du
roi.
Au conseil royal, il est de ceux qui se prononcent pour le maintien du roi en Terre
sainte tant que des Croisés se trouveraient prisonniers en Égypte. Il entre ainsi en
conflit avec son oncle Jean de Beaumont-du-Gâtinais, Grand chambrier de France,
qui plaidait pour un rapide retour du roi en France et traita Guillaume de « rustre
grossier » devant l'assemblée des courtisans. Finalement Guillaume vit sa position
adoptée puisque la présence du roi en Orient fut prolongée jusqu'en 1254."
(Wikipédia citant Joinville, "Vie de Saint-Louis") C.Faucherand, 17 v 2016.
Fonts:
Beaumont-du-Gâtinais-, Marburg 1989) 6 v 2016, C.Faucherand (compléments:
Wikipédia citant Joinville, "Vie de Saint-Louis") 17 v 2016
- defunció: Ch. Faucherand (Wikipédia citant Joinville) 16 v 2016
1.484.259c:
Fonts:
1.484.259d:
-2729-
Fonts:
1.484.259e:
Fonts:
1.484.259g:
Fonts:
1.484.259h:
Fonts:
1.484.260:
En 1229, suite à la signature du traité de Paris, Gui de Lévis, originaire de Lévis-
Saint-Nom en Seine-et-Oise, prend le nom de Guy I de Lévis Mirepoix.
Lieutenant de Simon de Montfort, il s’est distingué durant la croisade contre les
Albigeois, i. e. contre l’hérésie cathare. Il obtient à titre de récompense le fief
(50km x 46km) de Mirepoix et de Lagarde, de Florensac dans l'Hérault, ainsi que
le titre héréditaire de "Maréchal de la Foi". Il meurt en 1233.
extrait de l'excellent blog La dormeuse
statue tombale de Gui I Abbaye Notre Dame de la

Roche, paroisse de Lévis (aujourd’hui Lévis-Saint-
Nom), Yvelines
Fonts:
-2730-
- persona: J-P de Palmas (La maison de Lévis Mirepoix)
- família 2: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.367, par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
1.484.261:
Auguste Moutié doute que Guiburge soit une Montfort; il écrit qu'elle était "dame
d'un fief situé à Voisins-le-Thuit" et vraisemblablement issue d'une famille noble
des environs, mais que dans aucune charte il n'est précisé que son mari Guy de
Lévis était beau-frère de Simon de Montfort. prm
Selon pierfit elle serait la fille de Simon de Montfort.
--R.S.
Porte : de gueules au lion d'argent armé et lampassé d'azur
Fonts:
- persona: P Ract Madoux (Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la
RocheAuguste Moutié. Paris.Plon.1862. p 356-357) 19 xi 2003
1.484.261b:
Fonts:
- persona:
http://web.genealogie.free.fr/Les_dynasties/Les_dynasties_celebres/France/Dynasti
e_de_Levis.htm
1.484.264:
 1220 : confirme aux religieux de l'abbaye de Vauluisant (ordre de
Citeaux, diocèse de Sens) le droit de salage accordé par son aieul, le
vicomte Louis. En aout de la même année, il rédige son testament.
Fonts:
- persona: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de
France"de JB de Courcelles, 1825.
- família: Y. Gobilliard (16-7-06), H.R.Moser/Anselme-V/223, J-P de Palmas
(Voisines paroisse de Thorigny sur Oreuse) iii-2009
1.484.265:
La terre de Montreuil passa par ses filles dans la maison de Melun d'où sont issus
par les femmes les ducs de Longueville.
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard - C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et
héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825.
- família 1: Y. Gobilliard (16-7-06), H.R.Moser/Anselme-V/223, J-P de Palmas
(Voisines paroisse de Thorigny sur Oreuse) iii-2009
- família 2: N. Danican (cartulaire de Pontoise)
- família 3: H.R.Moser/Anselme-V/223, Y. Gobilliard (16-7-06)
-2731-
1.484.265b:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Voisines, paroisse de Thorigny sur Oreuse) iii-2009
1.484.265c:
 1228 : en octobre, se rend caution pour la somme de 500 marcs d'argent
comme garantie du traité conclu entre le comte de Champagne et les
Templiers.
 1229 : confirme avec son épouse Persaïde dame de Vaux, les aumones
que feu Gilles de Melun, seigneur de Givry, son frère, a fait à l'Hotel Dieu
de Melun.
Fonts:
- família: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de
1.484.265d:
Fonts:
1.484.265e:
Fonts:
1.484.265-2a:
Fonts:
- família: N. Danican (cartulaire de Pontoise)
1.484.265-3a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-I/487+EuSt-III/1-112, Y. Gobilliard (10-11-06)) ,
G.Hazard (Anselme T2) vii2009
1.484.266:
Étienne II de Sancerre, (1180 ou 1190 - † 1252), seigneur de Charenton-du-Cher,
de Châtillon-sur-Loing et de Saint-Brisson-sur-Loire, Marchéville, de Montreuil-
Bellay[1] et La Loupe, Grand bouteiller de France à partir de 1248, fils d'Étienne
Ier, le premier comte de Sancerre [2] et de sa troisième femme.
Biographie
-2732-
Orphelin de son père, mort en
croisade, Étienne II était encore en
1199 sous la tutelle de son oncle,
cardinal et archevêque de Reims,
Guillaume de Champagne. Il
accorda en 1210 les coutumes de
Lorris aux habitants de Saint-
Brisson[3] et épousa, la même
année, Alienor ou Éléonore de
Nesle-Soissons (+ entre mai 1229 et avant 1234[4]), fille de Raoul Ier de Nesle(+
1235), comte de Soissons, châtelain de Noyon, et d’Adélaïde ou Alix de Dreux[5],
châtelaine douairière de Noyon, dame de Montjay-la-Tour (v.1145/6-1205/1210),
veuve de Mathieu III († 24/11/1208), comte de Beaumont-sur-Oise.
Étienne participa à la bataille de Bouvines, comme vassal de son frère le comte

Guillaume Ier, le (27 Juillet 1214). Il y combat sur l'aille droite, commandée par le
duc Eudes III de Bourgogne, de l'armée du roi de France, Philippe Auguste[6].
Étienne II reçoit en 1216 de son frère, qui s’apprête à partir pour Constantinople,
les terres de Châtillon-sur-Loing et de Saint-Brisson. La même année, il fait, en
compagnie de son épouse, le don d’un bien à l’abbaye de Saint-Denis, bien acquis
autrefois par son épouse et son premier mari, le comte de Beaumont, auprès de
Thiébaut de Boucherolles[7]. Il prit part à l' expédition anglaise du prince héritier
Louis le Lion[8], en 1216 et 1217. Cette même année, il transige avec l’abbé de
Saint-Benoît-sur-Loire au sujet de terres, tailles et justice. Le seigneur de
Châtillon se porte caution en 1218 pour Elisabeth d’Amboise quand elle est tenue
de régler 5 000 livres à la comtesse de Champagne dans le cadre du rachat de
biens intervenant dans la succession de feu Thibaud VI, comte de Blois.
Étienne est un des familiers de Louis VIII qui l’apprécie et lui confie plusieurs
missions dans le royaume[9]. D’abord vice-chambellan de l’hôtel royal[10], il
devient Grand bouteiller de France, à partir de 1248 et durant la minorité de
Louis IX. Cette charge est un titre du trésor des chartes du Roi[11],
précédemment tenue par Robert de Courtenay[12]. Il souscrivit l'acte de foi et
hommage fait en 1225 par Guillaume d'Auvergne, comte de Clermont, au roi Saint
Louis du comté de Montferrand, avant de prendre part à l’intervention du roi
Louis VIII contre les Albigeois et qui part de Bourges en mai 1226. Il est d’ailleurs
présent au siège d’Avignon le mois suivant[13],[14].
En secondes noces, Étienne II se marie avec Agnès Berlay (1190-1238), fille de

Géraud III Berlay, seigneur de Montreuil-Bellay (c. 1190) et de Mathilde, veuve de
Guillaume II († 4 mai 1221), vicomte de Melun, et de Galeran II, seigneur d’Ivry,
en 1234. Il fonda au mois de janvier 1236 quatre chanoines réguliers en la
chapelle de son château de la Loupe. Étienne est encore mentionné en mars 1236,
lorsqu’il accorde à l’Eglise de Saint-Antoine à Paris une rente de 20 livres, pour le
repos de ses trois fils défunts Etienne, Jean et Thibaud, à prendre sur les moulins
qu’il tient en fief du comte de Chartres[15]. En juin 1240, il fonde une chapellenie
dans son château de Saint-Brisson après avoir obtenu le consentement de l’abbé
de Saint-Benoît. Étienne apparaît encore en mai 1250 quand il reconnaît que les
100 livres que le roi de Navarre lui a accordées sur les foires de Saint-Ayoul ne
sont transmissibles à sa descendance.
-2733-
Étienne eut avec Aliénor 7 enfants:
 B1 Étienne de Sancerre (cité en 1218, + avant 03.1236[16]).

 B2 et B3 Jean et Thibaud de Sancerre (cité en 1218, + noyés avant mars
1236). Jean et son frère jumeau Thibaud se noient au cours d’une
baignade dans la Seine, près de l’Abbaye de Barbeau où ils sont
inhumés[17].
 B4 Éléonore de Sancerre, (1218[18]-après 1255).
 B5 Alix de Sancerre (1216-citée en 1218- + après 1263[19]), dame de
Mauny et d’une partie de Châtillon-sur-Loing.
 B6 Constance de Sancerre (1221-1275[20]), dame de La Loupe,
Concressault, Les Ecrennes, et Marchéville, et d’une partie de Châtillon-
sur-Loing.
 B7 Marie de Sancerre, (citée en 1218)
Étienne et Agnès de Montreuil-Bellay eurent un fils:
 B8 Étienne III de Sancerre, seigneur de Châtillon-sur-Loing, de

Marcheville, etc.
Divers
Une fille d’Étienne de Sancerre, dont on ignore le nom, épousa Philippe Ier de
Montfort. En décembre 1251, ledit Étienne de Sancerre, faisant en France les
affaires de son beau-fils, Philippe de Montfort, amortit aux religieuses de Villiers-
le-Châtel la donation par Erembour de Centignonville du droit de champart,
justice et redevances, achetés en 1245 à Philippe de Garancières[21]. Au moment
de quitter la France, Philippe de Montfort avait laissé la gestion de ses biens à son
beau-père, Étienne de Sancerre, qui la remit à son fils aîné, Philippe II de
Montfort, dès que celui-ci eut atteint sa majorité: il s’était réservé une rente de
deux mille livres qu’il lui abandonna un peu plus tard.[22]. [p.104]
Notes et références
1. Volvire de Ruffec [archive]

2. La dynastie des Blois [archive]
3. Vingt-troisième génération [archive]
4. William MENDEL-NEWMAN, op. cit., p. 66
5. Patrick VAN KERREBROUCK - Les Capétiens – 987-1328 - t. II, p. 308.
6. La page du généalogiste fou La bataille de Bouvines [archive]
7. B.N. Dom VILLEVIEILLE – Trésors généalogiques – Mss. Fr 31965
8. earlyBlazon.com [archive]
9. Gérard SIVÉRY- Louis VIII - p. 298
10. Gérard SIVÉRY, op. cit., p. 280
11. Vingt-troisième génération [archive]
12. R. P. ANSELME VIII-517
13. Pierre BELPERRON - La croisade contre les Albigeois - p. 372
14. "Inventaire de la collection de sceaux" - Douët d'Arcq 3573bis date: 1235
15. B.N. Dom VILLEVIEILLE, op. cit., Mss. Fr 31965
-2734-
16. B.N. Dom VILLEVIEILLE, op. cit., Mss. Fr 31965
17. R.P. ANSELME II-848. Jean ADHEMAR – Les tombeaux de la collection
Gaignière – Dessins d’archéologie du XVIIe siècle – t. I, p. 36, présente
deux gravures (152 et 154) magnifiques des tombeaux de Thibaud et Jean
de Sancerre.
18. Eléonore et Marie de Sancerre sont citées dans une charte de donation à
l’abbaye de Cîteaux en 1218, cf. R.P. ANSELME II-847-848.
19. R.P. ANSELME II-848, Emile RICHEMOND, t. II - tableau généalogique -
extraction et parenté de Guillaume VI Crespin, époux de Mahaut de
Bommiers.
20. R.P. ANSELME II-848.
21. P. ANSELME, II, 848. — D. FLEUREAU, Hist. de l’abbaie de Villiers, p.
29.
22. ↑ CATEL, Mém. de l’histoire du Languedoc, p. 705. — BALUZE,
Hist. gén. de la maison d’Auvergne, II, 523. — D. VAISSÈTE, VII,
124.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 11-v-2009
- naixement: A.Brabant
- defunció: A.Brabant
- casament 1: A. Brabant
- família 1: J-P de Palmas (wikipedia) 11-v-2009
- família 2: H.R.Moser/Anselme-V/223, Y. Gobilliard (16-7-06)
1.484.267:
Fonts:
- persona: A.Vivier, S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de Grandpré-2003/2006--
http://racineshistoire.free.fr./LGN)17.02.2016
- casament: A. Brabant
- família: J-P de Palmas (wikipedia) 11-v-2009
1.484.267a:
Cité en 1218.
Fonts:
1.484.267b:
Jean et son frère jumeau Thibaud se noient au cours d’une baignade dans la Seine,
près de l’Abbaye de Barbeau où ils sont inhumés.
Fonts:
- defunció: noyé
1.484.267c:
Jean et son frère jumeau Thibaud se noient au cours d’une baignade dans la Seine,
près de l’Abbaye de Barbeau où ils sont inhumés.
-2735-
Fonts:
- defunció: noyé
1.484.267d:
Fonts:
- família: N. Danican (P. Leportier, Familles médiévales normandes) 19xii05
1.484.267e:
Fonts:
- persona: F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet) http://pdelyon.free.fr,
A.Brabant
- família: F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet) http://pdelyon.free.fr,
H.R.Moser/EuSt-III/4, G.Hazard (Inventaire des titres de la maison de Milly - O.de
Poli) 11/2011
1.484.267-2a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-I/487+EuSt-III/1-112, Y. Gobilliard (10-11-06)) ,
G.Hazard (Anselme T2) vii2009
1.484.268:
Fonts:
- família 2: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012
1.484.269:
Fonts:
- família 1: H.R.Moser/EuSt-XIII/158
1.484.269-1b:
Fonts:
- persona: D.de Raugl (J.P.Masson), H.R.Moser/Anselme-VI/628
- família 1, família 2: D.de Raugl (J.P.Masson)
1.484.270:
Vestiges de la forteresse de Château Renard (Loiret)
En 1232, le seigneur Gaucher 1er, comte de Joigny, descendant des seigneurs

Renard, obtient l'autorisation royale de rebatir le chateau Haut (la forteresse).
[Note corrective de jblg : Gaucher n'était pas descendant des seigneurs Renard.. .
Le prénom lignager de ses ancêtres était Renard ! la forteresse fondée par
Renard, issu des comtes de Joigny, fût nommée d'après ce prénom fondateur . Il
est vrai que le prénom est aujourd'hui peu connu .] Chateau Renard est alors un
exemple majestueux de l'architecture médiévale. La forteresse dominant l'Ouanne
exhibe fièrement ses 16 tours et son monumental donjon.
-2736-
Fonts:
- persona: E. Driant (Belleval), J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006,
J-P.de Palmas (Vestiges de la forteresse de Château Renard - Loiret) 18 viii 2012
- família 1: E. Driant (Belleval)
1.484.271:
1ères noces : Union arrangée sous la pression armée de Simon de Montfort.
Porte de gueules au lion d'argent, la queue nouée, fourchée et passée en sautoir.
Fondatrice du monastère des Sœurs dominicaines de Montargis ou elle fut
inhumée. [C.-H.Maigret 15 vii 2012]
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr)
- enterrament: C.-H.Maigret (P.A.) 15 vii 2012
1.484.274:
Jean II de Soissons, gendre de Roger de Chimay, lui succèda. En avril 1230, il
passe avec le roi de France un acte aux termes duquel chacun des contractants
s’obligeait à ne pas retenir en son pouvoir les Juifs de l’autre partie. En 1241, à la
mort de son épouse, il reçut de l’évêque de Liège, Robert, la garde de la
châtellenie de Couvin qu’il possédait du chef de sa femme, à charge de la garder
jusqu’à la majorité de son fils Jean à qui elle devait revenir. En 1248, Jean II se
croisa et partit avec St Louis pour Damiette. Il assista au siège de cette ville et
revint peu après sans avoir accompagné le roi dans son pèlerinage en terre sainte.
A son retour, il prit part à la guerre que Marguerite de Flandre dirigea contre les
d’Avesnes. A la paix de Péronne, il s’engagea avec d’autres seigneurs, à ne prêter
aucun secours, ni à Marguerite, ni à son fils Guy, s’ils voulaient recommencer les
hostilités. En 1258, il détermina le mode d’élection des maïeur et échevins de
Chimay. Il mourut en 1270. De son mariage avec Marie de Chimay lui étaient nés
deux fils, Jean III et Raoul, et deux filles, Marie et Alienor. A la mort de sa
première femme il avait épousé Mahaut d’Amboise.
-2737-
JEAN [II] de Nesle, son of RAOUL de Nesle Comte de Soissons & his third wife
Ada d’Avesnes (-[Apr 1270/Feb 1272). The Chronicon Hanoniense of Baudouin
d’Avesnes records that "la seconde fille monseignour Raoul de Couci" married
secondly "le conte Henri de Grantpre" by whom she had a daughter who married
“au conte Raoul de Soissons”, by whom she had “2 fils et une fille, li ainsnes des
filsJehans” who succeeded his father as comte de Soissons[4428]. His mother’s
identity is indicated by the charter dated [May] 1267, quoted below, in which Jean
named “moncousin mon signor Henri de Hans chevalier”, who is identified as
Henri de Grandpré-Hans, grandson of Raoul’s third wife by her first husband.
"Johannes comitis Suessionensis primogenitus dominus de Turno et de Cimaio"
granted canalisation rights to Notre-Dame de Soissons by charter dated 1 Nov
1213, confirmed by "Radulfus comes Suession. de consensu Adæ uxoris sua et
filiorum Johannis domini de Turno et Radulfi" in 1231[4429]. It is assumed that
the 1 Nov 1213 document is misdated, considering Jean’s birth date. "Johannes
Suessionensis miles, primogenitus comitis Suessionensis, dominus de Turno et
Cisinaco" and "Maria uxor ipsius Johannis" noted donations to the Teutonic
knights by charter dated May 1234[4430]. He succeeded his father in 1235 as
Comte de Soissons. Comte de Chartres, Seigneur d'Amboise. “Iehans cuens de
Soissons” acted as guarantor to Thibaut IV Comte de Champagne for “moncousin
mon signor Henri de Hans chevalier” [Henri de Grandpré-Hans] by charter dated
[May] 1267[4431]. "Alienordis filia Ioannis comitis Suessionensis relicta defuncti
Reginaldi quondam vicecomitis Thoarcii" confirmed the transfer of “custodiam
castri de Thefauges” to “Savaricus vicecomes Thoarc. frater quondam dicti
Reginaldi”, naming as guarantors “patrem meum dominum Ioannem comitem
Suessionensem, dominum Matheum de Montemorenciaco, Radulphum de
Suessione patruum meum et Guillelmum vicecomitem Meledunensem milites”, by
charter dated Feb 1269[4432]. m firstly (before May 1234) MARIE de Chimay,
daughter of ROGER de Chimay & his wife Agnes --- (-after 20 Mar 1241). The
Chronicon Hanoniense of Baudouin d’Avesnes records that "Jehansconte de
Soissons" married "la fille monseignour Alart de Chimay ki siet en Haynauhoirs de
la terre de Chimai" by whom he had “2 fils et 3 filles”[4433]. The chronology
appears more favourable for the wife of Jean Comte de Soissons to have been the
daughter of Roger de Chimay. "Johannes Suessionensis miles, primogenitus
comitis Suessionensis, dominus de Turno et Cisinaco" and "Maria uxor ipsius
Johannis" noted donations to the Teutonic knights by charter dated May
1234[4434]. m secondly as her second husband, MATHILDE d'Amboise, Dame
d'Amboise, de Montrichard et de Chaumont, widow of RICHARD [II] Vicomte de
Beaumont-sur-Sarthe, daughter of SULPICE [III] Seigneur d'Amboise & his wife
Isabelle de Blois Ctss de Chartres (-12 May 1256). “Sulpice d’Amboise” donated
property to Notre-Dame de Fontaines, with the consent of “sa femme Elisabeth et
de sa fille Mathilde”, for the souls of “Elisabeth comtesse d’Angoulême sa sœur”,
by charter dated Apr 1213[4435]. Her first marriage is confirmed by the charter
dated 1235 under which [her husband] “Richard de Beaumont seigneur
d’Amboise, de Montrichard et de Chaumont” ratified a donation to Tours Saint-
Martin made by “Mathilde sa femme”, and confirmed a donation of part of “[les]
péages de Montrichard” made by “Guillaume d’Amboise son oncle”[4436]. The
primary source which confirms her second marriage has not been identified.
Comte Jean [II] & his first wife had [six] children.
[4428] Balduinus de Avennis Genealogia, MGH SS XXV, p. 436.
[4429] Germain (1675), Preuves, p. 446.
[4430] Abbé Laloire (ed.) (1878) Chartes de la commanderie de Beauvoir de
l'Ordre Teutonique, Collection des principaux cartularies du diocèse de Troyes
-2738-
Tome III (Paris, Troyes) ("Beauvoir") 43, p. 206.
[4431] Chantereau le Febvre (1662), Autres preuves par les Actes, p. 256.
[4434] Beauvoir, 43, p. 206.
[4435] Mabille, E. ‘Catalogue analytique des diplômes, chartes et actes relatifs à
l’histoire de Touraine contenus dans la collection de Dom Housseau’, Mémoires de
la Société archéologique de Touraine, Tome XIV (Tours, 1864) (“Mabille
‘Collection Dom Housseau’ (1864), Tome XIV”), 2373, p. 271, citing ‘Cartul. de
l’abbaye de Fontaines, fol. 30 v’.
[4436] Mabille ‘Collection Dom Housseau’ (1864), Tome XIV, 2794, p. 334, citing
‘St. Martin - Pancarte blanche, fo. 119 v’.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Histoire de Chimay) 29 x 2016
- família: J-P.de Palmas (FMG) 30 x 2016
1.484.275:
JBLG / Roserot ne la connaissait que sous le nom de Marie "de Turny" sans
connaître son ascendance.
MARIE de Chimay (-after 20 Mar 1241). The Chronicon Hanoniense of Baudouin
d’Avesnes records that "Jehansconte de Soissons" married "la fille monseignour
Alart de Chimay ki siet en Haynauhoirs de la terre de Chimai" by whom he had “2
fils et 3 filles”[880]. The chronology appears more favourable for the wife of Jean
Comte de Soissons to have been the daughter of Roger de Chimay. "Johannes
Suessionensis miles, primogenitus comitis Suessionensis, dominus de Turno et
Cisinaco" and "Maria uxor ipsius Johannis" noted donations to the Teutonic
knights by charter dated May 1234[881].
m (before May 1234) as his first wife, JEAN de Nesle, Comte de Soissons, son of
RAOUL de Nesle Comte de Soissons & his third wife Ada d’Avesnes (-[Apr
1270/Feb 1272]).
[881] Abbé Laloire (ed.) (1878) Chartes de la commanderie de Beauvoir de l'Ordre
Teutonique, Collection des principaux cartularies du diocèse de Troyes Tome III
(Paris, Troyes) ("Beauvoir") 43, p. 206.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Roserot: Arcis sur Aube)19/05/2006, JB.de La
Grandiere (pour modifs et fusion : "Montréal à sire de Chastellux" pp 230. 231,
2013) 12 v 2015, J-P.de Palmas (FMG) 30 x 2016
- família 1: J-C de Vaugiraud (Roserot: Arcis sur Aube)19/05/2006
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 30 x 2016
1.484.275a:
Jean III de Soissons succéda à son père et prit du vivant de celui-ci le titre de
seigneur de Chimay. Ce fut sans doute dès sa majorité qu’il fut mis en possession
des biens venant de Marie de Chimay, sa mère. Il épousa Marguerite de Montfort
qui lui donna trois fils, Jean, Raoul et Jean dit de Nelse. De concert avec sa femme,
il accorda en mai 1276, à l’abbaye de Clairefontaine, pour sa maison de Beaurieu,
des aisements et des pâturages ; il exempta également les moines du droit de
pesage pour les fers qu’ils achèteraient dans la châtellenie de Chimay. Il se rendit
à Rome et en rapporta les reliques de St Prisce. Il mourut le 12 janvier 1282 et fut
enterré dans le chœur de l’église de Chimay « près du degré où se placent les
-2739-
enfants choristes » dit le doyen Coppée.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Histoire de Chimay) 29 x 2016
1.484.275b:
RAOUL de Nesle (-Tunis [1270/71]). The Chronicon Hanoniense of Baudouin
d’Avesnes records that "Jehansconte de Soissons" married "la fille monseignour
Alart de Chimay ki siet en Haynauhoirs de la terre de Chimai" by whom he had “2
fils et 3 filles, li ainsnes des filzJehan et li autres Raouls”, adding that Raoul died
“en Tunnes jones bachelers quant li rois Loys de France y als”[4463]. Seigneur du
Thour et de Cœurves.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 x 2016
1.484.275c:
ADELA de Nesle (-before 1252). The late 13th century genealogy by Balduinus de
Avennis records that "Joannes", son of "domino Arnulpho de Audenarde", married
"filia Joannis comitis Suessionensis"[4464]. The Chronicon Hanoniense of
Baudouin d’Avesnes records that "Jehansconte de Soissons" married "la fille
monseignour Alart de Chimay ki siet en Haynauhoirs de la terre de Chimai" by
whom he had “2 fils et 3 fillesli ainsnesAelis fut mariee a monseignour Jehan
d’Adenarde, qui ot de li une filleMarie”[4465].
m as his first wife, JAN van Oudenarde et de Rozoy-sur-Serre, son of ARNOUD [IV]
Heer van Oudenaarde & his wife Alix de Rosoy (-[12 Dec 1293/Apr 1294]).
[4464] Balduinus de Avennis Genealogia, RHGF XIII, p. 561.
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-VII
1.484.275d:
Mariée très jeune, décédée peu de temps après son mariage.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (B.Pâris + HG 119 p 207) 17/06/2006
- defunció: J-C de Vaugiraud (B.Pâris + HG 119 p 207) 17/06/2006
- família: F d'Avigneau (geneanet leclere)
1.484.275e:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Sars 12 "de Barbançon") 5 ix 2005
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII
1.484.276:
-2740-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Liste des seigneurs de L'Etoile, par Ghislain Lancel)
14x2011
- família: J-P de Palmas (Liste des seigneurs de L'Etoile, par Ghislain Lancel)
14x2011
1.484.277:
Fonts:
14x2011
14x2011
1.484.277b:
Bernard reçoit L'Etoile (sauf les marais, qui ne relèvent pas de St-Riquier) par
échange de terres avec son frère Dreux.
Fonts:
14x2011
1.484.280:
ENGUERRAND de Picquigny, son of GUERMOND [III] de Picquigny Vidame
d’Amiens & his wife Flandrine d’Amiens (-[Jun/Nov] 1224). Vidame d’Amiens.
“Ingelrannus de Pinconio vicedominus Ambianensis” confirmed a donation to
Amiens made by "Fulcho dominus de Kyerru" by charter dated 6 Apr 1204[276].
"Enguerrand de Picquigny, vidame d’Amiens" confirmed the donations made to
the leprosery of Picquigny by "Gérard l’ancien vidame son ayeul, par Gérard son
frère" and founded "une chapellenie à Tansol" for the soul of "Enguerrant de Lully
son cousin", by charter dated 1205[277]. “Ingelrannus de Pinchonio vicedominus
Ambianensis” donated property to the church of Amiens for the anniversaries of
"meo etuxoris mee Margarete" by charter dated Apr 1209[278]. "Enguerrand Sgr
de Picquigny vidame d’Amiens" donated property to the abbey of Gard, with the
consent of "Marguerite sa femme, de ses fils et filles Girard, Renaut, Flandrine,
Ide, Marguerite et Marie", by charter dated Aug 1216[279].
m MARGUERITE de Ponthieu, daughter of JEAN [I] Comte de Ponthieu & his third
wife Beatrix de Saint-Pol (-after Aug 1216). The primary source which confirms
her parentage has not been identified. “Ingelrannus de Pinchonio vicedominus
Enguerrand & his wife had [eleven] children.
[276] Amiens, I, 112, p. 149.
[277] La Gorgue-Rosny (1877), Documents inédits, Extraits du Cartulaire de

Picquigny, p. 30.
-2741-
[278] Amiens, I, 123, p. 160.
[279] La Gorgue-Rosny (1877), Documents inédits, Abbaye du Gard extraits du
cartulaire, p. 29.
[280] Amiens, I, 123, p. 160.
cartulaire, p. 29.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017
1.484.281:
MARGUERITE de Ponthieu (-after Aug 1216). The primary source which confirms
her parentage has not been identified. “Ingelrannus de Pinchonio vicedominus
m ENGUERRAND de Picquigny, Vidame d'Amiens, son of GUERMOND [III] de

Picquigny
[1578] Amiens, I, 123, p. 160.

cartulaire, p. 29.
Fonts:
1.484.281a:
MARIE (-after 1197). “Marie 1197” is named as oldest daughter of Enguerrand de
Picquigny, with her husband “Eustache d’Encre 1197†”, in Europäische
Stammtafeln[283]. The primary source which confirms that this information is
correct has not been identified.
m EUSTACHE d’Encre, son of --- (-before 1197).
[283] ES XIII 143.
Fonts:
1.484.281b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-VI/780, H.de La Villarmois (Bruges et le Franc tome I
Ghistelles -J.Cailliard 1857) 5 vi 2009, A. de Maere 13.07.2008
-2742-
1.484.282:
"Hérita de son frère Robert et continua la postérité.
Il fit une donation au chapitre de Térouane en septembre 1222 et abandonna au
prieuré, deux mesures de terres contiguës au mur de clôture et 20 livres pour la
fondation de son anniversaire qui avait lieu au calendes de juin".
[C-H.Maigret (comte de Brandt de Galametz - Le prieuré de Saint-André-lès-Aire)
30 viii 2011]
Fonts:
- persona: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005, C.Denancé (geneanet site
Guillaume de Wailly) 04.01.09
- naixement: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
- defunció: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005, C.Denancé (geneanet site
1.484.283:
Première abbesse de l'abbaye de Bouham, fondée par sa mère en 1223.
[C-H.Maigret (7 ix 2011)]
Fonts:
- persona: C.Denancé (geneanet site Guillaume de Wailly) 04.01.09
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005, C.Denancé (geneanet site
1.484.283a:
Fonts:
- família: C.Denancé (geneanet site Guillaume de Wailly) 04.01.09
1.484.283c:
Nommé dans une charte de 1280 de son seigneur Gui, comte de Flandre, qui
déclare appartenir à son vassal et à ses hoirs à perpétuité, onze mesures de terres
à Merville ;
il dera rendre à cause d'elles chaque année, 3 livres 5 sous, monnaie de Flandre à
la chapelle nouvellement fondée dans le moustier de Saint-Pierre audit Merville,
devant la Croix.
[C-H.Maigret (Quatrième cartulaire de Flandres à Lille, pièce 21) 31 wiii 2011]
Fonts:
- defunció: C-H.Maigret (Du Cange - Histoire des familles d'Outremer) 31 wiii 2011
1.484.283d:
"Conjointement avec son mari, Roger de Lille, elle donna, en décembre 1280,
pouvoir à Pierre de La Viefville de mettre à exécution la charte scellée du sire de
Crésecque, contenant abandon du prieuré de deux mesures de terres dites le
""courtil del aumosne gisant delez al tiere de Maugré"".
Béatrix reçu sur la fin de sa vie, le mercredi après l'octave de la chandeleur 1298
-2743-
qui fut le 11 février 1299, de Raoul de Clermont , connétable de France, sire de
Neelle, 300 livres de rente à tenir en fief du roi".
30 wiii 2011]
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (comte de Brandt de Galametz - Le prieuré de Saint-André-
lès-Aire) 30 wiii 2011
- defunció: C-H.Maigret (comte de Brandt de Galametz - Le prieuré de Saint-André-
- família 1, família 2: C-H.Maigret (comte de Brandt dee Galametz - Le prieuré de
Saint-André-lès-Aire) 30 viii 2011
1.484.284:
Né vers 1170, mort vers 1214. Il est le fils de Hugues de Beaumetz et Béatrix de
Guines. Seigneur de Beaumetz et Bapaume.
En avril 1202, Gilles de Beaumetz vend à Nicolas le Noir et Gérard, son fils,
bourgeois d'Arras, la terre de Croisilles.
Sa page wikipedia
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Sa page wikipedia)
- família: H.R.Moser/Chesnaye, J-P de Palmas (Histoire généalogique des maisons
de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy", André du Chesne, Paris 1631 - BNF et
Anselme) xii-2008
1.484.285:
Agnès de Coucy fille de Raoul Ier de Coucy et d'Alix de Dreux. Elle est née vers
1175. Elle s'est mariée à Gilles Ier de Beaumetz. Elle est morte vers 1214.
Histoire
Agnès de Coucy n'était pas encore mariée quand son père Raoul, seigneur de
Coucy fit son testament, par lequel il lui légua la somme de mille six cent livres
monnaie de l'Artois, à prendre sur les revenus ordinaires de Marle et de Crécy.
Mais depuis elle épousa Gilles Ier de Beaumetz, Châtelain de Bapaume, avec
lequel elle se trouve nommée en un titre de l'an mille deux cent quatorze.
Généalogie
De son mariage avec Gilles Ier de Beaumetz naquirent quatre fils, et quelques
filles :
 L'aîné des fils nommé Gilles succéda à son père en la seigneurie de

Beaumetz, et en la châtellenie de Bapaume, et fut marié avec la fille de
Jacques, seigneur de Bailleul dans le comté de Hainaut.
 Le second dit Raoul épousa Ide, dame de Baudour, veuve de Baudoin de
-2744-
Walaincourt, et trépassa sans postérité.
 Le troisième Thomas (1251-1263) fut le 58e Archevêque de Reims après
Juhel de Mayenne, successeur d'Henry de Dreux.
 Et le quatrième appelé Robert suivit la cour de Pierre de Dreux dit Pierre
Mauclerc, duc de Bretagne son cousin. A raison de quoi on lui donna le
surnom de Bretagne.
Extrait de "Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de

Coucy", du Chesne - Paris 1631 - BNF
AGNES de Coucy (-1214 or after). The testament of "Radulphus dominus Couciaci"

on the point of leaving on a journey, dated 1190, bequeathed money to
"…Agneti…filiæ meæ…Aelidis uxor mea"[1089]. The Chronicle of Baudouin
dÁvesnes records that "filia…domini Radulphi de Couchi Agnes" married "domino
de Beaumés Egidio castellano de Bapalmes", by whom she had "quatuor…filios et
filias…quorum primogenitus ex sorore domini Iacobi de Bailluel in Haynonia filios
genuit et filias, secundus…Radulphus uxorem duxit dominam de Baudour relictam
domini de Walaincourt et sine liberis mortuus est, tertius…Thomas clericus…et
postea Remensis archiepiscopus, quartus Robertus cognomen habuit de Britannia,
eo quod nutritus fuerat cum comite Britanniæ Petro"[1090].
m (after 1190) GILLES de Beaumetz Châtelain de Bapaume, son of ---. 1214.
[1089] Du Chesne (1631), Guines, Preuves, p. 353.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia, du Chesne, 1631 et FMG) 5 iv 2013
- família: H.R.Moser/Chesnaye, J-P de Palmas (Histoire généalogique des maisons
de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy", André du Chesne, Paris 1631 - BNF et
Anselme) xii-2008
1.484.286:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Henri Maigret) forum 2011-04-29 17:41
- naixement: G Grattepanche (fichier personnel) 31.VIII.2005
- defunció: G Grattepanche (fichier personnel) 31.VIII.2005
- família: F-L. Jacquier
1.484.287:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier
- família 1: F-L. Jacquier
- casament 2: F-L. Jacquier (H&G, 1993 n° 129 p. 395)
- família 2: F_L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
1.484.287b:
-2745-
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Anselme-VI+EuSt-XVIII
- família: Renaud de Paysac, R. Sekulovich (toile)
1.484.287c:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier
- naixement: G Grattepanche (fichier personnel) 31.VIII.2005
- defunció: G Grattepanche (fichier personnel) 31.VIII.2005
- casament: C-H.Maigret (Michel Champagne) 9 ix 2011
1.484.287d:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Michel Champagne - Les seigneurs de Longvilliers) 9 ix
2011
1.484.287-2a:
Fonts:
- persona: F_L. Jacquier (Miroslav Marek)
1.484.287-2b:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Michel d'Herbigny) 8 ii 2012, F_L. Jacquier (Miroslav
Marek) http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html/ A.Brabant
- família 1: A. de Maere 05.03.2005
- família 2: C-H.Maigret (Sars de Solmon) 11 ii 2012, JB.de La Grandiere (
Europäische StammtafeIn t. VIII p. 23 (sgrs de Wavrin) ) 22 vii 2012
- casament 3: C-H.Maigret (Base L. Ledieu) 3 xii 2014
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html,
1.484.287-2c:
Citée en 1230-1259.
[C-H.Maigret (Michel Champagne - Les seigneurs de Longvilliers) 9 ix 2011]
Fonts:
1.484.672:
Fonts:
- persona: Benoit de Crevoisier
- família: J-C de Vaugiraud (Rectifications Coëtmen) 1 i 2011
1.484.673:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Rectifications Coëtmen) 1 i 2011
- família: J-C de Vaugiraud (Rectifications Coëtmen) 1 i 2011
1.484.744:
-2746-
Fonts:
1.484.745:
Fonts:
1.485.952:
Fonts:
- persona: J-Louis Dega
- família: J-Louis Dega
1.485.953:
Fonts:
1.485.954:
Fonts:
1.485.955:
Fonts:
1.485.968:
Fonts:
1.485.969:
Fonts:
1.485.969b:
Fonts:
1.485.972:
Radulphus / Rodolphus dans les écrits en latin doit être "traduit" en français par
Raoul (Rodolphe est parfait pour le "saxon") jblg
Fonts:
1.485.973:
-2747-
Fonts:
1.485.973b:
Fonts:
1.485.976:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella, J-P de Palmas (wikipedia)
- família: M.Rébeillé-Borgella, J-P de Palmas (wikipedia) 24 ii 2011
1.485.977:
Illustration : Château de Montaigut.
Marie, était fille de Déodat de Caylus, seigneur de Caylus († av. 1182) et nièce de
Pierre de Caylus († 1182). Le second ayant vraisemblablement hérité des biens de
son frère. Marie possédait déjà le château de Bournac puis hérita de la moitié des
biens du Château de Caylus et de la ville de Saint-Afrique. Ses cousins, Pierre et
Arnaud, se partagèrent l'autre moitié et héritèrent respectivement du château de
Verzols et de celui de Roquefort. Marie eut deux fils, Déodat et Pierre qui sont
qualifiés de co-seigneurs de Montlaur, de Montaigut et d'Ayssenes dans un titre
de 1206. Déodat de Caylus, en se mariant avec Irdoine en 1209, se trouve
possesseur des deux importantes baronnies de Sévérac (1212) et de Canillac.
Marie, fille de Dieudonné, seigneur de Caylus en Albigeois , est d'une famille
d'ancienne chevalerie et de haut baronnage, sont connus avant l'an 1000 et
comptent dès celte époque reculée parmi les plus puissants du pays. C'est à tort
qu'un ancien généalogiste les fait descendre, au commencement du XIIIe siècle,
des vicomtes d'Ayssènes, en Vivarais, du surnom de Olargi. Un grand nombre de
monuments prouvent que la maison de Caylus est présente en Rouergue deux
cents ans avant cette époque, c'est-à-dire dès l'origine même des fiefs, et qu'elle
tire son nom de l'antique château dont on voit encore les ruines près Saint-
Affrique. Dame héritière de Caylus , Saint-Affrique, Bournac, dans le Rouergue et
du château de Montaigut, en 1192.
Le château de Montaigut
Les premières traces du château remontent au 10e siècle. Au 12e siècle, les
seigneurs font des dons pour la construction de l'abbaye de Silvanès. Construit
sur un promontoire, sur une nécropole mérovingienne, ce château défendait la
ville contre les attaques venant du midi. Le grand donjon est protégé par un mur
d'enceinte renfermant une basse-cour et des communs, et par un fossé taillé dans
le roc. Au 15e siècle, l'édifice est embelli et agrandi (construction de voûtes,
portes en accolade, cheminées gothiques, mâchicoulis et échauguettes). Au 17e
siècle, le système de défense est démantelé et le château recouvert d'un toit en
lauzes. Montaigut était également un lieu où la justice était rendue ; le château a
conservé sa prison intacte.
-2748-
Base Mérimée
Fonts:- persona: M.Rébeillé-Borgella, J-P de Palmas (wikipedia)

- família: M.Rébeillé-Borgella, J-P de Palmas (wikipedia) 24 ii 2011
1.485.977b:
Déodat et Pierre de Caylus, frères et fils de Marie, sont qualifiés de coseigneurs
de Montlaur, de Montaigut et d'Ayssenes dans un titre de 1206[2].
Fonts: persona: J-P.de Palmas (Déodat de Caylus) 29 v 2014
1.485.978:
Gui IV de Séverac, chevalier, confirme en 1189 la donation que son père a faite à
Pierre, abbé de Bonneval, de l'église de Pierrefiche. Il vit encore en 1209 et par
acte du 10 juin, il donne à Déodat de Caylus, son gendre, l'usufruit du château de
Saint-Gervais, diocèse de Mende, et de toutes ses dépendances. Il épouse Béatrix,
héritière de la maison de Canillac, dont il n'a qu'une fille. Par acte du 10 juin
1209, passé au château de Verrières,il donna à Déodat, son gendre, l'usufruit du
château de Saint-Gervais, au diocèse de Mende, et de toutes ses dépendances.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Barrau, tome I et Maison de Sévérac)
- família: J-P de Palmas (Barrau, tome I et Maison de Sévérac)
1.485.979:
Fonts:- família: J-P de Palmas (Barrau, tome I et Maison de Sévérac)
1.485.980:
1
La maison de Panat, depuis longtemps éteinte, tenait un rang distingué parmi la
haute noblesse du Rouergue, tant par son ancienneté que par un vasselage
considérable de nombreuses terres seigneuriales et des alliances contractées avec
les premières familles du pays. Elle a pris son nom du château de Panat, siège de
l'une des douze anciennes baronnies du Rouergue et dont elle remontait la
possession successive avec les qualifications chevaleresques, jusqu'au XIe siècle.
Les cartulaires de Conques et de Bonnecombe ont conservé la mémoire de ses
premiers sujets lesquels furent bienfaiteurs de ces monastères ou témoins des
bienfaits qui leur furent accordés.
En l'an 1060, Alboyn fils de Hérold, roi d'Angleterre, voyageant par dévotion dans
l'univers entier et passant en Rouergue, va au château de Panat, où il trouve cinq
frères de ce nom, Déodat, Ictor, Hugues, Brenguier et Géraud, ainsi que Hugues
et Rigaud de Cassagnes et de concert avec eux il rétablit le monastère de
Source : ( Cartulaire de Conques )
Clairvaux ruiné par les Sarrazins.
Références
1. Les seigneurs de Panat avaient la huitième place aux États du

Rouergue.
Fonts:- persona: J-P de Palmas (Barrau, Documents historiques et Généalogiques

du Rouergue, tome I, 1853) 31i2011
-2749-
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Documens historiques et généalogiques sur les
familles et les hommes, Barrau, tome I, 1853) 31i2011
1.485.981:
Fonts:- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Documens historiques et généalogiques
sur les familles et les hommes, Barrau, tome I, 1853) 31i2011
1.485.981b:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (site du château de Coupiac - 12/2004 et
Documens historiques et généalogiques sur les familles et les hommes, Barrau,
tome 1, 1853) 2004
1.485.982:
GUY "Guerregiat" de Montpellier (-Valmagne after Feb 1177). Under his
testament dated 11 Dec 1146, "Guillelmus de Montispessulano, filius Ermesende"
bequeathes the castra of Le Pouget and Paulhan (both Hérault) to "filio meo
Guidoni"[1566]. He was at war with his brother Guillaume [VII] in 1161[1567]. A
charter dated 1161 records the settlement agreed between “Guillelmum
Montispessulani et Guidonem fratrem suum”, naming “Guillelmo de Tortosa fratri
suoGuillelmus Montispessuli monachus pater eorum"[1568]. "Guillelmus dominus
Montispessulani et…Guido eius patruus atque tutor" recognised the rights of the
church of Maguelone over "mons Sancti Baudilii" by charter dated May
1173[1569]. Under his testament dated 29 Sep 1172, "Guillelmus dominus
Montispessulani, filius quondam Sibilie" names "Guido frater meus…"[1570]. In
his testament dated Feb 1178, "Guido Guerregiatus" referred to "uxori mee" and
bequeathed "Castelum Novumet villam de Sostanzon, et villam de Crez"
(Castelnau-le-Lez, Substantion and Le Crès) to "Guillelmo de Montispessulano"
and "Paollanum" (Paulhan) to "Bergundioni nepoti meo". He became a monk at
Valmagne (Cîteaux).
m (before 1177) ---. In his testament dated Feb 1178, "Guido Guerregiatus"
referred to "uxori mee".
[1559] Montpellier Guillems, Fascicule II, XCV, p. 177.
[1562] Montpellier Guillems, Fascicule II, CXLV, p. 278.
[1563] Liber Montpellier, no. 395, p. 572-573 and Duhamel-Amado 2001, p. 342,
n. 102. [J.-C. Chuat]
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG et Duhamel-Amado 2001, p. 342, n. 102.) 14 vi 2013
- defunció: J-P de Palmas (testa en ii 1178)
- família: J-P.de Palmas (FMG et Arch. Nat., Fonds Doat, vol. 30, f° 20-22 et
Archives du comte d'Adémar de Panat) 14 vi 2013
1.485.983:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG et Arch. Nat., Fonds Doat, vol. 30, f° 20-22 et
- família: J-P.de Palmas (FMG et Arch. Nat., Fonds Doat, vol. 30, f° 20-22 et
-2750-
1.486.072:
Fonts:- persona: JB.de La Grandiere (Hippolyte de Barrau "Documens hist et gén
du Rouergue" t. III pp. 385/400 -d'Hérail- Rodez 1857 ) 1 i 2012
1.486.112:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, S.Fourlinnie (Généanet/Pierfit) 24/05/2012
1.486.113:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Généanet/Pierfit) 24/05/2012
1.486.113b:
Fonts:
1.486.113c:
Fonts:
- família: S.Fourlinnie (Généanet/Pierfit) 24/05/2012
1.486.113d:
Fonts:
1.486.114:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, S.Fourlinnie (Généanet/Pierfit) 24/05/2012
1.486.115:
Fonts:
1.486.115a:
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Vuillier/Lautrec) 27 ii 2006
1.486.128:
Fief : La fiche indiquait "Hauterive", ce qui pourrait porter à confusion : Il existe 4
châteaux d'Hauterive, et 6 communes portant ce nom ( exact ou inclus) et deux
douzaines de lieux dits Hauterive.
Il s'agit évidemment de l'actuel Auterive, commune du Gers, dont nous adoptons
la graphie.
Note de : J-B de La Grandière
-2751-
Fonts:
- persona: Benoît Ravinet ( abbé Ambroise Ledru et Eugène Vallée : "La Maison de
Faudoas", 1908 ), E.Rougier ( abbé Ambroise Ledru et Eugène Vallée : "La Maison
de Faudoas", 1908 )
- família 1: E.Rougier/ "La maison de Faudoas" Abbé Ledru,
1.486.129:
Appelée Alix de Bordeaux, fille de Jean IV de Bordeaux et de Longuebrune de
Maurens, sur le site www.dagos.org/faudoas.htm
Fonts:
- persona: E.Rougier/ "La maison de Faudoas" Abbé Ledru,
- família: E.Rougier/ "La maison de Faudoas" Abbé Ledru,
1.486.129b:
Fonts:
- persona: Benoît Ravinet "La Maison de Faudoas par l'abbé Ambroise Ledru et
Eugène Vallée, 1908"
1.486.129-3a:
Fonts:
1.486.130:
Domaine : La seigneurie "d'Encausse" est parfois incorrectement indiquée "du
Cause".
Note de : J-B de La Grandière
Fonts:
- persona: B.deRauglaudre ( www.dagos.org/faudoas.htm )
1.486.131:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, www.dagos.org/faudoas.htm
1.486.131b:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site aurejac
1.486.136:
Fonts:
1.486.137:
-2752-
Fonts:
1.486.138:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier : Histoire de la famille de Preissac
Toulouse 01/2007) 26 vi 2014
1.486.140:
Fonts:
- defunció: G Marsan (base Bernard Fournié.- fév 2005)
- família 1: P Ract Madoux (LCdB: Durfort), H.R.Moser/EuSt-X/105
- família 2: G Marsan (base Bernard Fournié.- fév 2005)
1.486.141:
Fonts:
- família: P Ract Madoux (LCdB: Durfort), H.R.Moser/EuSt-X/105
1.486.141a:
Il prit part avec Philippe le Bel aux campagnes de Flandres en 1304 et 1305. En
1315, il sert encore dans l'armée royale lors de la nouvelle expédition de Flandres.
Fonts:
- persona: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon,)12.v.2006
- família 1: P Ract Madoux (LCdB: Durfort)
- família 2: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
1.486.144:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe (Quercy Historique)) 3
xi 2010
- família: J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe (Quercy Historique)) 3
xi 2010
1.486.145:
La communauté de Béduer avait deux paroisses, toutes deux mentionnées dans le
testament de Sibylle de Panat, veuve d'Arnaud II Barasc (1268) : Saint-Etienne et
Saint-Pierre.
Etait-ce la chapelle de Béduer qui fut donnée aux Hospitaliers et cédée en 1299 à
l'évêque de Cahors, avec Sainte-Neboule, en échange de Saint-Médard de Presque
donné à l'Hôpital Beaulieu ? Cependant, le testament de Sibylle de Panat
distingue la chapelle des deux églises de Béduer. Quoiqu'il en soit, l'évêque unit
St Etienne, en 1318, à la mense de l'abbé de Figeac, qui en fit un prieuré de son
monastère. Ce prieuré fut uni, lors de la sécularisation, à la mense du chapitre en
1536. 1428 Pierre Péret, témoin au testament de Dorde V. Un vicaire perpétuel
était chargé du service (de 1459 à 1476, Géraud du Bouyssou (note Champeval)).
-2753-
Vers 1355, l'église était possédée par Dorde de Lentillac ; en son nom, son père,
Durand II avait arrenté la dîme de la paroisse (blés, vins et foins) à 300 sétiers. Un
peu plus tard, Dorde vendait 100 sétiers froment et 100 sétiers avoine au prix de
24 sous et 6 den. t. et 12 s. 6 d. le sétier (Peut-être tenait-il ces dîmes de l'abbé
Géraud de Lentillac). En 1393, André Yvern permutait avec Raimond de Masières,
recteur de Lentillac.
nous avons conservé son testament , daté du dimanche après la Saint-Michel

1268. Après l'énoncé de ses intentions pour sa sépulture (à l'hôpital du Poujoulat -
voir Camburat) et de ses nombreux legs pieux, elle parle de ses enfants et
mentionne Arnaud, clerc, Guillaume, Aigline, femme de Guisbert de Felzins et de
Montmurat, chevalier, enfin Arnaud, seigneur de Béduer, son légataire universel.
Déodat Barasc, son beau-frère, seigneur de Montbrun, est un de ses exécuteurs
testamentaires (Legs à tous les religieux, hôpitaux, léproseries, églises de Figeac ;
aux églises et aux chapellenies de Béduer aux églises de Camboulit, Montmurat,
Montredon, Trioulou, Conques, Espagnac, Leyme, surtout à l'hospice du
Poujoulat.)
Fonts:
xi 2010
- família: J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe (Quercy Historique)) 3
xi 2010
1.486.145c:
Fonts:
1.486.146:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Courcelles, Navelle et autres)
- família: J-L. Dega (fiches familiales)
1.486.147:
Fonts:
1.486.147b:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (fiches familiales)
1.486.147c:
Fonts:
1.486.152:
Le conflit entre le vicomte de Turenne et le baron de Castelnau va conduire
l'Église à intervenir. Le lien vassalique des Castelnau aux Turenne est confirmé le
12 juin 1219 et accepté par le fils de Bernard, Maffre II. Ce lien est confirmé en
-2754-
1221 en présence des abbés de Tulle et de Martel. Le baron de Castelnau doit
faire porter solennellement au vicomte de Turenne une redevance d'un œuf.
En 1248, un baron de Castelnau prend la croix et accompagne Louis IX à la

Septième croisade.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Famille de Castelnau) 5 iii 2013
- família: J-P de Palmas (Famille de Castelnau) 5 iii 2013
1.486.153:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Famille de Castelnau) 5 iii 2013
1.486.156:
Attesté en octobre 1226.
Louis VIII, roi de France (père de Saint-Louis), regagne sa capitale après être allé
combattre les Albigeois, passant par Espalion il reçoit hommage-lige de Guillaume
de Calmont (tête nue,un genou en terre, sans épée ni ceinture ni éperons).
Guillaume de Calmont confirme les donations de Masse et Pussac au monastère
de Bonneval, en rachat de ses péchés.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972. )
- família: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972.)
1.486.157:
Fonts:
Rouergue, juillet-septembre 1972.)
1.486.157b:
Raimond de Calmont d'Olt (1274- †1297) est issu d'une famille de la noblesse
1
féodale Rouergate déjà en charge administrative caroligienne , les Calmont d'Olt.
Raimond de Calmont d'Olt dont l'épiscopat dure vingt-trois ans est sans doute
l'évêque de Rodez le plus important du XIIIe siècle. Membre du chapitre, il est élu
par six de ses pairs en 1274, élection confirmée par Grégoire X le 23 novembre
1274.
Peu auparavant, il avait souscrit en tant que chanoine la nomination de

procureurs en cour de Rome pour plaider la réforme des statuts. Il occupe la
charge de bayle du chapitre en 1274.
Devenu évêque, il s'attache à reformer son corps d'origine : il fixe définitivement
-2755-
le nombre de prébendes canoniales, dignités, personnats et offices capitulaires ;
les règles de collations de ces prébendes ; la liste des bénéfices relevant du
chapitre et participe à de nombreux conciles provinciaux, en particulier pour
répondre à des demandes de décimes de Philippe IV.
Ces statuts capitulaires sont extrêmement importants : ils achèvent les évolutions
du XIIIe siècle, et seront respectés jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Ils règlent
notamment avec précision la place de l'évêque par rapport à son chapitre : ils
seront cités en référence lors de tous les conflits entre le prélat et son chapitre
durant les siècles postérieurs.Un an et trois mois après l'écroulement du chevet
de l'ancienne cathédrale, il pose la première pierre d'une nouvelle le 25 mai
1277.En 1278 il pose la première pierre de l'église-cathédrale de Rodez. La
reconstruction avance rapidement et dès le moi d'avril 1289 il doit acheter des
terrains connexes pour pouvoir déplacer l'évêché qui coupe l'emplacement de la
future nef. Ses armes, conservées sur un sceau, sont d'un écu plain au lion. À la
mort de son frère Bégon IV vers 1285, il devient de fait baron de Calmont d'Olt.
Dans son testament, Raimond de Calmont d'Olt fonde un obit et deux
chapellenies, et laisse dix mille sols rodanés avec lesquels sera fondue la Calmont,
bourdon du clocher de Notre-Dame de Rodez. Il meurt en mars 1297 et fut
2
enseveli au milieu du chœur de cette dernière . Sa disparition entraînera celle du
3
lignage des Calmont d'Olt .
Les biens passent à la famille de Castelnau Bretenoux en Quercy (Maffre de
Castelnau épouse Alazie de Calmont d'Olt)
Liens externes
wikipedia
1. Gournay de F., Le Rouergue au tournant de l'An Mil, Méridiennes,

Toulouse, 2004
2. Desachy M., Cité des hommes Le chapitre cathédrale de Rodez (1215-
1562), Éditions du Rouergue, Rodez, 2005.
3. ↑ A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du Rouergue, juillet-septembre
1972.
Fonts:
1.486.192:
Fonts:
1.486.193:
-2756-
JB de La Grandière 2/11/2015
L'identité de l'épouse de Déodat/Dorde Bonafos n'est pas connue

J'ai l'impression qu'un site "lambda" aura trouvé bon de la nommer "de
Roquelaure" pour justifier une suite ; cette "justification" semble bien indue
puisque c'est Pierre Bonafos qui sera le premier de cette famille, sgr de
Roquelaure, en 1390 (? - 1358 : jpp), par achat.
Fonts:
1.486.193b:
Fonts:
- persona: F. de Courrèges (page 129 du tome III du Grand Armorial de France de
Jougla de Morenas) 4 xii 2009
- família: F. de Courrèges (page 129 du tome III du Grand Armorial de France de
Jougla de Morenas) 4 xii 2009
1.486.228:
Fonts:
- persona: J-L. Dega;, JB.de La Grandiere ( Maurice Vuillier "Comtes de Toulouse et
vicomtes de Lautrec 107 pages Toulouse sept. 2005 ) 27 x 2009
- naixement: C. Saint-Félix (site de Luc d'Agos www.dagos.org) 21v2006
- defunció: C. Saint-Félix (site de Luc d'Agos www.dagos.org) 21v2006
- enterrament: , JB.de La Grandiere ( Maurice Vuillier "Comtes de Toulouse et
1.486.229:
Fonts:
1.486.229a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega?, JB.de La Grandiere ( Maurice Vuillier "Comtes de Toulouse
et vicomtes de Lautrec 107 pages Toulouse sept. 2005 ) 27 x 2009
1.486.229c:
Fonts:
- família 2: H.R.Moser/Anselme-IV/14
1.486.229d:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Luc d'Agos www.dagos.org) 21v2006
1.486.229e:
-2757-
Fonts:
1.486.229f:
Fonts:
1.486.229g:
Fonts:
1.486.229-2a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier comtes de Toulouse et
vicomtes de Lautrec 107 pages Toulouse sept;2005 ) 27x 2009
1.486.229-2b:
Fonts:
1.486.232:
Fonts:
- família 1: J-Louis Dega (Charvet)
- família 2: A.Brabant (F.de Boisdeffre)
1.486.233:
Fonts:
- família: A.Brabant (F.de Boisdeffre)
1.486.233b:
Fonts:
- casament: F-L. Jacquier (Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag
Marburg, Schwennicke, Detlev, Editor, IX-89)
1.486.233c:
Attention ! Alix de La Roche-en-Régnier n'a jamais existé et est le produit d'une
captation d'héritage au profit des Lévis lesquels ont sciemment fait un amalgame
d'une demoiselle de La Roche (Glun) avec une demoiselle de La Roche (en-
Régnier) qui a été fabriquée pour les besoins de leur cause.
Tous les enfants de Gui de Tournon sont d' Alix du Peloux, demoiselle de La
Roche (-de-Glun, Drôme)
Si une modification était à envisager, svp, informez-moi d'abord car le dossier est
très étoffé et ne peut être versé sur cette fiche en quelques lignes ; merci
d'avance.
Philippe Charignon s'est longuement et scientifiquement penché sur la question
et tient un dossier complet étayant la fraude dévoilée ;
-2758-
"Note sur la fiche de Alix de ROCHEFORT, sur arbre « charignonphil1 » sous
geneanet, à l’adresse suivante :
http://gw.geneanet.org/charignonphil1_w?lang=fr;pz=come+xavier+philippe+m
arie;nz=charignon;ocz=0;p=alix;n=rochefort+de;type=fiche
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Michel Rieutord "La maison Peloux de Rochefort -
Les Alleman" CG Dauphiné Grenoble 1988 p. 203/207) 23 iv 2013
- família: H.R.Moser/EuSt-XIV/194/ A.Brabant (Boisdeffre), P.de Loriol (Regeste
Dauphinois) 6 vi 2011
1.486.233d:
 de La Roche-en-Régnier
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t XIV p 147 (Pelet d'Alès)
Marburg 1991 + Albert de Remacle Dict Généalogique Familles d'Auvergne t. II
pp. 576/580 ARGHA Clermont-Fd 1995) 29 iii 2013
1.486.233-1a:
Fonts:
1.486.234:
Fonts:
- persona: Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains), Y. Gobilliard 30 10
07,JL.Mondanel (généalogie La Tour d'Auvergne) 24 iii 2011
- família: Aurejac, Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains), Y. Gobilliard 30 10
07, Y. Gobilliard 30 10 07
1.486.235:
Fonts:
- família: Aurejac, Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains), Y. Gobilliard 30 10
07, Y. Gobilliard 30 10 07
1.486.235a:
Fonts:
- persona: Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains)
1.486.235b:
Fonts:
- persona: Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains)
1.486.235d:
Tige de cette branche, ancêtre des comtes d'Auvergne et de Boulogne de la
troisième race et des ducs de Bouillon
D.Thuret (les eigneurs de Thuret par Marcellin Boudet)

-2759-
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 30 10 07, H.R.Moser/Anselme-IV/533
- família: H.R.Moser/Anselme-IV/533
1.486.235f:
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé)
- família: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé) - Y. Gobilliard 30 10 07
1.486.236:
Fonts:
- persona: J-Louis Dega (Lionel d'Albiousse)
- família: J-Louis Dega (Charvet)
1.486.237:
Fonts:
1.486.237a:
Fonts:
- persona: J-Louis Dega (Charvet)
1.486.238:
Source :
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5741721p/f103.item.r=Caylar.texteImage
Fonts:
- persona: Jean-Louis Dega (source Gallica indiquée par Paule Castan) 25 v 2017
1.486.240:
Fonts:
1.486.241:
Fonts:
1.486.241b:
Fonts:
1.486.272:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base Auréjac) / J-L. Dega
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac), H.R.Moser/Anselme-II/643+EuSt-III-3/404
-2760-
1.486.273:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base Auréjac)
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac), H.R.Moser/Anselme-II/643+EuSt-III-3/404
1.486.273b:
Fonts:
1.486.273c:
Fonts:
- persona: C. Chéneaux (D. Brugère ), S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)/ J-
L. Dega
- família: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut)
1.486.276:
Géraud VI, né vers 1235, mort en 1285, fut vicomte de Fezensaguet de 1240 à
1285, puis comte d'Armagnac et de Fezensac de 1256 à 1285. Il était fils de Roger
d'Armagnac, vicomte de Fezensaguet, et Puelle d’Albret.
En 1249 il contesta la possession de l'Armagnac et du Fézensac à la guerre avec

Arnaud Odon (1205 † 1256), vicomte de Lomagne et d'Auvillars, époux de
Mascarose Ire d'Armagnac († 1249), héritière des comtés d'Armagnac et de
Fezensac, et père de Mascarose II de Lomagne (†1256). Dans cette guerre Géraud
était soutenu par son suzerain, Raymond VII, comte de Toulouse. Capturé, il fut
libéré contre une rançon et continua la lutte avec succès. Durant sa captivité, sa
mère, Pucelle d’Albret, fit, en son nom, hommage du Fezensaguet à Alphonse de
Poitiers, successeur de Raymond VII, pour continuer à bénéficier de son soutien.
Ce n'est qu'en 1255, que Gaston, vicomte de Béarn réussit à réconcilier les
adversaires.
En 1256, après la mort sans enfants de Mascarose II de Lomagne, Géraud, étant

son plus proche parent, hérité des comtés d'Armagnac et de Fezensac. À la suite
des multiples querelles avec le sénéchal du Languedoc, il fut capturé et
emprisonné deux ans château de Péronne. Libéré, il se rapprocha d'Edouard Ier,
roi de l'Angleterre, à qui il préta hommage.
En 1260, il épousa Mathe de Béarn (1250 † ap.1317), fille de Gaston, vicomte de

Béarn et de Mathe, comtesse de Bigorre, qui donna naissance à six enfants :
 Bernard VI, (v.1270 † 1319), comte d'Armagnac et de Fezensac

 Gaston d'Armagnac, (v.1275 † 1320), tige de la branche des vicomtes de
Fezensaguet
 Roger d'Armagnac (†1339), archevêque d'Auch, évêque de Lavaur et de
Laon
 Mascarose d'Armagnac, (v.1285 † ), femme d'Arnaud-Guillaume de Fumel
(v.1280 † ), vicomte de Labarthe et d'Aure
 Puelle d'Armagnac, (v.1285 † 1313), mariée à Bernard VIII (v.1285 †
1336), comte de Comminges
-2761-
 Mathe d'Armagnac, (v.1285 † 1313), mariée à Bernard Trenqueléon de
Lomagne (v.1280 † 1337), seigneur de Fimarcon.
FMG
GERAUD [VI] d'Armagnac, son of ROGER d'Armagnac Vicomte de Fezensaguet &

his wife Pucelle d'Albret (-1280). His parentage is confirmed by the charter dated
22 Mar 1245 under which Géraud Comte dÁrmagnac confirmed rights of
pasturage granted to the abbey of Grandselve by his father Roger
dÁrmagnac[445]. Vicomte de Fezensaguet. Comte d'Armagnac et de Fezensac
1254. "Geraldus…comes Armaniaci et Fezenciaci vicecomes Fezensaguelli"
confirmed donations to Grandselve by "nobiles viri…dominus Bernardus de
Armanhaco, dictus filius Bernardi de Armanhaco, et dominus Bernardus comes de
Armanhaco quondam, et dominus Geraldus comes de Armanhaco et Fezensaco qui
fuit, et dominus Rogerius de Armanhaco filius quondam Bernardi et qua ipse
Geraldus filius domini Rogerii" by charter dated 7 Nov 1267[446]. A mansucript
chronicle records the death in 1280 of "Geraldus comes dÁrmagnac"[447].
m MATHE de Béarn, daughter of GASTON [VI] Vicomte de Béarn & his first wife
Mathe de Marsan [Bigorre] ([1245/55]-after 1317). Heiress of Gebardan, Eauzan
and Brulbrois-en-partie. The testament of “Bernarduscomes Armaniaci et
Fesenciaci” is dated 18 May 1302, names “Geraldi quondam patris nostri
comitisdominæ Siachæ [presumably mistranscription for Mathæ] comitissa
Armeniaci et Fesenciaci matri nostræ”[448]. A charter dated 1302 records that
Philippe IV King of France summoned "comitem Fuxi, Margaritam comitissam
Fuxo eius matrem, comitissam Armaignensem relictam domini Geraldi de
Armaniaco, Constanciam vicecomitissam de Marciano, et Guillermam de Bearno
dominam de Moncada" as proxy for "consortis nostre regine, Guillelmo Tesson
militi et Lore vicecomitisse Turenne" for a hearing relating to the county of
Bigorre[449].
Géraud [VI] & his wife had six children.
[445] Jaurgain (1902), p. 34, quoting Bibl. Nat. Collection Doat, vol. 78, fo. 254.
[446] Jaurgain (1902), p. 35, quoting Oïhenart, vol. ms. de M. lÁbbé de

Carsalade, fo. 147 vo 140.
[448] Veterum Scriptorum I, col. 1407.

Bibliothèque de lÉcole des Chartes, Vol. 18, no. 1 (1857), Pièces Justificatives,
XIV, p. 322, quoting Cartulaire de Bigorre, ch. 36.
Certains investigateurs ajoutent Eleonore d'Armagnac, dame de Brassac (environ

1285 - ??), la femme Geraud de Galard (environ 1260 - ??), mais les autres -
-2762-
Constance d'Armagnac, dont l'alliance est ignorée.
Fonts:
- persona: L.Guion, J-P de Palmas (wikipedia et FMG) iv 2010
- casament: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005)
- família: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
1.486.277:
Mathé est encore vivante en juillet 1319, date à laquelle le pape Jean XXII écrit à
Gaston d'Armagnac, vicomte de Fezensaguet, pour lui demander d'inciter sa mère,
Mathé de Béarn, à faire la paix avec le comte et la comtesse de Foix.
(B.N. Doat 181, fol. 253).
Fonts:
- persona: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005), J-P de Palmas (Thèse
de Dominique Barrois)
- naixement: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005)
- defunció: G Marsan
- casament: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005)
1.486.277a:
BERNARD [VI] dÁrmagnac, son of GERAUD [VI] Comte dÁrmagnac & his wife
Mathe de Béarn (-1319, bur Auch Sainte-Marie). His parentage is confirmed by a
second testament of his son "Johannes…comes Armaignaci, Fesensiaci et Ruthene,
vicecomesque Leomaniæ et Altivillaris ac dominus terre Ripparie", dated 5 Apr
1373, which donates property for the souls of "…domini Bernardi quondam
Armaignaci comitis, genitoris nostri, et domini Geraldi, patris, avi nostri
paterni"[465]. Comte d'Armagnac. Sire d'Albret, by right of his first wife.
"Bernardus…comes Armaniaci et Fezensiaci" confirmed the privileges of the
county of Fezensac, granted by "domino Geraldo de Armenaico…genitori suo", by
charter dated 22 Feb 1286, signed by "dominæ matris…Mathæ…comitissæ
Armaniaci et Fezensiaci"[466]. “Bernardocomiti Armaniaci et Fesenciaci” granted
“castrum et villam de Castro Gelosiode Veiriaco” to “Gasto de Armaniaco
vicecomes Fesensaquelli et Rogerius frater suusfratres prædicti”, by charter
dated 8 Oct 1294[467]. The testament of “Bernarduscomes Armaniaci et
Fesenciaci” is dated 18 May 1302, names “domina Cecilia uxor nostra", her child
to be born, "[et] Henricum comitem Ruthehæ, patrem dictam dominæ uxoris
nostræ” and “Gastonem, Rogerium, Marquam et Mascarosinam fratres et sorores
nostrosGeraldo de Labbatus nepoti nostro et primogenito dictæ Mascarosæ
sororis nostræGeraldi quondam patris nostri comitisdominæ Siachæ comitissa
Armeniaci et Fesenciaci matri nostræ”[468]. His place of burial is confirmed by a
second testament of his son "Johannes…comes Armaignaci, Fesensiaci et Ruthene,
vicecomesque Leomaniæ et Altivillaris ac dominus terre Ripparie", dated 5 Apr
1373, which elects burial "in ecclesia cathedrali beate Marie Auxitani" next to his
father[469].
m firstly ISABELLE Dame d'Albret, daughter of BERNARD AIZ [IV] Sire d'Albret &
his wife Jeanne de Lusignan (-1 Dec 1294, bur Auch Cathedral). The testament of
“Isabellis domina de Lebreto comitissa Armaniaci et Fesenciaci” is dated 1 Oct
-2763-
1294, names “dominam Johannam de la Marcha matrem meam” as her heir “in
castro meo de Alhais diocesis Vasatensis”, chooses her burial “in ecclesia
cathedrali B. Mariæ Auxis in sepultura sororis meæ quondam”, appoints
“Rotgerium de Armaniaco sororium meum” as her heir “in castris de Casa-nova,
de Lebreto” and names “domino Bernardo comiti Armaniaci et Fesenciaci marito
meoGastoni vicecomiti Fesensaquellisororiis meis”[470].
m secondly (1298) CECILE de Rodez, daughter of HENRI [II] Comte de Rodez &
his second wife Mascarose de Comminges ([1272]-1313). Her parentage and
marriage are confirmed by the testament of “Bernarduscomes Armaniaci et
Fesenciaci”, dated 18 May 1302, which names “domina Cecilia uxor nostra[et]
Henricum comitem Ruthehæ, patrem dictam dominæ uxoris nostræ”[471]. Ctss de
Rodez. The testament of "domini Johannis comitis Armaniaci", dated 18 Feb 1347,
names "quondam bonæ memoriæ domini Henrici comitis Ruthenæ avi
nostri…dominæ Mascariosæ eius uxoris, aut nostræ…dominæ Ceciliæ comitissæ
Ruthenæ matris nostræ"[472].
Bernard [VI] & his second wife had three children
Fonts:
- persona: G.Marsan : (Base Gros Jolivalt sur le Web), J-P.de Palmas (FMG) 28 viii
2013
- família 1: G.Marsan : (Base Gros Jolivalt sur le Web)
- casament 2: G.Marsan : (Base Gros Jolivalt sur le Web), L.Chancerelle
(documentation Rollin) 1 xii 2011
1.486.277c:
ROGER (-1339). The testament of “Isabellis domina de Lebreto comitissa
Armaniaci et Fesenciaci” is dated 1 Oct 1294, and names “Rotgerium de
Armaniaco sororium meum” as her heir “in castris de Casa-nova, de
Lebreto”[458]. “Bernardocomiti Armaniaci et Fesenciaci” granted “castrum et
villam de Castro Gelosiode Veiriaco” to “Gasto de Armaniaco vicecomes
Fesensaquelli et Rogerius frater suusfratres prædicti”, by charter dated 8 Oct
1294[459]. The testament of “Bernarduscomes Armaniaci et Fesenciaci” is dated
18 May 1302, names “Gastonem, Rogerium, Marquam et Mascarosinam fratres et
sorores nostrosGeraldo de Labbatus nepoti nostro et primogenito dictæ
Mascarosæ sororis nostræGeraldi quondam patris nostri comitisdominæ Siachæ
comitissa Armeniaci et Fesenciaci matri nostræ”[460]. Bishop of Lavaur 1317.
Archbishop of Auch 1318. Bishop of Laon, Pair de France 1336. A second
testament of "Johannes…comes Armaignaci, Fesensiaci et Ruthene, vicecomesque
Leomaniæ et Altivillaris ac dominus terre Ripparie", dated 5 Apr 1373, donates
property for the souls of "…domini Amaneni de Armaignaco archiepiscopi Auxitani
et domini Rogerii de Armaigniaco episcopi Laudoneni, paternorum nostrorum
quondam…"[461].
-2764-
[461] Quoted by Barrois (2004), Appendice, pièce XVII, citing Archives nationales
Trésor des Chartes J 777, no. 9 and Bibliothèque nationale, n.a. fr. 7280, fol. 272-
301v.
Fonts:
- persona: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005), J-P.de Palmas (FMG)
16 v 2014
1.486.277d:
MASCAROSE . The testament of “Bernarduscomes Armaniaci et Fesenciaci” is
dated 18 May 1302, names “Gastonem, Rogerium, Marquam et Mascarosinam
fratres et sorores nostrosGeraldo de Labbatus nepoti nostro et primogenito dictæ
comitissa Armeniaci et Fesenciaci matri nostræ”[464].
m BERNARD de Lomagne, Seigneur de Firmaçon (-after 19 Jun 1337).
Fonts:
16 v 2014
1.486.277e:
[PUCELLE (-[1298/18 May 1302]). The letter of Pope Boniface VIII granted
dispensation 2 May 1296 for the marriage between "Helye Thalayrandi comiti
Petragoricensis et vicecomes Leomaniæ et Altivillari" and "Puelle, nate quondam
Geraldi comitis Armaniaci, uxor eius" despite 3o consanguinity[462]. “Puelle”
could either be this daughter´s name (presumably named after her paternal
grandmother) or simply "young girl". In the latter case, this daughter could have
been the same person as the daughter named Marqua in her father´s testament
dated 18 May 1302. If Pucelle was a different daughter, she must have died before
her father´s testament in which she is not named.
Betrothed ([1295], contract broken before 1298) to HELIE [IX] TALAIRAND,

Comte de Périgord, son of ARCHAMBAUD [III] Comte de Périgord & his first wife
--- ([1258/62]-1315).]
[462] Coll. Périgord, Vol. 54, fol. 49, citing Archives du Vatican, reg. de Boniface 8
an. II et III, coté 48 no. 39 et no. 179. [J.-C. Chuat]
Fonts:
16 v 2014
1.486.277f:
-2765-
MARQUA . The testament of “Bernarduscomes Armaniaci et Fesenciaci” is dated
18 May 1302, names “Gastonem, Rogerium, Marquam et Mascarosinam fratres et
sorores nostrosGeraldo de Labbatus nepoti nostro et primogenito dictæ
comitissa Armeniaci et Fesenciaci matri nostræ”[463]. The primary source which
confirms her marriage has not yet been identified.
m as his first wife, BERNARD [VIII] de Comminges, son of BERNARD [VII] Comte
de Comminges & his wife Laure de Montfort (-after 26 Aug 1336). He succeeded
his father in 1312 as Comte de Comminges.
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007, J-P.de
Palmas (FMG) 28 viii 2013
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
1.486.278:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Généalogie de Caumont La Force) 15/01/2014
1.486.279:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier, basé sur Navelle "Histoire de la
famille de Mauléon) 28 viii 2013
1.486.279a:
Fonts:
1.486.282:
Robert comte de Dreux était sgr :
1°) du fait de son pére et grand'père :
- du Bû (alias Beu) Eure & Loir
- La Chapelle-Gautier (Seine et Marne)
2° du fait de sa mère ?, grand'mère ? ou de l'une de ses épouses
- Qincy-en-Tardenois (probablement Quincy-sous-le-Mont, Aisne à confirmer)
- Longueville (probablement Longueville, Seine & Marne à confirmer)
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ajouts et localisations de seigneuries) 22 i 2012
-2766-
- família 1, família 3: P Ract Madoux (Dr Gaston Sirjean: Les Dreux. Paris 1966) 19
i i 2003
- família 2: P Ract Madoux (Dr Gaston Sirjean: Les Dreux. Paris 1966) 19 i i 2003,
G.Marsan (E. Clauss : la généalogie de la Maison de France - Patrick van
Kerrebrouck -2000- Volume II -Les Capétiens) 27 vi 2004
1.486.283:
La famille de Courlandon, ancienne famille chevaleresque originaire de
Courlandon, près de Fismes (actuellemenrt dans la Marne), est très peu connue et
un travail de fonds reste à faire à son sujet.
Elle portait: "D'or à trois roues de gueules".
Les différents auteurs ayant travaillé sur les Dreux n'ont pas donnés le nom de ses
parents, certainement tous les deux décédés au moment de son mariage.
Du Chesne dit: "[Robert de Dreux] fut marié en première noces avec Béatrix de
Courlandon, niepce de Gerart seigneur de Courlandon, archidiacre de l'église de
Paris. Lequel, en faveur de ce mariage lui donna deux cent livrées de terre à
asseoir és fiefs qu'il tenait de Jean comte de Roucy: c'est à sçavoir à
Boussignicourt et aux Mainieux lés Courlandon. Ce qui fut confirmé par le Roi
Louis X, dit le Hutin en l'année 1315".
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Dreux + M. du Sars: Laonnois féodal)
27/05/2006
- família: P Ract Madoux (Dr Gaston Sirjean: Les Dreux. Paris 1966) 19 i i 2003
1.486.283c:
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Carré de Busserolle) 8 ii 2004
1.486.283d:
Fonts:
- persona: P Ract Madoux (Dr Gaston Sirjean: Les Dreux. Paris 1966) 19 i i 2003
1.486.283-2a:
Fonts:
- persona: G.Marsan (E. Clauss : la généalogie de la Maison de France - Patrick van
Kerrebrouck -2000- Volume II -Les Capétiens) 27 vi 2004
- família 1, família 2: P Ract Madoux (Dr Gaston Sirjean: Les Dreux. Paris 1966) 19
i i 2003
1.486.283-3a:
Fonts:
- persona: PRactMadoux (Sainte-Marthe: "Maison de France: Dreux"; 1667) 17 i
2011 Ph.Mathière (Arch. Eure E 835)
- família: Ph.Mathière (Arch. Eure E 835)
1.486.283-3b:
Fonts:
- persona: O. Guionneau (P. van Kerrebrouck "les Capétiens"2000)
- família: O. Guionneau (P. van Kerrebrouck "les Capétiens"2000)
-2767-
1.486.284:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (auréjac) / JL Dega
1.486.285:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (web genealogie)
- família: J-P de Palmas (auréjac) / JL Dega
1.486.286:
Fonts:
- persona: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)
- família: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)
1.486.287:
Fonts:
1.486.288:
Fonts:
1.486.289:
Fonts:
1.486.296:
Il légua à sa fille Catherine 25 livres par son testament du 4 août 1325 et il
substitua le fils aîné qu'elle pouvait avoir à ses propres enfants.
Fonts:
- persona: C.Saint-Felix (Denis Bataille forum 17v2006), S.Fourlinnie (Famille de
Teyssier de Chaunac des Farges sur Gallica, page 43) 29/08/2013
1.486.297:
Fonts:
1.486.297b:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Famille de Teyssier de Chaunac des Farges sur Gallica,
page 43) 29/08/2013
- casament 1: S.Fourlinnie (Famille de Teyssier de Chaunac des Farges sur Gallica,
page 43) 29/08/2013
- família 2: H.R.Moser/Anselme-IV/534
1.486.297c:
Fonts:
-2768-
- casament: JB.de La Grandiere ( Maurice Vuillier "Histoire de la famille de
Narbonne " Toulouse septembre 2002 ) 25 iii 2010
1.486.300:
Il teste le 16 juin 1334.
Fonts:
- persona: J-L. Dega/M.Chevallier i 08
1.486.301:
Elle teste le 10 juin 1348
Fonts:
1.486.301b:
Fonts:
1.486.301c:
Fonts:
1.486.301d:
Fonts:
1.486.302:
Fonts:
1.486.303:
Fonts:
1.486.336:
Fonts:
1.486.338:
Fonts:
-2769-
1.486.400:
Fonts:
1.486.401-1a:
Fonts:
1.486.416:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (Message de Patrick Lahoudie, source :
http://www.aprogemere.fr/documents/communes/Arpajon_cere_JBR_1852.pdf)
- família: Joël Chirol (Message de Patrick Lahoudie, source :
1.486.417:
Fonts:
- família: Joël Chirol (Message de Patrick Lahoudie, source :
1.486.418:
seigneur de Thémines, d'Issendolus et de Quissac(Lot), co-seigneur de
Gourdon(Lot), seigneur de La Bouriane(Saint-Germain-du-Bel-Air, Lot), seigneur
d'Artis(St-Cirq-Souillaguet, Lot)
http://gw.geneanet.org/index.php3?b=cayre&lang=en;p=pons;n=de+beynac;oc=1
Fonts:
- persona: R. Sekulovich (toile), S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort), JB.de La
Grandiere ( Jacques de Roquemaurel : réponse à 93 I 276 Thémines H&G 181 p.
359 12/2006) 22 iv 2014
- enterrament: Jacques de Roquemaurel : réponse à 93 I 276 Thémines H&G 181 p.
359 12/2006
- casament 1: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- família 1: R. Sekulovich ( toile), S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
- família 2: JB.de La Grandiere ( Jacques de Roquemaurel : réponse à 93 I 276
Thémines H&G 181 p. 359 12/2006 ) 22 iv 2014
1.486.419:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Jacques de Roquemaurel : réponse à 93 I 276
Thémines H&G 181 p. 359 12/2006 ) 22 iv 2014
1.486.419-1a:
Fonts:
- persona: R. Sekulovich (toile)
- naixement: Hervé Balestrieri ( Alain de Carné : Site de la famille de Carné )
18.10.2007
- defunció: Hervé Balestrieri ( Alain de Carné : Site de la famille de Carné )
-2770-
18.10.2007
- enterrament: Hervé Balestrieri ( Alain de Carné : Site de la famille de Carné )
18.10.2007
- família 2: R. Sekulovich ( toile)
1.486.419-1b:
Fonts:
- persona: L.Guion / J-L. Dega
- família: L.Guion, S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
1.486.423:
MASCAROSE . Her marriage is confirmed by the testament of "domini Johannis
comitis Armaniaci", dated 18 Feb 1347, which names "quondam bonæ memoriæ
domini Henrici comitis Ruthenæ avi nostri…dominæ Mascariosæ eius uxoris, aut
nostræ…dominæ Ceciliæ comitissæ Ruthenæ matris nostræ"[881].
m (12 Oct 1270) as his second wife, HENRI [II] Comte de Rodez, son of HUGUES
[IV] Comte de Rodez (Aveyron) and his wife Isabelle de Roquefeuil, Vicomtesse de
Creissels (Aveyron) (-4 Sep 1304).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 viii 2013
1.486.423b:
C'est la préférée de son père, puisque c'est à elle que celui-ci, qui n'a pas de
descendants masculins de ses trois mariages successifs, remet le comté de Rodez
dans son testament fait en 1301 . Il confirme ainsi la donation entre vifs qu'il avait
faite plusieurs années auparavant. A sa mort en 1303, le testament d'Henri II est
contesté. Il faut attendre 1309 et un arrêt du Parlement pour que Cécile se rende
à Paris en compagnie de Bernard VI pour prêter hommage pour son comté
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Thèse de doctorat de Dominique Barrois, Université de
Lille) 2004
- casament: G.Marsan : (Base Gros Jolivalt sur le Web), L.Chancerelle
(documentation Rollin) 1 xii 2011
1.486.423c:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005)
- família: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005)
1.486.423-1a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XIV, J-P.de Palmas (Vicomtes et vicomtés dans l'Occident
médieval, par Hélène Debax) 25 xi 2013
1.486.424:
-2771-
Filiation de Gaillard très probable mais non certaine (cf Jacques Bouquié,
Montbrun, 2001)
Fonts:
- família: J-L. Dega (J. Bouquié)
1.486.425:
Fonts:
- família: J-L. Dega (J. Bouquié)
1.486.428:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (J-B de La Grandière citant Edouard de Saint Phalle H&G
n° 141 p. 398 déc 1996 -réponse à 96.III 925 SASSENAGE) 3 vii 2011
- família: Joël ChIrol (Base de Carné 24/09/07)
1.486.429:
Fonts:
- persona: Joël ChIrol (Base de Carné 24/09/07)
- família: Joël ChIrol (Base de Carné 24/09/07)
1.486.430:
Descendant de Robert de Bari, protonotaire de Charles Ier d'Anjou et son
principal ministre.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Elizabeth Parise-Carlier citant l'ouvrage de Joseph
Roman) 28 ix 2012
- família: J-P.de Palmas (Elizabeth Parise-Carlier citant l'ouvrage de Joseph Roman)
28 ix 2012
1.486.431:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Elizabeth Parise-Carlier citant l'ouvrage de Joseph Roman)
28 ix 2012
1.486.431b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Elizabeth Parise-Carlier citant l'ouvrage de Joseph
Roman) 28 ix 2012
- família: J-P.de Palmas (Bulletin de l’Académie delphinale, 1901, n° 43) 22 xii 2012
1.486.624:
Fonts:
- persona: F.de Fabrique (Y. du Guerny, La famille du Caylar en Bas-Languedoc et
le maréchal de Toiras, 1999, p. 96)
- família: F.de Fabrique (Y. du Guerny, La famille du Caylar en Bas-Languedoc et le
maréchal de Toiras, 1999, p. 96)
1.486.625:
-2772-
Fonts:
1.486.625b:
Fonts:
- família: J-L. Dega, Joël Chirol (Geneanet : base Tanneguy Rerolle)
1.486.628:
Un de ses seigneurs eut de violents débats avec Guillaume de Peyre, évêque de
Mende, qui lui reprochait d'opprimer les paysans, ses vassaux.
Guillaume envahit ses domaines et l'obligea à demander la paix. Odilon Guarin fit,
en 1226, acte de soumission au roi Louis VIII. De 1233 à 1243, les seigneurs de
Randon, en guerre ouverte avec les Polignac, devinrent leurs alliés, grâce à la
médiation de Bernard de Montaigne, évêque du Puy en Velay, et finirent par se
fondre entièrement dans cette maison.
Fonts:
1.486.629:
Fonts:
1.486.629b:
Fonts:
1.486.630:
Fonts:
- casament: J-P.de Palmas (cm du 29 i 1281 : Anselme, II/240) 31 iii 2016
- família: J-P.de Palmas (Anselme, II/240) 31 iii 2016
1.486.631:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Généalogie de la famille de Simiane, par Jean Gallian) 30
iii 2016
- defunció: J-P.de Palmas (Testa le 21 vi 1313 : Anselme/II-240)
- casament: J-P.de Palmas (cm du 29 i 1281 : Anselme, II/240) 31 iii 2016
- família: J-P.de Palmas (Anselme, II/240) 31 iii 2016
-2773-
1.486.631b:
Se serait marié trois fois, sa première épouse serait Florie de Blacas.
Extrait du très recommandable ouvrage de Charles Arminjon, "L'ascendance de
Gabrielle Ogier", t.II,pp.48-49, 1999+
XI - Bermond d’Anduze ép. Raimbaude de Simiane

L’un et l’autre ne sont connus que par des actes passés par leurs enfants.
Bermond est mort avant son père.
XII - Bermond d’Anduze, seigneur de la Voûte

Il se serait marié trois fois, dont la première avec Fleurie de Blacas, mais je n’en
ai aucune preuve.
Un différend opposait Messire Bermond d’Anduze, chevalier, seigneur de la
Voûte, à son frère Noble homme Messire Guillaume de la Voûte, chevalier, à
propos des châteaux de la Voûte, « Belfredi » ( = Belfroy?) et « Chalmayriaci » ( =
Chaumérac), de la ville d’Argentière, des mandements desdits châteaux et ville et
de tout ce qui était échu de la succession de feu Messire Roger d’Anduze,
chevalier, seigneur de la Voûte et desdits châteaux. Guillaume en demandait une
portion tant comme légataire dudit feu Roger, son aïeul, que comme fils et héritier
de feu Noble Bermond d’Anduze, leur père, fils dudit feu Roger, leur aïeul.
Bermond, frère de Guillaume, rétorquait que toute la succession lui appartenait
comme héritier universel testamentaire de leur aïeul, sauf la légitime dud.
Guillaume, son frère. Par accord conclu entre eux le 12 Septembre 1312,
Guillaume cède à son frère Bermond tous ses droits, moyennant 200 livres de
rente assignées sur le péage de la Voûte, pour lui et les siens, à charge de ne
pouvoir vendre ni engager cette rente au Roi de France sous peine de 100 livres,
avec retour en ce cas à Bermond et aux siens, ainsi qu’en cas de mort sans hoirs.
Enfin Guillaume se réserve ses droits de substitution portés au testament de
Roger d’Anduze, leur aïeul, de même que ses droits sur les biens de très noble
Dame Madame Raymbaude de Simiane, leur mère
- Arch. de M. le Prince de Soubise (Bibl. Nale., Msts., Dom Villevieille, Trésor
Généalogique, article Anduze).
Le 1er Février 1321, Aimar de Poitiers inféode à Bermond d’Anduze, seigneur de

la Voulte, la moitié de Rochesauve
(Arch. Déples. de la Drôme E 1.983 : Inventaire des titres des seigneuries de
Chomérac, Saint Alban, Rochesauve dressé vers 1783-1789).
Le 9 Janvier 1324, à Avignon, le Pape Jean XXII confère à Adémar (« Asesmario »),
fils de Bermond d’Anduze, seigneur de la Voulte, chapelain du Pape et chanoine
de Viviers, le canonicat de l’église d’Embrun vacant par la consécration de
l’Archevêque Bertrand
(Arch. Vaticanes, Reg. 76 (Johan. XXII. Comm., a, 8, p. 1, ep. 361) 125 b - G.
Mollat, Jean XXII, Lettres comm. V, 58, n° 18.792 - d’après U. Chevalier, Regeste
Dauphinois, n° 21.977).
Aymar de la Voulte, évêque et comte de Valence et de Die, confirme les libertés,
privilèges et coutumes accordés aux habitants de la ville de Valence, de son bourg
-2774-
et de ses faubourgs Fait à Valence, dans le palais épiscopal, le 20 Juillet 1331, en
présence de Bermond d’Anduze, seigneur de la Voulte, père de l’évêque, de Jean
Bastet, seigneur de Crussol, et de Guillaume de Raynac, dam. - Odon d’Argilley,
du diocèse d’Autun, Pierre Ginot, clerc de Valence, et Pons « Astarcii », du diocèse
de Viviers, notaires impériaux
(Arch. Communales de Valence AA7 - Bibl. de Grenoble, Mst. R 5805 - d’après U.
Chevalier, Regeste Dauphinois n° 25.342).
Le 6 Mars 1332, à Avignon, un traité de paix est signé entre Aymar de la Voulte,
évêque de Valence et de Die, et Aymar de Poitiers, comte de Valentinois et Diois.
Se portent garants pour l’évêque Bermond d’Anduze, seigneur de la Voulte, son
père, Bermond d’Anduze, son frère, Jean, seigneur de Crussol, François et
Guillaume d’Urre
(Arch. Déples. de l’Isère B 3485, d’après U. Chevalier, Regeste Dauphinois n°
25.458).
Par testament, Messire Roger d’Anduze, jadis seigneur de la Voûte, avait institué
héritier universel Noble homme Messire Bermond d’Anduze, actuellement
seigneur de la Voûte, fils de feu Bermond, son fils et en même temps avait fait un
legs à Noble homme Guillaume de la Voûte, son autre petit fils, frère germain
dudit Bermond, en telle façon néanmoins que, si le legs dudit Guillaume ne
suffisait pas pour sa légitime, celle-ci serait remplie par son héritier universel en
argent comptant.
Plus tard, ledit Messire Bermond, héritier universel de Roger, son aïeul, avait
donné à son frère Guillaume, pour le legs et la légitime, 120 livres de rente
annuelle sur le péage de la Voûte et pour supplément de légitime, voulant se
conformer à la volonté de son aïeul, il avait promis de payer à Guillaume, à la
Saint Jean prochaine, la somme de 1.140 florins d’or de Piémont en argent
comptant, moyennant quoi Guillaume avait renoncé aux 80 livres de rente
annuelle qu’il percevait sur le péage de la Voûte, outre les 120 livres ci-dessus, et
abandonné toutes autres prétentions, sauf et réservées les substitutions que ses
ancêtres avaient pu faire en sa faveur. Quant à Messire Bermond, il avait renoncé
en faveur de son frère à tout le droit qu’il pouvait et devait avoir en la succession
de feu Madame Raybaude de Simiane, leur mère. Tout cela avait été arrêté à
Avignon le 14 Mai 1333, dans la maison où demeurait Messire Foulque de
Pontevès, viguier d’Avignon, en présence de Messires Hugues, seigneur de
Pierregourde, au diocèse de Valence, et Almas de Saihone, du diocèse d’Apt,
chevaliers, de Messire Durand de Saint Sauveur, Docteur ès loix, d’Amédée
d’Alès, d’Hugonet, co-seigneur de Mirabel, de Viviers, et de Guillaume Bompar,
d’Apt. Le 20 Mai 1334, Noble Hugonnet de Mirabel, seigneur en partie dud. lieu
en Vivarais, agissant au nom de Noble et Puissant homme Messire Bermond
d’Anduze, chevalier, seigneur de la Voûte, paye la somme de 1140 florins à Noble
et Puissant Messire Guillaume de la Voûte, frère dudit Bermond, et en reçoit
quittance à Apt, en la maison d’icelui Guillaume, en présence de Messire Dalmas «
Boci » (des Baux) , chevalier, « de Soihona »
- Arch. de S.A. le Prince de Soubise (Bibl. Nale., Msts., Dom Villevieille, Trésor
Généalogique, article Anduze).
Aymar de Poitiers, comte de Valentinois et Diois, teste à Etoile le 12 Août 1339.

Entre autres clauses, il ajoute 100 livres à la dot de sa fille Eléonore, femme de
Bermond de la Voulte A ses fils, petits fils, frère et neveu, il substitue Aimaret, fils
-2775-
dud. Bermond de la Voulte. Il nomme exécuteurs testamentaires Aimar de la
Voulte, évêque de Viviers, Bermond, seigneur de la Voulte, et autres.
(Arch. Déples. de l’Isère B 3249 et B 4108 - d’après U. Chevalier, Regeste
Dauphinois n° 30.061).
Le 22 Février 1340, le Comte de Valentinois et Diois transige avec Giraud,

seigneur de Crussol, après arbitrage de Bermond d’Anduze, seigneur de la Voulte,
et de divers autres
(U. Chevalier, Regeste Dauphinois n° 30.830).
Le 5 Août 1343, à Châteauneuf du Rhône, dans la Bâtie-Bordel, Giraud Adhemar,

chevalier, seigneur de Monteil, assisté de ses frères Guigues et Hugues, donne à
Giraud, son fils émancipé, à cause de son mariage avec Tacette de Baux, soeur de
Raymond, seigneur de Puyricard, ses châteaux de Monteil, Rochemaure, le Teil et
Allan, sous réserve des droits de ses autres enfants et d’Alasie de Poitiers, sa
femme. Raymond de Baux constitue à Tacette, sa soeur, 6.500 florins pour sa dot,
du consentement d’Aymar, évêque de Viviers, son oncle, et de Bermond d’Anduze,
son aïeul maternel.
(Bibl. Municipale de Lyon, fonds ancien : Fonds Morin Pons, familles
dauphinoises, dossiers Adhémar) 12, pièce 46 - d’après U. Chevalier, Regeste
Dauphinois n° 32.319).
Giraud Adhémar, seigneur de Monteil, épouse par contrat du 5 Août 1343 Tacette
de Baux dotée de 6.500 florins d’or et assistée de Bermond d’Anduze, seigneur de
la Voulte, son aïeul maternel, d’Aymar de la Voulte, évêque de Viviers, son oncle,
et de Raymond de Baux, son frère
(idem 12, pièce 47 - d’après U. Chevalier, Regeste Dauphinois n° 32.320).
Louis de Poitiers, comte de Valentinois et Diois, teste à Etoile le 23 Mai 1345. Il

institue héritier universel Aimar de Poitiers, son fils unique et lui substitue les fils
qu’il pourrait encore avoir, puis ses frères Aimar, Henri et Charles de Poitiers,
ensuite son oncle Amédée de Poitiers et Aymar, fils de celui-ci, enfin l’enfant de sa
fille Marguerite, épouse de Guichard de Beaujeu, puis ses neveux Aymar de la
Voulte ou Louis de la Voulte, frère de celui-ci, à condition de prendre son nom, son
cri et ses armes Il nomme exécuteurs testamentaires Bermond d’Anduze, seigneur
de la Voulte
(Arch. Déples. de l’Isère B 2.985, 3.502 et 3.579 : original en parchemin - d’après
U. Chevalier, Regeste Dauphinois, n° 33.619).
Le 3 Janvier 1345, à Avignon, Aymar, comte de Valentinois et Diois (c’est le fils de

Louis de Poitiers qui était mort entre le 23 Mai 1345, date de son testament et le 3
Janvier 1345 v.st.) commet Bermond d’Anduze, seigneur de la Voulte, son oncle, et
Guillaume « Cornilhani », co-seigneur du Puy Saint Martin, pour faire prêter
hommage à tous ses vassaux, attendu qu’il est obligé de retourner en Gascogne
(Arch. Déples. de l’Isère B 2633 - d’après U. Chevalier, Regeste Dauphinois)
Bermond d’Anduze, sgr. de la Voulte, teste le 9 Mai 1351

( Detlev Schwennicke, Europäische Stammtafein, Neue Folge, Band XIV, Tafel 38).
Je n’ai pas vu l’acte.
-2776-
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, JB.de La Grandiere (Charles Arminjon :
"L'ascendance de Gabrielle Ogier", t.I,pp.48-49, 1999 +) 3 iv 2016
- defunció: jblg : il teste 9 mai 1351 ( il a pu mourir ce jour ou..10 ans après !)
- família 1: Emmanuel Arminjon, o guionneau
- casament 2: Europäische Stammtafeln t XIV p 38 (d'Anduze sgrs de La Voulte)
qui corrige Vaissette : 1310
- família 2: J-P de Palmas (Maison d'Anduze) vii2009
1.486.631c:
Seigneur de St Martin de Castillon (84) dit "de la Voute".
seigneur de St Martin (diocèse d'Apt), de Castillon, de Boisset, de Rustrel, de

Laulagine, de Pierre-Vert, de Malibose et de Sinergues
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, O.Martel (site podeor),
- família: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat)
1.486.631d:
Fonts:
- persona: N. Danican (géné. Alleman)
1.486.631e:
Fonts:
1.486.632:
ISARN (-after 4 Aug 1267). "Bertrand vicomte de Lautrec…et Pierre, Isarn, Sicard,
Gui, Bertrand et Amalric frères, vicomtes de Lautrec ses neveux" agreed to
partition the vicomté de Lautrec by charter dated Apr 1242[338]. Alphonse Comte
de Poitou et de Toulouse instructed "Philippo de Monteforti, militi" to restore
"villamBrugueria" to "Ysarni vicecomitis Lautricensis et Bertrandi fratris ipsius"
having taken it from them unlawfully, by documents dated 4 Aug 1267 and 1 Dec
1267[339]. Ancestor of the Seigneurs de Montfa et de Saint-Germier.
[338] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, X.IV, p. 428,
citing Archiv. du dom. de Montpellier, Lautrec, no. 14.
[339] Molinier, A. (ed.) (1900) Correspondance administrative d'Alfonse de
Poitiers (Paris) ("Alfonse de Poitou Correspondance") Tome I, 305 and 354, pp.
188 and 220. vicomte de Lautrec, seigneur de Montredon(Montredon-Labessonnié
81), seigneur de Brassac(Lautrec 81), seigneur du Camarès(Arifat 81)
Fonts:
- persona: E.W-T, Leo van de Pas; B.Tournier (Vte de Bonald;P.Romane Musculus)),
J-P.de Palmas (FMG) 4 v 2014
1.486.633:
Jeanne (Jourdaine) de Saissac (11)
-2777-
Fonts: - persona: B.Tournier (Vte de Bonald) ; LFlichy 25i06 (chistera/B.Labat), J-

P.de Palmas (Ascendance de Saissac) 6 v 2014
- família 2: C.Saint-Félix (Jean Duvernoy in "1209-2009, cathares : une histoire à
pacifier") 2i2011
1.486.633a:
seigneur de Montfa(81), seigneur de Montredon(Montredon-Labessonnié 81)
Fonts:
- persona: E.W-T, Leo van de Pas; B.Tournier (Vte de Bonald;P.Romane Musculus)),
JB.de La Grandiere ( Maurice Vuiller in "Comtes de Toulouse et vicomtes de
Lautrec " Toulouse sept 2005) 25 ix 2014
- família: Jlouis Dega (22 v 2012)
1.486.636:
1.486.637:
Fonts: - família: J-L. Dega
1.486.640:
Mariages et testaments de la maison de Roquefeuil AD30 – 1E1884/1
Retranscription Ludovic Noirie, 15/11/2001
 N°1 - Testament nones octobre 1241 – Arnaud de Roquefeuil

 Des nones 8bre 1241 devant Bernat Saladas notaire testament d'Arnaud
de Roquefeuil par lequel lègue à Guilhaume son fils naturel le château et
terroir de Beauvoisin et ses dépendances sous la condition d'y construire une
tour réservant à son héritier tout hommage plus lègue à Jean son fils naturel
la pension de dix sestiers bled à prendre sur lemas de Falgairolles plus lègue
à Bertrand son autre fils naturel le pension de six sestiers bled sur lemas de
la Vialette plus lègue à Raymond son autre fils naturel la meilleure des vaches
qu'il a dans le mandement du château de Corbière plus veut que pendant dix
ans à compter du jour de son décès tous les habitants de sa terre soient
quittes et exempts de tout paiement de tailles et quittes en bled ou argent à
moins que son héritier ne fut obligé de marier quelque soeur ou fille ou
restitue la dot à la femme du testateur plus pour la rédemption de ses péchés
et le paiement de ses dettes lègue au curé de St Jean du Bruel tous les
revenus de l'entière vallée de Refraigors depuis la Roque del Viala jusqu'à la
montagne del Fere(?)excepté le moulin et prébende(?) alamans, plus déclare
avoir reçu pour la dot de Béatrix sa femme 10000 sols melgoriens pour
lesquels il hypothèque tous les biens qu'il a dans la paroisse Notre Dame de
Dourbie et de Saint Hylaire d'Aumessas et lui lègue en augmentation de dot
15000 sols melgoriens ensemble et usufruit de tous ses biens à la charge de
nourrir et entretenir ses enfants et de gérer les affaires de la terre sous l'avis
et conseil de Guillaume frère du testateur abbé de St-Guilhem et de Pierre
Jourdan son cousin, et dans le cas que son héritier bas nommé vint à se
marier et ne voudrait point habiter avec sa femme dès lors il lègue à ladite
femme la jouissance de tous les revenus lesdites deux paroisses de Dourbie et
d'Aumessas luy prohibant de se remarier, plus lègue à Azalaicié et Hélix ses
-2778-
deux filles à chacune 15000 sols melgoriens de légitime institue pour son
héritier universel Raymond son fils lui substitue au cas où il viendrait à
décéder sans enfant mâle ses autres enfants le tout par gradation d'âge et au
cas les enfants du testateur seraient décédés en puberté leur substitue ses
filles et au cas lesdites filles décèderaient intestat leur substitue Déodat de
Caylus son neveu et au cas ledit de Caylus viendrait à décéder sans enfant lui
substitue Elizabeth sa nièce fille de feu Bernat de Roquefeuil son frère. Ledit
testament enregistré en la cour du sénéchal de Beaucaire et Nîmes en un
parchemin signé dudit Saladas est coté n°1.
Infos:
• testateur 07.10.1241 Arnaud de Roquefeuil
• frère Guillaume, abbé de Saint Guillem
• frère Bernard +, qui a une fille Elisabeth
• épouse Béatrix
• un fils (a priori légitime) Raymond, héritier universel
• filles (légitimes) Azalaicié et Hélix
• enfants naturels: Guillaume, Jean, Bertrand et Raymond
• un neveu Déodat de Caylus
• cousin Pierre Jourdan
 N°3 – Donation nones de mars 1258 – Beatrix & Arnaud de Roquefeuil

Nones de mars 1258 devant Etienne Mersery notaire de Nant. Donation faite
par Béatrix femme de noble Arnaud de Roquefeuil à Raymond de Roquefeuil
son fils de tout le château de Valgarnidi avec son mandement territoire et
juridiction, plus du château de Caladon avec son mandement territoire et
juridiction, plus de la ville d'Aumessas territoire, mandement et juridiction, lui
cédant par la dite donation toute propriété seigneurie et domination. L'acte
en forme signée dudit Mersery est cy coté n°3.
Infos:
• donatrice 07.03.1259 Béatrix
• épouse d'Arnaud de Roquefeuil
• un fils Raymond de Roquefeuil
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (H. de Vergnette: Filiations Languedociennes, t. III, p.
202 et ss.) 17/04/2009, J-P.de Palmas (Testament d'Arnaud de Roquefeuil - nones
octobre 1241) 29 i 2016
- defunció: J-P.de Palmas (Testa le 7x1241, donation de mars 1258) 29 i 2016
- família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (H. de Vergnette: Filiations
Languedociennes, t. III, p. 202 et ss.) 17/04/2009
1.486.641:
Fonts:
- família: J-C de Vaugiraud (H. de Vergnette: Filiations Languedociennes, t. III, p.
202 et ss.) 17/04/2009
1.486.641-2a:
Guillaume de Roquefeuil, fils légitimé en 1263 par le roi d'Aragon, d'Arnaud de
Roquefeuil et fondateur de la branche de Versols, eut une femme prénommée
-2779-
Ricarde, qui est cité dans son codicille de 1275. C'est sans doute elle qui est
connue comme Ricarde de Bonvoisin. Bonvoisin est soit son nom de jeune fille ,
soit son nom de femme mariée. Guillaume, son mari, avait hérité de Bonvoisin,
que lui avait laissé son père dans son testament de 1241. En effet au XIIIe siècle
les femmes mariées portaient usuellement comme aujourd’hui le nom de leur
mari. Sa belle-fille Helix de Pézenas sera de même appelée parfois Helix de
Roquefeuil. C'est bien son fils Jean qui épousa Alezais ou Hélix , fille de Guillaume
de Pézenas, selon quatre chartes des archives de Pézenas dépouillées par
Resserguier (1285, 1286, 1311, 1316). Il est vrai que une autre de 1270 elle est
dite femme de Guillaume, mais c'est sans aucun doute une erreur. Enfin il faut
signaler que la branche de Versols, sortie par bâtardise des Roquefeuil de la
deuxième race, n’a jamais porté le nom de Roquefeuil Anduze, comme les
appellent certains généalogiste modernes.
F. de Roquefeuil 19/04/2009
H. de Vergnette: Filiations Languedociennes, t. III, p. 202 et ss. dit que sa mère

est Ricarde de Beauvoisin ! Pour Fulcran de Roquefeuil, c'est une erreur
J-C de Vaugiraud 20/04/2009
Il acheta en 1263 de Jacques, roi d'Aragon, les droits et revenus de Montpellier

sans aucune reserve. Auteur de la branche de Roquefeuil-Versols, il est le bâtard
d'Arnaud, légitimé par lettres patentes du 17 mai 1263, de son cousin Jacques Ier,
roi d'Aragon, qui lui donna les terres de Cournonsec, Mireval etc, le nomma grand
amiral du royaume de Murcie et gouverneur de Montpellier.
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet cayre), C. Patrouix (généalogie JJ Massol); Paul
L. de Boisgelin (Armorial du Languedoc tome 1, Louis de La Roque),(Abbé Joseph
de Boisgelin), J-C de Vaugiraud (H. de Vergnette: Filiations Languedociennes, t.
III, p. 202 et ss.) 17/04/2009
- defunció: J-C de Vaugiraud (H. de Vergnette: Filiations Languedociennes, t. III, p.
202 et ss.) 17/04/2009
- enterrament: J-C de Vaugiraud (H. de Vergnette: Filiations Languedociennes, t.
III, p. 202 et ss.) 17/04/2009
- família: J-C de Vaugiraud (H. de Vergnette: Filiations Languedociennes, t. III, p.
203 et ss + + rectification de F. de Roquefeuil) 20/04/2009
1.486.642:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr) et D.Thuret (site Guillaume
de Wailly) 10 x 2011
- família: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr)
1.486.643:
Fonts:
- persona: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque
- família: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr)
1.486.643d:
Fonts:
- persona: D.Thuret (site Guillaume de Wailly) 10 x 2011
-2780-
1.486.643e:
Fonts:
- persona: G Marsan (Base Patrick Deret source : Bouillet "Nobiliaire d'Auvergne"
V-460 - Janv. 2005)
- família: G Marsan (Base Patrick Deret - Janv. 2005)
1.486.644:
Fonts:
1.486.645:
Fonts:
1.486.648:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella, JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur : "Les nobles
aïeux" p.87 Roquefeuil, Tossa del Mar, 2004) 17 vii 2016
- família: M.Rébeillé-Borgella
1.486.649:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella, JB.de La Grandiere (Hippolyte de Barrau :
"Documents.du Rouergue" t.II Combret pp.53-66, Rodez 1854) 17 vii 2016
1.486.649b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur : "Les nobles aïeux" p.87
Roquefeuil, Tossa del Mar, 2004) 17 vii 2016
1.486.664:
Dieudonné d'Estaing, combattit vaillamment à la bataille de Bouvines, en 1214. Le
roi Philippe-Auguste ayant été renversé de son cheval, Dieudonné d'Estaing
remonta ce prince et sauva l'écu de ses armes. C'est en mémoire de ce service
signalé que la maison d'Estaing, porte par concession les armes de France, avec
un chef d'or pour brisure.(Cette tradition est toujours rapportée bien qu'elle ait
été sérieusement contestée. Par d'Hozier, Chérin et Clairambault)
Il rendit hommage , en 1223, à Raymond VII, comte de Toulouse, pour sa Terre

d'Altun, et fit, en 1225, diverses donations à l'église de Bonneval où il fut inhumé.
-2781-
J-P de Palmas: Crédit iconographique : http://chronauvergne.site.voila.fr/fief3.html
Armes :"d'azur, à trois fleurs-de-lys d'or, au chef du même".
Fonts:
- persona: H.de Riberolles (Remacle), J-P de Palmas
(http://chronauvergne.site.voila.fr/fief3.html) 24iv2011
- família: J-P de Palmas (Barrau, tome I, 1853) 24iv2011
1.486.665:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné
- família: J-P de Palmas (Barrau, tome I, 1853) 24iv2011
1.486.665b:
Bienfaiteur comme son père de l'abbaye de Bonneval.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Barrau, tome I, 1853) 24iv2011
1.486.665c:
Chanoine et archidiacre de Rodez, qui refusa l'évêché du Puy auquel ii avait été
élu en octobre 1282.
Fonts:
1.486.665d:
Nommé par le roi conseiller au parlement de Toulouse, lors de son établissement,
le 26 décembre 1303 , puis deuxième président en 1303. (Chron. de Bardin.).
Fonts:
1.486.666:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)12vi2003, JL.Mondanel (généalogie de La
-2782-
Roche) 16 iii 2011
- defunció: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 453) 26/05/2007
- família: A Brabant (site sofi) 28.09.05, H.deRiberolles(Remacle)12vi2003
1.486.667:
Jourdaine de MONTLAUR. Née en 1212, elle épousa en 1232. Guigues III de la
ROCHE en REGNIER qui mourut en 1266. En 1274,elle héritait avec son fils
Guigues IV de la Roche en Régnier de tous les biens materne 1s de son frère Pons
VI de MONTLAUR mort sans enfant. Ce fut l'origine d'un long procès entre les
maisons de MONTLAUR et de la Roche en Régnier, procès qui ne se termina qu'en
1353(2).
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)12vi2003, J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur)
20 ii 2012
- naixement: A Brabant (site deret/Remacle) 28.09.05
- defunció: A Brabant (site deret/Remacle) 28.09.05
- família: A Brabant (site sofi) 28.09.05, H.deRiberolles(Remacle)12vi2003
1.486.667a:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
- naixement: A Brabant (site deret/Remacle) 28.09.05
- defunció: A Brabant (site deret/Remacle) 28.09.05
- família: H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
1.486.672:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella
1.486.673:
Fonts:
1.486.673b:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Romain Lavergne)
- família: F-L. Jacquier (Romain Lavergne)
1.486.675:
Fonts:
1.486.675-1d:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Barrau, tome I)
1.486.680:
-2783-
Bérenger fut substitué aux enfants du second lit de son oncle Guillaume, seigneur
de Montpellier, conjointement avec Raimond Gaucolin, seigneur de Lunel, et
Raimond d'Anduze de Roquefeuil, ses cousins germains maternels, par son
testament du 4 novembre de l'an 1202 dans lequel Guillaume de Montpellier le
qualifia Béranger Guilherm, son neveu, fils d'Aimeri, chevalier, seigneur de
Clermont, et de Marie, sa soeur.
Mais cette disposition fut cassée et annulée, attendu que les six enfants que
Guillaume avait eu d'Agnès, du vivant d'Eudoxie Commène, son épouse, fille de
l'empereur de Constantinople, furent déclarés bâtards et adultérins, et exclus de
la succession paternelle, qui fut adjugée à la princesse Marie, fille unique du
premier lit. Cette dernière fut mariée dans la suite avec Pierre, Roi d'Aragon, à
qui elle porta, en dot, la ville de Montpellier, le 17 des calendes de juillet 1204.
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Navelle), C.Denancé-A.Guérin (forum 11.02.08), S.Fourlinnie
(Famille de Teyssier de Chaunac des Farges sur Gallica, page 31) 31/08/2013
- defunció: S.Fourlinnie (Généalogie des Guillem, sgr de Clermont, par Ernest
Martin/sur Gallica - page 16) 31/08/2013
- família 1: J-P.de Palmas (Chronique et Généalogie des Guillem, seigneurs de
Clermont, diocèse de Lodève, et des diverses branches de leur famille / par Ernest
Martin) 7 v 2016
1.486.681:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Chronique et Généalogie des Guillem, seigneurs de
Martin) 7 v 2016
1.486.681b:
Aymeri. En 1248, il suit Louis IX A la croisade.
En 1261, il revendique devant la Cour du roi la terre de Clermont ; il est débouté.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Chronique et Généalogie des Guillem, seigneurs de
Martin) 7 v 2016
1.486.681c:
Pierre, co-seigneur de Mourèze.
Il est excommunié par l'évêque de Lodève, Pierre de Cazouls, qu'il avait fait
prisonnier ; après l'avoir remis en liberté, il consentit à lui rendre hommage en
1254).
En 1269, il est convoqué par le Sénéchal de Carcassonne, Guillaume de Cohardon,

à l'assemblée des prélats, des nobles et des communes qui eut lieu à Carcassonne
pour délibérer sur l'interdiction de la sortie des blés de la Sénéchaussée.
-2784-
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Chronique et Généalogie des Guillem, seigneurs de
Martin) 7 v 2016
1.486.684:
Fonts:
1.486.685:
Fonts:
1.486.685c:
Fonts:
1.486.688:
Seigneur espagnol qui accompagna Blanche de Castille en France en 1200.
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, T. Denis (St-Allais : Nobil. univ. de
France - t1)
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05
1.486.689:
Fonts:
1.486.689b:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. univ. de France - t1)
1.486.746:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer
1.486.747:
Fonts:
1.486.784:
seigneur de Déols, baron de Châteauroux, seigneur d'Issoudun, seigneur de
Meillant - 12 mai 1218, seigneur de La Châtre, seigneur de Mareuil(Mareuil-sur-
-2785-
Arnon 18), seigneur de Vatan.
Guillaume Ier de Chauvigny fonde à proximité du château de Meillant une "Ville

Franche". En mai 1211, il donne une charte de privilèges pour les Bourgeois qui
sont venus s'y installer.
Guillaume 1er de Chauvigny transmet Meillant à ses frères Raoul et André par
charte du 12/05/1218 (La Thaumassière (1679), p. 724).
G.de Beauregard (Medieval Lands Pascal Sabat -Gencher) 20 vi 2016
En 1233, Guillaume 1er de Chauvigny céda à son demi frère, Louis 1er de
Sancerre ses droits sur Charenton et cette terre de Meillant.
A éclaircir !
Fonts:
- persona: A.Brabant (Beauchet-Filleau) 17 vi 04, G.de Beauregard (web
monumentshistoriques chateaux/meillant) 6 vi 2016, JB.de La Grandiere (
Europäische Stammtafeln t XIII tableau 70 -Chauvigny-, Marburg 1990 ) 17 vi
2016
- naixement: a.brabant
- família 1: a.Brabant (geneanet Auréjac)
1.486.785:
Blanche était donnée comme fille de Nn sgr de Charenton; j'ai corrigé : jblg
16/6/2016
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle in "La 1ère dynastie
comtes de Joigny" Société Généalogique de l'Yonne , pp. 60-91, Joigny, 1991) 16 vi
2016
- família 2: H.R.Moser/EuSt-XIII/158; H.de La Villarmois (Comte de Toulgouët-
Tréanna - Histoire de Vierzon, Picard, Paris 1884) 21 vi 2005
1.486.785-2b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/158
1.486.785-2d:
Fonts:
- casament: G.de Beauregard (Recherches historiques et archéologiques sur la ville
d'Issoudun Gallica) 17 vi 2016
- família: H.de La Villarmois (Comte de Toulgouët-Tréanna - Histoire de Vierzon,
Picard, Paris 1884) 21 vi 2005
1.486.786:
Hugues X de Lusignan[1] dit le Brun (vers 1185 - † 5 juin 1249 devant Damiette),
sire de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, fils d'Hugues IX de
Lusignan.
-2786-
Biographie
En 1220, il épouse Isabelle d'Angoulême, veuve de Jean sans Terre, laquelle avait
déjà été sa fiancée, avant que Jean sans Terre ne la lui ravisse pour l'épouser en
1200.
Adversaire de Blanche de Castille puis d’Alphonse de Poitiers, Hugues de

Lusignan perd certaines de ses possessions. En juin 1240, après un siège de
quinze jours, il est contraint de rendre la très puissante forteresse de Frontenay
(actuelle ville de Frontenay Rohan-Rohan) à Louis IX qui en fait raser les murs
1
pour la punir de son opposition au pouvoir royal .
Hugues de Lusignan est finalement vaincu le 21 juillet 1242 lors de la bataille de

Taillebourg en 1242.
Obligé de suivre en 1248 saint Louis en croisade, il meurt devant Damiette l’année
suivante.
Acte montrant qu'en 1239 Villebois est détenu par Hugues de Lusignan:
"Estienne Faure Damoiseau, Seigneur du Mas Milhaguet au Diocèse de Perigueux,

Seneschal de Hugues de Lusignan Comte de la Marche & d'Angoulesme, Seigneur
de Fougères & de Villebois, qui fit hommage lige à ce Comte, à cause de son
Chasteau de Villebois à présent appelle le Duché de la Vallette, pour sa terre du
Mas Milhaquet, assise en la Paroisse de Ronhac au devoir d'un Esprevier à chaque
mutation des Seigneurs de Villebois, et des possesseurs du Repaire Noble du Mas
Milhaquet, par acte passé au Chasteau de Villebois le quatrième Dimanche de
Carefme l'an 1239." J-C de Vaugiraud (François Du Chesne: Histoire des
chancelliers de France et des gardes de sceaux de France, 1680, P. 841) 10 v
2012
Références
1. "Le 1er août 1242, dans son camp près de Pons, Louis IX reçoit la
soumission des seigneurs rebelles et dicte de sévères conditions à
"Hugues de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, et
Isabelle, par la grâce de Dieu reine d'Angleterre, comtesse desdits
lieux": il garde les terres conquises sur eux et les attribue à son
frère, le comte de Poitou, à savoir Saintes et sa chatellenie, La
for^t-sur-Sèvre, La Vergne, Pont-l'Abbé, Montreuil-Bonnin,
Frontenay, Langeais, Saint-Gelais, Prahecq, Tonnay-Boutonne, La
Clouze, Beaussais, les fiefs que le comte d'Eu tient du seigneur de
Lusignan, le fief de Renaud de Pons, le fief de Geoffroy de
Rancon, les fiefs de Geoffroy de Lusignan, le Grand fief d'Aunis,
soit le tiers environ des domaines d'Hugues et d'Isabelle; il est
désormais quitte des 5000 livres tournois qu'il payait chaqque
année au Lusignan depuis 1227. Il reçoit le comte de la Marqhe à
l'hommage lige pour le comté d'Angoulême et les châteaux et
-2787-
châtellenies de Cognac, Jarnac, Merpins, Aubeterre, Villebois." J-C
de Vaugiraud (Jean Combes, Gilles Bernard: Histoire du Poitou et
des pays charentais, 2001, P. 179) 10 v 2012
Liens externes
 Hugues X de Lusignan
Fonts:
- persona: T. Denis (C. Farcinet : L'ancienne famille de Lusignan), J-C de Vaugiraud
(Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p. 292) 11/03/2010, J-P.de Palmas (wikipedia) 29 v
2012
- família 1: C.Saint-Felix (base geneanet cayre de Francis Cayre) 10iv2006, J-P.de
Palmas (wikipedia) 29 v 2012
- família 2: J-C de Vaugiraud (D. Vrignaud, forum du 21) 22 iv 2011
1.486.787:
L'usage de la langue anglaise pour sa titulature (Queen of England) est pour le moins
surprenant quand on sait que le français à cette époque était la seule langue utilisée
à la cour d'Angleterre ! J-B de La Grandière 3 vi 2009.
Gisant d'Isabelle d'Angoulême dans l'église de l'abbaye de Fontevrault
Photo : courtoisie de l'auteur (Wikipédia)
-----------------------------------------------------------------------------
Isabella of Angoulême (French: Isabelle d'Angoulême, IPA: [izab?l d?~gul?m]; 1188 -

31 May 1246) was suo jure Countess of Angoulême and queen consort of England as
the second wife of King John. She was queen from 24 August 1200 until John's death
on 19 October 1216. She had five children by the king including his heir Henry who
succeeded John as Henry III of England. In 1220, Isabella married secondly Hugh X
of Lusignan, Count of La Marche, by whom she had another nine children.
-2788-
Isabella formed a conspiracy against King Louis IX of France in 1241, after being
publicly snubbed by his mother, Blanche of Castile for whom she had a deep-seated
hatred.[1] In 1244, after the plot had failed, Isabella was accused of attempting to
poison the king, and to avoid arrest, sought refuge in Fontevraud Abbey where she
died two years later at the age of about 58.
Queen of England
She was the only daughter and heir of Aymer Taillefer, Count of Angoulême, by Alice
of Courtenay, who was sister of Peter II of Courtenay, Latin Emperor of
Constantinople and granddaughter of King Louis VI of France. Isabella became
Countess of Angoulême in her own right on 16 June 1202, by which time she was
already queen of England. Her marriage to King John took place on 24 August 1200,
at Bordeaux, a year after he annulled his first marriage to Isabel of Gloucester. She
was crowned queen in an elaborate ceremony on 9 October at Westminster Abbey in
London. Isabella was originally betrothed to Hugh IX le Brun, Count of Lusignan,[2]
son of the then Count of La Marche. As a result of John's temerity in taking her as his
second wife, King Philip II of France confiscated all of their French lands, and armed
conflict ensued.
Gisant d'Isabelle d'Angoulème
At the time of her marriage to John, the 12-year-old Isabella was already renowned
for her beauty[3] and has sometimes been called the Helen of the Middle Ages by
historians.[4] Isabella was much younger than her husband and possessed a volatile
temper to match his own. King John, however, was deeply infatuated with his young,
beautiful wife; he neglected his state affairs to spend time with Isabella, often
remaining in bed with her until noon, although it was the custom for kings to rise at
five o'clock in the morning to commence their duties. The common people began to
term her a "siren" or "Messalina", although they were pleased with her beauty.[5]
Her mother-in-law, Eleanor of Aquitaine readily accepted her as John's wife.[6]
On 1 October 1207 at Winchester Castle, Isabella gave birth to a son and heir who
was named Henry after the King's father, Henry II. He was quickly followed by
another son, Richard, 1st Earl of Cornwall, King of the Romans; and three daughters,
Joan, Isabel, and Eleanor. All five children survived into adulthood, and would make
illustrious marriages; all but Joan would produce offspring of their own.
-2789-
Second marriage
When King John died in October 1216, Isabella's first act was to arrange the speedy
coronation of her nine-year-old son at the city of Gloucester on 28 October. As the
royal crown had recently been lost in The Wash, along with the rest of King John's
treasure, she supplied her own golden circlet to be used in lieu of a crown.[7] The
following July, less than a year after his crowning as King Henry III of England, she
left him in the care of his regent, William Marshal, 1st Earl of Pembroke and
returned to France to assume control of her inheritance of Angoulême, which had
belonged to her suo jure since 1202. In the spring of 1220, she married Hugh X of
Lusignan, "le Brun", Seigneur de Luisignan, Count of La Marche, the son of Hugh IX,
to whom she had been betrothed before her marriage to King John. It had been
previously arranged that her eldest daughter Joan should marry Hugh, and the little
girl was being brought up at the Lusignan court in preparation for her marriage.
Hugh, however, upon seeing Isabella, whose beauty had not diminished,[8] preferred
the girl's mother. Princess Joan was provided with another husband, King Alexander
II of Scotland, whom she wed in 1221. Isabella had married Hugh without waiting to
receive the consent of the King's council in England, which was the required
procedure for a former Queen of England, as the Council had the power to not only
choose the Queen Dowager's second husband, but to decide whether or not she
should be allowed to marry at all. Isabella's flouting of this law caused the Council to
confiscate her dower lands and stop the payment of her pension.[9] Isabella and her
husband retaliated by threatening to keep the Princess Joan in France (she had not
yet departed for England); and after furious letters sent by the Council to the Pope,
signed by Isabella's son, King Henry, which urged the Pontiff to excommunicate the
Count and Countess, the Council, in order to placate the King of Scotland, who was
eager to receive his future bride, came to terms with Isabella. She was granted, in
compensation for her dower lands in Normandy, the stannaries in Devon and the
revenue of Aylesbury for a period of four years. She also received £3000 pounds as
payment for arrears in her pension.[10] By Hugh X, Isabella had nine more children.
Their eldest son Hugh XI of Lusignan succeeded his father as Count of La Marche
and Count of Angoulême in 1249.
Rebellion and death
Described as "vain, capricious, and troublesome",[11] Isabella could not reconcile

herself to the necessary loss in rank which resulted after her marriage to the Count
of La Marche. Isabella had been a Queen of England and deeply resented having to
give precedence to women who were now of higher rank than she, a mere Countess
of Angoulême and La Marche.[12] In 1241, when Isabella and Hugh were summoned
to the French court to swear fealty to King Louis IX of France's brother, Alphonse,
who had been invested as Count of Poitou, their mother, the Queen Dowager Blanche
openly snubbed her. This so infuriated Isabella, who had a deep-seated hatred of
Blanche due to the latter having fervently supported the French invasion of England
during the First Barons' War in May 1216, that she began to actively conspire against
King Louis. Isabella and her husband, along with other disgruntled nobles, including
her son-in-law Raymond VII of Toulouse, sought to create an English-backed
confederacy which united the provinces of the south and west against the French
king.[13] In 1244, after the confederacy had failed and Hugh had made peace with
King Louis, two royal cooks were arrested for attempting to poison the King; upon
questioning they confessed to having been in Isabella's pay.[14] Before Isabella could
-2790-
be taken into custody, she fled to Fontevraud Abbey, where she died on 31 May
1246. By her own prior arrangement, she was first buried in the Abbey's churchyard,
as an act of repentance for her many misdeeds. On a visit to Fontevraud, her son
King Henry III of England was shocked to find her buried outside the Abbey and
ordered her immediately moved inside. She was finally placed beside Henry II and
Eleanor of Aquitaine. Afterwards, most of her many Lusignan children, having few
prospects in France, set sail for England and the court of Henry, their half-brother.
Issue With King John of England: 5 children, all of whom survived into adulthood,
including: 1.King Henry III of England (1 October 1207 - 16 November 1272).
Married Eleanor of Provence, by whom he had issue, including his heir, King Edward
I of England. 2.Richard, Earl of Cornwall and King of the Romans (5 January 1209 - 2
April 1272). Married firstly Isabel Marshal, secondly Sanchia of Provence, and thirdly
Beatrice of Falkenburg. Had issue. 3.Joan (22 July 1210 - 1238), the wife of King
Alexander II of Scotland. Her marriage was childless. 4.Isabella (1214-1241), the wife
of Emperor Frederick II, by whom she had issue. 5.Eleanor (1215-1275), who would
marry firstly William Marshal, 2nd Earl of Pembroke; and secondly Simon de
Montfort, 6th Earl of Leicester, by whom she had issue. With Hugh X of Lusignan,
Count of La Marche: nine children, all of whom survived into adulthood, including:
1.Hugh XI of Lusignan (1221-1250), Count of La Marche and Count of Angoulême.
Married Yolande de Dreux, Countess of Penthièvre and of Porhoet, by whom he had
issue. 2.Aymer of Lusignan (1222-1260), Bishop of Winchester 3.Agnès de Lusignan
(1223-1269). Married William II de Chauvigny (d. 1270), and had issue. 4.Alice of
Lusignan (1224 - 9 February 1256). Married John de Warenne, 6th Earl of Surrey, by
whom she had issue. 5.Guy of Lusignan (c. 1225 - 1264), killed at the Battle of Lewes.
(Tufton Beamish maintains that he escaped to France after the Battle of Lewes and
died there in 1269). 6.Geoffrey of Lusignan (c. 1226 - 1274). Married in 1259 Jeanne,
Viscountess of Châtellerault, by whom he had issue. 7.William of Lusignan (c. 1228 -
1296). 1st Earl of Pembroke. Married Joan de Munchensi, by whom he issue.
8.Marguerite de Lusignan (c. 1229 - 1288). Married firstly in 1243 Raymond VII of
Toulouse; secondly c. 1246 Aimery IX de Thouars, Viscount of Thouars and had issue
9.Isabella of Lusignan (1234 - 14 January 1299). Married firstly before 1244 Maurice
IV, seigneur de Craon (1224-1250), by whom she had issue; she married secondly,
Geoffrey de Rancon.
In popular culture
She was portrayed by actress Léa Seydoux in the 2010 film Robin Hood. Sources
Fougère, Sophie. Isabelle d'Angoulême, Reine d'Angleterre, Edit-France, 1998.
Costain, Thomas B. The Conquering Family, Doubleday and Company, Inc., Graden
City, New York, 1949, 1962 Costain, Thomas B. The Magnificent Century, Doubleday
and Company, Inc., Garden City, New York, 1959 Pertz Chronica ævi Suevici
(Monumenta Germaniæ Historica, Scriptores 23) (1874): 874 (Chron. of Alberic de
Trois-Fontaines: “… que domna Petro de Cortenaio, regis Philippi patruo, peperit
comitem Petrum Comitem Autissiodorensem et Robertum de Cortenaio et quendam
Guilelmum et sorores eorum. Una Alaydis comiti Guilelmo Ioviniaci peperit comitem
Petrum, et post Engolismensi comiti peperit Isabellam modernam Anglie reginam
…”). Further reading Castaigne, Jean François. Isabelle d’Angoulême, Comtesse-
Reine, Angoulême, 1836. Richardson, H.G. The Marriage and Coronation of Isabelle
of Angoulême, in The English Historical Review, September 1946. Snellgrove,
Harold. The Lusignans in England, 1247-1258, in University of New Mexico
Publications in History, #2, 1950. Bard, Rachel. Isabella: Queen Without a
-2791-
Conscience. (A historial romance)
References
1.^ Thomas B. Costain, The Magnificent Century, pp. 144-
45, Doubleday and Company, Inc., Garden City, New York,
1959
2.^ Hugues X of Lusignan
3.^ Thomas B. Costain, The Conquering Family, pp.251-52,
Doubleday and Company, Inc., Garden City, New York, 1949,
1962
4.^ Costain, The Conquering Family, p.306
5.^ Costain, The Conquering Family, pp.253-54
6.^ Thomas B. Costain, The Conquering Family, p.246
7.^ Costain, The Magnificent Century, p.11
8.^ Costain, The Conquering Family, p.341
9.^ Costain, The Magnificent Century, p.38-39
10.^ Costain, The Magnificent Century, pp.38-39
13.^ Costain,The Magnificent Century pp.145-46
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Isabella_of_Angoul%C3%AAme
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- persona: F.BBriès maj 04/06/09,JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- casament 1: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- família 2: C.Saint-Felix (base geneanet cayre de Francis Cayre) 10iv2006, J-P.de
Palmas (wikipedia) 29 v 2012
1.486.787a:
Hugues XI de Lusignan naît vers 1221. Il meurt le 6 avril 1250 lors de la bataille
de Fariskur au cours de la septième croisade.
Il était le fils de Hugues X, comte de la Marche et d'Isabelle d'Angoulême, veuve

du roi Jean sans Terre. Hugues XI était de ce fait demi-frère du roi Henri III
d'Angleterre.
Il reçut le comté d'Angoulême de sa mère, puis le comté de la Marche à la mort de

son père en 1249. Lors de son mariage avec Yolande († 1272), fille du duc de
Bretagne Pierre Mauclerc, ce dernier lui donne le comté de Penthièvre en 1236
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p. 292) 11/03/2010,
C.Maubois (wikipedia) 12 x 2012
- naixement: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- defunció: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
-2792-
- casament: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- família: H.R.Moser/EuSt
1.486.787b:
Aymar de Lusignan, dit de Valence, († 4 déc. 1260 à Paris ), seigneur de Couhé ;
Clerc en 1248, évêque de Winchester (1250-1260), successeur de Guillaume de
Raley. Aymar a été élu le 4 novembre 1250, et son élection a été confirmée à Lyon
par Innocent IV le 14 janvier de l'année suivante.
Valence was a half brother of Henry III of England; his mother was Isabella of
Angoulême, the second wife of King John, his father was Hugh X of Lusignan, the
count of La Marche, whom Isabelle married in 1220. He was also the uncle of
Aymer de Valence, 2nd Earl of Pembroke.
The children of Isabella's marriage came to England in 1247 in the hope of

obtaining court preferment. Aymer received a prebend in the diocese of London.
In 1250 the king, by putting strong pressure upon the electors, succeeded in
obtaining the election of Aymer to the see of Winchester on 4 November.
The appointment was in every way unsuitable. Aymer was illiterate, ignorant of
the English language, and wholly secular in his mode of life. Upon his head was
concentrated the whole of the popular indignation against the foreign favourites;
and he seems to have deserved this unenviable distinction.
However, he received confirmation of his election to the see from Pope Innocent
IV on 14 January 1251, along with a dispensation to keep his other ecclesiastical
income.
At the Parliament of Oxford in 1258 he and his brothers repudiated the Provisions
of Oxford prepared by the barons. He was pursued to Winchester, besieged in
Wolvesey castle, and finally compelled to surrender and leave the kingdom. He
had never been consecrated; accordingly in 1259 the chapter of Winchester
proceeded to a new election. Aymer, however, gained, the support of Pope
Innocent IV.
He was on his way back to England when he was overtaken by a fatal illness at
Paris, having only been consecrated on 16 May 1260 before his death on 4
December 1260. He is buried in Paris.
AYMAR (-Paris [4 Dec] or [25 Dec] 1259). Matthew Paris names "Athelmarus" as a
third half-brother of King Henry III, after discussing his brothers Guy and
Guillaume, saying that the king gave him so many ecclesiastical positions that he
was deprived of them by Rome, specifying the names of both his parents in a later
passage and that he was born in Poitou[738]. The same chronicler records the
attempt by King Henry III in 1249 to install "frater eius uterinus Æthelmarus" as
bishop of Durham and his gift to him of the church of Wearmouth later in
1249[739]. The testament of "Hugo de Lezignen comes Marchie", dated 8 Aug
1248, appoints as his heirs "Hugonem Brunum comitem Angolisme, Guidonem,
Gaufridum, Willelmum de Vallencia, milites, et Ademarum, clericum, filios
meos"[740]. "Ademarus filius…Hugonis comiti Marchie et Engolisme" swore
-2793-
homage to Saint-Maixent for "Coec" (Couhé) by charter dated 28 Mar 1249[741].
He was elected Bishop of Winchester in 1250 following considerable pressure
from the king, confirmed in 1251[742]. He left England in 1252, Matthew Paris
recording the bad relations then existing between him and the king[743]. He
oppressed the monks at Winchester for which he was rebuked by the king[744].
The Annals of Tewkesbury record that “dominus Emerinus electus Wyntoniæ,
Willelmus de Walencia, et alii duo…fratres domini regis” refused to swear fidelity
to the king in 1258[745]. The Chronicle of Thomas Wykes records the death “circa
festum Nativitatis Dominicæ…apud Parisius” in 1259 of “Ademarus Wyntoniæ
episcopus”[746]. The Annals of Osney record the death “Parisius…circa festum
beatæ Luciæ virginis” in 1259 of “Adimarus…[episcopus Wyntoniæ]”[747].
[738] MP, Vol. IV, 1247, p. 650, and Vol. V, 1250, p. 184.
[739] MP, Vol. V, 1249, pp. 55 and 91.
[740] Notre-Dame des Châtelliers, LXXVI, p. 82.
[741] Saint-Maixent, Vol. II, CCCCLII, p. 83.
[742] MP, Vol. V, 1250, pp. 180-4 and 224.
[743] MP, Vol. V, 1252, pp. 332-3.
[744] MP, Vol. V, 1254, pp. 468-9.
[745] Annales de Theokesberia, p. 165.
[746] Luard, H. R. (ed.) (1869) Annales Monastici Vol. IV, Annales de Oseneia,
Chronicon Thomæ Wykes, Annales de Wigornia (London) Thomas Wykes, p. 124.
[747] Luard, H. R. (ed.) (1869) Annales Monastici Vol. IV, Annales de Oseneia,
Chronicon Thomæ Wykes, Annales de Wigornia (London) Annales de Osneia, p.
126.
External links
 British History Online Bishops of Winchester, by Diana E. Greenway,

1971
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia (en) et FMG) 29 v 2012
1.486.787d:
In 1247, a year after her mother's death, Alice, along with three of her brothers,
William, Aymer and Guy, accompanied the new papal legate William of Modena,
-2794-
the Cardinal Bishop of Sabina, to England, which they had decided to make their
home, and live at the expense of the Crown.
In August of that year, her half-brother, King Henry married her to John de
Warenne, 6th Earl of Surrey (August 1231 - 29 September 1304). The marriage
caused some resentment amongst the English nobility, as they considered the
King's Lusignan siblings to be parasites and a liability to the Kingdom. Many
prestigious honours and titles were granted to the Lusignans. Alice was also said
to have been disdainful of all things English.
John was the son of William de Warenne, 5th Earl of Surrey and Maud Marshal.
Together they had three children.
Alice died in Warren, Sussex, England, on 9 February 1256 after giving birth to
her only son, William. She was about thirty-two years of age.
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tompsett), C.Maubois (wikipedia) 12 x 2012
1.486.787e:
Lord of Valence, Montignac, Bellac, Rancon and Champagnac Was called Earl of
Pembroke but never officially gained that title. Earl of Wexford.
Il fut l'un des administrateurs principaux de son neveu Edouard Ier sur le
continent.
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac, H.R.Moser
- família: H.R.Moser/EuSt-III/816, Renaud de Paysac; G.Hazard (Anselme) 07/2010
1.486.787f:
En conflit avec le prieuré de Grandmont, il est soutenu par son suzerain, Alphonse
de Poitiers :
Alphonse, etc. à son très religieux et aimé prieur de Grandmont, salutations et

sincère plaisir.
Comme nous vous avions déjà demandé que vous apportiez, ainsi qu’il convient,
remède aux injures, incommodités et violences faites par le censeur de votre
maison de La Vaylolle au noble homme, notre aimé et fidèle Geoffroi de Lusignan,
chevalier, dans notre fief, nous vous demandons une nouvelle fois que vous fassiez
pleinement châtier le dit homme et cesser les atteintes faites par ce censeur
contre le dit noble et remettiez la situation comme elle était antérieurement ; du
reste c’est le conseil que nous vous donnons sur ce qu’il a été vu par nous.
Daté de Longpont, la veille de la Saint Jean Baptiste, l’an 1267.
(D'après Auguste Molinier, Correspondance administrative d'Alphonse de Poitiers,
-2795-
Pièce 10, t.1, p.6 : 23 juin 1267 : Au prieur de Grandmont pour Geoffroi de
Lusignan, chevalier ; traduction : F. Ripart)
Par son deuxième mariage il devint vicomte de Châtellerault.
En 1242 il participa avec son père à la guerre contre le roi de France Louis IX, et
son frère Alphonse comte de Poitiers, guerre au cours de laquelle le parti des
Anglais et du comte de La Marche, son père, furent défaits, obligeant le roi Henri
III d'Angleterre, à une retraite précipitée et peu glorieuse vers Bordeaux.
En 1243 il obtint en héritage, Jacnac, Châteauneuf et Château-Larcher et en 1246

il apparait comme seigneur de Sainte Hermine par sa première femme Aumode.
Fonts:
- persona: Note : F. Ripart (02.03.2006), S.FourlinnieGallica/Histoire de la Maison
Royale de France/Père Anselme page 129 – 31/07/2011, S. de L'Espinay (G. Martin
-
- família 2: o guionneau/H&G 99-171, J-P de Palmas (Histoire de Touraine jusqu'à
l'année 1790, par Jean Louis Chalmel, tome III, p.122, Tours 1828) 23-ii-2009, S.
de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld
- 3e édition - 2015)15.05.2016
- família 3: Renaud de Paysac
1.486.787g:
Initialement fiancée à Alphonse de Poitiers par le traité de Vendôme, de mars
1227, mais le projet est abandonné dès 1228
- Pour moi il existe deux Isabelle de Lusignan (ou de La Marche) distinctes :

- Isabelle 1 de Lusignan (fille de Hugues X de Lusignan et d'Isabelle Taillefer,
comtesse d'Angoulême) apparaît dans le cartulaire de Craon (Archives de La
Trémoille), utilisé dans les bulletins de la Commission historique et archéologique
de la Mayenne de 1891 et 1892, comme l'épouse incontesté de Maurice IV,
seigneur de Craon, décédé fin mai 1250, leur mariage n'était pas fait en mai 1243
où Isabelle 1 est citée dans un acte de partage des fiefs de ses parents, il l'était
obligatoirement en 1245 vu que le couple eut 5 enfants? On peut donc le situer
arbitrairement après 1243 ou en 1244. Veuve dès la fin de mai 1250 (il est inhumé
le 27 mai 1250), elle a obtenu en douaire la terre de Chantocé dont elle porte
ensuite seulement le titre. Elle a la garde et la tutelle de son fils Amaury II et à ce
titre s'intitule sénéchal d'Anjou. Son décès est inscrit dans le fameux "Tableau"
que l'on trouve dans la chapelle de l'église Saint-Jean-Baptiste des Cordeliers à
Angers qui servait de tombeau aux membres de la famille de Craon à partit de
Maurice V décédé le 11 février 1293 et qui y fut inhumé. Ce décès est daté du 14
janvier 1300 (nouveau style). Dans aucun de ces documents, il n'est question
d'une autre union, précédente ou suivante d'Isabelle 1. Elle n'est jamais qualifiée
de dame de Commequiers et de Beauvoir-sur-Mer qui sont les terres reçues en
douaire par la veuve de Maurice de Belleville en 1277, ni de dame de Marcillac
dont l'épouse de Geoffroy de Rancon a reçu l'usufruit dès 1263 et que les chartes
relatives à Marcillac lui attribue au moins encore jusqu'en 1278.
- Isabelle 2 de Lusignan (fille de Hugues XI de Lusignan et de Yolande de Dreux)
apparaît comme tante de Robert de Préaux dans un acte du 24 septembre 1320
-2796-
tiré du cartulaire de Craon, pièce 12 (Archives de La Trémoille, Fonds Craon) où
celui-ci confirme la cession de la terre de Moulin-Neuf à son cousin Amaury de
Craon. Il est précisé que cette terre avait été donnée à Robert de Préaux par sa
tante Isabelle de Lusignan, dame de Belleville. Robert de Préaux était le fils de
Pierre de Préaux et de Yolande de Lusignan (décédée le 13/11/1306), fille de
Hugues XI de La Marche. La dame de Belleville est donc la fille de Hugues XI de
La Marche. Surtout Isabelle de Lusignan, dame de Commequiers et de Beauvoir-
sur-Mer, apparaît dans des lettres du 16 août 1304 où elle est expressément dite
veuve de Geoffroy de Rancon. Elle ne peut donc être la même que Isabelle 1
décédée depuis 1300 ! Elle d'ailleurs encore citée comme éxécutrice
testamentaire dans le testament de 1309 de son frère Guy de Lusignan, seigneur
de Couhé, Peyrat et encore citée dans le testament de 1314 de sa nièce Yolande
de Lusignan, épouse du seigneur de Pons.
- Les bulletins de la Commission historique et archéologique de la Mayenne pour
les années 1891 et 1892, disponibles via Gallica, sont particulièrement riches pour
leur publication des pièces du cartulaire de Craon (Archives de La Trémoille) et
contiennent notamment la transcription du contrat de mariage daté du 24 août
1300 d'Amaury (III), seigneur de Craon, et d'Isabelle de Sainte-Maure. L'analyse
qu'en font les auteurs du bulletin pose problème aussi en ce qui concerne la
généalogie de la famille de Sainte-Maure présente sur Roglo. Mais c'est encore un
autre problème.
Denis Vrignaud (forum) 19 iv 2011
Fonts:
- persona: F. Ripart ( E. Boutaric, Saint Louis et Alphonse de Poitiers, p.42 ),
H.R.Moser/EuSt-III.4/816
- casament 1: J-C de Vaugiraud (Denis Vrignaud, forum du 19, d'après cartulaire de
Craon) 20 iv 2011
- família 1: H.R.Moser/EuSt-III.4/719, J-P de Palmas (Histoire de Touraine jusqu'à
l'année 1790 par Jean Louis Chalmel, tome II, Tours, 1828) ii-2009
- casament 2: J-C de Vaugiraud (Duguet) 20 iv 2011
- família 2: J-C de Vaugiraud (Denis Vrignaud, forum du 19, d'après cartulaire de
Craon, pièce 12) 20 iv 2011
1.486.787h:
Après son veuvage d'avec Aymeri de Thouars, elle entre comme son fils Geoffroi
en rébellion envers Alphonse de Poitiers.
Elle se réconciliera avec lui en 1267, en même temps que Geoffroi, et Alphonse lui
fera rendre le montant de l'amende qu'elle avait du acquitter :
Alfonse, etc., à son aimé et fidèle sénéchal de Poitiers, etc. Nous vous mandons
que vous leviez deux cent livres d’amende, à laquelle était tenue notre fidèle la
vicomtesse de Thouars.
Ainsi que a elle le lendemain de l’instance de la quinzaine de la Pentecôte vous

fassiez apporter au Temple de Paris la moitié, levés a l’Ascension, et les 100 livres
de la moitié restante levées à la fête de la Toussaint et apportées à elle le
lendemain de cette fête au Temple de Paris.
Daté de Fontainebleau, le mercredi après la fête de Saint Jean devant la Porte
latine, l’an 1267.
-2797-
(D'après Auguste Molinier, Correspondance administrative d'Alphonse de Poitiers,
Pièce 5, t.1, p.3 : 11 mai 1267 : Au sénéchal de Poitou pour la vicomtesse de
Thouars ; traduction : F. Ripart)
Fonts:
- família 2: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé)
- família 3: H.R.Moser/EuSt
1.486.787i:
"Guy (n°1) de Lusignan, seigneur de Cognac, Merpins et Archiac, fils d'Hugues X
et d'Isabelle d'Angoulême.
Guy 1 a fait deux testaments : le 18/10/1281 et le 18/08/1288.
Le premier est consultable dans le Tome XI des archives historiques du Poitou de
1881 (sur Gallica) et est en vieux français.
je n'ai pas pu mettre la main sur le second, rédigé en latin, qui est aux archives
nationales (J 270 B, n°19), mais dont des extraits me sont connus grâce à un
article publié sur "www.persee.fr".
Il y est clairement qualifié de seigneur de Cognac ("Compgnac"), Merpins et
Archiac.
Il dit que son père a été inhumé dans l'abbaye de Valence.
Il fait un petit don en espèce à "Frère Guy, de l'ordre des Frères Mineurs, mon
frère" (aussi bien en 1281 que 1288).
Il cite parmi ses exécuteurs testamentaires ses neveux "Gui de la Marche, seygnor
de Coyec' (= Guy de Lusignan, seigneur de Couhé) et "Guy, vicomte de Toars" (=
Guy II, vicomte de Thouars, fils de Marguerite de Lusignan).
Il fait de son héritier "sire Hugues lou Brun, mon chier neuou (= en fait petit-
neveu), comte de la marche et de Engoleme, seygnor de Faugeres" qui ne peut
être que Hugues XIII de Lusignan, seigneur de Fougères par sa mère et surtout ni
Hugues Xi, ni Hugues XII ne sont encore vivants en 1288 !
Il est mort probablement peu après son second testament du 18/08/1288.
La simple allusion à son neveu Guy, vicomte de Thouars, fils de Marguerite de
Lusignan (fille d'Hugues X et Isabelle d'Angoulême), permet de le situer."
J-C de Vaugiraud (D. Vrignaud, forum du 21) 22 iv 2011
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (D. Vrignaud, forum du 21) 22 iv 2011
1.486.787-2a:
""Guy (n°2) de La Marche, frère mineur, poète français de langue latine de la fin
du XIIIème siècle, fils naturel du comte Hugues X de La Marche
Appelé Gui de la Marche, religieux de l'ordre des Frères mineurs, il est connu
aussi comme poète de langue latine de la fin du XIIIème siècle.
On lui connaît au moins deux poèmes en vers rythmiques intitulés : "Disputatio
Mundi et Religionis" et "Tractatus fratris Guidonis de Marchia, ordinis Minorum,
de Cicerone disputatore et sorte, predicacione et Platone lectore".
Il y a sur le site "www.persee.fr" un article de 1930 d'Antoine Thomas tiré des

"Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres",
74ème année, n°3, pages 242-247, qui s'intitule "Gui de la Marche, frère mineur,
-2798-
poète latin de la fin du XIIème siècle".
Il démontre de manière magistrale que cet auteur était un fils naturel du comte
Hugues X de La Marche grâce notamment aux deux testaments de Guy de
Lusignan, seigneur de Cognac, de 1281 et 1288."
Source : J-C de Vaugiraud (D. Vrignaud, forum du 21) 22 iv 2011
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (D. Vrignaud, forum du 21) 22 iv 2011
1.486.787-1a:
Henri III ou Henri III Plantagenêt, né le 1er octobre 1207 au château de
Winchester, mort le 16 novembre 1272 à Westminster, fils aîné du roi Jean sans
Terre et d'Isabelle d'Angoulême, fut roi d'Angleterre et duc d'Aquitaine.
Biographie
Jeunesse
Fils aîné du roi Jean sans Terre et d'Isabelle d'Angoulême, Henri III n'avait que
neuf ans quand il succéda à son père, mort le 19 octobre 1216. À cette époque, les
barons anglais, mécontents de Jean sans Terre, avaient offert le trône au prince
Louis, fils de Philippe Auguste, qui avait traversé la Manche et s'était fait
couronner à Londres. Avec la mort de Jean sans Terre, leur rancune s'éteignit, et
ils abandonnèrent le parti de Louis, se ralliant au jeune Henri.
Roi d'Angleterre
Accession au trône
Henri III fut donc couronné à Westminster le 28 octobre 1216 par les derniers
fidèles des Plantagenêt. Comme le roi était encore jeune, la régence échut au
comte de Pembroke (1216-1219), qui réussit si bien que Louis dut rembarquer à la
fin de 1217. Après la mort du comte, Hubert de Bourg lui succéda dans ses
fonctions (1219-1227).
Déclaré majeur en 1227, Henri révoqua la Magna Carta, octroyée par son père,
qu'il avait lui-même juré de respecter, et retira sa faveur à Hubert de Bourg en
1231.
En 1224, Louis VIII enleva à Henri III toutes ses possessions du continent, excepté
Bordeaux et la Gascogne (Louis VIII légitimait ses annexions en stipulant que les
barons anglais n’avaient pas rempli les conditions du traité passé avec lui lorsqu'ils
l'avaient appelé en Angleterre).
-2799-
Table ronde dite du roi Arthur, Grand Hall de Winchester (Royaume-Uni) -

dernier vestige du château de Winchester -.
La table ronde du roi Arthur, table de bois suspendue dans le Grand Hall
depuis 1348.
Datant du XIIIe ou bien du début du XIVe siècle, elle n'a été peinte qu'en
1522 sous les ordres du roi Henri VIII d'Angleterre.
Les places à la table sont divisées avec une alternance de vert et de blanc,
le nom de chacun des 24 chevaliers étant inscrit en lettres d'or.
Le visage du roi n'est pas celui d'Arthur mais celui d'Henry VIII et la rose
des Tudors est également présente.
Lire la suite sur wikipedia
A l'Abbaye de Westminster, tête sculptée d'Henry III Plantagenêt
-2800-
Son tombeau à l'Abbaye de Westminster.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 6 v 2011
- defunció: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum du 29 avril 2005)
- família 2: M.Rébeillé-Borgella
1.486.787-1b:
En 1240, il rejoint la croisade en Terre sainte.
Comte de Cornouailles (1225-1272), il est élu roi des Romains en 1257, mais le
titre lui est contesté par Alphonse X de Castille et il n'est jamais sacré empereur.
Il dépense beaucoup d'argent au développement de son château de Wallingford.
En 1264, il est fait prisonnier par les partisans de Simon de Montfort à la bataille
de Lewes. Libéré en septembre 1265, il retourne en Allemagne en août 1268 et
rassemble en avril 1269 une diète à Worms où il fait passer un règlement sur
l'abolition des péages superflus. x
-*-*-*
Richard was the second son of King John and his second wife, Isabella of
Angouleme. Born in 1209, Richard was fifteen months the junior of his brother,
King Henry III. He was educated in England and, in 1227, was given the Earldom
of Cornwall. Thenceforth, he was a prominent figure in both English and
European politics. Between 1225 and 27, he was Governor of Gascony, but in the
following eleven years, he attached himself the Baronial party in opposition to the
monarch and his foreign favourites - thus becoming something of a popular hero.
In domestic life, Richard married Isabella, daughter of William Marshal, Earl of
Pembroke, and widow of Gilbert de Clare, Earl of Hertford & Gloucester, in 1231.
They had three sons and one daughter together, but only their son, Henry,
survived childhood. When Isabella died after the birth of the last in 1240, Richard
decided to escape England and its troubled political atmosphere by taking
command of a crusade. Before his departure, he was formally reconciled with his
-2801-
brother, King Henry, and friendly relations were cemented by his marriage with
Henry's sister-in-law, Sanchia of Provence, upon his return in 1243. The couple
sometimes lived at Berkhamstead Castle or Cippenham Manor in
Buckinghamshire, but Wallingford Castle in Berkshire became their chief
residence and here Richard spent a fortune on fine building work and lavish
entertainments. The eldest of their two children was born at Wallingford.
In 1257, the German electors nominated Richard as King of the Romans (ie. Holy
Roman Emperor), by a bare majority, and he was persuaded by King Henry to
accept the position. Up to 1268, therefore, Richard paid four visits to Germany.
However, he only ever obtained recognition in the Rhineland, which had close
trade links with England. In the troubles of the same period back in England,
Richard attempted to act as a mediator but Civil War broke out, with Simon de
Montfort and his followers, in 1264 when Richard took his brother's side. His
capture in a windmill after the defeat of the Royalist army at the Battle of Lewes,
is commemorated in the earliest of English vernacular satires; and, from then on,
he remained a prisoner till the fall of the rebel leader. After the Battle of Evesham,
Richard exerted himself, not without some success, to obtain reasonable terms for
those who had suffered from the vengeance of the Royalist party.
Sanchia had died in 1261 and, eight years later, Richard remarried to Beatrice,
daughter of the Count of Falkenburg. However, he himself died on 2nd April 1272,
his end being hastened by his grief upon the murder, by the sons of de Montfort,
of his eldest son, Henry of Almain. Richard was a great patron of Beaulieu (Hants)
and Hayles Abbeys (Glos) where many of his family were buried.
Fonts:
- persona: C.Maubois (Berkshire history)07.04.2010
- naixement: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum du 29 avril 2005)
- defunció: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum du 29 avril 2005)
- família 4: H.R.Moser/Burke-1975
1.486.787-1c:
Morte après une grave maladie.
Elle est née en 1210 de Jean sans Terre, roi d'Angleterre et d'Isabelle
d'Angoulême.
Suite à la mort de son père en 1216, sa mère se remaria avec Hugues X de

Lusignan. Jeanne passa alors une partie de son enfance en Gascogne. Alexandre
II, roi d'Écosse († 1249) obtint sa main en 1220. Elle l'épousa le 19 juin 1221. Bien
que mariée seize ans à Alexandre II, elle n'eut aucun enfant.
Elle accompagna son époux à York en septembre 1237 au cours de ses

négociations avec le roi Henri III d'Angleterre concernant les frontières Nord de
l'Angleterre. Elle ne rentra cependant pas en Écosse comme son mari mais
entreprit un pèlerinage à Cantorbéry, accompagnée de sa belle-sœur Éléonore de
Provence.
Elle tomba malade en cours de route et mourut près de Londres le 4 mars 1238.
-2802-
Elle fut inhumée au monastère cistercien de Tarrant Crawford.
Fonts:
- persona: C.Maubois (wikipedia) 13 x 2012
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
1.486.787-1d:
Morte en couches.
Lors d'une rencontre amicale à Rieti, le Pape Grégoire IX suggère à Frédéric II du

Saint-Empire de se marier avec la princesse Isabelle, une sœur d'Henri III
d'Angleterre. Dans un premier temps, Frédéric II ne veut pas perdre son alliance
avec la France ; mais, quand il réalise qu'un mariage anglais mettrait fin au
soutien que l'Angleterre apporte à ses opposants, il accepte.
La belle Isabelle a environ 18 ans quand elle est promise en mariage à l'empereur
Frédéric II, deux fois veuf, qui en a 40. Sur la route de Cologne, elle enchante les
femmes locales quand elle retire le voile porté traditionnellement pour montrer
son visage. Elle apporte également une dot considérable avec elle. Elle se marie
avec l'empereur Frédéric II en 1235.
Cependant, à peine mariée, elle ne peut conserver à ses côtés que deux de ses
dames de compagnie anglaises ; les autres sont renvoyés en Angleterre. En tout,
elle donne naissance à quatre enfants, mais seule Marguerite de Hohenstaufen
(1237-1270) lui survit, d'après certaines sources.
Isabelle vit retirée à Noventa, où son mari vient régulièrement la visiter. Quand
son frère, Richard, comte de Cornouailles, rentre de croisade, il vient lui rendre
visite. Tandis que la cour impériale réside à Foggia, Isabelle donne naissance à
son dernier enfant et meurt.
Elle avait seulement 27 ans et, d'après Thomas Costain, Frédéric l'inhume
derrière l'une de ses maîtresses sarrazines dans la cathédrale d'Andria.
Fonts:
- persona: CB du Coudert, C.Maubois (wikipedia) 13 x 2012
- casament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
1.486.787-1e:
Aliénor d'Angleterre (également appelée Aliénor Plantagenêt 1 et Aliénor de
Leicester), plus jeune fille du roi Jean d'Angleterre et d'Isabelle d'Angoulême naît
en 1215, à Gloucester . La ville de Londres tombe aux mains des rebelles, Isabelle
s'enfuit et Jean est contraint de signer la Magna Carta. Aliénor n'aurait jamais vu
son père, mort au château de Newark (Nottinghamshire) quand elle a à peine un
an.
-2803-
L'armée française, commandée par le prince Louis, marche vers le sud-ouest de
l'Angleterre. Les seules terres demeurées loyales à son frère se situent au centre
et au sud-ouest. Les barons, de leur côté, tiennent le nord, mais ils s'unissent aux
troupes royales, sous le commandement du régent Guillaume le Maréchal, 1er
comte de Pembroke, et Louis est défait. Guillaume le Maréchal meurt en 1219
Aliénor promise au fils du régent également nommé Guillaume l'épouse le 23

avril1224 à l'église New Temple de Londres alors quelle n'a que 9 ans et lui 34. Il
meurt à Londres le 6 avril 1231, quelques jours avant le septième anniversaire de
leur mariage resté sans enfant. Veuve, Aliénor prononce des vœux de chasteté
devant Edmund Rich, archevêque de Cantorbéry.
Sept ans plus tard, elle rencontre Simon V de Montfort, comte de Leicester.
D'après Matthieu Paris, Simon est ébloui par la beauté et l'élégance d'Aliénor
autant que par sa richesse et sa haute naissance , il l'épouse secrètement le 7
janvier 1238 à la chapelle royale du palais de Westminster. Le roi Henri, affirmera
par la suite n'avoir autorisé le mariage que parce que Simon avait séduit Aliénor.
Objet de controverses, ce mariage, du fait des vœux de chasteté d'Aliénor, oblige
Simon à partir à Rome quémander l'approbation du Pape pour leur union.
Quoique Simon de Montfort détienne le pouvoir réel, il tente de s'emparer du

trône. Mais il perd la vie et celle de son fils ainé Henri à la bataille d'Evesham le 4
août1265. Aliénor part en exil en France, où elle prend le voile à l'abbaye de
Montargis, un couvent fondé par Amicie, la sœur de son époux. Elle y meurt et y
est inhumée le 13 avril 1275.
Fonts:
- persona: C.Maubois (wikipedia) 13 x 2012
1.486.788:
Fonts:
- família 2: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 16 x 2011
1.486.789a:
Fonts:
- defunció: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- casament: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
1.486.789c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 154 p.99) 26/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (A. Roserot : "Dictionnaire historique de la Champagne
méridionale", t. IiI, p. 1771 et 1772, "Villehardouin") 30 i 2018
1.486.789d:
Fonts:
- persona: Grégoire de Thoury (La Chesnaye des Bois) 13.IV.10
- família: Grégoire de Thoury (La Chesnaye des Bois) 13.IV.10
-2804-
1.486.791b:
Henry III of Brabant (c. 1230 - February 28, 1261, Leuven) was Duke of Brabant
between 1248 and his death. He was the son of Henry II of Brabant and Marie of
Hohenstaufen.[1]
The disputed territory of Lothier, the former Duchy of Lower Lorraine, was
assigned to him by the German King Alfonso X of Castile. Alfonso also appointed
him Imperial Vicar to advance his claims on the Holy Roman Empire.
In 1251, he married Adelaide of Burgundy (c. 1233 - October 23, 1273), daughter
of Hugh IV, Duke of Burgundy and Yolande de Dreux,[2] by whom he had four
children: 1.Henry IV, Duke of Brabant (c. 1251 - aft. 1272) Mentally handicapped,
and made to abdicate in favor of his brother John on 24 May 1267.[3] 2.John I,
Duke of Brabant (1253-1294) Married first to Marguerite of France, daughter of
King Louis IX of France (Saint Louis) and his wife Margaret of Provence,[4] and
later to Margaret of Flanders, daughter of Guy, Count of Flanders and his first
wife Mathilda of Béthune.[5][6] 3.Godfrey of Brabant, Lord of Aarschot (d. July 11,
1302, Kortrijk), killed at the Battle of the Golden Spurs, married 1277 Jeanne
Isabeau de Vierzon (d. aft. 1296) 4.Maria of Brabant (1256, Leuven - January 12,
1321, Murel), married at Vincennes on August 27, 1274 to King Philip III of
France.
He also had one illegitimate son: Gilles, ancestor of the van der Balch family.
Composed several pieces of music, among them "Amors m'est u cuer entree" and
"Se kascuns del monde savoit
References 1.^ Genealogia Ducum Brabantiæ Heredum Franciæ 9, MGH SS XXV,

p. 391. 2.^ Annales Parchenses 1253, MGH SS XVI, p. 607. 3.^ Miraeus (1723),
Tome I, Donationes Belgicæ, Liber I, CXXIV, p. 433. 4.^ RHGF XXI, Chronique
anonyme des rois de France, p. 81. 5.^ Iohannis de Thielrode Genealogia
Comitum Flandriæ MGH SS IX, p. 335. 6.^ Oude Kronik van Brabant, p. 68.
http://en.wikipedia.org/wiki/Henry_III,_Duke_of_Brabant
1.486.791d:
photo: Marie (centre), with her husband Louis (left) and his second wife Anna of
Glogau (right).
Marie of Brabant (1226-1256) was a daughter of Henry II, Duke of Brabant and
Marie of Swabia. She married Louis II, Duke of Bavaria, being the first of three
wives.
Background
Marie was the fifth of six children born to Duke Henry by his first wife. Her
mother Marie was a daughter of Philip of Swabia. Marie's siblings included Henry
III, Duke of Brabant and Matilda of Brabant. After the death of her mother, her
father remarried to Sophie of Thuringia, from this marriage she gained two half-
-2805-
siblings including Henry I of Hesse.
Betrothals and Marriage
Marie was most likely betrothed in 1247 to Prince Edward, son of Henry III of
England. The betrothal of one of the daughters of Henry II Duke of Brabant to
Edward is recorded by Matthew Paris.[1] It is not certain that Marie was the
daughter in question. However, she is the most likely candidate as her two older
sisters were already married and her younger half-sister was only an infant at the
time. However negotiations came to nothing.[2]
On 2 August 1254, Marie was married to Duke Louis. The couple were married for
only two years, in which time they had no children.[3]
Execution
Marie was executed by beheading in Donauwörth in 1256, after being accused of

adultary by her husband,[4] following the standard practice for women found
guilty of adultery; however, proof of guilt of adultery on her part could never be
validated. As expiation, Louis founded the Cistercian friary Fürstenfeld Abbey
(Fürstenfeldbruck) near Munich.
Sources tell varying tales about how the event occurred. In 1256 Louis had been
away from home on state affairs for an extended period of time in the area of the
Rhine. His wife wrote two letters, one to her husband, and another to the earl of
Kyburg at Hunsrück, a vassal of Ludwig. Details about the actual content of the
second letter vary, but according to the chroniclers, the messenger who carried
the letter to Louis had been given the wrong one, and Louis came to the
conclusion that his wife had a secret love affair.
Over time, a great many tales of folklore sprang up around Louis' bloody deed,
most of them written long after Louis' death: Ballad-mongers embellished the tale
into a murderous frenzy, during which Louis allegedly not only killed his wife after
having ridden home for five days and nights, but also stabbed the messenger who
brought him the wrong letter, then upon entering his castle stabbed his own
castellan and a court lady and threw his wife's maid from the battlements, before
he massacred his wife either by stabbing her or cutting off her head.
References
1.^ Luard, H. R. (ed.) (1874) Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani,

Chronica Majora (London) (“MP”), Vol, IV, 1247, pp. 623 and 645. 2.^ Cawley,
Charles, BRABANT, LOUVAIN, Medieval Lands, Foundation for Medieval
Genealogy, retrieved August 2012,[self-published source][better source needed]
3.^ Cawley, Charles, BAVARIA, Medieval Lands, Foundation for Medieval
Genealogy, retrieved August 2012,[self-published source][better source needed]
4.^ Continuatio Lambacensis 1256, MGH SS IX, p. 559.
http://en.wikipedia.org/wiki/Marie_of_Brabant_(1226-1256)
-2806-
Fonts:
- persona: M.Thompson
- defunció: M.Thompson
1.486.791e:
Fonts:
1.486.791-2a:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson
- família: L. Gustavsson
1.486.791-2b:
Henry I of Hesse "the Child" (German: Heinrich das Kind) (24 June 1244 - 21
December 1308) was the first Landgrave of Hesse. He was the son of Henry II,
Duke of Brabant and Sophie of Thuringia.
Life
In 1247, as Heinrich Raspe, Landgrave of Thuringia, died without issue, conflict

arose about the future of Thuringia and Hesse. The succession was disputed
between Heinrich Raspe's nephew and his niece: Sophie was the daughter of
Heinrich Raspe's brother Ludwig IV and claimed the territories on behalf of her
son Henry, while Henry the Illustrious, margrave of Meissen, was the son of
Heinrich Raspe's sister Jutta. Another competitor were the Archbishops of Mainz,
who could claim Hesse was a fiefdom of the Archbishop and now, after the
extinction of the Ludowingians, demanded its return to them. Sophia, supported
by the Hessian nobility, succeeded in retaining Hesse against her cousin, who in
1264 accepted the division of the Ludowingian inheritance: Henry of Meissen
received Thuringia, while Sophia's son Heinrich would inherit Hesse. In the
following year, the Archbishop Werner II von Eppenstein acceeded to this
outcome in the Treaty of Langsdorf, accepting Henry as his liege-man and
Landgrave of Hesse.
At this time, the landgraviate of Hesse consisted of the region between

Wolfhagen, Zierenberg, Eschwege, Alsfeld, Grünberg, Frankenberg and
Biedenkopf. In the same year, Henry acquired a part of the county of Gleiberg
with Gießen from the Counts palatine of Tübingen. The landgraviate was centred
around the towns of Kassel, where Henry took up his residence since 1277, and
Marburg, where his grandmother Saint Elisabeth was buried and where Henry
built the Castle Marburg.
Henry again got into conflict with his liege-lord, the Archbishop, about the
possession of Naumburg. On behalf of the Archbishop, Henry was outlawed in
1274 by King Rudolf I of Habsburg, but after Henry had supported Rudolph in the
war against Otakar II of Bohemia and had helped to conquer Vienna 1276,
Rudolph reinstated Henry. In 1290 Henry defeated the Archbishop in the battle of
-2807-
Fritzlar and could henceforth maintain his territory.
Though Henry never relinquished his own claim on Brabant, he supported his
nephew John of Brabant against Guelders and Luxembourg in the Limburg
succession war.
On 12 May 1292, Henry was made a Reichsfürst (prince of the realm) by King
Adolf of Nassau, freeing Hesse of the supremacy of the Archbishop of Mainz.
Henry was bestowed with Eschwege and the Boyneburg (with Sontra),
stengthening his position in Hesse. By skillful diplomacy he gained the cities of
Sooden-Allendorf, Kaufungen, Witzenhausen, Immenhausen, Grebenstein,
Wanfried, Staufenberg, Trendelburg and Reinhardswald.
In 1263 Henry had married Adelheid of Brunswick, daughter of Duke Otto of

Brunswick, who bore him four daughters and the sons Henry ("the Younger") and
Otto. After Adelheid's death in 1274, Henry had married Mechthild, daughter of
Count Thierry VI of Cleves, who bore him another four daughters and the sons
John and Louis.
In 1292 internal conflict arose about the question of Henry's successor. Mechthild
of Cleves demanded on her sons receiving a share of the heritage, while Henry
and Otto, Henry's sons by his first wife, insisted on excluding their stepbrothers
from the inheritance. This led to civil war lasting throughout the rest of Henry's
lifetime.
Henry died in Marburg during the conflict, and was buried there in St. Elisabeth's
Church, which became the gravesite of the succeeding Landgraves for several
more centuries. After his death, the inheritance was divided between Otto, who
received Upper Hesse (Oberhessen) around Marburg, and John, who received
Lower Hesse (Niederhessen), centred around Kassel. John's younger brother
Ludwig had entered the clergy and became bishop of Münster in 1310.
Children
First marriage (1263) to Adelheid, daughter of Otto I, Duke of Brunswick-

Lüneburg (1244-1274) 1.Sophia (1264-after 12 August 1331), married 1276 to
Count Otto I of Waldeck. 2.Henry the Younger (1265-23 August 1298). 3.Matilda
(1267-after 1332), married to: 1.1283 Count Gottfried of Ziegenhain; 2.after 11
October 1309 Philipp III of Falkenstein-Münzenberg.
4.Adelheid (1268-7 December 1315), married 1284 to Count Bertold VII of

Henneberg-Schleusingen. 5.Elisabeth (1269/70-19 February 1293), married ca.
1287 to Count Johann of Sayn. 6.an unnamed son (ca. 1270-ca. 1274). 7.Otto (ca
1272-17 January 1328).
Second marriage (1276) to Mechthild of Cleves, 1.John (d. 1311, Kassel).

2.Elisabeth (ca. 1276-after 6 July 1306), married to 1.1290 Duke William of
Brunswick-Wolfenbüttel; 2.1294 Gerhard of Eppstein.
-2808-
3.Agnes (ca. 1277-1335), married to Burgrave John I of Nuremberg. 4.Louis
(1282/83-18 August 1357), Bishop of Münster in 1310-57. 5.Elisabeth (d. after 30
October 1308), married in 1299 to Count Albert II of Gorizia. 6.Katharina (d.
1322), married to Count Otto IV of Orlamünde. 7.Jutta (d. 13 October 1317),
married 1311 to Duke Otto of Braunschweig-Göttingen.
http://en.wikipedia.org/wiki/Henry_I_of_Hesse
Fonts:
- defunció: O.Guionneau
- casament 1: O.Guionneau
- família 1: O.Guionneau
1.486.792:
Cette génération est donnée par Nadaud (Nobiliaire du diocèse et de la généralité
de Limoges, T1 p 246, article de Brosse), Beauchet-Filleau (Dictionnaire des
familles du Poitou, 2° ed, T2 p 16) et Emile Chéron (Histoire de Sainte-Sévère en
Berry, p 43). Mais ES III Teilband IV Tafel 774 dit Hugues fils de Géraud, que
Beauchet Filleau dit sans postérité !).
J-C de Vaugiraud + P.Fauchère sur Forum 17/10/2006.
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/774, J-C de Vaugiraud (HG 1999 p 167) 16/10/2006
- família: H.R.Moser/EuSt-III/774
1.486.793:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/774, R.Sekulovich (site adecarné), J-C de Vaugiraud
(HG 1999 p 167) 16/10/2006
1.486.794:
Il était le second fils de Robert III des Roches. En 1204, il a été condamné à
indemniser Saint-Julien pour les dommages commis à Chanceau sur Choisille. Par
la suite, il s'empara de biens et droits du Prieuré de Nouzilly (dépendant de Saint-
Julien). Excommunié, Il promit de restituer les bien et d'indemniser Saint-Julien,
afin de rentrer dans le droit chemin. L'acte fut rédigé le 17 octobre 1234, et il y
est qualifié de noble homme Guillaume de Brenne, Chevalier. II était marié avec
Mathilde ou Mahaud, fille de Thibaud de Mirebeau, qui se disait veuve en 1251 ou
1258.
Celui qui contribua le plus à la réunion de la Touraine, de l'Anjou et du Maine, fut

Guillaume des Roches, seigneur de Roche-Corbon , qui avait été nommé par Artus
sénéchal de ces trois provinces. Il était un des plus riches et des plus puissants
seigneurs du royaume ; il possédait les seigneuries du Château-du-Loir, de Sablé,
de Baugé , de Moliherne, de Briolé , de Pressigné, de Châteauneuf-sur-Sarthe, et
quelques autres encore. Après la mort du roi Richard, il embrassa le parti d'Artus,
et ce prince, par reconnaissance, l'avait nommé sénéchal de ses trois comtés, en y
joignant le don de la seigneurie de Mahiet avec la forêt de Berlay. Il se sauva
heureusement à l'affaire de Mirebeau , et ayant gagné la noblesse de son
-2809-
gouvernement, ainsi que les habitants des villes, il servit puissamment Philippe-
Auguste pour le recouvrement de ces trois provinces, dont le roi lui donna la
sénéchaussée à titre héréditaire, d'amovible qu'elle avait été jusque-là. Il en prêta
serment de fidélité au mois d'août 1204. Histoire de la Touraine – JL Chalmel –
Tours 1841
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon) 9 viii 2010
- família: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon) 9 viii 2010
1.486.795:
Mathilde ou Mahaud, fille de Thibaud de Mirebeau, qui se disait veuve en 1251 ou
1258.
Elle se remaria avec Jean Seigneur de Montigny et de Vieuvic.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Compte rendu des travaux de la Société du Berry à Paris,
1844) 9 ix 2011
1.486.795a:
En 1260, elle était mariée avec le Chevalier Hervé de Vierzon qui devint Seigneur
de Rochecorbon du chef de sa femme. Il fit un accord avec les Chanoines de Saint-
Martin pour fixer les limites de leurs propriétés dans les paroisses de Cérelles,
Nouzilly, Vouvray, Chenusson et Chanceau. Il fit un autre accord avec la prévôté
d'Oé sur les limites et bornages des possessions du prévôt et d'Hervé de Vierzon,
en la paroisse de Vouvray. La Prévôté d'Oé fit une intervention contre le Seigneur
de Rochecorbon qui voulait assujettir les habitants de Vouvray à faire moudre à
ses moulins. Hervé de Vierzon se croisa deux fois avec le roi Saint-Louis et mourut
au siège de Tunis.
Jeanne, sa femme, reprit le titre de dame de Rochecorbon, de Mézières et de

Vierzon. Grâce à ses libéralités, elle fit terminer le couvent et l'église des
Cordeliers à Bourges, commencés par Hervé de Vierzon.
Fonts:
1.486.795b:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Rootsweb) 9 ix 2011
1.486.802:
Vivant en 1220.
Un partage provisionnel de son héritage entre ses trois filles intervint en avril
1256.
Fonts:
- persona: A Brabant ( message de P.Texier, H&G n°129) 2/1/05, P.Fauchère
-2810-
(Émile Chénon, Hist. de Sainte-Sévère, 45) 16.10.06
- família: A Brabant ( message de P.Texier, H&G n°129) 2/1/05
1.486.803:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (c'est elle qui apporte La Roche-Guillebaud à son
époux ) 17 vi 2016
- família: A Brabant ( message de P.Texier, H&G n°129) 2/1/05
1.486.803b:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-XIV/68, F.Camus (F.Camus (Histoire de
Chateaumeillant, Emile Chénon, Tome I ) 20 iv 2009 ) 20 iv 2009
- família: D.de Raugl (J.P.Masson)
1.486.803c:
Elle meurt avant 1265, car en 1265 son beau-frère Roger de Brosse agit seul
comme seigneur de Boussac, du fait de sa femme.
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Émile Chénon, Hist. de Sainte-Sévère, 45) 16.10.06
- família: P.Fauchère (Émile Chénon, Hist. de Sainte-Sévère, 45) 16.10.06
1.486.804:
Armes : «D'azur à la bande d'argent, cotoyée de deux cotices d'or, potencées et
contre-potencées, au lambel de gueules, brochant sur le tout.»
LOUIS [I] (-1268). Comte de Sancerre. “Ludovicus comes Sacri-Cæsaris bonæ

memoriæ Wilhelmi comitis filiusuxorem habens sed adhuc sine liberis”, following
the example of “Wilhelmi comitis et comitis Theobaldi et comitis Stephani comitis
de Sancero”, granted rights to “burgo sancti Satyri”, by charter dated May
1229[2646]. “Ludovicus comes Sacri-Cæsaris” confirmed the grant of privileges to
“Lorriaci habitaboribus” made by “avus meus Stephanus et pater meus Guillermus
quondam comites Sacri-Cæsaris” by charter dated 1241[2647].
m firstly (before 1220) BLANCHE de Courtenay, daughter of ROBERT de

Courtenay & his first wife Constance ---. Her parentage and marriage are
confirmed by the charter dated Mar 1221 (probably O.S.) under which “Robertus
de Curtiniaco" confirmed that "gener meus Ludovicus filius comitis Sacri-Cesaris"
swore homage to Philippe II King of France[2648]. m secondly (before 1251) as
her second husband, ISABELLE de Mayenne, widow of DREUX de Mello Seigneur
de Saint-Maurice-Thizouailles, de Loches et de Châtillon-sur-Indre, daughter of
JUHAEL [II] Seigneur de Mayenne & his wife Gervaise de Vitré Dame de Dinan (-
11 Nov 1257). Her parentage and second marriage are confirmed by the charter
dated 1267 which records the settlement of a dispute between “Robertus de
Sancerro miles” and “Joanne comite de Sancerro fratre suo”, after arbitration by
“Guillelmum de Calviniaco dominum Castri-Radulphi et Joannem de Claviniaco
dominum de Leproso milites”, the document also naming “Ludovicum comitem
Sacri-Cesaris defunctum patrem eorum fratrum et Isabellam dominam Meduanæ
defunctam quondam uxorem dicti Ludovici”[2649]. The necrology of Le Mans
-2811-
Cathedral records the death "V Id Apr" of "Ysabellis domina Meduane"[2650].
Comte Louis [I] & his first wife had three children.
[2646] La Thaumassière (1679), p. 141.
[2648] Layettes du Trésor des Chartes I, 1528, p. 543.
[2650] Nécrologe du Mans, p. 80.
Fils de Marie de Charenton, selon certains auteurs.
Contesté : Jean-Pierre Masson lui donne pour mère Denise de Déols, qu'il marie à
son père en 1203, et qui meurt en 1207. Mais la transmission aux Sancerre du fief
de Charenton plaide pour la maternité de Marie.
Contesté : Denise de Déols était dame de Charenton et de Meillant ; il est dit

ailleurs que Guillaume 1er de Chauvigny céda à son demi-frère Louis de Sancerre
ses droits et terres sur Charenton et Meillant. Denise de Déols serait donc bien la
mère de Louis de Sancerre ? (Ou bien sa "belle-mère" par le remariage avec le
père de Louis ?)
Les familles de Meillant.
Mais alors que seraient devenus les frères de Guillaume : Raoul et André qui
avaient reçu de leur frère Guillaume de Chauvigny "Meillant " ?
Contesté : dans "Histoire des deux villes de Saint-Amand et Montrond", écrit par
Mallard et publié en 1895 :
Louis de Sancerre (fils de Marie de Charenton ?) ; à la mort de son père
"Guillaume", il recueille Meillant. Il y amena la terre de Charenton au moyen de
l'acquisition par échange qu'il en fit à Guillaume de Courtenay en 1266, et c'est
ainsi que les baronnies de Charenton et de Meillant furent à nouveau réunies
entre les mains d'un même seigneur.
Agnès de Toucy, en 1268, échange Charenton(-du-Cher) contre La Ferté-Loupière
qui était tenu par Louis de Sancerre. La Ferté-Loupière sera transmise aux
Courtenay.
JB de La Grandière : travaux Edouard de Saint Phalle sur la famille de Courtenay
et E. de Saint Phalle réponse à 05.III.758 MONTFAUCON (de) H&G n° 177 p. 395
Paris déc 2005
Dans la monographie disponible sur Gallica, d'Émile Chénon (1857-1927)
professeur à la Faculté de droit de Paris, ancien élève de l'École polytechnique,
membre résidant de la Société des antiquaires de France :
«Les Jours de Berry au Parlement de Paris de 1255 à 1328»,
Tous les enfants sont issus de la 2e alliance.
Nota : Le P Anselme (sur Gallica, T2, p 849) écrit que selon M du Bouchet, les
enfants sont issus de la 1ère alliance, et que selon La Thaumassière, ils sont de la
seconde !
-2812-
G.de Beauregard 21 ii 2017
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly"), G.de
Beauregard (web monumentshistoriques chateaux/meillant) 6 vi 2016, (Histoire
des deux villes de Saint-Amand et Montrond / Mallard 1895) 16 vi 2016, J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 18 iv 2017
- família 2: G.Hazard (Anselme T2) vii2009
1.486.805:
N'est pas représentée sur un arbre généalogique ancien décrivant la descendance
de la famille "de Courtenay".
Source : Hervé Balestrieri ( communication Thierry Péronnet : généalogie "de Courtenay", d'après arbres anciens
aux AD 86, Vienne référencés "Carton n° 35", sur site Web d'entraide généalogique de la Vienne "GE86" )
29.09.2013
Fonts:
- persona: saisie à vérifier (bderauglaudre)
1.486.805b:
Puîné.
Fonts:
- persona: G.Hazard (Anselme T2) vii2009
- família: G.Hazard (Anselme T2) vii2009
1.486.805c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Jean Gouget/Thierry Le Hête "Les comtes de Blois"
pp. 127/153 -Sancerre- ) 6 vi 2016
- família: G.Hazard (Anselme T2) vii2009
1.486.806:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/158; H.de La Villarmois (Comte de Toulgouët-
Tréanna - Histoire de Vierzon, Picard, Paris 1884) 21 vi 2005
1.486.808:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Alain de Carné), N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi
2009
- família: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain des
Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003
1.486.809:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t XIII p 149 (sgrs de
Saint-Vérain) Marburg 1990) 3 xii 2017
- família 1: H.R.Moser/EuSt-VII/14
-2813-
- família 2: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain des
1.486.809a:
Fonts:
- persona: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain des
- naixement: l'année est approximative
1.486.809d:
Domaine : Voir une vue aérienne actuelle du château de Bléneau (Yonne).
(Lien vers le site Web "Geoportail" de l'Institut Géographique National)
Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 10.02.2018
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Didier Chabrol, forum 2015-05-09 11:55:37, "La
seigneurie de Saint-Verain-des-Bois" P. 126-127, par Léon et Albert Mirot,
Delayance, La Charité, 1943.) 9 v 2015
- defunció: M.Rérolle (Léon Mirot, Les Saint-Verain, BSN, t. 30 (1938-41), p. 89-
113) 20 ix 2009
1.486.809-1a:
Guillaume III est comte de 1240 à 1270.
A son avènement, il est mineur, car le comté est administré par Hugues de Saint-
Vérain.
Il épouse Agnès de Châteauvillain en 1248.
La même année, il part en croisade avec Louis IX (Saint Louis), qui lui témoignait
son amitié selon son historien, le sire de Joinville, et lui aurait remis une épine de
la Sainte Couronne (Elle aurait été pieusement conservée, dans l’église Saint-Jean,
jusqu’à la Révolution durant laquelle elle disparut). Guillaume ne revient des
Lieux saints qu’en 1254. Son épouse Agnès est morte. En 1257, il épouse Isabelle
de Mello ; celle-ci fonde la Chartreuse de Valprofonde à Béon en 1301 ; elle meurt
l’année suivante.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Edouard de Saint Phalle, La première dynastie des
comtes de Joigny, actes du colloque « Autour du comté de Joigny », SGY, 1990) 14
vii 2012
- enterrament: C.-H.Maigret (Généalogie & Histoire de la Maison de Joigny) 15 vii
2012
- família 1: H.R.Moser/EuSt-, J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 12/03/2006
- família 2: J-C de Vaugiraud (E.S. XI, 156) 12/03/2006
1.486.809-1b:
-2814-
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon
- família: Emmanuel Arminjon
1.486.809-1c:
La base Anaïs Priou et 99,9 % des autres bases ne sont pas "à jour"
Les travaux d'Edouard de Saint Phalle sur la famille des comtes de Joigny (1990)
ont permis d'attribuer Béatrice de Joigny comme première épouse deJean de
Nesle et d'en faire la mère de tous ses enfants.
La rectification opérée sur "roglo" m'a permis de mettre en évidence que Béatrix
était bisaïeule de l'épouse de Jean Blondel..ce qui expliquerait très bien la prise
des armes de Joigny par les Blondel et l'ajout du nom (les Joigny étant tombés en
quenouille).
Jean-Baptiste de La Grandière 20/7/2012
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t. VII p. 16 (sgrs de
Nesle)) 15 vii 2012
- família: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t. VII p. 16 (sgrs de
Nesle)) 15 vii 2012
1.486.810:
Seigneur également de Tamnay, Villaine, Meix-Richard, Glenne et Champignelles.
Fonts:
- persona: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne), H.Tourret (Soultrait, nobiliaire du
Nivernais) 22/2/06, M.Rerolle (Corberon, Les sires de Châtillon-en-Bazois) 18 ix
2009
- defunció: H.Tourret (Soultrait, nobiliaire du Nivernais) 22/2/06
- família 1: H.Tourret (Soultrait, nobiliaire du Nivernais) 22/2/06
- família 3: J-C de Vaugiraud (E.S:XIII - T 69)19/05/2006
1.486.811:
Fonts:
- família: H.Tourret (Soultrait, nobiliaire du Nivernais) 22/2/06
1.486.811-2a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne;Dict. Yonne; Saint-Florentin)19/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne;Dict. Yonne; Saint-Florentin)19/05/2006
1.486.811-2b:
Fit hommage au comte de Nevers pour Châtillon-en_Bazois en 1298.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S:XIII - T 69)19/05/2006, M.Rerolle (Corberon, Les
-2815-
sires de Châtillon-en-Bazois, p. 17-19) 10 ix 2009
- defunció: M.Rerolle (Corberon, Les sires de Châtillon-en-Bazois, p. 19 ) 10 ix
2009
- família: J-C de Vaugiraud (E.S:XIII - T 69)19/05/2006
1.486.811-2c:
Fonts:
- persona: M.Rerolle (Corberon, les sires de Châtillon-en-Bazois, p. 16) 11 ix 2009
1.486.812:
Seigneur de Lignières, Rezay (18) et Thevet (36), il fonda, en 1268, le Prieuré de
Saint Hilaire, dépendant de l'Abbaye de Déols. L'année suivante, il accorda à
l'Abbaye de Chezal-Benoit la suite de leurs serfs dans toute sa Terre. Il lui fit
d'autres biens en 1285. En 1289, il assigna une rente au Prieuré de Linières pour
l'anniversaire de sa femme. Guillaume s'intitule seigneur de Lignières et de
Méréville, avec la seule qualification d'écuyer, dans une transaction datée du mois
de juillet 1255, accomplie entre Nicolas, abbé de Morigny, et lui, d'une part,
Regnault de Membrolles et Geoffroy de Vères, d'autre part, au sujet des moulins
de Culet, sur lesquels ces derniers prétendaient revendiquer leur droit de ban et
de mouture
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Base Geneanet Muriel Gontard ) 2 ix 2014
- família: H.R.Moser/Anselme-VIII/835, J-P.de Palmas (Dugenne : "dictionnaire de
l'Yonne" et Généalogie Autié de Villemontée) 27-iv-2005
1.486.813:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Base Geneanet Muriel Gontard) 2 ix 2014
- família: H.R.Moser/Anselme-VIII/835, J-P.de Palmas (Dugenne : "dictionnaire de
l'Yonne" et Généalogie Autié de Villemontée) 27-iv-2005
1.486.813a:
Fonts:
- persona: Paul Coste (James Condamin - Histoire de Saint Chamond 1890) 30 viii
06
1.486.813c:
Fonts:
- persona: H.Delcroix ( C. Couëtoux du Tertre & Armorial .. Saint-Etienne de La
Tour de Varan ) 3 xii 2014
- família 1, família 2: H.Delcroix ( C. Couëtoux du Tertre & Armorial .. Saint-
Etienne de La Tour de Varan ) 3 xii 2014
1.486.814:
Apparait dans différents actes datés de 1269 et 1283.
Source : Emmanuel Arminjon
Ratifie en 1243 une donation de son père à l'abbaye de Valbenoîte.

-2816-
Est cité comme "donzeau" en 1265.
Confirme et augmente les franchises de Saint-Chamond en 1270 et 1283.
Réunit toute la seigneurie de Saint-Chamond en 1280.
Cité comme "écuyer" en 1284, et prend le parti du duc de Bourgogne contre le
dauphin du Viennois.
Source : J-C de Vaugiraud (E.Perroy: Les familles nobles du Forez au XIII°: Jarez) 27.10.2008
Fonts:
- naixement: J-C de Vaugiraud (évaluation sur son acte de 1243) 27/10/2008
- defunció: J-C de Vaugiraud (E.Perroy: Les familles nobles du Forez au XIII°:
Jarez) 27/10/2008
- família 2: Emmanuel Arminjon
1.486.815:
Fonts:
1.486.815a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.Perroy: Les familles nobles du Forez au XIII°: Jarez)
27/10/2008
- família: J-P.de Palmas (Généalogie Pagan sur Calaméo) 16 xi 2014
1.486.815b:
Fonts:
27/10/2008
1.486.815c:
Fonts:
27/10/2008
1.486.815d:
Fonts:
27/10/2008
1.486.815f:
Hérite de ses frères de la seigneurie de Saint-Chamond qu'elle laisse à ses fils en
1344.
J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles nobles du Forez t I) 27/10/2008
Fonts:
- persona: P.de Loriol (Regste dauphinois) 6 vi 2011, Emmanuel Arminjon
- defunció: J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles nobles du Forez t I) 27/10/2008
- família: S. de L'Espinay (G. Martin- Histoire et généalogie de la Maison de
-2817-
Clermont-Tonnerre-2eme édition-2004)15.08.2010, P.de Loriol (Regeste
Dauphinois) 6 vi 2011, Emmanuel Arminjon
1.486.815g:
Fonts:
1.486.815h:
Pour Perroy est à fusionner avec l'un des trois frères: Jacques de Jarez, Jean de
Jarez ou Guyon de Jarez !
Note de : J-C de Vaugiraud ( Edouard Perroy : "Les familles nobles du Forez au XIII° : Jarez" ) 27/10/2008
Fonts:
27/10/2008
- família: J-C de Vaugiraud (E.Perroy: Les familles nobles du Forez au XIII°: Jarez)
27/10/2008
1.486.815-1a:
modif : n'est pas fille de Béatrice : jblg 22/1/2010
Fonts:
27/10/2008
- casament: JB.de La Grandiere ( Edouard Peroy "Les familles nobles du Forez" t 1
pp 401/410 Jarez-; La Diana 1976 ) 22 i 2010
1.486.816:
IIème du nom.
Chevalier.
Succéda, dans la baronnie de Cousan, à son frère Gui II, avant 1273. Il prit le nom
de Cousan, sans toutefois abandonner les armes de Dalmas. Ce n'est, en effet,
qu'au début du XIVème siècle que les aînés de la maison de Dalmas se firent
exclusivement appeler du nom de Cousan.
Il avait acquis, en 1293, la terre de Moncelas (à Lugny) et fit foi et hommage,en
1294, pour ses terres et châteaux de Cousan, Boen, Durbize et Sauvain.
Fonts:
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne)
- defunció: J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles nobles du Forez: de Montagny)
09/08/2007
- família: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque
municipale d'Eaubonne), J-P.de Palmas (Les familles nobles du Forez au XIIIe
siècle: essais de filiation, Volume 20, par Édouard Perroy) 5 i 2013
1.486.817:
Edouard Perroy dit: "semblerait fille de Guichard et de Béatrice de Roanne une
-2818-
autre Béatrice, qu'on donne pour femme à Renaud Damas, seigneur de Couzan;
mais née en 1246 au plus tôt, comment aurait-elle pu avoir en 1274, à 28 ans, un
fils en âge d'être émancipé, c'est à dire majeur de 15 ans ? Les armoriaux songent
rarement à ces problèmes".
Note de : J-C de Vaugiraud ( Edouard Perroy : "Les familles nobles du Forez : de Saint-Priest" ) 09/08/2007
Fonts:
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne), J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles
nobles du Forez: de Saint-Priest) 09/08/2007
- família: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque
municipale d'Eaubonne), J-P.de Palmas (Les familles nobles du Forez au XIIIe
siècle: essais de filiation, Volume 20, par Édouard Perroy) 5 i 2013
1.486.817c:
Son sceau, apposé à une sentence arbitrale du mois de décembre 1323,
représente :
«À dextre et à sénestre en chef, les effigies de saint Pierre et saint Paul, au
dessous ; mais au centre, l'image de la Vierge tenant l'Enfant Jésus, et à côté et à
dextre, un petit écusson chargé d'une croix ancrée.»
Fonts:
1.486.817d:
En 1334, il rendit hommage au comte de Forez pour des rentes qu'il tenait au
mandement de Croset.
Fonts:
1.486.817f:
Fonts:
1.486.817g:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05, J-P.de Palmas (Les familles nobles
du Forez au XIIIe siècle: essais de filiation, Volume 20, par Édouard Perroy) 5 i
2013
1.486.818:
seigneur de Roussillon, (38), seigneur d'Annonay ((07)), seigneur de Riverie ((69))
-2819-
La descendance d'Arthaud (référencée "ici et là") est mal compilée sur Edouard
Perroy Les familles nobles du Forez t II pp 718/728 (Roussillon) La Diana
Montbrison 1977 (jblg 18/8/2012)
Cet Arthaud figurait comme le père d'un autre Arthaudmais c'est le même
Arthaud qui eût deux épouses ! : jblg 18/8/2012
Fonts:
- persona: Louis-Benoît Verdon (site Carné) 9 iii 2007, C.Denancé (E.Moulin-Zinutti
in G&H n°134) 28.06.08, JB.de La Grandiere (Edouard Perroy Les familles nobles
du Forez t II pp 718/728 -Roussillon- La Diana Montbrison 1977) 18 viii 2012
- família 1: Louis-Benoît Verdon (site Carné) 9 iii 2007, JB.de La Grandiere
(Edouard Perroy " Les familles nobles du Forez" t II pp 718/728 (Roussillon) La
Diana Montbrison 1977) 18 viii 2012
- família 2: F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - Geneanet "pdes") 25-06-2005, JB.de
La Grandiere (M.Rieutord rép. à 87 I 268 Roussillon H&G 103 pp.235/236
Versailles juin 1987) 18 viii 2012, JB.de La Grandiere (xxx) 18 viii 2012
1.486.819:
Fonts:
- persona: Louis-Benoît Verdon (site Carné) 9 iii 2007, JB.de La Grandiere
(Edouard Perroy " Les familles nobles du Forez" t II pp 718/728 (Roussillon) La
Diana Montbrison 1977) 18 viii 2012
- família: Louis-Benoît Verdon (site Carné) 9 iii 2007, JB.de La Grandiere (Edouard
Perroy " Les familles nobles du Forez" t II pp 718/728 (Roussillon) La Diana
Montbrison 1977) 18 viii 2012
1.486.819a:
Fonts:
- persona: C.Denancé (E.Moulin-Zinutti in G&H n°134) 28.06.08
1.486.819c:
AMEDEE de Roussillon, son of ARTAUD [IV] Seigneur de Roussillon & his wife M--
- (-after 1272). "Artaud sire de Roussillon…Aymar, Amedée, Alyse et Beatrix ses
enfants" donated their rights "sur la succession de feu Guy comte de Forez" to
"Guillaume fils dudit Artaud" by charter dated Nov 1262[27]. Bishop of Valence
1270. Bishop of Die 1272. As noted above, his family connection is suggested by
an (undated) charter under which "Amedée de Genève Evesque de Die" is called
"oncle dÁmedée de Roussillon" his successor as bishop of Die[28]. Gallia
Christiana records Aymar Archbishop of Lyon as "Ademarus de Roussillonfilius
Artaldi IV domini de Rossilione frater Amedei Valentinensis et Diensis episcopi,
Sabaudiæ, Burgundiæ et Genevæ comitum consanguineus"[29], but does not
indicate the primary source on which this information is based.
[27] Huillard-Bréholles, J. L. A. (1867) Titres de la Maison ducale de Bourbon

(Paris), Tome I, 394, p. 78.
[28] Le Laboureur, C. (1681) Les Mazures de lábbaye royale de lÍsle-Barbe ou

Histoire de…ce…monastère (Paris), Tome II, p. 532, which gives no primary
-2820-
source citation reference.
[29] Gallia Christiana, Tome IV, Ecclesia Lugdunensis, LXXXV, col. 150.
Edouard Perroy in "Les familles nobles du Forez" t II pp 718/728 (Roussillon) La

Diana Montbrison 1977, le prénomme Amé.
Fonts:
- persona: C.Denancé (E.Moulin-Zinutti in G&H n°134) 28.06.08 & PRactMadoux
(Benoit d'Entrevaux: "Armorial du Vivarais") 25 iii 2012, JB.de La Grandiere
(Edouard Perroy) 29 i 2014, J-P.de Palmas (FMG) 15 x 2017
1.486.819d:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986) 14 xi 2014
- defunció: J-P de Palmas (testa en 1282)
- família: J-P de Palmas (Anselme III p.763) 22-x-2005, JB.de La Grandiere
(Europäische Stammtafeln t X p 7 (Crussol d'Uzès) Marburg 1986) 19 viii 2012
1.486.819-2a:
"Il testa au château d'Annonay avant son départ pour la Terre Sainte, et légua à
son épouse la seigneurie de Châteauneuf ainsi que toutes les terres qu'il possédait
dans le comté de Forez. Il mourut en Terre Sainte en 1277".
(Georges Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Tour du Pin - 2eme
édition - 2006)
[note F-L. Jacquier sur des indications de Serge de L'Espinay, foum 09-06-2009
16h57].
JB de La Grandière 24/3/2007 : Perroy confirme tout ceci, en donnant plus de

dates et fiefs et indique une inhumation le 21/12/1277 à Annonay..
 émancipé en 1258
seigneur d'Annonay(Ardèche), seigneur de Roussillon(Isère), seigneur

d'Orgeoise(Coublevie, Isère), seigneur de Surieu(Saint-Romain-de-Surieu, Isère),
seigneur de Riverie(Rhône), seigneur de Châteauneuf
Fonts:
- persona: C.Denancé (E.Moulin-Zinutti in G&H n°134) 28.06.08, JB.de La
Grandiere ( Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II pp 718/728
(Roussillon) La Diana Montbrison 1977) 24 iii 2012
- enterrament: H.R.Moser/EuSt-III-1/115
- casament: F-L. Jacquier (Georges Martin - Histoire et généalogie de la Maison de
La Tour du Pin - 2eme édition - 2006) 9 vi 09
- família: F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - Geneanet "pdes") 25-06-2005, F-L.
Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet)
1.486.819-2b:
-2821-
Fonts:
1.486.820:
Personnage considérable à son époque.
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de
Clermont-Tonnerre)31.12.2017, L.B. de Rougé, D.de Raugl/E.Arminjon;H.de La
Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey), S. de L'Espinay (G.
Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour du Pin-2006)29.11.2017, S.
de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de Clermont-
Tonnerre)31.12.2017
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de
Clermont-Tonnerre)31.12.2017, L.B. de Rougé, D.de Raugl/E.Arminjon, H.de La
Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour du Pin-2006)29.11.2017
1.486.821:
En 1285 fonda la chartreuse de Mélan (Isère).
Elle testa à Armieu le 1er avril 1298.
Fonts:
- persona: D.de Raugl/E.Arminjon- YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la
Salsa
- defunció: YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la Salsa
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de
Clermont-Tonnerre)31.12.2017, L.B. de Rougé, D.de Raugl/E.Arminjon, H.de La
1.486.821a:
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé
- família: L.B. de Rougé, J-P de Palmas, S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire &
généalogie de la Maison de La Tour du Pin-2006)29.11.2017
1.486.821c:
Elle survécut à son mari et fis un accord le 6 des ides de février 1304 avec ses
enfants.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Vincent Charmion - GeneaNet "charmion") 25-06-2005,
Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, F-L. Jacquier (Eric Poulier - GeneaNet
"ericpoulier"), S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de
Clermont-Tonnerre)03.03.2018
- casament: H.R.Moser/EuSt-XIV/192
- família: F-L. Jacquier (Vincent Charmion - GeneaNet "charmion") 25-06-2005,
-2822-
Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, S. de L'Espinay (G. Martin- Histoire et
généalogie de la Maison de Clermont-Tonnerre)05.03.2018
1.486.821d:
…A la fin du XII° siècle les sires de Thoire-et-Villars possédaient le péage de
Trévoux en arrière-fief de l'Empereur. Etienne II reconnut tenir en fief de l'Église
de Lyon tout ce qu'il possédait à Trévoux. Un moment apanage d'Henri de Thoire-
et-Villars, abbé de Chassagne, puis archevêque de Lyon, la ville reçut,
conjointement de son seigneur et de son frère Humbert III de Thoire-et-Villars,
une charte de privilèges et franchises en 1300 confirmée à maintes reprises par
les souverains successifs. II semble donc probable que les murailles et le
développement du château-fort datent de cette époque.
Trévoux sur Patrimoine de France
 Catégorie : Ville
 aire d'étude : Trévoux
 parties constituantes : port ; fortification d'agglomération ; château fort ;
collégiale ; hôpital ; couvent ; tribunal ; hôtel ; pont ; quai ; place ; gare ;
usine ; puits
 époque de construction : 1er quart 14e siècle ; 15e siècle ; 4e quart 17e
siècle ; 18e siècle ; 19e siècle ; 1er quart 20e siècle
 historique : Sur la rive gauche de la Saône, autour du port et du péage
établi au 12e siècle par les sires de Villars, se forme le bourg de Trévoux.
Une église (Saint-Clair et Saint-Blaise) y est fondée avant 1250. En 1300,
Henri de Thoire-Villars érige Trévoux en ville et lui accorde une charte de
libertés et franchises. Avant la fin du 14e siècle, les fortifications ont leur
configuration définitive : Trévoux s' enferme dans une enceinte à sommet
triangulaire, couronnée par le château fort. Le noyau urbain initial,
amorcé de façon linéaire au bord de la rivière, se développe de part et d'
autre de la porte de Saône et de la Grande Rue du port, d' axe nord-sud,
remontant jusqu' à mi-pente la côtière abrupte. A l' ouest, les îlots suivent
un tracé régulier : quartiers des Halles, où se situe le 1er grenier à sel, et
de la Boucherie, rue de la Juiverie, qui doit son nom à l' arrivée de juifs
expulsés de Lyon en 1420. A l' est, dans la rue de la Monnaie, s' élèvent
les maisons basses des sires de Villars, qui ont délaissé le château fort au
début du 15e siècle, et l' hôtel de la Monnaie. Mais le fort dénivelé du
terrain ne facilite pas l' extension urbaine, contraignant les constructions
à s' étager en terrasses et en îlots irréguliers, que contournent des
ruelles en lacets, jusqu' au quartier de Montessuy au nord-est. De la
porte de Lyon à l' est à celle de Saint-Bernard au nord-ouest, la Grande
Rue traverse ce tissu dense. Un parcellaire en lanière borde son côté
nord, où l' escarpement arrête le bâti. Capitale de la principauté de
Dombes depuis 1502, Trévoux contient, au 17e siècle, plusieurs édifices
importants intra-muros : collégiale Saint-Symphorien, hôpital, hôtels du
Gouvernement et de la Monnaie occupant tout un îlot, bailliage, couvent
des Picpus et imprimerie. La ville ne peut s' étendre qu' hors les murs.
Les faubourgs naissent avec l' implantation de nouveaux couvents : les
ursulines s' établissent dans le faubourg Saint-Bernard en 1638, les
carmélites (1662) et les Picpus (1696) dans le faubourg supérieur. Ce
-2823-
dernier, près de la porte de Lyon, connaît une expansion rapide, stimulée
par l' édification du parlement en 1698 : les magistrats s' élèvent des
hôtels à proximité, le long du chemin qui deviendra la rue Neuve. En
1767, un projet d' aménagement des quais du port est demandé à l'
architecte Morand. Une enquête de 1770 sur l' état des maisons, suivie
en 1777 d' un plan d' alignement, donnent la physionomie précise de
Trévoux au 18e siècle. De grands travaux d' urbanisme, prévus dès 1792,
débutent au 19e siècle : le port et les quais sont aménagés en 1812, le
bas port en 1878, la place de la Terrasse en 1873, complétée par le
nouvel hôtel de ville en 1891. La gare est construite en 1882 pour l'
arrivée du chemin de fer à Trévoux, et la voirie améliorée entre 1898 et
1903. L' hôtel des Postes est édifié en 1900, l' église reconstruite en
1903. Au début du 20e siècle, l' essor industriel amène l' expansion de la
ville à l' ouest où s' implantent les usines (tréfilerie Richard, fabriques de
filières) , tandis qu' à l' est, après la démolition du carmel, est créé le
boulevard des Combattants gros-oeuvre : calcaire ; moellon ; enduit
couverture (matériau) : tuile creuse ; tuile plate mécanique ZPPAUP mise
en place le 24 04 1994 type d'étude : inventaire topographique date
d'enquête : 1991 rédacteur(s) : Jourdan Geneviève N° notice :
IA01000155 © Inventaire général, 1991 crédits photo : Dessert, Eric - ©
Inventaire général, ADAGP, 1987 Dossier consultable : service régional
de l'inventaire Rhône-Alpes Le Grenier d'Abondance 6, Quai Saint
Vincent - 69001 LYON - 04.72.00.43.70
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Patrimoine de France: Trévoux)
1.486.822:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Dictionnaire historique de la Suisse) 12 xi 2010
- família: H.R.Moser, O.Martel site gérard Orsel
1.486.823:
Fonts:
- família: H.R.Moser, O.Martel site gérard Orsel
1.486.823a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/154
1.486.823b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Burke-ext
1.486.823d:
Fonts:
- persona: O.Martel site gérard Orsel
- família: O.Martel site gérard Orsel
1.486.823e:
-2824-
Fonts:
- família: H.R.Moser/SchweizGenHandbuch-I
1.486.824:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II
pp 587/592 (La Perrieère) La Diana Montbrison 1977 ) 25 ii 2012
- casament: A Brabant (site deret) 26.10.05
1.486.825:
Fonts:
pp 587/592 (La Perrière) La Diana Montbrison 1977 ) 25 ii 2012
- casament: A Brabant (site deret) 26.10.05
1.486.825b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II
pp. 658/667 (Roanne) La Diana Montbrison 1977 ) 25 ii 2012
1.486.826:
A l'article Beauvoir, Dugenne dit Jean de Beauvoir fils d'Anséric VIII de Montréal
et à l'article Montréal il est dit fils d'Anséric VII de Montréal. J'ai suivi la deuxième
version, la lettre M étant sortie plus tardivement et la chronologie me semblant
meilleure. J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dict. Yonne p 958) 30/09/2006
Dugenne s'est planté (il n'est pas médiéviste..loin s'en faut).
Pas de chance..Jean n'est pas fils d'un Anséric mais fils de Guy de Beauvoir ! ; de
toutes façons la numérotation des Anséric était source d' "embrouilles" : je l'ai
supprimée de telle manière que des corrections n'interviennent pas en fonction de
ces "numéros" beaucoup trop interchangeables au gré des auteurs, y compris des
"signatures" de sites qui "recomposent" .
 Guy de Beauvoir n'est pas son fils.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dict. Yonne p 958) 30/09/2006, JB.de La
Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", 2013, qui modifie et complémente) 19
xii 2014
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: dictionnaire de l'Yonne) 30/09/2006, JB.de La
Grandiere (Montréal à sire de Chastellux", 2013) 19 xii 2014
1.486.827:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: dictionnaire de l'Yonne) 30/09/2006
-2825-
1.486.827a:
Il est prouvé par actes que Guy de Beauvoir est assurément le grand'père de Jean
de Beauvoir.
Nn de Beauvoir est bien père de Jean de Beauvoir et sa mère était une demoiselle
de Saint-Jean.
On a donc une filiation actée et suivie sans interruption puisque Nn de Beauvoir
est avéré comme lien.
JB.de La Grandiere "Montréal à sire de Chastellux", 2013
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: dictionnaire de l'Yonne) 30/09/2006, JB.de
La Grandiere (Montréal à sire de Chastellux", 2013) 19 xii 2014
1.486.827b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Montréal à sire de Chastellux", 2013) 19 xii 2014
1.486.828:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Edouard Perroy in "Les familles nobles du Forez" t.
I pp. 83-87 -d'Aubigny-, La Diana, Montbrison 1976) 27 iv 2017
1.486.829:
Fonts:
1.486.830:
Fonts:
- persona: A Brabant (site deret) 26.10.05
- família: A Brabant (site deret) 26.10.05
1.486.831:
Fonts:
- família: A Brabant (site deret) 26.10.05
1.486.831a:
Fonts:
- casament: M.Rérolle (Gérard Robbe (geneanet grobbe)) 13 xii 2009
- família: J-P.de Palmas (Site Descendants de Guillaume De Rochebaron et de
Alengargise N.) 2 v 2014
1.486.831b:
-2826-
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Perroy, Les familles nobles du Forez, II, 676) 19.03.13
1.486.831d:
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Perroy, Les familles nobles du Forez, II, 676) 19.03.13
1.487.136:
Fonts:
- persona: Jean-Louis Dega (H. de Barrau, Documents historiques) 23 i 2014
- família: Jean-Louis Dega (H. de Barrau, Documents historiques) 23 i 2014
1.487.137:
Fonts:
- família: Jean-Louis Dega (H. de Barrau, Documents historiques) 23 i 2014
1.487.138:
Fonts:
- persona: Jean-Louis Dega (Bonald) 25 i 2014
1.487.232:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Hippolyte de Barrau : "Documents.du Rouergue" t.II
Combret pp.53-66, Rodez 1854) 17 vii 2016
1.487.234:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9 i 2017
1.487.235:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in "réponse à
10.IV.1012 Olargues, H&G n°162 p.65, mars 2002) 9 i 2017
1.487.235a:
Il y a un grand nombre de Pons de Thézanet seule une étude complète sur cette
famille permet de les distinguer.
A ceux qui rencontrent ces Pons de Thézan : merci d'avance de bien vouloir ne pas
modifier la structure de la famille à l'aide de références qui concernent d'autres
familles alliées : ces références sont beaucoup moins solides..
L'attribution erronée d'un seul de ces Pons m'a demandé deux heures de
recherches, coupures et reconstitutions.. contre un seul clic d'une seconde pour
"lier faussement avec une référence moins solide"..
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
- família 2: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer
-2827-
1.487.236:
Fonts:
- defunció: F. de Bernis (famille) 8 v 06
1.487.237:
Fonts:
1.487.244:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY, L.B. de Rougé (Descendance de Dominique Richard de
Clevant)
- família: O.AUFFRAY, L.B. de Rougé (Descendance de Dominique Richard de
Clevant)
1.487.296:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 12/08/05
1.487.297:
Fonts:
1.487.297b:
Fonts:
1.487.298:
Suivit Louis VIII dans la guerre contre les Albigeois, puis fut du nombre des
seigneurs qui partirent avec Saint Louis pour la Terre Sainte en 1248. Il mourut
dans cette expédition en 1248.
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, JL.Mondanel (généalogie Polignac) 16 iii 2011, S.
de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de Polignac-
2002)03.05.2016
- família: Emmanuel Arminjon, JL.Mondanel (généalogie Polignac) 16 iii 2011, S.
2002)03.05.2016, R.Sekulovich (genealogiequebec) 9 x 2017
1.487.299:
A l'occasion de son mariage avec Alix de Garnier de Trainel, Pons V de Polignac
donne à son épouse les châteaux de La Mothe, de Cusse et de Salzuit avec leurs
dépendances.
A.Jacotin, Preuves Polignac, I, Paris, 1898, p.158.
Fonts:
-2828-
- persona: Emmanuel Arminjon, J-P de Palmas (notes), S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Polignac-2002)03.05.2016
- família: Emmanuel Arminjon, JL.Mondanel (généalogie Polignac) 16 iii 2011, S.
2002)03.05.2016, R.Sekulovich (genealogiequebec) 9 x 2017
1.487.299a:
Il accompagna Saint Louis en Afrique d'où il revint en 1269.
Il testa le 5 mai 1272.
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)03.05.2016
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)03.05.2016
1.487.299b:
Elle apporta en dot le château de Prades et 400 marcs d'argent.
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 20 ii 2013, S.
2002)03.05.2016
- família: Emmanuel Arminjon;J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008, J-P.de Palmas
(Généalogie Montlaur) 20 ii 2012
1.487.300:
La Baronnie de Peyre
Le roc de Peyre
La terre de Peyre s’étend aux alentours de
Marvejols. La baronnie était la plus puissante
de tout le Gévaudan. Le château de Peyre,
l’un des plus beaux du Gévaudan fut détruit
au XVe siècle par l'amiral Anne de Joyeuse, en
réponse à la conquête du Gévaudan par
Matthieu Merle et ses huguenots. Il était situé
sur le roc de Peyre, commune de Saint-
Sauveur-de-Peyre. Ce promontoire domine
entièrement la Margeride et l'Aubrac. Un lieu donc bien stratégique pour un
donjon qui ne sera jamais pris jusqu'à l'arrivée de l'amiral Joyeuse.
Les Peyre sont les plus puissants des huit barons, et peut-être l'une des plus
anciennes familles. Un Astorg de Peyre (le prénom Astorg sera très souvent
repris) est en effet neveu de Raymond-Bérenger III, comte de Barcelone, en 1150.
La baronnie possède sept châteaux sur ce qu'on appelle la terre de Peyre : le nid
d'aigle (Roc de Peyre), les Bessons, le Chier, le Buisson, Muret, Larcis et
Quintinhac. Mais en possède également sur l'Aubrac que les barons dominent
presque exclusivement. Ils donneront cependant une partie de leurs biens à la
-2829-
dômerie d'Aubrac.
Un de Peyre, participant avec le comte de Provence à la libération contre les

Sarrazins (973)de la terre de Provence, sera posséssionné de la terre de Peyre (LA
PIARRE) et de Sigottier dans les Hautes Alpes. De nos jours, le nom de de Peyre a
été orthographié depeyre à partir de 1850 mais existe toujours. (voir généanet
ainsi que l'état civil de la Piarre 05).
À l'est et au nord, les limites de la baronnie sont situées à Serverette et Ribennes

avec les Randon, et au pont des Estrets avec les Apchier. Près de Javols, les Merle
sont leurs vassaux, et c'est ainsi que Matthieu Merle sera appelé pour venger le
meurtre d'Astorg de Peyre lors du massacre de la Saint-Barthélémy. Au sud, la
baronnie se partage une partie de l'Aubrac avec les Canilhac, le village des
Hermaux étant situé vers la frontière entre les deux. À l'image des Cénaret, les
Peyre ont également quelques possessions en bord du Tarn, et ces premiers
seront donc très proches des Peyre au fil des siècles.
Dans les années 1530, la famille de Peyre s'éteint du coté de la Lozère avec son
dernier héritier masculin, sa fille transmettra ce qu'elle a reçu en héritage au
seigneur Antoine de Cardalhac. Mais leurs fils doivent ensuite se partager les
possessions, la baronnie se décompose et entre peu à peu dans une grande
détresse. Ce sera la famille de Grolée, lorsque Antoine de Grolée aura acquis une
partie de la baronnie, qui recomposera celle-ci. Son fils, César de Grolée sera
d'ailleurs un des plus notables barons du XVIIe siècle. Les Peyre auront souvent
des châteaux à la hauteur de leur puissance, le vestige le plus visible étant le
château de la Baume, le « Versailles du Gévaudan » (dont la forme actuelle date
du XVIIe siècle, aménagée par César de Grolée).
Par contre la branche des Hautes Alpes existe toujours (village de la

Piarre:jusqu'en 1789 Peyre).
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Héraldique et Baronnies du Gévaudan)
1.487.301:
Fonts:
1.487.301b:
La.filiation avec ses parents reste à vérifier.
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella, J-P de Palmas (Archives Généalogiques et
Historiques de la Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
- família: M.Rébeillé-Borgella, J-P de Palmas (in Archives Généalogiques et
Historiques de la Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462)
1.487.301c:
-2830-
Fonts:
- persona: Matthieu de Salins (" La Maison de Banyuls de Montferré et ses
Alliances, Tome II " par Marie-Suzanne Pollet, née Guyot de Salins) 16 V 2009
- família: Matthieu de Salins (" La Maison de Banyuls de Montferré et ses
Alliances, Tome II " par Marie-Suzanne Pollet, née Guyot de Salins) 16 V 2009
1.487.301e:
Aldebert de Peyre, né dans la noble famille de Peyre et mort à Viviers en 1306,
était un évêque français. Il fut ainsi évêque de Viviers en Vivarais de 1297 à 1306.
Biographie
Aldebert de Peyre, fils d'Astorg VII, est issue de la famille de Peyre, dont le
château patrimonial se situait sur le roc de Peyre, sur les contreforts de l'Aubrac
en Gévaudan. La tradition familiale voulait que l'aîné des Peyre porte le prénom
d'Astorg, alors que son cadet devait hériter de celui d'Aldebert, et se destiner aux
ordres. C'est ainsi qu'aux XIe et XIIe siècle, deux évêques de Mende se sont
nommés Aldebert de Peyre.
Il est tout d'abord prévôt du chapitre de Mende. Puis il devient, en 1297, évêque
dans le diocèse voisin de Viviers. En 1303 il est présent auprès du roi lors de la
1
création du parlement de Toulouse . Durant son épiscopat, Aldebert de Peyre
reconnaît la suzeraineté du roi de France. Accord confirmé par Philippe le Bel le 2
2
janvier 1306 .
3
Il avait acquis le château de Marchastel sur l'Aubrac, mais aussi le quartier
éponyme à Mende et d'autres possessions en Gévaudan. Dans son testament il
institue la tradition familiale. Ainsi le cadet des Peyre devra hériter de la
seigneurie de Marchastel, et se nommer Aldebert[N 1]. De plus il ne devra parler
« ni français, ni auvergnat, ni autrement, mais comme il parle lui Aldebert et
4
comme son père parlait » .
Sur l'immensité de l'Aubrac, il y avait un seul piton rocheux. A son sommet, les hommes
construisirent un château fort et à son pied un village. Aujourd'hui, il ne reste plus rien de la place
forte du XIe siècle mais le village reste encore vivant. Les maisons, de grosses pierres grises, aux
toits de lauzes s'étagent autour d'une belle église romane. Fontaine en granit, four à pain et métier
à ferrer, très typiques, se retrouvent dans ce village.
Références
1. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la

chronologie des familles nobles de France, Volume 14, François-
Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, 1784, p. 12, disponible (fr)
sur Google Books
2. Mémoires et analyse des travaux de la Société d'agriculture, commerce,
sciences et arts de la ville de Mende, chef-lieu du département de la
Lozère, par la société des lettres de la Lozère, p. 176, disponible (fr) sur
Google Books
3. Le compoix de Marchastel, datant de 1685 et annoté en 1711, est
conservé aux Archives Départementales de la Lozère à Mende. Ce
-2831-
document historique renferme de précieuses informations concernant les
communautés villageoises de Rieutort et de Marchastel.
Le compoix trace les limites des " terroirs " du territoire de Marchastel et
de Rieutort, et il donne la liste nominative des propriétaires de chacun de
ces villages. Ces données nous ont permis de reconstituer de façon
approximative, mais que nous estimons assez proche de la réalité, la
carte historique de la commune indiquant le partage des propriétés
domaniales, seigneuriales et villageoises tant collectives que privées.
Le territoire actuel de la commune appartenait alors en majeure partie à
la dômerie d’Aubrac et à la baronnie de Peyre. La rivière Bès servait de
ligne de démarcation entre les propriétés des premiers et des seconds.
Tout ce qui se trouvait à l’ouest du Bès appartenait au dom d’Aubrac et à
l’est au seigneur de Peyre. Il faut ajouter que l’Ordre de Vialte possédait
aussi une montagne dans Marchastel, la montagne de Saint-Andéol. Des
pierres gravées de la Croix de Malte marquaient les bornes de leur
propriété. Certaines subsistent encore selon le propriétaire actuel de la
montagne.
Les communautés villageoises de Marchastel et de Rieutort étaient sous
la tutelle du Seigneur de Marchastel, le cadet de la famille de Peyre. La
maison de Peyre était au Moyen Age une des plus puissantes du Haut-
Languedoc. Elle possédait des droits de suzeraineté sur plus de quarante
paroisses dans le Gévaudan seulement, en plus de nombreux fiefs
ecclésiastiques. Ses possessions s’étendaient jusque dans l’Auvergne et le
Rouergue. Le château de Marchastel, partie de la baronnie de Peyre,
était l’apanage des cadets de Peyre. Ils portaient tous le prénom
d’Aldeberg et entraient la plupart dans les ordres. Le château de
Marchastel avait à son tour des dépendances : le dom d’Aubrac qui
rendait hommage à son seigneur ; les châteaux de Baldassé et de
Beauregard ; les seigneurs de Saint-Juéry ; les prieurs de Malbouzon pour
le mas de Bouzon, les Pagésies et Chaldecoste ; Pierre Virgile pour Melet,
Mermont et Chaussenel ; la paroisse de Saint-Christophe de Badaroux et
de nombreux autres.
4. ↑ Félix Buffière, Ce tant rude Gévaudan, Tome I, p. 375
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) iii2010
1.487.302:
JB de La Grandière 2012-07-13 17:29:07
La "refonte" des Blondel et associés est truffée de pièges qui m'ont fait tourner en
rond ! ..
Voilà : la fille de Beraud de Mercoeur qui épousa un comte de Joigny est : Marie
de Mercoeur !
JB de La Grandière 14/7/2012 SVP ne pas chercher à donner à Beraud de

Mercoeur un gendre qui serait Guillaume Blondel
-2832-
Une fumisterie d'auteurs classiques a "construit" sans vergogne, sans actes, sans
rien d'autre que vouloir absolument justifier un titre de comte de Joigny qu'ils
voulaient attribuer aux Blondel ; la fumisterie a été compilée à qui mieux mieuxy
compris sur les meilleurs sites.
Par ailleurs l'étude du comté et de la famille de Joigny publiée en 1990 par E. de

Saint Phalle ne laisse aucune place pour un Blondel.
La solution du problème était simple mais le procédé qui avait créé le problème
est tellement "énorme" que je ne l'avais pas envisagé !
Aux magiciens tentés par des connexions faciles (elles figurent partout) : veuillez
considérer qu'Agnés de Mercoeur et Guillaume Blondel sont de pures inventions..
et qu'il a été nécessaire de consacrer plusieurs jours de travaux pour prouver les
"fabrications" et refaire sur "roglo" une filiation prouvée des Blondel. Si certains
se posaient encore des questions, svp, qu'ils me contactent. Merci
Voir aussi fiches de Jean Blondel et de Agnès de Mercoeur
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010, H.de Riberolles(Remacle)
- naixement: C-H.Maigret (Base Anaïs Priou) 21 ii 2012
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- enterrament: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- família: (http://www.gros.nom.fr/pag97.htm#4), R.Sekulovich (geneanet : girma)
22 iv 2013
1.487.303:
Eudes de Bourgogne, devenu sire de Bourbon par sa femme, lui donna la
seigneurie de Cessel en échange des droits qu'elle avait sur la baronnie de
Bourbon et Montluçon en 1249.
Fonts:
- família: (http://www.gros.nom.fr/pag97.htm#4), R.Sekulovich (geneanet : girma)
22 iv 2013
1.487.303a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
1.487.303b:
Fonts:
-2833-
1.487.303c:
Fonts:
1.487.303d:
Pose problème: un Odilon est bien noté, mais seigneur de Saint Cyr, décédé avant
1301 ? Ne semble pas pouvoir être le même !
J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
1.487.303e:
Non mentionnée ?
J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
1.487.303h:
Fonts:
1.487.303i:
Fonts:
1.487.303j:
Elle apporta notamment le château de Mercoeur.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010, S. de L'Espinay (G.
Martin-Histoire et généalogie de la Maison de Polignac-2002)03.05.2016
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)03.05.2016
1.487.303k:
Porte d'azur au gonfanon d'or frangé de gueules.
[C.-H.Maigret 15 vii 2012]
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-VII/14, G.Hazard (Anselme T2) vii2009, J-M.Thiebaud
(Geneanet, Yves Conter, base conter) 31 i 2011, J-P.de Palmas (Edouard de Saint
Phalle, La première dynastie des comtes de Joigny, actes du colloque « Autour du
comté de Joigny », SGY, 1990) 14 vii 2012
1.487.303l:
JB de La Grandière 9/5/2013 :
Attention : Agnés de Mercoeur n'existe pas ! pas plus qu'un soi-disant époux
Guillaume Blondel (et son ascendance).; je la laisse ici avec Notes pour témoigner
de son inexistence
-2834-
Aux magiciens tentés par des connexions faciles (elles figurent partout) : veuillez
considérer qu'Agnés de Mercoeur et Guillaume Blondel sont de pures inventions..
et qu'il a été nécessaire de consacrer plusieurs jours de travaux pour prouver les
"fabrications" et refaire sur "roglo" une filiation prouvée des Blondel. Si certains
se posaient encore des questions, svp, qu'ils me contactent. Merci
JB de La Grandière 14/7/2012 SVP ne pas chercher à donner à Beraud de

Mercoeur un gendre qui serait Guillaume Blondel. Une fumisterie d'auteurs
classiques a "construit" sans vergogne, sans actes, sans rien d'autre que vouloir
absolument justifier un titre de comte de Joigny qu'ils voulaient attribuer aux
Blondel ; la fumisterie a été compilée à qui mieux mieuxy compris sur les
meilleurs sites. Par ailleurs l'étude du comté et de la famille de Joigny publiée en
1990 par E. de Saint Phalle ne laisse aucune place pour un Blondel. Voilà
l'amalgame : la fille de Beraud de Mercoeur qui épousa un comte de Joigny est :
Marie de Mercoeur ! La solution du problème était simple mais le procédé qui
avait créé le problème est tellement "énorme" que je ne l'avais pas envisagé ! JB
de La Grandière 21/7/2012 voir aussi fiche de Jean Blondel
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (re-re-fonte Blondel.) 9 v 2013
1.487.328:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Pierre de Montbrun)
1.487.329:
Fonts:
1.487.329a:
Fonts:
1.487.488:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle), S. de L'Espinay (rectification nom
patronymique)28.10..2013
- família: H.deRiberolles(Remacle)
1.487.489:
Fonts:
1.487.512:
HENRI [I] de Rodez, illegitimate son of HUGUES [II] Comte de Rodez & his
mistress Bertrande dÁmalon (-Palestine [1222]). The primary source which
confirms his parentage has not yet been identified. The Histoire Générale de
Languedoc suggests that the charter dated 1174 under which Henri [II] Comte de
Rodez bought the château de Trepadon en Rouergue for Bertrande dÁmalon
-2835-
shows that the mother of Henri was his father´s mistress not his wife, as his wife
Agnes was still living at that date[1781]. This could also explain the convoluted
route by which Henri [I] was appointed count, after the implementation of the
testament of Comte Guillaume which failed to mention his half-brother. Comte de
Rodez. Henri was appointed comte de Rodez by Raymond VI Comte de Toulouse,
to whom Guy Comte dÁuvergne transmitted the county after it was left to him
under the 1208 testament of his cousin Guillaume Comte de Rodez[1782].
"Henricus comes Ruthenensis, comitatum Ruthenensum, Rodellam, vicecomitatum
de Cambolatio" swore homage to "domino meo Scomite Leycestriensi, domino
MontisfortisBiterrensi et Carcassensi vicecomiteet domino meo Amalrico
primogenito filio vestro" by charter dated 7 Nov 1214[1783]. "Henricus comes
Ruthenensis" swore allegiance to "dominus noster Amalricusdux Narbonensis,
comes Tolosanus et dominus Montisfortis" by charter dated 28 Jun 1219[1784].
The testament of "Henricus comes Ruthenensis" is dated 1219, naming
"Ugonem…filium meum primogenitum" as his heir in the county of Rodez and the
viscounty of Carlat, bequeathing "castrum de Vic et castrum de Ponsminac et
castrum de Marmeissa…et castrum de Scoralla et castrum sancti Christophori" to
"Guirberto filio meo", money to "filiæ meæ Guizæ" and "A Comitissa uxor
mea"[1785].
m ALGAYETTE d'Escorailles (de Scoralha) dame de Bénavent, Vic, Marmiesse,

daughter of GUY [II) Seigneur d'Escorailles Cantal & his wife Béatrice --- (-after
1219). The testament of "Henricus comes Ruthenensis" is dated 1219, naming
"filiæ meæ Guizæ" and "A Comitissa uxor mea"[1786].
Comte Henri [I] & his wife had three children.
[1781] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, IV.XI, p. 408,
citing "Hist. gen. des gr. off. p. 698".
[1782] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, IV.X, p. 407,
citing "Hist. gen".
[1783] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, LXXVII, p.

593.
[1784] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, XCIII, p. 605.
Fonts:
1.487.513:
Célébrée par les troubadours pour sa grande beauté et sa sagesse
-2836-
Elle fit en 1224 une donation à l'abbaye de La Valette à Malte.
ALGAYETTE d'Escorailles (de Scoralha), dame de Bénavent, Vic, Marmiesse,

daughter of GUY [II) Seigneur d'Escorailles (Cantal) & his wife Béatrice --- (-after
1219). The testament of "Henricus comes Ruthenensis" is dated 1219, naming
"filiæ meæ Guizæ" and "A Comitissa uxor mea"[1786].
Fonts:
- persona: D.de Raugl (Henri Bourjade) - Y.Gobilliard (25-4-06), J-P.de Palmas
(FMG) 22 viii 2013, S. de L'Espinay (rectification nom patronymique)28.10..2013
1.487.513b:
GUIBERT de Rodez . The testament of "Henricus comes Ruthenensis" is dated
1219, bequeathing "castrum de Vic et castrum de Ponsminac et castrum de
Marmeissa…et castrum de Scoralla et castrum sancti Christophori" to "Guirberto
filio meo"[1788]. He inherited property in Auvergne.
Fonts:
1.487.513c:
Fonts:
1.487.514:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer)
- família: J-C de Vaugiraud (H. de Barrau: Doc. hist. et généal. du Rouergue, t. I, p
677 et 678) 20/04/2009
1.487.515:
DAUPHINE (-6 Jun 1270). m RAYMOND d'Anduze, Seigneur de Roquefeuil (-after
1219).
Fonts:
- família: J-C de Vaugiraud (H. de Barrau: Doc. hist. et généal. du Rouergue, t. I, p
677 et 678) 20/04/2009
1.487.515b:
Fonts:
- família 2: J-L. Dega, F.de Roquefeuil ( Le Cabinet historique, Volume 6 ) 14 x
2015
1.487.564:
-2837-
JB de La Grandière 13/9/2012 : Gwénaël Guillaume corrige l'ascendance qui était
donnée par Le Mené (qui se basait sur du Paz) laquelle indiquait comme père de
Thébaud de Rochefort sgr de Rochefort, Alain sgr de Rochefort député aux Etats
de Bretagne à Vannes 1203 x Anne de Rostrenen.
Frédéric Morvan : « Au cœur de l'entourage des ducs de Bretagne, Thibaud de

Derval .., dans Mémoires de la société d’histoire et d’archéologique de Bretagne,
Actes du congrès de Saint-Nazaire, t. LXXXVIII, p. 5-47 (2009), ne donne pas de
parents à ce Guillaume de Derval ; les parents sont inconnus ne sont donc pas
Guillaume de Derval x Anne de Rostrenen (ce qui polluait la filiation)
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Gwenaël Guillaume in "Econ. et soc. ds la France de
l'ouest atlantique") 4i2010
- família 1: C.Saint-Félix (Gwenaël Guillaume in "Econ. et soc. ds la France de
1.487.565:
Le nom de l'épouse de Guillaume de Dervalétait inconnu d'Olivier de Rougé en
1908.
Frédéric Morvan dans « Au cœur de l'entourage des ducs de Bretagne, Thibaud de

Derval (vers 1280-vers 1330), vicomte de Donges, seigneur de Rochefort», dans
Mémoires de la société d’histoire et d’archéologique de Bretagne, Actes du
congrès de Saint-Nazaire, t. LXXXVIII, p. 5-47 (2009) lui donne un prénom Anne
dame de Rochefort, fille de Jarrogon I, sgr de Rochefort x Thiphaine de Lanvaux.
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Web - pdelyon), JB.de La Grandiere ( inconnue d'Olivier
de Rougé ) 9 ix 2012
1.487.565b:
Fonts:
1.487.565-1a:
1245: "Obligation dans laquelle Méen de Derval (Dervaiil), chevalier, reconnaît,
avec son épouse Marquise, qu'il a acheté de l'abbaye la maison et le domaine de
Moire, et qu'il lui doit en paiement 90 sous de rente annuelle sur les censives de
Lavau et de la Guerche."
1259: "Accord, sous le sceau de l'archevêque de Tours, portant que Hugues de La

Muce, chevalier, et son épouse Marquise, veuve dudit Derval, se sont obligés à
servir annuellement une rente de 60 sous aux religieux, tant qu'ils jouiront des
censives de la Guerche et de Lavau, comme il a été convenu, et une autre rente de
5 sous pour le domaine de Moire."
(AD44 H 55 - Abbaye de Buzay) Ch. Faucherand, 29 iii 2016.
-2838-
Fonts:
- defunció: Ch. Faucherand (AD44 H 55, en note) 29 iii 2016
- casament: C.Faucherand (AD44 H 55, en note) 29 iii 2016
- família: C.Saint-Félix (Gwenaël Guillaume in "Econ. et soc. ds la France de l'ouest
atlantique") 4i2010
1.487.566:
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Web - pdelyon), C.Faucherand (ajout titre) 20 i 2016
- defunció: C.Saint-Félix (F.Morvan "Au coeur de l'ent. des ducs de Bretagne")
29x2012
- família: L.B. de Rougé (Web - pdelyon)
1.487.567:
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Web - pdelyon), C.Saint-Félix (F.Morvan "Au coeur de
l'ent. des ducs de Bretagne") 29x2012, C.Saint-Félix (base histoirebretonne sur
ns203268.ovh.net:2317) 18xi2012, C.Faucherand (rectification du patronyme et
fusion) 20 i 2016
- família: L.B. de Rougé (Web - pdelyon)
1.487.608:
Terre de Vart en Limousin.
Il a dû la recevoir par Philippe Auguste grâce à ses services.
Armes: "D'argent à trois fasces de gueules, au franc canton d'argent, chargé d'un
roc d'échiquier de gueules."
jblg 18/12/2015 : il s'agit de l'actuel Vars-sur-Roseix (19)
Livron pourrait bien être éponyme de Lacapelle-Livron (82)
Fonts:
- persona: Hervé Balestrieri ( Patrick de Ruffray / Basile Monce: Forum )
10.05.2008
- família: Hervé Balestrieri ( Patrick de Ruffray / Basile Monce: Forum ) 10.05.2008
1.487.609:
Fonts:
- persona: Hervé Balestrieri ( Patrick de Ruffray / Basile Monce: Forum )
10.05.2008
- família: Hervé Balestrieri ( Patrick de Ruffray / Basile Monce: Forum ) 10.05.2008
1.488.448:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Christophe de Montvallon - citant l'Inventaire des
-2839-
Archives du château de Vezins (Rodez, 1934) ) 19 i2011
- família: J-P de Palmas (Christophe de Montvallon - citant l'Inventaire des Archives
du château de Vezins (Rodez, 1934) ) 19 i2011
1.488.449:
Fonts:
1.488.452:
Fonts:
1.488.453:
Fonts:
1.488.480:
Il est rappelé avec la qualification de Monseigneur Aymeric de Mostuéjols, dans
une sentence arbitrale rendue entre Englès, alias Richard De Mostuéjouls, son
petit-fils, et Pierre, oncle de ce dernier, le 10 des calendes de Juin 1252, sentence
qui fait voir qu'Aymeric avait possédé des biens et droitures à Peyreleau.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (site du château de Mostuejouls)
- família: J-P de Palmas (site du château de Mostuejouls)
1.488.481:
Aigline, veuve d'Aymeric, parait dans une charte de 1232, par laquelle elle met en
liberté une femme qui avait été arrêtée, pour vol, et conduite au château de
Mostuéjouls.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Château de Mostuejouls)
1.488.512:
Fonts:
1.488.513:
Fonts:
1.488.528:
Guillaume De Mostuéjouls, 1er du nom, chevalier, seigneur du château de
Mostuéjouls, de Liaucous, etc .. fit un échange, en 1225, avec Raymond d'Anduze,
-2840-
baron de Florac, qui lui céda le mas de la Vieille-Baume.
Il fut présent à un hommage rendu, par Gui De Séverac, à l'évèque de Mende, le 3

des Ides de mai 1244.
Une information qui eut lieu, en 1262, avait pour objet de constater que la haute,
moyenne et basse juridiction, dans le château et dans le mas de Peyrat,
appartenait à Guillaume De Mostuéjouls. Cette information fait constater que les
Comtes de Toulouse et de Poitiers n'en avait aucune.
Certains témoignages le confirment et précisent que Guillaume De Mostuéjouls,

chevalier, exercait différents actes de justice par le jugement du fer chaud, la
pendaison, le fouet ou le bucher, tant hommes que femmes, pour vols et autres
crimes et délits commis dans le château et son ressort.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (site du château de Mostuejouls)
1.488.529:
Fonts:
1.488.904:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Eugène Vasseur, Nobles aïeux), C.Saint-Félix (Didier Panfili
"Histoires de familles") 17i2015
- família: J-L. Dega (Eugène Vasseur, Nobles aïeux)
1.488.905:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Eugène Vasseur, Nobles aïeux)
1.488.905b:
Fonts:
1.488.906:
A sa mort, la seigneurie de Cazaubon passe à sa fille.
Il échange en 1281 ses droits sur le comté de Gaure contre les baronnies de
Milhars et Feneyrols avec Philippe Auguste.
Fonts:
1.488.907:
-2841-
Fonts:
1.488.907a:
Sans postérité.
1.488.912:
Voir une vue aérienne actuelle du bourg de Cancon (Lot-et-Garonne), et de sa
butte, où se tenait le château féodal. (Lien vers le site Web "Geoportail" de
l'Institut Géographique National)
Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 21.09.2014
JBLG 26/9/2014 J'ai corrigé les dates de naissance et décès, faussées de plus de
60 ans sans doute par confusion et fusion intempestive
Fonts:
- persona: A.Euverte ( Maurice Campagne : "Histoire des Madaillan" ) 10 XI 2005,
J-C de Vaugiraud ( M.Smaniotto : H&G 1995, p176 ) 27.04.2007
- família: A.Euverte(Histoire des Madaillan par Maurice Campagne)10.XI.2005
1.488.913:
Fonts:
1.488.913b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Smaniotto (Michel) Réponse 95.III.1090 PUJOLS
(de) /Madaillan (de) H&G n°158 pp.48/52 Paris 03/2001) 26 ix 2014
1.488.913c:
Fonts:
- persona: A.Euverte(Histoite des Madaillan par Maurice Campagne)10.XI.2005
- família: A.Euverte(Histoite des Madaillan par Maurice Campagne)10.XI.2005
1.488.916:
Auteur des Durfort de Lacour. Possessionné à Clermont, il devient seigneur de
Lacour en Agenais par son mariage avec Alpaïs de Ungac avant 1280.
Fonts:
- persona: H.de Riberolles,A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)08.v.2006
1.488.917:
Ou de Unchaq ou de Bugat qui est un lieu-dit près de Brassac en 82 selon F.
Moulenq.
Dame de Lacour et Moissaguel en Bas Quercy (M. Smaniotto) Légataire de son
beau-frère Clément V pour 200 fl.
-2842-
Fonts:
- persona: H.de Riberolles, E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web), G Marsan
(bases A. Aurejac - xii 2004), A.Douence (Testament de Clément V) 12 iv 2015
- família 2: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)
1.488.917b:
Son beau-père, Gaillard le Jeune de Goth, se prit d'affection pour lui et son frère.
Comme il était le cadet, il était destiné à être d'église. Il fut attaché à la chapelle
de Gailhard de Goth, qui le fit nommer par son frère, le pape Clément V, chanoine
de Périgueux. Après la mort de Gaillard en 1306, Clément V continua ses faveurs
et lui ajouta successivement les prébendes de chanoine et d'archidiacre d'Aurillac,
d'archidiacre de Périgueux, de chanoine et d' archidiacre d'Outre Loire (Angers).
Il reçut encore les prieurés de Tréjouls et de Camburat dans le diocèse de Cahors.
Il n'était encore que sous-diacre quand Clément V le nomma, le 28 janvier 1314,
peu avant sa mort, évêque de Périgueux.
Jean XXII, qui n'aimait guère les parents de Clément V, créa à son détriment le
diocèse de Sarlat qui amputa celui de Périgueux de la moitié de son territoire.
Fonts:
Guilhamon)08.v.2006
1.488.918:
"Allemans" en Agenais.
Bien que vassal d'Edouard Ier, il avait pris parti en 1294 pour le roi de France et
avait combattu dans l'armée française comme chevalier banneret sous les ordres
du comte de Saint-Pol.
Comme il était très écouté de son frère, le pape Clément V, Philippe le Bel eut
recours à ses services et pour avoir un homme à lui en pays anglais, il lui donna le
15 décembre 1305 les vicomtés de Lomagne et d'Auvillars.
Ses interventions auprès du pontife n'étaient pas gratuites, il reçevait des
cadeaux. Le pape le nomma recteur, c'est à dire gouverneur du duché de Spolète,
mais il ne se soucia jamais de résider dans un gouvernement si lointain, se
contentant d'en perçevoir les revenus. Il préférait résider à Avignon ou sur les
bords de la Garonne à Auvillars. Il fit son testament le 16 janvier 1311.
Fonts:
- persona: H.de Riberolles, A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par
Henri Guilhamon,)13.v.2006
- família 1: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)
- família 3: A.Euverte(base auréjac)13.v.2006
1.488.919:
Dite parfois "De Mauleon"
Fonts:
1.488.919b:
Héritière de Clément V pour 300£
-2843-
Fonts:
- persona: G Marsan (bases JM Ducosson - xii 2004),A.Douence (Testament de
Clément V) 12 iv 2015
- casament: G Marsan (bases JM Ducosson - xii 2004)
- família: G Marsan (bases JM Ducosson - xii 2004), A.Douence (Testament de
Clément V) 12 iv 2015
1.488.919c:
Fonts:
- família: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web),A.Euverte(La maison de
Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon)08.v.200
1.488.919d:
Clément V avait pour lui une prédilection manifeste; il le nomma recteur des
marches d'Ancône dont il l'autorisa à perçevoir les revenus sans y résider. Il semble
avoir été un puissant médiateur dont les protégés obtenaient beaucoup et il a tiré un
grand profit de ces interceesions.
Il n'était pas seulement honoré par le roi de France. Soucieux d'être agréable au
pape et de s'assurer ses faveurs comme les offices de son neveu dans les affaires qui
l'intéressaient, Edouard II concéda à Bertrand de Goth le château de Blanquefort à
huit kilomètres de Bordeaux. Edouard II lui concéda encore le château de
Puyguilhem au diocèse de Bazas et la bastide de Montségur dans celui de Périgueux.
En janvier 1313, il confirme toutes les donations déja faites et lui donne de plus ses
possessions et ses droits dans la ville de Lectoure, le château de Saint-Clar, les
bastides de Dunes et de Donzac et tout ce qu'il possède dans la vicomté et le diocèse
de Lectoure (3 juillet 1313). Mais ce qui fit surtout la puissance de Bertrand de
Goth, ce furent les sommes immenses sur lesquelles il fit main basse à la mort de
son oncle Clément V dont il fut l'exécuteur testamentaire. C'est ainsi qu'il put
reconstruire le château de Duras, redoutable forteresse de 110 mètres de long et
trente de large avec ses huit tours, et y entrepose en 1314 une partie du trésor
laissé par Clément V.
-2844-
Château de Duras.
LA SUCCESSION DE LOMAGNE
En 1324, peu de mois avant sa mort, il maria sa fille Régine avec le comte Jean
1
d'Armagnac qui n'était pas encore majeur puisqu'il était né en 1311. Régine ne
devait guère être plus âgée. Le mariage de ces enfants était destiné à assurer à la
Maison d'Armagnac une extension considérable de ses domaines gascons puisque le
comté d'Armagnac et la vicomté de Lomagne étaient limitrophes.Régine survécut à
peine un an à son père. Le 12 août 1325, elle testa en faveur de son mari et mourut.
C'est par une clause singulière qu'elle faisait son mari son héritier universel "avec
ses enfants mâles qui seraient procréés de son propre corps avec quelque femme
que ce fut". Il est évident qu'une pareille clause avait été imposée à Régine pour
assurer à la maison d'Armagnac la possession de la vicomté de Lomagne. Mais
Bertrand de Goth, avait prévu le cas où sa fille mourrait sans postérité et il avait
établi un ordre de succession que les dispositions testamentaire de sa fille ne
pouvaient annuler puisqu'il l'avait déclaré héritière universelle conditionnelle.
Bertrand de Goth donnait à ses neveux Durfort les substitutions suivantes:
a) à Jean de Durfort après son père Bernard, les vicomtés de Lomagne et d'Auvillars.
b) à Aymeric de Durfort, les châteaux de Duras, Putguilhem, Allemans et Montségur.
c) d'autres legs aux Durfort concernant la seigneurie de Dunes et des remises de
dettes.. Evidemment, les Durfort qui ne reconnaissaient pas la validité du testament
de Régine réclamèrent l'exécution des substitutions prévues par son père. Mais le
roi de France Philippe VI voulut favoriser les Armagnac pour s'en faire un allié, alors
que la guerre de cent ans allait bientôt commencer. Afin d'éviter des procès longs et
couteux contre des adveraires aussi puissants , Aymeric de Durfort transigea. La
succession de Lomagne fut réglée au profit de la Maison d'Armagnac et au dériment
des Durfort qui ne récupérèrent pratiquement que les châteaux de Duras, Château
Gaillard et le château de Blanquefort près de Bordeaux.
1
Dominique Barrois dans sa thèse de doctorat, démontre que Jean Ier d'Armagnac
était né en 1305 et qu'en 1311, un contrat de mariage avait été établi entre Jean
d'Armagnac et Régine de Goth mais que le mariage n'avait pas été prononcé en
raison du jeune âge des deux intéressés. jpp ix-2008
Fonts:
- persona: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web),A.Euverte(La maison de
Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon,)15.v.2006, J-P de Palmas (Thèse de
Dominique Barrois)
- família 1: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 4 v 2014
- família 3: A.Douence (Testament de Clément V) 12 iv 2015
1.488.919f:
Héritière (Nommée par erreur Marie puis Régine) de son oncle Clément V pour
1000 fl. à défaut de la naissance d'un héritier mâle
Fonts:
- persona: A. de Maere 09.09.2005, A.Douence;(Testament de Clément V - M.
Smaniotto) 12 iv 2015
1.488.919g:
-2845-
Héritière de son oncle Clément V pour 5000 fl., à défaut d'un enfant mâle
Fonts:
- persona: J-L. Dega, A.Douence (Testament de Clément V ; M. Smaniotto) 12 iv
2015
- família: J-L. Dega, A.Douence (Testament de Clément V) 12 iv 2015
1.488.919-3a:
Attesté en 1311. Batard.
Fonts:
- persona: A.Euverte(base auréjac)13.v.2006
1.488.920:
Sceau
 Sceau d'Elie Rudel, seigneur de Bergerac
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base de Carné), J-P.de Palmas (compléments) 25 iv 2012
- casament: J-P de Palmas (racineshistoire)
- família: H.deRiberolles(Base de Carné), J-P de Palmas (racineshistoire)
1.488.921:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base de Carné)
- casament: J-P de Palmas (racineshistoire)
- família: H.deRiberolles(Base de Carné), J-P de Palmas (racineshistoire)
1.488.921b:
Il descendrait au 5ème degré d'un certain Astorg de Montclar par les femmes
(vers le XIIème/XIIIème siècle, un Rudel aurait épousé une Montclar) d'après
Jacques Saillot.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (site Hervé Gros: http://www.gros.nom.fr/note14.htm#30)
- família: J-P de Palmas ( site Hervé Gros: http://www.gros.nom.fr/note14.htm#30
et site http://users.skynet.be/nobily/nobily/pafg2512.htm )
1.488.921d:
Fonts:
1.488.921e:
Fonts:
- persona: G.Marsan ( base de Gros Jolivalt)
- casament: G.Marsan ( base de Gros Jolivalt)
- família: G.Marsan ( base de Gros Jolivalt), H.de La Villarmois (geneanet Chautruf)
15 iv 2008
-2846-
1.488.952:
Héritier de Sicard Alaman.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Chartrier de Graulhet, Castelnau de Lévis par
Romain Joulia, 2008) x2009
1.488.953:
Fonts:
1.488.953b:
Fonts:
- persona: J-L Dega
- família: A.Euverte(Histoire de la maison de Madaillan par Maurice
Campagne)19.XI.2005, J-P de Palmas (Histoire de Milhars) ii-2009
1.488.954:
Fonts:
1.488.955:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella, JB.de La Grandiere (René de Cosnac La maison de
Malemort en Limousin Brive 1955) 14 x 2014
1.488.959:
voir http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5754773m/f345.texte.r=GOURDON.hl
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Roquemaurel (Jacques de) Réponse à 93 I 276 -
Thémines- H&G 181 page 359 déc 2006) 2 i 2014, R. Sekulovich (toile), S. de
L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort), G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- família: R. Sekulovich ( toile), S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
1.488.959a:
Fonts:
- naixement: Hervé Balestrieri ( Alain de Carné : Site de la famille de Carné )
18.10.2007
- defunció: Hervé Balestrieri ( Alain de Carné : Site de la famille de Carné )
18.10.2007
- enterrament: Hervé Balestrieri ( Alain de Carné : Site de la famille de Carné )
18.10.2007
- família 2: R. Sekulovich ( toile)
-2847-
1.488.959b:
Fonts:
- persona: L.Guion / J-L. Dega
1.488.996:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (aurejac)
- família: H.R.Moser/Anselme-VII/763
1.488.997:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-VII/763
1.488.997c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène
Debax) 12x2014
1.488.998:
JOURDAIN [IV] (-1271). A manuscript chronicle records the testament dated 1240
of "Bernardus Jordani de Insula miles" which appointed "Jordanum filium suum"
as his heir[660]. A charter dated 22 Apr 1259 records disputes between "dominum
Jordanum dominum Insule" and "dominum Isarnum Jordaniac dominum
Bernardum de Astafort" about the inheritance of "quondam Raimundi Jordani
eorum consanguinei et quondam Othonis de Tarrida ipsorum avunculi"[661].
m as her second husband, VACQUERIE Adémar de Monteil, widow of PIERRE

Vicomte de Lautrec, daughter of LAMBERT Adémar de Monteil (now Montélimar,
Drôme) Seigneur de Lombers & his wife Bérengère de Lautrec[662]. A charter
dated 2 Oct 1271 records disputes between "dominam Vacqueriam uxoremdomini
Jordani de Insula" and "dominos Bertrandum et Amalricum fratres, vicecomites
Lautricenses" about the dowry of the former for her marriage to "dominum
Petrum quondam vicecomitem Lautricensem, virum suum quondam dicte domine
Vacquerie" whose heirs were the latter brothers[663]. Jourdain [IV] & his wife had
two children.
[660] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, II, "Chronique
tirée dún manuscrit de MM. Sabbathier de la Bourgade, de Toulouse", p. 528.
464.III, col. 1405.
[662] ES XIV 4.
464.VIII, col. 1407.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 xii 2015
-2848-
- família: J-C de Vaugiraud (Pdt Berge:Origine rectifiée de maisons féodales)
15/11/2006 / Jean-Louis Dega
1.488.999:
VACQUERIE de Monteil-Ademar, daughter of LAMBERT Adémar de Monteil (now
Montélimar, Drôme), Seigneur de Lombers & his wife Bérengère de Lautrec[392].
A charter dated 24 May 1258 records an agreement between "dominum Philippum
de Monteforti juniorem" and “dominum Petrum vicecomitem Lautricensemeius
uxor domina Vacqueria” relating to “castro de Affiaco”, naming “Isarnus et
Bertrandus fratres eiusdem”[393].
She married secondly Jourdain [IV], Seigneur de lÍsle-Jourdain. A charter dated 2

Oct 1271 records disputes between "dominam Vacqueriam uxoremdomini Jordani
de Insula" and "dominos Bertrandum et Amalricum fratres, vicecomites
Lautricenses" about the dowry of the former for her marriage to "dominum
Petrum quondam vicecomitem Lautricensem, virum suum quondam dicte domine
Vacquerie" whose heirs were the latter brothers[394].
[392] ES XIV 4.
473.II, col. 1434.
464.VIII, col. 1407.
[395] Zalmen Ben-Nathan ‘Lautrec’ (2002), p. 378.
Vacquerie de Monteil Adhémar, mariée :
1°) avec Pierre, vicomte de Lautrec, mort sans enfants en 1270. Ce premier
contrat se trouve dans les manuscrits de la bibliothèque du roi, vol 59 fol 194
2°) avec Jourdain IV, baron de l'Isle, chevalier, surnommé le Vieux, qu'elle rendit
père de trois filles, mariées dans les maisons de Narbonne, d'Astarac et de
Colonne en Italie. Ils ne vivaient plus tous les deux au mois d'août 1532, que leurs
enfants furent condamnés par arrêt de la cour du roi, qui se trouve dans les
archives de Montpellier, à rendre à Aliénor de Montfort, comtesse de Vendôme, ce
qui était convenu par la transaction passée entre elle et messire Adhemarii,
chevalier, seigneur de Lombers.
Saint-Allais, tome VII
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Pdt Berge:Origine rectifiée de maisons féodales)
15/11/2006, J-P.de Palmas (FMG) 4 v 2014
- família 1: Base H.Gros
- família 2: J-C de Vaugiraud (Pdt Berge:Origine rectifiée de maisons féodales)
15/11/2006 / Jean-Louis Dega
-2849-
1.488.999b:
Fonts:
- família 1, família 2: J-L. Dega (Vuillier)
1.488.999c:
Fonts:
- persona: J-C Barbier (Contribution à l'histoire de la famille Colonna de Rome dans
ses rapports avec la France) 15 xi 2013
- família: H.R.Moser/Litta-V / Jean-Louis Dega
1.489.008:
Robert IIe du nom, comte de Clermont, dauphin d'Auvergne, confirma en 1260
une précédente donation à l'Eglise d'Orcival par ses pères et mères ; en 1262 il
rendit hommage à Alphonse de Poitiers, pour ses fiefs..Il mourut le 21 mars 1281,
d'après l'obituaire de St André, il avait épousé Mathilde d'Auvergne, fille de
Guillaume, Comte d'Auvergne et d'Alix de Brabant
Fonts:
- persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
1.489.009b:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)
1.489.009c:
Fonts:
1.489.012:
Teste le 20 avril et le 6 mai 1277. Il mourut peu après.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES III-IV Tafel 740) 21/04/2008
- família 1: J-P de Palmas (Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme, par
Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, tome III) iii-2009
- família 2: J-C de Vaugiraud (E.S III Tafel 740) 11/11/2006
1.489.013:
Le prénom de Sibille est celui qui apparaît dans le testament de son père.
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme, par
1.489.013a:
Bertrand des Baux « m firstly (before 12 Oct 1254) PHILIPPA de Poitiers-
-2850-
Valentinois, daughter of AYMAR [III] de Poitiers Comte de Valentinois et de Diois
& his first wife Sibylle de Beaujeu (-[1283]). By charter dated 10 Apr 1244,
"Aymar de Poitiers III comte de Valentinois, fils de feu Guillaume et de Florie"
confirmed his desire for the marriage of "sa fille Philippine" to "Hugues fils ainé
de Barral seigneur de Baux", when they reached the age of puberty, or if he died
to "Bertrand fils cadet de Barral"[307]. Considering the chronology of the family,
Philippa must have been a baby at the time and was probably her parents' first
child. Her marriage took place before the charter dated 12 Oct 1254 under which
"Philippine fille d'Aymar de Poitiers comte du Valentinois, épouse de Bertrand de
Baux d'Avellin" confirmed the payment of her dowry by her father[308]. The
testament of "Aimarus de Pictavia Comes Valentinensis filius quondam domini
Guillelmi de Pictavia comitis Valent.", dated 20 Apr and 6 May 1277, leaves
bequests to "…Philippam filiam suam uxorem domini Bertrandi domini de
Baucio…Margaritam filiam suam uxorem Rotgerii de Clairiaco…Guillelmetum
filium suum quem habuit ex ipsa domina Alixente"[309]. » (Foundation for
Medieval Genealogy.)
n. 307 : Barthélemy, L. (ed.) (1882) Inventaire chronologique des chartes de la
famille de Baux 313, p. 88, citing Ch. orig. no. 3, avec sceau en cire de Barral,
Fonds du Valentinois, A. D. Isère. Cet acte fut passé à Monteux, dans l'église de
l'Hôpital de Saint-Jean.
n. 308 : Id., 386, p. 111, citing Fonds de Valentinois, ch. no. 4, A. D. Isère.
n. 309 : Du Chesne, A. (1628) Histoire généalogique des comtes de Valentinois et
de Diois, Preuves, p. 11.
Fonts:
- persona: Benoît Ravinet "Les Camaret" par Alain Fière, [w:S.Fourlinnie]] (Famille
de Teyssier de Chaunac des Farges sur Gallica, page 41) 29/08/2013, P.Fauchère
(notes) 19.08.14, [
1.489.013c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme, par
- casament: ESP "les premiers degrés des Poitiers-Valentinois H&G 152 p.253
- família: J-P de Palmas (Généalogie des Clérieu, par Société d'archéologie et de
statistique de la Drôme, tome III) iii-2009
1.489.013-3a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES III-4 Poitiers-Valentinois tableau 740) 14 xi 2014
- família: JB.de La Grandiere (ES III-4 Poitiers-Valentinois tableau 740) 14 xi 2014,
D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer)
1.489.014:
RODOLPHE de Genève, son of GUILLAUME [II] Comte de Genève & his
[first/second] wife [--- de Forez/Alix ---] ([before 1215]-29 May 1265). "Willelmus
comes Gebenn." obtained a loan from the monastery of Saint-Victor by charter
dated 16 Feb 1228 which names "Rodulfum filium meum…et dominam
comitissam" among the guarantors[982]. His birth date is indicated by a charter
dated 24 Mar 1229 under which "Rodolphe son fils…" swore to respect a peace
treaty between his father Guillaume Comte de Genève and Aimon Seigneur de
-2851-
Faucigny, suggesting that Rodolphe must have been at least an adolescent or
young adult at the time[983]. "Willelmus…comes Gebenn." recognised a loan from
the monastery of Saint-Victor, confirmed by "A. comitissa…Rodulfus filius
comitis", by charter dated 13 Jan 1231, witnessed by "eiusdem uxor Alaysia
comitissa"[984]. "Vullielmus comes Gebenn., Ales uxor nostra et Rodulphus filius
noster" granted compensation to the bishopric of Geneva for the wrongs which
they had committed by charter dated Feb 1236[985]. "Coenetus dominus
Genuliaci" donated rights to la Chartreuse d'Oujon, confirmed by "domini mei
Radulfi filii comitis Gebennensis", by charter dated Feb 1237[986]. "Vullielmi
comitis et Rodulphi eius filii" consented to the sale of property to the bishopric of
Geneva by charter dated 1245[987]. "Petrus de Sabaudia" and "Guillelmus comes
Geben., Rodulphus et Henricus filii dicti comitis" appointed "D. Ph…Lugdunen.
ecclesie Electum" [Philippe de Savoie] to arbitrate disputes between them, by
charter dated 10 Jun 1250[988]. "Villelmus comes Gebennensis" confirmed the
foundation of the Chartreuse monastery of Pomiers by "Villelmo patre meo", with
the consent of "Alesia comitissa uxor mea et Rodulphus filius noster primogenitus
cum filiis nostris…Amedeo…episcopi Diensi, Aymone cantore Gebennensi,
Henrico, Roberto canonico Viennensi, Villelmo, Guigone", for the soul of
"Humberti fratris nostri quondam comitis Gebennensis", by charter dated
1252[989]. The testament of "Willelmus comes Gebenn." is dated 9 Nov 1252 and
names "primogenitum nostrum Rodulfum…filio nostro Amedeo…Dien. Ep…A.
comitissa Geben."[990]. Comte de Genève. "Amedeus…Dien. Ep. filius quondam D.
Guillelmi bone memorie comitis Geben." delegated the execution of his father´s
testament to "fratrem nostrum Rodulphum primogenitum", with the consent of
"fratrum nostrorum…Henrici layci, Roberti canonici Vien., Guillelmi et Guigonis
clericorum filiorum antedicti D. comitis Geben.", by charter dated 8 Jan 1253,
witnessed by "Ay. dno. Fucign…Dne. Alaysie…matris nostre comitisse
Gebenn…religiose Dne. Agathe sororis nostre Abbatisse de Monte…"[991].
"Rodulphus comes Gebenn., Aymo Cantor Gebenn. et Henricum fratres" donated
property to the bishopric of Geneva, for the injuries of "comite Humberto avunculo
nostro et comite Willermo patre nostro", with the consent of "domine Allasie
matris nostre comitisse Gebenn. et…Amedei Dien. episcopi fratris nostri", by
charter dated 3 Feb 1253[992]. "Rodulphus comes Gebenn." swore homage to "D.
Petro comiti Sabaudie" by charter dated 19 Aug 1263[993]. The testament of
"Beatricis relictæ Raimundi Berengarii comitis Provinciæ", dated 14 Jan 1264,
adds bequests to "…filiabus Rodolphi et Henrici de Gebennis…"[994]. An undated
charter confirmed the agreement ending the war between the bishop of Lausanne
and "Aymo dominus de Fucigniaco", sworn by "viros nobiles dominum Petrum de
Sabaudia et R comitem Gebennensem"[995].
m (contract 8 Jun 1241) MARIE de la Tour-du-Pin, Dame de Varey, daughter

ALBERT [III] Sire de la Tour-du-Pin & his wife Beatrix de Coligny (-1266 or after).
The marriage contract between "Willelmi comitis Gebenn…R. filium" and
"Guigonis Dalphini Vienn. et Albonensis…dominam M. filiam domini A. de Turre"
is dated 8 Jun 1241[996].
Rodolphe & his wife had six children.
[982] Mallet (1845), Tome IV, Documents, XXXVI, p. 44.
-2852-
[983] Regeste Genevois, 643.
[984] Mallet (1845), Tome IV, Documents, XXXVIII, p. 47.
[985] Mallet (1845), Tome IV, Documents, XLVII, p. 58.
[986] Oujon 19, p. 31.
[987] Mallet (1845), Tome IV, Documents, LVI, p. 64.
[988] Mallet ´Mémoire´ (1849), Tome VII, Pièces justificatives, XI, p. 299.
[989] Besson (1759), Preuves, 52, p. 384.
[990] Mallet ´Mémoire´ (1849), Tome VII, Pièces justificatives, XV, p. 305.
[991] Mallet ´Mémoire´ (1849), Tome VII, Pièces justificatives, XVI, p. 306.
[992] Mallet ´Mémoire´ (1849), Tome VII, Pièces justificatives, XVII, p. 307.
[993] Mallet ´Mémoire´ (1849), Tome VII, Pièces justificatives, XXIX, p. 315.
[994] State Archives, volume 104, page 11, fascicules 11.1, 2 and 3, and
Wurstenberger (1858), Vol. IV, 636, p. 317.
[995] Gingins-la-Sarra, F. de and Forez, F. (eds.) (1846) Recueil des Chartes,

Statuts et Documents concernant l'ancien évêché de Lausanne (Lausanne)
("Lausanne Bishopric") XXIII, p. 52.
[996] Wurstenberger (1858), Vol. IV, 141, p. 73.
Les erreurs de filiation dues au Père Anselme (avant 2009)
 Son mariage avec Marie de Coligny, fille de Hugues de Coligny (+ 1205) est
signalé par le père Anselme (VII, 145) et par les Europaïsche Stammstafeln (XIV,
60) qui précisent la date du mariage : 1241. ERREUR
 Selon le site http://a.decarne.free.fr/gencar/note28.htm#1424 sa femme ne
serait pas Marie de Coligny. A. de Carné indique "la base roglo la dit "Marie de
Coligny", fille d'Hugues Ier, mais elle serait née avant 1205, et mère à 55 ans !
Elle en est la petite-fille". VRAI
L'épouse mentionnée sur ce site (mariage en 1241) est Marie de La Tour du Pin,
dame de Varey, née vers 1230, fille de Albert de La Tour du Pin et de Béatrice de
Coligny, dame de Rochechaume, la soeur de Marie. (S. Bontron, 7 décembre
2003)EXACT
-2853-
La base frebault chez geneanet donne aussi comme épouse Marie de La Tour du
Pin, dame de Varey, née en 1230 (F d'Avigneau 1er février 05)EXACT
 Foras (III, 70) cite également un mariage en 1241 avec "Marie de Coligny, dame
de Varey, soeur du dauphin Humbert I, fille d'Hugues, sire de Coligny et du
Revermont". Cette formulation apparaît démontrer l'erreur : si elle est soeur du
er
dauphin Humbert I , c'est qu'elle est fille de Béatrice de Coligny et donc petite-
fille et non fille de Hugues ; de même elle est La Tour et non Coligny. (S. Bontron,
2 octobre 2006) JB de La Grandière 29/11/2009 Le mariage de Marie en 1241 est
bien celui de la fille de Béatrice de Coligny : Marie de La Tour du Pin laquelle est
la grand'mère de Marguerite de GenèveFAUX (elle en est la mère JPP et JCV)
C'est cette Marie qui épouse en 1241 Rodolphe, comte de Genève, d'où Aymon de
Genève + 1280 et Amédée + 1308, successivement comtes de Genève.
Aimon x 16/9/1271 Agnès de Montfaucon (aussi dénommée de Montbéliard) d'où
Marguerite x 14/5/1288 Aimar de Poitiers FAUX (Marguerite est la soeur d'Aimon
JPP et JCV)
Fonts:
- persona: D.de Raugl (E.Arminjon) ; S. Bontron (Anselme, VII, 145), corrections
sur Anselme et alii JB de La Grandière confirmé par E.Arminjon foum 30 xi 2009, J-
P.de Palmas (FMG) i 2010
- defunció: J-C de Vaugiraud (acte 986 du regestre genevois, p. 242) 30/01/2010
- casament: J-P de Palmas (cm du 8 vi 1241)
- família: J-P de Palmas (E.S XI, Tafel 158 et FMG) i2010, S. de L'Espinay (G.
1.489.015:
MARIE de la Tour-du-Pin . The marriage contract between "Willelmi comitis
Gebenn…R. filium" and "Guigonis Dalphini Vienn. et Albonensis…dominam M.
filiam domini A. de Turre" is dated 8 Jun 1241[3166]. Dame de Varey, de Vaux et
de Saint-Sorlin. 1234/1266.
m (contract 8 Jun 1241) RODOLPHE de Genève, son of GUILLAUME [II] Comte de

Genève & his [first/second] wife [--- de Forez/Alix ---] ([before 1215]-29 May 1265).
He succeeded in 1253 as Comte de Genève.
[3166] Wurstenberger (1858), Vol. IV, 141, p. 73.
C'est cette Marie qui épouse en 1241 Rodolphe, comte de Genève, d'où Aymon de
Genève + 1280 et Amédée + 1308, successivement comtes de Genève.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (E.S XI, Tafel 158 et FMG ) i2010
- casament: J-P de Palmas (cm du 8 vi 1241)
- família: J-P de Palmas (E.S XI, Tafel 158 et FMG) i2010, S. de L'Espinay (G.
1.489.015a:
Il épouse en première noce Agnès de Montfaucon, puis en seconde, en 1279,
Constance de Moncade, vicomtesse de Marsan, fille de Gaston VII de Béarn,
-2854-
vicomte de Béarn.
Deux filles sont issues de son premier mariage :
 Jeanne de Genève, qui épouse Philippe de Vienne

 Agathe de Genève (†1302), qui épouse Jean de Vienne
À partir de son règne, le blason de la maison de Genève devient D'or à quatre

points équipolés d'azur.
Armoiries
D'or à quatre points équipolés d'azur. Blason définitif à partir de Aymon II.
in Armorial général, J.B. Rietstap. tome 1 page 759 (Comtes de Genevois) "Armes
adoptée par Amédée II de Genève vers 1280 - Elles apparaissent dans des sceaux
de 1288 et 1289 sur des actes d'Amédée II de Genève" ou p.6 in Revue
savoisienne, Académie florimontane, 2000
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Armorial général, J.B. Rietstap) ix 2010
- família 1: H.R.Moser/Anselme-II/159
- família 2: J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010
1.489.015b:
Amédée II de Genève, mort en 1308, fut comte de Genève de 1280 (environ) à
1308. Il était fils de Rodolphe (ou Raoul), comte de Genève, et de Marie de
Coligny, dame de Varey.
Famille
Amédée épouse Agnes de Chalon dont il aura quatre enfants :
 Hugues de Genève (? -1365), épouse dame Isabelle d'Anthon.

 Jeanne de Genève (? -1303), épouse Guichard VI le Grand de Beaujeu
 Guillaume III de Genève (v.1280-1320), comte
 Amédée de Genève, évêque de Toul (de 1320 à 1330)
Armoiries D'or à quatre points équipolés d'azur.
Blason définitif à partir de Aymon II.

in Armorial général, J.B. Rietstap. tome 1 page 759 (Comtes de Genevois) "Armes
adoptée par Amédée II de Genève vers 1280 - Elles apparaissent dans des sceaux
de 1288 et 1289 sur des actes d'Amédée II de Genève" ou p.6 in Revue
savoisienne, Académie florimontane, 2000
Fonts:
- persona: o guionneau, J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010
- família: o guionneau, J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010
-2855-
1.489.015c:
Moulage du contre-sceau de Guy de Genève, évêque de Langres. Légende
restituée en latin : "SECRETUM G. EPISCOPI LINGONENSIS", traduction : sceau
du secret de G., évêque de Langres.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Moulage du contre-sceau de Guy de Genève) 8 ix 2011
1.489.015d:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (E.S XI, Tafel 158 ) i2010
1.489.015e:
JEAN de Genève, son of RODOLPHE Comte de Genève & his wife Marie de de la
Tour-du-Pin (-1297). Abbot of St Seine 1280. Bishop of Valence, Bishop of Dié
1283.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 15 x 2017
1.489.018:
Bourgeois assez aisé originaire de Castelnau des Vaux ( MONTRATIER) qu'il quitta
pour Cahors lors du passage de Simon de Montfort. Arnaud fit fortune sur les
places internationales et devient bourgeois de Bruges et marchand de la Hanse
Flamande de Londres en 1284. Mais c'est dans sa maison familiale du faubourg
des Soubirous qu'il meurt quelques années plus tard.
-2856-
Voir : Adrien de Monluc (1571-1646): d'encre et de sang, par Véronique Garrigues,

2006 A propos du Palais Duèze à Cahors À la suite de la restauration d'une fenêtre
à remplage, sur l'élévation sud, de ce qui était la « chambre de parement » du
palais Duèze, la Société Archéologique du Midi de la France avait tenu à féliciter et
encourager le propriétaire, M. Guy Rouqual, en lui remettant une médaille
d'argent (M.S.A.M.F., t. LIII, 1993, p. 230, t. LIV, 1994, p. 195).
Ce sont aujourd'hui deux baies géminées de l'élévation ouest qui ont été
reconstituées. Elles étaient jusqu'alors obturées et masquées par un enduit
extérieur. La fenêtre de droite conservait suffisamment d'éléments (piédroits et
arcs, base ornée d'un tore en amande, colonnette, chapiteau à corbeille nue
évasée, vestiges des impostes accompagnées de pièces métalliques situant des
porte-bannes) pour en permettre la restauration et la reconstitution de la baie
voisine en partie détruite. Ces travaux, qui ont été accompagnés du décrépissage
de la façade sur son tiers supérieur et du remaillage du parement très altéré,
rendent toute sa dimension au corps de bâtiment occidental du palais et
permettent de retrouver une perception d'ensemble de l'édifice. »
commmentaire historique Selon un texte d'obit, le frère du pape Jean XXII, Jacques
Duèze, mort en 1326, a reconstruit la maison parternelle, ce qui permet de dater le
palais du 1er quart du 14e siècle, avec une hypothèse haute vers 1300, une autre
hypothèse plaçant la reconstruction après l'avènement de Jean XXII, c'est-à-dire
entre 1316 et 1326. Les Duèze devenus seigneurs de Caraman délaissent Cahors et
l'on sait que le palais est abandonné et ruiné dès la fin du 14e siècle ; les consuls
en font démolir une partie en 1405 pour en utiliser les matériaux à la réparation du
pont Neuf, mais conservent la tour qui est intégrée aux défenses de la ville. Une
-2857-
maison est reconstruite au 16e siècle sur l'emplacement d'une partie du corps
principal. D'autres maisons s'installent dans les ruines du palais divisé en de
multiples propriétés.
Inventaire du patrimoine
Liens externes
 Wikipédia
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Adrien de Monluc, par Véronique Garrigues, 2004, thèse
de doctorat d'Histoire ) 2004 et 2006
- família: J-P de Palmas (Jean XXII, par Jean-Paul Marion) 3 vii 2011
1.489.019:
Hélène, appartenait à la famille BERALDY ou BERAL ou BERAIL par son père et à
la famille de JEAN par sa mère. Deux familles puissantes de CAHORS et que l' on
retrouve à Londres. Les nombreux membres de ces familles appartiennent à l'
oligarchie marchande qui a entre les mains le pouvoir consulaire de Cahors.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Jean XXII, par Jean-Paul Marion, 2009) 3 vii 2011
1.489.019a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Jean XXII, par Jean-Paul Marion) 3 vii 2011
1.489.019b:
Origines Les auteurs italiens, et une tradition populaire, conservée encore de nos
jours en Quercy, le font fils d'un savetier. Baluze lui assigne une origine noble.
M. Bertrandy prouve, au moyen de documents inédits, que son père, Arnaud
Duèze, était un des principaux bourgeois de Cahors (cf. Bibliographie). Le
conclave de Carpentras trouve de nouveau les cardinaux divisés. De plus, des
bandes à la solde des neveux de Clément V pillent la ville, brûlent des maisons et
tuent des italiens, ils bloquent même les cardinaux à l'intérieur du palais épiscopal
mais ils arrivent à s'enfuir. Après deux ans de tergiversation, il réussissent à élire
Jacques Duèse, cardinal de Porto, au couvent des frères prêcheurs où, bloqués
cette fois par les troupes du Roi, ils mettent encore six mois à se décider.
Et encore ! Jean XXII est élu en raison de son grand âge, 72 ans, qui ne le
prédestinait qu'à un règne "intérimaire". Ancien évêque d'Avignon, c'est tout
naturellement qu'il s'y installe, et, malgré son intention de ramener la papauté à
Rome, il y restera jusqu'à sa mort, 18 ans après.
-2858-
Grâce à lui, l'Église s'enrichit, Jean XXII perfectionne en effet la fiscalité

pontificale. Il se réserve toutes les nominations épiscopales et diffuse le
christianisme en Orient. Il se révèle aussi un fervent combattant de l'Inquisition
qu'il réprimera durement. Il parvient à lever les cités guelfes d'Italie et le Roi de
Naples contre l'empereur Louis de Bavière, couronné à Rome et qui avait fait
proclamer un anti-pape, Nicolas V (1328). Ce dernier, chassé par les romains
viendra implorer son pardon à Avignon où il mourra en captivité en 1333.
Sur son lit de mort, Jean XXII doit rétracter les propositions énoncées lors de ses
derniers sermons. Voir : Les papes en Avignon. Il avait commencé sa vie religieuse
comme moine-ermite grandmontain à la celle de Defès. Devenu pape, il s'occupa
de l'ordre en effaçant ses dettes et donna à Grandmont l'état d'abbaye. Il nomma à
sa tête le premier abbé de l'ordre malchanceux en la personne de son ami et
concitoyen, Guillaume Pellicier, qui dirigea l'ordre de 1318 au 29 janvier 1337,
date de sa mort à Grandmont. M.Chevallier v 09 (Histoire de Grandmont)
Bibliographie
 Bertrandy-Lacabane, Martin. Recherches historiques sur l'origine,

l'élection et le couronnement du pape Jean XXII. Paris : Treuttel et Würtz,
1854.
o Lire la critique in Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, 1855,
page 61
 Albe, Edmond. Autour de Jean XXII. Hugues Géraud, évêque de Cahors.
L'affaire des poisons et des envoûtements en 1317. Cahors : J. Girma,
1904. Note: "Extrait du Bulletin de la Société des études littéraires,
scientifiques et artistiques du Lot, t. XXIX."
 Caillet, Louis. La papauté d'Avignon et l'Église de France : la politique
bénéficiale du pape Jean XXII en France, 1316-1334. Paris : Presses
universitaires de France, 1975. (Publications de l'université de Rouen).
 Henri Reynard-Lespinasse, Armorial historique du diocèse et de l'état
d'Avignon, 1874
-2859-
Fonts:
- persona: C.Chéneaux (J. Mathieu-Rosay, historien de la papauté) ; o
Guionneau/HG95-131; J-P de Palmas (wikipedia & bibliographie critique)
1.489.296:
1.489.297:
1.489.312:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site www.dagos.org de Luc d'Agos) 24vi2006
- família: C. Saint-Félix (site www.dagos.org de Luc d'Agos) 24vi2006
1.489.313:
Fonts:
1.489.314:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Courcelles, Navelle et autres)
1.489.315:
Fonts: - família: J-L. Dega (fiches familiales)
1.489.315a:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Courcelles, Navelle et autres)
1.489.315c:
Fonts:
- família: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort), A.Douence (Tonneins -
Germaine Delzollies) 13 iv 2015
1.489.792:
Fonts:
- família: H. de La Villarmois (Anselme VII) 6 iv 2004, J-P de Palmas (Anselme
VII/411 et suiv.) vi2009
1.489.793:
Fonts:
- família: H. de La Villarmois (Anselme VII) 6 iv 2004, J-P de Palmas (Anselme
VII/411 et suiv.) vi2009
-2860-
1.489.793b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009
1.489.796:
Profession : Seigneur de Seyres (ou Ceiras).
Fonts:
1.489.856:
Il avait donné dans les erreurs des albigeois, fut poursuivi avec acharnement et
perdit tous ses biens, que le roi saint Louis lui fit rendre en 1243. (source :
"biographie toulousaine" de 1827 sur googlebooks)
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site d'Olivier Fréchet sur l'amiral de Saint Félix) 21-03-
2005
- família: C. Saint-Félix (site d'Olivier Fréchet sur l'amiral de Saint Félix) 21-03-
2005
1.489.857:
Fonts:
2005
1.490.182:
Fonts: - persona: J-L. Dega (geneanet basquercy)
- família: J-L. Dega (geneanet basquercy)
1.490.183:
Fonts: - família: J-L. Dega (geneanet basquercy)
1.490.183a:
Fonts: - persona: J-L. Dega (geneanet basquercy)
- família: J-L. Dega (geneanet basquercy)
1.490.184:
1.490.185:
1.490.388:
Attesté en 1204, 1209, 1212, 1245 et en Juin 1259.
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt), S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Monstesquiou-2005)03.01.2011
- naixement: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt)
- defunció: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt)
-2861-
- família: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt), S. de L'Espinay (G. Martin-
1.490.389:
Fonts:
Monstesquiou-2005)03.01.2011
1.490.389b:
Cité dans des actes de 1258, 1269, 1270, 1279.
Fonts:
1.490.389c:
Fonts:
1.490.389d:
Fonts:
1.490.390:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier "Histoire de la famille de Bazillac
12 p. Toulouse 5/2001 ) 9 iv 2010
- casament: H. de La Villarmois (Maurice Vuillier/Bazillac) 18 xii 2004
- família: H. de La Villarmois (Maurice Vuillier/Bazillac) 18 xii 2004
1.490.391:
il y eut confusion du nom de son épouse avec un autre Vital de Bazillac dont celui-
ci était le trisaieul ! jblg 9/4/2010; je rétablis donc le fait que son épouse soit une
inconnue
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier "Histoire de la famille de Bazillac
12 p. Toulouse 5/2001 ) 9 iv 2010
- casament: H. de La Villarmois (Maurice Vuillier/Bazillac) 18 xii 2004
- família: H. de La Villarmois (Maurice Vuillier/Bazillac) 18 xii 2004
1.490.391a:
Fonts:
- defunció: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier "Histoire de la famille de Bazillac
12 p. Toulouse 5/2001 ) 9 iv 2010
-2862-
1.490.400:
GAILLARD de Goth (-before 20 Nov 1305). The primary source which confirms his
parentage has not yet been identified. Seigneur de Pierre-Cave et de Nillac. m
(contract Rouillac Jun 1284) BRAIDE de la Barthe, daughter of BERTRAND de la
Barthe & his wife Brunisende --- (-after 1301). Gaillard & his wife had two children
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG - Gascony) 25 iv 2014
1.490.401:
Fonts:
1.490.408:
Membre de la famille Duèze, Pierre Duèze
(† 1326) est le frère de Jacques Duèze qui
fut Pape sous le nom de Jean XXII au XIVe
siècle.
Tour du palais Duèze à Cahors.
La maison familiale du faubourg des

Soubirous à Cahors, sera transformée en
véritable palais par Pierre.
Les Duèze devenus seigneurs de Caraman
(les Terres de Carmain ou Caraman sont
vendues par Bertrand de Lautrec, vente
confirmée par le roi en 1322), délaissent
Cahors et l'on sait que le palais est
abandonné et ruiné dès la fin du 14e
siècle ; les consuls en font démolir une
partie en 1405 pour en utiliser les
matériaux à la réparation du pont Neuf,
mais conservent la tour qui est intégrée aux défenses de la ville.
La reconstruction de la demeure familiale a été menée à bien par Pierre Duèze,

mort en Avignon en 1326 , et elle a sans doute été entreprise après la mort de son
père. On admet habituellement que, pour permettre l'agrandissement du palais,
"le roi et les consuls cédèrent une partie de la citadelle avec une tour fort élevée
qui en faisait partie", cette cession se situant vers 1322. En l'absence de source
sûre, cette date ne peut être retenue, et l'analyse archéologique de l'édifice
prouve que la tour conservée ne peut être une tour de fortification.
Probablement à la mort de Pierre Duèze, le palais échoit à son fils Arnauld Duèze
qui obtient du roi de pouvoir s'en dessaisir au profit d'œuvres pieuses ou de gens
d'église en mai 1332 . Le palais serait donc déjà abandonné par la famille Duèze,
ou en voie de l'être, mais il est encore en bon état en 1364 puisque le prince de
Galles et sa suite y séjournent.
A propos de la vicomté de Caraman

-2863-
Caraman et une vingtaine de villages des environs ont formé une vicomté, puis un
comté autonome en 1484 ; ce comté fut de 1321 à 1670 sous la domination des
descendants de Pierre Duèze frère du pape d’Avignon Jean XXII, puis de 1670
jusqu’à la Révolution de 1789, le comté appartient aux descendants de Pierre-Paul
Riquet, le créateur du canal du Midi, appelé alors le Canal royal du Languedoc.
Sur la famille Duèze, c’est Pierre, frère du pape (né à Cahors) qui achète à
Bertrand de Lautrec, la vicomté de Caraman le 20 mai 1321 moyennant 35 000
"petites livres tournois". Cette vente fut confirmée par le roi en 1322, pour lui et
son fils Arnaud ; un descendant Paul d’Escoullan de Monluc de Foix vend le comté
et la baronnie de Saint Félix le 5 août 1670 à Pierre-Paul Riquet qui devient ainsi
comte de Caraman ; son arrière petit fils Victor de Riquet épouse une Marie Anne
d’Alsace Hénin-Liétard, princesse de Chimay, dont postérité jusqu’à nos jours. En
1981 une princesse de Chimay est venue à Caraman et Revel pour les cérémonies
du Tricentenaire du Canal. Les plus grandes familles de l’aristocratie méridionale
se sont donc intéressées à ces terres si belles de Lanta et de Caraman,
témoignage de leur richesse proverbiale.
Liens externes
 Wikipédia
"Le contrat de vente de la terre de Tulmon [incluant Négrepelisse] passé, le 24

mars 1319, en faveur de Pierre d'Euse [Duèze], porte que la ville et le territoire de
Négrepetisse" J-C de Vaugiraud (Devals : "Nègrepelisse" in "Mémoires de
l'Académie impériale des sciences inscriptions et belles-lettres de Toulouse",
1862, pages 252 à 294) 8 ii 2015
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia, site sur Castelnau de Montmiral et Armorial
historique du diocèse et de l'état d'Avignon, par Henri Reynard-Lespinasse) 2004
- defunció: JBLG : Olivier d'Hauthuille : "Généalogie Duèze-Carmain" H&G n° 135
pp. 131-133 juin 1995
- casament 3: Olivier d'Hautuile : "Génalogie Duèze-Caraman" H&G n° 135 pp.
131-133
- família 3: H.R.Moser/Chesnaye
1.490.409:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Olivier d'Hauthuile : "Généalogie Duèze-
Carmain" H&G n° 135 pp. 131-133 juin 1995) 22 iv 2014
1.490.409b:
Fonts: - persona: G.Marsan (Géné. de Carné - mars 08)
- família: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier "Histoire de la famille Hunaud de
Lanta" fascicule 28 pages Toulouse
1.490.410:
Fonts: - família 1: H.R.Moser/Anselme-II/707, B.Tournier (H. & G.,vol.10 & 11)
- casament 2: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)05.v.2006
-2864-
1.490.411:
Fonts: - família: H.R.Moser/Anselme-II/707, B.Tournier (H. & G.,vol.10 & 11)
1.490.411a:
Mort de la peste en 1348.
Fonts:
Guilhamon)05.v.2006, J-P de Palmas (Vicomtes et vicomtés dans l'Occident
médiéval , par Hélène Debax, 2008)
- família: A.Euverte(Histoire de Sainte-Bazeille par l'abbé Alis)19.iv.2006
1.490.411b:
Fonts:
1.490.411c:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-II/634, N. Danican (La Chesnaye Desbois) 3v05
1.490.411-2a:
Fonts:
- família: B. Savatier (Site Driout genealogie Mortemer)
1.490.432:
Coupure du lien avec Bernard de La Valette-Parisot, son pseudo fils, le 21 xii 2013
(message forum d'A de Maere) Les généalogies des Maisons de (La) Valette et de
La Valette-Parisot qui se trouvaient dans la base roglo (avant le 21xii2013)
diffèraient de celles décrites dans le document suivant :
Documents historiques et généalogiques du Rouergue, 1854, tome II, par

Hippolyte de Barrau
 Généalogie de la maison de Valette : à partir de la page 365.

 Généalogie de la maison de La Valette-Parisot : à partir de la page 375.
"On avait cru jusqu'à ces derniers temps que la maison de La Valette-Parisot était
une branche de la première maison de Valette, formée par Bernard de La Valette-
Parisot, fils puiné de Bérenger de La Valette et d'Hélène de Caumont. Quelques
titres authentiques, découverts à Paris, sont venus détruire cette opinion.
On lit au folio 198 du Registrum Cartarum, ab anno 1362 ad annum 1387 que
Bernard de La Valette-Parisot et Pierre de La Valette-Parisot son fils, furent
anoblis pour services au mois de mars 1382.
On ne voit pas sur quel fondement des lettres de noblesse auraient pu leur être
accordées s'ils avaient été réellement les descendants de cette grande maison.
Mais un acte achève de lever toute incertitude en établissant que la terre de
Parisot ne leur parvint point par transmission héréditaire, mais fut acquise par
eux à titre d'achat."
-2865-
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Amaury de Maere citant : Documents historiques , par
Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
- família: R.Sekulovich (pierfit) 11 iv 2013
1.490.433:
Fonts:
- persona: M.Bacot (pierfit)
- família: R.Sekulovich (pierfit) 11 iv 2013
1.490.434:
Fonts:
1.490.435:
Fonts:
1.490.440:
Fonts:
1.490.441:
Fonts:
1.490.592:
Fonts:
1.490.593:
Fonts:
1.490.648:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Florence Humblot citant Jean Gallian) 29 viii 2013
- família: J-P.de Palmas (Florence Humblot citant Jean Gallian) 29 viii 2013
1.490.649:
Doute sur les parents de Garsinde - jpp (le 30 viii 2013) :
Jean Gallian, la dit mariée vers 1275 avec Imbert d'Oraison.
-2866-
Le site Roufy, quant à lui, la marie vers 1215 avec le même Imbert.
Dans le premier cas elle pourait être la fille de Boniface V.
Dans le second cas elle serait plutôt la fille de Boniface IV, et d'une première
union de ce dernier.
Cette dernière hypothèse a été indiquée en "parent possible" en attendant des

preuves tangibles.
Fonts:
1.490.650:
ELZEAR de Sabran (-after 1280). He sold his one-eighth share in the seigneurie
dÚzès to the bishop of Uzès in 1280.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
- família: O.AUFFRAY, J-P.de Palmas (Florence Humblot citant : Jean Gallian) 29
viii 2013
1.490.651:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY
- família: O.AUFFRAY, J-P.de Palmas (Florence Humblot citant : Jean Gallian) 29
viii 2013
1.490.651a:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY, JB.de La Grandiere (Florian Mazel La Noblesse et l'Eglise
de Provence p 650 (Sabran) CTHS Villeurbanne 2002) 30 i 2018
- família 1, família 2: O.AUFFRAY
1.490.651b:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY, J-P de Palmas (Les dynasties célèbres) v2009
1.490.651c:
Fonts:
1.490.651d:
Fonts:
1.490.651e:
Fonts:
-2867-
- casament: C.Chéneaux (Romée de Villeneuve)
- família: JB.de La Grandiere (Edme de Juigné de Lassigny "Histoire généalogique
de la maison de Villeneuve", 1995) 6 v 2016
1.490.651f:
Fonts:
- família: O.AUFFRAY, H.deRiberolles(Base Tournemire), JB.de La Grandiere
(Florian Mazel in La Noblesse et l'Eglise de Provence p. 619 -d'Agoult-Sault- CTHS
Villeurbanne 2002) 7 vii 2012
1.490.651g:
Fonts:
- persona: J-Louis Dega (Lionel d'Albiousse)
- família: O.AUFFRAY, J-Louis Dega (Lionel d'Albiousse)
1.490.651i:
Mère de Sainte-Roseline de Villeneuve (Histoire religieuse de Bargemon. J.
SAUZEDE. 1868)VI2011. Paul de Boisgelin.
Fonts:
- persona: Paul de Boisgelin (Histoire religieuse de Bargemon. J. SAUZEDE.
1868)VI2011, JB.de La Grandiere ( pour fusion Cécile / Sébille.. ) 6 iv 2016
1.490.652:
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Descendance de Dominique Richard de Clevant)
- família: L.B. de Rougé (Descendance de Dominique Richard de Clevant)
1.490.653:
Fonts:
- naixement: O.Guionneau (message de Florence Blanchet selon le site de Jean
Gallian) 8 X 13
- defunció: O.Guionneau (message de Florence Blanchet selon le site de Jean
Gallian) 8 X 13
1.490.653a:
testa le 10 janvier 1359.
Auteur des tiges:
 de Pontevès-Flassans-Carcès, éteints en 1656;

 des seigneurs de Bargème et des co-seigneurs d'Amirat, existante sous le nom
de Sabran-Pontevès divisée en Ducale et Comtale;
 des seigneurs du Muy, éteinte vers 1540;
 des seigneurs du Castelar, éteinte en 1657;
 des seigneurs d'Avaye et de la Garde, éteinte vers 1735.
-2868-
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Florian Mazel La Noblesse et l'Eglise de Provence p
619 (d'Agoult-Sault) CTHS Villeurbanne 2002) 6 v 2016
- família 2: Benoit de Crevoisier (Histoire de la famille de Saint-Chamas) 22 vii
2006
1.490.654:
 Aups 83
 Baudinard-sur-Verdon 83
 Aiguines 83
Fonts:
- persona: O.Martel (site podeor),, JB.de La Grandiere (Emile Fernbach réponse à
99.II.392 BLACAS (de) H&G n° 174 p. 164 Paris mars 2005) 3 iv 2016
- família: O.Martel (site podeor),, J-L. Dega
1.490.655:
Fonts:
- persona: O.Martel (site podeor),
- família: O.Martel (site podeor),, J-L. Dega
1.490.655a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (A.Walsh forum 20/2/2012 + Emile Fernbach
réponse à 99.II.392 BLACAS (de) H&G n° 174 p. 164 Paris mars 2005 ) 24 ii 2012
1.490.655b:
Fonts:
- família: C.Faucherand (AD 83) 14 ii 2015
1.490.655d:
Fonts:
- família: YH ( données de Jean-Marie Besson )
1.490.664:
Fonts:
- família: H. de La Villarmois (Lachesnaye Desbois) 24 vii 2003
1.490.665:
Fonts:
- família: H. de La Villarmois (Lachesnaye Desbois) 24 vii 2003
1.490.880:
Prénommé Simon dans geneanet (gdethoury au 27ix2007).
Prénomé Amblar Ier par Louis Baritou (Cheylade).
-2869-
D. Martres, le 02.xii.2007.
Armand Ier de Dienne, seigneur de Dienne et de Chavagnac est le premier cité

pour la filiation ininterrompu dans les preuves de Malte de 1778, du commandeur
Jean Louis de Dienne. Il est qualifié du titre de chevalier et il est dit qu'il fut le
père d'Armand II qui suit. il avait épousé Yolande de Murat dame de Cheyland (?).
Guillaume de Rancourt de Mimérand sur forum 15 vi 2013
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle), M.Rérolle (Remacle, III, p. 10 - 8/12/06)
1.490.881:
Fonts:
1.490.881b:
Fonts:
- persona: H.de Riberolles(Remacle)
- casament: A Brabant (site jose) 30.10.05
1.490.881c:
Fonts:
- persona: D.Martres (Louis Baritou "Cheylade") 02.xii.2007
- casament: D.Martres (Louis Baritou "Cheylade") 02.xii.2007
- família: D.Martres (Louis Baritou "Cheylade") 02.xii.2007
1.490.882:
Fonts:
- persona: E.Polti (http://www.multimania.com/pierfit/asc_chtn.htm)-YRomain
(3.12.06):les Piis et les Marcellus (1998)
- família: E.Polti (http://www.multimania.com/pierfit/asc_chtn.htm)
1.490.883:
Fonts:
- persona: http://geneweb.inria.fr/tournemire?
- família: E.Polti (http://www.multimania.com/pierfit/asc_chtn.htm)
1.490.883a:
Fonts:
- persona: E.Polti (http://www.multimania.com/pierfit/asc_chtn.htm)
- naixement: J-P de Palmas ( Geneanet : base "pierfit" )
- casament: A.Brabant (site deret ) 24.07.05
- família: J-P.de Palmas (Base Geneanet pierfit) 26 ii 2015
1.490.896:
Ranulfe fût vicomte d'Aubusson à la mort de son frère aîné alors sans
descendance masculine en vie. Vers 1264 il a vendu la vicomté au comte de La
-2870-
Marche, se réservant La Borne à Blessac , Le-Monteil-au-Vicomte , La Feuillade et
Pontarion, seigneuries toutes localisées dans l'actuel département de la Creuse.
Fonts:
- persona: Guillaume de Paysac
- casament: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit) 28 i 2005
- família: Guillaume de Paysac
1.490.897:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Anselme-V/327
- casament: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit) 28 i 2005
- família: Guillaume de Paysac
1.490.897a:
Fonts:
1.490.897c:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
- família: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
1.490.897d:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
1.490.897e:
Nadaud donnant comme information que Pierre de Saint-Georges, Bertrand de La
Tour, Renaud d'Aubusson descellerent le testament de Renaud d'Aubusson, leur
frère et beau-frère, on en déduit que Ne d'Aubusson était fille de Ranulfe et
Séguine de Pierrebuffière.
Fonts:
- família: G.Hazard (Nadaud T2) vii2009
1.490.904:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/765
- família: H.R.Moser/EuSt-III/765; H. de La Villarmois (Nadaud IV) 04 vi 2003
1.490.905:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-III/765; H. de La Villarmois (Nadaud IV) 04 vi 2003
1.490.905a:
-2871-
En 1300, Ebles VII accorda à la ville de Neuvic une charte de franchise dont les
termes furent repris en 1345 par Bernard vicomte de Ventadour instituant
l'administration locale.
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/767, J-Louis Dega (Archives du château de
Bruniquel) 27 xi 2017
- família 1: H.R.Moser/EuSt-III/767; H.de La Villarmois (Nadaud IV) 4 vi 2003
- família 2: J-Louis Dega (Archives du château de Bruniquel) 27 xi 2017
1.490.905c:
Attention : Le 16 xi 2016 j'ai décroché Dauphine de Ventadour :
1° de ses pseudos parents Ebles V de Ventadour X Marie de Turenne
2° de son pseudo époux Guillaume I de Mercœur
En effet Dauphine de Ventadour n'est pas la même personne que Alesie de
Ventadour X Guillaume I de Mercœur mais une autre Ventadour d'une autre
génération, fille de Ebles VII de Ventadour X Blanche de Châteauneuf et elle s'est
mariée avec Guillaume II de Mercoeur, descendant (avec des pointillés) de
Guillaume I de Mercoeur.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES III-IV, Tafel 765 et 767, Ventadour et ES XIV, Tafel
103, Mercoeur) 16 xi 2016
- família: J-C de Vaugiraud (ES III-IV, Tafel 765 et 767, Ventadour et ES XIV, Tafel
103, Mercoeur) 16 xi 2016
1.490.906:
Fonts:
- persona: Aurejac, JB.de La Grandiere (Jean-Louis Ruchaud : GLM XVIII, Maumont
pp 283-370, 2011) 19 ix 2014
1.490.918:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (in Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse
- família: J-P de Palmas (in Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse
1.490.919:
Fonts:
1.490.928:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 12/08/05,JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
1.490.929:
-2872-
Fonts:
- naixement: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
1.490.929b:
Fonts:
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, Matthieu de Salins (" La Maison de
Banyuls de Montferré et ses Alliances, Tome II " par Marie-Suzanne Pollet, née
Guyot de Salins) 17 V 2009
-2873-
Generacion 22
2.963.456:
GUILLAUME DE SAINT MAURICE Ier du nom, Seigneur de Montpaon, présumé
fils de Raymond, consentit une vente en 1255 et reçut quittance en 1260 des
hommes de Montpaon et du Clapier Raymond de Borsac de Saint André de Tesc,
lui fit hommage en 1272, pour tout ce qu il tenait en franc fief dans la juridiction
du château de Montpaon. Guillaume de Saint Maurice vivait encore en 1278
comme il conste d'après un acte passé ladite année au château de Sorgues et
d'après lequel il donne pouvoir à son fils Guillaume de retirer les seigneuries de
Laval et d'Arbussel, tenues par l'abbé de Joncels ainsi que le château de Saint
Caprasi. Il eut entre autres 2 enfans Guillaume IIe ci après et Saure de Saint
Maurice, religieuse à Nonenque.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas
2.963.457b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Barrau, Documents historiques et généalogiques, tome II,
pp.161-167) 2iii2011
2.963.528:
Supposé être le père de Hugues
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Pierre de Raffin, généalogie Raffin de la Raffinie) 5 x
07
- família: Renaud de Paysac (Pierre de Raffin, généalogie Raffin de la Raffinie) 5 x
07
2.963.529:
Fonts:
- família: Renaud de Paysac (Pierre de Raffin, généalogie Raffin de la Raffinie) 5 x
07
2.963.529a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Mejane et Pelat, bulletin CGR n° 50)
2.963.529c:
Fonts:
2.963.529d:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Mejane et Pelat, bulletin CGR n° 50)
2.963.529e:
-2874-
Fonts:
- família: J-L. Dega (Mejane et Pelat, bulletin CGR n° 50)
2.963.776:
Fonts:
2.963.777:
Fonts:
2.963.808:
Fonts:
- família: J-L. Dega, A. de Maere 13.11.2005
2.963.809:
Fonts:
- família: J-L. Dega, A. de Maere 13.11.2005
2.963.856:
Desprez de Montpezat Poitou (Niort) D' or à trois bandes de gueules au chef d'
azur, chargée de trois étoiles d' or. Maintenue noble 5 septembre 1667, 29 avril et
22 juin 1715.
Fonts:
- persona: O.Martel (généalogie familiale)
- família: O.Martel (généalogie familiale)
2.963.857:
Soeur et héritière de Gaillard, seigneur de Montpezat (en Quercy)
Fonts:
- persona: O.Martel (gnéalogie familiale)
- família: O.Martel (généalogie familiale)
2.963.857b:
Fonts: - persona: J-L. Dega (Vuillier)
2.963.896:
2.963.897:
2.963.897b:
2.963.900:
-2875-
Fonts:
- família: Jean-Louis Dega (message d'Amaury de Maere sur le forum) 17 xi 2016
2.963.901:
Fonts:
- família: Jean-Louis Dega (message d'Amaury de Maere sur le forum) 17 xi 2016
2.963.901a:
Fonts:
2.963.901b:
Fonts:
2.963.901d:
Fonts:
- persona: Jean-Louis Dega (message d'Amaury de Maere sur le forum) 17 xi 2016
2.963.901e:
Voir http://mondenard.canalblog.com/archives/2013/02/20/27879853.html
Fonts:
- persona: Jean-Louis Dega (message d'Amaury de Maere sur le forum) 17 xi 2016
2.963.902:
Fonts:
2.963.903:
Fonts:
2.963.903a:
Fonts:
2.963.968:
Fonts:
2.963.969:
Fonts:
-2876-
2.965.696:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Florence Humblot citant : Bulletin hist.& scient. de
2.965.697:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Florence Humblot citant : Bulletin hist.& scient. de
2.965.697b:
2.965.984:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
2.965.985:
Fonts:
2.965.990:
La seigneurie de Poussan.Le jugement de Monsieur de Bezons atteste la présence
en 1300 de trois co-seigneurs de Poussan, issus des familles de Ricard, de Crussol
et de Lévis. Pierre de Ricard consentit deux dénombrements ou hommages en
faveur du Roi de Majorque, le 12 juin 1312 et 12 avril 1322.(Armorial de la
noblesse du Languedoc Généralité de Montpellier - T1 - Louis de la Roque). Les
armoiries de la famille de Ricard sont : "de pourpre à une rose d'or, au chef d'azur
à une croix d'or et à un croissant d'argent".
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Poussan sur wikipedia) 6 vi 2013
- família: J-L. Dega, F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
2.965.991:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
- família: J-L. Dega, F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
2.965.991a:
2.966.528:
JB de La Grandière 18/7/2013 Une référence solide : Florian Mazel "La Noblesse
et l'Eglise de Provence" p 651 (Adhémar) CTHS Villeurbanne 2002 (les parents
donnés par wiki sont déclassés Il manquait simplement un degré..
-2877-
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (site Gros), J-P de Palmas (wikipedia) i2010
- família 2: F d'Avigneau (site Gros), J-P de Palmas (in Cartulaire de la
Commanderie de Richerenches de l'Ordre du Temple (1136-1214))
2.966.529:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (site Gros), JB.de La Grandiere ( Florence Humblot
proposition pour parents possibles : 2013-07-18 14:16:36 ) 18 vii 2013
- defunció: jblg qui corrige vers 1140 en >1164 avec FMJ
- família: F d'Avigneau (site Gros), J-P de Palmas (in Cartulaire de la Commanderie
de Richerenches de l'Ordre du Temple (1136-1214))
2.966.529-1a:
GUILLAUME HUGUES [II] de Monteil (-[24 Aug 1156/5 Sep 1157]). The primary
source which confirms his parentage has not yet been identified. m --- de
Romestang, daughter of JOFFRED de Romestang & his wife ---. The primary
source which confirms her parentage and marriage has not yet been identified.
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Florian Mazel La Noblesse et l'Eglise de Provence p
651 (Adhémar) CTHS Villeurbanne 2002) 18 vii 2013
2.966.532:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer), G.Marsan
(A.F.Marsan-Lapierre),JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
- família: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014
2.966.533:
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon,JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
2x2014
2.966.533a:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014
2x2014
2.966.533d:
Fonts:
2.966.533e:
-2878-
sans postérité
Fonts:
nom") 2x2014
2.966.533f:
sans postérité
Fonts:
nom") 2x2014
2.966.534:
Guilhem d'Aumelas ou Guillem d'Omelas est mort avant mai 1156. Il se fait
enterrer à Gellone.
Guilhem d'Aumelas (ou Omelas) est le deuxième fils de Guilhem V de Montpellier
et la seigneurie d'Aumelas a été détaché de celle de Montpellier pour lui donner
un fief. C'est un bon chevalier, dit Nostradamus, vaillant aux armes[1]. Il combat
les Sarrasins et est par son mariage le premier prince d'Orange qui porte le
prénom de Guillaume après peut-être Guillaume d'Orange, dit Guillaume au Court
Nez, personnage légendaire, un des compagnons de Charlemagne, célébré dans
les chansons de geste du Moyen Âge.
Biographie
Guilhem d'Aumelas ou d’Omelas est le fils minor de Guilhem V de Montpellier qui
prend la croix et participe à la première croisade sous la bannière du comte
Raymond IV de Toulouse. Il s'illustre notamment lors de la prise de la petite ville
syrienne de Maara en 1098. Il participe à la prise de Majorque sur les Maures en
1114 aux côtés du comte Raimond-Bérenger III de Barcelone. Sa mère,
Ermessende est la fille du comte Pierre de Melgueil. Guilhem hérite du château et
des terres d'Aumelas tout près d'Aniane en 1121[2] et d'importants domaines dans
le diocèse de Maguelonne[3]. En 1121, Guilhem d’Aumelas devient aussi seigneur
de Saint-Pons.
-2879-
Château des Montpellier à Aumelas.
Guillaume participe avec son père à la prise de Majorque sur les Maures en 1114
aux côtés du comte Raimond-Bérenger III de Barcelone et va en Terre Sainte.
En 1129, Elzéard de Castries et son épouse Agnès vendent la 4e partie de

Vendémian à Guillem d'Aumelas et des terres du Pouget pour 700 sols. Il est par
son mariage le premier prince Guillaume d'Orange.
Rogerius de Lunacio approuve la donation de Guilhem d'Aumelas lors de la

fondation de l'abbaye de Valmagne en 1138. Les fondateurs du monastère de
Valmagne sont Raymond de Trencavel, vicomte de Béziers, Guillem Frezol,
Guillem d'Omelas, frère de Guilhem VI de Montpellier, Guillem de Montbazin,
Adélaïde de Sainte-Eulalie, et quelques autres seigneurs. Les chartes de
fondation, de l'an 1138, sont rapportées en partie dans l'Histoire générale du
Languedoc, et dans la Gallia Christiana. D'après ces chartes, les seigneurs que
nous avons nommés donnent, pour le salut de leur âme et de celles de leurs
parents[4].
En mai 1149, nous avons l’hommage d'Amalric de Pignan à Guillem d'Omelas pour
le château de Pignan[5].
Guilhem d'Aumelas fait son testament au mois de mars de l'an 1156[6]. Il est mort
avant mai 1156. Il se fait enterrer à Gellone.
Mariage et descendance
Thiburge d'Orange pendant l'absence de son père, est nommée comtesse

d'Orange dès 1115. Thiburge crée la principauté d'Orange, vassale du Saint
Empire romain germanique, comprenant Orange, Jonquières et Courthézon.
Elle se marie vers 1103 ou 1105 à Giraud Adhémar de Monteil, ou de

Montélimar[7], ce qui signifie Monteil-Adhémar[8].
Guilhem d'Aumelas épouse en 1129/1130 Thiburge d'Orange[9]. Ils ont trois

enfants :
 Raimbaut d'Orange, troubadour, hérite le territoire de Aumelas et

Orange.
 Tiburgette mariée en 1147 à Adhémar de Murviel
 Thiburge II d'Orange, Na Tibors de Sarenom (peut-être Sérignan-du-
Comtat), troubadour comme son frère[10], petite-fille du comte Rambaud
II d'Orange, épouse de Geoffrey de Mornas, puis de Bertrand des Baux.
Quand elle meurt en 1150, ses fils sont encore très jeunes et elle les confie à son
beau-fils Bertrand des Baux[11].
-2880-
1. .↑ Ce pays de Montpellier, Par Gaston Baissette, Publié par Causse,

1970, p.57.
2. .↑ Cahiers de civilisation médiévale, Par Université de Poitiers Centre
d'études supérieures de civilisation médiévale, Publié par Université de
Poitiers, Centre d'études supérieures de civilisation médiévale, 1999,
p.151 et Les troubadours et l'État toulousain avant la Croisade (1209):
actes du colloque de Toulouse, 9 et 10 décembre 1988, Par Arno Krispin,
Centre d'étude de la littérature occitane (France), Publié par CELO,
1994, p.178.
3. .↑ Anthologie des troubadours 10-18 (Paris): édition bilingue, Par Pierre
Bec, Gérard Gonfroy, Gérard Le Vot, Publié par Union générale
d'éditions, 1979, p.147.
4. .↑ Encyclopédie théologique, Publié par J.P. Migne, 1851, 44, p.1058.
5. .↑ A.D. Hérault, G 1123, noté registre A, folio 248 r° - édité dans le "
Cartulaire de Maguelone ", de J. ROUQUETTE et A. VILLEMAGNE, t. I,
Montpellier, 1912, charte n° LXXVIII, pages 158 à 159.
6. .↑ Genèse des lignages méridionaux, Par Claudie Duhamel-Amado, Publié
par CNRS-Université de Toulouse-Le Miraeil, 2001, v.1, p.343.
7. .↑ LDP-M-7-5.
8. .↑ Territoires, seigneuries, communes les limites des territoires en
Provence actes: les limites des territoires en Provence, Par France
Journées d'histoire de l'espace provençal 3èmes Mouans-Sartoux, Centre
d'Activités Culturelles Occitanes, Centre d'Activités Culturelles
Occitanes, Publié par Centre régional de documentation Occitane., 1987,
p.20.
9. .↑ Annales des Alpes: Recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes,
Par Archives départementales des Hautes-Alpes, Publié par Archives
départementales, 1901, Notes sur l'article: v.5-6, p.122.
10. .↑ The Women Troubadours, Par Magda Bogin, Meg Bogin, Edition:
illustrated, Publié par Norton, 1980, p.62
11. .↑ cf son testament - J de Font-Reaulx, Le testament de Thiburge
d'Orange et la cristallisation de la principauté, in Mélanges Raoul
Busquet, Marseille 1957, p 41) - ES III 762: Raimbald 1096 comte
d'Orange, 1108 potestas Niciae (vicomte de Nice), 1096 Führer des 1.
Kreuzzuges, um 1075/1108, + (1121) , Ancestry: AHP, Provence-Orange:
P: Bertrand Raimbaud, Poly: M: Azalais (cf. file Tiburge).
12. .↑ Revue générale du droit, de la législation et de la jurisprudence
en France et à l'étranger, Publié par Fontemoing & Cie, 1896, 20e
année, p.36.
Foundation for Medieval Genealogy
GUILLAUME de Montpellier "d'Omelas" (-[8 Mar/15 Jun] 1156). Under his

testament dated 1121, "Guillelmi Montispessulani, filii Ermeniardis" bequeathed
the castra of Aumelas, Montarnaud, Popian, Saint-Pons[-de-Mauchiens] and
Maderns (ruins in Fontès) (all Hérault) to "Guillelmo filio meo minori"[1503].
Pierre abbé d'Aniane granted property rights to "Guillelmo [domino] de Omellatis
filio Guillelmi de Montepussulano" by charter dated 1122[1504]. He is named with
his parents in a charter dated 1124 "domine mee Hermesendi, uxori Guillelmi de
-2881-
Monte pessulano, et filio tuo Guillelmus Homelatis…"[1505]. "Willelmus de
Omelacio" founded the abbey of Valmagne by charter dated 1138[1506]. The
testament of “Guillelmus de Omellacio”, dated 8 Mar 1156 and opened 15 Jun
1156, bequeathes “castrum de Montebasenovillam de sancto Georgio de Cornone-
sicco, et castrum de Mazernis, et castrum de Monte-Adino“ to “filiæ meæ
Tiburgiæ uxori Ademari de Muroveteri“ (specifying that she should leave
“castrum de Montebaseno“ to “filio suo Sicardo“ and if he dies early to “Raimundo
Atoni filio suo“), “villam de Muroveteri“ to “alii filiæ meæ Tiburgæ, uxori
quondam Gaufridi de Mornas“, “castro de Omellaset castro Montis-Arnaldicastro
de Popiano et castro de Pojet et castro sancti Poncii et castro de Frontiniane et
castro de Villanovaet honore de Valleet castro de Piniano“ to “Raimbaldum filium
meum“, “usumfructum honorisde Valle“ to “matri meæ Ermesendi“[1507].
m (after 1118) as her second husband, TIBURGE d'Orange, widow of GERAUD
Adhémar, daughter and heiress of RAIMBAUD Comte d'Orange & his wife --- (-
after 7 Nov 1136). The primary source which confirms her parentage and first
marriage has not yet been identified. Heiress of Orange. Her second marriage can
be deduced from the testament of Tiburge princesse d'Orange which is dated
[1146?], and names Bertrand de Baux husband of her daughter Tiburge, his son
Guillaume V, her son Raimbaud IV, and Adhemar de Murvieux husband of her
daughter Tiburgete[1508], read together with the testament of her second
husband which names the same children[1509].
[1503] Liber Montpellier fol 46-46v, no. XCIV, p. 172. [J.-C. Chuat]
[1504] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et

Diplômes, 479.II, col. 902.
[1505] Liber Montpellier, CCCCLXXXVI. [J.-C. Chuat]

Diplômes, 539.I, col. 1027.
[1507] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CLXII, p. 480.
[1508] Barthélemy, L. (ed.) (1882) Inventaire chronologique des chartes de la

famille de Baux ("Baux Chartes") 41, p. 10, citing Mss du Dr Martial Millet,
d'Orange.
[1509] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CLXII, p. 480
Liens externes wikipedia

Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (d'après C. Duhamel-Amado "Genèse des lignage
méridionaux") 28-3-2005, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 23 ii
2011
- defunció: J-P de Palmas (testa le 8 iii 1156, ouvert le 5 vi 1156)
- família: C. Saint-Félix (d'après C. Duhamel-Amado "Genèse des lignage
méridionaux") 28-3-2005
-2882-
2.966.535:
Thiburge d'Orange pendant l'absence de son père, est nommée comtesse
d'Orange dès 1115. Thiburge crée la principauté d'Orange, vassale du Saint
Empire romain germanique, comprenant Orange, Jonquières et Courthézon.
Quand elle meurt en 1150, ses fils sont encore très jeunes et elle les confie à son
beau-fils Bertrand des Baux[19].
Elle se marie vers 1103 ou 1105 à Giraud Adhémar de Monteil, ou de

Montélimar[20], ce qui signifie Monteil-Adhémar[21]. Selon le Nobiliaire universel
de France, Giraud Adhémar de Monteil est le frère du fameux Adhémar de
Monteil, évêque du Puy, légat du Saint-Siège, en Orient[22]. Giraud Adhémar
possède le comté, depuis principauté d'Orange ; toutes les terres, entre le Rhône
et la Mer, appelées Terres de l'Empire ; enfin, plus de trente villages ou villes,
entre, lesquelles celle de Monteil, en Dauphiné, depuis appelée Monteil[23]. Son
nom est d'ailleurs Giraud ou Géraud Adhémar d'Orange, mais s'il est réellement
prince d'Orange très peu de temps et un membre de la Maison d'Adhémar, son
lien de parenté avec Adhémar de Monteil n'est pas vraiment connu, selon d'autres
historiens et généalogistes.
Ils ont peut-être quatre enfants :
 Pierre
 Gérard
 Étienne, chevalier du Temple
 Guillaume, prince d'Orange
Puis, veuve, elle se remarie à Guillaume d'Aumelas. Guilhem d'Aumelas, minor de

Guilhem V de Montpellier hérite de la seigneurie d'Aumelas tout près
d'Aniane[24]. Guilhem d'Aumelas participe avec son père à la prise de Majorque
sur les Maures en 1114 aux côtés du comte Raimond-Bérenger III de Barcelone et
va en Terre Sainte. Il épouse en 1129/1130 Thiburge d'Orange[25]. Il est le
premier Guillaume d'Orange et fait son testament au mois de mars de l'an
1156[26].
 Raimbaut d'Orange, troubadour, hérite le territoire de Aumelas et

Orange.
 Tiburgette mariée à Adhémar de Murviel
 Thiburge II d'OrangeThiburge II d'Orange, Na Tibors de Sarenom,
troubadour comme son frère, petite-fille du comte Rambaud II d'Orange,
épouse Bertrand Ier des Baux.
Références
 19.↑ cf son testament - J de Font-Reaulx, Le testament de Thiburge

d'Orange et la cristallisation de la principauté, in Mélanges Raoul
Busquet, Marseille 1957, p 41) - ES III 762: Raimbald 1096 comte
d'Orange, 1108 potestas Niciae (vicomte de Nice), 1096 Führer des 1.
-2883-
Kreuzzuges, um 1075/1108, + (1121) , Ancestry: AHP, Provence-Orange:
P: Bertrand Raimbaud, Poly: M: Azalais (cf. file Tiburge).
 20.↑ LDP-M-7-5.
 21.↑ Territoires, seigneuries, communes les limites des territoires en
Provence actes: les limites des territoires en Provence, Par France
Journées d'histoire de l'espace provençal 3èmes Mouans-Sartoux, Centre
d'Activités Culturelles Occitanes, Centre d'Activités Culturelles
Occitanes, Publié par Centre régional de documentation Occitane., 1987,
p.20.
 22.↑ Monuments de la Monarchie française, par le P. Montfaucon,
Histoire des Croisades, et plusieurs autres auteurs, cités par Nobiliaire
universel de France: ou Recueil général des généalogies historiques des
maisons nobles de ce royaume, Par Saint-Allais (Nicolas Viton), Ange
Jacques Marie Poisson de La Chabeaussière, Jean-Baptiste-Pierre Jullien
de Courcelles, de Saint-Pons, 1816, v.7, p.484.
 23.↑ Adhémar, et par corruption Montélimar, était une souveraineté, au
rapport de Nostradamus, Histoire de Provence, page 162, art. 7, pag.777,
et de plusieurs autres auteurs.
 24.↑ Cahiers de civilisation médiévale, Par Université de Poitiers Centre
d'études supérieures de civilisation médiévale, Publié par Université de
Poitiers, Centre d'ét́udes supérieures de civilisation médiévale, 1999,
p.151. et d'importants domaines dans les diocèses de Montpellier et de
Maguelonne Anthologie des troubadours 10-18 (Paris): édition bilingue,
Par Pierre Bec, Gérard Gonfroy, Gérard Le Vot, Publié par Union
générale d'éditions, 1979, p.147.
 25.↑ Annales des Alpes: Recueil périodique des Archives des Hautes-
Alpes, Par Archives départementales des Hautes-Alpes, Publié par
Archives départementales, 1901, Notes sur l'article: v.5-6, p.122
 26.↑ Genèse des lignages méridionaux, Par Claudie Duhamel-
Amado, Publié par CNRS-Université de Toulouse-Le Miraeil, 2001,
v.1, p.343.
TIBURGE (-after [1146]). The primary source which confirms her parentage and
first marriage has not yet been identified. Heiress of Orange. Her second
marriage can be deduced from the testament of Tiburge princesse d'Orange which
is dated [1146?], and names Bertrand de Baux husband of her daughter Tiburge,
his son Guillaume V, her son Raimbaud IV, and Adhemar de Murvieux husband of
her daughter Tiburgete[1099], read together with the testament of her second
husband which names the same children[1100].
m firstly (before 12 Oct 1103) GERAUD Adhémar, son of ---.
m secondly (after 1118) GUILLAUME d'Omelas, son of GUILLAUME [V] Seigneur

de Montpellier & his wife Ermesende de Melgueil (-before 1161).
Fonts:
-2884-
méridionaux") 28-3-2005, J-P de Palmas (wikipedia) 25 viii 2011
- família 1: J-P de Palmas (wikipedia et Florian Mazel in La Noblesse et l'Eglise de
Provence) 25 viii 2011
- família 2: C. Saint-Félix (d'après C. Duhamel-Amado "Genèse des lignage
2.966.535c:
Raimbaut d'Orange (Raimbaut d'Aurenja en occitan, nom complet seingner
d'Aurenga e de Corteson e de gran ren d'autrez castels), né entre 1140 et 1145 à
Orange et mort le 10 mai 1173 à Courthézon, est le plus ancien des troubadours
de Provence. On lui doit plusieurs poésies lyriques et un sirventès. Il a aussi écrit
une tenson avec la Comtesse de Die.
Au XIIe siècle, le château appartient au troubadour Raimbaut d'Orange et il s'y

tient des Cours d'amour.
Fonts:
méridionaux") 28-3-2005, J-P de Palmas (wikipedia) i2010
2.966.535-1a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 25 viii 2011
2.966.535-1b:
Fonts:
2.966.535-1c:
Fonts:
2.966.535-1d:
Il n'est pas cité dans le testament de sa mère Thiburge en 1150, ainsi que dans
celui du second époux de cette dernière en 1156.
On peut donc penser qu'il est issu de la première union de Thiburge de Nice et de
Giraud Adhémar de Monteil.
C'est la filiation que donne :
 Florian Mazel in La Noblesse et l'Eglise de Provence, p. 651 - Adhémar,

2002
Il ne deviendrait prince d'Orange, qu'après la mort de son demi-frère Rambaud le

troubadour, en 1173.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Christophe de Montvallon citant : Généalogie historique
-2885-
de la Maison de Sabran-Pontevès, Firmin-Didot, Paris 1897 et Florian Mazel) 25
viii 2011
- família: J-P de Palmas (Christophe de Montvallon citant : Généalogie historique
de la Maison de Sabran-Pontevès (Firmin-Didot, Paris 1897) et Florian Mazel ) 25
viii 2011
2.966.536:
Attesté en 1141 et 1157.
SICARD [IV] (-[1159/60]). Vicomte de Lautrec. "Rogerius vicecomes et Sicardus

vicecomes" made an agreement dated 1141[299]. "Sicardus filius Avæ fæminæ"
swore allegiance to "Rogerio filio Cæciliæ" relating to "castelloMontlauder" by
charter dated 1 Aug 1142[300]. “Sicardus de Lautrec vicecomes” donated
property to Candeil by charter dated 1149[301]. “Sichards de Laurag fils dÁva”
swore allegiance to "Raimuns Trencavel vescons de Beders fils de Cecilia
vescomtesse et…Roger fils de Raimuns Trencavel et de Saura comtesse" for "lo
castel de Montlauder" by charter dated 16 Jul 1152[302]. “Sicardus de Laurac et
uxor mea” donated property to the abbot of Candeil by charter dated 1157, signed
by “Sicardus lo vescoms de Lautrec“[303]. “Sicardus filius Avæ” swore allegiance
to “Raymundo Trencavelli filio Cæciliæ vicecomitissæ etRogerio filio R.
Trencavelli et Sauræ comitissæ“ by charter dated 1158[304]. “Sicardus vicecomes
Lautricensis” donated property to “S. Pontio", to enable "filium meum
Raymundum“ to become a monk there, by charter dated 1159, signed by "Sicardi
filii sui"[305].
m --- (-after 1157). “Sicardus de Laurac et uxor mea” donated property to the
abbot of Candel by charter dated 1157, signed by “Sicardus lo vescoms de
Lautrec“[306]
Source : ( Fundation for Medieval Genealogy )
References
 [299] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CXI,
p. 434.
 [300] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CXII,
p. 435.
CLXXVII, p. 490.
 [302] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CL, p.
468.
CLXVIII, p. 486.
CLXXIV, p. 489.
CLXXVII, p. 490.
CLXVIII, p. 486.
-2886-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Philippe Zalmen ben Nathan « Vicomtes de Lautrec »
2002, amendé par C . Settipani 2004 et H .Débax + D.Panfili 2008) xi 2009
2.966.537:
Fonts:
2.966.537a:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05,JB.de La Grandiere (Maurice
Vuillier comtes de Toulouse et vicomtes de Lautrec 107 pages Toulouse sept;2005
) 26 x 2009
2.966.537c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier comtes de Toulouse et vicomtes de
Lautrec 107 pages Toulouse sept;2005 ) 27 x 2009
- família: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier comtes de Toulouse et vicomtes de
Lautrec 107 pages Toulouse sept;2005 ) 27 x 2009
2.966.538:
RAYMOND "Trencavel" de Béziers (-murdered 15 Oct 1167). “Bernardus-Attone
vicecomes Carcassonæ” swore allegiance to the abbot of la Grasse, in the
presence of “filiorum meorum Rogerii et Trenquavilli…”, by charter dated
1110[76], which suggests that Raymond Trencavel was the younger of the two
sons named in the document. “Bernardus Atonis vicecomes et uxor eius Cæcilia et
filii illorum Rogerius et Raymundus” made an agreement with “Lupete de Biterris
et cum fratre suo Bernardus” by charter dated 2 Jun 1114[77]. Vicomte de
Béziers, d'Agde, d'Albi, de Carcassonne et de Razès. The Chronicon Gaufredi
Vosiensis records the visit to Jerusalem of "Vicecomes Biturrensis Raymundus
cognomento Trenchavel", stating that he was "frater Rogerii, qui prole caruit, et
Bernardis cognomento Atonis"[78]. The first testament of “Bernardus-Atonis
vicecomes Carcassonæ”, dated 1118, names “uxore meæ Cæciliæ”, leaves
“Carcassonam et Carcassez et Redas et Redez…Terme et Termenez” to “Rotgerius
filius meus” and “in Albi…Albiensi…in comitatu de Roderge aut in Cadurcensi aut
in Tolosano aut in Narbonensi…Agde et Agadez et castellum de Pedenas” to
“Raymundo Trencavel filio meo”[79]. “Bernardus-Ato vicecomes et uxor mea
Cæcilia vicecomitissa et filii nostri Rogerius et Raimundus et Bernardus” donated
property confiscated from the rebels at Carcassonne to “Bernardo de Tresmals”
by charter dated 5 Apr 1125[80]. The testament of "Bernardus-Atonis vicecomes
Biterrensis", dated 1129, bequeathed "Bezer…et Acde…et Cenceno" to "Raimundo
Trincavello filio meo"[81]. Vicomte de Beziers. "Cæcilia vicecomitissa quæ fuit
uxor domini Bernardi-Atonis vicecomitis Biterris et filii eorum Rotgerius,
Raymundus Trinquauel et Bernardis-Atonis vicecomites Biterris, Carcassonæ,
Nemausi et Albiæ" confirmed donations by "maiores nostri generis…Diasfronisa
vicecomitissa et Bernardus vicecomes filius eius et Gaucia eius coniux et filii
-2887-
eorundem Froterius Albiensis episcopus et Ato vicecomes" by charter dated 20
Oct 1146[82]. The testament of “Raymundo Trencavelli vicecomite”, dated 21 Apr
1154 during his captivity in Toulouse, bequeathes “Balaguer et Chercorb et
Chercorbez“ to “Cæciliæ meæ filiæ“, “meam minorem filiam“ to “Guilhermo de
Montepessulano“ as his wife, and if he does not marry her requests “comitem de
Barsalona“ to arrange her marriage to “filio Ugonis comitis“, appoints “Rogerio
filio meo“ as his heir and if he dies childless “Cæciliæ meæ filiæ“, names
“Hermengardæ de Narbona meæ consanguineæ“ and refers to but does not name
“meam uxorem“[83]. The codicil of “R. Trencavelsvescoms de Besers" is dated to
[1166][84]. The Chronicon Gaufredi Vosiensis records that "Raymundus
Trenchavel vicecomes Biterrensis" was killed "a Burgensibus quadam Dominica
Quadragesimæ in ecclesia B. Mariæ Magdalenæ", dated to [1167] from the
context[85]. The Chronicle of Toulouse Saint-Saturnin records the death in 1167
of "Trencabels"[86]. The Chronicle of Nîmes records that "Trencavellus" was killed
"dominica die in ecclesia S. Mariæ Magdalenæ" in 1167 by the people of
Béziers[87]. The necrology of the priory of Cassan records the death "Id Oct" of
"Raymundus Trencavelli vicecomes Biterrensis"[88].
m [firstly] ADELICIA, daughter of --- (-[28 Feb], after 21 Apr 1154). “Raymundus
Trencavel vicecomes Biterris et uxor mea Adalaicia” donated property to
“Raymundo de Pomairol et fratri tuo Poncio” by charter dated Dec 1137[89].
"Raymundus Trincavelli vicecomes Biterrensis et Adalais eius uxor" confirmed the
foundation of the abbey of Valmagne by "Guillelmus de Omelaz frater Guillelmi de
Montepessulano" by charter dated 1138[90]. The necrology of the priory of
Cassan records the death "II Kal Mar" of "Adalicia Biterrensis vicecomitissa"[91].
m [secondly] [as her second husband,] SAURA, [widow of --- Comte de ---,]
daughter of --- (-after 1 Nov 1163). Her marriage is confirmed by the charter
dated 16 Jul 1152 under which “Sichards de Laurag fils dÁva” swore allegiance
to "Raimuns Trencavel vescons de Beders fils de Cecilia vescomtesse et…Roger
fils de Raimuns Trencavel et de Saura comtesse" for "lo castel de
Montlauder"[92]. The fact that Saura is accorded the title “comtesse“ in this
charter suggests that she must have been married before and that she retained
the title after her first husband died. The testament of “Raymundo Trencavelli
vicecomite”, dated 21 Apr 1154, refers to but does not name “meam uxorem“[93].
"Guillelmus de Termino filius Estriæ et…Petrus Olivarii filius Adalmus" swore
allegiance to "Raymundo Trencavello filio Cæciliæ et Rogerio filio tuo et Sauræ
comitissæ" for "castrum de Termino" by charter dated 1 Nov 1163[94].
[76] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XIV, p. 350.
[77] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XXV, p. 360.
[79] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XXCVIII, p. 370,
and 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 462, col. 865.
-2888-
[80] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, LIX, p. 388.

Diplômes, 504, col. 957.
[82] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome II, Preuves, Chartes et
[84] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CCXVI, p. 518.
[86] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chroniques,

Chronicon Sancti Saturnini Tolosæ, col. 50.
[87] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXVIII, p. 678.
[88] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXXI, p. 680.
[89] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CIV, p. 428.

[91] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXXI, p. 680.
[92] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CL, p. 468.

Diplômes, 655, col. 1274
En 1150, un accord intervint entre le comte de Barcelone et Trencavel vicomte de

Béziers au sujet de Carcassonne, de Termenes, de Redes, de Lauraguais et les
châteaux qui s'y trouvaient, au bénéfice du vicomte de Béziers; un second accord
la même année eut lieu entre Raymond Trencavel et Bernad Aton, au sujet de la
succession de leur frère, le vicomte Roger; une transaction en 1151 entre
Ermengarde, vicomtesse de Narbonne et Raymond Trencavel.
Guillaume de Durban fut un des témoins de ces différents accords
(Histoire Générale du Languedoc. Tome V, pages 1124, 1126 et 1144).
Guillaume de Durban est témoin dans la rédaction de la Charte de Raymond

Trencavel au sujet de Villam Sancti Tiberi (1156. Tome V, page 1181), par laquelle
Trencavel donne en gage à Guillaume de Montpellier ce qu'il possède à Saint-
-2889-
Tibéri « Trado in pignus tibi Guillelmo et heredibus omnem leddam quam ego
capio in villa Sancti Tiberii »
En 1157, Guillaume de Durban est présent avec de nombreux seigneurs au

serment fait par Raymond de Toulouse à Raymond Trencavel, vicomte de Béziers
« juro quod nunquam te occidam, neque capiam »
(Tome V, page 1207. Histoire Générale du Languedoc)
Enfin en 1163, Guillaume de Durban est témoin du traité de paix entre le comte
de Toulouse et Raymond Trencavel. (Tome V, pages 1268 et 1271. Histoire
Générale du Languedoc). Le comte de Toulouse promet de ne rien tenter contre la
vie de Trencavel, fils de Bernard Aton et de Cécile, et d'être son aide contre toute
révolte de la part de ses sujets.
C'est en 1167 que les bourgeois de Béziers, pour se venger de Raymond Trencavel
qui les opprimait, le poignardèrent en plein jour dans une église.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P.de Palmas (Cartulaire & archives de
l'ancien diocèse de Carcassonne, t.V, de M.Mahul et Histoire du commerce de la
France Volume 1, Levasseur, Emile, 1911 & FMG : Histoire Générale du
Languedoc) 2005
- defunció: J-P.de Palmas (Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul), JB.de La Grandiere (Hélène Débax " La Féodalité
languedocienne p 345 Trencavel) 27 x 2009
- família 1, família 2: J-P.de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 2005
2.966.539:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 2005
2.966.539-2a:
En 1167, il succède à son père, assassiné par les bourgeois de Béziers. Ces
derniers craignant la colère du nouveau vicomte, ouvrent les portes de la ville aux
troupes d'Alphonse II, roi d'Aragon. Avec l'aide du comte Raymond V de Toulouse,
Roger prend la ville et massacre la population mâle de la ville.
Mais Roger est désormais vassal du roi d'Aragon pour Carcassonne et le Razès, et
du comte de Toulouse pour Béziers et Albi. Il conclut une alliance avec le comte de
Toulouse en épousant sa fille Adélaïde et en mariant sa soeur avec Raymond,
héritier de Toulouse.
Dans les années qui suivent, le catharisme progesse en Occitanie. Vigoureusement

combattu par le comte de Toulouse, il est toléré par Roger et Adélaïde. Raymond V
demande de l'aide à Henri de Marsiac, abbé de Clairvaux et ils assiègent Lavaur,
qui constitue la dot d'Adélaïde, en 1181. La ville est prise, des cathares qui y
vivaient doivent abjurer, et Raymond conserve la ville. Cela n'empêche pas Roger
et Adélaïde de tolérer les cathares à leur cours, à tel point que Roger nomme à sa
-2890-
mort, un cathare notoire, Bertrand de Saissac, comme tuteur de son fils et comme
régent des vicomtés.
Il procéda au pillage du monastère de Saint-Pons de Thomières en 1170.
Son testament
Roger II, Trencavel, vicomte de Béziers, de Carcassonne, du Razès et d'Albi. Par

testament en date du 17 mars 1193, fait entre les mains de Bernard, archevêque
de Narbonne et de Gaufred, évêque de Béziers, choisit sa sépulture dans le
monastère de Cassan, auquel il légua sa table d'or ornée de pierres précieuses et
donna cinq mille sols malgoriens, en même temps qu'il fit des legs pieux en faveur
des abbayes de Villelongue, de Caunes et de Saint- Hilaire et qu'il fit supprimer le
droit qu'il faisait lever sur le pont de Carcassonne.
Il institua par ce même testament, comme héritier universel, son fils, Raimond-
Roger, qu'il avait d'Adélaïde, sa femme légitime, fille du seigneur Raimond comte
de Toulouse. Il mourut le 20 mars 1193, à l'âge d'environ 50 ans et fut inhumé
dans le monastère de Cassan, en exécution de son testament. Dans le nécrologe du
diocèse de Bésiers on lit la phrase suivante:
« Le 20 mars 1193, mourut Roger, vicomte de Béziers, notre frère ».
La comtesse Adélaïde, femme de Roger, fut apparamment inhumée avec son mari à
Cassan à la fin de l'an 1199.
Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude - 1928
(Histoire du Languedoc, T. VI, p. 156).
Les Sceaux
Les sceaux La première empreinte conservée est celle de Roger II, vicomte de
Béziers, de Carcassonne, de Razès et d'Albi (1167-1194). De forme ronde, ce sceau
de cire brune est fragmentaire : seul un tiers supérieur est conservé. Son diamètre
peut être restitué et estimé à environ 70 mm selon le rayon de courbure du bord de
-2891-
l'empreinte. Le mode d'apposition adopté est classique : le sceau est pendant, ses
attaches sont constituées de larges lanières de cuir épais fixées par un noeud sur
1
un repli de parchemin . Ce dernier porte également la trace d'un scellement
2
disparu, correspondant à celui de Pierre Raimond, évêque d'Agde (1173-1191) .
L'avers appartient au type équestre (fig. 4, en annexe). Dans le champ, Roger II est
représenté en cavalier, assis sur une monture chevauchant vers la droite. Il est
revêtu d'un haubert qui laisse apparaître son visage et il est coiffé d'un casque de
forme sphéro-conique qui vient couper le haut de la légende du sceau. Il porte un
long écu en amande, assez effilé, et à pointe arrondie. Cette protection non
armoriée est retenu par la guiche qui passe sur son épaule gauche. De son bras
droit replié, il tient couchée contre son flanc une lance dont on distingue une
partie du pennon. Le tapis de selle de son cheval apparaît distinctement. Le champ
du revers, de même type, est quasiment identique (fig. 5, en annexe). La légende,
comprise entre deux cercles, est très mutilée. Néanmoins, elle peut être ainsi
restituée sur les deux faces : /SIG[ILLUM ROGERII VICECOMITIS BITERR]IS.
Enfin, la mention du scellement apparaît dans la formule de corroboration de l'acte
: et ad majorem auctoritatem sigillo domini Rotgerii vicecomitis Biterris hec
corroboravit.
Extrait de Deux sceaux inédits des Trencavel (1185 et 1202), par Hélène Debax et
Laurent Macé
1 - Le sceau a été imprimé perpendiculairement à la charte.

2 - La mention hors teneur qui se trouve au dos de l'acte permet d'identifier le second sigillant.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Cartulaire & Archives des communes de Carcassonne de
J.A Mahul, t.V) vi2008
- defunció: J-P de Palmas (Cartulaire & Archives des communes de Carcassonne de
J.A Mahul, t.V) vi2008
- casament: J-P de Palmas (cm de 1168 et 1172 par Evêque Othon)
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
2.966.539-2b:
RAYMOND TRENCAVEL (-after 5 Jun 1211). "R. Trencavellus filius quondam
Trencavelli, et uxoris eius" transferred property to "D. S. comiti Leycestriæ,
domino Montisfortis, vicecomiti Biterris et Carcassonæ, et domino Albiensi et
Redensi" by charter dated 5 Jun 1211[125]. m --- (-after 5 Jun 1211). The name of
Raymond Trencavel´s wife is not known but the charter dated 5 Jun 1211 under
which "R. Trencavellus filius quondam Trencavelli, et uxoris eius" transferred
property to "D. S. comiti Leycestriæ, domino Montisfortis, vicecomiti Biterris et
Carcassonæ, et domino Albiensi et Redensi" shows that she was living at that
date[126].
Bibliographie
 Deux sceaux inédits des Trencavel (1185 et 1202)
-2892-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG)
2.967.812:
Fonts:
2.967.813:
Elle demeure à Bruniquel où s'installe son époux.
Fonts:
2.967.813b:
Fonts:
2.967.814:
Fonts:
2.967.815:
Fonts:
2.967.816:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Site Deret)
- família: J-P de Palmas (Site Deret)
2.967.817:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Site Deret)
2.967.818:
Gautier, vicomte de Terride, offre un lot remarquable de textes où son titre est
mentionné, à partir de 1122. Il est vivant encore en 1155, et peut-être mort vers
1158, première fois où Armand se dit vicomte. Armand qui se fait appeler de
Verdun ne vécut pas longtemps. Arnaud Gausbert, fils de Gautier et frère
d’Armand de Verdun, connu par l’accord avec Saint-Sernin , participe à la
donation d’Odon d’Escuders à Belleperche, en 1166. Mais voilà qu’un autre
Arnaud Gausbert, en 1172, est dit fils d’Aribert de Finhan. On ne peut guère relier
les deux dans l’état actuel des études faites et tout un travail prosopographique
servirait à éclaircir les homonymies et les relations familiales éventuelles.
Fonts:
-2893-
- persona: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Mireille Mousnier in Hélène Debax "Vicomtes
et vicomtés") 16i2015
2.967.819:
Fonts:
2.967.819d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Mireille Mousnier in Hélène Debax "Vicomtes et
vicomtés") 16i2015
- família: C.Saint-Félix (Mireille Mousnier in Hélène Debax "Vicomtes et vicomtés")
16i2015
2.967.820:
ROGER [III] de Foix, son of ROGER [II] Comte de Foix & his second wife Estefanía
de Besalú (-[1147/48]). “Rogerius comes Fuxensis…et filius meus Rogerius”
restored property to the abbey of Alet by charter dated 1108[921]. “Rogerius
comes Fuxi et filii mei Rogerius et Bernardus et Petrus” donated property to the
abbey of Lezat by charter dated 1120[922]. He succeeded his father in 1124 as
Comte de Foix. “Rogerius comes Fuxensis et fratres mei Petrus-Bernardi et
Raimundus Rogerii” renounced their claim to the county of Carcassonne in favour
of “Bernardo-Athonis vicecomite et cum uxore eius Cæcilia vicecomitissa, filiisque
eorum Rogerio et Raimundo Trencavelli atque Bernardo” by charter dated 1 Apr
1125[923]. “Rogerius Fuxi comes, filius Rogerii et Stephaniæ” issued a charter
dated Dec 1129[924]. "Rogerius comes Fuxensis…[et] Essena conjux ipsius"
founded the commanderie of Ville-Dieu by charter dated 27 Oct 1136[925].
[m firstly ---. No direct evidence has been found which proves this supposed first
marriage of Comte Roger [III]. However, the date of the marriage of his daughter
Bradimene appears inconsistent with her having been the daughter of his wife
Jimena de Barcelona.]
m [secondly] (before [8 Jul] 1130) JIMENA de Barcelona, daughter of RAMON

BERENGUER [III] Conde de Barcelona & his [third wife Dulce Ctss de Provence]
([1117/18]-after 1136). The testament of "Raimundus Berengarii…Barchinonensis
comes et marchio" dated [8 Jul] 1130 names "Raimundo Berengarii filio meo…et
filie mee ipsa de Castella et illa de Fuxo"[926]. Her name is more recognisably
reproduced in the charter dated Nov 1149 of her son "Roggerus-Bernardi comes
Fuxensis, filius Roggerii et Xaminiæ"[927]. In most secondary sources, Jimena is
shown as the daughter of her father´s first marriage and widow of Bernat [III]
Conde de Besalú. However, no primary source has yet been identified which
confirms that this is correct and several reasons point to it being unlikely. Firstly,
if Jimena had been the widow of the last comte de Besalú, her second husband
would presumably have had the right to claim the county in her name, and there
appears to be no indication that he ever did this. Secondly, the testament of her
father names "filie mee…illa de Fuxo" after his daughter "ipsa de Castella". This
would normally indicate that the former was younger than the latter. The only
possible reason for reversing the order of his daughters would have been the
supposed precedence of the queen of Castile over the comtesse de Foix. However,
-2894-
no other example of this adjustment to the order of names in primary source
documents has been found, except those justified by the supposed precedence of
children holding ecclesiastical office over lay children. Thirdly, Jimena would have
named her daughter after her own mother. Fourthly, the dates of marriage of
Jimena´s two known children, in the 1150s, suggest that they were born in the
1130s, which is not inconsistent with Jimena having been born from her father´s
third marriage. This appears to be corroborated by the charter dated 26 Oct 1136
by which “Rogerius comes Fuxensis [et] Essena coniux ipsius” founded the
commanderie of Ville-Dieu which refers to "infantes nostros"[928]. The date of the
marriage of Comte Roger´s daughter Bradimène is inconsistent with this
hypothesis, unless she was born from an otherwise unrecorded earlier marriage,
or was illegitimate, as is proposed below. The only factor which appears to
indicate the co-identity of the two daughters is that Jimena could have been
named after her maternal grandmother, mother of her father´s first wife.
However, the name was not uncommon in Spain at the time, and it is quite
possible that Jimena was named after another relative. Until further primary
source data emerges which contradicts this hypothesis, it has been decided to
show Jimena has her father´s daughter by his third marriage in this document.
Comte Roger [III] & his [first] wife had one child.
Comte Roger [III] & his [second] wife had two childre.
[921] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, X, p. 348, and
3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 431, col. 806.
[922] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XLVIII, p. 380,
and 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 476.II, col. 897.
[923] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, LXI, p. 391,
and 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 490, col. 926.
[924] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, LXXIII, p. 403.

Diplômes, 533, col. 1020.
[926] Els Testaments, 11, p. 92.
457.
[928] Histoire Générale de Languedoc Tome IV, Preuves, XCVIII, p. 425.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2011
- família 1, família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 30 ix 2016
2.967.821:
-2895-
JIMENA de Barcelona ([1117/18]-after 1136). The testament of "Raimundus
Berengarii…Barchinonensis comes et marchio" dated [8 Jul] 1130 names
"Raimundo Berengarii filio meo…et filie mee ipsa de Castella et illa de Fuxo"[428].
Her name is more recognisably reproduced in the charter dated Nov 1149 of her
son "Roggerus-Bernardi comes Fuxensis, filius Roggerii et Xaminiæ"[429]. In most
secondary sources, Jimena is shown as the daughter of her father´s first marriage
and widow of Bernat [III] Conde de Besalú. However, no primary source has yet
been identified which confirms that this is correct and several reasons point to it
being unlikely. Firstly, if Jimena had been the widow of the last comte de Besalú,
her second husband would presumably have had the right to claim the county in
her name, and there appears to be no indication that he ever did this. Secondly,
the testament of her father names "filie mee…illa de Fuxo" after his daughter
"ipsa de Castella". This would normally indicate that the former was younger than
the latter. The only possible reason for reversing the order of his daughters would
have been the supposed precedence of the queen of Castile over the comtesse de
Foix. However, no other example of this adjustment to the order of names in
primary source documents has been found, except those justified by the supposed
precedence of children holding ecclesiastical office over lay children. Thirdly,
Jimena would have named her daughter after her own mother. Fourthly, the dates
of marriage of Jimena´s two known children, in the 1150s, suggest that they were
born in the 1130s, which is not inconsistent with Jimena having been born from
her father´s third marriage. This appears to be corroborated by the charter dated
26 Oct 1136 by which “Rogerius comes Fuxensis [et] Essena coniux ipsius”
founded the commanderie of Ville-Dieu which refers to "infantes nostros"[430].
The date of the marriage of Comte Roger´s daughter Bradimène is inconsistent
with this hypothesis, unless she was born from an otherwise unrecorded earlier
marriage, or was illegitimate, as is proposed in the document TOULOUSE
NOBILITY. The only factor which appears to indicate the co-identity of the two
daughters is that Jimena could have been named after her maternal grandmother,
mother of her father´s first wife. However, the name was not uncommon in Spain
at the time, and it is quite possible that Jimena was named after another relative.
Until further primary source data emerges which contradicts this hypothesis, it
has been decided to show Jimena has her father´s daughter by his third marriage
in this document.
m (before [8 Jul] 1130) ROGER [III] Comte de Foix, son of ROGER [II] Comte de
Foix & his second wife Estefanía de Besalú (-[1147/48]).
[428] Els Testaments, 11, p. 92.
457.
[430] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XCVIII, p. 425.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 30 ix 2016
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 30 ix 2016
2.967.821b:
-2896-
Fonts:
2.967.821-1a:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
- família: C.Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
2.967.940:
En 1201, Raymond Roger Trancavel engage le Balaguérès et le Quercorb à Isarn
Bernard pour 13 100 sous de Melgueil. (Michel Roquebert "La fin des amis de
Dieu")
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Gwendoline Hancke : "L'hérésie en héritage") 24xi2006,
C.Saint-Félix (J. Duvernoy "Le catharisme") 16v2006
2.967.941:
Parfaite, ordonnée par Guilabert de Castres, le même jour qu'Esclarmonde de
Foix, signalée à Alaigne.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Gwendoline Hancke : "L'hérésie en héritage") 24xi2006, J-
P de Palmas (Généalogie Assalit) 27 ii 2011
2.967.942:
Fut ordonné "parfait" (*) à Montségur vers 1214.
Est témoin à diverses chartes de Trencavel entre 1189 et 1202.
(*) Adepte de la religion cathare.
Source : (Michel Roquebert)
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Gwendoline Hancke : "L'hérésie en héritage") 24 xi 2006
2.967.943:
Fonts:
2.967.944:
Fonts:
- persona: L.Guion, S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
-2897-
2.967.945:
Héritière de la branche aînée de la Maison de Biron.
Fonts:
2.967.945b:
Ne figure pas sur l'arbre généalogique de la famille de Gontaut établi en 1903 par
le comte Théodore de Gontaut. Sur cet arbre le frère d'Henri se nomme Gaston,
seigneur de Badefol d'après une charte de Richard duc de Guyenne établie à
Cadoin le 25.04.1188
Fonts:
- persona: L.Guion, S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
2.967.946:
Pons de Beynac, Ier du nom, baron de Beynac, chevalier, accompagne lui-aussi le
roi Louis le Jeune, à la croisade de 1147 et fait, avant son départ, et après son
retour, diverses donations à l'abbaye de Cadoin. Il a de Gaillarde, sa femme,
plusieurs enfants.
D'après Patrick Esclafer de La Rode (Le Château des Eyzies & les Sgrs de Tayac),
Pons de Beynac serait descendant de Mercadier, général de Richard Coeur de
Lion, qui avait mis celui-ci en possession de la seigneurie de Beynac après
extinction de la première race des seigneurs de ce nom (C.Bounaix 6 i 07)
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (André Rébé réponse à 03.III.638 BEYNAC (de) H&G
n° 169 p. 376 déc 2003, qui corrige d'anciennes données) 9 x 2014, , C.Bounaix du
Puch (Le Château des Eyzies & les Sgrs de Tayac - P.Esclafer de La Rode) 6 i 07
- família 2: C.Chéneaux (D. Brugère)
2.967.947:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (André Rébé réponse à 03.III.638 BEYNAC (de) H&G
n° 169 p. 376 déc 2003) 9 x 2014
2.967.947b:
Fonts:
- persona: C.Chéneaux (D. Brugère), JB.de La Grandiere (André Rébé réponse à
03.III.638 BEYNAC (de) H&G n° 169 p. 376 déc 2003) 9 x 2014
- família: J-L. Dega (Michel Smaniotto)
2.967.947c:
Fonts:
2.967.948:
-2898-
Fonts:
- persona: G.Marsan,J-L. Dega(Jaurgain),A.Euverte( O'Gilvy Nobiliaire de Guienne
et Gascogne tome I)21.i.2008
2.967.949:
Fonts:
- persona: G.Marsan
2.967.949a:
Fonts:
- persona: G.Marsan
2.967.968:
Fonts:
- persona: H.de Riberolles(Base Geraude)
2.968.064:
Cette obole est frappée sur un flan irrégulier et très large laissant
apparaître l’ensemble des grènetis extérieurs. Les reliefs sont nets.
Quelques taches noires.
CGB
Extraits du livre de Christian Cau sur les Capitouls: "Le 6 janvier 1189, devant
l'église Saint Pierre des Cuisines, Raymond V, vaincu par un soulèvement
populaire, abandonne la quasi-totalité des pouvoirs qu'il avait encore sur la ville
de Toulouse. La municipalité est toute puissante, la ville devient une véritable
république.
Les Consuls de la ville mènent une politique de grandeur: par des expéditions
militaires, ils étendent leur domination sur un territoire gigantesque, imposent
aux villes et seigneurs de la région des traités garantissant la liberté de leur
commerce.
Ces Consuls qui s'intitulent au XIIIè siècle Seigneurs du Chapitre, avant de

prendre (au début du XVè siècle, à la faveur d'une confusion linquistique,
volontaire, sur ce terme entre le latin -Capitulum- et l'occitan -Capitol-), le nom de
Capitouls, vont garder la haute main sur l'administration municipale pendant 600
ans. Entourés d'une foule de fonctionnaires subalternes ils administrent la ville,
lèvent les impôts, dirigent la milice communale et rendent la justice. Ils
s'intitulent eux-mêmes chefs des nobles, juges des causes civiles et criminelles et
de la police dans la ville et le gardiage (la banlieue) d'icelle. Ils conquièrent de
nombreux privilèges, dont la noblesse héréditaire (exemption d'impôts à partir de
1298) et le droit d'image. Ainsi, comme les nobles ils eurent le droit de faire
exécuter leur portrait, ce qu'il firent chaque année dans le Livre Blanc des annales
de la ville, par suite d'une résolution municipale prise le 8 septembre 1295.
Jusqu'au rattachement au domaine royal (1271) ils sont désignés chaque année
par la bourgeoisie urbaine dont ils sont l'émanation. Leur nombre se stabilise à 8
à partir de 1438, représentant chacun un quartier (ou partida puis capitoulat),
avec l'ordre de préséance suivant: 1. Daurade 2. Saint-Etienne 3. Pont-vieux 4. La
-2899-
Pierre Saint Géraud 5. Dalbade 6. Saint Pierre des Cuisines 7. Saint Barthelemy 8.
Saint Sernin.
La disposition classique sur les planches représentant annuellement les Capitouls

dans le Livre Blanc des annales municipales (NB: seulement 75 planches de
portraits sur presque 500 ont survécu à la destruction sous 48 heures ordonnée
par le Conventionnel Marc-Antoine Baudot le 8 aout 1790) est la suivante : 7-5-3-
1-2-4-6-8.
"En général" (NB: Raynal, dans son Histoire de la Ville de Toulouse, décrit ce
processus à partir de la fin du 17è s.), l'élection (NB: en fait, la cooptation) des
Capitouls se faisait de la façon suivante (au moins postérieurement à 1271, donc):
le 25 novembre, sur sommation du Roi aux Seigneurs du Chapitre (ou Capitouls)
de nommer leur successeurs, une liste de 48 noms cooptés était soumise, et le roi
en rejetait la moitié (en général les non-nobles, dit-on, afin de protéger sa base
imposable). Les Capitouls choisissaient leurs successeurs sur cette liste réduite,
avisaient le représentant du Roi, et les futurs Capitouls prêtaient serment dès le
27 novembre, prenant leurs fonctions le 13 décembre suivant, pour une année."
RAYMOND V 1148-1194
on Foundation for Medieval Genealogy
RAYMOND de Toulouse, son of ALPHONSE I JOURDAIN Comte de Toulouse & his

wife Faydive [Faydide] d'Uzès (1134-Nimes Dec 1194, bur Notre Dame de Nîmes).
The Chronicle of Nîmes records the birth in 1134 of "R. comes filius Ildefonsi
comitis"[518]. His parentage is confirmed by a charter dated 12 Dec 1172 under
which Ctss Beatrix agreed terms with "Raymond comte de Toulouse fils de
Faidite" for the marriage of her daughter Ermensende and his son "Raymond fils
de Constance", under which she agreed to transfer half of the county of Melgueil
to comte Raymond[519]. "Silvius de Cleireu et…Matelina eius uxor et…Silvius
eorum filius" donated property to the Templars at Richerenches by charter dated
15 Oct 1141, witnessed by "Rostagnus de Sabran, --- filius eius, Raimundus filius
comitis de Tolosana…"[520]. He succeeded his father in 1148 as RAYMOND V
Comte de Toulouse, Duc de Narbonne, Marquis de Provence, jointly with his
brother Alphonse II. In 1152, he passed the regulations which led to the
establishment of the capitoulat of Toulouse. A charter dated 1164 in the cartulary
of Cluny records an agreement between "Raigmondus comes Sancti Ægidii" and
the monks of Cluny concerning "domo Sancti Saturnini"[521]. A "Chronique en
records the death in 1194 of "R. coms de Tholosa à Nemse"[522]. The Chronicle of
Toulouse Saint-Saturnin records the death "apud Nemausum" in 1194 of
"Raimundus comes Tolosanus"[523].
m (10 Aug 1154, separated 1165) as her second husband, CONSTANCE de

France, widow of EUSTACHE IV Comte de Boulogne [Blois-Champagne], daughter
of LOUIS VI “le Gros” King of France & his wife Adélaïde de Maurienne [Savoie]
([1128]-Reims 16 Aug after 1177). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis refers
-2900-
to the sister of King Louis as wife firstly of "Eustachieus comes Bolonie" and
secondly of "comiti de Sancto Egidio", specifying that she had children by the
latter, but does not name her[524]. The De Genere Comitum Flandrensium, Notæ
Parisienses names "filiam unam [Ludovicum regem Grossum] nomine
Constantiam"[525]. Her brother Louis VII arranged her first marriage to
symbolise his support for Stephen King of England against his cousin Empress
Matilda and her husband Geoffroy Comte d'Anjou. William of Newburgh records
the betrothal of Eustache, son of King Stephen, and "regi Francorum…sororem
eius Constantiam"[526]. The Continuator of Florence of Worcester records the
marriage in Feb [1140] of "regis Anglie Stephani…filius" and "Francorum regis
sororem"[527]. Her marriage is recorded by Matthew of Paris, who specifies that
she was sister of Louis VII King of France[528]. Her brother also arranged her
second marriage, to cement his alliance with Toulouse against Henri d'Anjou Duke
of Normandy [later Henry II King of England] who had just allied himself with
Aragon. Baudouin IV King of Jerusalem confirmed a sale of property, with the
consent of "…Constantiæ sorori regis Franciæ et S. Egidii comitissæ", by charter
dated [Sep/Dec] 1177[529]. The necrology of the abbey of Saint-Denis records the
death "XVII Kal Sep" of "Constantia filia Ludovici regis"[530].
Comte Raymond V & his wife had four children.
Comte Raymond V had two illegitimate children by unknown mistresses.
[518] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXVIII, p. 677,
and 3rd Edn., Tome V, Preuves, Chroniques, 5, col. 29.
[519] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, p. lvii, which gives no citation of the

charter.
[520] Ripert-Monclar (ed.) (1907) Cartulaire de la commanderie de Richerenches

de lórdre du Temple (Avignon) ("Richerenches"), 30, p. 31.
[521] Cluny Tome V, 4219, p. 567.
[522] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXX, p. 679,
[523] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chroniques,

Chronicon Sancti Saturnini Tolosæ, col. 50.
[524] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 2, MGH SS XIII, p. 252.
[525] De Genere Comitum Flandrensium, Notæ Parisienses MGH SS, p. 258.
[526] Howlett, R. (ed.) (1884) (London) Historia rerum Anglicarum of William of

Newburgh (“William of Newburgh”) I.XI, p. 44.
[527] Thorpe, B. (ed.) (1849) Florentii Wigorniensis Monachi Chronicon, Tomus II

-2901-
(London) (“Florentii Wigornensis Monachi Chronicon”), Continuatio, p. 125.
[528] Luard, H. R. (ed.) (1874) Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani,

Chronica Majora (London) (“MP”), Vol. II, 1139, p. 170.
[529] Röhricht, R. (ed.) (1893) Regesta Regni Hierosolymitani (Oeniponti) 545, p.

145
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Foundation for Medieval GenealogyFMG) 30 x 2013, A.de
La Gueronniere (Les Capitouls de Toulouse - C. Cau) 16 ix 2017
- família 1: H.R.Moser/EuSt-III/4-764
7v2006
2.968.065:
Biographie
Fille unique de Louis VI, roi de France et d'Adèle de Savoie, qui n'eurent d'autre
part que des fils, elle est mariée en février 1140 par son frère, le roi Louis VII, à
Eustache, fils aîné et héritier d'Étienne de Blois, roi d'Angleterre.
Après le décès d'Eustache, en août 1153, elle est remariée le 10 août 1154 à
Raymond V († 1194), comte de Toulouse. De cette union naissent quatre enfants :
 Raymond VI (1156-1222), comte de Toulouse

 Albéric Taillefer (1157-1183), premier époux de Béatrice d'Albon,
dauphine de Viennois
 Adélaïde († v. 1200), épouse (1171) de Roger II de Béziers († 1194) (l'un
des Trencavel), vicomte de Carcassonne, Béziers, Albi et Razès
 Baudouin (v. 1165/66 - 1214)
En 1165, Constance participe au colloque ou concile de Lombers[2], près d'Albi,

dont le but était de confondre et de condamner les hérétiques ; c'est à cette date
qu'on appela ces derniers les Albigeois.
Ils se séparent en 1166. Dans une lettre qu'elle écrivit à son frère Louis VII de
France après sa répudiation, elle dit : « J'ai quitté ma demeure et me suis rendue
dans un village en la maison d'un certain chevalier car je n'avais ni de quoi
manger ni de quoi donner à mes serviteurs. Le comte n'a aucun soin de moi et ne
fournit rien de ses domaines pour mes besoins. »
D'après la légende, Constance se serait réfugiée à Burlats après sa séparation

d'avec Raymond V de Toulouse, sa fille Adélaïde aurait été élevée à Burlats[3].
Celle-ci tint à Burlats une « Cour d'Amour » et fut célébrée, entre autres par le
troubadour périgourdin Arnaud de Mareuil[4].
Historiquement, il est délicat de penser que Constance ait pu se réfugier à Burlats

-2902-
après sa séparation d'avec Raymond V de Toulouse, car en 1165 : la place
n'appartenait pas aux comtes de Toulouse, mais aux Trencavel. Ce n'est donc pas
Constance qui fit bâtir le pavillon d'Adélaïde à Burlats, mais sans doute Bernard
Aton IV et son épouse Cécile, vers le début du XIIe siècle.
Revenue en région parisienne, son frère lui aurait attribué des biens immobiliers
dont on ignore l'ampleur. En tout cas, à partir de 1171 et sous le nom de comtesse
de Saint-Gilles, elle fit plusieurs donations de biens immobiliers à l'abbaye de
Montmartre et aux Templiers.
La présence de Constance à Burlats
Une série de lettres conservées dans les archives royales permettent de suivre le
développement de la crise (relative à la séparation de Raymond V et de
Constance) et son issue : trois lettres de Constance et deux lettres du commun
conseil de Toulouse. Elles ne sont pas datées, mais à l'évidence, et c'est l'avis de
Dom Vaissète, on doit les placer dans les quelques mois, voire les quelques
semaines qui ont précédé l'arrivée de Constance à Paris, où elle assista, en août
1165, au baptême de son neveu, le futur Philippe-Auguste.
En mai 1165 l'évêque d'Albi organisait à Lombers le premier colloque auquel

furent conviés des responsables du mouvement cathare. Lombers est à une étape
d'une journée (35km) de Burlats. Constance y assista en compagnie de Raymond
Trencavel.
C'est après Lombers que Constance se rendit à Paris où, comme il a été indiqué
plus haut, elle se trouve en août de cette même année 1165. Revint-elle à Burlats
? D'après un texte malheureusement tardif - il date du XIIe siècle - sa fille
Adélaïde aurait été élevée à Burlats, d'où il est permis de déduire que sa mère
était auprès d'elle. Adélaïde était âgée de 7 ans en 1165.
La vie agitée de Constance est relatée assez longuement dans l'histoire générale
du Languedoc. Plusieurs détails ont été précisés plus récemment dans un article
paru dans les "Annales du midi". (annales du midi 1951, page 193, article de
L.Sery).
Bibliographie
 Hélène Débax, « Stratégies matrimoniales des comtes de Toulouse (850-

1270) », dans Annales du Midi, vol. 100, no 182, 1988, p. 131-151 (ISSN
00034398) .
 Hélène Débax, « Les comtesses de Toulouse: notices biographiques »,
dans Annales du Midi, vol. 100, no 182, 1988, p. 215-234 (ISSN
00034398) .
 Laurent Macé, Les comtes de Toulouse et leur entourage, XIIe-XIIIe
siècles : rivalités, alliances et jeux de pouvoir, Toulouse, Privat, 2000
(réimpr. 2003), 445 p. (ISBN 2708956000) .
 Alice Marc-Manoël, « Constance de France, comtesse de Toulouse », dans
Cahiers d'études cathares, 3e série, vol. 44, no 137, 1993, p. 46-60 .
-2903-
 Luc Séry, « Constance, fille de France, "reine d'Angleterre", comtesse de
Toulouse », dans Annales du Midi, vol. 63, 1951, p. 193-209 (ISSN
00034398) .
Liens externes
 (en) Correspondance échangée entre Constance de France et Louis VII

(1163-1165) Textes originaux latins avec traduction en anglais
1. .↑ Constance de France sur le site Medieval Lands

2. .↑ Université de Toulouse, Annales du Midi: revue archéologique,
historique, et philologique de la France méridionale, volume 100, p. 226
3. .↑ Biographie de Constance, mère d'Adélaïde [archive]
4. .↑ Biographie d'Adélaïde Trencavel, comtesse de Burlats [archive]
5. .↑ Mémoires de la Société Historique de Pontoise, tome XXXVII
de 1922, pp. 78 et suivantes
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG et Le Pavillon d'Adélaïde in revue Pyrénées
Cathares - été 2004)
- naixement: S.Fourlinnie (d'après "l'Histoire des rois de France et des chefs
d'état" de Pascal Arnoux)
- família 2: H.R.Moser/EuSt-III/4-764
2.968.065b:
A propos de Burlats
Le nom de Burlats apparaît dans les actes dès 973. La petite cité a joui très tôt la
faveur des Trencavel, seigneurs d'Albi, de Carcassonne et de Béziers. L'époque
romantique nous raconte que Constance, fille de Louis VI roi de France, et épouse
de Raymond V, comte de Toulouse est venue se retirer à Burlats.
Sa fille Adélaïde a épousé le vicomte Roger II Trencavel dit "Taillefer" défenseur
des Cathares.
Adélaïde, la comtesse aux yeux de violette, aurait présidé à Burlats une "Cour
d'Amour" foyer de poésie occitane où son charme, ses qualités de coeur et de
l'esprit lui valaient l'admiration des chevaliers et l'amitié des troubadours. Les
plus assidus et célèbres ont été Arnaud de Mareuil et Alphonse II roi d'Aragon.
À la fin du XV ème siècle, au cours des guerres de religion, Burlats, village fortifié
proche de Castres, fut convoité et pris tour à tour par les armées Catholiques et
Protestantes.
Il fut mis à sac et détruit en 1573 et 1628. Les fortifications ont été démantelées
sur ordre de Richelieu en 1631.
Adélaïs Trencavel
-2904-
Du séjour d'Adélaïde à Burlats, nous ne possédons qu'une seule preuve formelle :
un acte de 1180 par laquelle elle confirme les donations consenties par son mari à
l'abbaye de Sylvanès. Un autre document , bien qu'il ait l'inconvénient d'être
tardif, mérite considération. Il s'agit de la " Vie du troubadour Arnaud de Mareuil
", écrite à la fin du XIIIe siècle et dont on possède plusieurs manuscrits, où il est
précisé que "astre e aventura conduis la a la cort de la comtessa de Burlats que
era filha del pros comte Raimon". Le texte précise un peu plus loin qu'on appelait
Adélaïde comtesse de Burlats parce qu'elle y avait été élevée. En parlant de " la
cort de la comtessa de Burlats " l'auteur n'aurait donc pas eu nécessairement
l'intention de suggérer que cette cour se tenait à Burlats. Mais les circonstances à
plusieurs reprises de la vie d'Adélaïde le font supposer avec une grande
probabilité. En 1178, elle reçoit à Castres la délégations des Rois de France et
d'Angleterre venue sommer son mari de réprimer l'hérésie, en 1181, elle prend la
responsabilité de faire ouvrir au légat pontifical les portes de Lavaur qui s'étaient
fermées devant lui ; en 1185, peu de temps après avoir accouché, elle est à
Lacaune avec son mari ; en 1189, également en sa compagnie, elle est à Belmont,
en Rouergue. Bien que l'on circulât beaucoup à cette époque, on conviendra , à la
voir ainsi si souvent rayonner à l'intérieur ou aux abords immédiats du pays
castrais, qu'elle devait plus habituellement résider à Burlats qu'à Béziers ou
Carcassonne.
Un indice - apparemment léger, mais certainement significatif - permet d'avancer

que c'est à Burlats qu'Adélaïde éleva son fils Raymond-Roger. Lorsqu'il aura 20
ans, le troubadour Cadenet, s'adressant à lui , ne l'appellera pas autrement que "
le vicomte de Burlats ". La mère et le fils auront sans doute vécu habituellement à
Burlats au moins de 1185 - naissance de Raymond-Roger - à 1194, mort de son
père.
Jeune épouse, Adélaïde dut par deux fois, en 1178 et 1181, faire face seule, à la
place de son mari, à deux situations délicates qui exigèrent d'elle du sang-froid, de
la rapidité de décision et beaucoup de diplomatie. Cela seul aurait pu retenir
l'attention sur une nature hors du commun. C'est cependant sur un tout autre plan
qu'on a gardé sa mémoire. Ce dont on se souvient, c'est l'exceptionnel
attachement que lui voua Arnaud de Mareuil. Exceptionnel, c'est ce que souligne
un bon connaisseur du monde des troubadours : Arnaud, écrit Faureil, est " un des
rares troubadours qui n'ait aimé et chanté qu'une seule dame ".
Sa " Vida " nous apprend qu'il fut supplanté par Alphonse II Comte de Barcelone,
roi d'Aragon, qui exigea son départ.
L'intervention d'Alphonse ne peut être une invention gratuite du biographe.

Pendant vingt ans, de 1166 à 1196, année de sa mort en pleine force de l'âge, le
roi d'Aragon fut plus souvent de ce côté-ci des Pyrénées que de l'autre, en
continuel conflit avec le comte de Toulouse. Plus particulièrement entre 1180 et
1185, Alphonse eut l'occasion de traverser l'Albigeois et sans doute de faire halte
à Burlats.
A la mort de son mari en 1194, le testament ne confia pas à Adélaïde la tutelle de

son fils. Cette décision a été interprétée de bien des façons. La plus simple est
sans doute que Roger II considéra que, dans la situation complexe qu'il laisserait
-2905-
derrière lui, nul ne serait plus à même que Bertrand de Saissac, son fidèle
sénéchal, homme sage, ami très sur ( Roger peu porté, semble-t-il aux discussions
dogmatiques, ne pouvait faire grief à son ami d'être cathare ) pour défendre les
intérêts de son fils écartelé entre deux protecteurs ennemis : son grand-père ou
bientôt son oncle, le comte de Toulouse et son suzerain, le roi d'Aragon.
Adélaïde mourut peu avant Noël 1200, elle fut inhumée auprès de son mari, à
l'abbaye de Cassan, non loin de Béziers.
Les romantiques et, après eux, tous ceux qui ont écrit sur elle, ont été séduits par
la personnalité d'Adélaïde dont les poèmes d'Arnaud de Mareuil décrivent non
seulement la beauté, mais les qualités morales. La vie de cette brillante jeune
femme, morte à 42 ans, qui dédaigne les fastes de la cour de Carcassonne, et
s'isole dans un lointain vallon est enveloppée d'un certain mystère. On devine
quels furent ses intimes déchirements : désillusion d'une épouse dont le mari et
sans cesse absent et apparemment quelque peu indifférent, tristesse de voir se
perpétuer la querelle entre son père et ce mari, qui, par tradition familiale, se
devait de prendre le parti de Barcelone contre Toulouse, inquiétude devant la
tension grandissante à l'égard des croyants cathares qu'elle respectait, e enfin,
malgré les consolations de la poésie et vraisemblablement celles aussi d'une piété
très simple reçue de sa mère, mélancolie d'un amour impossible.
Extrait du site de la mairie de Burlats
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul)
- casament: J-P de Palmas (cm de 1168 et 1172 par Evêque Othon)
7v2006
2.968.065c:
Fonts:
- persona: S. Bontron (Anselme, VII), H.R.Moser/EuSt-III/4-764
7v2006
- família: S. Bontron (Anselme, I et VII)
2.968.065d:
D'après L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage",il serait né à Paris à
la fin de l'année 1165 ou au début 1166. (1) Il fut pendu sur ordre de son frère
Raymond VI. Source : Héraldique.&.Généalogie 138 p 138.
Le seigneur de Castelnau-Montratier et ses voisins les seigneurs de Montpezat et
de Mondenard s'emparent de Beaudouin, frère du Comte de Toulouse passé au
service de Simon de Montfort et retiré au château de Lolmie, près de Montcuq.
Trahi par son hôte, Beaudouin est amené à Montauban et il est pendu sur l'ordre
de son frère le Comte de Toulouse Raymond VI.
Selon l'Historia Abligensis [282],"il porta les mêmes armoiries (que la comté de
-2906-
Toulouse)"
Baudouin, frère de Raymond VI, eut des revirements inattendus, qui s'expliquent
sans doute, mais qui surprennent. Il est vrai qu'il n'avait pas à se féliciter de son
frère : catholique sincère, il n'entrait pas une seule fois au palais sans y entendre
des propos hérétiques ; né du même amour conjugal, il s'était vu repousser par le
Comte comme n'étant pas son frère, et il n'avait pas fallu moins que le témoignage
de la Cour de France pour faire tomber des répulsions inexplicables : admis enfin
dans la famille du Comte, il n'y jouissait d'aucun crédit, pas même de l'affection
qui est naturelle entre frères. Mais, justement, ne devait-il pas craindre de
paraître obéir à une rancune, en prenant parti contre le Comte ? Placé entre sa foi
et son affection, ne devait-il pas avoir le souci de ne blesser ni l'une ni l'autre? Son
intérêt même ne lui conseillait-il pas de laisser tous les torts du côté de celui qui
l'avait offensé jusqu'à l'outrage ? L'abstention paraissait donc être le parti à la fois
le plus sage et le plus honnête. Mais à certaines heures, c'est grande et rare
sagesse que l'inaction.
in L'Eglise et la croisade contre les Albigeois
Fonts:
- persona: E.W-T, Leo van de Pas, J-P de Palmas (L'Eglise et la croisade contre les
Albigeois)
- defunció: pendu à Montauban
- família: J-P de Palmas;
2.968.096:
Il participe à la croisade contre le Cathares à la tête d'une armée de 20000
hommes levée dans le Quercy, l'Agenais, le Périgord, le Limousin. Ils reprennent
Puylaroque et Lavaur dont Philippe-Auguste lui accorda le pillage. En 1212, il
rend hommage à Simon de Montfort au siège de Toulouse, puis à Raymond VII en
1229.Il commanda la second division de l'armée des croisés alors que Bouchard VI
de Montmorency commandait la troisième
JBLG : n'est pas mort en 1250 exactement mais avant 1235
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois), JB.de La Grandiere (ajouts et
corrections : Jacques de Roquemaurel : "A propos de la famille de Cardaillac",
H&G n° 192, sept. 2009) 19 viii 2013
- família: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois)
2.968.097:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois)
2.968.097b:
Fonts:
-2907-
2.968.100:
Michel Smaniotto : "Ducs et comtes en Aquitaine" pp 66/73 -comtes de Périgord-
Bordeaux 1986, qui, évidemment corrige St-Allais, remet un peu d'ordre et ajoute
un degré manquant.
Note de : J-B de La Grandière - 09/12/2014
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Ducs et comtes en Aquitaine"
pp 66/73 -comtes de Périgord- Bordeaux 1986, qui, évidemment corrige St-Allais) 9
xii 2014, S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 29 & 49, 18/11/2012
- família: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Ducs et comtes en Aquitaine" pp
66/73 -comtes de Périgord- Bordeaux 1986, qui, évidemment corrige St-Allais) 9 xii
2014
2.968.101:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Ducs et comtes en Aquitaine" pp
66/73 -comtes de Périgord- Bordeaux 1986, qui, évidemment corrige St-Allais) 9 xii
2014
2.968.102:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto Ducs et comtes en Aquitaine pp.
2.968.104:
RAYMOND [II] "posthumus" ([Oct] 1143-Acre 1191). The Chronicon Gaufredi
Vosiensis records the birth of "Eustorgia…ex Bosone…filium Raymundum" four
months after his father was killed[1210]. Another passage in the Chronicon
Gaufredi Vosiensis names "Raymundum" as son of "Boso" and his wife "filia
Bernardi de Anduza de Aleth…Eustorgia", commenting that he bought "castrum
de Brassac de Vicecomite Guillermo" and acquired "principatum castelli
Salagniacensis de Raymundo Comite Tolosano"[1211]. Vicomte de Turenne.
"Raimundus vicecomes de Torenna" granted exemptions from taxes to Notre-
Dame de Dalon by charter dated 27 Jan 1184[1212]. A notice in the Cartulary of
Beaulieu dated 1190 concerning a dispute between "Raimondus de Turenna" and
the abbey of Beaulieu names "Boso filius eius" and is witnessed by "vicecomitissa
supradicti R vicecomitis uxore Heliz"[1213]. Benedict of Peterborough names
"vicecomes de Turonia" among those who died at the siege of Acre[1214].
m HELIE, daughter of BERNARD de Castelnau & his wife ---. The Chronicon
Gaufredi Vosiensis names "Helis filia Bernardi de Castelnau" as wife of
"Raymundus"[1215]. A notice in the Cartulary of Beaulieu dated 1190 concerning
a dispute between "Raimondus de Turenna" and the abbey of Beaulieu names
"Boso filius eius" and is witnessed by "vicecomitissa supradicti R vicecomitis uxore
Heliz"[1216]. "Heliz vicecomitissa Turennensis" made a charter dated 1203[1217].
She became a nun at Obasine after her second husband died[1218]. Vicomte
Raymond & his wife had five children.
-2908-
[1212] Dalon Notre-Dame 746, p. 182.
[1213] Beaulieu, CXCIV, p. 272.
[1214] Stubbs, W. (ed.) (1847) Gesta Regis Henrici Secundi Benedicti Abbatis, The
Chronicle of the reigns of Henry II and Richard I 1169-1192, known commonly
under the name of Benedict of Peterborough (London) (“Benedict of
Peterborough”) Vol. 2 1190, p. 148.
[1217] Beaulieu, CXCV, p. 274.
[1218] ES III 766.
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Les seigneurs de la vicomté de Turenne au XIIIè siècle,
par Marguerite Guély et FMG) 23xi2011
2.968.105:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les vicomtes de Turenne et les barons de Haut-Quercy,
in Bull. Société Historique de Corrèze) 6 iii 2013
- família: J-P de Palmas (Les seigneurs de la vicomté de Turenne au XIIIè siècle,
2.968.105b:
BOSO . The Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Raymundum…et Bosonem" as
children of "Raymundus" and his wife "Helis filia Bernardi de Castelnau", adding
that Boso died from burns while he was hostage[1220]. A notice in the Cartulary
of Beaulieu dated 1190 concerning a dispute between "Raimondus de Turenna"
and the abbey of Beaulieu names "Boso filius eius" and is witnessed by
"vicecomitissa supradicti R vicecomitis uxore Heliz"[1221].
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les seigneurs de la vicomté de Turenne au XIIIè siècle,
2.968.105c:
-2909-
CONTORS ([1164/70]-). The Chronicon Gaufredi Vosiensis names "filiam
Raymundi Vicecomitis de Torenna…Contors" as wife of "Heliam", son of
"Archambaldus"[1222]. Bertrand de Born refers to "las tres de Torena" whose
beauty he celebrated in one of his love poems, dated to winter 1182/83, Stroński
identifying them as the three sisters Contors, Marie and Hélie[1223].
m (before 1184) HELIE de Comborn, son of ARCHAMBAUD [V] Vicomte de

Comborn & his wife Jordana de Périgord (-[1184/87]).
[1223] Stroński (1914), pp. 34 and 60.
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (M. Roquebert "Muret ou la dépossesion") 24vi2006, J-
P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
- família: C. Saint-Félix (M. Roquebert "Muret ou la dépossesion") 24vi2006
2.968.105d:
HELIE (-after 1214). The Chronicle of Pierre des Vaux-de-Cernay records that
"soror vicecomitis Torenæ" was the wife of "dominus…castri
[Monsfortis]…Bernardus de Causacio" when reporting their cruelty [in
1214][1226]. Raymond Vicomte de Turenne names "B. de Casnac et Heliz uxor
eius" in a charter dated 1214 which records that Simon de Montfort had
confiscated their property, which was restored to Vicomte Raymond[1227].
Bertrand de Born refers to "las tres de Torena" whose beauty he celebrated in one
of his love poems, dated to winter 1182/83, Stroński identifying them as the three
sisters Contors, Marie and Hélie[1228].
m BERNARD de Casnac (Beynac-et-Cazenac, arr. Sarlat, Dordogne) Seigneur

d'Allac (Aillac, Carlux, arr. Sarlat, Dordogne), de Montfort (Vitrac, arr. Sarlat,
Dordogne) et de Domme (-after 1214).
[1226] Chronicle of Pierre des Vaux-de-Cermay 80, quoted in Stroński (1914), p.

45.
[1228] Stroński (1914), pp. 34 and 60.
Fonts:
2.968.106:
Gui II de Sévérac, attesté le 1er mars 1103, fonde l'abbaye Saint-Sauveur de
Séverac en 1116, ordre de Saint-Benoit, dont deux de leurs filles sont
successivement abbesses. Il est marié à Aldoindie. Gui II n'a de son mariage que
-2910-
des filles, et Déodat II, son frère, lui succède.
L'une de ses filles, Alix, se marie à un Raymond, vicomte de Turenne.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Barrau, tome I)
- família: J-P de Palmas (Barrau, tome I)
2.968.107:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Barrau, tome I)
2.968.108:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Ruchaud (Jean-Louis) Gén. limousines et
marchoises : Maumont) 17 v 2014, JB.de La Grandiere ( René de Cosnac La maison
de Malemort en Limousin Brive 1955) 14 x 2014
- família: JB.de La Grandiere ( René de Cosnac "La Maison de Malemort", 1955 ) 19
ix 2014
2.968.109:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( René de Cosnac "La Maison de Malemort", 1955 ) 19
ix 2014
2.968.114:
GUY [V] Mauvoisin (-[1211])). “Guido Malus-Vicinus” donated a boat to Bon Port
Notre-Dame, with the consent of “uxoris mee Aaliz et fratrum meorum Willelmi,
Radulphi, Roberti”, by charter dated 1190[3207]. “Guido Maleuitinus” donated
revenue from “de Roeni et Madunte” to Canterbury, for the soul of “patris mei
Willelmi Maleuicini”, by charter dated to [1190/1200], witnessed by “AÞline matre
mee”[3208]. The necrology of Chartres cathedral records the death “XII Kal Nov”
of "Manasserius miles cognomine Malusvicine nobilis genere" and his donation
from his revenues “de Medunta” which “fideliter tenebat a viro nobili Guidone
Malovicino nepote suo”[3209].
m (before 1190) ALIX, daughter of --- (-before 1235). “Guido Malus-Vicinus”

donated a boat to Bon Port Notre-Dame, with the consent of “uxoris mee Aaliz et
fratrum meorum Willelmi, Radulphi, Roberti”, by charter dated 1190[3210]. The
Scripta de Feodis of King Philippe II record “domina Aaliz de Rooniaco mater
Guidonis Mali Vicini” holding “de regeapud Rooniacum in feodo et dominio et
maritagium filiæ suæ de Soendria”[3211]. “Vuido dictus Malvoisin juvenis
dominus de Roeneio” confirmed a donation “in censiva mea de Roeneio” made by
“Aliz quondam domina de Roeneio avia mea, de assensu Guidonis filii sui
primogeniti patris meiin maretilegio suo de Forranconvilla” to Conflans Saint-
Honorine by charter dated 1265[3212]. Guy [V] & his wife had children.
[3209] Obituaires de Sens Tome II, Eglise cathédrale de Chartres, Obituaire XIV
-2911-
siécle, p. 157.
[3210] Bon-Port Notre-Dame, VIII, p. 7.
[3211] RHGF, Tome XXIII, Scripta de Feodem ad Regem spectantibus, 69, p. 623.
[3212] Depoin, ‘Les comtes de Beaumont-sur-Oise’ (1915), III, 95, p. 120.
Fonts:
- persona: H.R Moser/EuSt-XIII/131, C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des
conflits de sucession dans la noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne "
tome 116 juin 2009) 05.09.09, J-P.de Palmas (FMG et J. Depoin, Cartulaire de
l'Abbaye de St-Martin de Pontoise, fascicule III, 1901) 30 v 2014
- família: H.R Moser/EuSt-XIII/131, C Patrouix : les bases Darbois et jmg2003,
C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la noblesse
au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09
2.968.115:
Fonts:
- família: H.R Moser/EuSt-XIII/131, C Patrouix : les bases Darbois et jmg2003,
C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la noblesse
au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09
2.968.115a:
ALIX Mauvoisin (-9 Oct before 1247). The primary source which confirms her
parentage and marriage has not yet been identified.
m GUILLAUME Bouteiller de Senlis, Seigneur de Chantilly, son of GUY [IV]

Bouteiller de Senlis & his wife Elisabeth de Trie (-1227).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 v 2014
- família: P Ract Madoux (Père Anselme) 3 v 2004
2.968.115b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-VIII/789
2.968.115d:
Fonts:
- persona: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans
la noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09
- família: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la
noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09
2.968.116:
homme de confiance de Raymond VI de Toulouse, modeste seigneur de l'Albigeois
Fonts:
-2912-
- persona: N de Meyrignac (base soudet2, 28vii2008)
- família: N de Meyrignac (base soudet2, 28vii2008)
2.968.117:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (base soudet2, 28vii2008)
2.968.120:
Fonts:
2.968.121:
Fonts:
2.968.121a:
Fonts:
7v2006
2.968.124:
Fonts:
- persona: M.Bacot ( Louis La Roque : "Nobiliaire de Languedoc" )
- família: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque
2.968.125:
Attestée en 1226
Fonts:
- persona: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque
- família: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque
2.968.208:
Fonts:
- família: Joël Chirol (base familiale) 21/08/05, J-P de Palmas (wikipedia) iv2010
2.968.209:
Fonts:
- família: Joël Chirol (base familiale) 21/08/05, J-P de Palmas (wikipedia) iv2010
2.968.209a:
Il était le fils d'Astorg VI d'Aurillac et de Marguerite de Malemort, et avait un
frère, Durand de Montal, seigneur de Laroquebrou.
 Le 24 juin 1261, Astorg et Durand son frère, fils et héritiers d'Austau

d'Orlhac chevallier, abandonnent à Guilhem de Montal, Guillaume de
-2913-
Malemort et Malfre de Castelnau, gardiens du testament de leur père, la
moitié des revenus de toutes leurs terres pendant trois ans afin de payer
les droits, frais, amendes, dettes et aumônes dus par la succession, l'acte
scellé d'Hugues, comte de Rodez, et d'Aymar, abbé d'Aurillac.
 Il fut armé chevalier par Saint Louis le jour de la Pentecôte 1267.
 Le 12 septembre 1269, il obtient d'Alphonse, comte de Poitiers et
d'Auvergne, des lettres au sénéchal du Rouergues pour contraindre
Marguerite de Malmort sa mère à lui rendre la Château de Tinières dont
elle s'était emparé.
 Le 22 août 1270, il vend à son frère Durand de Montal pour 13 060 sols
de Clermont, tout ce qu'il tient de l'abbaye dans les paroisses de
Viescamp, Saint-Étienne, Saint-Géron, Ayrens, Crandelles, Ytrac et Omps
pour suivre Saint Louis lors de la dernière croisade dont il revient
rapidement. Après 1274, il entre en guerre contre le nouveau comte de
Rodez qui exige de lui l'hommage direct à la vicomté de Carlat.
Œuvres
On a conservé de lui un sirventès très beau et très sévère dans lequel il critique la
légèreté du clergé de son temps.
Iconographie : Château de Conros
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05, J-P de Palmas (wikipedia) iv2010
- defunció: J-P de Palmas (testa le 1-ix-1291)
2.968.209c:
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
généralité de Limoges)
2.968.209d:
Fonts:
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, Matthieu de Salins (" La Maison de
Banyuls de Montferré et ses Alliances, Tome II " par Marie-Suzanne Pollet, née
Guyot de Salins) 16 V 2009
2.968.216:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Comborn) 6 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Comborn) 6 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Comborn) 6 iii 2011
- família: Aurejac
2.968.217:
Elle fut chantée par le troubadour Bertran de Born, qui dès son arrivée en
Limousin, en 1184, exprime sa joie de la connaître.
-2914-
Plus tard, elle est appelée par Gaucelme Faydit «Mieux que bien», et eu les
honneurs d'une chanson de ce poète.
«Qu'elle ne m'aime jamais, que je l'aime seul, sans être aimé d'elle, est un
honneur pour moi,
tant si grand en elle le savoir, la connaissance, l'amabilité, la gaîté et les dons;
Grande est sa beauté qui n'a pas de rivale au monde; la courtoisie, elle l'a, et
l'entrain et la jeunesse.
Mais que n'a-t-elle eu une autre attitude envers moi, le jour qu'Amour me fit captif
en son pouvoir !
Car elle ne veut pas que je sois amoureux d'elle et moi je ne puis me tourner d'un
autre côté !»
Source : Hervé Balestrieri ( Marie-Madeleine Macary : "La Corrèze", Fernand Lanore éditeur, Paris 1978; sur
Google Books ) 16.04.2016
Fonts:
par Marguerite Guély) 23xi2011
- família: Aurejac
2.968.217b:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
- defunció: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
- família: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
2.968.218:
BOSON [III] (-before 1209). Vicomte de Turenne. m ---. Boson [III] & his wife had
two children.
Fonts:
- família: Aurejac
2.968.219:
Cette Ne.. n'était pas à sa place donnée comme fille de Pernelle de Chambon =
confusion entre Boson de Turenne et Raymond de Turenne lequel épouse bien une
fille de Pernelle qui était absente.. jblg 18/8/2012
Cette Ne sera replacée comme petite fille de Marquise d'Albon
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t III-4 p 766 -Turenne-
Marburg 1989) 18 viii 2012
- família: Aurejac
-2915-
2.968.220:
Qualificatif : Est dénommé "Renaud le Jeune" dans un acte de son petit-neveu
Gombaud d'Asnières.
Source : Hervé Balestrieri ( d'après Matthieu de Salins, citant "Généalogie des Sires de Pons") 20.09.2014
 croisé 1252
 la désignation "le Jeune", dans les écrits, permet de ici de le distinguer de
son père Renaud de Pons "dit le Vieux"..
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Pons) 23 iii 2011
2.968.221:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Pons) 23 iii 2011
2.968.221b:
24 août 1300 : "Madame Agnès de Pons, dame de Maroyelle (= Mareuil), jadis
fame monsour Guillaume seigneur de Seincte More."
Fonts:
- família 2: J-C de Vaugiraud (D. Vrignaud 2016-10-28 16:55:14 et 2016-10-28
18:28:11 rectifications d'après CM de 1270 et 1300) 29 x 2016
2.968.222:
HUGUES [X] "le Brun" de Lusignan (-Damietta 5 Nov 1219). "Hugues le Brun" ( IX
)donated property, for the souls of "sa femme Aurengardis, son fils Hugues ( X ),
sa fille Ainordis et son frère Geoffroy", by charter dated 12 Nov 1166[882]. His
parentage is confirmed indirectly by the Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines
names "Radulfum de Esselduno qui fuit comes Augi" as "Hugo Brunus fratrem
natu maiorem" (presumably an error for "minorem"), adding that "horum pater
Hugo de Lisegnen" had "fratres…Gaufridum, Henricum regem Cypri et Guidonem
regem Ierosolimorum"[883]. If the charter dated 1168 quoted above correctly
refers to Hugues [IX] de Lusignan, the absence of Hugues [X] from the document
suggests that he must have been the younger child of his parents, maybe born
after the date of the charter. He succeeded his grandfather in 1173 as Sire de
Lusignan. Comte de la Marche: "Hugo Brun com March et Rad com Augi" swore
homage to John King of England, dated 28 Jan 1200[884]. "Hugo Brunus comes
Marchie, dominus Lezignaci et Coiaci" renounced rights over income belonging to
Saint-Hilaire de Poitiers, claimed by "avus meus…dominus Hugo de Lezigniaco"
but relinquished by him before leaving for Jerusalem, with the consent of "filio
meo Hugone Bruno quem tunc unicum habebam", by charter dated 23 Feb
1200[885].
-2916-
[882] Fontaine-le-Comte, 19, p. 27 (not yet consulted).
[883] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1198, MGH SS XXIII, p. 876.
[884] Rotuli Chartarum, 1 John, p. 58.
[885] Saint-Hilaire de Poitiers, CLXXXIV, p. 214.
S'empare du comté de La Marche à la mort de Richard Coeur de Lion en 1199.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p. 292) 11/03/2010, J-
P.de Palmas (FMG) 21 x 2012
- naixement: J-P de Palmas (Aurejac)
- defunció: J-P de Palmas (Aurejac)
- família: Matthieu de Salins (Généalogie des Sires de Pons) 30 IV 2010
2.968.223:
Fonts:
2.968.223c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Felix (base geneanet cayre de Francis Cayre) 10iv2006;
O.Guionneau (site http://a.decarne.free.fr/gencar/dat299.htm#17; 10 VII 09)
- família: C.Saint-Felix (base geneanet cayre de Francis Cayre) 10iv2006
2.968.223d:
Fonts:
- persona: Matthieu de Salins (Généalogie des Sires de Pons) 30 IV 2010
2.968.224:
Fonts:
- família: G.Hazard (Mémoires Académie Sciences & Lettres Montpellier) i2008
2.968.225:
Fonts:
2.968.225a:
Fonts:
2.968.336:
JULIO - Obiit comes Amalricus, era MCCIL
ENERO - Obiit comitissa Armesenda, uxor Comes Amalricii, era Mª CCª
XVª; duplicatum.
(OBITUARIO DE LA CATEDRAL DE BURGOS )
-2917-
In Dei nomine amen. Notum sit legentibus et cunctis audientibus quod
ego dompna Maria Marrich concedo, corroboro et confirmo vobis dompno
Nunio abbati de Vite et successoribus vestris illam sernam que est super
Covellas in Turre quam dedit mater mea, cometissa dompna Armesen,
monasterio de Vite et dompno Dominico abbati eiusdem loci, et fratibus
ibidem Deo servientibus, pro anima patris mei, comitis Almarrici, necnom
et animabus parentum meorum in perpetuum valituram.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
2.968.337:
Obiit comitissa Armesenda, uxor Comes Amalricii, era Mª CCª XVª; duplicatum.
http://www.ih.csic.es/departamentos/medieval/fmh/
Carta de confirmación expedida en enero de 1190 por María Manrique a

favor del monasterio de Santa María de La Vid.
AHN: Sección Clero, carpeta 379, doc. nº 5.
Pergamino: 24 x 18 cm
Ita tamen concedo, corroboto atque confirmo vobis dompno Nunio,
predicto abbati de Vite, et successoribus vestris, ut habeatis potestatem
dandi, vendendi vel cambiandi, et quicquid de ea vobis placuerit faciendi
ad profectum monasterii vestri.
Siquis ex mea vel aliena proienie hanc meam concessionem,
corroboracionem, atque confirmacionem temptare vel diminuere voluerit,
sit a Deo maledictus et excomunicatus, et cum Iuda proditore Domini in
inferno dapnatus, et in super pectet in coto regi sexcentos aureos, et illam
predictam sernam monasterio sepe dicto in tali vel simili loco dupplicatam
restituat.
Facta carta mense ianuario, sub era Mª CCª XXª VIIIª. Regnante rege
Aldefonso in Castella et in Toleto et in omni regno suo. Maiordomus regis
Roi Gutiérrez. Alfierez Diag Lopez. Merino Lop Diaz.
Huius rei sunt testes: don Guillelmo el capellano, don Gil de Covellas,
Garci Martinez, Iohannes Martinez, don Gonzalvo, Martin Paian, Domingo
G[ar]cia el diacono de Sant Vecent, Domingo de Langa, Roi Pedrez,
Roman Dominguez, Pedro Dominguez, Pedro Moriel et suo germano.
Et ego dompna Maria Marrich intromisi Iohannem priorem in illam sepe
dictam sernam in loco abbatis sui coram his testibus prenominatis.
http://www.alcozar.net/historia/monasterio_la_vid.htm
Fonts:
-2918-
2.968.337c:
Carta de confirmación expedida en enero de 1190 por María Manrique a
favor del monasterio de Santa María de La Vid.
AHN: Sección Clero, carpeta 379, doc. nº 5.
Pergamino: 24 x 18 cm
Ita tamen concedo, corroboto atque confirmo vobis dompno Nunio,
predicto abbati de Vite, et successoribus vestris, ut habeatis potestatem
dandi, vendendi vel cambiandi, et quicquid de ea vobis placuerit faciendi
ad profectum monasterii vestri.
Siquis ex mea vel aliena proienie hanc meam concessionem,
corroboracionem, atque confirmacionem temptare vel diminuere voluerit,
sit a Deo maledictus et excomunicatus, et cum Iuda proditore Domini in
inferno dapnatus, et in super pectet in coto regi sexcentos aureos, et illam
predictam sernam monasterio sepe dicto in tali vel simili loco dupplicatam
restituat.
Facta carta mense ianuario, sub era Mª CCª XXª VIIIª. Regnante rege
Aldefonso in Castella et in Toleto et in omni regno suo. Maiordomus regis
Roi Gutiérrez. Alfierez Diag Lopez. Merino Lop Diaz.
Huius rei sunt testes: don Guillelmo el capellano, don Gil de Covellas,
Garci Martinez, Iohannes Martinez, don Gonzalvo, Martin Paian, Domingo
G[ar]cia el diacono de Sant Vecent, Domingo de Langa, Roi Pedrez,
Roman Dominguez, Pedro Dominguez, Pedro Moriel et suo germano.
Et ego dompna Maria Marrich intromisi Iohannem priorem in illam sepe
dictam sernam in loco abbatis sui coram his testibus prenominatis.
http://www.alcozar.net/historia/monasterio_la_vid.htm
Fonts:
- família: H.R.Moser/Salazar
2.968.338:
García Ramírez (n. ? - † Lorca (Navarra), 21 de noviembre de 1150), rey de Navarra (1134-1150).
Elegido por los magnates y obispos navarros como rey al no acatar las disposiciones testamentarias de
Alfonso I, "el Batallador".
Hijo del infante Ramiro Sánchez, señor de Monzón, y de Cristina, hija del Cid Campeador.
Parece que buscando una solución a la separación de los reinos de Aragón y Navarra, que habían sido
gobernados conjuntamente desde la muerte de Sancho, "el de Peñalén", hasta la muerte de Alfonso, "el
Batallador", propusieron que el rey-monje de Aragón fuese el "padre" y García Ramírez el "hijo". Los
dos conservarían su respectivo reino, sin embargo, la primacía sobre el pueblo sería de Ramiro.
Al entrar en Zaragoza Alfonso VII de León y Castilla y rendirle vasallaje los aragoneses, se acentúa la
separación entre los dos reinos que en su día fueron feudo de Sancho Garcés III.
Aliado con Alfonso I de Portugal, en 1137 se enfrentó a Alfonso VII de Castilla, a quien había prestado
vasallaje. Firmaron la paz (1139-1140).
Los navarros ocuparon Tauste en el 1146, pero Alfonso VII actuó como árbitro entre los dos reinos.
-2919-
En 1144, después de enviudar García Sánchez, se casó con una hija de Alfonso, siendo a partir de esa
fecha parientes del emperador leonés-castellano los reyes de Navarra y Aragón; Ramón Berenguer era
cuñado y García Sánchez yerno. Ambos se reconocieron vasallos del emperador Alfonso VII.
A partir de esa fecha vemos a García Ramírez auxiliando a Alfonso VII en sus campañas de
reconquista, concretamente en la campaña de Almería, que fue conquistada por las tropas cristianas en
1147.
En 1149 firmó un tratado de paz con Ramón Berenguer, por el cual el catalán se casaría con Blanca, la
hija de García Ramírez, a pesar de estar prometido con Petronila de Aragón, pero al morir García
Ramírez no se llevó a cabo el compromiso.
Murió el 21 de noviembre de 1150 en Lorca, cerca de Estella.
Casado después de 1130 con Marguerite de l'Aigle. En segundas nupcias se casó, el 24 de junio de
1144, en León, con Urraca Alfonso de Castilla, hija bastarda de Alfonso VII de León y de Guntroda.
Hijos:
Sancho VI, "El Sabio", rey de Navarra, casado con Sancha (Beatriz) de Castilla,
Blanca de Navarra, n. después de 1133, que se casó con Sancho III "El Deseado", de Castilla.
Margarita de Navarra, casada con Roger II (m. 1154), Rey de Sicilia.
Sancha.
Rodrigo Garcés, Conde de Montescaglioso.
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Fonts:
- família 1: C.Denancé (F.Morvan "les Avaugour" in Mémoires de la Société
d'Histoire et d'Archéologie de Bretagne, tome LXXXII, 2004) 02.01.09
2.968.339-1b:
Sancho VI, "el Sabio", (? - † 1194), rey de Navarra (1150-1194).
Hijo de García Ramírez, fue el primero que recibió el título de rey de Navarra.
Su reinado se caracterizó por los enfrentamientos con Castilla y Aragón, por las importantes obras
arquitectónicas que realizó y por la fundación de numerosos monasterios cistercienses.
Las dificultades iniciales le obligaron a llevar a cabo reformas jurídicas y administrativas tendentes a
mejorar la hacienda real, medidas que aumentaron su popularidad y le permitieron enfrentarse a las
consecuencias del Tratado de Tudellén (1151) y del Tratado de Carrión, ambos firmados por Castilla y
Aragón para repartirse el reino de Navarra.
Por el Acuerdo de Soria, Castilla conservaría sus posesiones en Navarra. Las relaciones con Aragón
fueron difíciles en vida de Ramón Berenguer IV. A su muerte, Alfonso II de Aragón y Sancho VI firmaron
un acuerdo (1163) para repartirse las tierras conquistadas al rey Lobo de Murcia. En 1190 firmaron un
nuevo acuerdo en Borja para protegerse mutuamente de las pretensiones expansivas de Castilla.
Muere el 27 de junio de 1194 en Pamplona.
En 1157 se casó con Sancha de Castilla, hija de Alfonso VII.
Hijos:
Berenguela de Navarra, casada con Ricardo I "Corazón de León", Rey de Inglaterra.
Sancho VII "El Fuerte" de Castilla, Rey de Navarra.
Blanca de Navarra, Reina de Navarra, casada con Teobaldo III, Paladino de Champaña.
Fernando (Fernyo) de Navarra.
Ramiro de Pamplona, Obispo de Pamplona (m. 1228).
Constanza de Navarra.
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Fonts:
- defunció: JL.Mondanel (postérité du Cid) 15 viii 2011
-2920-
2.968.340:
Mathieu Ier de Montmorency[1] (v. 1100 – 1160), fut seigneur de Montmorency,
d'Écouen, de Marly-le-Roi, de Conflans-Sainte-Honorine et d'Attichy. Il fut aussi
connétable de France de 1138 à 1160 sous Louis VII le Jeune.
Il est le fils aîné de Bouchard IV de Montmorency et d'Agnès de Beaumont-sur-

Oise, dame de Conflans-Sainte-Honorine.
Vers 1126[2], il épouse Aline ou Alix, fille illégitime du roi Henri Ier d'Angleterre,
laquelle lui donne :
 1.Henri, mort jeune[3]

 2.Bouchard V de Montmorency[4],[5] († 1189, Jérusalem), qui épouse en
1173 Laurette ou Laurence de Hainaut († 9 août 1181), fille du comte
Baudouin IV de Hainaut. Ils auront un fils Mathieu II de Montmorency
surnommé le Grand ;
 3.Thibaud de Montmorency, seigneur de Marly, il partit en croisade en
1173. Il finit sa vie comme moine de Cîteaux en 1190[6] ;
 4.Hervé de Montmorency, abbé de Saint-Martin de Montmorency, puis
diacre et doyen de l'Église de Paris[7] ;
 5.Mathieu de Montmorency, il hérite de la seigneurie de Marly de son
frère Thibaud et devient l'auteur de la branche de Montmorency-Marly ;
père de Bouchard de Marly.
En 1141[8], Mathieu de Montmorency épouse en secondes noces Adèle de Savoie

(ou Alix, ou Adélaïde) (1100 – 1154), veuve du roi Louis VI le Gros. Adèle de
Savoie est la fille du comte de Savoie, Humbert II et de Gisèle de Bourgogne,
sœur du pape Calixte II.
De cette seconde épouse ou de la première est née une autre fille : Aelis, Alix ou
Adèle de Montmorency.
1. .↑ Généalogie de Mathieu Ier de Montmorency sur le site Medieval Lands

[archive]
2. .↑ Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France [archive],
1815, p. 272
3. .↑ Nobiliaire universel de France [archive], p. 272
4. .↑ Fils de Mathieu Ier, il est nommé Bouchard V selon Joseph Louis
Ripault Desormeaux, Histoire de la maison de Montmorenci [archive], p.
29
5. .↑ Identifié à peut être Bouchard IV par Medieval Lands [archive]
-2921-
Sa notice par Georges Martin
Mathieu I, seigneur de Montmorency, d'Ecouen, de Marly, de Conflans-Sainte

Honorine (en partie), de Saint-Brice-sous-Forêt et d'Attichy, d'Epinay-sur-Seine,
de Saint Marcel, de Taverny, fit un procès à sa belle-mèr, Agnès de Pontoise.
Il offrit la moitié de la dîme de fèves de Saint-Brice au prieuré de Saint-Martin-
des-Champs. Il fit partie de l'expédition contre le comte de Toulouse. En 1134,
avec son parent Mathieu ler de Beaumont il demanda la création d'une foire à
Conflans-Sainte-Honorine, accordée par le roi Louis VI. Le premier document qui
atteste de la possession d'Epinay est en date de 1155. Il fut fait connétable de
France en 1136 et les années suivantes, bien que l'on ne connaisse pas ses faits de
guerre.
Il fallait qu'il fût un seigneur très important pour épouser une fille d'un roi même
si celle-ci était bâtarde, et la veuve d'un autre.
En 1146, il assista à l'assemblée d'Étampes, et fut nommé avec Suger au conseil
de régence en l'absence du roi pendant la croisade. Il fit édifier le château de la
Chasse. Très pieux, il créa le prieuré Victorin du Bois Saint-Père et l'installation
d'une communauté à Montmorency. Il mourut en 1160.
Il épousa en premières noces, en 1126, Aline d'Angleterre, fille naturelle et
légitimée de Henri roi d'Angleterre, et soeur d'Élisabeth, reine d'Ecosse ; de
Mahaut, duchesse de Bretagne. Elle mourut vers 1140. Veuf, il épousa en
deuxièmes noces, en 1141. Adélaïde de Savoie, veuve de Louis VI le Gros, roi de
France, et fille du comte Humbert II de Savoie, dit le Renforcé, et de Gisèle de
Bourgogne. De ce fait, il devint notamment le beau-père du Louis le Jeune et de
Constance, reine d'Angleterre. Reine de France, son nom apparaît assez souvent
dans les diplômes du roi à partir de 1119. Elle eut une part dans les évènements
politiques; elle s'opposa aux Garlande qui régnaient sur l'esprit du souverain et
contribua à leur chute en 1127. Très pieuse, elle favorisa les monastères. Elle
fonda la célèbre abbaye de Montmartre qu'elle enrichit de ses bienfaits. Elle se
retira à la fin de sa vie à l'abbaye de Montmartre où elle mourut en 1154.
Jean-Pierre de Palmas citant: Histoire et généalogie de la maison de Montmorency par Georges Martin
Fonts:
- persona: E.Arminjon, J-P de Palmas (wikipedia) 12iv2011
- família 1: E.Arminjon, J-P de Palmas (wikipedia) 12iv2011
- família 2: J-P de Palmas (wikipedia) 11iv2011
2.968.341:
ALIX [Aline] (-24 Apr, before 1141). Guillaume de Jumièges records that one
illegitimate daughter of King Henry I married "Matthæo filio Burchardi de
Montemorenceio"[291]. Duchesne dates the marriage to 1126 but cites no source
which provides the basis for this statement[292]. The necrology of Saint-Victor,
Paris records the death "VIII Kal Mai" of "Alina uxor Mathei de
Montemorenciaco"[293].
m (1126) as his first wife, MATHIEU [I] de Montmorency, son of BOUCHARD [III]
Sire de Montmorency & his first wife Agnès de Beaumont-sur-Oise (-1160). He
succeeded his father as Sire de Montmorency in [1130/32]. Constable of France.
-2922-
[291] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VIII, XXIX, p. 307.
[292] Duchesne, A. (1624) Histoire généalogique de la maison de Montmorency et

de Laval (Paris), p. 97.
Fonts:
- persona: E.Arminjon, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 17 v 2016
- família: E.Arminjon, J-P de Palmas (wikipedia) 12iv2011
2.968.341a:
Mort jeune.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 12iv2011
2.968.341c:
Il partit en croisade en 1173. Il finit sa vie comme moine de Cîteaux en 1190[1].
Références
1. Nobiliaire universel de France, p. 273
Fonts:
2.968.341d:
Fonts:
2.968.341-2a:
Fonts:
2.968.342:
GUILLAUME [IV] (-after 26 Aug 1188, bur La Charité-sur-Loire). "Robertus comes
Mellenti" confirmed donations to Gournay Sainte-Marie made by "pater meus
Galerannus comes et mater mea Agnes", in the presence of "Willelmus de
Garlanda, Robertus Malusvicinus et Drogo de Mello fratres, Willelmus
Malusvicinus, Manasses frater eius…", by undated charter dated to after
1166[1906]. “Drogo de Merloto” donated property from "Mintriaci" Nitry to La
Charité-sur-Loire, for the soul of “fratris mei Roberti et Vuillelmi ibidem
sepultorum”, with the consent of "domino Vuillelmo de Merloto…et uxore mea
Ermengardi", by charter dated 1177[1907]. Louis VII King of France confirmed
the donations to La Charité-sur-Loire made by "Vuillermum de Garlanda", for the
soul of “fratris sui Roberti ibidem sepulti”, and by "Drogonem de Merloto predicti
-2923-
Roberti fratrem pro eodem Roberto", by charter dated 1177[1908]. “Guillelmus de
Garlanda” donated land “de nemore Talebot” to Jumièges, with the consent of
“Ydonie uxoris mee et Guillelmi filii mei primogeniti”, by charter dated 26 Aug
1188[1909].
m IDOINE de Gisors, daughter of HUGUES de Gisors & his wife Mathilde --- (-
[1208]). A charter dated 1150 records that Louis VII King of France exiled
"Theobaldum de Gisortio" who went to “villam suamBeeleium” with “Willelmum
abbatem” who took them to the church of Saint-Martin de Pontoise, and that while
at Le Bellay "Robertus de Relhi" donated “decimam” with the support of “ipsum
Theobaldo uxor eius Rohaidis et sororia ejus Mathildis quæ fuerat uxor Hugonis
de Gisortio fratris Theobaldi et filius eiusdem Mathildis Johannes nepos Theobaldi
et soror Johannis Idonea”[1910]. Her parentage and marriage are indicated by an
undated charter under which “Johannes de Gysorcio” donated revenue from
“furno meo de Chars” to Livry, for the soul of “Anselli nepotis mei”, witnessed by
“Guillelmus de Garlanda, Odo de Gysorcio”[1911]. “Guillelmus de Garlanda”
donated land “de nemore Talebot” to Jumièges, with the consent of “Ydonie uxoris
mee et Guillelmi filii mei primogeniti”, by charter dated 26 Aug 1188[1912].
“Idonea” donated property to Livry, for the soul of “Vuillelmi de Garlanda
quondam viri mei etfiliorum meorum maxime pro anima filii mei Theobaldi pro
quo abbatia constructa est”, with the consent of “Vuillelmi filii mei”, by charter
dated Sep 1205[1913]. Guillaume [IV] & his wife had five children.
[1906] Pontoise Saint-Martin, Fascicule 3, Appendix, p. 259, quoting A. N. LL

1397 fol. 22.
[1907] La Charité-sur-Loire, LXXIII, p. 167.
[1908] La Charité-sur-Loire, LXXIV, p. 168.
[1909] Jumièges, Tome II, CLII, p. 94.
[1910] Pontoise Saint-Martin CXVI, p. 90.
[1911] Pontoise Saint-Martin, p. 410, quoting Cartul. vetus Livriaci, fol. 36, Bibl.
de Ste-Geneviève, ms. 676, fol. 3.
[1912] Jumièges, Tome II, CLII, p. 94.
[1913] Pontoise Saint-Martin, p. 410, quoting Cartul. vetus Livriaci, fol. 28, Bibl.
de Ste-Geneviève, ms. 676, fol. 19.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) ix 2010 et 2016,
F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien)
- família: Anselme VI, 32, J-P.de Palmas (Actes concernant St-Martin des Champs )
6 x 2012
2.968.343:
-2924-
IDOINE de Gisors (-[1208]). A charter dated 1150 records that Louis VII King of
France exiled "Theobaldum de Gisortio" who went to “villam suamBeeleium” with
“Willelmum abbatem” who took them to the church of Saint-Martin de Pontoise,
and that while at Le Bellay "Robertus de Relhi" donated “decimam” with the
support of “ipsum Theobaldo uxor eius Rohaidis et sororia ejus Mathildis quæ
fuerat uxor Hugonis de Gisortio fratris Theobaldi et filius eiusdem Mathildis
Johannes nepos Theobaldi et soror Johannis Idonea”[383]. Her parentage and
marriage are indicated by an undated charter under which “Johannes de
Gysorcio” donated revenue from “furno meo de Chars” to Livry, for the soul of
“Anselli nepotis mei”, witnessed by “Guillelmus de Garlanda, Odo de
Gysorcio”[384]. “Guillelmus de Garlanda” donated land “de nemore Talebot et
medietatem nemoris de Genesvilla” to Jumièges, with the consent of “Ydonie
uxoris mee et Guillelmi filii mei primogeniti”, by charter dated 26 Aug 1188[385].
“Idonea” donated property to Livry, for the soul of “Vuillelmi de Garlanda
quondam viri mei etfiliorum meorum maxime pro anima filii mei Theobaldi pro
quo abbatia constructa est”, with the consent of “Vuillelmi filii mei”, by charter
dated Sep 1205[386].
m GUILLAUME [IV] de Garlande, son of GUILLAUME [III] de Garlande & his wife
Agnes --- (-after 26 Aug 1188).
[383] Pontoise Saint-Martin CXVI, p. 90.
[384] Pontoise Saint-Martin, p. 410, quoting Cartul. vetus Livriaci, fol. 36, Bibl. de
Ste-Geneviève, ms. 676, fol. 3.
[385] Vernier, J. J. (1916) Chartes de l’abbaye de Jumièges (Rouen, Paris)

(“Jumièges”), Tome II, CLII, p. 94.
[386] Pontoise Saint-Martin, p. 410, quoting Cartul. vetus Livriaci, fol. 28, Bibl. de
Ste-Geneviève, ms. 676, fol. 19.
Fonts:
- família: Anselme VI, 32, J-P.de Palmas (Actes concernant St-Martin des Champs )
6 x 2012
2.968.343a:
GUILLAUME [V] (-1216). Seigneur de Livry. "Willelmus de Gallanda" donated
revenue from property "in vico Novo juxta ecclesiam Sancte Genovefe Parve" to
Paris Hôtel-Dieu, with the consent of "Aales uxoris mee", by charter dated
1212[533].
m ADELA de Châtillon, daughter of GUY [II] Seigneur de Châtillon-sur-Marne &

his wife Alix de Dreux (-after 1216). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines
names "Guidonem et Galterum et Alaydem uxorem Guilelmi Noblet" as the
children of "Alaydis [filia comitem de Brana Robertum domnum]" & her second
husband[534]. "Willelmus de Gallanda" donated revenue from property "in vico
Novo juxta ecclesiam Sancte Genovefe Parve" to Paris Hôtel-Dieu, with the
consent of "Aales uxoris mee", by charter dated 1212[535]. Guillaume [V] & his
-2925-
wife had three children.
Fonts:
- persona: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien), J-P de Palmas
(Medieval Genealogy) 10ii2011
- defunció: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)
- casament 1: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle
en Picardie, T. I, P. 217 et ss) 12 ix 2013
- família 1: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en
Picardie, T. I, P. 217 et ss) 12 ix 2013
- família 2: H.R.Moser/EuSt-XIII/113, J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman:
Les seigneurs de Nesle en Picardie, T. I, P. 217 et ss) 12 ix 2013
2.968.343b:
Fonts:
- persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)
2.968.343c:
1205 : "Robert de Garlande, du consentement d'Archambaut, chevalier, et de Gui,
vidame de Senlis, et d'Idoine mère de lui Robert, cède au chapitre l'usage des bois
du Tronquoi et de Nointel". Archives de l'Oise G 2244 (Cartulaire de ND de Senlis,
Comité archéologique de Senlis, 1862, p. 60).
S. Jahan 1 ii 2016
Fonts:
- persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)
2.968.343d:
En 1196, Thibaud de Garlande échange, avec ses frères Guillaume et Robert, ses
biens de Mantes contre la seigneurie de Châteauneuf-sur-Epte appartenant à
l'abbaye de Saint-Denis.
Il se serait marié avec Idoine de Trie et aurait un fils Thibaud ? Est-ce Idoine de
Trie ?
Fonts:
- persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), S.Fourlinnie (Annales
de la Société historique & archéologique du Gâtinais, 1913/tome 31, p 283)
17/9/2015
- enterrament: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle
en Picardie, T. I, P. 217 et ss) 12 ix 2013
2.968.343f:
Fonts:
- persona: Anselme VI, 32, J-P.de Palmas (Actes concernant St-Martin des Champs
) 6 x 2012
-2926-
2.968.344:
Il gouverne de 1180 environ jusqu’en 1223. Il gère ses possessions à partir de son
château d’Anduze, il lève des impôts, rend la justice, perçoit les péages et fait
respecter la paix dans ses domaines. Généreux, il concède de nombreuses
donations aux abbayes. Erudit, il est l’ami et le protecteur des troubadours.
D’après Mazon (p 487), les possessions des Anduze à Largentière remonteraient à
l’année 1190. Le 8 juillet de cette année là, Nicolas, évêque de Viviers concède en
fief à Bermond (s’agit-il simplement d’une confusion de prénom ?) d’Anduze un
sixième de Largentière, de Sigalières, de Chassières… avec leurs revenus sur les
hommes, justice, fours, moulins, bans, tailles, leudes et marchés…
En 1183, Bernard d’Anduze fait une donation à la confrérie de Sommières pour le

rétablissement de la paix que le comte de Toulouse conclut avec le roi d’Aragon.
Le 20 mars 1194, Bernard VII, seigneur d'Anduze, Sauve, Sommières et en partie
d'Alès est présent à la donation que Raymond V de Toulouse fait à Guillaume de
Montpellier du Château de Frontignan.
En 1197, il est caution pour Bernard, comte de Comminges, dans son contrat de
mariage avec Marie de Montpellier.
En juillet 1198, Bernard transige avec Raymond VI, comte de Toulouse, Nicolas
évêque de Viviers et Aymard de Poitiers comte de Valentinois, au sujet de leurs
prétentions sur les mines d'argent près de Largentière. Il en conserve un sixième.
En mars 1199, Il rend hommage avec son fils Pierre Bermond, à Guillaume,
évêque d'Uzès, pour les châteaux de Saint-Ambrois, Montallet et Genouiac. En
septembre 1199, Bermond V, co-seigneur de Sommières, lointain cousin de
Bernard d’Anduze, rend hommage à ce dernier pour son château de Montmirat.
La seigneurie de Sommières retourne à la branche aînée à la mort de Bermond V
(Bertier de Sauvigny).
Le 3 septembre 1200, Bernard confirme au prieur de Sauve l'hommage que son
grand père Bernard avait bien voulu lui rendre pour la viguerie de Portes. Dans
son testament du 4 novembre 1202, Guilhem VIII, seigneur de Montpellier, choisit
Bernard d’Anduze comme protecteur de ses enfants. En 1208, Il donne avec son
fils Pierre-Bermond tout ce qu'il a dans le diocèse d'Agde à l'abbaye de Valmague
et en 1216, il offre la ville de Saint-Martin de Garrigues à la même abbaye.
Bernard et son fils Pierre-Bermond assiste, comme plusieurs autres barons
languedociens, à la cérémonie humiliante à laquelle se soumet Raymond VI de
Toulouse, dans l’église de Saint-Gilles, pour obtenir la levée d’excommunication
lancée contre lui en 1207 et 1208 pour avoir favorisé les Albigeois.
En février 1214, confirmation d’une donation de treize métairies (mansos), faite à
l’abbaye de Bonneval en Rouergue, par Bernard VII, seigneur d’Anduze, et par son
fils aîné Pierre-Bermond VI, seigneur de Sauve (Sommières à travers les archives
[35]).
Bertier de Sauvigny rapporte que Raymond-Gaucelin, seigneur de Lunel, ayant
fait son testament le 5 avril 1215, sa veuve et les tuteurs de son fils Pons
n’osèrent l’ouvrir sans en avoir obtenu la permission de Bernard d’Anduze, leur
suzerain, ce qui fut fait le 4 juillet 1215.
Bernard d'Anduze et Marquise vendent, en mars 1216, à l'hôpital Notre-Dame du
Puy, au prix de 8000 sous du Puy, le château de Fressac (dioçèse de Nîmes) [36].
Pierre-Bermond et autre Bernard, cités dans l’acte, seraient-ils les frères du
vendeur comme l’affirme l’auteur du Nobiliaire du Velay et de l’ancien diocèse du
Puy ou, plus probablement, son fils et son petit-fils ?
Le 12 avril 1217, Bernard confirme avec Pierre-Bermond, son petit fils, Bernard et
Bermond ses enfants, les privilèges qu'il a accordé 30 ans plus tôt aux habitants
-2927-
d'Anduze et leur promet de ne lever ni taille ni exaction sur eux. Il règle ensuite la
manière dont doit être exercée la justice. Il accorde des privilèges similaires et
donne la coutume à Alès en 1216 et à Sommières en 1222 [37].
Marquise dont on ne connaît pas la famille, a mis au monde au moins cinq enfants
:
 Pierre-Bermond qui suit, décédé avant son père ;

 Azalais épouse d’Odilon de Mercœur ;
 Bermond, évêque de Viviers, décédé entre 1232 et 1233. Son église
profite de la ruine de Raymond VI de Toulouse en s’attribuant un tiers de
la seigneurie de Largentière. Dès son avènement, Raymond VII veut
récupérer les fiefs de son père et Bermond est la cible des attaques des
troupes toulousaines. Après un échec en fin 1222, Raymond VII revient
en force en juillet suivant et s’empare de la ville. Bermond en appelle au
pape Honorius III qui invite alors le comte à restituer les biens de l’Église
de Viviers ; Le Toulousain maintient ses troupes et l’ultimatum du pape
demeure sans effet. En 1226, sur la demande d’Honorius, le roi Louis VIII
de France, à la tête d’une armée de 100 000 hommes, entre en
Languedoc et récupère Largentière.
 Bernard VIII époux de Vierne du Luc ; une lettre du Pape Innocent III,
datée du 15 janvier 1216 et concernant Bernard d’Anduze le Jeune est
collationnée dans le Bullaire[38] de Magdelone. Resté fidèle au roi de
France, il reçoit certains biens ayant appartenus à son neveu Pierre-
Bermond VII dont il rend hommage à Amaury.
 Sybille femme de Raimond-Pelet II de Narbonne
Références
1. [35] Sommières à travers les Archives

2. [36] Nobiliaire du Velay p 126 Gaston de Jourda de Vaux
3. [37] Généalogie de la maison d’Anduze Le laboureur
4. [38] Bullaire de Maguelone Roquette
seigneur de Portes (30), Largentière (30), cosgr d'Alès (30)
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011, , JB.de La
Grandiere ( Charles Arminjon L'ascendance de Gabrielle Ochier t I pp 40/49
(Anduze) Lyon 2004 ) 20 ii 2012
- família: J-P de Palmas (wikipedia) iii2010, C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado
"Genèse des lignages méridionaux") 7v2006
2.968.345:
fille probable de Bernard et donc petite-fille de Pierre "Bermond", fils de Pierre
"Bermond" etc tous seigneurs de Sauve [Detlev Schwennicke Europäische
Stammtafeln t XIV p 35 (d'Anduze sgrs) Marburg 1991]
-2928-
Fonts:
- persona: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edouard Dumas, 1990), J-P de
Palmas (Les premiers sires d'Anduze), JB.de La Grandiere ( Charles Arminjon
L'ascendance de Gabrielle Ochier t I pp 40/49 (Anduze) Lyon 2004 ) 20 ii 2012
- família: J-P de Palmas (wikipedia) iii2010, C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado
2.968.345a:
Le 15 avril 1220, Bernard d’Anduze, fils de Bernard, notifie avoir reçu en fief
d’Amaury de Montfort une moitié de la ville d’Alès (Layettes du Trésor des
1
chartes).
Bernard VIII époux de Vierne du Luc ; une lettre du Pape Innocent III, datée du 15
janvier 1216 et concernant Bernard d’Anduze le Jeune est collationnée dans le
2
Bullaire de Magdelone .
Resté fidèle au roi de France, il reçoit certains biens ayant appartenus à son
neveu Pierre-Bermond VII dont il rend hommage à Amaury.
Références
1. Original parchemin scellé, 15 avril 1220 Teulet Layettes du Trésor des

chartes, n° 255, p. 85.
2. Bullaire de Maguelone Roquette
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné, J-P de Palmas (Les premiers sires
d'Anduze) 21 ii 2011
2.968.345c:
Dite fille de Bernard (VII ?) sire d'Anduze (mère non citée).
Note de : J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26.03.2010
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26.03.2010, J-P de Palmas (wikipedia)
iii 2010
- família: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
2.968.345d:
Bermond d’Anduze fut élu évêque de Viviers en août 1222 et mourut
probablement en 1244.
Biographie
Son église avait profité de la ruine de Raymond VI de Toulouse en s’attribuant le
-2929-
tiers de la seigneurie de Largentière. Dès l’avènement du jeune Raymond VII, qui
voulait récupérer les fiefs de son père, Bermond fut la cible des attaques des
patriotes toulousains. Après un échec en fin 1222, Raymond VII revint en forces
en juillet suivant et s’empara de la ville. Bermond en appela au pape Honorius III
qui invita le comte de Toulouse à restituer les biens de l’Église de Viviers ; s’il
refusait d’obéir, il courrait le risque de ne jamais obtenir l’absolution, qu’il
sollicitait. Raymond VII maintint ses troupes et le 26 février 1225, un ultimatum
du pape demeura sans effet. C’est alors que, sur la demande de Honorius III, le roi
Louis VIII de France se mit en marche vers le Languedoc avec une armée de 100
000 hommes en 1226 et récupéra Largentière.
À la suite du Traité de Paris de 1229, le sénéchal de Beaucaire somma

immédiatement l’évêque de Viviers de se reconnaître vassal du roi Louis IX.
Bermond protesta et le sénéchal saisit le temporel de son diocèse et ses biens
propres. Bermond d’Anduze se plaignit à l’empereur mais n’en reçut pas d’aide.
En 1235, il se mit donc en route pour l’Allemagne, rejoignit Frédéric II à

Haguenau et obtint de lui, en janvier 1236, une bulle confirmant tous les biens et
tous les privilèges de son église. À l’égard de Raymond VII, Bermond témoigna
une rancune tenace. Le 25 juillet 1240, il tint à s’associer à Zoen (en), archiprêtre
de Bologne, légat du pape, pour l’excommunier solennellement.
En dehors de ses démêlés avec le comte de Toulouse et le roi de France, Bermond

d’Anduze se montra fort actif. Il mit fin, le 8 septembre 1223, au procès entre son
frère, Pierre Bermond IV, et Vierne, sa belle-sœur, au sujet des péages de la ville
d’Alès. En 1228, il siégea au quatrième concile d’Orange. Le 5 mai 1231, il écrivit
au pape Grégoire IX pour lui recommander la cause d’Étienne, évêque de Die,
qu’il était question de canoniser. En 1242, enfin, il termina un procès entre son
église et celle de Saint-Marcel d’Ardèche et fut arbitre entre le commandeur de
Jalès et le prieur de Bourg-Saint-Andéol.
Fondateur des maisons de Sauve et d'Anduze.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) iii2010, C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado
2.968.345f:
Fonts:
- persona: A.Euverte(Histoire de Sainte-Bazeille par l'abbé Alis)19.iv.2006
2.968.347:
BEATRIX de Béziers ([after 21 Apr 1154]-after Jan 1193). The Historia Albigensis
records the marriage of Comte Raymond and "sororem vicecomitis
Biterrensis…Beatricem" whom he repudiated[129]. The Chronicle of Guillaume de
Puylaurens records that Comte Raymond VI married "Béatrice sœur de Trencavel
vicomte de Béziers" whom he repudiated, but he confuses her with her daughter
when he adds that she married secondly "Pierre Bermond de Salvio"[130]. As only
two daughters were mentioned in Raymond Trencavel´s testament dated 21 Apr
1154, it is presumed that the third daughter was born after this date. It is possible
that this was either Adelais or Beatrix as no source has yet been identified which
-2930-
confirms the order of birth of these two younger daughters. "Rogerius comes
Biterrensis" conceded "castro Mesoa" to "Beatrici sorori meæ" by charter dated
Jan 1193[131], which is likely to indicate the date of her separation from her
husband. She retired to a Cathar convent after her repudiation.
m ([Sep 1176/1179], repudiated Jan 1193 or before) as his second wife,

RAYMOND de Toulouse, son of RAYMOND V Comte de Toulouse & his wife
Constance de France (27 Oct 1156-Toulouse 2 Aug 1222). He succeeded his father
in 1194 as RAYMOND VI Comte de Toulouse, Duc de Narbonne, Marquis de
Provence.
in Foundation for Medieval Genealogy
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 29 viii 2015
2.968.347-4a:
NOTICE RAYMOND VII 1222-1249
on Foundation for Medieval Genealogy
RAYMOND de Toulouse (Beaucaire, Gard Jul 1197-Millau, Aveyron 27 Sep 1249,

bur Fontevraud). The Annals of Burton record the birth in 1197 of “Reimundum
suum primogenitum” to “Johanna comitissa de Sancto Egidio, soror Ricardi regis
Angliæ”[614]. The Chronicle of Guillaume de Puylaurens records that Raymond
was born in 1197 at "Beaucaire dans le diocese dÁrles"[615]. A "Chronique en
records the birth in Jul 1197 of "R. coms de Tholosa fils de la regina
Johanna"[616]. The testament of "Raymundus…dux Narbone, comes Tolosæ,
marchio Provinciæ" is dated 11 Sep 1209 and names "…Raymundo filio
meo…"[617]. "Raymunduscomes iuvenis Tolosæ, filius Raymundi comitis Tolosæ
et reginæ Johannæ uxoris quondam eiusdem" donated property to "Raymundo de
Rochafolio" by charter dated 5 Jan 1217[618]. He succeeded his father in 1222 as
RAYMOND VII Comte de Toulouse. Emperor Friedrich II granted the county of
Venaissin to Comte Raymond by charter dated Sep 1234[619]. The testament of
"R…comes Tholose, marchio Provincie, filius quondam domine regine Johanne",
dated 23 Sep 1249, chooses burial at Fontevraud, and appoints "filiam nostram
Johannam uxorem…Alfonsi comitis Pictavensis" as his heir[620]. Matthew of Paris
records the death in 1249 of "comes Sancti Egidii sive Thosolanus Reimundus",
specifying that he was "miles strenuus et circumspectus et domino Papæ
amicissumus" and that he requested burial at Fontevrault at the feet of "regis
Ricardi cuius consanguineus erat"[621]. The Annales Sancti Victoris Massilienses
record the death in 1249 of "Raymundus comes Tolosanus"[622]. A manuscript
chronicle records the death in 1249 of "D. Raymundus comes Tolesanus"[623]. A
"Chronique en Languedocien, tirée du cartulaire de Raymond le Jeune comte de
Toulouse" records the death "lo quart dia en la fi de Setembre en Dimenge" in
1249" of "R. coms de Tholosa fils de la Regina Joanna as Amihau"[624]. An early
13th century genealogy of the comtes de Toulouse written by Bernardus Guidonis
records the death "1249 VI Kal Octapud Amiliacum" of "Raymundus ultimus
-2931-
comes Tolosanus" aged 52 and his burial "apud Fontem-Ebrauldum"[625].
Betrothed (Oct 1206) to Infanta doña SANCHA de Aragón, daughter of don

PEDRO II King of Aragon & his wife Marie de Montpellier (1205-[1206]).
"Petrus…Rex Aragoniæ et comes Barchinoniæ et dominus Montispessulani" and
"Raimundo…Duci Narbonæ, Comiti Tolosæ et Marchioni Provinciæ" arranged the
marriage of "filiam meam…et dominæ Mariæ uxoris…Sanciæ" and "Raimundo filio
tuo et Reginæ Joannæ", by charter dated Oct 1205[626].
Betrothed (1209, contract broken) to --- de Montfort, daughter of SIMON [IV] Sire
de Montfort & his wife Alix de Montmorency. The Historia Albigensium of Pierre
de Vaux-Cernay records that "comes…Tolosanus" betrothed "filius suus" to "filiam
comitis Montis-fortis" but later reneged on the promise, dated to 1209 from the
context[627]. It is not known whether this daughter was the same as one of the
other daughters who are named in other sources.
m firstly (Jan [1211], divorced 1241) Infante doña SANCHA de Aragón, daughter
of don ALFONSO II King of Aragon & his wife Infanta doña Sancha de Castilla
([1196]-shortly after 1241). The Gestis Comitum Barcinonensium names "Sanxa"
as third of the three daughters of "Ildefonsi"[628]. The Crónica de San Juan de la
Peña records that Pedro II King of Aragon arranged the marriage of his "tercera
hermana Sancha" to "al hijo del conde de Tolosa", by whom she was mother of
"una hija que fué mujer de Alfonso conde de Poitiers, hermano de Luis rey de
Francia"[629]. The Chronicle of Guillaume de Puylaurens records that "Raymond-
le-Jeune" married "dona Sancha sœur du roi Pierre dÁragon", dated to 1211 from
the context[630]. A "Chronique en Languedocien, tirée du cartulaire de Raymond
le Jeune comte de Toulouse" records the marriage in Jan 1203 (although the year
must be incorrect) of "Raymundum comes Tholosanus filius regine Constancie"
and "sororem regis Aragonum"[631]. She was the sister of her husband's
stepmother. "Sancia soror quondamregis Aragoniæ, et uxor Raymundi filii domini
Raymundiducis Narbonæ, comitis Tolosæ, marchionis Provinciæ" confirmed the
privileges of Nîmes by charter dated 13 Nov 1218[632].
Betrothed (1241) to SANCHA de Provence, daughter of RAYMOND BERENGER IV

Comte de Provence & his wife Beatrix de Savoie (Aix-en-Provence [1225]-
Berkhamstead Castle, Buckinghamshire 5 or 9 Nov 1261, bur Hayles Abbey,
Gloucestershire). A charter dated 11 Aug 1241 records the marriage contract
between "R comitis Tolosæ" and "Sanciam filiam…R Berengarii Comitis
Provinciæ…et…Beatrix Comitissa"[633].
m secondly (1243, non-consummated, divorced 25 Sep 1245 on grounds of

consanguinity) as her first husband, MARGUERITE de Lusignan, daughter of
HUGUES [XI] "le Brun" Sire de Lusignan, Comte de la Marche et d'Angoulême &
his wife Isabelle Ctss d’Angoulême (-22 Oct 1288). A charter dated 13 Jun 1245
relates to the dissolution of the marriage between “Margaretæ filiæ…Hugonis
comitis Marchiæ et Engolismæ” and “Raimundum Tholosæ comitem”[634]. A
charter dated 13 Jul 1245 records the enquiry into the consanguinity between
“dominus Raymundus comes Tholosanus” and “Margaritam filiam domini comitis
Marchie”, and states that “domina regina Constancia avia sua et dominus Petrus
de Cortiniaco, avus domine Ysabellis uxoris comitis Marchie fuerunt fratres
-2932-
carnales”[635]. A charter dated 25 Sep 1245 confirms the dissolution of the
marriage between “comiti Tholosano” and “filiam…comitis Marchie”[636]. The
obituaire de Saint-Marcial records the death "XII Kal Nov" of "Margarita
Engolismensis comitissa, mater Ademari vicecomitis"[637]. She married secondly
Aimery [IX] Vicomte de Thouars, and thirdly Geoffroy [V] Sire de Châteaubriand.
Comte Raymond VII & his first wife had one child.
[619] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, CLXXVI, p. 679.
col. 1255.
[621] MP, Vol. V, 1249, p. 90.
[622] Annales Sancti Victoris Massilienses 1249, MGH SS XXIII, p. 5.
[625] RHGF XIX, De genealogia comitum Tolosanorum, auctore Bernardo

Guidonis ordinis prædicatorum monitum, p. 228.
[627] Petri Monachi Cœnobii Vallium Cernaii Historia Albigensium, XXXIV,

[628] Ex Gestis Comitum Barcinonensium, RHGF XII, p. 380.
[629] Crónica de San Juan de la Peña XXXIV, p. 136.

sur la guerre des Albigeois (1202-1272) (Béziers), Chap. XVIII, p. 82.
[632] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, XCI, p. 603.
-2933-
[637] Leroux, A., Molinier, E, and Thomas, A. (1883) Documents Historiques bas-
latins, provençaux et français concernant principalement La Marche et Le
Limousin (Limoges), Tome I, Obituaire de Saint-Marcial, p. 77.
Fonts:
7v2006
7v2006
2.968.347-4b:
The Clypeus Nascentis Fontebraldensis Ordinis records that a living child was
removed from Joan´s body after she died and lived long enough to be baptised,
but died and was buried at the church of Notre-Dame de Rouen.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum le 15 juin 2005)
2.968.347-8a:
Elle reçoit de son père les seigneuries de Saint Jory et de Montlaur.
Fonts:
7v2006
7v2006
2.968.348:
Wipertus H. Rudt de Collenberg, chartiste, a publié (à Salt Lake City) en 1989 un
travail sur les Poitiers-Valentinois en repartant des actes connus (et non des
travaux généalogiques antérieurs).
Il a montré que certains actes utilisés étaient falsifiés et les a rejeté.
Ce nouveau travail montre que les débuts de filiation publiés jusqu'alors étaient
fautifs (même ceux de ES §III-IV et du président Berge).
Edouard de Saint-Phalle a donné un abrégé de ce travail dans H et G n° 152 pages
253-254. C'est cet abrégé que j'ai suivi pour remplacer les premiers degrés (qui
soit n'étaient pas signés, soit venaient alternativement des bases Gros ou
Auréjac).
JB.de La Grandière 5/12/2011 Edouard de Saint Phalle dans "Les premiers degrés
-2934-
des Poitiers-Valentinois" H&G 152 pp 253/254 09/1999 ajoute à Béatrix une fille
probable : Peytavine + après 1208, épouse de Gontard de Chabreul dont on ne
sait rien.
Jules Chevalier, Mémoires pour servir à l'histoire des comtes de Valentinois et de

Diois, Paris, Picard, 1897, section III : « Les comtes de Valentinois et de Diois de
la maison de Poitiers », pp. 168 et suiv. (disponible sur gallica).
Fonts:
- persona: , JB.de La Grandiere (E.de Saint Phalle : ajout sur notes) 5 xii 2011
- casament 1, casament 2: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
- família 1: Ph.Hennet (Base A. de Carné) 19 vii 2005
- família 2: F d'Avigneau (geneanet aurejac)
2.968.349:
On a voulu "tuer"(sic) Alix dans une revue historico-généalogique..
Le coup porté sans préparation n'a pas atteint sa cible et, heureusement, Béatrix a
survécu. (JB de La Grandière 26/9/2014)
ATTENTION :
Sur une identité entre elle et sa soeur Marquise, voir les notes de la fiche de cette
dernière (S. Bontron, 06.2009)
Fonts:
- casament: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
- família: Ph.Hennet (Base A. de Carné) 19 vii 2005
2.968.349a:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (site Gros), J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008,
2.968.350:
GUILLAUME JOURDAIN de Fay (-before 1180). Seigneur de Fay (Fay-sur-Lignon,
Haute-Loire) et de Mezenc (Les Estables, Haute-Loire).
m as her first husband, MATHELINE de Clérieux, daughter of ROGER de Clérieux

& his wife ---. She married secondly ([1180]) as his [third] wife, Guillaume [I] de
Poitiers Comte de Valentinois. Guillaume Jourdain & his wife had two children.
Guillaume Jourdain rentra en France assez jeune, et peut-être à la mort de son

père. On ne sait pas trop comment il réunit en ses mains les deux baronnies de
Faÿ et de Mézenc et la suzeraineté de la presque totalité de l'ancien domaine et
patrimoine de la maison des seigneurs de Mézenc.
Il est surtout connu pour la fondation qu'il fit de la Chartreuse de Bonnefoy en
1156, dans un pli de terrain sur les rampes méridionales de la montagne du
Source : D.Thuret (Maison de Faÿ, Michel de Chazotte) 2 xii 2010
Mézenc.
Il est dit petit-fils du comte de Saint-Gilles (Raymond IV de Toulouse), dans une

-2935-
plaquette écrite au XVIè s,touchant les origines de ce monastère, par un des
Source : (Bibliothèque Nationale ,Mss, nouvelles acquisitions françaises)
religieux.
A propos de la seigneurie de Mézenc
 Histoire et archéologie d'un site controversé
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Armorial du Vivarais de B. d'Entrevaux - Privas 1907 et
FMG), C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007, J-C de
Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008
- casament: D.Thuret (Maison de Faÿ, Michel de Chazotte) 2 xii 2010
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
2.968.351:
Issue de l'illustre et puissante famille des Sires de Clérieu en Valentinois, dont la
filiation remonte au IX° siècle, et qui fut si puissante aux XI ET XII° siècles. Elle
était fille unique et héritière de Messire Roger, baron de Clérieu, et apporta à son
mari les domaines considérables de sa maison. De ce mariage ne naquirent
seulement que des filles, dont l'aînée, Philippa, fut héritière de tous les biens de
sa famille.
Source : D.Thuret (Maison de Faÿ, Michel de Chazotte) 2 xii 2010
A son premier époux elle apporte La Voulte et la coseigneurie de Clérieu.
Mariage non mentionné par ES III-IV Tafel 740.
À propos du château de la Voulte
Dominée par son château, la vieille ville épouse le rocher par les calades et les
ruelles empierrées. Neuf cents ans nous contemplent, neuf cents ans d’histoire
imprégnée, gravée sur le rocher. La demeure des Ventadour, reste là, belle et
fière dans ses ruines de pierres. Gardienne de la cité, sa noble prestance est chère
aux cœurs des Voultains. Son histoire s’est construite autour des familles De
Clérieu et de Fay, des Bermond D’Anduze, des Levis de Ventadour.
Château de La Voulte
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet aurejac), J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101)
21/04/2008, J-P de Palmas (Généalogie des Clérieu: Bulletin d'archéologie et de
statistique de la Drôme et FMG) iii-2009
- casament 1: D.Thuret (Maison de Faÿ, Michel de Chazotte) 2 xii 2010
- família 1: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
- casament 2: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
- família 2: F d'Avigneau (geneanet aurejac)
-2936-
2.968.351b:
SAURE de Fay . The primary source which confirms her parentage has not been
identified. Her name is confirmed by the charter dated 15 May 1243 under which
[her son] “Raymond de Mévouillon major fils de Saure” sold “le château dÁulan”
to “Hugues de Montbrun”[2025].
m RAYMOND [III] de Mévouillon (Drôme), son of --- (-bur Orange Saint-Jean).
[2025] Regeste Dauphinois, Tome II, 7988, p. 372.
Mention dans une transaction de 1214.
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base Joel Chirol) 22 iii 09, J-P de Palmas (Archives
départementales de l'Isère B 3159 et FMG) 18 v 2010
- família: F.de Bernis (base Joel Chirol) 22 iii 09, J-P.de Palmas (FMG) 13 i 2014
2.968.380:
En 1214 (le 12 juin) il fait sa soumission au chef des Croisés, Simon de Montfort,
contre lequel il avait d'abord combattu. Il promet de l'aider à détruire les
châteaux des adversaires du comte, mais il se réserve de conserver intact le
castrum de Béduer et les forts de Lissac, s'obligeant à payer en cas de défection
une somme considérable. Il espère ainsi, dit-il, s'attirer la bienveillance du comte
de Montfort et lui faire oublier toutes les rancoeurs qu'il pourrait avoir pour le
passé. Il est donc bien seigneur de Béduer et de Lissac. On trouve encore Dorde
Barasc en 1217, mais cette fois dans le parti du comte de Toulouse, de même en
1219, défendant la porte du Bazacle, avec Guillaume Barasc suivant les uns, avec
Arnaud Barasc suivant la Chronique rimée de la guerre albigeoise. Mais d'après
nous, ces trois Barasc, Dorde, Arnaud et Guillaume sont les fils de ce Dorde 1er
qui fit sa soumission à Simon de Montfort. Le second est dit jeune «jovens» dans
la Chanson de la Croisade. Il est probable que le père s'en tint, pour sa part, aux
engagements qu'il avait pris, mais qu'il laissa libres ses enfants que ne liait aucun
contrat. On ne comprendrait pas autrement que ce fut seulement en 1231-32 que
les trois frères règlent la question de la succession paternelle, si déjà l'un deux,
dès 1214, avait eu pleins droits sur Béduer et Lissac. Ils sont nommés, en effet,
tous trois avec leur frère Géraud dans un acte d'arbitrage au sujet de cette
succession, acte où le père n'est pas nommé. Il y a seulement «en Daurde Baras,
en Arnals Baras e W(illelmus) Baras, toih trei que so fraire» et un peu plus bas, on
voit que chacun doit donner par an 400 sols à leur frère Géraud. Cet arrangement
fut fait par l'arbitrage d'Etienne Bel, que les trois frères avaient appelé pour les
«départager», s'y engageant sur un dédit de cent marcs d'argent. Il n'est pas très
clair. On voit que Dorde (Dorde II) étant l'aîné, s'était attribué la grosse part et
avait suscité des réclamations très violentes de la part de ses deux frères. Il garda
Montbrun, Cabrerets, Lissac, Larnagol, avec des possessions en Rouergue.
Guillaume eut Reyrevignes (cela n'est pas précisé dans l'acte de 1231) et une
partie d'Assier (l'autre partie étant aux Hospitaliers). Arnaud II eut Béduer et
Gréalou et diverses possessions sur le Célé, et Calconnier en Rouergue. Géraud,
étant d'Eglise, n'eut aucune seigneurie, mais seulement une pension de 1200 sous
par an que lui servaient ses frères, 400 chacun. Ne pouvant suivre ici la fortune de
tous les Barasc et de leurs diverses seigneuries, nous mettons ici un tableau qui
permettra de se retrouver pour le XIIIè siècle et le commencement du XIVè.
-2937-
Fonts:
- persona: E.Visseaux (J.M.Gil) / J-L. Dega, J-L. Dega, J-P.de Palmas (Les
monographies d'Edmond Albe, Quercy Historique) 12 i 2016
Historique)
2.968.381:
Fonts:
Historique)
2.968.381a:
Il garda Montbrun, Cabrerets, Lissac, Larnagol, avec des possessions en
Rouergue.
En 1263, dans le règlement fait par l'évêque de Cahors pour le chapitre, on trouve
non seulement Guillaume Barasc, mais aussi Dorde Barasc (Deodatus Barasci).
Quant à Dorde II, il est souvent question de lui dans des actes divers, notamment
dans la correspondance d'Alphonse de Poitiers : il possédait Montbrun, Saujac
(annexe rouergate), Larnagol, Cabrerets, Lissac.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe, Quercy Historique)
- família: J-P.de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe, Quercy Historique)
2.968.381d:
Géraud, étant d'Eglise, n'eut aucune seigneurie, mais seulement une pension de
1200 sous par an que lui servaient ses frères, 400 chacun.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe, Quercy Historique)
2.968.484:
Bouchard de Marly († 13 septembre 1226), était seigneur de Marly, de Montreuil-
Bonnin, de Saissac, de Saint-Martin-en-Languedoc et de Picauville. Il était fils de
Mathieu de Montmorency, seigneur de Marly, et de Mathilde de Garlande.
Chevalier croisé, il s'illustra pendant la croisade des Albigeois.
Biographie
Son père, fils de Mathieu Ier, baron de Montmorency et d'Aline d'Angleterre, avait
participé à la quatrième croisade et, contrairement à l'ensemble des barons
franciliens conduit par Simon IV de Montfort, l'avait suivi jusqu'à Constantinople.
Il était mort peu après la prise de la ville, le 27 août 1204.
Bouchard de Marly participe par des donations à la fondation de l'abbaye de Port-

Royal-des-Champs en 1204.
-2938-
Il participe à la croisade des Albigeois
En 1209, il s'engage dans la croisade des Albigeois où il retrouve Simon IV de

Montfort, qui est l'époux d'Alix de Montmorency, une de ses cousines. Après les
prises de Béziers et de Carcassonne, Simon est choisi pour diriger les vicomtés et
continuer la lutte, et Bouchard décide de rester en Occitanie pour l'aider. Simon
lui confie les terres de Saissac et de Saint-Martin-en-Languedoc. À la fin de
l'année 1209, alors que le pays s'agite contre Montfort, il est capturé par Pierre
Roger de Cabaret et retenu prisonnier pendant deux ans dans les châteaux de
Lastours.
Au printemps 1211, après avoir pris Minerve et Termes, Simon de Montfort se

tourne vers Lastours et entreprend le siège des châteaux. Comprenant qu'il ne
pourra pas tenir longtemps, Pierre-Roger de Cabaret libère Bouchard et l'envoie
en ambassade, pour négocier la reddition des châteaux en échange d'autres
domaines moins fortifiés. Par la suite, Pierre-Roger sera l'un des rares barons
languedociens à rester constamment fidèle à Montfort.
Ayant recouvré sa liberté, Bouchard participe probablement au siège de Lavaur

(mai 1211). Ensuite, lorsque Simon de Montfort est assiégé à Castelnaudary, c'est
Bouchard qui lui amène un convoi de vivres et de renforts. Ce convoi est attaqué
par le comte de Foix, mais Simon fait alors une sortie et met en déroute la troupe
du comte de Foix. Bouchard participe ensuite à la plupart des campagnes de son
cousin, dont le premier siège de Toulouse (juin 1211), la bataille de Muret (12
septembre 1213) et le second siège de Toulouse. Après la mort de Simon de
Montfort lors de ce dernier siège, il seconde son fils Amaury VI de Montfort, puis
participe à la croisade royale de Louis VIII et meurt au cours du siège d'Avignon.
Il est enterré à Port-Royal-des-Champs.
extrait de wikipedia
seigneur de Montreuil-Bonnin, seigneur de Marly (1er), seigneur de Saissac et de

Saint-Martin.
Premier seigneur de Marly (Marly le roi, Yvelines, 78), de Montreuil-Bonnin, de

Saissac (Aude, 11) et de Saint-Martin.
Proche de Simon de Montfort, il participe dès 1209 à la croisade contre les

albigeois.
Fin novembre 1209, il tombe dans une embuscade organisée par les gens de
Cabaret, en compagnie de Gaubert d'Essigny, et est fait prisonnier par eux. il est
libéré 18 mois plus tard : Pierre-Roger de Cabaret, qui l'avait fort bien traité,
l'avait habillé de neuf, et lui avait donné un cheval, en échange d'une soumission
honorable pour lui et ses compagnons. Ce qui fut fait.
Son ancêtre Bouchard le Barbu, seigneur de l'Ile Saint-Denis, alla s'établir en 998
à Montmorency, où il fit bâtir une forteresse.
-2939-
BOUCHARD (-13 Sep 1226, bur Port-Royal). "Domina Matildis de Maliaco,

Buchardus filius eius et Matheus frater eius" witnessed a donation to Port-Royal
by "dominus Paganus de Ursinis" by charter dated Aug 1204[887]. Sire de Marly.
Seigneur de Molntreuil-Bonnin, de Saissac, de Saint-Martin-en-Languedoc et de
Picauville. "Buchardus dominus Malliaci" donated property to Port-Royal with the
consent of "Matildis uxoris mee, Petri et Buchardi filiorum meorum" for
"Theobaldi filii mei primogeniti qui…in abbatial Vallium Sarnensium" was taking
the religious habit, by charter dated May 1226, which also names "Matheus frater
meus" and his donation for "bone memorie domino Matheo patri nostro"[888]. The
necrology of Port-Royal records the death "Id Sep" of "Buchard seigneur de Marly
et son grant fils Pierre chevalier"[889]. m (before Jun 1209) MATHILDE de
Châteaufort, daughter of GARCE de Poissy Seigneur de Châteaufort & his wife
Constance de Courtenay [Capet] (-after 25 Jul 1267). "Buchardus dominus
Marleti" donated property to Rueil-Malmaison with the consent of "matris mee
Matildis et Matildis uxoris mee et fratrum meorum Mathei et Willelmi" by charter
dated Jun 1209[890]. "Matilidis uxoris mee" consented to a donation by
"Buchardus dominus Marliaci" for the souls of "patris mei et matris mee" by
charter dated 1209[891]. "Matilidis relicta defuncti Burchardi de Malliaco, Petrus
et Buchardus filii eius" donated property to Port-Royal by charter dated Nov
1226[892]. "Mathildis domina Malliaci" donated money to Notre-Dame de la
Roche, for the soul of "bone memorie Bochardi de Malliaco quondam mariti mei",
by charter dated 25 Jun 1235[893].
Références
 [887] Porrois (Port-Royal) III, p. 28.[888] Porrois (Port-Royal) LXXXVI, p.

100.
 [889] Obituaires de Sens Tome I.2, Abbaye de Port-Royal, p. 643.
 [890] Guyotjeannin, O. (ed.) Le cartulaire blanc de Saint-Denis, Le

chapitre de Rueil-Malmaison 5.
 [891] Porrois (Port-Royal) XIV, p. 38.
 [892] Porrois (Port-Royal) XCI, p. 103.
 [893] Notre-Dame de la Roche, XXVI, p. 27.
Fonts:
- persona: G.de Paysac/Anselme, J-P de Palmas (wikipedia et Foundation for
Medieval Genealogy) vi2009
- família: o guionneau; A.Gaudry (message de Bertrand Pâris sur le forum) 14 I
2006
-2940-
2.968.485:
MATHILDE de Châteaufort (-after 25 Jul 1267). "Buchardus dominus Marleti"
donated property to Rueil-Malmaison with the consent of "matris mee Matildis et
Matildis uxoris mee et fratrum meorum Mathei et Willelmi" by charter dated Jun
1209[3553]. The primary source which confirms her parentage has not yet been
identified. "Matilidis uxoris mee" consented to a donation by "Buchardus dominus
Marliaci" for the souls of "patris mei et matris mee" by charter dated 1209[3554].
"Duos fratres…Burchardus dominus Malliaci et Maheus de Malliaco et uxores
nostre Matildis et Mabilia" reached agreement with Chartres Notre-Dame,
concerning rights “in terra dicti Capituliex parte predictarum Matildis et Mabilie
uxorum nostrarumquod defunctus Hugo quondam dominus Galardonis, antecessor
uxorum nostrarum” had donated, Bouchard and his wife committing the
acceptance of "Theobaldus, Petrus, Maheus et Burchardus filii nostri", by charter
dated Jul 1212[3555]. "Nos duæ sorores Matildis et Mabilia de Castroforti"
confirmed the agreement [in the charter quoted above] relating to "Capitulo quod
defunctus Hugo quondam dominus Galardonis antecessor noster", with the
consent of their husbands, by charter dated Jul 1212[3556]. "Bochardus de Marle,
dominus Mosterolii Bonin" granted the right to take wood from his land to the
abbey of Châtelliers, with the consent of "domina Mathildis uxor mea et duo filii
mei Theobaudus et Petrus", by charter dated 1224[3557]. "Matilidis relicta
defuncti Burchardi de Malliaco, Petrus et Buchardus filii eius" donated property to
Port-Royal by charter dated Nov 1226[3558]. "Mathildis domina Malliaci" donated
money to Notre-Dame de la Roche, for the soul of "bone memorie Bochardi de
Malliaco quondam mariti mei", by charter dated 25 Jun 1235[3559]. "Matildis
domina Malliaci" confirmed the donation to Vaux de Cernay of “census Castrifortis
quem ego et Mabilia domina Mondeville soror mea nunc tenemus” made by “bone
memorie Constancia mater mea” by charter dated Sep 1253[3560]. "Domina
Matildi de Malliaco" donated revenue “ex successione domine Mabilie quondam
sororis sue” to Vaux de Cernay by charter dated 31 Jan 1256 (O.S.)[3561].
m (before Jun 1209) BOUCHARD de Marly, Seigneur de Marly, son of MATTHIEU

de Montmorency Seigneur de Marly & his wife Mathilde de Garlande (-13 Sep
1226, bur Port-Royal).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 16 xii 2014, C.Faucherand (ajout titre: Original.
Arch. nat., S 4520, nº 12. http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/html/Port-
Royal.html) 29 iv 2016
- família: o guionneau; A.Gaudry (message de Bertrand Pâris sur le forum) 14 I
2006
2.968.485a:
Fonts:
- persona: Ch. Faucherand ("Mémoires historiques et chronologiques sur l'abbaye
de Port-Royal", t. 1, p. 151) 16 ii 2016
- defunció: Ch. Faucherand ("Mémoires historiques et chronologiques sur l'abbaye
de Port-Royal", t. 1, p. 151) 16 ii 2016
- enterrament: Ch. Faucherand ("Mémoires historiques et chronologiques sur
l'abbaye de Port-Royal", t. 1, p. 151) 16 ii 2016
2.968.485b:
-2941-
Thibault de Marly fut en 1235 abbé du monastère cistercien des Vaux-de-Cernay
(78, Yvelines). Saint Louis attribua à ses prières d'avoir pu créer une famille
nombreuse.
Mort en 1247, il fut canonisé. Sa fête est fixée au 8 juillet
Jeunesse
Fils de Buchard de Montmorency, et de Mathilde de Châteaufort (arrière petite
fille du roi Louis VI par sa mère), né au château de Marly, il reçut une éducation
militaire dans un milieu très chrétien.
Dès son plus jeune âge, il manifesta une grande dévotion à la Sainte Vierge dont il
disait qu'elle était « sa bonne Mère et sa chère Maîtresse.». Il s'intéressait aussi
beaucoup aux monastères dont son père était un grand bienfaiteur : les Vaux de
Cernay et Port-Royal.
Faisant métier des armes, il devint chevalier à la cour de Philippe Auguste. Alors
qu'il se rendait à un tournoi, il passa devant une église où la messe allait être
célébrée. Il descendit de cheval, entra dans l'église, et assista à l'office qui était
dédié ce jour-là à la Sainte Vierge. Puis, il reprit sa monture pour rejoindre ses
compagnons. Or ceux-ci arrivant vers lui, le félicitèrent de sa victoire au tournoi.
Thibault fut tout d'abord stupéfait, et puis comprit que son ange gardien avait
lutté à sa place. Il retourna dans l'église pour rendre grâce et fit vœu de quitter le
monde et de renoncer à sa vie passée.
Vie religieuse
C'est à l'abbé des Vaux de Cernay, Thomas (1210-1229), qu'il parla en premier de
son désir de vie religieuse. Toutefois, ce dernier le mit en garde, lui faisant valoir
la sévérité d'une vie cistercienne par rapport à celle que menait le jeune homme
auparavant. En 1226, Thibault entra tout de même toutefois à l'abbaye des Vaux
de Cernay qui représentait son idéal de vie. Dès 1230 il fut nommé prieur par
l'abbé Richard, et il fut élu abbé à son tour, à la mort de celui-ci 1235. Dès lors, il
accomplit de multiples tâches, depuis l'agrandissement de l'abbaye, travaux
obligés par le nombre croissant des moines, jusqu'à l'entretien des bâtiments
existants. Toujours vêtu d'habits rustiques et élimés, il disait que ce manque de
luxe convenait exactement à ce qu'avait demandé Saint Bernard.
Sa dévotion à la Sainte Vierge était toujours aussi intense. Il exigeait que sur les
livres de chœur, son nom soit écrit en lettres rouges : « Nom suave de la
bienheureuse Vierge, Nom béni, Nom vénérable, Nom ineffable, Nom aimable
dans toute l'éternité.». A ceux qui lui reprochaient cette dévotion qu'ils trouvaient
trop envahissante, il répondait : « Sachez que je n'aime la Sainte Vierge autant
que je fais, que parce qu'elle est la Mère de mon Seigneur Jésus-Christ ; que si
elle ne l'était point, je ne l'aimerais pas plus que les autres saintes vierges. Ainsi,
c'est Jésus-Christ même que j'aime, que j'honore et que je révère en elle.».
On raconte aussi que ses prières étaient particulièrement efficaces. Un jour qu'un
novice voulait abandonner la vie religieuse, il pria toute la nuit. Le lendemain, le
novice, renforcé miraculeusement dans sa vocation, ne souhaita plus quitter le
monastère.
Charges
Guillaume d'Auvergne, évêque de Paris, lui confia la direction spirituelle des
moniales de Port-Royal, tandis que le chapitre général de 1237 lui confiait celle de
Notre Dame du Trésor dans le Vexin. Il eut aussi à diriger l'abbaye d'hommes de
Breuil-Benoît près d'Évreux.
Ayant entendu parler de la sainteté de l'abbé des Vaux de Cernay, le roi Saint
Louis, le réclama à la cour et lui demanda de prier afin que lui et la reine
Marguerite de Provence aient une descendance. Le 11 juillet 1240, la reine mit au
-2942-
monde sa première fille, Blanche, qui mourut en bas âge, mais eut de nombreux
frères et sœurs. Le roi et la reine, reconnaissants, dotèrent richement l'abbaye
des Vaux de Cernay.
Thibault fut accaparé par bien d'autres charges qui souvent l'écartaient de son
abbaye, il le déplorait en disant : «O mon âme, ton Bien-Aimé, celui que tu
cherches et que tu désires n'est pas ici ; retournons, je te prie, à Vaux-de-Cernay,
c'est là que tu le trouveras, que tu converseras avec lui et que tu auras le bonheur
de le voir par la foi dans l'oraison, en attendant que tu le voies face à face et tel
qu'il est en lui-même. Retourne, Sunamite, à ton monastère, retournes-y
promptement, et là tu adoreras ton Dieu avec plus de dévotion et de sûreté !».
Malade depuis quelques temps, il mourut le 27 juillet 1247 (ou 8 décembre 1247)
et fut enterré dans le chapitre avec ses prédécesseurs. Sur sa tombe les moines
posèrent une simple dalle ornée d'une crosse et de cette courte inscription
disposée en équerre sur le côté droit : « Hic jacet Theobaldus abbas » (Ci-gît
l'abbé Thibauld).
Après sa mort, les pèlerins accoururent en foule ; la reine et son fils, le roi
Philippe III le Hardi, vinrent plusieurs fois visiter le tombeau. Comme ils ne
pouvaient pas entrer au chapitre voir la tombe du saint, on transféra ses restes en
1261 dans la chapelle de l'infirmerie.
Canonisation
Thibault a été canonisé en 1270. Le 8 juillet de cette année, ses reliques furent
portées dans l'église et placées dans un sarcophage de pierre porté sur quatre
colonnes. A la Révolution, l'abbaye fut détruite et les reliques dispersées à
l'exception d'une petite partie qui est actuellement conservée dans l'église de
Cernay-la-Ville.
Il est particulièrement vénéré à Beuvron-en-Auge (canton de Cambremer) où il est
réputé pour guérir les ulcères et les tremblements.
Fonts:
- persona: N. Danican ; 26x07 LFlichy (wikipedia)
2.968.485d:
- 1255: "Guillaume L'Estendart, dit de Beynes, seigneur de Liney en 1255, marié
à Mabille de Marly". (Anselme, t. 3, p. 658)
- 1256: "Guillelmus dictus l'Estendart de Bena, miles, vend à l'abbaye

d'Abbecourt tout ce qu'il possède dans le moulin de Mulniaus ou du Pont. (Arch.
de S.-et-O.)" (https://archive.org/stream/mmoiresvolume00rambgoog/ p. 201)
- 1256: "U.p.l.i. Guillemus dictus l'Estendart de Bena, miles, de spontanea

voluntate [blanc] uxoris mee, concessimus quicquid habebamus in quondam
molendino sito apud Muniaus, movente de propria hereditate nostra, quod
vulgariter dicitur molendinum de Ponte, pro tribus sextariis bone mousturengie
conventui Bte Marie de Albacuria". ("Analecta Praemonstratensia", 1938, t. 14,
p.7)
NB: "Mulniaus" alias "Muniaus" alias "Maulniaus", aujourd'hui "Migneaux". Il

existe deux "moulin de Migneaux" dans la région parisienne. L'un est situé à
Migneaux, écart de Poissy (Yvelines) où il existe aujourd'hui la "rue du Vieux
Moulin de Migneaux" qui débouche sur les bords de la Seine, face à l'île de
Migneaux. L'autre est situé à Migneaux, écart de Verrières-le-Buisson (Essonne)
-2943-
près d'Amblainvilliers, entre les deux bras de la Bièvre, à l'époque au seigneur de
Massy.
En cette occurrence, il est certain qu'il s'agit de Migneaux à Poissy. L'abbaye
d'Abbecourt, à Orgeval, est en effet une fondation de Gasce V de Poissy qui, en
1184, la dote richement pour 12 religieux de l'ordre des Prémontrés.
Cet acte indiquant que Guillaume agit sur la volonté de sa femme, c'est donc à
elle qu'appartenait, par héritage, ce moulin.
Ch. Faucherand, 11 v 2016.
Fonts:
- persona: A.Gaudry (message de Bertrand Pâris sur le forum) 14 I 2006
- defunció: Ch. Faucherand (acte en note) 11 v 2016
- casament: J-P.de Palmas (HG n° 156, réponse 00.II.470.MARLY) 2016
RocheAuguste Moutié. Paris.Plon.1862: p 456) 19 xi 2003, Joël Chirol (base
familiale) 09/08/05, C.Faucherand (Pierre de L'Estourmy, "La recherche de
noblesse de 1666 pour la généralité de Rouen", 1999, p. 311) 29 iv 2016
2.968.486:
GUILLAUME de Beaumont “Pied-de-Rat” (-after Dec 1215). The Histoire des ducs
de Normandie records “Guillaumes de Biaumont, uns petis chevaliers que on
apieloit en sournon Piés-de-ratmareschaus” leading the first army sent by Louis
(the future Louis VIII King of France) to invade England in Dec 1215[2083]. Henry
III King of England granted safe passage to “Willelmo de Bello Monte mar[escallo]
domini Lodovici”, and ordered the payment of debts to him by “hominibus de
Norwic” and elsewhere, by charters dated 13 Sep 1217[2084]. m ---. The name of
Guillaume’s wife is not known. Guillaume & his wife had one child:
a) AGNES de Beaumont (-after 5 May 1260)."
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/CENTRAL%20FRANCE.htm)
Attention ! "Pied de Rat" n'a pas été un Guillaume seigneur de Beaumont-du-

Gâtinais..
L'attribution de cette qualité a du "embrouiller" un bon nombre de généalogistes,

d'hier et d'aujourdhui.
Sa fille est bienAgnès de Beaumont-du-Gâtinais..
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Schwennicke (Deltev) Europäische Stammtafeln t
XIV Marburg 1991 (sgrs de Marly) p. 120) 10 v 2016
2.968.488:
Fonts:
- família 2: J-L. Dega (Navelle)
2.968.489b:
-2944-
Fonts:
2.968.489-2a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-L. Dega (Navelle)
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 xii 2015
2.968.490:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur : "Les nobles aïeux" p. 282A
(Cardona) Tossa de Mar 2004) 1 vi 2016
2.968.491a:
Ancêtre probable de Louis Amat (CM d'Amat 15-9-7)
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur : "Les nobles aïeux" p.
282A (Cardona) Tossa de Mar 2004 ) 1 vi 2016
- casament 1: J-P de Palmas
- família 2: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 xii 2015
2.968.492:
Fonts:
2.968.493:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Jean Mon) 6 i 2010
2.968.493b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Salazar
2.968.494:
 Devient comte de Bigorre par sa femme.
 Plusieurs historiens pensent que Boson ne fut seigneur de Cognac que

par attribution et non par son mariage ou par héritage, par exemple :
"Études historiques sur la ville de Cognac", 1977, P. 69, qui nous disent «
Après Philippe, la ville de Cognac aurait été donnée à titre temporaire
par le roi d' Angleterre à Boson de Matha, issu des seigneurs de ce nom.
»
Des divergences sur son attache exacte
-2945-
 Jacques Duguet : "Un héritage de la famille de Matha" in Roccafortis, 2e
série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190
Dans son article Jacques Duguet nous dit que Boson de Matha est un fils
de Foulques de Matha ! Mais la chronologie ne nous semble pas
respectée !
 "Les actes de l'Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de

Bordeaux", 1939, P. 59, disent : « Boson de Matha, fils de Geoffroy, baron
de Matha, et de Philippe de Sablé, marié avec Pétronille, comtesse de
Bigorre, dont il était le cinquième époux. », ce qui semble
chronologiquement plus logique.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Reprise des notes et coupure d'ascendance fausse) 30
viii 2017
2.968.495:
PETRONILLE de Comminges (-1251). She succeeded her mother as Comtesse de
Bigorre. Her first marriage is confirmed by the charter dated Sep 1192 by which
Alfonso II King of Aragon arranged the marriage of "Gaston nobili vicecomiti
Bearnensi" and "consanguinea mea filia…Bernardi…comitis de Comenge, nepte
Centulli…quondam comitis Bigorritani"[1147]. The dating clause of a charter of
Notre-Dame de Muret records the marriage of "Gasto" and "filiam Bernardi
comitis Conuenarum in eodem loco Kal Jun"[1148]. The Chronicle of Guillaume de
Puylaurens records that "Simon de Montfort" married "son fils Guy" to "la
comtesse de Bigorre"[1149]. The record of the 1503 hearing relating to the
dispute over the inheritance of the county of Bigorre records that "Pétronille
contesse…de Bigorre" married "feu Monsieur Messire Guy de Narbonne", adding
that the marriage was recognised by the church[1150]. "Petronilla comitissa
Bigorre et vicecomitissa Marcianensis" donated all her property inherited "ex
bonis patris nostri" to "Gastoni de Bearnio et Mathe uxori vestre et filie nostre" by
charter dated 1250[1151]. The testament of "domina Petronilla comitissa
Bigorre", dated 1251, appointed "dominum Esquivatum nepotem meum filium filie
mee domine Aalis" as her heir "in…comitatu Bigorre", and if he died childless
"dominus Jordanus frater dicti domini Esquivati", failing whom "domine Mathe
filie mee"[1152].
m firstly (betrothed 1192, 1 Jun [1196 or after]) GASTON VI Comte de Béarn, son
of GUILLEM de Montcada [II] & his wife Maria de Béarn (1165-1215).
m secondly (divorced) don NUÑO Sanchez de Aragón, son of Infante don SANCHO
de Aragón Comte de Roussillon et de Cerdanya, ex-Comte de Provence & his
second wife doña Sancha Núñez de Lara ([1185]-1242). He succeeded his father
in 1226 as Comte de Roussillon et de Cerdagne/Cerdaña.
m thirdly (13 Nov 1216) GUY de Montfort-l’Amaury, son of SIMON de Montfort

Comte de Toulouse, Duc de Narbonne and Marquis de Provence & his wife Alix de
-2946-
Montmorency (-killed in battle 4 Apr 1220, bur Abbaye de Haute-Bruyère).
m fourthly ([1221/23]) AYMAR de Rancon, son of GEOFFROY [V] de Rancon

Seigneur de Taillebourg & his wife --- (-1224).
m fifthly (1228) BOSON de Marsan, Seigneur de Cognac (-before 1251).
Ctss Petronille & her third husband had two children.
Ctss Petronille & her fifth husband had one child.
[1167] Anonymum S Martialis Chronicon, Chroniques de Saint-Martial de

Limoges, p. 178.
[1168] Merlet ´Procès´, pp. 309-10.

Limoges, p. 180.

Limoges, p. 180.
[1171] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, XII, p. 321, quoting Cartulaire de

Bigorre, ch. 34.
[1172] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, XIII, p. 321, quoting Cartulaire de

Bigorre, ch. 35.
[1173] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, XIV, p. 322, quoting Cartulaire de

Bigorre, ch. 36.
[1174] Rochechouart, Général Comte L. V. L. de (1859) Histoire de la maison de

Rochechouart (reprint 2008, Lacour), Vol. II, p. 291. [Margaret Schooling]
Devenue veuve Pétronille eut quatre autres maris.
Une première union, en 1215, avec Nuno Sanche d’Aragon, fut annulée faute de
dispense du 4e degré, suite aux intriques de Simon de Montfort qui la persuada
d’épouser son fils Guy le 6 novembre 1216 à Tarbes
Après la mort de Guy de Montfort, au siège de Castelnau en 1220, elle épousa en

1222, Aymar de Rancon, fils de Geoffroi IV de Rançon et de Jeanne de Surgeres,
qui décéda quatre ans plus tard, âgé d’environ 26 ans.
Enfin d’un dernier et cinquième mariage, en 1228, avec Boson de Mastas, vicomte
de Cognac, de qui elle eut Mathe de Mastas à qui elle légua, avant son décès le 3
novembre 1251, la vicomté de Marsan.
-2947-
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 xii 2014
- casament 1, casament 2, casament 3, casament 4: G.Marsan (A.F.Marsan-
Lapierre)
- família 2, família 4: J-L. Dega (Navelle)
- família 3: F-L.Jacquier (R. Jetté, R-Y. Gagné, J-P. DuLong, P. Leportier - Les Le
Neuf : état des connaissances).
2.968.495-3a:
Note : La filiation n'est pas démontrée mais son titre de comtess de Bigorre la
rend presque certaine (H.Tourret).
Procès pour la possession du comté de Bigorre (1254-1503).
Procès pour la possession du comté de Bigorre (1254-1503), par Lucien Merlet,

Bibliothèque de l'école des chartes, 1857
Fonts:
- persona: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06, J-P.de
Palmas (Bibliothèque de l'école des chartes, 1857 ) 14 xi 2014
- família 1: H.R.Moser/EuSt-XIV/109, J-P.de Palmas (Seigneurs & Princes de
Chabanais ) 17 v 2014
- casament 2: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998)
02.03.2006
- família 2: Hervé Balestrieri ( communication Thierry Péronnet : généalogie "de
Courtenay", d'après arbres anciens aux AD 86, Vienne référencés "Carton n° 35",
sur site Web d'entraide généalogique de la Vienne "GE86" ) 29.09.2013
2.968.495-3b:
PERNELLE de Montfort .
m RAOUL de la Roche-Tesson, son of ---. A charter dated 1302 records that

Philippe IV King of France summoned "comitem Fuxi, Margaritam comitissam
Fuxo eius matrem, comitissam Armaignensem relictam domini Geraldi de
Armaniaco, Constanciam vicecomitissam de Marciano, et Guillermam de Bearno
dominam de Moncada" as proxy for "consortis nostre regine, Guillelmo Tesson
militi et Lore vicecomitisse Turenne" for a hearing relating to the county of
Bigorre[1175].
[1175] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, XIV, p. 322, quoting Cartulaire de

Bigorre, ch. 36.
Fonts:
- persona: F-L.Jacquier (R. Jetté, R-Y. Gagné, J-P. DuLong, P. Leportier - Les Le
Neuf : état des connaissances)., J-P.de Palmas (FMG) 11 xii 2014
- casament: F-L.Jacquier
(http://www.gatinaisgeneal.org/michelf/genealogie/Ja_001/Fiches/D2/P482.htm)
- família: F-L.Jacquier (R. Jetté, R-Y. Gagné, J-P. DuLong, P. Leportier - Les Le Neuf
: état des connaissances).
-2948-
2.968.500:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (Fonds Maussabré + JC Chuat H&G 145 p 371 rep à
95 II 417 -Blaison-) 10 xii 2009,N.Chardiny 27-11-09 (base de Patrick Déret sur
généanet)
- família: N.Chardiny 27-11-09 (base de Patrick Déret sur généanet)
2.968.501:
Fonts:
- família: N.Chardiny 27-11-09 (base de Patrick Déret sur généanet)
2.968.504:
 Lassay (53)
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Dominique Barthélemy "La société dans le comté de
Vendôme", pp.898-900, 1993) 30 vi 2015
- enterrament: BdeRauglaudre, site Patrick Déret 11vi2008
- família: Y. Gobilliard 10 9 2008
2.968.505:
Prénom : "Gervaise" est le prénom donné dans sa famille de naissance; "Jeanne"
est donné comme prénom dans la famille de l'époux.
Fonts:
- persona: C.Denancé ( F.Morvan : "Les Avaugour", in "Mémoires de la Société
d'Histoire et d'Archéologie de Bretagne", tome LXXXII, 2004 ) 02.01.2009, JB.de
La Grandiere ( Dominique Barthélemy : "La Société dans le comté de Vendôme",
pp 898/900, Paris 1993 ) 22 i 2010
- defunció: JB.de La Grandiere ( Dominique Barthélemy : La Sociète dans le comté
de Vendôme pp 898/900 Paris 1993 ) 22 i 2010
- família: Y. Gobilliard 10 9 2008
2.968.505b:
Peut-être père de Jeanne *ca 1225, épouse de Geoffroy Savary de Montbazon.
Le pére assuré de la dite Jeanne épouse de Geoffroy Savary (laquelle est

assurément née bien après 1225)est Bouchard V comte de Vendôme + 1270
Jean était donné comme seigneur de Vendôme , ce qui est totalement impossible
et que je retire : JB de La Grandière 12/5/2010
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Dominique Barthélémy "La Socièté dans le comté
- família: E.Polti (base "amotour" sur Geneanet ; 10.11.06)
2.968.505c:
-2949-
"Geofroi de Vendosme chevalier seigneur de La Chartre faz assavoir a tous ceux
qui presentes lectres verront et o que pour le remede de mâme et de mes
anceisors et pour fere mon anniverssaire apres mon decest et pour l'anniverssaire
de noble dame Marguerite ma chère famme et l'anniverssaire de mon cher frere
monsieur Jehan de Vendosme chevalier jadis, une foys l'an, en l'eglise de la
Hubaudière donne aux religieux une rente annuelle de un muid de segle à prendre
sur la métairie du Chêne des Vallées à Gastine, fait le jeudi avant la Saint Denis
1282."
J-C de Vaugiraud (Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du
Vendômois, 1893, tome 32, P. 52-53) 12/10/2010
jblg 30/6/2015 modifications, ajouts et fusions avec Dominique Barthélemy "La
société dans le comté de Vendôme"
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 2 9 08 (Mathieu Lahierre), BdeRauglaudre, site Annaïg
Guillas (Les Seigneurs de Bois Thibaud : de Roland Caillonneau et David Crônier)
11vi2008
- defunció: jblg : Dominique Barthélemy
- família: BdeRauglaudre, site Annaïg Guillas (Les Seigneurs de Bois Thibaud : de
Roland Caillonneau et David Crônier) 11vi2008, Y. Gobilliard 2 9 08 (Mathieu
Lahierre)
2.968.505d:
Il partagea avec Simon de Clermont, seigneur d'Ailly et de Nesle, l'administration
du royaume pendant le voyage de Saint Louis lors de la huitième croisade, en
1279.
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard - 10.09.2008
2.968.505e:
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 10 9 2008
2.968.505f:
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 10 9 2008
2.968.506:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires
de Tancarville)
2.968.507:
Fonts:
2.968.507a:
Fonts:
-2950-
2.968.508:
Philippe de Montfort, né en Terre Sainte, probablement à Sidon vers 1206,
assassiné à Tyr le 17 mars 1270, fut seigneur de la Ferté-Alais, de Bréthencourt et
seigneur de Castres-en-Albigeois de 1228 à 1239, seigneur de Toron de 1239 à
1257 et seigneur de Tyr de 1246 à 1270. Il était fils de Guy de Montfort, seigneur
de la Ferté Alais, de Bréthencourt et de Castres et d'Helvis d'Ibelin.
Né en Terre Sainte, frère utérin de Balian de Grenier, comte de Sidon, il vint en

France vers 1211 quand son père y retourna, pour aider son frère aîné Simon de
Montfort, qui dirigeait la croisade des Albigeois. En 1212, son père reçut la
seigneurie de Castres-en-Albigeois.
Il épousa vers 1220 Éléonore de Courtenay (1208 † 1230), fille de Pierre II de

Courtenay, empereur latin de Constantinople, et de Yolande de Hainaut. Ils auront
un fils, Philippe (1225 † 1270), qui lui succédera dans ses fiefs français.
Philippe Ier part en 1228 avec la sixième croisade, mais ne reste pas en Orient et
rentre pour prendre possession des domaines de son père, tué lors du siège d'un
château près de Pamiers. En 1239, l'appel de l'Orient se fait à nouveau sentir, il
laisse ses domaines de Castres, la Ferté-Alais et Bréthencourt à son fils Philippe,
tout juste majeur, et participe à une expédition croisée dirigée par Thibaud IV de
Champagne et Richard de Cornouailles. Après la défaite de Gaza, en 1241, les
barons rentrent en Europe, mais Philippe s'installe définitivement dans le
royaume de Jérusalem, où il épouse Marie d'Antioche (1215 †), dame de Toron,
fille de Raymond-Roupen, prince d'Antioche et d'Helvis de Lusignan. Marie
d'Antioche avait en outre des droits sur le royaume arménien de Cilicie, mais ne
put jamais les faire valoir avec succès en 1248. Philippe et Marie eurent :
 Jean de Montfort († 1283), seigneur de Toron et de Tyr

 Onfroy de Montfort († 1284), seigneur de Beyrouth et de Tyr
 Alix, vivante en 1282 et en 1295
 Helvis, vivante en 1282 et en 1295
Une lutte opposa peu après les barons du royaume et les partisans de l'empereur
Frédéric II et Philippe prit avec son cousin Balian d'Ibelin la tête du parti des
barons. Il prit la ville de Tyr, tenue par les impériaux, en 1243 et devint
connétable du royaume de 1244 à 1251. En 1246, il reçoit la seigneurie de Tyr, et
rejoint à Damiette la septième croisade de Saint-Louis, de 1248 à 1251. En 1256,
il expulse les Vénitiens de Tyr, ce qui entraina la Guerre de Saint-Sabas. En 1257,
il cède Toron à son fils Jean, devenu majeur.
À la fin de sa vie, Philippe apparaissait comme l'un des barons capable de

persuader les rois européens de lancer une croisade, aussi le sultan mamelouk
Baybars engagea des assassins qui le tuèrent à Tyr, le 17 mars 1270.
Extrait de wikipedia PHILIPPE de Montfort (vers 1206-murdered Tyre 12 Aug

1270). The Lignages d'Outremer name (in order) "Phelippe de Monfort et II filles
Prunelle et Florence" as children of "Gui de Monfort" and his wife "Heloys"[263].
"Brienni uxoris mee et Filippi filii mei et ceterorum liberorum meorum" consented
-2951-
to the donation by "Guido de Monteforti" to Port-Royal by charter dated Jul
1224[264]. He succeeded his father in 1228 as Seigneur de Castres-en-Albigeois
et de La Ferté-Alais. Seigneur de Brétencourt 1230. He arrived in Palestine in
1239[265]. After Tyre was captured in 1243 from the Filangieri brothers, Raoul de
Soissons, co-regent of Jerusalem, demanded the city for the kingdom of Jerusalem
but with support from the Ibelin family it was given as a fief to Philippe de
Montfort who thereby became Lord of Tyre[266]. Henri I King of Cyprus, in his
capacity of regent of Jerusalem, confirmed Philippe's possession of Tyre in
1246[267]. He was pretender to the throne of Armenia in 1248, by right of his
second wife[268]. After Hugues III King of Cyprus succeeded as King of Jerusalem
in 1268, he attempted to heal the rifts between the families of the Frankish
knights and in particular proposed the marriage of his own sister to Philippe de
Montfort's son[269]. He was murdered while he and his older son were praying in
a chapel by one of the Assassins of Syria on the orders of Sultan Baibars[270].
m firstly (before 1228) ELEONORE de Courtenay, daughter of PIERRE [II]

Seigneur de Courtenay Emperor of Constantinople & his second wife Yolande de
Flandre Marquise de Namur ([1208]-before 1230, bur Paris, Abbaye Saint-Antoine
des Champs). The Lignages d'Outremer record that "Phelippe de Monfort"
married "la fille au comte d'Ausseure"[271]. The primary source which confirms
her name has not yet been identified.
m secondly (after 6 Jul 1240) MARIE of Antioch, daughter of RAYMOND RUPEN

Prince of Antioch & his wife Héloise of Cyprus (1215-). The Lignages d'Outremer
name "Marie" as the daughter of "prince Rupin" & his wife, stating that she was
(second) wife of "mesire Phelippe de Monfort"[272]. She succeeded her paternal
grandmother as heiress of Toron. The Chronicle of Philippe de Novare refers to
the wife of "messier Phelippe de Montfort" as "la dame dou Toron"[273].
References
 [263] Lignages d'Outremer, Marciana Ms Francese 20, CC.LXXXVII, p.

62.
 [264] Porrois (Port-Royal) LXXVIII, p. 94.
 [265] Kerrebrouck, P. Van (2000) Les Capétiens 987-1328 (Villeneuve
d'Asq), p. 460.
 [266] Runciman, S. (1978) A History of the Crusades (Penguin), Vol. 3, p.
222.
 [267] Runciman (1978), Vol. 3, p. 230.
 [268] Rüdt-Collenberg, W. H. (1963) The Rupenides, Hethumides and
Lusignans, The Structure of the Armeno-Cilician Dynasties (Paris,
Librairie Klincksieck), Table I, after p. 48.
 [269] Runciman (1978), Vol. 3, p. 329.
 [270] Runciman (1978), Vol. 3, p. 333.
 [271] Lignages d'Outremer, Le Vaticanus Latinus 4789, CCC.XLIII, p.
107.
 [272] Lignages d'Outremer, Marciana Ms Francese 20, CC.LXXXVI, p. 61,
CC.LXXXXI, p. 66, and Le Vaticanus Latinus 4789, CCC.XLIII, p. 107.
 [273] Kohler, C. (ed.) (1913) Philippe de Novare Mémoires 1218-1243
-2952-
(Paris) ("Philippe de Novare"), p. 90.
 PÉCOUT, Thierry. La construction d'un office. Le sénéchalat des comtés de Provence et

Forcalquier entre 1246 et 1343 In : Les grands officiers dans les territoires angevins - I grandi
ufficiali nei territori angioini [en ligne]. Roma : Publications de l’École française de Rome, 2016
(généré le 19 avril 2016). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/efr/3021>.
PHILIPPE Ier DE MONTFORT († av. 1273)
Philippe Ier de Montfort, seigneur de Brétencourt, de Beynes, de La Ferté-Alais en

partie et de Castres, était né en 1205. Étant à Paris au mois d’avril 1229, il
reconnut tenir de Louis IX ses droits à La Ferté-Alais qu’on ne précise pas (3). Par
un autre acte de la même date, sous le service de dix chevaliers, il lui présenta
l’hommage-lige de la partie de l’Albigeois située à la gauche du Tarn, excepté la
ville d’Albi avec ses droits seigneuriaux et la régale: Castres en était le siège. Il
devenait le vassal du comte de Toulouse, mais, si celui-ci violait la paix conclue, la
terre inféodée reviendrait à la couronne, et Philippe serait vassal du roi, comme
son père l’avait été du feu roi. Au cas où la sécurité de l’État nécessiterait
l’occupation de quelques châteaux ayant appartenu à son père, Philippe recevrait
des terres équivalentes (4). L’année n’était point terminée que l’exclusion
concernant Albi fut levée et le vice-légat, Pierre de Colmieu, eut à rendre une
sentence touchant la seigneurie entre l’évêque et Philippe de Montfort, à qui le roi
avait cédé ses droits sur la ville d’Albi (5).
(3) D. VAISSÈTE, VI, 627.
(4) Arch. nat., JJ 300, f°49, n°112. — D. VAISSÈTE, op. cit., VI, 645.
(5) D. VAISSÈTE, VIII, n°195, et p. 919.
En janvier 1230, comme seigneur de Brélencourt, Philippe reçut l’hommage de

Guillaume de La Chapelle pour trente-cinq arpents de terre qu’il lui avait donnés
dans son bois de Ribout, sous réserve de la ligéité due à son père Aubert de La
Chapelle, et à son frère, Pierre (6). Il se servit d’un sceau rond, de 70 millimètres,
représentant un cavalier galopant vers la gauche, vêtu d’une cotte de mailles et
d’un surcot flottant, portant un casque fermé, tenant une lance à bannière
émancliée et se couvrant d’un bouclier à ses armes, le cheval caparaçonné aux
armes, avec ces mots autour: + SIGILLUM. PHILIPPI. DE. MONTE. FORTI*. Le
contre-sceau, de 35 millimètres, représente un chasseur à cheval, sonnant du cor
et galopant vers la droite, un lévrier entre les jambes du cheval, un arbre en
arrière. [p.102]
(6) Bibl. nat., ms. latin 54412, p. 121.
* Sceau de Philippe de Montfort (B.G. 2007)
Au mois de mars 1231, Philippe donna aux religieuses de Port-Royal quinze livres
de rente sur sa prévôté de La Ferté-Alais, in prepositura mea de Feritate Aales,
savoir cent sous le dimanche des Brandons et dix livres à la Nativité de saint Jean-
-2953-
Baptiste: la rente était payable par son prévôt, au terme fixé, sous peine de cinq
sous d’amende par jour de retard. Au mois de juillet 1231 (chose digne de
remarque parce que des Barres était encore en vie), en qualité d’aîné et de
suzerain, Amaury de Montfort confirma cette donation (1). Le nécrologe ajoute
qu’elle avait été faite par Philippe, à l’intention de sa sœur Pernelle, alors
décédée. En décembre 1238, il déclara que jadis il avait assigné à Saint-Antoine
des-Champs cent sous de rente sur sa prévôté de La Ferté-Alais en faveur de sa
sœur Pernelle, lors de sa prise d’habit, mais décédée depuis. Pour que
l’anniversaire de sa femme Éléonore fût célébré dans ladite église, il y ajouta cent
sous sur sa prévôté de La Ferté Alais, payables le dimanche des Brandons, sous
peine d’une amende de deux sous par jour de retard pour le prévôt (2).
(1) A. DE DION, Cart. de Porrois, p. 18, 128 et 130, n°254 et 255. — A. RHEIN,
op. cit., n° 218. [Traduction littérale: “dans ma prévôté de La Ferté-Alais” (B.G.
2007)]
(2) Arch. nat., L 1014, n°36, original.
Le 7 août 1239, Philippe s’engagea envers l’évêque et le chapitre d’Albi à leur

assigner dans cinq ans sur ses domaines, excepté sur les châtellenies de Lombers
et d’Ambialet, les vingt livres melgoriennes de rente que Simon, son oncle
paternel, leur avait données en 1212, avec ordre à son sénéchal de Lombers de
payer en attendant, tous les ans, cette rente (3).
(3) D. VAISSÈTE, VI, 646.
Peu après, cédant aux instances de son cousin germain, Balian III d’Ibelin,
seigneur de Baruth et connétable de Chypre, Philippe de Montfort partit pour la
Terre-Sainte. A peine arrivé, il eut à défendre Acre contre les attaques de Richard
Filangier, connétable de Constantinople. Ayant conseillé à la reine de Chypre,
Alix, de revendiquer la régence du royaume de Jérusalem, il fut chargé avec
Balian d’en occuper les forteresses et de les garnir de troupes. Après que les
barons eurent reconnu la nouvelle régente, il fut un des premiers à lui faire
hommage. Dans l’été de 1243, avec le concours de Balian, il mit le siège devant
Tyr que défendait Filangier; la ville capitula entre ses mains et son adversaire, qui
cherchait à s’enfuir, fut fait prisonnier (4).
(4) PHILIPPE DE NOVARE, Mémoires, édit. C. Kohler (Les classiques français du

moyen âge, p. par MARIO ROQUES). — DUCANGE, Les familles d’outre-mer, p.
449.
A une date que je ne saurais préciser, Philippe de Montfort revint en France, où le

sénéchal de Carcassonne avait reçu du roi [p.103] l’ordre de procéder au partage
de la succession de son père, entre lui et son frère Guy, et de remettre la ville de
Lombers à sa belle mère, Briande. Au mois de juillet 1247, les parties furent
convoquées et le magistrat détermina les lots; mais les représentants de Philippe
refusèrent celui qui lui revenait, parce que Guy de Montfort ne s’était point
présenté au surplus, celui-ci avait cédé ses droits à sa mère. La noble dame s’en
plaignit au roi qui manda au sénéchal de procéder à nouveau au partage devant
elle et le procureur de Philippe, et de remettre à chacun des intéressés ce qui lui
-2954-
appartiendrait (1).
(1) D. VAISSÈTE, op. cit., VIII, 1195 et 1221.
En 1247, Philippe de Montfort amortit aux religieuses de Villiers-le-Châtel le

champart, la justice et tout ce que Mathieu de Pavillon leur avait vendu à
Garancières, dans la mouvance de sa seigneurie de Brétencourt (2). En juillet
1248, au même titre, il délaissa la justice de Longorme à Mahaud de Dreux, sur
arbitrage de son cousin, Jean de Montfort (3).
(2) D. FLEUREAU, Hist. de l’abbaie de Villiers,

p. 29.
(3) A. RHEIN, op. cit., n°253.
Le 25 août 1248, Louis IX s’embarqua à Aigues-Mortes avec l’armée des croisés

Philippe de Montfort et son frère Guy prirent part à cette expédition, où ils se
signalèrent en Égypte par leurs exploits; Joinville raconte en détail les pourparlers
qu’il eut avec un émir. En 1254, lorsque le roi revint en France, Philippe fut l’un
des cent chevaliers laissés pour secourir les chrétiens de Terre-Sainte. Durant la
division et la guerre entre les Vénitiens et les Gênois, l’an 1256, il se rendit maître
de la partie de la seigneurie que les Vénitiens avaient en la ville de Tyr; le surplus
lui appartenait déjà par accord avec Balian. A partir de cette date, il prit la qualité
de seigneur de Tyr (4).
(4) D. VAISSÈTE, op. cit., VI, 798. — DUCANGE, Les familles d’outre-mer, I, 499
et 448.
Au moment de quitter la France, Philippe de Montfort avait laissé la gestion de ses

biens à son beau-père, Étienne de Sancerre, qui la remit à son fils aîné, Philippe II
de Montfort, dès que celui-ci eut atteint sa majorité: il s’était réservé une rente de
deux mille livres qu’il lui abandonna un peu plus tard. Le 1er avril 1268, il écrivit
de Tyr au roi Louis IX pour le prier de recevoir son fils à l’hommage pour la
portion qui lui reviendrait après sa mort en Albigeois, Narbonnais et Carcassés,
dont il se démettait en sa faveur. Il vivait encore en février 1270, mais il était déjà
décédé en 1273, car son fils, Jean le jeune, se qualifiait alors seigneur de Tyr (5).
[p.104]
(5) CATEL, Mém. de l’histoire du Languedoc, p. 705. — BALUZE, Hist. gén. de la

maison d’Auvergne, II, 523. — D. VAISSÈTE, VII, 124.
En premières noces, Philippe Ier de Montfort avait épousé Êléonore, fille de Pierre
II de Courtenay, empereur de Constantinople, et de Yolande de Hainaut; il en eut
Philippe II qui suit (1). En secondes noces, il épousa une fille d’Étienne de
Sancerre, seigneur de Saint-Briçon, bouteiller de France, dont on ignore le nom:
en décembre 1251, ledit Étienne de Sancerre, faisant en France les affaires de son
beau-fils, Philippe de Montfort, amortit aux religieuses de Villiers-le-Châtel la
donation par Erembour de Centignonville du droit de champart, justice et
redevances, achetés en 1245 à Philippe de Garancières (2). En troisièmes noces, il
épousa Marie d’Antioche, dame de Thoron, fille de Rupin, prince d’Antioche et
-2955-
d’Héloïse de Chypre, dont il eut: 1° Jean, seigneur de Tyr, mort en 1283, et 2°
Aufroy, seigneur de Thoron, dont la postérité est sans intérêt pour mon sujet (3)."
(Gustave Estournet, in : http://www.corpusetampois.com/che-20-

estournet1944lafertealais.html#guy1montfort)
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Fundation for Medieval Geneology) xi2009,
C.Faucherand (ajout profession et titre 5: Th. Pécout, op. cit. en note, titres 2 et 3:
G. Estournet, en note) 19 iv 2016
- família 1: C.Saint-Felix (base geneanet cayre de Francis Cayre) 10iv2006
- família 2: T. Denis (Collenberg/Lusignan), J-P.de Palmas (Wikipédia) 23 xii 2015
2.968.509:
Fonts:
2.968.509b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Felix (base geneanet cayre de Francis Cayre) 10iv2006
2.968.509-2a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wikipédia) 23 xii 2015
2.968.509-2b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wikipédia) 23 xii 2015, JB.de La Grandiere (modif
prénom) 2 v 2016
- família: T. Denis (Collenberg)
2.968.509-2c:
Vivante en 1282 et en 1295.
Fonts:
2.968.509-2d:
Vivante en 1282 et en 1295.
Fonts:
2.968.509-2e:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t III-
4 p 643 (Montfort-l'Amaury) Marburg 1989) 28 xii 2017
2.968.512:
-2956-
seigneur de Lèves (28)
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 123 *sgrs de Lèves - à ne pas
confondre avec Lévis !!!, 1990) 15 v 2016
- família: F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet) http://pdelyon.free.fr
2.968.513:
Fonts:
- persona: F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet) http://pdelyon.free.fr
- família 1, família 2: F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet)
http://pdelyon.free.fr
2.968.513-2a:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Guy Bastin - Nobily) http://users.skynet.be/nobily/
- casament 1: JB.de La Grandiere (ESS XIII p 140 Nemours ) 13 5 2010
- família 1, família 2: F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet)
http://pdelyon.free.fr
- casament 2: H & G 174 p 72 mars 2005 rép à O4-III-748 Lorris/Loury
2.968.513-2b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t III-
4 p 664 (sgrs de Milly-la-Forêt) Marburg 1989) 30 iv 2016
2.968.514:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 123 ) 6 v 2016
2.968.515:
Fonts:
- persona: N.Chardiny 9.11.09 (pierfit)
2.968.516:
En 1191, il s'embarque pour la Palestine au côté du roi d'Angleterre Richard
Cœur de Lion. Le 7 juin, il débarque avec le roi Richard Ier d'Angleterre à Saint-
Jean-d'Acre. Le 12 juillet, après de longs combats contre les Sarrasins, les Croisés
reprennent la ville de Saint-Jean d'Acre. Durant ces combats, Adam Ier fut tué.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Detlev Europäische Stammtafeln t. III-4 p. 667
(Beaumont-du-Gâtinais) Marburg 1989) 31 i 2015
2.968.517:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Detlev Europäische Stammtafeln t. III-4 p. 667
(Beaumont-du-Gâtinais) Marburg 1989) 31 i 2015
-2957-
2.968.517b:
Chevalier et chambellan du roi, il fut employé par Saint-Louis contre les Albigeois.
"Malgré sa grande incompétence dans la croisade et un caractère autoritaire et

brutal qui l'avait rendu assez impopulaire, il gardait son influence à la cour de
Louis IX."
J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en Picardie,
T. I, P. 217 et ss) 12 ix 2013
Le 14 ix 2013 fusion (par J-C de Vaugiraud) avec Jean de Braumont donné par "les
Princes de Longueval, in Le Parchemin 402/2012. "Il se pourrait que ce soit lui
l'époux d'Isabelle de Garlande."
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Père Anselme), C.Dykmans (les Princes de Longueval, Le
Parchemin 402/2012) 22 xi 2012, J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les
seigneurs de Nesle en Picardie, T. I, P. 217 et ss) 12 ix 2013
- defunció: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en
Picardie) 13 ix 2013
- família 2: H.R.Moser/EuSt-III.4/667, C.Dykmans (les Princes de Longueval, Le
Parchemin 402/2012) 22 xi 2012, J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les
2.968.518:
Fonts:
- casament: J-P.de Palmas (Descendance Le Riche) 26 i 2012
- família: A de Tocqueville geneanet papoo, J-P.de Palmas (Descendance Le Riche)
26 i 2012
2.968.519:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Descendance Le Riche) 26 i 2012
- casament: J-P.de Palmas (Descendance Le Riche) 26 i 2012
- família: A de Tocqueville geneanet papoo, J-P.de Palmas (Descendance Le Riche)
26 i 2012
2.968.519a:
Fonts:
- persona: FL. Jacquier (GeneaNet "papoo"), , J-P.de Palmas (Descendance Le
Riche) 26 i 2012
2.968.520:
Les origines de la Maison de Lévis
Il convient de faire une mise au point succincte sur les origines de la maison de
Lévis ou Lévy, car les deux orthographes sont indifféremment employées dans les
anciens documents : la première répondant à l'histoire, et la seconde à la légende.
C'est en effet, du fief de Lévis – (de Saint-Nom-de-Lévy, le pays fut appelé Lévy-
Saint-Nom, pour prendre l'appellation actuelle de Lévis-Saint-Nom - localité située
-2958-
entre Chevreuse et Versailles, en Seine et Oise) que cette famille tire son nom.
Mais, comme à cause de son ardent et constant attachement à la religion et à la
monarchie, les deux grandes institutions dans lesquelles se personnifiait autrefois
la patrie, son chef avait mérité le titre de maréchal de la foi, qui fut si longtemps
porté dans la branche aînée ; la ferveur populaire n'hésita pas à la rattacher à la
tribu sacrée de Lévy et à faire des Lévis les propres cousins de la Sainte Vierge…
La maison était l'une des plus antiques et nobles de France.
Le plus ancien seigneur de Lévis, connu sous le règne de Philippe Auguste, est
Philippe de Lévis (vers 1179).
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Portraits d'Ardéchois) vi2009
- família:
e_de_Levis.htm
2.968.521:
Fonts:
- família:
e_de_Levis.htm
2.968.521a:
Fonts:
- persona:
e_de_Levis.htm
- família:
e_de_Levis.htm
2.968.521c:
Fonts:
- persona:
e_de_Levis.htm
2.968.521d:
Fonts:
- persona:
e_de_Levis.htm
2.968.521e:
Fonts:
- persona:
e_de_Levis.htm
- família 1, família 2:
-2959-
e_de_Levis.htm
2.968.528:
 1200 : vicomte de Melun.
 1208 : envoyépar Phlippe Auguste en Poitou contre Aimeri VII vicomte de
Thouars (commandant les troupes de Jean roi d'Angleterre) et contre
Savari de Mauléon. Le vicomte de Melun les vainquit et les mit en
déroute. Il fit prisonnier de guerre le vicomte de Thouars.
 1209 : en novembre, transige avec le prieur de Saint Martin des Champs
à Paris, sur les différents qu'ils ont ensemble pour la terre et les bois de
Bondy.
 1214 : présent à la bataille de Bouvines où il fait preuve de bravoure. Ce
fut lui, qui à la tête de l'avant garde, soutint la première attaque des
ennemis, pour donner au roi le temps de ranger son armée ; ensuite, il
alla se replacer au front de la première ligne, avec le duc de Bourgogne,
Matthieu de Montmorency et les comtes de Beaumont et de Saint Pol.
Voltaire le cite dans "Zaire" (acte III) :
quand Philippe à Bovines enchainait la victoire,

je combattais, seigneur, avec Montmorency,
Melun, d'Estaing, de Nesle, et ce fameux Coucy.
 1215 : le vicomte de Melun accompagne Louis VIII en Languedoc

(croisade contre les Albigeois).
 1216 : accompagne de nouveau Louis VIII lorsqu'il passe en Angleterre
pour y recevoir la couronne à la demande des barons anglais. Avant de
s'embarquer, le vicomte de Melun rédige son testament à Calais le 11
decembre dans lequel il lègue ses biens à l'abbaye du Jard et fonde une
chapelle dans son chateau de Blandy. Il en confie l'exécution à son frère
Jean de Melun.
 1220 : le 22 septembre, il meurt en Angleterre.
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-V/223-C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique
et héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825.
2.968.529:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-V/223-C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique
et héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825.
2.968.530:
Il fut rétabli en la possession du château de Montreuil.
-2960-
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 2009 (sources familiales)
- família: Y. Gobilliard (16-7-06)
2.968.531:
Fonts:
- família: Y. Gobilliard (16-7-06)
2.968.532:
Comte de Gien du chef de sa femme.
Stephen I (1133-1190), first Count of Sancerre (1151-1190) and third son of Count
Theobald II of Champagne, inherited the county of Sancerre on his father's death,
when his eldest brother Henry received Champagne and his elder brother
Theobald Blois and Chartres. His holdings were the smallest amongst the brothers
(though William received none and entered the church, becoming archbishop of
Rheims) and he was originally a vassal, along with Theobald, of Henry.
Like many members of his family, he was prominent in the Crusades and, in 1169,
he was offered the hand in marriage of Amalric I of Jerusalem's daughter Sibylla
by a diplomatic delegation led by Frederick de la Roche, archbishop of Tyre. He
accepted and travelled east with Hugh III of Burgundy and a gift of money from
Louis VII of France in 1171.
It was anticipated that he may some day be king in right of his wife, the rightful
heir of Amalric being the leprous Baldwin. In light of this, the Haute Cour invited
him to decide the case of the division of the sonless Henry the Buffalo's estate
among his three daughters. Stephen divied it up equally, but ordered the younger
two to do homage to the eldest. However, the marriage never took place. For
reasons unknown, Stephen refused to marry Sibylla and returned home.
In Sancerre, Stephen built a six-towered castle on the local hill and strengthened
the fortifications of the town of Sancerre itself. In 1153, he married the daughter
of Godfrey of Donzy, named Adelaide, Alice, or Matilda. In 1155, he granted the
Customs of Lorris to the merchants of the town and probably seven others. He
was the de facto leader among a group of powerful baronial rebels against King
Philip Augustus between 1181 and 1185. In 1184, he and a band of Brabançon
mercenaries were defeated by the king and his Confrères de la Paix, an
organisation of warriors formed in 1182 in Le Puy dedicated to curbing feudal
warfare. In 1190, he commenced the abolition of serfdom in his domains, a trend
in his family it seems, for his nephew Louis I of Blois did the same in 1196.
Stephen and his brothers went to the Orient (his second time) on the Third
Crusade in 1190. He died before 21 October 1190 at the Siege of Acre, and
Theobald died there a few months later in January 1191. His son by Alice-Matilda,
William, succeeded him.
Sources Bernard Hamilton. The Leper King and his Heirs: Baldwin IV and the
Crusader Kingdom of Jerusalem. Cambridge University Press, 2000. Peter W.
-2961-
Edbury. The Conquest of Jerusalem and the Third Crusade. Ashgate, 1998.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Stephen_I_of_Sancerre
Fonts:
- persona: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977)
- família: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
2.968.533:
Fonts:
- persona: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
- família: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
2.968.534:
RAOUL de Nesle (-4 Jan 1235). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names
"comes Cono, Iohannes…et iste qui adhuc vivit comes Radulfus Suessionensis" as
sons of "Radulfo castellano [de Bruges]"[4397]. "…Johannes et Radulfi fratrum
meorum" subscribed the charter dated 1178 under which "Cono…comes
Suessionensis dominus Petrofontis et Nigelle" donated property to the abbey of
Notre-Dame d'Ourscamp[4398]. Comte de Soissons 1180. Châtelain de Noyon
1184. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records the death in 1235 of
"comes Rodulfus Suessionensis"[4399].
m firstly (1182 or before) as her fourth husband, ALIX de Dreux, widow firstly of
VALERAN [III] Seigneur de Breteuil, secondly of GUY [II] Seigneur de Châtillon-
sur-Marne and thirdly of JEAN [I] Seigneur de Thourotte Châtelain de Noyon,
daughter of ROBERT [I] Seigneur de Dreux et du Perche [Capet] & his first wife
Hawise de Salisbury ([1145/46]-[Jan 1205/Mar 1210], bur église collégiale de
Dreux). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Alaydam" as the
daughter of "comitem de Brana Robertum domnum" & his first wife, naming her
first husband "Gallerano de Bertuilh", her second husband "Guidone de
Castellone", her third husband "Iohanne castellano Noviomensi" and her fourth
husband "comite Suessionensi"[4400]. "Adelais comitissa Suessionensis et domina
Montis Gaii" confirmed the donation of property to Paris Hôtel-Dieu, for the soul
of "domini Guidonis de Castellione viri mei", by charter dated 1182[4401].
"Gaucherius de Castellione dominus Montisgaii" donated property to Saint-Maur
des Fossés, for the soul of "fratris mei Guidonis", with the consent of "domina
Adelaide matre mea comitissa Suessionensi et domina Adelaide sorore mea uxore
domini Guillelmi de Garlanda", by charter dated 1194[4402]. "Radulfus comes
Suessionensis…Aalidis uxor mea" confirmed a donation to the abbey of Notre-
Dame d'Ourscamp by charter dated 1199[4403]. "Radulfus (Suessionis) dominus
Montis Gaii et Adelidis uxor mee" confirmed a previous donation of property to
Tremblay by "filius noster Gaucherus de Castillione" by charter dated Jan
1205[4404], although Gauthier was the son of Raoul's wife by her second
marriage.
-2962-
m secondly (after 1205) YOLANDE, daughter of ---. The primary source which
confirms her marriage has not been identified. According to Simonnet she was the
daughter of Geoffroy [IV] Seigneur de Joinville and his wife Helvide de
Dampierre[4405]. He cites no source to support his information and no other
reference has been found to this parentage of the second wife of Raoul Comte de
Soissons.
m thirdly ([1211/15]) as her second husband, ADA d'Avesnes, widow of HENRI

[III] Comte de Grandpre, daughter of JACQUES Seigneur d'Avesnes & his wife
Adela de Guise (-after 1249). The late 13th century genealogy by Balduinus de
Avennis names "Machtildem, Aelidem, Adeluyam et Agnetem" as the four
daughters of "Nicolai Plukelli filius primogenitus Jacobus" and his wife, adding
that she married "comiti de Grandi-prato"[4406]. The primary source which
confirms her second marriage has not been identified. The Chronicon Hanoniense
of Baudouin d’Avesnes takes a different view of the parentage of the wife of Raoul
Comte de Soissons, recording that "la seconde fille monseignour Raoul de Couci"
married "monseigneur Raoul conte de Rousci" who died childless, and secondly "le
conte Henri de Grantpre" by whom she had and a daughter who married “au
conte Raoul de Soissons”[4407]. "Johannes comitis Suessionensis primogenitus
dominus de Turno et de Cimaio" granted canalisation rights to Notre-Dame de
Soissons by charter dated 1 Nov 1213, confirmed by "Radulfus comes Suession. de
consensu Adæ uxoris sua et filiorum Johannis domini de Turno et Radulfi" in
1231[4408]. Dame de Hans. The Feoda Campanie dated [after 1234] includes
“comitissa Suessionensis domina de Hans…feodum apud Minor(cort) apud
Ve(rgig)ni apud Ver[z]lius et apud Lemezicort…”[4409]. “Ada domina de Hans,
quondam comitissa Suessionensis” acknowledged the homage given by her to
“Theobaldo regi Navarræ et comiti Campaniæ" by charter dated Dec 1238[4410].
Comte Raoul & his first wife had two children.
Comte Raoul & his third wife had [three] children.
[4398] Ourscamp Notre-Dame CCLXXXII, p. 169.
[4400] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1162, MGH SS XXIII, pp. 845-6.
[4401] Paris Hôtel-Dieu, 24, p. 11.
[4402] Du Chesne (1631) Dreux, Dreux, Preuves, p. 241, quoting Extrait des
archives de l’abbaye de S. Maur des Fossez.
[4403] Ourscamp Notre-Dame CCLXXXIV, p. 170.
-2963-
[4404] Tremblay-en-France 5.
[4405] Simonnet, J. (1876) Essai sur l’histoire et de la généalogie des Sires de

Joinville (Langres), p. 76.
[4406] Balduinus de Avennis Genealogia, RHGF XIII, pp. 560 and 562.
[4408] Germain (1675), Preuves, p. 446.
[4409] Longnon (1901), Tome I, Les Fiefs, 7ème Partie, p. 188.
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (William Mendel Newman "Les seigneurs de Nesle en
Picardie, leurs chartes et leur histoire" - tome I - 1971) 4 vii 2011, E.Arminjon, J-
P.de Palmas (FMG) 29 x 2016
- família 1: E.Arminjon
- família 2: C-H.Maigret 4 vii 2011, H.R.Moser/EuSt-VII+Newman
- família 3: H.R.Moser/Newman
2.968.535:
ALIX de Dreux ([1145/46]-[Jan 1205/Mar 1210], bur église collégiale de Dreux).
The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Alaydam" as the daughter of
"comitem de Brana Robertum domnum" and his first wife, naming her first
husband "Gallerano de Bertuilh", her second husband "Guidone de Castellone",
her third husband "Iohanne castellano Noviomensi" and her fourth husband
"comite Suessionensi"[2965]. A charter dated 1170 records that “Johannes
Noviomensis et Torotencis castellanus” granted exemptions from duties on wine
to Saint-Amand, as well as the settlement of a later dispute with the consent of
“fratres mei Guido [defunctus]et IvoAalis uxor mea et ceteri fratres mei Rainaldus,
Robertus et Petrus”[2966]. "Adelais comitissa Suessionensis et domina Montis
Gaii" confirmed the donation of property to Paris Hôtel-Dieu, for the soul of
"domini Guidonis de Castellione viri mei", by charter dated 1182[2967].
"Gaucherius de Castellione dominus Montisgaii" donated property to Saint-Maur
des Fossés, for the soul of "fratris mei Guidonis", with the consent of "domina
Adelaide matre mea comitissa Suessionensi et domina Adelaide sorore mea uxore
domini Guillelmi de Garlanda", by charter dated 1194[2968]. "Radulfus comes
Suessionensis…Aalidis uxor mea" confirmed a donation to the abbey of Notre-
Dame d'Ourscamp by charter dated 1199[2969]. "Radulfus (Suessionis) dominus
Montis Gaii et Adelidis uxor mee" confirmed a previous donation of property to
Tremblay by "filius noster Gaucherus de Castillione" by charter dated Jan
1205[2970], although Gauthier was the son of Raoul's wife by her second
marriage.
m firstly ([1156/60]) as his second wife, VALERAN [III], Seigneur de Breteuil, son
of ERARD [III] "le Vaillant" Seigneur de Breteuil & his first wife Beatrix de Coucy
(-1162).
-2964-
m secondly ([1162/66]) GUY [II], Seigneur de Châtillon-sur-Marne, son of
GAUCHER [II] Seigneur de Châtillon-sur-Marne & his wife Ada de Roucy (-[1170],
bur église collégiale de Dreux).
m thirdly ([1170]) JEAN [I], Seigneur de Thourotte Châtelain de Noyon et de

Coucy, son of ROGER Seigneur de Thourotte & his wife Havide --- (-[1176/77]).
The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Guidonem et Iohannem de
Torota" as the children of "Alaydis [filia comitem de Brana Robertum domnum]"
and her third husband, specifying that Jean was father of "Iohannis et Rodulfi
Virdunensis et Roberti Ledodiensis episcoporum"[2971]. In a later passage, the
same source names him "Iohannes castellanus Noviomensis frater castellanorum
de Coci" and adding that he was father of "Iohannem de Torota qui sororem
habuit domni de Dampetra"[2972].
m fourthly (1182 or before) as his first wife, RAOUL de Nesle, Comte de Soissons,
son of RAOUL Seigneur de Nesle, Châtelain de Bruges & his wife Gertrude de
Montaigu (-4 Jan 1235).
[2965] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1162, MGH SS XXIII, pp. 845-6.
[2966] Gordière, L. A. (1888) Le prieuré de Saint-Amandsuivi de son cartulaire

(Compiègne) (“Saint-Amand”), XXIV, p. 173.
[2967] Paris Hôtel-Dieu, 24, p. 11.
[2968] Du Chesne (1631) Dreux, Dreux, Preuves, p. 241, quoting Extrait des
archives de l’abbaye de S. Maur des Fossez.
[2969] Ourscamp Notre-Dame CCLXXXIV, p. 170.
[2970] Guyotjeannin, O. (ed.) Le cartulaire blanc de Saint-Denis, Le chapitre de

Tremblay-en-France ("Tremblay-en-France") 5.
Pour William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en Picardie, T. I, P. 217 et

ss, devrait être nommée Adèle
Fonts:
- persona: E.Arminjon, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 29 iii 2017
- casament 1: http://geneweb.inria.fr/bauche?i=8396
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017
- família 3: H.R.Moser
2.968.535a:
-2965-
Fonts:
en Picardie, T. I, P. 65, note 25 et tableau) 7 x 2015
Picardie, T. I, P. 65, note 25 et tableau) 7 x 2015
2.968.535-2a:
Message 2014-05-18 17:40:48 de Jean-Claude de Vaugiraud :
Je note / que le savant William Mendel Newman : "Les seigneurs de Nesle en

Picardie, leurs chartes et leur histoire", 1971, tome I, pages 66-69 et tableau
général après page 268 précisent :
1° Pour Raoul de Nesle précise (note 31) "les chartes que je connais ne lui
attribuent jamais de seigneuries" (exit Coeuvres). Il le cite en 1233 et encore en
septembre 1272.
2° Pour sa femme Comtesse de Hangest, qu'il prénomme bien (note 31) Comtesse
et qui est bien fille de Jean (et non de Florent), elle est connue en 1266 et avril
1270.
3° Il ne donne au couple qu'une seule fille Yolande (note 31), femme de Bernard
de Moreuil le jeune (donc Yolande au lieu de Jeanne et pas d'Isabeau X Bernard de
Corbie).
4° Pour la mère de Raoul, actuellement Yolande de Joinville, il précise (note 27) :
"On ne sait à quelle famille appartenait Yolande. C'est Duchesne qui est le
responsable de l'erreur que tous les historiens ont répétée." (exit l'ascendance
Joinville)
JB de La Grandière 15/5/2014 : C-H Maigret avait bien noté tout ceci mais nous
devons sans cesse nettoyer les "dépôts amassés auprès de sources polluées".. :) !
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Alain Dufour) 24 iii 2017, J-C de Vaugiraud (La
Chesnaye-Desbois:Moreuil) 09/09/2006
- C-H.Maigret (William Mendel Newman "Les seigneurs de Nesle en Picardie, leurs
chartes et leur histoire" - tome I - 1971) 4 vii 2011
- família 1: J-C de Vaugiraud (La Chesnaye-Desbois:Moreuil) 09/09/2006,
2.968.535-1a:
AMICIE de Breteuil ([1157/62]-[Sep/Oct] 1226). The Chronicle of Alberic de Trois-
Fontaines names "comitissam Clarimontis Belvacensis et uxorem Symonis
Clarimontis et Emiciam" as the three daughters of "Alaydis [filia comitem de
Brana Robertum domnum]" & her first husband[853]. As noted above, other
sources indicate that Valéran’s first wife was the mother of the two older
daughters. However, the charter dated Mar 1201, under which "Gaucherus de
Castellione dominus de Mongai" [identified as Gaucher [III] de Châtillon, future
comte de Saint-Pol, son of Alix de Dreux by her second marriage] confirmed a
donation to Saint-Denis by “sororio meo Balduino de Donion etsorori meæ
Amiciæ” by charter dated Mar 1201[854], indicates that Amicie was Alix’s
daughter. One difficulty is presented by the charter dated Jul 1223, quoted below,
-2966-
which confirms that Amicie inherited the seigneurie de Blanc-Fossé from
Manassès de Bulles her “avunculus”. It has not yet proved possible to identify the
precise family relationship between Manassès and Amicie, although three
possibilities are suggested in the present document none of which is entirely
satisfactory (as a possible son of Erard [III] Seigneur de Breteuil by his second
wife, or the as same person as either Manassès [V] de Conty or Manassès [VI] de
[Conty-]Bulles both of whom are shown in the section of this document dealing
with the seigneurs de Conty). "Balduinus de Dongione etAmicia uxor eius"
donated property “quod dominus Gaucherius de Castillione feodum” to Saint-
Denis by charter dated Mar 1201[855]. Gallia Christiana states that “Guillelmus
de Donjeon ex comitibus Nivernensis oriundus, Mathildis comitissæ Nivernensis
dominæ Donziaci avunculus (forte patruus)” had “fratremBaldudinum de Hiere”
who donated property to “Sacro-Portui seu Barbello Cisterciensis
ordinismonasterio” when leaving for Jerusalem with the consent of “A. uxore et I
& Ferrico filiis”, but cites no primary source on which this information is
based[856]. Du Bouchet, presumably referring to the same donation, states that
“Baudouin du Donjon” donated property to Barbeaux abbey on leaving on
pilgrimage, with the consent of his wife “Amicie de Chastillonde Jean et Ferry ses
enfans et de Guillaume son frere Archevesque de Bourges” by charter dated
1203[857]. “Amicia uxor quondam Baudoini de Donjun” donated “censu meoapud
Domnum Martinum” to Chaalis, with the consent of “Dni Johannis Briardi
presentis viri mei”, by charter dated 1213[858]. “Symon de Pissyaco [et Agnes
uxor mea] etJohannes Briart [et Amitia uxor mea]” confirmed a donation to Vaux
de Cernay by charter dated 1214[859]. She succeeded her great nephew Thibaut
VI Comte de Blois as Dame de Breteuil in 1218. Dame de Catheux. “Amicia
domina Bretolii” confirmed donations of harvest at Breteuil to the church of Saint-
Just for the souls of “ses fils et de ses filles, de ses frères et sœurs” by charter
dated 1221[860]. “Amicie dame de Breteuil” donated “une rente de cent livres sur
le péage de Francastel” to “son fils Guillaume de Donjon frère et chevalier de
l’hôpital de Jerusalem” and the knights by charter dated Jun 1221[861]. “Amicia
domina Britulii” confirmed the donation made by “dominus Manasserus de Bullis
avunculus meus, de Albo Fossato dominus, ad ultimum vite sue”, adding that she
was “in hereditate dicti Manasseri, avunculi mei, jure hereditario”, by charter
dated Jul 1223[862]. A charter dated Aug 1225 records an agreement between the
bishop of Beauvais and “Galterus de Risnel dominus Brituliensis et Amicia uxor
mea domina Brituliensis”[863].
m firstly ([1175/80]) BAUDOUIN du Donjon, son of FERRY [I] de Donjon & his
[second/third] wife [---/Moenée ---] (-[22 Jan 1205/06]).
m secondly JEAN Briard, Seigneur de Villiers, son of --- (-[Feb/May] 1219).
m thirdly (before Aug 1225) GAUTHIER de Reynel, son of --- (-killed in battle [Aug
1225/Aug 1226). He was killed fighting the Albigensians.
[854] Du Chesne (1621) Châtillon, Preuves, p. 30.
-2967-
[855] Du Chesne (1621) Châtillon, Preuves, p. 30.
[856] Gallia Christiana, Tome II, cols. 60-61.
[857] Bouchet, J. du (1661) Histoire généalogique de la maison royale de

Courtenay (Paris), p. 11, no citation reference for the charter.
[858] Depoin ‘Les vicomtes de Corbeil’, Tome V (Paris, 1899), p. 25, quoting
inventaire des titres de Chaalis, rédigé à la fin du XIII siècle, B. N. Mss. lat. 11003
fol. cclv.
[859] Notre-Dame des Vaux de Cernay, Tome I, CLXXXVI, p. 193.
[860] Leblond (1910), 1, pp. 124-5, citing Titres de l’abbaye de S. Just (no precise
citation reference).
[861] Delisle (1856), 2064, p. 437.
[862] Leblond (1910), 1 p. 139, citing Titres de l’Hôtel Dieu de Beauvais (no
precise citation reference).
[863] Dion (1884) Seigneurs de Breteuil, p. 34, quoting Moreau, t. CXXXV, fol.
239.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 29 iii 2017
- família 1, família 3: P Ract Madoux (bulletin de Corbeil, d'Etampes et du
Hurepoix 1978, p23)
- família 2: P Ract Madoux (Les seigneurs de Breteuil en Beauvaisis: A de
Dion.Mémoires S° Histoire de Paris, Tome X (1883) p242
2.968.535-2a:
Pour William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en Picardie, T. I, P. 217 et
ss, devrait être nommée Adèle !
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en
- defunció: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/113, J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman:
Les seigneurs de Nesle en Picardie, T. I, P. 217 et ss) 12 ix 2013
2.968.535-2c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Chasteigners p 138) 31/10/2008,
O.Guionneau (message de Philippe Alasseur sur le forum 2011-08-08 18:45:03
selon Roger Durand,Les premiers seigneurs de Courville, Mémoires de la Société
archéologique d'Eure et Loir, 1895, vol.12, et diverses études sur la maison de
-2968-
Vendôme) 8 VIII 11
- família 1, família 3: O.Guionneau (message de Philippe Alasseur sur le forum
2011-08-08 18:45:03 selon Roger Durand,Les premiers seigneurs de Courville,
Mémoires de la Société archéologique d'Eure et Loir, 1895, vol.12, et diverses
études sur la maison de Vendôme) 8 VIII 11
- família 2: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Chasteigners p 138) 31/10/2008
- casament 3: O.Guionneau
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/PARIS%20REGION%20NOBILITY.htm) 8 VIII 11
2.968.535-3a:
JEAN [II] de Thourotte, son of JEAN [I] de Thourotte Châtelain de Noyon & his
wife Alix de Dreux [Capet] (-[27 Dec 1235/25 Aug 1237]). The Chronicle of Alberic
de Trois-Fontaines names "Guidonem et Iohannem de Torota" as the children of
"Alaydis [filia comitem de Brana Robertum domnum]" and her third husband,
specifying that Jean was father of "Iohannis et Rodulfi Virdunensis et Roberti
Ledodiensis episcoporum"[2797]. In a later passage, the same source names him
"Iohannes castellanus Noviomensis frater castellanorum de Coci" and adding that
he was father of "Iohannem de Torota qui sororem habuit domni de Dampetra"
(although the chronology suggests that this second reference is incorrect)[2798].
"Johannes castellanus Noviomi et Thorote" donated property “in territorio de
Lacheni” to Ourscamp Notre-Dame, with the consent of “Oda uxor mea et liberi
nostri Guido, Willelmus, Johannes, Aalidis et Ermengardis”, by charter dated
1196[2799]. "Johannes castellanus Noviomi et Thorote" donated property “in
boscoOresmoxinter Floocourt et calceiam de Behencourtin silva Esge” to the
abbey of Notre-Dame d'Ourscamp, with the consent of “Odotha uxor mea et liberi
mei Guido, Willelmus, Johannes, Radulfus, Aalidis et Ermengardis”, by charter
dated 1199[2800]. "Johannes castellanus Noviomi et Thorote" donated
“censumprop prato leprosorum de Trachi” to the abbey of Notre-Dame
d'Ourscamp, with the consent of “Odothe uxoris mee et Guidonis primogeniti
nostri”, by charter dated 1205[2801]. “Johannes castellanus Noviomi et
Thorotheet Odota uxor mea” donated property “in territorio de Behericourt” to
Héronval by charter dated 1206[2802]. “Johannes Noviomensis et Thorotensis
castellanus” relinquished various rights in favour of Saint-Amand, with the
consent of “Odote uxoris mee”, by charter dated 1207[2803]. “Johannes
castellanus Noviomi et Thorote” donated revenue to Saint-Amand for the
anniversary of “Odote uxoris mee”, with the consent of “Guido filius meus
primogenitus et filii mei Willelmus, Johannes, Radulfus, Walterus et Robertus et
filie mei Aelis, Ermengardis et Helwidis”, by charter dated 1212[2804]. “Johannes
castellanus Noviomi et Thorote” restored to Saint-Amand “nemusRadulphi-Fossa”
which had been donated by “patris mei bone memorie Johannis de Cociaco”, with
the consent of “Guidonis filii mei primogeniti et militis et aliorum filiorum meorum
Willelmi, Johannis et Galcheri”, by charter dated 1214[2805]. "Johannes
castellanus Noviomi et ThoroteGuidoni primogenito meocum sorore sau D---"
donated “nemorisinter vivaria Ursicampi et villam de Trachi in Esga silvaet fratri
meo R ---- Laudunensi episcopo” to Notre-Dame d'Ourscamp by charter dated
1217[2806]. "J. castellanus Noviomi et Thorote" donated revenue to the abbey of
Notre-Dame d'Ourscamp, and committed “Willelmus filius meus” to confirm the
donation, by charter dated 1224[2807]. "Johannes castellanus Noviomi et Thorote"
confirmed the donation of “x modiis nemoris sitis inter Noviomum de Behericort
juxta nemus Milonis” made to Notre-Dame d'Ourscamp by “Guido de Thorota
quondam primus filius meus”, by charter dated 1229[2808]. The testament of
“Johannes castellanus Noviomensis et Thorote”, dated 27 Dec 1235, appointed as
-2969-
executors “Viridunensis Lingonensis Epos filios meos”[2809].
m ODETTE de Dampierre, daughter of GUILLAUME [I] Seigneur de Dampierre-

sur-Aube & his [first] wife Ermengarde --- (-1212). The Chronicle of Alberic de
Trois-Fontaines names (in order) "Ysabella mater domni Roberti de Asperomonte,
Oda mater illorum de Torota, tertia Helvidis [uxor] domno Iohanni de
Montemirabili peperit Mariam uxor Ingelranni de Coci" as the three sisters of
"pater Erchenbaldi Guido de Dampetra"[2810]. "Johannes castellanus Noviomi et
Thorote" donated property “in territorio de Lacheni” to Ourscamp Notre-Dame,
with the consent of “Oda uxor mea et liberi nostri Guido, Willelmus, Johannes,
Aalidis et Ermengardis”, by charter dated 1196[2811]. "Johannes castellanus
Noviomi et Thorote" donated property “in boscoOresmoxinter Floocourt et
calceiam de Behencourtin silva Esge” to the abbey of Notre-Dame d'Ourscamp,
with the consent of “Odotha uxor mea et liberi mei Guido, Willelmus, Johannes,
Radulfus, Aalidis et Ermengardis”, by charter dated 1199[2812]. "Johannes
castellanus Noviomi et Thorote" donated “censumprop prato leprosorum de
Trachi” to the abbey of Notre-Dame d'Ourscamp, with the consent of “Odothe
uxoris mee et Guidonis primogeniti nostri”, by charter dated 1205[2813].
“Johannes castellanus Noviomi et Thorotheet Odota uxor mea” donated property
“in territorio de Behericourt” to Héronval by charter dated 1206[2814]. “Johannes
Noviomensis et Thorotensis castellanus” relinquished various rights in favour of
Saint-Amand, with the consent of “Odote uxoris mee”, by charter dated
1207[2815]. “Johannes castellanus Noviomi et Thorote” donated revenue to Saint-
Amand for the anniversary of “Odote uxoris mee”, with the consent of “Guido
filius meus primogenitus et filii mei Willelmus, Johannes, Radulfus, Walterus et
Robertus et filie mei Aelis, Ermengardis et Helwidis”, by charter dated
1212[2816].
Jean [II] & his wife had nine children.
[2799] Ourscamp Notre-Dame DCCLIV, p. 459.
[2800] Ourscamp Notre-Dame CCXXIV, p. 137.
[2801] Ourscamp Notre-Dame CCXV, p. 133.
[2802] Héronval, XXXI, p. 29
[2803] Saint-Amand, L, p. 200.
[2804] Saint-Amand, LIII, p. 202.
[2805] Saint-Amand, LIV, p. 202.
-2970-
[2806] Ourscamp Notre-Dame CCXXVIII, p. 140.
[2807] Ourscamp Notre-Dame CCXI, p. 131.
[2808] Ourscamp Notre-Dame CCXXXIV, p. 143.
[2809] Saint-Amand, LXXI, p. 217.
[2811] Ourscamp Notre-Dame DCCLIV, p. 459.
[2812] Ourscamp Notre-Dame CCXXIV, p. 137.
[2813] Ourscamp Notre-Dame CCXV, p. 133.
[2814] Héronval, XXXI, p. 29
[2815] Saint-Amand, L, p. 200.
[2816] Saint-Amand, LIII, p. 202.
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-XIII/152, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 vi
2016, JB.de La Grandiere (E. de Saint Phalle in "Montréal à Sire de Chastellux",
2013, p.52 et p.54) 23 vii 2017
- defunció: JBLG : "Montréal à Sire de Chastellux", 2013, p.52 et p.54
2.968.535-3c:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (FMG) 15 i 2013
2.968.536:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Généalogie Sully)
2.968.537:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Généalogie Sully)
2.968.538:
Le roi Philippe Auguste déclara par lettres données à Louis en 1199, ne prétendre
rien à Souvigny, terre provenant des seigneurs de Bourbon, et en la forêt et
dépendances, que la mouvance féodale. Il lui donna ensuite Montluçon en
augmentation de fief et le reçut à homme et vassal-lige en 1202. Deux ans
auparavant, le roi l'avait donné, avec d'autres barons du royaume, pour plêge à
Blanche de Navarre, comtesse de Champagne. Il lui confia en 1210 la tête de
-2971-
l'armée royale contre Guy II comte d'Auvergne sur lequel il fit diverses conquêtes
jusqu'à la fin de l'année 1213.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Maison de Dampierre) 29i2011
- enterrament: J-P de Palmas
- família: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005,
JB.de La Grandiere (Pierre d'Hozier " Généalogie et alliances des sieurs de
Larbour..", en ligne, page 8 ) 23 vii 2017
2.968.539:
Elle recueille la seigneurie de Bourbon à la mort de son grand-père. Le pouvoir
sera exercé successivement par ses deux maris.
Selon Fazy, le divorce entre Mathilde et Gaucher fut prononcé en 1195 (après le
14 avril). "Après cette date, et en tout cas avant juin 1196, Mathilde se remaria
avec Guy de Dampierre"
Gaucher de Vienne participa à la troisième croisade. A son retour, les relations se
détériorèrent avec Mathilde. On prit le prétexte d'une parenté à un degré prohibé
pour annuler le mariage.
(P.Fauchère 19.08.10)
MATHILDE de Bourbon, daughter of ARCHAMBAUD "le Jeune" de Bourbon & his

wife Alix de Bourgogne [Capet] ([1165/69]-18 Jun 1228). "Guido de Donopetro
tunc dominus de Borbonio et Mahaut uxor mea" confirmed concessions granted to
Souvigny by "Archinbaudi de Borbonio et Agnetis uxoris sue et Archinbaudi
eorundem filii" by charter dated 1196[277]. "Dominum Gaucherium de Borbonio,
dominamque Matildem uxorem meam" granted concessions to Cluny by charter
dated 1189 which names "domino Guillelmo fratre meo"[278]. Neither of these
sources state directly that Mathilde was the daughter of the younger Archambaud
but it is a reasonable assumption that this is the case. A charter dated 1195
records the divorce between "M dominæ de Borbonio" and "nobilis vir Galcherus
de Salinis" on the grounds of consanguinity[279].
She married secondly (before 1196) Guy [II] Seigneur de Dampierre.
[277] Monicat, J. and Fournoux, B. de (eds) (1952) Chartes du Bourbonnais 918-

1522 (Moulin) ("Bourbonnais") 25, p. 46.
[278] Cluny, Tome V, 4337, p. 703.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25 ii 2011
- naixement: C-H.Maigret (Base A. Auréjac) 21 ii 2012
- defunció: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005
- família 1: O.Auffray, H.Tourret (les ancêtres des du Crest de l'an 2000)
01.03.2006
-2972-
- família 2: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005,
JB.de La Grandiere (Pierre d'Hozier " Généalogie et alliances des sieurs de
Larbour..", en ligne, page 8 ) 23 vii 2017
2.968.539b:
Il reconnut être homme-lige du comte de Champagne pour son château de
Dampierre en décembre 1223
Fonts:
- persona: L.Guion
- enterrament: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français)
21.VIII.2005, L.Guion
- família: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005, J-
E.Tolle (Georges Poull: La Maison souveraine et ducale de Bar) 30 viii 2012
2.968.539c:
Elle portait sur son sceau de gueules au lion d'or et huit fleurs de lys du même en
orle; elle était aussi affublée d'un mari qui n'était pas le sien : Guigues de Forez
jblg 18/8/2012
Fonts:
- persona: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire de France) 21.VIII.2005,
JB.de La Grandiere (modifs pour fusion) 18 viii 2012
- família: JB.de La Grandiere (ESt III-1 p 51 -sgrs de Dampierre-de-l'Aube-1984 +
E. de St Phalle : Etudes Chacenay) 18 viii 2012
2.968.539d:
Donna sa déclaration en mai 1226 à son frère Archambaud sire de Bourbon qu'il
ne prétendait rien à la baronnie de Bourbon, à la réserve du bail des enfants
mineurs de son frère le cas échéant. Il se trouva avec ses frères au Parlement tenu
à Melun en 1230. Il transigea au moi de août 1245 comme nouveau seigneur de
Gensac avec les habitants de cette terre, touchant les droits de corvées qu'il leur
demandait. Il reconnut en 1258, tenir de Thibaud, roi de Navarre et comte de
Champagne, les terres de Courcent et de Saint Just qui devaient retourner après
son décès au comte de Champagne
sans alliance
Fonts:
- persona: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005
2.968.539e:
"Attention" ! Ce Combaud est fictif..créé "ex nihilo" par la "Généalogie et alliances
de la maison de Combauld".(voir fiche de Charles de Combauld)
Il va rester directement "accroché" comme soi-disant fils de Mathilde de Bourbon ;
-2973-
ainsi on pourra voir où se situent les forgeries..
Ce Combauld ( un prénom soi disant devenu patronyme, prénom qui doit être
l'équivalent de Gombault / Gombauld / Gombaud -honorant un Gombaud roi de
Burgondie au V° siècle !!) est le Combauld de Bourbon désigné par Pierre
d'Hozier lequel a servi de prête-nom pour Charles de Combauld) dans sa
"Généalogie et alliances de la maison des sieurs de Larbour" ici, en bas de la page
8
Combauld de Larbour a été saisi ici pour démonter proprement une filiation
directe tout à fait improbable avec Nicolas Combauld ; "Généalogie et alliances de
la maison de Combauld" ne devra absolument pas être un guide sûr, compte tenu :
-du très juste et fort bémol donné par la communication de Jean-Claude de

Vaugiraud (message 2017-07-23 17:15:34)
-de la remarque importante que l'on peut lire dans la seconde phrase de la
réponse à une première question dans mon message 2017-07-23 00:57:14.
JB de La Grandière 23/7/2017, repris le 25/7/2017

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Pierre d'Hozier : voir Notes 23 vii 2017
2.968.539f:
Fonts:
2.968.539g:
Fonts:
2.968.539-1a:
MARGUERITE de Salins (-[1257/59]). Her parentage and first marriage are
confirmed, and her second marriage indicated, by the charter dated Oct 1240 in
which “Vuillelmus filius Vuillelmi de Sabrano, quondam comitis Fourchacherii”
names “matris nostre Margarite, domine Branceduni, filie Gaulcheri, quondam
domini Salinensis” when selling the barony of Salins to “Johanni comiti Burgundie
et domino Salinensi”[280]. "Guillaume Comte de Forcalquier et Marguerite sa
femme" notified "leur oncle le duc de Bourgogne" that the renounced any rights in
the succession of "Mathilde dame de Bourbon, mère de ladite Marguerite" in
favour of "Guy de Dampierre" by charter dated Feb 1212[281]. She succeeded her
father in 1219 as Dame de Salins. “Margarita filia Walcheri, quondam domini de
Salinis” swore homage to “consanguinei mei Stephani comitis Burgundie” by
charter dated 1220[282]. "Marguerite de Brancion", on the advice of "Jocerand le
Gros son mari", renounced any rights "sur la baronnie de Bourbon" in favour of
"Archambaud de Bourbon son frère" by charter dated 31 Oct 1221[283]. She and
her husband sold Salins to Hugues IV Duke of Burgundy in 1225.
m firstly (1211) as his second wife, GUILLAUME de Sabran Comte de Forcalquier,
son of GUIRAUD [II] Amic & his wife Alix Ctss de Forcalquier (-1219).
m secondly (1221) JOSSERAN [V] Grossus Seigneur de Brancion, son of HENRI [I]
-2974-
Grossus Seigneur de Brancion & his wife Beatrix de Vignory (-killed in battle
Mansurah 1250).
[280] Hugues de Chalon 356, p. 242.
[281] Huillard-Bréholles, J. L. A. (1867) Titres de la Maison ducale de Bourbon
(Paris), Tome I, 58, p. 14.
[282] Hugues de Chalon 50, p. 42.
[283] Huillard-Bréholles (1867), Tome I, 82, p. 19.
Fonts:
- persona: H.Tourret (les ancêtres des du Crest de l'an 2000) 1/3/06, J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) 25 ii 2011
- casament 1, casament 2: H.Tourret (renseignements J.Cl. de Vaugiraud) 2/3/06
- família 1: O.Auffray, H.Tourret (renseignements JC de Vaugiraud) 02.03.2006
- família 2: H.Tourret (les ancêtres des du Crest de l'an 2000) 1/3/06
2.968.540:
Renard IV est comte en 1152. Il épouse un an après Adèle (ou Aelis) de Nevers,
cousine germaine de la reine Adèle, mère de Philippe-Auguste et des comtes
Henri de Champagne et Thibault de Blois. C’est probablement son tombeau qui a
été ramené de Dilo à Saint-Jean de Joigny ; les pieds de la gisante reposent sur un
chien couché, symbole de la fidélité ; sur le côté visible du tombeau on peut voir
l’effigie de ses quatre enfants : Agnès, Hélissent, Guillaume 1er, qui va suivre, et
Gaucher, seigneur de Châteaurenard, lui-même relativement puissant et riche (Il
est un temps sénéchal de Nevers. Il est le suzerain de Robert de Courtenay, dont
le fils Pierre épouse la fille de Gaucher). NB : La famille de Courtenay deviendra
importante quand Louis VII le Jeune prendra possession de la terre et en
attribuera la seigneurie à son frère Pierre Renard IV est désigné protecteur de
l’abbaye de Dilo en 1164. Il est assisté dans les actes administratifs par deux
vicomtes Isnard en 1163 et Hilduin en 1175.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, J-P.de Palmas (Edouard
de Saint Phalle, La première dynastie des comtes de Joigny, actes du colloque «
Autour du comté de Joigny », SGY, 1990) 14 vii 2012
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006
2.968.541:
-2975-
Ce haut-relief de grande qualité orne le tombeau d’Aélis du côté de la

tête.
C’est le symbole de l’insouciance tiré de la légende de Josaphat et
Barlaam.
C’est probablement son tombeau qui a été ramené de Dilo à Saint-Jean de Joigny ;
les pieds de la gisante reposent sur un chien couché, symbole de la fidélité ; sur le
côté visible du tombeau on peut voir l’effigie de ses quatre enfants : Agnès,
Hélissent, Guillaume 1er, qui va suivre, et Gaucher.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Edouard de Saint-Phalle, La première dynastie des
vii 2012
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006
2.968.541c:
Fusion suite à message forum de Gérard Bobillot, sur la base de Medieval Lands,
France, Norther, Nobility in Champagne, Comtes de Joigny:
"Helisende de Joigny (-26 Feb after 1226). The primary source which confirms her
parentage has not yet been identified. Her first marriage is indicated by the
Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines which records the departure on crusade in
1219 of "comes Milo de Barro super Sequanam cum filio suo Galthero et cum
Iohanne de Arceis filiastro suo"[899]. "Johannes de Arcies", leaving for Jerusalem,
donated rights to the churches of Escharlis and Fontaine-Jean, with the consent of
"Helissanz uxor mea", by charter dated 1189[900]. “Milo comes Barri super
Sequanam” confirmed a purchase by the people of Bar, with the consent of “uxoris
mee Helissendis”, by charter dated [29 Mar/17 Apr] 1199[901]. "Helisendi uxore
-2976-
sua et Galtherio filio suo" consented to the donation by "Milo comes Bari super
Secanam" to Hôtel-Dieu, Châteaudun confirmed by charter dated 12 Oct
1199[902]. "Milo comes Barri super Sequanam" made donations to the abbey of
Mores by charter dated 1210, with the consent of "uxoris mee Elissendis et filii
mei Gaucherii"[903]. "Milo comes Barri super Sequanam" confirmed donations to
the abbey of Mores by charter dated 1206[904]. "Millo comes Barri super
Secanam et Elixanda uxor mea et Gaucherus filius meus" founded the Hospital of
Bar-sur-Seine by charter dated 1210[905]. "Milo comes Barri super Sequanam et
Elissendis comitissa et Galaherius filius eorum" confirmed donations to the abbey
of Mores by charter dated Feb 1218, with the consent of "uxoris mee Elissendis et
filii mei Gaucherii"[906]. “Helisendis comitissa Barri super Secanam” donated her
rights in “domo monachorum de Vilael" to "abbatem…Majoris Monasterii", for the
souls of "Milonis mariti mei, comitis Barri, et filiorum meorum Johannis et
Gaucherii", by charter dated [30 Mar/18 Apr] 1226[907]. The necrology of the
Abbaye des Clairets records the death "IV Kal Mar" of "Helisendis…comitissa
Barri super Sequanam"[908].
- m firstly Jean de Montréal Seigneur dÁrcis-sur-Aube, son of Anseric [I] Seigneur
de Montréal & his wife Alaidis de Pleurre (-Acre 7 Jul 1189).
- m secondly (before 1198) Milon Comte de Bar-sur-Seine, son of Hugues [IV] du
Puiset Comte de Bar-sur-Seine & his wife Petronille Ctss de Bar-sur-Seine (-
Damietta 17/18 Aug 1219)." J-C de Vaugiraud 22 i 2011
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (wikipedia, 24vii2008), 2006, J-C de Vaugiraud
(Dugenne: Arcis sur Aube)26/05/2006,, J-C de Vaugiraud (Roserot: Arcis sur
Aube)19/05/2006, J-C de Vaugiraud (Dugenne: Arcis sur Aube) 26/05/2006,
- defunció: J-C de Vaugiraud (Medieval Lands) 22 i 2011
- casament 1: JB de La Grandière 4/12/2017 / "Montréal à sire de Chastellux"
p.531, 2013
- família 1: J-C de Vaugiraud (Roserot: Arcis sur Aube)19/05/2006
- casament 2: J-C de Vaugiraud (Medieval Lands) 22 i 2011
- família 2: N de Meyrignac (wikipedia, 24vii2008)
2.968.542:
Simon IV de Montfort (vers 1165 – 25 juin 1218, Toulouse), seigneur de Montfort-
l'Amaury de 1188 à 1218, comte de Leicester en 1204, vicomte d'Albi, de Béziers
et de Carcassonne de 1213 à 1218, comte de Toulouse de 1215 à 1218, est la
principale figure de la croisade des Albigeois.
Origines
Simon de Montfort est issu de la maison de Montfort-l'Amaury, une famille de

rang baronnial d'Île-de-France. Son père, Simon (IV) de Montfort[2] était gruyer
royal de la forêt d'Yveline. Son arrière-grand-père, Amaury III de Montfort était
comte d'Évreux et sénéchal de France. Sa mère, Amicie de Beaumont, est issue du
baronnage anglo-normand par sa mère. Elle est l'héritière de la moitié du comté
de Leicester et d'un droit au titre de sénéchal d'Angleterre[3].
Un baron français
À la mort de son père, il se retrouve à la tête de la seigneurie de Montfort, mais ne
-2977-
prend pas immédiatement part à la rivalité franco-anglaise pour diverses raisons :
d'abord par prudence, ensuite parce que les opérations militaires ne se déroulent
pas en Île-de-France mais en Flandre, et ensuite pour ne pas perdre ses droits au
comté de Leicester. En fait, il n'apparaît dans la vie politique qu'en 1188, au cours
de l'entrevue de Gisors entre Philippe Auguste et Henri II d'Angleterre.
Cette entrevue avait été organisée par l'église pour sceller la paix entre les deux
royaumes et permettre l'organisation et le départ de la troisième croisade,
l'annonce de la prise de Jérusalem par Saladin étant arrivée en Europe l'année
précédente. Simon ne se joint pas à cette croisade, au contraire de son frère Guy
qui accompagne donc Philippe Auguste et le nouveau roi d'Angleterre, Richard
Cœur de Lion qui a succédé à son père Henri II.
Il épouse alors Alix de Montmorency, fille de Bouchard IV de Montmorency et

sœur de Mathieu II de Montmorency, futur connétable de France. En 1192,
Philippe Auguste revient de croisade, tandis que Richard Cœur de Lion reste en
Terre Sainte. Philippe Auguste en profite pour faire la conquête de plusieurs fiefs
tenus par l'Anglais, opérations auxquelles Simon ne participe pas. Richard Cœur
de Lion rentre de Croisade en 1194, la guerre reprend et Simon se joint aux forces
de Philippe[4].
La croisade en Terre Sainte
L'œuvre de Richard Cœur de Lion en Terre sainte était restée incomplète, puisque
Jérusalem n'avait pas été reconquise et le pape Innocent III demanda une nouvelle
croisade. Le comte Thibaut III de Champagne, sensible à cet objectif, organise le
28 novembre 1199 un tournoi à Ecry-sur-Aisne, où il invite tout le haut baronnage
du royaume. À l'occasion du tournoi, Foulques de Neuilly prêche la reconquête de
Jérusalem et les barons enthousiastes se joignent à la quatrième croisade. Les
croisés décident de se rendre en Palestine par la mer et Geoffroy de Villehardouin
négocie le passage avec les Vénitiens. Malheureusement, lorsque les croisés se
regroupent à Venise, le nombre de soldats est loin d'être celui prévu, de nombreux
croisés ayant trouvé le montant de la traversée trop onéreux et ayant opté pour un
autre chemin. Comme c'était une somme globale et non une somme individuelle
qui avait été convenue, les combattants réunis à Venise étaient loin de posséder la
somme demandée[5].
Enrico Dandolo, le doge de Venise, propose alors aux croisés qu'ils prennent la
ville hongroise de Zara en échange de la somme manquante. Les chefs acceptent
le marché, mais nombreux sont les croisés qui le désapprouvent, parmi lesquels
Simon. Celui-ci et ses alliés refusent d'ailleurs d'attaquer la ville et restent dans
leur campement pendant l'assaut. Après la prise de la ville, c'est ensuite Alexis
Ange qui propose aux croisés de payer leur passage en échange de leur aide pour
rétablir Isaac II sur le trône. Simon refuse net cette proposition et dès février
1203 prend contact avec le roi de Hongrie pour obtenir l'autorisation de traverser
son royaume en sécurité avec ses compagnons. Avec tout le contingent d'Île-de-
France[6], il quitte l'armée croisée, traverse la Dalmatie, puis descend le long de
la péninsule italienne pour embarquer à Barletta, dans les Pouilles[7].
Il débarque à Jaffa et rejoint le roi Amaury II de Lusignan. Apprenant le

-2978-
détournement de la quatrième croisade, le roi négocie une trêve avec le sultan Al-
Adel. Il dirige cependant avec Simon de Montfort une expédition punitive en
Tibériade. Impressionné par leur valeur, Amaury veut les attacher à son service et
accepte le mariage de Guy de Montfort, frère de Simon, avec Helvis d'Ibelin. Mais
l'annonce de la prise de Constantinople et de la fondation de l'empire latin de
Constantinople fait comprendre à Amaury que la croisade ne viendra pas en Terre
Sainte, et il signe en 1204 une trêve de six ans avec le sultan[8].
La tradition veut qu'il ramena d'Orient un morceau de la sainte Croix qu'il offrira
au monastère des Hautes-Bruyères[réf. nécessaire].
Peu après son retour meurt son oncle Robert IV de Leicester. Simon en est
l'héritier le plus proche et revendique la succession, mais Jean sans Terre, roi
d'Angleterre, après s'être fait confisquer ses domaines français de Normandie,
d'Anjou, du Maine et du Poitou, confisque à son tour tous les domaines anglais
détenus par des barons français. Ce fut le cas du comté de Leicester qui est donné
à Ramnulf de Chester[9].
Le Croisé en Albigeois
Vers 1206, son ami et voisin Guy, abbé des Vaux de Cernay est appelé pour
prêcher dans l'Occitanie contre l'hérésie cathare, avec d'autres religieux comme
Dominique de Guzmán et Pierre de Castelnau. La mission n'obtient que de
maigres succès, Pierre de Castelnau est obligé d'excommunier le comte Raymond
VI de Toulouse mais est assassiné le 14 janvier 1208. Le pape Innocent III décide
alors d'organiser une expédition contre les Cathares, et accorde aux combattants
les mêmes indulgences et faveurs qu'à ceux qui combattaient en Terre Sainte[10].
Arnaud Amaury et Guy des Vaux de Cernay parcourent le royaume de France afin
d'inciter les barons à prendre part à la "croisade"[11],[12].
Eudes III, duc de Bourgogne, annonce son engagement, suivi d'Hervé IV de

Donzy, comte de Nevers, et de Gaucher III de Châtillon, comte de Saint-Pol. Incité
par Guy des Vaux de Cernay, Simon de Montfort s'engage dans la croisade, suivi
par plusieurs barons voisins, Guy de Lévis, Bouchard de Marly, Robert Mauvoisin,
Pour écarter la menace de ses états, Raymond VI de Toulouse fait amende
honorable le 18 juin 1209 et rejoint la croisade[13].
Les croisés[14] se réunissent à proximité de Lyon et se dirigent vers le sud, sous

la direction du légat Arnaud Amaury. Raymond VI étant parmi les croisés,
l'objectif n'est plus le Toulousain mais le domaine de Raimond-Roger Trencavel,
vicomte de Béziers et de Carcassonne, qui abrite également des cathares[15].
Les villes de Béziers[16] et de Carcassonne sont prises, Trencavel est déchu de

ses vicomtés, et un successeur lui est choisi parmi les barons croisés. Après les
refus du duc de Bourgogne, du comte de Nevers et du comte de Saint-Pol, Arnaud
Amaury préside une commission formée de deux évêques et de quatre barons, qui
fixe son choix sur Simon de Montfort. Ce dernier commence par refuser[17], mais
l'insistance de son ami Guy des Vaux de Cernay et d'Arnaud Amaury finit par le
faire revenir sur sa décision. Il accepte, à la condition que tous les barons
-2979-
présents fassent serment de venir l'aider au cas où il serait en péril.
La première difficulté du nouveau vicomte se manifeste avec la fin de la

quarantaine, qui survient peu après la reddition de Carcassonne et seul le duc de
Bourgogne accepte, par amitié, de rester quelque temps. Ils prennent Fanjeaux,
puis Simon reçoit l'hommage des habitants de Castres. Il tente ensuite de prendre
les châteaux de Lastours, mais doit abandonner le siège après le départ du duc de
Bourgogne. Il ne peut alors compter que sur une trentaine de chevaliers et d'une
troupe de cinq cents soldats. Il prend Mirepoix, qu'il donne à son beau-frère Guy
de Lévis, détruit la maison de Parfaits implantée à Pamiers (où il rédigera des
statuts en 1212) par la sœur du comte de Foix, Esclarmonde et prend Saverdun et
Preixan et reçoit l'hommage des habitants d'Albi ainsi que de plusieurs seigneurs
locaux.
Il rencontre le roi Pierre II d'Aragon à Narbonne, mais ce dernier n'est pas décidé
à le reconnaître comme vassal. C'est à ce moment, le 10 novembre 1209, que
meurt dans sa prison Raimond-Roger Trencavel. Les ennemis de Montfort font
courir le bruit qu'il a été assassiné. Le pays se révolte alors, son cousin Bouchard
de Marly tombe dans une embuscade tendue par le seigneur Pierre Roger de
Cabaret, et plusieurs de ses châteaux sont assiégés, pris par les Occitans et leur
garnison massacrée. Simon de Montfort ne peut compter que sur quelques villes
et doit se préparer à faire une conquête complète du pays. Sa femme Alix de
Montmorency le rejoint alors, amenant avec elle des renforts. Il commence à
prendre quelques châteaux révoltés, et fait preuve d'une cruauté équivalente à
celle des seigneurs occitans qui avaient massacré ses garnisons.
Après les prises de Minerve, Termes, Lastours et Lavaur, il contrôle suffisamment

le pays pour envisager de s'attaquer au comte de Toulouse, qui vient de se faire
excommunier à nouveau. Simon occupe Castelnaudary et y bat Raymond VI de
Toulouse. Il occupe ensuite l'Albigeois, l'Agenais, puis occupe Muret, achevant
d'encercler Toulouse. Inquiet de ses progrès, le roi Pierre II d'Aragon, qui vient de
remporter la bataille de Las Navas de Tolosa contre les Maures, prend les comtes
de Toulouse, de Foix et de Comminges sous sa protection. Au mois d'août 1213,
Pierre II franchit les Pyrénées et rejoint les trois comtes à Muret. Simon de
Montfort attaque l'alliance et la défait le 12 septembre au cours de la bataille de
Muret où est tué le roi Pierre II d'Aragon.
En décembre 1215, à l'issue du concile de Latran, le pape Innocent III lui attribue
définitivement le comté de Toulouse, le duché de Narbonne et les vicomtés de
Carcassonne et de Béziers. Il en rend aveu du comté au roi de France le 10 avril
1216 à Melun. Il ne tarde pas à entrer en conflit avec l'archevêque de Narbonne,
Arnaud Amaury sur la possession du duché de Narbonne.
Alors qu'il prête hommage pour le Toulousain, Beaucaire a ouvert ses portes à
Raymond VII de Toulouse, le précédent comte de Toulouse dépossédé de ses
terres. Simon de Montfort ne parvient pas à prendre la ville et il doit abandonner
le siège pour réprimer la révolte de Toulouse. Le 13 septembre 1217, Toulouse
ouvre à son tour ses portes à Raymond qui ne tarde pas à être renforcé par le
comte de Foix, des Catalans et des Aragonais. Simon met le siège devant la ville le
8 octobre. Enfin le 25 juin, au cours d'une sortie des assiégés, il meurt tué par une
-2980-
pierre lancée par une pierrière manœuvrée par des femmes.
Son fils Amaury, qui deviendra connétable de France à la suite de son oncle, se
verra confirmer en théorie dans les possessions continentales de son père. Le
puîné, Guy de Montfort, fut comte de Bigorre par mariage, mais ne lui survécut
que deux ans. Le cadet, Simon V part pour l'Angleterre où il jouera un rôle
important sous le règne d'Henri III d'Angleterre.
Cependant, le comté de Toulouse sera dans les faits conservé par Raymond VII de
Toulouse, puis tombera par traité dans le domaine royal à la mort de sa fille,
mariée au frère du roi, et ne laissant pas d'héritier.
Un bilan contrasté
Porté aux nues en son temps comme défenseur de l’Église et comme combattant
de l’hérésie, Simon de Montfort est considéré au XXe siècle comme le bourreau de
la conquête de l’Occitanie. La vérité se situe sans doute entre ces deux points de
vue. Il n'en demeure pas moins que le bilan de la conquête est lourd en vies
humaines et en massacres (massacre de Bram par Simon de Montfort, dame
Guiraude de Lavaur jetée au fonds d'un puits et lapidée).
Simon de Montfort a été homme droit et rigoureux qui s'engageait complètement

dans ses entreprises, quelle que soit la finalité de celle-ci. Lors de sa participation
à la quatrième croisade, le doge de Venise demande aux croisés de prendre la ville
chrétienne de Zara pour payer leur transport en Terre Sainte. Simon estime ce
siège indigne des croisés et refuse de prendre part aux assauts. Quand la
quatrième croisade décide d’attaquer Constantinople, Simon refuse ce
détournement et quitte avec ses troupes l’expédition pour se rendre en Terre
Sainte par ses propres moyens. En Occitanie, il se considère comme le bras armé
de l’Église, mais il n'en demeure pas moins vrai qu’il favorise également ses
ambitions personnelles, utilisant la croisade contre les Albigeois pour tenter de
s'approprier des territoires important du sud du royaume et pour en devenir un
important seigneur[18].
C’est aussi un bon soldat et un bon stratège, qui a plusieurs fois remporté la
victoire en Albigeois, dans des circonstances qui lui étaient initialement
défavorables. Mais ses succès s’expliquent également par l’inaction latente de son
principal ennemi, le comte Raymond VI de Toulouse. Le principal défaut apparent
de Simon de Montfort est son manque de diplomatie et l'intransigeance de sa
politique. Il ne connaît pas le compromis : par exemple, à la suite du siège de
Beaucaire, la ville de Toulouse se révolte et fait prisonnier un détachement de
croisés. Sans l’aide d’une armée, Toulouse doit se soumettre, et Simon refuse de
faire preuve de magnanimité, ce qui lui aurait peut-être permis de faire accepter
aux Toulousains leur soumission. Au contraire, il impose des conditions
humiliantes à la ville, qui transforme son animosité contre lui en haine. Dès lors,
la révolte de la ville est inéluctable et aboutit au siège où Simon sera tué. Pendant
le concile de Latran, ses ennemis Pierre II d'Aragon et Raymond VI de Toulouse
font preuve d'activités diplomatiques afin de diminuer les sanctions envers les
comtes de Toulouse, de Foix et de Comminges. Ces actions, que Simon ne jugea
pas utile de contrer, aboutissent à la restitution de la ville de Foix à son comte et
-2981-
l'attribution du marquisat de Provence au fils de Raymond VI.
Concernant les cruautés de Simon, si elles paraissent barbares à l’homme des XXe
et XXIe, elles sont monnaies courantes au XIIIe siècle :
 Simon a allumé de nombreux bûchers de cathares, mais il n’agit que

comme le bras séculier de l’église qui a condamné ces hérétiques.
 Après la prise de Bram, il fait aveugler tous les défenseurs de la ville,
sauf un qui est seulement éborgné, afin qu’il guide ses malheureux
compagnons. C'est un châtiment cruel, envers des soldats qui lui avaient
rendu l’hommage puis renié, et répondant à celui de Giraud de Pépieux
qui avait fait subir peu avant le même châtiment à une partie de la
garnison du château de Puysserguier, l’autre ayant été massacré.
 Il y a une différence concernant la parole donnée entre les hommes du
nord et ceux de l’Occitanie. En Occitanie, les paroles et serments sont
donnés selon les circonstances et il est admis que l’on puisse revenir sur
la parole donnée si les nécessités politiques changent. C’est une
caractéristique de la civilisation occitane, qui est admise par toutes ses
composantes. Simon, et les principaux membres de la féodalité du nord,
considèrent que la parole donnée et le serment engagent
irrévocablement celui qui la donne. Cette différence va rapidement
aboutir à une incompréhension mutuelle. Simon va juger les barons
occitans comme des hommes de peu de foi, et les faire exécuter en cas de
reniement et de révolte. C’est particulièrement flagrant après la prise de
Lavaur : Guiraude de Laurac est exécutée comme hérétique.[19], Amaury
de Montréal et ses soldats, ayant par le passé rendu l’hommage à
Montfort, sont égorgés, mais les soldats envoyés par le comte de
Toulouse, ayant obéi aux ordres de leur suzerain et n’ayant aucune
obligation envers Montfort, sont traités comme prisonniers de
guerre[20].
Mariage et enfants
Simon de Montfort épousa vers 1190 Alix de Montmorency († 25 février 1221),

fille de Bouchard IV, seigneur de Montmorency et de Laurette de Hainaut. Ils
eurent :
 Amaury VI († 1241), comte de Montfort

 Guy († 1220), comte de Bigorre, par son mariage avec la comtesse
Pétronille
 Simon V († 1265), comte de Leicester
 Robert
 Pernelle, nonne
 Amicie († 1253), mariée à Gautier de Joigny, seigneur de Châteaurenard
 Laure, mariée à Gérard II de Picquigny, vidame d'Amiens
Bibliographie
-2982-
 Dominique Paladilhe, Simon de Montfort, Librairie Académique Perrin,
1988 (réimpr. 1997), 324 p. (ISBN 2-262-01291-1)
 Michel Roquebert, Simon de Montfort, bourreau et martyr, Perrin, Paris,
2003 (réimpr. 2005), 401 p. (ISBN 2-262-02287-9)
 Michel Roquebert, Histoire des Cathares, Perrin, Paris, 1999 (réimpr.
2002), 544 p. (ISBN 2-262-01894-4)
 Zoé Oldenbourg, Le bûcher de Montségur - 16 mars 1244, Galimard, coll.
« Les journées qui ont fait la France », Paris, 1959 (réimpr. 2003) (ISBN
2-07-032507-9)
 Foundation for Medieval Genealogy : Comtes de Montfort
1. Pendant longtemps, son père Simon († 1188) a été confondu avec son
propre père Simon III († 1181), situation qui a induit un problème de
numérotation des Simon de Montfort
2. seigneur de Montfort confondu avec Simon III.
3. (Foundation for Medieval Genealogy).
4. (Paladhile 1988, p. 23-27)
5. (Paladhile 1988, p. 27-38)
6. De tous les seigneurs franciliens, seul Mathieu de Montmorency,
seigneur de Marly et oncle de la femme de Simon de Montfort continua
vers Constantinople, où il meurt le 27 août 1204. Mathieu de
Montmorency est le père de Bouchard de Marly qui seconda Simon de
Montfort pendant la croisade des Albigeois.
7. (Paladhile 1988, p. 39-45)
8. (Paladhile 1988, p. 46-47)
9. (Paladhile 1988, p. 48)
10. Bien que très différente de l'esprit des précédentes croisades, cette
expédition prit le nom de croisade des Albigeois. Les objectifs des
premières croisades étaient de délivrer les Lieux Saints, de protéger les
chrétiens d'Orient et de repousser les Turcs qui menaçaient
Constantinople. Les participants de la quatrième croisade détournés sur
Constantinople avaient été à deux doigts de se faire excommunier, pour
avoir combattu d'autres chrétiens. Avec la croisade des Albigeois, on
assiste à une évolution de la notion de croisade, où il s'agit de combattre
les ennemis de la papauté. Cette notion sera reprise lors des croisades
contre Frédéric II, contre l'Aragon et contre les Hussites.
11. Il va sans dire que pour un baron, le voyage en Occitanie étant moins
coûteux que celui en Terre Sainte, la croisade des Albigeois était pour
eux une aubaine pour obtenir la rémission de leur pêchés et l'indulgence
de Dieu à moindre frais.
12. (Paladhile 1988, p. 72-82)
13. (Paladhile 1988, p. 82-86)
14. Raisonnablement, on peut estimer leur nombre à 50 000 (Dominique
Paladilhe, Ibid., p.86).
15. (Paladhile 1988, p. 86-89)
16. Contrairement à une idée répandue, ce n'est pas à Simon de Monfort,
mais au légat Arnaud Amaury que sont attribuées les paroles "Tuez-les
tous, Dieu reconnaitra les siens" (sur la véracité de ces paroles, voir
l'article sac de Béziers). À cette époque, Simon de Montfort était d'un
-2983-
rang bien moindre que les principaux participants à la Croisade, tels
l'archevêque de Sens, l'évêque de Clermont, le duc de Bourgogne ou le
comte de Nevers.
17. En effet, le pays, très favorable aux Cathares, laisse penser qu'il
n'acceptera pas son nouveau seigneur, et le pays est de ce fait à
conquérir, avec un effectif de soldats fluctuant.
18. Dominique Baudis, Raimond VI
19. quoique cruellement, car elle est violée et torturée
20. (Paladhile 1988, p. 301-307)
Ses sépultures
A sa mort, Simon IV de Montfort fut d’abord enterré dans une chapelle absidale
de St-Nazaire, basilique située à Carcassonne (11-Aude). Cette chapelle fut
reconstruite plus tard en style ogival. La « pierre tombale » de sa sépulture y fut
retrouvée en 1845. Après une attente de 6 ans à St Nazaire, son fils aîné Amaury
ramena (1224) le corps de son père, Simon IV, aux Hautes Bruyères. Selon
certains auteurs, le corps aurait été « cousu dans une peau de boeuf » ; selon
d’autres, la coutume au Moyen Age était de bouillir le corps afin de conserver
seulement les ossements. Ses ossements furent ramenés (1224) dans l'église des
Hautes Bruyères et déposés à droite du maître-autel. Sur la dalle funéraire, son
effigie fut représentée au trait et l'inscription suivante fut gravée à ses pieds :
« Simon iste comes. Fidei protector, Regis Militiae fames fuit. Hic discretio legis »
A un autre endroit, on pouvait lire :
« Dantur facto casuque cadum iterato Simoni sublato, Mars, Pâris atque Cato »
Cette pierre tombale, dont les inscriptions furent très effacées par le passage des
fidèles, s'effondra au XVIIème. Quelques coups de pioche ont mis à jour les corps
de Simon et de sa femme Alix, encore enveloppés dans du taffetas rouge, le comte
à droite, la comtesse à gauche, dans un cercueil en bois de chêne à l'état
pulvérulent. On releva les corps, on leur donna une nouvelle sépulture et le poète
Claude Rabet écrivit sur la dalle une épitaphe qui rappelle la phrase latine
précédente :
« Ce Simon, comme Mars fut de guerre un orage
Comme Pâris fut beau, Comme Caton fut sage,
Si qu'alors qu'il mourut, on disait d'une voix tous trois
Etre avec lui mort encore une fois ».
(http://jeanalain.monfort.free.fr/78/Montfort78_4.htm) Ch. Faucherand, 28 iv

2016.
-2984-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-XIe siècles),
P. Universitaire de Caen, 2004 et Notice wikipedia) vi2009,JB.de La Grandiere (
Paul Leportier "Les ducs de Normandie" , St-Aubin-lès-Elbeuf 1999 ) 31 x 2009
- defunció: J-P de Palmas (il reçoit sur la tête une énorme pierre lancée d’un
mangonneau toulousain manoeuvré par des femmes. Il est tué sur le coup.)
- enterrament: Ch. Faucherand (note) 28 iv 2016
2.968.543:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) vi2009
2.968.543a:
Amaury VI de Montfort (v. 1195 † 1241), comte de Montfort, comte titulaire de
Toulouse (comte de Toulouse par conquête), vicomte d'Albi, vicomte de Béziers et
de Carcassonne, connétable de France, est le fils de Simon IV et d'Alix de
Montmorency.
Biographie
Son père s’engage dans la croisade des Albigeois en 1209 et reçoit à la fin de l’été
les vicomtés de Carcassonne, d’Albi et de Béziers, ainsi que la charge de
continuer la lutte contre l’hérésie. Au printemps 1210, Alix de Montmorency vient
le rejoindre en amenant avec elle des renforts. Il est raisonnable de considérer
que ses enfants l’accompagnaient, dont Amaury, âgé d’environ quinze ans. Avec
son frère Guy, il figure dans un acte de donation de son père en faveur l’abbaye
Notre-Dame de la Trappe, en 1212[1].
En 1213, il est adoubé chevalier dans la ville de Castelnaudary, choisie par son
père pour tenir à l’œil des agissements du comte Raymond VI de Toulouse et de
ses alliés. Sa participation à la bataille de Muret (12 septembre 1213) ne semble
pas impossible, quoique non mentionnée par les documents Il participe à d'autres
campagnes de Languedoc sous les ordres de son père, comme le siège de
Beaucaire (1216) et le siège de Toulouse (1218).
C’est au cours de ce siège de Toulouse que son père est tué et qu’il prend sa
succession. Amaury est considéré comme peu capable car il a perdu les conquêtes
de son père. Mais les compagnons de son père étaient las de se battre sans arrêt
et de reprendre la lutte à son début, car chaque révolte des barons occitans
embrasaient le pays et la reconquête devrait être reprise à zéro[2]. En même
temps que les titres paternels, Amaury héritait d’une armée réduite et
démoralisée. A peine sorti de l'adolescence, il n'avait pas non plus l'expérience
paternelle. Pour venger son père, il refusait de lever le siège de Toulouse et
conclure une trêve avec Raymond VI de Toulouse, considérant que c’était
contraire à son honneur. Ce sont ses barons et son oncle Guy qui l’obligent à
-2985-
mettre fin au siège.
Il reçoit peu après quelques renforts, amenés par sa mère, mais ne peut faire
autre chose qu’un raid dans les Corbières sans grand résultat. Puis il met le siège
devant Marmande, mais ne parvient pas à prendre la ville avant l’arrivée du
prince Louis de France. Après le départ du prince Louis, Amaury parcourt
l’Occitanie avec une petite armée, reprenant de temps en temps une place forte,
mais Raymond VII les lui reprenait et gagnait du terrain de son côté. Fin 1223, les
domaines d'Amaury se réduisent aux alentours de Carcassonne, de Minerve et de
Penne-d'Agenais, et ses troupes à Guy de Montfort, Guy Ier de Lévis, Lambert de
Thury[3], un vingtaine de chevaliers et leurs soldats. Les comtes de Toulouse et de
Foix font alors mine d'assiéger la ville. Sachant qu'il ne peut pas résister à un
assaut, Amaury signe le 14 janvier une trêve jusqu'à la Pentecôte et part vers l'Île
de France le 15 janvier.
En février 1224, il obtient une audience auprès du roi Louis VIII. Pas plus doué de
diplomatie et de sens politique que son père, il s'attendait à un roi dévot prêt à lui
donner des renforts pour reconquérir ses états, mais trouva un roi capétien
doublé d'un homme d'État, qui le persuada sans mal de renoncer à tous ses droits
sur l'Occitanie en faveur de la Couronne[4].
En 1230, il succède à son oncle Mathieu II de Montmorency comme connétable de

France. Il participe à la Croisade de 1239 mais est capturé à Gaza au cours de la
désastreuse action du comte Henri II de Bar. Détenu en Égypte par Malik al-Salih
Ayyoub, il est libéré en 1240 lorsque les croisés et Ayyub concluent une alliance
contre le sultan de Damas[5]. Il meurt à Otrante en 1241, lors de son retour en
Occident[6].
Références
1. Foundation for Medieval Genealogy : Simon de Montfort [archive]

2. Simon de Montfort avait également ce problème de démotivation de ses
troupes depuis Beaucaire, en 1216.
3. ou Lambert de Limoux, ancien défenseur du château de Beaucaire.
4. Georges Bordonove, Ibid, page 357
5. René Grousset, Histoire des croisades et du royaume franc de Jérusalem -
III. 1188-1291 L'anarchie franque, Perrin, Paris, 1936 (réimpr. 2006), 902
p., p. 387, 393-6, 404 et 407 .
6. Foundation for Medieval Genealog
Amaury de Montfort (d. 1241), defeated in war, lost all his rights in Languedoc to
King Louis VIII (1229) and was compensated with the office of constable of France
(1231). Captured by the Muslims in the Holy Land (1239), he was released in 1241
but died at Otranto in Apulia on his way home. (B.Yeurc'h (ENCYCLOPÆDIA
BRITANNICA))
 "Son corps fut enterré, selon certains à St Pierre de Rome, selon d'autres à St
Jean de Latran. Amauri légua son coeur aux Hautes Bruyères : les religieuses le
placèrent (3 août 1241) dans une pierre taillée à son image, que l'évêque de
Chartres, Aubri, déposa à gauche du maître autel de l'église prieurale, avec
-2986-
l'épitaphe suivant :
« Hic jacet in templo comitum generosa propago
Ecce fit exemplo nati genitoris imago ».
http://jeanalain.monfort.free.fr/78/Montfort78_4.htm) Ch. Faucherand, 28 iv 2016.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 1 vi 2010
- enterrament: Ch. Faucherand (note) 28 iv 2016
- família: J-P de Palmas (wikipedia) vi2009
2.968.543b:
GUY de Montfort (-killed in battle 4 Apr 1220, bur Abbaye de Haute-Bruyère). A
charter dated Feb 1199 recalls a donation to the leprosery of Grand-Beaulieu near
Chartres by "Amauricus de Monteforti", with the consent of "Amauricus parvus
filius eiusdem Amaurici, qui erat sub custodia Amaurici de Mestenon", and the
confirmation by "Simon de Monteforti, predictorum successor virorum et heres"
with the consent of "uxore mea Eva [presumably an error for Alix] et filiis meis
Amaurico et Guidone et fratre meo Guidone"[2682]. "Symon comes Leycestrie
dominus Montisfortis…Biterrenensis et Carcasonensis vicecomes" donated
property to Notre-Dame de la Trappe with the consent of "A comitissa uxore mea
et filiis nostris A et G" by charter dated Jul 1212[2683]. The Chronique de
Guillaume de Nangis records in 1220 that "Gui fils de Simon de Montfort" was
killed by "le comte de Saint-Gilles"[2684]. The necrology of Port-Royal records the
death "II Non Apr" of "le jeune Guydo de Montfort"[2685]. The necrology of
Haute-Bruyère lists members of the Montfort family who are buried in the abbey,
including "…comte Amaury…fils dou devant dit conte Simon et dou conte Guy de
Bigorre, frere au devant dit conte Amaury…"[2686]. "Almaricus comes
Montisfortis, Francie constabularius" donated land "in loco…Marescheria"
[Marchesserie] to Notre-Dame de la Roche for anniversaries for "…Guidonis
Bigorensis comitis fratris nostri", with the consent of "Beatricis uxoris nostre", by
charter dated Mar 1237[2687].
m (13 Nov 1216) as her third husband, PETRONILLE de Comminges, Ctss de

Bigorre, widow firstly of GASTON VI Comte de Béarn and secondly of don NUÑO
Sanchez de Aragón, daughter of BERNARD IV de Comminges & his wife Béatrix
III Comtesse de Bigorre (-1251). The Chronicle of Guillaume de Puylaurens
records that "Simon de Montfort" married "son fils Guy" to "la comtesse de
Bigorre"[2688]. The record of the 1503 hearing relating to the dispute over the
inheritance of the county of Bigorre records that "Pétronille contesse…de Bigorre"
married "feu Monsieur Messire Guy de Narbonne", adding that the marriage was
recognised by the church[2689]. She married fourthly ([1221/23]) Aymar de
Rancon, and fifthly (1228) Boson de Mastas Seigneur de Cognac (-before 1251).
[2682] Notre-Dame des Vaux de Cernay, Tome I, p. 71, footnote 1, quoting

Archives du dép. dÉure-et-Loir, fonds du grand séminaire.
-2987-
[2683] Notre-Dame de la Trappe IV, p. 4.
[2684] Guillaume de Nangis, p. 128.
[2685] Obituaires de Sens Tome I.2, Abbaye de Port-Royal.
[2686] Obituaires de Sens Tome II, Abbaye de Haute-Bruyère, p. 224.
[2687] Notre-Dame de la Roche, VII, p. 10.

sur la guerre des Albigeois (1202-1272) (Béziers), Chap. XXVI, p. 129.

Bibliothèque de lÉcole des Chartes, Vol. 18, no. 1 (1857), p. 307.
Fonts:
- defunció: M.Chevallier (H.duLanguedoc DomV.) v 13
- casament: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)
2.968.543d:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII ;, C.Denancé (geneanet site Guillaume de Wailly)
04.01.09
2.968.543e:
Simon V de Montfort, sur un vitrail de la Cathédrale de Chartres.
Simon V de Montfort (vers 1208 – 4 août 1265), 6e comte de Leicester et comte de

Chester, est l'un des grands barons anglais qui s'opposèrent à Henri III
d'Angleterre lors de la Seconde Guerre des barons.
Biographie
Il est le fils de Simon IV de Montfort, qui était devenu comte de Toulouse lors de la
croisade des Albigeois. Alors que son frère aîné Amaury reste sur le continent,
Simon V, le cadet, part pour l'Angleterre où leur grand-mère Amicie de Beaumont,
dame de Leicester, était l'héritière de la moitié du comté de Leicester et d'un droit
au titre de sénéchal d'Angleterre. Il fut le meneur de la révolte des barons contre
Henri III. Ses troupes avec l'aide des archers gallois vainquirent les forces royales
lors de la bataille de Lewes en 1264, avec la capture du prince Édouard. Aussi
parvenu au pouvoir en maintenant en captivité la famille royale, il entama un vaste
chantier de réforme politique, qui voulait confier une plus grande représentation à
la masse des modestes chevaliers. Mais le prince Édouard échappa à ses gardiens
chevaliers en prétextant tester les capacités du meilleur coursier. Il sut rallier les
-2988-
barons de l'ouest et du nord anglais, possédant des troupes aguerries, à la cause
royale opprimée. Simon de Montfort fut défait et tué à la bataille d'Evesham en
1265, son corps atrocement mutilé. Sa famille fut exilée, mais le prince Édouard
gardant l'admiration de l'oncle qui l'avait formé au combat et initié au champ
politique, permit qu'on érige sur place un tombeau. Ce sanctuaire devint
rapidement un lieu de pèlerinage et Simon fut considéré comme un saint, non
seulement par la population locale, mais par l'ensemble de l'Angleterre quelques
décennies plus tard.
Voir sa page Wikipédia
Le corps de Simon de Montfort est mutilé après la bataille.
Tombe de Simon de Montfort à Evesham.
Fonts:
- persona: B.de Crevoisier () 14 xi 2010, J-P.de Palmas (Wikipédia et iconographie :
Simon V de Montfort, sur un vitrail de la Cathédrale de Chartres) 21 vi 2015
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- defunció: bataille d'Evesham
2.968.543f:
-2989-
Fonts:
- persona: E.Polti (voir les notes recopiées sur la fiche de S. de Montfort) 29 ix
2011
2.968.543g:
Fonts:
- persona: E.Polti (voir les notes recopiées sur la fiche de S. de Montfort) 29 ix
2011
2.968.549:
Pour la mère de Raoul, actuellement Yolande de Joinville, il précise (note 27) : "On
ne sait à quelle famille appartenait Yolande. C'est Duchesne qui est le responsable
de l'erreur que tous les historiens ont répétée." (exit l'ascendance Joinville)
jcv 2014-05-18 17:40:48 citant William Mendel Newman : "Les seigneurs de Nesle
en Picardie, leurs chartes et leur histoire", 1971, tome I, pages 66-69 et tableau
général après page 268
Fonts:
- persona: C-H.Maigret 4 vii 2011
- família: C-H.Maigret 4 vii 2011, H.R.Moser/EuSt-VII+Newman
2.968.549a:
Message 2014-05-18 17:40:48 de Jean-Claude de Vaugiraud :
Je note / que le savant William Mendel Newman : "Les seigneurs de Nesle en

Picardie, leurs chartes et leur histoire", 1971, tome I, pages 66-69 et tableau
général après page 268 précisent :
1° Pour Raoul de Nesle précise (note 31) "les chartes que je connais ne lui
attribuent jamais de seigneuries" (exit Coeuvres). Il le cite en 1233 et encore en
septembre 1272.
2° Pour sa femme Comtesse de Hangest, qu'il prénomme bien (note 31) Comtesse
et qui est bien fille de Jean (et non de Florent), elle est connue en 1266 et avril
1270.
3° Il ne donne au couple qu'une seule fille Yolande (note 31), femme de Bernard
de Moreuil le jeune (donc Yolande au lieu de Jeanne et pas d'Isabeau X Bernard de
Corbie).
4° Pour la mère de Raoul, actuellement Yolande de Joinville, il précise (note 27) :
"On ne sait à quelle famille appartenait Yolande. C'est Duchesne qui est le
responsable de l'erreur que tous les historiens ont répétée." (exit l'ascendance
Joinville)
JB de La Grandière 15/5/2014 : C-H Maigret avait bien noté tout ceci mais nous
devons sans cesse nettoyer les "dépôts amassés auprès de sources polluées".. :) !
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Alain Dufour) 24 iii 2017, J-C de Vaugiraud (La
Chesnaye-Desbois:Moreuil) 09/09/2006
- C-H.Maigret (William Mendel Newman "Les seigneurs de Nesle en Picardie, leurs
chartes et leur histoire" - tome I - 1971) 4 vii 2011
-2990-
- família 1: J-C de Vaugiraud (La Chesnaye-Desbois:Moreuil) 09/09/2006,
2.968.549-1a:
Fonts:
en Picardie, T. I, P. 65, note 25 et tableau) 7 x 2015
Picardie, T. I, P. 65, note 25 et tableau) 7 x 2015
2.968.550:
ROGER de Chimay (-after 1220). The primary source which confirms his
parentage has not yet been identified. Châtelain de Couvin: "Rogerus de
Cimaco…castellaniam de Covinio" confirmed his rights and those of the bishop of
Liège in Couvin by charter dated 1218, signed by "Ludovici comitis de Chisni,
Egidii de Hierge, Arnulphi de Morelmes, Jacobi de Orcismont"[876]. Seigneur de
Chimay. “Rogerus dominus de Cimaco” ratified the donation made to Epinlieu
abbey by ”Elizabet domine de Merbiis” by charter dated Mar 1219, witnessed by
“Hugonis domini de Florennes, Alardi fratris mei, Nicolas de Periers”[877].
“Roger seigneur de Chimay et Agnès sa femme” granted freedoms to Foigny by
charter dated 1220[878].
m AGNES, daughter of --- (-after 1220). “Roger seigneur de Chimay et Agnès sa

femme” granted freedoms to Foigny by charter dated 1220[879]. Roger & his wife
had one child.
[876] Couvin, 2, p. 6.
[877] Hagemans, G. (1866) Histoire du pays de Chimay (Brussels), Part II, Pièces
justificatives, p. 550.
[878] Foigny (1879), CCCCXXXVIII, p. 72.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 29 x 2016
2.968.551:
AGNES, daughter of --- (-after 1220). “Roger seigneur de Chimay et Agnès sa
femme” granted freedoms to Foigny by charter dated 1220[879]. Roger & his wife
had one child.

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( rectifs : "Montréal à sire de Chastellux" pp
230. 231, 2013) 12 v 2015, J-P.de Palmas (FMG) 30 x 2016
-2991-
2.968.552:
Fondateur vers 1226 du chapitre de Saint-Firmin-le-Martyr, à Vignacourt.
Homme-lige d'Enguerrand de Picquigny, Vidame d'Amiens.
[C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012]
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Liste des seigneurs de L'Etoile, par Ghislain
Lancel) 14x2011
14x2011
2.968.553:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Liste des seigneurs de L'Etoile, par Ghislain
Lancel) 14x2011
14x2011
2.968.560:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Guy Bastin - Nobily), J-P.de Palmas (Charles
Cawley & FMG) 9 ii 2017
- defunció: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012
- casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012
- família: Base Tournemire, H.de La Villarmois (Manuscrits Sars de Solmont -
Monchy) 11 x 2008, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 9 ii 2017
2.968.561:
Fonts:
- persona: Base Tournemire, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 9 ii 2017
- defunció: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012
- casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012
- família: Base Tournemire, H.de La Villarmois (Manuscrits Sars de Solmont -
Monchy) 11 x 2008, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 9 ii 2017
2.968.562:
"Jean Ier, comte de Ponthieu et de Montreuil, à peine mis en possession de
l'héritage de son père, eut à soutenir contre Bernard de Saint-Valery une guerre à
laquelle le comte de Chartres mit fin en mai 1150. Il accompagna Philippe-
Auguste au siège de Saint-Jean-d'Acre, et y fut tué en 1191. Son corps, rapporté
en Ponthieu, fut inhumé dans l'église de l'abbaye de Saint-Josse-au-Bois." J-C de
Vaugiraud (marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de Ponthieu de la
deuxième race, page 5) 8 iii 2011
- Pour ES -III, T. 638, de 1989, Jean comte de Ponthieu a été marié 3 fois:
X 1 - Mathilde = pas de postéritée indiquée,
X 2 - Laure de Saint-Valéry d'ou au moins 4 enfants: Guillaume, Adèle,
Marguerite, Hélène.
X 3 - Béatrix de Saint-Pol, fille de Anselme Candavène, = pas de postéritée
indiquée !
- Pour Medieval genealogy:
X 1 - Mathilde = pas de postéritée indiquée,
X 2 - Laure de Saint-Valéry = pas de postéritéé indiquée.
X 3 - Béatrix de Saint-Pol, d'ou 4 enfants: Guillaume, Adèle, Marguerite, Hélène.
Notons que les sources indiquant les mères des enfants manquent. Il n'y a qu'une
-2992-
seule charte citant Guillaume en même temps que Jean et son épouse Béatrix (ce
qui ne veut pas obligatoirement dire que Béatrix soit mère de Guillaume)
- Le marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de Ponthieu de la deuxième
race, page 5, donne bien tous les enfants comme issus de Béatrix de Saint Pol et
explique comment Guillaume en est issu puisque non encore né en 1173 !
http://195.220.134.232/numerisation/tires-a-part-www-nb/0000005530571.pdf
J-C de Vaugiraud 8 iii 2011
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Tournemire)
- família 1: J-C de Vaugiraud (ES III-IV, T. 638) 7 iii 2011, J-C de Vaugiraud
(marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de Ponthieu de la deuxième race,
page 5) 8 iii 2011
- família 2: J-C de Vaugiraud (marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de
Ponthieu de la deuxième race, page 5) 8 iii 2011
- casament 3: J-C de Vaugiraud (ES III-IV, T. 638) 7 iii 2011
- família 3: F-L. Jacquier (Tournemire), J-M.Thiebaud (base Nicole Jouffroy) 10 ii
2011, J-C de Vaugiraud (marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de Ponthieu
de la deuxième race, page 5) 8 iii 2011
2.968.563:
1147, date du premier mariage d'après Jean-François Neuss est sans doute la date
d'un contrat de futur mariage convenu ! Il est probable qu'à cette date Béatrice
n'a que deux ou trois an J-C de Vaugiraud (hypothèse) 14 x 2011
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Tournemire)
- naixement: J-C de Vaugiraud (date de son contrat de "futur" mariage) 15 x 2011
- casament 1: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 122) 15 x 2011
- família 1: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 122) 15 x 2011
- casament 2: J-C de Vaugiraud (ES III-IV, T. 638) 7 iii 2011
- família 2: F-L. Jacquier (Tournemire), J-M.Thiebaud (base Nicole Jouffroy) 10 ii
2011, J-C de Vaugiraud (marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de Ponthieu
de la deuxième race, page 5) 8 iii 2011
2.968.563a:
"Guillaume II, comte de Ponthieu et de Montreuil, naquit postérieurement à 1173,
puisque dans une charte de cette année, son père déclare n'avoir pas encore de
fils (Canut, du Gard, F, p. 419). Il succéda à Jean Ier en 1191, sous la tutelle de
son oncle Guy, sire de Noyelles-sur-Mer et de Maisniéres, auteur de la maison de
Maisnières. Il prit part, en 1209, à la croisade de Simon de Montfort contre les
Albigeois, et assista, en 1214, à la tête de cinquante chevaliers et deux mille
hommesde pied, à la bataille de Bouvines, où Jean, son fils unique, fut tué. En
1215, Guillaume se croisa pour la secondé fois contre les Albigeois, et, en 1216, il
fut l'un des juges dans le procès intenté par la comtesse Blanche au comte
Thibaut VI,relativement à l'hommage du comté de Champagne. Il faut remarquer
que Guillaume figure dans le libellé de l'arrêt, en qualité de beau-frère du roi,
avant le comte de Dreux et le duc de Bretagne, quoique ceux-ci fussent issus de
race royale. Il mourut en 1225, et fut inhumé dans l'abbaye de Balance. Il avait
épousé, par traité du 20 août 1195, Alix de France, soeur du roi Philippe-Auguste
et fille de Louis VII, dit le Jeune, et d'Alix de Champagne, sa troisième femme." J-C
-2993-
de Vaugiraud (marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de Ponthieu de la
deuxième race, page 5) 8 iii 2011
Fonts: - persona: o guionneau/H&G 99-171
- casament: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012
- família: P.Deries (message de Jean-P Lafond du 25 août 05 sur le forum) 20 jan.09
2.968.563d:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Hervé Bucaille - généalogie d'Estoutteville) 30-05-
2005 http://perso.wanadoo.fr/herve.laine-
bucaille/noblesse/E/Estoutteville_624191.htm, J-C de Vaugiraud (La Morandière:
Maison d'Estouteville, P. 70) 7 iii 2011
- família: F-L. Jacquier (Hervé Bucaille - généalogie d'Estoutteville) 30-05-2005
http://perso.wanadoo.fr/herve.laine-bucaille/noblesse/E/Estoutteville_624191.htm
2.968.563e:
Agnès n'est indiquée ni par le marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de
Ponthieu de la deuxième race", ni pas ES III-IV T 638, ni par Medieval généalogy ?
La Morandière: Histoire de la maison d'Estouteville, page 94, dit:"mais elles se
trompent [les généalogies] en la disant fille du Comte Jean I. D'après les temps,
Agnès ne pouvait être soeur d'Hélène ou Hermine femme du grand-oncle de Jean,
mais bien sa nièce, fille, par conséquent, cadette et inconnues aux généalogies de
Guillaume II, comte de Ponthieu, très grand et sage Seigneur, que nous avons vu
épouser en 1195 Alix de France, soeur de Philippe-Auguste."
J-C de Vaugiraud 8 iii 2011
Fonts: - persona: A Brabant (base pierfit) 2.05.05
2.968.564:
"Fut en en 1200, l'un des hommes du conseil de Bauduin, comte de Flandre, dans
le conflit élevé entre la ville de Saint-Omer et l'abbaye de Saint-Bertin pour la
pâture dite [Swinart].
Ce seigneur, par une charte donnée en son château de Crésecque - au mois de
juillet 1202 - fonda le prieuré de Saint-André-lès-Aire, dans la paroisse de
Witernesse, du consentement et avec l'approbation de Lambert, évêque de
Thérouanne.
Il céda, en 1210, à l'abbaye de Saint-Augustin, ses droits sur la paroisse de
Martèque et sur le cours de la Lys avec le droit de pêche.
On trouve dans la suite, souscrivant en juillet 1211, avec Robert, son fils aîné la
charte de Jean évêque de Thérouane, par laquelle ce prélat attestait la vente faite
à Saint-André de la dîme de Norrent.
Et enfin, encore existant après 1213, puisque de concert avec Adam, évêque de
Térouanne de 1213 à 1229, il abandonna la cure de Witrennes et 50 livres, pour le
repos de l'âme de son frère Guillaume, au prieuré qu'il avait choisi pour être la
sépulture de sa famille.
Son anniversaire avait lieu le II des ides de juin.
Son épouse Mathilde, fille de Gilbert d'Aire, lui apporta le fief de Maugré à
Witernesse". [C.-H.Maigret (comte de Brandt de Galametz - Le prieuré de Saint-
André-lès-Aire) 30 viii 2011]
Fonts: - persona: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
-2994-
lès-Aire) 30 wiii 2011) 17 viii 2011
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
2.968.565:
Fonts: - persona: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
2.968.565a:
Chevalier "Aurait pris part à la croisade avec son frère Gilbert et serait mort en
Terre-Sainte, sans enfants de sa femme nommée Marie.
Le prieuré reçut de lui, neuf marcs sterling et chantait son obit le jour de sa mort,
le III des nones de novembre".
C-H.Maigret (comte de Brandt de Galametz - Le prieuré de Saint-André-lès-Aire)
30 wiii 2011
Fonts: - persona: C.Denancé (geneanet site Guillaume de Wailly) 04.01.09
- naixement: C-H.Maigret (comte de Brandt de Galametz - Cartulaires de l'église de
Thérouanne) 30 wiii 2011
2.968.565c:
Chevalier, que des chartes de 1211 et 1247 font connaître comme fils de Robert,
sire de Crésecque et de Mathilde et comme neveu de Guillaume.
Du vivant de son père, il souscrivit - avec Guillaume son frère - la charte de 1210
de Jean de Liestes.
En 1217, il donna la dîme de Witernesse au prieuré. Son anniversaire avait lieu le
III des nones de mars. [C-H.Maigret (comte de Brandt de Galametz - Le prieuré de
Saint-André-lès-Aire) 30 wiii 2011]
2.968.565d:
Chevalier. "Mourut le III des calendes de novembre et donna pour son
anniversaire, six sous sur le pré de Pinceburne".
30 wiii 2011]
2.968.565e:
Fonts:
- enterrament: C-H.Maigret (comte de Brandt de Galametz - Le prieuré de Saint-
André-lès-Aire) 30 wiii 2011
2.968.566:
-2995-
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie de Gand) 23 iii 2011
- naixement: C-H.Maigret (Base A. Auréjac) 17 ii 2012
- família: P Ract Madoux (Ahnen des Reichskantzlers von Bethmann" Frankfurt
1914) Francfort le 9 xi 2004
2.968.567:
Fondatrice de l'abbaye de Bouham, en 1223.
[C-H.Maigret (7 ix 2011)]
Fonts:
- defunció: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
2.968.567a:
Fonts:
2.968.567b:
Porte vairé et contre-vairé d'or et d'azur.
[C-H.Maigret 1iii2012]
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), S. de L'Espinay (Gén. Croÿ - G.
Martin 2001) 04/06
2.968.567c:
Alors que Baudouin est encore adolescent, le comté subit de multiples invasions,
en particulier de la part de Renaud de Dammartin, ennemi personnel d'Arnould II
de Guînes, à qui il a ravi sa fiancée, Ida de Boulogne. Arnould a fini par épouser
Béatrice de Bourbourg. Mais les deux époux ne s'entendent pas et se séparent.
Béatrice se réfugie avec ses enfants à la cour de Ferrand de Portugal, le comte de
Flandre. De son côté Arnould s'est rangé du côté de Philippe Auguste, le roi de
France. Le 27 juillet 1214, à la bataille de Bouvines, les deux ennemis d'Arnould,
le comte de Flandre et le comte de Dammartin, sont capturés.
Brouillé avec sa mère, Baudouin se réconcilie avec son père. Lorsque celui-ci
décède en 1220, Baudouin, âgé d'environ 22 ans, devient comte de Guînes.
(Wikipedia)
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (A. Auréjac) 17 ii 2012
- família: A Brabant (site wailly) 2.10.05
2.968.567e:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 16 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 16 x 2011
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 16 x 2011
-2996-
2.968.568:
[C-H.Maigret (Croisé cité par Villehardouin à Andrinople en 1202) 28 ii 2012)]
Philippe de Beaumetz n'est pas son père (confusion entre deux seigneuries de
Beaumetz bien différentes (Somme et Pas-de-Calais)
Fonts:
- persona: A.Gaudry (La Chesnaye-Desbois) 10 I 2006
- personne : C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 24 vii 2011
- defunció: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 28 ii 2012
2.968.569:
Fonts:
- naixement: C-H.Maigret (Base A. Auréjac) 23 vii 2012
- família 1: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 14 vii 2011
2.968.569a:
Fonts:
- persona: H. de La Villarmois (Eugène Bacha - Histoire généalogique, anecdotique
et critique de la noble et antique maison de Beauffort en Artois - Desclée de
Brouwer 1925)
- família: E.Polti (http://jarnou.free.fr/site168.htm#jfp), C-H.Maigret (E. Bacha) 31
vii 2012
2.968.569-1a:
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac, H.R.Moser/Anselme-VI/167, JL.Mondanel (généalogie
de Fiennes) 15 iii 2011
- naixement: C-H.Maigret (Nobily.be) 18 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (Nobily.be) 18 x 2011
- família: Renaud de Paysac, B.de Fournas (généalogie Matharel) 1 iv 06
2.968.570:
Raoul 1er, fils d'Enguerrand II, mourut au siège de Saint-Jean-d'Acre en 1191
laissant ses trois fils se partager son domaine. wikipedia (fr)
Ralph of Coucy[1], (c. 1134 - † 1191), lord of Coucy, lord of Marle, La Fère, Crécy
(sur-Serre), Vervins, Pinon, Landouzy (la-Ville), and Fontaine (lès-Vervins). He was
the son of Enguerrand II, Lord of Coucy. He left for the Holy Land, where he died
in the siege of Acre in November 1191.
History
Coucy, finding himself a widower and desiring for a male child, married for the
second time with Alix II of Dreux, a royal princess who was a relative by his
mother, Agnès de Beaugency, daughter of Mahaut (or Maud or Matilda) de
Vermandois, eldest daughter of Hugh I, Count of Vermandois called the Great,
brother of King Philip I of France. Alix II of Dreux was the daughter of Robert I,
Count of Dreux, grand-son of King Philip I, and King Louis VII of France's niece.
Alix de Dreux II's mother was Agnès de Baudement, Countess of Braine, third wife
of her father Robert I de Dreux, and her brother was Robert II, Count of Dreux (†
December 28, 1218), Count of Dreux and Braine, who was married to Yolande de
-2997-
Coucy, eldest daughter of our Raoul and Agnès of Hainaut his first wife. By his
two marriages, Raoul became stepfather by his wife to a great prince, son in law
to a son of France and cousin to Philip Augustus. Raoul attended the King of
France in 1181 during the war against Philip I, Count of Flanders, although
previously he had received the land of Marle and Vervins in the fief of La Ferte-
Beliard that the Count had given him as an homage. But by the peace treaty
granted afterward the king ordered that the Count should take this tribute back.
And besides, the same Raoul became liege of the king for the estates of the fief of
La Fère, which had been previously held by the church of Laon.
Legend It is said that before his last breath, Raoul had instructed his squire that
after his death, he should take his heart to the woman he loved (which some call
the Lady of Fayel and others Gabrielle de Vergy). The squire was surprised by the
husband when he was fulfilling his mission. The husband took the heart and
forced his wife to eat it. She, who learned too late about her misfortune, swore not
to eat again any food and let herself die of hunger. This venture has provided
Pierre Laurent de Belloy the subject of his tragedy of Gabrielle de Vergy.
References 1.^ de Coucy at the Medieval Lands Project
http://en.wikipedia.org/wiki/Ralph_I,_Lord_of_Coucy
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) v2009, Joël Chirol (Base familiale)
23/11/05
2.968.571b:
La construction du château de Coucy
C'est à l'aîné, Enguerrand III surnommé « le grand », que l'on attribue le

château actuel. Guerrier infatigable, il se signala à la bataille de Bouvines et
lors des expéditions contre les Cathares. Commencé en 1223, le château est né
de la même explosion architecturale qui fit jaillir les cathédrales, dans un rayon
de 75km autour; quatre étaient en construction en même temps que lui : Laon
et Reims ainsi que les deux plus hautes jamais construites Amiens et Beauvais
(où furent atteintes les limites du possible dans le genre). Alors qu'il fallait 50 à
150 ans pour batir une Cathédrale, l'énorme ensemble du château avec donjon,
tours, remparts et souterrains fut achevé dans le court temps de 7 ans grâce à
l'indomptable volonté d'Enguerrand III. D'après les marques de Compagnons,
on estime que pour construire Coucy, furent employés 800 maçons et quelques
800 autres artisans tels que charpentiers, couvreurs, peintres et sculpteur sur
bois. Enguerrand III fît mettre sur le tympan de la porte d'entrée du château un
sceau présentant un Lion dont la fureur échoue devant le bouclier qu'on lui
oppose, semblable à un symbole de puissance.
-2998-
Vue restaurée extérieure

Gravure par Viollet-le-Duc.
C'est probablement l'époque où il fit fortifier la ville, la basse-cour et le

château. Bâtisseur exceptionnel, on lui doit les châteaux dans 6 de ses fiefs,
comme la forteresse disparue presque aussi énorme que Coucy à Saint-Gobain,
celle de Marle, de La Fère, de Folembray ainsi qu'un hôtel particulier à Paris.
Lien externe Voir l'excellent site
-2999-
Après être revenu dans les bonnes grâces du roi, il mourut en 1242. Traversant
une rivière près de Vervins, il tomba de cheval et s'empala sur son épée. De
nombreux évènements sillonnèrent la vie de ses descendants.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (notes: web & Iconographie) v2009
- defunció: s'empala sur son épée
- casament 3: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família 3: A.Brabant (Michel d'Herbigny "Dynastie Montmorency")
- família 4: Ch. Faucherand (F. Clément, "L' Art De Vérifier Les Dates", 1784, p.
740) 27 ii 2017
2.968.571c:
THOMAS de Coucy, son of RAOUL [I] Seigneur de Coucy et de Marle & his second
wife Alix de Dreux [Capet] (-[1252/53]). The 13th century Histoire des ducs de
Normandie et des rois dÁngleterre names "Engherrans de Couci…si doi frère
Thumas et Robiers"[1146]. "Radulfus dominus Cochiaci" donated property to Mont
Saint-Martin, with the consent of "uxore mea Adelide et liberis meis Ingelranno,
Thoma, Radulph, Roberto", by charter dated 1187[1147]. The testament of
"Radulphus dominus Couciaci" on the point of leaving on a journey, dated 1190,
bequeathed "Veruinum, Fontanas et Landousies" to "filius meus Thomas"[1148].
Seigneur de Vervins. "Engelrannus de Couciaco comes Perticensis" confirmed
donations to Thenailles abbey made by "Radulphi patris nostri", with the consent
of "uxoris nostræ comitissæ de Pertico et fratrum nostrorum Thomæ iam militis et
Roberti", by charter dated 1205[1149]. "Thomas de Cociaco Vervini dominus"
granted "homines de Tria et de Charmentrei" rights "super…terra quæ ex parte
Mathildis uxoris meæ de dono Hugonis comitis Regetensis ad me devenit" by
charter dated Dec 1212[1150]. “Thomas de Cociaco dominus Vervini et Mathildis
uxor eius” issued a charter dated Sep 1223 under the guarantee of “domini sui
Theobaldi, Campaniæ et Briæ comitis palatini”[1151].
m (before Dec 1224) MATHILDE de Rethel, daughter of HUGUES Comte de

Rethel & his wife Félicité de Broyes (-after 1255). Her parentage and marriage
are confirmed by the charter dated Dec 1224 under which "Thomas de Coucy
seigneur de Vervins" acknowledged "Hugues comte de Rethel et Félicité sa
femme" had granted property at Sézanne to "leur fille Mathilde, femme dudit
Thomas", with the consent of "Hugues leur fils ainé"[1152]. Dame de Trie-le-
Bardoul et de Charmentré. "Thomas de Cociaco Vervini dominus" granted
"homines de Tria et de Charmentrei" rights "super…terra quæ ex parte Mathildis
uxoris meæ de dono Hugonis comitis Regetensis ad me devenit" by charter dated
Dec 1212[1153]. “Thomas de Cociaco dominus Vervini et Mathildis uxor eius”
issued a charter dated Sep 1223 under the guarantee of “domini sui Theobaldi,
Campaniæ et Briæ comitis palatini”[1154]. "Thomas de Coucy sire de Vervins et
Mahaud sa femme" transferred their rights in "l´héritage de leur niece, la fille du
comte Hugues" to "leur frère Jean comte de Rethel"[1155]. "Mahaud dame de
Vervins et Thomas de Coucy son fils sire de Vervins" donated "Montigny dalès
Poys" to "Gaucher comte de Rethel" by charter dated Oct 1255[1156].
Thomas & his wife had five children.
-3000-
[1146] Michel (1840), p. 165.
[1152] Delisle (1867), 26, p. 17.
[1155] Delisle (1867), 61, p. 25.
[1156] Delisle (1867), 123, p. 38.
Fonts:
2.968.571d:
Fonts:
- persona: Ch. Faucherand (F. Clément, "L' Art De Vérifier Les Dates", 1784, p.
740) 27 ii 2017
- família 1: Ch. Faucherand (F. Clément, "L' Art De Vérifier Les Dates", 1784, p.
740) 27 ii 2017
- família 2: H.R.Moser/Chesnaye
2.968.571-1b:
Dite être probablement fille de Raoul de Coucy et de sa 1° épouse Agnès de
Hainaut. J-C de Vaugiraud (HG 145 p.369) 17/06/2006
confirmé par ES t VII p 80 Coucy
confirmé par Etienne Pattou - Gén. de Coucy - pages 4 & 5 - 2005/2016

http://racineshistoire.free;fr/LGN (S. de L'Espinay - 03.03.2016)
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (B.Pâris + HG 145 p.369) 17/06/2006
- família: J-C de Vaugiraud (B.Pâris + HG 145 p.369) 17/06/2006
2.968.571-1c:
-3001-
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de Grandpré-2003/2006--
http://racineshistoire.free.fr./LGN)17.02.2016
- família 2: J-C de Vaugiraud (ES VII T.11) 15/09/2006
2.968.572:
Source voir:
http://www.archive.org/stream/annalesdelasoci04tourgoog#page/n332/mode/1up
Source : J-C de Vaugiraud (P.A. du Chastel de La Howarderie : "Généalogie de Condet" in "Annales de la société
historique et archéologique de Tournai", 1896, P. 319 à 338) 26/05/2010
Selon «Génalogies enghiennoises» :

Le troisième époux, en 1185, de Ide de Mons, était Bauouin (Bauduins) de Rumes,
dit li Carons, chevalier, "grand, beau, fort et très probe", croisé en 1192.
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t XVIII p. 116 (Condé) V
Klostermann Francfort 1998) 4 ii 2012
2.968.573:
IDA de Mons (-after 1185). The Chronicon Hanoniense names "filium unicum
Gossuinum et filias Ydam…et Mathildem…et Aelidem…et Rixam…et Beatricem…et
Agnetem" as children of "Gossuino de Montibus" and his wife Beatrix de Rumigny,
adding that Ida married "Sohero de Aenghen, postea Renero de Iacea et demum
Balduino Carim"[696].
m firstly SOHIER dÉnghien, son of HUGUES Seigneur dÉnghien & his wife --- (-
[1170]).
m secondly RENIER de Jauche, son of --- (-1184).
m thirdly ([1185]) BAUDOUIN de Rumes, son of ---.
[696] Gisleberti Chronicon Hanoniense, MGH SS XXI, p. 506.
Fonts:
- naixement: G Grattepanche (fichier personnel) 31.VIII.2005, C-H.Maigret (Sars
de Solmon) 04 ii 2012
- defunció: C-H.Maigret (Sars de Solmon) 04 ii 2012
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 1 xi 2013
- casament 2: C-H.Maigret (Sars de Solmon) 04 ii 2012
- família 2: H.de La Villarmois (Vegiano d'Hovel - Suite du supplément au nobiliaire
des Pays-Bas et du comté de Bourgogne) 13 iv 2005
- família 3: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t XVIII p. 116 (Condé) V
Klostermann Francfort 1998) 4 ii 2012
2.968.573b:
-3002-
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (Schwennicke (Detlev) Europäische Stammtafeln t
XVIII p. 116 (Condé) V Klostermann Francfort 1998) 4 ii 2012
2.968.573-2a:
Pair du château de Mons.
Sire de Boulogne
Source : JB de La Grandière ( Th. Fauvage : Forum 2014-03-27 15:51:58, qui cite Sars de Solmon, volume VI,
pp.696-709 et rectifie quelques filiations Jauche assurément fautives )
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Vegiano d'Hovel - Suite du supplément au nobiliaire
des Pays-Bas et du comté de Bourgogne) 13 iv 2005
- família: H.de La Villarmois (Vegiano d'Hovel - Suite du supplément au nobiliaire
des Pays-Bas et du comté de Bourgogne) 13 iv 2005, H.de La Villarmois
(Manuscrits Sars de Solmont - Jauche) 3 xii 2008
2.968.574:
L'armorial de Gueldre donne au seigneur de Morialme :
"vairé en chevron, à deux chevrons de gueules".
Arnould de Morialmé se fixa a Noyelle-en-Cambrésis et y bâtit un château auquel

il donna son nom (Louis-Eugène de La Gorgue-Rosny).
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Henri Maigret - forum) 2011-04-29 17:41
- naixement: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 26 vii 2012
- defunció: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 26 vii 2012
- família: F-L. Jacquier (Claude Henri Maigret) forum 2011-04-29 17:41
2.968.575:
Fonts:
- persona: G.Autier , F-L. Jacquier (Claude Henri Maigret) forum 2011-04-29 17:41
- família: F-L. Jacquier (Claude Henri Maigret) forum 2011-04-29 17:41
2.969.488:
Fonts:
2.969.489:
Fonts:
2.971.904:
Fonts:
-3003-
2.971.905:
Fonts:
2.971.908:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné
2.971.909:
Fonts:
2.971.909c:
Fonts:
2.971.944:
Fonts:
2.971.945:
Fonts:
2.971.945b:
Fonts:
2.971.946:
Châtellenie de Sainte-Eulalie-de-Rive d'Olt
Cette châtellenie et d'autres fiefs furent un sujet de contestation entre Bernard,

évêque de Rodez, et Guy de Sévérac, au commencement du XIIIe siècle.
Contrairement aux prétentions de l'évêque Bernard, Guy de Sévérac soutenait que
c'étaient ses auteurs qui avaient investi, pour une moitié, Guichard de Malaval du
château de Sainte Eulalie, que ce dernier tenait à cette époque. Par suite, Guy de
Sévérac se déclarait co-suzerain de ce château. Des arbitres furent nommés pour
terminer le litige. Ils reconnurent que, depuis un temps immémorial, la
suzeraineté de. Sainte Eulalie était possédée exclusivement par l'église de Rodez
et par l'évêque (En 1212, dans l'église de Saint Vincent de Palmas, N. de Malaval,
fils de Belixende, avait déclaré tenir de Monseigneur Pierre, évêque de Rodez, le
château de Sainte Eulalie et toute les forces qui étaient là, ou qui plus tard,
pourraient s'y trouver - Acte reçu par André,scribe du seigneur évêque - Archives
départementales.), et conséquemment, ils rejetèrent sur ce chef les demandes de
Guy de Sévérac. Le 8 des calendes de septembre 1237, à Layssac, sous l'orme de
l'aire sol, Guy de Sévérac d'une part, et d'autre part l'évêque de Rodez, représenté
par Bernard de Prévinquières et N de Belvezer, acceptèrent en son entier la
sentence des arbitres. Acte en fut dressé en présence de N de Favars, chevalier,
-3004-
des Adémar d'Amella, qualifiés "fortes viros", et d'autres personnages de même
sorte, et dès ce moment l'évêque demeura, sans conteste, l'unique suzerain de
l'entier mandement de Sainte -Eulalie-de-Rived'Olt (Archives départementales).
Il faut remarquer cependant que, sans doute, l'évêque en avait cédé à Guichard de
Malaval la co-seigneurie en toute justice, car les titres prouvent qu'en 1237, pour
le moins, Guichard de Malaval était seigneur haut justicier de la moitié du
château. .
En 1240, Alde sa fille et unique enfant, qui avant 1239 avait épousé Raoul de
Prévinquières, et ce dernier, rendirent hommage pour ce château au seigneur
évêque, mais ils se réservèrent leurs droits de la manière la plus nette, car ils ne
reconnurent ses droits de haute justice, que pour « la meitat de la seinhioria del
castel » (Archives départementales).
Voilà donc comment se distribuait la haute seigneurie de Sainte Eulalie au XIIIe

siècle. Elle formait un paréage (Seigneurie partagée entre deux ou plusieurs
personnes ayant des droits égaux.) entre l'évêque de Rodez et les héritiers de
Guichard de Malaval.
Une Châtellenie du Rouergue au XIIIe s. (Sainte-Eulalie-de-Rive d'Olt), par Michel

de Castelnau, docteur en droit, membre de la Société des Lettres, Sciences et Arts
de l'Aveyron, 1879
Fonts:
- persona: J-Louis Dega, J-P.de Palmas (Une Châtellenie du Rouergue au XIIIe s.,
par Michel de Castelnau) 18 iii 2017
2.971.947:
Fonts:
2.971.954:
Ruines du château de Caylus
Dieudonné, seigneur de Caylus en Albigeois ,

est d'une famille d'ancienne chevalerie et de
haut baronnage, sont connus avant l'an 1000
et comptent dès celte époque reculée parmi
les plus puissants du pays. C'est à tort qu'un ancien généalogiste les fait
descendre, au commencement du XIIIe siècle, des vicomtes d'Ayssènes, en
Vivarais, du surnom de Olargi. Un grand nombre de monuments prouvent que la
maison de Caylus est présente en Rouergue deux cents ans avant cette époque,
c'est-à-dire dès l'origine même des fiefs, et qu'elle tire son nom de l'antique
château dont on voit encore les ruines près Saint-Affrique.
-3005-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia: Documens historiques et généalogiques sur
les familles et les hommes remarquables du Rouergue, Par Hippolyte de Barrau,
1853, p.534 et suivantes)
- família: J-P de Palmas (wikipedia)
2.971.955:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (wikipedia)
2.971.956:
Gui III de Sévérac, fils de Déodat II, en 1167, Gui signe selon Dom Vaissette, le
traité entre le comte Hugues II de Rodez et le roi Alphonse II d'Aragon. Il est l’un
des partisans de Raimond-Bérenger II de Provence, contre le comte Raymond V de
Toulouse. Il est présent lors de la donation du comté de Melgueil par la comtesse
Béatrice au comte Raymond V de Toulouse en 1172. Gui III de Séverac est présent
lors de l'ouverture du testament d'Ermessinde, comtesse de Melgueil en 1176.
Participant aux Guerres Baussenques, il est tué par vengeance dans une
embuscade près de Montpellier le jour de Pâques, le 5 avril 1181, avec le comte
Raimond-Bérenger II de Provence, qui est aussi vicomte de Gévaudan et de
Melgueil, vicomte de Carlat et de Millau. Guy III n'épouse pas l'une des sept filles
de Gilbert, comte de Barcelone, mais Sibylle, fille de Gilbert Ier de Gévaudan et
Gerberge de Provence, beaux-parents de Raimond-Bérenger III de Barcelone.
Raimond-Bérenger III de Barcelone est donc son beau-frère.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (La Maison de Sévérac)
- família: J-P de Palmas (Maison de Sévérac) 2014
2.971.957:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Maison de Sévérac) 2014
- família: J-P de Palmas (Maison de Sévérac) 2014
2.971.964:
Il prit la succession de son père vers 1125. Il se maria avec Sibile, en 1129 qui
était originaire de la péninsule ibérique.
Guillaume de Montpellier épouse par contrat passé en Août 1129 Sibylle. Bernard
d’Anduze scelle l’acte en tant que témoin (Msts. d’Aubays, n° 82 - Transcription
dans Dom Devic et Dom Vaissete, op. cit., T.V, preuves 502).
Il offre à sa femme le château de Montferrier qu'il venait d'acquérir. Il semble ne

pas être fortifié puiqu'il dut fuir en 1141, au moment de la révolte.
Sa femme vint à décéder après avoir donné naissance à 5 fils (dont Guilhem VII et
Tortose) et 2 filles.
Il décida de se retirer dans les ordres en 1146 et partit au Monastère de

-3006-
Granselve de Citeaux. Il offre à son fils aîné Guilhem VII, la ville de Montpellier et
le Château de Montferrier, fief du Comte de Melgueil, son deuxième fils est
Tortose.
Il avait pour beau-frère, Guadalmar, Vassal du Comte de Melgueil qui mit en péril
les liens avec les paysans et créa la révolte.
Comme son père, il fera croisade en Terre Sainte, d'où il ramena une statue en
bois de cèdre de la vierge Marie, de couleur noire. Elle devint l'objet de
pélerinage pour conjurer la sécheresse. Lors de cette manifestation, elle était
baignée dans le Lez. De nos jours, on la trouve en l'église "Notre Dame des
tables", rue de l'aiguillette à Montpellier.
GUILLAUME [VI] de Montpellier, son of GUILLAUME [V] Seigneur de Montpellier

& his wife Ermesende de Melgueil (-after 1161).
Under his testament dated 1121, "Guillelmi Montispessulani, filii Ermeniardis"
bequeathed the town of Montpellier to "Guillelmo filio meo majori"[1517].
Seigneur de Montpellier. He was forced out of Montpellier by a revolt organised
by his cousins the vicaires de Montpellier in 1141, remaining in exile at Latas for
two years[1518]. Under his testament dated 11 Dec 1146, "Guillelmus de
Montispessulano, filius Ermesende" mentions his mother as still alive ("pretera
post obitum domine mee matris, infirmis"), bequeathes the town of Montpellier
and the castra of Montferrier [-sur-Lez] (Hérault) and the city of Tortosa
(Tarragona, Catalonia, Spain) to "Guillelmo filio meo majori", Castrum novum
(probably Castelnau-le-Lez, Hérault, near Montpellier) and Salzetum to "Guillelmo
filio meo minori", states that "Raimundus Guillelmi filius meus" has been
entrusted as an oblate at Cluny, entrusts "Bernardum Guillelmum filium meum" to
his oldest son until he is 18 years old, bequeathes the castra of Le Pouget and
Paulhan (both Hérault) to "filio meo Guidoni", and names his daughters
Guillemette, Adelais and Ermessende[1519]. In 1147, Guillaume [VI] became a
monk at the abbey of Grandselve (Bouillac, Tarn-et-Garonne)[1520]. His date of
death is set by the charter dated 1161 which records the settlement agreed
between “Guillelmum Montispessulani et Guidonem fratrem suum”, naming
“Guillelmo de Tortosa fratri suoGuillelmus Montispessuli monachus pater
eorum"[1521].
m (contract Aug 1129) SIBILLA del Vasto, daughter of BONIFACIO Marchese del
Vasto [Monferrrato] & his second wife Agnès de Vermandois (-before 11 Dec
1146). "Bonifacius marchio" provided dowries for "filiabus…Sibilie et Adalaxia et
alie filie si ex hac uxore nata fuit" by charter dated 1125[1522]. The Genealogiæ
Scriptoris Fusniacensis refers to (but does not name) the first of the daughters of
"Hugonem Magnum [et] Adelaide comitissa Veromandensium" as wife of
"Bonefacius marchio", parents of "Bonefacium archidiaconum Noviomensem et
filios et filias, quarum una nupsit Guilelmo de Monte-pessulano"[1523]. The
contract of marriage between "Guillelmus de Montispessulano" and "sponsam
meam…Sibiliam" is dated Aug 1129 and lists her dowry as
"castrum…Monsferrarius et Castrum Novum et villam de Sustancione et villam de
Salzeto et villam Sancti Martini de Crecio" (Montferrier, Castelnau-le-Lez,
Substantion, Salzetum, Le Crès (Hérault)[1524]. According to documentation,
identified by Johannes Vincke[1525], relating to the divorce on grounds of
consanguinity of Marie de Montpellier and her husband, the wife of Guillaume [VI]
-3007-
was Sibilla del Vasto. In this text, several of Marie's relatives bore witness to the
couple's shared ancestry, in particular "dominam Clemenciam amitam regine"
(Clémence de Montpellier, sister of Guillaume [VIII] Seigneur de Montpellier)
declared that "Bonifatius marchio habuit tres infantes…Bonefacium et Guillelmum
marchionem et Sibiliam. De Bonifatio exivit domina Maria uxor domini Bernardo
de Andusia, de Guillelmo marchione exivit comitissa de Bigorra, et de comitissa de
Bigorra exivit uxor Bernardoni comitis Convenarum. De Sibilia exivit Guillelmus
de Montepessulano, et de Guillelmo Montispessulani exivit Guillelmus pater Marie
regine Aragonum. Hec ita vera esse audivit ab antecessoribus suis et a domino B.
de Andusia et a domino episcopo Cyffricensi fratre eius, et a domina Marchisa
eius uxore, et a domino R. episcopo Litteuensi et a multis aliis". However, it
should not be assumed that this documentation is completely accurate. The
ancestry attributed to Bernard Comte de Comminges in the extract quoted above
appears to be incorrect. In addition, in another part of the text several witnesses
incorrectly state that the mother of Mathilde de Bourgogne was a daughter of
Renaud Comte de Bourgogne.
Guillaume [VI] & his wife had eight children.
[1517] Liber Montpellier fol 46-46v, no. XCIV, p. 172. [J.-C. Chuat]
[1518] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, p. 41.
[1520] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, p. 45.
[1521] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CLXXXVII, p.
495.
[1522] Tallone, A. (ed.) (1906) Regesto dei Marchesi di Saluzzo (1091-1340),

Biblioteca della società storica subalpina, Vol. XVII (Pinerolo) ("Regesto dei
Marchesi di Saluzzo"), 16, p. 5.
[1524] Liber Montpellier, fol 66, no. CXXVI, p. 262. D'Aigrefeuille Histoire de
Montpellier, p. 36, and Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV,
Preuves, LXXII, p. 402.
[1525] Vincke, J. 'Der Eheprozeß Peters II. von Aragon (1206-1213). Mit
Veröffentlichung der Prozeßakten', Finke, H. (ed.) (1935) Spänische Forschungen
der Görresgesellschaft. Erste Reihe. 5. Band (Münster in Westfalen, Verlag der
Aschendorffschen Verlagsbuchhandlung), pp. 108-163. [J.-C. Chuat]
Le château de Montferrier
Le château (dont une aile est aujourd'hui occupée par la mairie) est un édifice
-3008-
féodal datant du Xe siècle dont les substructures (les voutes dans les caves) sont
toujours apparentes. Sur ce même site en promontoire, il y avait déjà du temps
des Romains une forteresse pour la surveillance mais qui n'était pas
régulièrement utilisée. Des traces de poteries romaines ont été découvertes : un
dolium (une amphore), et des fragments d'une petite coupelle. Fief catholique, le
château a subi de nombreuses destructions pendant les guerres de religions. Des
traces de pillage et de dégradations par les protestants ont été révélées. Le
château a même été rasé en 1627 lorsqu'à la grâce d'Alès, Richelieu a donné aux
protestants la liberté de culte, mais en ordonnant la destruction de toutes les
places fortes. Au XVIIe siècle, le Marquis de Montferrier, gouverneur des États du
Languedoc, esthète et amoureux des arts, fait reconstruire le château comme un
petit Versailles, avec des arcades plaquées relativement étroites en façade. Il y
avait aussi une orangerie et une volière proches des écuries, en face de la mairie
actuelle. Une noria en contrebas des jardins montait l'eau alimentant les fontaines
qui retombait en cascade de bassin en bassin. Quelques ponts enjambaient le Lez.
Quelques personnes de renom ont séjourné au château à cette époque : celui que
l'on appelait Monsieur, c'est-à-dire le frère du Roi Soleil, mais aussi l'ambassadeur
de l'Empire ottoman). C'était une période de richesse extraordinaire. On en
retrouve quelques traces avec le lustre en cristal et la somptueuse cheminée dans
la salle des fêtes à l'intérieur du château. Comme de nombreuses autres
constructions symboles de noblesse, le château a ensuite été détruit pendant la
Révolution. Le Marquis de Montferrier s'y serait caché en 1792 avec le soutien de
la population locale pendant un temps. Puis le château a été pris par les
révolutionnaires et déclaré bien national, avant d'être livré au pillage. L'édifice fut
vandalisé, détruit à coups de masses et de nombreux documents furent brulés. Il
fut alors laissé à l'abandon.
Une personne l'aurait alors acheté pour sa toiture en plomb qui recueillait l'eau de
pluie. Il aurait enlevé tout le plomb pour le revendre, les infiltrations causant
ensuite des dommages terribles. Le deuxième acheteur, persuadé que le Marquis
de Montferrier avait laissé un trésor lorsqu'il avait fui pendant la Révolution,
entreprit des recherches dans le château. Il a fait des trous dans toute la
structure, laissant les lieux dans un piteux état. Les fenêtres défoncées laissaient
pénétrer les ronces qui commençaient à envahir le château. La mairie a
finalement acheté le site en l'état, à une date inconnue, entre 1850 et 1860. Il a
fallu attendre la seconde moitié du XXe siècle pour voir la restauration enfin
débuter. Le château a alors aussi accueilli à l'époque l'école, le presbytère et
ensuite le bureau des postes. Mais aujourd'hui encore, le château doit subir les
affronts du temps, avec l'effondrement de certains murs de soutènement. Le site
n'est pas reconnu monument historique et n'est même pas classé, simplement
inscrit à l'inventaire des Sites de France et protégé. Ses terrasses d’où la vue est
imprenable, sont d’agréables lieux de promenade et la scène de manifestations
culturelles.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas ( Histoire Générale de Languedoc , Dom Devic et Dom
Vaissete)
- defunció: J-P de Palmas (Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV,
Preuves, CLXXXVII, p. 495)
-3009-
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008, J-P.de Palmas (FMG) 28-ii-2009
2.971.965:
SIBILLA del Vasto, daughter of BONIFACIO Marchese del Vasto [Monferrrato] &
his second wife Agnès de Vermandois (-before 11 Dec 1146). "Bonifacius marchio"
provided dowries for "filiabus…Sibilie et Adalaxia et alie filie si ex hac uxore nata
fuit" by charter dated 1125[1522]. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis refers
to (but does not name) the first of the daughters of "Hugonem Magnum [et]
Adelaide comitissa Veromandensium" as wife of "Bonefacius marchio", parents of
"Bonefacium archidiaconum Noviomensem et filios et filias, quarum una nupsit
Guilelmo de Monte-pessulano"[1523]. The contract of marriage between
"Guillelmus de Montispessulano" and "sponsam meam…Sibiliam" is dated Aug
1129 and lists her dowry as "castrum…Monsferrarius et Castrum Novum et villam
de Sustancione et villam de Salzeto et villam Sancti Martini de Crecio"
(Montferrier, Castelnau-le-Lez, Substantion, Salzetum, Le Crès (Hérault)[1524].
According to documentation, identified by Johannes Vincke[1525], relating to the
divorce on grounds of consanguinity of Marie de Montpellier and her husband, the
wife of Guillaume [VI] was Sibilla del Vasto. In this text, several of Marie's
relatives bore witness to the couple's shared ancestry, in particular "dominam
Clemenciam amitam regine" (Clémence de Montpellier, sister of Guillaume [VIII]
Seigneur de Montpellier) declared that "Bonifatius marchio habuit tres
infantes…Bonefacium et Guillelmum marchionem et Sibiliam. De Bonifatio exivit
domina Maria uxor domini Bernardo de Andusia, de Guillelmo marchione exivit
comitissa de Bigorra, et de comitissa de Bigorra exivit uxor Bernardoni comitis
Convenarum. De Sibilia exivit Guillelmus de Montepessulano, et de Guillelmo
Montispessulani exivit Guillelmus pater Marie regine Aragonum. Hec ita vera esse
audivit ab antecessoribus suis et a domino B. de Andusia et a domino episcopo
Cyffricensi fratre eius, et a domina Marchisa eius uxore, et a domino R. episcopo
Litteuensi et a multis aliis". However, it should not be assumed that this
documentation is completely accurate. The ancestry attributed to Bernard Comte
de Comminges in the extract quoted above appears to be incorrect. In addition, in
another part of the text several witnesses incorrectly state that the mother of
Mathilde de Bourgogne was a daughter of Renaud Comte de Bourgogne.
[1522] Tallone, A. (ed.) (1906) Regesto dei Marchesi di Saluzzo (1091-1340),

Biblioteca della società storica subalpina, Vol. XVII (Pinerolo) ("Regesto dei
Marchesi di Saluzzo"), 16, p. 5.
[1524] Liber Montpellier, fol 66, no. CXXVI, p. 262. D'Aigrefeuille Histoire de
Montpellier, p. 36, and Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV,
Preuves, LXXII, p. 402.
Fonts:
-3010-
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 23 ii 2011
28ix2008, J-P.de Palmas (FMG) 28-ii-2009
2.971.965a:
GUILLEMETTE de Montpellier (-after 29 Sep 1173). Under his testament dated 11
Dec 1146, "Guillelmus de Montispessulano, filius Ermesende" mentions his
daughters Guillemette, Adalais and Ermessende, requesting that "Guillelme filie
mee cum marito suo" be given the rest of her dowry[1526]. "Bernardus-Atonis
vicecomes Nemausensis etGuillelma uxor eius" issued a charter dated 1146[1527].
"Bernardus-Ato vicecomes Nemausensium" granted property, with the support of
"Guillelmæ uxoris meæ", by charter dated 1151[1528]. The primary source which
confirms her marriage more precisely has not yet been identified, although it is
indicated by the testament dated 29 Sep 1173 of "Guillelmus dominus
Montispessulani, filius quondam Sibilie" which names "…Guillelma soror mea et
filius ejus Bernardus Atho…"[1529].
m (1146 or before) BERNARD ATON [V], Vicomte d'Agde, son of BERNARD ATON
[IV] Vicomte d'Albi, de Nîmes, de Carcassonne, de Béziers et d'Agde & his wife
Cécile de Provence (-[1159]).
[1481] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CXXII, p. 445.
[1482] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CXLVIII, p.
465.
[1483] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CCXXVIII, p.
525.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG)
7v2006
2.971.965c:
GUILLAUME de Montpellier "de Tortosa" (-after 1157). Under his testament dated
11 Dec 1146, "Guillelmus de Montispessulano, filius Ermesende" bequeathes
Castrum novum (probably Castelnau-le-Lez, Hérault, near Montpellier) and
Salzetum to "Guillelmo filio meo minori"[1559]. The contract of marriage between
"Guillelmus Montispessulani dominus" and "Mathildem sororem Ducis
Burgundiæ" is dated 25 Feb 1157, and names "Guillelmus de Tortosa frater
meus"[1560]. He became a Teutonic knight in 1157. "Guillelmus de Tortosa" made
his testament dated Oct 1157, bequeathing "castrum…de Castriis…ex uxore quam
ex paterna successione" to "Guillelmo Montispessulani domino fratri meo"[1561].
m (contract Jul 1153) ERMESENDE de Castries, daughter of DALMAS de Castries
& his wife Cecilia --- (-1157). "Guillelmus de Tortosa" granted property "in
Sosteniensem (Substantion, Hérault)" to "uxori mee…Ermessens" by undated
charter[1562]. The primary source which confirms her parentage has not yet been
-3011-
identified, although her husband's testament clarifies that "castrum…de Castriis"
was inherited from her father (see above). She died in childbirth[1563].
[1562] Montpellier Guillems, Fascicule II, CXLV, p. 278.
[1563] Liber Montpellier, no. 395, p. 572-573 and Duhamel-Amado 2001, p. 342,
n. 102. [J.-C. Chuat]
Fonts:
- defunció: J-P de Palmas (testa en octobre 1157)
- casament: J-P de Palmas (cm en juillet 1153)
- família: J-P de Palmas (FMG) 24 ii 2011
2.971.965d:
RAYMOND GUILLAUME de Montpellier (-1201). Under his testament dated 11
Dec 1146, "Guillelmus de Montispessulano, filius Ermesende" states that
"Raimundus Guillelmi filius meus" has been entrusted as an oblate at Cluny[1564].
Monk at Cluny. Bishop of Beziers until 1166. Abbot of Amiens 1172/1187. Bishop
of Lodève 1187.

Fonts:
2.971.965e:
BERNARD GUILLAUME de Montpellier (-before [1172]). Under his testament
dated 11 Dec 1146, "Guillelmus de Montispessulano, filius Ermesende" entrusts
"Bernardum Guillelmum filium meum" to his oldest son until he is 18 years
old[1565].
Fonts:
2.971.965h:
ERMESENDE de Montpellier . Under his testament dated 11 Dec 1146,
"Guillelmus de Montispessulano, filius Ermesende" names "filias
meas…Guillelme… Adalais et Ermesendam"[1574]. Her marriage is indicated by
the testament dated 29 Sep 1172 of "Guillelmus dominus Montispessulani, filius
quondam Sibilie" which names "…Stephanus de Cerviano nepos meus…"[1575]. m
-3012-
[RAYMOND ETIENNE de Servian] Hérault, son of [ETIENNE de Servian and his
wife ---] (-1158)[1576]. Ermesende & her husband had one child: ETIENNE
525.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011
28ix2008
2.972.224:
Fonts:
2.972.225:
Fonts:
2.972.225b:
Fonts:
2.972.226:
Fonts:
2.972.227:
Fonts:
2.972.256:
Fonts:
2.972.257:
Fonts:
2.972.258:
-3013-
Fonts:
2.972.259:
Fonts:
2.972.272:
Fonts:
2.972.273:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier : Histoire de la famille de Preissac
Toulouse 01/2007) 26 vi 2014
2.972.280:
Attesté en 1245.
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(base Tournemire), G.Marsan (bases A. Aurejac - xii
2004)
- família: H.deRiberolles(base Tournemire), J-P de Palmas
2.972.281:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(base Tournemire)
- família: H.deRiberolles(base Tournemire), J-P de Palmas
2.972.288:
Arnaud II eut Béduer et Gréalou et diverses possessions sur le Célé, et Calconnier
en Rouergue.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Les monographies d'Edmond Albe, Quercy
Historique )
2.972.289:
Fonts:
xi 2010
2.972.292:
-3014-
Fonts:
2.972.293:
Fonts:
2.972.304:
En 1178, la seigneurie de Saint-Céré est donnée à Raymond II, vicomte de
Turenne, par le comte d'Auvergne. Le vicomte de Turenne se trouve alors maître
d'un territoire qui enserre la baronnie de Castelnau. La lutte entre les deux
seigneuries va s'exacerber.
Le comte de Toulouse est le suzerain du baron de Castelnau, mais il transfère à

perpétuité au vicomte de Turenne l'hommage que lui doit le baron de Castelnau
en 1184. Bernard de Castelnau cherche alors à se mettre sous la protection du roi
de France Philippe II Auguste. Il lui rend hommage pour ses terres en 1211. La
fille de Bernard, Héliz, a épousé Raymond II de Turenne.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Famille de Castelnau) 5 iii 2013
- família: J-P de Palmas (auréjac)
2.972.305:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (auréjac)
2.972.305b:
Religieux de Cîteaux et archidiacre de Maguelone, cistercien français, il tenta
vainement d'endiguer l'hérésie cathare dans le midi de la France, avec la qualité
de légat extraordinaire du pape Innocent III, pour rechercher les hérétiques
albigeois et les livrer au bras séculier, et eut pour collègue Ramier, moine de
Cîteaux. Ils étaient accompagnés entre autres de São Domingos de Gusmão ,
fondateur de l'ordre des Frères Prêcheurs. Ces inquisiteurs rencontrèrent une
vive résistance, et Castelnau finit par être assassiné à Trinquetailles, à proximité
d'Arles sur les terres de Raimond VI, comte de Toulouse (1208), au moment où il
venait d'excommunier ce prince à cause de son manque de collaboration dans la
lutte contre les Albigeois. Le meurtrier était un écuyer de Raimond VI, qui,
suspecté, fut excommunié. Cet évènement est à l'origine de la Croisade des
Albigeois.
Déclaré martyr par Innocent IV, puis béatifié, il est célébré le 15 janvier dans les
diocèses de Carcassonne et Nîmes.
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pierfit, 18vii2008)
-3015-
2.972.312:
Attesté en 1183 & 1214.
Bégon III de Calmont d'Olt participe à l'hommage que rend Hugues, comte de
Rodez, à Simon de Montfort.
Fonts:
2.972.313:
Fonts:
2.972.456:
La filiation traditionnelle à Baudouin de Toulouse est contestée :
"Pratiquemet tous les historiens récents sont d'accord pour dire que les Toulouse
Lautrec sont en fait des Lautrec et que Baudoin de Toulouse n'eut pas d'enfant de
son épouse née de Lautrec.
La preuve en a été établie par l'historien israelien Philippe Zalmen dans sa thèse
sur la vicomté de Lautrec au XIIIeme et XIVeme siècles. Il a decouvert une charte
donnant la filiation des vicomtes au XIIeme et XIIIeme siècles et prouvé ainsi ce
que laissait déjà penser tout un faisceau d'indices." (Jean-Louis Dega, forum
21v2006 20h48)
Note de J-P de Palmas du 26 octobre 2009
Quelques éléments de réflexion (dans l'article de Stéphane Cosson, ci-après),

relativement à l'hypothèse de Philippe Zalmen Ben-Nathan, à propos de laquelle je
suis également perplexe, mais je viens de commander la dite:
généalogie inédite des vicomtes de Lautrec du XIIIè au XVè siècle, afin d'en avoir
le coeur net .
L'auteur de la Généalogie inédite du XVè s, Michel du Bernis, que cite Philippe

1
Zalmen dans sa thèse, était archiviste de Gaston de Foix
Les origines de la famille de Toulouse-Lautrec
un article de Stéphane Cosson du 22 mai 2006
En 1981, Philippe Zalmen Ben-Nathan a soutenu une thèse de doctorat à

2
l'Université de Toulouse Le Mirail portant sur La vicomté de Lautrec aux XIIIe et
XIVe siècles : aspects économiques et sociaux du pouvoir public en Albigeois
médiéval, sous la direction de Philippe Wolff. Il enseigne actuellement en Israël.
3
En 2002, dans Les Annales du Midi , il a publié un article sur les origines de la
-3016-
famille de Toulouse-Lautrec, notamment sur le fameux passage des Lautrec aux
Toulouse. C'est un résumé de cet article que je vous propose aujourd'hui.
A partir du XVIIe siècle, une tradition historique s'est mise en place : lors de la
Croisade contre les Albigeois, la famille de Lautrec serait tombée en quenouille et
aurait laissé place à une nouvelle famille : les Toulouse-Lautrec. Vers 1196 Alix de
Lautrec, l'héritière de cette lignée de quatre siècles et demi, se serait mariée avec
le frère du comte de Toulouse : Baudouin. Vu comment la maison de Toulouse a
fini, il semble à l'auteur que les chroniqueurs de l'époque n'auraient pas manqué
d'en parler. Or il n'en fut rien ! Philippe Zalmen Ben Nathan, au cours de ses
recherches, a découvert une généalogie de cette famille, oeuvre de l'archiviste et
3
chroniqueur fuxéen Michel du Bernis. Cette généalogie est plus ancienne que la
tradition du XVIIe siècle : elle date en effet des années 1455. Cette généalogie se
trouve aux Archives Départementales des Pyrénées Atlantiques. C'est la plus
ancienne actuellement connue (et la plus méconnue des auteurs, quels qu'ils
soient, qui ont rédigé un jour sur cette famille). Michel du Bernis est réputé pour
être quelqu'un d'absolument fiable dans ce qu'il affirme, s'appuyant sur les
documents en sa possession. Cette généalogie permet de démontrer que, le
mariage d'Alix de Lautrec et de Baudouin de Toulouse réel ou supposé, le lien
avec la famille de Toulouse ne se fait pas par eux. Les enfants supposés de ce
couple sont, selon Michel du Bernis, les enfants de Frotard III de Lautrec, donné
par tous les auteurs comme mort sans postérité.
Ce fait appelle en moi une autre réflexion : toujours vérifier à la source les dires
des personnes. Ne pas se contenter de ce qu'ils affirment. Il n'y a que comme cela
que la généalogie peut avancer, progresser et que des mythes peuvent s'arrêter
ou ne plus se répandre.
1 - Un archiviste des comtes de Foix au quinzième siècle.Le chroniqueur Michel du Bernis,

Toulouse 1894, in 8°, publ par H.Courteault
2 - Ph. Z. BEN NATHAN, La vicomté de Lautrec aux XIIIe et XIVe siècles. Aspects économiques et
sociaux du pouvoir public dans l’Albigeois médiéval, thèse de doctorat de 3e cycle, Toulouse, 1981,
2 t. tapuscrits. Les sources manuscrites utilisées sont présentées dans le t. 1, p. 20-25.
C’est aux A. D. du Tarn que se trouve l’essentiel des sources utilisées, notamment le registre
Domanial de Lautrec (E 2197, 344 feuillets). Ce document consigne les résultats de l’enquête
ordonnée par Philippe VI de Valois afin de connaître exactement les droits respectifs de la
couronne, desvicomtes et de l’évêque de Cahors, à l’intérieur de la vicomté de Lautrec.
Commencée en août 1338, l’enquête fut achevée à la fin de 1339.
3 - Une généalogie inédite des vicomtes de Lautrec du XIIIe au XVe siècle, par ZALMEN BEN-
NATHAN Philippe, 2002, vol. 114, no239, pp. 369-379 [11 page(s) (article
Fin de note J-P de Palmas du 26-x-2009

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Une Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec par
Philippe Zalmen, CNRS, 2002) 26 x 2009, JB.de La Grandiere ( Maurice Vuillier
"Comtes de Toulouse et vicomtes de Lautrec 107 pages Toulouse sept. 2005 ) 27 x
2009
- defunció: Maurice Vuillier
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Une Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec
par Philippe Zalmen, CNRS, 2002) 26 x 2009
2.972.457:
-3017-
Fonts:
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Une Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec
par Philippe Zalmen, CNRS, 2002) 26 x 2009
2.972.457b:
Fonts:
2.972.457c:
Fonts:
2.972.457d:
Fonts:
2.972.457e:
Fonts:
2.972.457f:
Fonts:
- persona: J-L. Dega,, JB.de La Grandiere ( Maurice Vuillier "Comtes de Toulouse et
2.972.466:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Remacle, II, p. 577) 16/11/06, H.de La Villarmois (Remacle)
29 xii 2007
- defunció: M.Rérolle (Remacle, II, p. 577) 16/11/06
- família 1: J-C de Vaugiraud (ES XIV Tafel 103: Mercoeur et ES III-V Tafel 733:
Dauphin d'Auvergne) 24/03/2010
- família 2: H.de La Villarmois (Courcelles) 12 vi 2003, H.de La Villarmois
(Remacle) 29 xii 2007
2.972.467:
ALIX . The testament of "Robertus Delfini comes Claromontensis", dated [Mar]
1262, appoints "Robertum filium meum primogenitum" as his heir, names "Delfino
filio meo…Aelis filiam meam uxorem domini de Montebuxerio…Aalais
sanctimoniali Eschlachiæ filiæ meæ…Mathæ filiæ meæ…Alasia quondam uxor
mea…avunculorum suorum domini Bernardi et domini Heliæ de Ventadoro"[480].
A second testament of "Rotbertus Dalphini comes Claromontensis", dated 2 Apr
1262, names "Rotbertum et Dalphinum…filios nostros…Haelis filia nostra uxor
Eustachii de Montebuccerio"[481].
m EUSTACHE, Seigneur de Montboissier, son of ---.
[480] Baluze (1708) Auvergne, Tome II, p. 268.
-3018-
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV Tafel 103: Mercoeur et ES III-V Tafel 733:
Dauphin d'Auvergne) 24/03/2010, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 17 xi
2016
- família: J-C de Vaugiraud (ES XIV Tafel 103: Mercoeur et ES III-V Tafel 733:
2.972.467b:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Généalogie des sgrs de Vissac, Anselme VI, 325)
- família: site jreynaud40
2.972.467-2b:
Fonts:
- defunció: H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
2.972.467-2c:
Teste en 1328.
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Remacle, II, p. 578) 18/11/06, H.de La Villarmois (Remacle)
29 xii 2007
- defunció: H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
- família: H.de La Villarmois (Courcelles) 12 vi 2003
2.972.468:
Le patronyme est en réalité "de La Tour" ; celui de "La Tour d'Auvergne" porté
seulement à partir du mariage en 1389 de Bertrand avec Marie d'Auvergne n'a été
utilisé ici que pour permettre de voir toute la famille en un seul clic.
Fonts:
- família: Aurejac, H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
2.972.469:
Fonts:
- família: Aurejac, H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
2.972.469b:
Fonts:
- família 1: Emmanuel Arminjon
2.972.469c:
Gaillarde de La Tour chez Remacle.hv
Fonts:
-3019-
2.972.470:
Agne ou Agnon.
Le nom de l'actuelle ville d'Olliergues (Puy-de-Dôme) s'écrivait habituellement
Oliergues jusqu'à la Révolution.
Il a probablement fait partie de la seconde croisade de saint Louis (1270).
Quand il mourut, ses deux filles étaient encore mineures ; elles furent mises sous
la tutelle de leur grand-tante Marguerite d'Auvergne, dame de Montboissier. Sa
succession fut partagée entre ses filles le 14 janvier 1276.
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Tardieu, Dict. hist. du PdD) 21.02.06, P.Fauchère (Lucien
Drouot, Recueil des actes des premiers seigneurs d'Olliergues, 162) 15.02.13
- família: Aurejac
2.972.471:
Alix de Courcelles du Breuil, selon Tardieu.
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Tardieu, Dict. hist. du PdD) 21.02.06
- família: Aurejac
2.972.471b:
Fonts:
- família: P.Fauchère (Tardieu, Dict. hist. du PdD) 21.02.06
2.972.472:
Fonts:
2.972.473:
Fonts:
2.972.480:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Vuillier), G.Marsan (base evelyne Lannes fév. 2005)
2.972.481:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Vuillier), G.Marsan (base evelyne Lannes fév. 2005)
- família: J-L. Dega (Vuillier), G.Marsan (base evelyne Lannes fév. 2005)
2.972.481b:
Alias de Biran. Elle a eu 10 enfants attestés.
Elle a Attestée le 25 Janvier 1308 et c'est la soeur d'Odon de Montaut, chevalier.
-3020-
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Vuillier), G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt), S. de
L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de Monstesquiou-
2005)03.01.2011
- naixement: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt)
- defunció: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt)
2.972.544:
ROGER [IV] (-[1257/67]). Palau i Baduell calls Roger “un fill natural” by “Cecília
de Forcalquier” when recording that he carried out successives invasions of
Pallars with the help of “seu fill Arnau d’Espanha” and was excluded from the
succession by the testament of his father dated 1256[207]. Vicomte de Couserans
et de Casadan.
m GRISE d'Espagne, Dame de Montespan, daughter of ARNAUD Seigneur de

Montespan & his wife ---.
[207] Palau i Baduell, J. M. (2009) La morallitat dels clergues i laics als comtats de
Pallars a través de les visites pastorals de 1314 i 1315, p. 14 (no citation
reference), available at
<http://diposit.ub.edu/dspace/bitstream/2445/68511/1/TFM_Palau.pdf> (22 Feb
2016). .
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 26 viii 2013
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac) / J-L. Dega
2.972.545:
Fonts:
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac) / J-L. Dega
2.972.545b:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-L. Dega (fiches familiales)
2.972.552:
ROGER (-before 22 Mar 1245). Vicomte de Fezensaguet. "Giraldus comes Armaniaci et Fezenciaci,
Rogerius frater eius" swore allegiance to "D. Simoni duci Narbonæ, comiti Tolosæ ac vicecomiti
Biterrensi" by charter dated 19 Dec 1217[441]. m PUCELLE d'Albret, daughter of AMANIEU [IV] Sire
d'Albret & his wife Almodis d'Angoulême (-after 1243). The primary source which confirms her parentage
and marriage has not yet been identified. Roger & his wife had four children:
a) GERAUD [VI] (-1280). His parentage is confirmed by the charter dated 22 Mar 1245 under which
Géraud Comte dÁrmagnac confirmed rights of pasturage granted to the abbey of Grandselve by his
-3021-
father Roger dÁrmagnac[442]. Vicomte de Fezensaguet. Comte d'Armagnac et de Fezensac 1254.
- see below.
b) ROGER (-killed in battle [1274]). His possible descendants, Seigneurs de Termes, are set out in
Europäische Stammtafeln[443].
c) AMANIEU (after 1230-11 Mar 1318). Bishop of Bayonne. Archbishop of Auch 1261. A second
testament of "Johannes…comes Armaignaci, Fesensiaci et Ruthene, vicecomesque Leomaniæ et
Altivillaris ac dominus terre Ripparie", dated 5 Apr 1373, donated property for the souls of "…domini
Amaneni de Armaignaco archiepiscopi Auxitani et domini Rogerii de Armaigniaco episcopi Laudoneni,
paternorum nostrorum quondam…"[444].
d) ARNAUD BERNARD (-killed in battle 1272). Monk at Gimont 1242. m (1263) VERONIQUE de la
Barthe, daughter and heiress of ARNAUD GUILLAUME [II] Vicomte de la Barthe, d'Aure et de Magnoac
& his wife ---.
Fonts:
- família: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005), J-P de Palmas (in
Généalogie des seigneurs et princes territoriaux belges)
2.972.553:
[PUCELLE d'Albret (-after 1243). The primary source which confirms her
parentage and marriage has not yet been identified.
m ROGER d'Armagnac Vicomte de Fezensaguet, son of BERNARD d'Armagnac

[Lomagne] & his wife --- (-[1243/22 Mar 1245]).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 iv 2014
- defunció: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005)
- família: G Marsan (base Cyril Delmas-Marsalet - fév 2005), J-P de Palmas (in
Généalogie des seigneurs et princes territoriaux belges)
2.972.553a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Bibliothèque sacrée, ou Dictionnaire universel historique,
dogmatique De Charles Louis Richard)
2.972.553b:
Fonts:
2.972.553d:
ROGER (-killed in battle [1274]). His possible descendants, Seigneurs de Termes,
are set out in Europäische Stammtafeln.
-3022-
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort), J-P.de Palmas (FMG) 27 viii
2013
- defunció: J-P de Palmas (killed in battle)
- família: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort), G Marsan (base Cyril Delmas-
Marsalet - fév 2005)
2.972.553e:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 26 xii 2013
- defunció: J-P de Palmas (tué dans une bataille)
2.972.556:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques, par Hippolyte de
Barau) 20 xii 2013
2.972.557:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques, par Hippolyte
de Barrau) 20 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques, par Hippolyte de
Barau) 20 xii 2013
2.972.557c:
Fonts:
- defunció: A.Euverte(Histoire de Sainte-Bazeille par l'abbé Alis)19.iv.2006
- família 2: H Coquebert de N (J Villain tome III p749)
2.972.557d:
Fonts:
2.972.558:
Auger III (et sa mère Marquèse) sont assiégés en leur château dont ils défendirent
le donjon face à Etienne Longue-Epée, sénéchal de Gascogne.
Il venait de prendre la ville et une des barbacanes lorsque Gaston VII, vicomte de
Béarn, vint arbitrer la paix entre eux en octobre 1257. Mais comme le château
restait sous contrôle béarnais, le belliqueux Auger III reprit les armes en 1258 et,
malgré l’alliance de seigneurs souletins (Osserain et Domezain) avec le prince
Edouard, il arriva à libérer son territoire jusqu’en 1261.C'est alors que, le 3
novembre 1261, le Prince Edouard d'Angleterre fit une grande démonstration
militaire en assiégean le château fort. Le vicomte Auger de Soule n'accepta de
céder définitivement la Soule que sous pression du Pape et en échange de terres
landaises : Laharie, Saas, Angoumé et Marensin.
-3023-
Mais Auger III, l’ancien vicomte de Soule délogé en 1261 et parti au service du roi
de Navarre, continuait à se déclarer seigneur de Mauléon. C'est ainsi qu'il prit en
Navarre en 1274-76 pour la première fois comme armoiries de la Soule, un lion
d'or (jaune) sur fond de gueules (rouge) en indiquant sur son sceau son titre
d'Auger de Maul-léon, seigneur de Marensin et Laharie (terres landaises qui lui
avaient été octroyées par le roi d’Angleterre en échange du château de Mauléon).
Lors de la reprise de guerre entre le roi de France Philippe IV le Bel (aussi roi de
Navarre par son mariage avec l’héritière de ce royaume) et le roi Edouard I
d’Angleterre, Auger prit le parti de la France et Navarre et reconquit son château
fort de Mauléon en 1295. Il alla jusqu’à créer en 1299 la bastide de Villeneuve-les-
Tardets pour contrer le pouvoir seigneurial des Tardets qui avait pris le parti
anglais. La paix franco-anglaise de 1303 rendant l’Aquitaine aux Anglais obligea
Auger à obéir au roi de Navarre, Louis le Hutin, fils héritier du roi de France, en
restituant en juillet 1307 le château de Mauléon à un capitaine-châtelain « anglais
» en échange de la seigneurie navarraise de Rada où il mourut en 1318. Mauléon
et la Soule devaient rester anglais jusqu’en 1449.
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base Auréjac), J-P de Palmas (Le château de Mauléon au
Moyen-Âge)
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac)
2.972.559:
Fonts:
2.972.559a:
Fonts:
2.972.559b:
Fonts:
2.972.559c:
Fonts:
2.972.559d:
Fonts:
2.972.559e:
Fonts:
-3024-
2.972.564:
Attention pour le vrai nom de l'épouse de Robert, mère de ses enfants, voir les
notes et les doutes sur la fiche de Yolande de Vendôme et de Ne N^
- "Yolande alias Jeanne de Vendôme me semble très peu probable compte tenu du
fait que Dominique Barthélemy, le meilleur auteur sur la famille de Vendôme à
cette époque, ne signale pas cette Jeanne ni là (pp 898/900) ni ailleurs dans son
"La Société dans le comté de Vendôme de l'an Mil au XIV° siècle" 1993 !" J-B de
La Grandière 21 i 2012
Fonts:
- família 2: JB.de La Grandiere (Forum 2012-01-21 14:49:52 + 2012-01-21
17:43:46) 21 i 2012
- família 3: H.R.Moser/EuSt-III.1/64
2.972.565:
Attention pour le vrai nom de l'épouse de Robert, mère de ses enfants !
- Voir les notes et les doutes sur la fiche de Yolande de Vendôme.

J-C de Vaugiraud 22 i 2012
- "Yolande alias Jeanne de Vendôme me semble très peu probable compte tenu du
fait que Dominique Barthélemy, le meilleur auteur sur la famille de Vendôme à
cette époque, ne signale pas cette Jeanne ni là (pp 898/900) ni ailleurs dans son
"La Société dans le comté de Vendôme de l'an Mil au XIV° siècle" 1993 !"
J-B de La Grandière 21 i 2012
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (forum 2012-01-21 14:49:52 2012-01-21 17:43:46)
21 i 2012
- família: JB.de La Grandiere (Forum 2012-01-21 14:49:52 + 2012-01-21 17:43:46)
21 i 2012
2.972.565a:
Fonts:
- família: F-L. Jacquier (F. Günst-Horn - descendance capétienne 8e édition)
2.972.565c:
Jean était vicomte de Dreux et seigneur de :
-Châteauneuf-en-Thymerais (Eure & Loir) (et non "du" Châteauneuf)

-Senonches (Eure & Loir)
et "Beaussart", relevé par tous les "anciens" , origine de la branche Dreux, sgrs de
Beaussart, est en fait Boussard localisé à Senonches (alias Bossart, alias
Beaussard/t) !
jblg 22/1/2012
-3025-
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet - boisdeffre)., JB.de La Grandiere (ajouts et
localisations de fiefs) 22 i 2012
- família: JB.de La Grandiere (André du Chesne Histoire de la maison de Dreux pp.
56/60 Paris 1631) 22 i 2012
2.972.566:
Fonts:
27/05/2006, , JB.de La Grandiere ( corrigé et augmenté par Mendel-Newman Les
seigneurs de Nesle en Picardie t. I pp.140/144 (Courlandon) Paris 1971 ) 16 v 2012
- família: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Dreux + M. du Sars: Laonnois féodal)
27/05/2006
2.972.567:
Fonts:
27/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Dreux + M. du Sars: Laonnois féodal)
27/05/2006
2.972.570:
Fonts:
- persona: A.Euverte(Histoire de Cancon par Lucien Massip)26.iv.2006
- naixement: S.Fourlinnie (GénéaNet/Patrick Déret) 2/01/2012
- defunció: S.Fourlinnie (GénéaNet/Patrick Déret) 2/01/2012
- família: G.Marsan (cailgeo généalogie ); H.de La Villarmois (Courcelles) 2 vii
2005, J-C de Vaugiraud (M.Smaniotto: HG 1995 p 176) 27/04/2007
2.972.571:
Elle fait son testament le 26 janvier 1290 (nouveau style)
Fonts:
- família 1: G.Marsan (cailgeo généalogie ); H.de La Villarmois (Courcelles) 2 vii
2005, J-C de Vaugiraud (M.Smaniotto: HG 1995 p 176) 27/04/2007
- família 2: A.Euverte(Histoite des Madaillan par Maurice Campagne)10.XI.2005,
A.Euverte(Histoire de Sainte-Bazeille par l'abbé Alis)19.iv.2006
2.972.571a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (E.S. III-4 tafeln 766 Turenne) 21 xi 2011
- casament: J-P de Palmas (cm du 18 vii 1265)
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007, J-P de
Palmas (E.S. III-4 tafeln 766 Turenne et FMG) 21 xi 2011
2.972.571b:
Date approchée du mariage : /Yolande de Lusignan a d'abord épousé Hélie Rudel
Ier de Pons : le pape leur avait acccordé une dispense pour une consanguinité du
4ème degré dès le 8 juin 1267, toutefois ce mariage n'est pas réalisé lors de
-3026-
l'établissement des testaments des parents de Yolande, Hugues (XII) le Brun,
comte de la Marche et d'Angoulême, et Jeanne de Fougères, en 1267 et 1269. Par
contre, l'union est déjà réalisée en août 1277 où Hugues (XIII) de Lusignan
reconnaît à son beau-frère Hélie Rudel Ier de Pons une dette de 500 livres de
rente que défunt Hugues (XII) le Brun et défunte Jeanne de Fougères avaient
assignées en dot à son épouse Yolande leur fille. Le mariage fut donc réalisé entre
1269 et 1277.''
Source : J-B de La Grandière ( Denis Vrignaud : Forum du 2013-09-09 18:11:02 ) 09.09.2013
Domaines : Il hérita de sa mère les terres de Bergerac, Montleydier et Gensac.
Décès : Il teste en août 1290 et porte le titre de seigneur de Bergerac ce qui laisse
à penser que sa mère Marguerite est déjà décédée. Dans ce testament, il institue
son légataire universel son fils Renaud. Il y nomme ses filles Garnasie et Yolande
et a comme exécuteur testamentaire "domino viviano de Berbezillo". Il décède
avant 1295.
Vidimus du 5 janvier 1291, délivré par Geoffroi, archidiacre de Saintonge, du

testament d'Hélie Rudel, sire de Pons. — Original sur parchemin.
Copia testamenti domini Helye Rudelli, domini de Ponto de Brageriaco : 1290,

août.
In nomine sancte et individue Trinitatis patris et filii et spiritus sancti, amen. Nos
Helias Rudelli, dominus de Ponte et de Brageriaco, testamentum nostrum ultimum
su nostram ultimam voluntatem in modum qui sequitur ordinamus
Universis presentes litteras inspecturis, Gaufridus, Dei gracia Xantonensis
archidiaconus, salutem. Notum facimus universis nos vidisse et diligenter
inspexisse testamentum bone memorie nobilis viri domini Helie Rudelli[21]
condam domini de Ponte et Brageriaco, non abolitum, non cancellatum nec in
aliqua parte sua viciatum, sigillo ipsius nobilis una cum sigillo prepositure
Parisiensis, sigillo curie reverendis patri domini episcopi Parisiensis, et
quibusdam aliis sigillis sigillatum, cujus testamenti tenor sequitur in hec verba. "
Source : ( "Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis", Tome XXI : Chartes de la maison de Pons (*) )
(*) Cet ouvrage se trouve en mode image sur Gallica. Le lecteur peut consulter la
table des matières correspondante à l’adresse :
http://www.histoirepassion.eu/spip.php?article307
"La société des Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis consentit, dès

l'année 1881, à mettre ses volumes à notre disposition pour y publier les archives
de la maison et de la terre de Pons.
"Cette faveur était justifiée par l'importance considérable que la ville de Pons et
-3027-
ses seigneurs ont eue depuis les temps les plus reculés jusqu'à l'époque moderne.
Il n'est pas en effet, dans la Charente-Inférieure, de localité qui ait pris une part
aussi grande à l'organisation féodale. Alors que les autres villes de la région
étaient pour la plupart affranchies de la domination directe et constante de leurs
seigneurs, soit par leur indépendance communale, soit par l'éloignement où elles
se trouvaient de leurs maîtres, Pons est resté constamment la terre principale et
le lieu du séjour d'une des plus puissantes familles féodales de France.
"A un double point de vue, l'histoire de Pons présentait donc un intérêt particulier.
Par ses seigneurs alliés aux Rodez, aux Périgord, aux Turenne, aux Revel, aux La
Trémoille, aux Coëtivy, aux d'Albret, Pons occupe une grande place dans l'histoire
de France. Par son contact immédiat avec ses sires, la ville et la terre de Pons
conservent en outre des traces de la vie féodale et seigneuriale qu'on ne
retrouverait pas ailleurs. Ces conditions particulières rendaient particulièrement
curieuses la publication et l'étude des documents ayant trait à la ville de Pons."
Fonts:
- persona: G.Marsan (cailgeo généalogie ), A.Euverte (Histoire de Sainte-Bazeille
par l'abbé Alis) 19 iv 2006
- defunció: ( voir Notes de D. Vrignaud )
- casament: JBLG 9/9/201 : Message de Denis Vrignaud 2013-09-09 18:11:02
- família: H.de La Villarmois (Courcelles) 2 vii 2005, G.Marsan (cailgeo généalogie
)
2.972.571d:
Hérita de sa mère les seigneuries de Castelmoron , Moncuc, Ribérac, Espeluche,
Charlus, Martel, Cognac et autres.
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XIV, J-P.de Palmas (Vicomtes et vicomtés dans l'Occident
médieval, par Hélène Debax) 25 xi 2013
2.972.571f:
Fonts:
2.972.571g:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (M.Smaniotto: HG 1995 p 176) 27/04/2007
- casament 1: J-C de Vaugiraud (M.Smaniotto: HG 1995 p 176) 27/04/2007
- família 1: J-C de Vaugiraud (M.Smaniotto: HG 1995 p 176) 27/04/2007
- família 2: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "Les sires de Pons des origines
au XIV° siècle" Bordeaux 1987) 30 xii 2011
2.972.571h:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich, (geneanet : samlap)
- família 1: JL Dega (Archives du château de Bruniquel) 27 xi 2017
- família 2: J-P.de Palmas (Actes royaux du Poitou, t. 1 (1302-1333) ) 12 iv 2017
-3028-
2.972.571i:
Fonts:
- família: R. Sekulovich ( toile)
2.972.571-2a:
Une lettre de Philippe IV Le bel nous apprend qu'en 1299, Anissant II était mort et
que sa veuve Isabelle de Péberac et Jourdain de L'Isle, chevalier, étaient
seigneurs chacun pour moitié de la baronnie de Sainte-Bazeille.
Fonts:
- naixement: A.Euverte(Histoire de Cancon par Lucien Massip)26.iv.2006
- família 1: A.Euverte(Histoite des Madaillan par Maurice Campagne)10.XI.2005,
A.Euverte(Histoire de Sainte-Bazeille par l'abbé Alis)19.iv.2006
- família 2: A.Euverte(Histoite des Madaillan par Maurice Campagne)10.XI.2005
2.972.576:
Fonts:
2.972.577:
Fonts:
2.972.578:
Fonts:
2.972.579:
Fonts:
2.972.592:
AMALRIC de Narbonne (-after 11 Jan 1302). A charter dated 24 Mar 1271 records the agreement
between "dominum Aymericum et dominum Amalricum fratres, filios quondam domini
Amalricivicecomitis et domini Narbone" concerning their father´s inheritance, and names "domine
Philippe matris eorum", later confirmed by "Sibylia uxor dicti domini Aymerici et domina Alcayeta uxor
dicti domini Amalrici"[760]. He received the Baronnie of Pérignan (now Fleury-d'Aude, Aude) when his
brother shared the viscounty with him in 1272. By his testament dated 11 Jan 1302, he shared the
Baronnie of Pérignan between his two sons Amalric Baron de Talairan (Aude) and Aimery who received
a smaller Baronnie of Pérignan with the corresponding title. In 1346, Aimery who had no male issue sold
Pérignan to Philippe VI King of France. The older branch of Pérignan came to be known subsequently
as that of the Seigneurs de Talairan (Aude).
m firstly (before 24 Mar 1271) ALGAYETTE de Rodez, daughter of HUGUES [IV] Comte de Rodez
(Aveyron)] and his wife Isabelle de Roquefeuil, Vicomtesse de Creissels (Aveyron) (-[1274/80], bur
Narbonne, tombstone in the Lamourguier Museum in Narbonne). A charter dated 24 Mar 1271 records
the agreement between "dominum Aymericum et dominum Amalricum fratres, filios quondam domini
Amalricivicecomitis et domini Narbone" concerning their father´s inheritance, later confirmed by "Sibylia
-3029-
uxor dicti domini Aymerici et domina Alcayeta uxor dicti domini Amalrici"[761]. The primary source which
confirms her parentage has not yet been identified.
m secondly MARIE d'Antioche, daughter of --- (-after 11 Nov 1308). "Amalric de Narbonne, seigneur de
Pérignan, fils du vicomte Amalric" recognised rights by undated charter, approved by "Dame Marie,
femme d'Amalric"[762]. The primary source which confirms her origin has not yet been identified.
[760] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome VIII, Preuves, Chartes, 542, col. 1728.
[761] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome VIII, Preuves, Chartes, 542, col. 1728.
[762] Arch. dép. Aude, AA 111. The Inventaire gives no citation for the document in question. [J.-C.
Chuat] Aussi nommé Amalric de Pérignan, il achète à Olivier de Termes la
Source : (G.Langlois "Olivier de Termes, le
seigneurie de Talairan fin 1270 ou début 1271.
cathare et le croisé")
Fonts:
- persona: C.de Moncade (P.de Braquilanges), C.Saint-Félix (G.Langlois "Olivier de
Termes, le cathare et le croisé") 16 v 2006, J-P.de Palmas (FMG) 23 viii 2013
- família 1, família 2: C.Saint-Felix (Denis Bataille forum 17v2006)
2.972.593:
Son gisant est au musée de Narbonne.
Fonts:
- persona: C.Saint-Felix (Denis Bataille forum 17v2006)
- família: C.Saint-Felix (Denis Bataille forum 17v2006)
2.972.593-2a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Felix (Denis Bataille forum 17v2006)
- família: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de Languedoc")
2.972.593-2b:
Fonts:
- persona: B.Tournier (Magné & Dizel, les comtes de Toulouse)
- família 1: B.Tournier (Magné & Dizel, les comtes de Toulouse)
2.972.600:
2.972.601:
Fonts:
2.972.602:
Fonts:
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Filiations Languedociennes, Hubert de
Vergnette) 23 x 2017
2.972.603:
jblg 29/6/2013/ Guilhem n'est ici pas un patronyme mais un prénom avec l'usage
constant d'un prénom double dans ces grandes familles. L'éponyme sur lequel a
-3030-
été bâti le patronyme de cette famille est Clermont (Clermont-l'Hérault /
Clermont-Lodève) Je ne change rien Tiburge est la tante de Stéphanie Aybraude
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (parents probabes) 29 vi 2013
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Filiations Languedociennes, Hubert de
Vergnette) 23 x 2017
2.972.603b:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer), J-L. Dega
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer), J-L. Dega
2.972.604:
Fonts:
2.972.605:
2.972.672:
2.972.676:
2.972.836:
Le monastère de Saint-Antoine de Beaulieu, en Quercy, (à Issendolus, Lot) était
une dépendance du grand prieuré de Saint-Gilles, de la Langue de Provence de
l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem. En 1259, Guibert de Thémines et Aigline, sa
femme, firent donation à l'Ordre, de l'hôpital, qu'ils avaient fondé et fait bâtir le
long du chemin public, entre Thémines et Gramat, paroisse d'Issandolus ou Saint-
Dolus, au lieu appelé anciennement Pech Vittauzes et aujourd'hui Beaulieu, et
conférèrent au grand prieur de Saint-Gilles le droit d'en disposer à sa volonté,
sans que leurs héritiers pussent y avoir aucune prétention.
Guillaume de Villaret, grand maître de Rhodes, confirma celte fondation eu 1298,
fixa le nombre des religieuses à trente-neuf, les soumit à l'obédience, visite et
correction du grand prieur, et leur donna la règle de l'ordre; avec faculté d'élire
leur prieure. Par le même acte, les religieuses acceptèrent et jurèrent, d'observer
ladite règle, et trois ans plus tard, le même grand maître, dans le chapitre général
tenu à Chypre (22 octobre 1301), confirma sa précédente bulle.
Le monastère de Fieux, fondé en 1297 par noble Carascon de Thémines, et donné
par le même à l'ordre de Rhodes, fut réuni à celui de Beaulieu par bulle pontificale
de l'an 1612. Après l'incorporation de l'ordre de Saint-Antoine de Vienne à celui
de Saint-Jean-de-Jérusalem, en 1776, on installa dans l'abbaye de Saint-Antoine, à
la Motte Saint-Didier, des religieuses de Beaulieu avec le titre de chanoinesses.
Ces procès-verbaux, déposés sous la cote 56 H 580 (dossiers 608 à 619), ont été
analysés par l'archiviste-adjoint des Bouches-du-Rhône dans la Revue nobiliaire,
héraldique et biographique de 1868.
-3031-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Preuves de noblesse des dames religieuses de Beaulieu)
viii 2010, JB.de La Grandiere ( Jacques de Roquemaurel : réponse à 93 I 276
Thémines H&G 181 p. ) 22 iv 2014
- defunció: Jacques de Roquemaurel : réponse à 93 I 276 Thémines H&G 181 p.
359 12/2006
2.972.837:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005), JB.de La Grandiere
(Jacques de Roquemaurel : réponse à 93 I 276 Thémines H&G 181 p. 359 12/2006
) 22 iv 2014
2.972.837b:
Fonts:
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)/ J-L. Dega
2.972.846:
BERNARD [VI] de Comminges ([1225]-1295). He succeeded his father in 1251 as Comte de
Comminges. He swore homage to Raimond VII Comte de Toulouse 18 Nov 1244[877]. He resigned his
county in 1295 in favour of his son and died soon after. m (before 26 Aug 1245) THERESE, daughter of
---. A charter dated 26 Aug 1245 records that Amat, first cowherd of Countess Tarazia, wife of Bernard
Comte de Comminges, requested permission from the abbot of Lézat to graze his herd in the abbey's
pastures[878]. According to Higounet, this is the only evidence for her existence[879]. Comte Bernard
[VI] & his wife had [five] children.
[877] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome VIII, 378, col. 1165.
[878] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome V, Inventaire et Catalogues, XI, Lézat,
CCCCLXIV, col. 1799.
[879] Higounet (1949) I, p. 131, footnote 104. [J.-C. Chuat]
Fonts:
2.972.847:
Le prénom de ses enfants et d'autres indices permettent de la rattacher avec une
quasi-certitude à la famille d'Astarac.
Fonts:
- persona: Jean-Louis Dega
2.972.847b:
Fonts:
de España)
2.972.847c:
-3032-
Fonts:
2.972.847d:
Fonts:
2.972.850:
Fonts:
2.972.851:
Fonts:
2.973.248:
Bernard d'Arpajon, témoin à un engagement de la ville de Palmas, fait par
Hugues, évêque de Rodez à Raimond duc de Narbonne 1207 Invent. du trésor des
chartes du roy, vol. 5.9 fac acte 12. (Anselme, tome V, p.888)
Fonts:
le maréchal de Toiras, 1999, p. 96), J-P.de Palmas (Père Anselme) 22 vii 2016
2.973.249:
Fonts:
2.973.250:
Conflits avec les Cardaillac
En avril 1259, Déodat de Barasc, chevalier, hommage pour les châteaux de

Cabrerets (à cette époque, le château de Cabrerets est le château du Diable (ou
"des Anglais")) et de Larganol à Alphonse de Poitiers. Les Barasc sont d'ailleurs
les premiers seigneurs de Cabrerets connus (Albe, Cabrerets). Alphonse de
Poitiers est devenu comte de Toulouse à la mort de Raymond VII (1248) après
avoir épousé Jeanne, fille unique de Raymond. Alphonse et Jeanne étant morts
sans descendance en 1271, le Quercy est rattaché définitivement au domaine
royal par Philippe III.
A cette époque, Vialolles (aujourd'hui, commune de Cabrerets) est un fief distinct
de Cabrerets et qui appartient aux Cardaillac. En 1259, Hugues de Cardaillac,
coseigneur de Saint-Cirq-Lapopie, hommage au comte de Poitiers pour la villa de
Vialolles et de Saint-Hilaire de Valmayre (Albe, Cabrerets). La cohabitation entre
les deux familles n'est pas chose aisée. En 1259 Déodat Barasc se plaint auprès
d'Alphonse de Poitiers que Bertrand de Cardaillac a ruiné son moulin de
-3033-
Cabrerets. Les fils de Bertrand, Géraud et Bertrand, auraient achevé la
destruction du moulin
Cet incident est peut-être lié à un contentieux qui oppose les deux familles depuis
que les Cardaillac ont acheté le tènement de Durestat au chevalier Galhard de
Larnagol, lequel le tenait des Barasc en hommage de fidélité. Déodat considère
que, puisque le chevalier de Larnagol était son vassal et lui devait hommage pour
cette terre, alors Cardaillac lui doit le même hommage. Il va de soi que les
Cardaillac, qui représentent une famille autrement plus puissante que les Barasc,
ne partagent pas cette opinion et refusent l'hommage. L'affaire est alors portée
devant le comte de Poitiers, qui ordonne deux enquêtes, dont nous ignorons le
résultat.
Une dizaine d'années plus tard, en novembre 1269, Hugues de Cardaillac et
Déodat Barasc sont en conflit : le premier se plaint au comte de Poitiers que les
hommes du second ont "attaqué ses hommes de Saint-Cernin, blessé et même tué
quelques uns d'entre eux". Là encore, le sénéchal représentant Alphonse de
Poitiers ordonne une enquête, menée par le sergent Berruyer et Gaubert de
Rampoux, mais dont le résultat n'est pas connu.
La bagarre avec les Cardaillac continue : en 1270, Déodat Barasc se plaint à
nouveau que son moulin de Cabrerets a été détruit par la "famille" de feu
Bertrand de Cardaillac. Un arrêt du parlement de Toulouse ordonne au sénéchal
de faire une nouvelle enquête
On notera - nous y reviendrons - que les Barasc sont ici le plus souvent en position
d'agressés. Ils subissent les attaques des Cardaillac avec lesquels ils ne sont pas
en mesure de lutter.
Ces difficultés n'empêchent toutefois pas les deux lignées de contracter des
alliances (Les mariages servent aussi à rétablir la paix. Lorsque c'est le cas,
l'Eglise peut même accorder des dispenses de consanguinité à un degré, en
principe, prohibé.) : Hélène Barasc, fille de Raymond, petite-fille du Déodat dont
les moulins de Cabrerets avaient été détruits, épouse Guillaume de Cardaillac(-
Bioule) vers la fin du XIIIè siècle.
Le château de Cabrerets
Les Barasc sont les premiers seigneurs de Cabrerets connus, mais ce sont les
Gontaud qui construisirent ce château, à partir du XIVè siècle. La construction
dura jusqu'en 1515, mais resta inachevée.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Les Barasc de Béduer) 3 xi 2010
2.973.251:
Fonts:
2.973.251a:
Fonts:
2.973.251b:
-3034-
Fonts:
- persona: J-C Barbier (Pierfit) 24 iv 2008
- família: J-C Barbier (Pierfit) 24 iv 2008, J-L. Dega
2.973.251c:
Fonts:
2.973.258:
Héracle II de MONTLAUR, baron d' Aubenas en Vivarais, dit " le Vieux", ou "
Héracle le Vieux". En 1217, Simon de MONTFORT, chef de la croisade contre les
Albigeois s'étant emparé du château de POSQUIERES et de celui de Marguerittes
appartenant à Rostaing de POSQUIERES beau-père d'Héracle, ce dernier obtient
que ses biens soient rendus à leur seigneur en foi de quoi Rostaing de
POSQUIERES et Héracle de MONTLAUR, le 2 février 1218, firent solennellement
hommage à Simon de MONTFORT pour les châteaux de Posquières et de
Marguerittes en présence du cardinal Bertrand, légat du Pape. Dans cet hommage
qui eût lieu " in obsidione Tolosae", au cours du siège de Toulouse, Rostaing de
POSQUIERES reconnaît avoir recouvré ses châteaux grâce à l'intervention de son
gendre Héracle de MONTLAUR. Le 28 février 1226, à St Germain en Laye, et en
juin de la même année à Avignon, Héracle de MONTLAUR rendit hommage à
Louis VIII, Roi de France, pour ses châteaux de Montbonnet, Mirmande, Rochefort
en Velay, Montauroux, le Chambon, Vabres en Gévaudan, renouvelant l'hommage
qu'en avait fait son père à Philippe Auguste en 1218; puis il rendait hommage à
nouveau, pour ses châteaux d'Aubenas, St Laurent sous Coiron, et Ucel. Pour ces
trois derniers châteaux, Héracle de MONTLAUR déclarait qu'il les tenait "
immédiatement" du comte de Toulouse et " médiatement " de l'évêque du Puy qui
en était le premier suzerain, et s'il en faisait hommage à Louis VIII, Roi de France,
c'est que celui-ci était, pour lors, comte de Toulouse. Les rois de France
sanctionnèrent ces liens de vassalité des Montlaur envers l'évêque du Puy, et
celui-ci par l'effet des circonstances, de suzerain "médiat" devenait suzerain
"immédiat" des MONTLAUR. En vertu du traité de Paris (1229), Raymond VII de
Toulouse devait donner en mariage Jeanne, Sa fille unique, à l'un des frères de
Saint Louis, Alphonse de Poitiers, et reconnaître pour ses seuls héritiers légitimes
ce frère du Roi et ses enfants, et que si de ce mariage ne naissait pas d'enfant les
possessions de Raymond VII rentreraient directement dans la mouvance royale.
Mais, comme à cette date, Alphonse de Poitiers n'était pas apte à recevoir
l'hommage (il avait neuf ans), le Roi Saint Louis écrivit en avril 1230 "à son cher
et fidèle Héracle de MONTLAUR" lui mandant que pour ses châteaux d'Aubenas,
St Laurent, Ucel, qui sont de la mouvance de l'Eglise d' Anis, il en fasse
l'hommage à l'évêque du Puy jusqu'à ce que son frère Alphonse de Poitiers soit
parvenu à un âge légitime. Héracle de MONTLAUR en fit donc hommage à
Etienne de Chalençon, évêque du Puy, et c'est ainsi que pour ces trois châteaux
les MONTLAUR reconnurent provisoirement jusqu'en 1249 - la suzeraineté
immédiate de l'évêque du Puy. La même année (1230) le Roi Saint Louis
s'ingérant de plus, en plus dans les affaires des MONTLAUR confirmait l'échange
qu'avait fait Héracle II et l'évêque du Puy du château de Cayre pour celui de
Rochegude en Velay. En l249 à la mort de Raymond VII de Toulouse, Alphonse de
Poitiers devint effectivement comte de Toulouse et dès lors pour les trois châteaux
dont il a été question les MONTLAUR devinrent vassaux directs du frère du Roi
envers qui ils étaient tenus à l'hommage et vassaux " médiats " de l'évêque du
-3035-
Puy. Cela dura jusqu'au mois d'août 1271 époque à laquelle Alphonse et Jeanne
mouraient de la peste à trois jours d'intervalle sans laisser d'enfant. Philippe III le
Hardy recueillit toute leur succession. Dès lors les MONTLAUR redevinrent
définitivement cette fois vassaux immédiats de l'évêque du Puy car le principe
était admis que le Roi ne devait hommage à personne. En 1248, Héracle II de
MONTLAUR donna une preuve éclatante de son loyalisme envers le Roi de
France: le 1° avril, du château d'Arlempdes, il adressa une lettre à Saint Louis lui
renouvelant l'assurance de sa fidélité et lui offrant les châteaux d'Aizac et de
Burzet en Vivarais qu'il ne tenait de personne, en échange des châteaux de
Montauroux et du Chambon en Gévaudan pour lesquels il envoya à Paris ses deux
fils rendre hommage au Roi. En 1256, Héracle II étant en lutte armée avec
Randon de Châteauneuf, le sénéchal de Beaucaire crut devoir intervenir au nom
du Roi et condamner les deux seigneurs pour délit de port d'armes. Héracle II de
MONTLAUR avait choisi Randon de Château-neuf et Odilon de Mercoeur pour ses
médiateurs; ceux-ci partirent pour Paris et obtinrent du Roi Saint Louis la
revocation de la condamnation par le Sénéchal de Beaucaire. En 1226, Héracle II
avait été désigné par Guillaume II, comte de Valentinois, comme tuteur de son fils
Aymard III et, en 1249, il fut choisi avec Draguonnet de MONTDRAGON comme
garant d'un accord passé entre l'évêque de Mende et Guiguon du Tournel. Enfin,
Héracle II accorda de nombreuses franchises à sa ville d'Aubenas et fut le
bienfaiteur des abbayes de Bonnefoy et de Mazas.
Héracle II de MONTLAUR Se maria deux fois :
 1°/ le vingt mai 1210, il épousa Douce de POSQUIERES, de la première

maison " d'UZèS (1), fille unique de Rostaing IV baron de POSQUIERES
et d'Aygline de Castries ( de la première maison de Castries);
 2°/ en 1214, il épousa Marguerite d'AUVERGNE de la maison des comtes
souverains d'Auvergne fille de Guy II, comte d'AUVERGNE et de Pernelle
de CHAMBON.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur)
- família 1: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur)
- família 2: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur)
2.973.259:
Fonts:
- família: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur)
2.973.259a:
Héracle III de MONTLAUR, baron d'Aubenas, dit le jeune. En 1248, il rend
hommage au Roi St Louis pour ses châteaux d'Aizac et de Burzet. En 1249, il
accorde des franchises à sa ville d'Aubenas. En 1274, il rend hommage à l'évêque
du Puy, Guillaume II de la Roue, pour ses fiefs de Montauroux, Lafare, Arlempdes,
St Haon, Rochefort, Vais, St Privât. En 1276, il accorde de nouvelles franchises à
sa ville d'Aubenas.
Il meurt en 1277 nommant pour son exécuteur testamentaire frère Prévôt gardien
-3036-
des frères mineurs d'Aubenas. Il avait épousé en 1245 Agnès de POLIGNAC (3)
fille de Pons V de POLIGNAC et d'Alix ou Alice du Tournel. Elle était la parente de
son mari qui était cousin germain de son père puisque Pons V de POLIGNAC était
fils d'Alcinoïs de MONTLAUR, soeur de Héracle le Vieux et tante de Héracle le
Jeune. Elle lui apporta la terre de Prades en Auvergne et, à l'émerveillement des
contemporains, quatre cent marcs d'argent.
De ce mariage sont venus :
 1°. Pons VII de MONTLAUR dont l'article va suivre.

 2°. Guillaume de MONTLAUR. Il entra dans les ordres comme son oncle
Guy, l'évêque de Valence, fut chanoine doyen et précenteur du chapître
de la cathédrale du Puy. Il était en même temps chanoine de la
cathédrale de Viviers, prévôt du chapître et prieur d'Aubenas. Il fut
également archidiacre de Tournai où il fut attiré par Guy d'Auvergne, son
parent, qui en était évêque de 1300 à 1326. Il testa en 1320.
 3°. Allaman appelé aussi Aymon de MONTLAUR. Il fut chevalier de
Jérusalem, et en 1315 commandeur de la Vilatte.
 4°. Alix ou Alice de MONTLAUR mariée à Eizéar, vicomte d' Uzès dont
elle eut deux fils Raymond et Bernard d' Uzès (1).
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon , J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 20 ii 2013
2.973.259c:
Pierre de MONTLAUR. Il fut comme son oncle (jpp : sic ! son demi-frère) Pierre de
MONTLAUR moine de St Châtre du Monastier et devint comme lui prieur de
Thueyts et de Langogne. Le 14 novembre 1284, il fut témoin dans la fondation de
Villeneuve de Berg par le sénéchal de Beaucaire pour le compte du Roi Philippe
III le Hardy et Palcon, abbé de Mazan. En 1292, il avait été nommé abbé de St
Chaffre sous le nom de Pierre V de MONTLAUR, et sa nomination fut confirmée
en 1293, par Guy de Neuville, évêque du Puy. Son successeur en 1297 fut l'abbé
de Villars.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur)
2.973.259d:
Né en 1215, il entra dans les ordres en 1256. Il était doyen du chapitre de la
cathédrale du Puy. En 1267, il fut élu évêque de Valence, mais son élection fut
cassée par le Pape Clément IV au profit de Bertrand évêque d'Avignon. En 1272,
le 6 août, a la mort de l'évêque Bertrand, son élection fut confirmée par le Pape
Grégoire X. Il mourut à Tarascon en 1275.
Fonts: - persona: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 20 ii
2013
2.973.259-1b:
VII. Pons VI de MONTLAUR. Né en 1212, il était le fils aîné du premier mariage
-3037-
d'Héracle II de MONTLAUR dit le Vieux et de Douce de POSQUIERES, baron d'
Aubenas, seigneur de Montauroux, Arlempdes, Le Chambon, Montbonnet, etcLe
28 mai 1241, il rendit hommage au Roi Saint Louis entre les mains de Pierre
d'Athis, sénéchal de Beaucaire et Nîmes pour ses seigneuries de Posquières et de
Marguerittes. Le 30 octobre 1243,.il passait avec le nouveau sénéchal de
Beaucaire et Nîmes une transaction qui fixait les limites de la seigneurie de
Posquières et de celle du Caylar qui relevaientdirectement du Roi de France. Au
mois d'Août 1248, il était chargé avec son demi-frère Héracle le Jeune de porter
au Roi St Louis un message d'Héracle le vieux son père relatif à l'échange de
l'hommage de Montauroux et du Chambon. En 1265, grâce aux générosités de
Pons VI, un couvent de frères Pêcheurs ou dominicains fut fondé à Aubenas. En
1272, Philippe le Hardy, Roi de France à la mort de Saint Louis, poursuivant les
visées capétiennes de son Père sur le Vivarais, enjoignait à Pons et à Héracle de
MONTLAUR dont il connaissait la puissance et le prestige de rendre hommage à
l'évêque de Mende pour .leurs châteaux de Vabres et des Deux-Chiens. Peu de
temps après, ce même monarque convoquait Pons de MONTLAUR à une
expédition contre Roger Bernard III, comte de Foix, coupable à la suite d'une
querelle entre Géraud de Casaubon et Armand Bernard, frère ducomte
d'Armagnac, d'avoir assiégé, pris, pillé et brûlé le château de Stenpuy, malgré la
sauvegarde du Roi de France sous laquelle s'était placé le seigneur de Casaubon.
L'expédition à laquelle Pons VI participa avec un fort contingent auquel s'étaient
joints des chevaliers du Nord provenant des bailliages de Paris, Rouen, Calais, fût
victorieuse. Le comte de Foix fût fait prisonnier. A la fin de cette année 1272,
Pons VI était de retour en Vivarais. Il mourut en 1274 laissant sa baronnie à son
demi-frère Héracle de MONTLAUR dit le jeune. Pons VI de MONTLAUR se maria
deux fois: II épousa 1°) en 1226, Guida de RODEZ fille de Henri 1° comte
souverain de Rodez et d'Algayette de Scorailles (1) qui lui apporta 400 marcs
d'argent (d'après Fabre) et mille marcs ( d'après l'histoire du Languedoc) dot
alors considérable. Guida eut une grande influence sur les troubadours et la
poésie provençale. Une tenson de cette époque la montre choisie pour arbitre
dans une discussion chevaleresque par les troubadours Sordel et Bertrand
d'Alamanon, avec le prud'homme champenois Guy de Valéry. Cette union resta
sans enfant. Veuf en 1265, Pons VI se remaria. Il épousa 2°) en 1270, Raymonde
de LUNEL (2) fille de Raymond Gaucelin III baron perpétuel de Lunel qui lui
apporta en dot 500 livres tournois. Cette seconde union resta stérile. Pons VI de
MONTLAUR mourut en 1274 et laissa ses biens à son demi-frère ou frère utérin
Héracle III.
Fonts: - persona: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 20 ii
2013
- família 1, família 2: Emmanuel Arminjon
2.973.259-1c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur)
2.973.260:
Seigneur de la Voute, de Chaumairac, de Pierre-Gourde, de Beaufrés et de Mont-
Regard. Ces terres lui ont été léguées par sa mère la Comtesse de Valentinois
dans son testament de 1246. Philippa veuve d’Adhémar de Poitiers révoque la
donation de la terre de Clérieu qu'elle avait faite à son petit-fils Aimar qui s'est
rendu indigne, par son ingratitude et ses mauvais procédés Agée et infirme, il ne
l'a pas visitée. Il hait ceux qui la servent et la prive de ses ressources. Elle supplie
-3038-
le dauphin, comte de Vienne et d'Albon de s'opposer aux prétentions sur Clérieu
de ce fils ingrat et confirme la cession qu'elle en a faite à son petit fils Roger, fils
de Jausserande (RD [45] n° 8702 et n°8784). [45] Regeste Dauphinois, 1913,
Ulysse Chevalier
Fonts: - persona: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Les premiers sires d'Anduze)
5 v 2013
- família: o guionneau
2.973.261:
Fonts: - persona: J-P de Palmas, JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t X
p 7 (Crussol d'Uzès) Marburg 1986) 19 viii 2012
2.973.261b:
Fonts: - persona: Emmanuel Arminjon
- família: N de Meyrignac (base lourigau, 27vii2008)
2.973.261c:
Fonts: - persona: Emmanuel Arminjon
2.973.262:
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Généalogie d'Agout par Jean Gallian )
30 iii 2016
- família 2: H.R.Moser/Anselme-II/240 ; J-P.de Palmas (Anselme/II-240) 31 iii 2016
2.973.263:
Suivant la version établie par Jacques Saillot, mais la chronologie semble un peu
lâche (Gros).
Fonts: - família: H.R.Moser/Anselme-II/240 ; J-P.de Palmas (Anselme/II-240) 31 iii
2016
2.973.263a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Felix (http://www.gros.nom.fr/pag36.htm#32)
- família: C.Saint-Félix (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#1)
2.973.263c:
Fonts: - persona: O.AUFFRAY
- família: O.AUFFRAY
2.973.263d:
Bibliographie
 Histoire de l'église d'Apt, par Boze

o L'année suivante c'est à dire en 1339, Guillaume Astier donna la
sépulture à Mabile de Simiane, qui mourut en odeur de sainteté
dans le monastère de Ste Catherine. Cette dame ayant perdu
Foulques de Pontevès son époux, peu de tems après la
célébration de ses noces vendit la plupart de ses biens pour
soulager les pauvres, et vécut dans la pratique la plus austère de
-3039-
toutes les vertus chrétiennes à l'exemple de Ste Delphine sa
parente, qui dans le même temps édifiait toute la ville par la
sainteté de sa vie.
 Catalogue général des manuscrits
Bibliothèque Inguimbertine de Carpentras
Fol. 30. Mabille de Simiane, veuve de Foulques de Pontevès, vend ses

biens au roi de Sicile, Robert. 25 octobre 1319
CCfr - BnF
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Anselme/II-240 et CCfr - BnF) 31 iii 2016
- defunció: J-P.de Palmas (Testa le 5 vi 1339 : Anselme/II-240) 31 iii 2016
- família: J-P.de Palmas ( Florian Mazel, La noblesse et l'Eglise en Provence) 29 viii
2013
2.973.266:
Saissac (11)
A propos du château de Saissac
Le château de Saissac est un château cathare située sur la commune de Saissac

dans le département de l'Aude au Nord-Ouest de Carcassonne. Il fut la résidence
d'une puissante famille vassale des Trencavel. Ces ruines et leurs abords sont
protégés au titre de la législation sur les sites et les monuments historiques.
Époque médiévale
Le château apparait dans les textes en l'an 960. Il est légué par l'évêque de
Toulouse au Comte de Carcassonne. Au XIe siècle, le château est inféodé à des
puissants vassaux du pays. Il s'agit d'une branche cadette des comtes de Foix qui
devait former dès lors le lignage des Saissac. Il faut noter tout de même la
présence d'un castrum sous l'actuel château datant probablement du XIe siècle,
mais son origine peut remonter à une période wisigothique.
Le seigneur de Saissac, Bertrand de Saissac avait embrassé la foi cathare et était

le tuteur de Raymond-Roger Trencavel. Lors de la croisade contre les Albigeois en
1229, les Saissac subissent le sort de leur pupille et sont dépouillés. Bouchard de
Marly commandant des croisés saisit le château et ses biens, puis après 1234,
Lambert de Thurey, un autre compagnon de Montfort, récupère le château.
Jourdain de Saissac parvient à reprendre le château paternel en 1240, mais le

reperd en 1242.
A la fin du XIIIe siècle, il entre dans le patrimoine de la famille des Lévis,
-3040-
nouveaux seigneurs de Mirepoix, et devient enfin, de 1331 à 1412, possession de
la famille de l'Isle-Jourdain. Au XVe siècle, la baronnie est détenue par la famille
de Caraman. D'autres propriétaires, (les riches Bernuy, la maison de Clermont-
Lodève) changent jusqu'en 1565.
Les résidences de Jourdain
Jourdain a sa résidence première a Puylaurens, mais en fait- il voyage

beaucoup.C'est une gouvernante qui entretient son château principal.Des témoins
le voient séjourner de temps en temps à Caucalières.Il préfère La Gardiolle une de
ses seigneuries. Il est également seigneur de Puginier, non loin de Montréal, où il
réunit une dizaine de personnes dont deux parfaits en 1278, alors que son fils
Isarn de Dourgne tient la fête de la table Ronde à Castelnaudary.Des témoins le
voient aussi à Hautpoul, dont par échanges il devient le principal seigneur. Son
ami Jourdain de Roquefort est mourant à Cahuzac, pour lui faire honneur,
Jourdain vient s'installer chez lui et les deux familles assistent au consolamentum,
administré par deux Parfaits. Il se déplace à Villardonnel pour assister à
l'hérétication de sa fille Jordanne. Il va de même à Montfa ou son gendre Isarn de
Lautrec se meurt. Si dans sa jeunesse il doit faire de nombreux séjours à Saissac
pays natal de sa mère où résidaient oncles et cousins. Il n'a du par la suite y venir
que dans les années 1224 1226 période où les Trencavel étaient redevenus
Vicomtes de Carcassonne et les Saissac avaient récupéré leur baronnie. Lors du
raid de 1240 il reprend Saissac avec Trencavel et ils vont mettre le siège a
Carcassonne.
Fonts:
- persona: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat), J-P de Palmas (wikipedia et
Saissac d'autrefois)
2.973.267:
Peut-être de Rabastens.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Jean Duvernoy in "1209-2009, cathares : une histoire à
pacifier") 2i2011
2.973.267a:
Fonts:
2.973.267c:
Fonts:
pacifier") 2i2011
2.973.267d:
-3041-
Fonts:
pacifier") 2i2011
2.973.267e:
Fonts:
pacifier") 2i2011
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Capendu et le catharisme) 9iv2011
2.973.267f:
Isarn de Dourgne tient la fête de la table Ronde à Castelnaudary.
Fonts:
pacifier") 2i2011
2.973.280:
RAYMOND d'Anduze (-after Oct 1200). "R. de Rochafolio et fratri tuo B. de
Andusiadomine Alazaiz filii" swore homage for "castrum de Breissacho" Brissac by
charter dated May 1189[1957]. Seigneur de Roquefeuil et de Meyrueis, Vicomte
de Creissels, Comptor de Nant.
m (contract Nov 1169, [1174]) GUILLEMETTE "Marchisia" de Montpellier,

daughter of (-after [1209]). Under his testament dated 29 Sep 1173, "Guillelmus
dominus Montispessulani, filius quondam Sibilie" names his daughters
"Guillelme…Adelais…Marie", stating that they should each receive the same
dowry as their sister Sibylle[1958]. "Guillelmus dominus Montispessulani" granted
"filiam meam Guillelmam" to "Bertrando de Andusia et uxori tuæ Adalaiz" for four
years from "hoc festo sanctæ Mariæ Februarii", after which she would be married
to "filio vestro Raimundo de Rocafolio", by charter dated Nov 1109, but redated to
Nov 1169[1959]. "Raimundus de Rocafolio et…Guillelma uxor ejus que vocor
Marchisia" acknowledged payment by "Guillemus dominus Montispessulani, filius
quondam Mathildis ducisse" of the dowry promised to her, by charter dated Oct
1200[1960]. According to documentation, identified by Johannes Vincke[1961],
relating to the divorce on grounds of consanguinity of Marie de Montpellier and
her husband Pedro King of Aragon, "dominam Clemenciam amitam regine"
(Clémence de Montpellier, sister of Guillaume [VIII] Seigneur de Montpellier)
made a declaration concerning the couple's consanguinity.
525.
[1959] Spicilegium (1669), Tome VIII, p. 165 (information provided by Jean-

Jacques Massol in a private email to the author dated 31 Oct 2010) D'Aigrefeuille
Histoire de Montpellier, p. 23, which gives no citation for the charter in question.
[1960] Liber Montpellier, no. CC, p. 334. [J.-C. Chuat]
-3042-
Maison de Roquefeuil:
Origine : LANGUEDOC et ROUERGUE. Les premiers seigneurs de Roquefeuil,

connus dès le Xe siècle d'après le Spicilège, sont cités dès 1002, 1032 Adélaïde de
Roquefeuil, leur héritière, fit passer les biens de sa maison dans la maison
d'Anduze en épousant Bernard d'Anduze, fils de Bernard, seigneur d'Alais. La
maison d'Anduze étant issue des vicomtes de Nîmes, et, d'après dom Vaissette,
des ducs d'Aquitaine, ainsi que de Garsinde de Béziers.
Armes anciennes : De gueules à la cordelière d'or en sautoir. Armes portées :

Ecartelé au 1 d'argent au lion de gueules (Anduze), au 2 de gueules à la croix de
Toulouse d'or (Toulouse-Narbonne), au 3 de gueules à la cordelière d'or en sautoir
(Roquefeuil-Anduze), au 4 d'argent au chef de sable à la bordure de gueules
(Narbonne, Pelet et Blanquefort). La branche du Bousquet porte sur le tout :
d'azur alias de gueules à 9 noeuds de cordelière d'or ; la branche de Cahuzac :
équipolé d'or et de gueules de 9 pièces à une cordelière de l'un en l'autre.
Sources : P.O. 2543 ; D.B. 581 ; N.d'H. 290 ; chérin, 177, 178 ; Factum pour
Elisabeth de Nassau, duchesse de Bouillon, contre François et Marguerite de
Roquefeuil (1625) ; Généalogie de Raymond, Vte de Roquefeuil (1782) ;
Daupayroux : Chroniques de la maison de Roquefeuil ; Brémond ; Bouillet ; Ribier
; Lescure ; Ann. Nobl. 1898.
Fonts:
- persona: Paul L. de Boisgelin (Les vieux noms de France, M.L. d'Armagnac), J-
P.de Palmas (FMG) 10 ix 2013
- casament: J-P de Palmas (cm de 1169)
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011
2.973.281:
GUILLEMETTE "Marchisia" de Montpellier (-after [1209]). Under his testament
dated 29 Sep 1172, "Guillelmus dominus Montispessulani, filius quondam Sibilie"
names his daughters "Guillelme…Adelais…Marie", stating that they should each
receive the same dowry as their sister Sibylle[1549]. "Guillelmus dominus
Montispessulani" granted "filiam meam Guillelmam" to "Bertrando de Andusia et
uxori tuæ Adalaiz" for four years from "hoc festo sanctæ Mariæ Februarii", after
which she would be married to "filio vestro Raimundo de Rocafolio", by charter
dated Nov 1109, but redated to Nov 1169[1550]. "Raimundus de Rocafolio
et…Guillelma uxor ejus que vocor Marchisia" acknowledged payment by
"Guillemus dominus Montispessulani, filius quondam Mathildis ducisse" of the
dowry promised to her, by charter dated Oct 1200[1551]. According to
documentation, identified by Johannes Vincke[1552], relating to the divorce on
grounds of consanguinity of Marie de Montpellier and her husband Pedro King of
Aragon, "dominam Clemenciam amitam regine" (Clémence de Montpellier, sister
of Guillaume [VIII] Seigneur de Montpellier) made a declaration concerning the
couple's consanguinity. m (contract Nov 1169, [1174]) RAYMOND d'Anduze
Seigneur de Roquefeuil et de Meyrueis, Vicomte de Creissels, Comptor de Nant,
-3043-
son of BERNARD [V] d'Anduze Seigneur d'Anduze & his wife Adelais de
Roquefeuil (-after Oct 1200).
525.
525.
[1550] Spicilegium (1669), Tome VIII, p. 165 (information provided by Jean-

Jacques Massol in a private email to the author dated 31 Oct 2010).
[1551] Liber Montpellier, no. CC, p. 334. [J.-C. Chuat]
Fonts:
- casament: J-P de Palmas (cm de 1169)
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011
2.973.281c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Testament d'Arnaud de Roquefeuil - octobre 1241) 29 i
2016
2.973.284:
Fonts:
- persona: M.Bacot (armorial du Gévaudan)
- família: M.Bacot (armorial du Gévaudan)
2.973.285:
Héritière de la baronnie du Tournel (48)
Fonts:
- persona: M.Bacot (La baronnie du Tournel, par André Philippe) 07 ii 2010
2.973.290:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (H&G 181 p.355/E.Fernbach - Hébrard de Saint-
Sulpice) 20 i 2007
- defunció: H.de La Villarmois (H&G 181 p.355/E.Fernbach - Hébrard de Saint-
Sulpice) 20 i 2007
- família: H.de La Villarmois (H&G 181 p.355/E.Fernbach - Hébrard de Saint-
Sulpice) 20 i 2007
-3044-
2.973.291:
Fonts:
Sulpice) 20 i 2007
2.973.291a:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (H&G 181 p.355/E.Fernbach - Hébrard de Saint-
Sulpice) 20 i 2007,
Sulpice) 20 i 2007, H.de La Villarmois (La Maison d'Hébrard, issue des comtes
Hébrards, ducs de Frioul, marquis de Trévise, par Jules de Bourrousse de Laffore,
Tome Ier [et II]. Tome 1) 9 xi 2009
2.973.296:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella, JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur : "Les nobles
aïeux" p.87 Roquefeuil, Tossa del Mar, 2004) 17 vii 2016
2.973.297:
Fonts:
2.973.328:
Il fut compagnon de Richard Cœur de Lion lors de la troisième croisade.
Il est connu dans l'histoire des croisades sous le nom de Lestang , fit des prodiges
de valeur , pendant le siége de Joppé, ou Jaffa, auprès de Richard-Coeur-de-Lion,
roi d'Angleterre, en 1192. En 1207, il servit de caution, ainsi que quelques autres
gentilshommes, au comte de Rodez, Guillaume, pour une somme empruntée par
ce dernier à Hugues le Monedier. (Abr. hist, et gén. des comtes.)
La troisième croisade
Les rois de France et d'Angleterre firent voile pour la Palestine, le premier juillet
1191.
Les nobles chevaliers d'Aquitaine dont suivent les noms s'embarquèrent à

Marseille avec Richard Cœur-de-Lion :
Jourdain d'Abzac, Raoul d'Aubigné, Guy d'Aubusson, Simon de Balathier, Hugues

et Jean de Bardon, Jean de Belleville, Pierre et Geoffroy du Bois, Hugues de
Bonnin, François du Bouchard d'Aube terre, Guillaume de Boussay, Géraud de
Boysseuilh, Geoffroy de Brilhac, Nompart de Caumont, Jehan de Bueil, Geoffroy
de Cacqueray, Juel de Champagne, Hugues de Chasteignier, le sire de Chatelle-
rault, Jean de Chaunac, Galguier de Chenèche, Ëlie de Chérissey, Guy de
Chevreuse, Archambaud VI de Comborn, Elie de Cosnac, Bertrand de Cugnac,
Léon de Dienne, Guillaume de Durfort, Guillaume des Ëcotais, Guillaume
-3045-
d'Estaing, Jean de la Faye, Bernard de Fayolle, Guillaume des Forts, Bertrand de
Foucauld, Roger de Foix, Raoul de Frétard, Elie de Gontaud, Guillaume des
Granges, Géraud de Labarthe, Jean de Labéraudière, Elie de Lacropte, Humbert
et Gilon de Lagrange, Etienne et Jean de Laporte, Guillaume et Foucauld de La
Rochefoucauld, Philippe de Lévis, Guillaume de Lostanges, Geoffroy et Aymar de
Lusignan, Guillaume de Mareuil, Hugues de Marsan, Raoul de Mauléon, Bégon de
Mellet, Gervais de Menou, Albéric de Metz, Aymeric de Montesquiou, Raoul de
Montfaucon, Barthélémy de Mortemart, Hugues de Mouthiers, Elie de Noailles,
Laurent du Plessis, Pierre des Prés, Geoffroy de Rançon, Jean de Saint- Avit,
Gérard de Saint-Chamans, Jean de Saint-Julien, Eustache de Sainte-Hermine,
Raoul de Saint-Georges, Guillaume, Herbert et Hugues de Saint-Maur, Elie de
Salignac, Manassés de Thouvres, Raymond II de Turenne, Henri de Turpin,
Renaud du Verger, Raoul de Wismes, etc.
Avec tous ces nobles seigneurs, s'embarquèrent aussi de nombreux prélats, parmi
lesquels figurent l'archevêque d'Auch, l'évéque de Rayonne, l'évêque d'Evreux,
etc.
in Bulletin de la Société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze,

Brive, 1902.
Liens externes
 Estaing
 Encyclopédie théologique, par Jacques-Paul Migne
Fonts:
- persona: H.de Riberolles (Remacle), J-P de Palmas (note: Bulletin de la Société
scientifique, historique et archéologique de la Corrèze & lien) 24iv2011
- família: H.de Riberolles(Remacle)
2.973.329:
Fonts:
- família: H.de Riberolles(Remacle)
2.973.332:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie de La Roche) 16 iii 2011
2.973.333:
Fonts:
2.973.333b:
Fonts:
-3046-
2.973.335:
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, JL.Mondanel (généalogie Montlaur) 16 iii 2011
- família: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur)
2.973.335b:
VII. Pons VI de MONTLAUR. Né en 1212, il était le fils aîné du premier mariage
d'Héracle II de MONTLAUR dit le Vieux et de Douce de POSQUIERES, baron d'
Aubenas, seigneur de Montauroux, Arlempdes, Le Chambon, Montbonnet, etcLe
28 mai 1241, il rendit hommage au Roi Saint Louis entre les mains de Pierre
d'Athis, sénéchal de Beaucaire et Nîmes pour ses seigneuries de Posquières et de
Marguerittes. Le 30 octobre 1243,.il passait avec le nouveau sénéchal de
Beaucaire et Nîmes une transaction qui fixait les limites de la seigneurie de
Posquières et de celle du Caylar qui relevaientdirectement du Roi de France. Au
mois d'Août 1248, il était chargé avec son demi-frère Héracle le Jeune de porter
au Roi St Louis un message d'Héracle le vieux son père relatif à l'échange de
l'hommage de Montauroux et du Chambon. En 1265, grâce aux générosités de
Pons VI, un couvent de frères Pêcheurs ou dominicains fut fondé à Aubenas. En
1272, Philippe le Hardy, Roi de France à la mort de Saint Louis, poursuivant les
visées capétiennes de son Père sur le Vivarais, enjoignait à Pons et à Héracle de
MONTLAUR dont il connaissait la puissance et le prestige de rendre hommage à
l'évêque de Mende pour .leurs châteaux de Vabres et des Deux-Chiens. Peu de
temps après, ce même monarque convoquait Pons de MONTLAUR à une
expédition contre Roger Bernard III, comte de Foix, coupable à la suite d'une
querelle entre Géraud de Casaubon et Armand Bernard, frère ducomte
d'Armagnac, d'avoir assiégé, pris, pillé et brûlé le château de Stenpuy, malgré la
sauvegarde du Roi de France sous laquelle s'était placé le seigneur de Casaubon.
L'expédition à laquelle Pons VI participa avec un fort contingent auquel s'étaient
joints des chevaliers du Nord provenant des bailliages de Paris, Rouen, Calais, fût
victorieuse. Le comte de Foix fût fait prisonnier. A la fin de cette année 1272,
Pons VI était de retour en Vivarais. Il mourut en 1274 laissant sa baronnie à son
demi-frère Héracle de MONTLAUR dit le jeune. Pons VI de MONTLAUR se maria
deux fois: II épousa 1°) en 1226, Guida de RODEZ fille de Henri 1° comte
souverain de Rodez et d'Algayette de Scorailles (1) qui lui apporta 400 marcs
d'argent (d'après Fabre) et mille marcs ( d'après l'histoire du Languedoc) dot
alors considérable. Guida eut une grande influence sur les troubadours et la
poésie provençale. Une tenson de cette époque la montre choisie pour arbitre
dans une discussion chevaleresque par les troubadours Sordel et Bertrand
d'Alamanon, avec le prud'homme champenois Guy de Valéry. Cette union resta
sans enfant. Veuf en 1265, Pons VI se remaria. Il épousa 2°) en 1270, Raymonde
de LUNEL (2) fille de Raymond Gaucelin III baron perpétuel de Lunel qui lui
apporta en dot 500 livres tournois. Cette seconde union resta stérile. Pons VI de
MONTLAUR mourut en 1274 et laissa ses biens à son demi-frère ou frère utérin
Héracle III.
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 20 ii 2013
- família 1, família 2: Emmanuel Arminjon
2.973.335c:
Fonts:
-3047-
2.973.335-2a:
Héracle III de MONTLAUR, baron d'Aubenas, dit le jeune. En 1248, il rend
hommage au Roi St Louis pour ses châteaux d'Aizac et de Burzet. En 1249, il
accorde des franchises à sa ville d'Aubenas. En 1274, il rend hommage à l'évêque
du Puy, Guillaume II de la Roue, pour ses fiefs de Montauroux, Lafare, Arlempdes,
St Haon, Rochefort, Vais, St Privât. En 1276, il accorde de nouvelles franchises à
sa ville d'Aubenas.
Il meurt en 1277 nommant pour son exécuteur testamentaire frère Prévôt gardien
des frères mineurs d'Aubenas. Il avait épousé en 1245 Agnès de POLIGNAC (3)
fille de Pons V de POLIGNAC et d'Alix ou Alice du Tournel. Elle était la parente de
son mari qui était cousin germain de son père puisque Pons V de POLIGNAC était
fils d'Alcinoïs de MONTLAUR, soeur de Héracle le Vieux et tante de Héracle le
Jeune. Elle lui apporta la terre de Prades en Auvergne et, à l'émerveillement des
contemporains, quatre cent marcs d'argent.
De ce mariage sont venus :
 1°. Pons VII de MONTLAUR dont l'article va suivre.

 2°. Guillaume de MONTLAUR. Il entra dans les ordres comme son oncle
Guy, l'évêque de Valence, fut chanoine doyen et précenteur du chapître
de la cathédrale du Puy. Il était en même temps chanoine de la
cathédrale de Viviers, prévôt du chapître et prieur d'Aubenas. Il fut
également archidiacre de Tournai où il fut attiré par Guy d'Auvergne, son
parent, qui en était évêque de 1300 à 1326. Il testa en 1320.
 3°. Allaman appelé aussi Aymon de MONTLAUR. Il fut chevalier de
Jérusalem, et en 1315 commandeur de la Vilatte.
 4°. Alix ou Alice de MONTLAUR mariée à Eizéar, vicomte d' Uzès dont
elle eut deux fils Raymond et Bernard d' Uzès (1).
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon , J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 20 ii 2013
2.973.335-2c:
Pierre de MONTLAUR. Il fut comme son oncle (jpp : sic ! son demi-frère) Pierre de
MONTLAUR moine de St Châtre du Monastier et devint comme lui prieur de
Thueyts et de Langogne. Le 14 novembre 1284, il fut témoin dans la fondation de
Villeneuve de Berg par le sénéchal de Beaucaire pour le compte du Roi Philippe
III le Hardy et Palcon, abbé de Mazan.
En 1292, il avait été nommé abbé de St Chaffre sous le nom de Pierre V de

MONTLAUR, et sa nomination fut confirmée en 1293, par Guy de Neuville, évêque
du Puy. Son successeur en 1297 fut l'abbé de Villars.
Fonts:
-3048-
2.973.335-2d:
Né en 1215, il entra dans les ordres en 1256. Il était doyen du chapitre de la
cathédrale du Puy. En 1267, il fut élu évêque de Valence, mais son élection fut
cassée par le Pape Clément IV au profit de Bertrand évêque d'Avignon. En 1272,
le 6 août, a la mort de l'évêque Bertrand, son élection fut confirmée par le Pape
Grégoire X. Il mourut à Tarascon en 1275.
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 20 ii 2013
2.973.344:
Fonts:
méridionaux") 28-3-200, C.Saint-Félix (Florence Blanchet mél) 2iii2014
2.973.345:
Fonts:
2.973.345b:
Fonts:
2.973.346:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella et C. Saint-Félix (d'après C. Duhamel-Amado
"Genèse des lignage méridionaux") 28-3-2005
2.973.347:
Fonts:
2.973.347b:
Fonts:
2.973.360:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Chronique et Généalogie des Guilhem ), par E.Martin,
1892) 31 vii 2013
-3049-
- família: J-P.de Palmas (Chronique et Généalogie des Guilhem ), par E.Martin,
1892) 31 vii 2013
2.973.361:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Philippe Huppé "Les seigneurs de Clermont-
Lodève" Presses littéraires t. II St-Estève 2007 p 158/159) 2 i 2014
1892) 31 vii 2013
2.973.361b:
En 1242, il suivit le parti du comte de Toulouse révolté contre le roi de France et
fut excommunié avec lui par l'archevêque de Narbonne. Ses frères Ermengaud et
Paul-Raymond, qui l'avaient suivi, furent excommuniés avec lui.
Son fils, nommé aussi Aymeri, tige des seigneurs de Lacoste, rendit hommage, en
1270, à Raymond, évêque de Lodève.
Fonts:
1892) 31 vii 2013
2.973.361c:
Fonts:
1892) 31 vii 2013
2.973.361d:
Fonts:
1892) 31 vii 2013, J-L. Dega (Navelle)
- família: J-L. Dega (Navelle)
2.973.361e:
Fonts:
1892) 31 vii 2013
1892) 31 vii 2013
2.973.368:
Fonts:
2.973.369:
Fonts:
- persona: Jlouis Dega (Philippe Huppé)
2.973.492:
-3050-
Fonts:
2.973.493:
Fonts:
2.973.568:
Célèbre pour avoir combattu Saladin en combat singulier lors de la bataille de
Ramallah (6 novembre 1191). Le cri de guerre des Chauvigny aux croisades
était "Chauvigny, chevaliers pleuvent !"
Chevalier de Richard Coeur de Lion
Richard Cœur de Lion et Saladin.
André de Chauvigny, seigneur de Déols

Le destin singulier d'un descendant probable d'Hélie, André de Chauvigny,
qui devint par mariage seigneur de Déols, en Berry (3), et qui disparut après
s'être rebellé contre sa bienfaitrice Aliénor d'Aquitaine, a attiré sur sa
personne et sur la famille l'attention de plusieurs érudits et une légende s'est
même développée autour de son nom. On ne sait cependant que peu de
choses de lui : il était frère puîné de Hugues, Hélie et Pierre Hélie, dont les
noms ont été conservés par des actes de l'abbaye de l'Étoile, mais son père
n'est pas désigné. Il tenait une des châtellenies de Monthoiron, que son fils
cadet André a cédée à Herbert Turpin en 1235; cependant l'origine de cette
possession est inconnue. On sait qu'avant 1140 un Pierre Hélie était seigneur
"du fief" où se trouvaient le bois de l'Épine (commune d'Archigny) et le Bois
Battu (commune de la Puye), qui ont été donnés à l'abbaye de l'Étoile, mais il
n'est pas certain que ces lieux dépendaient de Monthoiron. Auparavant les
seigneurs de Monthoiron sont à peine entrevus, au XIe siècle, et on perd leur
trace quand Airaud de Monthoiron prend l'habit monastique à Saint-Cyprien
de Poitiers, dans le dernier quart de ce siècle.
Aliénor d'Aquitaine présente André de Chauvigny comme son parent (4),

(parenté sur roglo) . Cette parenté ne peut provenir que du mariage d'un
ancêtre d'André avec une fille de la famille de Châtellerault. Une telle alliance
n'est pas pour surprendre quand on a constaté que le prévôt Hélie figure dans
la suite du vicomte Aimeri, vers 1100, ce vicomte étant par ailleurs détenteur
d'une terre à Chauvigny qui est à l'origine du "fief d'Harcourt". On ne peut
-3051-
cependant être plus précis, sauf à ajouter qu'en 1134 un Pierre Hélie est
spécialement désigné comme "ami du comte" Guillaume X, qui est gendre du
vicomte de Châtellerault Aimeri.
(3) E. Hubert, Cartulaire des seigneurs de Châteauroux, 1931, p. XI.
(4) A. Richard, Histoire des comtes de Poitou, tome II, p. 259 et note 4,
d'après Arch. Nat., Trésor des chartes, J 618, 5.
LA QUESTION DES PERSONNAGES DITS "DE CHAUVIGNY" - (XIe siècle-

XIIIe siècle)
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Histoire de Berry, par Gaspard Thaumas de La
Thaumassière ; La question des personnages dits "de Chauvigny") 12 iv 2017
- naixement: a.brabant
- família: A.Brabant (Beauchet-Filleau) 17 vi 04, G.de Beauregard (Forum 2007-10-
24 Caroline Maubois) 19 vi 2016, J-P.de Palmas (Histoire de Berry, par Gaspard
Thaumas de La Thaumassière, p.512 et ss.) 12 iv 2017
2.973.569:
Cousine et pupille de Richard Coeur de Lion.
Bibliographie
 Histoire de Berry , par Gaspard Thaumas de La Thaumassière
Louis de Sancerre serait-il son fils ?

Fille unique et seule héritière de Raoul de Déols, dernier du nom : elle apporte à
son époux et ses descendants les seigneuries de Châteauroux, La Châtre,
Argenton, Cluis, Aigurande, Le Châtelet, "prince de la terre déoloise".
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Histoire de Berry, par Gaspard Thaumas de La
Thaumassière) vi 2009, JB de La Grandière (ESS XIV p 68 Déols ,1991) ) 22 ii
2010, G.de Beauregard (web monumentshistoriques chateaux/meillant) 6 vi 2016,
(Bull Sté nle antiquaires de France Paris 1908) 18 vi 2016
- naixement: F.Camus (Hist. de Châteaumeillant parEmile Chénon, p 199) 20 vi
2016
- defunció: JB de La Grandière (ESS XIV p 68 Déols ,1991) ) 22 ii 2010
- enterrament: JB de La Grandière (ESS XIV p 68 Déols ,1991) ) 22 ii 2010
- família 2: A.Brabant (Beauchet-Filleau) 17 vi 04, G.de Beauregard (Forum 2007-
10-24 Caroline Maubois) 19 vi 2016, J-P.de Palmas (Histoire de Berry, par Gaspard
Thaumas de La Thaumassière, p.512 et ss.) 12 iv 2017
- família 3: G.de Beauregard (Medieval Lands Pascal Sabat Gencher) 20 vi 2016
2.973.569b:
Seigneur de Montbazon par son épouse.
Par charte de Mai 1218, il reçut avec son frère Raoul, de leur frère Guillaume :
"Leprosum, Sanctum Karterium, Meillentz, et Montem Aureum".
-3052-
Fonts:
- persona: A.Brabant (Henri d'Arboval -Chauvigny sur Vienne -1927), J-C de
Vaugiraud (Carré de Busseroles, T. II, P. 297 et ss) 13/10/2010, G.de Beauregard
(Medieval Lands Pascal Gencher) 20 vi 2016
- defunció: G.de Beauregard (Medieval Lands Pascal Gencher) 20 vi 2016
- família: A.Brabant (Henri d'Arboval -Chauvigny sur Vienne -1927)
2.973.569c:
Par charte de Mai 1218, il reçut avec son frère André, de leur frère Guillaume :
"Leprosum, Sanctum Karterium, Meillentz, et Montem Aureum".
Fonts:
- persona: A.Brabant (Beauchet-Filleau) 17 vi 04, G.de Beauregard (Medieval
Lands Pascal Gencher) 20 vi 2016
2.973.569d:
Fonts:
- persona: A.Brabant (Beauchet-Filleau) 17 vi 04
2.973.569e:
Fonts:
- persona: A.Brabant (Beauchet-Filleau) 17 vi 04
2.973.570:
Guillaume 1er est comte de 1177 à 1221.
Il épouse Adèle, fille aînée de Pierre de Courtenay, frère du roi Louis VII le jeune,
fondateur de Villeneuve-le-Roi (Sur-Yonne). Ils se sépareront six ans plus tard pour
cause de parenté !
Est-elle la jolie comtesse de la chanson de geste Guillaume le Maréchal lors du
tournoi de Joigny (Entre 1180 et 1190), ou bien est-ce sa belle-mère ?
En 1190, il part pour la troisième croisade avec Philippe-Auguste ; pendant ce
temps, son comté est administré par son frère Gaucher, seigneur de
Châteaurenard.
En 1192, il est témoin du mariage d’Henri II de Champagne, qui meurt
accidentellement à Acre en 1197.
En 1198, lors du mariage de Thibaut IV, il est témoin du douaire de Blanche de
Navarre.
C’est en 1209 qu’il fonde le prieuré grandmontain de l’Enfourchure. En 1214, il est
mobilisé dans le contingent champenois de la comtesse Blanche par Philippe-
Auguste pour la bataille de Bouvines.
En 1216, il est l’un des 12 barons appelés au tribunal du roi (A cette occasion,
certains en font un pair de France) pour juger de la légitimité de Thibault IV et de
Philippine (Fille d’Henri II), épouse d’Erard de Brienne qui, revendiquait la
Champagne selon le droit féodal. Philipinne fut déclarée illégitime !
Il se porte aussi caution de la fidélité d’Henri de Sully, seigneur de Bontin, envers
Philippe-Auguste.
Le 15 février 1221, il meurt et est inhumé à Notre-Dame (Sainte-Marie) de Joigny,
-3053-
puis finalement à l’abbaye de Dilo selon ses voeux exprimés dès 1179.
Dalle funéraire dans l'église Saint André de Joigny (Yonne) : ..Statue funéraire. Le
défunt, tête nue, mains jointes, les pieds appuyés sur un chien est vêtu d'une
longue robe à plis serrés fixée à la taille par une ceinture. De chaque côté à ses
pieds deux angelots tournés vers le gisant..
Fonts:
vii 2012
- enterrament: finalement à l’abbaye de Dilo
- família 1: H.R.Moser/EuSt-VII/14, G.Hazard (Anselme T2) vii2009
- família 2: G.Hazard (Anselme T2) vii2009, H.R.Moser/EuSt-VII/14
2.973.571:
Armes : «D'azur à la bande d'argent accompagnée de deux cotices potencées et
contre-potencées d'or, au lambel de trois pendants de gueules.»
Source : C-H.Maigret - 15 vii 2012
Fonts:
- família: G.Hazard (Anselme T2) vii2009, H.R.Moser/EuSt-VII/14
2.973.571a:
Porte de gueules à l'aigle d'argent onglée et becquée d'or. [C-H.Maigret 15 vii
2012]
Guillaume II, fils de Béatrix, deuxième épouse de Guillaume 1er, succède à Pierre
Ier. Du vivant de son père, il avait participé à la croisade des Albigeois.
En 1239, il prend part à la croisade en Terre sainte avec Thibault de Champagne
et n’en revient probablement pas, car on n’en entend plus parler. Il avait accordé
en 1221 remise de la moitié de la mainmorte (les avoirs des sujets deviennent
propriété du seigneur à son décès ; ils ne sont pas transmissibles à sa
descendance) aux habitants de Joigny, puis remise totale en 1238 avant de partir
en croisade.
-3054-
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S. XI, 156) 12/03/2006, J-P.de Palmas (Edouard de
Saint Phalle, La première dynastie des comtes de Joigny, actes du colloque «
Autour du comté de Joigny », SGY, 1990) 14 vii 2012
- defunció: J-C de Vaugiraud (E.S. XI, 156) 12/03/2006, H.R.Moser/EuSt-XV/126
- família: H.R.Moser/EuSt-VII/14
2.973.571-1a:
Pierre 1er, fils de Guillaume et de sa première femme Adèle, succède à son père
en 1221 et fait hommage de son château de Coulanges-la-Vineuse, tenu par son
demi-frère Guillaume, au comte d’Auxerre et du comté de Joigny à sa suzeraine la
comtesse Blanche le 6 janvier 1222. Il meurt peu après.
Fonts:
vii 2012
2.973.574:
mort en 1218 selon B.Yeurc'h (Le Lien n°16).
2.973.575:
Fonts:
- família 1: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
- família 2: H.R.Moser/EuSt-VII/14, G.Hazard (Anselme T2) vii2009
2.973.575-2a:
Pierre 1er, fils de Guillaume et de sa première femme Adèle, succède à son père
en 1221 et fait hommage de son château de Coulanges-la-Vineuse, tenu par son
demi-frère Guillaume, au comte d’Auxerre et du comté de Joigny à sa suzeraine la
comtesse Blanche le 6 janvier 1222. Il meurt peu après.
Fonts:
vii 2012
2.973.576:
GAUCHER [III] de Châtillon, son of GUY [II] Seigneur de Châtillon & his wife Alix
de Dreux [Capet] (-killed in battle Oct 1219). The Chronicle of Alberic de Trois-
Fontaines names "comitis Galtheri de Sancto Paulo" as son of "Guidonem [filii
Galtheiro de Monteis]i"[2192]. Seigneur de Châtillon, de Toissy, de Crécy et de
Pierrefonds. "Gaucherus de Castellione dominus de Mongai" confirmed a donation
to Saint-Denis by “sororio meo Balduino de Donion etsorori meæ Amiciæ” by
charter dated Mar 1201[2193]. Comte de Saint-Pol. The Red Book of the
Exchequer records "comes Sancti Pauli" holding two knights’ fees "in Roinges,
Donmawe, Alferstone" in Essex, Hertfordshire in [1210/12][2194]. "Galchero
comiti S. Pauli et filiis suis de uxore sua" donated “Toringniacum in Normannia”
to Philippe II King of France by charter dated Feb 1218 (O.S.)[2195]. A charter
-3055-
dated 1219 records that "Galcherus quondam dictus comes Sancti Pauli" donated
property to Saint-Denis, with the consent of “filiis suis Guidone et Hugone et
uxore sua”, by charter dated 1219[2196].
m (1196) as her first husband, ELISABETH de Saint-Pol, daughter of HUGUES

[IV] "Candavène" Comte de Saint-Pol & his wife Yolande de Hainaut (-before
1240). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Ysabellam uxorem
comitis Galtheri de Castellione, qui per uxorem factus est comes de Sancto Paulo,
et Eustaciam uxorem Iohannis de Nigella" as children of "comiti Hugoni de Sancto
Paulo" & his wife[2197]. The Chronicon Hanoniense names (in order) "Elizabeth et
Eustachium" as the children of "Hugonis Sancti Pauli" & his wife[2198]. "Hugo
comes S. Pauli et Jole uxor mea" donated property to the church of Thérouanne
with the consent of "generorum meorum Galteri de Castellione et Johannis domini
de Nigella et filiarum mearum Elilzabeth et Eustathiæ" by charter dated Jan
1201[2199]. "Galcherius de Castelione montis Gaii dominus" donated property to
Tremblay "pro salute anima…fratris mei Guidonis" with the consent of "Elisabeth
uxoris mee" by charter dated Jan 1205[2200]. Ctss de Saint-Pol 1205. The Historia
Comitum Ghisnensium refers to the wife of "Waltheri de Castellione" as "filiam
Hugonis comitis Sancti-Pauli"[2201]. “Elisabeth de Castellione comitissa Sancti
Pauli” confirmed an agreement between “Guidonem et Hugonem filios meos” and
“Matheum de Rollepot militem” concerning “terraBaulesche” by charter dated Jul
1220[2202]. She married secondly (1231) Jean de Béthune. Her second marriage
is confirmed by the charter dated [2/30] Apr 1233 under which her son “Hugo
comes Sancti Pauli” did homage to Louis IX King of France for the lands of “mater
mea I. comitissa Sancti Pauli et Johannes de Bethunia, qui dicebatur eius
maritus”[2203], although the last phrase suggests doubt about whether the couple
was actually married.
Comte Gaucher & his wife had four children.
[2193] Duchesne (1621) Châtillon, Preuves, p. 30.
[2194] Red Book Exchequer, Part II, Inquisitiones…Regis Johannis…anno regno

XII et XIII…de servitiis militum, p. 505.
[2199] Miraeus (1723), Tome I, Notitia Ecclesiarum Belgii, CXXXI, p. 727.
-3056-
[2201] Historia Comitum Ghisnensium 94, MGH SS XXIV, p. 605.
[2202] Duchesne (1639) Béthune, Preuves, p. 110.
Gaucher III se verra attribuer, par apanage royal, la seigneurie de Clichy, en

échange de son château de Pierrefonds tant "convoité" par Philippe II Auguste, et
deviendra ainsi le premier seigneur féodal de cette ville.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 30 v 2016
2.973.577:
ELISABETH de Saint-Pol, daughter of HUGUES [IV] "Candavène" Comte de Saint-
Pol & his wife Yolande de Hainaut (-before 1240). The Chronicle of Alberic de
Trois-Fontaines names "Ysabellam uxorem comitis Galtheri de Castellione, qui per
uxorem factus est comes de Sancto Paulo, et Eustaciam uxorem Iohannis de
Nigella" as children of "comiti Hugoni de Sancto Paulo" & his wife[2197]. The
Chronicon Hanoniense names (in order) "Elizabeth et Eustachium" as the children
of "Hugonis Sancti Pauli" & his wife[2198]. "Hugo comes S. Pauli et Jole uxor
mea" donated property to the church of Thérouanne with the consent of
"generorum meorum Galteri de Castellione et Johannis domini de Nigella et
filiarum mearum Elilzabeth et Eustathiæ" by charter dated Jan 1201[2199].
"Galcherius de Castelione montis Gaii dominus" donated property to Tremblay
"pro salute anima…fratris mei Guidonis" with the consent of "Elisabeth uxoris
mee" by charter dated Jan 1205[2200]. Ctss de Saint-Pol 1205. The Historia
Comitum Ghisnensium refers to the wife of "Waltheri de Castellione" as "filiam
Hugonis comitis Sancti-Pauli"[2201]. “Elisabeth de Castellione comitissa Sancti
Pauli” confirmed an agreement between “Guidonem et Hugonem filios meos” and
“Matheum de Rollepot militem” concerning “terraBaulesche” by charter dated Jul
1220[2202]. She married secondly (1231) Jean de Béthune. Her second marriage
is confirmed by the charter dated [2/30] Apr 1233 under which her son “Hugo
comes Sancti Pauli” did homage to Louis IX King of France for the lands of “mater
mea I. comitissa Sancti Pauli et Johannes de Bethunia, qui dicebatur eius
maritus”[2203], although the last phrase suggests doubt about whether the couple
was actually married.
Comte Gaucher & his wife had four children.
[2199] Miraeus (1723), Tome I, Notitia Ecclesiarum Belgii, CXXXI, p. 727.
-3057-
[2201] Historia Comitum Ghisnensium 94, MGH SS XXIV, p. 605.
[2202] Duchesne (1639) Béthune, Preuves, p. 110.
Entre 1219 et 1223, puis entre 1226 et 1228, suite aux disparitions successives de
Gaucher et de son fils aîné, elle exerce la régence du comté.
[C-H.Maigret (J-F.Nieus) 17 x 2011]
Fonts:
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html, J-P.de Palmas (Charles Cawley
& FMG) 30 v 2016
- defunció: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 16 x 2011
- enterrament: C-H.Maigret (Épigraphie Rodière) 16 x 2011
2.973.577a:
Fonts:
- persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
- família: H.R.Moser; Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies
extraordinaires de Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-
Charit
2.973.577c:
Fonts:
- persona: L.Guion (Fonds Hozier) 26 x 2010,
- naixement: A.Brabant
- defunció: C-H.Maigret (Robert Jacob, 1978) 10 viii 2013
- casament 2: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 16 vii 2011
- família 2: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 16 vii 2011, JB.de La Grandiere
(Europäische Stammtafeln t XXVIII V Klostermann Francfort 2011-Wavrin- tableau
107) ) 23 vii 2012
2.973.577d:
Fonts:
- persona: A.Gaudry (H&G 1980) 13 I 2006
- família: A.Gaudry (H&G 1980) 13 I 2006
2.973.579:
Armes
D'argent, à deux fasces de gueule, chargées chacune de deux annelets d'or.
-3058-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Armes)
2.973.580:
Henry I of Brabant (French: Henri I de Brabant, Dutch: Hendrik I van Brabant)
(1165 - 5 September 1235), named "The Courageous" Duke of Brabant (from
1183) and Duke of Lower Lotharingia (from 1190) until his death.
Biography
He was probably born in Leuven. He became Duke of Brabant in 1183 / 1184 and
succeeded his father as Duke of Lower Lotharingia in 1190. He was the son of
Godfrey III of Leuven, Duke of Lower Lotharingia and landgrave of Brabant, and
Margaret of Limburg.
He was one of the leaders of the crusade begun by King Henry VI of Germany,
which he joined in mid-1197. In the October of the same year he took part in the
recapture of Beirut and, then moved to Jaffa with the Crusaders: however, before
reaching the city he got news of the death of the King of Jerusalem, Henry II of
Champagne, and he returned to Acre. Here he acted as regent until the arrival of
the new King, Amalric II.
In 1208, after the assassination of Philip of Swabia, King of the Romans, Henry
was proposed as successor by King Philip II Augustus. In the war which followed,
he reached in Germany emperor Otto IV, but the two were defeated in the Battle
of Bouvines.
In 1213, Henry also suffered a heavy defeat against the Bishopric of Liège in the
Battle of Steppes.
Under Henry I, there was a town policy and town planning. Henry's attention went
out to those regions that lent themselves to the extension of his sovereignty and in
some locations he used the creation of a new town as an instrument in the
political organisation of the area. Among the towns to which the Duke gave city
rights and trade privileges was 's-Hertogenbosch.
Henry died at Cologne in 1235. He was buried in St. Peter's chapter church at
Leuven where his late Romanesque effigy can still be seen.
Marriages
He married Mathilde of Boulogne (Mathilde of Flanders), daughter of Marie of

Boulogne and Matthew of Alsace 1179. He had six children by his first marriage:
1.Marie (c. 1190 - May 1260), married in Maastricht after May 19, 1214 Otto IV,
Holy Roman Emperor, married July 1220 Count William I of Holland 2.Adelaide (b.
c. 1190), married 1206 Arnulf, Count of Loos, married February 3, 1225 William X
of Auvergne (c. 1195-1247), married before April 21, 1251 Arnold van Wesemaele
-3059-
(d. aft. 1288), ancestor of Joan of Boulogne, second wife of John, Duke of Berry
3.Margaret (1192-1231), married January 1206 Gerhard III, Count of Guelders (d.
October 22, 1229) 4.Mathilde (c. 1200 - December 22, 1267), married in Aachen
in 1212 Henry II, Count Palatine of the Rhine (d. 1214), married on December 6,
1214 Floris IV, Count of Holland 5.Henry II of Brabant (1207-1248) 6.Godfrey
(1209 - January 21, 1254), Lord of Gaesbeek, married Marie van Oudenaarde
His second marriage was at April 22, 1213 in Soissons to Marie, princess of
France, daughter of King Philip II of France. They had two children: 1.Ysabeau
(Elizabeth) (d. October 23, 1272), married in Leuven March 19, 1233 Count
Dietrich of Cleves, Lord of Dinslaken (c. 1214-1244), married 1246 Gerhard II,
Count of Wassenberg (d. 1255) 2.Marie, died young
See also
Dukes of Brabant family tree
Chronique des Ducs de Brabant, Adrian van Baerland,
Antwerp (1612).
http://en.wikipedia.org/wiki/Henry_I,_Duke_of_Brabant
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Jozef Vanderbiest)
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm, "la Seigneurie de
Gaesbeek"par feu l'Abbé F.Vennekens 1935 (V.Delalande) 29 i 2008
- família 1: F-L. Jacquier (Jozef Vanderbiest)
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm
- família 2: o guionneau
2.973.581:
Fonts:
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm, L.Guion
- família: F-L. Jacquier (Jozef Vanderbiest)
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm
2.973.581a:
Fonts:
2.973.581c:
Fonts:
- persona: o guionneau
2.973.581d:
Son parrain est Hugues de Pierpont, évêque de Liège. En 1213 il fut donné en
otage à son parrain, puis à Fernand de Portugal, comte de Flandres.
En 1236 il fut mis en possession de la terre de Gaesbeek (Belgique) et en 1247
obtint la seigneurrie de Herstal.
-3060-
Fonts:
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm, "la Seigneurie de
Gaesbeek"par feu l'Abbé F.Vennekens 1935 (V.Delalande) 20 xi 2007;
- enterrament: "la Seigneurie de Gaesbeek"par feu l'Abbé F.Vennekens 1935
(V.Delalande) 29 i 2008
- família 1: F-L. Jacquier (Jozef Vanderbiest)
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm, H.R.Moser/EuSt
- família 2: C.Dykmans (famille van Hellebeke et van den Heetvelde, Généalogies
engiennoises, par René Goffin, Tome IV) 23 vi 20144
2.973.581e:
Fonts:
- persona: o guionneau
2.973.581-2a:
Fonts:
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/; 24 VI 07)
- família 1: o guionneau
- família 2: O.Guionneau (site fmg.ac/; 24 VI 07)
2.973.582:
Philip of Swabia (1177-1208), German king and duke of Swabia, the rival of the
emperor Otto IV, was the fifth and youngest son of the emperor Frederick I and
Beatrix, daughter of Renaud III, count of Burgundy, and consequently brother of
the emperor Henry VI. He entered the clergy, was made provost of Aix-la-
Chapelle, and in 1190 or 1191 was chosen bishop of Würzburg. Having
accompanied his brother Henry to Italy in 1191, Philip forsook his ecclesiastical
calling, and, travelling again to Italy, was made duke of Tuscany in 1195 and
received an extensive grant of lands. In 1196 he became duke of Swabia, on the
death of his brother Conrad; and in May 1197 he married Irene, daughter of the
eastern emperor, Isaac II, and widow of Roger III, Titular King of Sicily, a lady
who is described by Walther von der Vogelweide as " the rose without a thorn, the
dove without guile." Philip enjoyed his brother's confidence to a very great extent,
and appears to have been designated as guardian of the young Frederick,
afterwards the emperor Frederick II, in case of his father's early death. In 1197 he
had set out to fetch Frederick from Sicily for his coronation when he heard of the
emperor's death and returned at once to Germany. He appears to have desired to
protect the interests of his nephew and to quell the disorder which arose on
Henry's death, but events were too strong for him. The hostility to the kingship of
a child was growing, and after Philip had been chosen as defender of the empire
during Frederick's minority he consented to his own election. He was elected
German king at Muhlhausen on March 8, 1198, and crowned at Mainz on the
September 8 following. Meanwhile a number of princes hostile to Philip, under the
leadership of Adolph, Archbishop of Cologne, had elected an anti-king in the
person of Otto, second son of Henry the Lion, duke of Saxony. In the war that
followed, Philip, who drew his principal support from south Germany, met with
considerable success. In 1199 he received further accessions to his party and
carried the war into his opponent's territory, although unable to obtain the
support of Pope Innocent III, and only feebly assisted by his ally Philip Augustus,
-3061-
king of France. The following year was less favourable to his arms; and in March
1201 Innocent took the decisive step of placing Philip and his associates under the
ban, and began to work energetically in favour of Otto. Also in 1201, Philip was
visited by his cousin Boniface of Montferrat, the leader of the Fourth Crusade. The
Crusaders were by this time under Venetian control and were besieging Zara on
the Adriatic Sea. Although Boniface's exact reasons for meeting with Philip are
unknown, while at Philip's court he also met Alexius Angelus, Philip's brother-in-
law. Alexius convinced Boniface, and later the Venetians, to divert the Crusade to
Constantinople and restore Isaac II to the throne, as he had recently been
deposed by Alexius III, Alexius and Irene's uncle. The two succeeding years were
still more unfavourable to Philip. Otto, aided by Ottokar I, king of Bohemia, and
Hermann I, landgrave of Thuringia, drove him from north Germany, thus
compelling him to seek by abject concessions, but without success, reconciliation
with Innocent. The submission to Philip of Hermann of Thuringia in 1204 marks
the turning-point of his fortunes, and he was soon joined by Adolph of Cologne and
Henry I, Duke of Brabant. On January 6, 1205 he was crowned again with great
ceremony by Adolph at Aix-la-Chapelle, though it was not till 1207 that his entry
into Cologne practically brought the war to a close. A month or two later Philip
was loosed from the papal ban, and in March 1208 it seems probable that a treaty
was concluded by which a nephew of the pope was to marry one of Philip's
daughters and to receive the disputed dukedom of Tuscany. Philip was preparing
to crush the last flicker of the rebellion in Brunswick-Lüneburg when he was
murdered at Bamberg, on June 21, 1208, by Otto of Wittelsbach, count palatine in
Bavaria, to whom he had refused the hand of one of his daughters. Philip was a
brave and handsome man, and contemporary writers, among whom was Walther
von der Vogelweide, praise his mildness and generosity.
http://en.wikipedia.org/wiki/Philip_of_Swabia
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2 , Manuel Abranches de Soveral
2.973.583:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval, L. Gustavsson/ WW-Person
- família 1: Euro.St. L.Orlandini
2.973.583a:
Fonts:
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac; 31 XII 06)
2.973.583d:
17.2.1232, Santiago de Compostela : «Ego prenominatus rex Ferrandus vna cum
uxore mea Beatrice regina et cum filiis meis Alfonso, Fraderico, Ferrando,
Henrrico et Phillipo» («Os documentos do tombo de Toxos Outos», 2004,
Francisco Javier Pérez Rodríguez).
Beatriz Isabel de Suabia (1205 - Toro, 1235), fue una noble alemana, reina
consorte de Castilla y de León entre 1220 y 1235 por su matrimonio con Fernando
III de Castilla.
Fue hija de Felipe, Duque de Suabia y Rey de Romanos, y de Irene Ángelo, nacida
-3062-
ésta de Isaac II Ángelo, Emperador de Constantinopla.
Después de la muerte de su padre permaneció bajo la tutela de Federico II, Sacro

Emperador Romano Germánico; éste dio su autorización para su matrimonio con
Fernando III, rey de Castilla y León, unión que se concretó a finales de noviembre
de 1219 en el Monasterio de San Zoilo de Carrión de los Condes, situado en la
provincia de Palencia.
https://es.wikipedia.org/wiki/Beatriz_de_Suabia
Beatrice of Swabia (baptised Elisabeth; 1203 – 5 November 1235[1]) was Queen of

Castile (1219–1235) and Leon (1230–1235) as the wife of King Ferdinand III. She
was the fourth daughter of Philip, Duke of Swabia and King of Germany, and Irene
Angelina, daughter of Emperor Isaac II Angelos of the Byzantine Empire.
After the death of her father Philip, she became the ward of her cousin, Frederick,
King of Sicily (later Emperor Frederick II); he later married her to Ferdinand III of
Castile. The marriage was celebrated at the end of November of 1219 or 1220 in
the Royal Monastery of San Zoilo in Carrión de los Condes (Palencia). In Castile,
she was known as Beatrice, the name borne by her eldest sister, the Holy Roman
Empress, who had died in 1212 in a battle. Queen Beatrice died in Toro, Spain.
Queen Beatrice was buried in the Royal Monastery of Huelgas de Burgos, next to
King Henry I. Her son Alfonso transferred her body to Seville, where that of her
husband rested.
https://en.wikipedia.org/wiki/Elisabeth_of_Swabia
Fonts:
- naixement: O.Guionneau (T.Le Hête " les comtes palatins de Bourgogne"; 14 II
06)
- defunció: O.Guionneau (T.Le Hête " les comtes palatins de Bourgogne"; 14 II 06)
- casament: O.Guionneau (T.Le Hête " les comtes palatins de Bourgogne"; 14 II 06)
2.973.584:
Cette génération, donnée par Nadaud (Nobiliaire du diocèse et de la généralité de
Limoges, T1 p 246, article de Brosse), Beauchet-Filleau (Dictionnaire des familles
du Poitou, 2° ed, T2 p 16) et Emile Chéron (Histoire de Sainte-Sévère en Berry, p
43). Elle est passée sous silence dans ES III Teilband IV Tafel 774. La chronologie
semble l'imposer comme exacte.
J-C de Vaugiraud + P.Fauchère sur Forum 17/10/2006.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Voir notes) 17/10/2006
- família: J-C de Vaugiraud (Voir notes) 17/10/2006
2.973.585:
-3063-
Fonts:
- família: J-C de Vaugiraud (Voir notes) 17/10/2006
2.973.585b:
Paul-Camille Dugenne, dictionnaire biographique de l'Yonne, le dit fils de Bernard
III, vicomte de Brosse.
"Fait son entrée à Sens le 02/08/1258, porté par les barons feudataires et entouré
des archevêques et évêques de Reims, Rouen, Auxerre, Nevers, Troyes et
Betléem. Est sacré par le Pape Alexandre IV. Est au concile de Bâle en 1263 où
Aegidius, évêque de Tyr, négocie avec le clergé de nouveaux subsides pour la
défense de la terre Sainte. Il se demet en 1267 à cause de son âge et se retire à
Brienon".
Fonts:
- persona: A Brabant (base Gil) 21/12/04, J-C de Vaugiraud (ES III-4 T.774)
17/10/2006
- defunció: P.Fauchère (Nadaud, I, 246) 16.10.06
2.973.585c:
La Pérouse, près de Vijon (Indre). Cette seigneurie revint à son neveu Roger,
seigneur de Sainte-Sévère, qui confirma en 1276 la charte de franchise accordée
aux habitants par Hélie en 1260.
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Émile Chénon, Hist. de Sainte-Sévère, 43) 16.10.06
2.973.586:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich (site adecarné)
- família: R.Sekulovich (site adecarné)
2.973.587:
Fonts:
- família: R.Sekulovich (site adecarné)
2.973.588:
Fils cadet de Robert II, eut la terre des Roches. En 1200, ii y eut des différends
entre les religieux de Saint-Julien et le seigneur de Rochecorbon, concernant la
paroisse de Chanceaux sur Choisille, différents qui se terminèrent par une
transaction passée au château d'Amboise, devant Sulpice d'Amboise. En 1201,
Robert III de Brenne se servit du sceau de son frère Geoffroy, alors décédé, pour
sceller une charte par laquelle il ratifia les donations faites à l'abbaye de Varennes
par son aïeul Robert des Roches et son oncle Thibaud des Roches. En 1203, la
Touraine passa définitivement à la couronne de France. En 1204, il reçut le titre
de Chevalier banneret. Cette même année, il fit un accord avec le chapitre de
Tours.
En 1209, puis en 1219, eurent lieu des transactions avec le chapitre de Saint-
Martin de Tours. En 1219, il y eut un accord entre le chapitre de Saint-Martin de
-3064-
Tours et Robert de Brenne au sujet de l'exercice des droits de viguerie et de haute
justice du prévôté d'Oé, sur le territoire de Vouvray. Il y eut une autre transaction
entre les Chanoines de prévôté d'Oé et Robert de Brenne, concernant la haute et
basse justice, les cens, les sujets de Balliva Baginaldi (?), du Plessis du Maine, les
corvées, les moulins construits sur la Loire
En 1214, il participa à la bataille de Bouvines.
En 1218, Jean de Faye, archevêque de Tours, restitua le fort de la Vaudanière, qui

avait appartenu à ses ancêtres du vivant de Hardouin, oncle du Chevalier Corbon.
Iconographie
La Lanterne de Rochecorbon.
Fonts:
2.973.589:
Fonts:
2.973.589a:
fils aîné de Robert III de Brenne34, seigneur de Rochecorbon. En 1202, Philippe
Auguste le nomma gouverneur de la ville de Tours, remplaçant Brandinelles, qui
était à la solde de Jean sans Terre, roi d'Angleterre et comte d'Anjou.35
En 1214, il ratifia un accord entre Robert, son père, et le chapitre de Saint-Martin

de Tours.
En 1221, il fit un accord avec Guillaume de Rocroy, les viguiers des Rochettes de
Parçay, des Ponts de Tours et de Marmoutier. L'année suivante, il donna à
l'abbaye de Marmoutier un chemin qui traversait le bois de Maillé.
En 1230, il emprunta aux religieux de Marmoutier 22 livres tournis et leur assigna

en garantie 20 septiers de blé de rente sur la dîme des paroisses de Saint-
Christophe et de Saint-Paterne.
En 1246, il donna à l'abbaye de Beaugerais une rente à percevoir à la Saint-

Michel sur les dîmes de Reugny et de la Chapelle Saint-Hyppolite (près Châtillon
sur Indre).
Il mourut vers 1248, sans postérité, malgré les deux mariages qu'il avait
contractés avec Radegonde de Cors, puis avec Haldearde. Son frère Guillaume lui
succéda dans ses possessions.
Fonts:
-3065-
- persona: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon, par R. Blondel 1976 ) 9 viii
2010
- família 1, família 2: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon, par R. Blondel
1976 ) 9 viii 2010
2.973.589b:
Fils présumé de Robert III des Roches , devint abbé de Marmoutier en 1210.
C'est lui qui fit bâtir :
- au monastère, les portails de la Crosse et de la Mître (ce dernier fut détruit à la

Révolution).
- à Meslay, le portail et la grange magnifique (1220) où se donnent actuellement

tous les ans les fêtes musicales de Touraine.
- au Louroux (Indre et Loire, au sud de Tours), il fit réparer les édifices existants
et fit construire le château fortifié, et une grange.
En 1214, il fut chargé par Philippe Auguste avec l'Abbé de Saint-Jean d'Angély, de
conclure une trêve entre la France et l'Angleterre, qui fut signée à Chinon.
Il mourut en 1227 et fut inhumé dans le chapitre de l'église de Tours.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon, par R. Blondel 1976 ) 9 viii
2010
2.973.590:
Fonts:
1844) 9 ix 2011
- família: J-P de Palmas (Compte rendu des travaux de la Société du Berry à Paris,
1844) 9 ix 2011
2.973.591:
Fonts:
1844) 9 ix 2011
- família: J-P de Palmas (Compte rendu des travaux de la Société du Berry à Paris,
1844) 9 ix 2011
2.973.604:
Eude ne conserva que la châtellenie de Châteaumeillant et celle de Boussac, qu'il
avait héritée de son oncle Geofroy de Preuilly.
Fonts:
- persona: D.de Raugl (J.P.Masson); F. Camus, A Brabant ( message de P.Texier,
H&G , F.Camus ( ) 20 iv 2009n°129) 2/1/05, T. Denis (base Aurejac), F.Camus
-3066-
(Hist. de Châteaumeillant, Emile Chénon p 201) 25 vi 2016
- família 1: D.de Raugl (J.P.Masson); F. Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile
Chénon, Tome I)
- família 2: Hervé Balestrieri ( d'après note non sourcée sur la fiche d'Alix de
Bourgogne, son épouse & communication Michel Luet ) 27.10.2015
2.973.605:
http://genealogiequebec.info/testphp/info.php?no=170910
Selon Foundation for Medieval Genealogy, il s'agit d'Alix de Bourgogne, veuve

d'Archambaud de Bourbon.
Fonts:
- persona: D.de Raugl (J.P.Masson); F. Camus
- família: D.de Raugl (J.P.Masson); F. Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile
Chénon, Tome I)
2.973.605a:
Fonts:
- persona: F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile Chénon, Tome I ) 21 iv
2009
2.973.606:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Peynot (Abbé Michel) La Combraille pp. 251/275
Guéret 1931 ) 17 vi 2016
2.973.608:
GUILLAUME [I] de Sancerre (-Epirus 1217). La Thaumassière names “Guillaume
I, Jean de Sancerre mort sans alliance, Etienne de Sancerre Seigneur de Saint
Briçon” as the three children of Etienne Comte de Sancerre and his wife, but does
not cite the source on which this information is based[2638]. He succeeded his
father in 1191 as Comte de Sancerre. “Willelmus comes Sacri Cesaris”
acknowledged holding Sancerre as vassal of Blanche comtesse de Champagne,
including “foedum domini Montis-falconis, foedum domini Seilliaci, foedum domini
de Weure, Leeriumsanctum BrictiumCastellionem super Loa”, by charter dated
1209[2639]. He travelled to Constantinople in 1217 with Pierre de Courtenay
Latin Emperor of Constantinople: “Eustachia comitissa Sacricesariensis” donated
property to Senan priory, in accordance with the wishes of “Willelmus
Sacricesariensis maritus meus” before leaving “ad subsidium Terre-Sancte cum
domino Petro germano meo, tunc comite Autissiodorensi”, by charter dated
1218[2640]. He was captured in the Albanian mountains by Theodoros Angelos
Lord of Epirus, imprisoned[2641] and presumably murdered.
m firstly (after 1203) as her third husband, DENISE de Deols, Dame de Deols et
Châteauroux, widow firstly of BALDWIN de Reviers Earl of Devon and secondly of
ANDRE [I] de Chauvigny Seigneur de Chauvigny, daughter and heiress of RAOUL
[VII] Seigneur de Déols et de Châteauroux & his [second] wife Agnes de
Charenton ([1172/73]-1221, bur Deols).
-3067-
m secondly MARIE de Charenton, daughter of EBLES [IV] Seigneur de Charenton
& his wife --- de Bourbon.
m thirdly (May 1210) as her third husband, EUSTACHIE de Courtenay, Dame de

Placy-sur-Armancon, widow firstly of GUILLAUME de Brienne and secondly of
GUILLAUME de Champlitte Prince of Achaia, daughter of PIERRE de France
Seigneur de Courtenay & his wife Elisabeth de Courtenay (-6 Apr after 1235).
“Eustachia comitissa Sacricesaris” recorded that “filius meusbone memorie
Andreas de Brena” had requested her and “fratri meo Willelmo de Tanlay” to
carry out his last wishes, and founded an anniversary for him at Auxerre Saint-
Etienne where he was buried, by charter dated May 1215[2642]. “Eustachia
comitissa Sacricesariensis” donated property to Senan priory, in accordance with
the wishes of “Willelmus Sacricesariensis maritus meus” before leaving “ad
subsidium Terre-Sancte cum domino Petro germano meo, tunc comite
Autissiodorensi”, by charter dated 1218[2643]. “Eustachia comitissa
Sacricæsariensis” noted that “Willemus Sacricæsariensis maritus meus”, on
leaving for “terræ sanctæ cum domino Petro germano meo tunc comite
Autissiodorensi nunc autem Imperatore Constantinopolitano”, requested her to
donate property to the priory of Sens Saint-Etienne by charter dated 1223[2644].
The necrology of La Chartreuse de Bellary records the death "6 Apr" of "Eustache
comtesse de Sancerre"[2645].
Comte Guillaume [I] & his second wife had one child.
[2639] Chantereau le Febvre (1662), Autres preuves par les Actes, p. 35.
[2640] Yonne (suite), 199, p. 89.
[2641] WTC XXIX.XVII, p. 293.
[2642] Yonne (suite), 164, p. 75.
[2643] Yonne (suite), 199, p. 89.
[2644] Bouchet (1661), Preuves, p. 16.
[2645] Obituaires de Sens Tome III, Chartreuse de Bellary, p. 457.
Avant de partir pour Rome où il assistera en 1217 au couronnement de son beau-

père Pierre de Courtenay, il désigne Robert de Courtenay comme tuteur de son
fils Louis.
Il meurt en Orient.
Fonts:
- persona: Base H.Gros, G.de Beauregard (Histoire de la ville de Sancerre) 22 vi
-3068-
2016, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 18 iv 2017
- família 1: G.de Beauregard (Medieval Lands Pascal Sabat Gencher) 20 vi 2016
- família 2: G.Hazard (Anselme T2) vii2009, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG)
18 iv 2017
2.973.609:
MARIE de Charenton (-before May 1210).
m ([1207]) as his second wife, GUILLAUME [I] Comte de Sancerre, son of

ETIENNE [I] de Blois Comte de Sancerre & his wife Alix [Mathilde] de Donzy (-
Epirus 1217).
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Histoire du Berry par Gaspard de La Thaumassière) 21 iii
2011, G.de Beauregard (Histoire des deux villes de Saint-Amand et Montrond /
Mallard 1895) 16 vi 2016, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 18 iv 2017
- família: G.Hazard (Anselme T2) vii2009, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG)
18 iv 2017
2.973.610:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Gaspard Thaumas de La Thaumassière) ix 2010
- família 1: J-P de Palmas (Tournemire), H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie
capétienne, 1998) 2/3/06
2.973.611:
Fille de Philippe de Mehun, Mahaut se marie au début du XIIIe siècle avec Robert
1er de Courtenay, neveu de Louis VII, roi de France et frère de Pierre II de
Constantinople. Sous son impulsion, Mehun devient une ville franche, dynamique
et prospère. Avec Mahaut, s’ouvre à Mehun une période de construction, avec le
nouveau château, l’extension de la collégiale et l’enceinte de ville. Un autre
édifice, quelque peu oublié, est l’abbaye de Beauvoir, en limite entre les terres de
Mehun et de Marmagne. Elle comportait une vaste abbatiale aux colonnes
engagées et aux chapiteaux à crochets entourée de bâtiments conventuels ; elle se
dressait alors au bord de l’Yèvre et abritait les sépultures des seigneurs de
Mehun. Les Archives départementales du Cher conservent dans leur chartrier un
document exceptionnel en relation avec cette abbaye et qui peut être considéré
comme l’une des plus belles chartes de la région.
Fonts:
- persona: D.Thuret (SGG), J-P.de Palmas (Site de la ville de Mehun-sur-Yèvre) 20
iv 2014
- família 1: D.Thuret (SGG), G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de
Berry) ix2009
2.973.611b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Histoire de Berry, par la Thaumassière) ix 2010; , J-
-3069-
M.Thiebaud (Armoiries) 12 x 2010
- naixement: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
- defunció: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
- família 2: Ph.Mathière
2.973.611c:
Fonts:
- persona: o guionneau, J-P de Palmas (Histoire de Berry, par la Thaumassière) ix
2010
- casament 1: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii
2009, G.de Beauregard (Histoire des deux villes de Saint-Amand et Montrond /
Mallard 1895) 16 vi 2016
- casament 2: J-P.de Palmas (Wikipédia) 2 ix 2014
- família 2: Hervé Balestrieri (comm. Thierry Péronnet : généalogie "de
Courtenay", d'après arbres anciens aux AD 86, Vienne, réf. "Carton n° 35", site
Web d'entraide généalogique de la Vienne "GE86") 29.09.2013, J-P.de Palmas
(Wikipédia) 2015
2.973.611d:
Raoul de Courtenay, seigneur d'Illiers en Auxerrois, de Paudy en Berry & de
Neuvy, Comte de Chietti au Royaume de Naples, lequel d'Alix de Montfort, sa
femme n'eut qu'une fille unique, nommée Mahaut, mariée à Philippes, fils puîné
de Guy Comte Flandre & de Mahaut de Béthune, laquelle n'eut aucun enfans.
portrait
-3070-
La Succcession de Mahaut, comtesse de Chietti fut partagée le Lundi après la

saint-Philippe & saint-Jacques 1304, entre Blanche de Bretagne veuve de Philippe
d'Artois comme ayant la garde de ses enfans & Robert de Courtenay, Archevêque
de Reims & Jean de Courtenay, chevalier, son frère.
Source : J-P de Palmas ( Gaspard Thaumas de La Thaumassière : "Histoire de Berry contenant tout ce qui regarde
cette province et le diocèse" ) ix 2010
Fonts:
- persona: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 02.03.2006, J-
P de Palmas (Gaspard Thaumas de La Thaumassière) ix 2010
- casament: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 02.03.2006
- família: Hervé Balestrieri ( communication Thierry Péronnet : généalogie "de
2.973.611e:
Fonts:
- persona: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998)
2/3/06H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06, J-P de
Palmas (Gaspard Thaumas de La Thaumassière) ix 2010
2.973.611f:
Jean de COURTENAY, seigneur en partie de Baillet & de Cloïes près Meaux, étoit
chanoine de Chartres en 1251. chanoine & archidiacre de Paris en 1255. qu'il
plaidoit avec son évêque, ensuite chanoine & chevecier d'Orléans, puis chanoine
de Reims dont il fut élu archevêque, duc & pair de France, après trois ans ou
environ de vacance : Guillaume de Bray, cardinal de saint Marc, avoit été son
compétiteur. Il en fut mis en paisible possession par un bref du pape Clément IV.
du 6. octobre 1266. Il reçut en 1269. dans la plaine de Douzy l'hommage que trois
chevaliers lui firent au nom de l'évêque de Liège, pour la châtellenie de Boüillon,
& gagna en la même année un procès contre les bourgeois & habitans de Reims,
suivant les registres du parlement : il tint le lundi avant l'Ascension 1270. un
concile provincial, contre les prévôts ou baillis des seigneurs laïques, qui malgré
les immunitez ecclésiastiques, s'emparoient des biens meubles des gens d'église,
& il y fut conclu qu'ils seroient excommuniez, si après avoir été avertis, ils ne
s'abstenoient de ces violences ou ne les réparoient pas. Dans la même année il
accompagna saint Loüis à son voïage d'Afrique avec l'évêque de Langres, & par
un ancien registre de la chambre des comptes, rapporté par Marlot, l'on apprend
que ces deux prélats avoient à eux deux trente chevaliers, pour lesquels
l'archevêque touchoit quatre mille livres, & l'évêque trois mille, qu'ils avoient leur
nourriture à l'hôtel du roi, & qu'on leur donna un navire tout appareillé pour le
transport. L'archevêque mourut dans cette expédition le 20. août 1270. suivant
l'obituaire de Reims, le 23. selon d'autres.
voir sa page wikipedia
Fonts:
- persona: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06,
-3071-
F.Ripart (JARRY (Louis), Guillaume de Lorris et le testament d'Alphonse de
Poitiers, Orléans, H. Herluison, 1881), J-P de Palmas (wikipedia & archevêques de
Reims)
2.973.611g:
Fonts:
- naixement: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
- casament 2: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
- família 2: O Guionneau/P.van Kerrebrouck"les Capétiens"
2.973.611-1a:
Fonts:
- persona: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
- família: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
2.973.611-1c:
Fonts:
- persona: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
2.973.611-1a:
Fonts:
- persona: D.Thuret (SGG)
- família: D.Thuret (SGG)
2.973.612:
Fonts:
2.973.616:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Arnaud Auréjac), N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi
2009
Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003,
2.973.617:
Note : pour Thierry Le Hête dans La dynastie capétienne, 1998, Agnès aurait
épousé Raoul, seigneur de Fresne, et ce serait une de ses soeurs, de prénom
inconnu, qui aurait épousé Gibaud de Saint-Vérain.
Note de : H.Tourret - 02.03.2006
La "source Carné" n'était pas une référence admissible et c'est bien une
demoiselle au prénom inconnu, issue du premier mariage de Robert qui épouse
Gibaud de Saint-Vérain ; j'ajoute qu'elle était dame de Bléneau.
-3072-
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (E.de Saint Phalle : études Courtenay ) 12 v 2015
Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003,
2.973.617b:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (Edouard de Saint Phalle "Les Thianges à Vallery"
Bull. de la SAS n° 31 pp 15/20 Sens 1989) 12 xii 2009
- família: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t XIII p 149 (sgrs de Saint-
Vérain) Marburg 1990) 12 v 2015
2.973.618:
Fonts:
- persona: Aurejac
2.973.619a:
Fonts:
- casament: Schwennicke (Detlev) Europäische Stammtafeln t.XIII p. 36 (des
Barres de Boisrozerain) Marburg 1990
- família: H.R.Moser/EuSt-XV/126
2.973.619c:
Fonts:
- persona: G.Levernier (Les Cahiers haut-marnais, n° 146, page 101) 22 iii 2017
- família: G.Levernier (Les Cahiers haut-marnais, n° 146, page 101) 22 iii 2017
2.973.620:
Fonts:
- persona: H.Tourret (Soultrait, nobiliaire du Nivernais) 22/2/06
2.973.621:
Fonts:
2.973.621b:
Fonts:
- persona: M.Rerolle (Corberon, Les sires de Chatillon-en-Bazois, p. 11) 12 ix 2009
2.973.621c:
Fonts:
- persona: M.Rerolle (Corberon, Les sires de Chatillon-en-Bazois, p. 11) 12 ix 2009
2.973.624:
Fonts:
2.973.625:
-3073-
Fonts:
2.973.626:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/140, J-P de Palmas (Dugenne : "dictionnaire de
l'Yonne" et Généalogie Autié de Villemontée) 27 iv 2005
2.973.627:
Fonts:
- família 1: H.R.Moser/EuSt-XIII/140, J-P de Palmas (Dugenne : "dictionnaire de
l'Yonne" et Généalogie Autié de Villemontée) 27 iv 2005
- família 2: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille
des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
2.973.627b:
Fonts:
- persona: PRactMadoux (Dugenne: "dictionnaire de l'Yonne") 3 x 2007
- família: PRactMadoux (Dugenne: "dictionnaire de l'Yonne") 3 x 2007
2.973.628:
Il accorda des franchises à la ville de Saint-Chamond (Loire) en 1224.
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, J-C de Vaugiraud (E.Perroy: Les familles nobles du
Forez au XIII°: Jarez) 27/10/2008
- defunció: J-C de Vaugiraud (E.Perroy: Les familles nobles du Forez au XIII°:
Jarez) 27/10/2008
2.973.629:
Fonts:
2.973.632:
Conforme aux données des chartistes suivants:
J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas p 39 à 47 (1961) et Perroy II p
267 à 282 (1976) 11/09/2008
Ier du nom.
Chevalier, vicomte de Chalon-sur-Saône, baron de Cousan, seigneur de Marcilly. Il
avait succédé à son père en 1242.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas p 39 à 47 (1961) et
Perroy II p 267 à 282 (1976) 11/09/2008
- casament 1: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 12/09/2008
- família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008
-3074-
2.973.633:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008
- casament: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 12/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008
2.973.633a:
IIème du nom.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008, E.Driant /
"La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque municipale
d'Eaubonne)
2.973.633c:
Mentionné dans deux chartes de 1267 et 1294.
Fonts:
2.973.633d:
Fonts:
- família: E.Polti
(http://www.multimania.com/heratlas/Rodumna/forez/familles/damas01.htm)
2.973.633-2a:
Auteur de la branche de Marcilly.
Cette branche a donné les vicomtes de Chalon-sur-Saône, et les comtes de
Sassangy.
Armoiries : "D'or à la croix ancrée de geules et une cotice en bande d'argent".
(Cette brisure fut maintenue jusqu'après 1387. Erard Dalmas la remplaça par un
croissant sur la croix, comme le montre ses différents sceaux.)
La branche cadette des seigneurs de Marcilly, issue au X° degré de la branche

aînée, a formé de nombreux rameaux tous éteints :
- celui des comtes de Sassangy, éteints en 1748 ;
- celui des marquis de Thianges, éteints en 1714 ;
- celui des seigneurs d'Anlezy, éteints en 1800 ;
- celui des seigneurs de Crux, devenus ducs de Damas-Crux, éteints en 1846 ;
- celui des seigneurs de Montagu, éteints en 1579 ;
- celui des seigneurs de Brèves, issu de Montagu, éteints au XVI° siècle.
Ce Robert Dalmas est le Ier du nom.
Damoiseau, puis chevalier, Robert eut dans la partage des biens de sa maison, fait
avec son frère Renaud II, baron de Cousan, les terres de Marcilly, de Monestay et
de Saint-Bonnet, avec la majeure partie de la vicomté de Chalon.
Il rendit l'hommage lige à Hugues IV, duc de Bourgogne, en 1270, pour son
château de Marcilly, en Chalonnais, et le reprit en fief moyennant cent livres de
rente.
-3075-
Il acquit les château et seigneurie d'Aurec, près Monistrol, au diocèse du Puy, en
1279, de Dauphine de Lavieu sa mère, laquelle lui céda en don tout ce qu'elle
avait acquis dans le ressort de Beaune.
Il rendit de nouveau hommage au duc de Bourgogne Robert II, en juin 1291, pour
des acquisitions faites de Guillaume de Saulx, chevalier, soit les terres de Mont-
Marmont, Ancey, Saint-Romain, Andenoy, Pracle et Saint-Micaud.
Fonts:
- família 1: E.Polti (d'après
http://perso.libertysurf.fr/sandrinenouvel/Damas%20de%20Digoine.html#DAMAS
%20DE%20DIGOINE)
2.973.634:
Mineur en 1246.
Fonts:
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne),J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles
nobles du Forez: de Montagny) 09/08/2007
- casament: A Brabant (A.de Carné ) 6.05.05
- família: J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles nobles du Forez: de Montagny)
09/08/2007
2.973.635:
Fonts:
pp. 658/667 (Roanne) La Diana Montbrison 1977 ) 25 ii 2012, A Brabant (A.de
Carné ) 6.05.05
- casament: A Brabant (A.de Carné ) 6.05.05
09/08/2007
2.973.635a:
Fonts:
- persona: Louis-Benoît Verdon (site Forensis) 28 i 2007
09/08/2007
2.973.635b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles nobles du Forez: de Montagny)
09/08/2007
- família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles nobles du Forez: de
Montagny) 09/08/2007
2.973.635c:
Son époux Geoffroy de Chameyré avoue pour elle le mas de Clavellières à Bully en
Roannais en 1292 (à cette date Renaud Damax, époux de Béatrix, vit encore ?).
J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles nobles du Forez: de Montagny) 09/08/2007
-3076-
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Perroy: Les familles nobles du Forez: de Montagny)
09/08/2007
09/08/2007
2.973.636:
seigneur de Roussillon(Isère), seigneur d'Annonay(Ardèche), seigneur d'Anjou et
de Serrières(Isère)
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Jalabert (Dominique-Jacques) Famille de
Roussillon-Anjou H&G n° 125 pp 329/333, déc 1992 ) 9 iii 2014
- defunció: Jalabert (Dominique-Jacques) Famille de Roussillon-Anjou H&G n° 125
pp 329/333 Versailles déc 1992
- família: JL.Mondanel (H&G) 23 iii 2011, J-P.de Palmas (Anjou (Isère)) 13 x 2017
2.973.637:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (H&G) 23 iii 2011
- família: JL.Mondanel (H&G) 23 iii 2011, J-P.de Palmas (Anjou (Isère)) 13 x 2017
2.973.637b:
Fonts:
- persona: J-C Barbier (l'art de vérifier les dates) 23 vii 2007 & PRactMadoux
(Georges Paul: "Armorial du Velay") 25 iii 2012
- defunció: PRactMadoux (Georges Paul: "Armorial du Velay") 25 iii 2012
- família: J-C Barbier (l'art de vérifier les dates) 23 vii 2007
2.973.638:
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Tardieu, Dict. hist. du PdD) 21.02.06,
- família: P.Fauchère (Tardieu, Dict. hist. du PdD) 21.02.06, Aurejac,A Brabant
(site chautru) 31.10.05
2.973.639:
Fonts:
- família: P.Fauchère (Tardieu, Dict. hist. du PdD) 21.02.06, Aurejac,A Brabant
(site chautru) 31.10.05
2.973.639a:
Fonts:
2.973.639c:
À la mort de son frère [lequel ?] Éléonore de Baffie, fille de Guillaume le Vieux et
d’Eléonore du Forez, resta seule héritière de cette puissante maison (1244- ?). À
la mort d’Éleonore (1285), la terre de Viverols entra dans le domaine des comtes
d’Auvergne et y resta un siècle.
-3077-
L’abbé Grivel dans ses chroniques du Livradois nous parle longuement de cette
aimable personne et nous la présente comme une sainte.
Source : Hervé Balestrieri ( Encyclopédie "Wikipédia" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Viverols ) 06.01.2017
Fonts:
- defunció: Hervé Balestrieri ( Encyclopédie "Wikipédia" :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Viverols ) 06.01.2017
- família: H.R.Moser/EuSt-III-4/735
2.973.640:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey)
- defunció: H.de La Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey)
- família: H.de La Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey)
2.973.641:
Fille unique et héritière
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey),
E.Bungener (Guichenon I 397) 8 xii 2016
- defunció: H.de La Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey)
- família: H.de La Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey)
2.973.642:
JB de La Grandière 19/12/2013 suite à message 2013-12-19 16:33:30 d'Yves
Lozach
constat pour cette fiche :
N'est pas dit né exactement en 1180 mais vers 1180 N'est pas mort en octobre
1253 mais avant cette date
Fonts:
- persona: Aurejac, JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t XIV Marburg
1991 (sgrs de Faucigny) tableau. 70) 19 xii 2013
- família 1: D.de Raugl/E.Arminjon
- casament 2: ES XIV tableau 70 Faucigny
- família 2: E.Visseaux/P.Pluchot
2.973.643:
L'épithaphe de sa pierre tombale indique : "Ci gist dame Beatrix fille lo conte
Estevenon dame de Mernay et Geynville".
Fonts:
- persona: E.Polti (message de JE Tollé sur le forum - 2004-03-13 23:22:52)-
YRomain (5.9.09): revue N° 75 de la SalsaJL.Mondanel (H&G) 14 iii 2011
- defunció: L. Gustavsson
- família 1: D.de Raugl/E.Arminjon
- casament 2: YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la Salsa
-3078-
- família 2: E.Polti (message de JE Tollé sur le forum - 2004-03-13 23:22:52),
B.Devoucoux
2.973.643b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud(E.S II Tafel 190) 11/11/2006
- família: J-C de Vaugiraud(E.S II Tafel 190) 11/11/2006
2.973.643-2a:
Jean de Joinville par Merry Joseph Blondel.
Extrait de sa biographie sur wikipedia
Fils de Simon de Joinville et de Béatrice d'Auxonne, fille de Étienne II d'Auxonne,

il appartenait à une famille de la haute noblesse champenoise. Il reçut une
éducation de jeune noble à la cour de Thibaut IV, comte de Champagne : lecture,
écriture, rudiments de latin. À la mort de son père, il devint sénéchal de
Champagne (et fut donc attaché à la personne de Thibaut IV). C'était un homme
très pieux et soucieux de bien administrer sa région.
En 1241, il accompagne son seigneur, Thibaud IV de Champagne, à la cour du roi

de France, Louis IX (futur saint Louis). En 1244, lorsque celui-ci organisa la
septième croisade, Joinville décida de se joindre aux chevaliers chrétiens tout
comme son père l’avait fait 35 ans plus tôt contre les Albigeois. Lors de la
croisade, Joinville se mit au service du roi et devint son conseiller et son confident.
En 1250, quand le roi et ses troupes furent capturés par les mamelouks à
Mansourah, Joinville, parmi les captifs, participa aux négociations et à la collecte
de la rançon. Joinville se rapprocha probablement encore du roi dans les moments
difficiles qui suivirent l’échec de la croisade (mort de son frère Robert, mal
entouré par les autres seigneurs…). C’est Joinville qui conseilla au roi de rester en
Terre sainte au lieu de rentrer immédiatement en France comme l'y poussaient les
autres seigneurs ; le roi suivit l’avis de Joinville.
Pendant les quatre années suivantes, passées en Terre sainte, Joinville fut le
conseiller très écouté du roi. Celui-ci s’amusait des emportements, de la naïveté et
des faiblesses de Joinville, et il le reprenait parfois, mais il savait qu’il pouvait
compter sur son absolu dévouement et sur sa franchise.
En 1270, Louis IX, bien que physiquement très affaibli, se croisa de nouveau avec
ses trois fils. Joinville refusa de le suivre, conscient de l’inefficacité de l’entreprise
et convaincu que le devoir du roi était de ne pas quitter un royaume qui avait
besoin de lui. De fait, l’expédition fut un désastre et le roi mourut devant Tunis le
25 août 1270.
À partir de 1271, la papauté mena une longue enquête au sujet de Louis IX, qui
aboutit à sa canonisation, prononcée en 1297 par Boniface VIII. Comme Joinville
avait été l’intime du roi, son conseiller et son confident, son témoignage en 1282
fut très précieux pour les enquêteurs ecclésiastiques.
-3079-
Vers 1299 Jeanne de Navarre, lui demanda d’écrire la vie de saint Louis.
Il mourut le 24 décembre 1317, âgé de plus de 93 ans, près de 50 ans après le

saint roi. Il fut inhumé dans la chapelle Saint-Joseph de l'église Saint-Laurent du
château de Joinville, aujourd'hui détruit.
Ami et confident du roi Louis IX, qu'il accompagna en 1248 à la VIIe croisade,
Joinville rédige le «livre des saintes paroles et des bons faits de notre roi saint
Louis» à la demande de la reine Jeanne, épouse de Philippe le Bel. Achevée en
1309, l'Histoire de Saint Louis sera dédiée au futur Louis X, auquel le «saint roi»
devra servir de modèle. L'oeuvre comprend deux parties inégales: une première
partie, qui esquisse le portrait anecdotique du roi et une deuxième partie, plus
ample, consacrée à l'histoire de son règne et concentré surtout sur la croisade
d'Égypte.
Ses dates de naissance et décès sont discutées. Pour la naissance il a été donné
1214, 1224, 1228 et 1229; pour le décès, le 11/07/1319 ou le 24/12/1317. Voir sa
page wikipedia
JB de La Grandière 16/5/2010 :
wikipédia ne pouvant ( et ne devant) être une référence en la matière il convient
de retenir les dates de naissance et de décès données par ESS XXVI art. Joinville
p.31, édité 2009 : - naissance précisée après le 3 mars et avant le 1 mai 1224 -
décès le 24/12/1317 ( et non 1319 )
Bibliographie
 Mémoires de Messire Jean Sire de Jonville, témoin oculaire de la vie de

Saint Louis, neufvième du nom et quarante quatrième roy de France, par
Jean de Joinville, F.Arthaud, Benoit d'Héliot (1695-1779), Bibliothèque du
Clergé de Toulouse.
o Memoires de Messire Jean Sire de Jonville, temoin oculaire de la
vie de Saint Louis, neufvième du nom et quarante quatrième roy
de France. Contenans son histoire, et chronique ; avec la
genealogie de la royale Maison de Bourbon. augmentés en cette
edition d' un recit de la sepulture du roy S. Louys, et de l'
abbregé de la vie et mort de la reine Marguerite
Fonts:
- persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, J-C de Vaugiraud (Toile +
E.Jolibois: Haute-Marne) 26/05/2006, J-P.de Palmas (wikipedia & biblio BnF) 16 vii
2012
- naixement: JB de La Grandière (ESS XXVI Joinville p.31, 2009 ) 16 v 2010
- defunció: JB de La Grandière (ESS XXVI Joinville p.31, 2009 ) 16 v 2010
- família 1: H.R.Moser/EuSt, J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les
- família 2: JB.de La Grandiere ( ESS XXVI V.Klosterman p 31 art Joinville, 2009 )
16 v 2010
-3080-
2.973.643-2b:
L'épitaphe de sa pierre tombale est : "c'est la sepulture Marie de Jenville qui fut
famme Jehan signor de Trichastel, laqueux trespassa le jor de l'uictave de
l'asumpcion Nostre-Dame d'aost an l'an M CC L XIII. Priez por l'ame. Amen "
Fonts:
- persona: B. Rousseau (flj1) 11.06 -YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de
la Salsa
- enterrament: YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la Salsa
- casament: YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la Salsa
- família: B. Rousseau (flj1) 11.06, H.R.Moser/EuSt-XV/185
2.973.643-2c:
Obit le 30 octobre (Obituaire du Chapitre, p. 76, n° 526). Note de J.-M. Thiébaud,
25 xi 2010.
Fonts:
- persona: YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la Salsa
2.973.643-2d:
Au service des rois anglais, dès 1254 il participe à l'expédition d'Henri III en
Gascogne, puis il combat les Gallois en 1260, partipe à la bataille d'Evesham le 4
août 1265 ; en 1270, il suit le prince Édouard à la croisade à Tunis puis en Terre
Sainte.
Il est justicier en Irlande avant d'être chargé de plusieurs missions d'ambassade, à
Rome en 1290 et en France en 1298-1299. Dans son testament d'octobre 1263,
distribuant son mobilier aux églises de Champagne, Lorraine et du comté de
Bourgogne, il donne à l'église Saint-Étienne de Besançon "la chasuble de diacre et
l'aube les armes le roi d'Aingleterre"
Joan et Jeanne pourraient-elles être la même personne ?

JB de La Grandière 10/6/2010 ai fusionné Joan et Jeanne suivant Schwennicke
(Detlev) Europäische StamtafeIn t. XXVI VK Francfort 2009 p. 34 (Joinville-
Vaucouleur)
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-VII/9, Renaud de Paysac-YRomain (5.9.09) revue
trimestrielle N° 75 de la Salsa
- família: Renaud de Paysac, H.R.Moser/EuSt-VII/9
2.973.643-2e:
 Il eut en partage la seigneurie de Marnay, au comté de Bourgogne (Delaborde
dit "sire de Marnay"), et fut seigneur de Gex du fait de sa femme.
Il combattit dans les rangs anglais en Gascogne en 1254, se trouvait à Lyon en

mai 1259, et continua de servir le roi d'Angleterre sur le continent (encore en
1273).
 Différence de sources au sujet de sa descendance

-3081-
Anselme cite 4 enfants : Guillaume, Hugues, Pierre et Béatrix.
Delaborde en cite 5 : Pierre, Guillaume, autre Pierre, Béatrix et Agnès.
Hugues, non repris par Delaborde, serait selon Anselme cité avec son
père dans un accord de 1268.
Le premier Pierre, omis par Anselme, aurait été selon Delaborde

prédécesseur de son frère Guillaume comme seigneur de Gex.
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VI, 698 ; Delaborde, Jean de Joinville et les
seigneurs de Joinville, 230)
- defunció: Stéphane Bontron (Delaborde, Jean de Joinville et les seigneurs de
Joinville, 230)
- casament: Stéphane Bontron (Delaborde, Jean de Joinville et les seigneurs de
Joinville, 230)
- família: Stéphane Bontron (Anselme, VI, 698 ; Delaborde, Jean de Joinville et les
seigneurs de Joinville, 230)
2.973.643-2f:
Elle fonde avant 1276 un hôpital voué à Saint-Nicolas, à Saint-Loup-sur Semouse
(auj. Haute-Saône), qu'elle donne en avril 1302 à l'abbaye d'Hérival, assorti d'une
rente annuelle de 15 livres de tournois assignée sur les revenus du four banal du
lieu. En janvier 1286 elle fonde aussi un couvent de moniales qu'elle place sous
l'invocation de Sainte-Claire à Montigny-lès-Vesoul, où elle fut inhumée.
Elle fit son testament le 25 juillet 1312 au château de Lieffrans. Sa pierre tombale
a été déposée et scellée dans un mur de l'entrée du musée Georges-Garret de
Vesoul (J-M Thiebaud -Forum -02/09/2006). On peut lire comme épithaphe : " Ci
gist noble dame Heloys de Jainville dame de Faucoigney qui Deus accoille a
fonday ceste maison sus son heritaige et trespassa en l'an de nostre Signour M
CCC et XII le cinq de aoust. Proyez por larme de li.(YRomain (5.9.09) revue
trimestrielle N° 75 de la Salsa
Elle porte le titre de "vicomtesse de Vesoul" dans son testament rédigé devant
l'Officialité de Besançon.
Eloies ou Simonette
N.Powis (Plumet) 7/1/2008
Fonts:
- persona: Jean-Emile Tollé (2 ix 2006); Jean-Marie Thiébaud (ms fr 32974, fol. 20),
testament d'Helvis alias Heluis de Joinville en 1312, J-C de Vaugiraud (ES III-3 T.
442) 13/09/2006-YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la Salsa
- enterrament: YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la Salsa
- casament 1: YRomain (5.9.09) revue trimestrielle N° 75 de la Salsa
- família 1: E.Polti (message de JE Tollé sur le forum - 2004-03-13 23:22:52), J-C de
-3082-
Vaugiraud (ES III-3 T. 442) 13/09/2006, Ch. de Bouclans (in Mesmay) (30.XII.08),
Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base Pierre Bruger) 16 vi 2009, J-M.Thiebaud
(Geneanet, base Patrice Riblet) 28 iv 2016
- casament 2: N.Powis (Plumet) 7/1/2008
- família 2: N.Powis (Plumet) 7/1/2008, S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de
Trazégnies-2011/2016-http://racineshistoire.free.fr/LGN)23.02.2016
2.973.644:
Fonts:
- persona: D.de Raugl/E.Arminjon
- família: D.de Raugl/E.Arminjon, H.R.Moser/EuSt-XI/153, J-P de Palmas (Fondation
des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice, 1999) i2010
2.973.645:
Fonts:
- persona: D.de Raugl/E.Arminjon
- família: D.de Raugl/E.Arminjon, H.R.Moser/EuSt-XI/153, J-P de Palmas (Fondation
des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice, 1999) i2010
2.973.646:
ULRIC [IV] (-1 Aug 1225). “Ulrico Novi Castri domino” settled disputes with
Frienisberg convent, with the support of “filii eiusdemRudolphus, Ulricus,
Bertholdus”, by charter dated 1182[1813]. "Dominus Ulricus de Novo castro"
donated property at Granges to the abbey of Bellelay, with the consent of "uxore
sua et duobus filiis suis…Rudolpho…et Ulrico", by charter dated 1189[1814].
“Radulphus de Novo Castro dominusUlricus frater eius” settled a dispute with
Hauterive, with the consent of “Berta mater nostra, Bertoldus frater noster,
uxoresque nostre Comitisse et Gertrudis”, by charter dated to [1190][1815].
Comte et Seigneur de Neuchâtel. “Uldricus comes et dominus de Novo Castro”
donated property Hauterive, with the consent of “fratris mei Berchtoldi
Lausannensis ecclesie thesaurarii etuxoris mei fratris pie recordationis Radulphi
comitisuxore mea”, by charter dated 30 Aug 1196[1816]. “Uldricus comes et Novi
Castri dominus” donated property to Hauterive, with the consent of “frater meus
Bertodus thesaurarius Lausannensis et filius meus Rodulphus et nepos meus
Bertodus et uxor mea Gertrudix”, by charter dated 1201[1817]. "Bertholdus
Basiliensis prepositus et Ulricus frater meus et Bertholdus fratruelis meus, domini
Novi Castri" confirmed the donations to the abbey of Saint-Jean de Cerlier by
"nostris progenitoribus…fundatoribus et episcopo Ruodolfo Basiliensi
cofundatore", by charter dated to [1209][1818]. "Ulricus comes et B. domnus
Novi-Castri" confirmed the donations to the abbey of Théla by "bone memorie
Ulricus pater noster domnus Novi Castri", with the consent of "Rodulfo domni
comitis filio", by charter dated Jul 1214[1819]. A charter dated 6 Jun 1216 records
that "Vldricus comes et Bertodus nepos eius, domini Novicastri" settled a dispute
between the church of Lausanne and "Rodulphum comitem de Gruere…et filius
suus Rodulphus"[1820]. "Ulricus comes et Bertoldus dominus Novi Castri"
recognised an obligation to the bishop of Lausanne, with the consent of "filiorum
nostrorum", by charter dated 14 Jul 1221[1821]. “Ulricus comes et dominus
Novicastri” donated property to Kloster Erlach, with the consent of “filiis meis
Rodolfo, Ottone, Berchtoldo, Heinrico et Ulrico”, by charter dated 22 Jun
1225[1822].
-3083-
m firstly GERTRUD, daughter of --- (-after 1201). “Radulphus de Novo Castro
dominusUlricus frater eius” settled a dispute with Hauterive, with the consent of
“Berta mater nostra, Bertoldus frater noster, uxoresque nostre Comitisse et
Gertrudis”, by charter dated to [1190][1823]. “Uldricus comes et dominus de
Novo Castro” donated property Hauterive, with the consent of “fratris mei
Berchtoldi Lausannensis ecclesie thesaurarii etuxoris mei fratris pie recordationis
Radulphi comitisuxore mea”, by charter dated 30 Aug 1196[1824]. “Uldricus
comes et Novi Castri dominus” donated property to Hauterive, with the consent of
“frater meus Bertodus thesaurarius Lausannensis et filius meus Rodulphus et
nepos meus Bertodus et uxor mea Gertrudix”, by charter dated 1201[1825].
m secondly ([1201/02]) JOLANTHE von Urach, daughter of EGINO [IV] "dem

Bärtigen" Graf von Urach & his wife Agnes von Zähringen. The primary source
which confirms her parentage and marriage has not yet been identified. Heiress of
Arberg.
Ulric [IV] & his first wife had one child.
Ulrich [IV] & his [first/second] wife had nine children.
[1813] Neuchâtel (Matile), Vol. I, XXXIV, p. 25.
[1814] Trouillat (1852), Tome I, 271, p. 416.
[1815] Bern Urkunden, Band I, 87, p. 151.
[1817] Neuchâtel (Matile), Vol. I, XLVIII, p. 38.
[1819] Monthéron, 19, p. 57.
[1820] Hisely (1867), 25, p. 28.
[1821] Zapf, Vol. I, LII, p. 117.
[1825] Neuchâtel (Matile), Vol. I, XLVIII, p. 38.
Fonts:
-3084-
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
- família 2: H.R.Moser/SchwGH, J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
2.973.647:
Héritière d'Arberg.
JOLANTHE . Heiress of Arberg. m (before 1202) as his second wife, ULRIC [IV]
Comte de Neuchâtel, son of ULRIC [III] Seigneur de Neuchâtel & his wife Berta ---
(-1 Aug 1225).
Fonts:
- família: H.R.Moser/SchwGH, J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
2.973.647a:
OTTO (-2 Jul after 1245). “Ulricus comes et dominus Novicastri” donated property
to Kloster Erlach, with the consent of “filiis meis Rodolfo, Ottone, Berchtoldo,
Heinrico et Ulrico”, by charter dated 22 Jun 1225[1829]. "Ruodolfus comes de
Novo castro" donated revenue to the church of Saint-Jean de Cerlier, with the
consent of "fratribus meis Ottone, Berchtoldo, Heinrico et Ulrico", by charter
dated 5 Dec 1234[1830]. “Rodulphus comes Novi Castri” sold property to the
abbey of Saint-Jean, with the consent of “fratrum meorum domini Ottonis prepositi
Solodorensis et domini Henrici archidiaconi Basiliensis et domini Ulrici de Arberg
et domini Berthodi de Valengin”, by charter dated 9 Jun 1242[1831].
[1831] Neuchâtel (Matile), Vol. I, CXVII, p. 98.
Fonts:
2.973.647b:
Fonts:
- persona: E.Bungener (Rübel-Blass T. 115) 21 x 2017
- família: H.R.Moser/SchwGH
2.973.647c:
Fonts:
- persona: E.Bungener (ahneninfo.com-P. A. von Segesser) 5 iii 2014
- família: H.R.Moser/EuSt-XV+SchwGH
2.973.647d:
Fonts:
-3085-
2.973.647e:
Fonts:
2.973.647-1a:
Fonts:
2.973.648:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (pour filiation deuxième fils) 30 ix 2013
2.973.649b:
Fonts:
- persona: Grégoire de Thoury (Nobiliaire de Nivernois) 23.XII.09, JB.de La
Grandiere (dévolution La Bouë et Anlezy ) 30 ix 2013
- família: Grégoire de Thoury (Nobiliaire de Nivernois) 23.XII.09
2.973.650:
cadet de la maison de Roanne.
Fonts:
pp. 658/667 (Roanne) La Diana Montbrison 1977 ) 25 ii 2012, JB.de La Grandiere (
Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II pp 738/748 (St Germain) La
Diana Montbrison 1977 ) 25 ii 2012
- família 1: JB.de La Grandiere ( Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II
2.973.651:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II
2.973.651a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Villenaut: Chatelperron p 504 et 505) 24/01/2007
- família: J-C de Vaugiraud (Villenaut: Chatelperron p 504 et 505) 24/01/2007
2.973.651-2a:
Fonts:
- persona: , JB.de La Grandiere (Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II
pp 738/748 (St Germain) La Diana Montbrison 1977 ) 25 ii 2012
2.973.651-2b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II
2.973.652:
-3086-
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", 2013, qui modifie
et complémente) 19 xii 2014
- defunció: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- família: JB.de La Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", 2013, qui modifie et
complémente) 19 xii 2014
2.973.653:
Serait probablement Marie de Maligny !
J-C de Vaugiraud (E. de Saint Phalle, rép. 01.II.619 Maligny (de) in H&G n°160,
09/2001, pp. 288-290) 10 iv 2015
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", 2013, qui modifie et
complémente) 19 xii 2014
2.973.656:
Fonts:
2.973.660:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Site Descendants de Guillaume De Rochebaron et de
2.973.661:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Site Descendants de Guillaume De Rochebaron et de
2.973.662:
Teste le 23 novembre 1263.
Fonts:
- persona: J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008
- defunció: M.Rérolle (Remacle, t. 1, p. 21) 13 xii 2009
- família: J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008, M.Rerolle (Remacle, t. 1, p. 21) 13 xii
2009
2.973.663:
Fonts:
- persona: J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008
- família: J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008, M.Rerolle (Remacle, t. 1, p. 21) 13 xii
2009
2.973.663a:
-3087-
Fonts:
- persona: J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008, JL.Mondanel (généalogie d'Alègre) 24
iii 2011
- família: J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008
2.974.464:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Hippolyte de Barrau : "Documents.du Rouergue" t.II
Combret pp.53-66, Rodez 1854) 17 vii 2016
2.974.468:
Descendant à la 11éme génération de Chaffelin, premier seigneur de Thézan près
de Béziers avant 990
D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer)
Fonts:
2.974.469:
Fonts:
2.974.469b:
Fonts:
2.974.469c:
Fonts:
2.974.469-1a:
Fonts:
- família 1: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in "
Filiations Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9 i 2017
2.974.469-1c:
Fonts:
2.974.469-1d:
-3088-
Fonts:
2.974.472:
Le roi Philippe II Auguste le comprit parmi les seigneurs vassaux de l'église de
Maguelonne, qui avaient la justice civile et criminelle dans leur domaine, dans la
charte que ce prince donna, en 1208, en faveur de cette église.
Il rendit hommage au Roi, le 22 avril 1222, de tout ce qu'il tenait relevant de lui,
sans préjudice de l'hommage qu'il devait à l'évêque de Maguelonne, pour les
terres de Ganges et de Brissac.
Ayant encore été dépossédé des terres de Bernis, Uchaud et Alborn, par le Roi,
pendant qu'il faisait le siège d'Avignon, il exposa au sénéchal de Nismes que la
juridiction de Bernis, Uchaud et Alborn lui appartenait et à ses enfants, du chef de
sa première femme; sur quoi le sénéchal de Nismes ayant ordonné une enquête, il
rétablit en 1345 ledit Raymond II de Pierre, dans la possession de la quatrième
partie desdites terres qu'une branche de ses descendants a possédé sous le nom
de Ganges, jusqu'à son extinction, en la personne de Jeanne de Ganges, fille
héritière d'Antoine de Ganges, laquelle les vendit le 24 avril 1531 à Jacques de
Sarats.
Fonts:
- persona: F. de Bernis (Généalogie de la Maison de Pierre de Bernis par G. de
Bernis en 1933)
- família 1, família 2: J-P.de Palmas (Filiations Languedociennes, Hubert de
Vergnette, 2006) 14 xii 2014
2.974.473:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Filiations Languedociennes, Hubert de Vergnette, 2006)
14 xii 2014
2.974.473b:
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (Filiations Languedociennes, Hubert
de Vergnette, 2006) 14 xii 2014
2.974.488:
Fonts:
2.974.489:
Fonts:
2.974.592:
Fonts:
2.974.593:
-3089-
Fonts:
2.974.594:
JBLG 9/12/2014
Son surnom indique bien sa vigueur au combat : il taillait (en pièces) les rangs (des
combattants adverses)
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 47, 19/11/2012
- família: R.Sekulovich (geneanet : cchanj) 29 ix 2015
2.974.595:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (site racineshistoires.free.fr/Etienne Pattou) 29/05/2012
2.974.595b:
Etant parti pour la Terre-Sainte sur la fin de 1238, ou au commencement de 1239,
il y mourut vers 1243, ainsi que le prouve évidemment un acte du mois de janvier
1243 (vieux style) qui est rapporté, page 24, à l'article d'Hélie VI, son fils.
Avant son départ pour la Terre-Sainte, disent les Bénédictins, il fit cession à
Boson, son neveu, de la seigneurie de Grignols.
-3090-
Fonts:
- persona: A. Euverte (Histoire de Sainte-Bazeille par l'abbé Alis)
2.974.595c:
Deuxième branche de la Maison des Comtes de Périgord, du nom de Talleyrand,
dite aussi des Seigneurs et Comtes de Grignols et Princes de Chalais
Il avait accompagné Saint-Louis, roi de France, à la Terre-Sainte, ce qui est

constaté par une quittance de 1251, souscrite par Marguerite sa femme, à
Gaillarde, comtesse de Périgord, qui était alors tutrice d'Archambaud III, son fils,
et il paraît qu'il mourut en Palestine.
Il se voit confirmer sa possession du château de Grignols, en janvier 1245, par

Hélie VIII.
-3091-
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 48, 19/11/2012
2.974.595e:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich (geneanet : cchanj) 29 ix 2015
2.974.596:
Fit la guerre à Pierre, évêque du Puy, ce qui força Louis le jeune de venir en
Auvergne avec une armée. Il fut fait prisonnier par l'armée de ce prince et mené à
Paris en 1171. En 1198, son oncle Robert, dauphin de Clermont lui donna sa part
-3092-
du château de Salzuit, dont les Polignac possédaient une partie.En 1209 il
participa à la guerre contre les Albigeois. Il alla s'enfermer dans l'abbaye de
Citeaux où il mourut comme moine. Il vivait encore en 1213.
Sources - suite :S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de

Polignac-2002)04.05.2016
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle), J-P de Palmas (Histoire du Velay jusqu'à la fin
du règne de Louis XV, Volume 1 par Jean-André Michel Arnaud) iii2010, suite dans
case "notes"
- família: J-P de Palmas (FMG), S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie
de la Maison de Polignac-2002)03.05.2016
2.974.597:
Elle apporta la seigneurie de Lavilledieu, près d'Aubenas et le château de Prades.
Fonts:
Polignac-2002)03.05.2016
- família: J-P de Palmas (FMG), S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie
de la Maison de Polignac-2002)03.05.2016
2.974.597b:
Reçut les terres de l'Emblavèz. Il entra dans les ordres et fut nommé prevôt dela
cathédrale et abbé de Saint Pierre la Tour. Le 28 avril 1251, Renaud, abbé de
Tournus fit donation à l'abbé de Polignac, de la terre de la Voûte, qui rendit foi et
hommage à l'abbé de Tournus. Bernard de Ventadour, bine certain que le chapitre
accepterait le choix qu'il avait fait de son successeur, se démit en faveur
d'Armand en septembre 1255 et c'est ainsi qu'il fut élu évêque du Puy. Il fut
consacré par l'archevêque de Vienne, cette même année, dans la basilique du Puy.
Fonts:
- persona: A.de Vial (Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, de Pierre
Cubizolles, 2005) 15.11.09
- defunció: A.de Vial (Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, de
Pierre Cubizolles, 2005) 15.11.09
- enterrament: A.de Vial (Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, de
Pierre Cubizolles, 2005) 15.11.09
2.974.597c:
Destinée inconnue.
Fonts:
Polignac-2002)03.05.2016
2.974.597d:
-3093-
Fonts:
Polignac-2002)03.05.2016
2.974.598:
Bibliophilie
SOUPLET Maxime. (Chanoine de la Cathédrale de Verdun - Aumônier du Collège).

JACQUES DE TROYES Le "Pacificateur" Evêque de Verdun (1247) 1253-1255.
Pape Urbain IV. 1261-1264. Edité pour le VIIe centenaire de la prise de
possession par Jacques de Troyes du Siège de Verdun, Fête Dieu, 16 et 17 juin
1954. Permis d'Imprimer, Verdun 29 mai 1954. In8 broché. Couverture illustrée.
110 pages. Illustré de Photogravures nb in et hors-texte. Bon exemplaire, peu
courant. - Prix : 32.00 €
TABLE / Lettre de Son Excellence Mgr Petit - Introduction - A Troyes : ses jeunes
années - L'étudiant. - A Laon : le chapelain d'Anselme de Mauny - Le chanoine de
Laon. - A Liége : Son activité d'archidiacre - Jacques de Troyes et Sainte Julienne -
Jacques assistait-t-il au Concile de Lyon ? - Les sept années cardinales 1246-1253.
- Les deux légations 1247 et 1251. - A Verdun : Jacques de Troyes entre dans
l'histoire de Verdun - Raoul de Thourotte (1224-1245). - Guy de Trainel et Guy de
Mello - L'Evêque élu de Verdun - L'élu Jean supplée Jacques à Verdun -
L'épiscopat effectif à Verdun - L'arbitrage de 1254 - A Jérusalem : Robert de Milan
succède à Jacques de Troyes - Le patriarche de Jérusalem. - A Orvieto : Le pape
Urbain IV (1261-1264) - La pacification de l'Italie - L'Union des Eglises -
L'établissement de la Fête-Dieu. - Le Pape Urbain IV et Verdun - Traditions
eucharistiques verdunoises - Retour à Troyes : la glorification d'Urbain IV à
Troyes (1905-1936). Epilogue.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Bibliophilie) iii-2009, JB de La Grandière (E. de Saint
Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in
Bulletin de La Société Académique de l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- casament: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de
l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010
2.974.599:
Agnès est mariée dès 1195 à Garnier de Trainel. L’époux est membre de la
puissante famille qui domine une vaste région allant de La Motte-Tilly à Venisy, et
de Grange-le-Bocage à Marigny-le-Châtel. En 1212, Dreux de Mello accepte que
sa fille lègue au Paraclet 40 sous provinois à prendre sur la cense de Voisines le
jour de la Sainte Croix en septembre. Le patriarche a organisé de son vivant sa
succession, amplifiant les orientations géographiques de la nouvelle génération :
Voisines ira aux Trainel.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Voisines, paroisse de Thorigny sur Oreuse) iii-2009
- casament: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de
-3094-
l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010
2.974.599a:
Le château de Marigny
On ignore l'époque exacte à laquelle la Maison de Trainel entra en possession de

la seigneurie de Marigny. Le premier membre connu comme l'ayant possédée est
Garnier II de Trainel. Comme lui, Garnier III, son fils ne figure pas dans les
chartes comme seigneur de Marigny mais la preuve de son titre est la trace d'une
rente qu'il constituait en 1201, au chapitre Saint Pierre de Troyes, de 4 livres10
sols sur son marché de Marigny. Avec Garnier IV, premier seigneur de Marigny
déclaré sur les chartes, puis Garnier V, dernier mâle de cette branche, prit fin la
succession des Garnier de Trainel.
Bibliophilie
DEFER (Abbé). Histoire de Trainel.

Sainte-Savine, 1993
vol. pet. in-8 , cart. édit., 248 pp.
37,00 Euros
Le doyenné, le château, les seigneurs de Trainel, Châteauvillain, Mornay, des

Ursins, Beaujeu, etc. Trainel se trouve dans l'arrondissement et le canton de
Nogent-sur-Seine. Réimpr. de l'édition de 1884.
Les reliques
Les reliques étaient aussi et surtout une source de bénéfices importants, car les
pèlerins qu'elles drainaient "ne manquaient pas de déposer des offrandes pour
implorer une grâce ou une guérison" Réau, op. cit., p. 402.. Les quêtes
rapportaient des revenus colossaux aux monastères. Les reliques expédiées par
Garnier de Trainel de Constantinople à Troyes permirent de reconstruire la
cathédrale de la ville qui avait été incendiée. De nombreux édifices religieux
furent agrandis ou embellis grâce aux dons recueillis lors des pèlerinages.
L'abbaye de Vauluisant
Au coeur de la forêt de Lancy, dans le hameau de la Charmée, se niche l'abbaye

de Vauluisant.
Rien à voir avec les grandes abbayes auxquelles nous a habitué la Bourgogne. Il
nous semble arriver là à une grosse ferme fortifiée avec ses tourelles encadrant le
porche. Fondée en 1127, par un groupe de moines du monastère de Preuilly, elle
avait pour vocation de défricher cette portion de territoire particulièrement
ingrate.
Plusieurs fois pillée et détruite, c'est au XVIème siècle qu'elle connaîtra renom et
succès avec la construction de bâtiments qui en modifient totalement l'image. Ces
-3095-
bâtiments remaniés, tournés vers l'exploitation agricole sont disséminés dans un
superbe parc.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Notes personnelles) 25/05/2006, J-P de Palmas
(bibliophilie et Abbaye de Vauluisant) iii-2009,JB de La Grandière (E. de Saint
Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in
Bulletin de La Société Académique de l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- defunció: Edouard de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de Venizy du
XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube t CXXXII
2008
- família: J-P de Palmas (Les comtes du Perche) 18-iii-2009
2.974.599b:
Voisines est au pouvoir d’une branche cadette de la famille de Trainel durant un
siècle et demi. Comme souvent en pareil cas cette présence est fort discrète. Les
familles évitent de se séparer des biens qui constituent le cœur de leurs héritages
et les actes sont rares.
Héritier de sa mère, Anseau de Trainel choisit de s’installer à Voisines de

préférence à ses autres domaines : Soligny, Sommefontaine, Esternay et
Gélannes. Il porte le titre seigneurial en "honneur de Voisines dès 1233. Cela
signifie qu’il dispose d’un pouvoir étendu sur tout ou partie du village. Le grand-
père Dreux de Mello n’ayant pas résidé dans le Sénonais et ayant préféré d’autres
villages pour asseoir un titre, nous ne savons pas remonter plus haut dans la
naissance de la seigneurie de Voisines. Néanmoins c’est à Voisines qu’apparaît la
première des seigneuries du domaine royal qui ne soit pas issue du patrimoine des
vicomtes de Sens. L’honneur conféré à Voisines était-il octroyé au petit-fils du
connétable de France à la bataille de Bouvines ou au grand baron champenois ?
Anseau de Trainel aurait-il pu vivre sans titre seigneurial sous prétexte qu’il vivait
en France ? À peine sorti de la paroisse de Voisines pour entrer en Champagne, il
aurait pu porter le titre sans difficulté. Anseau de Trainel épouse en 1230
Mathilde, fille du vicomte Guillaume de Melun (†1221) et d’Agnès de Montreuil-
Bellay, grand-tante de l’Archevêque de Sens Guillaume de Melun (†1329) et tante
du maréchal de France Simon de Melun (+1302). Autant dire que le service de
l’État et de l’Église habite sa belle-famille. Veuf, il se remarie entre 1234 et 1255
avec Agnès de Mont-Saint-Jean. Cette bourguignonne lui survivra en 1301. En
1233 le comte de Champagne ratifie la vente par Anseau seigneur de Voisines de
320 arpents de bois et de terre (environ 150 hectares) moyennant 50 sous
provinois l’arpent, dans le bois de "Haietum" à Lailly. D’août 1248 à décembre
1255 le sire de Voisines est maréchal de Champagne au service du comte Thibault
IV le Chansonnier (†1253) et de sa veuve Marguerite de Bourbon (†1258) régente
jusqu’à la fin de l’année 1256. En décembre 1255, le maréchal obtient
l’autorisation archiépiscopale de faire célébrer des offices dans la chapelle
nouvellement bâtie dans sa maison de Voisines. On en déduira que son logement
n’est pas un château, ce qui fragilise le statut seigneurial de Voisines. Anseau de
Trainel devient connétable de Champagne d’octobre 1262 à novembre 1263 pour
le compte de Thibault le Jeune (†1270). En octobre 1263 il est gouverneur du
comté quand Thibault part en croisade, preuve de l’éminente confiance dont il
jouit. En 1262 le connétable cède à l’abbaye de Vauluisant le bois de Nozeaux
racheté par lui aux moines de Saint-Pierre-le-Vif moyennant une rente de trois
-3096-
muids à prendre sur la terre de Sommefontaine. Les moines de Sens avaient
bénéficié d’un don de Dreux seigneur de Trainel. Ce bois est situé à Sognes. Le
connétable décède entre 1264 et 1268. Il est enterré à Vauluisant. Son obit
(service religieux du souvenir) est célébré à la cathédrale de Sens en 1263-1267.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Voisines, paroisse de Thorigny sur Oreuse) iii-2009
- defunció: Son obit (service religieux du souvenir) est célébré à la cathédrale de
Sens en 1263-1267.
- família 1, família 2: J-P de Palmas (Voisines, paroisse de Thorigny sur Oreuse) iii-
2009
2.974.599d:
Elle est bien citée sous ce prénom par: H-F. Delaborde, Roserot et Schwennicke
mais je n'ai aucune piste pour sa famille et son ascendance !
La généalogie de Trainel présentée par ESS répond parfaitement à l'interrogation

précitée.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (H-F. Delaborde: Jean de Joinville et les seigneurs de
Joinville) 07/01/2010, JB.de La Grandiere ( ESS t XIII p 156 Trainel, 1990) 5 iv
2010
2.974.599e:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( ESS XIII p 156 Trainel,1990 ) 5 iv 2010
2.974.600:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) v 2010
- família: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
2.974.601:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Famille de Peyre) v 2010
- família: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
2.974.604:
Fonts:
-3097-
2.974.605:
- Son ascendance n'est pas donnée par ES XIV, T. 102 ?
- Semble confondue par plusieurs auteurs avec Alix de Bourgogne ?
- Hypothèse: Alix de Chamalières serait la même qu'Alix de Bourgogne mais aurait
peut-être reçu de ses beaux-parents (par exemple en douaire ou suite à échange)
la terre de Chamalières (qui était entre les mains des Dauphins d'Auvergne depuis
la fin du XII° siècle suite à alliance).
Fonts:
2.974.605b:
Fonts:
2.974.605c:
Odilon de Mercœur, mort le 28 janvier 1274, est un ecclésiastique français. Il fut
en effet évêque de Mende entre 1247 et 1274. Il appartenait à la noble famille des
Mercœur, seigneurs en Auvergne et en Gévaudan
Biographie
Odilon de Mercœur est le fils du seigneur et baron Béraud VII de Mercœur et

d'Alix de Bourgogne. Il est donc le neveu de l'évêque du Puy, Odilon de Mercœur,
et apparenté à l'abbé de Cluny, saint Odilon.
Rapidement, il reçoit en apanage la seigneurie de Saugues en Gévaudan. En effet,

les Mercœur font partie des huit barons du Gévaudan, et Saugues et l'une des
places fortes de leur territoire. Dans les années 1230, il est doyen, ou peut-être
prévôt, de la collégiale de Saint-Julien-de-Brioude.
En 1246 meurt Étienne de Brioude, évêque de Mende. Sa succession pose

quelques problèmes. Les deux candidats, Bernard de Châteauneuf et Armand de
Peyre, arrivent à égalité et renoncent tous deux à l'évêché auprès du pape
Innocent IV. Le diocèse est alors administré par le doyen de Bourges. Il semble
que ce soit le pape qui ait alors nommé Odilon de Mercœur comme évêque.
Ses débuts à la tête de l'évêché sont assez difficiles, puisqu'il rentre rapidement
en conflit avec le baron du Tournel, protecteur de son prédécesseur. Il s'empare
alors du château de Chapieu, en 1247, qu'il ne rend qu'en 1254, après avoir fait la
paix et reçu les hommages.
Pendant ce temps, il profite de la faiblesse de la baronnie de Cénaret pour

agrandir le domaine épiscopal en Gévaudan. Il tente même, avec le soutien du
pape, de recevoir la vicomté de Grèzes, mais en vain.
-3098-
Vers 1255 il est officiellement consacré évêque. S'il possédait l'évêché, il n'avait
cependant pas été consacré, car il n'est pas encore prêtre.
En 1256, il dédit le nouvel autel de l'église-cathédrale de Mende à saint Privat. Il

opère donc la translation des reliques de saint Julien, auquel l'autel était
précédemment dédié, dans la crypte de Privat en remplacement des siennes, qui
prirent place sous l'autel.
À partir de cette date, il va considérablement accroître le pouvoir temporel des

évêques sur le Gévaudan. Il meurt le 28 janvier 1274.
Extrait de wikipedia
Château d'Esplantas
Les Mercoeur font édifier sur un éperon rocheux un donjon circulaire au XIIIème
siècle et un corps de logis remanié entre le XVIème et le XVIIIème siècle. Sa
construction semble pouvoir être attribuée à Odilon de Mercoeur, évèque de
Mende de 1247 à 1274, seigneur à titre personnel de Saugues, Esplantas, Saint
Cirgues et Murs. Puis cette place passe aux mains des Dauphin d'Auvergne qui
héritent du patrimoine des Mercoeur en 1339. (Château d'Esplantas)
Voir la page du château d'Esplantas
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010, J-P de Palmas (Liste des
évêques & château d'Esplantas) xii2009
2.974.605d:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010, L.B. de Rougé (Béatrice
de Montmorin);
- família: L.B. de Rougé (Béatrice de Montmorin)
2.974.606:
Succédant à son père à son décès en 1216, il reçut également du roi Philippe-
Auguste la garde de l'Auvergne, nouvelle province intégrée au domaine royal et
confisquée au comte Guy II d'Auvergne en 1213, comprenant notamment le
château de Tournoël.
Il fut promis à Guigone de Forez vers 1205 (mais le mariage ne se fit pas) pour
consolider sa position nouvelle. Il fut connétable de France avant 1210.
En mars 1215, le roi Philippe Auguste l'institua gardien et défenseur du pays

d'Auvergne, comme son père l'avait été, et des forteresses qu'il avait conquises
sur le comte Guy d'Auvergne, sous promesse de rendre ces places au roi au
premier commandement qu'il lui en ferait. Il reçut, en 1223, la charge de
connétable d'Auvergne et il exerçait encore sous le règne de St Louis par le
-3099-
commandement duquel il remit en 1229, le château de Pontgibault à Guillaume,
comte de Clermont, fils de Dauphin, qui l'obligea, sous la caution de plusieurs
seigneurs de ne s'en servir ni contre le roi, ni contre lui. Il confirma les coutumes
de Villefranche en décembre 1217.
Il mourut, selon André Leguai (Histoire du Bourbonnais, p. 24), à la bataille de
Taillebourg. Celle-ci eut lieu le 21 juillet 1242. S'il a été tué, comme indiqué ici, le
23 juillet, ce n'est pas à Taillebourg, mais à la bataille qui suivit, sous les murs de
Saintes. (P. Fauchère 19.08.10)
ARCHAMBAUD [VIII] "le Grand" de Dampierre, son of GUY [II] Seigneur de

Dampierre & his wife Mathilde de Bourbon Dame de Bourbon (-killed in battle
Cognat, Allier 23 Aug 1242). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names
"primogenitus Erchenbaldus…secundus Guilelmus de Moyelen et de
Dampetra…tertius Guido" as the three sons of "Guido de Dampetra"[704].
“Guillelmus dominus de Dampetra…ligius homo domini comitis Campanie” agreed
peace terms with “dominum Theobaldum comitem Campanie” by charter dated 31
Dec 1223, which names “dominum Archembaudum fratrem meum…”[705]. He
succeeded his mother in 1228 as Sire de Bourbon. “Archambaudus dominus
Borboniensis” reached agreement with “domino Regnaudo Carentonii” concerning
their fiefs “burgo sancti Satyri” by charter dated 1226[706].
Betrothed ([1205/06]) GUIGONE de Forez, daughter of GUY [III] Comte de Forez

[Albon] & his second wife Adelasia --- (-after 1239). Philippe II King of France
confirmed the conditions of the proposed marriages between "Guigue fils du
comte de Forez, et une fille de Guy de Dampierre" and "Archambaud, fils de Guy
de Dampierre, et Guigone, fille dudit comte de Forez" by charter dated [10 Apr
1205/1 Apr 1206][707]. No evidence has been found that this marriage was ever
finalised.
m BEATRIX de Montluçon, daughter of ARCHAMBAUD Sire de Montluçon & his

wife ---. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines refers to the wife of
"primogenitus Erchenbaldus [filius Guido de Dampetra]" as "filia alterius
Erchenbaldi de Monte Lucionis" and in a later passage names her "Beatrici de
Borbon", although in the latter the Chronicle incorrectly names her husband
"Guidonem de Dampetra"[708]. 1215.
Archambaud [VIII] & his wife had five children.
[706] La Thaumassière, G. T. de (1679) Les anciennes et nouvelles coûtumes

locales de Berry (Bourges), p. 142.
[707] Huillard-Bréholles (1867), Tome I, 49A, p. 13.
-3100-
[708] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1216 and 1232, MGH SS XXIII, pp.
904 and 929.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 ix 2014
- casament: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005
- família: D.de Raugl (P.Van Kerrebrouck "la maison de Bourbon")
2.974.607:
Nommée comme l'épouse d'Archambaud [VIII] et la fille d'Archambaud de
Montluçon dans la Chronique d'Albéric de Trois-Fontaines (in Monumenta
Germaniae Historica, XXIII).
Alix de Forez n'a pas épousé Archambaud et sa fille Marguerite est du seul lit
d'Archambaud (voir note sur Alix de Forez) corrections à voir ensemble : JB de La
Grandière 16/12/2009
BEATRIX de Montluçon . The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines refers to the
wife of "primogenitus Erchenbaldus [filius Guido de Dampetra]" as "filia alterius
Erchenbaldi de Monte Lucionis" and in a later passage names her "Beatrici de
Borbon", although in the latter the Chronicle incorrectly names her husband
"Guidonem de Dampetra"[890]. 1215.
m ARCHAMBAUD [VIII], Sire de Bourbon, son of GUY [II] Seigneur de Dampierre
& his wife Mathilde de Bourbon Dame de Bourbon (-killed in battle Cognat, Allier
23 Aug 1242). Archambaud [VIII] & his wife had five children.
[890] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1216 and 1232, MGH SS XXIII, pp.
904 and 929.
Fonts:
- persona: P.Fauchère 10.11.09, J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014
- casament: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005
- família: D.de Raugl (P.Van Kerrebrouck "la maison de Bourbon")
2.974.607a:
Elle épouse en 1232 Thibaut Ier de Navarre ils eurent :
 Eléonore (1233-1235)
 Thibaut II de Navarre (1238-1270)
 Béatrice (début 1242-1295)
 Pierre (fin 1242-1265)
 Marguerite (1243-1306)
 Henri Ier de Navarre (1244-1274)
Fut tutrice du roi Thibaud VI et régente de Navarre. Selon Foundation for

Medieval Genealogy, elle serait la fille d'un premier mariage de son père (vers
1
1205) avec Guigone de Forez . (P. Fauchère 19.08.10)
1. Guigone de Forez, en latin Guigona de Foresio laquelle, selon Du

Chesne, fut accordée l'an 1205, avec Archimbaud fils aîné de Guy
Sire de Dampierre & de Marguerite, Dame de Bourbon, lequel
-3101-
depuis, succédant à son père,est reconnu par les historiens pour
Archimbaud VIIIe du nom, Seigneur ou Sire de Bourbon.
Mais ce mariage ne s'étant fait à cause de quelques différends qui
furvinrent entre Guy de Dampierre & la Maifon de Thiers, alliée à
celle de Forez, ladite Guigone fut mariée à Gérard, mal appelé
Guillaume par Guichenon, Seigneur de Vienne en Dauphiné qui
avoit épousé en premières noces une Dame connue fous le feul
nom de Béatrix.
Jean-Pierre de Palmas : in Histoire des ducs de Bourbon et des comtes de Forez, par J-M de La
Mure
MARGUERITE de Bourbon (-Provins, Brie 12 Apr 1256, bur Clairval). The

Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records the marriage of "comes
Campaniensis Theobaldus" and "Margaretam filiam Erchenbaldi de
Borbona"[709]. The contract of marriage between “Theobaldus Campanie et Brie
comes palatinus” and “Archambaldus dominus Borbonii…Margarita filia” is dated
Mar 1232[710]. She was regent of Champagne and Navarre 1253-1256 during the
minority of her son. “Marguerite…royne de Navarre, de Champaigne et de Brye
conteste palatine” settled a dispute between “les nobles barons Jehan conte de
Bourgoigne et signour de Salins…et Thiebaut conte de Barz” by charter dated 3
Nov 1254[711]. The "Corónicas" Navarras record the death "II Id Apr…apud
Privignum" in 1256 of "Margarita…regina Navarre, commitissa Canpanie atque
Brie" and her burial in "apud Claram vallem"[712].
m (contract Mar 1232, 12 Sep 1232) as his third wife, THIBAUT IV Comte de
Champagne, son of THIBAUT III Comte de Champagne & his wife Infanta doña
Blanca de Navarra (Pamplona 3 May 1201-Pamplona 8 Jul 1253, bur Pamplona).
He succeeded in 1234 as TEOBALDO I King of Navarre.
[711] Prost, B. and Bougenot, S. (eds.) (1904) Cartulaire de Hugues de Chalon
(1220-1319) (Lon-le-Saunier) (“Hugues de Chalon”) 574, p. 440.
[712] Ubieto Arteta, A. (ed.) (1989)"Corónicas" Navarras (Zaragoza) 7.10, p. 74.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 ix 2014
- defunció: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire de France) 21.VIII.2005
- enterrament: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire de France)
21.VIII.2005
- casament: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire de France) 21.VIII.2005
2.974.607b:
Mourut à Chypre, au retour de la croisade d'Égypte.
Fonts:
- persona: ( Maxim Olenev maximolenev@mail.ru )
- casament: ESS III-1 p 51 Dampierre de l'Aube Marburg 1984
- família: Pierre Fauchère & JB de La Grandière suivant Max Fazy "Sires de
Bourbons" 1924/ réfection 16 xii 2009
2.974.607d:
-3102-
Fonts:
2.974.607e:
Épitaphe de Guillaume de Bourbon, en l'église de Bessay : Autour de la dalle ICY
GIST GUILLAUME DE BOURBON SEIGNEUR DE BESSAY QUI DECEDA L AN DE
GRACE MIL DEUX CENS QUATRE VINC ET HUIT LE QUINSE NOVEMBRE AU
Sur l'arcature ORATE PRO ANIMA EJUS REQUIESCAT IN PACE Cette dalle
funéraire a aujourd'hui disparu, mais elle est connue par un dessin de
Clairambault (BNF, ms. Clairambault 640, fol. 250). Il est précisé : "Le défunt
était représenté en effigie, sous une arcature, revêtu d'une ample tunique, ceint
de l'épée, un animal à ses pieds. Deux blasons à ses armes l'encadraient à hauteur
des épaules. À la partie supérieure, dans les écoinçons, étaient figurés deux anges
Source : P. Fauchère ( d'après Robert Favreau, Jean Michaud, Bernadette Mora : "Corpus des
thuriféraires."
inscriptions de la France médiévale", vol. 18, Paris, 1995, p. 6 )
Fonts:
- defunció: P.Fauchère (épitaphe) 13.02.10
- enterrament: P.Fauchère (épitaphe) 13.02.2010
- família 1, família 2: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire de France)
21.VIII.2005
- casament 2: H.Tourret (Thierry Le Hête, la dynastie capétienne, 1998) 2/3/06
2.974.607g:
portrait
-3103-
plaque funéraire dans la collégiale Saint-Yved de Braine (02), concernant Marie de

Bourbon (1220-1274)
Fonts:
- persona: J-E.Tolle (BNF, Mss français 5466) 4 i 2015, C.Maubois (photo Fabien
Lejeune) 18 ix 2017
- casament: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire de France) 21.VIII.2005
- família: L.van de Pas
2.974.656:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Pierre de Montbrun)
2.974.657:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Pierre de Montbrun)
2.974.976:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 340) 31/3/06, S. de L'Espinay (rectification
nom patronymique)28.10..2013
2.974.977b:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (rectification nom patronymique)28.10..2013
2.974.977c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Liste des abbés de Saint-Martin de Tulle) 27xi2011, S. de
L'Espinay (rectification nom patronymique)28.10..2013
2.975.024:
-3104-
Hugues II de Millau, né vers 1135, mort en 1208, fut comte de Rodez, vicomte en
partie de Carlat et de Creyssels de 1159 à 1208, vicomte de Lodève jusqu'en
1188. Il était fils de Hugues Ier, comte de Rodez et vicomte en partie de Carlat, et
d'Ermengarde, vicomtesse de Creyssels.
Il épousa en 1154 Agnès d'Auvergne, fille de Guillaume VIII comte d'Auvergne, et

d'Anne de Nevers, et eut :
 Hugues III († 1196), comte de Rodez associé

 Guillaume († 1208), comte de Rodez associé
 Gilbert
 Renaud
 Bernard
 une fille, mariée en 1175 avec Guigues-Meschin du Tournel (1145 †
1200), seigneur de Villefort.
D'une maîtresse, Bertrande d'Amalon, il eut :
 Henri Ier (1175 † 1221), comte de Rodez

 Marie, mariée à Astorg V d'Aurillac, seigneur de Tinières
En 1188, il cède tous ses droits et prérogatives sur le Lodèvois, pour 60 000 sols
melgoriens, à Raymond de Madières, évêque de Lodève. Et ce fut en 1225, sous le
pontificat de Pierre IV, évêque, que le roi Louis VIII reconnut aux prélats de la cité
le titre de comtes de Lodève et de Montbrun et leur accorda, en même temps, le
droit de battre monnaie.
HUGUES [II] de Rodez, son of HUGUES [I] Comte de Rodez & his wife
Ermengarde de Creissels (-1208, bur Bonneval (Le Cairol, Aveyron)). "Ugo
Rutenensium comes etErmengardis uxor eius" donated property "in ecclesia
Sancti Saturnini de castro Creisel", with the consent of "filii nostri Ugonis", by
charter dated 1154[1751]. Comte de Rodez. "Richardus et Hugo comes
Ruthenensis" recorded an agreement with the bishop of Lodève relating to "Salam
Episcopi" by charter dated 1162[1752]. In 1164, he and his brother Comte
Hugues, the Abbots and the Seigneurs instituted a "Comun de Paix", approved in
1170 by Pope Alexander IIII, in the form of a tax aimed at enforcing law and order
in his comté. He founded the abbey of Bonnecombe (Comps-la-Grandville,
Aveyron) in 1167. He recovered Carlat in 1167 under the treaty of Arles with
Alfonso II King of Aragon: "Ildefonsus…rex Aragonensis, comes Barchinonensis,
duc Provinciæ" granted "vicecomitatu de Carlades", held by "avus patris mei
Guilbertus…comes", to "Hugonem comitem Rutenensem" by charter dated
1167[1753]. "Hugo Ruthenarum comes" borrowed money from the bishop of
Lodève by charter dated 14 Mar 1174, which names "Guillelmum de Lunatio" as
guarantor[1754]. "Hugo comes Rutenensis" granted rights of pasturage on all his
lands to Notre-Dame de Dalon by charter dated 1174[1755]. The testament of
“Ugo comes” is dated 8 Oct 1176 and names “filios meos
quinque…Ugonem…Guirberto…tres autem filios meos religioni
voveo…Henricum”, and “episcopum Ruthenensem fratrem meum…Richardum
quoque fratrem meum…Richardi avi mei”, and is signed by “Ugo Ruthenensis
-3105-
episcopus…Richardus comes…”[1756]. "Hugo Ruthenarum comes et eius filius"
sold feudal rights "in turre de Montebruno…[et] in castro de Elzeria" to the bishop
of Lodève by charter dated Mar 1188[1757]. "Hugo comes Ruthenæ, filius
Ermengardis et Hugo filius eius et Agnetis comitissæ" donated property to
Conques by charter dated 1195[1758].
m AGNES d'Auvergne, daughter of GUILLAUME [VIII] Comte d'Auvergne & his

wife Anne de Nevers (Nièvre). "Hugo comes Ruthenæ, filius Ermengardis et Hugo
filius eius et Agnetis comitissæ" donated property to Conques by charter dated
1195[1759].
Mistress : BERTRANDE d'Amalon
[1751] Gellone, DX, p. 432.
[1752] Lodève, XXI, p. 24.
[1754] Lodève, XXVI, p. 28.
[1755] Dalon Notre-Dame 738, p. 180.
[1757] Lodève, XXVII, p. 28.
[1758] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Additions et Notes
(supplement), Preuves, I, p. 122.
[1760] De Barrau, Documens…, p. 224 The place appears as 'Eglise d'Amalou' on

the map drawn by Cassini (Amalou is Amalon spelt phonetically). [J.-C. Chuat]
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site www.dagos.org de Luc d'Agos) 24vi2006, J-P.de
Palmas (wikipedia et FMG) 29 iii 2012
- família 1: Aurejac
- família 2: Joël Chirol (base familiale) 21/08/05
2.975.025:
BERTRANDE d'Amalon (Saint-Symphorien, Viala-de-Tarn, Aveyron)[1760],
-3106-
daughter of ---. The Histoire Générale de Languedoc suggests that the charter
dated 1174 under which Henri [II] Comte de Rodez bought the château de
Trepadon en Rouergue for Bertrande dÁmalon shows that she was his mistress
not his wife, as his wife Agnes was still living at that date[1761]. This could also
explain the convoluted route by which Henri [I] was appointed count, after the
implementation of the testament of Comte Guillaume which failed to mention his
half-brother.
[1760] De Barrau, Documens…, p. 224 The place appears as 'Eglise d'Amalou' on

the map drawn by Cassini (Amalou is Amalon spelt phonetically). [J.-C. Chuat]
Fonts:
2.975.025-1a:
HUGUES [III] de Rodez (-Milhaud 1196). The testament of “Ugo comes” is dated 8
Oct 1176 and names “filios meos quinque…Ugonem…Guirberto…tres autem filios
meos religioni voveo…Henricum”, and “episcopum Ruthenensem fratrem
meum…Richardum quoque fratrem meum…Richardi avi mei”, and is signed by
“Ugo Ruthenensis episcopus…Richardus comes…”[1762]. "Hugo Ruthenarum
comes et eius filius" sold feudal rights "in turre de Montebruno…[et] in castro de
Elzeria" to the bishop of Lodève by charter dated Mar 1188[1763]. He was joint
Comte de Rodez, jointly with his father. "Hugo comes Ruthenæ, filius Ermengardis
et Hugo filius eius et Agnetis comitissæ" donated property to Conques by charter
dated 1195[1764]. A "Chronique en Languedocien, tirée du cartulaire de Raymond
le Jeune comte de Toulouse" records the death in Apr 1194 of "el coms de
Rodez"[1765]. The Thalamus de Montpellier records the death in 1196 of "el coms
de Rodez a Millau"[1766]. m ---. The name of Hugues's wife is not known. Hugues
[III] & his wife had [four] children:
a) [BERNARD . The Histoire Générale de Languedoc reports that the four sons of
Hugues [III] "Bernard, Jean, Hugues et Richard" are named only in an act dated
1227 "qui est fort sujet à suspicion de fausseté" and dismisses their
existence[1767].
b) [JEAN . The Histoire Générale de Languedoc reports that the four sons of
existence[1768]. He was granted land at Rodez, Salles-Curan, Muret, Moyrazès,
Montrosier which he left to his brothers when he became a priest.
c) [HUGUES . The Histoire Générale de Languedoc reports that the four sons of
existence[1769].
-3107-
d) [RICHARD . The Histoire Générale de Languedoc reports that the four sons of
existence[1770].]
[1763] Lodève, XXVII, p. 28.
[1765] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXX, p. 679,
[1766] Société Archéologique de Montpellier (1841) Le petit Thalamus de

Montpellier, extracts available at
<http://www3.webng.com/lengadoc/talamus.htm> (23 Apr 2008).
[1767] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, IV.VII, p. 407,
quoting Antoine Bonal, Histoire mss. des comtes de Rodez, I.2 ch. 3.
FMG
Message de Florence Humblot - 2013-08-22 11:16:34
Trouvé aussi ceci dans "la maison des comtes de Rodez de la première
race"(Google book):qui conforte les thèses de Marcellin Boudet sur les erreurs de
généalogie. Cordialement Florence H. Extrait: /
(1) C'est celui que M. Bouillet qualifie seigneur de Bénavent.
» Étienne de Bénavent assista en H80, à un accord passé près du château de

Capdenac, entre le comte de Toulouse, Raymond V, et l'abbé d'Aurillac, et fit en
1189, une donation à l'abbaye de Bonneval;
» Pierre de Bénavent assista en 1230, avec le comte de Rodez, Hugues 1Y, à la

donation qui fut faite par les habitants de Marseille, de la vicomté de leur ville au
-3108-
comte de Toulouse, Raymond VII;
» Il existait en 1240, un Bernard de Bénavent qui eut pour fils P. de Bénavent;
» Henri de Bénavent pouvait bien appartenir à la maison qui portait le nom de la

seigneurie qu'il possédait lui-même
» L'existence de la maison de Bénavent en Rouergue, en 1180 et 1240, n'est pas

moins incontestable, et pour dire avec certitude que Henri de Bénavent
n'appartenait point à cette maison, il faudrait prouver l'extinction de celle-ci, et
que Henri avait une origine différente.
» On peut conclure de là, ce me semble, qu'il n'est nullement prouvé que Hugues
de Rodez, fils du comte Hugues III, ait eu des enfants; et pour Henri de Bénavent,
si l'on ne peut pas révoquer en doute, d'après le testament de Hugues IV, qu'il ne
fut parent paternel de ce comte, on peut encore moins établir autrement que par
le testament de ce dernier qu'il eut la même origine que lui ('). »
On a pu se convaincre par les différents passages que nous venons de citer, que
M. de Gaujal est loin d'admettre comme démontrée la descendance masculine: on
peut même induire de l'ensemble de son travail et du système
(1) Gaujal, Études historiques sur le Rouergue, t. III, p. 341 et suiv.
Fonts:
Palmas (FMG et complément de Florence Humblot citant Gaujal, t.III) 22 viii 2013
2.975.025-1b:
GILBERT de Rodez . The testament of “Ugo comes” is dated 8 Oct 1176 and
names “filios meos quinque…Ugonem…Guirberto…tres autem filios meos religioni
voveo…Henricum”, and “episcopum Ruthenensem fratrem meum…Richardum
quoque fratrem meum…Richardi avi mei”, and is signed by “Ugo Ruthenensis
episcopus…Richardus comes…”[1771]. His father enfeoffed part of the county to
him under his brother's suzerainty.
Fonts:
2.975.025-1c:
Fonts:
2.975.025-1d:
-3109-
Fonts:
- persona: M.Bacot (armorial du Gévaudan)
- casament: BdeRauglaudre, site de carné
2.975.025-1e:
GUILLAUME (-1208). He was joint Comte de Rodez from 1196, jointly with his
father. "Guillelmus comes Ruthenensis" confirmed the sale of property "in dyocesi
Lodovensi" by "patrem et fratrem suum" to the bishop of Lodève by charter dated
Apr 1204[1773]. He bequeathed the county of Rodez to his first cousin Guy
d'Auvergne. "Guillelms coms de Rodes" and "R…duc de Narbona, comte de Tolosa,
marquis de Proensa, fil de Regina Costanssa" agreed peace by charter dated Mar
1208 which names "Yrdoina filia que fu de Beatrig de Camillag, moler del conte de
Rodes"[1774]. Under his testament dated 1208, Guillaume Comte de Rodez
appointed as his successor his cousin Guy Comte dÁuvergne who, after
Guillaume died, transmitted the county to Raymond VI Comte de Toulouse who
appointed "Henri" as count[1775]. m as her first husband, IRDOINE de
Sévérac[1776], daughter of GUY [III] Baron de Sévérac [le-Château], Aveyron} &
his wife Béatrice de Canilhac Lozère. "Guillelms coms de Rodes" and "R…duc de
Narbona, comte de Tolosa, marquis de Proensa, fil de Regina Costanssa" agreed
peace by charter dated Mar 1208 which names "Yrdoina filia que fu de Beatrig de
Camillag, moler del conte de Rodes"[1777]. The primary source which confirms
her father´s name has not yet been identified. She married secondly --- de
Caslaron. Her second marriage is confirmed by the charter dated 13 May 1244
under which her son "Guido de Severiaco filius domini de Caslaron et comitisse
quondam Ruthene" swore homage to the bishop of Mende[1778].
[1773] Lodève, XXXVI, p. 34.
[1774] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, L, p. 569.
[1775] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Notes, IV.X, p. 407,
citing "Hist. gen".
[1776] De Barrau, p. 225 and 472. [J.-C. Chuat]
[1777] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, L, p. 569.
372, col. 1146.
Fonts:
2.975.026:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (rectification nom patronymique)28.10..2013
-3110-
2.975.027:
Fonts:
2.975.027b:
Marie apporta en dot la comptoirie d'Escorailles, érigée en fief par le vicomte de
Carlat, de la maison de Toulouse.
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé) - Y. Gobilliard (25-4-06), S. de
L'Espinay (rectification nom patronymique)28.10..2013
- família: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé)
2.975.128:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Rougé (Olivier de) Histoire généalogique de la
Maison de Rougé p. 445 Laval 1910) 16 ix 2012
2.975.129a:
Fonts:
- persona: C.Denance (généanet: Alain de Carné) 8 iii 2011
2.975.129b:
Fonts:
- persona: , JB.de La Grandiere (Abbé Le Méné "Généalogie des sgrs de Rochefort )
18 v 2010
- família: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé), JB.de La Grandiere (Rougé (Olivier de)
Histoire généalogique de la Maison de Rougé p. 445 Laval 1910 ) 16 ix 2012
2.975.130:
Il se révolte contre Henri II
Attesté en 1118 Abbon, seigneur de Rochefort,
Attesté en 1173 Hamon, seigneur de Rochefort,
Fonts:
- família 1: C.Saint-Félix (Gwenaël Guillaume in "Econ. et soc. ds la France de
- família 2: C.Saint-Félix (F.Morvan "Au coeur de l'ent. des ducs de Bretagne")
29x2012
2.975.131:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (Gwenaël Guillaume in "Econ. et soc. ds la France de l'ouest
atlantique") 4i2010
-3111-
2.975.131b:
Fonts:
2.975.131-2a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (F.Morvan "Au coeur de l'ent. des ducs de Bretagne")
29x2012
2.975.132:
Croisé, il revint par Rome en aout 1101. Egalement vivant en 1081 avec ses deux
fils lors de la fondation de monastère.
Le prieuré Saint-Jean-Baptiste de Saint-Nazaire a été donné par Friold, vicomte de

Donges, qui fonde en Donges le prieuré Notre-Dame, dépendant des bénédictins
de Marmoutiers, en 1067. Le prieuré de Saint-Nazaire fut créé en 1077 par Friold
de Donges, conjointement avec ses fils Roald et Gaufrid.
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Web - histoire donges)
- família: L.B. de Rougé (Web - histoire donges)
2.975.133:
Fonts:
- família: L.B. de Rougé (Web - histoire donges)
2.975.133b:
Fonts:
2.975.134:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
- defunció: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012
- família: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
2.975.135:
Fonts:
05/04/2007
05/04/2007
2.975.135a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (base histoirebretonne sur ns203268.ovh.net:2317)
18xi2012
-3112-
2.975.135b:
Fonts:
05/04/2007, C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012
05/04/2007
2.975.135d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (base histoirebretonne sur ns203268.ovh.net:2317)
18xi2012
2.976.896:
 Garceval est localisé "à cheval" sur les communes de Saint-Cirgue et
d'Ambialet (81)
jblg
Fonts:
2.976.897:
Fonts:
2.976.960:
Les Mostuéjouls étaient seigneurs des châteaux de Liaucous, de Lueysses, de La
Condamine, de Vebron, de Montbrun, etc.
Château et commune de Mostuéjouls
Le village se situe sur un emplacement stratégique à la sortie des Gorges du Tarn

et de la Jonte. Le château de Mostuejouls appartient à cette famille qui y est
présente depuis au moins le XIième siècle.
Il s'agit d'un ensemble élégant, avec des tours carrées, qui domine le village. Il
était dirigé contre les Anduze-Roquefeuil, possesseurs des châteaux de Peyrelade
et de Caylus.
Le nom des de Mostuéjouls apparaît à de multiples reprises dans l'histoire de

France ou dans des ouvrages.
Visiter ce site
-3113-
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Bulletin de la Société d'agriculture, industrie, sciences et
arts du département de la Lozère) ix2009
2.977.024:
Fonts:
2.977.025:
Fonts:
2.977.025a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
2.977.025b:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (Adhémar de Panat (comte d') Roncelin de
Lunel Mélanges S de Vajay pp. 41/62 Braga 1971) 5 iv 2016
2.977.808:
Après avoir commandé un corps de croisés, il finit par revenir dans le camp de
Raymond de Toulouse. Ses biens sont alors saccagés par Simon de Montfort.
Il finit sa vie à Toulouse auprès de Raymond VI.
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Eugène Vasseur, Nobles aïeux), C.Saint-Félix (Didier Panfili
"Histoires de familles") 17i2015
- família: J-L. Dega (Eugène Vasseur, Nobles aïeux), J-P.de Palmas (La maison de
Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon) 19 ix 2016
2.977.809:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 17i2015
- família: J-L. Dega (Eugène Vasseur, Nobles aïeux), J-P.de Palmas (La maison de
Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon) 19 ix 2016
2.977.814:
Fonts:
2.977.815:
-3114-
Fonts:
2.977.815a:
Fonts:
2.977.824:
Il est le premier des seigneurs de Cancon (Lot-et-Garonne) que l'on puisse
signaler.
D'après Maurice Campagne, il ne pourrait pas être le fils d'Alix de Rochechouart

(dont les parents se sont mariés en 1205), car il est nommé dans une charte de
1218. S'il est le fils de Guillaume, c'est qu'il est né d'un premier mariage de celui-
ci.
Fonts:
- persona: H.de Riberolles, A.Euverte (Histoire des Madaillan par Maurice
Campagne) 10 XI 2005
2.977.825:
Fonts:
2.977.832:
Il est le fondateur du rameau de Flammarens. Il posséda la seigneurie de
Flammarens en Lomagne. De l'héritage des Clermont Soubeyran il conserva outre
quelques droits sur cette seigneurie, celle de Dunes.
En 1270 et 1271 il fait le partage de ses biens paternels avec sa nièce Guillalme
de Durfort, comtesse de L'Isle-Jourdain. Comme la seigneurie de Clermont était
exclue du partage, il reçut en 1270 en dédommagement une rente de deux cents
livres arnaudins assise sur le péage de Laspeyre. l'année suivante il fit avec sa
nièce le partage des autres biens: Fumel, Monsempron, Beaucaire, Miramont,
Double, Donzac, Dunes et Sistels. Il acheta par la suite un Vingt-quatrième de la
seigneurie de Clermont à sa nièce et c'est pourquoi lui et ses descendants sont
toujours qualifiés de coseigneurs de Clermont.<br< sa="" principale=""
seigneurie="" fut="" la="" de="" flammarens="" en="" lomagne="" dont="" il=""
fit="" avec="" son="" fils="" bernard,="" hommage="" au="" roi=""
d'angleterre="" 1287.="" <="" p=""></br<>
Fonts:
- persona: H.deRiberolles, A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)05.v.2006
- família: H.deRiberolles(base Tournemire)
2.977.833:
-3115-
Fonts:
- família: H.deRiberolles(base Tournemire)
2.977.833a:
Son mariage avec la nièce du pape Clément V assura sa fortune. Ilvécut dans
l'entourage de son beau-frère, Bettrand de Goth, le neveu préféré et l'héritier du
pontife. Il suivit naturellement les fluctuations politiques de son beau-frèrequi,
malgré les bienfaits dont l'avait comblé le roi d'Angleterre, se rapprocha vers
1320 du roi de France.
En 1326, on le trouve capitaine pour le roi de France de cent cavaliers et quatre
cents hommes d'armes dans le lieu de Clermont et dans d'autres lieux des
environs.
Fonts:
Guilhamon)08.v.2006
- família: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web),A.Euverte(La maison de
Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon)08.v.200
2.977.836:
Le 3 avril 1270, il reconnait tenir du roi d’Angleterre la terre de Grayan qui lui a
été donnée par l’évêque d’Agen 28. Il est témoin du testament d’Amanieu d’Albret
le 26 juin 1270 29. Il rend à nouveau hommage le 19 mars 1274 pour Grayan, et
reçoit l’autorisation de construire une maison forte à Livran le 22 novembre 1280.
Il est cité une dernière fois dans un acte de mars 1281 30. Il est mort avant 1287,
date à laquelle son fils Arnaud-Garcie commence à apparaitre dans les actes.
BERAUD de Goth (-after 1289). Francesco Pipini´s Chronicon names "Beraudo

milite" as the father of Pope Clement V[1686]. A life of his son, Pope Clement V,
names the pope´s father "Beraud", while he is named "Bertrand" in other
charters[1687].
m (1249 or before) IDE de Blanquefort, daughter of ---. The primary source which
confirms her parentage and marriage has not yet been identified. Béraud & his
wife had [ten] children.
[1686] Muratori, L. A. (ed.) (1726) Rerum Italicarum Scriptores ("RIS") (Milan)

Tome IX, Chronicon Francisci Pipini, XLIX, col. 747.
[1687] Père Anselme II, p. 171.
seigneur de Vilhandreau(diocèse de Bordeaux), seigneur d'Uzeste(diocèse de

Bazas), seigneur de Grayon(en Guyenne)
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 2009
- naixement: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2016
- casament: J-P.de Palmas (FMG) 2009
- família: H.R.Moser/Anselme-II/171, J-P.de Palmas (Histoire de Lyon Par Pierre
-3116-
Clerjon, Jérôme Morin, Fleury Richard, François Gabriel Théodore Basset de
Jolimont et FMG) viii2009
2.977.837:
Fonts:
- naixement: EP (Base de Claude Barret sur le Web)
- casament: J-P.de Palmas (FMG) 2009
- família: H.R.Moser/Anselme-II/171, J-P.de Palmas (Histoire de Lyon Par Pierre
Clerjon, Jérôme Morin, Fleury Richard, François Gabriel Théodore Basset de
Jolimont et FMG) viii2009
2.977.837b:
BERAUD de Goth (-27 Jul 1297). Cardinal, Bishop of Albane Sep 1244. Archbishop
of Lyon. He was appointed papal legate by Pope Boniface VIII 13 Apr 1296 to
negotiate peace between France and England[1559].
[1559] Père Anselme II, pp. 176-84, extinct in the male line alter 26 Jun 1589.
Archevêché de Lyon
Béraud de Goth qui vint ensuite hérita de la manière de voir de son prédécesseur.
Déja ce dernier se préparait à tout rétablir comme par le passé lorsque les
bourgeois protestèrent et appelèrent du jugement qui interviendrait au pape et
1
aux puissances temporelles.
Le clergé n' aurait pas mieux agi s' il eût été vendu au roi de France. Ce qui
contribua encore à donner de l' énergie aux citoyens fut l' arrivée d' une foule d'
étrangers opulens qu' on avait chassés de leur patrie. On peut dire qu ici
commmence la seconde période de leur commerce ou plutôt la seconde ère de
leur liberté. Les guerres éternelles des Guelfes et des Gibelins étaient la cause de
l' émigration si favorable à la cité lyonnaise. La plupart des réfugiés venaient d'
Italie. Quelques uns étaient nobles, d' autres négocians; tous se trouvaient forcés
pour se soustraire à la misère ou pour employer leurs fonds de faire la banque et
le commerce. En vain les constitutions du second concile œcuménique de la ville
de Lyon les avaient excommuniés ainsi que ceux qui leur donneraient un asyle; la
bourgeoisie lyonnaise les reçut avec d' autant plus de plaisir que ces étrangers
entretenaient des correspondances régulières avec leurs parens
Références
1. Ce fut au château de Pierre-Scise dans la chambre même de l'

archevêque, le mercredi après l' octave de la fête de Saint Michel
de l' an 1290 que les citoyens lui firent signifier cet acte d' appel
par Roland de Saint Michel notaire apostolique en présence de
Bertrand de Goth son frère, chanoine d' Agen qui fut depuis pape
Clément V.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Histoire de Lyon et FMG) viii2009
-3117-
2.977.837d:
Héritière de son frère Clément V pour 200 fl.
Elle a deux filles héritières chacune pour 300 fl.
Alain Douence 13/04/2015

Attention ! De nombreux auteurs n'ont pas compris qu'Assalide de Got a été
mariée deux fois ; d'abord avec Raymond Guilhem de Budos et ensuite avec
Guillaume de Fargues. Ces auteurs ont confondu les enfants de ces deux
mariages, qui se disaient à juste titre frères (en réalité demi-frères) et auxquels ils
ont parfois donné sans aucune raison le double nom de "de Farges de Budos".
Cette erreur était propagée dans Roglo et je l'ai rectifiée.
Certains auteurs ont transformé Fargues en Farges ou Fargis, l'erreur provenant
probablement de traductions latines.
Par ailleurs, jamais les Budos, qui étaient seigneurs de cette terre bien avant
l'alliance avec les Got, ne sont descendus des Guilhem, seigneurs de Clermont-
Lodève.
L'erreur pourrait tout simplement venir du prénom double de Raymond Guilhem
de Budos dans lequel un premier auteur aurait pris Guilhem pour un patronyme et
de nombreux auteurs ont empaumé cette voie erronée, dont Pithon-Curt, copié
par Arfeille et Ch. Cottier.
Parmi les sources frelatées, il faut ranger sans scrupule la notice "Famille
Teyssier de Chaunac des Farges. Notice historique et généalogique" écrite par
l'abbé Denis. Cette notice est largement aussi fumeuse que le titre de marquis de
Georges Teyssier à qui le bon abbé la dédicace. Il ne tient pas debout de faire
descendre les "Chaunac des Farges" de l'antique maison de "Fargues" et tout ce
qu'il dit sur les Fargues, Budos et Clermont-Lodève est à récuser en bloc.
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, Histoire de Budos, par Louis Bacque (web), A.Douence
(Revue de l'Agenais ; M; Smaniotto) 7 iii 2015
- família 1: H.R.Moser/Elzière+Anselme-II/173, A.Douence (Léo Drouyn - La
guyenne anglaise) 7 iii 2015
- família 2: , A.Douence (Revue de l'Agenais) 7 iii 2015
2.977.837e:
Bertrand de Got naquit vers 1264 en France, près de Villandraut (actuellement en
Gironde), et décéda le 20 avril 1314, à Roquemaure (actuellement dans le Gard).
Son tombeau se trouve dans l'église collégiale (qu'il avait fait bâtir) à Uzeste, en
Gironde. Il fut évêque de Saint-Bertrand-de-Comminges puis archevêque de
Bordeaux, avant de devenir pape sous le nom de Clément V. Il fit construire
l'actuel château de Villandraut, et ses neveux, les châteaux voisins de
Roquetaillade, Budos, Fargues et La Trave, connus sous le nom de châteaux
"clémentins". Il commence sa vie religieuse comme moine-ermite grandmontain à
la celle de Defès. Devenu pape, il passa cinq journées auprès du prieur à
Grandmont du 17 avril au 23 avril 1306. M.Chevallier v 09 (Histoire de
Grandmont)Il est passé dans l'histoire pour avoir ordonné la suppression (avec
Philippe le Bel) de l'ordre des Templiers et pour avoir, en 1309, déplacé le Saint-
Siège du Vatican en Avignon. Bertrand de Goth a été élu Pape le 5 juin 1305 à
Pérouse, après une année d'interregnum occasionnée par les conflits entre les
cardinaux français et italiens qui étaient également représentés dans le conclave.
Il prit le nom de Clément, le cinquième, le 24 juillet 1305.
-3118-
Après sa nomination il rejoint Bordeaux, dont il avait été archevêque. Le peuple
tout au long du chemin le saluait et l'acclamait. Il trouva une ville en liesse lors de
son arrivée. Cela entraîna une prise de mesures de sécurité et de ravitaillement
par le sénéchal d'Aquitaine. Le 4 septembre, le Pape partit de Bordeaux et passa,
sur son chemin, à Villandraut, sa ville natale dont il était le seigneur.
Il fut couronné à Lyon en l'église Saint-Just, le 14 novembre 1305, en présence de
Philippe le Bel. Il décide de rester en France, à cause des troubles qui règnent en
Italie d'une part, mais surtout pour essayer de réconcilier rois de France et
d'Angleterre, opposés au sujet de l'Aquitaine, afin de les unir dans une nouvelle
croisade en Orient.
Le 13 octobre 1307, les Templiers furent mis en prison puis torturés pour admettre
l'hérésie dans leur ordre. Clément V fut le pape de l'affaire des Templiers.
Il regagne Bordeaux puis, petit à petit, il se rend à Avignon où il entre le 9 mars
1309. Il profite de l'hospitalité des frères prêcheurs, (les dominicains) dont le
couvent est le plus grand de toute la ville. Successivement, il demeurera à
Malaucène, Carpentras et Caromb.
Clément V et Philippe le Bel face aux Templiers au concile de Vienne.
En 1311, il prépare le concile de Vienne au prieuré du Groseau, près de Malaucène

(au pied du Mont Ventoux). Il y autorise la suppression de l'ordre des Templiers, à
la demande de Philippe le Bel. Cette faiblesse pour le Roi se retrouve aussi dans
l'obtention de mesures contre les actes de Boniface VIII et l'absolution de l'attentat
d'Anagni. Le 13 avril 1312, en séance plénière du concile de Vienne, en présence
du roi de France Philippe IV le Bel, il promulgua la bulle « Vox in coelo » qui
supprimait l'Ordre du Temple. Un mois plus tard, le pape décréta la dévolution des
biens du Temple à l'ordre de l'Hôpital Saint-Jean de Jérusalem. Le grand maître
des Templiers, Jacques de Molay, périt sur le bûcher, à Paris, le 18 mars 1314, en
proférant (dit-on) sa célèbre malédiction contre le roi Philippe IV, le pape Clément
V et Guillaume de Nogaret : "Maudits, vous serez tous maudits, jusqu'à la
treizième génération de vos races et je vous cite à comparaître devant le tribunal
divin dans moins d'une année". Clément V, malade tout au long de son pontificat et
sentant sa fin proche, (il souffre vraisemblablement d'un cancer à l'estomac ou aux
-3119-
intestins), voulut retourner dans sa Guyenne natale. Il meurt au début de son
voyage, le 20 avril 1314, à Roquemaure, de l'autre côté du Rhône après avoir
ingurgité un plat d'émeraudes pilées destiné à le guérir ! "La malédiction"
emportera une semaine plus tard Guillaume de Nogaret puis en novembre le roi de
France. Personne, outre ses proches, ne pleura le défunt pape.
Gisant de Clément V dans la Collégiale d'Uzeste (Gironde).
La corruption, le trafic des charges ecclésiastiques, la simonie avaient trouvé sous

son pontificat un terreau idéal pour proliférer. Malgré le discrédit que Clément V
valut à la papauté, il faut inscrire à son actif la fondation des universités d'Orléans
et de Pérouse, la création de chaires d'hébreu, de chaldéen et d'arabe dans les
anciennes universités de Paris, d'Oxford, de Bologne et de Salamanque. C'est lui
aussi qui, en 1307, nomma pour la première fois un archevêque à Pékin et qui, en
1313, canonisa Célestin V.
"Après Boniface vient de l'Occident un plus infâme encore", ainsi s'exprime Dante
dans la Divine Comédie. On ne pouvait être moins flatteur pour ce pape qui
porterait la responsabilité de cette "Captivité de Babylone", ainsi furent qualifiées
les 68 années du séjour des papes en Avignon.
Fonts:
- persona: CB du Coudert, N. Danican 4v05, C. Chéneaux (Jean Mathieu-Rosay,
historien de la papauté), J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 28 viii 2011
- enterrament: BdeRauglaudre, Histoire de Budos, par Louis Bacque (web)
2.977.837f:
Fonts:
- defunció: H.de Riberolles,A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par
Henri Guilhamon, page 214)08.v.2006
-3120-
2.977.837g:
[RAYMOND GUILLAUME de Goth (-after 5 May 1311). Bertrand de Goth granted
all his property in the parish of Blanquefort, inherited from "Marquise dÍlhac sa
mère", to "Raymond Guillaume de Guot chevalier son neveu" by charter dated 5
May 1311[1563]. The source which more specifically names his father has not yet
been identified, but it is probable that he was the son of Béraud who is the only
recorded brother of Bertrand de Goth.]
m ---. The name of Raymond Guillaume´s wife is not known. Raymond Guillaume &
his wife had one child:
(a) BERTRAND de Goth (-after 1341). A charter dated 1341 of Edward III King of
England concerns "Bertrand de Goth damoiseu seigneur du château dÁndorte
diocesis of Bazas, near Saint Macaire …fils de feu Guillaume Raymond de Goth
chevalier"[1564].
[1563] Père Anselme II, p. 170, citing Bibliothèque Colbertine MS vol. 47, fo. 29.
[1564] Père Anselme II, p. 170, citing Baluze, E. (1693) Vitæ paparum
avenionensium (Paris) Vol. I, p. 619.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG) 25 iv 2014
2.977.837h:
Dans son testament, le pape Clément V, son frère, la nomme très explicitement
Galharda. Le prénom de Vitale, diffusé par les historiens est erroné.
Légataire pour 200 fl. (A.D.).
Fonts:
- persona: J-L. Dega, A.Douence () 11 iii 2015
- família: J-L. Dega;,A.Douence (Guilhem Pepin in Cahier du Bazadais 187 -
12/2014) 11 iii 2015
2.977.837i:
Légataire de Clément V son frère, pour 400 fl
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Navelle), A.Douence () 12 iv 2015
- família: J-L. Dega, A.Douence (M. Smaliotto) 12 iv 2015
2.977.837j:
Héritière de son frère Clément V pour 500 fl.
Elle a deux filles héritières chacune pour 300 fl.
Fonts:
- persona: A.Douence (Testament de Clément V) 12 iv 2015
- família: A.Douence (M. Smaniatto) 12 iv 2015
-3121-
2.977.840:
Fonts:
2.977.841:
Non "reliable" dans la famille de Pons.
Note de : J-B de La Grandière - 28.10.2016
Fonts:
2.977.842:
Fonts:
2.977.843:
Fonts:
2.977.904:
Echange entre les frères Olivier et Bernard de Penne, et Alphonse, fils du roi de
France, comte de Poitiers et de Toulouse, marquis de Provence Les deux frères
cèdent le château de Penne et ses dépendances, savoir :
 62 albergues d'hommes (albergia) nominativement désignés, appartenant

à Olivier ;
 65 albergues aussi désignés appartenant à Bernard : des cens, des rentes
etc
On remarque dans l'énumération des moitiés d'hommes, des quart d'enfants, etc.
Alphonse donne en échange à Olivier le château de Cestayrols, ses dépendances
et tout ce qu'il possède dans ce lieu dont il retient la seigneurie majeure, et à
Bernard l'albergue du château de Beaufort, au diocèse de Cahors, avec le château
de Laguépie, ses dépendances et tous les droits qu'il y possède, retenant aussi la
seigneurie majeure ; toutes les choses cédées devaient être tenues en fief du
comte de Toulouse.
[Inventaires-Sommaires du Tarn période antérieure à 1790 - Tome II - série E
p.69]
Fonts:
- persona: J-L. Dega, S.Fourlinnie (Généanet/Pierfit) 25/05/2012, J-P.de Palmas
(Inventaires-Sommaires du Tarn période antérieure à 1790 - Tome II - série E p.69)
1 iii 2013
2.977.905:
-3122-
Fonts:
2.977.905b:
Fonts:
2.977.908:
Fonts:
2.977.909:
Fonts:
2.977.909c:
Fonts:
- família: A. de Maere 05.03.2006
2.977.918:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005), JB.de La Grandiere
(Michel Smaniotto "Famille des vicomtes de Limoges") 2 i 2014
- bateig: JBLG / Smaniotto (Michel) Famille des vicomtes de Limoges
- família 1: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
2.977.919:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "Famille des vicomtes de
Limoges") 2 i 2014
2.977.996:
BERNARD JOURDAIN [II] (-1240). The testament of "Bernardus Jordanus, filius
Jordani de Insula" is dated 2 Mar 1229, on his deathbed, and bequeathes "villam
Insulæ, et Merenvillam et Castellare" to "meo filio Bernardo Jordano"[654]. A
manuscript chronicle records the testament dated 1227 of "Bernardus Jordani de
Insula miles" which appointed "Jordanum filium suum" as his heir[655]. A charter
dated Jan 1230 records the grant of property by "Raymundus de Insula" to
"Bernardo Jordano, filio D. Bernardi de Insula"[656]. A manuscript chronicle
records the testament dated 1240 of "Bernardus Jordani de Insula miles" which
appointed "Jordanum filium suum" as his heir[657].
m (contract Jun 1221, 1225) MASCAROSE de Maristain, daughter of BERNARD de

Maristain & his wife Alasaicia ---. The contract for the marriage of "unam de
filiabusMascarosam" of "Bernardus de Marestagno et D. Alasaicia uxor eius" and
"Bernardo-Jordano filioD. Bernardi de Insula", when she reached marital age, is
-3123-
dated Jun 1221[658]. A manuscript chronicle records the marriage in 1225 of
"Jordanus filius Jordani de Insula" and "N. filiam Bernardi de Maristagno", adding
that the dowry was "Insulam, Launiacum, etc"[659]. Bernard Jourdain [II] & his
wife had two children.
[654] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, XCIX, p. 612.
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Smaniotto (Michel) Famille de L'Isle-Jourdain (cd))
17 vi 2016, J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 24 xii 2015
- casament 2: jblg Mireille Mousnier in "Vicomtes de Gimois/Terride pp. 87/102
Presses Universitaires. du Mirail Toulouse 2008
- família 2: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 xii 2015
2.977.997:
MASCAROSE de Maristain, daughter of BERNARD de Maristain & his wife
Alasaicia ---. The contract for the marriage of "unam de filiabusMascarosam" of
"Bernardus de Marestagno et D. Alasaicia uxor eius" and "Bernardo-Jordano
filioD. Bernardi de Insula", when she reached marital age, is dated Jun 1221[658].
A manuscript chronicle records the marriage in 1225 of "Jordanus filius Jordani de
Insula" and "N. filiam Bernardi de Maristagno", adding that the dowry was
"Insulam, Launiacum, etc"[659]. Bernard Jourdain [II] & his wife had two children.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 xii 2015, JB.de La
Grandiere ( Mireille Mousnier in "Vicomtes de Gimois/Terride pp. 87/102 Presses
Universitaires. du Mirail Toulouse 2008 ) 9 viii 2016
- casament: jblg Mireille Mousnier in "Vicomtes de Gimois/Terride pp. 87/102
Presses Universitaires. du Mirail Toulouse 2008
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 xii 2015
-3124-
2.977.997b:
Fonts:
2.978.016:
ROBERT de Clermont, son of GUILLAUME [II] Comte de Clermont & his first wife
Huguette de Chamalières (-12 Apr 1262). Henry III King of England recorded a
treaty with "W. filium comitis Guidonis de Alvernia et Delfinum Clari Montis et R.
nepotem eius" dated [Oct] 1225[458]. “Delfinus comes Claromontis et…Rotbertus,
filius Willelmi comitis Claromontis filii eiusdem Delfini” confirmed their peace
agreement with Louis IX King of France by charter dated Feb [1229/30][459]. He
succeeded as ROBERT I "Dauphin" Comte de Clermont en Auvergne. "Rotbertus
dominus Camaleriæ comes Claromontis et Alays uxor eius et Rotbertus filius
eorum" donated property to Clermont Saint-André by charter dated Jun
1248[460]. The testament of "Robertus Delfini comes Claromontensis", dated
[Mar] 1262, appoints "Robertum filium meum primogenitum" as his heir, names
"Delfino filio meo…Aelis filiam meam uxorem domini de Montebuxerio…Aalais
sanctimoniali Eschlachiæ filiæ meæ…Mathæ filiæ meæ…Alasia quondam uxor
A second testament of "Rotbertus Dalphini comes Claromontensis", dated 2 Apr
1262, names "Rotbertum et Dalphinum…filios nostros…Haelis filia nostra uxor
Eustachii de Montebuccerio"[462].
m as her second husband, ALESIE de Ventadour, widow of GUILLAUME de

Mercœur Seigneur de Gerzet et de Planchet, daughter of EBLES [V] Vicomte de
Ventadour & his second wife Marie de Turenne (-17 May, before Nov 1250).
"Rotbertus dominus Camaleriæ comes Claromontis et Alays uxor eius et Rotbertus
filius eorum" donated property to Clermont Saint-André by charter dated Jun
1248[463]. Her parentage is indicated by the testament of "Robertus Delfini
comes Claromontensis", dated [Mar] 1262, which names "…Alasia quondam uxor
She became a nun at Fontevrault after the death of her husband.
Robert [I] & his wife had six children.
[458] Patent Rolls Henry III 1215-1225 (1901), p. 552.

-3125-
Fonts:
- casament: J-C de Vaugiraud (ES XIV Tafel 103: Mercoeur et ES III-V Tafel 733:
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer), J-C Barbier (l'art
de vérifier les dates) 23 vii 2007
2.978.017:
Robert VII d'Auvergne (1235-1281) est donné comme fils d'Alix de Bourgogne née
en 1177, ce qui paraît vraiment peu probable. Pour moi, il est fils d'Alix de
Ventadour (~1215-1260) et de Robert VI (ou Robert Ier dauphin) d'Auvergne
(1210-1252). Pourriez-vous le confirmer ? Y Gobilliard sur forum le 16/11/05
Alix de Ventadour est l'unique épouse de Robert I comte de Clermont; c'est du

moins ce qui ressort à la fois de la généalogie donnée par le tome 19 de l'Annuaire
historique de la Société de l'histoire de France et dans le travail des bénédictins
publié dans l'Art de vérifier les dates. L'un et l'autre ne donnent qu'une seule
épouse: Alix de Ventadour et 5 enfants (Robert (II pour ES ou III pour la société
d'histoire de France et non VII !) qui suivra, Hugues qui hérita de terres, Mathe X
Géraud de Roussillon, Alix X Eustache de Montboissier, autre Alix religieuse).
ES III-IV, Tafel 733, Dauphin d'Auvergne, la prénomme Alesie de Ventadour
(vivante en 1252, + avant novembre 1260 et inhumée à Citeaux) qui veuve de
Guillaume de Mercoeur, seigneur de Gerzat et Planchat se remarie à Robert I (?)
comte de Clermont.
ES XIV, Tafel 103, Mercoeur, la prénomme Alesie de Ventadour (vivante en 1252,
+ un 17 avril avant 1260 qui veuve de Guillaume de Mercoeur, seigneur de Gerzat
et Planchat se remarie en 1238 à Robert I (?) comte de Clermont.
ES III-IV, Tafel 765, Les vicomtes de Comborn, Trente et Ventadour, la prénomme
Alesie de Ventadour (vivante en 1252, + avant 11/1260) qui veuve de Guillaume
de Mercoeur, seigneur de Gerzat et Planchat se remarie à Robert I (?) comte de
Clermont.
J-C de Vaugiraud (forum) 22 iii 2010
Notée par erreur comme étant Alixend de Clermont, dauphine d'Auvergne.

Est en réalité Alix de Ventadour (Alesie) qui veuve se remariera en 1238 à Robert
dauphin d'Auvergne. J'ai fusionné !
Sources: J-C de Vaugiraud (ES XIV Tafel 103: Mercoeur et ES III-IV Tafel 733:
FMG
ALESIE (-before Nov 1250). "Rotbertus dominus Camaleriæ comes Claromontis et

Alays uxor eius et Rotbertus filius eorum" donated property to Clermont Saint-
André by charter dated Jun 1248[1283]. Her parentage is indicated by the
testament of "Robertus Delfini comes Claromontensis", dated [Mar] 1262, which
names "…Alasia quondam uxor mea…avunculorum suorum domini Bernardi et
domini Heliæ de Ventadoro"[1284].
m firstly GUILLAUME de Mercœur, Seigneur de Gerzet et de Planchet, son of
-3126-
BERAUD [VI] Sire de Mercœur & his wife Alix de Chamalières (-[1238]).
m secondly ROBERT [I] Comte de Clermont, son of GUILLAUME [II] Comte de

Clermont & his first wife Huguette de Chamalières (-12 Apr 1262).
[1282] ES III 765 and 767, extinct in the male line in 1500.
[1283] Baluze (1708) Auvergne, Tome II, p. 261
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Béatrice de Montmorin), J-P.de Palmas (FMG) 16 v 2014
- família 1: L.B. de Rougé (Béatrice de Montmorin)
- casament 2: J-C de Vaugiraud (ES XIV Tafel 103: Mercoeur et ES III-V Tafel 733:
- família 2: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer), J-C Barbier
(l'art de vérifier les dates) 23 vii 2007
2.978.017b:
Fonts:
- persona: J-C Barbier (l'art de vérifier les dates) 23 vii 2007
- família: J-C Barbier (l'art de vérifier les dates) 23 vii 2007
2.978.017c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (forum) 22/03/2010
2.978.017e:
ADELAIS (-17 Dec ----). The testament of "Robertus Delfini comes
Claromontensis", dated [Mar] 1262, appoints "Robertum filium meum
primogenitum" as his heir, names "Delfino filio meo…Aelis filiam meam uxorem
domini de Montebuxerio…Aalais sanctimoniali Eschlachiæ filiæ meæ…Mathæ
filiæ meæ…Alasia quondam uxor mea…avunculorum suorum domini Bernardi et
domini Heliæ de Ventadoro"[482]. Nun. The necrology of Fontevraud records the
death "XV Kal Dec" of "domina Adelidis virgo devota et Deo sacrata…comitis
Claromontis atque Dalphini de Arvernia filia"[483].
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV Tafel 103: Mercoeur et ES III-V Tafel 733:
Dauphin d'Auvergne) 24/03/2010, J-P.de Palmas (FMG) 17 xi 2016
2.978.017-1a:
Cité en 1263.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, Tafel 103, Mercoeur) 16 xi 2016
-3127-
2.978.017-1b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, Tafel 103, Mercoeur) 16 xi 2016, L.B. de
Rougé (Béatrice de Montmorin)
- família: L.B. de Rougé (Béatrice de Montmorin)
2.978.017-1c:
Attention (J-C de V) : Le 16 xi 2016 j'ai décroché Alasie de Mercoeur de ses
pseudos parents Guillaume de Mercœur X Dauphine de Ventadour, à cause d'une
chronologie prise en défaut, Guillaume II de Mercoeur vivant à la fin du XIII°
siècle et non au début ! Il est des plus plausible que ses véritables parents soient
en fait Guillaume de Mercœur X Alesie de Ventadour, qui eux vivent au début du
XIII° siècle !
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)16vi2003,
- casament: A Brabant (site villefranche) 4.11.05
- família: H.deRiberolles(Remacle)16vi2003,A Brabant (site villefranche) 4.11.05
2.978.018:
Fonts:
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 vii 2016
2.978.019:
Fonts:
- família 2: P.de Lacoste (Trophees du duché de Brabant, Butkens) 11 ii 2018
2.978.019a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-III-4/735
2.978.024:
1ères noces : Union arrangée sous la pression armée de Simon de Montfort.
jblg 14/11/2014
Edouard de Saint Phalle Les premiers degrés des Poitiers-V H&G 152 pp 253/254
Versailles 09/1999, dûment acté et argumenté, rectifie et précise des éléments.
Guillaume détenait ses deux comtés du vivant de son pére.
Fonts:
- persona: H.de Lagarde (Gros), JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle Les
premiers degrés des Poitiers-V H&G 152 pp 253/254 Versailles 09/1999, qui
rectifie) 14 xi 2014
- naixement: Edouard de Saint Phalle Les premiers degrés des Poitiers-V H&G 152
pp 253/254 Versailles 09/1999
2.978.025:
Très controversé : La Chesnaye-Desbois la donne fille d'Ozazica Ier de FLOTTE.
Flotte serait son prénom d'après les sources qui suivent. Jacques Saillot la fait fille
-3128-
de Raimbaud-Bérenger de ROYANS. Nicolas Chorier la fait fille d'un Osassica de
ROYANS, lui-même fils de Raimond Ier Bérenger, prince de ROYANS. Michel
Rieutord ("Les Alleman" p.72) d'Osasicca (Bérenger ?) de ROYANS et d'Alix de
LATOUR DU PIN, elle-même fille d'Albert II, et qui avait épousé en 1ères noces
Drodon de BEAUVOIR. Elle serait citée dans le testament de sa mère en 1248, où
elle est dite veuve de Guillaume de POITIERS.
Pour des filiations médiévales, quand plusieurs données sont à confronter il faut
exclure LCB qui n'est qu'un éditeur de généalogies fournies par les familles, sans
critiques.
Jacques Saillot ne connaît pas bien les généalogies en dehors de l'Ouest français
(et encore)..
Michel Rieutord, généalogiste très au fait des filiations médiévales de la Région

est la référence..
Edouard de Saint Phalle in "Les premiers degrés des Poitiers-Valentinois" H&G

152 pp 253/254, 1999 confirme et augmente.
Fonts:
- persona: E.Visseaux/P.Pluchot;, JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle in
"Les premiers degrés des Poitiers-Valentinois" H&G 152 pp 253/254, 1999) 14 xi
2014
- casament 2: ES XIV tableau 70 Faucigny
- família 2: E.Visseaux/P.Pluchot
2.978.025b:
fille très probable de Guillaume mais actuellement sans "preuves"
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (pour fusion : D. Vrignaud 2016-05-06 09:08:37) 6 v
2016, JB.de La Grandiere ( Edouard de Saint Phalle étude des premiers degrés des
Poitiers-Valentinois 1999 ) 5 vi 2010
2.978.026:
Humbert V, continua les relations d'amitié qui unissaient sa famille à la maison de
France ; il fut nommé gouverneur du Languedoc par Louis VIII, et ce titre lui fut
confirmé par Louis IX en 1227. Humbert prit part à toute la guerre désastreuse du
Midi, et nous le reverrons dans ces départements malheureux qu'a ravagés la
guerre des Albigeois. Baudouin II, empereur latin de Constantinople, ayant fait un
voyage en Europe, en 1239, pour chercher du secours, fut reconduit dans ses
États par Humbert. La dignité de connétable, que son cousin, le roi de France,
saint Louis, lui accorda à son retour l'année suivante, fut la récompense de tous
les services qu'il avait rendus à la maison royale. En 1248, le sire de Beaujeu
suivit le roi dans son expédition en Égypte, et il y trouva la mort en 1250.
-3129-
Il avait testé en juillet 1248 (Bibliothèque de l'École des Chartes, III, 1857, p.
257).
Humbert mourut sans postérité mâle (*) ; sa fille, Isabelle, lui succéda, non sans
contestation de la part de ses neveux, et transmit la seigneurie a son second fils
Louis de Forez, qu'elle avait eu de son mariage avec Renaud, comte de Forez.
Louis eut quelques démêlés avec les seigneurs voisins et les archevêques de Lyon,
et mourut en 1290 ou 1291.
(*) Guichard de Beaujeu, fils d'Humbert, n'était pas légitimement marié, et sans
descendance à la mort de son père ; Isabelle de Beaujeu avait trois fils et
représentait l'avenir de la lignée.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Histoire de Beaujeu de Marius Audin & Histoire du
Rhône) xi2009
2.978.027:
Fondatrice de la chartreuse de Polleteins.
Fonts:
- persona: Auréjac
2.978.027a:
(*) Il n'était pas légitimement marié, et sans descendance à la mort de son père ;
Isabelle de Beaujeu avait trois fils et représentait l'avenir de la lignée.
Fonts:
2.978.027b:
Humbert mourut sans postérité mâle ; sa fille, Isabelle, lui succéda, non sans
contestation de la part de ses neveux, et transmit la seigneurie a son second fils
Louis de Forez, qu'elle avait eu de son mariage avec Renaud, comte de Forez.
Louis eut quelques démêlés avec les seigneurs voisins et les archevêques de Lyon,
et mourut en 1290 ou 1291.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Alain de Carné), J-P de Palmas (Histoire du Rhône)
xi2009, J-C de Vaugiraud (ES III-3, T. 434) 15/06/2010
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES III-3, T. 434) 15/06/2010
- família 1: F-L. Jacquier (Alain de Carné), M.Rébeillé-Borgella (base janez), J-C de
-3130-
Vaugiraud (ES III-3, T. 434) 15/06/2010
- família 2: H.R.Moser
2.978.027d:
Fonts:
- família: J-L. Dega, Emmanuel Arminjon,A Brabant ( site deret) 25.10.05
2.978.027e:
Fonts:
2.978.028:
Guillaume II de Genève (v. 1185 - 25 novembre 1252) fut comte de Genève de
1220 ou 1224 à 1252, à la suite de son frère Humbert de Genève, mais écarté par
son frère vers la fin.
Biographie
Avant son règne, Guillaume II participe, avec son frère, à la croisade contre les
Albigeois et au sac de Béziers en 1208.
Il dépossède son frère, Ebal de Genève de ses droits pour succéder à son père
vers 1224, toutefois il lègue ses droits à Pierre II de Savoie. Cet acte est de
nouveau la source d'un conflit entre les deux comtes en 1250. Tout d'abord une
guerre où l'on voit Pierre II prendre le château comtal de Guillaume II puis un
traité, le 10 juin 1250 sous les auspices de de l'archevêque de Lyon, Philippe de
Savoie (qui succèdera ensuite à Pierre). En échange du retour du château comtal,
Guillaume doit consentir à donner le château de Ternier au duc de Savoie, celui
des Clées (Vaud) et celui de La Roche ainsi qu'une somme d'argent[1]. Ensuite la
succession de Ebal entraîne une autre tension et marque le débat de la perte de
puissance de la maison de Genève face à celle de Savoie[2].
Lors de la rédaction de son testament, le 9 novembre 1252, il institue son fils

Raoul pour lui succéder, et demande à ce que ces volontés soient respectées,
notamment par Pierre II de Savoie. Il meurt le 25 novembre 1252.
Références
1. Mémoires et documents de la Société d'Histoire et d'archéologie de

Genève, 1849, pp. 217-225
2. ↑ Mémoires et documents de la Société d'Histoire et d'archéologie de Genève, 1849,
p.225
GUILLAUME [II] de Genève, son of GUILLAUME [I] Comte de Genève & his
second wife Béatrix de Faucigny (-25 Nov 1252). "Dominus Willelmus
Gebenensis…frater Humberti comitis Gebenensis" issued letters of protection to
Chamonix by charter dated 13 Mar 1205, naming "pater eius Willelmus comes
Gebennensis bone memorie"[929]. Comte de Genève. The previously quoted
document shows that Guillaume did not share power with his brother as count
-3131-
immediately after the death of their father. "Humbertus et Willelmus fratres et
comites Gebenn." granted the prior of Saint-Victor the right to fortify the
monastery by charter dated 1220[930]. "Willelmus comes Gebennensis" swore
homage to the archbishop of Tarantasia for the valley of Hauteluce, with the
consent of "dominus Amedeus…Maurianensis episcopus frater noster", by charter
dated 30 Jul 1220[931]. "G. comes Gebenn." donated property to the bishopric of
Geneva by charter dated 6 Jul 1223, witnessed by "uxoris sue"[932]. Avoué of
Chamonix. "Willelmus comes Gebenn." obtained a loan from the monastery of
Saint-Victor by charter dated 16 Feb 1228 which names "Rodulfum filium
meum…et dominam comitissam" among the guarantors[933]. "Willelmus…comes
Gebenn." recognised a loan from the monastery of Saint-Victor, confirmed by "A.
comitissa…Rodulfus filius comitis", by charter dated 13 Jan 1231, witnessed by
"eiusdem uxor Alaysia comitissa"[934]. "Vullielmus comes Gebenn., Ales uxor
nostra et Rodulphus filius noster" granted compensation to the bishopric of
Geneva for the wrongs which they had committed by charter dated Feb
1236[935]. "Vullielmi comitis et Rodulphi eius filii" consented to the sale of
property to the bishopric of Geneva by charter dated 1245[936]. "Petrus de
Sabaudia" and "Guillelmus comes Geben., Rodulphus et Henricus filii dicti
comitis" appointed "D. Ph…Lugdunen. ecclesie Electum" [Philippe de Savoie] to
arbitrate disputes between them, by charter dated 10 Jun 1250[937]. "Villelmus
comes Gebennensis" confirmed the foundation of the Chartreuse monastery of
Pomiers by "Villelmo patre meo", with the consent of "Alesia comitissa uxor mea
et Rodulphus filius noster primogenitus cum filiis nostris…Amedeo…episcopi
Diensi, Aymone cantore Gebennensi, Henrico, Roberto canonico Viennensi,
Villelmo, Guigone", for the soul of "Humberti fratris nostri quondam comitis
Gebennensis", by charter dated 1252[938]. The testament of "Willelmus comes
Gebenn.", dated 9 Nov 1252, names "primogenitum nostrum Rodulfum" as his
heir, makes bequests to "filio nostro Amedeo…Dien. Ep", and is witnessed by "…A.
comitissa Geben….Artaudus de Rossellon…"[939].
[m firstly --- de Forez, daughter of GUY [III] Comte de Forez [Albon] & his second
wife Adelasia ---. This possible first marriage of Comte Guillaume [II] is
speculative, but it provides the best explanation for the different primary source
documents which indicate family relationships between the Roussillon family and
the Forez and Genève families. Dealing firstly with the relationship between the
Roussillon/Forez relationship, this is indicated by the documents which are quoted
below under this person´s possible daughter "M---", wife of Artaud [IV] Seigneur
de Roussillon. Assuming for the moment that the relationship was through the
wife of Artaud [IV], it is reasonable to suppose that it was through an otherwise
unrecorded younger daughter of Guy [III] Comte de Forez, based on the following
logic. Firstly, it is not known with certainty whether the Roussillon/Forez
connection was through the father or mother of Guillaume de Roussillon (the son
of Artaud [IV] and his wife). However, the charter dated Nov 1262, quoted below,
suggests that the relationship was through his mother: if Artaud [IV] himself had
been the relative of the Forez family, it seems that the Nov 1262 document would
have been unnecessary as Artaud could automatically have transferred his rights
to his oldest son by testament. Artaud´s presence in the document does not
necessarily indicate that he held the rights in his own name: they could have been
rights held through his wife. If that is correct, presumably "M---" was still alive in
Nov 1262. If she had been dead, her rights would already have vested in her
children, so her husband´s presence in the document would have been
unnecessary (unless he was acting in the name of any children who were still
-3132-
minors). Secondly, the order of beneficiaries in the Jun 1270 testament of Renaud
Comte de Forez is presumably significant in determining the nature of the
connection with the Roussillon family. The document provides for bequests, in
order, to "consanguineo meo domino Ano domino dÓliergue…Guillelmo de
Rossilione consanguineo meo". The former is identified as Agnon [VI] Seigneur
dÓlliergues, the senior male representative of the descendants of the oldest
daughter of Guy [III] Comte de Forez who married Guillaume de Baffie (see the
document AUVERGNE for the Baffie and Olliergues families). It is likely therefore
that "Guillelmo de Rossilione consanguineo meo" was in some way junior to Agnon
[VI] in his rights to the Forez inheritance. The marriage of Artaud [IV] Seigneur de
Roussillon is dated to [before 1238], which suggests that his wife is unlikely to
have been born much later than [1223]. If that date is correct, the chronology of
the Olliergues family suggests that it is improbable that she was an otherwise
unrecorded younger sister of Agnon [VI]´s mother. There appear to be two
possibilities : either Artaud´s wife was the daughter of an otherwise unrecorded
younger daughter of Guy [III] Comte de Forez, or she was the granddaughter of a
younger sibling of Comte Guy [III]. The former is the most likely possibility: all the
other beneficiaries under the Jun 1270 testament of Renaud Comte de Forez were
descendants of his grandfather, and it seems unlikely that Comte Renaud would
have considered it necessary to provide in his testament for another family
representative who was descended from his great-grandfather. In conclusion, until
further information comes to light, if the relationship between the Roussillon and
Forez families was through Artaud [IV] de Roussillon´s wife, it is likely that she
was the daughter of an otherwise unrecorded younger daughter of Guy [III]
Comte de Forez. Turning to the Roussillon/Genève family connection, this is
suggested by an undated charter under which "Amedée de Genève Evesque de
Die" (identified as the son of Comte Guillaume [II]) is called "oncle dÁmedée de
Roussillon" (who was a younger son of Artaud [IV] Seigneur de Roussillon)[940].
The testament of "Thomas de Sabaudia primogenitus…domini Thomæ de
Sabaudia comitis", dated 14 May 1282, which names "consanguineum meum R.
patrem dominum Aymarum archiepiscopum Lugdunensem" (the latter identified
as another younger son of Artaud [IV] Seigneur de Roussillon) also indicates a
connection as the relationship with the Savoie family was presumably through the
comtes de Genéve[941]. Vachez, in an article dealing with the Roussillon family,
approaches a conclusion when he states that Artaud [IV]´s wife was "Marie de
Genève, fille de Guillaume Comte de Genève et de Marie ou Alix de la Tour"[942].
However, his explanation is contradictory and confusing. He asserts firstly that
the marriage of Artaud [IV] with "Marie" was childless (nullifying completely his
explanation for the relationship which is stated in the undated charter) and
secondly that Artaud´s children were born from a supposed second marriage with
"Artaude de Forez, fille de Guy IV comte de Forez", presumably in an attempt to
explain the presence of Guillaume de Roussillon in the Jun 1270 testament of
Renaud Comte de Forez. The major problem with identifying Guillaume [II] Comte
de Genève as the father of "M---" is the number of children attributed to Comte
Guillaume and his wife which makes it difficult to explain why "M---" and her
descendants should have been singled out in relation to the Forez inheritance.
However, this difficulty would be resolved if the daughter of Guy [III] Comte de
Forez was the first wife of Comte Guillaume, and the mother of a single daughter,
her husband marrying again after she died.]
m [secondly] ([before 1215]) ALIX, daughter of --- (-after 5 Oct 1256).

"Willelmus…comes Gebenn." recognised a loan from the monastery of Saint-
-3133-
Victor, confirmed by "A. comitissa…Rodulfus filius comitis", by charter dated 13
Jan 1231, witnessed by "eiusdem uxor Alaysia comitissa"[943]. "Vullielmus comes
Gebenn., Ales uxor nostra et Rodulphus filius noster" granted compensation to the
bishopric of Geneva for the wrongs which they had committed by charter dated
Feb 1236[944]. The primary source which confirms her parentage has not yet
been identified. Guichenon states that she was "filia…Alberti III domini de Turre
Pini et Mariæ de Turre-Averniæ" adding that she received "in dotem castra
Cornillonis et de Bornant" as shown by her testament dated 5 Oct 1256[945]. If
this affiliation was correct, she would have been Alix de la Tour du Pin, daughter
of Albert [II] de la Tour du Pin & his wife Marie d'Auvergne. However, Bert Kamp
has pointed out that there is no information available which confirms the basis for
Guichenon´s statement and that the marriage of her son Rodolphe, with his first
cousin (if Alix had been the daughter of Albert [II]), makes this affiliation
improbable giving the difficulties in obtaining the necessary papal dispensation at
the time[946]. This difficulty would be resolved if Rodolphe was in fact the son of
Guillaume [II]´s supposed first marriage. A further line of enquiry to pursue is
tracing the ownership of the dower properties which are mentioned by Guichenon:
it is unclear why he would have referred to these at all in the sentence concerning
Alix´s parentage unless they could be traced back to the Tour du Pin family. The
date of her marriage is suggested by the estimated birth date of her son Rodolphe
(see below). "Villelmus comes Gebennensis" confirmed the foundation of the
Chartreuse monastery of Pomiers by "Villelmo patre meo", with the consent of
"Alesia comitissa uxor mea et Rodulphus filius noster primogenitus cum filiis
nostris…Amedeo…episcopi Diensi, Aymone cantore Gebennensi, Henrico, Roberto
canonico Viennensi, Villelmo, Guigone", for the soul of "Humberti fratris nostri
quondam comitis Gebennensis", by charter dated 1252[947]. The testament of
"Willelmus comes Gebenn." is dated 9 Nov 1252 and names "primogenitum
nostrum Rodulfum…filio nostro Amedeo…Dien. Ep…A. comitissa Geben."[948].
"Amedeus…Dien. Ep. filius quondam D. Guillelmi bone memorie comitis Geben."
delegated the execution of his father´s testament to "fratrem nostrum Rodulphum
primogenitum", with the consent of "fratrum nostrorum…Henrici layci, Roberti
canonici Vien., Guillelmi et Guigonis clericorum filiorum antedicti D. comitis
Geben.", by charter dated 8 Jan 1253, witnessed by "Ay. dno. Fucign…Dne.
Alaysie…matris nostre comitisse Gebenn…religiose Dne. Agathe sororis nostre
Abbatisse de Monte…"[949]. The testament of "A. comitissa Gebenn." is dated 5
Oct 1256 and bequeathes "castrum de Curnillon et…totum de Bornans…" to "filio
nostro Rodolpho comiti Gebenn."[950].
Guillaume [II] & his [first wife had one child].
Guillaume [II] & his [first/second] wife had one child.
Guillaume [II] & his [second] wife had [seven] children.
[929] Mallet ´Mémoire´ (1849), Tome VII, Pièces justificatives, V, p. 293.
[930] Mallet (1845), Tome IV, Documents, XXII, p. 27.
[931] Besson (1759), Preuves, 36, p. 368.
-3134-
[932] Mallet (1845), Tome IV, Documents, XXVII, p. 34.
[933] Mallet (1845), Tome IV, Documents, XXXVI, p. 44.
[936] Mallet (1845), Tome IV, Documents, LVI, p. 64.
[938] Besson (1759), Preuves, 52, p. 384.
[940] Le Laboureur, C. (1681) Les Mazures de lábbaye royale de lÍsle-Barbe ou

Histoire de…ce…monastère (Paris), Tome II, p. 532, which gives no primary
source citation reference.
[941] State Archives, volume 104, pages 31-32, fascicules 19.1 and 2, and
Guichenon (Savoie), Tome IV, Preuves, p. 100.
[942] Vachez ´Recherches sur les Roussillon-Annonay´, p. 597.
[945] Bibliotheca Sebusiana, Centuria I, XLVI, p. 94, footnote a.
[946] Bert M. Kamp in a private email to the author dated 23 Aug 2010.
[947] Besson (1759), Preuves, 52, p. 384.
[950] Lullin. P., & Le Fort, C. (eds.) (1862) Chartes inédites relatives à l´histoire
de Genève, Mémoires et documents publiés par la société d´histoire et
dárchéologie de Genève, Tome XIV (Geneva, Paris), Supplément, 341, p. 389.
Fonts:
- persona: D.de Raugl/E.Arminjon, J-P de Palmas (Guillaume de Genève et FMG)
i2010
-3135-
- naixement: F d'Avigneau (geneanet frebault)
- defunció: F d'Avigneau (geneanet frebault)
- família: D.de Raugl/E.Arminjon, J-P de Palmas (Guillaume de Genève) i2010
2.978.029:
ALASIE (-after Mar 1249, bur abbaye de Bonnevaux). Under her testament dated
Mar 1249, "Alays de Roians, domina castri Sancti Johannis de Bornay, uxor
quondam nobilis viri dom Ose Sicce" elected burial "apud…monasterium Bone
Vallis", bequeathed property to "Dome Sibille uxori nobilis viri domi Audemari de
Pictavia, nepotis mei…nobilem domam Flotam filiam meam…Ugone nepoti meo de
Turre, senescalco Lugdunensi" and also names "fratre meo dome Alberto de
Turre"[3217].
[ALIX (-after 5 Oct 1256). The primary source which confirms the parentage of the
wife of Guillaume [II] Comte de Genève has not yet been identified. Guichenon
states that she was "filia…Alberti III domini de Turre Pini et Mariæ de Turre-
Averniæ" adding that she received as dower "castra Cornillonis et de Bornant" as
shown by her testament dated 5 Oct 1256[3175]. However, Bert Kamp has pointed
out that there is no information available which confirms the basis for
Guichenon´s statement and that the marriage of her son Rodolphe, with his first
cousin if Alix had been the daughter of Albert [II], makes this affiliation
improbable giving the difficulties in obtaining the necessary dispensation at the
time[3176]. A further line of enquiry to pursue is tracing the ownership of the
dower properties which are mentioned by Guichenon: it is unclear why he would
have referred to these at all in the sentence concerning Alix´s parentage unless
they could be traced back to the Tour du Pin family. The date of her marriage is
suggested by the estimated birth date of her son Rodolphe (see below).
"Willelmus…comes Gebenn." recognised a loan from the monastery of Saint-
Victor, confirmed by "A. comitissa…Rodulfus filius comitis", by charter dated 13
Jan 1231, witnessed by "eiusdem uxor Alaysia comitissa"[3177]. "Vullielmus comes
Gebenn., Ales uxor nostra et Rodulphus filius noster" granted compensation to the
bishopric of Geneva for the wrongs which they had committed by charter dated
Feb 1236[3178]. "Villelmus comes Gebennensis" confirmed the foundation of the
quondam comitis Gebennensis", by charter dated 1252[3179]. The testament of
"Willelmus comes Gebenn." is dated 9 Nov 1252 and names "primogenitum
nostrum Rodulfum…filio nostro Amedeo…Dien. Ep…A. comitissa Geben."[3180].
"Amedeus…Dien. Ep. filius quondam D. Guillelmi bone memorie comitis Geben."
delegated the execution of his father´s testament to "fratrem nostrum Rodulphum
Abbatisse de Monte…"[3181]. Her testament is dated 5 Oct 1256 but a copy of the
document has not yet been found[3182]. The testament of "A. comitissa Gebenn."
is dated 5 Oct 1256 and bequeathes "castrum de Curnillon et…totum de
Bornans…" to "filio nostro Rodolpho comiti Gebenn."[3183].
-3136-
m ([before 1215]) GUILLAUME [II] Comte de Genéve, son of GUILLAUME [I]
Comte de Genève & his second wife Béatrix de Faucigny (-25 Nov 1252).]
[3175] Bibliotheca Sebusiana, Centuria I, XLVI, p. 94, footnote a.
[3176] Bert M. Kamp in a private email to the author dated 23 Aug 2010.
[3179] Besson (1759), Preuves, 52, p. 384.
[3182] Bibliotheca Sebusiana, Centuria I, XLVI, p. 94, footnote a (no citation for
the testament).
[3183] Lullin. P., & Le Fort, C. (eds.) (1862) Chartes inédites relatives à l´histoire
de Genève, Mémoires et documents publiés par la société d´histoire et
dárchéologie de Genève, Tome XIV (Geneva, Paris), Supplément, 341, p. 389.
Fonts:
- persona: N. Danican (Anselme), J-M.Thiebaud (Armoiries) 8 iii 2011,
E.Visseaux/P.Pluchot, J-P.de Palmas (FMG) 5 iii 2015, S. Bontron (Anselme, VII),
- família: D.de Raugl/E.Arminjon, J-P de Palmas (Guillaume de Genève) i2010
2.978.029b:
HENRI (-before 1273). "Petrus de Sabaudia" and "Guillelmus comes Geben.,
Rodulphus et Henricus filii dicti comitis" appointed "D. Ph…Lugdunen. ecclesie
Electum" [Philippe de Savoie] to arbitrate disputes between them, by charter
dated 10 Jun 1250[964]. "Villelmus comes Gebennensis" confirmed the foundation
of the Chartreuse monastery of Pomiers by "Villelmo patre meo", with the consent
of "Alesia comitissa uxor mea et Rodulphus filius noster primogenitus cum filiis
quondam comitis Gebennensis", by charter dated 1252[965]. "Amedeus…Dien. Ep.
filius quondam D. Guillelmi bone memorie comitis Geben." delegated the
execution of his father´s testament to "fratrem nostrum Rodulphum
Abbatisse de Monte…"[966]. "Rodulphus comes Gebenn., Aymo Cantor Gebenn. et
Henricum fratres" donated property to the bishopric of Geneva, for the injuries of
"comite Humberto avunculo nostro et comite Willermo patre nostro", with the
consent of "domine Allasie matris nostre comitisse Gebenn. et…Amedei Dien.
-3137-
episcopi fratris nostri", by charter dated 3 Feb 1253[967]. The testament of
"Beatricis relictæ Raimundi Berengarii comitis Provinciæ", dated 14 Jan 1264,
adds bequests to "…filiabus Rodolphi et Henrici de Gebennis…"[968].
m ---. The name of Henri's wife is not known. Henri & his wife had two children.
[965] Besson (1759), Preuves, 52, p. 384.
[968] State Archives, volume 104, page 11, fascicules 11.1, 2 and 3, and
Wurstenberger (1858), Vol. IV, 636, p. 317.
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/158
2.978.029c:
AIMON de Genève (-1 Mar 1263). "Villelmus comes Gebennensis" confirmed the
foundation of the Chartreuse monastery of Pomiers by "Villelmo patre meo", with
the consent of "Alesia comitissa uxor mea et Rodulphus filius noster primogenitus
cum filiis nostris…Amedeo…episcopi Diensi, Aymone cantore Gebennensi,
Henrico, Roberto canonico Viennensi, Villelmo, Guigone", for the soul of
"Humberti fratris nostri quondam comitis Gebennensis", by charter dated
1252[961]. "Rodulphus comes Gebenn., Aymo Cantor Gebenn. et Henricum
fratres" donated property to the bishopric of Geneva, for the injuries of "comite
Humberto avunculo nostro et comite Willermo patre nostro", with the consent of
"domine Allasie matris nostre comitisse Gebenn. et…Amedei Dien. episcopi fratris
nostri", by charter dated 3 Feb 1253[962]. Provost at Lausanne 1251. Cantor at
Geneva 1252. Bishop of Viviers 1255. The necrology of Lausanne records the
death 1 Mar of "Aymo episcopus Viuariensis, frater comitis Gebenn." for whose
anniversary "Amedeus Dyensis episcopus frater suus" donated vines planted by
"Hugo de Gebenna"[963].
[961] Besson (1759), Preuves, 52, p. 384.
[963] Lausanne Necrology, p. 116.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia & Mémoires et documents de la Société
d'Histoire et d'archéologie de Genève, 1849 et FMG) i2010
-3138-
2.978.029d:
AMEDEE de Genève (-after 21 Jan 1275). The testament of "Willelmus comes
Gebenn." is dated 9 Nov 1252 and names "primogenitum nostrum Rodulfum…filio
nostro Amedeo…Dien. Ep…A. comitissa Geben."[958]. Provost at Lausanne 1247.
Bishop of Dié . "Villelmus comes Gebennensis" confirmed the foundation of the
quondam comitis Gebennensis", by charter dated 1252[959]. "Amedeus…Dien. Ep.
filius quondam D. Guillelmi bone memorie comitis Geben." delegated the
execution of his father´s testament to "fratrem nostrum Rodulphum
Abbatisse de Monte…"[960].
[959] Besson (1759), Preuves, 52, p. 384.
Fonts:
d'Histoire et d'archéologie de Genève, 1849 ; FMG) i2010
2.978.029e:
Fonts:
d'Histoire et d'archéologie de Genève, 1849) i2010
2.978.029h:
AGATHE . "Amedeus…Dien. Ep. filius quondam D. Guillelmi bone memorie comitis
Geben." delegated the execution of his father´s testament to "fratrem nostrum
Rodulphum primogenitum", with the consent of "fratrum nostrorum…Henrici
layci, Roberti canonici Vien., Guillelmi et Guigonis clericorum filiorum antedicti D.
comitis Geben.", by charter dated 8 Jan 1253, witnessed by "Ay. dno.
Fucign…Dne. Alaysie…matris nostre comitisse Gebenn…religiose Dne.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 17 x 2011
2.978.030:
Anselme (VII, 145) comme Schwennicke le nomment Albert III fils de Albert II.
Anselme dit "Albert III. du nom, seigneur de La Tour-du-Pin, fils d'Albert II
-3139-
seigneur de La Tour".
Schwennicke dit "Albert III, sire de La Tour".
Schwennicke signale pour sa mort : entre avril 1259 et juin 1260.
Il est connu pour ses donations aux chartreuses de Seillon, de Portes et de

Montmerle, ainsi qu'à l'église d'Ambronay.
[C-H.Maigret (Georges Martin) 29 vii 2012]
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145 et Schwennicke, Europäische
Stammtafeln, XIV, 60), S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la
Maison de La Tour du Pin-2006)27.11.2017
- defunció: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60)
- casament: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60
dit avant le 04.05.1220 ; Anselme, VII, 145 dit avant 1225)
- família: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145) ; M.Rébeillé-Borgella (base
charmion), S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La
Tour du Pin-2006)27.11.2017
2.978.031:
Mise sous tutelle de Guillaume de Coligny son oncle.
Anselme comme Schwennicke nomment son mari Albert III fils d'Albert II.
Agit en 1237.
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145 et Schwennicke, Europäische
Stammtafeln, XIV, 60)
- naixement: ??
- defunció: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60)
dit 1240/41
- casament: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60
dit avant le 04.05.1220 ; Anselme, VII, 145 dit avant 1225)
- família: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145) ; M.Rébeillé-Borgella (base
charmion), S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La
Tour du Pin-2006)27.11.2017
2.978.031a:
Succéda à son père comme grand sénéchal des royaumes d'Arles et de Vienne.
Par son deuxième mariage il devint bau-frère des rois de Jérusalem, de

Thessalonique, de Thessalie et de l'empereur d'Orient.
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La
Tour du Pin-2006)27.11.2017
-3140-
- família 1, família 2: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la
2.978.031b:
Devint sénéchal de l'église de Lyon.
Il signa, ainsi que ses fréères un traité avec la maison de Beaujeu.
Il vivait encore en 1287.
Fonts:
Tour du Pin-2006)27.11.2017
2.978.031c:
Entra à l'âge de treize dans l'ordre des Frères prêcheurs.
Il succéda à son oncle comme évêque de Clermont.
En 1262 il célébra le mariage de Philippe le hardi, roi de France.
Il mourut en 1286 et fut enseveli dans sa cathédrale.
Fonts:
Tour du Pin-2006)27.11.2017
2.978.031d:
Humbert Ier, né vers 1240, mort le 12 avril 1307, fut un baron de la Tour-du-Pin,
avant de devenir, par mariage, dauphin de Viennois. Il était fils d'Albert III, baron
de la Tour-du-Pin, et de Béatrice de Coligny. Sa mère était elle-même fille
d'Hugues Ier, seigneur de Coligny, et de Béatrice d'Albon, dauphine de Viennois.
Biographie
Humbert devient dauphin en 1282 à la mort de son beau-frère Jean Ier et

contribue à l'élargissement du Dauphiné en intégrant sa baronnie de La Tour, ce
qui coupe les communications entre la Bresse et la Savoie, deux domaines du
comte de Savoie. Ne pouvant tolérer cette nouvelle entrave, le comte Philippe Ier
de Savoie entre en guerre ouverte avec son voisin en 1282. Cette guerre, comme
la plupart des conflits médiévaux, n'est qu'une succession de chevauchées, terme
consacré pour désigner des incursions en territoire ennemi destinées à ravager
les récoltes et semer la terreur parmi les habitants.
Les mandements du Haut Grésivaudan sont touchés dès l'avènement d'Humbert

par une succession de chevauchées savoyardes : Avalon est attaqué en août mais
la défense héroïque d'une compagnie d'arbalétriers grenoblois empêche sa prise.
Ce bourg frontalier est à nouveau attaqué à deux reprises dans la semaine
-3141-
précédant la Toussaint . Tous les moulins sont détruits. Cette même semaine,
Bellecombe est attaqué. Enfin en décembre, Louis, second neveu du comte
Philippe, accompagné de 48 cavaliers assiège sans succès le château de la
Buissière et ne rentre qu'avec 6 prisonniers. Cette guerre s'achèvera en 1286 par
le traité de Paris.
Cette même année le châtelain de Bellecombe, Aimeric de Briançon, est pressé

par le comte de Savoie pour lui rendre hommage, ce qu'il fait. Cela signifie que le
mandement de La Buissière et son château redeviennent la première ligne de
défense du domaine delphinal sur la rive droite. Ne pouvant accepter cet
empiétement sur ses terres, Humbert Ier propose un habile marché à Aimeric
consistant à l'échange de son mandement de Bellecombe contre celui de Varces,
ce qu'il accepte en 1289. Bellecombe devient ainsi définitivement Dauphinois,
pour la plus grande fureur du comte de Savoie, Amédée le Grand.
Décidé à se venger, celui-ci attaque et détruit le bourg de Bellecombe, passant ses

habitants au fil de l'épée. Poursuivant sa chevauchée en Grésivaudan, brûlant les
granges et les maisons qu'il rencontre, il met le siège devant le château de La
Terrasse défendu par le châtelain Hugues d'Arces. L'assaut dure une journée
entière mais il échoue, laissant de nombreux soldats morts. Battant en retraite, il
incendie Barraux et rase le donjon Dauphinois qui était construit à l'emplacement
de l'actuel Fort Barraux. Ce dernier acte de vengeance le perdra, car le temps
passé à la démolition du donjon est mis à profit par Humbert Ier qui, ayant réuni
une petite armée de secours composée notamment de nobles et chevaliers de La
Buissière, vient lui tendre une embuscade dans le bois de Servette entre Barraux
et Chapareillan. Laissant passer l'avant garde savoyarde, il tombe sur le restant
des troupe d'Amédée qu'il met en déroute, en tuant un grand nombre et faisant
une multitude de prisonniers. Ce conflit prend fin en 1293 par le traité de Saint
Jean de Moirans.
Pour avoir entrepris des expéditions guerrières contre le comte de Savoie et avoir
accablé ses sujets de péages abusifs, Humbert tombera sous le coup d'une triple
excommunication. Ceci ne l'empêchera pas de finir sa vie à la chartreuse de Val
Ste Marie en 1306 en laissant le pouvoir à son fils Jean.
extrait de sa fiche wikipedia
Fonts:
- persona: B.Rousseau (Arnaud de Leyssac - Geneanet - leyssac) 22.07.05,
E.Arminjon, W.A.Reitwiesner, H.R.Moser/Georges Martin, J-P de Palmas
(wikipedia)
- naixement: F d'Avigneau (geneanet frebault)
- defunció: F d'Avigneau (geneanet frebault); lieu: Hervé Balestrieri ( Stéphane
Couton : Site Web personnel et personnalités : http://s.couton.free.fr ) 06.11.2007
- casament: F d'Avigneau (geneanet frebault)
-3142-
- família: B.Rousseau (Arnaud de Leyssac - Geneanet - leyssac) 22.07.05,
E.Arminjon, H.R.Moser, J-P de Palmas (wikipedia et FMG)
2.978.031e:
"Béatrix de La Tour, dame de Versieu, fonda la chartreuse de Sainte Croix en
Jarez (Loire) et y mourut en odeur de sainteté. Inhumée le 15 mai 1306 à la
chartreuse de Sainte Croix en Jarez.. Elle épousa vers 1250, Guillaume de
Roussillon, seigneur d'Annonay, fils d'Arthaud IV, seigneur de Roussillon et
d'Arthaude de Forez. Il testa au château d'Annonay avant son départ pour la Terre
Sainte, et légua à son épouse la seigneurie de Châteauneuf ainsi que toutes les
terres qu'il possédait dans le comté de Forez. Il mourut en Terre Sainte en 1277".
Georges Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Tour du Pin - 2eme
édition - 2006.
[note F-L. Jacquier - sur un signalement de Serge de L'Espinay, forum 09-06-2009
16h57].
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - Geneanet "pdes") 25-06-2005, S. de
L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour du Pin-
2006)27.11.2017
- enterrament: F-L. Jacquier (Georges Martin - Histoire et généalogie de la Maison
de La Tour du Pin - 2eme édition - 2006) 9 vi 09
- casament: F-L. Jacquier (Georges Martin - Histoire et généalogie de la Maison de
La Tour du Pin - 2eme édition - 2006) 9 vi 09
- família: F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - Geneanet "pdes") 25-06-2005, F-L.
Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet)
2.978.031f:
Fonda l'église de Saint Barthélémy à Montuel (Ain).
Fonts:
Tour du Pin-2006)27.11.2017
- família 1: H.R.Moser/Guichenon+EuSt-III.1/115, JB.de La Grandiere ("Montréal à
sire de Chastellux", p200, 2013) 18 xii 2014
- família 2, família 3: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la
2.978.031g:
Fonts:
Tour du Pin-2006)27.11.2017
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour
du Pin-2006)27.11.2017
2.978.038:
Fonts:
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Jean XXII, par Jean-Paul Marion, 2009) ii 2009
2.978.039:
-3143-
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Jean XXII, par Jean-Paul Marion, 2009) ii 2009
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Jean XXII, par Jean-Paul Marion, 2009) ii 2009
2.978.039a:
Fonts:
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)/ J-L. Dega
2.978.039c:
Fonts:
2.978.592:
Fonts:
2.978.593:
Fonts:
2.978.624:
Bibliographie
Documens historiques et généalogiques sur les familles et les hommes

remarquables du Rouergue, par Hippolyte de Barrau, 1853
Fonts:
Palmas (H.de Barrau, 1853) 22 v 2013
2.978.625:
Fonts:
2.978.625c:
Fonts:
- persona: E.Visseaux (J.M.Gil)
- família: E.Visseaux (J.M.Gil)
2.978.626:
Fonts:
2.978.627:
-3144-
Fonts:
2.978.630:
Fonts:
- família: J-L. Dega, J-L. Dega (fiches familiales)
2.978.631:
Fonts:
- família: J-L. Dega, J-L. Dega (fiches familiales)
2.978.631a:
Fonts:
2.978.631b:
Fonts:
- família: J-L. Dega (courriel Bernard de Maismont)
2.979.584:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009
- família: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009
2.979.585:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009
2.979.712:
Il figure avec son frère au nombre des chevaliers des vicomtés de Béziers et de
Carcassonne qui prêtèrent serment de fidélité au Vicomte Roger Raymond lorsque
les vicomtés de Béziers et de Carcassonne furent réunis sous sa domination en
mai 1191. Guillaume lui fût constamment fidèle et dévoué. Il l’aida en mars 1201 à
recouvrer l’héritage de son père ; il assista au traité par lequel le Vicomte de
Béziers, Raymond Roger, transporte ses domaines à Raymond Roger, comte de
Foix. Il se rendit caution de la promesse que se firent ces princes de s’entraider
contre le Comte de Toulouse.
Fonts:
2005, J-P de Palmas (site http://www.dagos.org/saintfelix.htm, 13-v-2005)
2005
2.979.713:
Fonts:
2005
-3145-
2.979.713b:
descendance à Naples connue sous le nom de Marquis de San Felice, princes de
Monteverde
En 1265, il suivit le comte d'Anjou, frère de Saint Louis et l'aida dans la conqu^te
de Naples où il s'établit. (source : "Biographie universelle, ancienne et moderne"
de J.F. Michaux sur googlebooks)
Fonts:
2005
2.979.713c:
Fonts:
2005
2.980.776:
Il part en croisade, et sera Chanoine d'Auch dans sa vieillesse.
Il a attesté en 1151, 1161, 1163, 1164, 1167, 1170, 1177, 1180, 1184, 1190 et
1200.
A cette époque, on trouve :
Guillaume de Monstesquiou, qui fut l'un des seigneurs qui jurèrent la paix, faite le
6 des Nones d'octobre 1217, entre Nuno Sance, comte de Roussillon et de
Cerdagne, et l'évêque d'Elne.
Pierre de Montesquiou qui entra dans les ordres et fut nommé évêque d'Albi en
1254, puis créé cardinal par le pape Innocent IV. Il mourut en 1262 suivant les
titres de l'église d'Albi.
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004), S. de L'Espinay
(G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de Monstesquiou-2005)03.01.2011
- naixement: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
- defunció: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
- enterrament: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
2.980.777:
JBLG : la famille tient Mont-de-Marrast (Gers). Trop souvent le patronyme est
"listé" de Mont ou du Mont, ce qui génère pas mal de confusions, jusqu'au
XVI°siècle !
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt), S. de L'Espinay (G. Martin-
-3146-
2.980.777a:
Accablé de langueur en 1204.
Fonts:
2.980.777c:
Vivait avec sa fille Behel en 1210.
Fonts:
2.980.802:
Fonts:
- família: P Ract Madoux (LCdB: Durfort)
2.980.803:
Fonts:
2.980.803a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain)
2.980.803b:
Teste le 4 juillet 1312 en faveur de son fils aîn" raymond Bernard.
Fonts:
2.980.803d:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain)
2.980.808:
Fonts:
2.980.820:
-3147-
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-II/706, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 xii
2015
2.980.821:
Fonts:
Guilhamon)08.v.2006
- família: H.R.Moser/Anselme-II/706, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 xii
2015
2.980.821b:
Fonts:
2.980.821c:
JOURDAIN (-1323). Seigneur de Cazaubon. The Continuatio of the Chronicle of
Guillaume de Nangis records that "Jordanus dictus de Insula inter Vascones
nobilis valde genere" was accused of crimes before the king´s court in 1323,
adding that he had married the niece of Pope John XXII[682]. The Continuation of
the Chronicle of Jean de Saint-Victor records that "Jourdain de Lisle" married "la
nièce du pape Jehan"[683]. The alleged relationship between Jourdain´s wife and
Pope John XXII has not been traced. According to the NNDB, Pope John was born
"Jacques Duèse" in Cahors in 1249 "either of a family of petty nobility orwell-to-do
middle-class parents, and was not, as has been popularly supposed, the son of a
shoemaker"[684]. King Edward II granted “castra de Casaubone, de
Montegalhardo et de Duploquam tenebatquondam Jordanus de Insula germanus
suus” to “Bernardi Jordani domini de Insula militis familiaris nostri” by charter
dated 12 Oct 1323[685].
m (1299) as her first husband, CATHERINE de Grailly, daughter of [PIERRE [I] de

Grailly & his [first wife Talese de Bouville] (before 20 Jul 1333). A manuscript
chronicle records the marriage in 1299 of "Jordanus de Insula" and "Catharinam
filiam D. Joannis de Grailliaco militis" who appointed her as his heir[686]. If
Catherine´s parentage is correct as stated in this source, she must have been
considerably younger than her supposed brother Pierre [I], which would suggest
that she was born from a different marriage. However, another source provides an
alternative parentage for Catherine: a charter dated 20 Jul 1333 records that
"messire P. de Grelly" requested the part of "Catherine sa sœur sur Saincte
Bazeilhe et Landaron" from the seneschal dÁgenois[687]. This, read together
with Catherine´s testament, in which she leaves this property to "messire P. de
Grelly et Jehan son fils" (see below) indicates that she must have been the
daughter of Pierre [I] de Grailly. Dame de Saint Bazeille: "Messire Jourdain de
Lisle" donated "Saincte Bazeilhe et Landaron" to "dame Catherine de Grelly sa
femme" by charter dated 7 Nov 1312[688]. She married secondly (1326) as his
second wife, Arnaud de Durfort Seigneur de Bajamont. Edward II King of England
wrote to “Arnaldi de Duro Forti militis” regarding his marriage to “Katerinam
dominam de Sancta Basilica quondam uxorem Jordani de Insula” by charter dated
25 Feb 1326[689]. The testament of "Catherine de Grelly", published 20 Jul 1333,
appoints "messire P. de Grelly et Jehan son fils" as her heirs in "Saincte Bazeilhe
-3148-
et Landaron"[690].
[682] RHGF XX, Continuatio Chronici Guillelmi de Nangiaco, p. 654.
[683] RHGF XXI, Continuation anonyme de la Chronique de Jean de S. Victor, p.

680.
[684] NNDB <http://www.nndb.com/people/528/000095243/> (18 Sep 2009).
[685] Rymer (1745), Tome II, Pars II, p. 86.
[687] Dubois ´Titres de la maison dÁlbret´, p. 155.
[689] Rymer (1745), Tome II, Pars II, p. 151.
Fonts:
- família: A.Euverte(Histoire de Sainte-Bazeille par l'abbé Alis)19.iv.2006
2.980.821d:
Fonts:
2.980.821e:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Jaurgain et Ritter)
2.980.864:
JOURDAIN II, seigneur de Valette, de Saint Igne, de Cuzoul, de Prévinquières et
de Rieupeyroux, chevalier, reçut en don d'Henri II, comte de Rodez, les terres
seigneuriales de Maleviile et de Parisot, en récompense des services rendus par
Jourdain et ses ancêtres audit Henri II et ses prédécesseurs, comtes de Rodez.
Jourdain confirma l'an 1282, les privilèges et libertés dont jouissaient

anciennement les consuls et habitans de Parisot. Cet acte reçu par Arnaud
Carecques, notaire de Parisot, apprend qu'il était alors marié avec Amélie des
Près, fille de Raymond, seigneur des Près, en Rouergue et de Bonne Montpezat,
dame dudit lieu en Quercy.
-3149-
Ce fut Jourdain qui fit bâtir au lieu dit le bourg de Rodez, une superbe maison,
appelée communément le palais des Valettes, ainsi qu'une chapelle dans l'église
de Saint Amans, où il fut inhumé le 18 août 1302 selon la pierre sépulcrale qu'on y
voyait encore en 1752. Il laissa de son mariage, Bérenger.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques, par Hippolyte
de Barrau) 20 xii 2013
- família: D.Martres (Pierfit) 21.x.2008, J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 21 xii
2013
2.980.865:
Fonts:
- persona: D.Martres (Pierfit) 21.x.2008
- família: D.Martres (Pierfit) 21.x.2008, J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 21 xii
2013
2.980.865b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
2.980.865c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
2.980.865d:
Il rendit hommage le 19 mars 1336, au comte de Rodez, à Villefranche de
Rouergue, pour tout ce qu'il avait dans la mouvance de son comté ; et par acte du
12 avril de la même année, il reconnut à Guillaume de Cardaillac tout qu'il
possédait de biens nobles, dans sa terre de Privezac, du chef de son épouse,
Ayceline de Capdenac, fille de Géraud de Capdenac, seigneur dudit lieu, près
Villefranche, et de Géraude de Barasc. Il eut deux fils.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
2.980.880:
Fonts:
2.980.881:
Fonts:
2.981.184:
-3150-
Fonts:
2.981.185:
Fonts:
2.981.186:
Fonts:
2.981.187:
Fonts:
2.981.187a:
Fonts:
2.981.296:
Fonts:
2.981.297:
Fonts:
2.981.300:
Fonts:
2.981.301:
Fonts:
2.981.301b:
Fonts:
2.981.302:
Isnard, seigneur d'Agout, de Sault, etc., qui fut grand sénéchal de Provence, en
1287. (C'était la première charge de ce pays ; elle réunissait les fonctions de
connétable à celles de chef de la justice). Sa postérité s'est partagée en deux
branches connues ; la première sous la dénomination de seigneurs, puis barons de
Sault, vicomtes de Reillane, en Provence, comtes de Geraci, en Sicile, de Nole et
-3151-
de Crotone, au royaume de Naples ; laquelle a donné quatre autres grands
sénéchaux de Provence, un amiral des mers du Levant, un grand camerlingue du
même royaume de Naples, a formé des alliances avec les maisons de Baux et
d'Espagne-Luna, et s'est éteinte au commencement du quinzième siècle ; la
seconde, sous le titre de seigneurs de Barret, etc. , devenus barons de Sault , de la
Tour d'Aigues, etc., éteinte au commencement du seizième siècle dans la maison
de Montauban en Dauphiné, qui en a pris le nom et les armes, après avoir formé
des alliances avec celles d'Adhémar, de Beauveau, de Brancas, de Castellane, de
Forcalquier, de Glandevès, de Sabran de Tournon et de Vintirnille ; c'est de cette
branche qu'était Fouquet d'Agout, baron de Sault, qui fit donation, en 1489, de
plusieurs terres, à la charge de porter son nom et ses armes, avec quelque
différence à Fouquet Vincent, seigneur de Rougnes, son filleul, tige des seigneurs
de Rougnes et de Saint-Michel, dont le chef actuel est M. le marquis d'Agout, aide-
major au régiment des Gardes-Françaises , frère aîné de M. le chevalier d'Agout ,
chevalier de Saint-Lazare et major de cour.
Il cède la souveraineté de son domaine à Charles II d'Anjou en 1291 (Sault est en

Provence).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (St-Allais) 30 xi 2014
2.981.303:
Fonts:
2.981.303a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XIV
2.981.303b:
Fonts:
2.981.304:
Fonts:
2.981.305:
Testa le 28 octobre 1308.
Fonts:
2.981.305b:
-3152-
Fonts:
- persona: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat)
2.981.306:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Artefeuil II page 240) 18/08/2008
- família: P Ract Madoux (Généalogie du Roure) 28 ii 2003
2.981.307:
Marie ne figure pas comme fille de Barral des Baux x Sibylle d'Anduze dans les
généalogies (révisées après 1980) des familles des Baux et d'Anduze.
Note de : Jean-Baptiste de La Grandière - 07.07.2012
Fonts:
2.981.307a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Artefeuil II page 240) 18/08/2008
- defunció: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012
- casament: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012
2.981.308:
Poète et troubadour apprécié, de même que grand guerrier.
Fonts:
- persona: O.Martel (site podeor),A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de
Castellane par Georges Martin)04.vi.2009, JB.de La Grandiere ( EuropäIsche
Stammtafeln t. XXVIII tableau. 3 -Castellane- Marburg 2011 ) 4 iv 2016
2.981.309:
Elle vivait encore le 28 août 1233, date à laquelle elle confirma avec son mari et
son fils la vente de trois châteaux, moyennant 35.000 sous raimondis.Elle paraît
être morte, nous dit Juigné, avant 1242. Elle possédait un sceau. Un Boniface peut
en cacher un autre, c'est ce qu'indique un mail de Georges Amans 2016-04-03
23:17:22. Boniface de Castellane n'est pas le père mais le grand'père de Laure.
Europäische Stammtafeln t. XXVIII tableau. 3 -Castellane- Marburg 2011 nous
confirme les bons parents qui figurent maintenant.
JB de La Grandière 4 avril 2016, certainement d'accord avec ES XXVIII, Charlotte
Faucherand et Georges Amans
Fonts: - persona: Ch. Faucherand (J. Cru, "Histoire des gorges du Verdon", Edisud,
2001) 16 ii 2015, JB.de La Grandiere (pour ses parents : Europäische Stammtafeln
t. XXVIII tableau. 3 -Castellane- Marburg 2011) 4 iv 2016
2.981.309-1a:
-3153-
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Mazel (Floria La Noblesse et l'Eglise de
Provence p 643 (vtes de Marseille) CTHS Villeurbanne 2002 + Emile Fernbach
réponse à 99.II.392 BLACAS (de) H&G n° 174 p. 164 Paris mars 2005) 5 iv 2016
2.981.760:
La filiation est à peu près établie depuis Amblard, chevalier, seigneur ou comptour
de Diane, Chavagnac et Collandre, qui, en 1224 rendit hommage pour ces deux
dernières terres à Robert de la Tour, évêque de Clermont. Il était le fils de Léon,
seigneur de Dienne, croisé en 1190 et en 1208. Il eut de sa femme Rengarz,
mentionnée dans une charte de 1174, deux fils : Armand et Guillaume, qui furent
les auteurs de deux grandes branches - L'auteur de la branche ainée, Armand -
l'auteur de la seconde branche, Guillaume, qui épousa Alasie du Puy
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Wikipédia) 17 viii 2017
2.981.761:
Fonts: - família: H.de La Villarmois (Remacle) 28 xii 2007
2.981.761b:
Fonts: - persona: M.Rérolle (Remacle, II, p. 307) 05.02.2007
- família: M.Rérolle (Remacle, II, p. 307) 05/02/07
2.981.762:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la
Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
- família 1: H.deRiberolles(Remacle), J-P de Palmas (in Nobiliaire du diocèse & de
la Généralité de Limoges, par l'abbé J. Nadaud, T.IV)
- família 2: J-P de Palmas (in Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse
2.981.763:
Fonts: - família: H.deRiberolles(Remacle), J-P de Palmas (in Nobiliaire du diocèse
& de la Généralité de Limoges, par l'abbé J. Nadaud, T.IV)
2.981.764:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (pierfit) - família: J-P.de Palmas (pierfit) 18 viii
2017
2.981.765:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (pierfit) 18 viii 2017
- família: J-P.de Palmas (pierfit) 18 viii 2017
2.981.792:
Fonts: - persona: Guillaume de Paysac
- família: Guillaume de Paysac, L. Guion
2.981.793:
Fonts: - família: Guillaume de Paysac, L. Guion
2.981.793a:
-3154-
Fonts: - persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
2.981.793c:
2.981.793d:
2.981.793e:
Fonts: - família: L. Guion, JB.de La Grandiere (Peynot (Abbé Michel) La Combraille
pp. 100/172 -La Roche-Aymon-, Guéret 1931) 13 ix 2014
2.981.793f:
2.981.794:
Château de Pierrebuffière--anc. gravure
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit), R. Sekulovich--image
- família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)
2.981.795:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)
Vasson, Lepetit)
2.981.795b:
1 E 2/13 Donation de Pierre de Pierre-Buffière à Solignac (1261) ; don de rentes à
l'abbaye des Allois par Pierre de Pierre-Buffière (1282).
Baronnie de Pierrebuffière
-3155-
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Jean-Louis Ruchaud : Généalogies Limousines et
Marchoises t. I pp. 119/176 -Pierre-Buffière- , Mayenne 1982) 15 iii 2013
Vasson, Lepetit), R.Sekulovich (geneanet : blekiw) 22 ix 2017
2.981.808:
Ebles VI, que nous venons de voir à Grammont (en 1221), assistant au généreux
sacrifice de son père, devint, après cette mémorable journée, l'époux de Dauphine
de La Tour d'Auvergne, fille de Bernard VI et de Jeanne de Toulouse, de laquelle il
eut quatre enfants :
 Ebles VII, qui continua les Ventadour;

 Marie, morte jeune;
 Isabeau, qui vers 1263 épousa Faucon de Montgascon, après la mort
duquel elle devint en 1276, l'heureuse épouse de Robert de Montbron,
tant loué par la chronique de Saint-Martial pour sa grande charité envers
les pauvres;
 et Alix qui fut seigneuresse de Bonnesaigne (1292-1307).
Ebles VI, partit (1245) pour le voyage d'outre-mer avec Alphonse, comte de
Poitiers, frère du saint roi Louis IX, monté sur le trône en 1226.
FMG
EBLES [VI] (-before Apr 1263). The Chronicon Gaufredi Vosiensis names
"Raymundum et Ebolum" as children of "Ebolus" and his wife "Maria sorore
Raymundi de Torenna"[1277]. The Historia Grandimontensi records, in the
presence of "Ebolus vicecomes de Ventedorn et Maria uxor mea vicecomitissa
et…Raymundus et Ebolus filii eorum", that "Ebolus" became a monk at
Grandmont, dated May 1221[1278]. Vicomte de Ventadour. He joined the Second
Crusade in 1249. "Eblo vicecomes Ventedorensis" swore homage to Tulle
monastery for "castrum nostrum de Molceo" by charter dated Sep 1256[1279].
m DAUPHINE de la Tour, daughter of BERNARD [II] Seigneur de la Tour & his
[first/second wife Alasie ---/Jeanne de Toulouse] (-1299 or after). Her parentage
and marriage are indicated by the marriage contract between [her son and
daughter] "Eblo vicecomes de Ventedoro…Maria sorore nostra" and "Falconi
domino de Montegasconio", dated Apr 1263, which names "avunculum nostrum B.
dominum de Turre"[1280]. The testament of "Bertrandus de Turre canonicus
Claromontensis", dated Oct 1280, appoints "Bertrandum dominum de Turre
nepotem meum filium quondam domini Bernardi domini de Turre quondam fratris
mei" as his heir, default to "dominam Delphinam sororem meam vicecomitissam
Venthodorensem in castro meo de Tyneria…"[1281].
- VICOMTES de VENTADOUR[1282].
[1282] ES III 765 and 767, extinct in the male line in 1500.
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/765, J-P de Palmas (Bulletin de la Société
-3156-
scientifique et FMG) 23xi2011
- família: H.R.Moser/EuSt-III/765, J-P de Palmas (Bulletin de la Société
scientifique) 23xi2011
2.981.809:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-III/765, J-P de Palmas (Bulletin de la Société
scientifique) 23xi2011
2.981.809b:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Bulletin de la Société scientifique) 23xi2011
2.981.809c:
Fonts:
- família 1: J-L. Dega, G Grattepanche (armorial général et nobiliaire de France)
21.VIII.2005
- família 2: M.Bacot. A.Gaudry (web base "jmg2003" : Dictionnaire de la Noblesse
d'AUBERT de la CHESNAYE-DESBOIS & de Jacques BADIER - Paris 1863-1876 19
vol.)
2.981.809d:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Bulletin de la Société scientifique) 23xi2011
2.981.810:
Il prit part aux croisades avec Saint Louis en 1249.
Fonts:
- persona: H.deRiberolles (Remacle)
- família: H.deRiberolles(Remacle), JL.Mondanel (généalogie Châteauneuf
d'Apchier) 24 iii 2011
2.981.811:
Fonts:
- família: H.deRiberolles(Remacle), JL.Mondanel (généalogie Châteauneuf
d'Apchier) 24 iii 2011
2.981.811a:
Famille d'Apchier : Origine : Bretagne et Languedoc
Armes : D'or à la tour de gueules ouverte, crénelée de 3 pièces, donjonnée de
gueules surmontée de 2 haches d'armes du mesme adossées, posées en pal entre
les 2 créneaux.
Fonts:
- persona: Paul de Boisgelin (Grand armorial de France.H.Jougla de Morenas)
- família 2: H.de Riberolles (Remacle t1 p44) 23 xii 2011
2.981.811b:
Fonts: - persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer, M.Bacot
(armorial du Gévaudan)
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer, H.de La
-3157-
Villarmois (Lescure - Armorial du Gévaudan) 6 i 2005, J-P de Palmas (Canillac), J-P
de Palmas (St-Allais, tome IX)
2.981.811d:
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Châteauneuf) 30 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie Châteauneuf) 30 iii 2011
2.981.812:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (René de Cosnac La maison de Malemort en
Limousin Brive 1955) 18 v 2014
2.981.813:
Fonts: - persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05, S.Fourlinnie ( Saint-Allais)
Page 29, 19/11/2012 - família: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05
2.981.837:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (in Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse
2.981.856:
Armes : «D'or, à la bordure de gueules.»
Fonts: - persona: Joël Chirol (base familiale) 12/08/05,JL.Mondanel (H&G) 12 iii
2011 - família: Joël Chirol (base familiale) 12/08/05
2.981.857:
Fonts:
-3158-
-3159-

Joan Francés BLANC. Los Aujòls de Joan Baptista Blanc VIII

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Joan Francés BLANC. Los Aujòls de Joan Baptista Blanc VIII

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Joan Francés Blanc

Los aujòls de Joan Baptista Blanc

© 2018 Joan Francés Blanc

II. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa

III. Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Las vint

IV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa

VII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa

Château de Saint Beaulize, ancienne commune de Montpaon.

Le château de Saint Beaulize de Lirondel se situe à 2 km au nord de Montpaon et

1. On nommait Précon, le valet de ville qui remplissait les fonctions

Ruines du château des Baux.

 L.Barthélemy, Inventaire du château des Baux, Revue des sociétés

Tombeau de Bertrand des Baux à l’abbaye de Silvacane

Fonts: - persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer),

 [307] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves,

a) ROGER de Foix (before 1160-1182). “Arnaldus de Cher filius de Berengaria”

b) RAYMOND ROGER de Foix (-Château de Mirepoix 27 Mar 1223). "Rogerius

c) daughter . The marriage contract between “Rogerius-Bernardi comes Fuxensis

d) ESCLARMONDE de Foix (-after 1215). "Rogerius Bernardicomes Fuxi" names

1. Rüdt-Collenberg, W. H. (1968) 'L'Empereur Isaac de Chypre et sa

Liens externes FMG

Les seigneurs de Rabastens promettent au Comte de Toulouse et au peuple de

1. Un archiviste des comtes de Foix au quinzième siècle.Le chroniqueur

Fin de note J-P de Palmas du 26-x-2009

in Géographie des péages de la Garonne et de ses affluents au Moyen Âge, par

Fonts: - persona: S.Fourlinnie (GénéaNet/Patrick Déret) 2/01/2012, JB.de La

m ([1189/90]) as her second husband, MATHILDE de Garlande, widow of

1204 - Mathieu de Montmorency, seigneur de Marly, partant pour la

J-P.de_Palmas (ajout du Cartulaire - Ecole des chartes) 17 v 2016

 1216 - Carta domine M. de Malli, de decima Orfin : "Matildis, domina Marliaci,

"Universis presentes litteras inspecturis, Petrus de Castris, miles, salutem in

 12 novembre 1262: Pierre de Châtres confirme le don de Guillaume, défunt, fils

"Omnibus presentes litteras inspecturis, officialis curie Parisiensis, salutem in

(1) Guillelmus de Castris.

(École des chartes » ELEC » Cartulaires d'Île-de-France » Vaux-de-Cernay » Tome

"Omnibus presentes litteras inspecturis, Officialis Curie Parisiensis, salutem in

(Cartulaire de l'abbaye de Porrois/Port-Royal, Bibl. nat. de France, lat. 10998, nº

 Avril 1270-1271: Mathieu de Marly dote sa sœur Béalrix de 20 livres sur

(Arch. nat., K 181, nº 211) Ch. Faucherand , 29 iv 2016.

 Décembre 1271: Mathieu de Marly assigne sur Meulan la dote de sa sœur

"Omnibus presentes litteras inspecturis Matheus, dominus Marliaci, cambellanus

(Arch. nat., K 181, nº 212. Cartulaire de l'abbaye de Porrois au diocèse de Paris,

[1176] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, I, p. 314, quoting Cartulaire de

[1177] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, II, p. 314, quoting Cartulaire de

[1178] Merlet ´Procès´, Pièces Justificatives, III, p. 315, quoting Cartulaire de

[1179] Spicilegium Tome III, p. 673.

Branche décrite dans les livres de Don Francisco Fernandez de Bethencourt

Liens externes Wikipédia

Le testament de sa grand-mère maternelle Pétronille de Comminges († 1251),

Elle épouse en premières noces le 23 mars 1260 Alphonse d'Aragon († 26 mars

Elle se remarie en secondes noces le 15 mai 1269 avec Henry de Cornouailles

Elle n’a eu aucun enfants de ses trois mariages.

 Bigorre, Chritine Bonneton Editeur, Paris, 1988 (ISBN 2-86253-081-6)

Histoire de Chateaumeillant par Emile Chénon (1940), Chapitre VIII

Philippe [II] & his wife had five children.

[281] Lignages d'Outremer, Le Vaticanus Latinus 4789, CCC.XLIII, p. 107.

[282] Merlet, L. ´Procès pour la possession du comté de Bigorre (1254-1503)´,

[284] RHGF XXI, Fragmenta Bernardi Guidonis de Ordine Prædicatorum, p. 744.

[285] RHGF XXI, Fragmenta Bernardi Guidonis de Ordine Prædicatorum, p. 744.

[286] Moutié, A. (ed.) (1862) Cartulaire de l´abbaye de Notre-Dame de la Roche

[287] RHGF XXI, Fragmenta Bernardi Guidonis de Ordine Prædicatorum, p. 745.

PHILIPPE II DE MONTFORT († 1270)

Philippe II de Montfort fut seigneur de Brétencourt, de Beynes, de La Ferté-Alais

(4) D. VAISSÈTE, VIII, 1434.