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-ii-
ENSENHADOR
I.
Pourquoi ce livre n’est pas en français.......................v
About this book..........................................................vi
Introduccion..............................................................vii
Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Lista corta............1
iii
XI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 25...........................3937
XII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 26...........................4375
XIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 27...........................4783
XIV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 28...........................5225
XV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 29...........................5557
XVI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 30...........................5901
XVII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacions 31 a 33.................6381
XVIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la
basa de Roglo. Nòtas. Generacions 34 a 61.........6689
iv
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Generacion 24
11.853.824:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 28 ii 2013
- família: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 28 ii 2013
11.853.825:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 28 ii 2013
- família: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 28 ii 2013
11.855.428:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Vuillier)
- família: J-L. Dega (Vuillier)
11.855.429:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Vuillier)
11.855.600:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- defunció: C.Saint-Félix (Mireille Mousnier in Hélène Debax "Vicomtes et
vicomtés") 16i2015
- família: J-L. Dega
11.855.601:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.863.936:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
- família: F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
11.863.937:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
- família: F.de Bernis (base zardoz) 3 ii 08
11.866.112:
HUGUES [de Valence, son of ADEMAR Comte de Valence & his wife Rotilde ---] .
"Ademarus comes [Valentinensis] [et] Roteldis uxor mea" confirmed the donations
to Cluny by his father by charter dated 1037 jointly with "filii nostri Pontio
episcopo, Ugone, Lamberto, Gontardo, Geraldo"[1308]. Chevalier proposes that
Hugues, father of the brothers Guillaume, Adémar and Lambert, all named in the
Cluny charter dated to [1049/1108] quoted below, was the same person as Hugues
son of Adémar Comte de Valence[1309]. He also asserts that these three sons of
Hugues were the same persons as Guillaume de Monteil, Adémar Bishop of Le Puy
and Lambert-François de Peyrins, whom other sources demonstrate were brothers.
He cites another source which states that Bishop Adémar was the son of an
unnamed Comte de Valence. One difficulty with this co-identity is that the Hugues
of the Cluny charter is not referred to as "comes". On the other hand, it is likely
-3509-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
that Hugues was a person of some substance to have been named at all as the
father of the three witnesses.
m ABALDISIA [Adalisia], daughter of ISMIDON [Seigneur de Peyrins] & his wife ---
(-after 20 Aug 1108). "Lambert cognomento Franciscus et mater eius Abaldisia"
donated property to the church of Romans, naming "comes Guigo", by charter
dated 12 May 1100[1310]. "Lambert François, son fils Rainaldus et sa mère
Abaldisia" donated property to the church of Romans by charter dated 20 Aug
1108[1311]. Her parentage is confirmed by a charter dated 4 Nov 1097 which
records a peace treaty between "Lambert" and the church of Romans
(1856),naming "Ismido avus eius"[1312].
Hugues & his wife had three children.
[1308] Cluny Tome IV, 2821, p. 122.
[1309] Mémoires Valentinois et Diois, p. 147.
[1310] Romans (1856), 172, p. 177.
[1311] Romans (1856), 155, p. 167.
[1312] Romans (1856), 169, p. 175.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de l'Ordre
du Temple (1136-1214) et FMG )
- família: J-P.de Palmas (FMG) 14 i 2014
11.866.113:
ABALDISIA [Adalisia], daughter of ISMIDON [Seigneur de Peyrins] & his wife --- (-
after 20 Aug 1108). "Lambert cognomento Franciscus et mater eius Abaldisia"
donated property to the church of Romans, naming "comes Guigo", by charter
dated 12 May 1100[1310]. "Lambert François, son fils Rainaldus et sa mère
Abaldisia" donated property to the church of Romans by charter dated 20 Aug
1108[1311]. Her parentage is confirmed by a charter dated 4 Nov 1097 which
records a peace treaty between "Lambert" and the church of Romans
(1856),naming "Ismido avus eius"[1312].
[1310] Romans (1856), 172, p. 177.
[1311] Romans (1856), 155, p. 167.
[1312] Romans (1856), 169, p. 175.
C'est par elle que la seigneurie de Monteil serait entrée dans la famille Adhémar.
JB de La Grandière : 18/7/2013
Marthe de Toulouse est inconnue comme mère de l'évêque.. l La base "pierfit"
semble aussi l'avoir passé à la trappe..
La mère de l'évêque Adhémar serait une Ahaldisia de Peyrins, + avant 1122, fille
d'Ismidon de Peyrins.
Pour la descendance on serait aussi inspiré de ne pas suivre des "références" qui
n'en sont pas (pierfit et/ou wikipédia) mais plutôt de sérieux chercheurs modernes
dont est Florian Mazel in "La Noblesse et l'Eglise de Provence" p 651 (Adhémar)
CTHS Villeurbanne 2002
Wiki n'étant pas "source", il est infiniment préférable de se reporter à ES III-4
tableau n° 820 (comtes de Valences) et bien sûr à Florian Mazel.
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES III-4 820 comtes de Valence) 18 vii 2013, J-P.de
Palmas (FMG) 14 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 14 i 2014
11.866.113b:
Il est issu d’une famille noble du Dauphiné, celle des seigneurs de Monteil [1].
Contrairement à ce qui a pu être écrit cette famille n’est pas issue des rois
wisigoths ni de Charlemagne, mais plutôt des comtes de Valence [2]. Ses parents,
Armann Rotboldus et Adalhisia, ont eu trois enfants : Adhémar, seigneur de
Monteil, Lambert François, seigneur de Peyrins et Guillaume Hugues, qui hérite de
-3510-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Monteil à la mort de son frère [3].
Il semble, position d’aîné oblige, qu’il ait été d’abord destiné à une carrière
militaire avant d’entrer en religion, mais cette période de sa vie est
particulièrement mal documentée. Toujours est-il qu’au cours de la croisade, il
prend une part active à la croisade. On ignore également les raisons et les
circonstances dans lesquelles il rejoint le clergé, mais on peut supposer, étant
donné son parcours, qu'il le fait par vocation.
extrait de wikipedia
ADEMAR (-Antioch 1 Aug 1098). A charter dated 4 Nov 1097 records a peace
treaty between "Lambert" and the church of Romans (1856),stating in the dating
clause that it was the second year "quando Aimarus Podiensis episcopus, frater
ipsius Lambert" left with the army for Jerusalem[1316]. Bishop of Le Puy. He is
named "dominus Ademarus filius consulis provinciæ Valentinensis" in the Chronicle
of Saint-Chaffre[1317].
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG)
11.866.113c:
LAMBERT FRANÇOIS (-1125 or after). His parentage is confirmed by a charter
dated 20 Aug 1108 under which "Lambert François, son fils Rainaldus et sa mère
Abaldisia" donated property to the church of Romans[1318]. Seigneur de Peyrins. A
charter dated 4 Nov 1097 records a peace treaty between "Lambert" and the
church of Romans (1856),names "Ismido avus eius", and records in the dating
clause that it was the second year "quando Aimarus Podiensis episcopus, frater
ipsius Lambert" left with the army for Jerusalem[1319]. "Lambert cognomento
Franciscus et mater eius Abaldisia" donated property to the church of Romans,
naming "comes Guigo", by charter dated 12 May 1100[1320]. A charter dated to
[1100] records an agreement between "Guillaume de Clérieu" and "Lambert
François" regarding the château de Pisançon[1321].
Renaud François.
Ses parents, Armann Rotboldus (?) et Adalhisia, ont eu trois enfants : Adhémar,
seigneur de Monteil, Lambert François, seigneur de Peyrins et Guillaume Hugues,
qui hérite de Monteil à la mort de son frère.
La charte 210 du cartulaire cité nous affirme, en effet, que Lambert François avait
un fils nommé Raynaud et que celui-ci était le propre neveu de Guy de Bourgogne :
quibus intellectis et expositis (Lambertus cognomento Franciscus) rogavit filium,
quem hoeredem relinquebat, Raynaldum scilicet, nepotem archiepiscopi Guidonis
D'après ce texte, il n'est pas douteux que Lambert François ne se soit allié par un
mariage à la famille de Bourgogne ; le nom de Raynaud, Renaud que porte son fils
et qui revient si souvent dans la généalogie de l'illustre maison de Bourgogne en
est encore pour nous une preuve certaine. Du reste, ce n'est point là un fait isolé et
sans explication possible. Guy de Bourgogne était fils de Guillaume dit Tête-Hardi
et d'Etiennette, qui descendait de Charles-Constantin, fils de l'empereur Louis
l'Aveugle et se considérait comme l'héritière de la maison de Vienne. Guillaume
revendiqua, en effet, les droits de sa femme et exerça divers actes d'autorité dans
le pays. Ces droits passèrent à un de ses fils, Etienne, comte de Varasc et de
Mâcon, tige de la maison de Châlon, qui, étant sur le point de partir pour la
-3512-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
croisade, fit un traité avec son frère l'archevêque Guy : il lui vendit tout l'honneur,
totum honorem qu'il avait dans la ville de Vienne, moyennant une somme de 8,000
sols d'or, sous la clause du rachat pendant six années et partit ensuite pour la
Terre-Sainte où il mourut.
Il est probable que l'archevêque Guy n'avait pas attendu ce jour pour songer aux
avantages qu'il pourrait tirer des droits de sa famille sur le comté de Vienne ; il dut
s'en préoccuper dès l'époque où il fut appelé au siège métropolitain de cette ville.
Dès lors, quoi de plus naturel que de supposer qu'il ait voulu intéresser à sa cause
quelque grande famille du pays, en faisant épouser à l'un de ses membres une de
ses proches parentes. Lambert François, seigneur de Peyrins, frère de l'évêque du
Puy, appartenait à la famille des comtes de Valence ; il jouissait dans le pays d'une
grande autorité, et, comme nous venons de le constater, il fournit à l'archevêque,
son beau-frère, l'appui de ses armes. Aucune charte ne nous a conservé le nom de
la femme de Lambert François.
Source : ( Chevalier J. : "Mémoires pour servir à l'histoire des comtés de Valentinois et de Diois", I 1897, p 155 )
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG et Martine de Lajudie citant J.Chevalier: Mémoires
pour servir à l'histoire des comtés de Valentinois et de Diois, 1897 ) ii-2009,
M.Thompson
- família: J-P.de Palmas (FMG) 13 iv 2014
11.866.128:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
11.866.129:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011
11.866.132:
Bérenger Ier de Millau puis Bérenger de Carlat, né vers 1025, mort vers 1080 fut
vicomte de Millau et de Rodez en 1051, et, par mariage, vicomte de Carlat. Il était
fils de Richard II, vicomte de Millau et de Rodez, et de Richilde de Narbonne.
Biographie
Vers 1080, avec sa femme Adèle et Nobilia de Lodève, mère d'Adèle, ainsi que
leurs trois enfants Richard, Gilbert et Raymond, il fait une donation à l'abbaye
fondée par Gausbert, moine à Saint-Amans de Rodez, avec un terrain entre quatre
croix formant une sauveté dépendante du château de Mandulphe, et pour le
spirituel de la paroisse de Junhac. Le nom de Montsalvy (Montis Salvii)
n'apparaîtra qu'en 1093 dans une bulle de Célestin III qui rattache directement la
nouvelle abbaye au Saint-Siège.
Famille
-3513-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
fils :
Notes et références
BERENGER [II] (-[1080/5 Jan 1097]). "Alcherius" donated "æcclesiam sancti Petri
in comitatu RutenensiRegnacus" to Conques by charter dated 6 Apr 1051, which
records that “filii Ricardi vicecomitis et filii Abonis, nepotes mei” donated money
on the occasion[2036]. Vicomte de Millau. "Berengarii vici commiti, Bernardi
archidiaconi et fratrum eius" subscribed the charter dated Jan 1051 [O.S.?] under
which "Hugo Rutenensium comes et mater mea Ricardis comitissa" donated
“ecclesiamTribonum” to Conques[2037]. "Rogerius [error for Berengarius?] et
frater meus Bernardus filii Richardi vicecomitis" donated property to Marseille
Saint-Victor by charter dated 1058[2038]. “Fratrum eius Berengarii et Ugonis et
Raimundi et Ricardi” subscribed the charter dated 1061 under which “Bernardus
filius Richardi de Amiliau quondam vicecomitis et uxoris eius Rixendis” donated
property on his becoming a monk at Saint-Victor de Marseille[2039]. Vicomte de
Gévaudan. "Berengarius Ricardi vicecomes" donated property "in territorio
Gaballitano…ecclesia…sancti Martini…in episcopate Mimatensi…in pago
Bannecensi" to Saint-Victor, Marseille by charter dated 1 Jul 1060, signed by
"Berengarius vicecomes, Raimundus frater eius"[2040]. Vicomte de Carlat:
“Berengarius vicecomes de Cartlato et uxor mea Adila et mater uxoris meæ
Nobilis” founded Montsalvy monastery, with the consent of “filii nostri Ricardus,
Girbertus, Raimundus”, by charter dated to [1060/71][2041]. "Berengarius, Ricardi
quondam vicecomitis filius" donated property to Marseille Saint-Victor "in manu
abbatis Bernardi germani utique fratris mei et Ricardi eiusdem monasterii qui
similiter mihi etiam frater est", for the souls of "patris mei Ricardi" and for the
salvation of "matris meæ Rixendis" by charter dated 1070, signed by "Rixendis
matris eius, Bernardi fratris eius"[2042]. “Allebertus de Caniliaco” swore
allegiance to “Berengario nec ad filios tuos Ricard et Girbert” for the château of
Canillac and others by undated charter, probably dated to [1080/97][2043].
m (before 1050) ADELA de Carlat, daughter of GIRBERT Vicomte de Carlat & his
wife Nobila de Lodève. “Berengarius vicecomes de Cartlato et uxor mea Adila et
mater uxoris meæ Nobilis” founded Montsalvy monastery, with the consent of “filii
nostri Ricardus, Girbertus, Raimundus”, by charter dated to [1060/71][2044].
Bérenger & his wife had three children.
-3514-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[2039] Veterum Scriptorum I, col. 455.
[2043] Belmon ‘Vicomtes’, Débax (2008), Annexe 2: Catalogue des actes des
vicomtes de Millau, p. 177, quoting Boullier de Branche, H. (1940) Feuda
Gabalorum (Nîmes), T. II (1ère partie), p. 57, note 1.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 16 vi 2013
- família: J-P.de Palmas (wikipedia ) 16 vi 2013
11.866.133:
héritière de Carlat et Lodève.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 16 vi 2013
- família: J-P.de Palmas (wikipedia ) 16 vi 2013
11.866.133c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia ) 16 vi 2013
11.866.134:
GEOFFROY (-[Feb 1061/62]). "Geiriberga comitissima et filii mei Vuilelmus et
Fulco sive Josfredus" donated property to Saint-Victor de Marseille by charter
dated 1018[337], which suggests that Geoffroy was her third son. This appears
confirmed by "Wilelmus filius Vilelmi comitis, Fulco frater eius, Gosfredus"
subscribing the charter dated 1018 under which "Adalax comitissa mater Villelmi
quondam Provintie comitis et Geriberga eque comitissa…eiusdem principis olim
uxor" donated property to Saint-Victor de Marseille for the soul of their late son
and husband respectively[338], and by the charter dated 1019 under which
"Geriberga comitissa" donated property to Saint-Victor de Marseille for the soul of
"senioris mei Guilelmi comitis Provincie" and for "filiorumque nostrorum…Wilelmo,
Fulcho, Jozfredus"[339]. "Gisberga comitissa…cum filiis meis Willelmo, Fulcone
Bertranno, Gaufredo" donated property to Saint-André-lès-Avignon by charter
-3515-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
dated 1019[340]. His ancestry is confirmed by the charter dated 1057 under which
"Gausfredus marchyo sive comes Provincie et uxor mea Stefania et filius meus
Bertrannus" donated property to Saint-Victor de Marseille naming "avus meus
Wuilelmus marchio sive comes Provincie et avia mea Adalax comitissa"[341]. "Duo
fratres, comites Provincie, Gausfredus atque Bertrannus" made a joint donation to
Cluny dated 26 May 1037[342]. GEOFFROY [I] Marquis et Comte de Provence.
"Gauzfredus marchio sive comes Provincie" consented to the donation by
"Guillelmus vicecomes Massiliensis…" to Saint-Victor de Marseille by charter dated
1045[343]. "Gosfredus et Bertrannus frater meus, utrique Provinciales marchiones
sive comites" donated property to Saint-Victor, Marseille by charter dated
1048[344].
m ([before 27 Jan 1040]) [as her first husband,] ETIENNETTE [Douce], daughter of
--- (-after 1 Apr 1080). "Gaufredus comes" donated property to Monmajour by
charter dated 1040, signed by "Bertrannus comes…Stephania comitissa"[345]. The
date of her marriage is set by the charter dated 27 Jan 1040 under which
"Josfredus comes et uxor mea" confirmed a donation of property to Saint-Victor de
Marseille, although it is not clear from the document that the confirmation (which
appears after the text which recites the original grant) was contemporaneous with
the donation[346]. Raimbaud Archbishop of Arles transferred property in the
presence of "Jauffredi comitis et Stephanie uxor sue" by charter dated Mar
1048[347]. "Godfredus comes Provincie et uxor mea Stephania et filius meus
Bertrannus" donated property to Saint-Victor de Marseille by charter dated 1 Jul
1055[348]. "Gausfredus marchyo sive comes Provincie et uxor mea Stefania et
filius meus Bertrannus" donated property to Saint-Victor de Marseille by charter
dated 1057[349]. A charter dated 11 Sep 1096 recalls a donation to Saint-Victor de
Marseille by “Stephania comitissa cognomento Dulcis” for the soul of “filii sui
Bertranni comitis”[350]. Szabolcs de Vajay suggests that the wife of Geoffroy [I]
Comte de Provence was Etiennette [Douce] de Marseille, daughter of Guillaume [II]
Vicomte de Marseille & his second wife Etiennette [de Baux-Rians][351].
"Bertrannus comes et mater mea Stephania…[et] conjux mea Matildis" donated
property to Monmajour by charter dated to Feb [1061/62][352]. [She married
secondly[353] Bernard II Comte de Bigorre.]
-3516-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[344] Marseille Saint-Victor Tome II, Chartularium Majus, 737, p. 83.
[350] Marseille Saint-Victor Tome I, 220, p. 242, and Veterum Scriptorum I, col.
556.
[351] Szabolcs de Vajay 'Etiennette dite Douce, comtesse de Provence (XIe siècle)',
Provence Historique 12 (1962), pp. 180-213, cited in Settipani (2004), p. 30
footnote 1.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
11.866.135:
ETIENNETTE [Douce], daughter of --- (-after 1 Apr 1080). "Gaufredus comes"
donated property to Monmajour by charter dated 1040, signed by "Bertrannus
comes…Stephania comitissa"[345]. The date of her marriage is set by the charter
dated 27 Jan 1040 under which "Josfredus comes et uxor mea" confirmed a
donation of property to Saint-Victor de Marseille, although it is not clear from the
document that the confirmation (which appears after the text which recites the
original grant) was contemporaneous with the donation[346]. Raimbaud
Archbishop of Arles transferred property in the presence of "Jauffredi comitis et
Stephanie uxor sue" by charter dated Mar 1048[347]. "Godfredus comes Provincie
et uxor mea Stephania et filius meus Bertrannus" donated property to Saint-Victor
de Marseille by charter dated 1 Jul 1055[348]. "Gausfredus marchyo sive comes
Provincie et uxor mea Stefania et filius meus Bertrannus" donated property to
Saint-Victor de Marseille by charter dated 1057[349]. A charter dated 11 Sep 1096
recalls a donation to Saint-Victor de Marseille by “Stephania comitissa cognomento
Dulcis” for the soul of “filii sui Bertranni comitis”[350]. Szabolcs de Vajay suggests
that the wife of Geoffroy [I] Comte de Provence was Etiennette [Douce] de
Marseille, daughter of Guillaume [II] Vicomte de Marseille & his second wife
Etiennette [de Baux-Rians][351]. "Bertrannus comes et mater mea Stephania…[et]
conjux mea Matildis" donated property to Monmajour by charter dated to Feb
[1061/62][352]. [She married secondly[353] Bernard II Comte de Bigorre.]
-3517-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Historique de Provence, 1ère année, p. 138.
[350] Marseille Saint-Victor Tome I, 220, p. 242, and Veterum Scriptorum I, col.
556.
[351] Szabolcs de Vajay 'Etiennette dite Douce, comtesse de Provence (XIe siècle)',
Provence Historique 12 (1962), pp. 180-213, cited in Settipani (2004), p. 30
footnote 1.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
11.866.135c:
[--- de Provence. Her parentage and marriage are shown in Europäische
Stammtafeln but the primary source on which this is based has not yet been
identified. It is likely that the connection is speculative, presumably in an effort to
explain how Raymond Comte de Toulouse later claimed the marquisate of
Provence. However, Raymond´s right could have been hereditary through his
paternal grandmother, who was the sister of Guillaume [V] Comte et Marquis de
Provence (see above). The fact of Raymond´s first marriage is confirmed by the
charter dated to [1066] under which "Raimundum comitem de Rutenis, filium
Almodis" and "Guifredum archiepiscopum de Narbona, filium Guille comitissæ"
confirmed an agreement, which was confirmed by "uxorem suam comitissam"[366].
The Histoire Générale de Languedoc suggests that she was Raymond´s first cousin,
the daughter of his paternal uncle Bertrand, suggesting that Raymond naming his
first son Bertrand would then have been consistent with the contemporary
convention of using the name of one of the child´s grandfathers for the first-born
son[367]. It is assumed that the marriage was terminated, maybe for
consanguinity, which could explain the doubts expressed in some primary sources
about the legitimacy of Raymond´s son Bertrand. m (1066, repudiated before 1080)
as his first wife, RAYMOND de Toulouse Comte de Saint-Gilles, son of PONS Comte
de Toulouse & his third wife Almodis de La Marche (-castle of Mount Pèlerin near
Tripoli, Palestine 28 Feb 1105). He succeeded his brother in 1094 as RAYMOND IV
Comte de Toulouse.]
-3518-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
11.866.136:
Ses enfants sont mis sous tutelle auprès de Raymond de St Gilles. Le plus grand est
Guilhem V, son frère est Bernard (?).
m as her first husband, ERMENGARDE, daughter of (-[1109]). Her son names his
mother "Guillelmus filius Ermengardæ dominus Montispessulani" in a charter
dated 1093[1442]. The primary source which confirms her parentage has not yet
been identified. She is often stated to be Ermengarde de Melgueil, daughter of
Raymond [I] Comte de Melgueil & his wife Beatrix [de Poitou]. The documentation
on which this is based has not yet been idenfied and it seems unlikely to be correct
considering that her son´s wife would have been her niece. She married secondly
Raymond Sire d'Anduze, the marriage being confirmed by the testament dated
1114 made “pergens contra paganos ad expugnandam Majoricam insulam”, by her
son “Guillelmus Montipessulani” which bequeathed “castellum d´Omelas” to
“Bernardo de Andusia fratri meo et infantibus suis”[1443].
Europäische Stammtafeln interprets this strangely as meaning that Bernard was
the son of Guillaume [IV][1444]. Guillaume [IV] & his wife had one child:
a) GUILLAUME
[1442] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, p. 13, which gives no citation for the
charter in question.
[1443] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XXVI, p. 361,
and 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 450, col. 841.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27ii2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27 ii 2011
11.866.137:
ERMENGARDE . Her son names his mother "Guillelmus filius Ermengardæ
dominus Montispessulani" in a charter dated 1093[1329]. She is often stated to be
the daughter of Raymond [I] Comte de Melgueil & his wife Beatrix [de Poitou]. The
-3519-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
documentation on which this is based has not yet been identified and it seems
unlikely to be correct considering that her son´s wife would have been her niece.
Her second marriage being confirmed by the testament dated 1114 made “pergens
contra paganos ad expugnandam Majoricam insulam”, by her son “Guillelmus
Montipessulani” which bequeathed “castellum d´Omelas” to “Bernardo de Andusia
fratri meo et infantibus suis”[1330]. Europäische Stammtafeln interprets this
strangely as meaning that Bernard was the son of Guillaume [IV][1331].
m firstly BERNARD GUILLAUME [IV] Seigneur de Montpellier, son of GUILLAUME
[II] Seigneur de Montpellier & his wife Beliarde --- (-[1085]).
m secondly RAYMOND Seigneur d'Anduze, son of BERNARD Seigneur d´Anduze &
his wife Adelais ---.]
[1329] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, p. 13, which gives no citation for the
charter in question.
[1330] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XXVI, p. 361,
and 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 450, col. 841.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27 ii 2011
- família 1: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27 ii 2011
- família 2: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.866.137-2b:
Bertrand connu par la confirmation d’une de ses donations par son neveu Raymond
I si on en croit Bertier de Sauvigny.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.866.138:
Le clergé Melgorien et son image au sein de la population
C'est au Moyen Age que le comté de Melgueil dont Mauguio est le chef-lieu fût
inféodé au Saint Siège. Cet événement date de 1085 c'est Pierre de Melgueil qui fit
cette donation. Les comtes de Melgueil avaient pleinement profité de la décadence
du pouvoir royal des Carolingiens pour s'accaparer des prérogatives royales. Ainsi,
ils avaient une très grande autorité sur l'évêché et pouvaient même nommer les
évêques, droit dont usa Pierre de Melgueil en 1080. Mais à cette période, l'Eglise
cherchait à dominer les seigneurs temporels. C'est le pape Grégoire VII qui poussa
Pierre de Melgueil à céder ses droits et biens 1 Ce dernier, après s'être démuni de
plusieurs prérogatives royales, finit par s'inféoder au pape et le 27 avril 1085, il
s'engagea à payer annuellement une once d'or au Saint Siège. Le comté de
Melgueil devenait ainsi un fief de Rome. Pourtant, ce comté fut l'enjeu de
nombreuses guerres entre les familles de Montpellier, de Toulouse, de Barcelone.
Chacune d'entre elle le réclamait comme un bien qui leur revenait de droit.
Régulièrement, le pape intervenait pour rappeler ses droits sur ce domaine.
extrait de La Réforme à Mauguio
1
DEVIC et VAISSETTE – Histoire générale du Languedoc - Paris -1730-1745.
-3520-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (extrait de La Réforme à Mauguio)
- naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: F.de Bernis (Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des
généalogies historiques des maisons nobles de ce royaumen) 17 v 08
11.866.139:
Fonts:
- família 1: F.de Bernis (Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des
généalogies historiques des maisons nobles de ce royaumen) 17 v 08
- família 2: J-P de Palmas (wikipedia) 15 xi 2010
11.866.139c:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des
généalogies historiques des maisons nobles de ce royaumen) 17 v 08
- família: F.de Bernis (Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des
généalogies historiques des maisons nobles de ce royaumen) 17 v 08
11.866.139d:
Issu d'une famille noble du Languedoc, il est élu abbé en 1109, à la suite d'Hugues
de Cluny. Il se signale par son action diplomatique, prenant parti pour la papauté
dans la querelle des Investitures. En 1122, il démissionne ou est déposé pour des
raisons qui ne font pas l'unanimité parmi les historiens. Après avoir tenté de
reprendre l'abbatiat en 1126, Pons meurt schismatique et excommunié.
Biographie
Né vers 1075, il est le fils cadet de Pierre Ier de Melgueil. Ce dernier a donné, en
1085, tout son comté au pape, dont il s'est ainsi fait le vassal. Dès 1099, Pons aura
pour parrain le cardinal Rainier, qui sera ultérieurement le pape Pascal II[1],[2].
Pons appartient donc à la haute noblesse du Languedoc ; il est apparenté aux
comtes d'Auvergne et aux comtes de Toulouse[3]. Par son arrière-grand-père, il est
apparenté aux empereurs saliens du Saint Empire Romain Germanique, qu'il
côtoiera toute sa vie. Enfin, il revendique également, en remontant jusqu'au Xe
siècle, de descendre directement du père de Wittiza, alias Saint Benoît d'Aniane,
dont la réforme monastique a été endossée et propagée par le monastère
bourguignon de Cluny. Pons de Melgueil succède à Hugues de Cluny en 1109 à la
tête de l'abbaye de Cluny. Selon le chroniqueur Orderic Vital[1],[2], sa réputation
de sainteté est telle qu'Hugues l'a lui-même choisi pour successeur et qu'il est élu à
l'unanimité. Pons entretient alors d'excellents rapports avec la papauté : le
successeur de Pascal II, Gélase II, viendra mourir à Cluny après avoir été chassé de
Rome par des troubles civiques[4],[2]. Selon la tradition, Pons aurait été proposé
par Gélase comme son successeur, mais aurait préféré faire élire son ami Guy de
Bourgogne, qui prendra le nom de Calixte II[5],[2]. L'ordre de Cluny est à ce
moment à son apogée et ses dépendances couvrent l'Europe, mais la formation
rapide de cet empire monastique n'a pas été accompagnée par la mise en place
d'une administration centrale efficace. De plus, succéder à Hugues, ayant gouverné
pendant soixante ans, est en soi une difficulté. Des réformes sont nécessaires, tant
au niveau des mœurs quotidiennes que du fonctionnement économique des
monastères de l'ordre de Cluny. Pons s'y attelle, mais une réaction se fait jour : il
fait l'objet de sévères critiques lors du concile de Reims, en 1119[6]. Il fait preuve
de sympathie envers les nouveaux ordres monastiques (cisterciens, camaldules) ; il
aide par exemple l'abbaye de Clairvaux à gagner son autonomie financière en
remettant les dîmes qu'elle lui doit sur les terres et les troupeaux[7]. Excellent
négociateur, formé à Saint Pons de Thomières par l'abbé Frotard, légat du pape en
Espagne et bras droit de Grégoire VII, il remporte des succès diplomatiques en
-3521-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Espagne et en Allemagne. En Espagne, en 1114, il préparer l'essor du pèlerinage
de Compostelle en parvenant à décider Bernard de Tolède, primat d'Espagne, à
accepter la fondation d'un archevêché à Compostelle même. En Allemagne (1115,
1119), Pons, lointainement apparenté à l'empereur Henri V, rompt avec la
traditionnelle neutralité de l'ordre clunisien et prend le parti du pape dans
l'interminable querelle des Investitures[2]. Il prépare ainsi le concordat de Worms
(23 septembre 1122). En remerciement, Calixte II le nomme cardinal[2]. La même
année, en mars, il est convoqué à Rome par Calixte II, qui a reçu des plaintes de
ses moines. La raison de cette brusque convocation n'est pas connue avec
certitude. On l'attribue traditionnellement au rejet par Pons du privilège de
l'exemption, qui relève l'abbaye de l'autorité épiscopale ; on a suggéré plutôt une
manœuvre des traditionalistes clunisiens, s'opposant à sa volonté de réforme
disciplinaire[8]. On ignore s'il a alors donné sa démission ou s'il a été déposé par le
pape. Pons de Melgueil redevenu simple moine gagne le Mont-Cassin, puis la Terre
Sainte[9]. Selon Orderic Vital, il est accueilli à Jérusalem comme un saint et se voit
confier la Sainte Lance lors d'une sortie contre les Sarrasins[10],[2]. Parallèlement,
le pape se hâte de lui faire élire un successeur, l'ordre de Cluny n'étant alors pas
en état de rester sans chef. Hugues II de Cluny lui succède donc en avril 1122.
Mais, déjà âgé, il meurt au bout de trois mois et est remplacé par le traditionaliste
Pierre de Montboissier, que la postérité appellera Pierre le Vénérable. En 1123,
Pons revient en Italie où il fonde un monastère, Santa Croce di Campese près de
Vicence[9]. La même année, il figure parmi les participants de la diète de
Worms[9]. À Cluny, le mouvement réformateur reste vivace. Dès 1124, une
polémique oppose de surcroît Bernard, abbé de Clairvaux, à Pierre le Vénérable.
Alors que ce dernier est absent, en 1126, Pons revient à Cluny et tente de se
réinstaller comme abbé[9]. Selon Orderic Vital, il ne s'agit pas d'un coup de force
délibéré : Pons veut simplement rendre visite à ses amis clunisiens, mais se voit
interdire l'accès à l'abbaye par le prieur, sur l'ordre de l'abbé. Furieux, les
partisans de Pons déclenchent un schisme et le réinstallent comme abbé contre son
gré[11],[12]. Pierre le Vénérable fournit une version complètement différente :
Pons a soigneusement organisé son attaque dès son départ d'Italie et, accompagné
de fugitifs armés, prend d'assaut l'abbaye ; il force les moines à lui prêter
allégeance, fait fondre les vases sacrés pour payer des armes et des mercenaires et
pille la campagne alentour[13]. Le récit de Pierre, ennemi personnel de Pons, est
généralement considéré comme suspect[14].
En tout état de cause, Pons est soutenu par de nombreux moines de l'abbaye, la
population du bourg ainsi que par la noblesse de la région et d'autres monastères
de l'ordre, dont le prieuré de Souvigny, où sont enterrés saint Maïeul, quatrième
abbé de Cluny, et Odilon, cinquième abbé de Cluny [9]. Il est aussitôt excommunié
par l'archevêque de Lyon, qui s'était déjà prononcé contre Pons au concile de
Reims en 1119[15]. Le pape Honorius II, successeur de Calixte, confirme bientôt la
sentence[9]. En 1126, Pons est convoqué à Rome, où il doit être jugé pour haute
trahison. Pons obtempère, mais, une fois à Rome, refuse de se présenter devant
Honorius. Selon la tradition, il déclare qu'aucun autre que Pierre ne peut le juger
et refuse de demander la levée de son excommunication. Emprisonné, il meurt de
la « fièvre romaine » (la malaria) le 28 décembre 1126[9]. Son corps est transféré à
Cluny sur l'ordre de Pierre le Vénérable [2]. Il est enterré dans le déambulatoire,
au nord du maître-autel. Pierre le Vénérable sera enterré symétriquement au sud.
Références
-3522-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
5. Falcon de Bénévent, Chronicon dans PL 173, 1172-1173 ; Diego Gelmírez,
Historia Compostellana, PL, 170, 1052 : Liber Pontificalis Dertuensis, 192.
6. Aubé, p. 132.
7. Aubé, p. 95.
8. Adriaan H. Bredero, Cluny et Cîteaux au douzième siècle : l'histoire d'une
controverse monastique, Holland University Press, Amsterdam, 1987.
9. a b c d e f g Aubé, p. 137.
10. Orderic Vital, 894.
11. Orderic Vital, 895.
12. White, p. 207.
13. Pierre le Vénérable, De miraculis, 924.
14. White, p. 208.
15. ↑ White, p. 209.
Fonts:
- persona: P.Deries (wikipedia) 11 mai 09, J-P de Palmas (wikipedia & Suger - Vie de
Louis VI le Gros) vi2009
- enterrament: déambulatoire, au nord du maître-autel à Cluny
11.866.139-2a:
Mort jeune.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 15 xi 2010
11.866.140:
Bertrand-Rambaud ou Bertrand d’Orange est né vers 1045 et mort après 1073[1].
Biographie
Bertrand-Rambaud d’Orange, se marie avec Gilberge, fille de Foulques Bertrand de
Provence, dit aussi Bertrand Ier de Provence[14], né probablement en
1014[15],[16], mort le 27 avril 1051, comte de Provence de 1018 à sa mort. Il était
fils de Guillaume II, comte de Provence, et de Gerberge de Bourgogne. Il dirigea la
Provence indivis avec son frère aîné Guillaume à partir de 1018 et avec son plus
jeune frère Geoffroi au plus tard à compter de 1032. Après la mort de Guillaume, il
prit le titre de marquis, devenant ainsi le chef de la dynastie. Sa veuve n’a pas
l’usufruit de tout le comté d’Orange, mais d’un domaine considérable. Elle se
remarie avec Bertrand Raimbaud, fils de Raimbaud de Nice, frère de Laugier d'Apt,
et de Pierre II de Nice, évêque de Sisteron, puis évêque de Vaison[17]. Le nom de
la première femme de Bertrand-Rambaud nous est conservé par des actes analysés
dans l'histoire de l'église de Vaison, du Père Boyer de Sainte-Marthe. La comtesse
Gilberge, fille du comte Foulques Bertrand de Provence, femme de Bertrand
-3523-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Rambaud, avec ses deux enfants Rambaud et Pierre autorise des donations
considérables faites à l'église de Vaison-la-Romaine par deux hommes de grande
qualité Guillaume et Rotbald. En outre de plusieurs églises et terres, ces donations
embrassent des quartiers entiers de la ville de Vaison-la-Romaine et de sa banlieue.
Ces pièces ne sont pas datées; l'auteur les place au hasard dans une série de faits
et d'analyses de chartes qu'il rapporte à l'évêque Pierre de Mirabel, arrière-grand-
oncle de Bertrand-Rambaud d’Orange. Mais l'évoque par lequel elles sont reçues,
ce pourrait tout aussi bien être son successeur Pierre II de Nice, fils de Rambaud
de Nice et par conséquent beau-frère de Gilberge. D'autre part, Gilberge fait ici,
avec ses fils ayant droit à sa succession, mais sans l'assistance de son époux, acte
de haut domaine; il est donc à peu près certain que c'est en vertu de ses droits à
elle, et non de ceux qu'elle tient de son mariage, qu'elle procède[9]. Ces actes nous
apprennent encore, outre l'existence d'un second fils de Bertrand-Rambaud,
nommé Pierre, que Rambaud II est fils de sa première femme Gilberge, et non de la
seconde, Adélaïde[18]. Celle-ci se marie fort jeune, car elle survit à son époux
longtemps, et n'est morte qu'après le 2 octobre 1103, date de son testament. Leur
arrière-petit-fils, le troubadour Raimbaut d'Orange.Après avoir mentionné
Bertrand-Rambaud comme son mari, elle institue héritiers Thiburge d'Orange, fille
de Rambaud II d'Orange, et Géraud Adhémar d'Orange, son époux, sans indiquer
par un seul mot qu'elle ait avec Thiburge ou avec Rambaud le moindre lien de
parenté[9]. Voici des extraits de ce testament : ego Adalaiz comitissa mansiones
quas cum Bertrando Raibaldo marito meo, post mortem Udalrici episcopi, maie
usurpavi cetera que hereditario jure mihi proveniunt tam in commitatibus quam in
civitatibus et castris et villis dimitto Tiburgi fiiie Raimbaldi et Geraldo Adimaro
marito eius[19].
Pierre
Rambaud II
Notes et références
-3526-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG et wikipedia) 25 viii 2011
- família 2: J-P de Palmas (wikipedia) i2010
11.866.141:
Gilberge, fille de Foulques Bertrand de Provence, dit aussi Bertrand Ier de
Provence1, né probablement en 10142,3, mort le 27 avril 1051, comte de Provence
de 1018 à sa mort. Il était fils de Guillaume II, comte de Provence, et de Gerberge
de Bourgogne. Il dirigea la Provence indivis avec son frère aîné Guillaume à partir
de 1018 et avec son plus jeune frère Geoffroi au plus tard à compter de 1032.
Après la mort de Guillaume, il prit le titre de marquis, devenant ainsi le chef de la
dynastie. Sa veuve n’a pas l’usufruit de tout le comté d’Orange, mais d’un domaine
considérable.
Références
-3527-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 22 v 2012
11.866.141a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu) i2010
11.866.141-2a:
Il signe un accord en tant qu’évêque d'Avignon avec Geoffroy, vicomte de cette
ville, sur un certain nombre de biens que ces derniers niaient tenir de l'église
d'Avignon. Laugerus, évêque d'Avignon, voulant attirer les Templiers dans cette
ville, donne, le 29 janvier 1131, au grand maître une église dédiée à Saint-Jean-
Baptiste, dans la paroisse de Saint-Agricol avec les maisons qui en dépendent.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia)
11.866.144:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi
carolingien" pp 152/153 -vicomtes de Lautrec- Oxford 2004 ) 26 x 2009
11.866.145:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi
carolingien" pp 152/153 -vicomtes de Lautrec- Oxford 2004 ) 26 x 2009
11.866.152:
Les membres de la maison Trencavel furent à une époque parmi les seigneurs
méridionaux les plus puissants après le Comte de Toulouse et le roi d'Aragon qui
étaient leur suzerain. À l'apogée de leur règne, ils détenaient les vicomtés d'Agde,
Albi, Béziers, Carcassonne, Nîmes et Razès. Les Trencavel furent parmi les acteurs
majeurs de la croisade des Albigeois qui a scellé, à plus ou moins long terme, la fin
des possessions seigneuriales de cette maison.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_Trencavel
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de
l'ancien diocèse de Carcassonne, t.V, de Jacques-Alphonse Mahul) 2008
- defunció: J-P de Palmas (Hélène Débax "La Féodalité languedocienne, p 345
-3528-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Trencavel Toulouse 2003 ) 27 x 2009
- família: C.Saint-Félix (D.Panfili "Aristocraties méridionales") 16i2015
11.866.153:
Héritière de son frère Roger III.
11.866.154:
BERTRAND [II] (-[29 Apr 1090/28 Jul 1094]). His parentage is confirmed by the
charter dated 1057 under which "Gausfredus marchyo sive comes Provincie et uxor
mea Stefania et filius meus Bertrannus" donated property to Saint-Victor de
Marseille naming "avus meus Wuilelmus marchio sive comes Provincie et avia mea
Adalax comitissa"[321]. Comte de Provence. "Bertrannus comes et mater mea
Stephania…[et] conjux mea Matildis" donated property to Monmajour by charter
dated to Feb [1061/62][322]. Marquis de Provence. Bernard Comte et Marquis de
Provence renounced allegiance to the empire by act dated 1081 and swore fealty to
the papacy[323]. After his death the marquisate of Provence passed to Raymond IV
Comte de Toulouse, as shown by the bull of Pope Urban II dated 22 Jul 1096 which
confirmed the rights of the monastery of Saint-André near Avignon after its
abandonment by "comes Nimirum Tholosanorum ac Ruthenensium et marchio
Provintie Raimundus"[324], but the precise process by which this occurred has not
yet been identified.
m (before Feb 1061) MATHILDE, daughter of ---. "Bertrannus comes et mater mea
Stephania…[et] conjux mea Matildis" donated property to Monmajour by charter
dated to Feb [1061/62][325]. Comte Bertrand [II] & his wife had one child.
[324] L'abbé Goiffon (ed.) (1882) Bullaire de l´abbaye de Saint-Gilles (Nîmes) XVII,
p. 35.
[325] Manteyer (1908), pp. 57 and 300, quoting Chantelou Histoire de Monmajour,
Revue Historique de Provence, 1ère année, p. 219.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 ii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 14 ii 2015
-3529-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.866.155:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 ii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 14 ii 2015
11.871.252:
famille des vicomtes de Toulousain, à relier avec Pierre-Aton de Bruniquel
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
11.871.253:
Elle apporte en dot à son mari les castra de Brusque, Giroussens et Monestiès, des
droits seigneuriaux à prélever dans les castra de Vieussan, Roquebrun, La Livinière
et Ventajou et divers droits dans la paroisse de Saint-Nazaire de Couffoulens.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
11.871.253b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
11.871.264:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Chabanais) 30 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Chabanais) 30 iii 2011
- família: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rançon) 22 iii 2011
11.871.265:
Fonts:
- família: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rançon) 22 iii 2011
11.871.265b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( André Debord in "La Société laïque dans les pays de
la Charente, X-XII° siècles" pp.489/491 -Chabanais- Paris 1984) 12 xi 2014
- família: 23ix08 LFlichy http://driout.club.fr/LAROCHEFOUCAULD-1.htm,
JL.Mondanel (généalogie Chabanais) 30 iii 2011
11.871.272:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Mireille Mousnier in Hélène Debax "Vicomtes et
vicomtés") 16i2015
- família: J-L. Dega
11.871.273:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.871.276:
-3530-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Vuillier)
- família: J-L. Dega (Vuillier)
11.871.277:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Vuillier)
11.871.278:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.871.279:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.871.279a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
11.871.280:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
11.871.281:
Fonts:
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
11.871.281b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
11.871.282:
GUILLEM [II] "Trunus" de Besalú (-murdered [1066/25 Jan 1070]). The Gesta
Comitum Barcinonensium names "Guillelmum…Trunnum…et Bernardum Guillelmi"
as the two sons of "in comitatu Bisulduni…comes Guillelmus Bernardi,
cognominatus Grassus"[697]. "Wilelmus comes" confirmed the privileges of the
monastery of Sant Pere de Besalú by charter dated 5 Nov 1029, subscribed by
"Adalaizis comitissa, Wilielmus vicescomes…Bernardus comes Bisullenensis proles
Wilielmi comitis…"[698]. He succeeded his father in [1052] as Comte de Besalú i
Ripoll. "Guilielmus comes filius Adalaiz" promised "Guifredum archiepiscopum
filium Guisle comitissæ" not to disturb church property by charter dated to
[1053][699]. A charter dated 11 Sep 1054 records an agreement between
"Remundum comitem Barchinonensem filium Sancie comitisse" and "Guilelmum
comitem Bisuldunensem filium Adalezia comitisse", relating to "castris de Finestris
sive de Castro Coltort" which "Berengarius comes filius Ermessendis comitisse"
had granted to "comitem Guilelmum de Bisulduno filium de Tota comitissa", in the
presence of "Petri Remundi comitis Biterrensis et Remundi Berengarii vicecomitis
filii de Narbona…"[700]. “Willelmus comes Bisulunensis” donated property to the
church of Girona by charter dated 26 May 1055, witnessed by “Ermisindis
comitissa…Raymundus comes…”[701]. Betrothed (1054) to LUCIE de la Marche,
daughter of BERNARD Comte de la Marche & his wife Amelia ---. An undated
charter, dated to [1054], records that Guillem [II] Comte de Besalú agreed to
-3531-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
marry "Lucia hermana de…la condesa Almodis"[702]. The marriage contracts
between "Willelmus…comes Bisullinensis" and "Lucie sponse mee" are dated 11
Dec 1054, one charter agreed by "Remundum comitem Barchinonensem et
Adalmus comitissa"[703].
[700] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMCLXXXVIII,
p. 268.
[701] Merino, A. (1819) España Sagrada Tomo XLIII (Madrid), XXXII, p. 438.
[702] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo II, p. 73, citing Real Archivo, n. 11 de la
colección con data de Conde Ramon Berengario, antes armario de Cataluña, saco
B. n. 269.
[703] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMCLXXXIX
and MMCXC, pp. 274-76.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 29 viii 2015
11.871.283:
[ETIENNETTE (-[1085]). Szabolcs de Vajay suggested that the wife of Guillem [II]
Comte de Besalú was the daughter of Comte Geoffroy [I][344]. Edouard de Saint-
Phalle highlighted in 2004 that the theory was never supported by any
documentary evidence[345]. Her marriage (but not her parentage) is confirmed by
-3532-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
the charter dated to [1084] under which her son "Bernardus Besaldunensis comes
filius qui fui Stephaniæ" swore homage to "Aymerico vicecomiti Narbonæ filio qui
fuisti Fidis"[346].
m (after 1054) GUILLEM [II] "Trunus" , Comte de Besalú i Ripoll, son of GUILLEM
[I] Comte de Besalú & his wife Adelaide --- (-murdered [1066/70]).]
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 29 viii 2015
- naixement: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
11.871.283a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- defunció: F. de bernis (histoire générale du Languedoc) 12 xi 2009
- casament: F. de bernis (histoire générale du Languedoc) 12 xi 2009
- família: J-L. Dega
11.871.284:
Ramon Berenguer II, Cap d'Estopes (1053 - la Perxa de l'Astor, Gualba 1082),
comte de Barcelona, Girona, Osona, Carcassona i Rasès (1076-1082).
Les relacions amb el seu germà foren sempre tibants, i intentà disputar-li
l'herència. Segons el testament del pare, els dos germans havien de regnar en
igualtat de condicions, la situació real però, era d'una certa preeminència del Cap
d'Estopes.
En una avinentesa, potser quan estava a punt de partir en una expedició vers
Múrcia, es veié obligat a fer promesa solemne de repartiment amb el seu germà
davant els bisbes de Barcelona i Girona, els vescomtes d'aquests comtats així com
el de Cardona. Al seu retorn el comte donà al seu germà part de l'herència
contreta del seu pare, rebent la pària de Lleida.
Vers la fi del 1077 el Papa Gregori VII envià a Girona el seu legat Amat d'Oloron
per donar impuls a les seves idees de reforma de l'Església. És possible que
aquest aprofités la seva estada per a intentar d'avenir els dos germans, que
havien estat encomanats al Papa per llur pare en el seu testament. El pontífex
escriví el 1079 al bisbe de Girona demanant-li d'actuar, juntament amb els abats
de Ripoll, Sant Cugat i Sant Ponç de Tomeres, per posar fi a les discòrdies
comtals. A causa d'això el mateix any els dos germans es repartiren la ciutat de
Barcelona amb les terres, castells i cases de la rodalia, del Llobregat al Besòs,
-3533-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Castellvell i la seva marca, Olèrdola, Vilafranca del Penedès, Vallmoll i els seus
alous, Eramprunyà, Benviure, Gavà, Pallejà, Garrosa, les Franqueses del Llobregat
i altres dominis; i convingueren que residirien alternativament, durant sis mesos,
en el palau comtal o a les cases de Bernat Ramon. Un complement sense data feia
divisió també de la residència al castell de Port, i dels de Santa Perpètua,
Montagut, Pontons, Vilademàger, Tamarit, Cubelles, Vilafranca del Penedès (torre
Dela) i Vallmoll. Les funcions sobiranes restaven indivises, així com les rendes
dels judicis, lleudes, mercats, moneda i uns patis a Barcelona. Però Berenguer
continuà reclamant, i el 1080 obtingué del seu germà la definició de la meitat del
castell de Barberà, de la Bleda (Olèrdola) i dels comtats de Carcassona i Rasès.
Ramon llavors prometé de dividir totes les adquisicions futures, comprenent-hi les
naus que es construïssin i les que s'adquirissin. Restarien en indivís les naus que
llavors tenien, però es repartirien per meitat les preses que fessin.
Vers el 1077 realitzà una expedició a Múrcia, en ajut del rei sarraí de Sevilla
contra els de Toledo, València, Granada i Màlaga, que eren ajudats per Alfons VI
de Castella. Aquesta expedició resultà un fracàs. Posteriorment els comtats de
Barcelona i d'Urgell i la ciutat de Lleida lluitaren contra el rei sarraí de Saragossa
i a conseqüència d'això el perill islàmic reculà, tant pel cantó de Lleida, on la
colonització cristiana arribà fins a Sidamon i Torregrossa, com per l'actual Conca
de Barberà, on el 1079 ja era repoblada l'Espluga de Francolí.
La veu popular acusà en aquell moment el seu germà com a instigador de la seva
mort, motiu pel qual Berenguer Ramon II és conegut com el Fratricida.
El fill pòstum del comte, Ramon Berenguer III, fou designat hereu el mateix any
del seu naixement però tingué la tutela del seu oncle Berenguer Ramon II fins a la
mort d'aquest el 1097.
-3534-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
La tomba del comte Ramon Berenguer II de Barcelona, que es troba a la Catedral
de Girona, fou construida per Guillem Morei per encàrrec del rei Pere el
Cerimoniós.
Com s'esdevingué sovint a tot arreu, Ramon Berenguer IV, a partir del 1150,
hauria tancat dintre del perfil de l'escut l'emblema usat pels seus avantpassats.
http://ca.wikipedia.org/wiki/Ramon_Berenguer_II
-3536-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, Juan-Pedro de Palmas (Mort et sépulture
de Tête d'étoupe)) iv-2009 et viii 2012
- enterrament: ES II taf. 69 (Barcelone), 1984
11.871.285:
Mahaut de Pouille, dite aussi d'Apulie ou de Hauteville est une noble lombardo-
normande du Sud de l'Italie, vivant entre la seconde moitié du XIe et le début du
XIIe siècle, devenue par mariage comtesse de Barcelone, puis vicomtesse de
Narbonne.
Bibliographie complémentaire
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P.de Palmas (Maison de
Hauteville) 24 viii 2012
- naixement: JB de La Grandière : Thierry Stasser "Où sont les femmes?"
Prosopographica et Genealogica Oxford 2005
- defunció: JB de La Grandière : Thierry Stasser "Où sont les femmes?"
Prosopographica et Genealogica Oxford 2005
- casament 2: JB de La Grandière : Thierry Stasser "Où sont les femmes?"
Prosopographica et Genealogica Oxford 2005
- família 2: J-P de Palmas (Liste des Archevêques de Narbonne et wikipedia) ii-2009
11.871.285-2b:
Fils d'Aimery Ier, vicomte de Narbonne et de Mathilde de Hauteville; frère utérin
de Raymond Bérenger III, comte de Barcelone; oncle d'Ermengarde, vicomtesse de
Narbonne.
-3537-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Abbé de Lagrasse depuis au moins le 25 novembre 1133
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Liste des Archevêques de Narbonne et Hélène Débax, La
Féodalité languedocienne, XIe-XIIe siècles : Serments, hommages et fiefs dans le
Languedoc des Trencavel) ii-2009
11.871.285-2c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène Debax)
12x2014
11.871.285-2d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène Debax)
12x2014
11.871.760:
Seigneur de Mirepoix (09)
Fonts:
- persona: LFlichy 15v06 (base chistera), C.Saint-Félix (J. Duvernoy "Le
catharisme") 16v2006
- família: LFlichy 15v06 (base chistera)
11.871.761:
Fonts:
- persona: LFlichy 15v06 (base chistera)
- família: LFlichy 15v06 (base chistera)
11.871.761a:
rend hommage en 1159, fait une donation à l'abbaye de Boulbonne en
1193(M.Chevallier [L'épopée Cathare de M.Roquebert]
Fonts:
- persona: LFlichy 15v06 (base chistera)
- família: LFlichy 15v06 (base chistera)
11.871.761c:
attestée en 1160 et 1176
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Gwendoline Hancke : "L'hérésie en héritage") 23xi2006
- família: C.Saint-Félix (Gwendoline Hancke : "L'hérésie en héritage") 23xi2006
11.871.764:
Guilhem d'Assalit, Ce dernier était l'époux d'Adalaïs du POUGET, seigneur de
Brissac dans l'Hérault (avant la possession du château de Brissac par les familles
de Ganges et Roquefeuil (branche des Aniort ) Ils sont alliés familialement. Il
ressort que la seigneurie de Lestang sur la Baronnie du Pouget appartient
également à ce même Guilhem d'Assalit (noté Assalty de Popian). Ce domaine est
-3538-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
repris en même temps que la seigneurie de Brissac par les Roquefeuil.
Charte de donation primitive par les seigneurs du Lauragais en l’an 1100 ayant
participés à la première croisade (extraits et datation)
Comme seule indication de date, nous lisons que cette charte fut faite du temps de
pape Paschal et du patriarche Dagobert. Nous allons essayer de préciser
d'avantage au moyen des personnages que nous voyons figurer sur ce vénérable
parchemin.
Pascal II, occupa le trône pontifical de 1099 à 1118. Dagobert, archevêque de Pise
et légat du Pape à la première croisade, fut nommé patriarche de Jérusalem en
1101. Izarn fut enlevé par la mort au siège épiscopal de Toulouse en 1105.
Bertrand fils de Raymond de Saint-Gilles recouvra en 1100 le comté de Toulouse,
dont l'administration lui avait été confiée par son père lors de son départ pour la
croisade et qui lui avait été enlevé en 1098 par Guillaume duc d'Aquitaine.
-3540-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1108.
Le château
Actes divers
Bibliographie
De L. Schneider :
De C Duhamel - Amado :
Abbé A.Delouvrier :
o « Histoire de la Vicomté d'Aumelas et la Baronnie du Pouget », p.
332 - 333, Montpellier, imprimerie Grollier père 1896 In-8°, XI
350 p.
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006, J-P de Palmas (Notes, iconographie) 26ii2011
- família 1: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
-3542-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
7v2006
- família 2: J-P de Palmas (Généalogie Assalit) 2iii2011
11.871.765:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
11.871.765a:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
11.871.765d:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
11.871.765e:
- Bertrand-Robert Assalit est cité, comme témoin, avec Raymond et Stéphane de
Clermont et Guiraud Engilbert, viguier de Toulouse, lors d'une donation faite par
Alphonse, comte de Toulouse, à l'abbaye de Lezat, en 1127 (Acte original)
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
11.871.765f:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
11.871.765-2a:
Gilbert d'Aissailly, mort en 1183[1], fut le 5e supérieur[2] de l'ordre des
Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.
Il succéda dans les derniers mois de l'année 1162 à Arnaud de Comps et resta en
son Magistère jusqu'en 1169/1170.
-3543-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Il se démit de son magistère en 1170 mais avant de se retirer il fit élire dans les
formes statuaires, son successeur. Le choix des électeurs se porta sur le trésorier
de l'ordre, Caste de Murols, et désigna en même temps un Grand-Précepteur, tout
devait alors rentrer dans l'ordre mais l'ancien Grand-Précepteur Pons-Blan ne
l'entendit pas de cette oreille lui et ses partisans étaient persuadés qu'un Grand-
Maître ne pouvait résigner son office sans l'autorisation du Saint-Siège, ils en
appelèrent au souverain pontife et refusèrent d'obéir à Caste. Pons Blan se prépara
à porter lui-même l'affaire à Rome, mais avant son départ il dût conformément aux
statuts résigner entre les mains du nouveau Grand-Précepteur ses équipages et ses
harnais ; celui-ci lui fit alors défense de se présenter devant le Pape. Il semble bien
que l'hostilité de Pons-Blan cachait une ambition personnelle déçue puisqu'il avait
perdu coup sur coup la tête de l'ordre et son statut de Grand-Précepteur.
Notes et références
Sources bibliographiques
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 2iii2011
-3544-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.871.776:
Fonts:
- persona: L.Guion, S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
- família: L.Guions, S; de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
11.871.777:
Fonts:
- família: L.Guions, S; de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
11.871.777b:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (Gén. Gontaut-Hautefort)
11.871.784:
Adhémar de Beynac, ou Adémar de Bénac, est un seigneur français né vers 1120,
dans le Périgord noir et mort en 1194, peut-être en son château de Beynac.
Adhémar de Beynac, accompagne le roi Louis le Jeune, qui est aussi duc
d’Aquitaine, à la seconde croisade, entre 1145 et 1167[1]. Il a ses armes au Musée
de Versailles, dans la première des salles des croisades[2].
Sa famille
Cette maison est illustre et puissante dès les temps les plus reculés. Elle prouve
une filiation non interrompue, depuis Mainard de Beynac, qui fait, avec Alpaïs, sa
femme, fille de Gérard III de Gourdon et d'une autre Alpaïs, plusieurs donations,
l'an 1115, à Robert d'Arbrissel, fondateur de la célèbre abbaye de Fontevraud ; et
en 1116, à Géraud de Salles, fondateur de celle de Cadouin. Le nombre et
l'importance des objets donnés, donnent une haute idée de l'opulence et de la
puissance du donateur. Mainard de Beynac a de son mariage trois fils[4].
Biographie
-3545-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Adhémar de Beynac, est l'aîné de
ses fils. Chevalier, il se croise
pour la Terre-Sainte l'an 1147.
Pour fournir aux frais de ce
voyage, il vend à l'abbé de
Cadouin, les terres qu'il a à
Auriole, pour le prix de douze
cents sols, monnaie de Cahors, et
cent sols, monnaie de Périgord. Il
rend, avant de partir, une
ordonnance, de l'avis de ses
chevaliers, par laquelle il
condamne à être pendu
quiconque ferait quelque invasion
sur les propriétés de l'abbaye de
Cadoin. Il déclare de plus, que si
un de ses chevaliers, ou leurs fils, demeurant en la châtellenie de Bigaroque,
exercent sur les chemins, des violences contre les religieux de cette abbaye, ils lui
paieraient une amende de cinq sels pour quatre écus, et de double à l'abbaye, sous
peine d'avoir une oreille coupée[5]. Adhémar de Beynac ne semble pas être resté
en Terre Sainte jusqu'en 1188, comme son frère[6]. Guillaume de Cugnac, IIe du
nom, chevalier, en 1167 est témoin, avec Adémar de Beynac, des dons faits à
l'abbaye de Cadoin par Guillaume et Aimeric de Biron, frères, du consentement
d'Aibolène leur mère. Il assiste, le même jour, à la donation que fait Adhémar de
Beynac à cette abbaye[7]. Il vit encore en 1189. Marsebilie, sa femme, est sœur de
Rudel, comte de Périgord[8]. A son retour des croisades, le premier baron de
Beynac, son père, étant décédé, c'est Adhémar de Beynac qui prend le château en
main. En 1194, de retour de captivité après dix ans d'absence, le roi Richard Cœur
de Lion constate qu'en Aquitaine, grâce à la vigilance d'un de ses plus fidèle
compagnons, Mercadier, ses châteaux et territoires ont conservé leur intégrité.
Afin de remercier Mercadier de sa fidélité, Richard lui offre le château de Beynac
dont il s'empare de manière autoritaire après la mort de son propriétaire, Adhémar
de Beynac, qui ne laisse derrière lui aucun héritier direct. Le présent profitera
cependant très peu à Mercadier, qui sera assassiné à Bordeaux en 1200. Les
neveux d'Adhémar de Beynac pourront alors récupérer le château, qui continuera
d'appartenir à cette famille jusqu'au XVIIIe siècle[9]. Adhémar a servi en partie de
modèle pour le personnage de Bos de Bénac, héros de plusieurs légendes à peu
près similaires sur le fond, qui ont cours en Bigorre, dans les Landes et le Périgord.
Son frère, Pons de Beynac, Ier du nom, baron de Beynac, chevalier, accompagne
lui-aussi le roi Louis le Jeune, à la croisade de 1147 et fait, avant son départ, et
après son retour, diverses donations à l'abbaye de Cadoin. Il a de Gaillarde, sa
femme, plusieurs enfants[4].
Références
1. Cartulaire de Cadouin
2. Bulletin, Par Société archéologique et historique du Limousin, Publié par
Societe archeologique et historique du limousin, 1899, t.47, p.79 et Michel
Smaniotto: Les sgr de Beynac et de Commarques XI°-XVIII° siècles
3. Dictionnaire universel de la noblesse de France, Par Jean Baptiste P.
Jullien de Courcelles, Publié par Au Bureau général de la noblesse de
France, 1821, p.71 et Michel Smaniotto: Les sgr de Beynac et de
Commarques XI°-XVIII° siècles.
4. a b Dictionnaire universel de la noblesse de France, Par Jean Baptiste P.
Jullien de Courcelles, Publié par Au Bureau général de la noblesse de
France, 1821, p.71.
5. Dictionnaire universel de la noblesse de France, Par Jean Baptiste P.
Jullien de Courcelles, Publié par Au Bureau général de la noblesse de
-3546-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
France, 1821, p.71 et Galeries historiques du palais de Versailles, Par
Charles Gavard, Versailles palais, 1844, p.74 et Michel Smaniotto: Les sgr
de Beynac et de Commarques XI°-XVIII° siècles
6. Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, Par
Société archéologique et historique du Limousin, Limoges, Publié par
A.Bontemps., 1899, v.47, p.79.
7. Nobiliaire Universel, 1820, p.168. Copie de l'exemplaire Université
d'Oxford.
8. Dictionnaire universel de la noblesse de France, Par Jean Baptiste P.
Jullien de Courcelles, Publié par Au Bureau général de la noblesse de
France, 1821, p.71 et Galeries historiques du palais de Versailles, Par
Charles Gavard, Versailles palais, 1844, p.74.
9. ↑ "Adhémar+de+Beynac"+croisade&hl=fr&ct=clnk&cd=13&gl=fr
Beynac [archive] et Bulletin de la Société historique et archéologique du
Périgord, Par Société historique et archéologique du Périgord, Publié par
Imp. Joucla., 1884, 11, p.480.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia) vii2009
- família: J-L. Dega
11.871.785:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.871.792:
VEZIAN [I] de Lomagne, son of ODON [III] Vicomte de Lomagne & his wife --- (-
1103 or after). His parentage is suggested by the charter dated 1084 under which
"Odone vicecomite et nepote Viviano" donated "locum de S. Genio" to Cluny[1639].
Vicomte de Lomagne. "Vivianum vicecomitem Lomaniæ" donated "terræ de
Gandavila" to Uzerche, with the consent of "Beatrix…uxor Viviani vicecomitis", by
charter dated 1091[1640]. "Bernardus vicecomes" renounced a tax on La Réole
before the court of Gascony, before "Astanova comite…de Fedenzac, ac Bernardo
de Armanac, necnon Gastone vicecomite de Bearn, et Lupo Anario de Marzan, et
Bibiano de Lomonie, et Petro, domino de Gavarred…", by charter dated
1103[1641].
[1639] Jaurgain (1898), p. 260, quoting Bibl. nat. mss., Collection Doat, vol. 128, fo.
191.
-3547-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014
11.871.793:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- casament 1: C.Saint-Félix (Benoit Cursente in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 13x2014
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
11.871.793-1a:
BERNARD de Béarn, son of CENTULE [IV] Vicomte de Béarn & his wife Béatrix
Ctss de Bigorre (-1113). “Beatrix comitissa Bigorritana” donated property to the
monastery of St Severius de Rostain, which “vir meus Centullus” donated to St
Victor de Marseille, confirmed by “Bernardus supradictæ comitissæ filius”, by
charter dated 1091 which names “patrem meum Bernardum”[1094]. He succeeded
his mother in [1095] as BERNARD [III] Comte de Bigorre. "Bernardus filius
Centulli" ordered the writing of the customs of the county of Bigorre "tempore avi
sui Bernardi…comitis" by charter dated to [1110], which names "Arnaldus
vicecomes Levitanensis"[1095].
[1094] Veterum Scriptorum I, col. 539, and Marseille Saint-Victor II, Chartularium
Minus, 818, p. 169.
[1097] Jaurgain (1902), p. 152, quoting Cartulaire noir de Sainte-Marie d´Auch, fo.
120 vo.-122 vo.
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Navelle), J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família: J-L. Dega (Navelle)
-3548-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.871.794:
Fonts:
- família: Jean-Louis Dega, J-L. Dega (Jaurgain)
11.871.795:
BRUNE de Comminges . A charter dated Nov 1197 records the 4° consanguinity
between "B. Convenarum comes" and "uxorem, filiam Arnaldi Willelmi de Barta"
which provided the grounds for their divorce: "domina Bruna et Rogerius de
Convenis fuerant fratres", adding the descent from "Bruna" to "Ademarus de
Pontiis" to "alia Bruna" to "Navarra" to "Comtors filia Arnaldi Willelmi de
Barta"[833].
m --- Seigneur de Pontis, son of ---. Brune & her husband had one child.
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 17 xi 2013
- família: Jean-Louis Dega, J-L. Dega (Jaurgain)
11.871.872:
Pour éviter ces attaques du Béarn et de tout autre seigneur aquitain, le quatrième
vicomte de Soule, Gassion s'engagea dès 1122 à servir Alphonse premier dit « le
batailleur » roi de Pampelune, de Navarre et d'Aragon de 1104 à 1134. Celui-ci le
récompensa en lui donnant la seigneurie de Belorado en Navarre et en l'aidant à
fortifier le château de Mauléon en 1125.
Le château de Mauléon
Histoire
En 1642, sur ordre de Louis XIII, le château fort est démoli. En 1648 une
reconstruction partielle est organisée mais le château est finalement abandonné.
-3549-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Sous la Révolution française, il est employé comme prison, une fonction qu'il garde
pendant des années. En 1831, le ministre de la guerre refuse sa restauration bien
qu'il abrite une garnison et ce, jusqu'en 1870, date à laquelle la ville en devient
propriétaire.
Fonts:
- persona: J-L. Dega(Jaurgain), H.de Riberolles(Base Geraude), J-P de Palmas (Le
château de Mauléon au Moyen-Âge)
- família: J-L. Dega(Jaurgain), H.deRiberolles(Base Auréjac)
11.871.873:
Fonts:
- família: J-L. Dega(Jaurgain), H.deRiberolles(Base Auréjac)
11.871.874:
AUGER, son of SANCHO Auriol Vicomte de la Barthe & his wife --- (-[1130]).
Jaurgain names "Augerius Bartanus filius Sancii"[1157]. Vicomte de la Barthe.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
- naixement: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
11.871.875:
Fonts:
- persona: H.de Riberolles(Base Geraude)
11.871.875-1c:
PIERRE . "Arnaldus de Labartha et frater eius Petrus" signed the charter dated to
[1130] which records the donation of "la terre d´Aguin" to Sainte-Marie de
Simorre[1165].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
11.871.875-1d:
BLANCHEFLEUR . "Odo et Arnaldus Wlmi filii Espani vicecomitis de Barta
et…Azera vicecomitissa mater eorum et…Blancaflor soror prædicti vicecomitis et
Petrus comes Bigorritanus…" donated property "dans le territoire de Dozos" to the
monastery of Bonnefont by charter dated to [1140][1166].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
11.872.256:
Partant du modeste héritage de sa mère, par suite de mariages, d'héritages, d'
une alliance quasi permanente avec l'Eglise, de beaucoup de persévérence et de
diplomatie, Raimond de St Gilles constituera une véritable principauté.
-3550-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Après avoir passé plus d'un quart de siècle à assoir sa domination des rives de la
Garonne à celles du Rhône, riche et puissant, Raimond IV se croisera,
s'auréolant de gloire en Terre Sainte.
Histoire chronologique de la civilisation occitane André DUPUY
RAYMOND de Toulouse, son of PONS Comte de Toulouse & his third wife
Almodis de La Marche (-castle of Mount Pèlerin near Tripoli, Palestine 28 Feb
1105, bur Mount Pèlerin or Jerusalem). The Chronicle of Alberic de Trois-
Fontaines names "Guilelmum et Raymundum" as the two sons of
"Guilelmi…Tolose comitis" and his wife "Alymodis multinuba"[415].
"Wilelmo…Raimundo…Ugoni" are named as sons of "Pontio [comite Tolosano]"
in a charter dated 9 Jun 1063[416]. Comte de Rouergue, de Nîmes et de
Narbonne, presumably resulting from an agreement with his brother to partition
their father's territories following his death in 1060. "Raimundum comitem de
Rutenis, filium Almodis" and "Guifredum archiepiscopum de Narbona, filium
Guille comitissæ" confirmed an agreement by charter dated to [1066], confirmed
by "uxorem suam omitissam"[417]. "Raimundus comes Rutenensis et
Nemosensis, Narbonensiumque filius meus" joined "Almodis comitissa" in a
transaction with Cluny for the soul of "Poncii comitis" dated 15 Dec 1066[418].
"Raimundi comitis Rutenensis…" subscribed the charter dated 7 Sep 1071 which
records an agreement between "Wuiellmum Tolosanum comitem" and
"Raimundum comitem Barchinonensem et Carchanonensem et Raimundem
filium eius" settling their dispute about "castello de Laurago" [Lauragais][419].
"Rogerius comes Fuxensis et coniux mea Sicardis comitissa" donated property to
Saint-Pons de Thomières by charter dated to [1074], subscribed by "domni G.
comitis Tolosani et domni Raymundi fratris eius comitis Ruthenæ"[420]. A
charter dated 27 Jun 1078 records a hearing held by "Raymundo Ruthenensium
comiti et Biterrensium vicecomitissæ Hermengardi" relating to a claim by
"Petrus…Bermundi filius"[421]. "Guillelmus Tolonanensium, Albensium seu
Caturcensium, Lutevensium, Petragorensium, Carcassonensium, Aginnensium
necne Astarachensium comes et dux…cum uxore mea…Emma" confirmed
donations by "proavuo…meo Pontio Aquitanorum duce" to Saint-Pons de
Thomières by charter dated 16 Jun 1080, signed by "Regimundus comes frater
eius, Bertrandus comes nepos Willelmi et filius Raimundi, Guillelmi de Rehenti,
Ademari vicecomitis…"[422]. He took an active part in the crusade against the
Moors in Spain. "Raymundus comes Rothenensis" abandoned rights in favour of
the church of Béziers by charter dated 1084, signed by "…Guillelmi de
Sabrano…"[423]. "Raymundus Ruthenensis, Gabalitanus, Ucetiensis,
Nemausensis, Agathensis, Biterrensis necnon Narbonensis comes" confirmed
the foundation of the abbey of Saint-Pons de Thomières by "proavo…meo Pontio
Aquitanorum magno duce vel principe" by charter dated 1085[424]. He
succeeded his brother in 1094 as RAYMOND IV "de Saint-Gilles" Comte de
Toulouse. "Raimundus comes Tolosanæ, dux Narbonæ, marchio Provinciæ"
donated property to Saint-André d´Avignon by charter dated 1088 (which
presumably should be redated to after 1094), signed by "…Guillelmus de
Sabrano, Alisiardus de Usetico, Rostagnus de Posqueriis, Gibellinus de
Sabrano…"[425]. A bull of Pope Urban II dated 18 Feb 1095 announced that
"Raimundus Tolosanus comes…cum uxore sua Hervira et filio Bertranno"
abandoned his rights to altar offerings at the monastery of Saint-Gilles[426].
Presumably Comte Raymond's epithet "de Saint-Gilles" is attributable to his
continuing public support for this monastery rather than use of a title such as
"Comte de Saint-Gilles" before succeeding his brother in Toulouse. He was the
first nobles to answer the call of Pope Urban IV for a crusade to relieve
Jerusalem from occupation by the Muslim Arabs, asking to join the expedition 1
-3551-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Dec 1095 only days after the Pope's rallying speech at the Council of Clermont.
He succeeded as Marquis de Provence, no doubt after the death of Bernard [II]
Comte de Provence in [1090/94] although the precise process by which this
succession occurred has not yet been identified. "Raimundus…comes et
Provincie marchio" donated property to Saint-Victor, Marseille by charter dated
28 Jul 1094, also confirming donations by "Dulcis comitissa", signed by "Alvira
comitissa"[427]. A bull of Pope Urban II dated 22 Jul 1096 confirmed the rights
of the monastery of Saint-André near Avignon after its abandonment by "comes
Nimirum Tholosanorum ac Ruthenensium et marchio Provintie
Raimundus"[428]. In Jul 1096, Comte Raymond transferred many of his
possessions to the monastery of Saint-Gilles[429]. He left on crusade in Oct
1096, leaving the government of Toulouse in the hands of his older son Bertrand
(not named but referred to as "naturali cuidam filio suo comitatu quem regebat
relicto")[430]. Comte Raymond never returned to France. While crossing
Byzantine territory, his army attacked Roussa in Thrace, but was defeated and
dispersed by the Imperial army[431]. He played a decisive role in the capture of
Antioch 28 Jun 1098 after a siege lasting eight months. The leaders of the
crusade disagreed about who should control Antioch. After Comte Raymond
finally marched south in Jan 1099 to continue the crusade[432], Bohémond of
Apulia remained in possession of Antioch. Comte Raymond tried unsuccessfully
to be accepted as overall leader of the crusade, but in Jul 1099 refused to be
considered as a candidate to be "King of Jerusalem" knowing that he did not
have enough support among the crusaders[433]. After the election as leader of
his rival Godefroi de Bouillon 22 Jul 1099, Comte Raymond left Jerusalem for
Jericho[434]. His objective was to create his own principality in central
Syria[435]. He established his household at Lattakia[436]. The second wave of
the First Crusade, Lombards who had left Italy under Alberto Conte di Biandrate
in Sep 1100 and the French under Etienne Comte de Bourgogne who left in
Spring 1101, appointed Comte Raymond as their leader when they arrived at
Constantinople, where he was staying during the winter of 1100/01 as the guest
of Emperor Alexios I[437]. After the combined armies left Constantinople in May
1101, they captured Ankara from the Seljuk Turks 23 Jun 1101 but were
scattered after their defeat by the Turks at Mersivan[438]. Comte Raymond
returned to Constantinople, left by ship for Lattakia, but in early 1102 was
arrested in Tarsus for having "betrayed Christendom" and taken to Tancred
Regent of Antioch who released him only after he swore an oath not to interfere
further in affairs in Syria, In compliance, he evacuated his garrison from
Lattakieh, which was besieged by Tancred in early Spring 1102[439]. He gained
a notable victory against the Turks outside Tripoli in 1102, constructed the
castle of Mount Pèlerin near Tripoli in 1103/04, and laid siege to the town itself.
He died during the course of the siege[440], his death being recorded by William
of Tyre and Albert of Aix, the latter specifying that he died and was buried in the
castle which he had constructed[441]. Bar Hebræus records the death in A.H.
499 (1105/06) of "Hisn Sandjil", ten days after falling from a roof which had
been set alight by "Abou-Ali Ibn Ammar, souverain de Tripoli", and his burial in
Jerusalem[442].
-3552-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
of one of the child´s grandfathers for the first-born son[444]. The same source
suggests that such a marriage could explain why Raymond was excommunicated
by Pope Gregory VII in 1076 and 1078. It also suggests that Comte Raymond´s
right to the marquisate of Provence may have been based on the dowry of his
first marriage. This may explain why Europäische Stammtafeln and other
primary sources show Raymond´s first wife as --- de Provence, daughter of
Geoffroy I Marquis de Provence, Comte d'Arles & his wife Etiennette [Douce]
[de Marseille]. However, Raymond´s right could also have been hereditary
through his paternal grandmother, who was the sister of Guillaume [V] Comte et
Marquis de Provence.
Liens externes
wikipedia en Français
Bibliographie
-3554-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
p. (ISBN 2-228-12530-X)
Jean-Luc Déjean, Les comtes de Toulouse (1050-1250), Fayard, 1979
(réimpr. 1988) (ISBN 2-213-02188-0) [détail des éditions]
Paul DESCHAMPS, «Raymond de Saint-Gilles et sa sépulture au
château de Tripoli (Liban)», dans Mélanges E.-R. LABANDE, Études de
Civilisation médiévale (IXe - XIIe siècles), Université par les soins du
C.É.S.C.M. (Centre d'études supérieures de civilisation médiévale),
Poitiers, 1974, 770 p., p. 209-216
Foundation for Medieval Genealogy : Raymond IV de Toulouse
Remarques
Fonts:
-3555-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: Paysac / http://www.newadvent.org/cathen/12669c.htm, J-P de Palmas
(wikipedia et Foundation for Medieval Genealogy : Raymond IV de Toulouse)
- família 2: H.R.Moser/EuSt
- família 3: J-P de Palmas (Armorial du Vivarais de B.d'Entrevaux - Privas 1907,
page 197) 2003, O.de Ascoz (A.H.N., Madrid) 8 ix 2010
11.872.257:
doña ELVIRA Alfonso, illegitimate daughter of don ALFONSO VI King of Castile
and León & his mistress doña Jimena Muñoz (-15 Nov [1156]). The Chronicon
Regum Legionensium names "Jimena Muñoz" as the first of two concubines of King
Alfonso, and their daughters "Elvira the wife of count Raymond of Toulouse…and
Teresa the wife of Count Henry"[479]. "Raimundus…comes et Provincie marchio"
donated property to Saint-Victor, Marseille by charter dated 28 Jul 1094, also
confirming donations by "Dulcis comitissa", signed by "Alvira comitissa"[480]. The
bull of Pope Urban II dated 18 Feb 1095 announces that "Raimundus Tolosanus
comes…cum uxore sua Hervira et filio Bertranno" abandoned his rights to altar
offerings at the monastery of Saint-Gilles[481]. Her birth date is estimated from
the birth of her first child "before 1097". According to Guibert, Comte Raymond left
on the First Crusade with his wife and son (both unnamed) "Qui quidem, naturali
cuidam filio suo comitatu quem regebat relicto, propriam conjugem cum filio, quem
ab ea exegerat, unico secum duxit"[482]. She left Palestine after her husband's
death, arriving back in Toulouse with her infant son in 1108[483].
She married secondly (before 30 Jun 1117, [separated before 1121]) [as his first
wife,] don Fernando Fernández. Her second marriage is confirmed by the charter
dated 30 Jun 1117 under which "Enxemenia Gonçalvez" sold property granted "ad
me et ad filio meo Monio Petriz…in territorio Lampreana villa…Villa Rein" by
Queen Urraca to "Fernando Fernandiz…cum socia mea infans domna Elvira"[484],
and by the charter dated 8 Jul 1117 under which "Fernanz Fernanniz…et uxor mea
infanta donna Gelvira filia regis Alfonsi" donated "quartem partem de monasterio
de Ferreries…in Gallicia in terra de Lemes juxta Pantonem" to Cluny[485]. Elvira´s
second marriage is also indicated by the charter dated 18 Apr 1127 under which
her mother "Ximena Munniz" donated property in "Trebalio et Turres" to "nepotis
mei…Garcie Fernandiz"[486], and by the charter dated 1201 under which her
great-granddaughter "Domna Xemena Osoriz" donated her property in Valdejunco,
Valdunquillo, Villa Velasco, Fontamian, Villa Sanz, Carvajal, Villela, Otero, Mozos,
Valdescapa, Barriales, Valle Vaniego, Ranero and in tierra de Cea to Sahagún
monastery, naming "aviam tuam Infantem Gelviram"[487], although the second
document does not clarify which of the two "Infantas Elvira" is referred to. On the
other hand, Reilly says that doña Elvira, wife of Raymond IV Comte de Toulouse,
did not return to Castile until after the death of Queen Urraca[488]. He maintains
that the wife of don Fernando Fernández was Elvira who was the legitimate
daughter of King Alfonso VI by his wife "Elisabeth". As discussed in the document
CASTILE KINGS, it is more likely that the younger legitimate daughter Elvira was
the wife of Roger King of Sicily. Canal Sánchez-Pangín concludes that the wife of
don Fernando Fernández was indeed the widow of Raymond IV Comte de
Toulouse[489]. One difficulty is that Alphonse Comte de Toulouse, son of Comte
Raymond IV and doña Elvira, was declared of age only in 1121, although it is not
known whether his mother remained in Toulouse acting as regent throughout his
minority. . The dating clauses of charters dated 24 Oct 1137, 1 Nov 1137, 20 Nov
1137, 6 Nov 1139, 1 Oct 1143, 1 Nov 1149, 6 Jun [1153], and 19 Jun [1156], which
record donations to the monastery of San Pedro de Montes, name "…Imperante
Ribera donna Gelvira Infante"[490]. "Infante dompna Gelvira…domini Adefonsi
regis filia" donated "in territorio de Ripeira…villa de Nozeta" to the monastery of
San Pedro de Montes, confirmed by "Didacus Fernandiz…quod…mater mea prefata
infante domina Gelvira facit" and by "Adefonsus…Yspanie imperator…mater tere
mee et filiorum eius…infans domina Sancia soror ipsius imperatoris", by charter
dated 29 Apr 1150, subscribed by "Poncius comes…Osorius Martiniz
-3556-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
comes…Nunno Petriz armiger regis…Vela Guterriz dominante Capreyra, Petro
Roderiquiz, Roderico Roderiquiz, Petro Didaz…"[491]. The necrology of León
Cathedral records the death “XVII Kal Dec” of “infans domna Geloira”[492].
[479] Chronicon Regum Legionensium: Barton, S. and Fletcher, R. (trans. and eds.)
The World of El Cid: Chronicles of the Spanish Reconquest (Manchester UP), p. 87.
[484] Ayala Martínez, C. de (1995) Libro de los privilegios de la orden de San Juan
de Jerusalén in Castilla y León (Siglos XII-XV) (Instituto Complutense) ("San Juan
de Jerusalén Castilla León"), 10, p. 152.
[488] Reilly, B. F. (1982) The Kingdom of León-Castilla under Queen Urraca 1109-
1126 (Princeton University Press), in the Library of Iberian Resources Online,
available at <http://libro.uca.edu/urraca/urraca.htm> (7 Dec 2002), Chapter 7, p.
218, footnote 35. .
[490] Quintana Prieto, A. (ed.) (1971) Tumbo Viejo de San Pedro de Montes (León)
("San Pedro de Montes"), 150, 151, 152, 157, 160, 168, 177, and 185, pp. 248, 249,
250, 255, 259, 268, 279, and 287.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 11 x 2016
- família: J-P de Palmas (Armorial du Vivarais de B.d'Entrevaux - Privas 1907, page
197) 2003, O.de Ascoz (A.H.N., Madrid) 8 ix 2010
-3557-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.872.257c:
Hizo la guerra en Tierra Santa, por lo que desatendió y perdió sus señoríos y
tierras de Narbona a manos de los franceses del sur en 1116. Se estableció
entonces en San Juan de Pie de Puerto en el reino de Navarra donde falleció
Beltrán en 1123.
Fonts:
- persona: O.de Ascoz (A.H.N., Madrid) 8 ix 2010
- família: O.de Ascoz (A.H.N., Madrid) 8 ix 2010
11.872.257-1a:
Extrait des comtes de Toulouse et leurs descendants les Toulouse-Lautrec par J.R.
Magné et J.R. Dizel, 1992,
Pages 42-43 ;
(125) Catel (op cité) parle d'un contrat de mariage selon lequel Bertrand assigna à
sa future épouse pour constitution de douaire, les comtés de Rodez, Viviers,
Avignon et Digne Devenue veuve, Adélaïde épouse en secondes noces Guillaume III
Talvas, comte d'Alençon et de Ponthieu, auquel elle donna cinq enfants. Elle
mourut au mois de février de l'an 1191 et fut inhumée à l'abbaye de Perseigne,
entre Mamers et Alençon.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Les comtes de Toulouse et leurs descendants les Toulouse-
Lautrec par J.R. Magné et J.R. Dizel, 1992)
- naixement: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- defunció: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- família 1: F-L. Jacquier (Les comtes de Toulouse et leurs descendants les Toulouse-
Lautrec par J.R. Magné et J.R. Dizel, 1992)
11.872.258:
Ruines de l'abbaye de Psalmody au début du XXe siècle.
RAYMOND Decan [II] (-Aug 1138, bur Psalmody). A bull of Pope Calixtus II dated
22 Apr 1122 ordered "Bernardo Biterrensi vicecomiti, Bernardo de Andusia,
Raimundo Decano de Poscheriis" to support the abbot and monks of Saint-Gilles
against Alphonse Comte de Toulouse and others[1999]. The testament of
"Bernardus-Atonis vicecomes Biterrensis", dated 1129, was witnessed by "Cæcilia
vicecomitissa et Raimundo Poscheriarum Decano…"[2000]. An epitaph at the
church of Psalmody records the death in Aug 1138 of "Raimundus Decani dominus
Posqueriarum et Ucetiæ, pater episcoporum Raimundi Vivariensis, Raimundi
Ucetiensis et Alberti Nemausensis"[2001].
m ---. Raymond [II] & his wife had [five] children
-3558-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[2000] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et
Diplômes, 504, col. 957.
[2001] Histoire Générale de Languedoc 3rd Edn. Tome V, Preuves, Inscriptions, 39,
p. 12.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur
entourage") 7v2006, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 3iii2011
- família: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006, J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
11.872.259:
Fonts:
- família: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006, J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
11.872.259a:
ROSTAING de Posquières (now Vauvert, Gard), son of RAYMOND [II] Decanus &
his wife --- (-[1142/46]). The seigneurs d´Uzès et de Posquières are discussed in
Histoire Générale de Languedoc, Tome IV, according to which Rostaing de
Posquières was the brother of Faydide d´Uzès, wife of Alphonse Jourdain Comte de
Toulouse[170]. This has not been verified.
[170] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome IV, Notes, VI, pp. 313-5.
Fonts:
- persona: J-Louis Dega (Charvet), J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 1iii2011
- defunció: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006
- família: J-Louis Dega (Lionel d'Albiousse), J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 1iii2011
11.872.259c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006
11.872.259d:
RAYMOND (-[1170]). His parentage is confirmed by an epitaph at the church of
Psalmody which records the death in Aug 1138 of "Raimundus Decani dominus
Posqueriarum et Ucetiæ, pater episcoporum Raimundi Vivariensis, Raimundi
Ucetiensis et Alberti Nemausensis"[2010]. Bishop of Viviers.
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006, J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
11.872.259e:
RAYMOND (-13 Dec 1188). His parentage is confirmed by an epitaph at the church
of Psalmody which records the death in Aug 1138 of "Raimundus Decani dominus
Posqueriarum et Ucetiæ, pater episcoporum Raimundi Vivariensis, Raimundi
Ucetiensis et Alberti Nemausensis"[2011]. Bishop of Uzès.
-3559-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
11.872.260:
Philippe Ier de France[1], né en 1052, mort le 30 juillet 1108 au château de Melun
en Seine-et-Marne, fut roi des Francs de 1060 à 1108, quatrième de la dynastie
dite des Capétiens directs.
Il est le fils d'Henri Ier, roi de France, et d'Anne de Kiev (voir son ascendance sur
trois degrés).
Biographie
Prénom
Couronnement
Couronné à Reims le 23 mai 1059 du vivant de son père, Philippe Ier ne règne
seul qu’à partir de 1066, car son oncle, le comte de Flandre Baudouin V, assisté
de l’archevêque de Reims Gervais de Belleme ainsi que, dans un premier temps,
d'Anne de Kiev, exerce la régence de la mort d'Henri Ier en 1060 à 1066. Il sera
couronné plusieurs fois dans son règne, par exemple le 25 décembre 1071, par
l'évêque Élinand, en la cathédrale Notre-Dame de Laon[3],[4], comme le voulait la
coutume de son temps.
Règne
Sous son règne se dessinent les grandes lignes de la politique des souverains
capétiens du XIIe siècle : assurer une base réelle à la puissance royale en
consolidant le domaine, et abaisser ou contenir les trop puissants vassaux.
Mais pendant la plus grande partie de son règne, Philippe Ier lutte pour réduire la
puissance de son vassal le plus redoutable, Guillaume le Conquérant, duc de
-3560-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Normandie devenu roi d’Angleterre en 1066. Philippe trouve l’appui de Foulque
IV le Réchin, comte d'Anjou et de Robert le Frison, comte de Flandre qui se
sentent aussi menacés par ce trop puissant voisin. Afin de consolider son alliance
avec la Flandre, il épouse Berthe de Hollande (v. 1055-† 1094), fille de Florent Ier
comte de Hollande et de Gertrude de Saxe.
En février 1079, alors que le roi hiverne à Étampes, éclate une rébellion des
vassaux directs du roi, menée par Hugues Blavons, seigneur du Puiset[6]. Au
printemps l'armée royale est battue à plates coutures près du Puiset[7]. L'autorité
royale, profondément humiliée, ne sera restaurée dans le secteur qu'à la
génération suivante.
Dans les années qui suivent la mort de Guillaume le Conquérant, Philippe aide
Robert Courteheuse qui essaie de récupérer le trône d'Angleterre dont son frère,
Guillaume II le Roux, a hérité. Ce dernier tente, en représailles, de lui prendre le
Vexin dans les années 1097-1099, mais échoue au cours de trois campagnes
successives.
Philippe laisse le soin des opérations militaires dans le Vexin à son fils Louis VI[8]
qu'il a associé à la couronne vers 1098, 1099.
-3561-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
est alors définitivement scellée pour un siècle.
Décès
Le 30 juillet 1108, Philippe Ier meurt au château royal de Melun après quarante-
huit ans de règne (le troisième plus long règne de l'histoire de France après ceux
de Louis XIV (1643-1715) et Louis XV (1715-1774) qui ont tous les deux régné
plus de cinquante ans). Ne voulant pas, en raison de ses fautes, être enterré à
côté de ses ancêtres en la basilique de Saint-Denis, il a demandé à être inhumé
dans l'abbaye de Fleury à Saint-Benoît-sur-Loire. Son fils Louis VI que l'on
surnommera le Gros, âgé de vingt-sept ans, lui succède. Son épouse Bertrade de
Montfort, à trente-huit ans, prend le voile à l'abbaye de Fontevraud.
Source: Jean-Pierre de Palmas: in Étampes sous Louis VI le Gros, par Dom Basile Fleureau , 1668
Inhumation
Références
-3562-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
4. .↑ 2ecouronnement de Philippe Ier, page 66.. [archive]
5. .↑ Paul Joanne, Géographie du département du Cher [archive], 1906, p.
24
6. .↑ Tout cet épisode a récemment été mis en lumière par Bernard Gineste,
« Eustache de Saint-Père: Appel en justice devant le roi à Étampes (8
février 1079) », in Corpus Étampois [archive],(2007).
7. .↑ Le récit de cet épisode par Raoul Tortaire, vers 1114, a été édité et
traduit par Bernard Gineste dans le Corpus Etampois [archive] (2008)
8. .↑ Michel Parisse et Xavier Barral I Altet (médiéviste de renommée
internationale), Le roi de France et son royaume, autour de l'an Mil,
1987, p. 36
9. .↑ Bernard Gineste, citant Dom Basile Fleureau : Son mariage prétendu
avec Jean d'Etampes repose sur une confusion avec Eustachie, fille de
Ferry de Châtillon, fondatrice de l'abbaye d'Yerres Corpus Etampois
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 15iv2011; , J-M.Thiebaud (faire
coïncider lz date de naissance) 9 vii 2017
- defunció: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux)
- enterrament: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux)
11.872.261:
Fonts:
- persona: [w:JL.Mondanel]] (généalogie rois de France) 30 iii 2011
- naixement: [w:JL.Mondanel]] (généalogie rois de France) 30 iii 2011
- defunció: [w:JL.Mondanel]] (généalogie rois de France) 30 iii 2011
11.872.261a:
From 1111 Regent Dowager Princess Constance de France of Antiochia (Syria)
Widow of Bohemond I and regent for son Bohemond II. At some point she was
taken prisoner by Grimoald, Lord of Bary, until Pope Calixt II managed to have her
released in 1122.
-3563-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
second marriage, she remained with her husband in Apulia and never visited
Palestine[326]. She was regent for her son in Italy after the death of her second
husband[327]. She claimed the title "Queen" as daughter of the king of France. The
Romoaldi Annales record that "regina Constancia" was captured by "comite
Alexandro et Grimoaldo Barense in Umenatia civitate" and taken to Bari in Aug,
dated to 1119[328]. The Annales Ceccanenses record that "reginam Boamundi"
was freed from Bari in 1120, after the intercession of Pope Calixtus II[329].
m secondly (Chartres [25 Mar/26 May] 1106) BOHEMOND I, Prince of Antioch, son
of ROBERT “Guiscard” Duke of Apulia and Calabria [Sicily] & his first wife
Alberada di Buonalberga (1052-Canosa di Puglia, Apulia 6/7 Mar 1111, bur
Cathedral of Canosa di Puglia).
[320] Historia Regum Francorum Monasterii Sancti Dionysii 31, MGH SS IX, p.
405.
[321] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XX, p. 390.
[325] Nielen, M.-A. (ed.) (2003) Lignages d'Outremer (Paris), Le Vaticanus Latinus
4789, CCC.XXXIIII, p. 93.
-3564-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 vi 2017
- defunció: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 vi 2017
- família 1: E.Polti (d'après "La Capétiens" d'Yvan Gobry, chez Tallandier), J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 5 ii 2017
- casament 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 vi 2017
- família 2: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 24 vi 2017
11.872.261c:
Fonts:
- naixement: http://www.heraldica.org/topics/france/roygenea.htm
11.872.261d:
Fonts:
- naixement: http://www.heraldica.org/topics/france/roygenea.htm
11.872.261e:
Fonts:
- naixement: http://www.heraldica.org/topics/france/roygenea.htm
11.872.261-2c:
Extrait du site http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202
[103]= Historia Regum Francorum Monasterii Sancti Dionysii 31, MGH SS IX, p.
405.
Sa filiation est donnée par Guillaume de Tyr (William of Tyre), qui indique aussi ses
deux marriages [104].
JB de La Grandière 12/2/2015
D'après ce qu'indique fmj et ses sources on peut déduire que le prénom de Cécile
ne lui fût donnée qu'au moment de son mariage..
Cécile/Cécilia serait alors un surnom pour désigner une princesse promise à une
famille de Sicile.. Cécile (Capétiens) Cécilia pour "de Sicilia", "la Sicilienne" ?
Une Flandrine de Hauteville doit aussi honorer un parrainage venu de Flandre (son
aïeule Frédésende de Normandie devait être proche de Guillaume le Conquérant,
époux de Mathilde de Flandre : on ne peut trouver plus honorable "marrainage").
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015
- casament 1: du Cange dit 1104 mais fmj corrige : fin 1106
-3565-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202
- família 1: J-C de Vaugiraud (du Cange et G Rey: les familles d'outre-mer, 1869, P.
180-181) 19/09/2010
- família 2: F.Ripart (wikipedia/message sur le forum)
11.872.261-2d:
Fondatrice de l'abbaye de Hierre.
Fonts:
- persona: E. Driant (Belleval)
11.872.262:
Fonts:
- persona: L.Guion,JL.Mondanel (généalogie Savoie) 25 iii 2011
- naixement: F d'Avigneau (Hist & généal. des ducs de Savoie, Michel Démorest,
EGV)
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Savoie) 25 iii 2011
- enterrament: JL.Mondanel (généalogie Savoie) 25 iii 2011
11.872.263:
Fonts:
- família 2: L. Gustavsson
11.872.263b:
Abbé de Saint-Maurice
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (Hist & généal. des ducs de Savoie, Michel Démorest, EGV)
11.872.384:
N'est pas né en 1125
Fonts:
- família 1: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois)
11.872.385:
N'est pas née en 1125
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
- família 1: Emmanuel Arminjon
- família 2: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois)
11.872.385-2a:
Il quitte l'armée des croisés et va faire hommage du comté de Cahors au roi de
France.
Fonts:
- persona: D.Martres (Pierfit) 21.x.2008, JB.de La Grandiere (Jacques de
Roquemaurel : "A propos de la famille de Cardaillac", H&G n° 192, sept. 2009) 19
viii 2013
11.872.385-2b:
-3566-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: D.Martres (Pierfit) 21.x.2008, JB.de La Grandiere (Jacques de
Roquemaurel : "A propos de la famille de Cardaillac", H&G n° 192, sept. 2009) 19
viii 2013
11.872.385-1b:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.872.385-1c:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.872.385-1d:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.872.385-1e:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
- família: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.872.385-1f:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
- família: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.872.416:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Lois & Dave Stephens - Ancestry.com), JP Blaclard
- família: F-L. Jacquier (Lois & Dave Stephens - Ancestry.com), JP Blaclard
11.872.417:
MATHILDE du Perche (before 1100-27 May 1143, bur Arnaco). The Chronicon
Gaufredi Vosiensis records the marriage of "Guidonem", son of "Gerardus", and
"Matilde, matre Bosonis de Torena quæ Arnaco condita est"[3232]. In another
passage, the Chronicon Gaufredi Vosiensis records that "Raymundus" married
"Mathilde…soror Comitis de Pertico"[3233]. The Chronicon Gaufredi Vosiensis
records the death "V Kal Jun" of "Mathildis uxor quondam Raymundi de Torenna"
and her burial by "Guidone…Crassus viro suo filio Geraldi de Turribus" at "Arnaco",
recording that her son Boson was killed within one month of his mother's
death[3234]. The necrology of Saint-Martial records the death “IV Kal Jun” of
“Matheldis vicecomitissa”[3235]. It is not certain that this entry relates to Mathilde
du Perche Vicomtesse de Turenne, but no other vicomtesse of this name has yet
been identified in the Limousin area.
m firstly RAYMOND [I] Vicomte de Turenne, son of BOSON [I] Vicomte de Turenne
& his wife Gerberge ---. 1127.
m secondly GUY [IV] "le Gros" de Lastours, son of GERARD [I] de Lastours & his
wife Humberga --- (-Jerusalem [1147/49]).
-3567-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[3233] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 23, RHGF XII, p. 424.
[3235] Leroux, A., Molinier, E, and Thomas, A. (1883) Documents Historiques bas-
latins, provençaux et français concernant principalement La Marche et Le
Limousin (Limoges) ("Documents historiques Limousin bas-Latins (1883)”), Tome I,
Obituaire de Saint-Marciale, p. 72.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Lois & Dave Stephens - Ancestry.com), J-P.de Palmas
(FMG) 11 vi 2014
- família 1: F-L. Jacquier (Lois & Dave Stephens - Ancestry.com), JP Blaclard
- família 2: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005
11.872.417-2a:
Fonts:
- persona: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005
11.872.417-2b:
Fonts:
- persona: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005
-3568-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.872.418:
C’est vraisemblablement le moins connu des sires d’Anduze au point qu’il a parfois
été gommé des généalogies. Frère cadet de Raymond II, il nait vers 1100 et meurt
vers 1160.
Après le mariage en 1135 de Bérenger-Raimond, comte de Provence, et de Béatrix,
comtesse de Melgueil, un accord est signé entre les époux et Guilhem VI, seigneur
de Montpellier, oncle maternel de Béatrix, au sujet du comté de Melguiel. Bernard
de sauve en est un des témoins en présence de Raymond d'Anduze, son frère, et
quelques autres.
1
Lina Malbos le gratifie de trois fils auxquels on peut sans doute ajouter une fille :
Références
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) viii 2010
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.872.419:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.872.419c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.872.419d:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.872.432:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05, JB.de La Grandiere (René de Cosnac
: "La Maison de Malemort en Limousin", Brive 1955, -(compléments et..corrections-)
17 v 2014
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
11.872.433:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
-3569-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.872.436:
Date de naissance peu compatible avec les dates de ses frères et soeurs et de sa
mère
Fonts:
- persona: M.Rérolle (A.Auréjac, P.Déret) 10/11/06, C.Saint-Félix (C.Settipani
"Noblesse du midi") 10i2015
- família: M.Rérolle (A.Auréjac, P.Déret) 10/11/06
11.872.437:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (A.Auréjac, P.Déret) 10/11/06
- família: M.Rérolle (A.Auréjac, P.Déret) 10/11/06
11.872.437a:
Fonts:
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005
11.872.437c:
Il est regardé comme l'auteur de la branche de Hautefort-de-la-Rasoire, connue
dans la suite sous le nom des comtes de Vaudre et marquis de Bruzac.
Il est probable qu'il fut le premier de sa race à quitter le nom de "Lastours" pour
prendre celui de "Hautefort" qu'il transmit à sa postérité.
Fonts:
- persona: M.Rérolle (A.Auréjac, P.Déret) 10/11/06, S.Fourlinnie (Saint-Allais, page
159) 22/06/2013
- casament: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 162) 22/06/2013
-3570-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.872.437d:
ou Raymonde de Lastours.
Fonts:
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 30 xi 2004
11.872.438:
Armes des vicomtes de Limoges, d'après Guy Rovarino et Gilles de Blignières
(d'après le Nobiliaire du Limousin, de l'Abbé Nadaud, message sur le forum du 22
octobre 2011) :
A propos de Blanchefort
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
généralité de Limoges), J-P de Palmas (notes, La Chesnaye-Desbois p.327), J-
M.Thiebaud (généalogie Turiaday) 25 vii 2016
- defunció: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
généralité de Limoges)
- família: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
généralité de Limoges), Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains), J-M.Thiebaud
(généalogie Turiaday) 25 vii 2016
11.872.439:
HUMBERGE dite BRUNISSENT de Limoges . The Chronicon Gaufredi Vosiensis
names "filia Ademari Vicecomitis Lemovicensis, qui Cluniaco Monachus obiit, ex
baptismo Humberga, vulgo Brunicenda nominatur" as wife of "Archambaldus",
specifying that she was heiress to Limoges after the death of her two
brothers[616]. "Ademarus vicecomes Lemovicensis" donated property to Cluny by
charter dated 1138, subscribed by "Archimbaldus vicecomes et uxor eius, filia
predicti vicecomitis"[617]. "Archambaldus vicecomes" donated property to the
abbey of Vigeois for the soul of "patre suo Bernardo vicecomite" with the consent
of "sue uxore Brunissen" by charter dated to [1119/24][618]. "Ademarus
Lemovicensis vicecomes et…Archambaudus vicecomes de Comborn et …Brunicens
uxor eius et filia supradicti Ademari" donated property "in manso Motario" to
Notre-Dame de Dalon by charter dated to [1121/38][619].
-3571-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[616] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 25 and 41, RHGF XII, p. 425.
Fonts:
- persona: Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains), J-P.de Palmas (Charles
Cawley & FMG) 10 xi 2016
- família: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
généralité de Limoges), Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains), J-M.Thiebaud
(généalogie Turiaday) 25 vii 2016
11.872.439a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Delhoume et Christian Rémy in "Vicomtes et
vicomtés" d'Hélène Debax) 19x2014
11.872.439b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Delhoume et Christian Rémy in "Vicomtes et
vicomtés" d'Hélène Debax) 19x2014
11.872.457:
Fonts:
- família: A de Tocqueville geneanet papoo, J-P.de Palmas (Projet de généalogie
Mauvoisin, seigneur de Rosny, dans Mémoires de la Société Archéologique d'Eure
et Loir, tome XVII (1937-1942), à la fin du volume.) 24 xii 2011
11.872.457a:
Cité entre 1146 & 1198 ;
condamné en 1180 à une amende de 10 sous au fisc royal pour délit sur droits de
pêche à Mantes ? ;
paye encore 5 sous d’amende en 1198 pour une plainte contre lui au Bailli d’Auge.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie Mauvoisin, seigneur de Rosny, dans
Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942), à la
fin du volume.) 24 xii 2011
11.872.457c:
Manassé II, en 1195, fit don à l'oeuvre de l'église de "Notre-Dame de Chartres"
d'une rente perpétuelle de 60 sols sur ses revenus de Mantes, pour être convertie
en ressource ordinaire de la fabrique, lorsque l'édifice serait parachevé.
Manassé est qualifié « mira levitate» (guerrier très agile) par Guillaume le Breton.
C'est grâce à son énergie que Philippe-Auguste se décida à attaquer Richard-
Coeur-de-Lion et remporta une victoire signalée. Le chantre de la Philippide, en
célébrant les exploits de Manassé et de son frère, dit d'eux:
-3572-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
« Nulla quibus mors est ant captio curræ ». Ce généreux chevalier « sur la fin de sa
vie, en considération de ce qu'on ne peut être justifié que par ses oeuvres » , donna
à St-Germain-des-Prés, pour y fonder son anniversaire, soixante sols de rente qu'il
tenait en fief de son neveu Gui III Mauvoisin. Manassé était alors traité à St-
Germain, qui comme toutes les abbayes de ce temps, servait aussi d'hôpital. Il avait
avec lui ses deux sergents : Payen et Cointreaux. Pierre, son cadet, seul survivant
alors de ses frères, approuva ce don.
Manassé vivait encore en 1204. Il était mort en 1205, date à laquelle le roi donna à
Hugues Poulain la terre d'Avernes-en-Vexin et divers droits sur les cens de cette
paroisse et sur les coutumes de Mantes, dont Manassé avait joui. Ce dernier
trépassa le 17 octobre, et le nécrologe de Notre-Dame de Paris, dont il fut aussi le
bienfaiteur, le qualifie « nobilis genere et strenuus armis ».
Manassé, Pierre et leurs neveux Gui III Mauvoisin et Pierre de Richebourg furent
au nombre des cautions fournies au Roi en 1200 par Robert d'Ivry.
J. Depoin, Cartulaire de l'Abbaye de St-Martin de Pontoise, fascicule III, 1901
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (J. Depoin, Cartulaire de l'Abbaye de St-Martin de Pontoise,
fascicule III, 1901) 28 i 2012
11.872.457-2a:
Fonts:
- família: P Ract Madoux (site "Poirier-Valveri") 18 vi 2003
11.872.457-2b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
11.872.457-2c:
Pierre, que Philippe-Auguste appelle son chevalier, reçut de lui les terres des
Alluets, de Cergy, de Nonancourt (vers 1201), de Saint-André au diocèse d'Evreux
(en 1213). A cette date, il figure avec Guillaume III, un de ses neveux, comme
témoin d'un acte de Geofroi de Neaufle.
On sait quel brillant fait d'armes il accomplit, à la bataille de Bouvines, où
l'Empereur faillit demeurer son prisonnier (27 août 1214).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
11.872.457-2e:
Don 1206 à Saint-Antoine de Paris de 100 sous sur le péage de Mantes.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família 2: J-P de Palmas (Cressonsacq) ix2009
-3573-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.872.460:
Succéda à son frère Josselin II.
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h
- defunció: B.Yeurc'h (Dom Morice, du Paz)
- família: B.Yeurc'h
11.872.461:
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h
- família: B.Yeurc'h
11.872.461b:
vivant lan 1153. (B.Yeurc'h (Dom Morice))
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h
11.872.461c:
A fait la branche des comtes de La Zouche en Angleterre.
en Angleterre en 1172.
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (http://worldroots.com/brigitte/theroff/rohan.txt)
- família: B.Yeurc'h (http://worldroots.com/brigitte/theroff/rohan.txt), JB.de La
Grandiere ( Europäische Stammtafeln t X p.13 (vicomtes de Porhoët) Marburg 1986
) 26 x 2013
11.872.461d:
Nommé dasn un acte de l'an 1164. (B.Yeurc'h (Dom Morice))
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h
11.872.461e:
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h
11.872.462:
Dernier comte de Léon.
Guiomarch IV, vicomte en 1163, fut capturé par ruse avec son père Hervé par son
voisin le vicomte du Faou, assisté de son frère et de son fils.
En 1167, remet des otages et se soumet à Henri II Plantegenêt.
Le 16/05/1171, vint à Pontorson pour se soumettre à la justice du roi et lui livrer
ses châteaux.
En 1177, fait de nouveau soumission à Henri II.
En 1179, il se révolta encore car le fils d'Henri II, le duc Geoffroy, le soumit à son
autorité et démembra ses possessions dont il conserva la plus grande partie, ne
concédant de cette terre que 11 paroisses à Guiomarch, le fils aîné, et gardant
auprès de lui Hervé, le second fils. On ne lui laissa pour vivre que 2 paroisses en
attendant qu'il ne partit avec son épouse pour Jérusalem d’où ils ne reviendraient
-3574-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
peut-être pas.
IL fonda avec son épouse Nobilis une abbaye de chanoines réguliers à Daoulas"
B.Yeurc'h (GUILLOTEL, 1971)
"Guiomarch IV. du nom, comte de Léon, épousa Nobilis et mourut l'an 1179"
B.Yeurc'h (Dom MORICE, 1742-6)
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- naixement: B.Yeurc'h (http://perso.respublica.fr/christian.henri/ascendance.htm)
- defunció: C.Denancé (B.Yeurc'h:Kernevez&Morvan, 2002) 07.10.08
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)
11.872.463:
Elle est probablement issue des vicomtes du Faou, mais d’autres sources la
donnent pour être fille d’Eudes de Porhoët ou d’Henri de Penthièvre.Il est possible
également que Guyomarch ait eu deux épouses.
Fonts:
- persona: C.Denancé (G.Richard:généalogie des Vicomtes de Léon, (XIème, XIIème
et XIIIème siècles), par Patrick Kernévez et André-Yves Bourgès. Bulletin de la
Société Archéologique du Finistère 1997 tome CXXVI, p. 355-374) 29.10.08
- naixement: B.Yeurc'h (A.Aurejac)
- defunció: B.Yeurc'h (A.Aurejac)
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)
11.872.463a:
"Guiomarch V en 1185, partie et témoin dans l'assise au comte Geoffroy le
30/11/1186, assiégea avec son frère les châteaux de Morlaix et de Châteauneuf-du-
Faou qui leur furent remis par les gardiens, mais Henri II vint en Bretagne où il
assiégea et prit Morlaix en 1192, donna une maison sise à Lesneven au prieuré de
Locmaria de Quimper dépendant de l'abbaye de Saint-Sulpice-la-Forêt près de
Rennes en 1207, Jean, évêque de Saint-Pol-de-Léon, lui accorda, avec le
consentement de son chapitre, les église de Lesneven alors que ce même
Guiomarch [V] voulait les attribuer à une communauté avec les aumônes dont il
avait fait donation à ces églises, à savoir: les dîmes de Lesneven et le four de cette
ville, un fagot à prendre quotidiennement dans le bois voisin, deux parts des dîmes
des fèves, des pois et du lin à Plebesidui, le tiers de la dîme des pois, des fèves et
du lin à Plouneour et la métairie de Plebediner, appelée en langue bretonne
Lemelai. Ces donations sont à l'origine du prieuré de l'abbaye de Saint-Sulpice-la-
Forêt à Lesneven" B.Yeurc'h (GUILLOTEL, 1971) "Guiomarch V. du nom, comte de
Léon, épousa Margelie, et mourut l'an 1208" B.Yeurc'h (Dom MORICE, 1742-6)
"comte de Léon, prêta serment au jeune duc Arthur en 1196, assista aux Etats de
Vannes en 1203, comparut à l'ost de 1205 et périt en 1208" B.Yeurc'h (TORCHET,
2002)
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- defunció: C.Denancé (B.Yeurc'h:Deuffic 1978) 07.10.08
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)
11.872.463b:
Il fait la souche des "sires" de Léon et fait la branche des seigneurs de
Châteauneuf.
"Hervé le 30/11/1186, assiégea avec son frère les châteaux de Morlaix et de
Châteauneuf-du-Faou qui leur furent remis par les gardiens, mais Henri II vint en
Bretagne où il assiégea et prit Morlaix" B.Yeurc'h (GUILLOTEL, 1971).
-3575-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Hervé Ier, attesté en 1179.
En 1186, il confirme les donations faites par son père, Guyomarch, sa mère, Nobile,
son frère, Guyomarch, et lui-même à l'abbaye de Daoulas. Il s'agit notamment de la
paroisse du château de Daoulas et de dîmes, entre autres celles de Sizun.
En 1199, il est cité dans un controverse l'opposant à Guillaume, évêque de
Quimper, au sujet de la nomination d'un clerc à l'église de Crozon. Cet acte semble
démontrer qu'Hervé détient dès lors la seigneurie de Crozon qui lui aurait été
transmise lors du partage des domaines de la maison de Léon" B.Yeurc'h
(KERNEVEZ & MORVAN, 2002)
"Hervé a fait la branche des seigneurs de Châteauneuf Hervé, seigneur de
Châteauneuf, épousa Marguerite fille d'Alain III, vicomte de Rohan, et mourut l'an
1208" B.Yeurc'h (Dom MORICE, 1742-6)
"Hervé, fils puîné de Guyomarc'h, et de Nobilis, époux de Marguerite de Rohan,
+1208, père d'Hervé, croisé en 1218" B.Yeurc'h (POTIER de COURCY, 2000)
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (A.Aurejac), B.Yeurc'h (Dom Morice)
- defunció: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- casament: B.Yeurc'h (http://perso.respublica.fr/christian.henri/ascendance.htm)
- família: B.Yeurc'h (A.Aurejac), B.Yeurc'h (Dom Morice)
11.872.463c:
suivit Richard coeur de Lion en Terre Sainte et mourut au siège de St Jean d'Acre
en 1191.
"Adam, peut-être frère des précedents, participe, avec Rochard Coeur de Lion, à la
troisième croisade, où il meur lors du siège de Saint-Jean d'Acre, en 1191"
B.Yeurc'h (KERNEVEZ & MORVAN, 2002)
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
11.872.463d:
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- casament: C.Denancé (G.Richard:généalogie des Vicomtes de Léon, (XIème,
XIIème et XIIIème siècles), par Patrick Kernévez et André-Yves Bourgès. Bulletin de
la Société Archéologique du Finistère 1997 tome CXXVI,
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)
11.872.463e:
"La filiation avec ses parents reste à vérifier
En tout cas, elle est la soeur d'un Guyomarch de Léon" B.Yeurc'h (Aurejac)
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Aurejac)
- família: B.Yeurc'h (Aurejac)
11.872.496:
Fonts:
- persona: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque
- família: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque
11.872.497:
Fonts:
- persona: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque
-3576-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 1: H.R.Moser/EuSt-II/69
- família 2: M.Bacot- Nobiliaire de Languedoc - Louis La Roque
11.872.497b:
Fonts:
- família 1: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.872.497-1a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-II/69
11.872.832:
Cet Astorg se nomme Durand (premier du nom) et n'est pas le fils de Dauphine de
St-Cernin mais son beau-frère ! Je rétablis la filiation correcte jblg 16/9/2009
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05, JB.de La Grandiere (Jacques de
Roquemaurel :"Famille de Montal et d'Orlhac" Douillac 2004 ) 16 ix 2009
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
11.872.833:
Fonts:
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
11.872.866:
Dit "de Grignols" ou "Grainols"
Il avait été associé, dès l'an 1146, au gouvernement de Hélie IV, dit "Rudel", ainsi
qu'il est constaté par une charte de Pierre, évêque de Périgueux, où, sous cette
date, l'un et l'autre sont qualifiés "comtes de Périgord".
Comme Hélie Rudel ne laissa pas de postérité, Boson III hérita de la souveraineté
de Périgord et régna seul en 1155.
Boson III, dit de Grignols, fit bâtir à Périgueux, en 1158, une tour
extraordinairement élevée, dans la cour des Arènes, et la défendit vigoureusement
l'année suivante contre Henri II, Roi d'Angleterre.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 12) 13/06/2013
11.872.867:
Boson III avait épousé Ne, dite Comtoresse, titre qui la fait supposer veuve d'un
Comtor (nom d'une dignité noble de cette époque).
Brunichilde de Foix ?
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais, page 17 ) 15 vi 2013
11.872.867b:
-3577-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Guillaume Talleyrand qui épousa Mathilde dont le troubadour Bertrand de Born fut
épris.
Fonts:
- persona: Saint-Allais, page 17
- família: S.Fourlinnie ( Saint-Allais, page 17 ) 15/06/2013
11.872.867c:
Fonts:
- persona: Saint-Allais, page 17
11.872.867d:
Moine, puis 4e abbé (1181), de l'abbaye cistercienne de Notre-Dame de la Faize
(Les Artigues-de-Lussac - Gironde)
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais, p 17) 18/11/2012
11.872.867e:
Mentionné dans le Cartulaire de l'abbaye du Bugue
Fonts:
- persona: Saint-Allais, page 17
11.872.867f:
Mentionné dans le Cartulaire de l'abbaye du Bugue
Fonts:
- persona: Saint-Allais, page 17
11.872.868:
Humbert III ne suivit d'abord pas la même voie de salut que ses prédécesseurs ; sa
conduite fut d'une extrême licence ; mais bientôt touché de repentir, il passa en
terre sainte et entra dans l'ordre des Templiers. Sa femme Alix, fille du comte de
Savoie, sans le consentement de laquelle il avait pris ce parti, obtint du pape
Eugène III, par le crédit de l'archevêque de Lyon et de l'abbé de Cluny, qu'il fût
rendu à la vie séculière, sous la seule condition de faire une fondation pieuse.
Humbert revint alors de terre sainte et son retour fut un grand triomphe pour le
clergé. « Les brigands, dit à ce sujet Pierre le Vénérable, abbé de Cluny, les
pillards des biens de l'Église, des veuves et de tout le pauvre peuple qui était sans
défense, tremblèrent en le voyant reparaître. Il ne trompa l'attente ni des uns ni
des autres. Il atterra tellement le vicomte de Mâcon, ce loup qui, le matin, le soir et
la nuit ravageait nos terres, qu'il lui fut permis de dire avec Job : Je brisais les
mâchoires du méchant et j'arrachais la proie de ses dents. »
-3578-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Histoire de Beaujeu de Marius Audin & Histoire du
Rhône) xi2009,JL.Mondanel (généalogie Beaujeu) 6 iii 2011
- família: Aurejac
11.872.869:
Fonts:
- família: Aurejac
11.872.869b:
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon
11.872.876:
Guillaume VII, comte légitime d'Auvergne à la mort de son père Robert III, en
Palestine, vers 1147, fut dépossédé de ses biens par son oncle, connu sous le nom
de Guillaume VIII l'Ancien.
Après une longue querelle, le comté fut partagé et Guillaume VII rentra en
possession de Rochefort-Montagne, Pontgibaud, Herment, Saint-Germain-Lembron,
Champeix, de Vodable qui devint sa résidence, et surtout de Montferrand sa
capitale. Il est dit encore comte d'Auvergne en 1167 (Willelmus comes Arverniae et
filius ejus Delphinus, Baluze, II, 63), mais n'a jamais reçu le nom de dauphin, ni en
tant que surnom, ni en tant que titre nobiliaire.
Guillaume VII est le fils de Robert III. Son épouse est Marquise d'Albon (voir
Cartulaire de Chalais, donations du comte de Vienne, 1223). Il est le père de
Dauphin, origine de la lignée des dauphins d'Auvergne.
Bibliographie
Ce document provient de «
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_VII_d%27Auvergne ».
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)?, J-P de Palmas (wikipedia) ii2010
- família: H.deRiberolles(Remacle)16vi2003
11.872.877:
ATTENTION : sur une peu probable identité avec sa soeur Béatrix d'Albon et sur
son (ses) mariages(s), voir ci-dessous:
-3579-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Sources citées :
Béatrix" in Histoire et Généalogie, revue du CEGRA, n° 138, juin 2009, page 42)
pour affirmer l'identité entre Marquise et sa soeur Béatrix.
Jean Gueydan affirme que Béatrix n'a jamais existé. Selon lui, la mention de son
existence résulterait d'une erreur commise vers 1310 (dans la Vie de Marguerite
de Bourgogne, sa mère) et recopiée depuis, notamment par Chorier. Selon lui,
Marquise aurait épousé 1) Guillaume Le Jeune, comte d'Auvergne (+1169) et 2)
v.1180 Adémar de Poitiers-Valentinois (+ap. 1236). Or actuellement (20.06.2009)
les époux donnés à ces deux soeurs Marquise et Béatrix sont les pères de ceux
cités par Gueydan, ce qui se traduit notamment par des incohérences
chronologiques entre les deux versions. (S. Bontron, 06.2009 Incohérences
rectifiées car les deux sœurs (bien réelles) eurent deux maris différents et des
enfants bien distincts : l'incohérence provient de celui qui prétendait tuer Béatrix..!
JBLG 26/9/2014
Dans cette version Roglo "J-C de Vaugiraud a parfaitement entré Béatrix suivant un
article signé Edouard de Saint Phalle dans H & G n°152 pp 253/254 de septembre
1999 " Les premiers degrès des Poitiers-Valentinois"." (J-Baptiste de La Grandière,
forum 2009-06-20 09:45:18)
"Pour l'instant je pense qu'il vaut mieux laisser Marquise et Béatrix, d'autant plus
que "Ex vita Margaritæ Albonensis comitissæ", critiqué par Geydan, parle bien de
deux filles et non d'une seule" (Jean-Claude de Vaugiraud, forum 2009-06-20
11:53:53).
Dauphins d'Auvergne.
On sait que les Dauphins d'Auvergne se rattachent aux comtes d'Albon par une fille
de Guigue IV dit Dauphin, qui épousa un comte d'Auvergne. Cette alliance est
attestée par le chanoine Guillaume, auteur de la Vie de Marguerite de Bourgogne,
femme de Guigue Dauphin : « Cum ejus filie, dit-il, ad nubilem venis- sent etatem,
non absque sumptibus copiosis, alteram inclito et potenti viro Arvernensium comiti,
régis Francie consanguineo, alteram Valentinensium comiti, viro claris natalibus
orto, lege matrimonii copellavit1. »
Baluze a suffisamment prouvé que ce comte d'Auvergne était, non Robert III,
comme le disent Justel, Chorier et L'Art de vérifier les dates, mais Guillaume VII
(1145-1168), auquel le pape Alexandre III donnait précisément le titre de «
consanguineus régis Francorum » dans une lettre écrite à l'évêque de Clermont en
1165.
Sur le nom de la fille de Guigue IV Dauphin, qui épousa Guillaume VII, Baluze n'a
pas été aussi heureux.
Lire la suite
Fonts:
- persona: , JB.de La Grandiere (effacement d'une annotation de 2009) 5 xii 2011
- enterrament: Stéphane Bontron (Chevalier, Regeste dauphinois, n° 5412)
- família: H.deRiberolles(Remacle)16vi2003
11.872.880:
Fiche trouvée non signée le 28/10/2016.
Michel Smaniotto, excellent auteur qui "date un peu", a donné de bonnes bases
pour la famille de Pons dans Les sires de Pons des origines au XIV° siècle
(Bordeaux 1987).
J'en donne l'essentiel, le référence et le signe : JB de La Grandière 28/10/2016.
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Michel Smaniotto, Les sires de Pons des origines au
XIV° siècle (Bordeaux 1987) ) 28 x 2016
- família: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto, Les sires de Pons des origines au
XIV° siècle (Bordeaux 1987) 28 x 2016
11.872.881:
Seulement connue sous son prénom "Garmasie" par Michel Smaniotto(JBLG
28/10/2016 qui a trouvé cette fiche non signée).
Je ne sais quel document permet de dire que Garmasie/Gervaise soit une fille de la
famille de Craon.
Ne serait-elle pas d'une famille de Créon ??
JB de La Grandière 28/10/2016
JB de La Grandière 30/10/2016 :
Le rarissime prénom est "traduit" Garmasie par Michel Smaniotto (Les sires de
Pons..) et Germaise par Georges Musset (Chartrier de Pons, SAHSA, tome XXI, en
ligne ici -voir la note n°17, en fin d'ouvrage )
La rareté du prénom pourrait être due à une "importation" qui pourrait bien être
du côté des grecs sur le chemin des croisés.. (à étudier).
-3582-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (recherches sur le prénom, voir Notes) 30 x 2016
- família: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto, Les sires de Pons des origines au
XIV° siècle (Bordeaux 1987) 28 x 2016
11.872.881b:
croisé 1190
croisé 1218
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto, Les sires de Pons des origines au
XIV° siècle (Bordeaux 1987) 28 x 2016
11.872.881c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES XIV tableau 152 1991) 28 x 2016
11.872.881d:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto, Les sires de Pons des origines au
XIV° siècle (Bordeaux 1987) 28 x 2016
11.872.881e:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto, Les sires de Pons des origines au
XIV° siècle (Bordeaux 1987) 28 x 2016
11.872.881f:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto, Les sires de Pons des origines au
XIV° siècle (Bordeaux 1987) 28 x 2016
11.872.882:
Seigneur de Matha (Charente-Maritime), seigneur d'Usseau (Taizé-Aizie,
Charente)
Vivant en 1140 et 1190.
-3583-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
portaient " Losangé d'or et de gueules " et qu'ils brisaient d'azur au lieu
de gueules comme brisure de cadet.
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( ESS XIII p 128 sgrs de Matha 1990 ) 12 iv 2010, J-C
de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in Roccafortis,
2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010
- família: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010
11.872.883:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010
- família: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010
11.872.883a:
Source Jacques Duguet : "Un héritage de la famille de Matha" in Roccafortis, 2e
série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190
Note généalogique
Vue aérienne
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190) 13/04/2010
- defunció: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010
-3584-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: J-P de Palmas (Histoire de Touraine jusqu'à l'année 1790, par Jean Louis
Chalmel, tome III, Tours 1828) 23-ii-2009
11.872.883b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Famille de Matha" , 2003,
déposé par ses "ayant droit" aux archives de la bibliothèque municipale de
Bordeaux) 29 xii 2016
11.872.883c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Famille de Matha" , 2003,
déposé par ses "ayant droit" aux archives de la bibliothèque municipale de
Bordeaux) 29 xii 2016
11.872.883e:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Famille de Mornac" , 2003,
déposé par ses "ayant droit" aux archives de la bibliothèque municipale de
Bordeaux) 29 xii 2016
11.872.886:
[RAYMOND de Turenne (-after 1167). The primary source which confirms his
parentage has not yet been identified. However, his use of the title Vicomte de
Ribérac suggests that he inherited this from his supposed father Archambaud. In
addition, his daughter Raymonde named her second son Archambaud, which
suggests that descent from Archambaud de Turenne is likely. It is unlikely that this
Raymond was a younger brother of Boson [II] Vicomte de Turenne in view of the
donation made by the latter's two brothers-in-law after his death, in which a
surviving brother would presumably have been associated. Vicomte de Turenne et
de Ribérac. "Raemundus de Ribeirac vicecomes" donated property to Notre-Dame
de Chancelade, on the advice of "Rudelli comitis", by undated charter dated to
[1115/55][1188]. "Raimundus vicecomes de Torena et de Ribairac" donated
property to Notre-Dame de Chancelade, by undated charter dated to
[1143/68][1189]. "Raimundus vicecomes Turennensis…et…Talairans gener
prædicti vicecomitis" donated property in "mansum de las Treilas" to Notre-Dame
de Dalon by charter dated 1167[1190]. It appears unlikely that Raymond had any
surviving sons as the title Vicomte de Ribérac was later used by the second son of
his daughter Raymonde.
m ---. The name of Raymond's wife is not known. Raymond & his wife had one child.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
11.872.887:
-3585-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
11.872.888:
HUGUES [VIII] "le Brun" de Lusignan, son of HUGUES [VII] "le Brun" Sire de
Lusignan & his first wife --- (-[in Palestine after 1164]). "Hugo Brunus de Liziniaco"
recognised himself as the vassal of Saint-Maixent for the lands held from the abbey
with the consent of "uxore mea Sarracena et filiis meis Hugone et Guillelmo" by
charter dated 1106[862]. “Ugo Brunus de Liziniaco…filii mei Ugo de Liziniaco,
Willelmus de Englia, Rorgo, Simo de Lozaico, Walerannus” were forgiven for their
injustices against “ecclesiam S. Petri Pictavensis” (La Celle, outside Poitiers) by
charter dated 1144[863]. Sire de Lusignan. "Ugo de Liziniaco" renounced rights
over "terram…Ioarena" in favour of Nouaillé by undated charter, subscribed by
"…Burgundie uxoris sue, Ugonis filii sui, Roberti filii sui, Gaufredi filii sui, Petri filii
sui…"[864]. "Hugo Brunus comes Marchie", on leaving for Jerusalem, confirmed
the grant of rights to the abbey of Châtelliers made "in 1171" by "Hugo Lezenniaci
castelli" by charter dated 1218[865]. The original grant was more likely dated to
before 1163 as no other evidence has been found that Hugues [VIII] made a second
journey to Jerusalem in 1171. William of Tyre names him "Hugo de Liniziaco
senior…cognominatus Brunus" when he arrived on pilgrimage in Jerusalem in 1163
with "Gaufridus cognominatus Martel" brother of the Count of Angoulême[866].
William of Tyre records that he combined forces with Raymond III Count of Tripoli,
Konstantinos Kalamános, and Bohémond III Prince of Antioch to repel the attack by
Nur ed-Din on the castle of Krak in Sep 1163[867]. Hugues joined the same group
in Aug 1164 to relieve another attack on Harenc, but was captured in an ambush at
Artah, together with the other leaders, and taken bound to Aleppo[868]. A letter
from Aimery Patriarch of Antioch to Louis VII King of France, dated 1164, records
that "Hugo de Lesiniaco" was captured in the battle to capture
"castellum…Harenc"[869]. According to Edbury, he never regained his
freedom[870].
References
-3586-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[871] Absie, 151, p. 29.
[872] Painter ´The Lords of Lusignan´, p. 39.
[873] Nouaillé, 214, p. 332.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p. 293) 11/03/2010, J-P
de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25iv2011
- defunció: J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p. 293) 11/03/2010
- família 1: T. Denis (L. de Mas Latrie : Généalogie des rois de Chypre), J-P.de
Palmas (FMG) 21 x 2012
- família 2: J-P de Palmas (J-B de La Grandière citant: ESS III-4 taf 816 - Lusignan )
24iv2011
11.872.889:
BOURGOGNE de Rancon, daughter of GEOFFROY [III] de Rancon Sire de
Taillebourg & his wife --- (-after 11 Apr 1169). "Burgunna uxor Ugoni de Lezinan"
donated land "juxta Barra Marian" to Absie, with the consent of "Ugone marito suo
et Gaufrido de Rancone patre suo", by undated charter[846]. Painter states that
her marriage portion was the castle of Vouvant[847]. "Ugo de Liziniaco" renounced
rights over "terram…Ioarena" in favour of Nouaillé by undated charter, subscribed
by "…Burgundie uxoris sue, Ugonis filii sui, Roberti filii sui, Gaufredi filii sui, Petri
filii sui…"[848].
References
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25iv2011
- família: T. Denis (L. de Mas Latrie : Généalogie des rois de Chypre), J-P.de Palmas
(FMG) 21 x 2012
11.872.889b:
ROBERT de Lusignan . "Ugo de Liziniaco" renounced rights over "terram…Ioarena"
in favour of Nouaillé by undated charter, subscribed by "…Burgundie uxoris sue,
Ugonis filii sui, Roberti filii sui, Gaufredi filii sui, Petri filii sui…"[898].
[898] Nouaillé, 214, p. 332.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 21 x 2012
11.872.889c:
Geoffroy de Lusignan (1150 † 1224), comte de Jaffa et d'Ascalon (1186-1193),
seigneur de Vouvant et Mervent, de Montcontour et de Soubise, fils de Hugues VIII
le Vieux, seigneur de Lusignan et comte de la Marche, et de Bourgogne de Rançon.
Il vint en Terre Sainte et, lorsque son frère Guy devint roi de Jérusalem, reçut les
comté de Jaffa et d'Ascalon. Il combattit à la bataille de Hattin et fut fait prisonnier.
Il renonça à ses comtés lorsque son frère mourut et revint en Europe où, après
avoir épousé une riche héritière, devint seigneur de Vouvant, de Mervent, de
Montcontour et de Soubise.
-3587-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Il avait épousé :
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 25iv2011
- família 1: Philippe Renaud (13 xi 2006) (Sources: Généalogie de Carné), G.Hazard
(Anselme) 07/2010, J-P de Palmas (JBdLG citant: Beauchet-Filleau t VI fasc.6 et ESS
III-4 taf 816 - Lusignan) 24iv2011
- família 2: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie et de la Maison de
Chabot et de Rohan--Chabot - 1996)05.09.2015
11.872.889d:
Fonts:
- persona: o guionneau/H&G 98-356, T. Denis (L. de Mas Latrie : Généalogie des
rois de Chypre)
- naixement: C-H.Maigret (Base Anaïs Priou) 21 ii 2012
11.872.889e:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson, T. Denis (L. de Mas Latrie : Généalogie des rois de
Chypre)
- casament: O.Guionneau (wikipedia; 6 VII 09)
11.872.889f:
PIERRE de Lusignan (-after Dec 1174). "Ugo de Liziniaco" renounced rights over
"terram…Ioarena" in favour of Nouaillé by undated charter, subscribed by
"…Burgundie uxoris sue, Ugonis filii sui, Roberti filii sui, Gaufredi filii sui, Petri filii
sui…"[911]. "…Petrus de Lezignan…" subscribed a charter dated Dec 1174 under
which Raymond Count of Tripoli donated property to the Knights Hospitallers[912],
although it is not certain that this refers to Pierre son of Hugues [VIII] de
Lusignan.
References
[911] Nouaillé, 214, p. 332.
[912] Röhricht 519, p. 138
Fonts:
- persona: T. Denis (L. de Mas Latrie : Généalogie des rois de Chypre), J-P de
Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25iv2011
11.872.889g:
GUILLAUME de Lusignan (-before Sep 1208). Guy King of Jerusalem confirmed the
marriage agreement between "comitem Joscelinum senescalcum primogenitam
filiam suam" and "Guillelmo de Valence, frater regis", by charter dated 21 Oct
1186, which specifies that her dowry was "Torono, Castro novo…Cabor"[942].
Seigneur de Valence.
m (after 21 Oct 1186) as her first husband, BEATRICE de Courtenay Lady of Toron
(part), Castro Novo and Cabor, daughter of JOSCELIN [III] de Courtenay Count of
Edessa & his wife Agnes de Milly ([1176]-after 1245). The Lignages d'Outremer
-3588-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
name (in order) "Biatris et Annés" as the two daughters of "dou conte Jocelin" & his
wife, specifying that Beatrix married "un conte aleman maugré le rei Heymeri" and
died without heirs[943]. Guy King of Jerusalem confirmed the marriage agreement
between "comitem Joscelinum senescalcum primogenitam filiam suam" and
"Guillelmo de Valence, frater regis", by charter dated 21 Oct 1186, which specifies
that her dowry was "Torono, Castro novo…Cabor"[944].
She married secondly (before Sep 1208) Otto Graf von Henneberg und
Rotenlauben. "Otto comes (de Henneberg)" donated property to the Teutonic
Knights at Acre, with the consent of "uxoris Beatricis, filiæ quondam comitis
Joscelini", by charter dated Sep 1208[945].
References
[942] Röhricht 655, p. 174.
[943] Nielen, M.-A. (ed.) (2003) Lignages d'Outremer (Paris), Marciana Ms
Francese 20, CC.LXXXXIII, p. 69.
[944] Röhricht 655, p. 174.
[945] Röhricht 828, p. 222.
Fonts:
- persona: T. Denis (L. de Mas Latrie : Généalogie des rois de Chypre), J-P de
Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25iv2011
- família: J-P de Palmas (J-B de La Grandière citant: The Rupenides Hethumides and
Lusignans Gulbenkian Foundation, et ESS III-4 taf. 629 Courtenay) 24iv2011
11.872.890:
Armes des vicomtes de Limoges, d'après Guy Rovarino et Gilles de Blignières
(d'après le Nobiliaire du Limousin, de l'Abbé Nadaud, message sur le forum du 22
octobre 2011) :
11.872.891:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (généalogie Turiaday) 25 vii 2016
- família: J-M.Thiebaud (généalogie Turiaday) 25 vii 2016
11.872.894:
en 1132 vainc Geoffroi III comte de Vendôme ; détruit Châteaurenault mais est
vaincu par Thibaut de Blois qui rase Chaumont
Fonts:
- persona: A.Guerin (http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Amboise.pdf) 15xi15 ; B
de La Grandière (ESS XIII p 1 Amboise Marburg 1990) 14 xii 2009, G Marsan (site
Gros Jolivalt),
- defunció: JB de La Grandière (ESS XIII p 1 Amboise Marburg 1990) 14 xii 2009
- família: G Marsan (site Gros Jolivalt)
11.872.895:
-3589-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: G.Marsan (Héraldique.&.Généalogie n 91.108)
- naixement: G Marsan (site Gros Jolivalt)
- defunció: G Marsan (site Gros Jolivalt)
- família: G Marsan (site Gros Jolivalt)
11.872.895a:
Fonts:
- persona: A.Guerin (http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Amboise.pdf) 15xi15
11.872.895b:
La Roque nomme l'épouse de Guillaume d'Harcourt, sans lui donner de parents :
"Et suivant le Martyrologe de l'Abbaye de La Croix Sainct Leuffroy datté du mois
de juillet, sans autre datte : sa femme est appelée HUE & qualifiée dame de
Harcourt, dont Monsieur d'Auzole de La Peyre, & l'Autheur d'une Genealogie qui
est à Rouen en la Bibliothèque de Mr Bigot-Soumesnil, Conseiller du Roy en sa
Cour des Aydes de Normandie, ont remarqué le surnom qui est d'AMBOISE" (I, p.
307). Le Père Anselme (t. V, chap VIII) se contente de reprendre La Roque. Le site
Medieval Lands considère incertaines les alliances des premières générations de la
maison d'Harcourt. Par ailleurs, la généalogie que cette même source propose de
la famille d'Amboise n'inclut aucune personne pouvant correspondre à Hue
d'Amboise. La filiation de celle-ci, voire son existence même, pourrait donc être
sujette à caution. [S. Jahan 23 ix 2015]
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie d'Amboise) 25 iii 2011, S. Jahan (Note La Roque
Medlands 23 ix 2015)
- naixement: G Marsan (site Gros Jolivalt)
- família: L.B. de Rougé (Descendance de Dominique Richard de Clevant)
11.872.896:
Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille (Gard), près d'Anduze.
Fonts:
- família: G.Hazard (Mémoires Académie Sciences & Lettres Montpellier) i2008
11.872.897:
Fonts:
- família: G.Hazard (Mémoires Académie Sciences & Lettres Montpellier) i2008
11.873.344:
Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.345:
Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.345a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/García
11.873.345c:
-3590-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: Luís Soveral Varella (V.Diego Carro «La Noble Familia de Guzman»)
- família: Luís Soveral Varella (V. Diego Carro « La Noble Familia de Guzmán»)
11.873.345d:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.346:
D. Pedro Froilaz se dio a sí mismo el título de conde de Galicia, y figura en la
Historia Compostelana (1116) como «Imperator in orbe Gallaeciae». En 1109 se
ocupó de la crianza de Alfonso Raimúndez, luego Alfonso VII de Galicia y León. Él y
el arzobispo Gelmírez fueron los que lo proclamaron y coronaron rey en
Compostela el año 1111.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.347:
O casamento de D. Pedro Froilaz com esta D. Mayor ou D. Urraca não o tenho
ainda documentado. Pizarro (Linhagens Medievais Portuguesas) chama N. de
Valladolid à mulher de D. Pedro.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.347a:
A 5.4.1137 D. Vermudo Pérez e a súa muller D. Urraca Enríquez restauran o
mosteiro de S. Cristovo de Arzón, marcan os seus límites e entréganlle gando e
diñeiro para edifica-la igrexa e o convento. O mosteiro fundárao o bisavó de D.
Vermudo e quedara despois despoboado ata unha segunda fundación, feita polo
conde D. Pedro, avó de D. Vermudo. Fúndase, pois, de novo, ordénase que se siga a
regra de S. Bieito e ponse toda a fundación baixo a vixilancia do abade de Toxos
Outos («Os documentos do tombo de Toxos Outos», 2004, Francisco Javier Pérez
Rodríguez).
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.347b:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.347c:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.347d:
-3591-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
2.12.1154. Ea que donantur, et cetera. Quod circa ego comes domnus Fernandus,
comitis domni Petri et domne Vrrace filius, simul cum uxore mea comitissa domna
Sancia Gundisaluiz et cum filiis et filiabus nostris et cum omni uoce nostra grata
uoluntate, et cetera, facimus cartam testamenti et donacionis Deo Patri
omnipotentis et beate Marie semper uirginis et monasterio Sancti Justi de Togis
Altis et uobis patri et abbati domno Pelagio et omnibus monachis, et cetera, de
nostris hereditatibus quas in iuri nostro usque hodie pacifico possidemus. Scilicet
in territorio Pistomarchos sub aula Sancte Christine de Nogia, in primis
hereditatem de villa Geluir quam ganaui de Cresconio Petriz, presbitero, integram,
et quarta integra de villa Ponte de Jusana quam ganauit Froyla Marinus, et totam
hereditatem de Barrio dicta Leston quam ganaui de Petro Arias et de sua uxore
Marina Petri ubi sedet Ueremudus, seruicialis. Et de ecclesia Sancti Petri de Taliar
mediam VIIIam integram cum hereditatibus et p<r>estracionibus suis omnibus
que est diuisa de illa IIIIa de Oduario Martini qui eam ganauit cum ipsa Ardio
Affonso, uxore sua. Similiter in ipsa ecclesia de Talar damus uobis totam nostram
directuram tam de auolencia quam etiam de ganancia uel quam etiam habemus in
placia certa per ubicumque easinuenire potueritis tam infra terminos quam extra
cum tota sua uoce. Et similiter totam nostram porcionem de ecclesia Sancti
Mametis cum omnibus suis directuris. Damus etiam uobis totam hereditatem de
Guyna Aras in villa Monimenta cum sua populacione. Item similiter totam
hereditatem que fuit de Cide in villa Lausame et in villa Curuido ubi dicunt Berufi
IIIa et IIIIa et VIa de tota ipsa Villa Franca cum tota sua uoce intus et foris cum IIIa
integra de Margido, et est tres quartas integras de medietate de prado. Item in
territorio de Nemancos damus uobis vnum kasalem bene populatum quale uiderit
uxor mea et Alfonsus Anayaz et abbas Petrus Antealtarium uobis congruentem.
Item in territorio Ameia damus uobis illam hereditatem quam ganauimus de Arias
Guntadiz in villa Pausada sub aula Sancti Thome de Oliames. Has omnes
hereditates uobis damus et confirmamus cum totis bonis suis, et cetera. // Set si
aliquis homo de nostra parte uel de extranea contra hoc uenerit sit maledictus et
insuper duos mille solidos pariat; donacionibus istis in suo robore permanentibus.
Facta carta testamenti in era Ia Ca LXLa IIa, die IIIIo nonas decenbris. Ego comes,
et cetera. Q. p. f.: Petrus, ts. Johannes, ts. Pelagius, ts. Munio, ts. Martinus, ts.
Alfonsus Anaiaz, conf. Gundisaluus Afonso, conf. Fernandus Suariz, conf. Froyla
Fernandiz, conf. Petrus Arias de Saltu, conf. Magister Tudinus, conf. Martin
Brandonias, conf. Sanio Saluatoris, conf. Johannes Abbas, canonicus, conf. Petrus,
Antaltaria abbas, conf. Petrus, prior sarensis, conf. Johannes, presbiter, qui notuit
et conf. Pelagius, Dei gratia compostellanus archiepiscopus.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.347f:
Sem geração.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.348:
Le 8 août 1074, Pierre Béranger, évêque de Rodez, fait une donation à l'abbaye de
Fontfroide, avec Aymeric et Béranger, ses neveux.
-3592-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Liste des Archevêques de Narbonne et wikipedia) ii-2009,
JB.de La Grandiere (JB.de La Grandiere : Jacqueline Caille,"Medieval Narbonne: A
City at the Heart of the Troubadour World", 2005) 24 viii 2012
- naixement: JB.de La Grandiere : Jacqueline Caille,"Medieval Narbonne: A City at
the Heart of the Troubadour World", 2005
- casament: JB de La Grandière : Thierry Stasser "Où sont les femmes?"
Prosopographica et Genealogica Oxford 2005
- família: J-P de Palmas (Liste des Archevêques de Narbonne et wikipedia) ii-2009
11.873.352:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-II/56
11.873.353:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-II/56
11.873.353b:
Señor de Erro y Tafalla. He fought with Sancho King of Aragon and al-Hayab Emir
of Denia against Rodrigo Díaz "el Cid" in 1084 but was taken prisoner [Historia
Roderici]. "Sancius comes de Erro" was the first witness to the charter dated 28
Oct [1087] under which "Sancius rex Pampilonensium et Aragonensium…cum filio
meo Petro" confirmed the rights of the bishop of Pamplona to the town of
Pamplona [Pamplona 46]. A charter dated Sep 1091, under which
"Sancius…Aragonensium rex" granted property, names "…alius comes Sancio
Sangiz in Erro et in Falzes…" in the dating clause [Lacarra, J. M. 'Documentos para
la reconquista del valle del Ebro']. "Domina Sancia de Huarte" donated property to
the church of Santa María de Pamplona by charter dated [1100] "regnante…comes
Santius in Erro et in Tafalia, senior Semeno Fortuniones in Huarte, senior Eneco
Beylaz in Echauri" [Pamplona 83]. "Urraca…tocius Ispanie regina" confirmed rights
of the monastery of San Millán de la Cogolla by charter dated Aug 1110, confirmed
by "…Sancius comes Pampilonensis…" [San Millán de la Cogolla II]. "Comite
Sancio" confirmed the donation to the monastery of San Millán de la Cogolla by
"mea germana domna Sancia" by charter dated 1110 [San Millán de la Cogolla II].
"Comes Santius [de Erro]" donated property to Santa María de Pamplona for the
soul of "patris et matris mee et sororis Sancie" by charter dated to [1127] which
confirms that he had no male child by his wife but names "filiorum meorum
aliquis…vel Egidius vel Raimirus vel Didaco Lopeys" and "Egidius filius meus cum
sorore sua" [Pamplona 161].
http://fmg.ac/Projects/MedLands/NAVARRE.htm
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.354:
Rodrigo Díaz (Vivar del Cid, Burgos, c. 1041-1054 – Valencia, 1099) fue un
caballero castellano que llegó a dominar al frente de su propia mesnada el Levante
de la Península Ibérica a finales del siglo XI de forma autónoma respecto de la
autoridad de rey alguno. Consiguió conquistar Valencia y estableció en esta ciudad
un señorío independiente desde el 15 de junio de 1094 hasta su muerte. Se trata de
una figura histórica y legendaria de la Reconquista, cuya vida inspiró el más
importante cantar de gesta de la literatura española, el Cantar de mio Cid. Ha
pasado a la posteridad como El Campeador o El Cid (del árabe dialectal س يدsīdi,
'señor'). Por el apelativo «Campeador» fue conocido en vida, pues se atestigua en
documentos desde 1098; el sobrenombre de «Cid», aunque se conjetura que
-3593-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
pudieron usarlo sus coetáneos zaragozanos o valencianos, aparece por vez primera
en el Poema de Almería, compuesto entre 1147 y 1149. Rodrigo Díaz nació a
mediados del siglo XI; según distintas propuestas, entre 1041 y 1054, aunque
actualmente cuenta con más partidarios una fecha que estaría situada entre 1045 y
1050. Su lugar de nacimiento está firmemente señalado por la tradición en Vivar
del Cid, a 10 km de Burgos, aunque se carece de fuentes coetáneas a su vida que lo
corroboren y la asociación de Vivar con el Cid se documenta por vez primera en el
Cantar de mio Cid. Era hijo de Diego Laínez, infanzón «capitán de frontera» en las
luchas entre navarros y castellanos en la línea de Ubierna (Atapuerca), o de Diego
Flaínez, en cuyo caso se trataría de un descendiente de una ilustre familia leonesa,
los Flaínez. De su madre se conoce el apellido, Rodríguez (más inseguro es su
nombre, que podría ser María, Sancha o Teresa), hija de Rodrigo Álvarez de
Asturias, de una de las familias nobles del condado de Castilla. Según la Historia
Roderici, su abuelo por vía paterna era Laín Núñez, quien aparece como testigo en
documentos expedidos por el Rey Fernando I de León y Castilla, a su vez
descendiente de Laín Calvo, uno de los míticos Jueces de Castilla. Sin embargo, la
genealogía de la Historia Roderici parece encaminada a buscarle parentesco con
los legendarios Jueces de Castilla. Según Margarita Torre o Alberto Montaner
Frutos, su abuelo sería Flaín Muñoz, un conde de León que vivió en torno al año
1000. Francisco Javier Peña Pérez resume el estado de la cuestión en una
monografía de 2009. Todas las interpretaciones parten de la genealogía de la
Historia Roderici, y el propio autor de la biografía latina da su linaje con poca
convicción utilizando la expresión «El origen de Rodrigo parece ser (esse videtur)».
Además los ancestros paternos que allí aparecen no están documentados en
diplomas de la época, excepto su padre, Diego Laínez, de forma esporádica.
Menéndez Pidal, en su monumental La España del Cid (1929), en una línea de
pensamiento neotradicionalista que se basa en la veracidad intrínseca de la
literatura folclórica de cantares de gesta y romances, buscó a un Cid castellano y
de humildes orígenes dentro de los infanzones, lo que cuadraba con su
pensamiento de que el Cantar de mio Cid contenía una esencial historicidad. El
poeta del Cantar diseña a su héroe como un castellano de baja hidalguía que
asciende en la escala social hasta emparentar con monarquías, en oposición
constante a los arraigados intereses de la nobleza terrateniente de León. Esta tesis
tradicionalista es seguida también por Gonzalo Martínez Diez, quien ve en el padre
del Cid a un «capitán de frontera» de poco relieve cuando señala «La ausencia
total de Diego Laínez en todos los documentos otorgados por el rey Fernando I nos
confirma que el infanzón de Vivar no figuró en ningún momento entre los primeros
magnates del reino». Sin embargo, esta visión se conjuga mal con la calificación de
la Historia Roderici, que habla de Rodrigo Díaz como «varón ilustrísimo», es decir,
perteneciente a la aristocracia; en el mismo sentido se pronuncia el Carmen
Campidoctoris, que lo hace «Nobiliori de genere ortus» (Descendiente del más
noble linaje). Por otro lado, recientes estudios han desvelado que el patrimonio que
Rodrigo heredó de su padre era extenso, e incluía propiedades en numerosas
localidades de la comarca, lo que solo era dado a un miembro de la alta nobleza. El
apellido materno, asimismo, era de antiguo abolengo. Dado este panorama, Peña
Pérez (2009) concluye: () nada nos impide pensar () que la genealogía de Rodrigo
no sea más que un artificio literario, utilizado por sus primeros cronistas,
vinculados a la corte navarra, para dar brillo genealógico al que, desde mediados
del siglo XII, se estaba conformando como un icono legitimador de la dinastía de
Sancho Ramírez el Restaurador () las recientes investigaciones sobre el patrimonio
material de Rodrigo y el ascendiente familiar de su madre permiten concluir que en
ningún modo estamos autorizados a calificar socialmente a Rodrigo como un mero
infanzón; más bien al contrario, todo apunta hacia la necesidad de proceder a una
recalificación de su perfil nobiliario, en cuyas filas más encumbradas se instalaría
desde niño gracias a la herencia de su padre y al apellido de su madre. (Francisco
Javier Peña Pérez, 2009, pág. 39).
En 1058, siendo muy joven, entró en el servicio de la corte del rey Fernando I de
-3594-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
León y Castilla, como doncel o paje del príncipe Sancho, formando parte de su
séquito. Este temprano ingreso en la cancillería real de Fernando I es otro indicio
que lleva a pensar que no era el muchacho Rodrigo Díaz un humilde infanzón,
aunque su estatus en la alta nobleza lo debió tener «en calidad de recién llegado»,
y no como perteneciente a una raigambre de larga prosapia. En definitiva, el mito
del infanzón humilde del Cid parece más bien un intento de acomodar el carácter
del personaje legendario del Cantar de mio Cid al Rodrigo Díaz histórico para
aumentar la heroicidad del protagonista, caracterizado como un castellano viejo
pero de condición baja, y por tanto, en la necesidad original de Menéndez Pidal de
no vincular en modo alguno a Rodrigo Díaz con una familia de alto linaje, como lo
podía ser la figura mitificada de Laín Calvo. Rodrigo Díaz, muy joven, entró al
servicio del infante Sancho, futuro Sancho II de Castilla. En su séquito fue
instruido tanto en el manejo de las armas como en sus primeras letras, pues está
documentado que sabía leer y escribir. Existe un diploma de dotación a la Catedral
de Valencia de 1098 que Rodrigo suscribe con la fórmula autógrafa «Ego Ruderico,
simul cum coniuge mea, afirmo oc quod superius scriptum est» (Yo Rodrigo, junto
con mi esposa, suscribo lo que está arriba escrito). Tuvo, asimismo, conocimientos
legales, pues intervino a instancias regias en dos ocasiones para dirimir
contenciosos jurídicos, aunque quizá en el ambiente de la corte un noble de la
posición de Rodrigo Díaz pudiera estar oralmente lo suficientemente familiarizado
con las disputas legales como para ser convocado en este tipo de procesos. Fue
investido caballero, con toda probabilidad por Sancho II, a mediados de la década
de 1060; según Martínez Diez en 1066 o 1067, antes de la Guerra de los tres
Sanchos. Desde el acceso al trono de Castilla de Sancho II los últimos días del año
1065 hasta la muerte de Sancho en 1072, el Cid gozó del favor del rey, como
magnate de su séquito, en calidad de armiger regis, cuya función en el siglo XI era
similar a la de un escudero, y sus atribuciones no eran todavía las del alférez real
descrito en Las Partidas en el siglo XIII. El cargo de alférez a lo largo del siglo XII
iría asumiendo la responsabilidad de portar la enseña real a caballo y ser jefe de la
mesnada del rey. Durante el reinado de Sancho II de Castilla, esta alferecía del
armiger era encomendada a caballeros jóvenes que se iniciaban en las funciones
palatinas.
Acompañó a Sancho en la guerra que este sostuvo contra su hermano Alfonso VI,
rey de León, y con su hermano García, rey de Galicia. Los tres hermanos se
disputaban la primacía sobre el reino dividido tras la muerte del padre y luchaban
por reunificarlo. Rodrigo comenzó a desempeñar un papel notable como caballero
guerrero, sobre todo en las victorias castellanas de Llantada (1068) y Golpejera
(1072). Tras esta última, Alfonso VI fue capturado y Sancho se adueñó de León y, a
continuación, de Galicia, convirtiéndose en Sancho II de León. Es en estas batallas
cuando, probablemente, ganara el sobrenombre de «campeador», es decir,
batallador en lides campales. Parte de la nobleza leonesa se sublevó y se hizo
fuerte en Zamora, bajo el amparo de la infanta doña Urraca, hermana de los
anteriores. Sancho II, con la ayuda de Rodrigo Díaz, sitió la ciudad, pero murió
asesinado —según cuenta una extendida tradición— por el noble zamorano Bellido
Dolfos, si bien la Historia Roderici no recoge que la muerte fuera por traición. El
episodio del Cerco de Zamora es uno de los pasajes que más recreaciones ha
sufrido por parte de cantares de gesta, crónicas y romances, por lo que la
información histórica acerca de este episodio es muy difícil de separar de la
legendaria.
Sin descartar del todo la posible influencia de cortesanos opuestos a Rodrigo Díaz
en la decisión, una incursión del castellano contra el territorio de Al-Qádir, el
régulo títere de Toledo protegido de Alfonso, ocasionó que le fuera aplicada la
figura jurídica de la «ira regia», que conllevaba el destierro y la ruptura de la
relación de vasallaje.
A finales de 1080 o principios de 1081, Díaz de Vivar tuvo que marchar en busca de
magnate al que prestar su experiencia militar. Es muy posible que inicialmente
buscara el amparo de los hermanos Ramón Berenguer II y Berenguer Ramón II,
condes de Barcelona, pero rechazaron su patrocinio. El Campeador, entonces,
ofreció sus servicios a reyes de taifas, lo que no era infrecuente, pues el propio
Alfonso VI había sido acogido por Al-Mamún de Toledo en 1072 durante su
ostracismo.
Junto con sus vasallos o «mesnada» se estableció desde 1081 hasta 1085 como
guerrero al amparo del rey de Zaragoza, Al-Muqtadir, que ese mismo año enfermó
gravemente y fue sucedido por Al-Mutamán. Este encomendó al Cid en 1082 una
ofensiva contra su hermano el gobernador de Lérida Mundir, el cual, aliado con el
conde Berenguer Ramón II de Barcelona y el rey de Aragón Sancho Ramírez, no
acató el poder de Zaragoza a la muerte del padre de ambos Al-Muqtadir,
desatándose las hostilidades fratricidas entre los dos reyes hudíes del Valle del
Ebro. La mesnada del Cid reforzó las plazas fuertes de Monzón y Tamarite y
derrotó a la coalición, ya con el apoyo del grueso del ejército taifal de Zaragoza, en
la batalla de Almenar, donde fue hecho prisionero el conde Ramón Berenguer II.
Pudo originar el apoteósico recibimiento de los musulmanes de Zaragoza al Cid al
grito de «sīdī» ('mi señor' en árabe andalusí, a su vez proveniente del árabe clásico
sayyid) el apelativo romanceado de «mio Çid». En 1084 el Cid desempeñaba una
misión en el sureste de la taifa zaragozana, atacando Morella. Al-Mundir, señor de
Lérida, Tortosa y Denia, vio en peligro sus tierras y recurrió de nuevo a Sancho
Ramírez, que le atacó el 14 de agosto de 1084 en la batalla de Olocau del Rey. De
nuevo el castellano se alzó con la victoria, reteniendo a dieciséis nobles
aragoneses, que al fin liberó tras cobrar su rescate. El 25 de mayo de 1085 Alfonso
VI conquista la taifa de Toledo y en 1086 inicia el asedio a Zaragoza, ya con Al-
-3596-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Musta'in II en el trono de esta taifa, quien también tuvo a Rodrigo a su servicio.
Pero a comienzos de agosto de ese año un ejército almorávide avanzó hacia el
interior del reino de León, adonde Alfonso se vio obligado a interceptarlo, con
resultado de derrota cristiana en la batalla de Sagrajas. Es posible que durante el
cerco a Zaragoza Alfonso se reconciliara con El Cid. En cualquier caso, tras la
derrota del rey Alfonso es patente que Rodrigo había sido rehabilitado, puesto que
al de Vivar se le encargó la defensa de la zona levantina y se le concedieron varios
dominios en tenencia en Castilla: Dueñas, San Esteban de Gormaz, Langa de Duero
y Briviesca. La llegada de los almorávides, que observaban más estrictamente el
cumplimiento de la ley islámica, hacía difícil para el rey taifa de Zaragoza
mantener a un jefe del ejército y mesnada castellanos. Por otro lado, Alfonso VI
pudo condonar la pena a Rodrigo ante la necesidad que tenía de valiosos caudillos
con que enfrentar el nuevo poder de origen norteafricano. Rodrigo acompaña a la
corte del rey de León y Castilla en la primera mitad de 1087, y en verano se dirigió
hacia Zaragoza, donde se reunió de nuevo con Al-Musta'in II y, juntos, tomaron la
ruta de Valencia para socorrer al rey-títere Al-Qadir del acoso de Al-Mundir (rey de
Lérida entre 1082 y 1090), que se había aliado con Berenguer Ramón II de
Barcelona para conquistar la rica taifa valenciana, en esta época un protectorado
de Alfonso VI. El Cid logró repeler la incursión de Al-Mundir de Lérida, pero poco
después, el rey de la taifa leridana tomaba la importante plaza fortificada de
Murviedro (actual Sagunto), acosando otra vez peligrosamente a Valencia. Ante
esta difícil situación, Rodrigo Díaz marchó a Castilla al encuentro de su rey para
solicitar refuerzos y planear la estrategia defensiva en un futuro. Fruto de estos
planes y acciones sería la posterior intervención cidiana en el Levante, que traería
como resultado una sucesión encadenada de acciones bélicas que le llevarían a
acabar por rendir la capital del Turia. Reforzada la mesnada del Cid, se encaminó a
Murviedro con el fin de expugnar al rey hudí de Lérida.
Al llegar el Cid a Murviedro, Valencia estaba siendo sitiada por Berenguer Ramón
II. Rodrigo, ante la fortaleza de esta alianza, procuró un acuerdo con Al-Mundir de
Lérida y pactó con el conde de Barcelona el levantamiento del asedio, que este hizo
efectivo. Posteriormente, El Cid comenzó a cobrar las parias que anteriormente
Valencia pagaba a Barcelona o al rey Alfonso VI, posiblemente de acuerdo con el
rey castellano-leonés. Sin embargo, en 1088, se produciría un nuevo desencuentro
entre el caudillo castellano y su rey. Alfonso VI había conquistado Aledo (provincia
de Murcia), desde donde ponía en peligro las taifas de Murcia, Granada y Sevilla,
con continuas algaradas de saqueo. Entonces las taifas andalusíes solicitaron de
nuevo la intervención del emperador almorávide, Yusuf ibn Tashufin, que sitió
Aledo el verano de 1088. Alfonso acudió al rescate de la fortaleza y ordenó a
Rodrigo que marchara a su encuentro para sumar sus fuerzas, pero el Campeador,
que se dirigió hacia Murcia, no acabó por reunirse con su rey, sin que se pueda
discernir si la causa fue un problema logístico o la decisión del Cid de evitar el
encuentro. En todo caso, Alfonso VI volvió a castigar al Cid con un nuevo destierro
acusándole de traición. En 1089 el Cid recala en Calamocha. A partir de este
momento, planteó su intervención en Levante como una actividad personal y no
como una misión por cuenta del rey. En 1090 saqueó la taifa de Denia y después se
acercó a Murviedro, hostigando a Al-Qádir de Valencia, que pasó a pagarle
tributos. El rey de Lérida, por su parte, nuevamente pidió ayuda frente al Cid al
conde de Barcelona, Berenguer Ramón II, al que el castellano derrotó en Tévar en
1090, posiblemente un bosque situado en el actual puerto de Torre Miró, al norte
de Morella. Berenguer Ramón II, tras este suceso, se comprometió a abandonar sus
intereses en el Levante. Como consecuencia de estas victorias, el Cid se convirtió
en la figura más poderosa del oriente de la Península. En 1092 reconstruyó como
base de operaciones la fortaleza de Peña Cadiella (actualmente La Carbonera,
sierra de Benicadell), pero Alfonso VI sentía haber perdido su influencia en
Valencia, rodeada por el protectorado establecido por el Cid. Para recuperar esa
iniciativa se alió con Sancho Ramírez de Aragón, Berenguer Ramón II y consiguió
el apoyo naval de Pisa y Génova. El rey de Aragón, el conde de Barcelona y la flota
-3597-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
pisana y genovesa atacaron la Taifa de Tortosa, que había sido sometida por el Cid
al pago de parias y, en verano de 1092, la coalición hostigó Valencia. Alfonso VI,
por su parte, acudió más tarde por tierra a Valencia para acaudillar la alianza
múltiple contra el Cid. Sin embargo, la ofensiva fue rechazada por el Campeador y
Alfonso VI hubo de abandonar las tierras valencianas. Rodrigo, que estaba en
Zaragoza (la única taifa que no le tributaba parias) recabando el apoyo de Al-
Musta'in II, tomó represalias contra el territorio castellano mediante una enérgica
campaña de saqueo en La Rioja. Tras estos acontecimientos, ninguna fuerza
cristiana se pudo oponer al Cid, y solo el potente Imperio almorávide, entonces en
la cima de su poderío militar, podía hacerle frente.
La amenaza almorávide fue la causa que definitivamente llevó al Cid a dar un paso
más en sus ambiciones en Levante y, superando la idea de crear un protectorado
sobre las distintas fortalezas de la región, sostenido con el cobro de las parias de
las taifas vecinas (Tortosa, Alpuente, Albarracín, y otras ciudades fortificadas
levantinas) decidió conquistar la ciudad de Valencia para establecer un señorío
hereditario, estatus extraordinario para un señor de la guerra independiente en
cuanto que no estaba sometido a ningún rey cristiano.
Tras el verano de 1092, con el Cid aún en Zaragoza, el cadí Ben Yahhaf (partidario
de la facción almorávide) se hizo con el poder en Valencia, y Al-Qadir fue
asesinado. Al conocer la noticia, el Campeador regresó a Valencia en noviembre y
sitió la fortaleza de Cebolla, actualmente en el término municipal de El Puig, a
catorce kilómetros de la capital levantina, rindiéndola mediado el año 1093 con la
decidida intención de que le sirviera de base de operaciones para un definitivo
asalto a Valencia.
Ese mismo año, Rodrigo envió a su único hijo varón, Diego Rodríguez, a luchar
junto a Alfonso VI contra los almorávides; las tropas de Alfonso VI fueron
derrotadas y Diego perdió la vida en la Batalla de Consuegra.[25] A fines de 1097
tomó Almenara, cerrando así las rutas del norte de Valencia y en 1098 conquistó
definitivamente la imponente ciudad fortificada de Sagunto, con lo que consolidaba
-3598-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
su dominio sobre la que había sido anteriormente taifa de Balansiya.
Su muerte se produjo en Valencia entre mayo y julio de 1099, según Martínez Diez,
el 10 de julio.
http://es.wikipedia.org/wiki/Rodrigo_D%C3%ADaz_de_Vivar
Naissance et généalogie
Selon la tradition, il naît à Vivar (aujourd'hui Vivar del Cid), petit village à 7 km de
Burgos.
Il est le fils de Diego Láinez, connu pour avoir conquis les châteaux d'Ubierna,
d'Urbel et de La Piedra en Navarre. Sa mère est Teresa Rodríguez, fille de Rodrigo
Álvarez et de sa femme Teresa Núñez 1.
1 FMG
2 Voir à ce sujet l'article solidement documenté de Joannidis sur center Blog :
http://joannidis.centerblog.net/269-les-ancetres-du-cid-rodrigo-dias-de-vivar
Les restes du Cid et de son épouse Jimena reposent sous le choeur de la cathédrale
de Burgos depuis 1921. Primitivement ils étaient dans le monastère de San Pedro
de Cardeña, mais pendant l'occupation française, ils furent transférés dans
l'Espalon et en 1842, ils furent rapportés en la Maison Consistoriale jusqu'à leur
-3599-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
inhumation à leur emplacement actuel.
11.873.355:
Il s'agit de la Chimène de Pierre Corneille.
Régente de Valence de 1099 à 1102.
Décès : entre 1103 et 1115 ou bien encore après 1113.
Biographie
Après avoir repoussé les Almoravides de Youssef Ibn Tachfin en 1093, le Cid
devient roi de Valence et Chimène siège à ses côtés. Son époux meurt le 10 juillet
1099, et Chimène, désormais belle-mère du comte Raimond-Bérenger III de
Barcelone, époux de leur fille María et farouche ennemi du Cid, gouverne alors
tranquillement le royaume valencian. Les Almoravides reviennent cependant en
1102. Malgré tous ses efforts (la légende veut qu'elle ait placé le corps de son mari
défunt sur son cheval Bavieca, et lui aurait mis son épée Tizona dans la main, ce
qui est impossible, le Cid étant déjà mort depuis trois ans au retour des Berbères),
elle ne peut défendre bien longtemps la ville qui tombe sous la coupe des Berbères
et de Youssef Ibn Tachfin. Les Almoravides reprennent Valence le 5 mai 1102. Le
rôle que lui prête Corneille dans Le Cid n'est dû qu'à l'imagination du poète. Par sa
fille Cristina, Chimène est la grand-mère du roi García V de Navarre dit le
Restaurateur (règne 1134-1150) et l'ancêtre des rois de Navarre qui ont succédé à
celui-ci.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 23 xi 2010
- família: J-P de Palmas (wikipedia)
11.873.355b:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- naixement: J-P de Palmas (auréjac)
- defunció: J-P de Palmas (auréjac)
- família 1: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
-3600-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.873.356:
IMAGEM: estátua jacente no seu túmulo em Santiago de Compostela.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.873.357:
1109-29 Queen Regnant Urraca of Castilla and León (Spain)
In 1107 she reigned ower her Dowry Galicia and Zamora which was given to her
first husband, Count Raimond de Bourgogne, as a fief. Her second husband was
Alfonso I of Aragon, but they engaged in a power-strugle and devorced 1112. She
also fought a war against her half-sister Tarasia of Portugal who tried to expand
her territories. Urraca died in childbed, unmarried and 46 years old.
Fonts:
- persona: ppmr, Manuel Abranches de Soveral
- naixement:
T.Blanchethttp://en.wikipedia.org/wiki/Urraca_of_Le%C3%B3n_and_Castile)
11.873.357-3a:
«Fratre imperatoris», que em 1140 confirma um privilégio com o nome Fernán
Perez Furtado «hermano de la infanta Doña Sancha», em Junho de 1141 surge
numa escritura de doação que lhe faz D. Afonso Henriques, e em 1150 surge numa
confirmação já em Castela, às monjas de Nogales.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: YH 01/2009 - généalogie familiale d'après Raúl Díaz Vial - "El linaje de
Vial, sucesión y vinculaciones", Ediciones Gráficas, Madrid, 1960
11.873.360:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les Montmorency) x2009
11.873.361:
Non citée par ma source ?
J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de Nesle en Picardie,
Tableau P. 288 + texte) 29 viii 2011
11.873.361b:
Etablit sa résidence en Angleterre.
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
- família: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.873.361d:
-3602-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.873.362:
IVES [II] de Beaumont (-[22 May] [1083/91]). “IvoBelmontensis castri comes”
donated property to la Trinité de Fécamp by charter dated to after 1027,
subscribed by “Ivonis comitis, [J]osfredi filii eius, Ivonis clerici eius filii sui fratris,
Alberici eius filii”[24]. "Comes Ivo cum filio meo simili nomine…clerico et
canonico…cum mea propria conjuge Emma et ceteris omnibus meis liberis"
donated "castrum Confluentie" to Saint-Wandrigisel by charter dated 1039, signed
by "Ivo…comes…Ivo clericus…comes Goffredus, Albericus, Gelduini
vicecomitis…Odonis filii supradicti comitis, Gosberti fratris eiusdem Odonis"[25].
Ives must have resigned his ecclesiastical appointments soon after the date of this
charter, as the following sources do not mention his church positions and because
the birth of his daughter can be estimated to [before 1045] (see below). "…Ivonis
filii Ivonis comitis de Bello Monte…" witnessed a charter dated to [1042/44] under
which "Guanilo thesaurarius Sancti Martini" donated property to Marmoutier[26].
"…Yvonis filii Yvonis comitis…" subscribed the charter dated to [1049/60] which
records the agreement between the abbey of Monmajour and Chartres Notre-
Dame[27]. Comte de Beaumont-sur-Oise. The identity of Ives [II] Comte de
Beaumont as the son of Comte Ives [I] is confirmed by the undated charter under
which “comes Matheuslaudantibus conjuge mea Aeles et liberis meis” [Mathieu [II]
Comte de Beaumont] confirmed the exemption from navigation duties to the monks
of Saint-Wandrille de Fontenelle granted by “Ivo comes cum filio suo simile nomine
scilicet clerico et canonico, cui jure hereditario post discessus sui cursum castrum
Confluencie tribuendo concessit, cum sua propria conjuge Emma”[28]. "…Ivonis
comitis Belli Montis…" subscribed the charter dated 1071 under which
"Buccardus…Corbolensium comes" donated property to the abbey of Saint-Spire de
Corbeil[29]. He founded Conflans Sainte-Honorine in 1080: “Ivo comes de
Bellomonte et Adelhidis uxor eius” donated “ecclesia Sanctæ Honorinæ de
Confluencio” to the monastery of Bec by charter dated 1080[30]. The Chronicon
Beccensis Abbatiæ records that "Yvo de Bellomonte comes uper Isarum et Adelidis
uxor eius" donated "ecclesia B. Honorinæ de Confluentium” to Bec in 1082[31].
"Mainerium, fratrem Symonis de Monte Forti" donated property, with the consent
of "Simone fratre eius comiteque Belli Montis Ivonis", by charter dated to before
1091, which also names "domnus Simon, filio suo Amalrico"[32]. The necrology of
Beaumont Saint-Léonor records the death “XI Kal Jun” of “Iuo comes qui adstruxit
ecclesiam Sancti Leonorii”[33].
m firstly JUDITH, daughter of ---. She is named as wife of Ives and mother of
Adelise by Orderic Vitalis[34].
m secondly ADELAIS, daughter of --- (-8 Apr 1099). “Ivo comes de Bellomonte et
Adelhidis uxor eius” donated “ecclesia Sanctæ Honorinæ de Confluencio” to the
monastery of Bec by charter dated 1080[35]. The Chronicon Beccensis Abbatiæ
records that "Yvo de Bellomonte comes uper Isarum et Adelidis uxor eius" donated
"ecclesia B. Honorinæ de Confluentium” to Bec in 1082[36]. [Depoin says that
Adelais “devait appartenir à la maison de Gournay”, citing the necrology of
Beaumont-Saint-Léonor which records the death of Hugues de Gournay (“X Kal
NovHugo de Gornayo”[37]) and suggesting that Hugues, younger brother of
Mathieu [I] Comte de Beaumont, was named after him[38]. However, there is no
indication to which Hugues de Gournay this necrology entry relates, nor of the time
when he lived. The idea is interesting, but the data on which the hypothesis rests is
too imprecise to suggest that it is probable.] The Necrologium Bellimontense
records the death “VI Id Apr” of “Adeledis comitissa Bellimontis”[39]. The year of
her death is ascertained as follows. Depoin records that “la plus ancienne vie de
saint Gautier, premier abbé de Saint-Martin de Pontoise” (he provides no precise
-3603-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
citation reference for this source) records his death “le vendredi saint, et le même
jour fut le dernier de la comtesse”[40]. The necrology of Pontoise Saint-Martin
records the death “VI Id Apr” of “apud castrum PontisarienseSancti Galteri
abbatis”[41], which coincides with the date of death of Adelais reported in the
Necrologium Bellimontense. According to the calculations of Cheney, the only
years in the mid- to late 11th and early 12th centuries when Goof Friday fell on 8
April were 1037, 1099 and 1110[42]. Of these, the second appears to be the only
year which is possible from a chronological point of view.
Ives [II] & his first wife had one child.
Ives [II] & his second wife had [one] child.
11.873.363:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Anselme-III
- defunció: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014
- família: Maxim Olenev, H.R.Moser/Anselme-III, D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014
11.873.363b:
MATHIEU [I] de Beaumont ([1070/73]-1 Jan 1155). According to Père Anselme,
Mathieu [I] Comte de Beaumont was the son of Ives [II] Comte de Beaumont and
his second wife Adela[49]. Douet d’Arcq repeats the information, citing no other
source[50]. No primary source has been identified which confirms that the
affiliation is correct. However, the mention of Comte Mathieu [I] for the first time
in [1090/91] suggests that it might be, assuming that he and his full siblings were
born much later than their older half-sister. Comte de Beaumont. Orderic Vitalis
records that "Matthæus comes de Bellomonte et Guillelmus de Guarenna" fought
against Robert de Montgommery “de Bellême” who had attacked neighbouring
lands, dated to [1090/91][51].
-3604-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[49] Anselme, Père & Du Fourny (1725) Histoire généalogique et chronologique de
la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la
maison du roy et des anciens du Royaume, 3rd edn. (Paris) ("Père Anselme") Tome
VIII, p. 397.
[50] Douet-D’Arcq (1855), p. LXX.
[51] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XVI, p. 362.
Fonts:
- persona: D.de Raugl (M.Olenev), J-P.de Palmas (FMG) 20 iii 2015
- família: D.de Raugl (M.Olenev), H.R.Moser/Anselme-VIII/398, P Ract Madoux (Paul
Guynemer: la seigneurie d'Offémont. Compiègne 1912)
11.873.364:
Né au château de Falaise, Guillaume y fut élevé jusqu'au départ de son père
"Robert le Magnifique" pour les Lieux Saints ; ce dernier y mourut en 1035.
Aussitôt, Guillaume dut subir l'hostilité et les railleries des barons normands qui le
surnommaient "le Bâtard" et ne voulaient pas le reconnaître comme successeur du
Duc de Normandie.
Le château de Falaise
L'évêque de Sées organisa une cérémonie pour confirmer Guillaume dans son titre
et le proclamer "duc de Normandie".
Ayant épousé Mathilde de Flandres, cousine du roi de France, Guillaume voulut
éblouir son beau-père Baudouin, alors tuteur du trop jeune roi Philippe Ier. Il
réclama le Maine. Marguerite du Maine avait été fiancé au fils aîné de Guillaume,
Robert, mais elle mourut prématurément à l'âge de 12 ans, elle aurait dû hériter de
son père Herbert du Maine.
Hubert de Beaumont, cousin de Marguerite du Maine, s'opposa aux prétentions de
Guillaume. Furieux, ce dernier se mit à ravager le Maine où il se heurta au château
de Sainte-Suzanne, la seule forteresse qui lui fit échec.
Utilisant le même stratagème que pour le Maine, il fiança sa fille Adelize, âgée de
14 ans, à Harold, héritier présumé du trône d'Angleterre. Au cours d'un séjour du
jeune Harold chez le duc de Normandie, celui-ci avait fait jurer par surprise à
Harold, sur les reliques des saints, de lui laisser le trône à lui, Guillaume, si Harold
accédait à la succession d'Angleterre.
Se reprenant par la suite d'un serment extorqué par ruse, Harold entra en lutte
contre Guillaume, venu réclamer la couronne. Ayant terminé les préparatifs de son
combat, "le Conquérant" sollicita et obtint l'investiture du pape Hildebrand avec la
remise d'une bannière bénite, ainsi que l'anneau contenant un cheveu de saint
Pierre, enchâssé dans un diamant, "gages certains de puissance et de prestige pour
la conquête de l'Angleterre".
-3605-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
L'expédition fut fantastique, elle comportait plus de 60 000 hommes. La lutte fut
terrible. Harold fut tué à la bataille de Hastings, en 1066, Guillaume devint roi
d'Angleterre.
Cette conquête de l'Angleterre se trouve retracée dans la "Tapisserie de la reine
Mathilde" exposée au Musée de Bayeux, bande de toile longue de 70 mètres où
sont représentées 58 scènes constituant un témoignage historique de la plus haute
importance, outre la beauté de l'ouvrage. En 1077 la Tapisserie prit place dans la
Cathédrale de Bayeux, sous la protection de Odon de Conteville, évêque de Bayeux
et demi-frère de Guillaume le Conquérant.
Guillaume avait promis à l'Angleterre un règne "paternel". Il fit établir des
registres de tous les domaines gagnés sur les terrains conquis et fit répartir ces
biens équitablement sur le sol anglais (registres conservés dans la Cathédrale de
Winchester sous le nom de "Livres du jugement dernier"). Ses compagnons
reçurent aussi terres et châteaux. Ils s'imposèrent par leurs méthodes et
l'Angleterre anglo-saxonne devint un pays prospère dont la marine fut rapidement
la première force navale du monde.
Pendant que Guillaume planifiait l'Angleterre, le Maine s'était révolté contre les
troupes d'occupation laissées par "le Conquérant". Aussitôt Guillaume s'imposa de
nouveau, triomphant, avec un véritable déferlement guerrier. Très vite, Hubert de
Beaumont s'était retranché avec ses compagnons et sa famille dans la forteresse de
Sainte-Suzanne réputée inexpugnable. Les années passaient et Guillaume n'arrivait
pas à affamer les assiégés qui, selon la légende, se ravitaillaient grâce à une petite
mule qui empruntait un souterrain et ramenait des sacs de farine sur son dos.
La mort de Richer de L'Aigle, valeureux compagnon de Guillaume, finit par
décourager l'assaillant de Sainte-Suzanne. Richer eut une sépulture digne, mais
son frère Gislebert de L'Aigle, ne renonçant pas à se venger, reprit l'assaut du
château qui ne se rendit pas. Guillaume se résigna et entreprit de négocier avec
Hubert de Beaumont. La trêve des armes fut conclue le 21 avril 1086. Le roi
d'Angleterre rendit hommage à la forteresse de Sainte-Suzanne pour une aussi
longue et intrépide résistance.
De nos jours encore, les livres d'histoire anglais citent Sainte-Suzanne comme "le
seul échec du Conquérant"
-3606-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
-3608-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Mahtilda" in Normandy and her burial at Caen[26].
[3] Chibnall, M. (ed. and trans.) The Ecclesiastical History of Orderic Vitalis
(Oxford Medieval Texts, 1969-80), Vol. III, Book V, p. 87, and Vol. IV, Book VII, p.
77.
[6] Davis, R. H. C. and Chibnall. M. (eds. and trans.) (1998) The Gesta Guillelmi of
William of Poitiers (Oxford), Book I, c. 11.
[8] William of Jumièges VII.13, discussed in Houts, E. van (ed. and trans.) (2000)
The Normans in Europe (Manchester University Press), p. 114.
[9] Houts (2000), p. 105.
[10] William's campaign is commemorated in an anonymous poem The Carmen de
Hastingae Proelio of Guy Bishop of Amiens, F. Barlow (ed. and trans.) (Oxford
Medieval Texts, 1999).
[11] Le Prévost, A. (1845) Orderici Vitalis Historiæ Ecclesiasticæ (Paris) ("Orderic
Vitalis (Prévost)"), Vol. II, Liber IV, VI, p. 199.
[12] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, I, p. 256.
[13] Malmesbury, II, pp. 336-7, cited in Chibnall, Vol. IV, p. 79.
[14] Thorpe, B. (ed.) (1849) Florentii Wigorniensis Monachi Chronicon, Tomus II
(London) (“Florentii Wigornensis Monachi Chronicon”), p. 20.
[15] Giles, I. A. (ed.) (1845) Scriptores rerum gestarum Willelmi Conquestoris
(London) Brevis Relatio de Origine Willelmi Conquestoris, p. 14.
[16] Genealogica Comitum Flandriæ Bertiniana, MGH SS IX, p. 306.
[17] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, XXI, p. 277.
[18] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, VI, p. 92.
[19] Delisle, L. (ed.) (1866) Rouleaux des morts du IX au XV siècles (Paris), pp. 181-
2.
[20] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber IV, IV, p. 177.
[21] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, p. 2.
[22] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber IV, IV, pp. 181-2.
[23] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber IV, V, p. 188.
[24] Obituaires de Sens Tome I.1, Abbaye de Saint-Denis, p. 330.
[25] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VII, IX, pp. 192-3.
[26] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, p. 17.
-3609-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
A PROPOS d'une Supposée Fille : SYLVIE
Un grand nombre de sites généalogique reprennent et répandent une info erronée
celle d'une fille de Guillaume le conquérant dénommée Sylvie ou Sylvia. Il y a une
quinzaine d'années j'ai cherché à vérifier cette "ancêtre" dont les livres d'histoire
ne font pas mention. Pas la fille de Mathilde, et tous les historiens s'accordent à
dire qu’ AUCUN bâtard de Guillaume le conquérant n'est connu, ce qui est une
curiosité pour l'époque, mais probablement dû au fait que sa propre bâtardise lui
avait posé suffisamment de problème, il était connu pour être indéfectiblement
fidèle à son épouse. (un original) J'ai donc voulu en avoir le cœur net et j'avais
réussi à remonter à la source anglo-saxonne de cette filiation, et j'avais pris contact
avec la personne (une dame) qui avait publié cette filiation. En fait elle avait été
escroquée m'a-t-elle dit par une "généalogiste" professionnelle qui n'ayant pas
trouvé l'ascendant de cette Sylvie, en avait conclu que vu la région et l'époque "ça
ne pouvait être que la fille de Guillaume le conquérant ", ce n'était que bien plus
tard qu'elle avait elle-même challengé cette filiation et obtenu cette explication
boiteuse malheureusement le mal était fait et cette "bogus" filiation s'était
répandue sur Internet ..
Fabienne Rambure
Cf http://www.william1.co.uk/4.html
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Garry Owen Green - Descendants of John Adam Thomas
Löeb) ; C.Chéneaux (Sainte-Suzanne) ; J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 2 vii 2012
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 2 vii 2012
11.873.365:
Mathilde de Flandre (v. 1031 – 2 novembre 1083 à Caen), fut l'épouse de
Guillaume le Conquérant, et donc duchesse de Normandie et reine consort
d'Angleterre.
Biographie
Elle est la fille de Baudouin V (v. 1012-1067), dit Baudouin de Lille, comte de
Flandre, et d'Adèle de France (1009-1079), comtesse de Corbie. Elle est donc, par
sa mère, petite-fille du roi de France Robert II. Elle est la sœur des comtes de
Flandre Baudouin VI (v. 1030-1070), dit Baudouin de Mons, et Robert Ier (v. 1031-
1093), dit Robert le Frison. Elle était apparemment très petite, d'une taille
d'environ 125 cm[1]. En 1961, sa tombe fut ouverte, confirmant ce que les
chroniqueurs contemporains avaient écrit[2]. En 1050 voire 1051[3], elle épouse
le duc de Normandie Guillaume le Bâtard (plus tard le Conquérant), fils illégitime
de Robert Ier (v. 1010-1035), dit Robert le Magnifique, duc de Normandie, et
d'Arlette de Falaise. Le mariage a lieu à Rouen, la capitale du duché de
Normandie[3]. Les négociations pour leur mariage débutent probablement dès
1048, mais en octobre 1049, au concile de Reims[4], le pape Léon IX l'interdit sur
des bases inconnues[3]. On ne dispose pas de document contemporain expliquant
les motivations papales, mais pour Orderic Vital, moine chroniqueur du XIIe
siècle, elle s'explique par la consanguinité[3]. L'Église cherchait alors à imposer
ses vues en matière d'interdits de parenté pour mieux asseoir son pouvoir sur les
laïcs, et les futurs conjoints étaient cousins au cinquième degré canonique[4].
Toutefois, les futurs époux outrepassent l'interdiction[4],[3]. En 1059, le pape
Nicolas II valide rétrospectivement ce mariage à condition que les deux époux
fondent chacun une abbaye[3]. Mathilde fonde alors l'abbaye aux Dames de Caen,
-3610-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
dédiée à la Sainte-Trinité[3]. Son église abbatiale est dédicacée le 18 juin 1066.
La fondation de l'église Notre-Dame du Pré de Quevilly lui est aussi attribuée[3].
Mathilde de Flandre a apparemment des relations cordiales avec tous ses enfants,
et elle est notamment très proche de son aîné Robert[3]. Elle est particulièrement
peinée quand celui-ci se dispute avec son père et qu'il s'exile en France. Elle a
l'habitude de lui envoyer de l'argent et de l'or aux dépens de son mari, mais quand
celui-ci découvre le pot aux roses, il menace de sévices le messager breton qu'elle
utilise[3]. Elle a aussi de très bonnes relations avec son mari, et il semble qu'ils
soient heureux en mariage[3]. Guillaume le Conquérant est le seul duc dont on ne
connaît ni maîtresse ni enfant illégitime.Sur le plan politique, Mathilde est
régente du duché pendant la conquête normande de l'Angleterre, probablement
avec son fils Robert[3]. Roger II de Montgommery et Roger de Beaumont sont
parfois ses conseillers[3]. Elle contribue à la flotte d'invasion en donnant un
bateau nommé Mora, que l'on peut d'ailleurs voir sur la Tapisserie de Bayeux[3].
À la Pentecôte 1068, elle est en Angleterre où elle se fait couronner reine à
Westminster. Elle continue à s'occuper de la régence de la Normandie durant les
années 1070 et 1080[3]. Elle joue le rôle typique d'une reine active du Moyen Âge.
Dans son entourage on trouve l'évêque Guy d'Amiens, et elle entretient une
correspondance avec le pape réformateur Grégoire VII, qui l'encourage à user de
son influence sur son mari[3]. La conquête de l'Angleterre lui apporte de
nombreuses terres et fait d'elle une riche propriétaire terrienne avec des
propriétés dans 8 comtés[5],[3]. Elle ne possédait auparavant qu'un maigre
douaire dans le Pays de Caux (Bures-en-Bray, Maintru, et Osmoy-Saint-Valery)[3].
Elle utilise ses nouvelles ressources financières pour faire divers dons à des
maisons religieuses, notamment aux abbayes de Saint-Évroult, Corneille, Cluny et
bien sûr de la Sainte-Trinité de Caen[3]. Elle tombe malade à la fin de l'été 1083
et meurt le 2 novembre[3]. Selon sa volonté, elle est inhumée dans l'église de la
Sainte-Trinité de Caen[3]. Sa tombe subsiste encore de nos jours[3], mais elle a
été pillée par les Protestants en 1562. Elle laisse toutes ses terres anglaises et son
argent à son benjamin Henri. Sa couronne et son sceptre vont aux nonnes de la
Sainte-Trinité[3]. On a autrefois attribué à Mathilde la réalisation de la très
célèbre Tapisserie de Bayeux, ou Tapisserie de la Reine Mathilde, qui relate la
Conquête normande de l'Angleterre en 1066. Mais cette thèse est aujourd'hui
totalement écartée.
-3611-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Famille et descendance
En 1050 ou 1051, elle épouse Guillaume le Conquérant à Rouen. Ils ont huit ou
neuf enfants, quatre garçons et quatre ou cinq filles[3] :
Et peut-être[3] :
Improbables[3] :
Notes et références
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 2 vii 2012
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 2 vii 2012
11.873.365a:
Mort en prison après 28 ans de captivité.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 2ii2014, C.Faucherand (patronyme alias: Curtois) 22 viii
2015
- família 2: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 vii 2012
- família 3: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 2ii2014
11.873.365b:
Fonts:
- persona: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families
11.873.365c:
Fonts:
- persona: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families
11.873.365d:
née en 1058 selon B.Yeurc'h
(http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html)
Fonts:
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
11.873.365e:
Quatrième fille de Guillaume et de Mathilde.
Née en 1062, elle entra toute jeune à l’abbaye, à sa fondation. Elle suivit
l’enseignement de Mgr Arnould, futur Patriarche de Jérusalem, qui enseigna aussi
à l’Abbaye-aux-Hommes de 1085 à 1096. Cécile entretint une correspondance en
latin avec Baudry, abbé de Bourgueil. À cette date, les moniales participent à
l’instruction des fidèles en interprétant des Mystères; cela devait être le fait dans
de nombreuses abbayes, mais, à la Trinité, il y eut, aussi, une coutume bien
particulière : le jour de la fête des Saints-Innocents, la plus jeune des nonnes
s’installait, crosse en mains pour ving-quatre heures, dans la stalle de l’abbesse, au
verset du Magnificat « Deposuit potentes de sedet » (il a déposé les puissants de
-3613-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
leurs sièges).
CECILIA de Normandie (-Caen 3/13 Jul [1126/27], bur Caen, Abbey of Holy Trinity).
Orderic Vitalis names “Adelizam et Constantiam, Ceciliam et Adalam” as the
daughters of “Willermus Normanniæ dux” and his wife “Mathildem Balduini ducis
Flandrensium filiam, neptemex sorore Henrici regis Francorum”[70]. In another
passage, the same source names the daughters “Agatham et Constantiam,
Adelizam, Adelam et Ceciliam”[71], and in a third place “Agathen ac Adelizam,
Constantiam, Adalam et Ceciliam”[72]. She is named first in his list of King
William's daughters by William of Malmesbury and by Matthew Paris[73]. In
another passage, Orderic Vitalis, in his list of the king's children which appears to
place both the sons and daughters together in birth order[74], unfortunately omits
Cecilia, rendering it particularly difficult to decide if she was older or younger than
her brother Richard. Guillaume de Jumièges names Cecile as eldest daughter,
stating that she was a nun at the convent of Holy Trinity at Caen[75]. A manuscript
at Caen names "Mathildem Anglorum reginam, nostri cœnobii fondatricem,
Adilidem, Mathildem, Constantiam, filias eius" heading the list of the names of
nuns at the abbey[76], which, if the order of names is significant, indicates that
Cecilia was younger than her sisters Adelaide and Mathilde. Her parents offered
her as an oblate to the nunnery of the Holy Trinity, Caen (founded by her mother)
18 Jun 1066[77], probably in part to obtain divine blessing for her father´s project
to invade England. Orderic Vitalis records that at Fécamp in 1075 King William I
entered “Ceciliamfiliam suam” as a nun at Caen, adding that she later succeeded
"Mathilde abbatissa" (who had been abbess for 47 years) and governed as abbess
for nearly 14 years until she died “III Id Jul” 1127[78]. Her tutor was Arnoul de
Choques who later became Chancellor to her brother Robert "Curthose" Duke of
Normandy, and subsequently Patriarch of Jerusalem[79]. She succeeded her sister
Mathilde as abbess of la Trinité de Caen in [1113][80]. The Chronicon S. Stephani
Cadomensis records the death in 1126 of "Cecilia Abbatissa, Willelmi Regis
filia"[81].
[70] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, VI, p. 92.
[71] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber IV, V, p. 189.
[72] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VII, II, p. 159.
[73] Malmesbury III.276, p. 255, and Matthew Paris, Vol. II, 1086, p. 21.
[74] Orderic Vitalis, Vol. III, Book V, p. 115.
[75] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VIII, XXXIV, p. 310.
[76] Delisle (1866), pp. 181-2.
[77] Malmesbury, p. 251, footnote 1. The event is commemorated in the poem
Jephthah, written [1075] by Fulcoius of Beauvais, see Houts (2000), p. 132.
[78] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber V, II, p. 303.
[79] Murray, A. V. (2000) The Crusader Kingdom of Jerusalem: a dynastic history
1099-1125 (Prosopographica & Genealogica), p. 182.
[80] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VII, p. 47, in which footnote 2 specifies that her
predecessor died 6 Jul 1113.
[81] Ex Chronico S. Stephani Cadomensis, RHGF XII, p. 780.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les Abbesses de la Trinité, par Pierre Pelcerf et FMG) 30
iv 2011
11.873.365f:
Fonts:
- persona: Matthew Thompson
11.873.368:
GUILLAUME [II] de Garlande, son of GUILLAUME [I] Seigneur de Garlande & his
wife Havoise --- (-murdered 23 Mar 1120). "Paganus, Ansellus et Willelmus de
-3614-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Garlanda" confirmed the donation by "Albertus miles" of "ecclesiam de Monciaco"
to Saint-Martin-des-Champs by charter dated to [1092][1864]. Suger's Vita
Ludovici names "Ansellus de Garlanda dapifer…Guillelmus frater…dapiferi" in the
record of the campaign against Guy "le Rouge" Comte de Rochefort in 1108[1865].
Seneschal of France, named in charters dated 1118 to 1120[1866]. The Chronicon
Mauriniacensi records the death of "Willelmo Anselli dapifero germano", adding
that "Stephanus Cancellarius…frater amborum" was made "Major regiæ
domus"[1867].
m ---. The name of Guillaume’s wife is not known.
Guillaume [II] & his wife had [three] children.
[1864] Paris St Martin-des-Champs I, V, p. 6.
[1865] Suger Vita Ludovici Grossi Regis XIV, pp. 51 and 53.
[1866] Listed in Arbois de Jubainville (1860), Tome II, p. 274.
[1867] Ex Chronico Mauriniacensi, II, RHGF XII, p. 76.
Fonts:
- persona: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien), J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) ix 2010
- família: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien), J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) ix 2010
11.873.369:
Elle est citée dans une charte royale de 1120 :Guillelmus dapifer meus et nobilis
uxor Helisendis.
Fonts:
- persona: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien), J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) ix 2010
- família: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien), J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) ix 2010
11.873.369b:
MANASSES de Garlande (-1185). According to Europäische Stammtafeln, Bishop
Manassès was the son of Gilbert de Garlande, younger brother of Guillaume
[II][1907]. Bishop of Orléans 1146. "Manasses…Aurel[ianensis] ecclesie…minister"
confirmed revenue from the churches of Janville and Neufvy to Saint-Martin-des-
Champs, for the eternal rest of "avunculi nostri Stephani", by charter dated 1 Jun
1148[1908]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records in 1149 that
"episcopus Aurelianensis" was deposed and succeeded by "Hatto Trecensis" on
pressure from "comitisse Campaniensis"[1909].
[1907] ES XIII 113.
[1908] Paris St Martin-des-Champs, Tome II, 305, p. 192.
[1909] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1149, MGH SS XXIII, p. 840.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) ix 2010
11.873.369c:
ROBERT (-after [1150/65]). “Willelmus Malvesin et Manesserius frater meus”
confirmed an agreement between Saint-Wandrille and “Radulfum patrem nostrum”
by charter dated to [1150/65], witnessed by “militibusWillelmo de Garlande et
fratre eius Roberto”[1910].
[1910] Saint-Wandrille, 120, p. 186.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) ix 2010
11.873.369d:
-3615-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien)
- família 1, família 2: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien)
11.873.372:
Depoin suggests that Thibaut, son of Hugues [I] shown below, was the same person
as Payen de Gisors who is shown in the succeeding family group[297]. Assuming
the correct dating of the 1066 charter, in which Hugues [I] and his four sons are
named, this is unlikely to be correct from a chronological point of view.
PAYEN de Gisors [de Neaufle] (-after [1110/24]). Orderic Vitalis records that
William II King of England constructed "castrum Gisortis", and that “Tedbaldus-
Paganus de Gisortis” was among those captured and ransomed by the French,
dated to [1097][304]. Orderic Vitalis records that Robert III Duke of Normandy
granted "munitionem de Gisortis" to “Tedbaldo Pagano” was among those captured
and ransomed by the French, dated to [1097][305]. "Hugo vicecomes de
CalvomontePaganus de Gisortio et uxor eius Mathilde et filii eorum Hugo et
Hervæus et Richildis et Idonea sorores eorum" consented to the donation by
"Hubertus Bucellus moriens" to Saint-Martin-de-Pontoise by charter dated to
[1110/24][306]. Orderic Vitalis records the rebellion of "Pagani de Gisortis", dated
to [1123][307]. "Theobaudus de Gisortio" confirmed donations to Saint-Martin de
Pontoise made by "Theobaldus, Pagani de Gisors et nobilis matronæ Mathildis
filiusGodefridus Dives et Richildis uxor eiusPaganus de Gisortio uxorque eius
MathildisHugo filius Pagani mortuus sepelitur in æde S Martini, Mathildis eius
relicta et Theobaudus frater" by charter dated to [1149][308].
m MATHILDE, daughter of [GEOFFROY “le Riche” & his wife Richilde ---.
Il fait double emploi avec Thibaut de Gisors dont le père est celui signalé
comme Hugues I par fmg ( Hugues Francon de Gisors )
L'hypothèse de fmg n'est émise que du bout des lèvres ; assumons qu'il
devait lui manquer des éléments, notamment l'emploi de "Payen" utilisé
par les clercscar les dévolutions, les chronologies..et même le justificatif
fmg onomastique "Hervé", présent chez les Montmorency, est inclus dans
la filiation Depoin avec Richilde de Montmorencydont fmg ne connait que
le prénom.
à revoir
JB de La Grandière 18/8/2015
-3617-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
On peut supposer que "fmg" n'aura pu lire intégralement les travaux de Depoint et
qu'il devait ignorer le récent usage par les moines du terme "Payen" pour désigner
dans les actes des personnes (généralement assez jeunes) dont le prénom ne
correspondait pas à celui d'un saint.. : il n'y avait pas alors de saint Thibaut mais le
prénom franc était usuel et lignager. Les moines voulaient faire cesser la pratique.
Quelques générations plus tôt seuls quelques paysans pouvaient ne pas être encore
christianisés.. Nommer dans les actes Paysan / Payen (paganus/payen) des rejetons
mal baptisés était une bonne formule mais les familles savaient à quoi s'en tenir
pour ceux dénommés Payen
Ainsi, avec Depoin on peut dire que Thibaut de Gisors est identique à Thibaut de
Gisors. "fmg" aura oublié la mention de Mathilde de Gisors comme petite-fille de
Geoffroy "le Riche" Geoffroy Le Riche, fille de Thibaut-Payen de Gisors.( Thibaut de
Gisors.JB de La Grandière 18/8/2015 +23/8/2015
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P.de Palmas (FMG) 6 x 2012
- família: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P.de Palmas (FMG) 6 x 2012
11.873.373:
[MATHILDE (-after [1110/24]). Duchesne indicates that “Thibaud surnommé
Payen”, the husband of Mathilde, was the son of Geoffroy “le Riche” and his wife
Richilde[293]. Duchesne quotes an undated charter which confirms that her son
was the grandson of Geoffroy “le Riche”: “Theobaudus Pagani de Gisorz et nobilis
matrona Mathildis filius” confirmed donations to Pontoise Saint-Martin made by
“avus eius Godefridus Dives et uxor eius Richildis”[294]. The fact that Mathilde´s
husband is called “de Gisors” in these charters, an epithet which was not applied to
Geoffroy “le Riche”, suggests that it may have been Mathilde herself who was the
daughter of Geoffroy “le Riche”, although no primary source has yet been
identified which confirms beyond all doubt that this hypothesis is correct. "Hugo
vicecomes de CalvomontePaganus de Gisortio et uxor eius Mathilde et filii eorum
Hugo et Hervæus et Richildis et Idonea sorores eorum" consented to the donation
by "Hubertus Bucellus moriens" to Saint-Martin-de-Pontoise by charter dated to
[1110/24][295]. "Theobaudus de Gisortio" confirmed donations to Saint-Martin de
Pontoise made by "Theobaldus, Pagani de Gisors et nobilis matronæ Mathildis
filiusGodefridus Dives et Richildis uxor eiusPaganus de Gisortio uxorque eius
MathildisHugo filius Pagani mortuus sepelitur in æde S Martini, Mathildis eius
relicta et Theobaudus frater" by charter dated to [1149][296].
m PAYEN de Gisors, son of --- (-after [1110/24]).]
[293] Duchesne (1624), p. 678.
[294] Duchesne (1624), Preuves, p. 414.
[295] Pontoise Saint-Martin LV, p. 49.
[296] Pontoise Saint-Martin CVI, p. 83.
11.873.373b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 x 2012
11.873.373c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 x 2012
11.873.373d:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 x 2012
11.873.373e:
MARGUERITE de Gisors (-1147). "Margarita uxor Willelmi Aculeii de Treja"
donated property to Saint-Martin-de-Pontoise on her deathbed, with the advice of
"fratris sui Theobaudi de Gisortio" for the soul of "viri sui Willelmi", and in the
presence of "frater eius Theobaldus et quatuor filiæ suæ Oda…et Ydonea et
Adelaidis et Mathildis" by charter dated 1147, which specifies that "Ingelramnus
filius" was not present because "Theobaldus avunculus eius" prevented him[321].
m GUILLAUME [II] "Aiguillon" de Chaumont, son of DREUX de Chaumont & his
wife --- (-[1147]).
[321] Saint-Martin de Pontoise CII, p. 80.
-3619-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.873.373f:
THIBAUT [II] de Gisors (-27 Jan after [1181/85]). A charter dated 25 Mar [1148]
records that “uxor ipsiusMatildis et frater defunctiTheobaldus atque soror
ipsiusRichildis” donated “decimam moltura molendinorum suorumapud Gisorcium”
to Pontoise Saint-Martin the day when “Hugo filius Pagani de Nealfo” was buried
at the church, witnessed by “Hugo Vicecomes de Caluomonte, Hugo de Marinis et
filius eius Theobaudus, Richardus de Bauterluto et Willelmus et Herueus fratres
eiusDrogo de Conflentio et Gauterius frater eius”[322]. "Theobaudus de Gisortio"
confirmed donations to Saint-Martin de Pontoise made by "Theobaldus, Pagani de
Gisors et nobilis matronæ Mathildis filiusGodefridus Dives et Richildis uxor
eiusPaganus de Gisortio uxorque eius MathildisHugo filius Pagani mortuus
sepelitur in æde S Martini, Mathildis eius relicta et Theobaudus frater" by charter
dated to [1149][323]. A charter dated 1150 records that Louis VII King of France
exiled "Theobaldum de Gisortio" who went to “villam suamBeeleium” with
“Willelmum abbatem” who took them to the church of Saint-Martin de Pontoise,
and that while at Le Bellay "Robertus de Relhi" donated “decimam” with the
support of “ipsum Theobaldo uxor eius Rohaidis et sororia ejus Mathildis quæ
fuerat uxor Hugonis de Gisortio fratris Theobaldi et filius eiusdem Mathildis
Johannes nepos Theobaldi et soror Johannis Idonea”[324]. "Dnum Theobaudus de
Gisortio" confirmed an agreement between Saint-Martin de Pontoise and "Dnum
Theobaldum de Ronkerolis" as well as the donation of “decima de Arunvilla” made
by “Dnam Mathildem quæ fuit uxor Hugonis de Gisortio fratris Dni Theobaldi
graviter infirmari apud Charz”, with the consent of “Johanne fratre suo, nepote
domni Theobaudi, ipsoque Theobaudo”, by charter dated to [1151/61], witnessed
by “Gauterius de Insula miles, Hugo de Banterluto nepos Domini Theobaudi”[325].
Louis VII King of France wrote to “fideli suo T. de Gisortio” regarding “loqui de
verbointer Milonem de Livis et nepotem suum” dated 1161[326], indicating that
the king had been reconciled with Thibaut. A charter dated to [1176] records that
"Theobaldus de Gisurcio" had donated “ecclesia de Charz” to Pontoise Saint-
Martin, but later donated it to Saint-Denis, and confirms the settlement of the
dispute[327]. A charter dated to [1181/85] records the presence of "dno Theobaldo
de Gisorcio" in a judgment given by the Pope´s representative against Pontoise
Saint-Martin[328]. The necrology of Pontoise Saint-Martin records the death “VI
Kal Feb” of “Theobaldus de Gisortio”[329].
m ROHESE, daughter of --- (-after 1150). A charter dated 1150 records that Louis
VII King of France exiled "Theobaldum de Gisortio" who went to “villam
suamBeeleium” with “Willelmum abbatem” who took them to the church of Saint-
Martin de Pontoise, and that while at Le Bellay "Robertus de Relhi" donated
“decimam” with the support of “ipsum Theobaldo uxor eius Rohaidis et sororia ejus
Mathildis quæ fuerat uxor Hugonis de Gisortio fratris Theobaldi et filius eiusdem
Mathildis Johannes nepos Theobaldi et soror Johannis Idonea”[330].
Depoin suggests that she was Rohese de Bulles, daughter of Lancelin [II] de
Beauvais Seigneur de Bulles & his wife Agnes de Dammartin, because Thibaut de
Gisors was helped by Guillaume de Mello abbot of Pontoise Saint-Martin during a
dispute with Louis VII King of France, Abbot Guillaume being the brother of Dreux
[II] Seigneur de Mello who had married the sister of Rohese de Bulles[331]. From a
chronological point of view, this is unlikely to be correct as Rohese de Bulles was
named in a charter dated 1114, so could have been considerably older than Thibaut
de Gisors.
[322] Pontoise Saint-Martin CIII, p. 81.
[323] Pontoise Saint-Martin CVI, p. 83.
[324] Pontoise Saint-Martin CXVI, p. 90.
[325] Pontoise Saint-Martin CXXVI, p. 100.
[326] RHGF XVI, LXXXVIII, p. 26.
[327] Pontoise Saint-Martin CLXXXIII, p. 144.
[328] Pontoise Saint-Martin CXCVII, p. 155.
[329] Pontoise Saint-Martin, p. 222.
[330] Pontoise Saint-Martin CXVI, p. 90.
[331] Pontoise Saint-Martin, p. 408.
-3620-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 x 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 7 x 2012
11.873.373g:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 x 2012
11.873.380:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.873.381:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.873.381a:
La branche des seigneurs de Sauve se termine, après plusieurs générations, par
Pierre-Bermond V, époux d’Ermessinde de Narbonne-Pelet sa parente (mariée en
secondes noces à Raymond VI de Toulouse).
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.873.392:
Voir note sur la fiche de Guillaume de Poitiers
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
- família: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
11.873.393:
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- persona: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
- família: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
11.873.394:
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- persona: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
- família: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
11.873.395:
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- persona: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
- família: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
11.873.395b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 152 p 253) 21/04/2008
11.873.396:
Guigues III d'Albon, dit Comes, né entre 1050 et 1060, mort en 1133, fut comte
d'Albon de 1079 à 1133. Il est le premier Guigues à se faire appeler comte d’Albon,
dès son avènement en 1079. Son règne est marqué par la lutte continuelle qu'il
-3621-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
livre au nouvel évêque de Grenoble, Saint Hugues de Châteauneuf, pour la
suzeraineté des biens d'église qu'il détient, notamment en Grésivaudan. Saint
Hugues accède à l’évêché en 1078 et est un fervent partisan de la réforme
grégorienne. Il soutient que les possessions des comtes d'Albon ont été usurpées à
l'Église, avec l'aide de l'évêque Mallen. Pour rentrer dans ce qu'il juge être son
droit, le fougueux prélat n'hésite pas à affabuler sur la reconquête du diocèse de
Grenoble les armes à la main par l'évêque Isarn contre les Sarrasins. C'est l'objet
du préambule d'une série de documents destinés à établir l'état des biens d'église,
connus sous le nom de Cartulaires de St Hugues. Finalement, un accord entre
l'évêque et le comte est signé en 1099 : Guigues restitue les églises et dîmes qu'il
s'était approprié mais Saint Hugues reconnait le partage des pouvoirs laïques et
religieux sur Grenoble et sa région. Il épousa en 1095 Mathilde, que l'on a
longtemps pensé être fille d'Edgar Atheling, mais qui semble en fait être fille de
Roger Ier, comte de Sicile et de Pouille et d'Adelaïde de Savone. Selon Patrick
Deret, elle serait bien fille de Roger Ier de Sicile, mais de sa 2e épouse Eremburge
de Mortain et pas de la troisième car cela aurait impliqué qu'elle ne pourrait être
née qu'entre 1088 et 1101, ce qui provoquerait d'innombrables difficultés et
impossibilités ultérieures en cascade. Ils eurent cinq enfants :
Le site de Leo van De Pas citant "Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag,
Marburg, Schwennicke, Detlev (Ed.), Texte: III/4 738" ne donne qu'un prénom
"Mathilda" sans ascendance à l'épouse de Guigues III, Comte d'Albon. Note de : Olivier
Guionneau ( forum ) 7 vi 2011
Je me reporte à Thierry Le Hête, Les comtes palatins de Borgogne, page 57. Il dit
bien que Mathilde d'Angleterre (1102- 1167) fut l'épouse de Guignes III d'Albon,
dauphin du Viennois, comte de Grésivaudan (+ 1133), dont postérité - mais il ne
donne pas l'ascendance de Mathilde, ce qui réduit la portée de l'une des sources
citées. Note de : Jean-Claude de Vaugiraud ( forum ) 7 vi 2011
11.873.397:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015
11.873.397b:
Humbert de Grenoble , mort en 1147, est un prélat français du XIIe siècle, évêque
-3622-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
du Puy, puis de Vienne.
Biographie
Humbert est le fils de Guigues III d'Albon, comte de Grenoble et de Mathilde de
Sicile. Il est le neveu d'Humbert, évêque de Valence .
Humbert est élu évêque du Puy en 1128, puis archevêque de Vienne (Isère) en
1146.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 8 vi 2011
11.873.398:
Prisonnier des Arabes, il fut décapité. Étienne devient régent du comté de
Bourgogne durant le séjour de son frère Renaud en Terre sainte. Il se croise à son
tour, mais il est fait prisonnier et massacré par des archers en 1102. D’autres
nobles, ont suivi l’exemple des comtes, ainsi Archambaud, vicomte de Mâcon,
engage ses possessions en deçà de la Loire, auprès de Humbert de Beaujeu, pour
réunir les sommes nécessaires à son expédition.
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud, "Les Souverains du Comté de Bourgogne et de la
Franche-Comté" 07 iii 2008, J-P de Palmas (comtes de Mâcon) v-2009
- família: L.van de Pas, J-P de Palmas (wikipedia) viii2009
11.873.399:
Références Henry Bogdan, La Lorraine des ducs, sept siècles d'histoire, 2005
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) viii2009
- família: L.van de Pas, J-P de Palmas (wikipedia) viii2009
11.873.399b:
Elle donne tardivement naissance à un fils prénommé Eudes de Champlitte.
Hugues ne reconnaît pas l'enfant et chasse la mère et son fils.
Fonts:
- persona: L.van de Pas, J-P de Palmas (wikipedia) iii2010, J-C de Vaugiraud ( J.
Gouget, T. Le Hête: "Les comtes de Blois et de Champagne ", 2004, P. 390 et ss.) 16
vi 2012
- naixement: J-C de Vaugiraud ( J. Gouget, T. Le Hête: "Les comtes de Blois et de
Champagne ", 2004, P. 390 et ss.) 16 vi 2012
- defunció: J-C de Vaugiraud ( J. Gouget, T. Le Hête: "Les comtes de Blois et de
Champagne ", 2004, P. 390 et ss.) 16 vi 2012
- família: H.R.Moser, L.van de Pas, J-C de Vaugiraud ( J. Gouget, T. Le Hête: "Les
comtes de Blois et de Champagne ", 2004, P. 390 et ss.) 16 vi 2012
11.873.400:
Lui et son frère Pons, vendirent en 1097 la terre de Volhac-sur-Loire,qui venait de
la dot de leur mère, afin de subvenir aux dépenses de leur départ pour la Palestine,
avec l'armée des croisés.(monographie du château de Volhac par le baron de
Vinols) Pierre de Fay semble être rentré en France juste après la prise de
Jérusalem.Il y laissa son fils François.
Pierren'était certainement pas très jeune lorsqu'il partit en croisade en 1097 avec
ses fils et nomnre de ses vassaux. Il y prit place dans le corps de 8000 Valauniens
qui s'étaient rangés sous la bannière du comte de Toulouse, Raymond IV de Saint-
Gilles et que commandait, dit-on, le vicomte de Velay, Pons der Polignac. Pierre de
Faÿ ne dut pas rester longtemps en Palestine, et en repartrit aussitôt après la prise
de Jérusalem en 1099, puisque le cartulaire de Pibrac nous lermontre rentré dans
ses domaines dès l'année suivante, et associant ses efforts à ceux de Léger, évêque
-3623-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Viviers, pour obtenir de divers usurpateurs la restitution àl'église des biens
qu'ils détenaient injustement. Piderre de Faÿ, que ce cartulaire qualifie de "Vir
divertissimus", était en même temps un homme très religieux. Nous le voyons en
l'an 1100 confirmer et ratifierle don que l'évêque Léger avait fait au monastère de
Pibrac de l'église de Chanéac, et enrichissant ce monastère de diverses dotations
et fondations.
L'abbé Oriol, qui de nos jours a ébauché un nobiliaire du Haut-Vivarais, donne pour
femme à Pierre de Faÿ, Marie de Chapteuil, tandis q<ue Saint-Allais lui donne
Marie de Soler. On peut supposer qu'il contracta deux mariages successifs. De ses
enfants, nous connaissons seulement avec certitude François et Pons qui sont tous
deux nommés dans l'acte de 1100, plus un troisième que le même acte ne nomme
pas, mais déclare être dans l'intention de faire plus tard profession de religion à
l'abbaye de Pibrac. Il en est d'autres sans doute : dans la donation faite à la
Chartreuse de Bonnefoy en 1179 par Guillaume Jourdain et en 1198 par la
comtesse de Valentinois sa fille, nous remarquons comme témoins six personnages
de la famille de Faÿ dont laplace dans l'arbre généalogique reste à fixer. En
attendant que quelque document nouveau vienne fournir la clef de ce problème et
nous faire connaître avec certitude le nom du fils de Pierre de Faÿ qui fut le frère
de Guillaume Jourdain et dce celui qui forma ladeuxième race des seigneurs de
Chapteuil pour ne pas multiplier les obscurités : nousattribuerons le premier de ces
rôles à François et le second à Pons, les deux seuls enfants de Pietrre de Faÿ pour
les avoir laissés en Palestinelorsqu'il en revint lui-même en 1099.
Nous lui donnons donc pour fils: 1°) François que nous allons faire figurer comme
le continuateur de la maison de Faÿ. 2°) Pons, qui ayant hérité par sa mère des
biens de lamaison de Chapteuil, en prit etporta le nom et fut la tige des seigneurs
de Faÿ Chapteuil, d'où descendirent les Faÿ d'Etables, les Faÿ Poyraud et les Faÿ
de La Tour Maubourg. D.Thuret (Maison de Faÿ, Michel de Chazotte) 2 xii 2010
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, J-P de Palmas (Armorial du Vivarais
de B.d'Entrevaux - Privas 1907)
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, J-P de Palmas (Armorial du Vivarais
de B.d'Entrevaux - Privas 1907)
11.873.401:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, JL.Mondanel (généalogie Chapteuil)
27 iii 2011
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, J-P de Palmas (Armorial du Vivarais
de B.d'Entrevaux - Privas 1907)
11.873.401b:
Il semble être substitué aux biens, nom et armes de la maison de Chapteuil.
Le vieux château de Chapteuil au diocèse du Puy fut abattu en 1574 au cours des
guerres de religion, et iln'en reste aujourd'hui que des ruines. Ces ruines antiques
offrent encore un grand aspect féodal et témoignent d'une sérieuse importance.
Nous savons qu'au XI° siècle une famille en portait le nom. Pons de Chapteuil, "le
gentil troubadour" est le personnage le plus connu de cette maison sans que l'on
puisseaffirmer s'il était de la première race des Sires de Chapteuil, ou s'il
appartenait à la famille de Faÿ. Quant à la puissante famille féodale qui posséda la
baronnie de Chapteuil aux XII et XIII° siècles et en portaaussi le nom, les auteurs
ne s'accordent pas àdéterminer son origine, mais tous la rattachent à la famille de
Faÿ. D.Thuret (Maison de Faÿ, Michel de Chazotte) 2 xii 2010
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, JL.Mondanel (généalogie Chapteuil)
27 iii 2011
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05
-3624-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.873.404:
SILVION [II] de Clérieux, son of GUILLAUME Seigneur de Clérieux & his wife --- (-
after 1152). A charter dated 1130 records an agreement between "Silvion de
Clérieu" and the canons of the church of Romans regarding his usurpation of the
donations of his predecessors "Silvion, Guillaume, Ado et Guillaume son père",
confirmed by "sa femme Metelina" and witnessed by "le comte Amédée…"[513].
"Silvius de Cleireu et…Matelina eius uxor et…Silvius eorum filius" donated
property to the Templars at Richerenches by charter dated 15 Oct 1141, witnessed
by "Rostagnus de Sabran, --- filius eius, Raimundus filius comitis de
Tolosana…"[514]. A charter dated 1150 records disputes between "Silvion de
Clérieu" and the canons of the church of Romans, settled by Hugues Archbishop of
Vienne and "Silvion et Mételine son épouse", naming "Guillaume abbé et sacristain
de Romans, frère de Silvion"[515]. Konrad III King of Germany granted toll rights
on the Rhône, Voulte and Confolens to "Sylvioni…principi
suo…Clariacum…castella" by charter dated 1151[516]. “Selvionis de Clairjac et filii
eius Selvionis…” witnessed the charter dated 1152 under which "Metelina"
donated property to "Bernardo-Atoni fratri meo"[517].
m MATHELINE de Béziers-Sauvian, daughter of ARNAUD de Béziers-Sauvian & his
wife Matheline de Béziers (-after 1 Apr 1168). A charter dated 1130 records an
agreement between "Silvion de Clérieu" and the canons of the church of Romans
regarding his usurpation of the donations of his predecessors "Silvion, Guillaume,
Ado et Guillaume son père", confirmed by "sa femme Metelina" and witnessed by
"le comte Amédée…"[518]. The primary source which confirms her parentage has
not yet been identified. "Silvius de Cleireu et…Matelina eius uxor et…Silvius eorum
filius" donated property to the Templars at Richerenches by charter dated 15 Oct
1141[519]. A charter dated 1150 records disputes between "Silvion de Clérieu" and
the canons of the church of Romans, settled by Hugues Archbishop of Vienne and
"Silvion et Mételine son épouse", naming "Guillaume abbé et sacristain de Romans,
frère de Silvion"[520]. The dating of the previous charter, and the identity of the
donors, are clarified by the charter dated under which "Roggerius de Claireu…et
fratres mei" increased the donation by "pater meus Silvius et mater mea Matelina"
of property to the Templars at Richerenches, as far as "Avisanum", with the advice
of "matris mee Mateline" and with the consent of "Guilelmus de Claireu abbas de
Sancto Felicio", by charter dated 1 Apr 1168[521].
Silvion [II] & his wife had three children.
[513] Romans (1856), 277, p. 214.
[514] Richerenches, 30, p. 31.
[515] Romans (1856), 294, p. 223.
[516] Valbonnais (1722), Tome I, M, p. 89.
[517] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn., Tome IV, Preuves, CXLVIII, p.
466.
[518] Romans (1856), 277, p. 214.
[519] Richerenches, 30, p. 31.
[520] Romans (1856), 294, p. 223.
[521] Richerenches, 96, p. 97.
En 1151, l'empereur Conrad accorde ou confirme à Silvion de Clérieu des droits de
péage à La Voulte et à Confolens (sur l'Isère).
Armoiries de Clérieu
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008, J-P de Palmas (FMG)
2010-2017
11.873.405:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet aurejac)
11.873.405b:
-3625-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
11.873.405c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
- família: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu) i2010
11.873.520:
Fonts:
- persona: E.Visseaux (J.M.Gil)
- família: E.Visseaux (J.M.Gil)
11.873.521:
Fonts:
- família: E.Visseaux (J.M.Gil)
11.873.940:
Selon l’histoire de Normandie d’Orderic Vital "Il se signala par son différend avec
les moines de Maule, qu’il avait chassé de leur établissement de Sainte Colombes.
Plus tard, affligé par la mort de son fils Amaury, il rendit Sainte Colombe aux
moines; ensuite, pour se concilier les bonnes grâces de l’église, il fonda l’abbaye
d’Abeccourt dans la forêt des Alluets près d’Orgeval. Guaszon mourut peu après,
en 1189. Il fut enterré dans l’abbaye qu’il avait fait construire."
GASCE [V] de Poissy (-14 Aug 1189). “Guaszone de Pisseio et fratribus eius
Amalrico et Herveo et Drogone cum filiis suis” witnessed the undated charter
under which “Willelmus Roszard” donated property to Sainte Honorine[3266].
"Gasce de Poissy" confirmed a donation to Conflans Sainte-Honorine made by
"Guillaume Rochart", naming "ses frères Amauri et Hervé", by charter dated to
[1160][3267]. "Guaszo de Puisiaco" settled disputes with St-Wandrille, for the love
of "uxoris mee Jacheline et filiorum meorum", by undated charter[3268]. An
undated charter records toll exemptions granted to Bec by "Wasco de Pixeio", with
the consent of "Iachelinæ uxoris meæ…et filiorum meorum Wasconis et Roberti et
filiæ Petronillæ"[3269]. "Gasce de Poissy" donated income from Fresnes and "in
villa mea…Mansiones" to Abbécourt, with the consent of "filii mei Gasco, Robertus,
Almaricus, Galterus, Gervasius", by undated charter[3270]. “Gazo de Peissi et
Iakelina uxor mea” confirmed toll exemptions for wine through Mantes to Jumièges
by charter dated [28 Mar 1182/16 Apr 1183], witnessed by “Guidone de
Chevreusia”[3271]. The necrology of Joyenval records the death “14 Aug“ of
"domini Gasçonis de Pissiaco vel potius de Domibus, fundatoris ecclesiæ de
Albacuria”[3272].
m as her second husband, JACQUELINE [Dame de Radepont], widow of --- de
-3626-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Moret, daughter of --- (-before 1190). Her first marriage is confirmed, and her
family origin indicated, by the charter dated Mar 1219 under which King Philippe
II confirmed an agreement between [her sons] “Robert de Poissi et Jean de Moret
son frère” under which “la forteresse de Radepont” would be destroyed and each
brother would receive half “du domaine de Radepont”[3273]. "Guaszo de Puisiaco"
settled disputes with St-Wandrille, for the love of "uxoris mee Jacheline et filiorum
meorum", by undated charter[3274]. An undated charter records toll exemptions
granted to Bec by "Wasco de Pixeio", with the consent of "Iachelinæ uxoris
meæ…et filiorum meorum Wasconis et Roberti et filiæ Petronillæ"[3275]. “Gazo de
Peissi et Iakelina uxor mea” confirmed toll exemptions for wine through Mantes to
Jumièges by charter dated [28 Mar 1182/16 Apr 1183], witnessed by “Guidone de
Chevreusia”[3276]. Gasce [V] & his wife had three children.
[3266] Depoin, ‘Les comtes de Beaumont-sur-Oise’ (1915), III, 39, p. 82.
[3267] Pontoise Saint-Martin, Appendice, p. 436, footnote 788 citing Archives de
Seine-et-Oise, Fonds de Conflans-Ste-Honorine.
[3268] Pontoise Saint-Martin, Appendice, p. 437, footnote 793 citing Cartulaire de
St-Wandrille, fol. cccvi.
[3269] Monstier, A. de (1663) Neustria Pia, seu de omnibus et singulis abbatiis et
prioratibus totius Normanniæ (Rouen) ("Neustria Pia"), p. 491.
[3270] Pontoise Saint-Martin, Appendice, p. 438, quoting Gallia Christiana, Tome
VIII, Instrumenta, col. 343 [not yet consulted].
[3271] Jumièges, Tome II, CXXXIII, p. 66.
[3272] Obituaires de Sens Tome II, Abbaye de Joyenval, p. 300.
[3273] Delisle (1856), 1886, p. 416.
[3274] Pontoise Saint-Martin, Appendice, p. 437, footnote 793 citing Cartulaire de
St-Wandrille, fol. cccvi.
[3275] Monstier, A. de (1663) Neustria Pia, seu de omnibus et singulis abbatiis et
prioratibus totius Normanniæ (Rouen) ("Neustria Pia"), p. 491.
[3276] Jumièges, Tome II, CXXXIII, p. 66.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006, J-
P.de Palmas (d’après Grave ; et Depoin : Cartulaire de Saint-Martin de Pontoise,
Sorbonne et FMG) 16 xii 2014
- família: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006
11.873.941:
Dame de Mantes et de Dame de Maison-Sur-Seine.
JACQUELINE [Dame de Radepont], widow of --- de Moret, daughter of --- (-before
1190). Her first marriage is confirmed, and her family origin indicated, by the
charter dated Mar 1219 under which King Philippe II confirmed an agreement
between [her sons] “Robert de Poissi et Jean de Moret son frère” under which “la
forteresse de Radepont” would be destroyed and each brother would receive half
“du domaine de Radepont”[3273]. "Guaszo de Puisiaco" settled disputes with St-
Wandrille, for the love of "uxoris mee Jacheline et filiorum meorum", by undated
charter[3274]. An undated charter records toll exemptions granted to Bec by
"Wasco de Pixeio", with the consent of "Iachelinæ uxoris meæ…et filiorum meorum
Wasconis et Roberti et filiæ Petronillæ"[3275]. “Gazo de Peissi et Iakelina uxor
mea” confirmed toll exemptions for wine through Mantes to Jumièges by charter
dated [28 Mar 1182/16 Apr 1183], witnessed by “Guidone de Chevreusia”[3276].
Gasce [V] & his wife had three children.
[3273] Delisle (1856), 1886, p. 416.
[3274] Pontoise Saint-Martin, Appendice, p. 437, footnote 793 citing Cartulaire de
St-Wandrille, fol. cccvi.
[3275] Monstier, A. de (1663) Neustria Pia, seu de omnibus et singulis abbatiis et
prioratibus totius Normanniæ (Rouen) ("Neustria Pia"), p. 491
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006, J-
P.de Palmas (FMG) 17 xii 2014
-3627-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 17 xii 2014
- família 2: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006
11.873.941b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006
- família: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006
11.873.941c:
PETRONILLE de Poissy (-after 1223). An undated charter records toll exemptions
granted to Bec by "Wasco de Pixeio", with the consent of "Iachelinæ uxoris
meæ…et filiorum meorum Wasconis et Roberti et filiæ Petronillæ"[3293]. The
primary source which confirms her marriage has not yet been identified. "Domina
Matildis de Chaumont" donated harvest from property "in grangia sua de Latroe"
to Paris Hôtel-Dieu, with the consent of "Hugo de Chaumunt prefate domine filius
et heres et uxor mea Petronilla", by charter dated 1199[3294]. “Petronilla de
Calvomonte domina” donated property, with the consent of “Joannis de Calvomonte
militis domini Melloti filii mei etAde uxoris sue”, by charter dated 1223[3295].
m (before 1199) HUGUES de Chaumont, son of GALON [III] Vicomte de Chaumont
& his wife Mathilde de Gisors (-[1209/10]).
[3293] Monstier, A. de (1663) Neustria Pia, seu de omnibus et singulis abbatiis et
prioratibus totius Normanniæ (Rouen) ("Neustria Pia"), p. 491.
[3294] Paris Hôtel-Dieu, 51, p. 23.
[3295] Leblond (1910), 1, p. 178, citing Arch. nat. K 191, no. 73.
Perrenelle pour Depoin, Pétronille pour fmg ?
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (fmg : vicomtes de Chaumont-en-Vexin) 27 x 2013, J-
P.de Palmas (FMG) 16 xii 2014
- família: J-C de Vaugiraud (fmg : vicomtes de Chaumont-en-Vexin) 27 x 2013
11.873.941d:
AMAURY de Poissy . "Gasce de Poissy" donated income from Fresnes and "in villa
mea…Mansiones" to Abbécourt, with the consent of "filii mei Gasco, Robertus,
Almaricus, Galterus, Gervasius", by undated charter[3296]. "Gacho de Pissiaco"
granted navigation toll concessions to Notre-Dame des Vaux de Cernay, with the
consent of "Roberti, Almarrici et Galteri fratrum meorum", by charter dated
1190[3297]. “Gacho de Pissiaco” granted toll exemptions to Bon Port Notre-Dame,
with the consent of “Roberti, Almarici et Galteri fratrum meorum”, by charter
dated 1190[3298]. The Chronique de Saint-Nicaise records that "Robertus de
Pissiaco filius Gachonis de P." to Saint-Nicaise, with the consent of "Amalrici et
Galterii et aliorum fratrum meorum", for anniversaries for "G. patris mei et
Jacheline matris mee et fratris mei G", by charter dated 1193[3299]. "Robertus de
Pisciaco" confirmed the donation of property “tam apud Mesonias quam apud
Medontam” made to Ourscamp Notre-Dame by “dominus Gasso pater meusGasso
frater meus”, with the consent of “Almarici et Galteri fratrum meorum”, by undated
charter[3300]. The Scripta de Feodis of King Philippe II record “Robertus de
Pissiaco” holding “de domino rege pedagium de Meisonset quicquidapud
Bethemontetapud Pissiacumet quicquid Amalricus de Pissiaco habet in villa
Alodiorumapud Chamborci a Gascione de Pissiaco”[3301]. The necrology of
Joyenval records the death “10 Apr“ of "dominorum Gasçonis, Roberti, Almarici,
Galteri et Gervasii de Pisciaco militum, preæfatæ Albæcuriæ fundatoris
filiorum”[3302]. It is not to what event this date relates.
[3296] Pontoise Saint-Martin, Appendice, p. 438, quoting Gallia Christiana, Tome
VIII, Instrumenta, col. 343 [not yet consulted].
[3297] Notre-Dame des Vaux de Cernay, Tome I, LXXXIV, p. 103.
[3298] Bon-Port Notre-Dame, V, p. 5.
[3299] Pontoise Saint-Martin, Appendice, p. 439, quoting Cotron, D. Chronique de
-3628-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Saint-NIcaise, p. 53 [not yet consulted].
[3300] Ourscamp Notre-Dame DCCLXIX, p. 466.
[3301] RHGF, Tome XXIII, Scripta de Feodem ad Regem spectantibus, 104, p. 631.
[3302] Obituaires de Sens Tome II, Abbaye de Joyenval, p. 290.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006, J-
P.de Palmas (FMG) 16 xii 2014
11.873.941e:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle)
17/04/2006
11.873.941-1a:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 xii 2014
11.873.954:
Fonts: - persona: H.deRiberolles
- família: H.deRiberolles(Aurejac)
11.873.955:
MARIE de Béarn (-1186). Her marriage is confirmed by the charter dated Oct 1173
under which Alfonso II King of Aragon granted the monastery of Boluestre the right
to repurchase possessions of the vicomte de Béarn in Aragon, held by "Ximenis de
Artusella", at the request of "dominæ Mariæ de Bearno", and granted rights
relating to the fiefs in question to "filiis Guilelmi de Moncada et domina
Maria"[948]. She became heir to Béarn on the death of her brother in 1170. Her
inheritance as Vicomtesse de Béarn was confirmed at an assembly at Jaca Apr
1170, in return for a declaration of homage. "Maria Biarnensis vicecomitissa"
swore allegiance to Alfonso II King of Aragon by charter dated 30 Apr 1170, which
names "pater meus Petrus de Gavarreto…et Gaston frater meus"[949]. She
resigned Béarn to her eldest son in 1173.
m GUILLEM de Montcada, son of GUILLEM Ramon [II] Seneschal of Catalonia &
his first wife Beatriu de Montcada (before 1134-1172).
[948] Marca (Béarn), p. 483, quoting "E Tabulario Barcinonensi, in Regesto
Ildefonsi Regis, fol. 22".
[949] Jaurgain (1902), p. 553, quoting Marca (Béarn), p. 470.
Fonts:
- persona: A.Euverte (Bourrousse de Laffore,revue de l'Agenais janv-fev
1879)22.08.05, , J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- família: H.deRiberolles(Aurejac)
11.873.955c:
Frère jumeau de Guillaume Ier de Moncada (Guilhem-Raymond Ier).
Il fut excommunié car il avait pris le parti des Albigeois.
Il mourut sans postérité.
Fonts:
- persona: G.Marsan,A.Euverte(Bourrousse de Laffore,revue de l'Agenais janv-fev
1879, historiques des monuments féodaux et religieux du Lot et Garonne)22.08.05
- casament: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)
11.873.956:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
-3629-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.873.957:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.873.958:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, correction orthographe patronyme : JL Mondanel - 16 vii 2010
- família: J-L. Dega
11.873.959:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.873.960:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7, JB.de La Grandiere
(Eugène Vasseur : "Les nibles aïeux"p.282 -Cardona- ) 1 vi 2016
- família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 13x2014
11.873.961:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas ( pierfit)
- família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 13x2014
11.873.961a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 13x2014
11.873.961c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014
11.873.961d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014
- família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014
11.873.961e:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014
11.873.962:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.873.963:
-3630-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.873.964:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.873.965:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.873.965a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
11.873.965c:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.873.970:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.873.971:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.873.972:
Alfonso II de Aragón apodado el Casto (Barcelona, 1157- Perpiñán, 1196)
Rey de Aragón (1164-1196) y Conde de Barcelona (1162-1196).
Su verdadero nombre era Ramón Berenguer, hijo primogénito de Ramón
Berenguer IV, conde de Barcelona, y de Petronila, reina de Aragón, pero reinó con
el nombre de Alfonso en honor a Alfonso I el Batallador hermano de su abuelo. A la
muerte de su padre en 1162 heredó el Condado de Barcelona como el Conde
Alfonso I y en 1164 su madre abdicó en él el reino de Aragón.
Se casó con Sancha de Castilla (hermana de Alfonso VIII de Castilla) en 1173.
Incorporó a su reino las tierras occitanas de Provenza, el Rosellón y el Pallars
Jussà. Se alió con el rey castellano Alfonso VIII de Castilla con el tratado de Cazorla
en 1179, pero años más tarde y mediante el tratado de Huesca (1191), se alió con
los monarcas de León, Portugal y Navarra contra la hegemonía castellana. Su hijo
Pedro II le sucede en las posesiones peninsulares.
Su sobrenombre viene del hecho que, según cronistas, "no se le conocían hijos
fuera del matrimonio". A pesar de ello amparó las artes y las normas del amor
cortés y él mismo se ejercitó en la poesía, intercambiando escritos con importantes
trobadores de la época como Giraut de Bornelh.
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Bibliographie
Le personnel politique catalan et aragonais d'Alphonse Ier en Provence (1166-
1196), par Marti Aurell i Cardona, / Annales du Midi : revue archéologique,
-3631-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
historique et philologique de la France méridionale / Année 1981 / Volume 93 /
Numéro 152 / pp. 121-139
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral ; N. Danican (Histoire de Sigena), JB.de La
Grandiere ( Europäische Stammtafeln t II p 70 (rois d'Aragon) Marburg 1984) 2 i
2014, J-P.de Palmas (Bibliographie) 29 x 2017
- família 2: N. Danican (Histoire de Sigena)
11.873.973:
Fundadora del monasterio de Sigena (Hospitaleras de San Juan de Jerusalem)
Infanta Sancha of Castile (21 September 1154/5 - 9 November 1208) was the only
surviving child of King Alfonso VII of Castile by his second queen, Richeza of
Poland, who was the daughter of Vladislav II, Duke of Silesia. On January 18, 1174
she married King Alfonso II of Aragon at Zaragoza.
After her husband died at Perpignan in 1196, Sancha was relegated to the
background of political affairs by her son Pedro II, and she retired from court,
withdrawing to the abbey of Nuestra Senora, at Sijena, which she had founded.
There she assumed the cross of the Order of St John of Jerusalem which she wore
till the end of her life. The queen mother entertained her widowed daughter Queen
Constanza of Hungary (1179-1222) at Sijena prior to her leaving Aragon for her
marriage with the emperor Frederick II in 1208. She died soon afterwards, aged
fifty-four, and was interred before the high altar of the church at Sijena.
Issue Sancha and Alfonso had 9 children, but only seven would survive into
adulthood: Constance of Aragon, married King Imre of Hungary and later,
Frederick II, Holy Roman Emperor Leonor, married Count Raymond VI of Toulouse
Peter II of Aragon (I of Barcelona), b. 1174, killed at the Battle of Muret,
September 12, 1213 Dolça (nun) Alfonso II, Count of Provence, b. 1180, d. 1209
Fernando, Abbot of Montearagon, d. after 1227 Ramon Berenguer, d. in the 1190s
References E.L. Miron, The Queens of Aragon: Their Lives and Times, Stanley Paul
& Co, London (c1910).
Siurce: http://en.wikipedia.org/wiki/Sancha_of_Castile,_Queen_of_Aragon
Fonts:
- persona: L.Guion, N. Danican (Histoire de Sigena)
- naixement: L.Guion
- defunció: L.Guion
- família: N. Danican (Histoire de Sigena)
11.873.973a:
Il étendit son autorité à toute la Catalogne et acquit le comté de Montpellier par
mariage. Il se fit couronner en 1204 par Innocent III, dont il se reconnut vassal : ce
-3632-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
qui le mit en difficulté avec ses sujets. Il remporta en 1212 la brillante victoire de
La Navas de Tolosa sur les Maures d'Espagne, avec l'aide d'Alphonse VIII de
Castille et de Sanche VII de Navarre. Pour stopper la conquête de Simon de
Montfort, il intervint en faveur de Raymond VI de Toulouse, qui était son beau-
frère, et fut tué à Muret.
Infante don PEDRO de Aragón ([1174/76]-killed in battle Muret 14 Sep 1213, bur
priory of San Juan de Sijena). The "Corónicas" Navarras name "al yfant don Pedro,
rey d'Aragón, et al marqués de Provença don Alfonso, et a don Ferrando, abbat de
Mont aragón, et una filla que casaron en Ongría" as the children of "el rey don
Alfonso d'Aragón" and his wife[318]. The Gestis Comitum Barcinonensium names
"Petrus…Alfonsus" as the oldest two of the three sons of "Ildefonsi", specifying that
Pedro succeeded his father in "regnum Aragoniæ et Comitatus Barchinonæ,
Bisuldini, Cerritaniæ et Rossilionis, ac Palearensem"[319]. The Crónica de San
Juan de la Peña names "Pedro…Alfonso…y Fernando" as the three sons of King
Alfonso II[320]. He succeeded his father in 1195 as PEDRO II "el Católico" King of
Aragon, Conde de Barcelona, Gerona, Osona, Besalú, Comte de Cerdagne/Cerdaña
et de Roussillon. He was crowned at Rome by Pope Innocent III [1205]. He
received possession of the County of Urgel 1209 on the death of Armengol VIII
without male heirs, in return for guaranteeing the rights of his daughter (to whom
King Pedro’s son Don Jaime was betrothed). He vanquished the Almohades at Las
Navas de Tolosa 1212. He was defeated in battle by Simon de Montfort. The
Annales Compostellani record that “Petrus Rex Aragoniæ” was killed “a Gallis apud
Castrum…Muret II Id Sep” in 1213[321]. The Crónica de San Juan de la Peña
records the death in 1214 of Pedro II King of Aragon aged 40 years and his burial
"en el monasterio de Sijena"[322].
-3633-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Maria de Montpellier molher del rei dAragon"[330]. King Pedro II & his wife had
two children.
[318] "Corónicas" Navarras 1.11, p. 32.
[319] Ex Gestis Comitum Barcinonensium, RHGF XII, p. 380.
[320] Crónica de San Juan de la Peña XXXIII, p. 132.
[321] Annales Compostellani, España Sagrada XXIII, p. 323.
[322] Crónica de San Juan de la Peña XXXIV, p. 144.
[323] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1213, MGH SS XXIII, p. 898.
[324] Crónica de San Juan de la Peña XXXIV, p. 136.
[325] Liber Montpellier, CCIV, p. 349 [J.-C. Chuat] and Spicilegium, Tome III, p.
558.
[326] Baumel, J. (1980) Histoire d'une seigneurie du Midi de la France. Naisance
de Montpellier (985-1213) (Montpellier, Causse), p. 231 ff. [J.-C. Chuat]
[327] Spicilegium Tome III, p. 561.
[328] Spicilegium Tome III, p. 565.
[329] Spicilegium Tome III, p. 566.
Pedro II de Aragón, el Católico, rey de Aragón y conde de Barcelona entre los años
1196 y 1213, hijo del Rey Alfonso II "el Casto" de Aragón. Renovó la infeudación de
Aragón a San Pedro (que habían hecho años antes Sancho Ramírez y Pedro I), tras
su coronación por el papa Inocencio III en la basílica de San Pancracio de Roma el
día 4 de febrero de 1204. Presenta el hecho resaltable de ser el primer monarca
del reino que es coronado. A partir de él y por concesión de la Santa Sede por bula
dictada el día 6 de junio de 1205, los monarcas aragoneses podrán coronarse,
debiendo hacerlo en la Seo de Zaragoza, de manos del arzobispo de Tarragona y
después de haber solicitado la corona al papa. La concesión se hizo extensiva a las
reinas.
Pedro había casado con María, heredera del conde de Montpellier, y su hermana
Leonor se había unido en matrimonio con el conde Ramón VI de Tolosa. Los
territorios vasallos se extendían a Ramón-Roger Trencavel, vizconde de Beziers y
Carcasona. A finales del siglo XIII la influencia del catarismo, una religión
proveniente de Europa del Este (bogomilos) y cuyos seguidores, los “cátaros”, se
conocieron con la denominación de “albigenses” en razón de su profusión en la
ciudad de Albi. En los territorios del condado de Toulouse y vecinos esta religión se
había afianzado en las élites y clases acomodadas, amenazando la hegemonía de la
Iglesia romana y despertando al mismo tiempo, por la prosperidad de aquellas, la
ambición de las baronías de Isla de Francia y aliados de la corona francesa,
dispuestos a servirse de cualquier excusa para intervenir en los territorios de la
Langue d'oc. El papa Inocencio III por su parte, se mostró siempre complaciente y
predispuesto hacia las empresas del rey francés con quien habría de aliarse
militarmente en Bouwines y a quien encomendaría la acción de castigo contra
Inglaterra; por supuesto, él mismo albergaba su propio deseo de atajar la "herejía"
y reducir a sus prosélitos a la obediencia a Roma. De esta comunión de intereses
surgió la cruzada contra los albigenses que el papa predicó en toda la cristiandad,
especialmente en Isla de Francia, y que legitimó al monarca francés para enviar
contra los territorios considerados desviacionistas por Roma, un poderoso ejército
mandado por Simón de Montfort. El acontecimiento que desató el conflicto fue el
-3634-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
asesinato del obispo Pierre de Castelnau, que iba camino de Tolosa para mediar en
nombre de Roma. Conocido el atentado el Papa promulgó la Cruzada contra los
Albigenses.
Raimundo hizo valer el pacto secreto acordado con Pedro II el 27 de enero de 1213
y reclamó su protección. Pedro II, viendo amenazadas sus posesiones en Occitania
pactó con Simón IV de Montfort, el casamiento de su hijo Jaime con la hija de
Simón. Como garantía, entregó al joven príncipe (y único heredero del linaje) a
Simón, que lo mantuvo en el Palacio de los Trencavel, durante los primeros años de
su vida. Sin embargo, una vez que el príncipe de Aragón estuvo en su poder,
prosiguió de igual manera sus conquistas, desentendiéndose del acuerdo. El
resultado de la guerra "relámpago" llegó tras la brutal toma de Beziers, cuya
matanza se hizo célebre por la frase atribuída según las crónicas[1] Montfort, tras
el sitio de Carcasona en el verano de 1209, había dejado por fin sometidas las
tierras de la familia Trencavel. Pedro II, tras todo tipo de gestiones infructuosas
(políticas y religiosas), reunió finalmente un ejército con el que se presentó ante
Simón de Montfort, en las proximidades de Muret. Allí resultaría muerto al ser
aislado por los caballeros franceses. La muerte del rey trajo el desorden entre las
fuerzas tolosanoaragonesas y la derrota de Muret supuso el abandono de las
pretensiones de la corona de Aragón sobre los territorios ultrapirenáicos y de
acuerdo al historiador, Michel Roquebert, el final de la posible formación de un
poderoso reino aragonés-occitano que hubiera cambiado el curso de la historia de
España. Muerto Pedro II, la nobleza aragonesa exigió al papa la devolución del
monarca. Su esposa, la reina María de Montpellier viajó a Roma para pedir la
custodia de su hijo. Pero murió allí mismo, en extrañas circunstancias y con sólo
treinta y tres años de edad. En poco tiempo, el joven rey se había quedado
huerfano de padre y de madre. Ante esta situación de desatención, los nobles
catalano-aragoneses toman medidas y dejan sistemáticamente de abonar "el tercio-
diezmo" que correspondía a la iglesia. Según coinciden algunos historiadores: "Es
el papa, quien pide a Simón de Monfort que devuelva al rey, a los templarios de
Monzón y quien, al mismo tiempo, pide a Guillem de Montredón (Maestre de
Aragón)que como buen templario que era, reorganice los impuestos". Siendo un
niño, Jaime I de Aragón y su primo, el conde de Provenza, cruzarán por primera vez
los Pirineos para ser formados y educados con los templarios de Aragón.
http://es.wikipedia.org/wiki/Pedro_II_de_Arag%C3%B3n
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- defunció: Bataile de Muret
- casament 1: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família 2: O.Guionneau (site http://www.geneall.net; 15 V 09)
11.873.973b:
Fonts:
- persona: N.Chardiny
(http://www.worldlingo.com/ma/enwiki/fr/Constance_of_Aragon) 4 xii 2010
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac; 31 XII 06)
- defunció: O.Guionneau ( site fmg.ac ) 31 XII 2006
11.873.973f:
Fonts: - persona: H.R.Moser/EuSt
11.873.975:
Her parentage is confirmed by the charter dated [3] Jun 1202 under which
"Willelmo…comite Forcalquerii filio dominæ comitissæ veterannæ" confirmed the
marriage of "Delfino filio dominæ Beatricis…ducissæ Burgundiæ, Albonensis ac
Viennensis comitissæ" and "neptem suam…filiam filiæ suæ…Beatricem"[770]. The
-3635-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
primary source which confirms her name and her husband´s name has not yet been
identified. She was known as "Ctss" de Forcalquier, during the lifetime of her
father.
m ([1178]) as his first wife, RAINON [I] de Sabran, Seigneur du Caylar et
d'Ansouis, son of ROSTAIN [II] de Sabran & his second wife Roscie Dame du Caylar
et d'Uzès. 1155/1209.
[770] Juvénis & Albert (1892) Tome III, Appendice, 16, p. 222.
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY, J-P de Palmas (FMG) 22 viii 2011
- família: O.AUFFRAY
11.873.975b:
Décédée en 1215 à 33 ans ?
D.Thuret (Jean Mon) 6 i 2010
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY, M.Rérolle (corrections) 13/7/06
- naixement: O.AUFFRAY
- casament: O.Auffray
- família: O.Auffray
11.873.975-2b:
Il vendit en 1206 la part qui lui revenait d'Uzès à l'évêque de la ville.
A propos du château de La Tour d'Aigues
C’est au XIeme siècle (en 1002 puis en 1018) que l’on trouve les plus anciennes
mentions d’une « Turris » qui donnera son nom au village
Les puissants comtes de Forcalquier possèdent, sur une éminence dominant la
vallée de l’Eze, une fortification qui surveille les chemins et drailles reliant Aix, la
riche plaine de Pertuis dans la vallée de la Durance, le Luberon et les Alpes.
Protégé par cette « Tour » donnée en fief à un certain Béranger, vicomte
d’Avignon, se créé, peu à peu, le village. De ce premier « château », situé à
plusieurs dizaines de mètres de celui que nous voyons aujourd’hui, il ne reste rien.
Seule une rue délimitant le quartier dit du « Château Vieux » en perpétue le
souvenir .
Ne pouvant s’agrandir, bloquée entre le rebord de la falaise et le village, cette
première fortification est abandonnée pour une nouvelle construction édifiée hors
de l’enceinte des habitations. A quelle date ? Nous ne le savons pas exactement
mais, les techniques de construction de ce qui nous en est parvenu nous orientent
vers le XIVème siècle.
De ce qui s’est passé entre XIème et le Xvème, nous savons seulement que la
seigneurie est devenue, au XIIème siècle, une possession de la famille provençale
des Sabran avec Raine de Sabran. Une autre branche de cette très ancienne
famille possèdait encore récemment le château voisin d’Ansouis.
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY, J-P de Palmas (notice du château de la Tour d'Aigues)
- família: O.AUFFRAY
11.873.975-2c:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella (base charmion), PractMadoux (Société d'études des
Hautes-Alpes; 1901) 7 iii 2007
- defunció: D.Thuret (Michel Jourdan) 6 i 2010
- família: M.Rébeillé-Borgella (base charmion),O.Martel (site podeor), J-P de Palmas
(Pithon Curt, Anselme et FMG) ii2010
11.873.980:
DODON de Comminges dit "de Samatan", son of BERNARD [I] Comte de
-3636-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Comminges & his wife Dias de Samatan (-after 1176). His parentage is confirmed
by the marriage contract dated 26 Apr 1139 under which "Bernardus de Comenge
et uxor mea Dias et filii nostri Bernardus de Comenge et Rogerius et Dodo de
Samatano" granted property to "Bernardae filiae nostrae et viro tuo Rogerio de
Biterri"[838]. He succeeded as Comte de Comminges, as "BERNARD [III]" in 1153.
"Bernardus comes Convenarum…filius Bernardi comitis" donated property to
Berdoues by charter dated 1160[839]. "Dozo de Samatamo comes Convenarum qui
dicebatur Bernardus…filius Bernardi comitis" and "Godefredus qui vocatur
similiter Bernardus et Fortanerius fratres eius" donated property to Berdoues by
charter dated 1163[840].
A propos de Samatan
Les premiers seigneurs de SAMATAN qui vivaient dans ce château étaient les
vassaux des comtes de Toulouse. Ils vécurent au XIème siècle et s’éteignirent au
début du XIIème siècle, les comtes de Comminges recueillirent leurs biens. L’un
d’eux, Pierre Raymond II, guerroya aux côtés de Bertrand Du Guesclin au XIVème
siècle et fut le fidèle allié du comte d’Armagnac, grand ennemi des anglais.
Fonts:
- persona: H.R.Moser/La Vasconie, J-P.de Palmas (FMG) 26 viii 2013
- família: Dubruel, Aurejac, H.deRiberolles(Base Auréjac)
11.873.981:
daughter . Her parentage and marriage are confirmed by an undated charter which
names "comes Convenarum Bernardus nepos Ramundi de Sancto Egidio"[511],
presumably referring to her son Comte Bernard [IV]. If this is correct, it is
chronologically consistent to interpret "nepos" in this document as grandson,
although this is not the only possibility. This interpretation is, however, confirmed
-3637-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
by a charter dated Jan 1191 which names "Bernardus comes de Cominge, filius
sororis comitis Tolosæ"[512], and a charter dated 1202 which names "B. lo comte
de Comenge lo cal fo filh de la filha N Anfos"[513]. According to Père
Anselme[514], she was the daughter of Raymond V Comte de Toulouse (which is
contradicted by the last cited charter), and was named LAURENTIA, although the
primary source on which this is based has not been identified. It is assumed that
this daughter must have been illegitimate.
[512] Histoire Générale de Languedoc 2nd Edn. Tome V, Preuves, XIII, p. 540.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
- família: Dubruel, Aurejac, H.deRiberolles(Base Auréjac)
11.873.981b:
FORTANER de Comminges' . Seigneur d'Aspet, de iure uxoris. m --- dame d'Aspet,
daughter of ARNAUD-RAIMOND [II] Seigneur d'Aspet & his wife ---.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
- família: J-L. Dega
11.873.981c:
GUY de Comminges . Seigneur de Savès (Frontignan-Savès, Haute-Garonne – part
of the canton of L'Isle-en-Dodon).
Fonts:
- persona: C. Patrouix (base "friedrlas"), J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
- família: J-L. Dega
-3638-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.873.982:
Centulle III décède en 1178 trois ans après Matelle.
Ceci marqua également le début de la première guerre de cent ans. Pour les
anglais l’Aquitaine s’appelait la Guyenne.
Fonts:
- persona: Aurejac, G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)
- naixement: G Marsan
- defunció: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)
- família: Aurejac
11.873.983:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014
- naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- defunció: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família 1: C. Saint-Félix (B. Leroy et JP Barraqué "de l'Aquitaine à l'Ebre")
27xi2006
- família 2: Aurejac
11.873.983-1b:
GASTON [V] de Béarn (-1170). A charter records that, after the death of
"vicecomitissa Bearnensi…Guascarda", a meeting was convened in Apr 1154 before
Ramón Berenguer IV Comte de Barcelona, at which "filiorum Petri vicecomitis
Bearnensis olim defuncti" were chosen as her heirs and "puerum parvulum
Gastonem" succeeded as vicomte de Béarn[946]. He succeeded as Vicomte de
Béarn, under the regency of Ramón Berenguer IV Conde de Barcelona.
[946] Jaurgain (1902), p. 551, quoting Cartulaire de Lescar, Marca (Béarn), p. 465.
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (B. Leroy et JP Barraqué "de l'Aquitaine à l'Ebre")
27xi2006, J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- família: C. Saint-Félix (B. Leroy et JP Barraqué "de l'Aquitaine à l'Ebre") 27xi2006
11.874.004:
EUDES de Monfaucon (-after 1196). La Thaumassière names “Eudes S. de
-3639-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Montfaucon, Archambaud de Montfaucon doyen de l’église de Bourges, Raoul de
Montfaucon, Simon de Montfaucon” as the children of “Regnaud S. de
Montfaucon” and his wife but cites no source on which the information is
based[554].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 18 iv 2017
- família: H.R.Moser/EuSt, G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de
Berry) vii2009,.; N.Chardiny 27-11-09 (base de Patrick Déret sur généanet)
11.874.005:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 18 iv 2017
- família: H.R.Moser/EuSt, G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de
Berry) vii2009,.; N.Chardiny 27-11-09 (base de Patrick Déret sur généanet)
11.874.005b:
Fonts:
- família: G.Hazard (Bulletin Sté française d'Archéologie 1879) 01/2010
11.874.016:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de
Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009
- defunció: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de
Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009
- família 1: R.Sekulovich (geneanet : bresson) 7 iv 2012
11.874.017:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Dominique Barthélémy La Société dans le comté de
Vendôme p 799 (comtes de Vendôme) Paris 1993) 26 v 2017
11.874.018:
Geoffroy de Palluau (1160 - 1236), premier du nom, chevalier banneret, seigneur
de Montrésor, de La Motte-de-Palluau, et de Luçay-le-Mâle, baron de Touraine, est
connu pour la première fois par une charte de l'an 1200[39]. Geoffroy de Palluau
(1160 - 1236) se marie très jeune avec la nièce de Barthélemy de Vendosme,
Archevêque de Tours (1174 - 1206), comme il est dit dans la Chronique de Tours et
dans le Cartulaire de l'Abbaye de Villeloin. Une charte de l'année 1206 nous le
rappelle (Collect. de D. Housseau, VI, n° 2211.). Elle est la soeur du Comte Jean IV
de Vendôme, seigneur de Montoire, lequel, à sa sollicitation, donne 50 sous de
rente sur les coutumes de Vendosme au prieuré de Moncé, en Touraine, l'an 1222
(Collect. de Gaignières, vol. 678.).
-3640-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Wiki Guy de Rambaud - 2017
Le château de Montrésor
A la vérité, on ne voit pas comment est venu aux seigneurs de Montrésor, ce titre
qui n'appartenait alors qu'aux plus grands seigneurs, sorte de souverains dans
leurs possessions. Une tradition populaire existe encore dans le pays, au sujet de
l'origine du château de Montrésor, qu'on prétend avoir été bâti par le roi Gontran
qui lui imposa ce nom à cause d'un trésor qu'il trouva dans ce lieu. Voici la fable
que racontent Aimoin, Sigebert et Paul Diacre : Gontran, roi d'Orléans et de
Bourgogne, s'étant endormi près d'un ruisseau sur les genoux de son écuyer, rêva
qu'il était entré dans une grotte où il avait trouvé un trésor inestimable.
A son réveil, son écuyer lui rapporta qu'il avait vu sortir de sa bouche une espèce
de petit lézard qui s'était dirigé vers le coteau voisin, d'où il était revenu reluisant
comme l'or, et était rentré dans sa bouche. Le roi fit alors fouiller dans le lieu, et y
trouva des richesses immenses. Beaucoup d'étymologies reçues ne sont guère
moins absurdes.
D'un autre côté, le fragment de l'histoire d'Anjou, écrite par Foulques-Réchin, nous
dit que ce fut Foulques-Nerra, son aïeul, qui fit bâtir Montrésor. Mais rien n'est
encore moins certain, si, comme le dit la chronique de Tours, le seigneur de
Montrésor était du nombre de ceux qui, en 887, accompagnèrent Ingelger dans son
expédition d'Auxerre pour reprendre les reliques de Saint Martin.
Maan prétend, dans son histoire de la cathédrale de Tours, que Montrésor fut ainsi
nommé parce qu'il dépendait de la trésorerie de cette église. En effet l'archevêque
Hugues refusa de consacrer l'église de Beaulieu, qu'avait fait bâtir Foulques-Nerra,
parce que ce comte s'était emparé du terrain sur lequel était construit le château
de Montrésor, terrain qui était la propriété de son église.
Il résulte de ces diverses opinions que Montrésor était peut être, un simple castel
que Foulques-Nerra, grand constructeur de châteaux, fit agrandir et fortifier en
s'emparant pour cela, selon sa coutume, des terrains qui lui convenaient.
Il faut dire que Montrésor se trouve non loin de Blois, et l'ennemi juré de Foulques
Nerra n'est autre qu’Eudes, Comte de Blois. Par ailleurs, Foulques Nerra gagne
après une bataille mémorable pour l'époque sa guerre contre le Comte de Blois : la
bataille du Pontlevay avec plus de 5000 morts et blessés. Il est important aussi de
rappeler que Foulques Nerra est le fondateur de la dynastie des Plantagenêt.
Il dut y avoir des seigneurs de Montrésor depuis celui qui accompagna Ingelger ;
cependant, l'histoire de ces temps ne nous en indique aucun. Roger, surnommé le
Diable, est le premier que nous voyons prendre le titre de seigneur de Montrésor.
Il paraît assez probable qu'il n'était que gouverneur de ce château, mais que
suivant l'usage observé dans ce temps, il se fit proclamé et en devint seigneur. Il
eut deux fils : Bouchard qui continua la postérité, et Guillaume, mort en 1071.
Bouchard, premier du nom. Balderic, qui en fait un des héros de son siècle, dit de
lui dans ses Carmina héroica : Si quis Achilleos mirando recensuit actus, Actus
Bucardi pluris habens recolat.
-3641-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Il fut marié deux fois. La première avec Euphémie d'Amboise, fille de Lysois et
d'Elinde de Buzançais. La seconde à Agnès, veuve d'un marquis de Lombardie,
dont l'histoire ne nous a pas conservé le nom. Avant ce mariage, il s'était fait moine
et avait été relevé de ses vœux par le Pape. Nous croyons qu'il ne revint pas en
Touraine et qu'il fit l'abandon de tous ses biens au fils qu'il eut d'Euphémie
d'Amboise, ainsi qu'une fille, épouse de Robert II, seigneur de Buzançais. C'est à ce
Bouchard Ier que Balderic, qui était son contemporain, donne le titre de comte.
Albéric de Montrésor fut père de Villaine, autrement nommée Wille, qui fit
plusieurs donations à l'abbaye de Baugerais. L'abbé de Marolles croit que cette
Wille fut mariée dans la maison de Vendôme, et que d'elle vint Mathilde, mariée à
Geoffroy de Palluau. Geoffroy de Palluau, premier du nom, seigneur de Montrésor
et de Palluau, fit plusieurs donations à l'abbaye de Baugerais, du consentement de
Mahaud ou Mathilde, nièce de Barthélemy de Vendôme, archevêque de Tours en
1174. Il prêta serment de fidélité à Philippe-Auguste, en 1205, avec promesse de
lui remettre à sa volonté la forteresse de Montrésor, sous la caution de Robert de
Buzançais.
L'an 1209, s'étant croisé pour la Terre-Sainte, Guy Sénébaud renouvela en son nom
la même promesse. Son frère Roger de Palluau était un des chevaliers bannerets
créés, en 1210, par Philippe-Auguste. Geoffroy était fils de Haraud de Palluau. Il
eut de son épouse Mathilde : Bouchard qui suit ; Guy de Palluau, seigneur de
Langé en 1231 et 1236 ; Jean ; Isabelle ; Pierre, seigneur d'Oigniez dans la paroisse
de Préaux en 1265 ; et Eglantine de Palluau, femme de Renaud de Pressigny.
Mathilde testa en 1235, et donna dix sous de rente à l'abbaye de Baugerais pour
célébrer son anniversaire. Bouchard de Palluau, seigneur de Montrésor, deuxième
du nom, fit, en 1239, une fondation à l'abbaye de Baugerais, du consentement de
Marie, son épouse. De cette alliance sortirent Geoffroy et Adenorde, ou Honneur,
religieuse à l'abbaye de la Virginité. Son frère Geoffroy et son oncle Pierre de
Palluau lui assurèrent sa vie durant 21 liv. de rente, et deux nuits et demi de
méteil, rachetables moyennant quarante sous de rente. Ils en donnèrent leurs
lettres au mois de décembre 1254.
Geoffroy de Palluau, deuxième du nom, dit Payen, chevalier, fit, en 1255, le voyage
de Jérusalem. En 1271, il donna à l'abbaye de Baugerais les forges qu'il avait dans
le bois de Chédon. Il eut de sa femme, dont le nom n'est pas venu jusqu'à nous,
Geoffroy, Marguerite et Perrenelle, religieuses à l'abbaye de la Virginité.
Jean de Bueil, deuxième du nom, chevalier, sire de Bueil, amiral de France, comte
de Sancerre et de Montrésor, vendit cette dernière terre le 5 mars 1451, à André
de Villequier, fils de Colas et de Marie de Gamache.
Elle avait été mariée en premières noces à Henri de Bourbon, duc de Montpensier,
dont elle eut Marie de Bourbon, épouse de Gaston d'Orléans, frère unique de Louis
XIII. Henri de Bourdeilles, vicomte et baron de Bourdeilles, chevalier des ordres du
roi, s'allia avec Madeleine, fille de Gaspard de la Châtre, et de Gabrielle de
Bastarnay, dont il eut François-Sicaire de Bourdeilles, marquis d'Orchiac, et
Claude qui suit : Claude de Bourdeilles, comte de Montrésor, abbé de Launay.
Il mourut sans postérité en 1663. Ainsi que son grand-oncle Brantôme, il a laissé
des mémoires curieux en deux volumes, connus sous le nom de Mémoires de
Montrésor. On a dit que c'était en sa faveur que cette terre avait été érigée en
comté, mais il serait difficile d'en produire la preuve. Nous avons indiqué au
commencement de cet article, que Montrésor jouissait de ce titre plus de cinq
cents ans auparavant.
Jusqu'en ces derniers temps, c'est-à-dire jusqu'en 1790, cette terre était possédée
par indivis entre : Paul-Marie-Victoire de Beauvilliers, duc de Saint-Aignan,
Charles-Paul-François de Beauvilliers, comte de Buzançais, et leur sœur Colette-
Marie-Paul-Hortense-Bernardine, épouse d'Antoine-Charles-Guillaume, marquis de
La Roche-Aymon.
Le château appartient aujourd'hui à ses descendants, qui essayent tant bien que
-3644-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
mal de préserver le lieu.
Liens externes
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Château de Montrésor "châteaux de France" et Histoire
de Touraine par J-L Chalmel) 16 iii 2012, D.Martin (Armes : AE Berdé) 21 vi 2017
- família: Y. Gobilliard (14-4-06)
11.874.019:
Elle est la soeur du Comte Jean IV de Vendôme, seigneur de Montoire, lequel, à sa
sollicitation, donne 50 sous de rente sur les coutumes de Vendosme au prieuré de
Moncé, en Touraine, l'an 1222 (Collect. de Gaignières, vol. 678.).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud : "Seigneurs de Palluau") 26 v
2017
- família: Y. Gobilliard (14-4-06)
11.874.019b:
Bouchard Ier de Paluau, naît vers 1180/1185 au Château de La Motte de Palluau et
décède en 1240. Il est chevalier, seigneur de Montrésor, de La Motte de Paluau et
de Luçay-le-Mal, fils aîné et principal héritier de Geoffroy de Palluau (1160 - 1236).
Il ratifie, dès l'année 1205, étant encore très jeune, une donation faite par ses père
et mère à l'Abbaye de Villeloin, et comparaît avec eux dans la plupart des chartes
que nous avons analysées. En 1230, du vivant de son père, alors fort âgé, il prend
le titre de seigneur de Montrésor et fait don à l'Abbaye de Villeloin d'un certain
terrage ayant appartenu à Jean Cottereau, de la paroisse de Beaumont[40].
Fonts:
- persona: Joël ChIrol (Base de Carné 24/09/07), J-P.de Palmas (Wiki de Guy de
Rambaud : "Seigneurs de Palluau") 26 v 2017, D.Martin (Armes : AE Berdé) 21 vi
2017
- família: Joël ChIrol (Base de Carné 24/09/07), J-P.de Palmas (Wiki de Guy de
Rambaud : "Seigneurs de Palluau") 26 v 2017
11.874.020:
GEOFFROY [III] de Mayenne (-18 Feb or 25 Jul 1169). "Juhello principe Meduane
et uxore eius Clementia et filio eorum Gaufrido primogenito" subscribed a charter
dated 12 and 26 Jul 1128, under which property was restored to the abbey of Mont-
Saint-Michel[895]. He succeeded his father in 1161 as Seigneur de Mayenne. He
went on crusade in 1163[896].
m firstly CONSTANCE de Bretagne, daughter of CONAN III Duke of Brittany & his
wife Matilda [of England] (-1148). The primary source which confirms her
-3645-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
parentage and marriage has not yet been identified.
[898] Berger, E. (ed.) (1920) Recueil des actes de Henri II roi d´Angleterre et duc
de Normandie (Paris) ("Actes Henri II"), Tome II, DCXXVIII, p. 238.
[900] Bodard de la Jacopière (1872), Renvoi E2, p. 596, quoting Coll. Housseau,
Vol. VI, no. 2135.
-3646-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[903] Gesta Guillelmi Majoris Andegavensis Episcopi, Spicilegium II, p. 161.
[905] ES XIII 133. According to Domesday Descendants, p. 577, all his children
were by his wife Isabelle de Meulan.
ES XIII 133. According to Domesday Descendants, p. 577, all his children were by
his wife Isabelle de Meulan.
Fonts:
- persona: C.Denancé (Noblesse Bretonne: Brand'honneur, 2001) 03.02.09,
B.Yeurc'h (Dom Morice), J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales
mayennaises, P. 521-524) 23 ii 2011, J-P.de Palmas (FMG) 2 xi 2016
- naixement: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521) 23 ii 2011
- defunció: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 23 ii 2011
- família 1: C.Denancé (Noblesse Bretonne: Brand'honneur, 2001) 03.02.09,
B.Yeurc'h (Dom Morice), H.R.Moser/EuSt-XIII/133, J-P.de Palmas (FMG) 2 xi 2016
- casament 2: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 23 ii 2011
- família 2: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 23 ii 2011
11.874.021:
Fonts:
- persona: E.Arminjon, F-L. Jacquier (Europäische Stammtafeln, III-4, tafel 700)
- defunció: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)
- casament 1: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 23 ii 2011
- família 1: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 23 ii 2011
- família 2: E.Arminjon, H.R.Moser/EuSt-III.4/719, C.Faucherand (Cartulaire de
l'Abbaye de Fontaine-Daniel, en note sur page liée) 3 vi 2017
11.874.021b:
alliance rompue pour cause de parenté.
-3647-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 23 ii 2011, Scévole de Livonnière (GEDCOM)
- naixement: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 24 ii 2011
- defunció: J-C de Vaugiraud (remariage en 1189) 24 ii 2011
- casament: J-C de Vaugiraud (extrapolation de ES XIV, T. 136) 24 ii 2011
- família: C.Denancé (Noblesse Bretonne: Brand'honneur, 2001) 03.02.09, J-C de
Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P. 521-524) 23 ii 2011
11.874.021-1a:
FMG - Nouvelle version 2012
m ROBERT [IV] Seigneur de Sablé, son of ROBERT [III] Seigneur de Sablé [Nevers]
& his wife Hersende --- (-in Palestine [1195]).
[911] Douglas Richardson in a private email to the author dated 13 Feb 2012.
-3648-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 23 ii 2011, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 23 ii 2011
et 2 xi 2016
- naixement: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
521-524) 24 ii 2011
- família: H.R.Moser/EuSt-III.4/718, J-P de Palmas (Histoire de Touraine jusqu'à
l'année 1790, par Jean Louis Chalmel, tome III, Tours 1828) 23-ii-2009
11.874.021-2b:
Décédé le 12 mai 1226 selon Anselme, p. 568
Fonts:
- família: A de Tocqueville geneanet ldsfrancois
11.874.021-2c:
Fonts:
- persona: E.Arminjon
- família 1: E.Arminjon
- família 2: Philippe Renaud (13 xi 2006)
11.874.021-2d:
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tristan Robet, d'après The Complete Peerage par
Burke) 2 x 06
- família: Renaud de Paysac (Tristan Robet, d'après The Complete Peerage par
Burke) 2 x 06
11.874.021-2e:
Fonts:
- persona: C.Faucherand (Cartulaire de l'Abbaye de Fontaine-Daniel, en note sur
page liée) 3 vi 2017
11.874.021-2f:
Donation par Constance de Craon, dame de la Garnesche.
V. 1205.
Testibus bis : Juhello de Meduanâ ; Petro de Credone, clerico; Petro de la Garnesche, filio
meo; Isabelli de Meduanâ, matre meà et pluribus aliis.
[Qu'il soit connu de tous, présents et à venir, que moi, Constance, fille de Maurice de
Craon, dame de la Garnesche, ai, du consentement et de la volonté de mon fils Pierre, qui
était alors mon seul héritier, donné en pure et perpétuelle aumône à Dieu, à la
-3649-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
bienheureuse Marie et à l'abbaye de Fontaine-Daniel, vingt sols tournois, ou de monnaie
courante, et les ai délivrés à prendre chaque année, à Chantocé, sur mon revenu du
passage de la Loire : ils seront exigibles à la Nativité de la bienheureuse Marie et touchés
du receveur dudit passage, qu'il le tienne à ferme ou autrement.
Mais, comme les générations se succèdent et que le souvenir des actions humaines est
fugitif, j'ai rédigé par écrit cette donation, pour en assurer l'exécution à perpétuité, et je
l'ai fait valider par l'impression de mon sceau.
Fonts:
- persona: C.Faucherand (Cartulaire de l'Abbaye de Fontaine-Daniel, en note) 3 vi
2017
- família: C.Faucherand (Cartulaire de l'Abbaye de Fontaine-Daniel, en note) 3 vi
2017
11.874.022:
Alain de Vitré substitue à son patronyme celui de Dinan, après son adoption par
son oncle maternel Rolland de Dinan, frère d'Emma (ou Emme) de Dinan.
[1312] Dom Morice Preuves I, p. 664, quoted in Robert de Torigny, Vol. II, p. 46
footnote 5.
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com), F-L. Jacquier Peter Meazey, tome
CXIV, 2005 de l'Association bretonne) 03-02-2007, J-P.de Palmas (FMG) 19 ix 2012
- naixement: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet)
http://www.geneal.com/geneal.php?base=capet
- defunció: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet)
http://www.geneal.com/geneal.php?base=capet
11.874.023:
CLEMENCE de Fougères (-1252). The primary source which confirms her first
marriage has not yet been identified. The Annales Cestrienses record in 1200 that
-3650-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
“Rannulphus comes Cestrie”, having left “comitissa BritannieConstancia”, married
“filiam Radulphi de Feugis”[1664]. King John confirmed "manerio de Belinton"
made by "Gaufr de Fulgeriis" to "R. com Cestr…in maritagio cum Clementia sorore
sua" by charter dated 29 May 1204[1665]. The Annals of Burton record the death
“post Natale Domini” in 1252 of “Clementia comitissa de Rependun relicta…Ranulfi
quondam comitis Cestriæ”[1666]. A writ of certiorari dated 26 Jan "55 Hen III",
was issued by "Ralph de Krumbewell and Margaret his wife, John le Straunge and
Joan his wife, Walter de Suly and Mabel his wife, and Henry de Erdington and
Maud his wife" concerning lands of "Clemence sometime countess of
Chester…taken into the king´s hands upon her death by reason of the minority of
the said Ralph her heir, lately deceased, of whom the said Margaret, Joan, Mabel
and Maud claim to be heirs"[1667].
m firstly ALAIN de Vitré, Seigneur de Dinan, son of ROBERT Seigneur de Vitré &
his wife Emma de Dinan.
m secondly (before 7 Oct 1200) as his second wife, RANULF "de Blundeville" Earl
of Chester, son of HUGH Earl of Chester & his wife Bertrade de Montfort
(Oswestry, Powys [1170]-Wallingford 28 Oct 1232, bur 3 Nov 1232 Chester, Abbey
of St Werburgh).
[1667] Maxwell Lyte, H. C. (ed.) (1904) Calendar of Inquisitions Post Mortem, Vol.
I, Henry III (London), 779, p. 258.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 1xii2012, J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 xi 2015
- naixement: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet)
http://www.geneal.com/geneal.php?base=capet
- família 2: Renaud de Paysac (Tompsett), J-P.de Palmas (FMG) 25 xi 2015
11.874.023-2a:
[MARGUERITE (-[1220] or before). "Gaufredus vicecomes de Rohan" confirmed
donations to Bonrepos abbey made by “avus meus Alanus vicecomes de Rohan et
pater meus”, for the salvation of “Margaritæ uxoris meæ”, with the consent of
"fratribus meis Oliverio et Alano", by charter dated 1216[148]. Marguerite is
shown in Europäische Stammtafeln[149] as the daughter of Ranulf Earl of Chester
and his first wife Constance Dss of Brittany, although the primary source on which
this parentage is based has not yet been identified. Assuming that Marguerite was
the daughter of Earl Ranulf, it is more probable that she was his daughter by his
second wife as no record has been found of her claiming the succession to Brittany,
despite what would have been her superior claim to her younger half-sister Alix. On
the other hand, the Genealogia Comitum Richemundiæ records that the second
marriage of "Constantia filia Conani" and "Ranulphus Comes Cestriæ" was
childless[150]. The primary source which confirms her marriage has not yet been
identified.
m as his first wife, GEOFFROY [I], Vicomte de Rohan, son of ALAIN [IV] Vicomte de
-3651-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Rohan & his wife Mabile de Fougères (-15 Sep 1221).]
[149] ES X 14.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 xi 2015
- família: J-P.de Palmas (FMG) 25 xi 2015
11.874.024:
Cité en 1170 (acte de Corbie pour Monchy-le-Perreux)
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 19 x 2011
- família 1: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 19 x 2011
- família 2: J-M.Thiebaud (base Alain Dufour) 24 iii 2017
11.874.025:
Fonts:
- família 1: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 19 x 2011
- família 2: J-M.Thiebaud (base Alain Dufour) 24 iii 2017
11.874.025b:
Chevalier.
Capitaine à Bouvines
Fondateur de l'abbaye de Joyenval (Yvelines), en 1221
Fonts:
- persona: PRactMadoux (Chambourcy & le désert de Retz; 1984) 3 xi 2006
- enterrament: PRactMadoux (Chambourcy & le désert de Retz; 1984) 3 xi 2006
- casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 19 x 2011
- família: H.R.Moser/Anselme-VIII/7
11.874.025c:
"The date of his election in unknown. Said to have died in 1203 (Gallia 582), but in
1202 according to the Annales Uticencis p. 164". In the Evreux obit, Robert was
remembered on 26 December (D. Spear, p. 136).
Fonts:
- persona: S.Jahan (D. Spear, The personnel of the Norman Cathedrals) 17 ix 2015
11.874.026:
Fonts:
- família: Y. Gobilliard
11.874.027:
Fonts:
- persona: une source serait la bienvenue !
- família: Y. Gobilliard
-3652-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.028:
Fonts:
- família: T. Denis (St-Allais : Nobil. univ. de France - t1)
11.874.029:
Fonts:
- família: T. Denis (St-Allais : Nobil. univ. de France - t1)
11.874.029b:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. univ. de France - t1)
11.874.034:
Biographie sur Wikipedia
Fonts:
- persona: A.Vivier (E.Prud'homme) 20 xi 2015
11.874.035:
Maria Komnene or Comnena (Greek: Μαρία Κομνηνή, Maria Komnēnē), (c. 1154 -
1208/1217), was the second wife of King Amalric I of Jerusalem and mother of
Queen Isabella of Jerusalem. She was the daughter of John Doukas Komnenos,
sometime Byzantine dux in Cyprus, and Maria Taronitissa, a descendant of the
ancient Armenian kings. Her sister Theodora married Prince Bohemund III of
Antioch, and her brother Alexios was briefly, in 1185, a pretender to the throne of
the Byzantine Empire.
After the annulment of his first marriage to Agnes of Courtenay, Amalric was
anxious to forge an alliance with Byzantium and asked the emperor Manuel I
Komnenos for a bride from the imperial family. Maria was the emperor's
grandniece and he bestowed upon her a rich dowry. The marriage of Amalric and
Maria was celebrated with much fanfare at Tyre, on 29 August 1167.
Maria bore him a daughter, Isabella, in 1172, and a stillborn child in 1173. On his
deathbed, in 1174, Amalric left Nablus to Maria, who became dowager queen upon
his death.
In 1177, Maria married Balian of Ibelin, who commanded the defense of Jerusalem
against Saladin in 1187. She bore him at least four children: Helvis of Ibelin, who
married (1) Reginald of Sidon (widower of Agnes of Courtenay), and (2) Guy of
Montfort John of Ibelin, Lord of Beirut and constable of Jerusalem, who married
Helvis of Nephin, then Melisende of Arsur Margaret, who married (1) Hugh of
Tiberias (stepson of Raymond III of Tripoli), and (2) Walter of Caesarea Philip of
Ibelin, bailli (regent) of Cyprus, who married Alice of Montbéliard.
Maria and Balian supported Conrad of Montferrat (uncle of the late King Baldwin
V) in his struggle for the crown against Guy of Lusignan. They arranged for Maria's
daughter by Amalric, Isabella, to have her first marriage annulled so that she could
marry Conrad, giving him a stronger claim to the throne. In this, Maria and Balian
gained the enmity of Richard I of England and his chroniclers. The anonymous
author of the Itinerarium Peregrinorum et Gesta Regis Ricardi wrote of them:
Steeped in Greek filth from the cradle, she had a husband whose morals matched
her own: he was cruel, she was godless; he was fickle, she was pliable; he was
faithless, she was fraudulent. As the grandmother of Alice of Champagne (Isabella's
daughter by her third husband, Henry II of Champagne), Maria conducted the
-3653-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
marriage negotiations with Cyprus in 1208 - Alice was to marry Hugh I of Cyprus.
Blanche of Navarre, Regent and Countess of Champagne, widow of Alice's paternal
uncle, provided the dowry for Alice. This is the last time Maria is mentioned, and
she was certainly dead by 1217.
Sources
http://en.wikipedia.org/wiki/Maria_Komnene,_Queen_of_Jerusalem
Fonts:
- persona: o guionneau/R. Dewkinandan: WW-2
- família 1: o guionneau/H&G 98-356
11.874.035b:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Collenberg
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 2 ii 2013
- família 2: o guionneau, H.R.Moser/Collenberg
11.874.035c:
Fonts:
- persona: J.-M. Thiébaud 02 ix 06 (Henri de Faget de Casteljau, "Lignées féodales
comtoises", p. 24, H.R.Moser/Collenberg
- família: H.R.Moser/Collenberg
11.874.035d:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Collenberg
- família 1: N de Meyrignac (wikipedia, 17vii2008)
- família 2: H.R.Moser/Collenberg, L.Guion, J-P.de Palmas (FMG) 1 ii 2013
11.874.035-1a:
Mariage d'Onfroi IV de Toron et d'Isabelle de Jérusalem.
m firstly (castle of Kerak Nov 1183, annulled 1190) HONFROY [IV] of Toron, son of
HONFROY [III] of Toron & his wife Stephaine de Milly heiress of Oultrejourdain (-
after 1190). William of Tyre names him and his father when recording his
marriage[215]. William of Tyre (Continuator) names his mother when recording the
annulment of his marriage[216]. A charter dated 1180 records earlier donations by
"Guidonem de Miliaco…dominus Philippus Neapolitanus dominusque Guido
Francigena et dominus Henricus Bubalus, predicti Guidonis filii" and the present
donation by "Reginaldus quondam princeps Anthiochensis…Montisregalis et
Hebron dominus" of property to the abbey of Notre-Dame de Josaphat with the
consent of "uxor mea Stephania…et Hanfredi prefate dominie Stephanie filii et
uxoris eius Elisabeth filie regis Jerusalem"[217], although this is presumably
misdated if the date of Honfroy's marriage is correct. The Chronicle of Ernoul
records the marriage of "Hainfrois" and "le serour le roi…Ysabiaus" on the day
Saladin started his siege of the castle of Krak[218]. While Raymond Count of
Tripoli was promoting Isabelle's candidacy to succeed as queen in 1186, Honfroy
submitted to Queen Sibylle and put an end to the plan[219]. He was captured by
Saladin when he took Jerusalem 2 Oct 1187, freed by his mother who promised to
surrender the castles of Kerak and Montreal but as neither garrisons would obey
her order, she returned him to captivity, from which he was released a few months
later[220]. The Chronicle of Ernoul records the ecclesiastical annulment of the
marriage of Isabelle and Honfroy "que Hainfrois estoit si mauvais qu'il ne poroit le
tiere tenir", undated but in passages which deal with events in 1190[221]. After the
annulment of his marriage, Isabelle restored to him the fief of Toron[222].
m secondly (Acre 24 Nov 1190) as his third wife, CORRADO di Monferrato, son of
GUGLIELMO V "il Vecchio" Marchese di Monferrato & his wife Judith of Austria
[Babenberg] ([1145/47]-murdered Tyre 28 Apr 1192). The Cronica Alberti de
Bezanis names "Gullielmus Spatam-longam, Conradum, Bonifacium, Fredericum et
Raynerium" as the five sons of "Gulielmus marchio Montisferati" & his wife[223].
William of Tyre (Continuator) names him son of "le marquis Boniface", but clarifies
this error by specifying that his nephew was king of Jerusalem[224]. He arrived in
Constantinople in [1186] and was placed in command of the troops which crushed
the rebellion of Theodoros Branas by Emperor Isaakios II, whose sister he
married[225]. The Chronicle of Ernoul also records that Corrado was involved in
suppressing the rebellion of "Livernas"[226]. He was awarded the title caesar in
1187. He landed at Tyre 14 Jul 1187. He took command of the defence of the city
against Saladin, who was unable to capture it[227]. He sent Josias Archbishop of
Tyre to the Pope in late summer 1187 to inform him of the plight of the kingdom of
Jerusalem[228]. He refused to surrender Tyre to Guy de Lusignan King of
Jerusalem in 1188 and 1189, but was persuaded by Ludwig III "der Milde"
Landgraf von Thüringen to join in King Guy's attack on Acre[229]. During the early
part of the siege, he and King Guy settled their differences, Corrado agreeing to
recognise Guy as king while Corrado would continue to hold Tyre, Beirut and
-3655-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Sidon[230]. After the death of Queen Sibylle in 1190, Balian of Ibelin and his wife
Queen Maria (mother of Isabelle of Jerusalem) considered Corrado a better
candidate for the throne of Jerusalem than King Guy. They therefore engineered
his marriage to Isabelle, now heir to the throne, despite the fact that his previous
two wives may still both have been alive at the time[231]. After his marriage,
Corrado returned to Tyre, refusing to assume the throne of Jerusalem unless King
Guy abdicated[232]. After the capitulation of Acre 12 Jul 1191, a meeting of
European dignitaries decided that Guy de Lusignan should remain as king of
Jerusalem until his death, after which the crown would pass to Corrado, his wife
Isabelle and their issue. Meanwhile Corrado would be Lord of Tyre, Beirut and
Sidon, and he and King Guy would share the royal revenues[233]. He succeeded
his father in 1191 as CORRADO Marchese di Monferrato. After further quarrels
between the crusader leaders, a council called by Richard I King of England in Apr
1192 decided that Corrado should replace Guy as king of Jerusalem. His coronation
was planned at Acre, but a few days later he was murdered at Tyre, apparently by
two Assassins hired by Sheikh Sinan in revenge for an act of piracy against one of
his merchant ships[234].
m thirdly (Acre 5 May 1192) HENRI II Comte de Champagne, son of HENRI I "le
Libéral" Comte de Champagne & his wife Marie de France (29 Jul 1166-Acre 10
Sep 1197). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Henricus et
Theobaldus" as sons of "comes Henricus Trecensis" & his wife[235]. William of
Tyre (Continuator) names him and specifies that he was nephew of Philippe II King
of France[236]. He left on the Third Crusade and was in command of the siege
operations at Acre in 1190[237]. After the murder of Corrado di Monferrato, Comte
Henri hurried to Tyre, was acclaimed as the suitable candidate to marry Corrado's
widow, and within two days his betrothal was announced[238]. He succeeded in
1192 as HENRI King of Jerusalem, by right of his wife, but was never crowned
king[239]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Isabella" as wife of
"comes Campaniensis Henricus…comes et princeps…in Acra"[240]. Together with
Richard I King of England, King Henri signed a five year peace treaty with Saladin
2 Sep 1192, under which the coastal towns as far south as Jaffa were given to the
Christians who were also given the right to visit the holy places in Jerusalem[241].
He appointed Jean of Ibelin as Constable of Jerusalem in 1194, considering that
Amaury de Lusignan had forfeited the post after his arrest following his support of
the Pisan revolt in Tyre[242]. Following the succession of Amaury de Lusignan as
Lord of Cyprus in 1194, the two parties planned an alliance, sealed by the betrothal
of Amaury's three young sons to King Henri's three young daughters[243]. King
Henri died after accidentally falling through a window in his palace[244].
m fourthly (Acre Jan 1198) as his second wife, AMAURY I King of Cyprus, son of
HUGUES [VIII] "le Brun" Sire de Lusignan & his wife Bourgogne de Rancon
([1145]-Acre 1 Apr 1205). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names
"Gaufridum, Henricum regem Cypri et Guidonem regem Ierosolimorum" as
brothers of "Hugo de Lisegnen"[245]. "…Aimericus de Lisenian…" subscribed a
charter dated 13 Dec 1174 under which Baudouin IV King of Jerusalem donated
property to the Knights Hospitallers[246], which appears to be the first mention of
his name in the Levant. King Baudouin IV appointed him as Constable of Jerusalem
in 1181[247]. He supported the rebellion of the Pisans at Tyre in May 1192, was
arrested by Henri de Champagne King of Jerusalem, but retired to Jaffa on his
release. King Henri, considering that Amaury had thereby forfeited his office of
Constable, appointed Jean of Ibelin as Constable in his place[248]. Amaury's
younger brother Guy Lord of Cyprus had bequeathed his authority in Cyprus to
their older brother Geoffroy de Lusignan but, as the latter had returned to France
in [1192], the Franks in Cyprus summoned Amaury to succeed as Lord of Cyprus in
1194[249]. The rivalry with the kingdom of Jerusalem was suspended when Henri
de Champagne King of Jerusalem visited Cyprus in 1194, the new alliance being
sealed by the betrothal of Amaury's three young sons to Queen Isabelle's three
-3656-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
young daughters[250]. According to Edbury, the reconciliation took place in
1197[251]. Amaury did homage to Emperor Heinrich VI, through his ambassador
Renier of Jebail, at Gelnhausen in Oct 1195, in return being recognised by the
emperor as AMAURY I King of Cyprus. He was crowned in Sep 1197 at Nicosia,
where he did homage once more to the emperor's representative Konrad von
Querfurt, Bishop of Hildesheim, who was present at the ceremony as Imperial
Chancellor[252]. On the death of Henri de Champagne King of Jerusalem in Sep
1197, King Amaury was proposed by the German leaders, headed by Konrad von
Wittelsbach Archbishop of Mainz, as the best candidate to become Queen Isabelle's
fourth husband. King Amaury arrived at Acre in Jan 1198, married Isabelle and was
crowned with his wife a few days later as AMAURY II King of Jerusalem. The two
kingdoms were linked only by the person of the monarch, as each retained its own
administrative identity[253]. After the collapse of the German crusade in early
1198, King Amaury opened negotiations with al-Adil (Saladin's brother) although
the six year peace treaty was not signed until Sep 1204, under the terms of which
Beirut, Sidon, Jaffa and Ramleh were transferred back to the kingdom of
Jerusalem[254]. "Aymericus…Latinorum Jerusalem rex nonus et rex Cipri" donated
property to the church of the Holy Sepulchre, Jerusalem by charter dated Mar
1201 which names "frater meus rex Guido"[255]. The Archbishop of Cæsarea
records the death "c purificacionem B. Mariæ" of "regis Amalrici II filium" and the
death 1 Apr of the king himself, by charter dated [May] 1205[256]. On the death of
King Amaury in 1205, the two kingdoms of Jerusalem and Cyprus were separated
once more.
[211] WTC XXIII.XIX, p. 31, and Runciman (1978), Vol. 2, pp. 448-9.
-3657-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[218] Ernoul 9, p. 103.
[225] Sturdza (1999), p. 537, Runciman (1978), Vol. 2, pp. 444-5, and WTC
XXIII.XVI, p. 25.
[235] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1181, MGH SS XXIII, p. 856.
-3658-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[240] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1196, MGH SS XXIII, p. 874.
[245] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1198, MGH SS XXIII, p. 876.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2016
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2016
- casament 3: J-C de Vaugiraud (HG 145 p.369) 17/06/2006
- família 3: G.de Paysac/Anselme II, 842
11.874.038:
Baudouin V de Hainaut (c.1150 - 17 décembre 1195 à Mons), dit Baudouin le
Courageux, fut comte de Hainaut de 1171 à 1195, comte de Flandre sous le nom de
Baudouin VIII de Flandre de 1191 à 1194 et marquis de Namur sous le nom de
Baudouin Ier de 1187 à 1195. Il est le fils du comte Baudouin IV de Hainaut et
d'Alix de Namur.
-3659-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
propos de Douai ; la ville est gardée à la Flandre en échange d'une partie de la dot.
Le conflit qui éclate peu après entre le roi et le comte de Flandre met Baudouin
dans une situatuin rapidement inconfortable. D'abord fidèle à l'alliance flamande
(1180-1184), il se voit obligé de lutter contre le duc de Brabant Henri le
Guerroyeur, allié du roi, puis doit préserver les intérêts de sa fille au bord de la
répudiation. Le comte de Flandre refuse finalement de le soutenir contre Henri.
C'est la rupture. D'autant que, subtilement, le roi l'a désigné (à son insu) exécuteur
de la trève qu'il a signée à Compiègne en 1185 avec le comte de Flandre,
provoquant la fureur de celui-ci. La paix est finalement conclue en 1186 après une
invasion du Hainaut, Philippe d'Alsace craignant désormais être à son tour pris en
étau.
Baudouin avait été également désigné successeur du comté de Namur par son
titulaire, Henri l'Aveugle, sans postérité. L'accord avait été entériné formellement
par l'empereur Frédéric Barberousse en 1184 à Mayence. Le comte reçoit même
en 1187 la titulature du comté érigé en marquisat. Or, en 1186 naît une fille à
Henri l'Aveugle. Le comte de Namur dénonce alors l'acord précédent pour faire de
sa fille Ermesinde son héritière. S'ensuit une guerre que remporte Baudouin lors
de la bataille de Noville-sur-Mehaigne (1er août 1194), où, malgré une forte
infériorité numérique, ses troupes écrasent celles des comtes de Namur, Hollande,
Juliers et Dagsbourg, des ducs de Brabant et de Limbourg. Henri garde le
marquisat en viager, mais l'héritage passe à sa mort (1196) à Baudouin. Entre
temps, Baudouin était devenu comte de Flandre à la mort de Philippe d'Alsace
(1191). Succession délicate parce que la veuve de Philippe, Mathilde de Portugal,
déjà pourvue d'un douaire conséquent, s'agite pour l'agrandir davantage, et que
l'opération s'est déroulée en l'absence du roi de France alors en Orient. Finalement
Mathilde est déboutée de ses prétentions et Philippe Auguste accepte l'hommage
du nouveau comte de Flandre, prenant au passage un relief féodal de 5000 marcs
d'argent. Le 15 novembre 1194 meurt Marguerite d'Alsace et le comté de Flandre
(amputé désormais de l'Artois) passe à leur fils Baudouin IX de Flandre. Baudouin
détache le marquisat de Namur pour un fils puîné, Philippe le Noble, le Namurois
restant dorénavant fief lige du Hainaut (il le restera jusqu'à Philippe le Bon).
Baudouin V meurt le 18 décembre 1195 à Mons. Il est enterré dans l'église Sainte-
Wandru. De son mariage avec Marguerite Ière de Flandre il eut 7 enfants.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Baudouin_V_de_Hainaut
11.874.039:
Fonts: - naixement: B.Yeurc'h (Le Lien)
- família 2: R.Dewkinandan> WW-2
11.874.039a:
1180-90 Sovereign Dame Isabelle de Hainaut of Artois (France/Belgium)
Daughter of Badouin V-VIII of Flanders and Hainault and Margareta of Flanders.
She was married to king Philippe II August of France, and her son, Louis, was
created Count d'Artois. She died after having given birth stillborn twins, and lived
-3660-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(1170-90). After her death her husband first married Ingeborg of Denmark, but
their mariage broke down in 1200 and he then married Agnès de Méranie, but also
this mariage was repudiated.
Fonts:
- persona: ppmr
11.874.039b:
L'empereur de Constantinople
La bataille d'Andrinople
-3661-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ier. La victoire revient aux Bulgares, grâce à une embuscade réussie menée avec
l'aide de leurs alliés coumans et grecs. Environ 300 chevaliers périssent, dont
Louis de Blois, duc de Nicée. Baudouin lui-même est capturé et aveuglé ; il mourra
en captivité. Baudouin est fait prisonnier selon Geoffroi de Villehardouin, même si
les chroniqueurs Meyer et Raynaldi reconnaissent ignorer s’il est mort au champ
d’honneur ou en prison. Si l’on en croit un autre chroniqueur, Nicétas Khoniatès,
Baudouin aurait été détenu à Ternobe, puis aurait été abandonné dans une vallée
pieds et mains coupées, et serait mort après une agonie de trois jours. Cette
version est contestée, et il est plus probable que l’empereur flamand soit mort en
prison. Après cette bataille, les Bulgares envahissent la majeure partie de la
Thrace et de la Macédoine. À Baudouin succède son frère cadet Henri de Hainaut,
qui devient empereur le 20 août 1205. Le déroulement de la bataille est
principalement connu grâce aux Chroniques de Geoffroi de Villehardouin. He died
between 15 April 1205 and 11 Jun 1205 (WW-2).
L'aventure du faux-Baudouin
Sa mort incertaine permit en 1225 à un imposteur, Bertrand Cordel, de se faire
passer en Flandre pour l'empereur, censé avoir échappé à la mort en Bulgarie. Le
difficile contexte flamand de l'après Bouvines et la captivité du comte Ferrand
permit l'aventure.
11.874.039g:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2
11.874.048:
GAUCELIN [V] de Lèves, son of GAUCELIN [IV] Seigneur de Lèves & his wife (-30
Sep [1151], bur Notre-Dame de Josaphat). Seigneur de Lèves. "Gaufridus filius
Gausleni de LeugisGauslinus de Leugis, Gauslinus et Milo filii eius" subscribed the
charter dated [Oct 1100/1101] under which "Henricus comes cognomine
Stephanus et Adela uxor mea" granted immunities to Chartres Notre-Dame in case
of death of the bishop[1312]. A charter dated 2 Nov 1107 records a donation made
by "Gauslinus de Leugis fratresque mei Gaufridus canonicus sancte Marie et
MiloRaherius [de Drocis] quoque sororius noster et Arroldus vicecomes noster
cognatus et Hugo filius Aimerici noster propinquus" for the souls of “patris nostri
et matris”, with the consent of “Bertauxor Raherii cum filiis suisRainoldo, Majoloth,
Gauterio, Ursone fratribus Raherii”[1313]. Louis VI King of France confirmed the
grant of churches and land by “domnus Gaufridus Carnotensis episcopus,
domnusque Goslenus eius frater” for the foundation of the monastery of Notre-
Dame de Josaphat by charter dated 1117, before 3 Aug[1314]. “Hugo de Leugis
prepositus, Goslenus nepos episcopi et Milo frater eius, Goslenus de Leugis”
witnessed the charter dated to [1124/27] under which “virmilitaris Tancredus”
donated “decimamFaberoliis” to the monastery of Notre-Dame de Josaphat[1315].
“Goslenus de Leugis” donated his rights “indomo de porta Perticensi” to Notre-
Dame de Josaphat, with the consent of “filiis suis Gosleno et Gaufredo”, by charter
dated to [1141], witnessed by “Goslenus prepositus et Milo frater eius”[1316].
“Goslenus de Leugis [on the point of leaving “ad Sanctum-Jacobum”]tam ipse quam
filii eiusGoslenus, Gaufredus et Milo” donated property to Notre-Dame de Josaphat,
in the presence of “episcopo Gaufredo, fratre Gosleni eiusdem etGoslenus
archidiaconus, Milo prepositus, nepotes episcopi”, by charter dated to
[1141][1317]. “Goslenus de Leugis cum filiis meis Gosleno et Gaufrido et Milone et
filiabus Odelina, Lucia et Cecilia” donated “omnium feuodorum meorum” to Notre-
Dame de Josaphat, for the soul of “conjugis mee Lucie” who is buried there, by
charter dated to [1138/1143][1318]. “Goslenus de Leviis”, in the year when “filius
eius Goslenus” died, donated five measures of wine annually to Notre-Dame de
Josaphat by charter dated 1145, in the presence of “domni Gaufredi episcopi fratris
sui, Gosleno archidiacono, Gaufrido preposito, Milone canonico, filiis
Gosleni”[1319]. The necrology of Notre-Dame de Josaphat records the death “II Kal
Oct“ of "domni Goslini de Leugisfratris domni Gaufridi Carnotensis episcopi
fundatoris nostri” and his donation[1320].
-3663-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1312] Chartres Notre-Dame, Tome I, XXIV, p. 104.
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 123, sgr de Lèves, 1990) 15 v 2016,
J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 iii 2017
- família: J-P de Palmas (de Lèves) 31 v 2010
11.874.049:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 iii 2017
- família: J-P de Palmas (de Lèves) 31 v 2010
11.874.050:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2017
11.874.051:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2017
11.874.064:
seigneur de Beaumont-du-Gâtinais et de Villemomble, seigneur de
Tournanfuye(Graville La Celle-sur-Seine 77), seigneur de Beaumont-en-Gâtinais
Bibliographie
Annales de la Société historique & archéologique du Gâtinais
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012, JB.de La
Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours Annales SHAG t. 29
p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016
- família 1: JB.de La Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours
Annales SHAG t. 29 p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016
- família 2: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
-3664-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.065:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours
Annales SHAG t. 29 p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016
11.874.065-2a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Annales de la Société historique & archéologique du
Gâtinais, 1906 ) 17 v 2016
11.874.065-2c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
11.874.068:
BAUDOUIN [IV] de Corbeil (-after 2 Jan 1148). Louis VI King of France confirmed
that “Fredericus frater Johannis” relinquished rights “in villaHermentarvilla”,
donated to Saint-Jean-en-Vallée by “Paganus Anselli filiusJohannes filius eius” by
charter dated 1132, with the consent of “Balduinus de Corbolio qui filiam Johannis
receperat”[2148]. “Eustachia de Corbolio” donated land to Yerres, with the consent
of “mariti sui Johannis de Stampis et Frederici filii sui et Balduini de Corbolio
generis sui et Aveline filie sue”, by charter dated 1138[2149]. Manassès [II] Bishop
of Orleans confirmed the donation to Yerres of “decimam de Oconisvilla” held by
“Balduinus de Corbilio” as a fief from the bishopric, in the presence of “Fredericus
de Dominio et Fredericus et Johannes nepotes ipsius Balduini”, by charter dated
[1146/49] which notes that “Eustachia de Corbolio” had donated “terram de
Cantulupi” to Yerres and “Balduinus de Corboilo gener eius, decimam de
Osenvilla”[2150]. "Gislebertus vicecomes" exempted Pontigny from duties "super
res ipsorum Corboilum”, with the consent of “Anselli filii sui, Radulfi, Henrici et
Balduini de Corboilo”, by charter dated 1148[2151].
m ([1132]) AVELINE, daughter of JEAN d’Etampes & his wife Euphemia ---. Louis
VI King of France confirmed that “Fredericus frater Johannis” relinquished rights
“in villaHermentarvilla”, donated to Saint-Jean-en-Vallée by “Paganus Anselli
filiusJohannes filius eius” by charter dated 1132, with the consent of “Balduinus de
Corbolio qui filiam Johannis receperat”[2152]. “Eustachia de Corbolio” donated
land to Yerres, with the consent of “mariti sui Johannis de Stampis et Frederici filii
sui et Balduini de Corbolio generis sui et Aveline filie sue”, by charter dated
1138[2153].
Baudouin & his wife had three children.
[2148] Chartres Saint-Jean-en-Vallée, 46, p. 28.
[2150] Depoin ‘Les vicomtes de Corbeil’, Tome V (1899), p. 22, footnote 60 quoting
Col. Baluze, t. LXXIII fol. 102 et B.N. mss. lat. 17049 fol 612.
-3665-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(message Jean Blusseau sur forum 9/7/07), J-P.de Palmas
(FMG) 9 vi 2014
- família: H.deRiberolles(message Jean Blusseau sur forum 9/7/07), J-P.de Palmas
(FMG) 9 vi 2014
11.874.069:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(message Jean Blusseau sur forum 9/7/07)
- família: H.deRiberolles(message Jean Blusseau sur forum 9/7/07), J-P.de Palmas
(FMG) 9 vi 2014
11.874.069b:
ADELA de Corbeil widow of --- Seigneur d'Andresel, daughter of BAUDOUIN [V] de
Corbeil & his wife --- (-10 May [1184/86]). Her first and second marriages are
confirmed by the charter dated 14 May 1190 under which [her son] “Ansellus de
Insula” granted toll exemptions to Bon Port Notre-Dame, with the consent of
“uxoris mee Eve et Ade fratris mei et Mabille sororis mei”, witnessed by “Albertus
de Andresel frater meus, Manasserius de Insula avunculus meus”[2156]. "Adam de
Insula" donated property to Valle Sainte-Marie, for the soul of "Aalis uxoris mee",
with the consent of "fratrorum meorum…Lancelini, Manasse et Adam, filiorumque
meorum Anselli, Teobaldi, Adam, et filiarum mearum Aveline et Mabilie", by
undated charter[2157]. The necrology of the Priory of Saint-Martin-des-Champs
records the death "VI Id May" of "Adeleidis uxor Ade de Insula"[2158].
m secondly (before 1166) ADAM [IV] Sire de l’Isle-Adam, son of ADAM [III] Sire de
l’Isle-Adam & his wife Mabile --- (-[1189]).
[2156] Bon-Port Notre-Dame, I, p. 1.
[2157] Ségur-Lamoignon (1892), Pièces justificatives, VI.
[2158] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Paris St Martin-des-Champs, p.
437.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 9 vi 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 9 vi 2014
11.874.069c:
Son identification est basée sur un article du chartiste Joseph Depoin : "Les
vicomtes de Corbeil"
in "Bulletin de la Société historique et archéologique de Corbeil, d'Etampes et du
Hurepoix", 1899, T. 5, pages 1 à 71 et 159 à 165.
Renaud de Corbeil est cité page 29 et Renaud de Corbeil est aussi cité page 165
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J. Depoin : "Les vicomtes de Corbeil" in "Bulletin de la
Société historique et archéologique de Corbeil, d'Etampes et du Hurepoix", 1899, T.
-3666-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
5, pages 29 et 165) 6 xi 2013
- família: A de Tocqueville geneanet pierfit
11.874.070:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
11.874.071:
The Chronicon Hanoniense records that "Yoandis comitissa vidua" married
secondly "Godefrido de Bochesin castellano Valencenensi", by whom she was
mother of "filium…Godefridum et filiam Bertam [uxorem] comiti de Duraz, deinde
nupsit Egidio de Sancto Oberto a quo filium…Gerardum et filiam…[uxorem]
Nicholao de Barbencione"[198]. The Chronicle of Lambert of Waterlos records that
"Ægidius…adolescens, natus ex Gerardi Malo-filiastro" married "Bertam, comitis
Balduini Hainoensis sororem non germanam", without the consent of the count, in
1151[199]. The Chronicle of Lambert of Waterlos records that "Ægidius natus ex
Gerardi Malo-privigno" built "turrim de Businiis" in 1170[200].
m firstly OTTO Comte de Duras, son of GISELBERT Comte de Duras & his wife Oda
de Chiny (-1147).
m secondly (1151) as his first wife, GUY de Saint-Aubert, son of GERARD de
Maufilastre & his wife ---. The Chronicon Hanoniense records that Guy married
secondly "Mathildam de Berlainmont, Egidii de Cin et Damison de Cirvia filiam"
and that she was her father´s heiress[201].
References
[198] Gisleberti Chronicon Hanoniense, MGH SS XXI, p. 507.
[199] Chronico Cameracensi autbertino, ex Lamberti Waterlosii, RHGF XIII, p. 506.
[200] Chronico Cameracensi autbertino, ex Lamberti Waterlosii, RHGF XIII, p. 532.
[201] Gisleberti Chronicon Hanoniense, MGH SS XXI, p. 507
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011
- família 1: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família 2: H.de La Villarmois (Sars 12 "de Barbançon") 10 viii 2005
11.874.071a:
Fonts:
- persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, G Grattepanche (fichier
personnel), Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família 1: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
- família 2: G Grattepanche (ficher personnel) 26.VIII.2005
11.874.071-2a:
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Sars 12 "de Barbançon") 10 viii 2005
11.874.072:
Un autre fils de Raoul II fut certainement Raoul III (dit le Barbu, comme son grand-
père), qui figure en 1117 avec Samson et Rolbert II ses fils, et Gautier, son cousin,
dans un accord conclu entre l'abbaye de St-Wandrille et Guillaume, vicomte de
Mantes. En 1129 il confirma l'exemption, accordée à l'abbaye du Bec par Raoul Il,
des droits de péage sur les nefs des moines passant sous Mantes et Rosny. Raoul
III accorda la même exemption à l'abbaye de St-Vandrille, par acccord avec l'abbé
Roger (1108-1139). Ses fils Guillaume et Manassé la confirmèrent plus tard, afin
-3667-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'obtenir du même abbé une absolution générale pour eux et tous leurs ancêtres,
en tant qu'ils avaient pu encourir la redoutable excommunication de l'abbaye de
Fontenelle. in J. Depoin, Cartulaire de Saint-Martin de Pontoise, fascicule 3, 1901
La famille Mauvoisin s'étendait sur toute la partie du Vexin français située aux
environs de Mantes. Deux de ses membres, Pierre et Guillaume, figurent comme
témoins dans un acte de Geoffroy de Neauphle vers 1213 ; un autre, appelé Robert,
avait épousé Cécile, soeur de Gui de Chevreuse (1208) ; et un quatrième était
beau-frère de Guillaume Morhier, seigneur de Villiers [Cartulaire des Vaux-de-
Cernay, pages 162-179-189-197-203]. Vers la fin de 1204 ou le commencement de
1205, philippe-Auguste confirma le bail que Gui Mauvoisin avait fait des deux tiers
de la coutume de Rosny à la communauté des hommes de Mantes. Vers 1201, le
même roi donne à Pierre Mauvoisin la ville de Nonancourt et, en juillet 1213, le
village de Saint André, diocèse d'Evreux.
RAOUL [VII] Mauvoisin . The necrology of Reims names Raoul and Odesinde as
parents of Archbishop Samson[3150].
m ODESINDE, daughter of ---. The necrology of Reims names Raoul and Odesinde
as parents of Archbishop Samson[3151].
Raoul [VII] & his wife had children.
[3150] Gallia Christiana, IX, col. 84, no citation reference.
[3151] Gallia Christiana, IX, col. 84, no citation reference
FMG
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie MAUVOISIN, seigneur de Rosny,
dans Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942),
à la fin du volume. et FMG) 24 xii 2011
- família: J-P.de Palmas (Projet de généalogie MAUVOISIN, seigneur de Rosny, dans
Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942), à la
fin du volume. ; FMG) 24 xii 2011
11.874.073:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie MAUVOISIN, seigneur de Rosny,
dans Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942),
à la fin du volume.) 24 xii 2011
- família: J-P.de Palmas (Projet de généalogie MAUVOISIN, seigneur de Rosny, dans
Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942), à la
fin du volume. ; FMG) 24 xii 2011
11.874.073b:
Samson, fils de Raoul et d'Odesinde 1, devint, comme le dit la notice précédente,
archevêque de Reims en 1140, et mourut le 21 septembre 1161. Il ne cessa de
s'intéresser à son pays d'origine, et les traces de son action bienfaisante se
manifestent de toutes parts. C'est lui qui, comme légat du Pape, prit l'initiative de
la canonisation de saint Gautier et de la translation solennelle de ses reliques,
effectuée le 4 mai 1153 (Cartul. n° CXXVIII).
Sur ses conseils, dans le cours de la même année, Louis VII établit la commune de
Compiègne.
Samson revenait du reste souvent à Mantes. Plusieurs actes de lui sont datés de
cette ville.
Ce prélat fut l'intime ami de Saint-Bernard qu'il qualifie dans une lettre :
carissimus ac præcordialis amieus (Coll. Baluze, t. LI fol.227).
-3668-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
J. Depoin, Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin de Pontoise, 3° fasc., 1901
Références
1. Nécrol. de Reims, cité par le Gallia. christiana : 1. XI, p. 84. D. Marlot n'a
pas su que Samson avait été prévôt de Chartres. Précédemment de 1119 à
II25, il avait été doyen du chapitre de la cathédrale (Cf. Cartul. de N.-D. de
Chartres, t.I, p. 126).
Notice on FMG
SANSON Mauvoisin (-21 Sep 1161). "Willelmus Malusvicinus miles" founded the
church of la Madeleine at Mantes, where "Samson frater eius…Carnotensis
ecclesiæ præpositus postmodum ad Remensem archiepiscopatum est provectus"
was appointed, as recorded in a charter dated 1133[3154]. Archbishop of Reims
1140. The Continuatio Praemonstratensis of Sigebert's Chronica records in 1139
the succession of “Samson de clero Carnotensis æcclesiæ” after two years
following the death of “Rainoldo Remorum archiepiscopo”[3155].
"Sanson…Remensis archiepiscopus" noted the settlement of a dispute concerning
"Radulfus Malvesinus frater meus et uxor eius Brita et filii eorum Radulfus et
Guillelmus et Manasses et filie eorum Agnes et Regina" concerning "villa de
Busseio…Bti Georgii de Medunta…in terra de Monte Ursonis" by charter dated
1146[3156]. The Annales Mosomagenses record 1153 “bellum inter Sansonem
archiepiscopum Remensem et Guiscardum comitem de Roceio”[3157]. The Annales
Sancti Dionyisii Remenses record the death in 1161 of "Samson archiepiscopus
Remensis"[3158]. The Annales Mosomagenses record the death in 1161 of “Sanson
archiepiscopus”[3159]. The Continuatio of Sigebert's Chronica from Anchin
records the death in 1161 of "Samson Remorum archiepiscopus” and the
succession of “Henricus Belvacensis episcopus”[3160]. The Continuatio of
Sigebert's Chronica written in Beauvais records in 1163 the death of “Sanson
Remensis archiepiscopus”[3161].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie Mauvoisin, seigneur de Rosny, dans
Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942), à la
-3669-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
fin du volume. et FMG) 24 xii 2011, F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement
capétien)
- defunció: J-P de Palmas (J. Depoin, Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin de
Pontoise, 3° fasc., 1901)
11.874.073c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie Mauvoisin, seigneur de Rosny, dans
Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942), à la
fin du volume.) 24 xii 2011, F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien)
- família: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien)
11.874.073d:
Guillaume Mauvoisin fut, en 1133, le fondateur de l'église de la Madeleine de
Mantes dans des conditions que relate une charte inédite de Coulombs1, trop riche
en détails sur les moeurs chevaleresques et monacales de ce temps pour ne pas
mériter d'être intégralement reproduite :
Références
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie Mauvoisin, seigneur de Rosny, dans
Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942), à la
fin du volume.) 24 xii 2011
11.874.073e:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie MAUVOISIN, seigneur de Rosny,
dans Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942),
à la fin du volume.) 24 xii 2011
11.874.073f:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie MAUVOISIN, seigneur de Rosny,
dans Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942),
à la fin du volume.) 24 xii 2011
11.874.073g:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie MAUVOISIN, seigneur de Rosny,
dans Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942),
à la fin du volume.) 24 xii 2011
11.874.073h:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Projet de généalogie MAUVOISIN, seigneur de Rosny,
dans Mémoires de la Société Archéologique d'Eure et Loir, tome XVII (1937-1942),
à la fin du volume.) 24 xii 2011
11.874.076:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- família: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
11.874.077:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- família: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
11.874.112:
JOSCELIN de Melun, son of GILLES de Chailly & his wife Mathilde --- ([1110/15]-
after 1157). "Adam de Chaalli…et uxor sua Mahaldis et filius eius Gilo" donated
"terram de Fontanis" to Néronville, with the consent of "Joscelinus vicecomes
Meleduni et Adam frater eius, nepotes memorati Ade", by undated charter[2475].
His birth date is estimated working back from the dates on which his descendants
are named, and also appears consistent with the estimated birth date of his
-3671-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
paternal grandfather. "Dominus Adam de Cali, filius Stephani" donated property to
the priory of Néronville, for the soul of "Gilonis filii sui", together with "duo
nepotes eius Jocelinus et Adam, filii Gilonis, et Maheldis uxor Gilonis", by charter
dated to [1140][2476]. Vicomte de Melun. "Adam de Chaalli…et uxor sua Mahaldis
et filius eius Gilo" donated "terram de Fontanis" to Néronville, with the consent of
"Joscelinus vicecomes Meleduni et Adam frater eius, nepotes memorati Ade", by
undated charter[2477]. Père Anselme records that "Joscelin II…vicomte de Melun"
donated "la moitié de la forêt de Fereus" to Barbeaux abbey in 1157, but gives no
citation for the corresponding primary source[2478].
m ALPAIS, daughter of --- (-20 Jun ----). Père Anselme names Alpais as the wife of
Joscelin, adding that she died 20 Jun "suivant le martyrologe de Notre-Dame de
Melun"[2479].
[2479] Père Anselme, Tome V, p. 222, citing Du Bouchet (1661), liv. II, p. 205 [not
yet consulted].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 ix 2016
- família: H.R.Moser/Anselme-V/222-C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique
et héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825.
11.874.113:
Fonts:
- persona: G. Autier (base aurejac) 02 vii 2008
- família: H.R.Moser/Anselme-V/222-C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique
et héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825.
11.874.113b:
mourut en donnant naissance à une fille
Fonts:
- persona: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de
France"de JB de Courcelles, 1825.
- defunció: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille
-3672-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
- família: G.de Paysac, Anselme VI, 619, H.R.Moser/EuSt-XIII/140
11.874.113c:
en 1180 il lègue 30 Francs à l'église de Barbeaux avec son épouse Pétronille de
Chartrettes.
Fonts:
- persona: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de
France"de JB de Courcelles, 1825.
- família: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de
France"de JB de Courcelles, 1825.
11.874.113d:
1172 : nommé dans une charte de Saint Père. La même année, il souscrivit
dans une charte de Matthieu 1er baron de Montmorency, dans laquelle il
fait don de la forêt de Merville à l'abbaye du Val Sainte Marie.
Fonts:
- persona: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de
France"de JB de Courcelles, 1825.
11.874.120:
Sa mort est mentionnée dans le martyrologe de Font-Euvrault.
Il fut fort avant dans les bonnes grâces du roi Louis le Jeune.Il fut en guerre conre
le comte d'Anjou qui le prit dans son château de Montreuil. Délivré par
commandement du roi, il reprit les hostilités et fut à nouveau pris avec sa femme et
ses enfants et délivré enfin en 1151.
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 2009 (sources familiales)
- família: Y. Gobilliard 2009 (sources familiales), N. Danican (B. Mayaud) 30iii05 - Y.
Gobilliard (15-7-06)
11.874.121:
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard (famille)
- família: Y. Gobilliard 2009 (sources familiales), N. Danican (B. Mayaud) 30iii05 - Y.
Gobilliard (15-7-06)
11.874.122:
Aimery VI de Thouars, il décède en 1139. C'est le fils d'Herbert Ier et d'Agnès.
Cependant, sur le point de disparaître sans fils, en 1139, Aimeri VI n'a d'autre
choix que de désigner comme successeur le fils de son ancien rival, qui est son plus
-3673-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
proche parent. Il adopte donc son cousin Guillaume Ier fils du vicomte Aimery V
pour en faire son héritier.
m MARIE, daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has not
yet been identified.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille
de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P de Palmas (FMG et
iconographie : Abbaye de Saint Jouin de Marnes, Deux-Sèvres) x2009
- família: J-P de Palmas (FMG) x2009
11.874.123:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (FMG) x2009
11.874.128:
Étienne II Henri († 19 mai 1102), fut comte de Blois, Châteaudun, Chartres, Meaux
et seigneur de Sancerre, Saint-Florentin, Provins, Montereau, Vertus, Oulchy-le-
Château, Château-Thierry, Châtillon-sur-Marne et Montfélix.
Biographie
Il était le fils de Thibaut III de Blois et de Gersende, fille du comte Herbert Ier du
Maine[3]. En 1080 à Chartres, il épouse Adèle d'Angleterre, fille de Guillaume le
Conquérant
De retour à Blois, il est fraîchement accueilli par sa femme qui se dit offusquée,
elle, Adèle d'Angleterre, fille de Guillaume le Conquérant d'être mariée à un lâche.
Après une campagne de harcèlement moral, elle le persuade de penser à sa
réputation, et de retourner en Terre sainte.
Fonts:
- persona: L.Guion, N de Meyrignac (wikipedia, 14vii2008), J-P de Palmas (Janet
Burton, « William of York (d. 1154) », Oxford Dictionary of National Biography,
Oxford University Press, 2004.)
- família 1, família 2: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families
11.874.129:
Façade ouest de l'église St-Nicolas de Marcigny, portail du XIIe.
ADELA of England, daughter of WILLIAM I "the Conqueror" King of England & his
wife Mathilde de Flandre (Normandy [1066/67]-Marigney-sur-Loire 8 Mar 1138,
bur Abbey of Holy Trinity, Caen). She is listed by Orderic Vitalis last among the
daughters of King William in his description of their careers[196]. She is named
third in his list of the daughters of King William I by Matthew Paris[197], but this
appears unlikely in view of Adela's child-bearing until her husband's death in 1102.
Her birth date is estimated bearing in mind that marriage frequently took place in
early adolescence at the time, and also that Adela clearly continued to bear
children right up to her husband's death. Orderic Vitalis records the betrothal
“apud Bretolium” of “Stephanus Blesensis palatinus comes” and “Guillelmo
regeAdelam eius filiam” and their marriage “apud Carnotum”, dated to 1081[198].
Orderic Vitalis records that she encouraged her husband to join the First Crusade
and did not hide her shame when he deserted from Antioch in 1098[199]. Regent of
Blois 1102-1107, after the death of her husband. She became a nun at the Cluniac
priory of Marigney-sur-Loire in [1122]. The necrology of Chartres cathedral
records the death "VIII Id Mar" of "Adela comitissa"[200], and in another
manuscript the death "VIII Id Mar" of "Adela nobilis Blesensium comitissa regis
Anglorum Willelmi filia"[201].
[201] Obituaires de Sens Tome II, Eglise cathédrale de Chartres, Obituaire du xii
-3675-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
siècle, p. 56.
Son mariage est donné comme ayant eu lieu entre 1080 et 1085 à Bourgeuil (Indre-
et-Loire) par Lois L. Huneycutt, in « Adela, countess of Blois (c.1067–1137) »,
Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004.
Elle finit sa vie comme moniale, et fut canonisée Sainte Adèle. Biographie
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia)
- defunció: J-P de Palmas (wikipedia)
- família: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families
11.874.129b:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (base pierfit, 20vii2008)
11.874.129c:
Fonts:
- casament: JB de La Grandiere (Thierry le Hête Les ctes de Champagne 2004) 12 xi
2009
- família: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families, F.Ripart (E.Bournazel,
le gouvernement capétien)
11.874.129e:
drowned in the "White Ship"
Fonts:
- persona: M.Thompson
11.874.129g:
Henri de Blois (vers 1096 ou vers 1100[1] – 8 ou 9 août 1171[1]), abbé de
Glastonbury (à partir de 1126), puis évêque de Winchester (1129), légat papal
d'Angleterre, fut un personnage important de la politique anglaise de son temps, et
particulièrement du règne de son frère Étienne d'Angleterre (1135-1154).
His notice on Medieval Lands
HENRI de Blois (Winchester [1099]-Winchester 1 Jul 1171, bur Winchester
Cathedral[219]). His parentage is stated by Orderic Vitalis, fourth in order of the
sons which he lists[220]. Chaplain to Empress Matilda. On the recommendation of
Emperor Heinrich V, he was elected Bishop of Verdun in 1118 but could not be
consecrated due to the ongoing dispute between the papacy and the empire
regarding lay investiture. The Pope arranged his consecration in Milan by cardinal
John of Cremona, but the emperor forbade the inhabitants of Verdun from
receiving him and he took refuge in the fortress of Hattonchatel. He was finally
installed in 1120 with the military support of Renaud Comte [de Bar], Comte de
Verdun, but was expelled in 1123 by Henri Comte de Grandpré who stormed
Verdun on the orders of Emperor Heinrich V. He escaped by swimming across the
river Meuse. He was reinstalled as bishop following the peace of Chalade signed
between Renaud de Bar and the emperor in 1124[221]. Monk at the priory of
Cluny. Monk at Bermondsey Abbey, later abbot. Orderic Vitalis records that he was
appointed abbot of Glastonbury[222] in 1126. He was nominated Bishop of
Winchester 4 Oct 1129, when he resigned as Bishop of Verdun, and was
consecrated 17 Nov 1129. The Continuator of Florence of Worcester records that
"rex Anglorum Heinricus…cuius nepos Glæstoniensis abbas Henricus" was elected
-3676-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Bishop of Winchester in Oct and consecrated "XV Kal Dec"[223]. He was elected
Archbishop of Canterbury in 1136, subject to papal approval[224].
References
Sources
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (in L'ordre de Cluny à la fin du moyen âge Par Denyse
Riche) vi2009
11.874.129h:
Fonts:
- persona: M.Thompson
11.874.129i:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
11.874.129j:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
11.874.129k:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
11.874.129-1a:
EMMA . The Hyde Register lists "Herbertus camerarius, Arnulfus filius eius, Emma
uxor eius" immediately after the names of King Henry I and his first wife[225].
Secondary sources state that the wife of Herbert FitzHenry was Emma de Blois,
-3677-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
illegitimate daughter of Etienne Comte de Blois. This is presumably based on the
Chronicle of Meaux, in Yorkshire, which names "comitis --- Herberti filius, ex Emma
sorore regis Anglorum Stephani progenitus"[226]. As this source is dated to
[1394/1400], it is unlikely to be conclusive in relation to events which occurred 250
years earlier, in the absence of other corroborative evidence. Eyton includes no
reference to any wife of Herbert FitzHenry in his article on the barony of
FitzHerbert[227]. Until further evidence comes to light, it is suggested that the
information should be treated with caution. If it is correct, the chronology of the
FitzHerbert family dictates that Emma must have been born while her supposed
father was still young, probably before his marriage to Adela of Normandy in 1080.
m HERBERT FitzHenry the Chamberlain, son of HENRY & his wife --- (-1130).]
References
[225] Gray Birch, W. de (ed.) (1892) Liber Vitæ: Register and martyrology of New
Minster and Hyde Abbey Winchester (London) ("Hyde Register"), p. 50.
[227] Eyton, R. W. (1858) Antiquities of Shropshire (London), Vol. VII, pp. 146-7.
Fonts:
- persona: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families, J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) 30 iv 2011
- família: J-P de Palmas (wikipedia) 30 iv 2011
11.874.130:
Engelbert II (died 12 or 13 April 1141) from the House of Sponheim was Margrave
of Istria and Carniola from sometime between 1101 and 1107 until 1124. In 1124,
he was raised to a Duke of Carinthia and Margrave of Verona which he held until
his retirement in 1135.
Engelbert II was the son of Count Engelbert I of Sponheim and his wife Hedwig of
uncertain descent, maybe a daughter of the Billung duke Bernard II of Saxony. He
married Uta, daughter of Burgrave Ulric of Passau (died about 1099). Together
they were the parents of the following children: Ulric I, succeeded his father in
Carinthia in 1135 Engelbert III, succeeded his father in Istria, Carniola and
Kraiburg in 1124 Henry, Bishop of Troyes in 1145 Matilda, married Count
Theobald the Great of Blois-Champagne Rapoto I, Count of Ortenburg in 1130 and
Kraiburg in 1173 Adelheid, Abbess of Göss in 1146 Hartwig II, Bishop of
Regensburg in 1155 Ida, married Count William III of Nevers
About 1100 he established the County of Kraiburg on the inherited estates of his
wife in Bavaria. Unlike his father, Engelbert II was a loyal supporter of the Salian
dynasty. He stood as guarantor of German king Henry V at his coronation as Holy
Roman Emperor in February 1111 and witnessed the Concordat of Worms with
Pope Callixtus II in September 1122. In the same year his elder brother Henry III
was created Duke of Carinthia and upon his death in 1123 Engelbert II succeeded
him, having already replaced Count Ulric II of Weimar as margrave in Istria and
Carniola about 1107.
-3678-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Engelbert II died and was buried at Seeon Abbey.
http://en.wikipedia.org/wiki/Engelbert,_Duke_of_Carinthia
Fonts:
- persona: E.Polti (Relatives of Raphael Ackermann Switzerland/RootsWeb ; source
généralement "Rübel Blass") 9 xii 2012
- família: H.R.Moser/Tyroller+EuSt, E.Polti (Relatives of Raphael Ackermann
Switzerland/RootsWeb ; source généralement "Rübel Blass") 9 xii 2012, J-P.de
Palmas (FMG) 31 v 2016
11.874.131:
UTA (-9 Feb [1150]). The Fundatio Monasterii Baumburgensis names "in Bawarie
provincia comes…Cuno…filiam Adilheit" as founder of Kloster Baumburg, naming
her second husband "comes Udalricus de Pactavia" and her only daughter by her
second marriage "Utam [wife of] Eingelperto duci de Chraieburc"[188]. "Ota
ducissa de Chreiburch" donated property donated to Baumburg by charter dated to
[1135/40][189]. The necrology of Baumburg records the death "XVI Kal May" of
"Uta ducissa"[190]. The necrology of Seonense records the death "XVI Kal May" of
"Uta ductrix" and her donation[191].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG and Wikipedia (en) ) 2 v 2013
- naixement: J-P de Palmas (Site Chistera)
- defunció: J-P de Palmas (Site Chistera)
- família: H.R.Moser/Tyroller+EuSt, E.Polti (Relatives of Raphael Ackermann
Switzerland/RootsWeb ; source généralement "Rübel Blass") 9 xii 2012, J-P.de
Palmas (FMG) 31 v 2016
11.874.131b:
Engelbert III (died 6 October 1173), a member of the Rhenish Franconian House of
Sponheim, was Margrave of Istria[1] from 1124 until his death. He is sometimes
numbered Engelbert II of Istria, but in fact must be II of Carniola.
Life
He was the second son of Margrave Engelbert II and his first wife Uta of Passau.
When his father succeeded his elder brother Henry as Duke of Carinthia, Engelbert
-3679-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
III received the margravial title in Istria. However, he mainly ruled in the
Sponheim estates around Kraiburg in Bavaria, bequested by his mother.
In 1135 Emperor Lothair III dispatched him to a synod at Pisa in Italy, in order to
back Pope Innocent II against Antipope Anacletus II. In turn, Engelbert was vested
with the Imperial March of Tuscany, but was succeeded by the Welf duke Henry X
of Bavaria already in 1137. Engelbert attended the 1156 Imperial Diet in
Regensburg, where he witnessed the granting of the Privilegium Minus by Emperor
Frederick Barbarossa, elevating the March of Austria to a duchy.
In 1140 Engelbert had married Matilda, youngest daughter of the Bavarian count
Berengar I of Sulzbach. He was thus a brother-in-law of Gertrude of Sulzbach,
consort of King Conrad III of Germany, and Bertha of Sulzbach, as Irene wife of the
Byzantine Emperor Manuel I Komnenos. Matilda died late in 1165, the marriage
remained childless. The margravial title in Istria passed to the Bavarian Counts of
Andechs.
Notes
http://en.wikipedia.org/wiki/Engelbert_III,_Margrave_of_Istria
Fonts:
- persona: Aurejac
- família: H.R.Moser
11.874.131d:
[IRMGARD . The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "comitissa
Mathildis Campaniensis et uxor Renaldi comitis Nivernensis et comitissa Montis
Veteris iuxta Coloniam et mater illorum Romanorum qui Froiepain dicuntur" as
sisters of "archiepiscopi Coloniensis Frederici"[142], although the latter is shown
by other sources to be their paternal uncle.
m as his second wife, ADOLF II Graf von Berg, son of ADOLF I Graf von Berg & his
wife Adelheid von Laufen (-12 Oct after 1160).]
[142] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1150, MGH SS XXIII, p. 840.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016
- família: H.R.Moser/EuSt-XVIII
11.874.131e:
Fonts:
- persona: E.Polti (Relatives of Raphael Ackermann Switzerland/RootsWeb ; source
généralement "Rübel Blass") 8 xii 2012
- família: E.Polti (Relatives of Raphael Ackermann Switzerland/RootsWeb ; source
généralement "Rübel Blass") 8 xii 2012
11.874.132:
-3680-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Malheureusement cette fiche qui suivait une filiation généalogique savante
énoncée en 2008 avait été corrigée par l'écrit d'un historien en 1977.qui confondait
Hervé avec Geoffroy..
Fonts:
- persona: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977), JB de
La Grandiére (ESS III-3 Donzy p 439) 29 viii 2009
- defunció: B de La Grandière (ESS III-3 p 435 Donzy Marburg 1985) 14 xii 2009
- casament: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
11.874.133:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família 1: C.Faucherand (FMG) 14 x 2017
- casament 2: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et
de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de
l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010
11.874.133c:
Chevalier au départ sans fortune, Renaud de Châtillon est le fils cadet d'un pauvre
seigneur de Châtillon-Coligny Né en 1120, il gagne la Terre Sainte dès qu'il est en
âge de combattre, pensant y trouver honneurs et richesses. En 1153, suite à ses
exploits guerriers au cours du siège d'Ascalon, il devient prince d'Antioche en
convolant avec la princesse veuve Constance. Trois ans plus tard, prétextant le
refus de paiement d'une somme due par l'empereur de Byzance, Manuel Comnène,
il envahit l'île de Chypre.
Craignant la riposte impériale, il vient, en 1158, implorer le pardon du souverain et
accepte de le suivre en Syrie pour faire le siège d'Alep. Capturé pendant une
opération de pillage, Renaud de Châtillon qui n'était pas très estimé, passe alors 16
années en prison sans que personne, même pas sa famille ne paye sa rançon. Libéré
en 1176, il ne retrouve pas le trône d'Antioche, dévolu au fils du premier mariage de
sa femme Constance. Pour le dédommager, le roi de Jérusalem lui confie la
seigneurie d'Outre-Jourdain.
Mais ses années d'enfermement n'ont pas assagi Renaud de Châtillon. En 1181,
malgré une trêve, il pille une caravane qui se rendait à La Mecque. L'année
suivante, il monte une expédition audacieuse et s'engage sur la route de Médine
pour détrousser les caravanes. Il projette même d'aller jusqu'à la Mecque pour
détruire le lieu sacré de l'Islam. Saladin l'en empêchera. Selon l'historien musulman
Maqrizi, "les Francs firent là une chose comme on n'en avait jamais entendu
raconter dans l'islam, car avant eux aucun chrétien n'était arrivé dans ces
paysages".
Devenu l'ennemi le plus haï des musulmans, Renaud de Châtillon razzie, en 1186,
une caravane qui se rendait de Damas au Caire. Refusant de rendre le butin malgré
-3681-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
l'ordre du roi, il pousse Saladin à entrer en guerre. Le 4 juillet 1187, les Croisés
sont écrasés lors de la célèbre bataille de Hattin et Renaud fait prisonnier. Le
lendemain, il est exécuté par les hommes de Saladin. Dans les semaines qui suivent
Jérusalem est occupée et jamais plus les Croisés ne reprendront la Ville Sainte.
Honoré parfois comme martyr, Renaud de Châtillon est plus souvent accusé d'avoir
causé la perte des Etats latins d'Orient.
Background
In 1156 Raynald claimed that the emperor Manuel I Comnenus had reneged on his
promise to pay Raynald a sum of money, and vowed to attack the island of Cyprus in
revenge. When the Latin Patriarch of Antioch refused to finance this expedition,
Raynald had the Patriarch seized, stripped naked, covered in honey, and left in the
burning sun on top of the citadel. When the Patriarch was released, he collapsed in
exhaustion and agreed to finance Raynald's expedition against Cyprus. Raynald's
forces attacked Cyprus, ravaging the island and pillaging its inhabitants.
The Emperor Manuel I Comnenus raised an army and began a march into Syria.
Faced with a much larger and more powerful force, Raynald was forced to grovel,
barefoot and shabby, before the emperor's throne for forgiveness. In 1159 Raynald
was forced to pay homage to Manuel as punishment for his attack, promising to
accept a Greek Patriarch in Antioch. When Manuel came to Antioch later that year
to meet with Baldwin III, King of Jerusalem, Raynald was forced to lead Manuel's
horse into the city.
Soon after this, in 1160, Raynald was captured by the Muslims during a plundering
raid against the Syrian and Armenian peasants of the neighbourhood of Marash. He
was confined at Aleppo for the next seventeen years. As the stepfather of the
Empress Maria, he was ransomed by Manuel for the extraordinary sum of 120,000
gold dinars (500 kg of gold-worth approx. £15,819,706.00 in Oct 2010) in 1176.
-3682-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Rise to prominence
Raynald served as Baldwin IV's envoy to Manuel and, because his wife Constance
had died in 1163, was rewarded with marriage to another wealthy widow,
Stephanie, the widow of both Humphrey III of Toron and Miles of Plancy and the
heiress of the lordship of Oultrejordain, including the castles Kerak and Montreal to
the southeast of the Dead Sea. These fortresses controlled the trade routes between
Egypt and Damascus and gave Raynald access to the Red Sea. He became notorious
for his wanton cruelty at Kerak, often having his enemies and hostages flung from
its castle walls to be dashed to pieces on the rocks below.
In November 1177, at the head of the army of the kingdom, he helped King Baldwin
defeat Saladin at the Battle of Montgisard; Saladin narrowly escaped. In 1181 the
temptation of the caravans which passed by Kerak proved too strong and, in spite of
a truce between Saladin and the king, Raynald began to plunder. Saladin demanded
reparations from Baldwin IV, but Baldwin replied that he was unable to control his
unruly vassal. As a result, war broke out between Saladin and the Latin kingdom in
1182. In the course of the hostilities, Raynald launched ships on the Red Sea, partly
for piracy, but partly as a threat against Mecca and Medina, challenging Islam in its
own holy places. His pirates ravaged villages up and down the Red Sea, before
being captured by the army of Al-Adil I only a few miles from Medina. Although
Raynald's pirates were taken to Cairo and beheaded, Raynald himself escaped to
the Moab. Saladin vowed to behead Raynald himself, and at the end of the year
Saladin attacked Kerak, during the marriage of Raynald's stepson Humphrey IV of
Toron to Isabella of Jerusalem. The siege was raised by Count Raymond III of
Tripoli, and Raynald was quiet until 1186.
That year he allied with Sibylla and Guy of Lusignan against Count Raymond, and
his influence contributed to the recognition of Guy as king of Jerusalem, although
Raymond and the Ibelins were attempting to advance the claim of his stepson
Humphrey's wife Princess Isabella. Humphrey remained loyal to his stepfather and
Guy.
Later in 1186 Raynald attacked a large caravan travelling between Cairo and
Damascus, breaking the 4 year truce between Saladin and the Crusaders signed in
1185. He took all the merchants and their families prisoner as well as a large
amount of booty and refused to receive envoys from Saladin demanding
compensation. This led directly to the end of the truce.[2] Saladin sent troops to
protect a later caravan (in March 1187) in which his sister was returning from a
pilgrimage to Mecca. Later writers (such as the 13th century Old French
Continuation of William of Tyre and the Latin Continuation of William of Tyre)
conflated these two incidents, claiming erroneously that Saladin's sister, aunt, or
even mother, had been taken prisoner, but this is contradicted by Arabic sources,
such as Abu Shama and Ibn al-Athir. King Guy chastised Raynald in an attempt to
appease Saladin, but Raynald replied that he was lord of his own lands and that he
had made no peace with Saladin. Saladin swore that Raynald would be executed if
he was ever taken prisoner.
In 1187 Saladin invaded the kingdom, defeating the Crusaders at the Battle of
Hattin. The battle left Saladin with many prisoners. Most prominent among these
prisoners were Raynald and King Guy, both of whom Saladin ordered brought to his
tent. The chronicler Imad ad-Din al-Isfahani, who was present at the scene, relates:
-3683-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Saladin invited the king [Guy] to sit beside him, and when Arnat [Raynald] entered
in his turn, he seated him next to his king and reminded him of his misdeeds. "How
many times have you sworn an oath and violated it? How many times have you
signed agreements you have never respected?" Raynald answered through a
translator: "Kings have always acted thus. I did nothing more." During this time
King Guy was gasping with thirst, his head dangling as though drunk, his face
betraying great fright. Saladin spoke reassuring words to him, had cold water
brought, and offered it to him. The king drank, then handed what remained to
Raynald, who slaked his thirst in turn. The sultan then said to Guy: "You did not ask
permission before giving him water. I am therefore not obliged to grant him mercy."
After pronouncing these words, the sultan smiled, mounted his horse, and rode off,
leaving the captives in terror. He supervised the return of the troops, and then
came back to his tent. He ordered Raynald brought there, then advanced before
him, sword in hand, and struck him between the neck and the shoulder-blade. When
Raynald fell, he cut off his head and dragged the body by its feet to the king, who
began to tremble. Seeing him thus upset, Saladin said to him in a reassuring tone:
"This man was killed only because of his maleficence and perfidy".
Seeing the execution of Raynald, Guy of Lusignan feared he would be next. But his
life was spared by Saladin, who said of the execution:
It is not the wont of kings, to kill kings; but that man had transgressed all bounds,
and therefore did I treat him thus.
To a few Christians of his time, Raynald was considered a martyr killed at the hands
of the Muslims. Saladin's actions ultimately proved to be beneficial to his own
interests. By killing Raynald while sparing Guy, the factional struggle in Jerusalem
continued[citation needed]. This struggle would later greatly diminish the potency
of the Third Crusade.[citation needed]
[edit] Personal life Raynald and Constance had two daughters: Agnes de Châtillon,
who married King Béla III of Hungary and Jeanne de Châtillon, probably the second
wife of Marquis Boniface I of Montferrat. From his second marriage with Stephanie
de Milly, he had two children: a son, Raynald of Châtillon, who died young, and a
daughter, Alix (Alice) de Châtillon, who married Azzo VI d'Este.
-3684-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
for the loss at the battle of Hattin.
The return address on the package bomb sent by Al-Qaeda in the Arabian Peninsula
was Reynald Krak, a reference to Chatillon.[3]
Sources
This article incorporates text from a publication now in the public domain:
Chisholm, Hugh, ed (1911). Encyclopædia Britannica (11th ed.). Cambridge
University Press.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Raynald_of_Ch%C3%A2tillon
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015
- defunció: décapité
- família 1: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015
- família 2: H.R.Moser/Collenberg
11.874.134:
aventurier, il s'empara du Chateau de Cosne
Pour confirmer que Garne de Toucy ne fut pas l'épouse de Hugues Le Manceau,
seigneur de Cosne sur Loire, je trouve dans Villenaut la généalogie de la famille de
Donzy qui dit bien que l'épouse de Geoffroy IV fût très probablement Ne (de Cosne)
fa de Hugues Le Manceau. Il semble que Geoffroy IV de Donzy hérita (sans doute
par son épouse et après le décès de son beau père) de Cosne sur Loire, mais que le
Roi de France lui confisqua en 1153.
-3685-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977)
- família: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977)
11.874.135:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne Dict Yonne: Toucy) 19/01/2006
- família: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977)
11.874.136:
Fonts:
- persona: E.Arminjon et D.Thuret (Pierfit d'après Hervé de Mython et corrections
Belleval édition 1876) 15 5 2014
- família: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de Nesle en
Picardie, Tableau P. 61 + tableau) 29 viii 2011
11.874.137:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de Nesle en
Picardie, Tableau P. 61 + tableau) 29 viii 2011
- naixement: D.Thuret (Pierfit d'après Hervé de Mython et corrections Belleval
édition 1876) 15 5 2014
- defunció: D.Thuret (Pierfit d'après Hervé de Mython et corrections Belleval édition
1876) 15 5 2014
- família 1: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de Nesle en
Picardie, Tableau P. 61 + tableau) 29 viii 2011
- família 2: Non citée par ma source ?
J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de Nesle en Picardie,
Tableau P. 288 + texte) 29 viii 2011
11.874.137-2a:
Fonts:
- persona: Non citée par ma source ?
J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de Nesle en Picardie,
Tableau P. 288 + texte) 29 viii 2011
11.874.138:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, , JB.de La Grandiere (
Europäische StamtafeIn t. XXVI VK Francfort 2009 p. 122 (comtes de Montaigu) )
18 v 2014
- família: JB.de La Grandiere (et Europäische StamtafeIn t. XXVI VK Francfort 2009
p. 122 -comtes de Montaigu) 19 v 2014
11.874.139:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europäische StamtafeIn t. XXVI VK Francfort 2009
p. 122 (comtes de Montaigu) 18 v 2014
- família: JB.de La Grandiere (et Europäische StamtafeIn t. XXVI VK Francfort 2009
p. 122 -comtes de Montaigu) 19 v 2014
11.874.142:
-3686-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- família: H.R.Moser/Burke-ext+Turton
11.874.143:
Fonts:
- naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- família: H.R.Moser/Burke-ext+Turton
11.874.143a:
Tué en défendant Aliénor d'Aquitaine contre une embuscade des Lusignan
Fonts:
- persona: F. Ripart ( d'après Régine Pernoud, Alienor d'Aquitaine, 06.10.2005)
- família: H.R.Moser/Burke-ext+Turton
11.874.143c:
Fonts:
- persona: C Patrouix : Données Wedgwood
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 14xii2007), C Patrouix : Données Wedgwood
11.874.144:
Fonts:
- família: R.Sekulovich (site adecarné), J-P de Palmas (Généalogie Sully)
11.874.145:
Fonts:
- família: R.Sekulovich (site adecarné), J-P de Palmas (Généalogie Sully)
11.874.145b:
En 1195 Henri de Sully, archevêque de Bourges, frère de Eudes de Sully, évêque
de Paris, fait une donation au chapitre de la cathédrale de Bourges. Ce texte est
considéré comme le point de départ de la mise en oeuvre d’un nouvel édifice
destiné à remplacer la cathédrale romane.
Bibliographie
Liber poenitentialis
Tradition moyenne
Autres titres: Summa de poenitentia; Poenitentialis
Date: Entre 1183 et 1191
Dédicataire: Henri de Sully, archevêque de Bourges de 1183 à 1199
Forme: Prose
Langue: Latin
Contenu: Manuel de confession destiné aux prêtres.
Incipit: Incipit Summa de poenitentia Magistri Alani pro sacerdotibus Henrico Dei
gratia Bituricensi patriarchae, Aquitanorum primati, Alanus dictus Magister opus
suum. Quoniam hujus fluctuantis mundi debachantes procellas plerisque spirituale
comminantur naufragium, verum omnes cogunt naufragii subire periculum,
-3687-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
vestram decet vigilantiam
Explicit: In quo si est aliquod erroneum dictum, humanae infirmitati est
imputandum, cum nihil in humanis inventionibus sit perfectum, eaque sit lex
conditionis humanae, ut nihil ab hominibus fieri possit expolitum. Detur ergo venia
non operi sed opifici. Explicit Poenitentialis Magistri Alani.
Édition ancienne
Éditions modernes
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie Sully & Archives de littérature du Moyen-Âge)
11.874.145c:
Odon de Sully (parfois également appelé Eudes de Sully) est un évêque de Paris au
début du XIIIe siècle. Sa date de naissance est inconnue. On sait seulement qu'il
fut évêque de 1197 à sa mort en 1208. Il est le fils de Eudes-Archambaud III de
Sully.
Il a pris part au conflit avec le roi de France, Philippe Auguste, lorsque celui-ci
répudia sa femme. Il a continué la construction de la cathédrale Notre-Dame de
Paris. Il est considéré comme ayant été le premier à mettre en avant l'élévation de
l'ostie pendant la messe. Il interdit également en 1175 la communion des enfants.
-3688-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
prédécesseur, Maurice de Sully, n'avait pas de lien de parenté avec lui.
Iconographie
_______________
1
LA FETE DES FOUS
Les MONARQUES DE FOLIE existaient pour chaque confrérie. Ils se devaient
d'être les organisateurs des réjouissances. A VIENNE, c'était l'archevêque lui-
même qui donnait leur roi aux gens de ces métiers (boulangers et meuniers) venus
le lui réclamer le matin du 1er MAI. A son tour, la mère d'une abbaye voisine leur
donnait une reine. Des hommes NUS ET FROTTES DE SUIE, LES "NOIRCIS" leur
baisaient les pieds et les escortaient. Eux-mêmes avaient été choisis par le clergé
de la ville. Cette cour ridicule paradait dans les rues toute la journée dans un
concert de huées.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie Sully), J-P de Palmas (wikipedia)
- naixement: S.Fourlinnie (Plaque d'une rue à son nom à La Chapelle d'Angillon
18/08/09)
11.874.145d:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Généalogie Sully) vi2009
11.874.145g:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich (site adecarné)
11.874.146:
seigneur de Charenton(Charenton-du-Cher, 18)
Fonts:
- persona: R.Sekulovich (site adecarné), G.Hazard (Anselme) vii2009, JB de La
Grandière (Gaspard Thaumas de La Thaumassière "Histoire du Berry" t II vol 3 p
135/136 Charenton) 16 xii 2009
- naixement: JB de La Grandière : mineur en1112 : suivant La Thaumassière
- família: R.Sekulovich (site adecarné), G.Hazard (Anselme) vii2009, G.Hazard
(Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009
11.874.147:
Fonts:
- família: R.Sekulovich (site adecarné), G.Hazard (Anselme) vii2009, G.Hazard
(Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009
11.874.152:
Attention : Jean-Noël Mathieu "Recherches sur l'origine des sires de Dampierre-
Moeslains" in Mémoires de la SACSAM, t.CXVI pp.38-60 , 2000, corrige nettement
le haut de l'arbre Dampierre tel qu'il existait sur la base.
Compte tenu de la notoriété des travaux de Jean-Noël Mathieu il a été nécessaire
d'apporter des compléments mais surtout d'amender les dates sur les cinq derniers
degrés et de rectifier intégralement l'ascendance de Thibaut de Dampierre].
JB de La Grandière 23/7/2017.
Fut l'un des seigneurs de Champagne qui firent caution de la fidélité de leur comte
-3689-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Thibaud, lorsqu'il fit hommage-lige au roi Louis VI de France, à Melun en avril
1110. Il donna, le jour de Noël 1118, le lieu de Pestes à l'abbaye d'Auchy pour y
bâtir une église prieurale avec pouvoir aux religieux qui la desserviraient de
prendre tous leurs besoins sur la terre de Mailly.
Source dessin : Hervé Balestrieri ( Dessin de "Caranorn" d'après Dr. Jean Claude Loutsch : "Armorial du Pays de
Luxembourg", 1974, p. 491; pour Wikimedia Commons, sous licence Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0
Unported pour le projet Blasons de Wikipédia francophone, avec Inkscape ) 01.03.2014
Voir une vue aérienne actuelle du château de Dampierre (Aube). (Lien vers le site
Web "Geoportail" de l'Institut Géographique National)
Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 01.03.2014
Fonts:
- persona: J-C.de Vaugiraud (M. Bur, La formation du comté de Champagne, page
432) 2 ii 2011
- defunció: E.Visseaux/T.Mauvisseau
- casament: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel) 21.VIII.2005, JB.de La Grandiere
("Montréal à sire de Chastellux", 2013) 18 xii 2014
11.874.153:
Fonts:
- naixement: J-C de Vaugiraud (Déduction d'après la naissance de son aîné avant
1119) 01/11/2006
- família 1: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006, JB.de La
Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", 2013) 18 xii 2014
- casament 2: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- família 2: Grégory Grattepanche (fichier personnel) 21.VIII.2005, JB.de La
Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", 2013) 18 xii 2014
11.874.153a:
Sans alliance.
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel) 21.VIII.2005
11.874.153b:
Mentionné en 1163
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel) 21.VIII.2005
- defunció: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005
11.874.153c:
Mentionné en 1163
-3690-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel) 21.VIII.2005
- defunció: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005
11.874.153d:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel) 21.VIII.2005
11.874.153f:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Pierfit d'après Hervé de Mython et corrections Belleval édition
1876) 15 5 2014, E.Visseaux/T.Mauvisseau, J-C de Vaugiraud (E. de Saint Phalle:
HG179 p192) 21/08/2006, J-P de Palmas (wikipedia)
- família: D.Thuret (Pierfit d'après Hervé de Mython et corrections Belleval édition
1876) 15 5 2014, J-C de Vaugiraud (E. de Saint Phalle: HG179 p192) 21/08/2006, J-
P de Palmas (english wikipedia et FMG), H.de La Villarmois (geneanet Jean-P
11.874.154:
Itier III se joignit à la seconde croisade prêchée par saint-Bernard à Vézelay en
1146. Il revint en Puisaye sain et sauf et son fils, Nargeot II, agrandit et fortifia le
domaine de Saint- Fargeau.
Les seigneurs de St-Fargeau à travers le temps
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006, J-P de Palmas (notes:
Les seigneurs de St-Fargeau à travers le temps )
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006
11.874.155:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006
- família 1: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006
- família 2: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Toucy) 18/01/2006
11.874.155-2a:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (E.de St Phalle "Les Thianges à Vallery" in Bulletin de
la Sté Arch. de Sens n° 31 pp 15/20 1989) 12 xi 2009
- família: JB.de La Grandiere (ES t XV p 126 Noyers Marburg 1993 ) 12 xi 2009
11.874.156:
Archambaud VII eut une politique favorable au développement des institutions
communales : immunités accordées à l'abbaye de Saint-Menoux pour tout le bourg
de Saint-Menoux (2 mars 1125) ; fondation de la ville franche de Montcenoux (vers
1140) ; fondation de la ville franche du Breuil (vers 1145) ; fondation de la ville
franche de Limoise (1151). Il se montre plus favorable que ses prédécesseurs
immédiats au prieuré de Souvigny : confirmation des privilèges des moines et
bourgeois de Souvigny (1159).
-3691-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Le décès en 1171 est donné par le Chronicon Cluniacense.
Fonts:
- persona: Pierre Fauchère & JB de La Grandière suivant Max Fazy "Sires de
Bourbons" 1924/ réfection 16 xii 2009
- defunció: ESS XIV
- casament: ESS XIV
- família: J-M.Thiebaud (Histoire du Berry par Gaspard de La Thaumassière) 21 iii
2011
11.874.157:
Elle est mentionnée pour la dernière fois dans un document en 1183.
Fonts:
- defunció: P.Fauchère (Max Fazy, 75) 12.03.10
- casament: ESS XIV
- família: J-M.Thiebaud (Histoire du Berry par Gaspard de La Thaumassière) 21 iii
2011
11.874.157a:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich (site adecarné)
11.874.158:
EUDES de Bourgogne ([1120]-26 or 27 Sep 1162, bur Abbaye de Cîteaux). His
father's 1131 gift to the Cistercians of La Bussière was consented to by "all his
sons" (in order) Eudes, Hugues, Robert, Henri, Raymond and Gauthier[223]. He
succeeded his father in 1143 as EUDES II Duke of Burgundy.
[283] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1152, MGH SS XXIII, p. 841.
Fonts:
- persona: L. Gustavsson-M.Masseroni(T.LeHete), J-P de Palmas (Foundation for
Medieval Genealogy) 23ii2011
11.874.159:
Fille de Thibaud IV dit le Grand, comte de Champagne, et de Mathilde de
Sponheim de Carinthie (ou de Bohême). Veuve en 1162 d’Eudes II , duc de
Bourgogne (dont elle eut une fille , Alix de Bourgogne, abbesse de Fontevrault
aprés ellle) , et tante de Philippe-Auguste. Marie-Marguerite prit le voile à
Fontevraud en 1172. Pendant son abbatiat, elle obtint du Pape Innocent III une
bulle contre les religieuses indsiciplinées. Décidera par humilité de n’exercer ses
fonctions que pendant un an.
MARIE de Blois, daughter of THIBAUT IV "le Grand/le Vieil" Comte de Blois & his
wife Mathilde of Carinthia (1128-11 Mar or 7 Aug [1190], bur Abbaye de
Fontevraud). William of Tyre records her as sister of Etienne de Champagne Comte
de Sancerre, but does not name her[281]. The Annales S. Benigni Divisionensis
record the mother of Hugues Duke of Burgundy as "filie comitis Theobaldi comitis
Campanie"[282]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names (in order)
"Maria Burgundie ducissa, secunda Agnes Barri Ducis comitissa, tertia quedam
ducissa in partibus remotis, hanc postea duxit Guilelmus Goez in dyocesi
Carnotensi, quarta comitis Mathildis Pertici, quinta monialis Fontis Ebraldi, sexta
Adela Francorum regina" as the six daughters of "comes Campanie
Theobaldus"[283]. Regent for her son during his minority Sep 1162-Apr 1165.
"Maria ducissa Burgundie" donated property to Cîteaux by charter dated [1171/72]
-3693-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
which specifies that she was acting while "Hugo dux Burgundie filius meus" was on
a journey to Jerusalem[284]. After 1165 she became a nun at Fontevraud, abbess in
1174. A list of foundations at Troyes records the memory "13 Mar" of "Marie fille
du Thibaut comte de Champagne et femme d'Eudes duc de Bourgogne", adding
that she was buried at Fontevraud where she died "le 11 de ce mois"[285].
[283] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1152, MGH SS XXIII, p. 841.
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Kleinclausz, Hist. de Bourgogne, p. 84) 7/9/06, J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) 23ii2011
11.874.159c:
III of Burgundy (1142 - August 25, 1192, in Acre) was duke of Burgundy between
1162 and 1192. Hugh was the eldest son of duke Odo II and Marie of Champagne,
daughter of Theobald and Mathilda of Carinthia.
The rule of Hugh III marked the ending of a period of relative peace in the duchy of
Burgundy. Hugh was a belligerent man and soon was involved in conflicts against
king Louis VII of France over their borders. When Philip Augustus succeeded Louis
in 1180, Hugh seized the opportunity and forced several men to change alliance to
Burgundy. Philip II was not happy with the loss of his vassals and invaded the
duchy, besieging Châtillon. The town fell and with it, its garrison, commanded by
Eudes, Hugh's heir. A peace was negotiated and Hugh had to pay a high ransom
for his son and give up ambitions over French territory.
Hugh then turned his energies to the Holy Land, embarking in the Third Crusade in
the retinue of Philip II. He was the most trusted ally of Richard, the Lionheart and
fought with him against Saladin. When Philip returned to France, he left Hugh in
charge of the French troops. Hugh played a major role in the victory of the battle
of Arsuf (September 7, 1191) and the conquest of Acre, where he died in the
following year.
Marriage and issue He was married twice: Firstly, in 1165, to Alice of Lorraine
(1145-1200), daughter of Matthias I, Duke of Lorraine; he repudiated her in 1183.
Secondly, in 1183, to Béatrice of Albon (1161-1228), Countess of Albon and
Dauphine of Viennois, daughter of Guigues, Count of Albon and Dauphin of
Viennois.
By his first marriage, he produced: Odo III (1166-1218), his successor in the Duchy
Alexander (1170-1205), Lord of Montagu, founder of the line of Seigneurs of
-3694-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Montagu Douce (1175 - c.1219), married in 1196 Simon of Semur (d.1219), Lord of
Luzy Alix (b.1177), married Béraud VII, Lord of Mercœur
References The Royal Ancestry Bible Royal Ancestors of 300 Colonial American
Families by Michel L. Call (chart 2718) ISBN 1-933194-22-7
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Hugh_III,_Duke_of_Burgundy
Fonts:
- família 1: J-C de Vaugiraud (P. Van Kerrebrouck, Les Capétiens, P. 572)
17/06/2010
- família 2: S. Bontron (Anselme, I et VII), J-P.de Palmas (Le quartier des As) 31 vii
2012
11.874.160:
Il succède à son père en 1083, mais il est nommé « fils du comte Geoffroy », il ne
l’est donc pas encore lui-même, car probablement trop jeune. En 1100, il est
témoin du comte Hugues de Troyes et l’accompagne en Palestine à la suite de la
première croisade de 1104 à 1108.
L’un des comtes de Joigny serait parti en croisade avec Godefroy de Bouillon ; c’est
probablement lui, car Godefroy part en 1096 et meurt en Palestine en 1100, un an
après avoir été nommé « avoué du Saint-Sépulcre ».
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Etudes sur Chateaurenard, Joigny et Courtenay par
Edouard de Saint Phalle ) 19 iii 2010
- família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006
11.874.161:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006
11.874.164:
Fonts:
- persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru ; S. Bontron (Regeste dauphinois)
06.2009
11.874.168:
-3695-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
SIMON de Montfort (-12/13 Mar 1181, bur Evreux Cathedral). Robert of Torigny
records that "frater eius Symon" succeeded in 1140 on the death of "comes
Ebroicensis Amalricus"[2456]. He succeeded his brother as Comte d'Evreux,
Seigneur de Montfort-l'Amaury. During the 1159 war between Henry II King of
England and Louis VII King of France, Simon handed his castles of Rochefort,
Montfort and Epernon to King Henry, which forced King Louis to make a truce as
his communications between Paris, Orléans and Etampes were thereby cut[2457].
Robert of Torigny records the death in 1182 of "Simon comes Ebroicensis" and the
succession "in comitatu Ebroicensis in Normannia" of "Amalricus filius eius" and
"in comitatu de Rocha et in terra Francie" of "Simon alter filius eius"[2458]. The
necrology of Haute-Bruyère lists members of the Montfort family who are buried in
the abbey, starting with "conte Amaury…qui premier fonda l'eglise, dou fil le conte
Simon le Chauf qui gist a Evreux"[2459]. The necrology of the church of Evreux
records the death "13 Mar" of "Symon comes Ebroicensis qui dedit c solidos" and
the donation of "xl solidos" by "Amaricus filius eiusdem comitis"[2460].
m MATHILDE, daughter of --- (-before [31 Mar/23 Oct] 1168). Her marriage is
confirmed by a charter dated Feb 1199 which recalls a donation to the leprosery of
Grand-Beaulieu near Chartres by "Amauricus de Monteforti", with the consent of
"Amauricus parvus filius eiusdem Amaurici, qui erat sub custodia Amaurici de
Mestenon", confirmed after his death by "Simon frater eius et successor", and a
later donation by "Simon iste comes Ebroicensis et Mahaudis uxor eius"[2461]. She
was related to Henri I Comte de Champagne: “Henricus Trecensium comes
palatinus” donated revenue from the fair at Provins to Haute-Bruyère, for the soul
of “Matillis Ebroicensis comitisse consanguinee mee”, by charter dated to [31
Mar/23 Oct] 1168[2462]. Simon & his wife had three children.
[2461] Notre-Dame des Vaux de Cernay, Tome I, p. 71, footnote 1, quoting Archives
du dép. d´Eure-et-Loir, fonds du grand séminaire.
[2462] Copy of charter sent to the author by Thierry Le Hête by email dated 26
Mar 2013
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base René Lorent) 13 v 2011, M.Chevallier x 09
(M.Roquebert),JB.de La Grandiere ( Paul Leportier "Les ducs de Normandie" chap.
comtes d'Evreux, St-Aubin-lès-Elbeuf 1999 ) 31 x 2009, J-P.de Palmas (FMG) 11 viii
2013
- defunció: M.Chevallier x 09 (M.Roquebert)
- enterrament: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009
- família: J-M.Thiebaud (base René Lorent) 13 v 2011, JB.de La Grandiere ( Paul
Leportier "Les ducs de Normandie" chap. comtes d'Evreux, St-Aubin-lès-Elbeuf
1999 ) 31 x 2009
-3696-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.169:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base René Lorent) 13 v 2011
- família: J-M.Thiebaud (base René Lorent) 13 v 2011, JB.de La Grandiere ( Paul
Leportier "Les ducs de Normandie" chap. comtes d'Evreux, St-Aubin-lès-Elbeuf
1999 ) 31 x 2009
11.874.169a:
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tompsett), Renaud de Paysac (Tompsett), JB.de La
Grandiere ( Paul Leportier "Les ducs de Normandie" chap. comtes d'Evreux, St-
Aubin-lès-Elbeuf 1999 ) 31 x 2009
- família: Renaud de Paysac (Tompsett), B.Yeurc'h (ENCYCLOPÆDIA BRITANNICA),
o guionneau
11.874.169b:
Robert of Torigny records the death in 1182 of "Simon comes Ebroicensis" and the
succession "in comitatu Ebroicensis in Normannia" of "Amalricus filius eius" and
"in comitatu de Rocha et in terra Francie" of "Simon alter filius eius"[1748]. He
succeeded his father in 1181 as Comte d'Evreux. The necrology of the church of
Evreux records the death "13 Mar" of "Symon comes Ebroicensis qui dedit c
solidos" and the donation of "xl solidos" by "Amaricus filius eiusdem comitis"[1749].
A charter dated Feb 1199 recalls a donation to the leprosery of Grand-Beaulieu
near Chartres by "Amauricus de Monteforti", with the consent of "Amauricus
parvus filius eiusdem Amaurici, qui erat sub custodia Amaurici de Mestenon",
confirmed after his death by "Simon frater eius et successor", a later donation by
"Simon iste comes Ebroicensis et Mahaudis uxor eius", and the present
confirmation by "Simon de Monteforti, predictorum successor virorum et heres"
with the consent of "uxore mea Eva et filiis meis Amaurico et Guidone et fratre meo
Guidone"[1750]. m ([1170]) MABEL of Gloucester, daughter of WILLIAM
FitzRobert Earl of Gloucester & his wife Avise de Beaumont (-1198). An anonymous
continuation of the Chronicle of Robert of Mont-Saint-Michel records (in order)
"Comitissa Ebroicensis…uxor Guillelmi Comitis de Clara, tertia…in manu Dei et
domini Regis" as the three daughters left by "Guillelmus Comes Glocestriæ" when
he died[1751]. The Chronica de Fundatoribus et Fundatione of Tewkesbury Abbey
names “Mabiliam comiti de Evereis in Normannia nuptam…Amiciam…Isabellam”
as the three daughters of “comes Willielmus” and his wife[1752]. Benedict of
Peterborough records "uxori Amauri comitis Ebroicanum" as "Willelmus filius
Roberti filii regis Henrici primi comes Gloucestriæ…filiam ipsius comitis"[1753].
Robert of Torigny records the marriage in 1170 of "primogenitam filiam Roberti
comitis Gloecestriæ" and "Amauricus primogenitus filius Symonis comitis
Ebroicensis"[1754]. In another passage, Robert of Torigny records the death in
1183 of "Guillermus comes Gloecestriæ" leaving three daughters as his heirs, of
whom one (mentioned first) was "comitissa Ebroicensis"[1755]. The Annals of
Tewkesbury record the death in 1198 of “Mabilia comitissa Ebroici”[1756].
References
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) x2009
- defunció: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009
- família: JB.de La Grandiere ( Paul Leportier "Les ducs de Normandie" chap.
comtes d'Evreux, St-Aubin-lès-Elbeuf 1999 ) 31 x 2009
11.874.170:
ROBERT de Beaumont "ès Blanchemains", son of ROBERT de Beaumont Earl of
Leicester & his wife Amicie de Gaël (-Acre or Durazzo 31 Aug 1190). Robert of
Torigny records the death in 1168 of "Robertus comes Leecestriæ" and the
succession of "filium Robertum"[1255]. He succeeded his father in 1168 as Earl of
Leicester. He supported Henry "the Young King" in his revolt against his father
King Henry II in 1173. The latter retaliated by confiscating Robert's English
estates, burning Leicester 28 Jul 1173, and capturing Robert's fortress of Breteuil
25 Sep 1173. Robert was defeated by the king's forces at Fornham near Bury,
Suffolk and was captured with his wife. He set out on Crusade in Dec 1190 but died
on the return journey[1256]. The Annals of Margan record the death in 1190 of
“Robertus comes Leicestriæ”[1257]. Matthew of Paris records the death at Acre in
1191 of "comes Robertus Leycestrensis"[1258].
References
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tompsett), F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de
Normandie de la Dynastie Vicking), J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) x2009
- família: Renaud de Paysac (Tompsett), F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de
Normandie de la Dynastie Vicking).
11.874.171:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking).
- família: Renaud de Paysac (Tompsett), F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de
Normandie de la Dynastie Vicking).
11.874.171b:
Fonts:- persona: Renaud de Paysac (Tompsett)
- família: Renaud de Paysac (Tompsett), J-P.de Palmas (wikipedia) 10 x 2012
-3698-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.171c:
ROBERT de Breteuil "FitzPernel" (-20/21 Oct 1204, bur Leicester Abbey). He
succeeded his father in 1190 as Earl of Leicester, while accompanying Richard I
King of England on Crusade and was invested as such at Messina in 1191[1270].
He defended the duchy of Normandy against Philippe II King of France during King
Richard's imprisonment in Austria, was captured 15 Jun 1194 and remained a
prisoner until early 1196[1271]. Steward of England. Robert son of Parnel, Earl of
Leicester, donated property to the abbey of Lire for the soul of Loreta his wife, by
charter dated to [1190/1204][1272]. The Annales Cambriæ record the death in
1204 of "Robert comes Lerecestriæ"[1273]. The necrology of Lyre monastery
records the death "20 Oct" of "Robertus III comes Legrecestriæ"[1274]. m
LAURETTE de Briouse, daughter of WILLIAM de Briouse & his wife Mathilde de
Saint-Valéry Dame de la Haye (-Hackington 4 Mar [1266 or after]). Robert son of
Parnel, Earl of Leicester, donated property to the abbey of Lire for the soul of
Loreta his wife, by charter dated to [1190/1204][1275]. Her parentage is confirmed
by the Testa de Nevill which includes a writ of King John dated 1212 recording that
"Willelmus de Brause" granted "manerium de Taustock" in Devon to "comiti
Leycestrie in maritagium cum filia sua"[1276]. The Testa de Nevill includes a list of
landholdings in Berkshire, dated 1219, which includes "Laurentia comitissa de
Leicestria" holding land "in Hungerford…in hundredo de Launburn"[1277]. She
became a recluse at Hackington, near Canterbury, before Feb 1221[1278]. The
necrology of Lyre monastery records the death "4 Mar" of "Laureta
comitissa"[1279].
References
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tompsett), J-P de Palmas (Fundation for Medieval
Genealogy) xi2009
11.874.174:
Baudouin IV de Hainaut, né en 1108, mort le 8 novembre 1171, comte de Hainaut
de 1120 à 1171, fils de Baudouin III, comte de Hainaut, et de Yolande de
Wassemberg. Comme il était mineur à la mort de son père, la régence fut assuré
par sa mère qui dirigea le pays avec prudence et fermeté. Elle négocia les
fiancailles de son fils avec Alix de Namur, et assura par traité les droits de cette
dernière au comté de Namur. Elle laissa son fils gouverner en 1127. Peu après, le
comte de Flandre Charles de Danemark fut assassiné et plusieurs prétendants,
parmi lesquels figuraient Baudouin, se manifestèrent. Le roi de France Louis VI le
Gros choisit Guillaume Cliton. Irrité, Baudouin envahit le pays d'Alost, mais se
rendit compte qu'il ne pouvait garder sa conquête et se retira en incendiant
Audenarde. Après la mort de Guillaume (1128), il tente à nouveau de conquérir la
Flandre, mais est repoussé par Thierry d'Alsace, le nouveau comte. En 1147, il
profite du départ de Thierry d'Alsace en croisade, il envahit à nouveau la Flandre,
-3699-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
malgré le risque d'excommunication qu'il encourait pour s'attaquer aux biens d'un
croisé. Sibylle d'Anjou, la femme de Thierry réussit à défendre ses terres, le temps
que Thierry revienne en hâte de Constantinople, et la guerre fit rage et ravagea les
deux comtés. Finalement, les deux comtes, las de faire la guerre, conclurent la paix
en 1151 et fiancèrent leur enfants. Ce mariage conduira quarante ans plus tard à la
réunion des deux comtés. Baudouin se consacra à soumettre ses vassaux les plus
indociles, et réunit au comté plusieurs terres. Il acquit son surnom de bâtisseur en
fortifiant la plupart des villes du Hainaut et en favorisant la construction d'églises
et de cathédrales. En 1169, à l'occasion des noces de son fils avec Marguerite
d'Alsace, il fit visiter son palais du Quesnoy en construction à plusieurs seigneurs.
Ils eurent l'imprudence de monter sur des échafaudages mal étayés qui
s'écroulèrent sous eux. Certains se relevèrent légèrement blessés, mais Baudouin
avait les cuisses et les reins brisés, et mourut deux ans plus tard. Il épouse vers
1130 Alix de Namur (1115 † 1169), dernière fille de Godefroy, comte de Namur, et
d'Ermensende de Luxembourg, sa seconde femme. Elle meurt en juillet 1169
inhumée dans l'église de Sainte Waudru de Mons (Hainaut). C'est par ce mariage
que leurs descendants hériteront du marquisat de Namur.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Baudouin_IV_de_Hainaut
Fonts:
- persona: Joël Chirol (Base familiale) 23/11/05, S. de L'Espinay (Etienne Pattou -
Gén. de de Werchin - 2011/2016 - http://racineshistoire.free.fr/LGN) 29.02.2016
- família 1: F-L.Jacquier (R. Jetté, R-Y. Gagné, J-P. DuLong, P. Leportier - Les Le
Neuf : état des connaissances).
- família 2: A. de Maere 13.07.2008
11.874.175:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (Etienne Pattou - Gén. de de Werchin - 2011/2016 -
http://racineshistoire.free.fr/LGN) 29.02.2016
- naixement: B.Yeurc'h (Le Lien)
- família: F-L.Jacquier (R. Jetté, R-Y. Gagné, J-P. DuLong, P. Leportier - Les Le Neuf :
état des connaissances).
11.874.175c:
-3700-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Sépulture dans l'église de Sebourg (Nord) : ..CY GIST HENRY SIRE DE SEBOURG
FILS DE BAUDUIN COMTE DE HAINAUT ET LA COMTESSE ALLIS ONCLE A
L'EMPEREUR DE CONSTANTINOPLE ET AU ROI DE FRANCE PRIEZ POUR SON
AME L'AN 1176. .
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-II/6
- naixement: C-H.Maigret (Base Anaïs Priou) 21 ii 2012
- família: H.R.Moser/EuSt-II/6
11.874.175d:
Godefroy, comte d'Ostrevant, mort à Mons à 16 ans le 6 avril 1159 (ou 1161) sans
postérité, marié à 15 ans avec Éléonore de Vermandois.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 5 viii 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 5 viii 2012
11.874.175-2a:
Achète le sénéchalat de Hainaut à Rainier de Beaumont et Yolande de
Chinn(maison de Berlaymon-Bohain).
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (Etienne Pattou - Gén. de de Werchin - 2011/2016 -
http://racineshistoire.free.fr/LGN) 29.02.2016
- família 1: S. de L'Espinay (Etienne Pattou - Gén. de de Werchin - 2011/2016 -
http://racineshistoire.free.fr/LGN) 29.02.2016
-3701-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 2: A. de Maere 13.07.2008, S. de L'Espinay (Etienne Pattou - Gén. de de
Werchin - 2011/2016 - http://racineshistoire.free.fr/LGN) 29.02.2016
11.874.200:
GILLES de Chimay (-after 1172). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines
names "Gilonem et Hadwidem" as children of "Alardo de Cimay" & his wife[864].
“Ide de CimaiGilii de Cimai” subscribed the charter dated 1161 under which the
monks of Saint-Sépulcre transferred “de Villerelmolendini” to Baudouin IV Comte
de Hainaut[865]. The Chronicon Hanoniense records "Egidius de Cymaco" among
the knights who served Baudouin V Comte de Hainaut in the war with “Henricus
comes Namurcensis et Lusceleborch”, dated to 1172[866].
[864] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1119, MGH SS XXIII, p. 824.
[867] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1116, MGH SS XXIII, p. 822.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 30 x 2016
- família: G Grattepanche (ficher personnel) 26.VIII.2005
11.874.201:
ALIDE de Rozoy . The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names
"Raynaldum…Rogerum..episcopus Laudunensis…et sorores eius…Aeliz de Cimeco,
altera Alfelisia" as the children of "Clarembaldus de Roseto" and his wife "Elizabeth
filiam comitis Godefridi Namucensis"[3554]. The Chronicon Hanoniense names
"Raynaldum…[et] Rogerum Laundunensem episcopum et filias Alidem…Egidio de
Cymaco maritatem et Annchelisam viro nobili in comitatu Namurcensi maritatam
Philippo…de Altaripa" as children of "domino Rogero de Roseto" and his Namur
wife, specifying that Roger married "Iuliana filia Nicholay de Ruminio" by whom he
was father of "Rogerum"[3555].
m GILLES de Chimay, son of ALARD [IV] de Chimay & his wife Ida de Coucy (-after
1172).
[3554] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1116, MGH SS XXIII, p. 822.
-3702-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[3555] Gisleberti Chronicon Hanoniense, MGH SS XXI, p. 508.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 30 x 2016
- família: G Grattepanche (ficher personnel) 26.VIII.2005
11.874.208:
Fondateur du prieuré de Flixecourt, il est présumé seigneur de l'emplacement de
L'Étoile, du nom du château qu'il possède (bulle de Moreaucourt).
Fonts:
- persona: H.deRiberolles (Pierfit 18 7 2007)
- casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012
- família: H.deRiberolles (Pierfit 18 7 2007)
11.874.209:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles (Pierfit 18 7 2007)
- casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012
- família: H.deRiberolles (Pierfit 18 7 2007)
11.874.210:
Second fils de Marguerite de Clermont, auteur de la branche cadette des
Candavène de Beauval.
[C-H.Maigret (J-F. Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et France") 15 x 2011]
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 15 x 2011
- casament: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 15 x 2011
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
11.874.211:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012
- casament: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 15 x 2011
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
11.874.211a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre
et France", tableau P. 148) 15 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012
- família 1, família 2, família 3: C-H.Maigret (Jean-François Nieus. Un pouvoir
comtal entre Flandre et France) 17 x 2011
11.874.211b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre
et France", tableau P. 148) 15 x 2011
-3703-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.211d:
FLANDRINE de Saint-Pol . ---. The Historia Comitum Ghisnensium names
"Flandrinam comitis Sancti-Pauli Hugonis neptem" as wife of "Willelmum de
Ghisnis [filium Willelmi Andomarensis castellanus]"[1300]. 1202. m GUILLAUME
de Guines, son of ARNOUL [I] Comte de Guines & his wife Mathilde de Saint-Omer.
1177/1217.
FMG
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 13x2011, J-C de
Vaugiraud (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et France",
tableau P. 148) 15 x 2011
- defunció: J-P de Palmas (Detlev Schwennicke, Europaische Stammtafeln, New
Series, Vol. XXVII, Tafel 64.)
11.874.211e:
Vivante en 1202.
Source : Hervé Balestrieri ( d'après Jean-Pierre de Palmas, Forum & Foundation for Medieval Genealogy, projet
"Medieval lands" ) 31.10.2011
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol,
1000-1300, par J-F Nieus, page 150) 15x2011
- defunció: Hervé Balestrieri ( Foundation for Medieval Genealogy, projet "Medieval
lands" ) 30.10.2011
11.874.211f:
Vivante en 1202.
Source : Hervé Balestrieri ( d'après Jean-Pierre de Palmas, Forum & Foundation for Medieval Genealogy, projet
"Medieval lands" ) 31.10.2011
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre
et France", tableau P. 148) 15 x 2011
- defunció: Hervé Balestrieri ( Foundation for Medieval Genealogy, projet "Medieval
lands" ) 30.10.2011
11.874.240:
Gormond, ou encore Germond, Guarmond ou Waremond, prélat picard originaire
de Picquigny, mort à Sidon en 1128. Fils ou frère d'Arnoul de Picquigny (suivant
les sources).
Fin 1110, Guermond emprisonne Adam d'Amiens. Geoffroy, évêque d'Amiens tente
à plusieurs reprises de le faire libérer.[1]
-3704-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Il fut patriarche latin de Jérusalem de 1118 à 1128, successeur de Baudouin II.
C'était un homme simple et craignant Dieu, selon Guillaume de Tyr. Il ordonne des
travaux. Il reçoit la ville de Tyr à composition.Il mourut en 1128[4],[5].
Notes et références
GUERMOND [II] de Picquigny (-after 1131). No primary source has been found
which indicates the parentage of Guermond [II], but his name indicates a family
relationship with Guermond [I] who is named above. Vidame d’Amiens.
m BEATRIX, daughter of --- (-13 Feb 1144, bur Abbaye de Saint-Jean). The wife of
Guermond [I] is called Beatrix in secondary sources but the primary source on
which this is based has not been identified. Darsy states that the wife of Guermond
"Béatrix" was buried “XVI Kal Mar” 1144 at “l’église de Saint-Jean”[225]. In a later
passage, he notes a charter dated 13 Feb 1144 which records the burial in the
presence of her six children "avec les trois enfants de Gérard et Manassès de
Bulles, frère de Renault"[226]. Domesday Descendants records that the --- de Saint-
Valéry, daughter of Renaud de Saint-Valéry was the mother of "Gerard II de
Picquigny vidame d’Amiens", presumably indicating Gérard [I], and cites the
cartulary of Oseney[227]. The chronology for this connection does not appear ideal,
assuming that the dates of the members of the Picquigny family are accurately
recorded in the present document. However, a connection (maybe a family
relationship) between the Saint-Valéry and Picquigny families is shown by the
letter written by Pope Alexander III to Henri Archbishop of Reims, dated 29 Mar
1154, to enforce reparations from "vicedominus Pinciniaco, Bern. de S. Walerico et
Gualterius Tyrellus" for the damage which they had caused to the abbey of Saint-
Pierre de Selincourt[228].
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas
Löeb ) , J-P de Palmas (notes & Iconographie: wikipedia ; FMG) 2012 et 2017
- defunció: J-P de Palmas (Sidon, Phénicie, Sud Liban)
- família 1: F-L. Jacquier (Guy Bastin - Nobily), J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 3 v 2012
11.874.241:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas
Löeb ) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/
- família: F-L. Jacquier (Guy Bastin - Nobily), J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG)
3 v 2012
11.874.241b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 v 2012
11.874.241c:
ADA . "Drogo dominus Monciaci" released "Hauvi uxorem Gisleberti de Meirart",
on the advice of "uxoris meæ Adæ", by charter dated 5 Feb "in eodem anno quo
mortuus est Rainaldus de Merlodo"[269]. The primary source which confirms her
parentage has not been identified. It is indicated by Darsy who notes a charter
dated 13 Feb 1144 which records the burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de
Picquigny, in the presence of her six children (named with, in the case of the
daughters, their husbands, he implies) "avec les trois enfants de Gérard et
Manassès de Bulles, frère de Renault"[270].
m ([before 13 Feb 1144]) DREUX [III] de Moncy, son of DREUX [II] de Moncy & his
wife Basilie --- (-after 1151).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017
- família: G.de Paysac, Anselme
11.874.241d:
BEATRIX (-after 1144). The primary source which confirms her parentage and
marriage has not been identified. It is indicated by Darsy who notes a charter
dated 13 Feb 1144 which records the burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de
Picquigny, in the presence of her six children (named with, in the case of the
daughters, their husbands, he implies) "avec les trois enfants de Gérard et
Manassès de Bulles, frère de Renault"[271].
-3706-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Vidame de Brebières, son of --- (-after 1148).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia ; FMG) 3 v 2012
11.874.241e:
EUPHEMIE (-after 1149). "Girard vidame de Picquigny" donated property to "la
maison de Gabarinville, lorsque dam Euphémie sa sœur s’y fit religieuse" by
charter dated 1149[272]. The primary source which confirms her marriage has not
been identified. It is indicated by Darsy who notes a charter dated 13 Feb 1144
which records the burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de Picquigny, in the
presence of her six children (named with, in the case of the daughters, their
husbands, he implies) "avec les trois enfants de Gérard et Manassès de Bulles,
frère de Renault"[273].
m ([before 13 Feb 1144, separated before 1149]) RENAUD, Seigneur de Bulles, son
of LANCELIN [II] de Beauvais Seigneur de Bulles & his wife Adela de Dammartin (-
after 1167).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012 et 4 ii 2017, F.de Bernis (Le prieuré de St-
Leu d'Esserent) 31 i 09
- família: F.de Bernis (Le prieuré de St-Leu d'Esserent) 31 i 09
11.874.241f:
GISELE (-after 1144). The primary source which confirms her parentage has not
been identified. It is indicated by Darsy who notes a charter dated 13 Feb 1144
which records the burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de Picquigny, in the
presence of her six children (named with, in the case of the daughters, their
husbands, he implies) "avec les trois enfants de Gérard et Manassès de Bulles,
frère de Renault"[274].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 v 2012
11.874.242:
ETIENNE de Troyes (before 1070-before 1130, maybe [1127]). Albert of Aix names
"Stephanus de Albemarla filius Udonis comitis de Campania" among those present
with Adhémar Bishop of Le Puy on the First Crusade[746]. He succeeded his
mother in [1082/84] as Comte d’Aumâle. Florence of Worcester records that
"Northymbrensis comes Rotbertus de Mulbrei et Willelmus de Owe" conspired
against William II King of England in [1095], planning to place "filium amitæ illius
-3707-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Stephanus de Albamarno" on the English throne[747]. "Stephanus comes de Alba
marla" donated "ecclesiam S. Martini de Alciaco" to the monks of Beauvais Saint
Lucien, naming "mater mea Adelidis comitissa", by charter dated 14 Jul 1096[748].
William of Tyre names Etienne Comte d'Albemarle among those who left on the
First Crusade in 1096 with Robert Count of Flanders[749]. He was granted the
lordship of Holderness in 1102. Orderic Vitalis reports that he supported Baudouin
VII Count of Flanders and Guillaume "Clito" de Normandie against Henry I King of
England in 1118[750]. A charter of King Henry II records donations to York St
Mary, including the donation of “manerium Horneshay et ecclesiam…et Marram
eius piscaturam et Thorp ibi juxta” by “Odo comes et Stephanus filius eius” and of
“Fulfordam…” by “Stephanus (de Albemarla)”[751]. “Stephanus, Albermarlensis
comes” founded Saint-Martin, Aumâle by undated charter which names “mater
mea Adeliza…Willielmi regis Angliæ avunculi mei”[752].
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com), N.Danican (Annuaire de
l'Assocition normande 2010, p. 67) 26 vii 2011, J-P.de Palmas (FMG) 18 ii 2017
- casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 14 ii 2012
- família: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com), R.Sekulovich (geneanet :
deret) 24 iii 2014, J-P.de Palmas (FMG) 18 ii 2017
11.874.243:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier * (Site VanCrok)
- casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 14 ii 2012
-3708-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com), R.Sekulovich (geneanet :
deret) 24 iii 2014, J-P.de Palmas (FMG) 18 ii 2017
11.874.243a:
Paraît avoir épousé Robert III (et non II) Bertran de Briquebec en premières noces,
et devenue veuve, s'être remariée à Enjuger de Bohon.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, H&G 2000, 379), JB.de La Grandiere
(fEuropäische Stammtafeln t II tableau 46 (Champagne) Marburg 1984 ) 25 ix 2016
- família 1: F-L. Jacquier (Paul Leportier, notice "Les familles de Montfort-sur-Risle
& Bertrand de Bricquebec", H&G 2003, pp. 221-224)
- família 2: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les familles de Monfort-sur-Risle &
Bertrand de Bricquebec, H&G 2003, pp. 321-324)
11.874.243b:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com) http://ancestry.com
- família 2: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com) http://ancestry.com
11.874.243c:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com) http://ancestry.com,
N.Danican (Annuaire de l'Assocition normande 2010, p. 69) 26 vii 2011
- família: N.Danican (Annuaire de l'Assocition normande 2010, p. 75) 26 vii 2011
11.874.243d:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com) http://ancestry.com
11.874.243e:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier ( Sherry Huggins sur site Web http://ancestry.com )
- família: F-L. Jacquier (site Tyrel de Poix)
http://tyreldepoix.free.fr/Site/Alliances.htm, Joël Chirol (Geneanet base Claude
Isèbe 06/07/08)
11.874.243g:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich (geneanet : deret) 24 iii 2014
- família: R.Sekulovich (geneanet : deret) 24 iii 2014
11.874.244:
Premier châtelain d'Amiens connu (filiation donnée par FMG). Le nom de sa
première épouse n'est pas connu.
Emprisonné vers 1100 par Guermond de Picquigny (P. Roger, Archives historiques
et ecclesiastiques de la Picardie, 1842, p. 53).
Fonts:
- persona: H.deRiberolles (Pierfit 18 7 2007)
- família: N.de Wissocq (FMG) 8 ii 2017
11.874.245:
-3709-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família: N.de Wissocq (FMG) 8 ii 2017
11.874.246:
Thomas de Marle, scélerat célèbre par ses brigandages, soutint la commune de
Laon lors de l'insurrection contre son évêque.Le château appelé Montaigu, place
forte sise dans le pays de Laon, était échue par le hasard d'un mariage à Thomas
de Marle, ennemi de Dieu et des hommes. Son insupportable rage, pareille à celle
d'un loup cruel, se trouvait accrue par l'audace qu'entretenait en lui la force d'un
château inexpugnable. Dans le pays, de tous côtés, tout le monde le redoutait et
avait horreur de lui; il n'était pas jusqu'à celui qu'on appelait son père, Enguerrand
de Boves, un homme vénérable et honorable, qui, plus que tout autre, ne fît les plus
grands efforts pour le jeter hors de son château à cause de sa factieuse tyrannie.
C'est du chef de sa mère, Ada de Roucy, que Thomas possédait cette terre, dont il
porta le nom jusqu'à ce qu'il devînt sire de Coucy. On l'appellait « le plus grand
coquin qu'ait connu notre époque » (virum omnium quos novimus hac etate
nequissimum).Enguerrand haïssait Thomas et voulait le déshériter. Cependant il
n'avait pas mal commencé et s'était comporté avec une grande bravoure en Terre-
Sainte, notamment aux sièges de Nicée et de Jérusalem.
Chapter XXIV
Because the hand of kings is very powerful, in virtue of the right attached to their
office they repress the audacity of tyrants each time they see them provoking wars,
or taking infinite pleasure in pillage, in harming the poor or in destroying the
churches. Thus licence is bridled which, if it remained for every unchecked, would
-3710-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
enflamed men to yet greater madness, like those malign spirits who prefer to slay
those whom they fear to lose, relentlessly caress those whom they hope to keep,
and throw oil on the flames to make them burn yet more cruelly.
Thomas de Marle, the most abandoned of men, ravaged the country of Laon,
Rheims and Amiens while King Louis was occupied with the wars described above
and many others. The devil prospered his enterprises because the prosperity of
fools usually leads them to perdition. So he devastated and devoured like a furious
wolf, massacring and destroying everything; he did not spare the clergy out of fear
of excommunication nor the people out of any humanity. He even siezed from the
nunnery of St. John at Laon two excellent vills, and fortified with fine ramparts and
high towers the two well-defended castles of Crecy and Nouvion, as if they were his
own, transforming them into a dragon's lair and a robbers' cave, in order to expose
almost the whole of that land pitylessly to rapine and arson.
Worn out by his intolerable vexations, the French church held a general synod at
Beauvais, to promulgate there a preliminary sentence and condemnation against
the enemies of Christ's true bride. But Conan, bishop of Palestrina, venerable
legate of the holy Roman church, deeply grieved by the innumerable complaints of
the churches and the vexation of the poor and orphans, struck at Thomas's tyranny
with the sword of St. Peter, cut him down with a general anathema, deprived him
in his absence of his belt of knighthood, and in conformity with the judgement of all
stripped him of all honours as an infamous criminal, enemy to the name of
Christian. Yielding to the prayers and plaints of this great council, the king
forthwith gathered an army against Thomas. Accompanied by his clergy to whom
he was always most humbly attached, he turned towards the very heavily fortified
castle of Crécy, and unexpectedly seized it by the great strength of his armed
forces, or rather through diving aid; then he assaulted the strong keep as if it were
a peasant's hovel, confounded the criminals; piously massacred the impious and
mercilessly beheaded those who had showed no mercy. Your could have seen the
castle consumed as if by hell fire, and would have understood the meaning of the
words: 'The whole world shall fight with him against men who have no feelings,'
(Wisdom of Solomon, V, 21).
The victorious king was promptly following up his success by marching on the
castle of Nouvions, when a messenger reported thus to him: 'Be it known to your
serenity, my lord king, that in that wicked castle there live the wickedest of men;
only hell is fit for them. I speak of those who, when you ordered the commune to be
suppressed, burned not only the city of Laon but also the noble church of the Virgin
with many other churches, martyred almost all the nobles of the city to punish
them for having faithfully supported and assisted their lord the bishop, and most
cruelly slew bishop Gaudry himself, the venerable defender of the church, not
fearing to set their hands against the lord's anointed; they then exposed him naked
to the birds and beasts in the square, having cut off the finger that bore the
episcopal ring; finally, at the persuasion of that most wicked Thomas, they
attempted to occupy your keep to disinherit you.'
Doubly furious, the king then set out against that wicked castle, and broke down
those sacrilegious places worthy of all the pains of hell; in pardoning the innocent
and severely punishing the guilty, this one man avenged the wrongs of many.
Thirsting for justice, he condemned all the detestable murderers he found to be
hanged on the gibbet and then their bodies exposed to the rapacity of kites, crows
and vultures, a demonstration of the just deserts of those who did not fear to set
their hands against the anointed of the lord.
When the adulterine castles had been destroyed and the vills returned to the nuns
-3711-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
of St. John, he returned to Amiens and besieged the keep of a certain tyrant Adam
of that city, who had destroyed churches and the whole neighbourhood. After a
tight siege lasting nearly two years, he forced the defenders to surrender, took it
by assault and totally destroyed it; and by razing it he reestablished a most
welcome peace in the country, fulfilling his duty as king, who 'beareth not the
sword in vain' (Romans 13, 4). Then he abolished in perpetuity the lordship of that
infamous Thomas and his heirs over that city.
Chapter XXXI
He spoke, and despite his corpulence, set off with astonishing enthusiasm on
precipitous roads obstructed by woods, cutting his way through with his army until
he arrived close to the castle. At that moment Count Raoul, who was scouting on
the other side of the castle, was told that ambushes had been prepared for the
army, and the catastrophe was imminent for them. At once Raoul armed himself,
and set out along a secret path in that direction with a few companions; he sent
some of his men on ahead, then seeing that Thomas had already been struck and
fallen, he spurred on his horse, charged him and boldly struck him with the sword,
inflicting a mortal wound. If he had not been restrained, he would have repeated it.
Captured and bleeding to death, Thomas was brought before King Louis and taken
on his orders to Laon, with the approval of almost everyone, both his men and ours.
The following day his lands in the plain were confiscated and his palisades broken
down, but Louis spared the land because he held its lord. The king then went back
to Laon. But neither his wounds not imprisonment nor threats nor prayers could
induce that abandoned man to give back the merchants whom he held in prison,
and whom he had deprived them of all their possessions in shocking violation of his
duties on the highway. When with the royal permission he summoned his wife, he
seemed more grieved by being compelled to release the merchants than to lose his
life. As the appalling pain of his wounds brought him to death's door, he was
implored by many people to confess and take the last rites, but would scarcely
consent. When the priest had brought the body of the Lord into the chamber where
the wretched man lay, it seemed as if even the Lord Jesus could not bear to enter
the miserable shell of that insufficiently penitent man, for as soon as the wicked
man raised his neck, he let it fall back broken, and breathed out his hideous spirit
without having taken the Eucharist. The king disdained to proceed further against
a dead man or a dead man's lands, so he extorted from Thomas's wife and children
-3712-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
freedom for the merchants and the greater part of his treasure; then, having
restored peace to the churches by the death of the tyrant, he returned victorious to
Paris.
On another occasion, there arose between the king and the illustrious Amaury de
Montfort, a great dispute about the seneschalship, which Stephen of Garlande
fanned and both the English king and Count Thibaud encouraged by their
assistance. With a hastily gathered army the king besieged the castle of Livry,
brought up the siege engines, and by dint of frequent assaults and aggressions, he
very courageously stormed it. And because his noble cousin Raoul, count of
Vermandois, the swiftest in attack, had lost an eye from a crossbow bolt, he totally
flattened the castle which had been very strong. But he so impressed them by this
great act of war that they gave up the seneschalship and all hereditary claim to it,
leaving it in peace. In this war the king, great soldier as he was and always prompt
to take action against the enemy, was pierced in the leg by a bolt from a crossbow.
Although seriously wounded he bravely made light of it, and as if enthroned royal
majesty disdained the pain of a wound, he held himself stiffly, bearing it as if he
had nothing to bear.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Medieval Sourcebook) v2009, D.Thuret (Jean Mon) 6 i
2010, F-L. Jacquier (Edouard de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282), Maxim
Olenev maximolenev@mail.ru
- família 3: H.deRiberolles (Pierfit 18 7 2007), H.R.Moser/Brandenburg, F-L.
Jacquier (Edouard de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282)
11.874.247:
Troisième épouse de Thomas, Sgr de Courcy.
Lui apporte en dot les deux chateaux de Crécy et de Nouvion l'Abbesse dépendant
tous les deux de l'abbaye de Saint Jean de Laon.
Fonts:
- persona: H.deRiberolles (Pierfit 18 7 2007) C.Maubois (medieval lands) 4 vi 2013
- família: H.deRiberolles (Pierfit 18 7 2007), H.R.Moser/Brandenburg, F-L. Jacquier
(Edouard de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282)
11.874.247c:
Robert, Seigneur & Baron de Boves se qualifia pendant quelques temps Comte
d'Amiens, quoique son pére en eût perdu le Titre & la jouissance & lui ressembla
dans la cruauté; il épousa Béatrix fille de Hugues Candavene, Comte de St-Paul &
mourut au Siège de la Ville d'Acre en Palestine en 1191.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Armorial général de la France Par Louis-Pierre D'Hozier)
30xi2011
- defunció: Siège de la Ville d'Acre en Palestine
- família: H.R.Moser/Rupp
11.874.247d:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)
-3713-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.247-1b:
BEATRIX de Coucy (-after 1156). The Annales Lobienses refer to the two daughters
of "Thomam de Marla" & his wife, specifying that one (unnamed, mentioned
second) married "Evrardus de Bretullie" by whom she was mother of "Evrardum et
Gualerannum cum aliis"[117]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines refers to
the other of the two daughters of "Thomam de Cocy" as the husband was
"Everardus de Bretulio"[118]. "Ebrardus Britulensium dominus" names his wife
Beatrix and his sons “Galeran et Ebrard” in a charter in favour of Charlis
abbey[119]. Pope Lucius II ordered an enquiry into the consanguinity between
“Ebrardus de Britolio”, who had just returned from Jerusalem, and “filiamThomæ
de Marna”, presumably with a view to regularising Erard’s second marriage, dated
16 Jun 1144[120].
m ERARD [III] de Breteuil, son of VALERAN [II] Seigneur de Breteuil & his wife
Ivette [Judith] --- (-killed in battle Laodicea 1147).
[118] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1119, MGH SS XXIII, p. 824.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017
11.874.247-1c:
Fonts:
- persona: D.Gaultier (Nicolas V. de SAINT-ALLAIS, ‘’Nobiliaire universel de
France’’, 2ème éd. Paris 1872-1875. Envoi de R.W. Farwerck ) 17/12/08
- família: D.Gaultier (Nicolas V. de SAINT-ALLAIS, ‘’Nobiliaire universel de
France’’, 2ème éd. Paris 1872-1875. Envoi de R.W. Farwerck ) 17/12/08
11.874.248:
GUILLAUME [I] "Talvas" de Ponthieu, son of ROBERT de Montgommery "de
Bellême" Seigneur d'Alençon, Comte de Ponthieu, Earl of Shrewsbury & his wife
Agnès de Ponthieu (-30 Jun 1171). Orderic Vitalis names “Guillelmum” as the son of
“Rodbertum Belesmensem” and his wife “filiam Guidonis Pontivi comitis
Agnetem”[1519]. He succeeded his father [4 Mar 1106/1110][1520] as Comte de
Ponthieu. "Wilelmus comes Pontivi" confirmed the donation of the church of Saint-
Léonard de Bellême to Marmoutier by charter dated to [1112/14][1521]. Henry I
King of England restored Comte Guillaume to his father's lands in Normandy in Jun
1119[1522]. He resigned Ponthieu [before 1129] in favour of his son Guy:
Guillaume of Jumièges records that ”Willelmum Talavatium” married “Alaquæ
fuerat antea uxor ducis Burgundiæ” [incorrect], and had “duos filios et totidem
filias” of whom “filiorum primogenitus Wido” was made “patre viventecomes
Pontivi”[1523]. "Gulielmus comes Pontivorum" donated property to the abbey of
Saint-Sauveur-le-Vicomte for the souls of "his predecessors earl Roger and Mabel
his wife, count Guy and Adda his wife, his father Robert de Belesmo and his mother
Agnes and…Ela his wife and of their sons two of them called Robert and two
William and two Enguerrand and Mabel his daughter" by charter dated
1127[1524]. Robert of Torigny records that Henry II King of England granted
-3714-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"castrum Alenceium et Rocam Mabiriæ" to "Willermus Talavacius comes Sagiensis
et filius eius Johannes et iterum Johannes nepos eius filius Guidonis primogeniti sui
comitis Pontivi" in 1166[1525]. Robert of Torigny records the death in 1171 of
"Guillermus Talavercius comes Pontivi" and the succession of "Johannes nepos
suus…ex Guidone primogenito suo"[1526]. The Obituaire of Saint-Martin de Séez
records the death 30 Jun of "Guillelmus Pontivorum comes"[1527]. The necrology
of the monastery of Ouche records the death "30 Jun" of "Willelmus comes
Talevat"[1528].
[m firstly ---. The name of Guillaume’s supposed first wife is not known. This first
marriage is strongly suggested by the marriage date of Guillaume’s daughter
Clémence. She is named in Jul 1128 with her son "Gaufrido primogenito" (see
below). The addition of the word "primogenito" suggests that there was at least one
other younger child at that date. This would place her marriage in late 1125 at the
very latest. It is extremely unlikely, therefore, that she could have born from
Guillaume’s marriage to Hélie de Bourgogne, the death of whose first husband is
recorded in late Apr 1112. The other indication is the unlikelihood that Hélie de
Bourgogne could have had eleven children by her second husband, considering her
own estimated birth date.]
Comte Guillaume [I] & his [first] wife had [three] children.
Comte Guillaume [I] & his [second] wife had nine children.
[1520] CP XI 697.
[1523] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Duchesne, 1619), Liber VIII, XXXV, p. 311.
-3715-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1525] Chronique de Robert de Torigny I, 1166, p. 360.
[1530] Devic, Dom C., Dom Vaissete, Dulaurier, E. (1875) Histoire Générale de
Languedoc 3rd Edn. (Toulouse), Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 389, col.
738.
[1531] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Duchesne, 1619), Liber VIII, XXXV, p. 311.
Guillaume Talvas III, fils de Robert II de Bellême, et son successeur aux comtés
d'Alençon, du Sonnois, etc. - (1112 à 1171).
-3716-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Le beau-père, refusant de mettre son gendre en possession des châteaux promis, il
en résulta une rupture. Guillaume Talvas, ami d'enfance et dévoué corps et âme au
duc d'Anjou, devint suspect au roi, qui le fit citer à comparaître à sa cour.
L'exemple de son père était trop récent pour lui permettre de tomber dans le
piège. Au lieu d'obtempérer à la citation d'Henri, il se retira dans ses forteresses de
Peray, Mamers et autres, qu'il avait dans le Sonnois, sous la protection du comte
Geoffroy. Henri pour s'en venger, s'empara d'Alençon et d'Argentan, qu'il fit
considérablement fortifier.
En vain Mathilde mit tout en uvre ; en vain elle eut recours aux prières et aux
larmes pour réconcilier Talvas avec le roi son père, le monarque resta inflexible ; la
haine qu'il portait à la maison de Bellême était trop violente pour se relâcher en
rien envers aucun membre de cette famille. Le roi Henri 1er étant mort le 1er
décembre 1135, Guillaume de Bellême profita de la circonstance pour rentrer, les
armes à la main, en Possession de ses domaines séquestrés en Normandie.
Étienne, comte de Mortain, appuyé sur la loi des fiefs, se prétendant, à défaut
d'hoirs mâles, héritier de son oncle, le roi d'Angleterre, s'empara de son trône.
Guillaume Talvas, chaud partisan de Geoffroy, époux de Mathilde, unique et
légitime héritière de Henri, dont elle revendiquait la couronne, se trouva en
opposition avec tous les plus puissants seigneurs du pays, savoir: Rotrou, comte du
Perche; Richer, sire de L aigle; le Seigneur de Claire ou Cleray; Jean de Neuville,
évêque de Sées ; celui de Lisieux et grand nombre d'autres illustres personnages
qui avaient reconnu Étienne pour duc de Normandie ; l'Alençonnais devint le
théâtre de toutes les horreurs qui accompagnent une guerre civile.
L'année suivante, 1136, Talvas suivit le comte d'Anjou à son expédition dans le
pays d'Hyesme contre les partisans de soit compétiteur, mais bientôt ses propres
affaires le rappelèrent dans ses domaines, où il craignait une irruption de la part
du comte Rotrou III, à qui Étienne avait donné Moulins-la-Marche, ainsi que de la
part de Richer de L Aigle, qui en avait reçu Bonsmoulins.
Guillaume épousa Alice, fille du duc de Bourgogne et veuve du comte de Toulouse ;
il en eut trois fils et deux filles ; l aîné, nommé Guy, fut comte de Ponthieu ; le
second nommé jean, hérita du comté d'Alençon et des seigneurs du Sonnois et de
Sées ; le troisième nommé Philippe, mourut dans l'enfance et fut inhumé au ch ur
de l'église de l'abbaye de Saint-Martin de Sées.
L aînée des filles, nommée Adala ou Adèle, épousa Juhel, premier du nom, seigneur
de Mayenne, dont sortit une nombreuse postérité ; la seconde, nommée Helia, fut
mariée en premières nom à Guillaume III, comte de Varennes, et en secondes à
Patrice d'Évreux, comte de Salisbury, en Angleterre.
Le comte d'Alençon profita de la paix qui survint pour prendre la croix. Louis VII,
dit le Jeune, se préparait à partir pour la Terre sainte. Guillaume l'accompagna
avec le comte de Ponthieu, son fils aîné. ils s'acheminèrent vers les champs de la
Palestine l'an 1147. Arrivés à Éphèse cette même année, l'infortuné Talvas eut la
douleur de perdre son fils, qu'une maladie grave enleva à son amour dans toute la
fraîcheur de la jeunesse. Le portique de la grande église de cette antique et célèbre
cité reçut les restes mortels de ce jeune paladin, qui y fut inhumé avec toute la
pompe due à son rang.
Au retour de cette expédition, dont l'issue fut si. fatale aux croisés, Guillaume se
trouva en butte à de nouveaux malheurs. Henri II, dit Plantagenêt, alors roi
d'Angleterre, exigea de lui la cession d'Alençon, de la Roche Mabile et des terres
qui en dépendaient, sous prétexte d'y changer quelques coutumes abusives qui s'y
étaient introduites sous la domination des Bellême, et dont il ordonna aussitôt la
réforme.
L'an 1168, le jeune comte de Ponthieu, fils de Guy II, mort à Éphèse et petit-fils de
Talvas, ayant refusé un passage sur ses terres à Mathieu, comte de Boulogne, qui
venait au secours d'Henri II, alors en guerre avec le roi de France, Louis le jeune,
le roi d'Angleterre, transporté de fureur, pénétra avec ses troupes dans le pays de
Vimeu (Picardie), dépendant du comté de Ponthieu, y mit tout à feu et à sang : plus
de quarante villages devinrent la proie des flammes.
Le roi de France, pour venger son vassal, entra en Normandie et brûla le château
de Chêne brun; Henri, par représailles, se jeta sur les terres françaises et incendia
-3717-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
à son tour les châteaux de Brézolles et de Châteauneuf-en-thymerais, appartenant
tous deux à Hugues de Châteauneuf.
Non content de cet acte de vengeance, il exerça encore ses fureurs et ses
brigandages sur une partie du grand Perche. Affligé à l'excès des malheurs de son
petit fils, Guillaume, hors d'état de lutter contre son puissant oppresseur, fut
contraint de s en tenir à une compassion stérile.
La paix entre les deux rois ayant enfin succédé à tant de désastres, Henri en
profita pour faire creuser de profondes tranchées qui séparaient la Normandie
d'avec le Perche; les nombreux vestiges qui en restent du côté de Long pont,
Moulins-la-Marche, Après, les Genettes et autres lieux, portent encore aujourd'hui
le nom de Fossés le roi.
Ils sont une preuve évidente que, depuis la cession de Moulins au comte Rotrou III,
les terres du Perche n'étaient plus bornées par la Sarthe, mais quelles rasaient le
château de Sainte Scholasse et se prolongeaient jusque vers L Aigle.
Guillaume Talvas mourut le jour de saint-Pierre, 29 juin 1171. Les chroniqueurs ne
sont pas d'accord sur le lieu de sa sépulture. Suivant des mémoires de l'abbaye de
Perseigne, la chapelle Saint-Jean, de l'église de cette maison , aurait reçu sa
dépouille mortelle, que d'autres mémoires de l'abbaye de Saint André en Gouffern,
d'accord avec I'Histoire des grands officiers de la couronne, prétendent avoir été
déposée dans le ch ur de cette dernière église, du côté de l'épître.
L'histoire ne reproche à ce seigneur aucun des actes de férocité dont s'était
souillée sa famille du côté paternel. il fonda à lui seul plus de maisons religieuses
que tous les Talvas ses prédécesseurs.
1- En 1145, il fit bâtir, dans sa forêt de Perseigne en Sonnois, une magnifique
abbaye de l'ordre de Cîteaux ;
2- Dès l'an 1130, il avait fondé celle de Silly ou Saint André-en-Gouffern, et celle de
Vignats ;
3- En 1138, celle de Valloires, en Picardie ;
4- En 1159, la grande et riche abbaye de Saint-Josseaux-Bois, sur les confins de
l'Artois ;
5- Les prieurés de Mamers et de la Cochère. Il donna de grands biens aux abbayes
de Saint-Évroult et de Saint Martin de Sées.
On lui connaît six enfants naturels :
1er- Robert dit Samson, seigneur des Aulnaux ;
2ème- Robert dit Garenne, seigneur de Garenne en Roullée ;
3ème- Hugues de Blerlay, seigneur de Cerisé, près Alençon ;
4ème- Robert dit de Neuilly, seigneur de Longray par son épouse ;
5ème- Jean d'Alençon, archidiacre de Lisieux, curé et archidiacre de Boitron ;
6ème- enfin, Jeanne d'Alençon, femme de Payen de Couesme, seigneur de Lucé.
Il est le dernier des Talvas qui ait possédé le Bellémois .
http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Thierry Le Hêtre, La Dynastie Capétienne, p. 113), J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016
- defunció: dcd le jour de la Saint-Pierre de l'an 1171
- casament 1: J-C de Vaugiraud (Voir notes) 26 ix 2016
- família 1: J-C de Vaugiraud (Voir notes - 1108 est basé sur un x de Constance à 12
ans en 1120) 26 ix 2016, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016
- família 2: F-L. Jacquier (Thierry Le Hêtre, La Dynastie Capétienne, p. 113)
- família 3: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
11.874.249:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Thierry Le Hêtre, La Dynastie Capétienne, p. 113)
- defunció: Les comtes de Toulouse et leurs descendants les Toulouse-Lautrec par
J.R. Magné et J.R. Dizel (1992), S.Fourlinnie (Patrick Texier sur le forum du
-3718-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11/05/05)
- enterrament: Les comtes de Toulouse et leurs descendants les Toulouse-Lautrec
par J.R. Magné et J.R. Dizel (1992)
- família 2: F-L. Jacquier (Thierry Le Hêtre, La Dynastie Capétienne, p. 113)
11.874.249b:
Seconde des filles : "la seconde, nommée Helia, fut mariée en premières nom à
Guillaume III, comte de Varennes, et en secondes à Patrice d'Évreux, comte de
Salisbury, en Angleterre".
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
- naixement: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- defunció: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- família 2: H.R.Moser/Burke-ext+Turton
11.874.249c:
Fils cadet : "le second nommé jean, hérita du comté d'Alençon et des seigneurs du
Sonnois et de Sées".
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web - http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm ),
J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016
- defunció: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016
- família: J-C de Vaugiraud (ES III-IV T 638) 01/12/2006
11.874.249d:
Troisième fils : "le troisième nommé Philippe, mourut dans l'enfance et fut inhumé
au ch ur de l'église de l'abbaye de Saint-Martin de Sées".
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
11.874.249-1b:
MABILE de Ponthieu . "Gulielmus comes Pontivorum" donated property to the
abbey of Saint-Sauveur-le-Vicomte for the souls of "Ela his wife and of their sons
two of them called Robert and two William and two Enguerrand and Mabel his
daughter" by charter dated 1127[1537]. If this translation is accurate, the wording
suggests that Mabile was not the daughter of Guillaume’s known wife Hélie.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016
11.874.249-1c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016
11.874.249-3a:
Fils naturel.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
-3719-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.249-3b:
Fils naturel, seigneur de Garenne en Roullée.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
11.874.249-3c:
Fils naturel, seigneur de Cerisé près d'Alençon.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
11.874.249-3d:
Fils naturel, seigneur de Longray par son épouse.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm,
(Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes")
- família: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm, F-
L. Jacquier (Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes")
11.874.249-3e:
Fils naturel.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
11.874.249-3f:
Fille naturelle.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
- família: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
11.874.249-1a:
PONS de Toulouse ([1096]-executed near Mont Pèlerin, near Tripoli Mar 1137). His
parentage is recorded by Orderic Vitalis[24]. He left for Palestine with his father in
Summer 1108[25]. "Bertrandus…comes Raimundi Sancti Egidii filius" donated
property for the soul of "Guillelmi Iordanis consanguinei mei" to the church of the
Holy Sepulchre, Jerusalem with the consent of "Poncio filio suo", by undated
charter[26]. He succeeded his father in 1112 as PONS Count of Tripoli. He
recognised Baudouin II King of Jerusalem as his overlord in 1118, although in 1122
he refused to pay homage but was forced to submit[27]. He captured the Muslim
fortress of Rafaniya in Mar 1126[28]. He supported Alix Ctss of Antioch when she
reasserted her claim to the regency of Antioch after the death of her father in
1131, but his forces were defeated by Foulques d'Anjou King of Jerusalem[29]. He
was ambushed by Turks in the Nosairi Mountains in 1133 and fled to the castle of
Montferrand, from where he was rescued by King Foulques on the request of his
wife[30]. Mahmud atabeg of Damascus invaded the county of Tripoli in early 1137.
He defeated Count Pons who fled to the mountains, but was betrayed and put to
death[31].
-3720-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
m (Tripoli 1115) as her second husband, CECILE de France, widow of TANCRED
Prince of Tiberias and Antioch, daughter of PHILIPPE I King of France & his third
wife Bertrade de Montfort-l'Amaury (-after 1145). The Historia Regum Francorum
Monasterii Sancti Dionysii names "Philippum et Florum et filiam unam" children of
"Philippus rex [et] Fulconi Rechin Andagavorum comiti uxorem", specifying that
the (unnamed) daughter married "Tanchredus Anthiochenus"[32]. Her parentage is
recorded by William of Tyre, who also records her two marriages[33]. Her first
marriage was arranged while Bohémond I Prince of Antioch was visiting the
French court seeking support against Emperor Alexios I. She sailed for Antioch end
1106[34]. While dying, Prince Tancred made Pons de Toulouse promise to marry
his wife[35]. Albert of Aix records the marriage at Tripoli of "Punctus filius
Bertrannus de Tripla" and "uxorem Tancredi, quæ filia erat regis Franciæ", dated
to [1115] from the context[36]. William of Tyre refers to the wife of the count of
Tripoli as uterine sister of Foulques King of Jerusalem and names her[37]. She
claimed Jebail as her dower, but was eventually satisfied with Chastel Rouge and
Arzghan[38]. She became Lady of Tarsus and Mamistra, in Cilician Armenia, in
1126[39]. "Cecilia comitissa" donated property for the souls of "domini mei Poncii
comitis…et filii mei Raimundi comitis" to the church of the Holy Sepulchre,
Jerusalem by charter dated 1139[40]. “Raymundus Pontii comitis Sancti Egidius
filiuscomes Tripoli” donated property to the bishop of Le Puy-en-Velay, with the
advice of “Cæciliæ comitissæ matris meæ regis Francorum filius, et Hodiernæ
uxoris meæ Tripolitanæ comitissæ regis Hierusalem filiæ et filii mei Raymundi et
Philippi fratris mei”, by charter dated 1142[41]. Count Pons & his wife had three
children.
[32] Historia Regum Francorum Monasterii Sancti Dionysii 31, MGH SS IX, p. 405.
-3721-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[37] WT XIV.V, pp. 612 and XIV.VI, p. 614.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 15 ii 2015
- família: F.Ripart (wikipedia/message sur le forum)
11.874.249-1b:
Cette Agnès de Toulouse est donnée par H.R Moser/Variorum, comme épouse de
Renaud Mansoer, seigneur de Margat.
Or du Cange corrigé par Rey dans son article sur les seigneurs de Margat propose
la même chose que le site "Fondation for Medieval Genealogy". Les parents de
Agnès ne seraient pas Bertrand, comte de Tripoli X Hélie / Hélène de Bourgogne
mais très probablement Pons, comte de Tripoli X Cécile de France. Je corrige
d'après cette source.
J-C de Vaugiraud forum 13/08/2007
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Variorum
11.874.250:
Hugues III de Campdavaine appelé encore Hugues de Camp d'Avesnes († 1141) fut
comte de Saint-Pol de 1130 à 1141. Responsable de massacres et frappé
d'anathème, il a donné naissance à une légende dans laquelle il prend le nom de
Bête Canteraine.
Biographie
Hugues fit une guerre très vive à la famille Collet, qu'il obligea à se réfugier dans
l’abbaye de Saint-Riquier. Après un siège de la place fortifiée, il en fit l'assaut le 28
juillet 1131 et la mit à feu et à sang, tuant homme, femme, enfant et clergé. Les
survivants se réfugièrent à Abbeville, dont l'abbé de Saint Riquier qui porta plainte
au concile de Reims. Hugues fut frappé d'anathème en 1132 par le pape Innocent
II. Il commit d'autres exactions contre le clergé, ce qui obligea Louis le Gros à
réprimer la fureur du comte de Saint-Pol. Hugues prévint le coup en se soumettant
à la pénitence. Il obtint l’absolution du pape Innocent II en 1137 moyennant le
financement de la fondation de trois abbayes : Cercamp, Claircamp (auj.
Klaarkamp, près de Rinsumageast en Frise) et Ourscamp. Cercamp était situé sur
la Canche et l'abbaye de Clairfay, entre Varennes-en-Croix et Léalvillers, non loin
d’Acheux-en-Amiénois.
-3722-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Flandre, mais fut battu.
La légende
Notes et références
Annexes
Sources
Fonts:
-3723-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: J-P de Palmas ( wikipedia, pour les notes) 15x2011
- defunció: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 83) 15 x 2011
- enterrament: C-H.Maigret (Épigraphie Rodière) 16 x 2011
- casament 1: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012
- família 1: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 75) 15 x 2011
- família 2, família 3: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre
Flandre et France") 15 x 2011
11.874.251:
Se retire à l'abbaye de Berteaucourt (en 1127-1128) pour céder la place à
Marguerite de Clermont.
Épitaphe :
Hic iacet Beatrix uxor domini Hugonis Campus Avenae.
Orate pro ea.
[C-H.Maigret (J-F. Nieus) 17 x 2011]
Fonts:
- persona: [C-H.Maigret (J-F. Nieus) 17 x 2011]
- defunció: C-H.Maigret (F. de Locre) 17 x 2011
- enterrament: C-H.Maigret (Épigraphie Rodière) 16 x 2011
- casament: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012
- família: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et France:
Saint-Pol, P. 75) 15 x 2011
11.874.251b:
Fonts:
- persona: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 75) 15 x 2011
- casament: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 95) 15 x 2011
- família: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et France:
Saint-Pol, P. 95) 15 x 2011
11.874.251c:
Surnommé Havet (crochet ?) dans un acte comtal de 1184.
Il souscrit, seul avec son père, deux chartes du comte de Flandre pour l'abbaye de
Clermarais, en 1137 et 1143/44.
A la mort d'Hugues III, il ne recueille rien de l'héritage : Enguerran et Anselme se
partagent le comté.
Il n'a donc pas survécu à son père, à moins d'une vocation ecclésiastique tardive.
[C-H.Maigret (J-F. Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et France) 15 x 2011]
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 15 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 15 x 2011
11.874.251-2a:
Jean-François Nieus ne la mentionne pas dans "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France".
[C-H.Maigret (22 x 2011)]
Fonts:
- família: H.R.Moser/Rupp
-3724-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.251-2b:
Premier fils de Marguerite de Clermont, déjà signalé en 1137, il apparaît aux côtés
de son frère Guy en 1159, 1160 et 1162.
Il acquiert avant 1177, l'office de châtelain de Corbie qu'il transmettra à ses
descendants qui seront aussi seigneurs de Plessis-de-Roye.
Devenu seigneur de Breuil-le-Vert, dans le comté de Clermont-en-Beauvaisis (qui
faisait sans doute partie de la dot de sa mère).
Son fils aîné Guy Candavène lui succède avant 1192.
[C-H.Maigret (J-F. Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et France") 15 x 2011]
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
11.874.251-2d:
Mentionnée dans les actes d'Enguerran en 1145 et 1150/1153, a été mariée avant
1145 à Anselme, seigneur d'Houdain et sénéchal de la comtesse Sybille de Flandre.
[C-H.Maigret( A. Duchesne, histoire de la Maison de Béthune) 15 x 2011]
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
11.874.256:
Fonts:
- persona: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
- naixement: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
11.874.257:
Fonts:
- persona: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
11.874.257b:
Fonts:
- persona: C.Denancé (geneanet site Guillaume de Wailly) 04.01.09
- família: C.Denancé (geneanet site Guillaume de Wailly) 04.01.09, J-P.de Palmas
(Fragment de l'Histoire de Philippe-Auguste, roi de France. Chronique en français
des années 1214-1216, par Ch.Petit-Dutaillis, in Bibl.Ecole des Chartes, 1926) 8 v
2012
11.874.260:
Fonts:
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005, F-L. Jacquier (GeneaNet
"mcbauche") 20-01-2008
11.874.261:
J'émets les plus grandes réserves sur les générations ascendantes développées à
partir de G.D. !!!
C-H.Maigret 13 ii 2012
-3725-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005, F-L. Jacquier (GeneaNet
"mcbauche") 20-01-2008
- naixement: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 3.IX.2005, F-L. Jacquier (GeneaNet
"mcbauche") 20-01-2008
11.874.261b:
Fonts:
- persona: P.de Lacoste (Geneanet Wailly)
- família: P.Mahieu, * 2017-01-07 11:06:55 (modifier famille - C-H.Maigret)
Baudouin de Créquy ca 1140-ca 1226
11.874.262:
GUILLAUME [II] de Saint-Omer, son of [GUILLAUME [I] Châtelain de Saint-Omer]
& his [first wife ---] (-1143 or after). Châtelain de Saint-Omer. "Willelmi castellani,
Hostis et Willelmi fratris eius" signed the charter dated 1132 under which Thierry
Count of Flanders exchanged land with the abbey of Saint-Bertin[927]. "Willelmo
quoque castellano et Waltero eius filio" signed the charter dated 1143 under which
Thierry Count of Flanders exchanged land with the abbey of Saint-Omer[928].
m MELISENDE de Picquigny, daughter of ARNAUD de Picquigny & his wife ---. The
Historia Comitum Ghisnensium names "de…regis Francorum Karoli Magni stirpe et
familia progenitam, Ernulphi vicedomini de Pinkinio filiam…Milesendem" as wife of
"Willelmus Andomarensis castellanus"[929].
[927] Giry ‘Les chàtelains de Saint-Omer’ (1874), p. 340, quoting Grand cartulaire
de Saint-Bertin, ms. de la bibl. de Saint-Omer, no. 803, t. I, p. 228.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 3 ii 2017
- enterrament: C.-H.Maigret (T. Delvaux. "Le sang des Saint-Omer") 16 vii 2012
- família: H.R.Moser/EuSt-III-4/623, S. de L'Espinay (E. Pattou - Gén de Saint Omer -
racines histoire - 06.01.2016)10.01.2016
11.874.263:
MELISENDE de Picquigny . The Historia Comitum Ghisnensium names "de…regis
Francorum Karoli Magni stirpe et familia progenitam, Ernulphi vicedomini de
Pinkinio filiam…Milesendem" as wife of "Willelmus Andomarensis
castellanus"[224]. Her alleged descent from Charlemagne has not been traced.
-3726-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas
Löeb ) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/, J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 3 ii 2017
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Saint-Omer) 23 iii 2011
- família: H.R.Moser/EuSt-III-4/623, S. de L'Espinay (E. Pattou - Gén de Saint Omer -
racines histoire - 06.01.2016)10.01.2016
11.874.263a:
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Baileul) 1 VIII 2012
- família: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 / "The
Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.263c:
Fonts:
- persona: P. Maussion 1 i 06,JL.Mondanel (généalogie Saint-Omer) 23 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Saint-Omer) 23 iii 2011
- família: H.R.Moser/EuSt-III-4/623
11.874.263d:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/623
- família: H.R.Moser/EuSt-III/623
11.874.263f:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (E. Pattou - Gén de Saint Omer - racines histoire -
06.01.2016)10.01.2016
- família: S. de L'Espinay (E. Pattou - Gén de Saint Omer - racines histoire -
06.01.2016)10.01.2016
11.874.263g:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (E. Pattou - Gén de Saint Omer - racines histoire -
06.01.2016)10.01.2016
11.874.263h:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (E. Pattou - Gén de Saint Omer - racines histoire -
06.01.2016)10.01.2016
- família: S. de L'Espinay (E. Pattou - Gén de Saint Omer - racines histoire -
06.01.2016)10.01.2016
11.874.266:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel),JL.Mondanel (généalogie de
Gand) 23 iii 2011
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), P.Mahieu
11.874.267:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel),JL.Mondanel (généalogie de
Gand) 23 iii 2011
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), P.Mahieu
-3727-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.874.268:
Fonts:
- família 1, família 2: F-L. Jacquier (Alain de Carné)
11.874.269:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009
- defunció: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009
- família: F-L. Jacquier (Alain de Carné)
11.874.269-2a:
"fort malade et graveleuse dès son jeune âge".
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Alain de Carné)
- família 1, família 2: F-L. Jacquier (Alain de Carné)
11.874.270:
Fonts:
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
11.874.271:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (A. Duchesne) 17 x 2011
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France") 15 x 2011
11.874.271a:
Renommé pour ses chansons d'amour et de croisade, il participe aux IIIe et IVe
croisades dans lesquelles il tient un rôle politique important.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
- família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
11.874.271b:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
11.874.271d:
Fonts:
- persona: F_L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
- família: F_L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
11.874.271e:
-3728-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Croisé, mort en Terre-Sainte.
Sans postérité.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
11.874.271f:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
11.874.271g:
sans postérité.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
- família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
11.874.271h:
Sans postérité.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
11.874.272:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Ph. Denis réponse à 07.III.448 BEAUMETZ (de) H&G
n° 186 p. 85, mars 2008 ) 26 x 2013
11.874.275-1b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 v 2012
11.874.275-1c:
ADA . "Drogo dominus Monciaci" released "Hauvi uxorem Gisleberti de Meirart",
on the advice of "uxoris meæ Adæ", by charter dated 5 Feb "in eodem anno quo
mortuus est Rainaldus de Merlodo"[269]. The primary source which confirms her
parentage has not been identified. It is indicated by Darsy who notes a charter
dated 13 Feb 1144 which records the burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de
Picquigny, in the presence of her six children (named with, in the case of the
daughters, their husbands, he implies) "avec les trois enfants de Gérard et
Manassès de Bulles, frère de Renault"[270].
m ([before 13 Feb 1144]) DREUX [III] de Moncy, son of DREUX [II] de Moncy & his
wife Basilie --- (-after 1151).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017
- família: G.de Paysac, Anselme
11.874.275-1d:
BEATRIX (-after 1144). The primary source which confirms her parentage and
marriage has not been identified. It is indicated by Darsy who notes a charter
dated 13 Feb 1144 which records the burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de
Picquigny, in the presence of her six children (named with, in the case of the
daughters, their husbands, he implies) "avec les trois enfants de Gérard et
Manassès de Bulles, frère de Renault"[271].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia ; FMG) 3 v 2012
11.874.275-1e:
EUPHEMIE (-after 1149). "Girard vidame de Picquigny" donated property to "la
maison de Gabarinville, lorsque dam Euphémie sa sœur s’y fit religieuse" by
charter dated 1149[272]. The primary source which confirms her marriage has not
been identified. It is indicated by Darsy who notes a charter dated 13 Feb 1144
which records the burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de Picquigny, in the
presence of her six children (named with, in the case of the daughters, their
husbands, he implies) "avec les trois enfants de Gérard et Manassès de Bulles,
frère de Renault"[273].
m ([before 13 Feb 1144, separated before 1149]) RENAUD, Seigneur de Bulles, son
of LANCELIN [II] de Beauvais Seigneur de Bulles & his wife Adela de Dammartin (-
after 1167).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012 et 4 ii 2017, F.de Bernis (Le prieuré de St-
Leu d'Esserent) 31 i 09
- família: F.de Bernis (Le prieuré de St-Leu d'Esserent) 31 i 09
11.874.275-1f:
GISELE (-after 1144). The primary source which confirms her parentage has not
been identified. It is indicated by Darsy who notes a charter dated 13 Feb 1144
which records the burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de Picquigny, in the
presence of her six children (named with, in the case of the daughters, their
husbands, he implies) "avec les trois enfants de Gérard et Manassès de Bulles,
-3730-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
frère de Renault"[274].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 v 2012
11.874.276:
WENEMAR [I] van Gent, son of [827][LAMBERT [II] Burggraaf van Gent & his wife
Geyla ---] (-1118 or after). Châtelain de Gand. "Lotbertus…abbas Hasnoniensis
cœnobii" sold property "in Alost et Rasseghem et Lede" to "Gisilberto Balduini
Gandensis filio" by charter dated 1088, witnessed by "…Wenemarus castellanus
Gandensis…"[828]. Albert of Aix records that "Winimerus" left Mamistra and sailed
for Laodicea which he captured, but was himself captured by the Turks, dated to
early 1098 from the context[829]. Albert of Aix records that "Winemarus de terra
Buloniæ" was freed from captivity at Laodicea at the request of "ducis Godefridi",
dated to late 1098 from the context[830]. "Wenemarus Gandensis castellanus"
founded the abbey of Bornhem by charter dated 1101 which names "avo meo
Fulcardo"[831]. Robert Count of Flanders confirmed the possessions of Cambrai
Saint-Aubert “in villa de Keans” by charter dated 1102, in the presence of
“Winemari castellani Gandensis”[832]. "Roberto Castellano, Lamberto Nappino,
Adam de Formosela, Galtero Curtracensi Castellano, Wenemaro Gandensi
Castellano, Frumoldo Yprensi Castellano…" signed the charter dated 19 Jan 1109
under which "Robertus Roberti filius…comes Flandrensium" granted privileges to
Voormezeele abbey[833]. "Wenemari castellani, Sigeri filii eius…" signed an
undated donation to Gand Saint-Pierre[834]. "Uuenemari castellani, Sigeri filius
eius, Uuenemari filii eius…" signed the charter dated 1114 under which "Asericus"
donated property to Gand Saint-Pierre[835]. "Wenemarus castellanus Gandensis,
Hachet castellanus Brugensis, Galterus castellanus Curtracensis, Baldewinus de
Alost et Iwain frater eius, Razo de Gavera…" signed the charter dated 1 Feb 1117
under which "Balduinus…Flandrensium comes" confirmed donations to
Voormezeele abbey[836]. "Wenemari castellani, Arnoldi fratris sui, Danielis fratris
eius…" signed the charter dated 1118 under which "Rodulphus de Melne…"
donated property to Gand Saint-Pierre[837].
-3731-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[830] Albert of Aix (RHC), Liber V, Cap. XXIV, p. 447.
Fonts:
- persona: L. Guion, JB.de La Grandiere (corrigeant avec Europäische Stammtafeln t
VII p 81 -comtes de Guines- ) 24 vii 2012
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
11.874.277:
Fonts:
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
11.874.277a:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
- família: A. de Maere 04.03.2005, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
11.874.282:
Croisé (1096) avec Robert, comte de Flandres, et Hugues «Le Grand». Il
se signala au siège d'Antioche
Il souscrit une charte 02/1069 de son beau-frère Robet de Villeneuil
Il fait une donation (05/1092) à Cîteaux
Fonts:
- persona: D.Thuret (SGG), G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de
Berry) ix2009
- família: D.Thuret (SGG), G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de
Berry) ix2009
11.874.283:
Fonts:
- persona: D.Thuret (SGG), G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de
Berry) ix2009
-3732-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: D.Thuret (SGG), G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de
Berry) ix2009
11.874.283c:
Fonts:
- persona: D.Thuret (SGG)
- família: D.Thuret (SGG)
11.874.287:
dame de Brie-Comte-Robert(Seine-et-Marne), dame de Chilly-Mazarin et de
Longjumeau(Essonne)
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (analyse de la dévolution de Brie-comte-Robert
transmis par son père-maintenant lié- à une fille prénommée Alix) 12 x 2012
11.874.288:
D'après http://www.mikeburger.com, son père Fastre de Oisy serait né à Oizy,
Namur, Belgique (1080-1111), sa mère Richilde néé à Oisy, ibidem (1080-?), et lui-
même Gauthier de Oisy né à Oisy, ibidem, 1105-1147.
Il quitta son nom et ses armes pour prendre le nom et les armes d'Avesnes (C. de
Sars de Solmon ) .Voir généalogie de la Famille D'Avesnes (Racines &
histoire/lignage)
References
11.874.289:
Elle serait plutôt issue du mariage d'Everard Radulph Ier et de et d'Helvige
FRancka (ca1065-/1099) ?
D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 20
Fonts:
- persona: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 20
- família: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t III-1 p. 50 (Avesnes)
Marburg 1984) 4 ii 2012, base Capet
11.874.289b:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
- família: P.Mahieu, H.R.Moser/EuSt-VII/88
11.874.289d:
Fonts:
- persona: L.Guion, chronique de Hainaut, 30 i 2010
11.874.292:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (E. S. Tome XIII tableau 135 ) 5 ii 2012
- família: F d'Avigneau (geneanet pierfit)
11.874.293:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet pierfit), H.de La Villarmois (Bruges et le Franc
tome III J. Gailliard , Bruges 1859) 23 vii 2009
- família 1: F d'Avigneau (geneanet pierfit)
- família 2: F d'Avigneau (geneanet pierfit); H.de La Villarmois (Abbé Roland) 16 vi
2006
11.874.293-2a:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet pierfit)
11.874.294:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (du Chastel de La Howarderie - Notices généalogiques
tournaisiennes) 21 iv 2005,JB.de La Grandiere (ESS XXVI p 126 sgrs de Rumigny,
2009 ) 5 iv 2010
- família 1: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 24 ii 2012
- família 2: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006
11.874.295:
-3734-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ESS XXVI p 126 sgrs de Rumigny, 2009 ) 5 iv 2010,
L.Guion
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/HAINAUT.htm#BaudouinIIHainautdied1098B) 9
viii 2013
- defunció: L.Guion
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/HAINAUT.htm#BaudouinIIHainautdied1098B) 9
viii 2013
- família: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006
11.874.295a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ESS XXVI p 126 sgrs de Rumigny, 2009 ) 5 iv 2010
11.874.296:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 27 vii 2012
11.874.298:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (A.Walsh forum 3/2/2012 + H&G n°148 p. 289) 3 ii
2012
- família: JB.de La Grandiere (A.Walsh forum 3/2/2012 + H&G n°148 p. 289) 3 ii
2012
11.874.299:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (A.Walsh forum 3/2/2012 + H&G n°148 p. 289) 3 ii
2012
11.874.299b:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (A.Walsh forum 3/2/2012 + H&G n°148 p. 289) 3 ii
2012
11.874.300:
Albert de Bailleul, cité en 1075 et Lambert de Bailleul, cité en 1081 sont
contemporains de Baudouin.
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
- família 1, família 2: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300"
1965 / "The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.301:
Fonts:
- família: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 / "The
Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.301a:
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.301-2a:
-3735-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
- família: N.Chardiny 22.04.10 (http://www.genealogieonline.nl/genealogie-peeters-
rouneau/I12272.php)
11.874.301-2b:
cité 1161
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.301-2c:
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012,
- família 2: P Ract Madoux (A. Schoonheere: le vieux Comines. 1951) 22 iii 2003,
[[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 / "The Flemish
nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.301-2d:
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.301-2e:
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.301-2f:
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Bailleul) 1 VIII 2012
11.874.302:
Est la génération II donnée par F. Brassart : "Une vieille généalogie de la maison
de Wavrin", 1877, p. 23
HELIE [III] de Wavrin (-[Acre] [1191/92]). "…Rogeri de Wavrin, Hellini filii ipsius,
-3736-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Michaelis constabularii, Symonis castellani de Oisi, Hugonis castellani de Pulchro
Manso, Michaelis castellani de Duaco…Hugonis prepositi Sancti Petri Duacensis…"
signed the charter dated 1161 under which Thierry Count of Flanders confirmed
the possessions of the abbey of Saint-Aubert at Vitry[1456]. Sénéchal de Flandre
1169. "Hellinus Flandrie dapifer" donated property to Arras St Vaast with the
consent of "Hugone de Bellomanso et Mathilde filia mea, uxore illius" dated 1175
"ob animam dominii Rogeri filii mei"[1457]. Brassart quotes a charter dated 1177
under which "Hellinus dapifer Flandrensis" donated property to Vaucelles, with the
consent of “Torsellæ uxoris meæ et Philippi filii mei cæterorum liberorum
meorum”[1458]. “Hellini, Roberti et Gossuini fratrum D. Episcopi” subscribed the
charter dated Jun 1184 under which “Hugo de Oisi Camerac. castellan.” donated
“circa villam de Maineriis et vallem Crepicordii” to Cambrai Saint-Aubert at the
synod called by “Rogero Episcopo”[1459]. A continuator of Sigebert records deaths
at Acre in 1191, including that of "…Hellinus…dapifer Flandrensis"[1460]. The
Chronicon Hanoniense names "Hellinus de Waurin Flandrie senescalcus et Rogerus
Cameracensis episcopus fratres" among those who died in Palestine in [1191],
presumably at the siege of Acre[1461].
m TORSELLA d'Arras, daughter of ALELME d'Arras & his wife --- (-after 1177).
Brassart states that "Torsella d’Arras fille du chevalier Alelme" was the wife of
Hélie [III] in 1177, citing the cartulary of Artois[1462]. Brassart quotes a charter
dated 1177 under which "Hellinus dapifer Flandrensis" donated property to
Vaucelles, with the consent of “Torsellæ uxoris meæ et Philippi filii mei cæterorum
liberorum meorum”[1463]. Hélie [III] & his wife had eight children.
[1462] Brassart (Wavrin) (1877), p. 23, citing “1er cartul. d’Artois, pièce 110 fo. 46
aux archives départ. à Lille”.
Fonts:
- persona: [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De Vlaams adel voor 1300" 1965 /
"The Flemish nobility before 1300" 1975 Belle/Baiileul 18, J-P.de Palmas (FMG) 6 ii
2017
- naixement: A.Brabant
- defunció: A.Brabant
- família: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre"
p.92 Wattignies 2003) 23 vii 2012, L.Guion (Fonds Hozier) 26 x 2010
11.874.303:
-3737-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
TORSELLA d'Arras, daughter of ALELME d'Arras & his wife --- (-after 1177).
Brassart states that "Torsella d’Arras fille du chevalier Alelme" was the wife of
Hélie [III] in 1177, citing the cartulary of Artois[1462]. Brassart quotes a charter
dated 1177 under which "Hellinus dapifer Flandrensis" donated property to
Vaucelles, with the consent of “Torsellæ uxoris meæ et Philippi filii mei cæterorum
liberorum meorum”[1463].
[1462] Brassart (Wavrin) (1877), p. 23, citing “1er cartul. d’Artois, pièce 110 fo. 46
aux archives départ. à Lille”.
Fonts:
- persona: L.Guion (Fonds Hozier) 26 x 2010, [[Nadine Powis]] (Ernest Warlop " De
Vlaams adel voor 1300" 1965 / "The Flemish nobility before 1300" 1975
Belle/Baiileul 18
- naixement: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 20 vii 2012
- defunció: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 20 vii 2012
- família: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre"
p.92 Wattignies 2003) 23 vii 2012, L.Guion (Fonds Hozier) 26 x 2010
11.874.303a:
Est la génération III donnée par F. Brassart : "Une vieille généalogie de la maison
de Wavrin", 1877, p. 24
ROBERT [I] de Wavrin, son of HELIE [III] de Wavrin Seneschal of Flanders & his
wife Torsella d'Arras (-before [17] Sep 1196). Sénéchal de Flandre 1192. "Robertus
de Wavrin dominus Lilerii et scenescalcus Flandrie" freed two serfs, with the
consent of "uxore mea Sibilia…etiam…fratre meo Hellino et Hildiarde et Maroia et
Ada sororibus meus et R. de Senghin et Gossuino patruis meis et A. de Meallens et
Y. de Spineto amitis meis", by charter dated 1193[1498]. The date of his death is
set by the charter dated [17] Sep 1196 which records the donation made by his
sister Ansilia, to which his son Hélie consented.
-3738-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Robert [I] & his wife had one child.
Fonts:
- persona: A.Brabant (Geneanet M.C.Bauche),, J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 7 ii 2017
- naixement: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 20 vii 2012
- defunció: C-H.Maigret (F. Brassart, 1877) 11 viii 2013
- casament: C-H.Maigret (Robert Jacob, 1978) 10 viii 2013
- família: C-H.Maigret (Goethals) 22 ii 2012
11.874.303c:
HILDRADE de Wavrin (-after 1193). "Robertus de Wavrin dominus Lilerii et
scenescalcus Flandrie" freed two serfs, with the consent of "uxore mea
Sibilia…etiam…fratre meo Hellino et Hildiarde et Maroia et Ada sororibus meus et
R. de Senghin et Gossuino patruis meis et A. de Meallens et Y. de Spineto amitis
meis", by charter dated 1193[1471]. The late 13th century genealogy by Balduinus
de Avennis records that "Balduinus de Mortania" married "filiam senescalli
FlandriæHediardem"[1472].
JBLG 3/11/2013 ES XXVIII Wavrin, la nomme Hildrade, + > 1193, sans lui donner
un époux ; la proposition de Warlop doit être celle à retenir.
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 21 vii 2012, J-P.de Palmas (Charles
-3739-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Cawley & FMG) 7 ii 2017
- naixement: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 21 vii 2012
11.874.303d:
A la fin de sa vie, Hellin de Wavrin prit le nom de Waziers.
A la mort de son auteur, les armes de la branche Wavrin Waziers furent brisées
d'une bande brochant. Brisure qui subsistera jusqu'au XVIème siècle;
C-H.Maigret (Charles de Wavrin, 1914) 10 viii 2013
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Charles de Wavrin, 1914) 10 viii 2013
- família: C-H.Maigret (Charles de Wavrin, 1914) 10 viii 2013
11.887.860:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
11.887.861:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie
11.887.861b:
Fonts:
- família: C. Saint-Félix (site de la "Foundation for Medieval Genealogy") 10v2009
11.887.862:
Hugues le Grand, né en 1057, mort le 18 octobre 1102, comte de Vermandois et de
Valois, fils d'Henri Ier, roi de France, et d'Anne de Kiev. Il est le frère du roi
Philippe Ier.
A propos des Écussons placés sur les piliers Musée de Versailles (Grande salle)
-3740-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (A propos des armoiries du musée de Versailles et
ambassade à Constantinople: wikipedia) i-2010
- naixement: S.Fourlinnie (notes d'après l' Histoire des rois de France et des chefs
d'état de Pascal Arnoux)
- defunció: blessé dans un combat au bord du fleuve Halys et meurt à Tarse, en
Cilicie
- casament: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp
211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- família: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 21 iv 2012
11.887.863:
Adélaïde de Vermandois1 et de Valois, (v. 1065 † 1120/1124), fille d'Herbert IV,
comte de Vermandois et d'Adélaïde de Valois. Son père ayant déshérité son frère
Eudes, dit l'Insensé parce que faible d'esprit, il la déclare héritière de ses
possessions. Elle réserve ainsi le Vermandois à son fils Raoul, mais donne
l'Amiénois en dot à sa fille Marguerite, mariée au comte de Flandre Charles Ier.
-3741-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
De son mariage avec Hugues Ier le Grand, (1057 † 1102), elle eut :
Marguerite, née vers 1105, mariée en premières noces avant juillet 1119 à
Charles Ier, comte de Flandre.
Notes et références
Liens externes
Biographie
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG, wikipedia et C. Settipani "La préhistoire des
capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993) 10 x 2011
- naixement: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp
211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- defunció: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp
211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- casament 1, casament 2: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des
capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- família 1: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 21 iv 2012
11.887.863b:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)
11.887.863e:
Raoul Ier de Vermandois, dit le Vaillant ou le Borgne, connu aussi sous le nom de
Raoul de Crépy, né vers 1094, mort le 13 octobre 1152, fut comte de Vermandois et
de Valois de 1102 à 1152.
-3742-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Biographie
Fils d'Adélaïde de Vermandois et d'Hugues Ier le Grand, fils du roi Henri Ier de
France, il est cousin germain du roi Louis VI le Gros. Il apporte son soutien à ces
derniers contre les barons rebelles à l'autorité royale.
Pendant l'absence de Louis VII parti pour la deuxième croisade, en 1145, Raoul
reste en France en qualité de régent du royaume avec Suger. Après le retour de
Louis VII, Raoul devenu veuf de Pétronille, sa seconde épouse, se remarie en 1152
avec Laurette d'Alsace (v. 1125 † 1151), fille de Thierry d'Alsace, comte de Flandre.
Notes et références
RAOUL [I] "le Vaillant" de Vermandois, son of HUGUES [I] de France Comte de
Vermandois [Capet] & his wife Adelais Ctss de Vermandois ([1094]-13 Oct 1152,
bur Priory of Saint-Arnoul de Crépy). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis
names (in order) "Radulfum comitem Veromandie et Henricum de Chauni et
Simonem episcopum Noviomensem" as the sons of "Hugonem Magnum [et]
Adelaide comitissa Veromandensium"[2236]. Orderic Vitalis records that in 1096
"Hugo Crispeii comes" placed "Radulfo et Henrico filiis suis" in charge of his land,
married "Ysabel filiam suam" to "Rodberto de Mellento comiti", and left on
pilgrimage taking "secum nobile agmen Francorum"[2237]. Robert of Torigny
records that "Rodulfus filius eius" succeeded in 1102 on the death of "Hugo
Magnus"[2238]. He succeeded his father in 1102 as Comte de Vermandois, and his
mother in 1117. "Adela…Viromandorum comitissa, filius…meus Radulphus"
renounced their claim to certain serfs in favour of the abbey of Compiègne Saint-
-3743-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Corneille, with the consent of "filiorum meorum Radulphi, Henrici, Symonis", by
charter dated 1114[2239]. He lost an eye at the siege of the château of Livry in
early 1129. Louis VI King of France appointed him seneschal of France in Nov
1131. He allied himself with Queen Adélaïde, the Queen mother, in 1138 against
her son King Louis VII and Suger, but was reconciled with the king in 1139.
"Comes Rodulfus de Perrona filius Hugonis magni fratris Philippi regis Francorum"
provided for masses at "monasterio de Crespeio, quod antiquitus in eodem Crespeii
castro constructum fuerat" by charter dated to [1140][2240]. His repudiation of his
first wife triggered war with Champagne and excommunication by the Pope,
although the divorce was finally accepted by the church in 1148. Robert of Torigny
records the death in 1152 of "Radulfus de Perrona comes Viromandorum",
specifying that he appointed "Galeranni comitis Mellenti nepotis sui" as guardian of
his infant children[2241]. The necrology of the Priory of Saint-Martin-des-Champs
records the death "III Id Oct" of "Rodulfus comes"[2242].
-3744-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[2237] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VII, IV, p. 480.
[2245] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1152, MGH SS XXIII, p. 841.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) ii2010
- família 1: J-P de Palmas (wikipedia et Louis Duval-Arnould, Les dernières années
du comte lépreux Raoul de Vermandois (v. 1147-1167) et la dévolution de ses
provinces à Philippe d'Alsace [archive], Bibliothèque de l'école des chartes, 1984,
volume 142, p. 81) 21 xi 2010
- família 2: R.Dewkinandan> WW-2, J-P.de Palmas (FMG) 5 viii 2012
- família 3: R.Dewkinandan> WW-2
11.888.902:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)
- casament: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit)
- família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)
11.888.903:
Fonts:
- naixement: J-P de Palmas (site
http://users.skynet.be/nobily/nobily/pafg2458.htm#72428 )
-3745-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- casament: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit)
- família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)
11.889.024:
Michel Smaniotto ajoute que le père de Raymond Aner est inconnu mais que son
grand'père serait Raymond Arnaud, seigneur de Faudoas.
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, www.dagos.org/faudoas.htm, JB.de La Grandiere (Michel
Samniotto "Famille de Faudoas ") 18 vii 2012
- naixement: Benoît Ravinet "La Maison de Faudoas par l'abbé Ambroise Ledru et
Eugène Vallée, 1908"
11.889.025:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, www.dagos.org/faudoas.htm
11.889.025a:
Fonts:
- persona: Benoît Ravinet "La Maison de Faudoas par l'abbé Ambroise Ledru et
Eugène Vallée, 1908"
11.889.120:
En 1225, il avait accordé aux moines de Belleperche une exemption de péage sur
les terres de Clermont et de Malause.
Fonts:
- persona: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)08.v.2006
- família: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)08.v.2006
11.889.121:
Fonts:
- família: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)08.v.2006
11.889.168:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Courcelles, Navelle et autres)
- família: J-L. Dega (Courcelles, Navelle et autres)
11.889.169:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (fiches familiales)
- família: J-L. Dega (Courcelles, Navelle et autres)
11.889.169e:
Fonts:
- persona: JL Dega (Courcelles)
-3746-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.889.248:
Attesté vers 1120.
Les seigneurs de Calmont d'Olt perçoivent un droit de péage sur le pont d'Espalion,
et participent à la fondation de l'hôpital d'Aubrac.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972. )
- família: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972.)
11.889.249:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972.)
11.889.249b:
Il confirma en 1175, les dons que Bégon de Calmont, son frère, à l'exemple de leurs
ancêtres, avait faits à l'abbaye de Bonneval, au diocèse de Rodez. (Gall.Christiana,
t.I, col.258)
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Courcelles, volume 8) 3 xi 2010
11.889.864:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer), H.de La
Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
- família: H.de La Villarmois (Courcelles) 12 vi 2003, H.de La Villarmois (Remacle)
29 xii 2007
11.889.865:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer)
- família: H.de La Villarmois (Courcelles) 12 vi 2003, H.de La Villarmois (Remacle)
29 xii 2007
11.889.865b:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle), H.de La Villarmois (Remacle) 28 xii 2007
- família: H.deRiberolles(Remacle), H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
11.889.865c:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
11.889.865d:
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Remacle) 29 xii 2007
11.889.865e:
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Jean-Pol Leménager) 14.02.08
-3747-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: A de Tocqueville site
http://patrimoinejoyeuse.free.fr/histoire/montravel.htm
11.889.866:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Maulmont) 17 iii 2011
- família: Aurejac; H.de La Villarmois (Nadaud III) 4 iv 2006
11.889.867:
Fonts:
- família: Aurejac; H.de La Villarmois (Nadaud III) 4 iv 2006
11.889.867a:
Les origines de Gimel
- En 1912, les cascades de Gimel sont classées (1er site à être classé en France)
grâce à l’action déterminante de Gaston VUILLIER (1845-1915), peintre,
dessinateur et illustrateur, grâce à elles Gimel est le 2ème site plus visité en
Corrèze.
A voir : - la petite chapelle des Pénitents Blancs (XVIIIè s., restaurée en 1988)
(Chapelle Notre-Dame-du-Rosaire). Elle servit ultérieurement de siège à une
confrérie de Pénitents Blancs
-3748-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- Eglise 15ème comprenant des restes de la précédente église romane et un trésor
provenant de l'ancienne église Saint-Etienne de Braguse : châsse de saint Etienne
de Gimel (12e s.) en émaux limousins, buste-reliquaire de saint Dumine (XVe s.,
ermite de Gimel) en argent doré 14ème, monstrance de cuivre doré 13ème, plat
des âmes 18ème, pyxide en émail champlevé 14ème, chaire 18ème.
- Ruines de l'église de Bragux 12ème, sur un promontoire : clocher-pignon à deux
baies, abside à l'ouest. Croix sculptée 19ème.
- L'église Saint-Pardoux (de style gothique, 1486 - sous Henri III) préserve un
remarquable trésor : châsse en émail (XIIè s.), buste reliquaire de Saint Dumine
(milieu XVe s.), magnifique mobilier en bois, vitraux, et divers objets du culte.
Certaines parties, de style roman (colonnes), proviennent de l'ancienne église.
Chaire du XVIIe s. aux armes des Lentilhac (de gueules à la bande d'or), maître
autel de 1759, pietà polychrome du XIIe s.,
- Ruines de la chapelle St-Etienne de Braguse (XIIe s.) dans les gorges de la
Montane. Fondée par saint Dumine, guerrier de Clovis, devenu ermite.
- Ruines du château de la Roche-Haute (fin XVe siècle). Forteresse des barons de
Gimel, chefs de la Ligue en Bas-Limousin. Subit un siège de quatre mois en
1594,détruit sous Henri IV.
- Pont de 1840
- Vieux moulin à l'entrée du bourg
- Vestiges du Château de la Roche Basse (pont péage)
Sites naturels :
- Etang de Ruffaud
- Cascades magnifiques avec 143 m de chutes Cascades (1er Site classé de France,
l'entrée du parc Vuillier dans lequel se trouvent les célèbres cascades est payante.
Grand Saut, la Redole ; la Queue de Cheval, gouffre de l'Inferno
- Arboretum du Puy de Chadon.
- Menhir de Vieillemarette.
Fouilles de la Cheynie 1er.
- Souterrain du Breuil.
- Vallée de la Montane (site protégé)
- Gorges sauvages de la Montane en partie aménagées.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Autour de Saint-Martial) iv 2009
- casament: A.Gaudry (H&G 1988 p.156) 07 VI 2006JL.Mondanel (généalogie
Maulmont) 17 iii 2011,
- família: Aurejac, G.Marsan (cailgeo généalogie); H.de La Villarmois (Nadaud III) 4
iv 2006
11.889.867b:
Archidiacre de Limoges
Conseiller du Roi
Gouverneur de Bourgogne, pour Marguerite, vicomtesse de Limoges, et
chef de son Conseil, auquel Aimery, vicomte de Rochechouart, assigna une
rente de 80 livres, par accord fait entre eux en 1269.
-3749-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
tour carrée, appelée tour de Maulmont.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015
11.889.867c:
Nommé exécuteur du testament de noble Guy Sulpice en 1297, auquel furent
présents Guy de Lambertye, Guillaume Adhémar, Aimery et Guillaume Penthenne,
chanoines.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015
11.889.867d:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015
11.889.867e:
Il est rappelé avec Pierre de Maulmont, son neveu, dans un titre de 1307.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015
11.889.873:
N'est pas mentionnée !
J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
11.889.880:
Seigneur d'Olliergues par sa femme.
Il était proche de son neveu Guy II ; il prit certainement son parti quand celui-ci fut
-3750-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
attaqué par l'armée de Philippe-Auguste et, après la défaite du comte d'Auvergne,
ses terres propres furent probablement confisquées, car on voit que les terres dont
héritèrent ses fils venaient uniquement de leur mère.
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Lucien Drouot, Recueil des actes des premiers seigneurs
d'Olliergues, 161) 15.02.13
- família: P.Fauchère (Lucien Drouot, Recueil des actes des premiers seigneurs
d'Olliergues, 162) 15.02.13
11.889.881:
dame d'Olliergues(Puy-de-Dôme), dame de Meymont(Olliergues, Puy-de-Dôme)
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Lucien Drouot, Recueil des actes des premiers seigneurs
d'Olliergues, 162) 15.02.13
- família: P.Fauchère (Lucien Drouot, Recueil des actes des premiers seigneurs
d'Olliergues, 162) 15.02.13
11.889.881b:
Il vendit Meymont le 18 avril 1238 à Guy ou Guigues IV, comte de Forez et de
Nevers.
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Lucien Drouot, Recueil des actes des premiers seigneurs
d'Olliergues, 162) 15.02.13
11.889.881c:
Patronyme : Est appelé "Robert de Meymont" par certaines sources reprises
notamment par Wikipédia.
Fief : Voir une vue aérienne actuelle du village et château de Domaize (Puy-de-
Dôme). (Lien vers le site Web "Geoportail" de l'Institut Géographique National)
Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 21.10.2015
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Lucien Drouot, Recueil des actes des premiers seigneurs
d'Olliergues, 162) 15.02.13
11.889.881d:
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Lucien Drouot, Recueil des actes des premiers seigneurs
d'Olliergues, 162) 15.02.13
11.889.884:
Fonts:
- persona: P.Fauchère (Jean-Pol Leménager) 15.02.08, J-L. Dega,JL.Mondanel
(généalogie Courcelles) 16 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Courcelles) 16 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Courcelles) 16 iii 2011
- família: J-L. Dega; J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008
-3751-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.889.885:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Courcelles) 16 iii 2011
- família: J-L. Dega; J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008
11.889.885b:
Fonts:
- persona: J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008
- família: J-C Barbier (de Carne) 20 x 2008
11.889.920:
A propos de la baronnie de Montaut
Parlo Mountaout
Arrespoun Montesquiou
Escouto Pardailhan
Que dises tu La Hill
La baronnie est composée des paroisses de Montaut, Augnax, Nougaroulet,
Tourrenquet et Bajonette. Ses seigneurs, déjà très puissants, apparaissent au Xème
siècle en même temps que les comtes du Fezensac.
Aux environs de 960, leurs possessions s’étendent jusqu’à Auch où ils détiennent
l’antique cathédrale de Saint Orens.
En 1069, le Prieuré Saint-Michel de Montaut est donné à l’abbaye de Cluny par
l’archevêque Guillaume de Montaut. Il fût ensuite cédé aux moines de Saint Orens
En 1219, le Seigneur de Montaut participe glorieusement à la défense de la ville de
Toulouse, dont le siège, par le Prince Louis, fût abandonné après 145 jours de
tranchées.
En 1230, la Confrérie du Saint Sacrement s’établit à Montaut. Du XIIIème au
XIVème siècle, plusieurs barons se succèdent sous le nom de Odon élaborant avec
l’aide des consuls, la charte de coutumes régissant la vie communautaire du
castelnau.
En 1484, le Comte de Fezensac mandate le Seigneur de Montaut aux Etats
Généraux de Tours. A cette époque, la branche aînée des barons de Montaut se
fond par mariage dans la maison des Voisins d’Ambres du Château de Gramont
dans le Tarn et Garonne, qui garde la baronnie pendant deux siècles. Puis d’autres
familles exercent cette baronnie par mariage, héritage ou vente
En 1778, elle revient à Jean Antoine de Rouilhan. Un de ses descendants, Philippe
de Rouilhan, en est toujours propriétaire.
Montaut-les-Créneaux garde de nombreuses traces de son passé historique et
architectural:
-3752-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Le château de Montaut
Attenant à l'église, dans une promiscuité qui rappelle celle que l'on observe à
Esclignac, le château actuel se compose de deux ailes en équerre, encadrant une
cour et soudées sur une forte tour quadrangulaire. Contrairement à l'église et aux
parties médiévales des deux corps de logis marquées par l'emploi de maçonneries
de moyen appareil, la tour quadrangulaire, du moins pour ce qui concerne ses
bases, se caractérise par ses maçonneries de petits moellons bruts assisés, peu
habituelles en Gascogne, et comparables à celles que l'on observe à l'église du
Chicoy (commune de Bivès) et au chevet de l'église de Peyrusse-Grande. Prieuré
clunisien, cette dernière est attribuée à la charnière des XIe et XIIe siècles et
pourrait être l’œuvre du prieur Roger de Montaut (3).
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Histoire de Montaut-les-Créneaux)
- família: J-L. Dega (Vuillier)
11.889.921:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier "Histoire de la famille de Benque",
sept.1997) 20 viii 2013
- família: J-L. Dega (Vuillier)
11.889.921a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Vuillier)
- família: F.de Bernis (base chautruf) 10 ii 08, J-L. Dega (Vuillier)
11.889.921c:
-3753-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Navelle)
11.890.176:
ROGER [II] de Couserans, son of ROGER [I] Vicomte de Carcassonne et de
Couserans & his wife --- de Foix (-after 1240). Vicomte de Carcassonne. He
succeeded as Conde de Pallars-Subirà, de iure uxoris.
Une génération serait manquante sur roglo, selon Alexandre Mazin, citant FMG
(celle de Roger II) (cf. Forum 2016-10-08 12:19:31).
J'ai donc intégré cette génération, en suivant FMG, faute d'une autre source
connue et pertinente.
Mais, Jean-Louis Dega, dans son message ci-après (forum 2016-10-08 14:21:32),
conteste cette génération supplémentaire, en indiquant en référence, un ouvrage
en langue catalane (voir ci-après).
Je laisse à Jean-Louis, si sa source lui parait plus fiable, le soin de rétablir ce qui
devrait être, avec indications des dites sources
Le source FMG n'est pas infaillible et elle est en contradiction sur le sujet adressé
avec les travaux de spécialistes reconnus comme par exemple Armand de Fluvià
dans son ouvrage en catalan "Els primitius comtats i vescomtats de Catalunya
(Barcelone, 1989).
-3754-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
l'hypothèse FMG) marié en 1236 à Grise d'Espagne.
Bonjour,
La confusion semble venir des épouses. Sur fmg.ac : > Roger Ier époux de Sibylle
de Foix > Roger II 1ère épouse inconnue / 2é épouse De Pallars > Roger III époux
de Cécile de Forcalquier > Roger IV époux de Grise d'Espagne
Sur roglo.eu : > Roger Ier époux de Sibylle de Foix > Roger II 1er épouse Cécile de
Forcalquier / 2é épouse De Pallars > Roger dit III époux de Grise d'Espagne
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 x 2016
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 x 2016
- família 2: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 26 viii 2013
11.890.177:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 x 2016
11.890.178:
Bertrand II, mort en 1207, fut comte de Forcalquier de la mort de son père,
survenu entre 1149 et 1151 à sa mort. Il était fils de Bertrand Ier, comte de
Forcalquier, et de Josserande de Flotte.
Il succéda à son père avec son frère Guillaume. Ils sont tous deux cités dans une
donation qu'ils firent en 1168 à l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem. Durant leur
règne, ils durent lutter contre le roi Alphonse II d'Aragon, également comte de
Provence, qui cherchait à s'étendre vers le nord. En 1193, ils furent obligés de se
soumettre et de signer le traité d'Aix-en-Provence (1193) par lequel Garsende de
Sabran, petite-fille de Guillaume, héritait du comté et épousait le fils d'Alphonse.
Liens externes
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 22 viii 2011
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 22 viii 2011
11.890.179:
Fonts:
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 22 viii 2011
11.890.208:
ODON [I] (-after 1182). The primary source which confirms his parentage has not
yet been identified. Seigneur de Firmaçon. "Otho de Lomania et nos filii eius
Bernardus de Armaiaco et Otho de Lomannia" granted right of passage over their
land to the abbey of Grandselve by charter dated 8 Jun 1182[1522].
[1522] Jaurgain (1902), p. 30, quoting Grand cartulaire de Grandselve, fo. 220.
[1523] Gimont, LXVII, p. 241.
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 26 xii 2013
- família: J-L. Dega
11.890.209:
MASCAROSE . The primary source which confirms her parentage has not yet been
identified. Her marriage is confirmed by the charter dated 1188 under which her
son "Bernardus d´Armaniac vicecomes de Fezensagued" donated property to
Gimont for the soul of "matris suæ cha Mascarosa"[416].
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família: J-L. Dega
-3756-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.890.212:
AMANIEU [IV] d'Albret, son of --- d´Albret & his wife --- de Béarn (-[1187/91]).
Jaurgain states that Amanieu [IV] was the son of Bernard Aiz [II] but he cites no
primary source which confirms that this is correct[270]. Sire d'Albret. "Amaneus de
Lebret" donated "la terre où fur construit le prieuré de Niac" to Grande-Selve by
charter dated 1155[271]. "Amaneus de Lebreto nepos Gastonis vicecomitis de
Bearn" donated "terras suas de Artigavella" to the abbot of Fort-Guilhem by
charter dated 1164[272]. ["Amaneus de Labret" confirmed rights to Grande-Selve
by charter dated 1187[273], although it is uncertain whether this document relates
to Amanieu [IV] or Amanieu [V].]
[According to L´Art de vérifier les dates, Amanieu [IV]´s testament was dated 2
Aug 1209[274]. This is impossible if his wife´s second marriage is correctly dated
to [1186/91] as shown above. The information available in surviving primary
sources appears to be insufficient to decide conclusively whether how many
different sires d´Albret named Amanieu lived during the second half of the 12th
century. Jaurgain attempts to resolve the anomaly by stating that the testament
was that of "Amanieu V Sire d´Albret" who, he says, was the son of Amanieu [IV].
Unfortunately, Jaurgain also says that this "Amanieu V" was the husband of
Almodis d´Angoulême, presumably unaware of her second marriage. He cites no
primary sources on which he bases his arguments. Estimating birth date ranges
helps only approximately in resolving the problem. The only reference from which
Amanieu [IV]´s birth date can be assessed is the very approximate date assigned to
his mother (see above). The birth date of his supposed wife Almodis d´Angoulême
can be assessed more precisely (see below), and if Amanieu [IV] was born towards
the end of the range shown above he would not have been much older than her.
Obviously, the earlier his actual birth date, the greater the age difference, and the
more likely that Almodis´s husband was Amanieu [IV]´s son. Whatever the solution
to this conundrum, we are still left with the testament dated 2 Aug 1209 which
could not have been that of Almodis´s husband, assuming that her second marriage
is correct.]
-3757-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[272] Jaurgain (1902), p. 119, citing Gallia Christiana, Tome I, col. 1221.
[274] Jaurgain (1902), p. 120, citing Art de vérifier les dates, Tome IX, p. 266.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG : Jaurgain - 1902) 24 iv 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 25 iv 2014
11.890.224:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-IV/468
11.890.225:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Généalogie de Caumont La Force) 15/01/2014
- família: H.R.Moser/Anselme-IV/468
11.890.232:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base Auréjac), J-P de Palmas (Le château de Mauléon au
Moyen-Âge)
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac)
11.890.233:
Fonts:
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac)
11.890.256:
1er seigneur de Nesles, Seringes-et-Nesles (Aisne).
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (terre de Nesles) 16 vi 2012, J-C de Vaugiraud (P. Van
Kerrebrouck: Les Capétiens, p. 313) 14 i 2013
11.890.257:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012
- família 1: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012
11.890.257a:
Fonts:
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien n°15)
- casament: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire de France) 21.VIII.2005
- família: L.van de Pas
11.890.257b:
morte en 1255 selon B.Yeurc'h (Le Lien n°15).
-3758-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-E.Tolle (Histoire des ducs de Bourgogne, Ernest Petit) 13 vi 2015
11.890.258:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet - boisdeffre).
- naixement: F-L. Jacquier (GeneaNet - boisdeffre).
- defunció: F-L. Jacquier (GeneaNet - boisdeffre).
11.890.259:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet - boisdeffre).
11.890.264:
Vivant en 1189.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Châtillon p 685.) 27/05/2006, JB.de La
Grandiere ( Mendel-Newman (William) Les seigneurs de Nesle en Picardie t. I
pp.140/144 (Courlandon) Paris 1971) 16 v 2012
- família 2: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Châtillon p 685) 27/05/2006
11.890.265:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Châtillon p 685.) 27/05/2006, JB.de La
Grandiere ( Mendel-Newman (William) Les seigneurs de Nesle en Picardie t. I
pp.140/144 (Courlandon) Paris 1971 ) 16 v 2012
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES XVI, T. 9, 2009) 29 ix 2012
- família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Châtillon p 685) 27/05/2006
11.890.265b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Châtillon p 617) 27/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (du Chesne: Châtillon p 617) 27/05/2006
11.890.266:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (M. du Sars: Laonnois féodal II p 206 et prec.)
27/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (M. du Sars: Laonnois féodal II p 206 et prec.)
27/05/2006
11.890.267:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (M. du Sars: Laonnois féodal II p 206 et prec.)
27/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (M. du Sars: Laonnois féodal II p 206 et prec.)
27/05/2006
11.890.267a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (M. du Sars: Laonnois féodal II p 206 et prec.)
27/05/2006
11.890.267b:
-3759-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Participe au ban de 1272 à Tours.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (M. du Sars: Laonnois féodal II p 206 et prec.)
27/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (M. du Sars: Laonnois féodal II p 206 et prec.)
27/05/2006
11.890.286:
RAYMOND [IV] (-[1243]). Vicomte de Turenne.
m (contract Dec 1208) ALIX d'Auvergne, daughter of GUY [II] Comte d'Auvergne &
his wife Petronille de Chambon (-after 21 Feb 1250). An undated charter records
the marriage of "Raimundus vicecomes Torenæ" and "filiam Guidonis comitis
Arvernorum"[1232]. "Hahliz vicecomitissa Turennæ" records a debt to "fratri
nostro Guillelmo quondam comiti Claromontensi" and payment to "nepoti nostro
Rotberto comiti Claromontensi filio prædicti fratris nostri", by charter dated 13
Sep 1247[1233]. "Haelis relicta Raimundi quondam vicecomitis Turennæ", under
her testament dated 24 Feb 1250, refers to the dowry granted by "bonæ memoriæ
Guidone quondam comite Claromontensi patre meo" and appointed "filiam meam
Haelis uxorem Heliæ Rudelli junioris" as her heir[1234].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG citant Baluze (1708) Auvergne, Tome II, p. 85) 10 vi
2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 10 vi 2014
11.890.287:
Prénom : Certains lui donnent comme prénom "Elise"
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t III-4 p 735 (comtes
d'Auvergne) Marburg 1989) 18 viii 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 10 vi 2014
11.890.312:
-3760-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.890.313:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.890.402:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.890.408:
Fonts:
- persona: M.Chevallier i 08
- família: M.Chevallier i 08
11.890.409:
Fonts:
- persona: M.Chevallier i 08
- família: M.Chevallier i 08
11.890.409b:
Chanoine, chapelain du pape 1285/1292. Élu évêque de Béziers en 1294. Il est
naturellement mêlé au différend opposant le pape Boniface VIII au roi Philippe IV
le Bel.
Après l'élection de Clément V (Bertrand de Got), il est nommé grand pénitencier,
fonction qu'il tiendra jusqu'à sa mort, et il entre au Sacré Collège ce qui l'oblige à
abandonner son évêché de Béziers.
En tant que juriste, il va participer aux procès en hérésie lancés contre Bernard
Saisset, évêque de Pamiers, et Bernard de Castanet, évêque d'Albi. Il tient un rôle
important dans les affaires liées aux Templiers puisque il entendra la confession de
72 d'entre eux dont celle de Jacques de Molay. En 1309, il est créé cardinal-évêque
de Tusculum. Candidat malheureux à la papauté en 1314, Jean XXII est élu.
Repères biographiques
Il participe au conclave de 1314-1316, lors duquel Jean XXII est élu. De Frédol est
nommé doyen du Collège des cardinaux en 1321.
Fonts:
- persona: M.Chevallier i 08, J-P.de Palmas (wikipedia) 2 viii 2013
-3761-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- defunció: M.Chevallier i 08
- enterrament: M.Chevallier i 08
11.890.409c:
chanoine de la cathédrale de Maguelonne, il est élu évêque d'Uzès en 1315, puis
évêque de Maguelonne en 1318 où il eut beaucoup à faire pour rétablir les droits
du diocèse contre les seigneurs locaux et le roi de France Charles IV le Bel.
Fonts:
- persona: M.Chevallier i 08
- defunció: M.Chevallier i 08
- enterrament: M.Chevallier i 08
11.890.409d:
chanoine de Narbonne 1290/1293, par la suite abbé de St-Thibéry au diocèse
d'Agde.
Fonts:
- persona: M.Chevallier i 08
11.890.409e:
Fonts:
- persona: M.Chevallier i 08
- família: J-P de Palmas (in Filiations Languedociennes d'Hubert de Vergnette,
2007) iv-2009
11.891.385:
COMTORS de la Barthe, daughter of ARNAUD GUILLAUME Vicomte de la Barthe
and his wife Navarra de Pontis (-after 1234). A charter dated Nov 1197 records the
4o consanguinity between "B. Convenarum comes" and "uxorem, filiam Arnaldi
Willelmi de Barta" which provided the grounds for their divorce: "domina Bruna et
Rogerius de Convenis fuerant fratres", adding the descent from "Bruna" to
"Ademarus de Pontiis" to "Navarra" to "Comtors filia Arnaldi Willelmi de Barta",
and from "Rogerio de Convenis" to "B. comesBernardo" to "Dodo comes" to "iste B.
comes"[858].
[858] Histoire Générale de Languedoc, 2nd Edn. Tome V, Preuves, XXXI, p. 551.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 viii 2013
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 17 viii 2013
- família 2: J-P.de Palmas (La Chesnaye-Desbois) 28 viii 2013
11.891.385b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
11.891.385c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
11.891.385-3b:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
-3762-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.891.385-2a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (La Chesnaye-Desbois) 28 viii 2013
11.891.385-2b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (La Chesnaye-Desbois) 28 viii 2013
- família: J-P.de Palmas (La Chesnaye-Desbois) 28 viii 2013
11.891.389:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Benoît Labat - fév 2005)
- família 1: J-L. Dega
- família 2: G Marsan (base Benoît Labat - fév 2005)
11.891.390:
Fonts:
- persona: G.Marsan
- família: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/index3.htm)
11.891.391:
Fonts:
- persona: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/index3.htm)
- família: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/index3.htm)
11.891.400:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.891.401:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.891.401a:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (auréjac)
11.893.002:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Navelle)
- família: J-L. Dega (Navelle)
11.893.003:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Navelle)
11.893.032:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 23 ix 2012
- família: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 23 ix 2012
11.893.033:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 23 ix 2012
- família: J-P.de Palmas (Généalogie Montlaur) 23 ix 2012
-3763-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.893.034:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
11.893.035:
Fonts:
- família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
11.893.035b:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
11.893.037:
Elle vendit Liernais à Hervé IV de Donzy à la demande de son frère, Eudes III de
Bourgogne
Fonts:
- persona: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinaires de
Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977)
11.893.037b:
En 1206, Philippe-Auguste confisque une partie de ses biens.
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pierfit, 19vii2008)
11.893.038:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Peynot (Abbé Michel) La Combraille pp. 176/219
(Saint-Julien) Guéret 1931) 2 i 2018, J-L. Dega, G.Hazard (Généalogie de la maison
de St Julien - Cte de Lauzanne - SSNAHC) x2007
- família: J-L. Dega
11.893.039:
Dalmatie de la Roche (ainsi nommée par le savant du Bouchet dans la généalogie
d'Aubusson ) : celle-ci, devenue veuve d'Ameil de Chambon, mort vers 1171, se
remaria, peu après, avec son voisin, Astorg ou Eustorge de la Roche-Aymon, qui,
par elle, fut père de Raoul de la Roche-Aymon, archevêque de Lyon en 1235, et de
ses frères; en sorte qu'Eustorge de la Roche-Aymon était beau-père du comte Guy
II d'Auvergne, que Raoul de la Roche-Aymon, archevêque de Lyon, et ses frères,
étaient frères utérins de la princesse de Chambon, femme de Guy, comte
d'Auvergne, et que, conséquemment, ils étaient oncles du jeune comte d'Auvergne,
Guillaume, fils du comte d'Auvergne et de la princesse de Chambon.
Cette "Dalmatie" était bizarrement, sur roglo, mariée non pas a Eustorg mais à son
frère Raimond de La Roche Aymon..; j'ai rétabli et fusionné en concordance avec ce
qui est écrit plus haut. JB de La Grandière 2/8/2017
Fonts:
-3764-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: JB.de La Grandiere ( rectification épouse et filiation en suivant les actes
+ abbé Michel Peynot) 13 ix 2014, J-P de Palmas (Abrégé de la Généalogie
historique et critique de la maison de La Roche-Aymon ) iii2010
- família 1: J-L. Dega
11.893.039-2a:
RAOUL naquit, on ne sait en quelle année, dans le château de Mainsat, sur les
confins de l'Auvergne et du Limousin ; il était fils d'Eustorge (ou Astorg) de la
Roche-Aymon et de Dalmatie, veuve d'Ameil, sieur de Combrailles. La Mure, qui ne
cite pas ses garants, l'appelle Raoul des Peyrins ou des Pins (1).
Doué d'une grande vertu et d'une éclatante sainteté (magnoe virtutis et sanctilatis
vir), il entra d'abord dans l'Ordre de Cîteaux, mais il est à croire qu'il n'y resta pas
longtemps car il fut nommé abbé d'Igny (2) dans le diocèse de Reims, et plus tard,
en 1224, abbé de Clairvaux. Il gouverna cette dernière abbaye pendant huit
années, obtint pour elle plu- sieurs immunités et l'enrichit de précieuses reliques.
En 1233, il fut appelé au siège épiscopal d'Agen, vacant par la mort de Géraud .
Sur la demande des citoyens de cette ville, il promit, par une charte du 7 février
1234, nouveau style de maintenir la monnaie arnaldaise , et le 13 juin suivant, il
obtint de Raymond VII, comte de Toulouse, la restitution de la moitié de la justice
d'Agen. Le 9 juillet 1235, il fit, avec le Chapitre de Saint-Caprais, un traité qui dut
précéder de peu de temps l'époque où il fut appelé a succéder sur le siège de Lyon
a Robert d'Auvergne, qui avait terminé sa vie le 7 janvier auparavant. « Souvent, a
dit M. le prince Galitzin, dans ces temps de foi, mais de troubles, l'élec- tion des
évoques souffrait de graves empêchements et de funestes dissensions intestines ;
telle était alors, ajoule-t-il, la situation de la première métropole des Gaules. »
Le Chapitre de Saint-Jean était divisé en deux partis ; l'un avait élu son archidiacre
; l'autre le procureur de l'Eglise de Valence. Les chanoines n'ayant pu s'entendre,
la nomination fut dévolue a Grégoire IX, qui fit choix de l'évêque d'Agen, Raoul, qui
sans doute était déjà fort âgé, jouit peu de temps de sa nouvelle dignité, car il
mourut le 5 mars 1236. Son corps, transporté dans l'église de Clairvaux, fut
inhumé près de l'autel du Saint-Sauveur, à côté de la mère (bienheureuse Adélaïde
de Cléron, nommée Aleth de Montbard dans roglo ) de saint Bernard, avec cette
épitaphe :
JB de La Grandière 13/9/2014 Raoul est bien dit fils d'Astorg et de Dalmacie et non
fils de Raymond marié en troisièmes noces.. Ceci est confirmé par l'abbé Michel
-3765-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Peynot in "La Combraille" pp. 100/172 -La Roche-Aymon-, Guéret 1931;
Armes
Raoul dela Roche-Aymon portait pour armoiries : de sable au lion d'or, armé et
lampassé de gueuls.
Liens externes
Références
(1) Hist. eccl. de Lyon, p. 174. Voyez Les Archevêques de Lyon, par M. Morel de
Voleinc, p. 55 ; les Essais sur Reims, par Camus-Daras, p. 385, et la Biogr.
d'Auvergne, t. 2, p. 166.
(2) Et non Signy, comme l'ont dit quelques historiens, trompés sans doute par
l'inscription rapportée plus bas, où ont lit Signiaco au lieu d'igniaco. Voyez les
Essais sur Reims déjà cités, p. A82.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Abrégé de la Généalogie historique et critique de la
maison de La Roche-Aymon, par l'abbé Jacques d'Estrées, 1757 et Gallia Christiana)
iii2010
11.893.044:
Vit en 1160.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986 ) 15 xi 2014
- família: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986 ) 15 xi 2014
11.893.045:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986 ) 15 xi 2014
- família: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986 ) 15 xi 2014
11.893.048:
Vers 1120, les trois châteaux de Saignon furent inféodés par Laugier d'Agoult,
après hommage à sa parentèle de la maison d'Agoult-Simiane. Au cours de
l'automne de cette même année, l'évêque remit en fief son château de Clermont,
au-dessus d'Apt, à ses neveux Guirand, Bertrand et Rostaing qui lui jurèrent
fidélité. Deux ans plus tard, en échange de leur hommage, Laugier céda à ses trois
neveux la moitié du château de Gordes, dans le diocèse de Cavaillon, ainsi que la
Grande Tour d'Apt en y ajoutant une partie de la cité contre 500 sous melgorien.
Fonts:
-3766-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr), J-P de Palmas (wikipedia et
Iconographie)
- família 1: H.R.Moser/Anselme-II/240; J-P.de Palmas (Anselme-II/240 et Florian
Mazel) 31 iii 2016
- família 2: J-P de Palmas (Florian Mazel) 2011
11.893.049:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-II/240; J-P.de Palmas (Anselme-II/240 et Florian
Mazel) 31 iii 2016
11.893.049b:
Castillon (84), Cazeneuve (84)
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Christophe de Montvallon citant : Généalogie historique
de la Maison de Sabran-Pontevès (Firmin-Didot, Paris 1897) et Florian Mazel ) 25
viii 2011,
- família: J-P de Palmas (Christophe de Montvallon citant : Généalogie historique de
la Maison de Sabran-Pontevès (Firmin-Didot, Paris 1897) et Florian Mazel ) 25 viii
2011
11.893.050:
Fonts:
- família: F d'Avigneau (geneanet aurejac)
11.893.051:
Fonts:
- naixement: M.Rérolle (site Gros) 12/11/06
- família: F d'Avigneau (geneanet aurejac)
11.893.051b:
Fonts:
- naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- defunció: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família 1: Aurejac
- casament 2: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família 2: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
11.893.051c:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution
du nom") 2x2014
- família: J-L. Dega
11.893.051f:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014
11.893.052:
GIRAUD Adémar [II] de Monteil (-1244 or after). "Nos patrueles Giraudus et
Lambertus Adhemarii de Montilio, domini Montilii Adhemarii, cum filiis nostris
primogenitus Giraudeto Adhemarii barone de Rupe Maura, Vivarien. diœcesis et
Hugone Adhemarii barone de Garda Adhemarii, Tricastin. diœcesis" donated
-3767-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
property to Montélimar, confirming the previous donations of "avos et patres
nostros", by charter dated 2 Apr 1198, classified as spurious in the
compilation[1684]. Baron de Roche Maure. "Nos Hugo Adhemarii de Montilio,
dominus…urbis Montilii Adhemarii, Valentin. diœcesis, baroque Gardæ
Adhemarii…Tricastin. diœcesis, et Giraudys Adhemarii de Montilio dominus…urbis
Montilii baroque Rupis Mauræ, Vivarien. diœcesis" donated property to
Montélimar, confirming the previous donations of "patrum nostrorum…Lamberti et
Giraudi Adhemarii de Montilio patruelium", by charter dated 2 Jan 1201, classified
as spurious in the compilation[1685]. "Geraldus Ademar…vicecomes Marsilie
et…Mabilia eius uxor" granted privileges to bishopric of Marseille by charter dated
11 Oct 1214[1686]. "Geraldus Ademarii dominus Montilii et vicecomes Massilie et
Mabalia eius uxor domina Montilii et vicecomitissa Massilie" confirmed a
convention between Pierre Bishop of Marseille and "vicecomites Massilie…Ugonem
Gaufredi, dicte Mabilie avum et Bertrandum fratrem eiusdem Ugonis et Ugonem
Gaufridi Sardum nepotem eorum filium Gaufridi de Massilia" by charter dated 22
Apr 1215[1687]. "Geraldetus filius domi G. Ade…dominus Montilii et vicecomes
Masilie" donated property to Montélimar by charter dated Jun 1222[1688].
"Geraldus Ademarii dominus Montilii et…Geraldetus eius filius" donated property
to Montélimar by charter dated 20 Dec 1228[1689].
-3768-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
D’après H&G n° 152 p 254, Géraud Adhémar est qualifié de neveu d’Adhémar de
Poitiers, comte de Valentinois. Il est nommé avec ses parents Géraud et Garsende
en 1180 dans un acte du cartulaire de Richerenches (Boisgelin p 12/14).
Fonts:
- persona: H Delcroix 8xi2006, J-P.de Palmas (Cartulaire de la Commanderie de
Richerenches de l'Ordre du Temple (1136-1214) et FMG)
- família: J-P.de Palmas (FMG) 30 iii 2014
11.893.053:
MABILE (-after 1 Jun 1249, bur Monastery of Saint-Pons). "Geraldus Ademarii
dominus Montilii et vicecomes Massilie et Mabalia eius uxor domina Montilii et
vicecomitissa Massilie" confirmed a convention between Pierre Bishop of Marseille
and "vicecomites Massilie…Ugonem Gaufredi, dicte Mabilie avum et Bertrandum
fratrem eiusdem Ugonis et Ugonem Gaufridi Sardum nepotem eorum filium
Gaufridi de Massilia" by charter dated 22 Apr 1215[970]. Vicomtesse de Marseille.
"Giraud-Adhemar seigneur de Montélimar, Vicomte de Marseille et la vicomtesse
Mabile" agreed the marriage of "leur fille Eudiarde…lorsqu'elle sera nubile" to
"Raymond de Baux…son fils Bertrand" by charter dated 2 Apr 1213, which also
names "Mabile…sa mère Laure"[971]. The testament of "Mabile épouse de Giraud-
Adhémar seigneur de Monteil, Vicomte de Marseille" is dated 1 Jun 1249, in which
she requests burial "dans le monastère de Saint-Pons" and makes bequests to
"Eudiarde sa fille, épouse de Bertrand de Baux seigneur de Meyrargues…sa fille
Giraude…sa fille Marie religieuse au monastère de Saint-Pons…son fils
Adhémar""[972].
m (before 7 Mar 1201) GIRAUD Adémar [II] de Monteil, son of GIRAUD Adémar [I]
de Monteil & his wife --- (-1244 or after).
[971] Baux Chartes 159, p. 43, citing L. B. 338, B-du-R., and Cong. archéol. d'Arles,
1876, p. 403, Dr Barthélemy.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 iii 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 30 iii 2014
11.893.053a:
GIRARD Adémar [III] de Monteil, son of GIRARD Adémar [II] de Monteil & his wife
Mabile de Marseille (-after 11 Apr 1262). "Geraldus Ademarii dominus Montilii
et…Geraldetus eius filius" donated property to Montélimar by charter dated 20 Dec
1228[1377]. An undated charter records a settlement between "consules…in
villa…Montispessulani" and "Guiraudum Adaymarii dominum Montilii"[1378]. The
testament of "Geraldus Ademarii dominus Montilii" is dated 11 Apr 1262 and
bequeathes property to "filie mee Mar…Lamberto marito suo…filie mee
-3769-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ademarie…Guilelmo domino Turnonis marito suo…Marceline et Ticburgi, Agnete et
Laurete et Geraldete filiabus meis…Guillelmeto et Ademario et Guigoneto et
Geraldeto inpuberi filiis meis et liberis…Ticburgis uxor mea pregnans…Geraldum
Ademarii filium meum puberem…fratrem meum fratrem Ademarium, de ordine
Fratrum Minorum"[1379].
m TIBURGE, daughter of --- (-after 11 Apr 1262). The testament of "Geraldus
Ademarii dominus Montilii" is dated 11 Apr 1262 and bequeathes property to
"…Ticburgis uxor mea pregnans…"[1380]. "Dom. Geraldus Ademarii, dominus
Montilii Ademarii", in the presence of and with the consent of "dom Tiburgi matre
sua…", donated property to Monteil, for "dom Lamberto domino Montilii Ademarii",
by charter dated 14 Oct 1275[1381].
-3770-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.893.053c:
Fonts:
- persona: (http://www.gros.nom.fr/pag0.htm#0)
- família: ( base Hervé Gros)
11.893.064:
Serait-il le père d'Olivier de Saissac évêque patriarche cathare de Toulouse, époux
d'Ermengarde de Hautpoul (1160-1240) ?
Fonts:
- persona: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat), J-P.de Palmas (Ascendance de
Saissac) 6 v 2014
- família: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat)
11.893.065:
Fonts:
- família: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat)
11.893.122:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.893.123:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.893.123a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.893.123b:
-3771-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
11.893.123d:
Fonts:
- persona: Hervé Balestrieri ( d'après Jean-Pierre de Palmas, citant Thierry et
Hélène Bianco : site Web de généalogie,"Les premiers sires d'Anduze") 31.03.2013
11.893.126:
HUGUES de Bourgogne, son of EUDES I "Borel" Duke of Burgundy & his wife
Sibylle de Bourgogne [Comté] ([1085]-soon after 6 Feb 1143, bur Abbaye de
Cîteaux). His parentage is recorded by Orderic Vitalis[206]. "Hugonis filii mei,
Henrici filii mei" subscribed the charter dated 1101 under which "Odo dux
Burgundie", on the point of leaving for Jerusalem, donated property to Saint-
Bénigne-de-Dijon[207]. "Odo dux Burgundiæ" granted compensation for his actions
to Cluny by charter dated 1101 in which he names "filiorumque suorum, Hugonis,
Heinrici"[208]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "dux Hugo filius
ducis Odonis" as father of "Lingones…episcopus Galterus [et] episcopum
Eduensem Henricum"[209]. He was appointed regent in Burgundy by his father
end-1100 before leaving for Palestine. He succeeded his father in 1103 as
HUGUES II "le Pacifique" Duke of Burgundy. "Hugo dux Burgundie filius Odonis
ducis" donated property to Saint-Bénigne-de-Dijon by charter dated 1102, which
specifies that his father died "in itinere Hierosolimitano"[210], presumably
misdated if the date of death of Duke Eudes is correctly stated above. "Hugo dux
Burgundie" donated serfs to Dijon Saint-Etienne, for the soul of "patris meis
Odonis" and with the consent of "fratre meo Henrico", by charter dated 1103[211].
He helped Louis VI King of France against Henry I King of England in Normandy in
1109. He commanded the advance guard in Champagne ready to defend France
from the threatened attack by Emperor Heinrich V in 1124. He acquired the county
of Grignon and the Châtelet de Chalon. He is called "Hugone Borrello duce
Burgundie" in a Molesme charter[212].
Je doutais fort, mais j'ai eu tort, que le duc de Bourgogne puisse se choisir une
épouse à Mayenne mais je vois dans l'abbé Angot (qui ne cite pas de Mathilde
trouvée dans les chartes) nous dit que que Gautier "alla chercher fortune dans la
Pouille, duché normand fondé en Italie du XI° siècle. Il y acquit honneurs et
richesses." et qu'il fut "Sur le point de passer en Terre Sainte en 1097. De retour
en 1099" - Or le chemin des aller-retour entre Mayenne et l'Italie et Mayenne et la
Terre Sainte il y a la Bourgogne
La confirmation au bon site Medieval Genealogy était dans Patrick van
Kerrebrouck, Les Capétiens, 987-1328, 2000, P. 567, note 7: "La réponse nous est
donnée par J. Richard, 1958, p. 41: trois chartes, citées plus haut suivant E. Petit,
la nomment domina Mathildis de Meduana ou domina Matillis de Magne, en fait
vocable d'une importante seigneurie de la France de l'Ouest, Mayenne. Pour
confirmer, le nécrologe de Beaune a conservé le nom de la mère de Mahaut,
Aelina"
J-C de Vaugiraud 23 ii 2011
Voici les références que donne la Foundation for Medieval Genealogy relatives à
cette union.
[209] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1161, MGH SS XXIII, p. 845.
-3773-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[213] Kerrebrouck (2000), p. 567 footnote 7.
11.893.127:
MATHILDE de Mayenne, daughter of GAUTHIER Seigneur de Mayenne & his wife
Aline [de Beaugency] (-Beaune, Côte-d'Or or château de Méduan, near Magny-lès-
Villers 8 Feb after 1162, bur Notre Dame de Beaune). As "domina Mathildis de
Meduana" she is named as the wife of Duke Hugues in three charters, and the
necrology of Beaune names her mother "Aelina"[213]. "Hugo Burgundie dux"
donated property to Saint-Bénigne-de-Dijon by charter dated [1113/19] which
names "Mathilde coniugis mei et filio mei Oddonis"[214]. "Hugo…dux Burgundie et
coniunx mea Mahaldis" donated property to Cîteaux by charter dated [1119][215].
"Henricus Eduensis ecclesie presul" donated property to Grosbois abbey and
founded an anniversary for "fratrisque sui Raimundi consulis" by charter dated 28
Jun 1156 witnessed by "Odo dux Burgundie, Maltrix mater eius…"[216]. The
necrology of Cîteaux records the death "VI Id Feb" of "Mathildis ducissa
Burgundie"[217].
"La réponse nous est donnée par J. Richard, 1958, p. 41: trois chartes, citées plus
haut suivant E. Petit, la nomment domina Mathildis de Meduana ou domina Matillis
de Magne, en fait vocable d'une importante seigneurie de la France de l'Ouest,
Mayenne. Pour confirmer, le nécrologe de Beaune a conservé le nom de la mère de
Mahaut, Aelina"
J-C de Vaugiraud (Patrick van Kerrebrouck, Les Capétiens, 987-1328, 2000, P. 567,
note 7) 23 ii 2011
-3774-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- Les "Annales de Bourgogne", 1957, P. 43, parlent d'un mariage de Mahaut de
Mayenne, fille de Gautier;
- ES II, Tafel 20 la dit également être Mahaut de Mayenne mariée vers 1115 et +
Beaune après 1162 inhumée Notre-Dame. Il ne cite aucun parent !
- Du Chesne dans son histoire généalogique des ducs de Bourgogne, T. I, P. 29-30
reconnait ne pas avoir trouvé sa filiation dans les chartes. Pour lui deux
possibilités:
1) Soit Mahaut pourrait être fille de Raimond comte de Toulouse, mère non citée;
2) Soit Mahaut, fille de Boson, comte de Turenne, mère non citée !
J-C de Vaugiraud 23 ii 2011
Je doutais que le duc de Bourgogne puisse se choisir une épouse à Mayenne mais
je vois dans l'abbé Angot (qui ne trouve pas Mathilde dans les chartes) que Gautier
- "alla chercher fortune dans la Pouille, duché normand fondé en Italie du XI°
siècle. Il y acquit honneurs et richesses." et qu'il fut "Sur le point de passer en
Terre Sainte en 1097. De retour en 1099"
- Or le chemin entre Mayenne et l'Italie et Mayenne et la Terre Sainte passe par la
Bourgogne !
J-C de Vaugiraud 23 ii 2011
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
540/541) 23 ii 2011, Y. Gobilliard 17 7 07; , J-M.Thiebaud (Jean-Claude de
Vaugiraud - Forum) 23 ii 2011
11.893.127a:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson, D.de Raugl (J.P.d'Aigremont)
- família: J-M.Thiebaud (Dunod de Charnage, Nobiliaire, p. 61) 31 vii 2010
11.893.127b:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson, L.van de Pas
- família: L.van de Pas
11.893.127d:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson
11.893.127e:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson
11.893.127g:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/M.Masseroni(E.Petit-G.Sirjen)
11.893.127h:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson
11.893.127i:
SIBYLLE de Bourgogne ([1126]-Salerno 19 Sep 1150, bur Monastery of the Trinity
de la Cava de Tirreni). The Annals of Romoald name "Sibiliam sororem ducis
Burgundie" as the second wife of "rex Rogerius", specifying that she died at
Salerno soon after their marriage and was buried "apud Caream"[287]. The
-3775-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Chronicle of Romualdo Guarna records that King Roger married "Sibiliam sororem
ducis Burgundiæ" and that she died soon after at Salerno and was buried "apud
Caveam", dated from the context to after the death of the king´s oldest son (in
1149)[288]. A short anonymous Chronicle of Cassino records the death of "Sybilla
regina" in 1150[289]. The Annales Casinenses record the death in 1151 of "Sibilla
regina"[290]. Chalandon states that King Roger´s second wife died in childbirth,
which he dates to 19 Sep 1151[291].
m (1149) as his second wife, ROGER II King of Sicily, son of ROGER I Count of
Sicily & his third wife Adelaida di Savona [Monferrato] (22 Dec 1095-Palermo 26
Feb 1154, bur Palermo Cathedral).
Fonts:
- persona: L. Gustavsson, J-P.de Palmas (FMG) iii 2009
- casament: L. Gustavsson
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015
11.893.127j:
Dama di Saint-Julien
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/M.Masseroni(J.Richard)
11.893.127k:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson
11.893.138:
Ce Pierre de Ceyssac n'apparait dans aucune des généalogies Polignac que j'ai
consulté ? Le fait avéré que Pons de Polignac époux de Guillemette de Ceyssac
était seigneur de Ceyssac en 1173 ne prouve pas qu'il a eu un fils de ce patronyme
!
J-C de Vaugiraud
Fonts:
- família: J-P de Palmas (ged Autié de Villemontée - 27-v-2005)
11.893.139:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (ged Autié de Villemontée - 27-v-2005)
11.893.184:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella, JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur : "Les nobles
aïeux" p.87 Roquefeuil, Tossa del Mar, 2004) 17 vii 2016
11.893.328:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie de La Roche) 16 iii 2011
- família: J-L. Dega
11.893.329:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.893.329b:
Teste en octobre 1239 en faveur de son neveu Guignes, époux d'une Montlaur.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 453) 26/05/2007
11.893.342:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Duhamel Amado), C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse
des lignages méridionaux") 8v2006
- família: J-L. Dega (Navelle), C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des
lignages méridionaux") 8v2006
11.893.343:
probablement petite-fille de Guillaume de Colnaz et nièce d'Imbertus de Cognatio
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Navelle), C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des
lignages méridionaux") 8v2006
- família 1: J-L. Dega (Navelle), C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des
lignages méridionaux") 8v2006
- família 2, família 3: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 8v2006
-3777-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.893.343b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
8v2006
11.893.343-2a:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
8v2006
- defunció: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
30ix2008
11.893.376:
Pour sa descendance, voir p3 de "la Charte des libertés "extrait de la Société
archéologique de Montpellier
http://195.220.134.232/numerisation/tires-a-part-www-nb/0000005721979.pdf
Son ascendance serait donnée dans le livre d'Eugène Vasseur "Les nobles aëux de
3 seigneurs rouergats", actuellement indisponible dans les librairies.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Florence Blanchet par mél) 2iii2014
- família: C.Saint-Félix (Florence Blanchet par mél) 2iii2014
11.893.377:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Florence Blanchet par mél) 2iii2014
- família: C.Saint-Félix (Florence Blanchet par mél) 2iii2014
11.893.384:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (d'après C. Duhamel-Amado "Genèse des lignage
méridionaux") 28-3-2005
- família: C. Saint-Félix (d'après C. Duhamel-Amado "Genèse des lignage
méridionaux") 28-3-2005
11.893.385:
Fonts:
- família: C. Saint-Félix (d'après C. Duhamel-Amado "Genèse des lignage
méridionaux") 28-3-2005
11.893.385b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
11.893.440:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Chronique et généalogie des Guilhem, par E. Martin,
1892) 31 vii 2013
- família: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
-3778-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.893.441:
Fonts:
- persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
- família: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
11.893.968:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer
11.893.969:
Fonts:
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer
11.894.272:
Fonts:
- família: a.Brabant (geneanet Auréjac)
11.894.273:
Fonts:
- família: a.Brabant (geneanet Auréjac)
11.894.274:
Il posséda la vicomté en 1101. Dans une charte de 1109, il reconnut l'entière
légitimité des franchises accordées par Dagobert et Charlemagne à l'église de
Saint Denis du Val.
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La
Rochefoucauld - 3e édition - 2015)11.05.2016
- família: P.Theroff, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison
de La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)11.05.2016
11.894.275:
Elle à donner son nom à la tour Maubergeon à Poitiers.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015, S. de L'Espinay
(G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e édition -
2015)11.05.2016
- família 1: P.Theroff, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la
Maison de La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)11.05.2016
- família 2: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015
11.894.275b:
Posséda la vicomté en 1151. Il est qualifié de fundator castri et capelle dans un
-3779-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
acte de 1157.
Lorsque la reine Aliénor revint en Poitou, elle renoue le contact avec spn oncle
Hugues.
Fonts:
- persona: o guionneau/H&G 99-171, J-P de Palmas (Histoire généalogique et
héraldique des pairs de France De Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles- p. 29),
S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La
Rochefoucauld - 3e édition - 2015)12.05.2016
- família: o guionneau/H&G 99-171, H.R.Moser/EuSt-III.4/813,S. de L'Espinay (G.
Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e édition -
2015)12.05.2016
11.894.275-2a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-III/154, R.Dewkinandan> WW-2
11.894.296:
VULGRIN [II] d’Angoulême (-château de Bouteville 16 Sep 1140, bur Saint-
Eparchius). The Historia Pontificum et Comitum Engolismensis names "Wlgrinum
filium primogenitum" as son of "Willelmus Taillefer Engolismensis Comes" and his
wife[600]. “Willelmus Engolismensis comes et filius eius Boucrinius” are named as
present in a charter dated 16 Dec 1094 under which Ramnulf Bishop of Saintes
donated “ecclesias de ArchiacoSancte MarieSancti Martini” to Saint-Pierre
d’Archiac[601]. "Willelmus Talefer comes Engolismensis et Vulgrinnus filius meus"
donated property to Saint-Pierre d'Angoulême by charter dated to
[1089/1101][602]. “Guillelmus comes Engolismensis” donated property to Saint-
Pierre d’Archiac, with the consent of “filiis suis Bulgrimno et Raimundo”, by
charter dated to [1098/1109][603]. He succeeded his father in 1120 as Comte
d'Angoulême. "Wgrimus comes Engolismensis filius Willelmi comitis" donated
property to the abbey of Charroux by charter dated to [1120/40][604]. The Historia
Pontificum et Comitum Engolismensis records the death "apud castellum
Botavillam" of Comte Vulgrin [II] and his burial "in Capitulo S.
Eparchii…1140…XVI Kal Dec"[605].
m firstly PONTIA de la Marche, daughter of ROGER de Montgommery Comte de la
Marche, Earl of Lancaster & his wife Almodis Ctss de la Marche. The Historia
Pontificum et Comitum Engolismensis names "Pontia filia Comitis de Marcha" as
wife of Comte Vulgrin [II] and mother of his successor[606].
m secondly AMABLE de Châtellerault, daughter of AIMERY [I] Vicomte de
Châtellerault & his wife Amauberge [Dangerose] ---. The Historia Pontificum et
Comitum Engolismensis names "filia Vicecomitis Castelli-Airaudi…Amabilis" as
mother of Comte Vulgrin II's two sons "posterioribus natu…Fulconi et Gausfrido
Martelli"[607].
Comte Vulgrin [II] & his first wife had one child.
Comte Vulgrin [II] & his second wife had three children.
Voir une vue aérienne actuelle des ruines du château de Bouteville (Charente).
(Lien vers le site Web "Geoportail" de l'Institut Géographique National)
Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 22.03.2014
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La
Rochefoucauld - 3e édition - 2015)12.05.2016, J-P.de Palmas (FMG) 10 xi 2016
- naixement: G Marsan (base Olivier Soudet - fév 2005)
- família 1: G Marsan (base Olivier Soudet - fév 2005)
- família 2: P.Theroff
11.894.297:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Olivier Soudet - fév 2005)
- família: G Marsan (base Olivier Soudet - fév 2005)
11.894.297-2b:
Est juste donné comme seigneur d'Anville par ES ?
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES III-4 T. 818) 13/04/2010
11.894.297-2c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES III-4 T. 818) 13/04/2010
- família: J-C de Vaugiraud (ES III-4 T. 818) 13/04/2010
11.894.302:
Source pour le rattachement de Reinald : "the complete peerage vol IV, p 317
Croisé en 1147, notre Renaud, cité en 1149 (Cartulaire de Rozoy) + avant 1160 (à
cette date, son gendre Pierre, fils de Louis VI, est sgr de Courtenay) : Référence :
Quantin (Maximilien) Cartulaire général de l'Yonne t.II Auxerre 1860
Fonts:
- persona: G. de Paysac, Benoit de Crevoisier, JB.de La Grandiere (ESS T III-4 p 629
Courtenay Marburg 1989)13 vii 2009
- família 1: G. de Paysac
- família 2: P Ract Madoux (Bibliothèque de Rouen Y 102, carton 23 Courtenay) 4 v
2005
11.894.303:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009
- família: G. de Paysac
11.894.303a:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Pierfit)
- família: , JB.de La Grandiere (ESS T III-4 p 629 Courtenay) 13 vii 2009
11.894.304:
Les Armoiries de Châtillon
- Le comte de Blois :
- Châtillon :
-3782-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006, J-P.de Palmas (Armoiries
Châtillon) 4 xii 2012
- família: J-C de Vaugiraud (E.S VII tafel 17-23: Châtillon -Nanteuil-Autrèches)
26/02/2006
11.894.305:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (P.van Kerrebrouck: Les Capetiens p 308) 26/02/2006
- defunció: A Brabant (A de Carné) 26 viii 04
- família: J-C de Vaugiraud (E.S VII tafel 17-23: Châtillon -Nanteuil-Autrèches)
26/02/2006
11.894.305b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S VII tafel 17-23: Châtillon -Nanteuil-Autrèches)
26/02/2006
- família: J-C de Vaugiraud (E.S VII tafel 17-23: Châtillon -Nanteuil-Autrèches)
26/02/2006
11.894.309:
Je vois plusieurs problèmes de taille qu'il faudrait rectifier pour Eustachie de
Champagne !
- J. Gouget et T. Le Hête "Les comtes de Blois et de Champagne", 2004, P. 115 à
121 la passe totalement sous silence parmi les enfants d'Etienne de Blois
- L'excellente base Medieval genealogy ne lui donne pas non plus cette ascendance
!
- Cette dernière base, qui la dit être une apparentée à Henry II, donne quelques
renseignements complémentaires: je cite "GEOFFREY (-Chester 21 Oct 1166, bur
Walden Abbey). He received a grant of his father's lands from Empress Matilda at
Devizes before 1147, and he was created Earl of Essex [Jan 1156][588]. The Red
Book of the Exchequer refers to "Galfridus de Mondeville iii m i militem et
dimidium" in Somerset in [1160/61][589]. The Chronicle of Ralph of Coggeshall
records the death in 1166 of "Galfridus junior de Mandavilla"[590]. The History of
the foundation of Walden abbey records the death “1165 XII Kal Nov” of “Galfridus
de Mandavill comes Essexiæ”[591]. m (1158 or before, divorced) as her first
husband, EUSTACHIE, [592][relative of HENRY II King of England], daughter of ---
& his wife Isabelle (-before 1 Nov 1164[593]). Geoffrey Earl of Essex confirmed
grants of lands in Sawbridgworth by Warin FitzGerold camerarius regis and by his
brother Henry to Robert Blund of London by charter dated to [1157/58], witnessed
by "Roesia com matre mea, Eust[achia] com[itissa], Ernulfo de Mannavilla fratre
meo, Willelmo filio Otuwel patruo meo…"[594]. Earl Geoffrey refused to live with
his wife, the king therefore causing them to be divorced592. Evans[595] speculates
that she was the illegitimate daughter of Eustache IV Comte de Boulogne, based
only on onomastic reasons, but other families besides the counts of Boulogne used
this name at the time[596]. If correct, this would also mean that she was little more
-3783-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
than a child, even at the time of her second marriage, as her alleged father was
himself born in [1127/31], which makes the report of Earl Geoffrey refusing to
cohabit rather unlikely. She married secondly as his second wife, Anselme
"Candavène" Comte de Saint-Pol (-1174)."
[592] Chronicle of Walden C, quoted in CP V 117 footnote f, the latter stating that
she is called "de Champagne" in L'Art de Vérifier les Dates.
Discussion
Afin de rendre quelques couleurs à l'énigmatique Eustachie, je suggère la lecture
de Jean-François Nieus: « Un pouvoir comtal entre Flandre et France, Saint-Pol
1000-1300 » dont ce qui suit est extrait : Avant d’être comte, Anselme de Saint-Pol
épouse Eustachie. La chronique de l’abbaye de Walden la donne comme parente du
roi Henri II. Elle avait épousé Geoffroy III de Mandeville, comte d’Essex dont elle
divorça pour se remarier à Anselme. Elle serait à rattacher au lignage des Gouet du
Perche, apparentés aux Plantagenêt, par un mariage avec une fille illégitime
d’Henri Ier. Selon K. Thompson, les père et mère d’Eustachie seraient Guillaume
III Gouet et Mabille, fa bâtarde d’Henri Ier, en dépit d’une charte d’Anselme
(12/11/1164) suivant laquelle la mère d’Eustachie se nommait Isabelle.
Eustachie x 1157/1158 Anselme (Cf. G.F. Warnier et H.J. Hellis).
Eustachie + < 12/11/1164
D’où : Hugues IV de Saint-Pol.
-3784-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Selon Jean-François Neus qui s’appuie sur la charte de 1190, Hugues IV fs
d’Eustachie et non de Mathilde.
Ce dernier point me paraît essentiel et je souhaiterais pouvoir modifier Roglo en
conséquence.
Claude Henri Maigret (forum) 13 x 2011
Les pères donnés comme possibles sur roglo n'étaient les bons :
- Étienne de Blois avait déjà été écarté
- Eustache de Blois (hypothèse Evans vieille d'un demi-siècle. et ne reposant que
sur l'onomastique) est à écarter
- Guillaume Gouët (qui épouse Richilde et non Mathilde, bâtarde d'Angleterre ) est
aussi à écarter.
Le bon père est Guillaume Gouët, fils du dernier cité "et Isabel mater Eustachie
uxoris mee" est Élisabeth de Champagne (on sait qu'Isabel et Elisabeth étaient
alors des prénoms interchangeables)
Nn N et Isabelle N vont pouvoir être remplacés.
Comme trop souvent, le blocage venait de dates exactes qui sortent d'on ne sait
quel chapeau de quel site alors qu'elles ne sont que des dates "calculées à la
louche par des non spécialistes"
20/8/2012 : j'ai effacé 18 dates "exactes" qui étaient de véritables obstacles pour la
reconstruction..jblg
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy)
13x2011
- defunció: C-H.Maigret (Jean-François Neus) 14 x 2011
- casament 1: J-P de Palmas (The Complete Peerage vol.V,pp116-117)
- família 1: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 13x2011
- casament 2: C-H.Maigret (J.-F. Neus) 14 x 2011
- família 2: Renaud de Paysac
-3785-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.309b:
Enguerrand est attesté dans les chartes comtales de 1164 à 1178 et dans un acte
conjoint avec son frère entre 1174 et 1186. Il n’apparaît plus après cette date.
Références
Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300, par J-F Nieus
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG et C-H Maigret citant J.F. Nieus) 14x2011
- naixement: J-C de Vaugiraud (mariage des parents) 15 x 2011
11.894.309-3a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 13x2011
11.894.312:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (Bruno Coulier) 22 viii 2010
- naixement: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 20
- família: base favrejhas
11.894.313:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (Bruno Coulier) 22 viii 2010
- defunció: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014
- família 1: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
- família 2: base favrejhas
11.894.313b:
Fonts:
- persona: Nicolas de Meyrignac (Guillaume de Wailly) 19vii2007, JB.de La
Grandiere (ES III-1 tableau 50-Avesnes, 1984) 24 x 2014
- casament: ES III-1 tableau 50-Avesnes, 1984
- família: Nicolas de Meyrignac (Guillaume de Wailly) 19vii2007
11.894.313c:
Fonts:
- persona: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 95) 15 x 2011, P.Maussion 23 xii 05,JL.Mondanel (généalogie
de Douay) 16 iii 2011
- defunció: C-H.Maigret (Luc Genicot) 17 x 2011
- casament 1: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 95) 15 x 2011
- família 1: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 95) 15 x 2011
- família 2: base favrejhas, H.R.Moser/EuSt-III-4/623,* 2015-04-20 22:08:35
(modifier famille - E-N.Derinck) Ide d'Avesnes, dame de Prisches +1205/1211
11.894.315:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Jean Le Bret)
-3786-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.318:
Louis VII, dit « Louis le Jeune », né en 1120, mort en 1180 à Paris, roi des Francs
de 1137 à 1180. Il est le fils de Louis VI, dit « Louis le Gros », roi des Francs, et
d’Adélaïde de Savoie (v. 1092-1154).
Biographie
Sixième souverain de la dynastie des Capétiens directs. Il épouse successivement
Aliénor d'Aquitaine, Constance de Castille, et Adèle de Champagne. Son fils
Philippe Auguste lui succédera.
Début du règne
Il est sacré roi et couronné, à Reims, dès le 25 octobre 1131, par le pape Innocent
II, après la mort accidentelle de son frère aîné Philippe de France (1116-1131) (à
ne pas confondre avec Philippe, son frère cadet du même prénom), à la suite d'une
chute de cheval provoquée par un cochon errant2, le 14 octobre 1131. Louis étant
le second fils de Louis VI le gros, il n'était pas prédestiné à une carrière royale et
son père lui réservait une carrière ecclésiastique, voire une carrière monastique
comme son frère cadet Henri, d'où sa piété austère et rigoureuse. Son inexpérience
et sa faible préparation à l'exercice du pouvoir expliquent probablement sa
désastreuse politique malgré les réticences de Suger3.
Après le décès de son père Louis VI « le Gros », d'une dysenterie probablement
consécutive à un excès de bonne chère4, il est à nouveau couronné à Bourges, le
25 décembre 1137. Avant de mourir, son père avait organisé son mariage avec
Aliénor d'Aquitaine (1122-1204), fille de Guillaume X d'Aquitaine, duc d’Aquitaine
et d’Aénor de Châtellerault. Le mariage eut lieu à Bordeaux, le 25 juillet 1137. Il
est lui-même couronné duc d'Aquitaine, à Poitiers le 8 août 1137. Ce mariage
fabuleux permit au domaine royal de presque tripler, car la jeune mariée apporte
dans sa dot la Guyenne, la Gascogne, le Poitou, le Limousin, l’Angoumois, la
Saintonge et le Périgord, c’est-à-dire une partie du Midi et de l’Ouest de la France,
l’équivalent de 19 départements actuels. Le caractère du roi, dévot, ascétique (il
aurait voulu être moine), naïf et maladroit, mou dans ses décisions, s’accorde mal
avec le caractère d'Aliénor, fort et sensuel. Cependant les dix premières années
semblent se passer sans réelle mésentente. Louis VII écarte sa mère de la cour,
mais garde les conseillers de son père dont l’abbé de Saint-Denis, Suger. Il
poursuit également la politique de son père et continue de mettre en valeur le
domaine royal ainsi que la rénovation et la transformation de la basilique Saint-
Denis. Il fait de multiples concessions aux communautés rurales, encourage les
défrichements et favorise l’émancipation des serfs. Il prend appui sur les villes en
accordant des chartes de bourgeoisie (Étampes, Bourges) et en les encourageant
hors de son domaine (Reims, Sens, Compiègne, Auxerre). Il soutient enfin l’élection
d’évêques dévoués au pouvoir royal. En 1138, Louis VII s’oppose au comte
Thibaud II de Champagne et au pape Innocent II au sujet de l’investiture pour
l’évêché de Langres, pour lequel il avait imposé Guillaume de Sabran, un moine de
Cluny au lieu d'un candidat de Bernard de Clairvaux5. Il s’oppose à nouveau au
pape en tentant d’imposer son candidat au siège de Bourges en 1141 contre Pierre
de La Châtre, soutenu par le pape Innocent II. Celui-ci finit par excommunier Louis
VII et Pierre de La Châtre trouve refuge en Champagne. Innocent II lève ensuite
cette excommunication. En décembre 1142, le roi envahit le comté et lors de son
avancée incendie en janvier 1143 Vitry-en-Perthois et son église dans laquelle
s’étaient réfugiés les habitants du village, qui y trouvèrent une mort affreuse. En
vue d'apaisement, il signe le traité de Vitry avec le comte Thibaud II à l’automne
1143, acceptant l’élection de Pierre de La Châtre pour faire lever l'interdit qui pèse
sur le royaume. Le 22 avril 1144, il participe à la conférence de Saint-Denis pour
régler définitivement le conflit entre le Saint-Siège et lui.
La mort de Suger
-3787-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Hémiplégique, Louis VII délégua le pouvoir à son fils Philippe le 1er novembre
1179. Mort à Paris, le 18 septembre 1180, il fut inhumé à l'abbaye cistercienne de
Barbeaux (aujourd'hui Fontaine-le-Port, département de Seine-et-Marne) qu'il avait
fondée.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux), J-P.de
Palmas (Wikipédia) 14 viii 2015
- família 1: J-P.de Palmas (Wikipedia) 24 xii 2014
- casament 3: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond, forum, 25/08/05)
11.894.319:
-3788-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1137-1204 Sovereign Duchess Aliénor (Eleanore) de Poitiers of Aquitaine et
Poitou, Guyenne et Gascogne (France) 1155, 1158 1160, 1189-91, 1192 and 1199
Regent of England 1165-66 Regent of Normandie .-
At the age of 15 she married Louis VII, King of France. During their adventures on
the Second Crusade the marriage was annulled and Eleanor left her two
daughters to be raised in the French court. Within a short time Eleanor married
Henri d'Anjou, who was eleven years younger than she. He became Henry II king
of England in 1154, and for the next thirteen years Eleanor had five sons and
three daughters. When her older sons were of age, her estrangement from her
husband grew. In 1173 she was imprisoned by Henry in various fortified buildings
for the next fifteen years after having lead a rebellion against him. The first three
times she was regent during her husband, King Henry d'Anjou's stay in his French
possesions. She was also regent for mother-in-law, Empress Mathilde, in
Normandy, regent during Richard II's crusades and after his death regent until
her younger son, Count John d'Anjou came to England to take ower the throne,
and her fame as an extremely able politician with a real thirst for power grew. She
lived (1122-1204) -(née en 1126 selon source non citée)- born c. 1122 died April 1,
1204, Fontevrault, Anjou, France.
Eleanor was the daughter and heiress of William X, duke of Aquitaine and count of
-3789-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Poitiers, who possessed one of the largest domains in France larger, in fact, than
those held by the French king. Upon William's death in 1137 she inherited the
Duchy of Aquitaine and in July 1137 married the heir to the French throne, who
succeeded his father, Louis VI, the following month. Eleanor became queen of
France, a title she held for the next 15 years. Beautiful, capricious, and adored by
Louis, Eleanor exerted considerable influence over him, often goading him into
undertaking perilous ventures.
From 1147 to 1149 Eleanor accompanied Louis on the Second Crusade to protect
the fragile Latin kingdom of Jerusalem, founded after the First Crusade only 50
years before, from Turkish assault. Eleanor's conduct during this expedition,
especially at the court of her uncle Raymond of Poitiers at Antioch, aroused
Louis's jealousy and marked the beginning of their estrangement. After their
return to France and a short-lived reconciliation, their marriage was annulled in
March 1152. According to feudal customs, Eleanor then regained possession of
Aquitaine, and two months later she married the grandson of Henry I of England,
Henry Plantagenet, count of Anjou and duke of Normandy. In 1154 he became, as
Henry II, king of England, with the result that England, Normandy, and the west
of France were united under his rule. Eleanor had only two daughters by Louis VII
; to her new husband she bore five sons and three daughters. The sons were
William, who died at the age of three ; Henry ; Richard, the Lion-Heart ; Geoffrey,
duke of Brittany ; and John, surnamed Lackland until, having outlived all his
brothers, he inherited, in 1199, the crown of England. The daughters were
Matilda, who married Henry the Lion, duke of Saxony and Bavaria ; Eleanor, who
married Alfonso VIII, king of Castile ; and Joan, who married successively William
II, king of Sicily, and Raymond VI, count of Toulouse. Eleanor would well have
deserved to be named the grandmother of Europe.
The revolt of her sons against her husband in 1173 put her cultural activities to a
brutal end. Since Eleanor, 11 years her husband's senior, had long resented his
infidelities, the revolt may have been instigated by her ; in any case, she gave her
sons considerable military support. The revolt failed, and Eleanor was captured
while seeking refuge in the kingdom of her first husband, Louis VII. Her semi-
imprisonment in England ended only with the death of Henry II in 1189. On her
release, Eleanor played a greater political role than ever before. She actively
prepared for Richard's coronation as king, was administrator of the realm during
his crusade to the Holy Land, and, after his capture by the Duke of Austria on
Richard's return from the east, collected his ransom and went in person to escort
him to England. During Richard's absence, she succeeded in keeping his kingdom
intact and in thwarting the intrigues of his brother John Lackland and Philip II
Augustus, king of France, against him.
In 1199 Richard died without leaving an heir to the throne, and John was crowned
king. Eleanor, nearly 80 years old, fearing the disintegration of the Plantagenet
domain, crossed the Pyrenees in 1200 in order to fetch her granddaughter
Blanche from the court of Castile and marry her to the son of the French king. By
this marriage she hoped to insure peace between the Plantagenets of England and
-3790-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
the Capetian kings of France. In the same year she helped to defend Anjou and
Aquitaine against her grandson Arthur of Brittany, thus securing John's
Frenchpossessions. In 1202 John was again in her debt for holding Mirebeau
against Arthur, until John, coming to her relief, was able to take him prisoner.
John's only victories on the Continent, therefore, were due to Eleanor.
She died in 1204 at the monastery at Fontevrault, Anjou, where she had retired
after the campaign at Mirebeau. Her contribution to England extended beyond
her own lifetime ; after the loss of Normandy (1204), it was her own ancestral
lands and not the old Norman territories that remained loyal to England. She has
been misjudged by many French historians who have noted only her youthful
frivolity, ignoring the tenacity, political wisdom, and energy that characterizedthe
years of her maturity. She was beautiful and just, imposing and modest, humble
and elegant ; and, as the nuns of Fontevrault wrote in their necrology : a queen
who surpassed almost all the queens of the world.
Elle en a quinze quand elle rencontre son fiancé, le dauphin Louis, fils du roi de
France Louis VI le Gros. L'adolescent est tout de suite ébloui par la jeune fille
blonde aux yeux verts qui a grandi dans le château bordelais de l'Ombrière et que
la disparition de son frère a érigée en héritière de l'immense duché d'Aquitaine,
étendu des Pyrénées au Poitou et à une partie de l'Auvergne, bien supérieur en
superficie au modeste domaine capétien.
A peine mariée, Aliénor va se retrouver reine de France par la mort de son beau-
père Louis VI le Gros. D'abord, elle exerce une influence sans partage sur son
jeune époux devenu Louis VII. Le monarque accepte d'enmener sa jeune femme -
qui lui a donné une fille - dans la nouvelle croisade prêchée en 1146 par Bernard
de Clairvaux. Aliénor part pour l'Orient comme pour une fête et, comme les autres
dames de l'expédition suivent son exemple, c'est une immense théorie de chariots
chargés de tout ce qui peut satisfaire la coquetterie d'une femme qui se dirige
vers la Palestine.
A Antioche, survient le drame entre les deux époux. Aux yeux de Louis VII, et non
sans raisons, Aliénor passe beaucoup trop de temps avec son jeune oncle
Raymond de Guyenne, ami d'enfance, qui a hérité de cette principauté. Le roi de
France somme sa femme de poursuivre la croisade à ses côtés en direction de
Jérusalem. Elle s'y refuse et lui annonce son intention de divorcer avant de se
résigner à le suivre. Mais le mal est fait.
Un divorce, au Moyen Age, est chose impensable. Aliénor fait valoir un lointain
cousinage avec son époux, ce qui, en droit canonique, frappe leur union de nullité.
Pourtant, les époux paraissent se réconcilier. Un second enfant naît. Par malheur,
il s'agit encore d'une fille. Donc, un sérieux problème pour la succession au trône.
Louis VII, las des caprices de sa femme qui, de son côté, se plaint d'être mariée à
un moine, se rend à la raison d'Etat. En mars 1152, un concile réuni à Beaugency
prononce la dissolution du mariage contracté quinze ans auparavant et Aliénor
-3791-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
récupère ses domaines personnels.
Du rêve grandiose d'Aliénor et de son second mari devenu roi, la France pourrait
mourir, d'autant que Louis VII n'est pas de la trempe de son rival. Il possède les
qualités d'un honnête homme avant la lettre. Mais un honnête homme ne fait pas
forcément un grand roi. Heureusement, le fils qu'il a de sa troisième épouse,
Adèle de Champagne, célébré par l'histoire sous le nom de Philippe Auguste, va se
montrer à la hauteur de circonstances extrêmes. Il saura jouer des dissensions
survenues, fort opportunément pour le royaume de France, au sein de la famille
Plantagenêt.
Trop vaste pour résister aux pressions centrifuges (alors que le domaine capétien
occupe en France une position centrale), l'empire d'Henri II est trop juteux pour
ne pas susciter les convoitises. Classiquement, les fils vont se dresser contre le
père pour réclamer leur héritage. Et leur mère, Aliénor, se rangera dans leur
camp après s'être estimée bafouée par l'homme qu'elle avait épousé par amour
autant que par calcul.
Par cette femme sujette à ses passions comme à ses ambitions, le destin de la
France et de l'Europe aurait pu basculer.
De Martin Aurell : La liste des historiens masculins qui se sont laissé aller
à des jugements moraux sur le comportement de la reine et à des
explications faciles sur sa prétendue psychologie est longue. Il faut
pourtant débarrasser la biographie d'Aliénor de ces excroissances
romanesques, afin de la présenter comme une femme profondément
insérée dans la société de son temps, figure représentative des
princesses et reines du 12è siècle, mais aussi membre clef de la famille
querelleuse des Plantagenêts, dont elle a contribué à l'ascension et au
déclin.
: On dira même qu'elle fut à l'origine de la Guerre de Cent Ans, car, par
son mariage avec Henri Plantagenêt, Aliénor donne l'Aquitaine aux
Anglais pendant tout le Moyen-Age. N'est-ce pas un peu excessif ? A
Castillon-la-Bataille en Gironde, un spectacle Son et Lumière évoque
cette Bataille de Castillon, le 17 juillet 1453, qui mit fin à la Guerre de
Cent Ans.
-3793-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: ppmr ; F-L. Jacquier (Encyclopaedia Britannica),
S.Fourlinnie (d'après un article de Claude Jacquemart dans le Figaro), J-P de
Palmas (Gisants à l'Abbaye de Fontrevaud) v-2009
- naixement: B.Yeurc'h (Le Lien)
- família 1: J-P.de Palmas (Wikipedia) 24 xii 2014
- casament 2: Jean de Villoutreys (larousse.fr) 3 viii 2017
- família 2: C. Chéneaux
11.894.319a:
Fille du roi Louis VII et de la reine Aliénor, cette princesse instruite fut la première
poétesse française. Elle rédigea des lais, poèmes narratifs assez courts, inspirés de
vieilles légendes bretonnes : le plus connu est le Lai du chévrefeuille, sur le thème
de l'amour courtois. Elle écrivit également un recueil de fables.
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal
Arnoux),JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011
- defunció: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum du 16 mai 2005)
- enterrament: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum du 16 mai 2005)
- família: Emmanuel Arminjon
11.894.319-2a:
Fonts:
- naixement: S.Fourlinnie (d'après "l'Histoire des rois de France et des chefs d'état"
de Pascal Arnoux)
- família 2: N.Chardiny 13-01-10 (http://gillesdubois.blogspot.com/2009/04/la-
famille-de-croy.html)
11.894.319-2b:
En 1169, par la paix de Montmirail, elle est fiancée à Richard Cœur de Lion, fils
d'Henri II Plantagenêt. Celui-ci la fit venir en Angleterre, pour prendre possession
des terres constituant sa dot (comté d'Aumale et comté d'Eu), mais, dès qu'elle fut
nubile, il abusa d'elle ou la séduit tout simplement, en fit sa maîtresse et retarda
son mariage avec Richard qui ne se fit jamais. Après la mort du roi Henri II
Plantagenêt, le 6 juillet 1189, son fils et successeur, Richard Cœur de Lion, fit
venir Adélaïde à Rouen en février 1190, mais en 1191 (après 22 ans de fiançailles
-3794-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
!), il avertit le roi de France Philippe-Auguste qu'il ne saurait prendre sa sœur
comme femme à cause du déshonneur dont on l'accusait. Après avoir tenté de la
donner pour femme à Jean sans Terre, frère de Richard Cœur de Lion, le roi
Philippe-Auguste la maria le 20 août 1195 à Guillaume II Talvas (1178-1221),
comte de Ponthieu. Elle apporta dans sa dot le comté d'Eu, le comté d'Arques et un
prêt de 5000 marcs.
Cette filiation, que retient notamment Jean Favier (Les Plantagenêts, origine et
destin d'un empire, Fayard, 2004), est contestée par d'autres historiens, dont
Patrick Van Kerrebrouck : Adélaïde, née en 1160 de Louis VII et de Constance de
Castille, serait morte jeune et ce serait Alix, née vers 1170 de Louis VII et
d'Adélaïde de Champagne, qui aurait épousé Guillaume de Ponthieu après avoir été
promise pendant des années aux fils d'Henri II.
Patrick Van Kerrebrouck semble se baser sur les prénoms données dans les textes
contemporains (Aalis, Aalidem, Aalaiz, Aalaidis, Alaidis, Alais, Aelis, Aalidis, Aelidis,
Aalays, Alaydis), aucun de ces prénoms latin n'étant Adela, la racine latine
d'Adelaïs !
Voir aussi http://fmg.ac/Projects/MedLands/CAPET.htm#_Toc154137005.
Fonts:
- persona: P.Deries (message de Jean-P Lafond du 25 août 05 sur le forum + note
perso) 22 jan.09, J-C de Vaugiraud (commentaire d'après Patrick Van Kerrebrouck)
23/01/2009
- naixement: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond, forum, 25/08/05)
- casament: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012
- família: P.Deries (message de Jean-P Lafond du 25 août 05 sur le forum) 20 jan.09
11.894.319-3a:
Pour la seigneurie et le donjon de Montargis : Guillaume de Paysac / Jacques
BIERRE "Les vies extraordinaires de Hervé IVde Donzy et de Mahaut de
Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977), page 57
-3795-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Portrait selon Louis Félix Amiel, conservé au musée de Versailles et des Trianons
Fonts:
- persona: F.BBriès maj notes & image 14/01/09, J-P.de Palmas (Base Mistral) 12 ix
2012
- enterrament: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux)
11.894.319-3b:
Fonts:
- naixement: S.Fourlinnie (notes d'après l' Histoire des rois de France et des chefs
d'état de Pascal Arnoux)
- defunció: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond, forum, 25/08/05)
11.894.319-2a:
Fonts:
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
11.894.319-2b:
Fils rebelle et plein de haine pour son père. En 1183, il pille le trésor de
Grandmont (uniquement les objets offerts par son père)) puis celui de Saint-Martial
à Limoges. Pendant la semaine de Pentecôte qui suit son méfait, il décède
brusquement. Son corps fut transporté à Grandmont qu'il avait choisi comme lieu
de sa sépulture mais la messe de funérailles fut interompue par l'évêque de
Limoges. Seuls ses yeux, ses entrailles et la cervelle furent enterrés au lieu-dit
l'Angleterre à Grandmont.
Fonts:
- persona: M.Chevallier v 09 (Histoire de Grandmont)
- enterrament: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011
11.894.319-2d:
Richard est alors intronisé duc de Normandie le 25 avril 1189 dans la cathédrale de
Rouen, puis Roi d'Angleterre le 3 septembre 1189 à Westminster. Richard 1er et
Philippe-Auguste encore amis se rencontrent une nouvelle fois à Saint-Rémy-sur-
Avre, ils concluent un accord de non-agression visant à protéger leurs capitales
respectives Rouen et Paris, pendant leur absence commune. En effet, ils sont
contraints tous les deux par une promesse au Saint-Siège de mener la troisième
croisade pour reprendre Jérusalem tombé aux mains de Saladin.
Ils s'embarquent tous les deux en 1190 et malgré leur bonne entente précédente un
certain antagonisme apparaît assez vite entre les deux hommes et se fera de plus en
plus évident lors notamment de l'hiver 1191 à Messine. De plus, la croisade met en
évidence les différences de personnalités des deux rois, Richard se révèle un
excellent chef militaire et un guerrier courageux (ce qui lui vaudra son surnom de
«lion» ), alors que Philippe-Auguste bien moins à l'aise sur les champs de bataille
est un bon organisateur et négociateur. Après la prise de Saint-Jean d'Acre le 31
juillet 1191, Philippe-Auguste décide de rentrer en France, décision contenant sans
doute quelques arrières pensées concernant le sort de la Normandie. Richard
restera encore quelques temps au moyen orient, ou il mènera son armée lors des
victoires d'Arsouf et l'année suivante de Jaffa. Il signera alors une traite avec
Saladin en septembre 1192 et décidera de rentrer en Normandie à ce moment.
-3797-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Pendant cette période il aura quand même le temps d'épouser le 12 mai 1191 à
Chypre, Bérangère, la fille du roi de Navarre.
Malheureusement pour Richard, lors de son voyage de retour, il est fait prisonnier
en décembre 1192 par le duc Léopold d'Autriche. Cette nouvelle se répandant Jean
sans terre et Philippe-Auguste fourbissent leurs armes et pensent chacun à la
Normandie (l'Angleterre ayant été laissé à la charge d'Aliénor), ils entreprennent
même conjointement des actions diplomatiques visant maintenir Richard en
captivité. En 1193 Philippe-Auguste entame des opérations militaires en Normandie
et prend notamment les villes d'Eu, d'Aumale, de Lyons-la-Forêt En 1194, il containt
même Jean sans terre à lui céder une grande partie de la Normandie, mais il se
heurte cependant à la résistance des habitants normands. Pendant ce temps,
Richard doit son salut à sa mère, qui réussit à faire parvenir à son geôlier l'énorme
récompense exigée pour sa libération, soit environ une trentaine de tonnes
d'argent. Richard revient alors immédiatement en Angleterre avec l'intention de
remettre au plus tôt de l'ordre dans son royaume et en particulier dans sa plus riche
province : la Normandie. Il débarque le 12 mai à Barfleur et reprend sans trop de
difficulté l'ensemble de son territoire aidé en cela par la population qui lui est dans
sa très grande majorité restée favorable.
Une guerre avec Philippe Auguste parait inévitable et elle durera pendant plusieurs
années, faite d'incursions diverses et de batailles aux frontières qui tourneront
toujours à l'avantage de Richard. C'est pendant cette période qu'il fait édifier la
forteresse de château Gaillard (Les Andelys) en 1198, château qu'il considère
comme sa "fille", et auquel il a incorporé les améliorations amenées des croisades.
Richard meurt le 6 avril 1199 lors d'un siège dans le Limousin.1 Son cœur est
enterré à sa demande dans la crypte de la cathédrale de Rouen (*).
Liens externes
Sa page wikipédia
-3798-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Références
Achille Deville découvrit en 1838 les restes de Richard Coeur de Lion dans la crypte
de la cathédrale de Rouen, dans une boîte de plomb portant l’inscription : « Ci-gît le
cœur de Richard roi des Anglais ».
Des chercheurs français ont analysé en 2012 pour la première fois le cœur de
Richard Ier, embaumé il y a plus de 800 ans avec de l'encens pour lui faciliter
l'accès au paradis.
Les résultats de ces travaux scientifiques ont étés publiés le 28.02.2013 sur le site
-3799-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Internet "Scientific Reports" (groupe Nature).
Source : Hervé Balestrieri ( "Le Figaro", article du 6 mars 2013 & Journal "La Croix" du 01.03.2013 ) 16.03.2014
Fonts:
- persona: G.de Paysac
- defunció: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011
- enterrament: J-P de Palmas (son coeur est à Rouen et ses entrailles à Châlus -
wikipedia)
- família 1: F-L. Jacquier (Web)
http://www.normandieweb.org/histoire/perso/richardcoeur.html
- família 2: J-P de Palmas (Auréjac)
11.894.319-2e:
Il serait né le 23/09/1156. (Selon B.Yeurc' - http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tompsett)
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- defunció: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- enterrament: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011
- casament: marié en 1171 : B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- família: Renaud de Paysac (Tompsett)
11.894.319-2f:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 23 vii 2012
- naixement: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum du 12 juin 2005)
- defunció: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum du 12 juin 2005)
- família 1: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- casament 2: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum du 12 juin 2005)
11.894.319-2g:
An early 13th century genealogy of the comtes de Toulouse written by Bernardus
Guidonis records that "Joannam sororem Richardi regis Angliæ" died in childbirth.
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011, J-P.de Palmas (FMG) 8 ii 2012
- naixement: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum le 15 juin 2005)
- defunció: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum le 15 juin 2005)
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- casament 1, casament 2: S.Fourlinnie (Jean-P Lafond sur le forum le 15 juin 2005)
- família 2: J-P de Palmas (in Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse
de France, P. Lainé, T.I, p.462)
11.894.319-2h:
Jean d'Angleterre[2] (27 décembre 1166[3] – 18 octobre 1216), fut duc de
Normandie (1199-1204) et roi d'Angleterre de 1199 à 1216. Son sobriquet, Jean
sans Terre (en anglais, John Lackland), vient du fait que son père était mort alors
-3800-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
qu'il était mineur, et que les enfants cadets de rois décédés ne pouvaient posséder
de biens tant qu'ils n'étaient pas censés être capables de s'en occuper ; cet âge
était fixé à 21 ans par la loi[4].
Biographie
Le roi Henri et la reine Aliénor n'étaient pas ensemble durant les neuf mois qui
précèdent décembre 1167, mais bien en mars 1166. Par ailleurs, Jean vit le jour à
Oxford vers Noël, mais Aliénor et Henri passaient Noël en Normandie, en 1167.
Le chanoine de Laon, écrivant un siècle après, affirma que Jean fut nommé en
référence à l'apôtre Jean, dont la fête est célébrée le 27 décembre.
Raoul de Dicet considère également que Jean naquit en 1166, et que c'est la reine
Aliénor qui choisit son prénom.
Jeunesse
Alors que Jean était le fils préféré d'Henri, étant le plus jeune, il ne pouvait espérer
une part importante de l'héritage. La vie de sa famille fut tumultueuse, ses frères
aînés entrant en révolte contre leur père en 1173-1174. Henri fit emprisonner
Aliénor en 1173, alors que Jean était enfant.
Richard devint ainsi le nouveau roi d'Angleterre. Peu avant son couronnement en
septembre 1189, il fait Jean comte de Mortain[7]. Le comté de Mortain consiste en
un ensemble de terres s'étendant en Normandie et en Angleterre (Cornouailles)[8].
Le 29 août 1189, il épousa Isabelle de Gloucester, comtesse de Gloucester et devint
comte en son droit. Peu après son accession au trône, en 1199, il se débarrassa de
son épouse en faisant annuler ce mariage par le pape Innocent III pour cause de
consanguinité (ils étaient cousins au second degré, tous deux descendants d'Henri
Ier d'Angleterre).
-3801-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
L'absence de Richard Cœur de Lion
Jean était plus populaire que Longchamp à Londres et, en octobre 1191, les
principaux citoyens londoniens lui ouvrirent les portes de la ville, tandis que
Longchamp était emprisonné dans la Tour. Jean promit à la cité de lui accorder le
droit de se gouverner elle-même en contrepartie d'une reconnaissance comme
héritier présomptif de Richard[9]. Lors de son retour de la croisade, Richard fut
capturé par Léopold V, duc d'Autriche et emprisonné par l'empereur Henri VI. Il a
été dit que Jean avait envoyé une lettre à Henri pour lui demander de garder
Richard loin d'Angleterre aussi longtemps que possible, mais les partisans de
Richard payèrent une rançon pour sa libération car ils pensaient que Jean serait un
mauvais roi. À son retour en Angleterre, en 1194, Richard pardonna à Jean et le
désigna comme son héritier.
Plusieurs historiens avancent que Jean n'avait pas tenté de renverser Richard,
mais, au contraire, fait de son mieux pour améliorer la situation d'un pays ruiné
par les taxes excessives levées par Richard pour financer la croisade. Il est plus
probable que cette image de trahison attachée au personnage de Jean soit venue
plus tard, par la plume des moines chroniqueurs indignés par son refus de prendre
part à la quatrième croisade.
Le règne
Devant mener la guerre sur le continent, en 1203, Jean ordonna à tous les
chantiers navals d'Angleterre (y compris à l'intérieur des terres, comme à
Gloucester) de fournir au moins un bateau, plusieurs villes, comme la nouvelle base
navale de Portsmouth, ayant la responsabilité de plusieurs chantiers. Il fit de
Portsmouth le nouveau siège de la marine (les rois anglo-saxons, comme Édouard
le Confesseur, avaient un port royal à Sandwich, dans le Kent). À la fin de 1204,
quarante-cinq grandes galères furent disponibles, avec une moyenne de quatre
nouveaux navires par an. Il créa également une amirauté de quatre amiraux pour
commander cette nouvelle marine. Durant le règne de Jean, des améliorations
sensibles furent réalisées dans la conception des bateaux, notamment l'addition de
voiles et les châteaux amovibles à l'avant. Il créa également les premiers grands
navires de transport, appelés « buisses ». Jean est parfois crédité de la fondation
de la Royal Navy moderne. Les éléments dont nous disposons, concernant cette
marine, viennent de registres officiels de l'époque, ce qui explique que ces
réussites aient été complètement ignorées par les chroniqueurs et les premiers
historiens.
Dans l'espoir d'éviter des troubles en Angleterre et au Pays de Galles, tandis qu'il
combattrait au loin pour recouvrer ses possessions françaises, Jean constitua en
1205 une alliance en mariant sa fille illégitime, Jeanne, au prince des Gallois
Llywelyn le Grand.
En trois ans, le roi de France Philippe Auguste réussit à s'emparer d'une bonne
moitié des possessions continentales du roi d'Angleterre, en particulier de la
Normandie et de l'Anjou (1204-1205). Château-Gaillard tomba le 6 mars 1204,
Rouen le 24 juin, tandis que les Bretons, furieux de l'assassinat d'Arthur,
incendiaient le Mont Saint-Michel[12]. L'« empire Plantagenêt » qu'avait créé son
père se trouvait très sérieusement amputé.
-3803-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
extrait de wikipedia
Références
Chronologie
1193 - Jean sans Terre, à Paris, prête hommage à Philippe Auguste pour la
Normandie et une partie de l'Anjou.
janvier 1194 - Accord entre Philippe Auguste et Jean sans Terre qui donne au roi de
France toute la Normandie à l'est de la Seine (sauf Rouen), Le Vaudreuil, Verneuil
et Evreux ainsi que Tours et les fiefs de la Loire.
-3804-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
printemps 1194 - A Lisieux, Jean sans Terre se réconcilie avec Richard Coeur de
Lion. Leur mère Aliénor se retire à Fontevraud.
juillet 1194 - bataille de Fréteval, Richard Coeur de Lion défait l'armée de Philippe
Auguste.
avril 1199 - Jean sans Terre assiège Le Mans. En juillet Aliénor d'Aquitaine rejoint
son fils Jean sans Terre à Rouen, elle lui conseille de faire la paix avec Philippe
Auguste
août 1200 - Jean sans Terre épouse Isabelle d'Angoulême qu'il a enlevé à Hugues
de Lusignan, comte de la Marche.
mars 1201 - Jean sans Terre assiège le château de Driencourt concédé par Richard
à Raoul d'Exoudun, comte d'Eu et frère d'Hugues IX de Lusignan.
juillet 1202 - Le jeune Arthur de Bretagne, tout juste armé chevalier, rejoint les
rebelles poitevins et assiège le château de Mirebeau dans lequel s'est réfugiée sa
grand-mère Aliénor s'Aquitaine.
août 1202 - Jean sans Terre surprend les assiégeants et les fait tous prisonniers.
décembre 1203 - Jean sans Terre embarque pour l'Angleterre, abandonnant les
défenseurs de Château-Gaillard qui voient leurs espoirs de secours anéantis.
mars 1204 - Philippe Auguste prend Château-Gaillard et tous les plus importants
châteaux normands. Mort d'Aliénor d'Aquitaine à Fontevraud.
-3805-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac, C.Chéneaux, J-P de Palmas (wikipedia) 29 ix 2011
- naixement: J-P de Palmas (Marie-Aline de Mascureau, Chronologie, primitivement
publiée dans Aliénor d'Aquitaine. Revue 303, hors-série n° 81, p. 218-223, Nantes,
2004), C.Chéneaux (Nieul sur l'Autise)
- defunció: J-P de Palmas (site:http://www.cybergata.com/ancestors/129.htm),
C.Chéneaux
- família 1: Renaud de Paysac
- casament 2: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- família 3: H.R.Moser/Paget
- família 4: Tompsett/Renaud de Paysac
- família 5: A. de Maere 14.01.2009
11.894.320:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Jozef Vanderbiest)
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm
- família: F-L. Jacquier (Jozef Vanderbiest)
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm, C.Maertens
11.894.321:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Jozef Vanderbiest)
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm
- família 1: F-L. Jacquier (Jozef Vanderbiest)
http://members.tripod.com/vvfkwartierstaten/kwstat.htm, C.Maertens
- casament 2: H.R.Moser/EuSt-I.1/200
- família 2: C.Maertens, H.R.Moser/EuSt-I.2/200
11.894.321-2a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-I.2/200
11.894.321-2b:
JB de La Grandière 24/10/2014 : svp, ne donnez pas une date de naissance "exacte"
car elle est forcément approximée et il faut constater que d'approximations en
approximations le différentiel avec une réalité probable diverge de plusieurs
décenniesjusqu'à dépasser un siècle ! la "certitude exprimée" fait alors se bloquer
toute recherche qui tiendrait compte de la fausse donnée merci.
Fonts:
- persona: D.Thuret (Geneanet, Guillaume deWailly) 10 i 2012
- família: D.Thuret (Geneanet, Guillaume deWailly) 10 i 2012, H.de La Villarmois
(Geneall) 5 iv 2016
11.894.321-2c:
_PRS Hemricourt p 57, Butkens p 114,115
Dans l'édition de Hemricourt, revue par de Borman et autres, ils donnent comme
parents de cette femme de Thierry de Hofstaede: Hugues, comte de Daesbourg et
seigneur de Moha marié après 1142 avec Lutgarde de Sulzbach. Ils disent que cet
arbre des Heneffe est sans certitude. C'est en contradiction avec ce qui est dit
dans Butkens et les anciennes éditions de Hemricourt. De plus Lutgarde de
Sulzbach ne peut avoir été la mère te la grand mère d'une même personne.
-3806-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
On peut par exemple lire le baron H. de Villenfagne d'Ingihoul, Essais critiques
sur différents points de l'histoire civile et , Volume 1, 1808, p.312 à 327, qui cite
expressément Butkens pour nous dire qu'il y a autant d'erreurs à ce sujet chez lui
qu'il y a de lignes
Contre l'argument tiré de Hemricourt,
Il suffit de se reporter au texte lui-même:
Il est précisé au §175 du Miroir des Nobles de hesbay que Thierry de Haneffe
brisa les armes de son père d'un quartier Moha (et nullement Brabant).
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie de Carné)
- família: J-P de Palmas (Généalogie de Carné)
11.894.322:
Fonts:
- naixement: S.Fourlinnie (Auréjac 19/03/08)
- família 2: S.Fourlinnie (Auréjac 19/03/08), JB.de La Grandiere (Europäische
Stammtafeln t I-2 p. 229 -Limbourg- 1999) 5 viii 2012
11.894.324:
THIERRY de Lorraine, son of THIERRY II Duke of Lorraine & his second wife
Gertrude de Flandre ([1099/1101]-Gravelines 17 Jan 1168). He is named in the
Cartulaire de Saint-Bertin, which also specifies his parentage[376]. After the
election of Guillaume de Normandie as count of Flanders in Mar 1127, nobles in
Gent invited Thierry d'Alsace to intervene. Orderic Vitalis records that he captured
Lille, Furnes and Gent[377]. He was recognised as count at Bruges 30 Mar
1128[378]. After Count Guillaume died from injuries received at the battle of Aalst
28 Jun 1128, Thierry was generally accepted as THIERRY I Count of Flanders. He
went to Palestine in 1138, and joined Louis VII King of France in Jun 1147 on the
Second Crusade[379]. The Annales Blandinienses record that he returned to
Palestine in 1157 and in 1164[380], taking part in campaigns with Baudouin III
King of Jerusalem during the earlier visit[381]. The Flandria Generosa specifies
that "Theodericus comes monarchiam Flandrie" was buried in "cenobio
Watinensi"[382]. The necrology of the Prieuré de Fontaines records the death "18
Jan" of "Teodericus comes Flandrie, pater domine Matildis"[383].
m firstly SUANHILDE, daughter of --- (-4 Sep 1132). "Suavehildis" is named "uxor
enim Theoderici comitis" in the Cartulaire de Saint-Bertin, which records her death
and specifies "pro qua ex cognatione consanguinitatis idem erat occulte" without
giving further details of the relationship[384]. The Flandria Generosa names
"comitissa etiam Suanildis", when recording her death and the bad luck which
-3807-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
resulted from her consanguinity with her husband[385]. No details are known
about her parentage so speculation about the precise nature of the family
relationship between husband and wife is pointless. "Theoderici…comitis
Flandrie…cum generosa uxore mea Suanehilda" confirmed the privileges and
possessions of the abbey of Saint-Pierre de Loo by charter dated 1130, subscribed
by "Willelmo filio Philippi comitis"[386].
-3808-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
gestarum ("L'estoire de Eracles Empereur et la conqueste de la terre d'Outremer")
(“WT”) XIV.I, p. 607.
[392] Saint-Bertin II.11, p. 300.
[393] Runciman (1978), Vol. 2, p. 262.
[394] Runciman (1978), Vol. 2, p. 361.
[395] Annales Aquicinctini 1165, MGH SS XVI, p. 504.
[396] Saint-Bertin II.11, p. 300.
[397] Flandria Generosa 32, MGH SS IX, p. 324.
[398] Miraeus (Le Mire), A. (1723) Opera diplomatica et historica, 2nd edn.
(Louvain), Tome I, XCVI, p. 104.
[399] Annales Blandinienses 1144, MGH SS V, p. 29.
Fonts:
- persona: L.Guion (Cartulaire de Clairmarais) 7 viii 2013, J-P.de Palmas (FMG) 18 v
2014
- defunció: L.Guion (Cartulaire de Clairmarais) 7 viii 2013
- família 2: H.R.Moser/EuSt, J-P.de Palmas (FMG) 18 v 2014
11.894.325:
SIBYLLE d’Anjou, divorced wife of GUILLAUME “Clito” de Normandie Count of
Flanders, daughter of FOULQUES V Comte d’Anjou & his wife Aremburge de
Maine ([1112/16]-Bethany 1165, bur Bethany, Abbey of St Lazarus). She is named
by Orderic Vitalis, who also names her father and specifies that he arranged her
(first) marriage as part of the support which he gave to Guillaume de Normandie,
on the suggestion of Amaury de Montfort, and that her dowry was the county of
Maine[387]. According to Orderic Vitalis, King Henry broke off the marriage
"making use of threats and pleas and an enormous quantity of gold and
silver"[388]. Both passages in Orderic Vitalis refer only to a betrothal, but a
marriage must have taken place otherwise a papal annulment would have been
unnecessary. Her father supported her husband against his uncle Henry I King of
England, indignant that the latter retained the dowry of his other daughter Alix,
married to King Henry's son who had been drowned in the Blanche Nef [White
Ship] in 1120[389]. Orderic Vitalis records Sibylle's second marriage[390], as does
William of Tyre (who says that she was her father's older daughter)[391]. The
Cartulaire de Saint-Bertin records the marriage of "Sibillam comitis Andegavensis
filiam" and Thierry after the death of his first wife[392]. She left France with her
second husband in Jun 1147 on the Second Crusade[393]. She accompanied her
husband to Palestine in 1157 but refused to return with him to Europe in 1158. She
became a nun at the convent of St Lazarus at Bethany. After the death of her
stepmother Mélisende Queen of Jerusalem in 1161, Ctss Sibylle assumed a position
of influence among the royal family of Jerusalem[394]. The Annales Aquicinctini
record the death in 1165 of "Sibbilla comitissa Flandrie apud Sanctum
Lazarum"[395].
[387] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 165, and Vol. VI, Book XII, p. 333.
[388] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 167.
[389] William of Malmesbury, 419, p. 365.
[390] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XII, p. 379.
[391] RHC, Historiens occidentaux II, Historia Rerum in partibus transmarinis
gestarum ("L'estoire de Eracles Empereur et la conqueste de la terre d'Outremer")
(“WT”) XIV.I, p. 607.
[392] Saint-Bertin II.11, p. 300.
[393] Runciman (1978), Vol. 2, p. 262.
[394] Runciman (1978), Vol. 2, p. 361.
[395] Annales Aquicinctini 1165, MGH SS XVI, p. 504.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 18 v 2014
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
-3809-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 1: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- família 2: H.R.Moser/EuSt, J-P.de Palmas (FMG) 18 v 2014
11.894.325a:
BAUDOUIN de Flandre (-before 1154). The Genealogica Comitum Flandriæ
Bertiniana names (in order) "Balduinum, Philippum, Matheum et Petrum" as the
four sons of "comes Flandrie Theodericus [et] Sibillam", specifying that Baudouin
"in pueritia mortuo"[400]. "Sibilla Flandrensium comitissa" donated property to
Arras St Vaast naming "maritus meus comes Theodericus…cum filio nostro
Balduino" dated 1148[401].
[400] Genealogica Comitum Flandriæ Bertiniana, Continuatio Leidensis et
Divionensis (Cod. Divion. et Cisterc. addunt), MGH SS IX, p. 307.
[401] Guesnon, A. (ed.) (1896) Un Cartulaire de l'abbaye de Saint-Vaast d'Arras,
codex du XII siècle (Paris) ("Arras St Vaast") 3, p. 34
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 18 v 2014
11.894.325b:
PHILIPPE de Flandre (-Acre 1 Jul 1191, bur Acre St Nicholas, transferred to
Abbaye de Clairvaux, Jura). The Genealogica Comitum Flandriæ Bertiniana names
(in order) "Philippum, Matheum, Petrum et tres filias" as the children of
"Theodericus filius ducis Alsatie [et] Sibillam"[402]. He was installed as count of
Flanders in 1157 when his father left for Palestine, and continued to handle most
administrative matters after his father returned in 1159[403]. He succeeded in
[1167] as Comte de Vermandois, by right of his wife. He succeeded his father in
1168 as PHILIPPE Count of Flanders. He was in Palestine in 1173, and landed at
Acre again in Sep 1177 when his primary aim was to arrange marriages between
the daughters of Amaury I King of Jerusalem and the sons of one of his vassals
Robert de Béthune. He took part in the siege of Hama with Raymond Count of
Tripoli and in the siege of Harenc with Bohémond III Prince of Antioch, but left
Palestine for Constantinople in [May] 1178[404]. He was adviser to Philippe II King
of France in 1180 after the latter's accession, and arranged the king's marriage to
his niece Isabelle de Hainaut, giving Artois as her dowry. According to
Kerrebrouck, Count Philippe was never appointed regent of France nor guardian of
the young French king[405]. On the death of his first wife, Count Philippe refused
to relinquish the counties of Vermandois and Valois to her successor, which
triggered war with France, settled by the transfer of the territories under the
Treaty of Boves in Jul 1185, ratified at Amiens 20 Mar 1186, although Count
Philippe was permitted to retain the title Comte de Vermandois for life[406]. He
returned to Palestine in 1189, and died of plague during the course of the siege of
Acre. He designated his brother-in-law Baudouin V Comte de Hainaut as his
successor but Philippe II King of France claimed that Flanders had escheated to
the French crown in default of male heirs[407]. His final illness and death are
recorded by William of Tyre (Continuator)[408]. The Annales Blandinienses record
the death in 1191 of "Philippus Flandrie et Viromandie comes magnificus"[409].
The Flandria Generosa records his death "Kal Iulii 1191" at Acre, his burial in the
"basilica sancti Nicholai" in Acre, and the repatriation of his body, arranged by his
widow, to "Claramvallem"[410].
-3810-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Philippus comes Flandrensis" killed "Walterum de Fontibus…II Id Aug", in 1175
from the context, "so it is said" for having committed adultery with "Isabella
comitissa"[414]. The Flandria Generosa records the death in 1182 of "Elisabeth
comitissa" specifying that she was buried "Attrebati in ecclesia beate Maria"[415].
m secondly (Aug 1183) as her first husband, Infanta dona MAFALDA de Portugal,
Senhora de Montemayor el Viejo e Ourem, daughter of dom AFONSO I King of
Portugal & his wife Mathilde de Savoie (1157-drowned off Furnes, Flanders 6 May
1218, bur Abbaye de Clairvaux, Jura). The De Rebus Hispaniæ of Rodericus Ximene
s names "Sancium et Urracam…et aliam filiam…Tarasia" as the children of
"Aldefonsum" & his wife, specifying that Teresa married "Philippo Comiti Flandriæ
et Hannoniæ" and died childless[416]. Known as TERESA from birth, she adopted
the name MAFALDA in [1173/74] after the death of her older sister of that name,
and was later known as MATHILDE. The Flandria Generosa specifies that on her
marriage she was given "Insulam et Duacum et plures…villas…iacentes,
Caslethuin, Watenes, Bergas, Burburgium, totamque maritimmam regionem"[417].
The Flandria Generosa names "Mathildis regine Portusequalis" as wife of Count
Philippe, specifying that she arranged the repatriation of her husband's body to
"Claramvallem"[418]. After the death of her husband, she received her widow's
portion in southern and coastal Flanders but increased taxes so much that she
provoked rebellions at Veurne [Furnes] and the castellany of Bourbourg[419]. She
married secondly (1193, separated 1195) as his first wife, Eudes III Duke of
Burgundy [Capet]. A charter dated 1195 records an agreement between the French
king and "M. regina comitissa Flandrie" which records that the latter promised not
to remarry after separating from "Odone duce Burgundie"[420]. The Flandria
Generosa records that she was "amita" of "Fernando filio regis Portusequalis" and
instrumental in arranging his marriage to her first husband's great-niece Jeanne
Ctss of Flanders[421]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records the
death in 1218 of "comitissa vetus de Flandria relicta comitis Philippi" and her
burial next to her husband at Clairvaux[422]. She died when her carriage
accidentally fell into a marsh near Furnes[423].
Mistress (1): ---. The name of Count Philippe's mistress is not known. Count
Philippe had one illegitimate son by Mistress (1).
[402] Genealogica Comitum Flandriæ Bertiniana, Continuatio Leidensis et
Divionensis, MGH SS IX, p. 307.
[403] Nicholas (1992), p. 71.
[404] Runciman (1978), Vol. 2, p. 416.
[405] Kerrebrouck (2000), p. 114, footnote 14.
[406] Kerrebrouck (2000), pp. 106 and 542.
[407] Nicholas (1992), p. 74.
[408] RHC, Historiens occidentaux II, Historia Rerum in partibus transmarinis
gestarum ("L'estoire de Eracles Empereur et la conqueste de la terre d'Outremer"),
Continuator (“WTC”) XXVI.IV and VI, p. 179-82.
[409] Annales Blandinienses 1191, MGH SS V, p. 30.
[410] Flandria Generosa (Continuatio Claromariscensis) 8, MGH SS IX, p. 329.
[411] Annales Blandinienses 1157, MGH SS V, p. 29.
[412] Flandria Generosa (Continuatio Bruxellensis), MGH SS IX, p. 325.
[413] Flandria Generosa (Continuatio Bruxellensis), MGH SS IX, p. 325.
[414] Ex Radulfi de Diceto imaginibus historiarum, RHGF XIII, p. 198.
[415] Flandria Generosa (Continuatio Claromariscensis) 4, MGH SS IX, p. 327. The
date "28 Mar" is inserted in the margin by the editor.
[416] Roderici Toletani Archiepiscopi De Rebus Hispaniæ, Liber IX, VII, 5, RHGF
XII, p. 382.
[417] Flandria Generosa (Continuatio Claromariscensis) 9, MGH SS IX, p. 329.
[418] Flandria Generosa (Continuatio Claromariscensis) 8, MGH SS IX, p. 329.
[419] Nicholas (1992), p. 74.
[420] Teulet, A. (ed.) (1863) Layettes du trésor des chartes (Paris), Vol. I, 428, p.
-3811-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
181.
[421] Flandria Generosa (Continuatio Claromariscensis) 13 and 14, MGH SS IX, pp.
330-1.
[422] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1218, MGH SS XXIII, p. 907.
[423] Kerrebrouck (2000), p. 575.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 18 v 2014
- enterrament: J-P de Palmas (St-Nicolas de Saint-Jean d'Acre puis transfert à
Clairvaux)
- família 3: R.Dewkinandan> WW-2
11.894.325d:
Elu évêque de Cambrai en 1167, il se démet en 1173.
11.894.325e:
Fonts: - família 1: Emmanuel Arminjon (Marie José, la Maison de Savoie, Albin
Michel edit.)
- família 2: H.R.Moser/EuSt
11.894.325g:
Fille de Thierry d’Alsace et de Sibylle-Maribie d’Anjou soeur de l’abbesse Mathilde
d’Anjou dont elle était par conséquent la nièce. Du même coup, elle se trouva être
la cousine d’Henri II Plantagenêt qui favorisa grandement l’Ordre.
Mathilde de Flandres était également devenue par alliance la tante de Philippe-
Auguste, époux depuis 1180 de sa nièce, Elizabeth de Hainaut. Elle prit le voile à
l’âge de 40 ans alors que l’Abbaye était plongée dans une grande misère et famine
due à une guerre franco-anglaise qui dévastait l’Anjou. Pour y faire face, elle fit
fondre le peu d’objets précieux qu’elle possédait .
Philippe II de France dit Philippe -Auguste visita le Monastère et ne ménagea pas
ses faveurs aux Fontevristes qu’il dispensa en 1189 du paiement de la "dîme
saladine" Impôt institué en 1188 par les rois Henri d’Angleterre et Philippe-
Auguste de France aux fins de financer la troisiême croisade contre le chef
musulman Saladin. Richard Cœur de lion qui fit don au monastère d’un morceau de
la vraie croix, ramené de Palestine.
Alphonse VIII de Castille, visitant l’abbaye au retour de son mariage avec Eléonor
d’Angleterre, fille de Henri II Plantagenêt, ému par l’indigence de l’abbaye
résultant de la guerre et de la disette, lui fit donation le 30 juin 1190 d’une rente
de cent écus d’or.
En 1189, Henri II fut inhumé , sous l’abbatiat de Mathilde, dans le "cimetiére des
rois" qui devint la nécropole des rois d’Angleterre.
11.894.325-1a:
LAURETTA de Flandre, widow firstly of IWAN Graaf van Aalst and secondly of
HENDRIK II Duke of Limburg, daughter of THIERRY Count of Flanders & his first
wife Swanhilde --- ([1120]-Abbaye de Voorst, near Brussels 1170). The Flandria
Generosa names "Laurentiam" as the only daughter of "comitissa etiam Suanildis",
specifying that her marriage with "dux de Lemburg" was terminated on grounds of
consanguinity, that she subsequently married "Iwanus de Alst", and after the
latter's death "Rodulfo comiti Peronensi" and "comiti de Namur", although this
switches her first and second husbands[2024]. She married fourthly (before 1159,
divorced 1163) as his first wife, Henri "l’Aveugle" Comte de Namur et de
Luxembourg.
-3812-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[2024] Flandria Generosa 32, MGH SS IX, p. 324.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Auréjac 19/03/08), J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the
Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009, J-P.de Palmas (FMG) 5 viii 2012
- casament 1: E.S.VIII taf. 22a -Gand -, 1980
- família 1: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009, JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t VIII taf. 22a -Gand -,
1980) 5 viii 2012
- família 2: S.Fourlinnie (Auréjac 19/03/08), JB.de La Grandiere (Europäische
Stammtafeln t I-2 p. 229 -Limbourg- 1999) 5 viii 2012
- família 3: R.Dewkinandan> WW-2
- família 4: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln T VII p 68 -Namur-,
Marburg 1979) 5 viii 2012
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.326:
Étienne de Blois puis Étienne d'Angleterre (vers 1092 ou vers 1096 – 25 octobre
1154), lord d'Eye et de Lancaster (en Angleterre), comte de Mortain (en
Normandie) puis comte de Boulogne par mariage, fut roi d'Angleterre de 1135 à
1154.
Étienne fut un monarque peu doué, faible et manquant d'autorité. De plus son
règne fut encadré chronologiquement par ceux de deux des plus grands rois
anglais, Henri Ier et Henri II, ce qui accentue encore plus le contraste. Les
historiens des siècles passés et leurs lectorats, préférant les rois forts et
dominateurs, furent donc enclins à accepter les descriptions contemporaines du
règne, notamment celle de la Chronique anglo-saxonne. Pour cette dernière, le
règne d'Étienne fut une période de misère, de famine, de dévoiement, d'oppression
et d'anarchie, un « [temps] où les gens disaient ouvertement que le Christ et ses
saints dormaient ». Son règne fut certes très chaotique, mais les historiens actuels
considèrent maintenant que la condamnation sans appel qu'en firent les
chroniqueurs contemporains était largement exagérée.
Famille et descendance:
Avant 1125, il épouse Mathilde († 3 mai 1152), comtesse de Boulogne. Ils ont pour
enfants (ordre proposé par Edmund King) :
Enfants illégitimes:
Etienne s'empara du trône anglais à la mort de son oncle Henri Ier Beauclerc, qui
avait désigné sa fille Mathilde pour lui succéder. Son règne fut marqué par
l'anarchie et la lutte entre ses propres partisans et ceux de Mathilde. En 1153, A la
mort de son fils Eustache, qu'il destinait au trône, il accepta de faire du fils de
Mathilde, Henri Plantagenêt, son successeur, ce qui mit fin au conflit.
Stephen was born in the County of Blois in middle France; his father, Count
Stephen-Henry, died while Stephen was still young, and he was brought up by his
mother, Adela. Placed into the court of his uncle, Henry I, Stephen rose in
prominence and was granted extensive lands. Stephen married Matilda of
Boulogne, inheriting additional estates in Kent and Boulogne that made the couple
one of the wealthiest in England. Stephen narrowly escaped drowning with Henry
I's son, William Adelin, in the sinking of the White Ship in 1120; William's death left
the succession of the English throne open to challenge. When Henry I died in 1135,
Stephen quickly crossed the English Channel and with the help of his brother
Henry of Blois, a powerful ecclesiastic, took the throne, arguing that the
preservation of order across the kingdom took priority over his earlier oaths to
support the claim of Henry I's daughter, the Empress Matilda.
The early years of Stephen's reign were largely successful, despite a series of
attacks on his possessions in England and Normandy from David I of Scotland,
Welsh rebels and the Empress Matilda's husband, Geoffrey of Anjou. In 1138 the
Empress's half-brother Robert of Gloucester rebelled against Stephen, threatening
civil war. Together with his close advisor, Waleron de Beaumont, Stephen took firm
steps to defend England, including arresting a powerful family of bishops. When
the Empress and Robert invaded in 1139, however, Stephen was unable to rapidly
crush the revolt, which took hold in the south-west of England. Captured at the
battle of Lincoln in 1141, Stephen was abandoned by many of his followers and lost
control of Normandy. Stephen was only freed after his wife and William of Ypres,
one of his military commanders, captured Robert at the rout of Winchester, but the
war dragged on for many years with neither side able to win an advantage.
Stephen became increasingly concerned with ensuring that his son, Eustace, would
inherit his throne after him. The king attempted to convince the church to agree to
crown Eustace to reinforce his claim: Pope Eugene III refused and Stephen found
himself in a sequence of increasingly bitter arguments with his senior clergy. In
1153 the Empress's son, Henry FitzEmpress, invaded England and built an alliance
of powerful regional barons to support his claim for the throne. The two armies met
at Wallingford but neither side's barons were keen to fight another pitched battle.
Stephen began to examine a negotiated peace, a process hastened by the sudden
death of Eustace. Stephen and Henry agreed the Treaty of Winchester later in the
year, in which Stephen recognised Henry as his heir in exchange for peace, passing
over William, Stephen's second son. Stephen died the following year. Modern
historians have extensively debated the extent to which Stephen's personality,
external events or the weaknesses in the Norman state contributed to this
prolonged period of civil war.
Childhood
Stephen was born in Blois in France, either in 1092 or 1096.[1][nb 1] His father
was Stephen-Henry, Count of Blois and Chartres, an important French nobleman;
Stephen's father played only a brief part in his early life, being an active
crusader.[2] During the First Crusade Stephen-Henry had acquired an unfortunate
reputation for cowardice, and he returned to the Levant again in 1101 to rebuild
his reputation where he was killed at the battle of Ramlah.[3] Stephen's mother,
Adela of England, was the daughter of William the Conqueror and Matilda of
Flanders, famous amongst her contemporaries for her piety, wealth and political
talent.[1] She had a strong matriarchal influence on Stephen during his early
years.[4][nb 2]
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
France in the 12th century was a loose collection of counties and smaller polities,
under the minimal control of the king of France. The king's power was linked to his
control of the rich province of Île-de-France, just to the east of Stephen's home
county of Blois.[6] In the west lay the three counties of Maine, Anjou and Touraine,
and to the north of Blois was the Duchy of Normandy, from which Duke William
had conquered England in 1066. William's children were still fighting over the
collective Anglo-Norman inheritance.[7] The rulers across this region spoke a
similar language, albeit with regional dialects, followed the same religion and were
closely interrelated; they were also highly competitive and frequently in conflict
with one another for valuable territory and the castles that controlled them.[8]
Stephen had at least four brothers and one sister, along with two probable half-
sisters.[4] Stephen's eldest brother was William, who under normal circumstances
would have inherited the title of count.[3] William was probably intellectually
disabled, and Adela instead had the title passed over him to her second son,
Theobald, who went on to later acquire the county of Champagne as well as Blois
and Chartres.[3][nb 3] Stephen's remaining older brother, Odo, died young,
probably in his early teens.[4] Stephen's younger brother, Henry of Blois, was
probably born four years after Stephen.[4] The brothers formed a close-knit family
group, and Adela encouraged Stephen to take up the role of a feudal knight, whilst
steering Henry towards a career in the church, possibly so that their personal
career interests would not overlap.[10] Unusually, Stephen was raised in his
mother's household rather than being sent to a close relative; he was taught Latin
and horseback riding, and was educated in recent history and Biblical stories by his
tutor, William the Norman.[11]
Stephen's early life was heavily influenced by his relationship with Henry I, his
uncle and King of England. Henry seized power in England following the death of
his elder brother William Rufus. In 1106 he invaded and captured the Duchy of
Normandy, controlled by his eldest brother, Robert Curthose, defeating Robert's
army at the battle of Tinchebray.[12] Henry then found himself in conflict with
Louis VI of France, who took the opportunity to declare Robert's son William Clito
the Duke of Normandy.[13] Henry responded by forming a net of alliances with the
western counties of France against Louis, resulting in a regional conflict that would
last throughout Stephen's early life.[13] Adela and Theobald allied themselves with
Henry, and Stephen's mother decided to place him in Henry's court.[14] Henry
fought his next military campaign in Normandy from 1111 onwards, where rebels
led by Robert of Bellême were opposing his rule. Stephen was probably with Henry
during the military campaign of 1112, when he was knighted by the king, and was
definitely present at court during the king's visit to the Abbey of Saint-Evroul in
1113.[15] Stephen probably first visited England in either 1113 or 1115, almost
certainly as part of Henry's court.[14]
Henry became a powerful patron to Stephen; Henry probably chose to support him
because Stephen was part of his extended family and a regional ally, yet not
sufficiently wealthy or powerful in his own right to represent a threat to either the
king or his heir, William Adelin.[16] As a third surviving son, even of an influential
regional family, Stephen still needed the support of a powerful patron such as the
king to progress in life.[16] With Henry's support, Stephen rapidly began to
accumulate lands and possessions. Following the battle of Tinchebray in 1106,
Henry confiscated the County of Mortain from William, the Count of Mortain, and
the Honour of Eye, a large lordship previously owned by Robert Malet.[17] In 1113,
Stephen was granted both the title and the honour, although without the lands
previously held by William in England.[17] The gift of the Honour of Lancaster also
followed after it was confiscated by Henry from Roger the Poitevin.[18] Stephen
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was also given lands in Alençon in southern Normandy by Henry, but the local
Normans rebelled, seeking assistance from Fulk, the Count of Anjou.[19] Stephen
and his older brother Theobald were comprehensively beaten in the subsequent
campaign, which culminated in the battle of Alençon, and the territories were not
recovered.[20]
Finally, the king arranged for Stephen to marry Matilda in 1125, the daughter and
only heiress of the Count of Boulogne, who owned both the important continental
port of Boulogne and vast estates in the north-west and south-east of England.[18]
In 1127, William Clito, a potential claimant to the English throne, seemed likely to
become the Count of Flanders; Stephen was sent by the king on a mission to
prevent this, and in the aftermath of his successful election, William Clito attacked
Stephen's lands in neighbouring Boulogne in retaliation.[21] Eventually a truce was
declared, and William Clito died the following year.[22]
With Adelin dead, the inheritance to the English throne was thrown into doubt.
Rules of succession in western Europe at the time were uncertain; in some parts of
France, male primogeniture, in which the eldest child would inherit a title, was
becoming more popular.[26] It was also traditional for the King of France to crown
his successor whilst he himself was still alive, making the intended line of
succession relatively clear, but this was not the case in England. In other parts of
Europe, including Normandy and England, the tradition was for lands to be divided
up, with the eldest son taking patrimonial lands-usually considered to be the most
valuable-and younger sons being given smaller, or more recently acquired,
partitions or estates.[26] The problem was further complicated by the sequence of
unstable Anglo-Norman successions over the previous sixty years-William the
Conqueror had gained England by force, William Rufus and Robert Curthose had
fought a war between them to establish their inheritance, and Henry had only
acquired control of Normandy by force. There had been no peaceful, uncontested
successions.[27]
With William Adelin dead, Henry had only one other legitimate child, Matilda, but
as a woman she was at a substantial political disadvantage.[25] Despite Henry
taking a second wife, Queen Adeliza, it became increasingly unlikely that Henry
would have another legitimate son and instead he looked to Matilda as his intended
heir.[28] Matilda had been married to Henry V, the Holy Roman Emperor, which
gave her the title of Empress, but her husband died in 1125 and she was remarried
in 1128 to Geoffrey, the Count of Anjou, whose lands bordered the Duchy of
Normandy.[29] Geoffrey was unpopular with the Anglo-Norman elite: as an
Angevin ruler, he was a traditional enemy of the Normans.[30] At the same time,
tensions continued to grow as a result of Henry's domestic policies, in particular
the high level of revenue he was raising to pay for his various wars.[31] Conflict
was curtailed, however, by the power of the king's personality and reputation.[32]
Henry attempted to build up a base of political support for Matilda in both England
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and Normandy, demanding that his court take oaths first in 1127, and then again in
1128 and 1131, to recognise Matilda as his immediate successor and recognise her
descendants as the rightful ruler after her.[33] Stephen was amongst those who
took this oath in 1127.[34] Nonetheless, relations between Henry, Matilda and
Geoffrey became increasingly strained towards the end of the king's life. Matilda
and Geoffrey suspected that they lacked genuine support in England, and proposed
to Henry in 1135 that the king should hand over the royal castles in Normandy to
Matilda whilst he was still alive and insist on the Norman nobility swearing
immediate allegiance to her, thereby giving the couple a much more powerful
position after Henry's death.[35] Henry angrily declined to do so, probably out of a
concern that Geoffrey would try to seize power in Normandy somewhat earlier than
intended.[36] A fresh rebellion broke out in southern Normandy, and Geoffrey and
Matilda intervened militarily on behalf of the rebels.[26] In the middle of this
confrontation, Henry unexpectedly fell ill and died near Lyons.[30]
Succession (1135)
Meanwhile, Stephen's younger brother Henry of Blois had also risen to power
under Henry I. Henry of Blois had become a Cluniac monk and followed Stephen to
England, where the king made him Abbot of Glastonbury, the richest abbey in
England.[43] The king then appointed him Bishop of Winchester, one of the richest
bishoprics, allowing him to retain Glastonbury as well.[43] The combined revenues
of the two positions made Henry of Winchester the second-richest man in England
after the king.[43] Henry of Winchester was keen to reverse what he perceived as
encroachment by the Norman kings on the rights of the church.[44] The Norman
kings had traditionally exercised a great deal of power and autonomy over the
church within their territories. From the 1040s onwards, however, successive
popes had put forward a reforming message that emphasised the importance of the
church being "governed more coherently and more hierarchically from the centre"
and established "its own sphere of authority and jurisdiction, separate from and
independent of that of the lay ruler", in the words of historian Richard
Huscroft.[45]
When news began to spread of Henry I's death, many of the potential claimants to
the throne were not well placed to respond. Geoffrey and Matilda were in Anjou,
rather awkwardly supporting the rebels in their campaign against the royal army,
which included a number of Matilda's supporters such as Robert of Gloucester.[26]
Many of these barons had taken an oath to stay in Normandy until the late king
was properly buried, which prevented them from returning to England.[46]
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Stephen's elder brother Theobald was further south still, in Blois.[47] Stephen,
however, was in Bolougne, and when news reached him of Henry's death he left for
England, accompanied by his military household. Robert of Gloucester had
garrisoned the ports of Dover and Canterbury and some accounts suggest that they
refused Stephen access when he first arrived.[48] Nonetheless Stephen probably
reached his own estate on the edge of London by 8 December and over the next
week he began to seize power in England.[49]
The crowds in London traditionally claimed a right to elect the king of England,
and they proclaimed Stephen the new monarch, believing that he would grant the
city new rights and privileges in return.[50] Henry of Blois delivered the support of
the church to Stephen: Stephen was able to advance to Winchester, where Roger,
who was both the Bishop of Salisbury and the Lord Chancellor, instructed the royal
treasury to be handed over to Stephen.[51] On 15 December, Henry delivered an
agreement under which Stephen would grant extensive freedoms and liberties to
the church, in exchange for the Archbishop of Canterbury and the Papal Legate
supporting his succession to the throne.[52] There was the slight problem of the
religious oath that Stephen had taken to support the Empress Matilda, but Henry
convincingly argued that the late king had been wrong to insist that his court take
the oath.[53] Furthermore, the late king had only insisted on that oath to protect
the stability of the kingdom, and in light of the chaos that might now ensue,
Stephen would be justified in ignoring it.[53] Henry was also able to persuade
Hugh Bigod, the late king's royal steward, to swear that the king had changed his
mind about the succession on his deathbed, nominating Stephen instead.[53][nb 6]
Stephen's coronation was held a week later at Westminster Abbey on 26
December.[55][nb 7]
Stephen's new Anglo-Norman kingdom had been shaped by the Norman conquest
of England in 1066, followed by the Norman expansion into south Wales over the
coming years.[62] Both the kingdom and duchy were dominated by a small number
of major barons who owned lands on both sides of the English Channel, with the
lesser barons beneath them usually having more localised holdings.[63] The extent
to which lands and positions should be passed down through hereditary right or by
the gift of the king was still uncertain, and tensions around this issue had grown
during the reign of Henry I. Certainly lands in Normandy, passed by hereditary
right, were usually considered more important to major barons than those in
England, where their possession was less certain. Henry had increased the
authority and capabilities of the central royal administration, often bringing in
"new men" to fulfil key positions rather than using the established nobility.[64] In
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
the process he had been able to maximise revenues and contain expenditures,
resulting in a healthy surplus and a famously large treasury, but also increasing
political tensions.[65][nb 9]
Returning south, Stephen held his first royal court at Easter 1136.[69] A wide
range of nobles gathered at Westminster for the event, including many of the
Anglo-Norman barons and most of the higher officials of the church.[70] Stephen
issued a new royal charter, confirming the promises he had made to the church,
promising to reverse Henry's policies on the royal forests and to reform any abuses
of the royal legal system.[71] Stephen portrayed himself as the natural successor to
Henry I's policies, and reconfirmed the existing seven earldoms in the kingdom on
their existing holders.[72] The Easter court was a lavish event, and a large amount
of money was spent on the event itself, clothes and gifts.[73] Stephen gave out
grants of land and favours to those present, and endowed numerous church
foundations with land and privileges.[74] Stephen's accession to the throne still
needed to be ratified by the Pope, however, and Henry of Blois appears to have
been responsible for ensuring that testimonials of support were sent both from
Stephen's elder brother Theobald and from the French king Louis VI, to whom
Stephen represented a useful balance to Angevin power in the north of France.[75]
Pope Innocent II confirmed Stephen as king by letter later that year, and Stephen's
advisers circulated copies widely around England to demonstrate Stephen's
legitimacy.[76]
Troubles continued across Stephen's kingdom. After the Welsh victory at the battle
of Llwchwr in January 1136 and the successful ambush of Richard Fitz Gilbert de
Clare in April, south Wales rose in rebellion, starting in east Glamorgan and rapidly
spreading across the rest of south Wales during 1137.[77] Owain Gwynedd and
Gruffydd ap Rhys successfully captured considerable territories, including
Carmarthen Castle.[67] Stephen responded by sending Richard's brother Baldwin
and the Marcher Lord Robert Fitz Harold of Ewyas into Wales to pacify the region.
Neither mission was particularly successful and by the end of 1137 the king
appears to have abandoned attempts to put down the rebellion. Historian David
Crouch suggests that Stephen effectively "bowed out of Wales" around this time to
concentrate on his other problems.[78] Meanwhile, Stephen had put down two
revolts in the south-west led by Baldwin de Redvers and Robert of Bampton;
Baldwin was released after his capture and travelled to Normandy, where he
became an increasingly vocal critic of the king.[79]
The security of Normandy was also a concern. Geoffrey of Anjou invaded in early
1136 and, after a temporary truce, invaded later the same year, raiding and
burning estates rather than trying to hold the territory.[80] Events in England
meant that Stephen was unable to travel to Normandy himself, so Waleran de
Beaumont, appointed by Stephen as the lieutenant of Normandy, and Theobald led
the efforts to defend the duchy.[81] Stephen himself only returned to the duchy in
1137, where he met with Louis VI and Theobald to agree to an informal regional
alliance, probably brokered by Henry, to counter the growing Angevin power in the
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
region.[82] As part of this deal, Louis recognised Stephen's son Eustace as Duke of
Normandy in exchange for Eustace giving fealty to the French king.[83] Stephen
was less successful, however, in regaining the Argentan province along the
Normandy and Anjou border, which Geoffrey had taken at the end of 1135.[84]
Stephen formed an army to retake it, but the frictions between his Flemish
mercenary forces led by William of Ypres and the local Norman barons resulted in
a battle between the two halves of his army.[85] The Norman forces then deserted
the king, forcing Stephen to give up his campaign.[86] Stephen agreed to another
truce with Geoffrey, promising to pay him 2,000 marks a year in exchange for
peace along the Norman borders.[80][nb 10][nb 11]
Stephen's relationship with the church became gradually more complex. The royal
charter of 1136 had promised to review the ownership of all the lands that had
been taken by the crown from the church since 1087, but these estates were now
typically owned by nobles.[80] Henry of Blois's claims, in his role as Abbot of
Glastonbury, to extensive lands in Devon resulted in considerable local unrest.[80]
In 1136, Archbishop of Canterbury William de Corbeil died. Stephen responded by
seizing his personal wealth, which caused some discontent amongst the senior
clergy.[80] Stephen's brother Henry wanted to succeed to the post, but Stephen
instead supported Theobald of Bec, who was eventually appointed, while the
papacy named Henry papal legate, possibly as consolation for not receiving
Canterbury.[89]
Stephen's first few years as king can be interpreted in different ways. Seen
positively, Stephen stabilised the northern border with Scotland, contained
Geoffrey's attacks on Normandy, was at peace with Louis VI, enjoyed good
relations with the church and had the broad support of his barons.[90] There were
significant underlying problems, nonetheless. The north of England was now
controlled by David and Prince Henry, Stephen had abandoned Wales, the fighting
in Normandy had considerably destabilised the duchy, and an increasing number of
barons felt that Stephen had given them neither the lands nor the titles they felt
they deserved or were owed.[91] Stephen was also rapidly running out of money:
Henry's considerable treasury had been emptied by 1138 due to the costs of
running Stephen's more lavish court, and the need to raise and maintain his
mercenary armies fighting in England and Normandy.[92]
Stephen was attacked on several fronts during 1138. First, Robert of Gloucester
rebelled against the king, starting the descent into civil war in England.[92] An
illegitimate son of Henry I and the half-brother of the Empress Matilda, Robert was
one of the most powerful Anglo-Norman barons, controlling estates in Normandy
as well as the Earldom of Gloucester. He was known for his qualities as a
statesman, his military experience and leadership ability.[93] Robert had tried to
convince Theobald to take the throne in 1135; he did not attend Stephen's first
court in 1136 and it took several summonses to convince him to attend court at
Oxford later that year.[94] In 1138, Robert renounced his fealty to Stephen and
declared his support for Matilda, triggering a major regional rebellion in Kent and
across the south-west of England, although Robert himself remained in
Normandy.[95] In France, Geoffrey of Anjou took advantage of the situation by re-
invading Normandy. David of Scotland also invaded the north of England once
again, announcing that he was supporting the claim of his niece the Empress
Matilda to the throne, pushing south into Yorkshire.[96][nb 12]
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to allow them to take control of their adversaries' territory and ultimately win a
slow, strategic victory.[97] The armies of the period centred on bodies of mounted,
armoured knights, supported by infantry and crossbowmen.[98] These forces were
either feudal levies, drawn up by local nobles for a limited period of service during
a campaign or, increasingly, mercenaries, who were expensive but more flexible
and often more skilled. These armies, however, were ill-suited to besieging castles,
whether the older motte-and-bailey designs or the newer, stone-built keeps.
Existing siege engines were significantly less powerful than the later trebuchet
designs, giving defenders a substantial advantage over attackers. As a result, slow
sieges to starve defenders out, or mining operations to undermine walls, tended to
be preferred by commanders over direct assaults.[97] Occasionally pitched battles
were fought between armies but these were considered highly risky endeavours
and were usually avoided by prudent commanders.[97] The cost of warfare had
risen considerably in the first part of the 12th century, and adequate supplies of
ready cash were increasingly proving important in the success of campaigns.[99]
Stephen's military campaign in England had progressed well, and historian David
Crouch describes it as "a military achievement of the first rank".[102] The king
took the opportunity of his military advantage to forge a peace agreement with
Scotland.[102] Stephen's wife Matilda was sent to negotiate another agreement
between Stephen and David, called the treaty of Durham; Northumbria and
Cumbria would effectively be granted to David and his son Prince Henry, in
exchange for their fealty and future peace along the border.[96] Unfortunately, the
powerful Ranulf, Earl of Chester, considered himself to hold the traditional rights
to Carlisle and Cumberland and was extremely displeased to see them being given
to the Scots.[103] Nonetheless, Stephen could now focus his attention on the
anticipated invasion of England by Robert and Matilda's forces.[104]
The Angevin invasion finally arrived in 1139. Baldwin de Redvers crossed over
from Normandy to Wareham in August in an initial attempt to capture a port to
receive the Empress Matilda's invading army, but Stephen's forces forced him to
retreat into the south-west.[118] The following month, however, the Empress was
invited by the Dowager Queen Adeliza to land at Arundel instead, and on 30
September Robert of Gloucester and the Empress arrived in England with 140
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knights.[118][nb 16] The Empress stayed at Arundel Castle, whilst Robert marched
north-west to Wallingford and Bristol, hoping to raise support for the rebellion and
to link up with Miles of Gloucester, a capable military leader who took the
opportunity to renounce his fealty to the king.[120] Stephen promptly moved south,
besieging Arundel and trapping Matilda inside the castle.[121]
Stephen then agreed to a truce proposed by his brother, Henry of Blois; the full
details of the truce are not known, but the results were that Stephen first released
Matilda from the siege and then allowed her and her household of knights to be
escorted to the south-west, where they were reunited with Robert of
Gloucester.[121] The reasoning behind Stephen's decision to release his rival
remains unclear. Contemporary chroniclers suggested that Henry argued that it
would be in Stephen's own best interests to release the Empress and concentrate
instead on attacking Robert, and Stephen may have seen Robert, not the Empress,
as his main opponent at this point in the conflict.[121] Stephen also faced a
military dilemma at Arundel-the castle was considered almost impregnable, and he
may have been worried that he was tying down his army in the south whilst Robert
roamed freely in the west.[122] Another theory is that Stephen released Matilda
out of a sense of chivalry; Stephen was certainly known for having a generous,
courteous personality and women were not normally expected to be targeted in
Anglo-Norman warfare.[123][nb 17]
Ranulf of Chester remained upset over Stephen's gift of the north of England to
Prince Henry.[103] Ranulf devised a plan for dealing with the problem by
ambushing Henry whilst the prince was travelling back from Stephen's court to
Scotland after Christmas.[103] Stephen responded to rumours of this plan by
escorting Henry himself north, but this gesture proved the final straw for
Ranulf.[103] Ranulf had previously claimed that he had the rights to Lincoln Castle,
held by Stephen, and under the guise of a social visit, Ranulf seized the fortification
in a surprise attack.[134] Stephen marched north to Lincoln and agreed to a truce
with Ranulf, probably to keep him from joining the Empress's faction, under which
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Ranulf would be allowed to keep the castle.[135] Stephen returned to London but
received news that Ranulf, his brother and their family were relaxing in Lincoln
Castle with a minimal guard force, a ripe target for a surprise attack of his
own.[135] Abandoning the deal he had just made, Stephen gathered his army again
and sped north, but not quite fast enough-Ranulf escaped Lincoln and declared his
support for the Empress, and Stephen was forced to place the castle under
siege.[135]
While Stephen and his army besieged Lincoln Castle at the start of 1141, Robert of
Gloucester and Ranulf of Chester advanced on the king's position with a somewhat
larger force.[136] When the news reached Stephen, he held a council to decide
whether to give battle or to withdraw and gather additional soldiers: Stephen
decided to fight, resulting in the battle of Lincoln on 2 February 1141.[136] The
king commanded the centre of his army, with Alan of Brittany on his right and
William of Aumale on his left.[137] Robert and Ranulf's forces had superiority in
cavalry and Stephen dismounted many of his own knights to form a solid infantry
block; he joined them himself, fighting on foot in the battle.[137][nb 18] Stephen
was not a gifted public speaker, and delegated the pre-battle speech to Baldwin of
Clare, who delivered a rousing declaration.[139] After an initial success in which
William's forces destroyed the Angevins' Welsh infantry, the battle went badly for
Stephen.[140] Robert and Ranulf's cavalry encircled Stephen's centre, and the king
found himself surrounded by the enemy army.[140] Many of Stephen's supporters,
including Waleron de Beaumont and William of Ypres, fled from the field at this
point but Stephen fought on, defending himself first with his sword and then, when
that broke, with a borrowed battle axe.[141] Finally, he was overwhelmed by
Robert's men and taken away from the field in custody.[141][nb 19]
Robert took Stephen back to Gloucester, where the king met with the Empress
Matilda, and was then moved to Bristol Castle, traditionally used for holding high-
status prisoners.[143] He was initially left confined in relatively good conditions,
but his security was later tightened and he was kept in chains.[143] The Empress
now began to take the necessary steps to have herself crowned queen in his place,
which would require the agreement of the church and her coronation at
Westminster.[144] Stephen's brother Henry summoned a council at Winchester
before Easter in his capacity as papal legate to consider the clergy's view. He had
made a private deal with the Empress Matilda that he would deliver the support of
the church, if she agreed to give him control over church business in England.[145]
Henry handed over the royal treasury, rather depleted except for Stephen's crown,
to the Empress, and excommunicated many of Stephen's supporters who refused to
switch sides.[146] Archbishop Theobald of Canterbury was unwilling to declare
Matilda queen so rapidly, however, and a delegation of clergy and nobles, headed
by Theobald, travelled to see Stephen in Bristol and consult about their moral
dilemma: should they abandon their oaths of fealty to the king?[145] Stephen
agreed that, given the situation, he was prepared to release his subjects from their
oath of fealty to him, and the clergy gathered again in Winchester after Easter to
declare the Empress "Lady of England and Normandy" as a precursor to her
coronation.[147] When Matilda advanced to London in an effort to stage her
coronation in June, though, she faced an uprising by the local citizens in support of
Stephen that forced her to flee to Oxford, uncrowned.[148]
Once news of Stephen's capture reached him, Geoffrey of Anjou invaded Normandy
again and, in the absence of Waleran of Beaumont, who was still fighting in
England, Geoffrey took all the duchy south of the river Seine and east of the river
Risle.[149] No help was forthcoming from Stephen's brother Theobald this time
either, who appears to have been preoccupied with his own problems with France-
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
the new French king, Louis VII, had rejected his father's regional alliance,
improving relations with Anjou and taking a more bellicose line with Theobald,
which would result in war the following year.[150] Geoffrey's success in Normandy
and Stephen's weakness in England began to influence the loyalty of many Anglo-
Norman barons, who feared losing their lands in England to Robert and the
Empress, and their possessions in Normandy to Geoffrey.[151] Many started to
leave Stephen's faction. His friend and advisor Waleron was one of those who
decided to defect in mid-1141, crossing into Normandy to secure his ancestral
possessions by allying himself with the Angevins, and bringing Worcestershire into
the Empress's camp.[152] Waleron's twin brother, Robert of Leicester, effectively
withdrew from fighting in the conflict at the same time. Other supporters of the
Empress were restored in their former strongholds, such as Bishop Nigel of Ely,
and others still received new earldoms in the west of England. The royal control
over the minting of coins broke down, leading to coins being struck by local barons
and bishops across the country.[153] Stephen's wife Matilda played a critical part
in keeping the king's cause alive during his captivity. Queen Matilda gathered
Stephen's remaining lieutenants around her and the royal family in the south-east,
advancing into London when the population rejected the Empress.[154] Stephen's
long-standing commander William of Ypres remained with the queen in London;
William Martel, the royal steward, commanded operations from Sherborne in
Dorset, and Faramus of Boulogne ran the royal household.[155] The queen appears
to have generated genuine sympathy and support from Stephen's more loyal
followers.[154] Henry's alliance with the Empress proved short-lived, as they soon
fell out over political patronage and ecclesiastical policy; the bishop met Stephen's
wife Queen Matilda at Guildford and transferred his support to her.[156]
The king's eventual release resulted from the Angevin defeat at the rout of
Winchester. Robert of Gloucester and the Empress besieged Henry in the city of
Winchester in July.[157] Queen Matilda and William of Ypres then encircled the
Angevin forces with their own army, reinforced with fresh troops from
London.[156] In the subsequent battle the Empress's forces were defeated and
Robert of Gloucester himself was taken prisoner.[158] Further negotiations
attempted to deliver a general peace agreement but Queen Matilda was unwilling
to offer any compromise to the Empress, and Robert refused to accept any offer to
encourage him to change sides to Stephen.[158] Instead, in November the two
sides simply exchanged Robert and the king, and Stephen began re-establishing his
authority.[158] Henry held another church council, which this time reaffirmed
Stephen's legitimacy to rule, and a fresh coronation of Stephen and Matilda
occurred at Christmas 1141.[158]
At the beginning of 1142 Stephen fell ill, and by Easter rumours had begun to
circulate that he had died.[159] Possibly this illness was the result of his
imprisonment the previous year, but he finally recovered and travelled north to
raise new forces and to successfully convince Ranulf of Chester to change sides
once again.[160] Stephen then spent the summer attacking some of the new
Angevin castles built the previous year, including Cirencester, Bampton and
Wareham.[161] In September, he spotted an opportunity to seize the Empress
Matilda herself in Oxford.[161] Oxford was a secure town, protected by walls and
the river Isis, but Stephen led a sudden attack across the river, leading the charge
and swimming part of the way.[162] Once on the other side, the king and his men
stormed into the town, trapping the Empress in the castle.[162] Oxford Castle,
however, was a powerful fortress and, rather than storming it, Stephen had to
settle down for a long siege, albeit secure in the knowledge that Matilda was now
surrounded.[162] Just before Christmas, the Empress sneaked out of the castle,
crossed the icy river on foot and made her escape to Wallingford. The garrison
surrendered shortly afterwards, but Stephen had lost an opportunity to capture his
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
principal opponent.[163]
Stalemate (1143-46)
The war between the two sides in England reached a stalemate in the mid-1140s,
while Geoffrey of Anjou consolidated his hold on power in Normandy.[164] 1143
started precariously for Stephen when he was besieged by Robert of Gloucester at
Wilton Castle, an assembly point for royal forces in Herefordshire.[165] Stephen
attempted to break out and escape, resulting in the battle of Wilton. Once again,
the Angevin cavalry proved too strong, and for a moment it appeared that Stephen
might be captured for a second time.[166] On this occasion, however, William
Martel, Stephen's steward, made a fierce rear guard effort, allowing Stephen to
escape from the battlefield.[165] Stephen valued William's loyalty sufficiently to
agree to exchange Sherborne Castle for his safe release-this was one of the few
instances where Stephen was prepared to give up a castle to ransom one his
men.[167]
In late 1143, Stephen faced a new threat in the east, when Geoffrey de Mandeville,
the Earl of Essex, rose up in rebellion against the king in East Anglia.[168] Stephen
had disliked the baron for several years, and provoked the conflict by summoning
Geoffrey to court, where the king arrested him.[169] Stephen threatened to
execute Geoffrey unless the baron handed over his various castles, including the
Tower of London, Saffron Walden and Pleshey, all important fortifications because
they were in, or close to, London.[169] Geoffrey gave in, but once free he headed
north-east into the Fens to the Isle of Ely, from where he began a military
campaign against Cambridge, with the intention of progressing south towards
London.[170] With all of his other problems and with Hugh Bigod still in open
revolt in Norfolk, Stephen lacked the resources to track Geoffrey down in the Fens
and made do with building a screen of castles between Ely and London, including
Burwell Castle.[171]
For a period, the situation continued to worsen. Ranulf of Chester revolted once
again in the summer of 1144, splitting up Stephen's Honour of Lancaster between
himself and Prince Henry.[172] In the west, Robert of Gloucester and his followers
continued to raid the surrounding royalist territories, and Wallingford Castle
remained a secure Angevin stronghold, too close to London for comfort.[172]
Meanwhile, Geoffrey of Anjou finished securing his hold on southern Normandy
and in January 1144 he advanced into Rouen, the capital of the duchy, concluding
his campaign.[160] Louis VII recognised him as Duke of Normandy shortly
after.[173] By this point in the war, Stephen was depending increasingly on his
immediate royal household, such as William of Ypres and others, and lacked the
support of the major barons who might have been able to provide him with
significant additional forces; after the events of 1141, Stephen made little use of
his network of earls.[174]
After 1143 the war ground on, but progressing slightly better for Stephen.[175]
Miles of Gloucester, one of the most talented Angevin commanders, had died whilst
hunting over the previous Christmas, relieving some of the pressure in the
west.[176] Geoffrey de Mandeville's rebellion continued until September 1144,
when he died during an attack on Burwell.[177] The war in the west progressed
better in 1145, with the king recapturing Faringdon Castle in Oxfordshire.[177] In
the north, Stephen came to a fresh agreement with Ranulf of Chester, but then in
1146 repeated the ruse he had played on Geoffrey de Mandeville in 1143, first
inviting Ranulf to court, before arresting him and threatening to execute him
unless he handed over a number of castles, including Lincoln and Coventry.[172]
As with Geoffrey, the moment Ranulf was released he immediately rebelled, but the
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
situation was a stalemate: Stephen had few forces in the north with which to
prosecute a fresh campaign, whilst Ranulf lacked the castles to support an attack
on Stephen.[172] By this point, however, Stephen's practice of inviting barons to
court and arresting them had brought him into some disrepute and increasing
distrust.[178]
England had suffered extensively from the war by 1147, leading to later Victorian
historians terming the conflict the period of "the Anarchy".[nb 20] The Anglo-Saxon
Chronicle recorded how "there was nothing but disturbance and wickedness and
robbery".[180] Certainly in many parts of the country, such as Wiltshire, Berkshire,
the Thames Valley and East Anglia, the fighting and raiding had caused serious
devastation.[181] Numerous "adulterine", or unauthorised, castles had been built
as bases for local lords-the chronicler Robert of Torigny complained that as many
as 1,115 such castles had been built during the conflict, although this was probably
an exaggeration as elsewhere he suggested an alternative figure of 126.[182] The
previously centralised royal coinage system was fragmented, with Stephen, the
Empress and local lords all minting their own coins.[181] The royal forest law had
collapsed in large parts of the country.[183] Some parts of the country, though,
were barely touched by the conflict-for example, Stephen's lands in the south-east
and the Angevin heartlands around Gloucester and Bristol were largely unaffected,
and David I ruled his territories in the north of England effectively.[181] The king's
overall income from his estates, however, declined seriously during the conflict,
particularly after 1141, and royal control over the minting of new coins remained
limited outside of the south-east and East Anglia.[184] With Stephen often based in
the south-east, increasingly Westminster, rather than the older site of Winchester,
was used as the centre of royal government.[185]
The character of the conflict in England gradually began to shift; as historian Frank
Barlow suggests, by the late 1140s "the civil war was over", barring the occasional
outbreak of fighting.[186] In 1147 Robert of Gloucester died peacefully, and the
next year the Empress Matilda left south-west England for Normandy, both of
which contributed to reducing the tempo of the war.[186] The Second Crusade was
announced, and many Angevin supporters, including Waleran of Beaumont, joined
it, leaving the region for several years.[186] Many of the barons were making
individual peace agreements with each other to secure their lands and war
gains.[187] Geoffrey and Matilda's son, the future King Henry II, mounted a small
mercenary invasion of England in 1147 but the expedition failed, not least because
Henry lacked the funds to pay his men.[186] Surprisingly, Stephen himself ended
up paying their costs, allowing Henry to return home safely; his reasons for doing
so are unclear. One potential explanation is his general courtesy to a member of his
extended family; another is that he was starting to consider how to end the war
peacefully, and saw this as a way of building a relationship with Henry.[188]
The young Henry FitzEmpress returned to England again in 1149, this time
planning to form a northern alliance with Ranulf of Chester.[189] The Angevin plan
involved Ranulf agreeing to give up his claim to Carlisle, held by the Scots, in
return for being given the rights to the whole of the Honour of Lancaster; Ranulf
would give homage to both David and Henry Fitzempress, with Henry having
seniority.[190] Following this peace agreement, Henry and Ranulf agreed to attack
York, probably with help from the Scots.[191] Stephen marched rapidly north to
York and the planned attack disintegrated, leaving Henry to return to Normandy,
where he was declared Duke by his father.[192][nb 21]
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
and capable leader. His prestige and power increased further when he
unexpectedly married Eleanor of Aquitaine in 1152; Eleanor was the attractive
Duchess of Aquitaine and the recently divorced wife of Louis VII of France, and the
marriage made Henry the future ruler of a huge swathe of territory across
France.[193]
In the final years of the war, Stephen began to focus on the issue of his family and
the succession.[194] Stephen's eldest son was Eustace and the king wanted to
confirm him as his successor, although chroniclers recorded that Eustace was
infamous for levying heavy taxes and extorting money from those on his lands.[195]
Stephen's second son, William, was married to the extremely wealthy heiress
Isabel de Warenne.[196] In 1148, Stephen built the Cluniac Faversham Abbey as a
resting place for his family. Both Stephen's wife, Queen Matilda, and his older
brother Theobald died in 1152.[197]
Stephen's relationship with the church deteriorated badly towards the end of his
reign.[198] The reforming movement within the church, which advocated greater
autonomy from royal authority for the clergy, had continued to grow, while new
voices such as the Cistercians had gained additional prestige within the monastic
orders, eclipsing older orders such as the Cluniacs.[198] Stephen's dispute with
the church had its origins in 1140, when Archbishop Thurstan of York died. An
argument then broke out between a group of reformers based in York and backed
by Bernard of Clairvaux, the head of the Cistercian order, who preferred William of
Rievaulx as the new archbishop, and Stephen and his brother Henry of Blois, who
preferred various Blois family relatives.[199] The row between Henry and Bernard
grew increasingly personal, and Henry used his authority as legate to appoint his
nephew William of York to the post in 1144 only to find that, when Pope Innocent II
died in 1145, Bernard was able to get the appointment rejected by Rome.[200]
Bernard then convinced Pope Eugene III to overturn Henry's decision altogether in
1147, deposing William, and appointing Henry Murdac as archbishop instead.[201]
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refused to release them unless they agreed to crown Eustace.[207] Theobald
escaped again into temporary exile in Flanders, pursued to the coast by Stephen's
knights, marking a low point in Stephen's relationship with the church.[207]
Henry FitzEmpress returned to England again at the start of 1153 with a small
army, supported in the north and east of England by Ranulf of Chester and Hugh
Bigod.[208] Stephen's castle at Malmesbury was besieged by Henry's forces and
the king responded by marching west with an army to relieve it.[209] Stephen
unsuccessfully attempted to force Henry's smaller army to fight a decisive battle
along the river Avon.[209] In the face of the increasingly wintry weather, Stephen
agreed to a temporary truce and returned to London, leaving Henry to travel north
through the Midlands where the powerful Robert de Beaumont, Earl of Leicester,
announced his support for the Angevin cause.[209] Despite only modest military
successes, Henry and his allies now controlled the south-west, the Midlands and
much of the north of England.[210]
Over the summer, Stephen intensified the long-running siege of Wallingford Castle
in a final attempt to take this major Angevin stronghold.[211] The fall of
Wallingford appeared imminent and Henry marched south in an attempt to relieve
the siege, arriving with a small army and placing Stephen's besieging forces under
siege themselves.[212] Upon news of this, Stephen gathered up a large force and
marched from Oxford, and the two sides confronted each other across the River
Thames at Wallingford in July.[212] By this point in the war, the barons on both
sides seem to have been eager to avoid an open battle.[213] As a result, instead of
a battle ensuing, members of the church brokered a truce, to the annoyance of
both Stephen and Henry.[213]
In the aftermath of Wallingford, Stephen and Henry spoke together privately about
a potential end to the war; Stephen's son Eustace, however, was furious about the
peaceful outcome at Wallingford. He left his father and returned home to
Cambridge to gather more funds for a fresh campaign, where he fell ill and died
the next month.[214] Eustace's death removed an obvious claimant to the throne
and was politically convenient for those seeking a permanent peace in England. It
is possible, however, that Stephen had already begun to consider passing over
Eustace's claim; historian Edmund King observes that Eustace's claim to the throne
was not mentioned in the discussions at Wallingford, for example, and this may
have added to Stephen's son's anger.[215]
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and Henry sealed the treaty with a kiss of peace in the cathedral.[220]
Death
Stephen's decision to recognise Henry as his heir was, at the time, not necessarily
a final solution to the civil war.[221] Despite the issuing of new currency and
administrative reforms, Stephen might potentially have lived for many more years,
whilst Henry's position on the continent was far from secure.[221] Although
Stephen's son William was young and unprepared to challenge Henry for the
throne in 1153, the situation could well have shifted in subsequent years-there
were widespread rumours during 1154 that William planned to assassinate Henry,
for example.[222] Historian Graham White describes the treaty of Winchester as a
"precarious peace", capturing the judgement of most modern historians that the
situation in late 1153 was still uncertain and unpredictable.[223]
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of the chronicles carry some bias for or against Stephen, Robert of Gloucester or
other key figures in the conflict.[235] Those writing for the church after the events
of Stephen's later reign, such as John of Salisbury for example, paint the king as a
tyrant due to his argument with the Archbishop of Canterbury; by contrast, clerics
in Durham regarded Stephen as a saviour, due to his contribution to the defeat of
the Scots at the battle of the Standard.[236] Later chronicles written during the
reign of Henry II were generally more negative: Walter Map, for example,
described Stephen as "a fine knight, but in other respects almost a fool."[237] A
number of charters were issued during Stephen's reign, often giving details of
current events or daily routine, and these have become widely used as sources by
modern historians.[238] Historians in the "Whiggish" tradition that emerged during
the Victorian period traced a progressive and universalist course of political and
economic development in England over the medieval period.[239] William Stubbs
focused on these constitutional aspects of Stephen's reign in his 1874 volume the
Constitutional History of England, beginning an enduring interest in Stephen and
his reign.[240] Stubbs' analysis, focusing on the disorder of the period, influenced
his student John Round to coin the term "the Anarchy" to describe the period, a
label that, whilst sometimes critiqued, continues to be used today.[241][nb 23] The
late-Victorian scholar Frederic William Maitland also introduced the possibility that
Stephen's reign marked a turning point in English legal history-the so-called
"tenurial crisis".[240] Stephen remains a popular subject for historical study: David
Crouch suggests that after King John he is "arguably the most written-about
medieval king of England".[243] Modern historians vary in their assessments of
Stephen as a king. Historian R. H. Davis's influential biography paints a picture of
a weak king: a capable military leader in the field, full of activity and pleasant, but
"beneath the surface mistrustful and sly", with poor strategic judgement that
ultimately undermined his reign.[244] Stephen's lack of sound policy judgement
and his mishandling of international affairs, leading to the loss of Normandy and
his consequent inability to win the civil war in England, is also highlighted by
another of his biographers, David Crouch.[245] Historian and biographer Edmund
King, whilst painting a slightly more positive picture than Davis, also concludes
that Stephen, while a stoic, pious and genial leader, was also rarely, if ever, his
own man, usually relying upon stronger characters such as his brother or
wife.[246] Historian Keith Stringer provides a more positive portrayal of Stephen,
arguing that his ultimate failure as king was the result of external pressures on the
Norman state, rather than the result of personal failings.[247]
Popular representations
Main article: Cultural depictions of Stephen of England
Stephen and his reign have been occasionally used in historical fiction. Stephen
and his supporters appear in Ellis Peters' historical detective series Brother
Cadfael, set between 1137 and 1145.[248] Peters' depiction of Stephen's reign is
an essentially local narrative, focused on the town of Shrewsbury and its
environs.[248] Peters paints Stephen as a tolerant man and a reasonable ruler,
despite his execution of the Shrewsbury defenders after the taking of the city in
1138.[249] In contrast, Stephen is depicted in both Ken Follett's historical novel
The Pillars of the Earth and TV mini-series as a conniving villain. Although Follett
begins his book with Austin Poole's account of the sinking of the White Ship to set
the historical scene for the subsequent events, in many other ways Follett uses
Stephen's reign as a location for a story about essentially modern personalities and
issues, a feature reproduced in the epic costume TV adaptation.[250]
Issue
Stephen of Blois married Matilda of Boulogne in 1125. They had the following
issue: 1.Eustace (c. 1130 - 1153), who succeeded his parents as Count Eustace IV
of Boulogne 2.Matilda (died before 1141), betrothed to Waleran de Beaumont, 1st
Earl of Worcester 3.Marie (1136-1182), who succeeded as Countess Marie I of
Boulogne 4.Baldwin (died before 1135) 5.William (c. 1137 - 1159), who succeeded
as Count William I of Boulogne
King Stephen's illegitimate children by a certain Damette were: 1.Gervase, Abbot
of Westminster 2.Ralph 3.Americ
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Notes
1.^ Opinions vary considerably among historians as to the date of Stephen's birth.
R. H. Davis proposes 1096, King 1092.[1] 2.^ Adela was one of the major reasons
for Stephen-Henry deciding to return to the Levant in 1101; Edmund King notes
that she gave her husband "very active encouragement" to return; Christopher
Tyerman more colourfully describes how she "waged an incessant campaign of
bullying and moral blackmail, her nagging extending to their bedroom, where,
before intercourse, she would urge her disgraced husband to consider his
reputation and return to the Holy Land".[5] 3.^ Stephen's brother William was
described by chroniclers as being "deficient in intelligence second rate"; he also
took a strange oath in Chartres Cathedral to kill the local bishop. The precise
difficulties or condition remain unclear.[9] 4.^ Contemporary chroniclers varied in
their explanation for Stephen's absence from the White Ship, Orderic gives his
illness as the reason.[24] 5.^ There has been extensive speculation as to the cause
of the sinking of the White Ship. Some theories centre on overcrowding, while
others blame excessive drinking by the ship's master and crew.[24] 6.^ Modern
historians, such as Edmund King, doubt that Hugh Bigod was being truthful in his
account.[54] 7.^ Opinions vary over the degree to which Stephen's acquisition of
power resembled a coup. Frank Barlow, for example, describes it as a
straightforward coup d'état; King is less certain that this is an appropriate
description of events.[56] 8.^ The events in Normandy are less well recorded than
elsewhere, and the exact sequence of events less certain. Historian Robert
Helmerichs, for example, describes some of the inconsistencies in these accounts.
Some historians, including David Crouch and Helmerichs, argue that Theobald and
Stephen had probably already made a private deal to seize the throne when Henry
died.[61] 9.^ The nature of Henry's administration and the links between England
and Normandy have been hotly debated by historians. C. Warren Hollister, for
example, argues that Henry I created a balanced, well-functioning political system
beneath him, balancing the different tensions in England and Normandy, an
analysis broadly shared by Frank Barlow. By contrast, David Carpenter draws more
attention to the pressures on the Anglo-Norman system during Henry's reign and
the strains that built up during the period. Marjorie Chibnall's analysis of
Normandy during these years notes both the distinctive aspects of Normandy
politics, the pressure on the cross-Channel relationship and the persisting ties
between the English and Norman elites.[66] 10.^ Geoffrey of Anjou appears to
have agreed to this at least partially because of the pressure of the combined
Anglo-Norman-French regional alliance against him.[87] 11.^ Medieval financial
figures are notoriously hard to convert into modern currency; for comparison,
2,000 marks equated to around £1,333 in a period in which a major castle
rebuilding project might cost around £1,115.[88] 12.^ David I was related to the
Empress Matilda and to Matilda of Boulogne through his mother, Queen Margaret.
13.^ R. Davis and W. L. Warren argue that the typical earldom involved the
delegation of considerable royal powers; Keith Stringer and Judith Green capture
the current consensus that the degree of delegated powers followed the degree of
threat, and that perhaps less powers in total were delegated than once
thought.[107] 14.^ The impact of these arrests on the efficacy of the subsequent
royal administration and the loyalty of the wider English church has been much
discussed. Kenji Yoshitake represents the current academic consensus when he
notes that the impact of the arrests "was not serious", placing the beginning of the
disintegration of the royal government at the subsequent battle of Lincoln.[114]
15.^ Keith Stringer argues that Stephen "was surely right" to seize the castles, and
that the act was a "calculated display of royal masterfulness"; Jim Bradbury and
Frank Barlow praise the military soundness of the tactic. David Carpenter and R.
Davis, however, observe that Stephen had ended up breaking his promises to the
Church, was forced to appear before a church court, and damaged his relationship
with Henry of Blois, which would have grave implications in 1141.[117] 16.^
Edmund King disagrees about that the Empress received an invitation to Arundel,
arguing that she appeared unexpectedly.[119] 17.^ "Chivalry" was firmly
established as a principle in Anglo-Norman warfare by the time of Stephen; it was
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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
not considered appropriate or normal to execute elite prisoners and, as historian
John Gillingham observes, neither Stephen nor the Empress Matilda did so except
where the opponent had already breached the norms of military conduct.[124]
18.^ David Crouch argues that in fact it was the royalist weakness in infantry that
caused their failure at Lincoln, proposing the city militia was not as capable as
Robert's Welsh infantry.[138] 19.^ The degree to which Stephen's supporters at
the battle of Lincoln simply fled, wisely retreated or in fact actively betrayed him to
the enemy has been extensively debated.[142] 20.^ As described below, the term
"the Anarchy" as a label for this conflict originates with the Victorian scholar John
Round.[179] 21.^ Edmund King believes the attack never got close to York; R.
Davis believes that it did and was deterred by the presence of Stephen's
forces.[192] 22.^ Historian Keith Stringer argues that Theobald was also probably
thinking about an eventual peace treaty in England involving Henry Fitzempress,
and that he may have seen the coronation of Eustace only as a guarantee of further
civil war after Stephen's death.[205] 23.^ Jim Bradbury provides an accessible
summary of the argument as to the extent of "the Anarchy".[242]
[edit] References
1.^ a b c Davis, p.1; King (2010), p.5. 2.^ Davis, p.1. 3.^ a b c Davis, p.4. 4.^ a b c
d King (2010), p.5. 5.^ King (2010), p.7; Tyerman, p.171. 6.^ Duby, p.192; Barlow,
p.111. 7.^ Carpenter, p.137. 8.^ Barlow, p.111; Koziol, p.17; Thompson, p.3. 9.^
Davis, p.4; King (2010), p.8. 10.^ King (2010), p.5; Davis, p.5. 11.^ King (2010),
p.9; Crouch (2002), p.241. 12.^ Huscroft, p.69. 13.^ a b Huscroft, p.70. 14.^ a b
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-3835-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
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Hale, The New York Times, published 22 July 2010, accessed 15 May 2011
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Stephen_of_England
Il doit être écarté comme père possible d' Eustachie de Champagne (voir
Notes sur sa fiche).
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice); J-P de Palmas (wikipedia) viii 2010
- família 1: J-P de Palmas (Edmund King, « Stephen (c.1092–1154) », Oxford
Dictionary of National Biography, Oxford University Press, Sept 2004; édition en
ligne, octobre 2006)
- casament 2: J-P de Palmas (auréjac et web)
- família 2: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-P de Palmas (wikipedia)
- família 3: J-P de Palmas (wikipedia) viii 2010
11.894.327:
Mathilde de Boulogne[1] (vers 1103, Boulogne – 3 mai 1152), fut comtesse de
Boulogne de 1125 à 1151 de jure, et par mariage comtesse de Mortain, duchesse
de Normandie et reine consort d'Angleterre. Elle fut une actrice effective et
vigoureuse dans le conflit qui opposa son mari Étienne d'Angleterre à Mathilde
l'Emperesse.
Biographie
Elle est la fille d'Eustache III († v. 1125), comte de Boulogne, et de la princesse
Marie d'Écosse, elle-même fille de Malcolm III d'Écosse et de Sainte Marguerite
d'Écosse. Elle est parente des rois de Jérusalem, des rois d'Écosse et des comtes de
Flandre[2]. Elle descend directement de Charlemagne par son père, et d'Ethelred
le Malavisé par sa mère[2].
En 1125, elle épouse Étienne de Blois (vers 1096-1154), comte de Mortain[3]. Ce
mariage apporte à Étienne une richesse considérable, bien que, en tant que
protégé d'Henri Ier d'Angleterre, il soit déjà très riche[3]. Mais elle lui apporte
surtout une énergie et une détermination dont Étienne manque souvent[2].
Son père, Eustache III, abdique en sa faveur et se retire dans la vie monastique
tout de suite après le mariage[3]. Elle lui succède donc à la tête du comté de
Boulogne, et hérite d'un large fief en Angleterre centré sur l'Essex[3]. Elle dirige ce
comté conjointement avec son mari jusqu'en 1146-1147, date à laquelle il est
transmis à leur fils Eustache[3].
À la mort du roi d'Angleterre Henri Ier en 1135, Étienne s'empare du trône promis
à sa cousine Mathilde l'Emperesse. Il devient donc duc de Normandie et roi
d'Angleterre. Mathilde sera alors toujours désignée comme reine d'Angleterre, bien
qu'il n'existe aucune preuve qu'elle ait été formellement couronnée[3]. Elle
s'implique fortement dans la gestion du royaume. Sa connaissance de la géo-
politique continentale est importante pour Étienne[3]. En tant que comtesse de
Boulogne, elle a aussi le contrôle d'une importante flotte et des relations
privilégiées avec bon nombre d'acteurs importants sur le continent[3]. C'est par
son entremise que Guillaume d'Ypres et ses mercenaires flamands entrent au
service de son mari[3].
La guerre civile entre les partisans du roi et ceux de Mathilde l'Emperesse (le parti
angevin) s'ensuit et dure pratiquement tout le règne d'Étienne. En 1138, elle dirige
le siège du château de Douvres qui est tenu par des rebelles, menés par Vauquelin
Maminot, supportant l'Emperesse[3]. Elle demande à ses vassaux de Boulogne de
bloquer le port de Douvres, obligeant la garnison à se rendre[3]. À la Noël 1138,
-3836-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
elle reprend le processus de paix entre l'Écosse et l'Angleterre qui s'éternisait. Elle
mène les négociations, au nom de son mari, avec son oncle David Ier d'Écosse[4].
Les termes du traité de Durham sont ratifiés le 9 avril 1139.
En 1140, elle arrange une alliance avec la France en mariant son fils Eustache à
Constance, la fille de Louis VI[3]. Lors de la conférence de Bath elle discute des
perspectives de paix avec Robert de Gloucester[2].
Après la capture d'Étienne, à la bataille de Lincoln, elle prend la tête de son parti,
aidée par le capitaine de ses mercenaires Guillaume d'Ypres. Son rôle est crucial
dans le sauvetage de la cause de son mari : elle persuade Geoffrey de Mandeville et
d'autres barons de revenir dans son camp[3] ; elle réussit à faire revenir son beau-
frère Henri, évêque de Winchester dans le camp de son frère[2],[3] ; elle s'attire
les faveurs des Londoniens, qui se retournent contre l'Emperesse et la chasse,
alors que celle-ci est incapable de concrétiser sa position de force sur le royaume
en se faisant couronner[2],[3].
Quand Henri de Blois est assiégé à Winchester, elle rallie ses troupes et assiège les
assiégeants[3]. Après la bataille de Winchester qui s'ensuit, Robert de Gloucester,
le capitaine du parti angevin, est capturé. Son mari est échangé quelques mois plus
tard avec Robert de Gloucester. Plus tard, elle essaie d'assurer la succession sur le
trône de son fils en le faisant couronner[3]. Quand l'archevêque de Cantorbéry
Thibaut du Bec s'y oppose, il est expulsé d'Angleterre[3]. Elle lui fournit un refuge
à Saint-Omer[3]. Son influence lui permet d'obtenir du pape la permission de
couronner Eustache[3].
Dans les dernières années de sa vie, elle se consacre à la vie religieuse[3]. Elle est
une bienfaitrice des templiers et permet l'installation des premiers chanoines
arrouasiens en Angleterre[3]. Ses réalisations principales, conjointement avec
Étienne, sont la fondation de l'abbaye clunésienne de Faversham (Kent, vers 1148)
et l'abbaye cistercienne de Coggeshall (Essex, en 1140)[3]. Elle fonde aussi le
couvent de Lillechurch pour sa fille Marie de Blois, l'hôpital de Sainte-Catherine
près de la Tour de Londres[3]. Marie devra quitter les ordres pour reprendre
l'héritage familial[3].
Références
1. ou Mahaut, Maud.
2. a, b, c, d, e et f Christopher Tyerman, « Mathilda of Boulogne », dans
Who's Who in Early Medieval England, 1066-1272, Éd. Shepheard-
Walwyn, 1996, p. 134-135.
3. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z et aa
Marjorie Chibnall, « Matilda (c.1103–1152) », Oxford Dictionary of
National Biography, Oxford University Press, 2004.
4. David Crounch, The Reign of King Stephen, 1135-1154, Éd. Longman,
2000, p. 89. (ISBN 0582226589).
5. Comtes de Boulogne [archive] sur Medieval Lands.
6. ↑ Edmund King, « Stephen (c.1092–1154) », Oxford Dictionary of National
Biography, Oxford University Press, Sept 2004; online edn, Oct 2006.
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), M.Rérolle (Courtépée, Description du duché de
Bourgogne, 2e éd., t. 3, p. 129) 8/7/06
- defunció: J-P de Palmas (auréjac)
- casament: J-P de Palmas (auréjac et web)
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-P de Palmas (wikipedia)
11.894.327a:
Il doit être écarté comme père possible d' Eustachie de Champagne (voir
Notes sur sa fiche).
Fonts:
- família 2: J-C de Vaugiraud (Hypothèse d'attache par Evans cité par Medieval
genealogy) 14 x 2011
11.894.327c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas
11.894.327d:
Guillaume de Blois (vers 1137 – 10 août 1159), fut comte de Boulogne, de Mortain
et de Surrey de 1154 à 1159.
Il était fils cadet d'Étienne de Blois, comte de Mortain, puis duc de Normandie, roi
d'Angleterre, et de Mathilde, comtesse de Boulogne.
En 1153, à la mort de son frère aîné, il hérite du comté de Boulogne, mais son père
Etienne fait la paix avec son cousin Henri II Plantagenêt afin de mettre fin à la
guerre civile qui dure depuis 18 ans. Par le traité de Wallingford, Guillaume perd
tout droit à la couronne d'Angleterre, et son père adopte le futur Henri II, le
désignant comme son héritier et successeur. Le nouveau roi, en accord avec le
traité lui confirme la possession du comté de Surrey et des terres baronniales qui
appartenaient à son père.
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tompsett), G.Marsan (http://www.genealogie33.org)
- família: Renaud de Paysac (Tompsett)
11.894.327-3a:
Gervase of Blois was the Abbot of Westminster in England between c.1138 to
c.1157. Historically Gervase has had a bad reputation for mismanaging the abbey,
although modern historians have re-evaluated his performance as abbot.
Description
Gervase of Blois was the illegitimate son of King Stephen of England and his
mistress, Damette. His father ensured that he was appointed as the Abbot of
Westminster Abbey in the second half of 1138; the abbey would have hoped to
-3838-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
receive additional royal funding as a result. Gervase was very young to be
appointed abbot, but despite this probably attended the Second Lateran Council
the following year. Working with the Prior Osbert of Clare, Gervase unsuccessfully
attempted to have King Edward the Confessor canonized; the abbey held the
remains of the king which would have brought in valuable pilgrims had it been
canonised.
Pope Innocent II ordered Gervase to reform the estate management of the abbey;
historians have disagreed over the years about whether the pope was referring to
long-standing issues of malpractice, or ones that had appeared during his term of
office. Pope Eugenius III appears to have thought Gervase a reasonable abbot,
granting the abbey privileges in the 1140s, and Gervase got on well with his fellow
senior clergy.
In 1154, however, Stephen died, being replaced by his nephew, Henry II, putting
Gervase's position at risk. Gervase was accused by Henry of mishandling the
abbey's estates and he was dismissed from post in 1157, albeit without trial, dying
shortly afterwards. He was replaced by Master Laurence from Durham, a
supporter of the new king.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wikipediax) 9 xii 2015
11.894.327-3b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas
11.894.328:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família 1: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05
11.894.329:
Judith of Bavaria, Duchess of Swabia (1103 - 22 February 1131[1]) was a member
of the powerful German House of Welf, being the eldest daughter of Henry IX of
Bavaria and Wulfhild of Saxony. Sometime between 1119 and 1121, she married
Frederick II, Duke of Swabia. She was the mother of Frederick I, Holy Roman
Emperor, known to history as Barbarossa.
Family
Judith was born in 1103, the eldest daughter of Henry IX, Duke of Bavaria and
Wulfhild of Saxony, daughter of Magnus, Duke of Saxony and Sophia of Hungary.
She had three brothers Henry X, Duke of Bavaria, Conrad, and Welf; and three
sisters, Sophia, Matilda, and Wulfhild. The Historia Welforum names in order
Iuditham, Mahtildem, Sophium, and Wulfildem as the four daughters of Henricus
dux ex Wulfilde.[2] This is evidence that Judith was the eldest daughter. She had in
addition to her seven legitimate siblings, one half-brother, Adalbert, born of her
father's relationship with an unnamed mistress.
On an unknown date between 1119 and 1121, she married as his first wife,
Frederick II, Duke of Swabia (1090 - 6 April 1147); this dynastic marriage united
the House of Welf and the House of Hohenstaufen, the two most powerful and
influential families in Germany. The Historia Welforum specified that Judith
married Friderico Suevorum duci,[3] but did not mention the date.
-3839-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Together they had two children:[4] Frederick I Barbarossa, Holy Roman Emperor
(1122 - 10 June 1190), married on 9 June 1156 Beatrice I, Countess of Burgundy,
by whom he had 12 children. Bertha (Judith) of Swabia (1123 - 18 October 1194/25
March 1195), married in 1138[5] Matthias I, Duke of Lorraine, by whom she had
seven children.
In 1125, her father initially supported the candidacy of her husband to succeed
Emperor Henry V as King of Germany, however he eventually switched his support
to Lothar III, Holy Roman Emperor. The defection of Judith's father created an
enmity between the Welfs and the Swabians that would have far-reaching
consequences in Germany which would last throughout the 12th century.[6] It is
not known how this affected relations between Judith and her husband. It is
curious to note that no further children were born to the couple after the birth of
their daughter Bertha in 1123.
Death
She died on 22 February 1131 and was buried at Waldburg in Heiligen Forst,
Alsace.[7] Shortly after Judith's death Frederick married as his second wife, Agnes
of Saarbrücken
References 1.^ Charles Cawley, Medieval Lands, Bavaria, Dukes 2.^ Cawley 3.^
Cawley 4.^ Cawley 5.^ www.thePeerage.com 6.^ Cawley 7.^ Cawley Charles
Cawley, Medieval Lands, Bavaria, Dukes
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Judith_of_Bavaria,_Duchess_of_Swabia
Fonts:
- família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05
11.894.329c:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05
11.894.329-2b:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ Bo Lindwall
11.894.330:
Renaud III (1102-1148) et Guillaume IV (1102-1155), les deux frères héritent de
leur père Étienne Ier, et partagent le pouvoir avec leurs cousins, Guillaume II
(1105-1125) et Guillaume III (1125-1127), le fils et le petit-fils de Renaud II.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (comtes de Mâcon) v-2009
11.894.332:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Table d'ascendance de Catherine Baillon, Société
Généalogique Canadienne-Française)., R.Dewkinandan> WW-2
- família: F-L. Jacquier (Table d'ascendance de Catherine Baillon, Société
Généalogique Canadienne-Française)., R.Dewkinandan> WW-2
-3840-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.333:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Table d'ascendance de Catherine Baillon, Société
Généalogique Canadienne-Française)., L. Gustavsson
- família: F-L. Jacquier (Table d'ascendance de Catherine Baillon, Société
Généalogique Canadienne-Française)., R.Dewkinandan> WW-2
11.894.333a:
Alexius III Angelus, Byzantine emperor, was the second son of Andronicus Angelus,
nephew of Alexius I.
In 1195, while his brother Isaac II was away hunting in Thrace, he was proclaimed
emperor by the troops; he captured Isaac at Stagira in Macedonia, put out his eyes,
and kept him henceforth a close prisoner, though he had been redeemed by him
from captivity at Antioch and loaded with honours.
To compensate for this crime and to confirm his position as emperor, he had to
scatter money so lavishly as to empty his treasury, and to allow such licence to the
officers of the army as to leave the Empire practically defenceless. He
consummated the financial ruin of the state. The able and forceful empress
Euphrosyne Doukaina Kamaterina tried in vain to sustain his credit and his court;
Vatatzes, the favourite instrument of her attempts at reform, was assassinated by
the emperor's orders.
Eastward the Empire was overrun by the Seljuk Turks; from the north Bulgarians
and Vlachs descended unchecked to ravage the plains of Macedonia and Thrace;
while Alexius squandered the public treasure on his palaces and gardens. Soon he
was threatened by a new and yet more formidable danger. In 1202 the Western
princes of the Fourth Crusade assembled at Venice, bent on a new crusade.
Alexius, son of the deposed Isaac, escaped from Constantinople and appealed to
the crusaders, promising as a crowning bribe to heal the schism of East and West if
they would help him to depose his uncle.
The crusaders, whose objective had been Egypt, were persuaded to set their course
for Constantinople, before which they appeared in June 1203, proclaiming Alexius
as emperor Alexius IV and summoning the capital to depose his uncle. Alexius III,
sunk in debauchery, took no efficient measures to resist. His son-in-law, Lascaris,
who was the only one to do anything, was defeated at Scutari, and the siege of
Constantinople began. On the July 17 the crusaders, the aged doge Enrico Dandolo
at their head, scaled the walls and took the city by storm. During the fighting and
carnage that followed Alexius hid in the palace, and finally, with one of his
daughters, Irene, and such treasures as he could collect, got into a boat and
escaped to Develton in Thrace, leaving his wife, his other daughters and his Empire
to the victors. Isaac, drawn from his prison and robed once more in the imperial
purple, received his son in state.
Shortly afterwards Alexius made an effort in conjunction with Murtzuphlos (Alexius
V) to recover the throne. The attempt was unsuccessful and, after wandering about
Greece, he surrendered with Euphrosyne, who had meanwhile joined him, to
Boniface of Montferrat, then master of a great part of the Balkan peninsula (the so-
called Kingdom of Thessalonica). Leaving his protection he sought shelter with
Michael, despot of Epirus, and then repaired to Asia Minor, where his son-in-law
Lascaris was holding his own against the Latins.
Alexius, joined by Kay Khusrau I, the sultan of Rüm (also called the sultan of
Iconium or Konya), now demanded the crown of Lascaris, and on his refusal
marched against him. Lascaris, however, defeated and took him prisoner. Alexius
was relegated to a monastery at Nicaea, where he died on some date unknown.
http://en.wikipedia.org/wiki/Alexius_III_Angelus
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Table d'ascendance de Catherine Baillon, Société
Généalogique Canadienne-Française)., R.Dewkinandan> WW-2 , Manuel Abranches
de Soveral
-3841-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: F-L. Jacquier (Table d'ascendance de Catherine Baillon, Société
Généalogique Canadienne-Française).
11.894.333c:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2
11.894.333d:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2
11.894.333e:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
11.894.333f:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
11.894.333g:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
11.894.333h:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2
11.894.334:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
11.894.335:
Filiation donnée par
http://fabpedigree.com/s007/f010386.htm
We know that Aspae was a relative of Katae (prince Isaakios Komnenos's wife) and
probably born in Ossetia. So, she probably was her niece, daughter of Jandarom
and Rusudan. But isn't proved.
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
11.894.335a:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: L.Orlandini
-3842-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.335b:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
11.894.336:
Obtient du Roi, vers 1167, le château de Bridiers (avec son frère Foulques).
Fonts:
- persona: Jean-Pierre de Palmas (Généalogie Prévost - La Chesnaye des Bois -
Chérin ) 13.11.2008, J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006
- família: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006, Jean-Pierre de
Palmas (Généalogie Prévost - La Chesnaye des Bois - Chérin ) 13.11.2008
11.894.337:
Aussi nommée Philiberte la Pastoresse et soeur de Pierre, prévôt de Salles d'après
Beauchet-Filleau. Et aussi être Philiberte dite Pastoresse Prevôt de Sansac par
Edouard de Saint Phalle (HG 1999 p 167); épousa Bernard de Brosse, vicomte de
Limoges.
La source d'Edouard de Saint Phalle a été puisée chez René Chatreix dans "La
vicomté de Bridiers" pp 11/29, Guéret 1967.
JBLG 20/2/2016
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006, J-P de Palmas
(Généalogie Prévost - La Chesnaye des Bois - Chérin)
- família: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006, Jean-Pierre de
Palmas (Généalogie Prévost - La Chesnaye des Bois - Chérin ) 13.11.2008
11.894.340:
Armes : « D'or au franc quartier de gueules, semé de fleurs de lys d'azur. »
Il succède à son frère Guillaume Ier disparu jeune. En 1156 il attaque et dévaste la
terre de son voisin du nord, Berlai de Montreuil. Ensuite il est aux côtés de
Geoffroi Plantagenet, des comtes de La Marche et d'Angoulême et du seigneur de
Lusignan qui s'opposent au frère de Geoffroy Plantagenêt, le roi Henri II
Plantagenêt. Ce dernier s'empare des châteaux de Chinon, Loudun et Mirebeau.
Geoffroy Plantagenêt s'incline. Henri II se présente alors devant Thouars le 16 août
1158, la garnison capitule (elle a été achetée) et le vicomte de Thouars est obligé
de s'enfuir à Puy-Béliard.
Le château est rasé et la ville dotée d'un gouverneur, Briant de Martigné. Il le reste
jsqu'à sa mort en 1160 et Aimery de Bernezay lui succède comme gouverneur.
Henri II Plantagenêt résida quelque temps à Thouars. Enfin le vicomte Geoffroy IV
fait sa soumission en 1160 et revient dans sa ville. Il engage la reconstruction de la
forteresse et part ensuite en pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle. En 1168
de nombreux seigneurs poitevins se soulèvent contre Henri II Plantagenet.
Évidemment le vicomte de Thouars est de la partie en compagnie du seigneur de
Lusignan, du comte d'Angoulême et du comte de la Marche. Henri II s'empare du
château de Lusignan et tout ce beau monde se soumet.
Geoffroy IV de Thouars mourut peu après en 1173 après avoir reçu l'extrême
-3843-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
onction de l'abbé Bernard, du monastère de Saint Jouin de Marnes.
Il épousa Aimée de Lusignan (fille de Hugues VII le Brun et de Sarrazine) qui lui
donna neuf enfants dont :
GEOFFROY [V] de Thouars, son of AIMERY [VI] Vicomte de Thouars & his wife
Mathilde [Agnes] de Poitou (-1173 or after). His parentage is confirmed by an
undated charter which records that "Goffridus frater Willelmi vicecomitis Toarcii"
consents to all the donations to the abbey of l'Absie of "fratrum suorum Wilelmi et
Widonis"[1638]. Vicomte de Thouars.
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé), J-P.de Palmas (wikipedia, pour les
Notes et FMG) 3 iv 2013
- família: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de
Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P de Palmas (wikipedia) x2009
11.894.341:
Fonts:
- persona: N.Chardiny ( pierfit ) 28 xi 2009, F d'Avigneau (geneanet adecarne)
- família: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de
Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P de Palmas (wikipedia) x2009
11.894.341a:
Teste et fait des dons à l'Absie le 2° jour après la Saint Michel 1211.
A cette date pas de vicomte Aimery fils du vicomte Geoffroy (mais plutôt de
Guillaume) ?
-3844-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (BF Chausseroye) 06/09/2006
- família: J-C de Vaugiraud (BF Chausseroye) 06/09/2006
11.894.341c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet : "La question de la succession dans la famille
de Thouars" in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006
11.894.341d:
Illustration : Porte Est du château de Chemillé (Maine-et-Loire), située entre deux
maisons sur la place du Château, seul vestige subsistant de la forteresse
médiévale.
Profession : En droit féodal, le baillistre est celui qui a la garde et la tutelle des
enfants nobles durant leur minorité ainsi que du fief.
En l'occurence, il fut gouverneur du duché de Bretagne de 1203 à 1206 au nom de
sa fille Alix.
Biographie
En 1203, il succéda, en qualité de tuteur de sa fille Alix, en tant que régent, à son
beau-fils Arthur Ier, assassiné le 5 avril par Jean sans Terre, mais Philippe II
Auguste, roi de France, usa de son influence pour Alix au capétien Pierre Mauclerc
quoiqu'elle ait été antérieurement fiancée au jeune Henri d'Avaugour.
À partir de 1207, Guy de Thouars fait construire le premier château dit « de la Tour
Neuve » au pied de l'enceinte gallo-romaine de la ville alors circonscrit à l'actuel
quartier du Bouffay, remplaçant ainsi le château du Bouffay. Il s'agit d'une tour
circulaire en schiste de vingt mètres de diamètre. Guy de Thouars cherche à
affirmer le pouvoir des ducs face à celui des évêques de Nantes. Élément essentiel
du système défensif de la ville, il protège un bras de la Loire, lieu d'intenses
activités commerciales
-3845-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Pantin, Pierre Mauclerc est excommunié par Etienne de La Bruère.
[1642] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1196, MGH SS XXIII, p. 873.
-3846-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1644] Guizot, M. (ed.) (1825) Chronique de Guillaume de Nangis (Paris), p. 89.
[1645] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1185, MGH SS XXIII, p. 859.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) x2009
- família 1: J-P de Palmas (wikipedia) x2009
- família 2: F d'Avigneau (G de Raignac, de Châteaux en Logis, tome III)
11.894.341e:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet : "La question de la succession dans la famille
de Thouars" in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006
11.894.342:
GUY [IV] de Laval (-23 Dec [1180/85], bur Abbaye de Clermont). A charter dated
1142 confirms the foundation of the priory of Plessis-Milcent by "Guido de Lavalle"
and completed after his death by "filius eius Guido", with the consent of "matre sua
Ama et Gervasio avunculo suo"[490]. He succeeded his father as Sire de Laval. A
charter issued by the monks of Marmoutier dated 1150 records the
excommunication of Guy de Laval[491]. He called himself "Guido quintus" in a
charter dated to [1150] under which he donated profits from a fair to the Knights
Hospitallers of Jerusalem[492]. "Wido dominus Lavallis" confirmed a donation by
"Guido antecessor meus" to the priory of Gennes by charter dated to [1150],
witnessed by "domina Lavallis, Emma, uxor eiusdem Guidonis…"[493]. "Guy de
Laval" founded the abbey of Clermont, with the consent of "Emma sa mère,
d´Hamon son frère, alors malade", by charter dated 1152[494]. "Guido Lavallensis
dominus" donated property to Savigny by charter dated to [1153/62], witnessed by
"…domina Emma matre mea…"[495]. "Guido Lavallensis dominus" relinquished the
parish of la Gravelle to Marmoutier, with the advice of "fratris mei Hamonis, et
uxoris mee Agathe et filiorum meorum Guidonis atque Sicilie", by charter dated to
[1142/85][496]. "Guido de Lavalle" donated property to Sainte-Trinité de Fougères
with the consent of "Guidonis filii mei et Hamonis fratris mei et Emme uxoris mee"
by charter dated 1180[497].
m EMMA of Cornwall, daughter of REINALD Earl of Cornwall & his wife Beatrice
FitzWilliam (-1208 or after, bur Abbaye de Clermont). "Guido Lavallensis dominus"
relinquished the parish of la Gravelle to Marmoutier, with the advice of "fratris mei
Hamonis, et uxoris mee Agathe et filiorum meorum Guidonis atque Sicilie", by
-3847-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
charter dated to [1142/85][498]. "Agathe" in this document is an error for "Emma",
as shown by the charter dated 1208 under which "Guido sextus dominus
Lavallensis" ratified a donation by "patris mei" to the canons of "castellilo
Lavallensi", witnessed by "…Emma matre mea, Hayoisia uxore mea…"[499].
"…Emme uxoris mee" consented to the donation by "Guido de Lavalle" to Sainte-
Trinité de Fougères by charter dated 1180[500]. The primary source which
confirms her parentage has not yet been identified. Guy [IV] & his wife had [three]
children.
Fonts:
- persona: E.Arminjon, J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2015
- família: o guionneau, E.Arminjon, B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/),
H.R.Moser/EuSt-XIV/135
11.894.343:
EMMA of Cornwall (-1208 or after, bur Abbaye de Clermont). "Guido Lavallensis
dominus" relinquished the parish of la Gravelle to Marmoutier, with the advice of
"fratris mei Hamonis, et uxoris mee Agathe et filiorum meorum Guidonis atque
Sicilie", by charter dated to [1142/85][193]. "Agathe" in this document is an error
for "Emma", as shown by the charter dated 1208 under which "Guido sextus
dominus Lavallensis" ratified a donation by "patris mei" to the canons of "castellilo
Lavallensi", witnessed by "…Emma matre mea, Hayoisia uxore mea…"[194].
"…Emme uxoris mee" consented to the donation by "Guido de Lavalle" to Sainte-
Trinité de Fougères by charter dated 1180[195]. The primary source which
confirms her parentage has not yet been identified.
m GUY [V] Sire de Laval, son of GUY [IV] Sire de Laval & his wife Emma --- (-[18
Dec 1180/1185], bur Abbaye de Clermont).
[193] Broussillon, B. de (1895) La maison de Laval (Paris), Tome I, 149, p. 110.
-3848-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[194] Broussillon (1895), Tome I, 298, p. 177.
[195] Chartes du Prieuré de la Sainte-Trinité de Fougères, Bulletin archéologique
de l'association bretonne, Tome III, (1852), (“Fougères Sainte-Trinité”), XVII, p.
237.
JB de La Grandière 15/7/2015
Pour donner tout le poids des bons principes de l'onomastique on consultera la
Note sur la fiche de sa descendante Emma de Château-Gontier ; cette Note montre
bien la transmission du prénom Emma qui rend hommage, de petite-fille à
grand'mère "aux aïeules de grand prestige".
La graphie du prénom a été "harmonisée".
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 2 ii 2011
- família: o guionneau, E.Arminjon, B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/),
H.R.Moser/EuSt-XIV/135
11.894.343b:
GUY [V] de Laval (-1210). "Guido Lavallensis dominus" relinquished the parish of la
Gravelle to Marmoutier, with the advice of "fratris mei Hamonis, et uxoris mee
Agathe et filiorum meorum Guidonis atque Sicilie", by charter dated to
[1142/85][501]. "Guidonis filii mei…" consented to the donation by "Guido de
Lavalle" to Sainte-Trinité de Fougères by charter dated 1180[502]. He succeeded
his father as Sire de Laval. "Guido sextus de Lavalle" donated property to
Bellebranche abbey by charter dated 1186[503]. "Guido junior de Lavalle"
confirmed donations to Clermont abbey by charter dated 1194, on the burial day of
"avunculi mei Hamonis"[504]. "Mauritius de Credone filius Hugonis" appointed
"Guido de Laval…et Havis uxor eius" as guardians of his children and his lands, in
the case of the death of his wife, in his undated testament when leaving for
Jerusalem, and provided for their inheritance of his lands if he died without male
heirs[505]. "Guido sextus dominus de Lavalle" donated property to Plessis-Milcent
by charter dated 1205, witnessed by "Haoys uxore mea…"[506]. "Guido dominus
sextus de Lavalle" donated property to Olivet priory, for the soul of "Ozannæ filiæ
meæ", by charter dated to [1205], witnessed by "Haoys uxore mea, Guido filius
meus, Emma filia mea"[507]. "Guido sextus dominus Lavallensis" ratified a
donation by "patris mei" to the canons of "castellilo Lavallensi", by charter dated
1208, witnessed by "…Emma matre mea, Hayoisia uxore mea…"[508].
m as her first husband, AVOISE de Craon, Dame de Craon et de Châtelais,
daughter of MAURICE [II] Sire de Craon & his wife Isabelle de Meulan (-1230).
"Mauritius de Credone filius Hugonis" appointed "Guido de Laval…et Havis uxor
eius" as guardians of his children and his lands, in the case of the death of his wife,
in his undated testament when leaving for Jerusalem, and provided for their
inheritance of his lands if he died without male heirs[509]. Her first marriage is
confirmed by the Testa de Nevill which includes a writ of King John dated 1212
which records that "Mauricius de Creon" gave "Waletun…hundredum de Waletun"
in Surrey to "Gwidoni de la Val cum filia sua"[510]. "Guido sextus dominus de
Lavalle" donated property to Plessis-Milcent by charter dated 1205, witnessed by
"Haoys uxore mea…"[511]. "Guido dominus sextus de Lavalle" donated property to
Olivet priory, for the soul of "Ozannæ filiæ meæ", by charter dated to [1205],
witnessed by "Haoys uxore mea, Guido filius meus, Emma filia mea"[512]. "Guido
sextus dominus Lavallensis" ratified a donation by "patris mei" to the canons of
"castellilo Lavallensi", by charter dated 1208, witnessed by "…Emma matre mea,
Hayoisia uxore mea…"[513]. She married secondly (before 1215) Yves le Franc
Seigneur de Saulges (-before 1260). "Robertus comes de Alenchon" settled the
dower of "domine Haoys de Lavalle" by charter dated [19 Apr/31 Oct] 1215[514].
"Robertus comes d´Alencon et dominus Lavallis et Emma uxor eius filia Guidonis
de Lavalle et hæres Lavallis" exchanged property with "Yvoni Franco et dominæ
Haoys uxori suæ" by charter dated Feb 1216[515]. "Matheus de Montemorenciaco,
conestabularius Franciæ et Emma, eius uxor, comitissa de Alanconio et domina
-3849-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Lavallensis" ratified a donation by "dominus Ivo Francus et uxor eius Advisia de
Lavalle" to Bellebranche, for the salvation of "domini Guydonis de Lavalle" and for
"Hugonis filii sui", by charter dated 1218[516]. Guy [V] & his wife had four
children.
[501] Broussillon (1895), Tome I, 149, p. 110.
[502] Fougères Sainte-Trinité XVII, p. 237.
[503] Broussillon (1895), Tome I, 201, p. 139.
[504] Broussillon (1895), Tome I, 233, p. 149.
[505] Bodard de la Jacopière (1872), Renvoi E2, p. 596, quoting Coll. Housseau,
Vol. VI, no. 2135.
[506] Broussillon (1895), Tome I, 284, p. 166.
[507] Broussillon (1895), Tome I, 288, p. 171.
[508] Broussillon (1895), Tome I, 298, p. 177.
[509] Bodard de la Jacopière (1872), Renvoi E2, p. 596, quoting Coll. Housseau,
Vol. VI, no. 2135.
[510] Testa de Nevill, Part I, p. 68.
[511] Broussillon (1895), Tome I, 284, p. 166.
[512] Broussillon (1895), Tome I, 288, p. 171.
[513] Broussillon (1895), Tome I, 298, p. 177.
[514] Broussillon (1895), Tome I, 327, p. 202.
[515] Broussillon (1895), Tome I, 333, p. 206.
[516] Broussillon (1895), Tome I, 340, p. 208.
Fonts:
- persona: E.Arminjon, J-P.de Palmas (FMG) 1 ii 2015
- defunció: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- família: E.Arminjon
11.894.344:
Fonts:
- persona: N.de Meyrignac (Michel Luet : "Monographie de la commune de Dun-le-
Palestel", par Georges Vergeade, p. 36) 4 iv 2016
- família: N.de Meyrignac (Michel Luet : "Monographie de la commune de Dun-le-
Palestel", par Georges Vergeade, p. 36) 4 iv 2016
11.894.345:
Fonts:
- persona: N.de Meyrignac (Michel Luet : "Monographie de la commune de Dun-le-
Palestel", par Georges Vergeade, p. 36) 4 iv 2016
- família: N.de Meyrignac (Michel Luet : "Monographie de la commune de Dun-le-
Palestel", par Georges Vergeade, p. 36) 4 iv 2016
11.894.346:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich (site adecarné)
11.894.352:
Fils aîné de Thibaud des Roches, devint seigneur de Rochecorbon. En 1096, le pape
Urbain II parcourait la France en prêchant la première croisade en Terre Sainte
contre les Infidèles, il s'arrêta à Marmoutier et consacra l'église et l'autel principal
de la Basilique en l'honneur de la Croix. A la prière du pape, certains seigneurs de
Touraine, dont Robert des Roches, dotèrent l'abbaye et lui promirent conseil et
protection. Parmi les chevaliers qui revêtirent les insignes de la Croisade se
trouvait Hugues I de Chaumont (cousin de Robert des Roches), qui lui confia son
fief d'Amboise, et laissa le donjon d'Amboise sous sa garde. En 1096, suite sans
doute à la demande du pape Urbain II, Robert des Roches donna à l'Abbaye de
Marmoutier une île située face à cette abbaye.
Robert des Roches participa à de nombreuses petites guerres entre seigneurs :
-3850-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- il participa à l'enlèvement de Corbe, femme d'Achard de Saintes27
- il prit part au siège de Montrésor tenu par Raoul de Beaugency28
- il fut l'allié de Lysois d'Amboise contre Hugues (ou Geoffroy de Preuilly). Lysois
d'Amboise avait retiré son aide à Hugues de Preuilly lors d'une lutte contre
Foulques le Réchin. Hugues III de Preuilly ravagea alors les terres de Lysois
d'Amboise, et, lors de la deuxième offensive du seigneur de Preuilly Lysois
d'Amboise demanda l’aide de son parent Robert des Roches.
Le fils de Thibault, Robert des Roches18, fit bâtir en 1095 la tour quadrangulaire,
haute de dix mètres, se trouvant maintenant au bord du coteau, surnommée « la
Lanterne ».
- cette tour servait de fanal dont les feux pouvaient prévenir la garnison d'Amboise
des dangers qui menaçaient Rochecorbon,
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon) 9 viii 2010
- família: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon) 9 viii 2010
11.894.353:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon) 9 viii 2010
-3851-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.353b:
Fils de Robert I de Brenne. Il donna à l'abbaye de Fontaines les Blanches des
terrains situés à Rogerol dans la commune de Pocé. II est noté sur de nombreuses
chartes passées ou avec son frère Robert II des Roches, ou avec son neveu
Geoffroy.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon) 9 viii 2010
11.894.416:
Fonts:
- persona: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 04
11.894.417:
Fonts:
- persona: A Brabant (P.Deret Europaïsch Stammtafeln) 11 vi 04; , F.Camus
(Histoire de Chateaumeillant, Emile Chenon, Tome I) 20 iv 2009
11.894.417b:
C'est lui qui transmet Meillant à sa petite-nièce : Denise de Déols :
"Ebbo secundus, Gaufredus de Prulée, Karolus, Guillermus Abbas Dauratensis,
Radulphus et Gaufridus dominus de Mellano" (Progenies Dolensium Principum,
RHGF XII, p. 456)
Il n’est pas précisé si Godefroi (de Déols), tient Meillant de son père Raoul VI(I) “le
vieil” ou de sa mère Beatrix (Fénion), fille d’Abélard Guillebaud, seigneur de
Châteaumeillant & Béliarde.
Plus connu sous le nom de Geofroy de Preuilly, il reçut, de son père, la châtellenie
de Boussac.
Fonts:
- persona: G.de Beauregard (Medieval Lands Pascal Gencher) 20 vi 2016, F.Camus
(Hist. de Châteaumeillant par Emile Chénon p 190) 20 vi 2016
11.894.444:
Fonts:
- persona: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009
- família: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009
11.894.445:
Fonts:
- persona: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009
- família: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009
11.894.448:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Comte de Toulgouët-Tréanna - Histoire de Vierzon,
Picard, Paris 1884) 21 vi 2005
- defunció: H.de La Villarmois (Comte de Toulgouët-Tréanna - Histoire de Vierzon,
Picard, Paris 1884) 21 vi 2005
- família: P Ract Madoux (Chanoine Hubert: "Meung" et "La Ferté Nabert") 15 v
2004
11.894.449:
-3852-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família: P Ract Madoux (Chanoine Hubert: "Meung" et "La Ferté Nabert") 15 v
2004
11.894.464:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Arnaud Auréjac)
- família: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain des
Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003
11.894.465:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006
- família: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain des
Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003
11.894.465a:
Fonts:
- família: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain des
Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003
11.894.466:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 131 p.184) 25/05/2006
- casament: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- família: J-C de Vaugiraud (HG 131 p.184) 25/05/2006, JB.de La Grandiere
("Montréal à sire de Chastellux", 2013) 18 xii 2014
11.894.467:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 131 p.184) 25/05/2006, JB.de La Grandiere
("Montréal à sire de Chastellux", 2013) 18 xii 2014
- defunció: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- casament 1: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- família 1: J-C de Vaugiraud (HG 131 p.184) 25/05/2006, JB.de La Grandiere
("Montréal à sire de Chastellux", 2013) 18 xii 2014
11.894.467a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 131 p.184) 25/05/2006, JB.de La Grandiere (ESP
"Montréal à sire de Chastellux" pp75-76-77) 12 v 2015
- família: J-C de Vaugiraud (HG 131 p.184) 25/05/2006
11.894.467b:
Montbard fût échangé en 1190 contre Epoisses (alors au duc de
Bourgogne).
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006, JB.de La Grandiere
("Montréal à sire de Chastellux", qui modifie et complémente 2013) 12 v 2015
- família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006
11.894.467c:
-3853-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t XV
p 61 (Montbard) Marburg 1993 ) 31 v 2016
11.894.467d:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t XV
p 61 (Montbard) Marburg 1993 ) 31 v 2016
11.894.470:
Nargeot II, agrandit et fortifia le domaine de Saint- Fargeau.
Les seigneurs de St-Fargeau à travers le temps
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006, G Grattepanche
(armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005, J-C de Vaugiraud (Dugenne:
Toucy) 18/01/2006, J-P de Palmas (notes: Les seigneurs de St-Fargeau à travers le
temps)
- casament: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- família: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005,
H.R.Moser/EuSt-III.1/114
11.894.471:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel) 21.VIII.2005,JB de La
Grandière (Sgrs de Montréal) 28 xi 2009
- casament: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- família: G Grattepanche (armorial général et nobiliaire français) 21.VIII.2005,
H.R.Moser/EuSt-III.1/114
11.894.471a:
Jean-Noël Mathieu "Recherches sur les premiers sgrs de Moelain-Dampierre"
SPSAM 2001 donne aussi cette filiation qui corrige les énoncés d'Ernest Petit
(1901) eux-mêmes corrigeant le "chevalier de Courcelles" (1828) qui lui-même
corrigeait le père Anselme. JB de La Grandière 2/12/2009
Fonts:
- persona: J-B de La Grandière ( Etude Toucy Edouard de Saint-Phalle 2007) 28 xi
2009 ; J-M.Thiebaud (Armoiries) 5 iii 2011
- casament: J-B de La Grandière ( Etude Toucy Edouard de Saint-Phalle 2007) 28 xi
2009
11.894.471c:
Voir sa postérité dans P-C Dugenne:dictionnaire de l'Yonne tome V: de Toucy.br> J-
-3854-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
C de Vaugiraud 05/11/2006
Une descendance plus complète est donnée par Europäische Stammtafeln t III-1
tableau 114 (Toucy) Marburg 1984. JB de La Grandière 20/6/2017
Fonts:
- persona: Paolo Cesaretti: L'impero perduto - vita di Anna di Bisanzio/L.Orlandini,J-
C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 05/11/2006 ; J-M.Thiebaud (Armoiries) 5 iii
2011
11.894.471d:
Auteur de la branche de Bazarnes.
Fut de la victoire de Bouvines puis se croisa et mourut à Damiette en 1218
Fonts:
- persona: Grégoire de Thoury (La Thaumassière, édition 1690) 25.VIII.09,
H.Tourret (Soultrait, Nobiliaire du Nivernais) 27/2/06, H.R.Moser/EuSt-III.1/114, J-
C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006 ; J-M.Thiebaud (Armoiries) 5 iii
2011
- defunció: Grégoire de Thoury (La Thaumassière, édition 1690) 25.VIII.09
- família: Grégoire de Thoury (La Thaumassière, édition 1690) 25.VIII.09, H.Tourret
(Soultrait, nobiliaire du Nivernais) 27/2/06, H.R.Moser/EuSt-III.1/114, J-C de
Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006
11.894.471e:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008) ; J-M.Thiebaud (Armoiries) 5 iii
2011
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008)
11.894.472:
« Milon [IV] de Noyers (-5 May [1181/84]). Seigneur de Noyers. “Milo dominus de
Noiers” notified that “pater meus Milo” had donated “grangiam de Vilerset
pastura castellanie de Noiers”, with the consent of “uxore mea Odelina et filiis
Hugone thesaurario Autisiodorensi et Clarembaldo et Guidone militibus”, by
charter dated [25 Mar 1181/24 Mar 1182] [291]. »
« Milon [IV] de Noyers, son of Milon [III] Seigneur de Noyers & his wife Agnes ---
(-5 May [1181/84]). Seigneur de Noyers. "Milonis de Nuceriis" reached an
agreement with the abbot of Saint-Michel by charter dated to [1143/59],
witnessed by “Hugo frater eiusdem Milonis…”[299]. “Milo dominus de Noiers”
notified that “pater meus Milo” had donated “grangiam de Vilerset pastura
castellanie de Noiers”, with the consent of “uxore mea Odelina et filiis Hugone
thesaurario Autisiodorensi et Clarembaldo et Guidone militibus”, by charter dated
[25 Mar 1181/24 Mar 1182] [300]. m (before [1150/55]) Adeline de Chappes,
daughter of Clarembaud [II] Seigneur de Chappes & his wife --- (-after 30 Oct
1190). “Milo dominus de Noiers” notified that “pater meus Milo” had donated
“grangiam de Vilerset pastura castellanie de Noiers”, with the consent of “uxore
mea Odelina et filiis Hugone thesaurario Autisiodorensi et Clarembaldo et
Guidone militibus”, by charter dated [25 Mar 1181/24 Mar 1182][301]. The
primary source which confirms her parentage has not been identified. Petit
records her parentage without citing any source[302]. The date of her marriage is
suggested from her second son marrying in “before [1180]”. “Clarembaudus
dominus de Noers” donated serfs “apud Rubeummontem” to Moutiers Saint-Jean,
with the consent of “domnus Hugo Autissiodorensis episcopus, et domnus Guido
frater eius, etmater ipsius Clarembaudi”, by charter dated 1189[303].
"Clarembaudus de Noiers" donated property to the Knights Hospitallers at
-3855-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Arbonne, naming "germano H….Autissiodorensis episcopo, sue…matri domine
Adeline et sue…uxori domine Ade et suo…filio Miloni, sua quoque filia…Adeline",
by charter dated 30 Oct 1190 at the siege of Acre[304]. Milon [IV] & his wife had
seven children : Milon, Clarembaud, Hugues, Guy, Gilette, Agnès and Oda. »
J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de Noyers") 3
xii 2017
Fonts:
- defunció: J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de
Noyers") 3 xii 2017
- casament: JB de La Grandière (E.de St Phalle "Les seigneurs de Chappes" Sté
Académique de l'Aube pp 31/65 Troyes 2007) 12 xi 2009
- família: J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de
Noyers", 2017) 3 xii 2017
11.894.473:
Fonts:
- casament: JB de La Grandière (E.de St Phalle "Les seigneurs de Chappes" Sté
Académique de l'Aube pp 31/65 Troyes 2007) 12 xi 2009
- família: J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de
Noyers", 2017) 3 xii 2017
11.894.473b:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 4, p. 111) 31/10/06
- família: M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 4, p. 111) 31/10/06
11.894.473c:
Quoique Guillaume de Toucy eut recommandé avec grand soin aux chanoines
d’Auxerre d’entretenir la paix après son décès, et de s’unir pour l’élection de son
successeur; les choses ne se passèrent pas cependant avec la tranquillité désirable.
L’élection excita de grands troubles qui durèrent longtemps et causèrent beaucoup
de dommages à l’église.
Pour le temps où il vivait, ce prélat était éloquent, adroit, de bon conseil, d’une
grande science et d’un extérieur très distingué; mais il était plus remarquable
encore par son activité et l’énergie de son caractère. Son zèle pour la pureté de la
-3856-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
foi et la conservation des droits de son Église lui fit quelquefois commettre des
actes de trop grande rigueur, peu en harmonie avec la mansuétude évangélique.
Nous n’en citerons qu’un exemple. Pierre de Courtenay, comte d’Auxerre, usait de
mauvais traitements envers les membres du clergé. Pendant près de quinze ans,
les églises de la ville avaient été mises en interdit, pour châtier les méfaits du
comte. Pierre de Courçon, vicomte d’Auxerre et réputé le conseiller de toute la
conduite de Pierre de Courtenay, ayant été remercié de ses services par celui-ci,
l’évêque profita de cette occasion pour le faire arrêter et promener dans une
charrette par les rues de la ville où le pauvre disgracié essuya à loisir toutes les
huées du peuple. L’historien qui rapporte ce fait, ajoute : Licet forte in hoc ab
evangelicae religionis mansuetudine exorbitasse visus fuerit episcopus.
Hugues purgea son diocèse de la secte des Albigeois et de celle des Caputiés
(Caputiati) avec tant de vigueur, qu’on le surnomma le marteau des hérétiques (1);
mais, malgré la vie simple qu’il menait dans sa maison, le train de grand seigneur
qu’il tenait au dehors, donna plus d’une fois lieu aux fidèles de se plaindre des
dépenses énormes qu’il occasionnait aux églises et aux monastères de son diocèse.
Cependant, sous le rapport du temporel de son évêché, il fut plus heureux. Il fit
exhausser et fortifier le château de Régennes dans la terre d’Appoigny : il
transforma en une maison de plaisance tout à fait princière le château de
Beauretour, situé à Charbuy, dans un pays marécageux et boisé. Ce que ses
prédécesseurs avaient fait bâtir à Cosne et à Toucy, ne lui parut point digne de la
munificence épiscopale, et il y construisit de vrais palais. Varzy qui, auparavant,
était exposé aux incursions des brigands, devint un endroit très sur, entouré de
fossés et de tours : il fit rebâtir à neuf, auprès de l’église collégiale de Sainte-
Eugénie, une maison épiscopale ayant des tours et les autres marques de
seigneurie; quant au château qui était plus éloigné, il le mit en état de résister à
tous les assauts, et , en détournant le cours de la fontaine qui jaillit sous l’église, il
procura de l’eau pour le poisson des fossés creusés autour de cette maison, sans
nuire aux moulins qu’il avait fait construire dans le même lieu.
Les avantages obtenus par Hugues de Noyers dans le rapport temporel le rendirent
plus entreprenant pour les propres affaires de sa famille. Noyers, qui était une
terre de son patrimoine sur la rivière du Serein, à sept lieues d’Auxerre et au
diocèse de Langres, fut l’objet de ses plus grandes dépenses. S’étant chargé de la
tutelle de Milon, fils de son frère Clarembaud, il employa tout le temps de la
minorité de ce neveu à rebâtir le château de ses ancêtres. Quoique la situation de
ce château qui est sur une éminence fût assez avantageuse, il n’épargna rien pour
le mettre en état de défense contre les insultes des ennemis, de manière que ni les
ducs de Bourgogne, ni les autres princes ou seigneurs du voisinage ne purent le
prendre, et Hugues, au contraire, vint toujours à bout de les repousser; et pour
prouver qu’en tout il ne dissipait point le patrimoine de son neveu, il lui acheta une
terre à une lieue d’Auxerre, appelée Vallan, qui lui coûta une somme considérable.
Il ne faut point penser de ce qui précède que Hugues n’ait rien fait pour sa
cathédrale: il lui donna deux parements de soie très précieux, qu’on surnomma
l’ornement de la Mirandole. Son dessein était de faire couvrir de feuilles d’argent
le crucifix situé à l’entrée du chœur; il avait promis d’y consacrer une somme de
trente marcs d’argent, et de laisser une croix d’or de trente deux marcs; mais la
mort l’empêcha d’exécuter en son entier tout ce qu’il s’était proposé. Il donna
cependant à son chapitre des dîmes qu’il avait à Oisy, tant en blé qu’en vin, et
outre cela cent sous à prendre sur l’église de Saint-Bris. Ce fut aussi lui qui éleva,
en 1186, les fêtes de saint Pélerin et de saint Thomas de Cantorbéry au rang des
fêtes solennelles; il assigna, à cet effet, des rentes sur l’église de Mézilles. Il fonda
les obits de son cousin Daimbert de Pierre-Pertuis et de Gui son parent, donnant
pour le premier trente sous de rente sur les églises de Sementron et de Lain, avec
la remise des parêtes ou parates des églises d’Oisy et de Lindry, et, pour le second,
-3857-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
quarante sous à prendre sur l’église de Vermenton. On le regarde aussi comme le
fondateur, en 1206, des chanoines de la Trinité dont les biens furent réunis plus
tard au chapitre. Il marqua sa dévotion à la sainte Vierge en augmentant le nombre
des chanoines de la collégiale de son nom, aussi bien que le revenu et l’édifice de
l’église. Mais le chapitre de Varzy fut celui auquel il témoigna le plus d’amitié,
après celui de la cathédrale. il laissa à ces derniers chanoines sa bibliothèque, ses
ornements pontificaux et plusieurs autres legs. Hugues de Noyers est aussi le
premier fondateur du chapitre de Toucy, à qui il octroya les deux églises de Notre-
Dame et de Saint-Pierre, exemptes de toutes charges, excepté du droit de parate
(2). il faut ajouter à ces pieux établissements celui de l’hôpital d’Appoigny, dont
Guillaume de Seignelay fut le bienfaiteur.
Sous le pontificat de Hugues de Noyers, l’étude du droit canonique fut plus cultivée
qu’auparavant, et donna aux esprits plus d’ouverture pour la chicane. Aussi, fut-ce
à cette époque que s’élevèrent les premières difficultés touchant certaines
juridictions, celle entre autres qui regardait le maître de l’hôtel-Dieu d’Auxerre.
C’est en 1187 qu’elle commença. Le doyen, Guillaume de Seignelay, établit alors sa
juridiction sur les paroisses d’Auxerre et résista vigoureusement à l’évêque. Ce
même doyen attaqua aussi le prélat qui, après avoir ordonné de couper des arbres
dans la forêt de la Biche, les avait fait conduire à Régennes avec le consentement
de la plupart des chanoines. Hugues, condamné par une sentence de la cour
métropolitaine de Sens, rendit les arbres au chapitre et les fit reconduire à ses
dépens devant la porte de la cathédrale. L’évêque d’Auxerre eut aussi quelques
démêlés avec l’abbaye de Saint-Germain; voici en quelle circonstance. Comme il
menait grand train partout où il allait, il n’avait pas moins de quatre-vingts chevaux
quand il visitait les églises de son diocèse, et, à son exemple, l’archi-diacre en avait
une douzaine, en pareil cas. Humbaud , abbé de Saint-Germain, se plaignit à
Urbain III de ces excès qui entraînaient d’énormes dépenses, et le pape statua, par
un bref donné à Vérone en 1186, que l’on observerait à ce sujet les décrets du
concile de Latran. Raoul, successeur de Humbaud, fatigué du luxe de Hugues,
secoua son joug et obtint de CéIestin III, en 1193, que l’archevêque de Sens fût
désormais le juge ordinaire de son couvent. Elvisa, abbesse de Saint-Julien, et ses
religieuses, se plaignirent aussi à Célestin III, en 1196, notamment de ce que
Hugues avait refusé de conférer la cure de Coulangesla-Vineuse à Guillaume de
Saint-Bris qu’elles lui avaient présenté. L’archevêque de Sens et l’évêque de
Noyers furent commis pour examiner ces plaintes, et ils portèrent une sentence
contre Hugues de Noyers qui ne s’y soumit qu’en 1198.
Hugues de Noyers prit part à beaucoup d’autres actes on le voit, en 1189, recevoir
le serment de la veuve de Hugues de Lorme, et se trouver présent lorsque
Clarembaud, son frère, avant de partir pour Jérusalem, concéda plusieurs
-3858-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
privilèges ou biens à l’abbaye de Pontigny. En 1198, c’est lui qui, en vertu des
pouvoirs du chapitre, administra tant au temporel qu’au spirituel le diocèse de
Langres, et fut assez heureux pour y amener l’élection d’Hilduin. En 1204, il obtint
que les Juifs fussent chassés d’Auxerre, et sur les débris de leur synagogue, s’éleva
une petite église qu’on appela Saint-Nicolas et Saint-Regnobert.
Enfin, la vie active de l’évêque d’Auxerre se termina par un second voyage qu’il fit
à Rome pour s’opposer à l’abbé de Saint-Germain qui, non content de s’être
soustrait à son obéissance, réclamait encore le droit de porter l’anneau et la mitre.
Le pape le reçut avec les honneurs convenables; mais, au bout de dix jours, Hugues
fut attaqué d’une grave maladie qui le conduisit au tombeau le 29 novembre 1206.
Ses funérailles furent faites dans l’église Constantinienne contiguë à Saint-Jean-de-
Latran, le 6 décembre 1206, en présence du Souverain-Pontife et des cardinaux, et
son corps fut mis dans un mausolée de marbre.
Armes
Références
1. Les Caputiès, ainsi nommés des capuchons ou chaperons blancs qui les
distinguaient et leur servaient de signe de ralliement, formaient une secte
qui soutenait que tous les hommes devaient être d’égale condition.
2. Le droit de parate ou parète (jus mensae paratae) était celui qu’avait
l’évêque de prendre son repas chez le curé.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Auxerre historique) v-2009
- enterrament: J-P de Palmas (son corps fut mis dans un mausolée de marbre. )
11.894.473d:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne;Dict. Yonne; Saint-Florentin)19/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne;Dict. Yonne; Saint-Florentin)19/05/2006
11.894.473e:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (E.de St Phalle "Les seigneurs de Chappes" Sté
Académique de l'Aube pp 31/65 Troyes 2007) 12 xi 2009
- família: JB.de La Grandiere (ES t XV p 126 Noyers Marburg 1993 ) 12 xi 2009
11.894.474:
Note:
Selon l'article Wikipedia du Château de Montmirail, il ratifia en 1212 toutes les
fondations faites par les Seigneurs d’Oisy, ses prédécesseurs, et notamment la
-3859-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
donation faite au Monastère de Cerf-Froid, chef lieu de l’Ordre des trinitaires.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S:XIII - T 139)19/05/2006
- naixement: G.Millet (Wikipedia, site du Chateau de Montmirail, 11.v.2009)
11.894.475:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S:XIII - T 139)19/05/2006
- naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
11.894.475b:
Jean, fils d’André, naquit en 1165 à Montmirail, petite ville de Champagne. Il fut un
bel enfant aimable, gracieux, soumis, respectueux, doué du plus heureux caractère
et faisant la joie, la gloire et l’orgueil de ses parents. Ayant perdu sa mère dans sa
première jeunesse, il reçut de la seconde femme de son père, la Comtesse de la
Ferté-Gaucher, les marques de la plus grande affection et les leçons des plus
grandes vertus. André ne négligea rien pour que l’éducation de son fils fût
complète. Il voulut qu’il l’emportât sur tous les autres Seigneurs de son temps, non
seulement par la fortune, mais encore par la qualité de l’esprit et du cœur. Jean
surpassa toutes ses espérances. Il étudia la langue latine, le droit romain. Il devint
fort instruit dans le droit coutumier de Vitry et de Cambrai : il en donna des
preuves dans le cours de sa vie et s’en montra un fidèle observateur. Il mérita à
bon droit le titre de grand justicier. Aucun Seigneur ne fut comparable à Jean en
politesse comme en courage. On peut même dire qu’il fut le type du vrai baron
français.
Lorsqu’il fut ainsi accompli en tous genres, André ne put se dispenser de produire
à la cour son fils qui était du même âge que Philippe, fils de Louis VII. Le jeune
Seigneur de Montmirail fut accueilli avec la plus grande bienveillance. Jean brilla à
la cour de Philippe Auguste. Il était alors le premier seigneur par son rang, sa
fortune, l’illustration de sa naissance, ses qualités. Il était Baron de Montmirail,
Comte de La Ferté-Gaucher, Seigneur de la Ferté sous Jouarre, de Tresmes, d’Oisy,
de Crèvecœur, de Bandelues, de Condé-en-Brie, de la Fere, de Saint-Gobain, de la
Chapelle en Brie, Vicomte de Meaux et Châtelain de Cambrai, mais il surpassait
tous ces titres par les dons du corps et de l’esprit. Son crédit était immense. Il se
fit chérir de son Roi : une amitié intime se forma entre les deux jeunes gens. Il
devint non seulement l’ami mais le favori et plus tard conseiller de Philippe
Auguste.
Philippe Auguste le décora du titre de Baron et c’est avec cette distinction qu’il
figure dans le traité conclu entre le Roi de France et Blanche, Comtesse de
Champagne. Voulant prévenir les dangers auxquels les faveurs du monarque
pouvait exposer son fils, la Comtesse de la Ferté-Gaucher lui proposa de contracter
alliance avec une femme digne de lui par sa naissance ses qualités et son
éducation. La Comtesse fit un choix des plus heureux et lui présenta pour
compagne Helvide de Dompierre et de Bourbon, troisième sœur de Gui de
Dompierre et de Bourbon. Philippe Auguste ne fut sans doute pas étranger à une
alliance aussi bien assortie.
-3860-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
« Jean de Montmirail, ce Prince digne de toute notre admiration, aussi
distingué par ses qualités du corps que de l’esprit tenant avec gloire le
premier rang dans toute la France, se montrait le plus intrépide,
déployant partout sa libéralité, suivant la coutume de ce noble temps »
Nous ne saurions citer toutes les chartes de Jean envers les églises et les couvents
:
Cette dernière charte nous apprend que Jean avait déjà à cette époque trois
enfants en âge de donner leur consentement aux actes de leur père. La date de son
mariage avec Helvide de Dampierre n’a jamais été précisée. D’après diverses
-3861-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
chartes et cette particularité qu’il se maria fort jeune, il semble qu’on puisse fixer
l’époque de son mariage au plus tard vers 1185 :
-3862-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Mausolée du Bienheureux Jean de Montmirail
AMEN.
Les architectes les plus habiles, dit M. Boitel, déployèrent dans ce mausolée toutes
les richesses de leur génie. Au premier étage, on voit étendu le seigneur de
Montmirail, encore jeune, revêtu de son armure guerrière, avec le casque et la
visière levée. Sa terrible épée repose à sa gauche ; à sa droite est son bouclier
chargé de ses armoiries qui sont de gueules au lion rampant d'or. On n'oublia point
de mettre aux pieds du bon seigneur son chien fidèle, emblème de la fidélité de ses
vassaux et de celle qu'il avait eue lui-même pour le roi son suzerain. Une pierre de
la même dimension en largeur et en profondeur que tout le monument, forme le
second étage. Jean y est encore représenté, mais dans un costume fort différent. Il
est couché et revêtu de la grande robe de religieux de saint Bernard ; ses mains
sont enveloppées dans les manches ; son visage est sillonné de rides et sa tête est
chauve. On admire le bienheureux en deux conditions fort diverses, comme
seigneur terrien et comme humble religieux. Dans ces deux étals il respire une
telle majesté qu'au seul abord on est pénétré de respect et de dévotion. Le haut du
mausolée est un ouvrage d'architecture ogivale du style le plus pur. Ce
couronnement est travaillé avec un art parfait. Il est porté sur des colonnes
élégantes et soutenu aux quatre angles par des arcs-boutants. Chaque face est
ornée d'une belle rose, d'un riche entablement, de galeries et de clochetons.
Quatre anges déploient leurs ailes au-dessus des chapiteaux et présentent au
bienheureux une couronne et une palme. Le jour pénètre de toutes parts dans le
monument. Ce mausolée et ces statues ont été détruits en 1793. (Dessin établi
d'après des gravures qui datent de 1641)
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 125 p.362)19/05/2006, J-P de Palmas (wikipedia)
iv2010
- naixement: A.Brabant
- defunció: A.Brabant
- família: A.Brabant (Geneanet M.C.Bauche)
11.894.476:
D'azur semé de billettes d'or au lion du même brochant sur le tout
-3863-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Biographie
Gautier II de Brienne (1125-1158): "Au moment de la mort de son père, Erard Ier,
Gautier était mineur et fut mis sous l'avouerie de son oncle Milon, comte de Bar-
sur-Seine (35), il réunit à son comté de Brienne la seigneurie de Ramerupt (38), qui
perdit momentanément le titre de comté; ce fief échut à son fils André, qui devint
ainsi la tige des seigneurs de Ramerupt de la maison de Brienne. Gautier était
héritier de Brienne dès 1125 (35). En se conformant aux volontés de son père
(manifestées lors de son départ pour la Terre-Sainte, vers 1097), il demanda à
l'évêque de Troys, en 1131, de délivrer les quatre prébendes de Brienne à l'abbaye
de Montier-en-Der, qui était le lieu de sépulture de sa famille (36), Je ne
rapporterai pas toutes les donations qu'il fit aux établissements religieux; je me
bornerai à constater qu'il fut l'un des principaux fondateurs de l'abbaye de Basse-
Fontaine, en 1143 (40). LKa veille de son départ pour la croisade, au mois de juin
1147, il confirma au prieur de Ramerupt les donations que lui avait faites son aïeul,
le comte André de Roucy 45). Dès 1151, il était revenu de la croisade (48). Il vivait
encore en 1158 (52). On ignore l'année de sa mort; je pense qu'il est décédé en
cette même année: à cette date, Henri Ier, comte de Troys, fit un don au prieuré de
Ramerupt, pour l'âme de son père, le comte Thibaud, et pour celle de Gautier,
comte de Brienne (BN, latin, 5441-2, P. 389).
Gautier II avait épousé d'abord Humbeline, citée en 1133 (37) et en 1138 (39). On
a dit à tort que c'était la même qu'Adelise, ou Azealis, ou Adélaïde, que l'on voit
paraître dès 1147 (45): c'était sa seconde femme, et elle était de la maison de
Baudement (Arbois, Les premiers seigneurs de Ramerupt, 7 ou 446)"
Les chiffres entre parenthèses sont les références de Roserot aux chartes.
J-C de Vaugiraud (A. Roserot, Dictionnaire historique de la Champagne
méridionale, T. I, P. 243) 3 ii 2011)
-3864-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Eustache vidame de Châlons (J-C de Vaugiraud 21/03/2007)
Obsernations du 2 ii 2011 de J-C de V: Nous contestons qu'il n'y ait qu'une seule
épouse, notre hypothèse est un mariage successif de Gauthier avec les deux
soeurs, filles d'André et d'Agnès.
- [1999] Charles Mosley, editor, Burke's Peerage and Baronetage, 106th edition, 2
volumes (Crans, Switzerland: Burke's Peerage (Genealogical Books) Ltd, 1999),
volume 1, page 226, cite Adeliz de BAUDEMONT, fille d'André de BAUDEMONT
qui devint seigneur de Braine-sur-Vesle (suite à son mariage). Il semble donc que
Humbeline de Baudement, Adelais de Baudement et Adelais de Nesle soient trois
noms différents pour la MÊME ÉPOUSE (J-M.Thiebaud 29 i 2011)
Obsernations du 2 ii 2011 de J-C de V: L'ouvrage se trompe en ne donnant qu'une
épouse. Il y en a bien deux.
- [1989] Detlev Schweennicke: E.S III-IV Tafel 681. Cet auteur a tenté une nouvelle
approche en utilisant une liste de sources utilisées est considérable qui inclue non
seulement les travaux de Roserot mais aussi ceux bien plus récents d'Henri de
Faget de Casteljau.
Or ce travail récent (1989) donne 4 mariages à Gautier II avec de grosses
divergences par rapport à Roglo !
X1 Ne de Baudement fille d'André --> 1 fille Agnès (mais elle pourrait aussi être du
2° mariage).
X2 Ne de Soissons possible fille de Jean --> 7 enfants Guy, Eustache, Erard, André,
Jean, Adélais, Elvide.
X3 Humbeline de Troyes (veuve d'Anséric de Chacenay), issue des vicomtes de
Troyes --> sp
X4 Adélais fille de Nn N et d'Agnès N --> sp
Obsernations du 2 ii 2011 de J-C de V: ES s'est fourvoyé dans les informations
multiples a) Nous avons trouvé la source primaire du 1° mariage qui permet de
fusionner les deux premiers mariages; b) Nous expliquons pourquoi la seconde
épouse est dite de Soissons mais contestons son attache à ses parents possibles; c)
Nous contestons l'identification d'Humbeline avec l'épouse du sire de Chacenay; d)
Nous donnons notre hypothèse d'identification de la dernière épouse.
- (1818) Dom Fr. Clément: L'art de vérifier les dates, Volume 12, page 256-257, qui
cite une charte de la cathédrale de Soissons de 1140/1141 (layette 93): "Geoffroi
de Donzi, Gauthier de Brienne , et Gui de Dampierre, céderaient tous leurs droits
sur le comté de Soissons à Ives de Nesle."
Obsernations du 2 ii 2011 de J-C de V: L'auteur a bien situé le lien de parenté entre
la première épouse de Gauthier et les comtes de Soissons.
Fonts:
- persona: J-C.de Vaugiraud (Voir notes sourcées sur sa fiche et celles de ses
épouses) 2 ii 2011
- defunció: J.C de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 243) 31 i 2011
- família 1: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en
Picardie) 1 ii 2011,
- família 2: J-C de Vaugiraud (Rectfication d'épouses) 1 ii 2011
11.894.477:
Citée nominativement dans trois chartes (deux connues par Roserot et une par
William Mendel Newman): Humbeline (1133 et 1139), Hubelina (1135 ou 1145).
Son identification souvent contestée est rendue certaine grâce à William Mendel
Newman: Les seigneurs de Nesle en Picardie: (XIIe-XIIIe siècle), 2 tomes, 1971, P.
33, "Il épousa Humbeline, fille d'André de Baudement et d'Agnès de Braisne Mais
Roserot a fait une petite erreur ; il n'a pas connu la charte de 1135 de Thibaut,
comte de Blois pour Prémontré qui est fort explicite et qui dit des deux fliles
d'André et d'Agnès : Helvide et Hubelina et earum maritis Waltero comite de
Brienna et Wido de Dampierre (Orig. Arch. Nat., K. 23, n° 85." et P. 380: "Gautier
II, comte de Brienne (Brena) (1125-1158) épouse 1° Humbeline, fille d'André de
Baudementet d'Agnès de Braine (correction de Roserot)."
Notons au passage que cette filiation pouvait être relevée dès 1631, en effet André
du Chesne: Histoire généalogique de la maison royale de Dreux, page 233, aux
preuves, cite la charte de l'abbaye des Prémontrés de Braine qu'utilisera William
Mendel Newman en 1971: "Andrea de Baldimento Agnete sororibus eorum Helvide
& Hubelina & earun maritis Waltero comite de Brienna & Guidone de Dampierre
MCXLV.". Il y a une divergence sur la date: 1135 pour Newman (qui a travaillé sur
une pièce des AN, ou 1145 pour du Chesne.
-3867-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
J-C de Vaugiraud 2 ii 2011
- Pourquoi elle-est dite de Nesle ? Réponse simple - ses parents possédaient Nesle !
- Pourqoi est-elle dite de Soissons ? Réponse simple - on voit en 1140/1141, son
époux Gauthier II parmi les compétiteurs (pour son épouse) à la future succession
au comté de Soissons !
Plusieurs auteurs, qui n'avaient pas identifié les parents, ont voulu voir en
Humbeline une autre Humbeline de Troyes ? D'autres auteurs émettent une
possible parenté avec la soeur de Saint Bernard Humbeline de Châtillon-sur-Seine.
Ces parentés possibles seraient à approfondir compte tenu de la proximité
géographique et chronologique des unes et des autres.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en
Picardie + M. Bur, formation du comté de Champagne, P. 432) 1 ii 2011,
- defunció: J-C de Vaugiraud (Henri d'Arbois de Jubainville: Catalogue d'actes des
comtes de Brienne) 1 ii 2011
- família: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman: Les seigneurs de Nesle en
Picardie) 1 ii 2011,
11.894.477a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Cités dans les chartes d'Arbois de Jubainville) 2 ii
2011,
11.894.477b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Cités dans les chartes d'Arbois de Jubainville) 2 ii
2011,
11.894.477c:
"1146 (anno incarnati Verbi 1146, Ludovico rég nante, Gode frido Lingonis
presidente). — Jacques, seigneur de Chassenay, donne à l'abbaye de Bassefontaine
sa part de la dîme de Bligny, par le conseil de Gautier, comte de Brienne, de la
[belle] mère et de la femme du dit comte, savoir : Agnès de Baudement et A.
[Agnès], comtesse de Brienne, dame du dit seigneur de Chassenay."
J-C de Vaugiraud (d'Arbois de Jubainville, charte 42) 2 ii 2011
JB de La Grandière 15/6/2014 :
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008), J-C de Vaugiraud (d'Arbois de
Jubainville, charte 42) 2 ii 2011
- casament 1: J-C de Vaugiraud (d'Arbois de Jubainville, charte 42) 2 ii 2011
- família 1: J-C de Vaugiraud (Voir charte 42 de 1146) 2 ii 2011
- família 2: J-C de Vaugiraud (ES III- 4, Tafel681) 1 ii 2011
-3868-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.477e:
Cité dans une charte de 1166 et une de 1185.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Medieval Genealogy, Champagne nobility, comtes de
Brienne ) 1 ii 2011,
11.894.477f:
Medieval Genealogy, Champagne nobility, comtes de Brienne la dit mariée à
Gauthier de Saint-Omer, fils de Guillaume de Saint-Omer et de Melisende de
Picquigny ? A rapprocher Mathilde de Brienne.
Attention: Lr très fiable Warlp, Thr Flemish Nobility, passe cette alliance sous
silence ?J-C de Vaugiraud 2 ii 2011,
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Cités dans les chartes d'Arbois de Jubainville) 2 ii
2011,
11.894.477g:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XV Tafel 197) 31 i 2011
- família: J-C de Vaugiraud (ES XV Tafel 197) 31 i 2011
11.894.478:
Fonts:
- persona: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009, JB de La Grandière (E. de
Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in
Bulletin de La Société Académique de l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010, F.de Bernis
( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille des seigneurs de
Nemours ) 9 xii 2009
- família: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille des
seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
11.894.479:
Fonts:
- persona: , JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010, F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques
sur la famille des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
- defunció: , JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família 1: H.R.Moser/EuSt-XIV/146
- família 2: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille
des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
11.894.479a:
patronyme : de Venizy selon E.M Richemond d'après M. Duchalais (bibliothèque de
l'école des Chartes, 2èle série, t. 1, P. 239).
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família 1: H.R.Moser/EuSt-XIV/146, C.Maubois ( "Histoire généalogique et
héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825 ) 14.05.2009
-3869-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 2: C.Maubois ( "Histoire généalogique et héraldique des pairs de
France"de JB de Courcelles, 1825 ) 14.05.2009
11.894.480:
Pour la famille de Chatillon-en-Bazois voir Adolphe de Villenaut : "Nobiliaire de
Nivernois", volume 2, pageS 499 et ss
J-C de Vaugiraud 17 vi 2016
Fonts:
- persona: H.Tourret (Soultrait, nobiliaire du Nivernais) 22.02.2006
- família: H.Tourret (Soultrait, nobiliaire du Nivernais) 22.02.2006
11.894.481:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Chantal Le Caer) 31 i 2011
- defunció: Hervé Balestrieri ( d'après Hubert Tourret, citant Soultrait : "Nobiliaire
du Nivernais" ) 30.03.2014
- família: H.Tourret (Soultrait, nobiliaire du Nivernais) 22.02.2006
11.894.482:
Fonts:
- persona: H.Tourret (H&G1985, p.170) 23/2/06, H.R.Moser/EuSt-XIII/1 ; A.Guerin
(http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Amboise.pdf) 15xi15
- família: H.Tourret (H&G1985, p.170) 23/2/06, H.R.Moser/EuSt-XIII/1
11.894.483:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-XIII/1 ;A.Guerin
(http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Amboise.pdf) 15xi15
- família: H.Tourret (H&G1985, p.170) 23/2/06, H.R.Moser/EuSt-XIII/1
11.894.483a:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Anselme-VII/120, J-C de Vaugiraud (Carré de Busseroles, Dict.
d'Indre-et-Loire, T. I, P. 22) 21 iv 201
- defunció: J-C de Vaugiraud (Carré de Busseroles, Dict. d'Indre-et-Loire, T. I, P. 22)
21 iv 201
- enterrament: J-C de Vaugiraud (Carré de Busseroles, Dict. d'Indre-et-Loire, T. I, P.
22) 21 iv 201
- família: H.R.Moser/Anselme-VII/120
11.894.496:
Fonts:
- família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009
11.894.497:
Fonts:
- família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009
-3870-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.504:
Orson Ier de Nemours (v. 1165, 24 janvier 1233), baron de Brécy-en-Berry,
deuxième fils du grand chambellan de France Gauthier de Villebéon et d'Aveline de
Nemours. En 1191, il remplace son frère Philippe, décédé, comme chambellan
auxiliaire, puis, conseiller intime de Louis VIII, il est nommé chambellan du prince
royal Louis IX[1].
Il est probable qu'il épouse, vers 1180, Liesse de Méréville, fille de Guy II de
Méréville et Hildeburge. Orson laissa quatre enfants qui lui survécurent[5] :
Orson
Philippe († avril 1237), évêque de Châlons
Marguerite, dame d'Obsonville
Guy de Nemours-Méréville qui devient seigneur de Méréville après la
mort de son frère aîné Orson
Notes et références
-3871-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 2009
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/140
11.894.505:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (racineshistoire) 17 xii 2016
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/140
11.894.505a:
Fonts:
- persona: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille
des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
11.894.505b:
Fonts:
- persona: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille
des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
11.894.505c:
Fonts:
- persona: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille
des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
- família: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille des
seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
11.894.506:
Fonts:
- persona: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille
des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
- família: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille des
seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
11.894.507:
Fonts:
- persona: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la famille
des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
- família 1, família 2: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la
famille des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009
11.894.507a:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016
11.894.507b:
faisait partie de la suite de la reine Blanche de Castille.
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/140
11.894.512:
"d’azur parti d’argent à la fasce de gueules (Le Laboureur)".
Fonts:
-3872-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: JB.de La Grandiere (Edouard Perroy in" Les familles nobles du Forez" t I
pp. 401/410 (Jarez) La Diana Montbrison 1976) 12 i 2018
- família: JL.Mondanel (généalogie Jarez) 16 iii 2011
11.894.513:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Jarez) 16 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Jarez) 16 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie Jarez) 16 iii 2011
11.894.528:
Conforme aux données des chartistes suivants:
J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas p 39 à 47 (1961) et Perroy II p 267
à 282 (1976) 11/09/2008
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008
11.894.529:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008
11.894.529a:
Abandonne en 1190 la moitié du château d'Olliergues qui venait de la dot de son
aïeulle au profit de Agne de Maymont, contre 500 s et un cheval.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Perroy tome II p 267 et ss: Damas) 12/09/2008
11.894.529c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Perroy tome II p 267 et ss: Damas) 12/09/2008
11.894.532:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Note de lecture) 12/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Note de lecture) 12/09/2008
11.894.533:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Note de lecture) 12/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Note de lecture) 12/09/2008
11.894.540:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Perroy (Edouard) Les familles nobles du Forez t II
pp. 658/667 (Roanne) La Diana Montbrison 1977 ) 25 ii 2012
11.894.556:
Guy II (1130-ap.1210), fils du précédent, comte de Forez et du Lyonnais, signe le
traité de 1173 qui fixe les limites du comté de Forez et de celui de Lyon avec
l'archevêque. Il fait de Montbrison la capitale du Forez, subit les conflits l'opposant
à Guichard IV de Beaujeu et les Damas, fait fortifier Cervières face à Couzan. Il
-3873-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
cède le comté à son fils vers 1198.
Fonts:
- família: Aurejac, J-P de Palmas (Archevêques de Lyon & Histoire de Lyon) viii2009
11.894.557:
Fonts:
- família: Aurejac, J-P de Palmas (Archevêques de Lyon & Histoire de Lyon) viii2009
11.894.557b:
Fils de Guigues II, comte de Lyon et de Forez. Abbé de Saint-Juste en 1182 environ,
il devient archevêque de Lyon en 1193.
Il obtient de son père l’abandon de ses droits sur la cité (de cette époque, les
comtes de Forez cessent de prendre le titre de comte de Lyon) ; il lutte
successivement contre l’abbaye de Savigny, contre Guichard V de Beaujeu, contre
le comte d’Auvergne, et enfin contre les bourgeois de Lyon ; il assiste au concile de
Dijon en décembre 1200 ; en 1206, Philippe de Souabe concède à Renaud le péage
de Bèchevelin ; il réunit un synode à Lyon le 25 octobre 1207 ; il assiste encore aux
conciles de Paris en juillet 1223 et de Bourges en novembre 1225 ; en juillet-août
1223, il assiste aux obsèques de Philippe Auguste et au couronnement de Louis
VIII.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Archevêques de Lyon & Histoire de Lyon) viii2009
- defunció: J-P de Palmas (testa le 16-x-1226)
11.894.557c:
Fonts:
- família: Aurejac
11.894.560:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (Wikipedia-Maison de Thoire-Villars-
30.09.2017)03.12.2017
- família: H.de La Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey) 13 vi
2003
11.894.561:
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Guichenon - Histoire de la Bresse et du Bugey) 13 vi
2003
11.894.562:
Il accompagna en Terre-Sainte, avec plusieurs de ses vassaux, en 1171, Hugues III,
duc de Bourgogne.
Fonts:
- persona: Aurejac ; Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145)
- defunció: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145)
- casament: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60)
-3874-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145 et Schwennicke, Europäische
Stammtafeln, XIV, 60)
11.894.563:
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145)
- defunció: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145) dit qu'elle était fort âgée
- enterrament: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145)
- casament 1: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60)
- família 1: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145 et Schwennicke, Europäische
Stammtafeln, XIV, 60)
- família 2: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 145)
11.894.563a:
Mort sans postérité.
Fonts:
- persona: S. Bontron (Anselme, VII)
11.894.563c:
Mort sans postérité.
Fonts:
- persona: S. Bontron (Anselme, VII)
11.894.563d:
Son alliance est inconnue du père Anselme et de Schwennicke.
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 146 et Schwennicke, Europäische
Stammtafeln, XIV, 60)
- defunció: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 146)
- enterrament: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 146)
- família: S. Bontron (Anselme, VII)
11.894.563e:
Fonts:
- persona: S. Bontron (Anselme, VII)
11.894.563f:
Fonts:
- persona: S. Bontron (Anselme, VII)
11.894.563g:
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60)
11.894.563h:
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60)
11.894.563i:
Fonts:
- persona: S. Bontron (Anselme, VII)
- família: S. Bontron (Anselme, VII), J-M.Thiebaud (Rousset, "Dictionnaire des
Communes du Jura", t. V, p. 491-492) 15 v 2011
11.894.564:
-3875-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Christophe Pager) 26 i 2011
- família: J-M.Thiebaud (base Christophe Pager) 26 i 2011
11.894.565:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Christophe Pager) 26 i 2011
- família: J-M.Thiebaud (base Christophe Pager) 26 i 2011
11.894.568:
Porte : palé d'or et de gueules de six pièces.
JB de La Grandière 19/12/2013 suite à message 2013-12-19 16:33:30 d'Yves Lozach
constat pour cette fiche :
N'est pas mort entre 1160 et 1165 mais après 1179 ayant été, veuf, religieux à la
chartreuse du Reposoir en 1155. N'est pas né vers 1125 mais sans doute entre
1090 et 1110
Europäische Stammtafeln t XIV Marburg 1991 (sgrs de Faucigny) p. 70
Fonts:
- persona: D.de Raugl/E.Arminjon, , JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t
XIV Marburg 1991 (sgrs de Faucigny) p. 70) 19 xii 2013
- família: D.de Raugl/E.Arminjon
11.894.569:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( abbé Félix Bernard in "Origines féodales des Savoie-
Dauphiné" ,-Briançon-, pp. 255-283 Villard d'Héry 1949) 1 ii 2017
- família: D.de Raugl/E.Arminjon
11.894.569a:
Sans postérité
Fonts:
- persona: D.de Raugl/E.Arminjon
11.894.569c:
Sans postérité
Fonts:
- persona: D.de Raugl/E.Arminjon
11.894.572:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (comtes de Mâcon) v-2009
- família: H.R.Moser/Rupp
11.894.573:
Fonts:
- defunció: E.Visseaux/T.Mauvisseau
- família: H.R.Moser/Rupp
11.894.573b:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Rupp
- família: H.R.Moser/Rupp, J-P de Palmas (Blog Famille Benoit) v-2009, J-
M.Thiebaud (base Arnaud Aurejac) 30 iv 2011
11.894.574:
-3876-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)
- casament: M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 420) 31/7/06
- família: Aurejac
11.894.575:
Fonts:
- naixement: E.Visseaux/T.Mauvisseau
- casament: M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 420) 31/7/06
- família: Aurejac
11.894.576:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (site Jean-Marie Besson) 16 vii 2008, P.de Loriol
(Europaische Stammtafeln, XI) 23 ix 2012
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/153
11.894.577:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/153
11.894.577b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/153
11.894.580:
AIMON [I] de Genève, son of GERAUD Comte de Genève & his [second] wife
Tetberga --- ([1060/65]-12 May [1125/28]). "Patris Geraldi et fratris Cononis, comes
Aymo successor" donated property to the church of Leman, at the request of
"fratris Burchardi monachi", by undated charter[858]. Comte de Genève. Vassal of
the bishop of Geneva. Avoué of St Victor, Geneva. "Aymo comes Gebennensis et
filius meus Giroldus" founded the priory of Chamonix by undated charter, dated to
[1088/99], signed by "uterini fratres comitis, Willelmus Fulciniacus et
Amedeus…"[859]. "Aymo…Genevensium comes" donated property to the monastery
of Saint-Eugendi by charter dated 1090, signed by "Itæ uxoris eius, Geraldi filii
eius"[860]. "Aymo comes Gebennensis et Amadeus filius eius" renounced rights to
certain property in favour of the church of Saint-Martin by undated charter[861].
"Aymone…comite" approved the donation by Guy Bishop of Geneva of the church of
Saint-Jean de Genève to the monastery of Ainay, near Lyon, by charter dated
1113[862]. A charter dated 1124 records an agreement between Humbert Bishop
of Geneva and "Aymone comite"[863]. The necrology of Saint-Claude records the
death "IV Id Mai" of "Aymo comes Gebennensis"[864].
m [firstly] ITA, daughter of --- (-after 1090). "Aymo…Genevensium comes" donated
property to the monastery of Saint-Eugendi by charter dated 1090, signed by "Itæ
uxoris eius, Geraldi filii eius"[865].
[m secondly ---. The chronology of this family suggests that Comte Amedée [I] may
have been his father´s son by an otherwise unrecorded second marriage.]
[858] Bibliotheca Sebusiana, Centuria II, LXIX, p. 293.
[859] Besson (1759), Preuves, 8, p. 346.
[860] Bibliotheca Sebusiana, Centuria II, XLVI, p. 257.
[861] Mallet (1843), Tome II, Documents, VII, p. 23.
[862] Mallet, E. (ed.) Mémoires et documents publiés par la société d´histoire et
d´archéologie de Genève (Geneva, 1845), Tome IV, Documents, I, p. 11.
[863] Spon (1730) Histoire de Genève (Geneva), Tome II, Preuves, I, p. 3.
[864] Obituaires de Lyon I, Diocèse de Lyon, Abbaye de Saint-Claude, p. 282.
[865] Bibliotheca Sebusiana, Centuria II, XLVI, p. 257
-3877-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
FMG
Armoiries
D'argent à la bande d'azur accompagnée de deux lions du même. Blason utilisé par
Aymon Ier.
in Armorial Genevois de J.B. BLAVIGNAC - Vitrail de l'abside de l'église du
monastère royal de Brou (01 - Bourg en Bresse) - Armorial général, J.B. Rietstap.
tome 1 page 759 (Comtes de Genevois)
Fonts:
- persona: A.Euverte(Foras, Armorial et Nobiliaire de Savoie, III, 84) 17.xii.2006, J-P
de Palmas (armoiries: Armorial Genevois de J.B. Blavignac et FMG ) ix 2010
11.894.581:
Le fait qu'Ida de Faucigny soit dame de Glane la fait parfois appeler Ida de Glane.
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (généalogie d'Aymon 1er de Genève sur Wikipédia)
03 viii 2009
11.894.581a:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pierfit, 31vii2008)
- família: N de Meyrignac (base pierfit, 31vii2008)
11.894.582:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009
11.894.583:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009,
E.Visseaux/P.Pluchot
- família: Jean-Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009
11.894.583b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( ESS XIV Faucigny) 9 iii 2010, L.Guion
- família: D.de Raugl/E.Arminjon, Emmanuel Arminjon, L.Guion
11.894.584:
Fonts:
- família: H.R.Moser/GHSchw
11.894.585:
Citée dans une charte de 1170 comme fille de Pierre de Glane et mère d'Ulrich,
seigneur d'Arconciel, et dans le Nécrologe de l'abbaye d'Hauterive comme épouse
de Rodolphe de Neuchâtel.
Fonts:
- persona: S. Bontron (Medieval Lands 3 Glane) 09.2015
- família: H.R.Moser/GHSchw
-3878-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.588:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
11.894.589:
m KUNIGUNDE von Wasserburg, daughter of ENGELBERT Hallgraf, Graf von
Attel, Lindburg und Wasserburg & his wife Hedwig von Formbach (-4 Sep [1168 or
after]). Her parentage and marriage are confirmed by the charter dated to [1160]
under which "Dominus Ditericus Comes et soror eius Domina Chunegundis
Comitissa de Ura cum filiis suis" donated property to Reichersberg monastery, with
the consent of "fratre suo Domino Gebhardo Comiti Hallensi"[1653]. The necrology
of Zwiefalten records the death "II Non Sep" of "Chunigunt com de Urah"[1654].
Graf Egino [III] & his wife had [three] children.
[1653] Monumenta Reichersbergensia, Codex Traditionum CXXI, Monumenta Boica
Vol. III, p. 474.
[1654] Necrologium Zwifaltense, Konstanz Necrologies, p. 240.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
11.894.590:
Berthold IV de Zähringen, né vers 1125, mort le 8 décembre 1186, fut duc de
Zaehringen de 1152 à 1186 et comte de Boulogne de 1183 à 1186. Il était fils de
Conrad Ier, duc de Zaehringen et de Clémence de Namur.
Peu après son avènement, soutenu par l'empereur Frédéric Barberousse, il prépare
la conquête du comté de Bourgogne, mais finalement Frédéric préfère épouser
l'héritière du comté qui échappe à Berthold. En compensation, il reçut en 1156 le
titre de recteur de Bourgogne et l'autorité sur les villes de Genève et Lausanne,
puis sur Zurich en 1173. En 1157, Berthold avait fondé la ville de Fribourg. Par
mariage, il acquiert également le comté de Boulogne.
Mariages et enfants
Il épousa en premières noces Hedwige de Froburg († 1183), et eut :
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010
- defunció: G.KEPEKLIAN (25 iv 2006
http://www.ahneninfo.com/de/genealogien/tschudijakob.htm)
- família 2: O.Guionneau (site fmg.ac/; 22 V 07)
11.894.591:
Edith (Heilwig) von FROHBERG
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ WW-Person
-3879-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.894.591a:
Biographie
Il succéda à son père Bertold IV à partir de 1186. Il réussit à imposer son pouvoir
sur la noblesse de Bourgogne et occupa l'actuel Oberland bernois ainsi que la
région du Lac des Quatre-Cantons. Il élargit la ville de Thoune et fonda Berne en
1191. Cette nouvelle cité devint le centre de son territoire. Sa défaite lors de la
bataille d'Ulrichen en 1211 marqua la fin des tentatives pour accéder au pouvoir en
Valais. En 1198, il fut désigné à Cologne comme successeur de Henri VI du Saint-
Empire mais renonça au profit de Philippe de Souabe qui lui donna en échange des
territoires au sud de l'Allemagne et au nord de la Suisse (Ortenau, Brisgau,
Schaffhouse et Vieux-Brisach). En 1200, il lança les travaux d'agrandissement de
l'église de Fribourg qui deviendra le monastère de Fribourg à partir de 1250. La
fontaine des Zähringen à Berne et un autre monument dans la ville lui rendent
hommage. Portrait «de gueules à un lion d'or».
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ WW-Person, Emmanuel Arminjon, J-P de Palmas
(wikipedia) ix 2010
- família: Emmanuel Arminjon, H.R.Moser/EuSt-I.2/265
11.894.591c:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ WW-Person
11.894.608:
Dans la seconde moitié du XIIe siècle, les seigneurs de Montréal accèdent aux
premières places du duché : Anséric II reçoit la fonction de sénéchal de Bourgogne,
c'est à dire de chef des armées ducales, de son retour de croisade en 1150 jusqu'à
sa mort en 1174. Son fils accède à la même dignité, il meurt en croisade devant
Saint-Jean d'Acre en 1191. Plusieurs actes donnent à Anséric III le titre de comte
de Montréal, titre qui n'était porté que par les plus grands seigneurs. A son retour
en 1150, il fait construire la collégiale de Montréal. Il est décédé un 26 janvier de
1176 ou de 1177.
Iconographie
Saint-Bernard prêchant la deuxième croisade, à Vézelay, en 1146
Fonts:
- persona: M.Masseroni(E.Petit), J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne)19/05/2006,
J-P de Palmas (Famille des Anséric de Montréal) v-2009
- naixement: J-C de Vaugiraud (Déduction d'après le décès de son père en 1119)
01/11/2006
- defunció: "Montréal à sire de Chastellux", 2013
- casament: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne)19/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Toucy) 18/01/2006, JB.de La Grandiere
("Montréal à sire de Chastellux", qui modifie et complémente 2013) 18 xii 2014
11.894.609:
Donnée suivant les sources:
1° soit fille de Manassès de Pleurs et d'Helvide de Montmort et veuve d'Hélie de
-3880-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Montmirail, canevas que j'ai retenu compte tenu de la chronologie
2° soit fille d'Hugues de Pleurs et de N de Roucy.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E. de Saint Phalle : "Montréal à Sire de Chastellux",
2013, p. 72) 13 x 2016
- família 1: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- casament 2: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne)19/05/2006
- família 2: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Toucy) 18/01/2006, JB.de La Grandiere
("Montréal à sire de Chastellux", qui modifie et complémente 2013) 18 xii 2014
11.894.609c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Roserot: Arcis sur Aube)19/05/2006
- casament: JB de La Grandière 4/12/2017 / "Montréal à sire de Chastellux" p.531,
2013
- família: J-C de Vaugiraud (Roserot: Arcis sur Aube)19/05/2006
11.894.609e:
Mort sans postérité
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", 2013) 18 xii 2014
11.894.609-1b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 150 p.92)19/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne;Dict. Yonne; Saint-Florentin)19/05/2006
11.894.610:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson - M. Masseroni (G.Sirjen vol.IX)
11.894.611:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson, J-P de Palmas (Seconde et troisième maisons des comtes
de Chalon ) x2009
- naixement: Europäische Stammtafeln t III-3 p 433 (Chalon) Marburg 1985
11.894.611a:
Senza matrimonio
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/M.Masseroni(E.Petit - Histoire des ducs de Bourgogne de
la race capétienne - Paris1885)
11.897.872:
/D'après C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux", il s'agirait de
/Pons.
JBLG 9/1/2017
H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-
320, Versailles 2006 dit la même chose et élargit la fratrie : je transforme le
prénom en Pons et crée un Brenguier + 1225, sans descendance
Fonts:
-3881-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9 i 2017
- família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011
11.897.873:
Poiolas, en langue d'oc est l'actuel Poilhes en français ; JBLG 9/1/2017
Fonts:
- persona: J-L. Dega, C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011, JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in "
Filiations Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006 ) 9 i 2017
- família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011
11.897.873a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9 i 2017
11.897.874:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9 i 2017
11.897.875b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9 i 2017
11.897.888:
Château de Brissac
Pons de Laraze et ses compagnons ne prirent pour tout équipage qu'un méchant
habit un bâton et une besace et commencèrent leur pèlerinage nuds pieds Ils
prirent le chemin de l abbaye de St Guilhem du Désert où ils arrivèrent le
lendemain jour du Vendredi Saint.
Ils y trouvèrent un grand nombre de chevaliers & beaucoup de peuple des environs
qui étoient accourus pour y adorer le morceau de la vraie croix dont Charlemagne
avoit fait présent à cette abbaye dans le tems de sa fondation. Raymond Pierre de
Ganges seigneur du voisinage s'y rencontra & engagea les pèlerins à venir passer la
fête de Pâques avec lui dans son château situé dans les Cévennes à l extrémité du
diocèse de Maguelonne.
Pons et ses compagnons en partirent le lendemain prirent la route de St Jacques en
Galice (1135, Histoire du Languedoc, Tome II page 422)
Il fut témoin en 1140 à une donation que Berenguer Ramon comte de Provence, fit
en faveur de Guillaume de Montpellier.(1140, Histoire du Languedoc, Tome II page
493)
Il est compris comme l'un des principaux barons et châtelains de l'église de
-3882-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Maguelonne, à qui le roi Louis Le Jeune permit d'exercer la justice civile et
criminelle, dans la charte que ce prince donna, l'an 1161, en faveur de la même
église. (1161, Histoire du Languedoc, tome II page 475)
Les auteurs anciens et à leur suite de plus récents (cf Lina Malbos) identifiaient
Vierne, comme Vierne d'Anduze, une hypothétique soeur de Bernard d'Anduze et de
Raymond de Roquefeuil.
Dans l'état actuel, aucun acte (défendant l'option Anduze) ne nomme expressément
Vierne, autrement que par son seul prénom, alors que l'option Brissac (défendue
par Claudie Duhamel-Amado ) est confirmée par un acte n°368 de l'abbaye de
Gellone, daté de 1170, qui cite "Vierna de Breisac, que fuit filla den Ponszo
Daguo".b.
alors que:
a
Lina Malbos donnait le tableau suivant:
Références
-3884-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Hubert de Vergnette de Lamotte dans Les Filiations Languedociennes, 2006, en
citant:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 12/08/05, C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado
"Genèse des lignages méridionaux") 7v2006, J-P de Palmas (Les premiers sires
d'Anduze)
- defunció: J-P de Palmas (testa en mars 1172)
- família: Joël Chirol (base familiale) 12/08/05, J-P de Palmas (Hubert de Vergnette
de Lamotte, Filiations Languedociennes) 23 ii 2011
11.897.889:
Très probablement: "Ainsi, en 1170, domina Vierne de Brissac fait-elle serment et
hommage à l’abbé de Gellone (d'après P. Alaus, L. Cassan et E. Meynial, Cartulaire
des abbayes d'Aniane et de Gellone, Cartulaire de Gellone, Montpellier, 1897, n°
543, p. 465).""De la même façon, Vierne de Brissac, dans un serment à l’abbé de
Gellone en 1170, s’exprime ainsi : amiga et fidels te serai e bona fedeltat te tenrai
-3885-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(Gellone, n° 368, p. 299). Non seulement une femme vassale peut parfaitement
remplir ses obligations, mais de plus ces quelques textes manifestent qu’il n’est pas
impensable de féminiser substantifs et adjectifs pour la désigner : il s’agit donc
d’une véritable reconnaissance de la vassalité féminine."
J-C de Vaugiraud (Hélène Debax: Le lien d’homme à homme au féminin. Femmes et
féodalité en Languedoc et en Catalogne) 27 ii 2011
-3886-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Note de Claire Saint-Félix : Aucune preuve n'a pour l'instant été apportée de
l'appartenance de Vierne à la famille d'Anduze, ni du fait qu'elle soit la soeur de
Bernard d'Anduze et de Raymond de Roquefeuil. Claudie Duhamel-Amado donne
l'ascendance de Vierne. Cette ascendance est confirmée par un acte n°368 de
l'abbaye de Gellone, daté de 1170,qui cite "Vierna de Breisac, que fuit filla den
Ponszo Daguo".2
Références
Fonts:
-3887-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006, J-P de Palmas (synthèse sur le débat relatif à l'origine de Vierne) 27ii2011
- família: Joël Chirol (base familiale) 12/08/05, J-P de Palmas (Hubert de Vergnette
de Lamotte, Filiations Languedociennes) 23 ii 2011
11.897.889b:
Guilhaume de Pierre reçu de son père les châteaux, villes, terres, appartenances de
Gignac et de Poupian depuis le causse Saint-Guilhem jusqu'à Gignac.
On présume qu'il prit l'état écclésiastique, et qu'il fut élu évêque d'Alby, en 1185,
par la raison du même nom et surnom, par la raison de la proximité des lieux de
Ganges et d'Alby, et par celle que les terres de Gignac et de Poupian, passèrent à
Pons de Pierre,son frère ainé, qui donna en 1204, à Pierre , roi d'Aragon, celle de
Poupian en alleu, et la reprit en fief dudit roi, et disposa de toutes deux par
testament en 1218.
Guilhaume fut donc évêque d'Alby, après avoir été chanoine dans la même ville.
Il fit un traité de paix, pendant cinq ans, avec Raymond, comte de Toulouse, en
1191.
Il fit donation, en 1193, aux chanoines de Sainte Cécile d'Alby, des églises de
Lincargues et de Cahusac, des Dimes, des prémices et autres droits en dépendant,
avec réserve des droits épiscopaux.
Il permit, par acte en 1220, aux habitants d'Alby, de disposer de leurs biens par
testament, se réservant la succession de ceux qui, n'ayant point de parents,
mouraient ab intestat.
Cet évêque, après avoir fait des biens immenses à son chapitre par quantité de
donations, se démit de son évêché, en 1228, entre les mains du cardinal ROMAIN
du titre de Saint Ange, légat du Saint Siège.
Fonts:
- persona: F. de Bernis (Généalogie de la Maison de Pierre de Bernis par Ludovic de
Bernis en 1933)
11.897.889c:
Fonts:
- persona: F. de Bernis (Généalogie de la Maison de Pierre de Bernis par Ludovic de
Bernis en 1933)
11.897.952:
Fonts:
- persona: (http://www.gros.nom.fr/pag171.htm#41), JB.de La Grandiere (Florian
Mazel in "La Noblesse et l'Eglise de Provence", p.616 -d'Agoult) 23 vi 2015
- família: H.R.Moser/Anselme-II/241
11.897.953:
-3888-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-II/241
11.897.954:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-II/241, P.de Loriol (Jean Gallian) 2 i 2018
11.897.955a:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY
- família: O.AUFFRAY, J-P de Palmas
(http://gillesdubois.blogspot.com/2005/08/nobiliaire-de-provence-barras.html)
11.897.958:
Raymond Beranger IV confisque par représailles les fiefs de Cotignac Carcès de la
Famille d'Adalbert et les reunit à ses domaines.Guillaume de Rheza était le tuteur
de sa dernière fille Béatrice. Pour lui témoigner sa reconnaissance, le comte lui
infeode Cotignac Carcès Flassans le 4 /2/ 1253.
Armes : d'argent à un franc quartier d'azur chargé d'une étoile d'or. Ces armes
sont actuellement celles de la commune de Carcès.
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base lourigau, 14viii2008)
- família: N de Meyrignac (base lourigau, 14viii2008)
11.897.959:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (base lourigau, 14viii2008)
11.898.370:
Armes
De gueules à une aigle échiquetée d'argent et de sable, le vol abaissé.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikisource)
11.898.371b:
Voir sa biographie
Armes
De gueules à une aigle, au vol abaissé, échiquetée d'argent et de sable.
Il était de la même maison qu'Arnaud de Comps, dont nous avons parlé ci-dessus.
Elu en 1236 il mourut en mai 1239, mais on trouve aussi la date de 1241 et même
1242.
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base mgiunti2) 12 ix 08, J-P de Palmas (wikisource)
-3889-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.898.383:
BEATRICE FitzWilliam . The Gesta Stephani Regis records that "Willelmus filius
Ricardi…[in] comitatus Cornubiensis" rebelled against King Stephen and married
"filiam suam" to "Reinaldo filio regis Henrici", dated to [1140/42][966]. The
primary source which confirms her name has not yet been identified. She is called
Mabilia in Domesday Descendants[967]. m ([1141]) RENAUD [de Dunstanville],
illegitimate son of HENRY I King of England & his mistress Sibyl Corbet
([1110/15]-Chertsey, Surrey 1 Jul 1175, bur Reading Abbey). He was created Earl
of Cornwall in [Apr 1141] by his half-sister Empress Matilda.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 31 i 2015
- naixement: T.Blanchet(Moore Family Tree)
- defunció: T.Blanchet(Moore Family Tree)
11.898.383b:
Fonts:
- persona: M.Thompson
11.898.383c:
Fonts:
- persona: M.Thompson
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier - H&G 2004, p. 56)
11.898.383f:
Fonts:
- persona: C Patrouix : Données Wedgwood
- família: C Patrouix : Données Wedgwood
11.898.384:
Il s'attaque aux pélerins de passage au Puy. Louis VII organise une expédition
contre lui ; il est fait prisonnier et emmené à Paris en 1169. Il ne sera libéré qu'en
1171 selon Alice Saunier-Séïté.
Voir ses démêlés avec l'évêque du Puy et le Roi de France dans: Jean-André-Michel
Arnaud, Histoire du Velay, p 128 à 134: id=qm0OAAAAQAAJ&pgbooks=PA128&d=
J-C de Vaugiraud
Attaque les biens de l'Eglise et eut à affronter les armées du roi Louis VII qui le fit
prisonnier en 1169 et emprisonner au Louvre. En 1771, il abandonna son fief de
Cereix à l'évêque du Puy. En 1190 il accompagna Philippe Auguste en Terre Sainte.
Après sa mort, les Polignac et les Tournon se battirent pour l'héritage du fief de
Ceyssac.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG), S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie
de la Maison de Polignac - 2002)23.04.2016
- família: J-P de Palmas (FMG)
-3890-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.898.385:
Ceyssac (Ceissac, Ceyssacum, Cezac, Saissac, Sesacum), village, dominé par les
ruines d'un château, est situé à quelques kilomètres à peine de la ville du Puy.
En 1760, ce castel était déjà inhabitable.
Cette seigneurie entra dans la maison de Polignac par le mariage de Pons III,
vicomte de Polignac (1142-1173), avec Guillaumette de Ceyssac, dame dudit lieu.
A cette époque (1263 env.) ce fief comprenait les mandements du Cheylon, du
Charrouil et peut-être, de Vernassaux, les domaines de Mestrenac et Chadenac, les
villages de Lanthenas et de la Chazotte.
Bibliographie
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Le nobiliaire du Velay et de l'ancien diocèse du Puy (noms
féodaux) par le vicomte Gaston de Jourda de Vaux, 1924) iv 2010
- família: J-P de Palmas (FMG)
11.898.385c:
Bâtard de Polignac. Etienne de Beaurepaire (Jacques Juillet, "les Luquet du
Chaylar" in BSEL, tome CXXII, premier fascicule, 2001) 10/05/10
Ne figure pas dans la généalogie des Polignac de Georges Martin de 2002 (S.de
L'Espinay)
Fonts:
- persona: Etienne de Beaurepaire (Jacques Juillet, "les Luquet du Chaylar" in BSEL,
tome CXXII, premier fascicule, 2001) 10/05/10, J-C de Vaugiraud (Voir sources sur
la fiche d'Etienne) 21/03/2009, M.Rérolle (même source : Arnaud, p. 133)
- família: Etienne de Beaurepaire (Jacques Juillet, "les Luquet du Chaylar" in BSEL,
tome CXXII, premier fascicule, 2001) 10/05/10
11.898.392:
JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de Venizy du
XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube t CXXXII
2008) 4 iv 2010
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009, F
-3891-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'Avigneau (geneanet aurejac), JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les
seigneurs de Trainel et de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La
Société Académique de l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- defunció: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família: F d'Avigneau (geneanet aurejac), Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base
Pierre de Bruger) 16 vii 2009
11.898.393:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família: F d'Avigneau (geneanet aurejac), Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base
Pierre de Bruger) 16 vii 2009
11.898.393a:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família: JB.de La Grandiere ( ES III-4 taf. 681 Brienne, 1989 ) 13 xii 2011
11.898.393b:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet aurejac),JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :"
Les seigneurs de Trainel et de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La
Société Académique de l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- defunció: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família: F d'Avigneau (geneanet aurejac)
11.898.393d:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
11.898.393e:
-Marien, demande au roi Louis
VII dit Louis le Jeune de fortifier l’abbaye de Villeneuve en échange contre des
terres de l'abbaye ; ce afin de préserver les religieuses de "Vaul Parfunde" contre
les incursions de toutes sortes (Abbé Brissot, Notice sur Villeneuve-le-Roi, Bulletin
de la Société archéologique de Sens, 1846).
-Marien à côté de l'église Saint-Martin ("Auxerre, église Saint-
Martin-Lès-Saint-Marien", ANR Corpus architecturae religiosae europeae (CARE)
IVe-Xe s.).
Robertus Altissiodorensis, Robert de Saint-
Marien d'Auxerre)(1156-1212), religieux prémontré, chanoine à l'abbaye Saint-
Marien d'Auxerre, fit son éloge.
Ch. Faucherand, 14 x 2017.
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
-3892-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.898.396:
de Mello . The identity of the father of Dreux de Mello, ancestor of the Mello family
of Burgundy, has not been established. He was presumably a member of the Mello
family which is set out above, but this cannot be confirmed. Dreux´s estimated
birth date is consistent with Dreux having been a younger son of Dreux [II]
Seigneur de Mello, born from his otherwise unrecorded second marriage to Agnes,
but this is mere speculation. It is also possible that Agnes´s husband was an
otherwise unrecorded brother of Dreux [II].
m as her second husband, AGNES, widow [firstly] of GUILLAUME de Garlande and
[secondly] of --- Mauvoisin, daughter of ---. Her three marriages are indicated by
the undated charter (dated to after 1166) under which "Robertus comes Mellenti"
confirmed donations to Gournay Sainte-Marie made by "pater meus Galerannus
comes et mater mea Agnes", in the presence of "Willelmus de Garlanda, Robertus
Malusvicinus et Drogo de Mello fratres…"[1204]. The order of the brothers in the
document presumably signals their relative seniority by age, and therefore the
order of their mother´s three marriages. However, the charter dated 1177 under
which [her son] “Drogo de Merloto” donated property from "Mintriaci" (Nitry) to La
Charité-sur-Loire, for the souls of “fratris mei Roberti et Vuillelmi ibidem
sepultorum”[1205], suggests that Robert Mauvoisin may have been older than
Guillaume de Garlande. The order of Agnes´s marriages is not therefore clear. It is
assumed that Agnes was heiress to territories in Burgundy which passed to her son
Dreux. A different indication is provided by a pair of charters of La Charité-sur-
Loire, dated 1177, relating to Nitry (identified as located in Tonnerre), which
specify that the land was the fief of “Vuillermo de Merloto”[1206]. If the latter can
be identified as Guillaume Seigneur de Mello (see below), this would suggest that
the Burgundian properties were held by the Mello family before the marriage of
Dreux´s parents. One child:
a) DREUX de Mello ([1130/40]-3 Mar 1218). His estimated birth date is suggested
by his estimated marriage date. Given that Dreux [I] was named in 1216, it is likely
that he was born during the later part of the range. "Robertus comes Mellenti"
confirmed donations to Gournay Sainte-Marie made by "pater meus Galerannus
comes et mater mea Agnes", in the presence of "Willelmus de Garlanda, Robertus
Malusvicinus et Drogo de Mello fratres, Willelmus Malusvicinus, Manasses frater
eius…", by undated charter dated to after 1166[1207]. Connétable de France 1191.
- SEIGNEURS de SAINT-BRIS.
[1204] Pontoise Saint-Martin, Fascicule 3, Appendix, p. 259, quoting A. N. LL 1397
fol. 22.
[1205] Lespinasse, R. de (ed.) (1887) Cartulaire du prieuré de la Charité-sur-Loire
(Nevers) (“La Charité-sur-Loire”), LXXIII, p. 167.
[1206] La Charité-sur-Loire, LXXIV, p. 168.
[1207] Pontoise Saint-Martin, Fascicule 3, Appendix, p. 259, quoting A. N. LL 1397
fol. 22.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 22 v 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 22 v 2014 et 2017
11.898.398:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Nicolas Ioos) 12 vii 2016
- família: J-M.Thiebaud (base Nicolas Ioos) 12 vii 2016
11.898.399:
Fonts:
- persona: , JB.de La Grandiere ( E. de Saint Phalle "Etude de la famille de Toucy"
2009 ) 10 vi 2010
- família: J-M.Thiebaud (base Nicolas Ioos) 12 vii 2016
-3893-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.898.399b:
Fonts:
- persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), F d'Avigneau
(geneanet pdes)
- família 2: F d'Avigneau (geneanet pdes)
- família 3: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)
11.898.400:
Seigneur de la baronnie de Peyre, sise dans le nord-est du Gévaudan. Il possède
également de nombreuses terres en Carladais. Sa famille est l’une des plus
puissantes du pays et elle donne un nombre considérable de fils à l’Église, en
particulier à celle de Mende et à l’ordre de Saint-Victor-de-Marseille.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Héraldique)
- família: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) v 2010
11.898.401:
L'abbé Nadaud lui donne comme mari "Hélie de Peyre"; si l'on retient les dates
comme argument principal, il est assez vraisemblable que cet Hélie et Astorg IV de
Peyre soient la même personne.
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Abbé Nadaud - Nobiliaire du diocèse et de la
généralité de Limoges)
- família: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) v 2010
11.898.401b:
Guillaume II de Peyre
Les sources citent Guilhelmus II de Petra, second évêque à porter ce prénom après
le Guillaume qui siégea de 1123 à 1150, toutefois l’actuelle liste des évêques de
Mende place ce personnage en quatrième position après les deux premiers
Guillaume dont les épiscopats remontant à 908 et à 1095-1098 ont été
redécouverts.
Noble gabalitain, il est le fils d’Astorg (IV), seigneur de la baronnie de Peyre, sise
dans le nord-est du Gévaudan. Son père possède également de nombreuses terres
en Carladais. Sa famille est l’une des plus puissantes du pays et elle donne un
nombre considérable de fils à l’Église, en particulier à celle de Mende et à l’ordre
de Saint-Victor-de-Marseille. Il est l’arrière-petit-neveu d’Aldebert II de Peyre,
évêque de Mende de 1099 à 1123, qui était lui-même le neveu d’Aldebert Ier de
Peyre, évêque de 1054 à 1095. Plusieurs érudits pensent que Guillaume, évêque de
Mende en 908, serait également issu de la maison de Peyre, mais rien ne l’atteste.
Guillaume II est, semble-t-il, apparenté à Bertrand de Peyre, grand-prieur de Saint-
Victor-de-Marseille en 1185, et à Aldebert de Peyre, prieur de Saint-Léons, en
Rouergue, relevant de Saint-Victor, en 1212. Il est l’oncle d’Armand, prévôt de
Mende (242), de Guillaume, archidiacre de Mende (245), et d’Aldebert, prieur de
Saint-Sauveur de Chirac, de l’ordre de Saint-Victor, de 1212 à 1235. Le roi Jacques
d’Aragon le dit son consanguin et tous deux descendent de deux petites-filles de
Gilbert Ier, vicomte de Carlat (en 1010).
Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae – diocèse de Mende »,
Turnhout, Brepols, 2004.
Son épiscopat
En 1187, il succède à Aldebert III du Tournel à la tête de l'évêché mendois.
Aldebert III du Tournel avait été le premier à se reconnaître vassal du roi de
France, et avait obtenu une bulle d'or assurant les droits régaliens aux évêques de
-3894-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Mende.
La politique menée par Aldebert III du Tournel puis Guillaume de Peyre exaspère
les Mendois qui l'expulsent de la ville. Il ne peut la réintégrer qu'en 1194[3]. C'est
à lui qu'on accorde l'initiative de la construction du château de Chanac en cette
année 1194[4]. Ce château faisait sans doute face à celui des rois d'Aragon, tenu
par le bailli Nicolas.
Cette même année 1194, il est chargé par le pape Honorius III d'arbitrer un conflit
entre l'évêque du Puy et les habitants du Velay[3]. En 1207 il fonde l'abbaye de
Mercoire, une abbaye répondant à la règle de l'ordre de Citeaux, qu'il met sous
dépendance de l'abbaye de Mazan en Vivarais[4].
En juillet 1209, profitant de la croisade contre les Albigeois, il chasse le
gouverneur de Marvejols, Bernard de la Salle, et prend possession du château de
Grèzes, s'assurant ainsi la possession de la vicomté éponyme, également nommée
vicomté de Gévaudan. Il garde ainsi la vicommté au nom de son beau-frère Pierre II
d'Aragon[5].
À la mort de Pierre II, Guillaume de Peyre confisque les possessions aragonaises en
Gévaudan au nom de l'église. Le pape Honorius III lui demande, le 2 juin 1217, de
les restituer au jeune roi Jacques Ier. Il rend donc rapidement le château de Grèzes
à Géraud de Peyre, parier du roi et Marvejols à Arnaud de Roquefeuil. Cependant il
se refuse en revanche de livrer la vicomté à Guillaume de Saint-Vincent, estimant
ne pas avoir été remboursé de ses frais de garde[4],[5].
1. Félix Buffière, Ce tant rude Gévaudan [détail des éditions], tome I, chap.
13, p.371
2. Charles Porée, Les évêques-comtes de Gévaudan, bulletin du Gévaudan
3. a et b JBE Pascal in Gabalum Christianum, pp. 195 à 198, disponible sur
(fr) Google Books [archive]
4. a, b, c et d Philippe Maurice, « Fasti Ecclesiae Gallicanae – diocèse de
Mende », Turnhout, Brepols, 2004
5. ↑ a et b Félix Buffière, Ce tant rude Gévaudan [détail des éditions], tome
I, chap. 17, p. 495 à 498
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) v 2010
11.898.416:
ES XIV, T. 102 et Lauranson-Rosaz suivis pour son ascendance !
J-C de Vaugiraud 26/03/2010
Fonts:
- persona: H.de Riberolles(Remacle), J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- família: H.de Riberolles(Remacle), J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
11.898.417:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- família: H.de Riberolles(Remacle), J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
-3895-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.898.417b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
11.898.417c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
11.898.417d:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
11.898.417f:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Remacle, II, p. 307) 05/02/07
- família: M.Rérolle (Remacle, II, p. 307) 05/02/07
11.898.428:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(message de Tristan ROBET)
- família: H.deRiberolles(message de Tristan ROBET)
11.898.429:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(message de Tristan ROBET)
- família: H.deRiberolles(message de Tristan ROBET)
11.898.624:
Fonts:
- persona: J-Louis Dega
- família: J-Louis Dega
11.898.625:
Fonts:
- família: J-Louis Dega
11.898.625a:
Fonts:
- persona: J-Louis Dega
- família: J-Louis Dega
11.898.625c:
Fonts:
- persona: J-Louis Dega
11.899.904:
Qualifié de chevalier dans un titre de 1083.
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 340) 31/3/06, S. de L'Espinay (rectification
nom patronymique)28.10..2013
11.899.905b:
-3896-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Albert de Remacle Dict Généalogique Familles
d'Auvergne t. 3 pp. 340/347 ARGHA Clermont-Fd 1995) 29 iv 2017
11.899.908:
En 1076 il est question d'un autre Hugues II de Castelnau, fils du précédent, qui
fait des travaux de construction dans le château. Il semblerait que l'emplacement
initial du château était plus proche de Bretenoux avant d'être construit sur le site
actuel.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Famille de Castelnau) 5 iii 2013
- naixement: J-P de Palmas
11.900.096:
Richard III de Millau, mort en 1135, fut un vicomte de Carlat, vicomte puis comte
de Rodez à partir de 1112. Il était fils de Bérenger, vicomte de Millau et de Rodez,
et d'Adèle, vicomtesse de Carlat et de Lodève.
Il partagea les titres de ses parents avec son frère Gilbert : il reçut les vicomtés de
Rodez et de Carlat, tandis que Gilbert devint vicomte de Millau et de Lodève. Ce
dernier s'intitulera par la suite comte de Gévaudan et deviendra comte de
Provence par son mariage avec la comtesse Gerberge de Provence.
Richard resta vicomte plus longtemps, n'étant en fait qu'un officier de Raymond de
Saint-Gilles, comte de Toulouse et de Rouergue. Mais Raymond s'engagea dans la
première croisade et, pour financer sa participation, engagea une partie de la ville
de Rodez à Richard.
Raymond était un comte puissant, capable de tenir tête à ses ennemis, notamment
son voisin Guillaume IX d'Aquitaine qui, marié à une nièce de Raymond,
revendiquait le comté de Toulouse. Bertrand de Toulouse, le fils de Raymond, eut
d'énormes difficultés à se maintenir face à Guillaume, puis partit en Terre Sainte,
laissant le comté de Toulouse à son demi-frère Alphonse Jourdain, qui eut
également à lutter contre Guillaume. Profitant de ces temps d'anarchie et de
troubles, le vicomte Richard acquit peu à peu les prérogatives du comte Rouergue
et s'intitula en 1112 comte de Rodez.
L'histoire n'a pas retenu le nom de son épouse et ne mentionne qu'un seul fils :
Hugues Ier († 1159)
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 22 iv 2013
- família: J-P de Palmas (wikipedia) 22 iv 2013
-3897-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.900.097:
Adélaïde pourrait appartenir à la famille des comtes de Provence Forcalquier et
être la veuve d'Ermengol IV de Urgel. Dans ce cas, son second mariage avec
Richard serait postérieur à 1092. (Note de Jean-Louis Dega, d'après l'ouvrage
d'Armand de Fluvià sur les premiers comtes et vicomtes de Catalogne)
Fonts:
- persona: Jean-Louis Dega
- família: J-P de Palmas (wikipedia) 22 iv 2013
11.900.528:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010
- família: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010
11.900.529:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010
11.900.529b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010
- família: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010
11.900.536:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
- naixement: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012
- família: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
11.900.537:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
- família: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
11.900.537b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y Tonnerre, "naissance de la Bretagne") 18xi2012
11.900.537c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y Tonnerre, "naissance de la Bretagne") 18xi2012
11.900.537d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y Tonnerre, "naissance de la Bretagne") 18xi2012
11.900.537e:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y Tonnerre, "naissance de la Bretagne") 18xi2012
11.908.096:
-3898-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
11.908.097:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
11.908.100:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.908.101:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.908.102:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
1x2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
1x2008
11.908.103:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
1x2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
1x2008
11.908.103a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
1x2008
11.908.103b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
1x2008
11.911.232:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (fiefs +) 12 vi 2014
- família: J-L. Dega
11.911.233:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.911.234:
-3899-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
11.911.235:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
11.911.235b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
11.911.258:
Fonts:
- persona: A.Euverte(Guienne historique et monumentale par Alex. Ducourneau
tome I page 6)24.viii.2006
- família: A.Euverte(Guienne historique et monumentale par Alex. Ducourneau tome
I page 6)24.viii.2006
11.911.259:
Fonts:
- família: A.Euverte(Guienne historique et monumentale par Alex. Ducourneau tome
I page 6)24.viii.2006
11.911.259a:
Fonts:
- persona: A.Euverte(Guienne historique et monumentale par Alex. Ducourneau
tome I page 6)24.viii.2006
11.911.259b:
Fonts:
- persona: A.Euverte(Guienne historique et monumentale par Alex. Ducourneau
tome I page 6)24.viii.2006
11.911.263-1b:
A propos de Burlats
Le nom de Burlats apparaît dans les actes dès 973. La petite cité a joui très tôt la
faveur des Trencavel, seigneurs d'Albi, de Carcassonne et de Béziers. L'époque
romantique nous raconte que Constance, fille de Louis VI roi de France, et épouse
de Raymond V, comte de Toulouse est venue se retirer à Burlats.
Sa fille Adélaïde a épousé le vicomte Roger II Trencavel dit "Taillefer" défenseur
des Cathares. Adélaïde, la comtesse aux yeux de violette, aurait présidé à Burlats
une "Cour d'Amour" foyer de poésie occitane où son charme, ses qualités de coeur
et de l'esprit lui valaient l'admiration des chevaliers et l'amitié des troubadours.
Les plus assidus et célèbres ont été Arnaud de Mareuil et Alphonse II roi d'Aragon.
À la fin du XV ème siècle, au cours des guerres de religion, Burlats, village fortifié
proche de Castres, fut convoité et pris tour à tour par les armées Catholiques et
Protestantes. Il fut mis à sac et détruit en 1573 et 1628. Les fortifications ont été
démantelées sur ordre de Richelieu en 1631.
Adélaïs Trencavel
Du séjour d'Adélaïde à Burlats, nous ne possédons qu'une seule preuve formelle :
un acte de 1180 par laquelle elle confirme les donations consenties par son mari à
l'abbaye de Sylvanès. Un autre document , bien qu'il ait l'inconvénient d'être tardif,
mérite considération. Il s'agit de la " Vie du troubadour Arnaud de Mareuil ", écrite
à la fin du XIIIe siècle et dont on possède plusieurs manuscrits, où il est précisé
que "astre e aventura conduis la a la cort de la comtessa de Burlats que era filha
-3900-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
del pros comte Raimon". Le texte précise un peu plus loin qu'on appelait Adélaïde
comtesse de Burlats parce qu'elle y avait été élevée. En parlant de " la cort de la
comtessa de Burlats " l'auteur n'aurait donc pas eu nécessairement l'intention de
suggérer que cette cour se tenait à Burlats. Mais les circonstances à plusieurs
reprises de la vie d'Adélaïde le font supposer avec une grande probabilité. En 1178,
elle reçoit à Castres la délégations des Rois de France et d'Angleterre venue
sommer son mari de réprimer l'hérésie, en 1181, elle prend la responsabilité de
faire ouvrir au légat pontifical les portes de Lavaur qui s'étaient fermées devant lui
; en 1185, peu de temps après avoir accouché, elle est à Lacaune avec son mari ;
en 1189, également en sa compagnie, elle est à Belmont, en Rouergue. Bien que
l'on circulât beaucoup à cette époque, on conviendra , à la voir ainsi si souvent
rayonner à l'intérieur ou aux abords immédiats du pays castrais, qu'elle devait plus
habituellement résider à Burlats qu'à Béziers ou Carcassonne. Un indice -
apparemment léger, mais certainement significatif - permet d'avancer que c'est à
Burlats qu'Adélaïde éleva son fils Raymond-Roger. Lorsqu'il aura 20 ans, le
troubadour Cadenet, s'adressant à lui , ne l'appellera pas autrement que " le
vicomte de Burlats ". La mère et le fils auront sans doute vécu habituellement à
Burlats au moins de 1185 - naissance de Raymond-Roger - à 1194, mort de son
père. Jeune épouse, Adélaïde dut par deux fois, en 1178 et 1181, faire face seule, à
la place de son mari, à deux situations délicates qui exigèrent d'elle du sang-froid,
de la rapidité de décision et beaucoup de diplomatie. Cela seul aurait pu retenir
l'attention sur une nature hors du commun. C'est cependant sur un tout autre plan
qu'on a gardé sa mémoire. Ce dont on se souvient, c'est l'exceptionnel attachement
que lui voua Arnaud de Mareuil. Exceptionnel, c'est ce que souligne un bon
connaisseur du monde des troubadours : Arnaud, écrit Faureil, est " un des rares
troubadours qui n'ait aimé et chanté qu'une seule dame ". Sa " Vida " nous apprend
qu'il fut supplanté par Alphonse II Comte de Barcelone, roi d'Aragon, qui exigea
son départ. L'intervention d'Alphonse ne peut être une invention gratuite du
biographe. Pendant vingt ans, de 1166 à 1196, année de sa mort en pleine force de
l'âge, le roi d'Aragon fut plus souvent de ce côté-ci des Pyrénées que de l'autre, en
continuel conflit avec le comte de Toulouse. Plus particulièrement entre 1180 et
1185, Alphonse eut l'occasion de traverser l'Albigeois et sans doute de faire halte à
Burlats. A la mort de son mari en 1194, le testament ne confia pas à Adélaïde la
tutelle de son fils. Cette décision a été interprétée de bien des façons. La plus
simple est sans doute que Roger II considéra que, dans la situation complexe qu'il
laisserait derrière lui, nul ne serait plus à même que Bertrand de Saissac, son
fidèle sénéchal, homme sage, ami très sur ( Roger peu porté, semble-t-il aux
discussions dogmatiques, ne pouvait faire grief à son ami d'être cathare ) pour
défendre les intérêts de son fils écartelé entre deux protecteurs ennemis : son
grand-père ou bientôt son oncle, le comte de Toulouse et son suzerain, le roi
d'Aragon. Adélaïde mourut peu avant Noël 1200, elle fut inhumée auprès de son
mari, à l'abbaye de Cassan, non loin de Béziers. Les romantiques et, après eux,
tous ceux qui ont écrit sur elle, ont été séduits par la personnalité d'Adélaïde dont
les poèmes d'Arnaud de Mareuil décrivent non seulement la beauté, mais les
qualités morales. La vie de cette brillante jeune femme, morte à 42 ans, qui
dédaigne les fastes de la cour de Carcassonne, et s'isole dans un lointain vallon est
enveloppée d'un certain mystère. On devine quels furent ses intimes déchirements
: désillusion d'une épouse dont le mari et sans cesse absent et apparemment
quelque peu indifférent, tristesse de voir se perpétuer la querelle entre son père et
ce mari, qui, par tradition familiale, se devait de prendre le parti de Barcelone
contre Toulouse, inquiétude devant la tension grandissante à l'égard des croyants
cathares qu'elle respectait, e enfin, malgré les consolations de la poésie et
vraisemblablement celles aussi d'une piété très simple reçue de sa mère,
mélancolie d'un amour impossible. Extrait du site de la mairie de Burlats
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse
de Carcassonne, t.V, de M.Mahul)
- casament: J-P de Palmas (cm de 1168 et 1172 par Evêque Othon)
-3901-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
11.911.263-1c:
Fonts:
- persona: S. Bontron (Anselme, VII), H.R.Moser/EuSt-III/4-764
- naixement: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006
- família: S. Bontron (Anselme, I et VII)
11.911.263-1d:
D'après L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage",il serait né à Paris à la
fin de l'année 1165 ou au début 1166. (1) Il fut pendu sur ordre de son frère
Raymond VI. Source : Héraldique.&.Généalogie 138 p 138.
Le seigneur de Castelnau-Montratier et ses voisins les seigneurs de Montpezat et
de Mondenard s'emparent de Beaudouin, frère du Comte de Toulouse passé au
service de Simon de Montfort et retiré au château de Lolmie, près de Montcuq.
Trahi par son hôte, Beaudouin est amené à Montauban et il est pendu sur l'ordre
de son frère le Comte de Toulouse Raymond VI.
Selon l'Historia Abligensis [282],"il porta les mêmes armoiries (que la comté de
Toulouse)"
Baudouin, frère de Raymond VI, eut des revirements inattendus, qui s'expliquent
sans doute, mais qui surprennent. Il est vrai qu'il n'avait pas à se féliciter de son
frère : catholique sincère, il n'entrait pas une seule fois au palais sans y entendre
des propos hérétiques ; né du même amour conjugal, il s'était vu repousser par le
Comte comme n'étant pas son frère, et il n'avait pas fallu moins que le témoignage
de la Cour de France pour faire tomber des répulsions inexplicables : admis enfin
dans la famille du Comte, il n'y jouissait d'aucun crédit, pas même de l'affection qui
est naturelle entre frères. Mais, justement, ne devait-il pas craindre de paraître
obéir à une rancune, en prenant parti contre le Comte ? Placé entre sa foi et son
affection, ne devait-il pas avoir le souci de ne blesser ni l'une ni l'autre? Son intérêt
même ne lui conseillait-il pas de laisser tous les torts du côté de celui qui l'avait
offensé jusqu'à l'outrage ? L'abstention paraissait donc être le parti à la fois le plus
sage et le plus honnête. Mais à certaines heures, c'est grande et rare sagesse que
l'inaction.
in L'Eglise et la croisade contre les Albigeois
Fonts:
- persona: E.W-T, Leo van de Pas, J-P de Palmas (L'Eglise et la croisade contre les
Albigeois)
- naixement: J-P de Palmas
- defunció: pendu à Montauban
- casament: J-P de Palmas
- família: J-P de Palmas;
11.911.298:
C'est à partir de ce mariage que les Rochechouart deviendront baron de
Mortemart.
Source : J-C de Vaugiraud ( Antoine Thomas : d'après la "Bibliothèque de l'École des Chartes", année 1887, Volume 48,
-3902-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Numéro 1, p. 462 - 466, suite à un article de Louis Guibert: "Les enclaves poitevines du diocèse de Limoges", 1886, in-18,
31p; extrait de l'Almanach limousin pour 1886 ) 18 iv 2011
Fonts:
- persona: Paul de Boisgelin (Titres de la noblesse de France. D.de La Barre de
Raillicourt), G.Millet (Histoire de la Maison de Rochechouart, Histoire et
Généalogie de la Maison de Rochechouart - wikipedia)
- família: JB.de La Grandiere (ES III-4 tableau 776 Rochechouart) 13 xi 2014
11.911.299:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES III-4 tableau 776 Rochechouart ) 13 xi 2014
- família: JB.de La Grandiere (ES III-4 tableau 776 Rochechouart) 13 xi 2014
11.911.299b:
Attention : Saint-Allais indique incorrectement que Marguerite de Limoges a
épousé Archambaud de Périgord. En fait, les quatre enfants qu'elle était supposée
avoir de lui sont d'Agnès de Blaye.
Marguerite est l'épouse d'Aimery de Rochechouart.
Source : JB de La Grandière ( Smaniotto : "Famille des vicomtes de Limoges" et "Ducs et comtes en Aquitaine" pp. 66/73 :
"comtes de Périgord", Bordeaux, 1986 ) 02.01.2014
Fonts:
- família: H.R.Moser ( Anselme-IV/651), Jean de Villoutreys ("Histoire des Feydeau"
p. 98, concernant Marguerite), J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois), C.Denancé (A.
Guérin: " Histoire généalogique de la maison de Lantivy", Gallica) 02 ii 2010
11.911.299c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES III-4 tableau 776 Rochechouart) 13 xi 2014
- família: JB.de La Grandiere (ES III-4 tableau 776 Rochechouart) 13 xi 2014
11.911.328:
Il figure dans l'acte de 1187 de son père et renouvelle en 1200 l'exemption aux
moines de Granselve.
Il prit part à la croisade des Albigeois aux côtés du comte de Toulouse Raymond VI
auquel il fit hommage de son château de Beaucaire en Quercy en 1213.
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(base Tournemire), A.Euverte(La maison de Durfort au
moyen âge par Henri Guilhamon)09.v.2006
- família: H.deRiberolles(base Tournemire)
11.911.329:
Fonts:
- família: H.deRiberolles(base Tournemire)
11.911.329a:
Fonts:
- persona: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)08.v.2006
- família: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)08.v.2006, R.Sekulovich (geneanet : parjadis) 1 iv 2014
-3903-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.911.329b:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich ("Les Premiers Seigneurs d’Apremont") 24 iv 2013
- família: R.Sekulovich ("Les Premiers Seigneurs d’Apremont") 24 iv 2013
11.911.329d:
Auteur des Durfort de Bajamont.
Il semble qu'ils se seraient installés à Bajamont à la suite d'une alliance avec la
maison de Boville.Le château de Bajamont ayant été construit vers 1260 sur le
territoire de la commune d'Agen, ses seigneurs furent en continuel conflit avec les
consuls d'Agen aux XIII° et XIV° siècles. La ville d'Agen ayant pris parti pour le roi
de France pendant toute la guerre de cent ans, les Durfort de Bajamont furent
naturellement amenés à embrasser le parti adverse.
Arnaud, pendant la guerre de Gascogne (1294), avait été chargé par le roi
d'Angleterre de la défenses de Lectoure. Il y avait été pris par les français et
retenu au château de Penne pendant cinq ans et demi. Les Agenais avaient profité
de cet emprisonnement pour détruire le château de Bajamont et confisquer une
partie de la seigneurie.
Fonts:
- persona: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)08.v.2006
- família: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon,)16.v.2006
11.911.344:
RAYMOND [I] de Goth . “Senebrun de Goth” donated property to the church of
Rouillac, for the soul of “Bernard son père et pour les comtes d´Astarac ses
prédecesseurs”, with the consent of “Raimond son fils aîné” and in the presence of
“Gaston vicomte de Béarn frère de Marie épouse du donateur”, by charter dated
1211[1681].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 iii 2015
- família: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web)
11.911.345:
Fonts:
- família: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web)
11.911.345b:
Fonts:
- família: Paul de Boisgelin (H.Jougla de Morenas) - Th. Pingault (Beauchet-Filleau)
11.911.346:
Fonts:
- persona: H.de Riberolles(Base Geraude)H.de La Villarmois (Navelle - Familles
nobles et notables du midi toulousain) 11v 2004
- família: H.de La Villarmois (Navelle - Familles nobles et notables du midi
toulousain) 11v 2004
-3904-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.911.347:
Fonts:
- persona: H.de Riberolles(Base Geraude)
- família: H.de La Villarmois (Navelle - Familles nobles et notables du midi
toulousain) 11v 2004
11.911.347b:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Navelle - Familles nobles et notables du midi
toulousain) 11v 2004
- naixement: H.de La Villarmois (Navelle - Familles nobles et notables du midi
toulousain) 11v 2004, date précisée avec la naissance d'Azémar avant 1289
- família: H.de La Villarmois (Navelle - Familles nobles et notables du midi
toulousain) 11v 2004
11.911.347c:
Fonts:
- persona: G.Marsan (base Claudine Massie)
- casament: G.Marsan (base Claudine Massie)
- família: G.Marsan (base Claudine Massie)
11.911.348:
Fonts:
- persona: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)
- família: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)
11.911.349:
Fonts:
- família: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)
11.911.360:
Surnommé "Rudel", il soutint une guerre meurtrière contre Adhémar le Barbu,
vicomte de Limoges, dans laquelle il perdit les enfants qu'il avait eus de Philippe,
sa femme.
Il associa, en 1146, à son gouvernement, Boson III, dit "de Grignols", son oncle.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 12) 13/06/2013
- família: J-L. Dega
11.911.361:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais) 14/06/2013
- família: J-L. Dega
11.911.632:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
-3905-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- casament: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
11.911.633:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- casament: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
11.911.672:
Il est part avec Louis VII le Jeune à la Croisade (1147-1149) où on le dit mort. Mais
on l'atteste en 1150 comme témoin d'un acte, et on le retrouve encore en 1189
avec 22 seigneurs du Quercy dans un acte de confirmation de privilèges à l'abbaye
de La Sauve, par Richard Coeur de Lion. Sans doute confond-on les 2 frères,
Guillaume et Pons.
porte : parti, au premier d'azur à trois étoiles d'or posées en pal, au second, d'or à
trois bandes de gueules
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- casament: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - mars 2005)
11.912.065:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie de Senecterre) 12 iii 2011
- família: H.deRiberolles(Remacle)16vi2003,JL.Mondanel (famille de Senecterre) 11
iii 2011
11.912.065a:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)16vi2003
- família: H.deRiberolles(Remacle)16vi2003
11.912.065d:
Fonts:
- persona: Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains),JL.Mondanel (famille de
Senecterre) 11 iii 2011
- defunció: O.Guionneau (base Généanet nectaire; 11 VII 05)
- família: Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains)
11.912.066:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 vii 2016
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 vii 2016
11.912.067:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 vii 2016
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 vii 2016
11.912.068:
EBLES [IV] dit ARCHAMBAUD de Turenne, son of EBLES [III] Vicomte de
Ventadour & his second wife Adelais de Montpellier (-after 2 Jun 1214). The
-3906-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Chronicon Gaufredi Vosiensis names "primus Guillelmus Abbas Tutelensis", who
died during adolescence, "alter Ebolus Cluniacensis Monachus, Decanus de
Mauriac, item Bernardus Monachus et Abbas Tutelensis, Guido Canonicus de
Magalona, Raymundus et Helias Canonici S. Stephani Lemovicensis, Ebolus qui ex
baptismo Archambaldus, itemque alius Ebolus qui fratrem aliquoties præliis
vexavit" as children of "Ebolus" and his wife "filia Guillelmi de
Montepislerio…Alaiz"[1263]. Vicomte de Ventadour. "Ebolus vicecomes
Ventedornensis" granted exemptions from taxes to Notre-Dame de Dalon, granted
to "Willelmi consanguinei mei Dalonensis abbatis" with the consent of
"vicecomitissa", by charter dated 1174, witnessed by "Raimundus frater meus
Lemovicensis canonicus…Aimo patruus meus…Alaiz mater mea…"[1264]. "Ebolus
vicecomes de Ventedorn" donated Tulle Saint-Martin, in the presence of "domini
Bernardi fratris mei tunc abbatis Tutellensis", by charter dated 2 Jun 1214[1265].
[1268] Stroński (1914), p. 41, which does not cite the source reference.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 16 v 2014, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et
généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)12.05.2016
- família: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La
Rochefoucauld - 3e édition - 2015)12.05.2016
11.912.069:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La
Rochefoucauld - 3e édition - 2015)12.05.2016
- família: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La
Rochefoucauld - 3e édition - 2015)12.05.2016
11.912.069b:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Remacle, III, p. 283) 26/01/07
- casament: M.Rérolle (Remacle, III, p. 283) 26/01/07
-3907-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.912.069c:
Les 4 d'Ussel
Trois frères (Ebles, Peire, Gui) et leur cousin (Elias) créent dans les années 1190
un groupe musical.
Leur généalogie nous révèle que leur grand-père paternel est Ebles III de
Ventadour (1117 - 1170) et leur grand-mère paternelle, sa seconde épouse, Adélaïs
de Montpellier (entre 1129 et 1134 - ?).
Elias, au prénom hébraïque, est le quatrième enfant du premier fils d'Ebles III de
Ventadour, Archambaud dit Ebles IV de Ventadour (1152 - 1221), et de Sybille de
Châtellerault (1150 - 1182). Il nait en 1177. Sa mère mourra prématurément
probablement des suites de l'accouchement de son septième enfant. Il a trois frères
et trois soeurs.Plus tard il habitera le château de Charlus-le-Pailloux,
précédemment occupé par sa tante Matabrune de Ventadour (1148 - 1196), près de
Saint-Exupéry-les-Roches (Corrèze) où il mène une vie sans excès. D'ailleurs le
troubadour Gaucelm Faidit d'Uzerche, qui le connaît bien, se moque de lui pour ses
attitudes pingres. Les répliques cinglantes d'Elias ne se font jamais attendre et
doivent sûrement concerner la vie débauchée de Gaucelm. Ebles (1174 - 1235),
Peire (1175 - 1223) et Gui (1177 - 1224) sont trois des quatre enfants du deuxième
fils d'Ebles III de Ventadour, Guillaume d'Ussel (1154 - ?), et de Jeanne (nom
inconnu). Ils passent leur jeunesse au château de la Garde Guillotin près de
Merlines. Gui, le plus jeune, s'affirmera par la suite comme le plus talentueux des
trois. Son coeur s'enflamme pour les belles nobles de sa région malgré son statut
de chanoine de Brioude et Montferrand. Ainsi Marguerite d'Aubusson, Marie de
Ventadour (1181 - ?) sa cousine, la comtesse de Montferrand (c'est-à-dire
Guillemette de Comborn née en 1155 et décédée le 2 mai 1199, donc une femme
bien plus vieille que lui mais très avant-gardiste dans sa façon de penser) et Gidas
de Mondas, nièce de Guilhem VIII de Montpellier (1157 - 1202), ont eu les
honneurs de ses poèmes. Jusqu'au jour où Peire de Castelnau (1168 - assassiné le
15 janvier 1208), légat du pape Innocent III, lui demanda de renoncer à cette
occupation musicale inconvenante pour un chanoine.
Huit chansons , trois pastourelles et neuf tensons de Gui ont résisté au temps.
-3908-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Les 4 d'Ussel
11.912.104:
Humbert IV, successeur d'Humbert III, n'eut pas la piété de ses aïeux ; il continua
la guerre contre le seigneur de Bresse et ne craignit pas de porter aussi ses armes
sur les terres de cette abbaye de Cluny, où son père était mort et où reposaient ses
cendres. Mais il fut le fondateur de Villefranche qui depuis est devenue la capitale
du Beaujolais et joignit a ses domaines la seigneurie de Montpensier.
Fonts:
- persona: E.Arminjon, J-P de palmas (Histoire du Rhône) xi2009
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien)
- família: E.Arminjon
11.912.105:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ Brian Tompsett, E.Arminjon
- família 2: E.Arminjon
11.912.105-1a:
Fonts:
- persona: M:Masseroni(E.Petit-G.Sjrien)
11.912.105-1b:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ Brian Tompsett
- casament 1: M.Masseroni(G.Sjrien)
- família 1: H.R.Moser/EuSt-XIV
- família 2, família 4: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies
extraordinaires de Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-
Charité, 1977)
11.912.108:
Fonts:
- persona: E.Arminjon
- família 1: H.R.Moser
- família 2: E.Arminjon
11.912.109:
prénom inconnu pour Saint-Allais Tome 1 pages 449 et ss
Alix pour Pierre Bruger http://gw.geneanet.org/pbruger/
-3909-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: Nobiliaire universel de France Tome 1 pages 449 et ss
- casament 1: J-C de Vaugiraud (ES XV, T. 67) 15/06/2010
- família 1: M.Rerolle (Remacle, t. 3, p. 420) 8/10/06, Nobiliaire universel de France
Tome 1 pages 449 et ss
- família 2: H.R.Moser
11.912.109-2a:
Fonts:
- persona: E.Arminjon, J-C de Vaugiraud (ES XV, T. 52) 15/06/2010,
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES XV, T. 52) 15/06/2010,
- família: E.Arminjon
11.912.109-2b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/158
11.912.109-1a:
Voir http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213636m.image.hl.f308.langFR
Fonts:
- persona: Nobiliaire universel de France Tome 1 pages 449 et ss
- defunció: J-C de Vaugiraud (En 1203 sa veuve est remariée) 28/06/2010
- família: Nobiliaire universel de France Tome 1 pages 449 et ss
11.912.113:
MATHILDE de Cuiseaux, daughter of HUGUES Seigneur de Cuiseaux et de
Clairvaux & his wife --- (-before 2 Jul 1137). "Amedeus Gebennensis comes"
donated property to the monastery of Abondance "in manu…consanguinei mei
domini Bocardis ipsius ecclesiæ abbatis", for the souls of "patris mei Aymonis et
matris meæ Itæ et Willelmi fratris mei et Matildis uxoris mæ" and for the
protection of "filiorum meorum Wilelmi et Amedei", by charter dated 1153[879].
The primary source which confirms her parentage has not yet been identified. Her
date of death is set by the charter dated 2 Jul 1137 under which her husband
"Amedeus comes Gebennensis" granted privileges to the monastery of Saint-
Martin, for the absolution of "patris et matris et uxoris mee"[880].
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG) ix 2010
11.912.113a:
Fonts:
- persona: D.de Raugl (Stéphane Bontron)
- família: D.de Raugl (Stéphane Bontron)
11.912.113-2c:
AMEDEE (-[Dec 1210/17 Oct 1211]). "Amedeus Gebennensis comes" donated
property to the monastery of Abondance "in manu…consanguinei mei domini
Bocardis ipsius ecclesiæ abbatis", for the souls of "patris mei Aymonis et matris
meæ Itæ et Willelmi fratris mei et Matildis uxoris mæ" and for the protection of
"filiorum meorum Wilelmi et Amedei", by charter dated 1153[885]. "Amedeus
Gebennensium comes…et filius eius Guillelmus" restored the rights of the bishopric
of Geneva, with the consent of "Amedeus quoque junior filius comitis", by undated
charter[886]. A charter dated 8 Sep 1192 records a donation to Bellelay abbey,
with the consent of "Amedeo…comite de Gebenna", later confirmed by "Amedeus
-3910-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
filius eius"[887]. Seigneur de Gex. "Amedeus dominus de Iaiz" confirmed previous
donations to the Chartreuse d'Oujon, with the consent of "filiis meis Stephano et
Amedeo", by charter dated 17/18 Dec 1210[888].
Fonts:
- persona: D.de Raugl/E.Arminjon; Jean-Marie Thiébaud (Arch. cantonales de
Genève) 03 iii 2009, J-P.de Palmas (FMG) 24 viii 2013
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/158
11.912.113-2d:
Dotée de 6.000 sols viennois.
[C-H. Maigret (Georges Martin) 29 vii 2012]
Fonts:
- família: C-H.Maigret (Nobiliaire de l'Ain) 21 iv 2012
11.912.116:
Connu par ses donations à la Chartreuse de Portes et par divers traités.
La baronnie de La Tour du Pin comprenait plus de 80 villages et bourgs.
[C-H.Maigret (Georges Martin) 29 vii 2012]
Il se croisa en 1190-1192.
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (site Gros), Gros), S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire &
généalogie de la Maison de La Tour du Pin-2006)25.11.2017
- família: (Gros), S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire & généalogie de la Maison de
La Tour du Pin-2006)25.11.2017
11.912.117:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire & généalogie de la Maison de La
Tour du Pin-2006)25.11.2017
- família: (Gros), S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire & généalogie de la Maison de
La Tour du Pin-2006)25.11.2017
11.912.117b:
Entra dans les ordres et fut abbé de Tamié en Savoie, et visiteur général de l'ordre
de Citeaux de 1207 à 1222.
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire & généalogie de la Maison de La
Tour du Pin-2006)25.11.2017
-3911-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.912.117c:
Paraît en 1201 dans un traité entre la duchesse Béatrix, André et son fils, Humbert,
évêque de Die et Silvion de Clérieu. En 1233, Odobert de Châteauneuf se reconnut
vassal de Berlion de La Tour, à cause de la terre d'Armieu. En 1235, il conclut un
accord avec A. de Saint-Juers qui termina quelques différends entre eux. En 1236,
il rendit hommage au dauphin André, de la terre de Vinay.
En cette même année, Ponce de Chavagne se déclare son vassal pour sa maison
forte de Dionay. Il fut assassiné en 1250 et Silvion de Clérieu fut accusé d'avoir
donné retraite , dans ses châteaux, aux complices de cet assassinat.
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé, S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la
Maison de La Tour du Pin-2006)27.11.2017
- família: L.B. de Rougé, S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la
Maison de La Tour du Pin-2006)26.11.2017
11.912.126:
Armes : «Écartelé aux 1 et 4 de sable à la croix d’or ; aux 2 et 3 d’or au dauphin
d’azur.»
Guigues V d'Albon né vers 1125, mort le 29 juillet 1162 à Vizille, fut un comte
d'Albon de 1142 à 1162. Au cours de son règne, il prit le titre de dauphin du
Viennois. Il était fils de Guigues IV d'Albon, dauphin du Viennois, et Marguerite de
Macon. À la mort de son père, Guigues V est trop jeune pour gouverner, c'est
pourquoi sa mère Marguerite assure la régence jusqu'en 1153. À peine en âge de
porter les armes, Guigues décide de venger son père en allant ravager les terres du
comte de Savoie. Comme onze ans plus tôt, il met le siège devant Montmélian mais
est mis en déroute par l'armée de secours du comte Humbert III de Savoie.
L'évêque de Grenoble, Hugues II, intervient et une paix honorable pour les deux
adversaires est conclue. Le 13 janvier 1155, Guigues reconnaît à Rivoli près de
Turin la suzeraineté de l'empereur germanique Frédéric Barberousse qui en
échange lui confirme la possession des terres que les précédents comtes d'Albon
avaient acquises de manière litigieuse. Il lui accorde en outre une mine d’argent à
Râme dans l’Embrunais et le droit de battre monnaie à Cézanne.
Guigues V meurt sans héritier mâle en 1162 à Vizille. Il avait épousé en 1155
Béatrice de Montferrat (1142 † 1228), fille possible de Guillaume V, marquis de
Montferrat et de Judith de Babenberg[6], et laissait une fille en bas âge
prénommée Béatrix (1161 † 1228).
Notes et références
"Vizille, 28 juin ou 29 juillet 1162 : Mort du comte Guigues, dauphin [de viennois]"
Regeste dauphinois (n° 4141)
A noter la même hésitation entre ces deux dates pour son père. Guigues V (c. 1125
- 29 July 1162) was the Count of Albon and Grenoble from 1142 until his death. He
was the first to take the title Dauphin du Viennois. Guigues V was the son of
Guigues IV and Margaret of Mâcon. He inherited when he was considered too
young to rule on his own and so his mother controlled the regency until 1153. In
that year Guigues took the reins of government and immediately set about to
avenge his father, who had been killed in a surprise attack by the Count of Savoy,
Humbert III, during the siege of Montmélian eleven years earlier. Guigues V
besieged Montmélian a second time, but was driven off by Humbert's relief force.
Peace was finally achieved by the intervention of the Bishop of Grenoble, Hugh II.
Two years later, on 13 January 1155, Guigues was in Rivoli, near Turin, to
recognise the suzerainty of the Holy Roman Emperor, Frederick Barbarossa, for his
lands. The emperor in return confirmed the count of Albon in the possession of
certain territories his ancestors had acquired through litigation, and granted him a
mint at Râme in the Embrunais and the right to coinage in Cézanne. Guigues died
without male heirs at Vizille in 1162. He left a daughter, Beatrice, who inherited
his lands and titles. The identity of his wife, whom he married in 1155, is uncertain,
other than that she was a kinswoman of Frederick Barbarossa. Chorier, in his
Histoire Générale de Dauphiné (1641, Grenoble, republished 1878, Valence, vol. I,
p. 616) identified her as Beatrice, a daughter of William V of Montferrat, and also
assigned to them a son who died young. However, Usseglio, in I Marchesi di
Monferrato in Italia ed in Oriente durante i secoli XII e XIII (Casale Monferrato,
1926, vol. 1, pp. 167-69) has shown that Chorier had misdated a charter of
Frederick II for one of Frederick I: the Beatrice of Montferrat in question was the
daughter of William VI of Montferrat, and widow of Guiges V's grandson Guigues
VI of Viennois.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Guigues_V_of_Albon
Fonts:
- persona: S. Bontron (Regeste dauphinois), J-P.de Palmas (wikipedia, FMG et «
Blason dessiné par O. de Chavagnac pour l’Armorial des As ») 31 vii 2012
- defunció: S. Bontron (Regeste dauphinois, n° 4141)
-3913-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.912.127:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 31 vii 2012
11.912.156:
En 1207, Benoit de Jean, bourgeois de Cahors, est témoin dans un accord fait entre
les consuls de Cahors et ceux de Toulouse 1. En décembre 1228 il fait une
acquisition d'Hugues Bonafos et de dame Bernarde, veuve d'Aymeric de Boisset, et
il est l'auteur de la famille de Jean de Salviac et des Junies, qui produisit le cardinal
d'Albano, Gaucelme de Jean. _____________
1
Recueil ms.de Doat, titres de la ville de Cahors, bibl.impér.
A voir sur cette commune Le Couvent des Junies, qui fut fondé et bâti par le
cardinal Gaucelm de Jean entre 1343 et 1355. L’établissement fut en partie ruiné à
la Révolution : des trois ailes qui entouraient le cloître disparu, deux sont
conservées, abritant la salle capitulaire, le logis de la prieure et le réfectoire.
-3914-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Recherches historiques sur l'origine, l'élection
et le couronnement du pape Jean XXII De Martin Bertrandy-Lacabane, Paris 1854)
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Recherches historiques sur l'origine, l'élection et
le couronnement du pape Jean XXII De Martin Bertrandy-Lacabane, Paris 1854)
11.912.157:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Recherches historiques sur l'origine, l'élection et le
couronnement du pape Jean XXII De Martin Bertrandy-Lacabane, Paris 1854)
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Recherches historiques sur l'origine, l'élection et
le couronnement du pape Jean XXII De Martin Bertrandy-Lacabane, Paris 1854)
11.914.520:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (fiches familiales)
- família: J-L. Dega (fiches familiales)
11.914.521:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (fiches familiales)
- família: J-L. Dega (fiches familiales)
11.918.336:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009, JB.de La Grandiere
(Hubert de Vergnette de Lamotte "Filiations Languedociennes" t. 2 p. 319/330 -de
Lauzières-, 2006) 6 x 2014
- família: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009
11.918.337:
"de Tours" ?? vraiment hors des normes..; non, il s'agit de Tourbes.(Hérault) JBLG
6/10/2014
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Hubert de Vergnette de Lamotte "Filiations
Languedociennes" t. 2 p. 319/330 -de Lauzières-, 2006) 6 x 2014
- família: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009
11.918.338:
Maffre n'est pas son patronyme mais une partie de son prénom (les prénoms sont
alors lignagers et doubles). Maffre ou Maffred doit être une variante de Manfred.
jblg 6/10/2014
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Hubert de Vergnette de Lamotte "Filiations
Languedociennes" t. 2 p. 319/330 -de Lauzières-, 2006) 6 x 2014
- família: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009
11.918.339:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009
-3915-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.923.104:
Attesté de 1068 à 1095.
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt), S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Monstesquiou-2005)03.01.2011
- naixement: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt)
- família: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt), S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Monstesquiou-2005)03.01.2011
11.923.105:
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt), S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Monstesquiou-2005)03.01.2011, JB.de La
Grandiere ( M. Vuillier "Histoire généalogique de la famille de Montesquiou) 3 i
2014
- família: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt), S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Monstesquiou-2005)03.01.2011
11.923.105b:
Entra dans les ordres et fut affilié au chepitre d'Auch, vers l'an 1100, et fut
chanoine. Nommé évêue de Tarbes en 1141 et le reste jusqu'en 1175, date à
laquelle il mourut vraisembleblement
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Monstesquiou-2005)03.01.2011
11.923.106:
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
- família: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
11.923.107:
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
- família: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
11.923.107a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain)
- família: J-L. Dega (Jaurgain)
11.923.107b:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain)
- família: J-L. Dega (Jaurgain)
11.923.107d:
-3916-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Carrière ecclésiastique
___________
1 La Barthe-de-Neste, arrondissement de Bagnères-de-Bigorre, Hautes-Pyrénées
(et non La Barthe, canton de Castelnau-Magnoac, arrondissement de Tarbes,
Hautes-Pyrénées, archidiaconé au diocèse de Tarbes, ou Labarthe, archidiaconé de
Panassac, au diocèse d’Auch). 2 BRUGÈLES 1746, Première partie, p. ‘‘96’’ = 112 –
JAURGAIN 1902, p. 404, 405. Condorine d’Aure (arrondissement de Bagnères-de-
Bigorre, Hautes-Pyrénées) selon dom Brugèles. 3 Cartulaire noir du Chapitre de
Sainte-Marie d’Auch, n° CXIII ; cf. n° LXXIX || Cf. Cartulaire de Sainte-Marie de
Berdoues, n° 193. 4 Cartulaire noir d’Auch, n° CXIII || ‘‘archifs de Gimont, &
Abbaye de Bardoües’’ – CATEL 1633, p. 885. 5 Cartulaire noir d’Auch, n° CXIII. 6
Cartulaire de Sainte-Marie de Gimont, n° VI-VII (acte rédigé dans le Bourg de
Toulouse). Deux autres actes datés de 1164 (nos VI-XXX, VI-CVI) mentionnent
Géraud comme évêque élu, ainsi qu’un acte daté d’un mardi d’août ‘‘1169’’ (n° VI-
CXIX), dont le millésime est manifestement erroné. 7 Cartulaire de Saint-Sernin de
Toulouse, n° 597. 8 Cartulaire de Gimont, n° VI-CXXIX. Trois actes datés de
‘‘1163’’ (nos II-III, II-IV, VI-LXVI) indiquent Géraud comme évêque de Toulouse. 9
Archives du Chapitre de Saint-Étienne de Toulouse, n° 57 || Archives du Chapitre
de Saint-Sernin de Toulouse, n° 56 || Cartulaire de Saint-Sernin, n° 149 ||
Cartulaires de la Cité et du Bourg de Toulouse, n° 3 || Cartulaire de Saint-Pierre de
Lézat, n° 1374 || Trésor des chartes, JJ 21, n° 5 = H.G.L.3 1875 (V), n° 663, c.
1292-1293 || Cartulaire de Gimont : Géraud est mentionné comme évêque de
Toulouse dans un acte daté de ‘‘1161’’ (n° II-CXXIX), dont le millésime est
manifestement erroné. 10 LOUIS VII, Lettre au pape Alexandre III = R.H.G.F.
1808, p. 860 – SALVAN 1857, p. 277-278 ; cf. p. 283. 11 Cartulaire noir d’Auch, n°
CXIII – JAURGAIN 1902, p. 406 ; cf. p. 407 (n. 1). 12 Cartulaire de Sainte-Marie de
Berdoues, nos 221, 269 ; cf. nos 305, 705 || Cartulaire de Gimont : Géraud est
mentionné comme archevêque d’Auch dans un acte daté de ‘‘1169’’ (n° I-CXVII),
dont le millésime est manifestement erroné. 13 […] Giraldo adhuc tenente
episcopatum […]. Cartulaire de Gimont, n° II-CXLI. La même formule se retrouve
-3917-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
dans un autre acte de la même année (n° II-CXVII). 14 Archives de Saint-Étienne
de Toulouse, n° 61 || Archives de Saint-Sernin de Toulouse, n° 25. 15 Cartulaire de
Lézat, n° 1590. 16 Cartulaire de Saint-Étienne du Mas-d’Azil – H.G.L.1 1737, p. 536
= H.G.L.3 1879 (VII), p. 2. 17 Archives de Saint-Étienne de Toulouse, n° 62. 18
Cartulaire de Lézat, n° 1660. 19 Cartulaire de Gimont, n° VI-CXV. 20 Cartulaire
noir d’Auch, n° CXVIII ; cf. n° LXXIX. 21 Cartulaire noir d’Auch, n° CVIIII. 22 G.C.3
1716, c. 988. 23 ROGER DE HOVEDEN, Annalium Anglicanorum libri II = R.H.G.F.
1818, p. 500, 524. 24 Decessit Geraldus in iis partibus, ex monumentis Ecclesiæ
Marsilliacensis. G.C.2 1656, p. 107. 25 ‘‘99. Calendas Septembris, Commemoratio
Domini Geraldi, Auxitani Episcopi.’’ ‘‘Nécrologe de Lacaze-Dieu’’ = BRUGÈLES
1746, Première partie, p. 114. 26 G.C.3 1716, c. 989 – BRUGÈLES 1746, Première
partie, p. 114 – CAZAURAN 1905, p. 563, 643. 27 GERALDVS archiepiscopus, XXI
annos. Cartulaire noir d’Auch, n° I. 28 Cartulaire de Berdoues, n° 136. La date de
la charte n° 644, qui mentionne Géraud en ‘‘1198’’, est également erronée. 29
G.C.3 1716, Instrumenta Ecclesiæ Vasatensis, n° VII, p. 189 ; cf. c. 989. 30
Cartulaire de Berdoues, n° 22 (?), 175, 204, 315, 776 (résolutions fautives de
l’initiale G., plutôt qu’erreurs de date). 31 Voir ci-dessous, p. 151. 32 Cartulaire de
Sainte-Marie de Montsaunès, nos 62, 94. Voir ci-dessous, p. 151.
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004), J-P de Palmas
(Bibliothèque sacrée ou Dictionnaire ) 2008
11.923.108:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014
- família: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014
11.923.109:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014
11.923.208:
Nasquieu, Asquieu ou Esquieu de Fumel, chevalier, noble baron de Fumel, parait
dans des actes de 1193, 1200 et 1250. En 1219, Bertrand de Fumel de
Montesquiou rendit en son nom, et au nom de son frère Esquieu, hommage pour
les châteaux de Montesquiou et de Malause à l'abbaye de Moissac, qui donna en
retour deux marcs de bon argent, comme elle s'y était obligée. On ne sait si
Nasquieu de Fumel se rendit, en 1256, à Saint-Germain-en-Laye, où le Roi avait
convoqué ses vassaux et arrière-vassaux ; mais un titre de la Chambre des Comptes
de Paris, rapporté par La Roque, contenant le rôle de la convocation à trois
semaines de la Pentecôte de cette même année, porte le nom des seigneurs de
Fumel au milieu de beaucoup d'autres. Dans un autre titre de 1248, conservé au
cabinet du Saint-Esprit de la Bibliothèque Impériale, Nasquieu promet de payer à J.
A. Depnals, o a son orden, al primer dimenge que er après la primolta santha Me
Magdalena, la somme de 42 livres Cahors. En 1260, un Esquieu de Fumel, peut-
être celui-ci ou l'un de ses neveux, fils de son frère Bertrand, reconnaît tenir le
château de Montesquiou et le fief de Malause de l'abbaye de Moissac, et lui promet
fidélité. Il parait certain, d'après le texte des coutumes de Fumel, que ce fut
Nasquieu qui accorda une charte de commune ou de coutume aux habitants de la
châtellenie de Fumel. Pourtant, ces coutumes, étant datées du 2 juin 1265,
devraient plutôt se rapporter au temps de Guillaume-Esclamat, fils de Nasquieu. Il
est facile d'avoir l'énigme de cette difficulté, en disant que, selon toutes les
probabilités, la charte en fut octroyée par Nasquieu, et la confirmation par son fils
-3918-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
et les autres membres de sa famille. (Bibl. Imp., Cout, de Fumel, Arch. de Fumel.)
Nasquieu épousa, selon une charte en langue vulgaire de 1284, conservée au
cabinet du Saint-Esprit, Serène de Ravignan (Serena de Robinehon), appelée
Suzanne dans une ancienne généalogie.
Fonts:
- persona: A.Euverte(geneanet les cousins réunis par Jean Thiebaut)12.I.2009, J-
P.de Palmas (C.H.G.H.47, de Fumel) 27 viii 2015
- família: A. de Maere 13.03.2006
11.923.209:
Fonts:
- família: A. de Maere 13.03.2006
11.923.209b:
Fonts:
- persona: A.Euverte(geneanet les cousins réunis par Jean Thiebaut)12.I.2009
11.923.209c:
Fonts:
- persona: A.Euverte(geneanet les cousins réunis par Jean Thiebaut)12.I.2009
11.923.209d:
Fonts:
- persona: A.Euverte(geneanet les cousins réunis par Jean Thiebaut)12.I.2009
11.923.209e:
Fonts:
- persona: A.Euverte(geneanet les cousins réunis par Jean Thiebaut)12.I.2009
11.923.209f:
Fonts:
- persona: A.Euverte(geneanet les cousins réunis par Jean Thiebaut)12.I.2009
11.923.212:
SANCHO [III], son of ARNAUD GUILLAUME [I] Vicomte de la Barthe & his wife
Navara de Pontis (-after 1235). Vicomte de la Barthe.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac)
11.923.213:
-3919-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base Auréjac)
- naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac)
11.923.214:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain)
- família: J-L. Dega (Jaurgain)
11.923.215:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Jaurgain)
11.923.456:
JOURDAIN I DE VALETTE, seigneur de Cuzoul, de Saint Igne et de Prévinquières,
chevalier, fut l'un des bannerets qui accompagnèrent Philippe Auguste à la Terre
Sainte, l'an 1190 et en 1217. Au retour de cette seconde expédition, ce prince
l'établit sénéchal de Périgord, charge qu'il remplit avec beaucoup de distinction,
selon les historiens de cette province. Dès l'an 1213, Jourdain s' était trouvé à la
sanglante bataille de Muret, perdue contre les croisés et avait eu l'honneur de
sauver les jours de Raymond Roger de Foix, en le débarrassant d'une mêlée où il
allait succomber, et en favorisant sa retraite. Certains auteurs ajoutent qu'en
reconnaissance, Raymond Roger lui donna en mariage sa fille Esther.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.367, par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
11.923.457:
Fonts:
- persona: D.Martres (Pierfit) 21.x.2008
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
11.923.457b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
11.923.457c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
11.923.457d:
Renaud de Valette, abbé de Beaulieu, au diocèse de Limoges, l'an 1239. Il fut l' un
des premiers auteurs des saints livres des Décrétales, fut particulièrement connu
au concile de Lyon, du pape Innocent IV qui, l'an 1252, le conduisit en Italie où il
mourut le 4 des ides de mars 1260, cardinal et abbé du monastère de Silvanegra en
Sicile.
Fonts:
-3920-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
11.923.457e:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
11.923.459:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.367, par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.367, par Hippolyte de Barrau) 21 xii 2013
11.923.459-1b:
Fonts:
- persona:
http://web.genealogie.free.fr/Les_dynasties/Les_dynasties_celebres/France/Dynastie
_de_Levis.htm
11.923.520:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega
11.923.521:
Fonts:
- família: J-L. Dega
11.925.186:
Sur cette famille, voir Olivier d'Hauthuille, « La généalogie de la famille de Laidet
en Provence » in H & G, n° 94, 1985.
Fonts:
- persona: YH - données de Gilles Dubois ( gillesdubois ), O.AUFFRAY, P.Fauchère
17.10.08
- família: YH - données de Gilles Dubois ( gillesdubois ), O.AUFFRAY, H.de Lagarde
(Florence Humblot : site e-corpus / Bibliothèque Méjanes - Aix-en-Provence) 25 iii
2014
11.925.187:
Fonts:
- persona: YH - données de Gilles Dubois ( gillesdubois ); J-M.Thiebaud (Armoiries)
29 x 2010, H.de Lagarde (Florence Humblot : site e-corpus / Bibliothèque Méjanes -
Aix-en-Provence) 25 iii 2014
- família: YH - données de Gilles Dubois ( gillesdubois ), O.AUFFRAY, H.de Lagarde
(Florence Humblot : site e-corpus / Bibliothèque Méjanes - Aix-en-Provence) 25 iii
2014
11.925.187a:
Fonts:
- persona: YH - données de Gilles Dubois ( gillesdubois )
- família: YH - données de Gilles Dubois ( gillesdubois )
11.925.187b:
-3921-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: P.Fauchère 17.10.08
- família: P.Fauchère 17.10.08
11.925.187d:
Fonts:
- persona: H.de Lagarde (Florence Blanchet) 11 iii 2014
- família: H.de Lagarde (Florence Humblot : site e-corpus / Bibliothèque Méjanes -
Aix-en-Provence) 25 iii 2014
11.925.200:
ROSTAIN [II] de Sabran, son of GUILLAUME de Sabran & his wife Adelais --- (-
1172 or after). "Adalaicia de Sabrano et…eius liberi Emeno et Rostagnus de
Sabrano, Wilelmus, Raimundus, atque Petrus archidiaconus" donated property to
the Templars at Richerenches, for the soul of "Wilelmi de Sabrano patris nostri", by
charter dated 1138[566]. "Silvius de Cleireu et…Matelina eius uxor et…Silvius
eorum filius" donated property to the Templars at Richerenches by charter dated
15 Oct 1141, witnessed by "Rostagnus de Sabran, --- filius eius, Raimundus filius
comitis de Tolosana…"[567]. "Adalais de Sabrano et filii sui Rostagnus et Emes et
Wilelmus" donated half of revenue from property to the Templars at Richerenches
by charter dated 17 Sep 1147, one quarter of which revenue was donated by
"Wilelma, Bertrandi de Tauliniano qui fui uxor et mei filii Poncius Gontardus --- et
Pelestorz" (presumably indicating that the two families were related)[568].
"Guilelmus de Sabrano…Rostagnus de Sabrano…" promised support to "Raymundo
Berengarii comiti Barchinonensi et nepoti tuo Raymundo Berengarii filio fratris tui
Berengarii Raymundi" against "Stephania uxor Raymundi de Baucio et Hugo filius
eius et Guilelmus et Bertrandus et Gisbertus" by charter dated 1156[569].
m firstly CONSTANCE, daughter of GERAUD Amic & his wife Aymaune --- (-1136).
m secondly ROSCIE, daughter of RAINON Seigneur d´Uzès et de Caylar & his wife
Beatrix --- (-before 1206).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
- família 2: D.Thuret (Michel Jourdan) 6 i 2010, O.AUFFRAY
11.925.201:
FMG :
ROSCIE (-before 1206). The primary source which confirms her parentage and
marriage has not yet been identified. Dame d´Uzès. m as his second wife,
ROSTAIN [II] de Sabran, son of GUILLAUME de Sabran & his wife --- (-1172 or
after).
Fonts:
- persona: D.Thuret (Michel Jourdan) 6 i 2010, O.AUFFRAY, J-P.de Palmas (FMG) 12
ii 2014
- família: D.Thuret (Michel Jourdan) 6 i 2010, O.AUFFRAY
11.925.201b:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY
- família: O.AUFFRAY
11.925.201-1a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
11.925.201-1b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
11.925.208:
Isnard d'AGOUT, surnommé aussi d'Entravennes, fut seigneur de la vallée de Sault,
etc. On a peu de titres sur ses descendants ; mais, suivant les auteurs qu'on a déjà
cités, il fut père d'un autre Isnard, seigneur de la même terre ; lequel eut de
Douceline, dame de Pontevès, en Provence, trois fils.
Fonts:
- persona: H.de Lagarde (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#1), J-P.de Palmas (St-
Allais) 30 xi 2014
- família: H.de Lagarde (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#1)
11.925.209:
Ch. Faucherand, 13 iv 2016: Je supprime la date de naissance "vers 1160" (non
sourcée non signée) qui lui avait été attribuée. En effet cette date n'est pas
possible, sachant que "dame Mabile" et ses frères, "le seigneur Roger d'Hyères et
Bertrand de Fos", sont tous les trois vivants ainsi que Raymond Irat, Geoffroi Irat
[Irat de Fos] et dame Hugues [Hugone de Fos], Roncelin de Fos, "le mercredi après
la Saint-Nicolas d'hiver" de 1257.
Cette charte cite également les "enfants et procureurs de la dite dame Mabile":
(Charte transcrite dans le Bulletin de la Société académique du Var, 1861, pp. 292
et suivantes).
Fonts:
- persona: H.de Lagarde (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#1)
- defunció: Ch. Faucherand (acte en note) 13 iv 2016
- família: H.de Lagarde (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#1)
11.925.210:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (http://www.gros.nom.fr/pag151.htm#46) 12/11/06
- naixement: M.Rérolle (site Gros) 12/11/06
- família: M.Rérolle (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#2) 12/11/06
11.925.211:
Contesté : ou DE CALLIAN (?) ; Jacques Saillot semble donner deux versions
différentes, dont une la ferait fille de Rostaing d'AGOULT et de Roscie de
MARSEILLE. Philippe de Vasselot donne un mariage entre Mabile de MARSEILLE
et le père de Foulques, Adalbert de PONTEVES, leur fils Foulques épousant une
Mabile de CALLIAN. Nous suivons ici l'opinion de Schwennicke (H.Gros).
Fonts:
- persona: M.Rérolle (http://www.gros.nom.fr/pag151.htm#43) 12/11/06
- defunció: M.Rérolle (site Gros) 12/11/06
- família: M.Rérolle (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#2) 12/11/06
11.925.212:
Fonts:
- persona: C. Patrouix (base "lourigau")
- família: C. Patrouix (base "lourigau")
11.925.213:
Fonts:
- persona: C. Patrouix (base "lourigau")
- família: C. Patrouix (base "lourigau")
11.925.213a:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer, C. Patrouix (base
"lourigau"), O.AUFFRAY, H.R.Moser/EuSt-III-4/759
- família: O.AUFFRAY, D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer
11.925.220:
-3924-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família: E.Polti (pages de Miroslav Marek ; 08.01.06)
11.925.221:
Fonts:
- família: E.Polti (pages de Miroslav Marek ; 08.01.06)
11.925.221b:
Fonts:
- persona: E.Polti (pages de Miroslav Marek ; 08.01.06)
- família: E.Polti (pages de Miroslav Marek ; 08.01.06)
11.925.221c:
Fonts:
- persona: L.B. de Rougé;
- família 1: ( base Hervé Gros)
- família 2: , JB.de La Grandiere (Florian Mazel La Noblesse et l'Eglise de Provence
p 632 (des Baux) CTHS Villeurbanne 2002 ) 20 ii 2012
11.925.224:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Artefeuil II page 240) 18/08/2008
- casament: H.Tourret (renseignements J.Cl. de Vaugiraud) 2/3/06
- família: P Ract Madoux (Généalogie du Roure) 28 ii 2003
11.925.225:
Artefeuil la dit fille de Pierre des Porcellets, seigneur de Lambesc ?
J-C de Vaugiraud (Artefeuil II page 240) 18/08/2008
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY
- casament 1, casament 2: H.Tourret (renseignements J.Cl. de Vaugiraud) 2/3/06
- família 1: O.AUFFRAY
- família 2: P Ract Madoux (Généalogie du Roure) 28 ii 2003
11.925.232:
Fonts:
- persona: O.Martel (site podeor)
11.925.236:
Il fut garant d'un traité de paix et d'une charte de privilèges que Ramón Berenguer
de Aragón (Ildephonse ), roi d'Aragon, marquis de Provence, accorda en 1176, aux
habitants de Nice.
On trouve dans la mairie de Salernes des titres de 1189 constatant qu'à cette
époque Castellane possédait Salernes. Se croyant souverain de ses petits Etats, il
voulut se soustraire à l'hommage qu'il devait à son prince, et refusa de préter
hommage au comte de Provence en 1189. Mais ayant été assiégé dans sa ville de
Castellane par Idelphonse, roi d'Aragon, et par Alphonse son fils, comte de
Provence, il fut réduit à la dernière extrémité, et contraint d'accepter la loi du
vainqueur. Il dut restituer plusieurs fiefs dont Châteaunef-les-Moustiers. Il se retira
à Grasse, où il préta hommage pour toutes les terres qu'il possédait, en octobre
1189.
Il fut tué après 1195, par Spata, prince de Riez.
Fonts:
- persona: O.Martel (site podeor),A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de
-3925-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Castellane par Georges Martin)04.vi.2009
- casament: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par
Georges Martin)04.vi.2009
- família: O.Martel (site podeor)
11.925.237:
A propos de Châteaunef-les-Moustiers
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Hélène & Thierry Bianco, Les Castellane & iconographie :
le vieux village de Châteaunef-les-Moustiers) 3 iv 2016
- casament: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par
Georges Martin)04.vi.2009
- família: O.Martel (site podeor)
11.927.044:
D'après Pierre de Poitiers, le secrétaire de Pierre le Vénérable, il aurait pris part à
la première croisade et s'y serait distingué.
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Remacle) 28 xii 2007 ; F. Dolveck (source, cf. Pierre
le Vénérable), 17 iii 2009, S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la
Maison de Polignac-2002)04.05.2016
-3926-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: H. de La Villarmois (Courcelles) 9 ix 2004 ; F. Dolveck (cf. Pierre le
Vénérable), 17 iii 2009
11.927.045:
Décès : ou 8 juillet 1134.
L'idée selon laquelle Raingarde serait la fille de Geoffroy II de Semur n'est fondée
par aucun document ; cela en aurait fait la nièce de saint Hugues de Cluny.
Elle fait partie des nombreux saints vénérés dans la pratique, mais jamais
canonisés ; elle figure, depuis Viollet-Le-Duc, sur la façade de la cathédrale de
Clermont-Ferrand.
Elle se retire après la mort de son mari au monastère de Marcigny.
Ce que nous savons de sa vie est principalement tiré de la lettre 53 de Pierre le
Vénérable.
Voir: "Mémoires d'elles", par Marie-Andrée Roy & Agathe Lafortune, Éd.
Médiaspaul, 1999, 318 pages.
Bibliographie
Fonts:
- persona: H.deRiberolles (Remacle), F. Dolveck (cf. Pierre le Vénérable) 17 iii 2009,
J-P de Palmas (Bibliographie) vi 2010, S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et
généalogie de la Maison de Polignac-2002)04.05.2016
- família: H. de La Villarmois (Courcelles) 9 ix 2004 ; F. Dolveck (cf. Pierre le
Vénérable), 17 iii 2009
11.927.045a:
Premier héritier des biens et titres de Montboissier, qui passeront à sa mort à son
frère Eustache.
Il porte le même surnom qu'Hugues Ier de Montboissier.
Fonts:
- persona: F. Dolveck (cf. Pierre le Vénérable) 17 iii 2008
- família: F. Dolveck (cf. Pierre le Vénérable), 17 iii 2008
11.927.045c:
Abbé de Vézelay, puis prieur de Souvigny, puis à nouveau abbé de Vézelay.
-3927-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: F. Dolveck (cf. Pierre le Vénérable) 17 iii 2008
11.927.045d:
Iconographie : Le blason de Pierre de Montboissier
Biographie
Neuvième abbé de Cluny depuis 1122 (il succède à Pons de Melgueil et Hugues II),
et le dernier des grands abbés de la congrégation.
Bien que non canonisé officiellement, comme beaucoup à l'époque, il fut vénéré
dans l'ordre clunisien et est actuellement fêté le 11 mai au propre bénédictin, avec
ses saints prédécesseurs.
Œuvres
Fonts:
-3929-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: F. Dolveck (thèse d'Ecole des chartes) 17 iii 2009, J-P de Palmas
(Encyclopaedia Universalis & oeuvres) vi 2009
11.927.045e:
Grand prieur de Cluny vers 1150, sous l'abbatiat de son frère Pierre, puis abbé de
Manglieu.
Fonts:
- persona: F. Dolveck (cf. Pierre le Vénérable) 17 iii 2008
11.927.045f:
Abbé de La Chaise-Dieu à partir de 1146.
Fonts:
- persona: F. Dolveck (cf. Pierre le Vénérable), 17 iii 2008
11.927.045g:
Frère de Pierre le Vénérable (abbé de Cluny), il est élevé au cloître St Jean, abbé
de St Just vers 1150 puis archevêque en 1153 ; il est légat d’Adrien IV, qui lui
confirme la primatie sur les provinces de Rouen, Tours et Sens le 4 décembre 1154
; il se réfugie à la chartreuse de Portes lors de la prise de Lyon par le comte de
Forez Guy II ; Barberousse lui confère le titre d’exarque, le crée chef suprême de
son Conseil et lui donne l’investiture temporelle de toute la cité de Lyon le 18
novembre 1157.
Fonts:
- persona: F. Dolveck (cf. Pierre le Vénérable), 17 iii 2008
11.927.045h:
Mort en bas âge, vraisemblablement.
Fonts:
- persona: F. Dolveck (cf. Pierre le Vénérable) 17 iii 2008
11.927.046:
Son attache est donnée (entre autres) dans l'arbre généalogique des Polignac du
marquis des Roys (repris dans Les Polignac d'Hedwige de Polignac), dans E.S. IX T.
87 (rédigé d'après les preuves de la maison de Polignac d'Antoine Jacotin) et dans
l'histoire et la généalogie de la maison de Polignac de Georges Martin.
J-C de Vaugiraud 21/03/2009
-3930-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
A l'origine de la branche de Chalencon-Polignac ayanr épousé l'héritière des
Chalencon, aurait relevé le nom et les armes des Chalencon, c'est sa descendance
masculine qui épousera Valburge de Polignac et se subsistera au premier lignage.
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Remacle, II, p. 576) 04/12/06, S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Polignac-2002)04.05.2016
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)04.05.2016
11.927.047:
Fonts:
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)04.05.2016
11.927.048:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de
France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
- família: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de
France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
11.927.049:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de
France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
11.927.049a:
Fonts:
- persona: M.Rébeillé-Borgella, J-P de Palmas (Archives Généalogiques et
Historiques de la Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
- família: M.Rébeillé-Borgella, J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques
de la Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
11.927.049b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de
France, P. Lainé, T.I, p.462 et Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, p.207
et ss., publié par Hélène Débax, P.U du Mirail, 2008) viii 2009
- família: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de
France, P. Lainé, T.I, p.462 et Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, p.207
et ss., publié par Hélène Débax, P.U du Mirail, 2008) viii 2009
11.927.056:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (pierfit)
- família: J-P.de Palmas (pierfit) 18 viii 2017
11.927.057:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (pierfit) 18 viii 2017
- família: J-P.de Palmas (pierfit) 18 viii 2017
11.927.168:
RAINAUD [V] "le Lepreux" (-after 1185). Vicomte d'Aubusson. He was in jail in Italy
-3931-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
in 1170.
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon, J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014
- família: Emmanuel Arminjon, JP Blaclard
11.927.169:
MATEBRUNE ([1149/50]-). The Chronicon Gaufredi Vosiensis names
"Matebrunam" as the daughter of "Ademaro vicecomite Lemovicensi, sponsam
illius Margaretam, sororem Bosonis de Torenna" and her second husband "Ebolus
Ventadorensis, filius Eboli Cantatoria", recording that she married firstly
"Rainaldum Leprosum Vicecomitem de Albusson" and secondly "Eschivard frater
Jordani de Chabannès et Bosonis Abbatis Stirpensis"[1250].
m firstly RAINAUD [V] "le Lépreux" Vicomte d'Aubusson, son of RAINAUD [IV]
Vicomte d'Aubusson & his wife Hélie --- (-after 1185).
m secondly ESCHIVAT [I] de Chabanais, son of GUILLAUME de Matha & his wife
Amélie de Chabanais (-1200 or after).
Elle eut de son mariage avec Eschivat de Chabannes de Madic, une fille du nom de
Marthe, que nous trouverons abbesse de Bonnesaigne en 1208.
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 12 7 2009 (sources familiales), J-P.de Palmas (FMG) 16 v
-3932-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
2014
- família 1: Emmanuel Arminjon, JP Blaclard
- família 2: Y. Gobilliard 12 7 2009 (sources familiales), J-P de Palmas (Bulletin de la
Société scientifique de Corrèze, p.483) 23xi2011
11.927.169b:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.927.169c:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.927.169d:
Fonts:
- persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1)
11.927.169e:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014
- família: J-P de Palmas (La Chesnaye des Bois - dictionnaire de la noblesse - 1863),
L. Guion
11.927.169-2a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Bulletin de la Société scientifique de Corrèze, p.483)
23xi2011
11.927.178:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Généalogies limousines et marchoises T I:
Pierrebufière) 16/10/2006
11.927.179:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Généalogies limousines et marchoises T I:
Pierrebufière) 16/10/2006
11.927.179a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Généalogies limousines et marchoises T I:
Pierrebufière) 16/10/2006
11.927.240:
Troubadour, Page d'Adélaïde de Savoie, veuve de Louis VI.
Il prend part à la Croisade contre les Albigeois.
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné,JL.Mondanel (généalogie Châteauneuf) 30
iii 2011
11.927.241:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné,JL.Mondanel (généalogie Châteauneuf) 30
iii 2011
-3933-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
11.927.241b:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné
11.927.241c:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné
11.927.244:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné
11.927.254:
BERNARD [V] (-[22 Jul 1245/25 Mar 1246]). Comte d'Armagnac et de Fezensac.
m [INES [de Aragón], daughter of ---.]
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05,, JB.de La Grandiere (Europäische
Stammtafeln t III-3 p 570 (vicomtes de Lomagne) Marburg 1985) 2 i 2014
- família: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05
11.927.255:
JB de La Grandière 2/1/2014
Anne Sancie, est petite-fille probable (replacée) d'Alfonso le Chaste, roi d'Aragon,
et non sa fille.
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05, JB.de La Grandiere (Europäische
Stammtafeln t II p 70 (rois d'Aragon) Marburg 1984) 2 i 2014
- família: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05
-3934-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
-3935-