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Joan Francés Blanc

Los aujòls de Joan Baptista Blanc


XIII: Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de
Roglo. Nòtas: generacion 27

© 2018 Joan Francés Blanc


Licéncia Creative Commons CC-BY-NC-SA
Genealogia n°33 http://j.f.blanc.free.fr

-ii-
ENSENHADOR
I.
Pourquoi ce livre n’est pas en français.......................v
About this book..........................................................vi
Introduccion..............................................................vii
Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Lista corta............1

II. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa


de Roglo. Lista corta...............................................217

III. Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Las vint


primièras generacion. Lista longa..........................571

IV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa


de Roglo. Lista longa, generacions 1 a 23..............935
V. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Lista longa, generacions 24 a 28..........1387
VI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Lista longa, generacions 29 a 61..........1867

VII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa


de Roglo. Nòtas. Generacions 1 a 20...................2219
VIII.Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacions 21 e 22.................2671
IX. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 23...........................3161
X. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 24...........................3509

iii
XI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 25...........................3937
XII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 26...........................4375
XIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 27...........................4783
XIV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 28...........................5225
XV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 29...........................5557
XVI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 30...........................5901
XVII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacions 31 a 33.................6381
XVIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la
basa de Roglo. Nòtas. Generacions 34 a 61.........6689

iv
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Generacion 27

94.843.428:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

94.843.429:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

94.928.896:
Voir également : Origine de la Maison d'Adhémar ainsi que Les Adhémar, par
Thierry et Hélène Bianco

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014
- família: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014

94.928.897:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014
- família: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014

94.929.024:
Pons de Marseille, dit Major ou Pons de Fos, vicomte de Marseille, est né vers 910
certainement à Arles et mort vers 979 vraisemblablement en Provence.
Pons de Marseille, vivant au Xe siècle, est seigneur de Marseille et de Trets, peut-
être vicomte de Marseille. Il devient seigneur de cette ville car il combattit aux
côtés du comte d'Arles Boson II et de Guillaume Ier. Pons de Marseille est le
premier des vicomtes de Marseille. En 979, son fils, Guillaume de Marseille lui
succède. Son autre fils, Honoratus de Marseille, évêque de Marseille de 949 à 978
est déjà mort.
Sa famille
D'après différentes sources, Pons de Marseille est fils d’Ison d’Arles et d’une
princesse lombarde de la famille de Bénévent. Il est le frère de Lambert, qui est
tige des seigneurs de Reillanne. Pons de Marseille est le petit-fils de Pons, grand
propriétaire terrien en Argence1, descendant de Leibulf de Provence et d’Odda. Il
est le petit-neveu d’Humbert, évêque de Vaison-la-Romaine (911-933). Les ancêtres
de Pons sont ceux aussi des seigneurs des Baux, ses descendants en partie 2.
Biographie
À la mort d’Arlulf de Marseille, vers 964, l’on voit des négociants grecs s’installer
auprès du port de Marseille, et ouvrir des magasins pour le commerce des laines4.
Pons de Marseille, en devenant seigneur de Marseille en 965, hérite donc d'une
ville appauvrie assiégée comme son prédécesseur. Il n'est pas apparenté à Arlulf de
Marseille. Néanmoins le choix de l’un de ses fils, Honoratus de Marseille, comme
évêque, et le mariage d'un autre de ses fils, Guillaume de Marseille, avec la fille du
seigneur de Marseille, montre qu’il est un seigneur important dès avant 967. Pons
de Marseille est le premier des vicomtes de Marseille. Il est qualifié de vice-comes
en mars 965 dans une charte.5 Cette nomination est une récompense. Pons l'Ancien
est cité en 965 avec le titre de vicomte aux côtés du comte Boson II d'Arles. À
l'issue de l'expulsion des Sarrasins de la Provence, Guillaume Ier dit le Libérateur,
lui donne une partie des terres libérées et récompense aussi Pons de Fos, qui est
peut-être son fils. Après 972 quelques raids feront encore trembler des villes du
littoral, mais le théâtre des opérations se déplacera vers l'Espagne du fait de la
Reconquista et vers l'Orient où débutent les Croisades. Pons de Marseille n’est
-4783-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
seigneur que jusqu’en 979. Son fils, Guillaume de Marseille, lui succède. Il est le
premier à avoir le titre vicomte de Marseille
Descendance
Pons de Marseille est à l'origine de la dynastie vicomtale de Marseille. Les
descendants de sa fille seront pendant plusieurs générations soit évêque soit
vicomte de Marseille. Ils possèdent alors un immense domaine comprenant 21
communautés entre la Montagne Sainte-Victoire et La Ciotat, sans oublier
Marseille, Toulon et leurs possessions de l'est de la Provence. Il est appelé aussi
Pons de Fos, vicomte de Marseille, car il est seigneur de Fos et vit la plupart de son
temps au château de Fos 6. Veuf, Pons se remarie avec Belletrude. Ils sont les
parents de Pons de Fos, dont le nom apparaît dans une charte de l'abbaye de Saint-
Victor, le Bref de la Cadière, probablement de la fin du Xe siècle. À l'issue de
l'expulsion des Sarrasins de la Provence en 972, ce Pons de Fos se voit attribuer
par le comte de Provence, (Guillaume Ier) dit le Libérateur, une partie des terres
libérées, plus précisément la partie orientale de la zone littorale de l'évêché de
Toulon. Désormais, ses descendants, les seigneurs de Fos seront aussi seigneurs
d'Hyères. Est-il le même personnage que Pons le Jeune, ancêtre des seigneurs des
Baux ? Les ascendants sont les mêmes et Pons de Marseille est aussi appelé Pons
major, vicomte de Marseille, dans les chartes.
Notes et références

1. .↑ Le nom d’un territoire situé entre Beaucaire et Saint-Gilles remit par


l’archevêque d’Arles, Raimon de Montredon en fief à Alphonse Jourdain,
comte de Toulouse en 1143. Sur Pons ou Poncius, voir Old Provence, de
Theodore Andrea Cook, p.249.
2. .↑ Phantoms of Remembrance : memory and oblivion at the end of the
first millennium / Patrick Geary J, p.76 et Olivier d’Hauthuille, Héraldique
et généalogie 89.I.160, généalogie tirée des ouvrages de Georges de
Manteyer, La Provence du premier au douzième siècle, études d'histoire et
de géographie, de Juigné de Lassigny, Généalogie des vicomtes de
Marseille, de Fernand Cortez, Les grands officiers royaux de Provence au
Moyen Âge listes chronologiques, de Papon, de Louis Moréri, du marquis
de Forbin, Monographie de la terre et du château de Saint-Marcel, près
Marseille : du Xe au XIXe siècle, du président J. Berge, Origines rectifiées
des maisons féodales Comtes de Provence, Princes d'Orange , de Poly, La
Provence et la société féodale (879-1166), Paris, 1976, Saillot, Le Sang de
Charlemagne, Sources également sur les vicomtes de Marseille : Édouard
Baratier, Ernest Hildesheimer et Georges Duby, Atlas historique et le
tableau de Henry de Gérin-Ricard, Actes concernant les vicomtes de
Marseille et leurs descendants
3. .↑ The first Count of Les Baux, whose name alone we know, was Leibulf,
whose son Pons, or Poncius, owned large lands in Argence Old Provence -
Page 127, de Theodore Andrea Cook - 1905
4. .↑ Raoul Busquet - Histoire de Marseille, 1948, p.72.
5. Ch. 29 du Cart. Saint-Victor et Inventaire chronologique et analytique des
chartes de la maison de Baux, de Louis Barthélemy, p.1.
6. ↑ Maynier et Viton de Saint-Allais, Nicolas. Nobiliaire universel de v.19,
p.1

Bibliographie :

 Florian Mazel, La Noblesse et l'Église en Provence, fin Xe-début XIVe


siècle. L'exemple des familles d'Agoult-Simiane, de Baux et de Marseille,
Paris, 2002 (thèse, université de Provence, 2000).

-4784-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia Florian Mazel, La Noblesse et l'Église en
Provence, fin Xe-début XIVe siècle. L'exemple des familles d'Agoult-Simiane, de
Baux et de Marseille, Paris, 2002 - thèse, université de Provence, 2000) 30iii2011
- família: J-P de Palmas (wikipedia)

94.929.025:
Fonts: - família: J-P de Palmas (wikipedia)

94.929.026:
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Europäische Stammtafeln III 762
vicecomites Nicienses et L'abbaye de Saint-Pons: hors les murs de Nice : essai
historique, Par Bonaventure Salvetti, Publié par SERRE EDITEUR, 2003, p.157.)
i2010
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Europäische Stammtafeln III 762 vicecomites
Nicienses et L'abbaye de Saint-Pons: hors les murs de Nice : essai historique, Par
Bonaventure Salvetti, Publié par SERRE EDITEUR, 2003, p.157.) i2010

94.929.027:
Fonts: - família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Europäische Stammtafeln III 762
vicecomites Nicienses et L'abbaye de Saint-Pons: hors les murs de Nice : essai
historique, Par Bonaventure Salvetti, Publié par SERRE EDITEUR, 2003, p.157.)
i2010

94.929.028:
Premier degré certain de la maison d'Agoult.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (N. Didier, H. Dubled, J. Barruol, Cartulaire de
l'Église d'Apt, (835-1130), Dalloz, Paris, 1967) 22 ii 2015, JB.de La Grandiere (
Florian Mazel in "La Noblesse et l'Eglise de Provence", p.616 -d'Agoult ) 23 vi 2015
- família: H.deRiberolles(Base Tournemire)

94.929.029:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base Tournemire)
- família: H.deRiberolles(Base Tournemire)

94.929.029b:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

94.929.056:
Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

94.929.057:
Fonts: - família: J-L. Dega

94.929.058:
[GUILLAUME [II] ([945]-after 21 Jul 1007). The proof that Guillaume [II] was the
son of Rainard [II] has not been found. However, his consent to the execution of his
supposed father´s testament, and his naming his daughter after his supposed
mother, strongly suggest that the affiliation is correct. "Diaz, femina, et vir meus
Isimbertus consentiens" donated property "in comitatu Agathensi in…villa Pineto",
specifying that the property came to them "ex commutatione de Guillelmo
vicecomite et de uxore sua Ermetructes", by charter dated 7 Apr 967[27]. Vicomte
de Béziers. A charter dated 23 Oct 969 records the execution of the testament of
"Reginardi vicecomitis" by his executors "…Garsindis vicecomitissa…", specifying
that the testator requested burial "ad ecclesiam Sancti Jacobi", with the consent of
-4785-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Willelmus vicecomes"[28]. "Willelmus vicecomes et uxor mea Ermetructis
vicecomitissa" donated property "in comitatu Biterrense villa…Lignano" to the
church of Béziers by charter dated 24 Aug 977[29]. "Willelmo vicecomite" is named
as present in the charter dated 20 Sep 983 which publishes the testament of
Pons[30]. "Dominus Willelmus vicecomes Biterrensis", on leaving on pilgrimage for
Rome, and "uxor sua Arsindis" relinquished claims in favour of the abbey of Saint-
Thibéry by charter dated 28 Feb 990[31]. The testament of "Guillelmus vicecomes",
dated 990, appointed "…Arsindis vicecomitissa…" among his executors and named
"filia sua Garsindis…filia mea Senegundis"[32]. "Guillelmus vicecomes et uxor
mea…Arsindis" exchanged property with Matfred Bishop of Béziers by charter
dated 17 Aug 994[33]. "Ratulfus et uxor mea Lugrizia…" gave property "in
comitatu Agathense in villa Almas" to "Raimundo comiti et uxore tue Garsindi
comitisse" by charter dated 21 Jul 1007, which also names "Guillelmo vicecomes"
but gives no indication of any relationship between the latter and Garsindis[34].
m firstly ERMENTRUDE, daughter of --- (-after 24 Aug 977). "Diaz, femina, et vir
meus Isimbertus consentiens" donated property "in comitatu Agathensi in…villa
Pineto", specifying that the property came to them "ex commutatione de Guillelmo
vicecomite et de uxore sua Ermetructes", by charter dated 7 Apr 967[35].
"Willelmus vicecomes et uxor mea Ermetructis vicecomitissa" donated property "in
comitatu Biterrense villa…Lignano" to the church of Béziers by charter dated 24
Aug 977[36].
m secondly (before 28 Feb 990) ARSINDE, daughter of --- (965-after 12 Aug 993).
"Dominus Willelmus vicecomes Biterrensis", on leaving on pilgrimage for Rome,
and "uxor sua Arsindis" relinquished claims in favour of the abbey of Saint-Thibéry
by charter dated 28 Feb 990[37]. No primary source has been identified which
confirms her parentage. The testament of "Guillelmus vicecomes", dated 990,
appointed "…Arsindis vicecomitissa…" among his executors and named "filia sua
Garsindis…filia mea Senegundis"[38]. "Guillelmus vicecomes et uxor
mea…Arsindis" exchanged property with Matfred Bishop of Béziers by charter
dated 17 Aug 994[39]. Guillaume [II] & his first wife had two children.
[28] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 118, col. 260.
[29] Béziers 39, p. 38.
[30] Agde XVII, p. 29.
[31] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 149, col. 314.
[32] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 150, col. 316.
[33] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 154.IX, col. 328.
[34] Agde XXIII, p. 38.
[35] Agde XII, p. 23.
[36] Béziers 39, p. 38.
[37] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 149, col. 314.
[38] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 150, col. 316.
[39] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 154.IX, col. 328.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 ix 2014
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 25 ix 2014
- família 2: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 25 ix 2014

94.929.059:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Claudie Amado in H.Debax "Vicomtes et vicomtés")
18i2015
- família: J-P.de Palmas (FMG) 25 ix 2014

94.929.064:
Les récents historiens du Carladès qui ont poussé plus loin que personne ne l'avait
fait avant eux l'étude des origines des fiefs de ce pays et de leurs maîtres d'après
les seuls documents contemporains,Bien que la partie historique antérieure au
XIV° siècle soit l'oeuvre de Gustave Saige elle n'a été publiée qu'après
communication et avec l'approbation du comte de Dienne; de sorte que nous ne
pouvons séparer les deux collaborateurs d'une oeuvre où l'un apporta l'expérience
-4786-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'un chartiste consommé, lauréat de l'Ecole des Chartes dès ses débuts, et l'autre
sa connaissance appronfondie d'une région ignorée de l'autre et d'un personnel
historique où il retrouvait sa propre famille. On ne peut oublier, du reste, que c'est
en suivant la piste des archives du Carladès de Paris à Monaco, que Mr de Dienne
amena la découverte de ce fonds alors inexploré et même inconnu, dans les
archives de la principauté, et par conséquent de sa publication. ont abouti, pour les
seigneurs de Turlande, de Mels et de Bénavent, à la conviction non seulement que
leurs seigneuries furent des démembrements d'une même terre mais qu'ils
sortirent d'une même souche. Ils leur donnent pour auteur commun Gilbert Ier,
vicomte de Carlat, mari d'Agnès, laquelle mourut veuve dans un âge avancé, après
avoir testé vers 1010, 1012 au plus tard.
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Saint-Robert de Turlande) vii 2010
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Saint-Robert de Turlande) vii 2010

94.929.065:
Il est certain, d'après le testament d'Agnès, qu'elle possédait dans son patrimoine
personnel le pays de Viadène et tout au moins une très grande portion des
vigueries de Bromme et de Barrès, sur lesquelles s'étendait la partie méridionale
de la terre de Turlande. Elle partagea ce vaste territoire entre ses trois fils: Gilbert
qui fut Gilbert II troisième vicomte connu de Carlat, Géraud et Bernard. Il résulte
encore de son testament que Gilbert et Bernard reçurent d'elle chacun la moitié de
la châtellerie de Mels contigüe aux terres de Bénavent et Turlande; que Géraud en
eu Alpuech dans le pays de Viadène (canton de Sainte-Geneviève) et Mandillac
(commune de Thérondels au pays de Barrès) séparée de Turlande par le seul lit de
la Truyière. A ces deux branches advinrent aussi Nigreserre et le fief de l'immense
paroisse primitive de Raulhac. Turlande lui-même relevait du vicomté de Carlat.
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Saint-Robert de Turlande) vii 2010
- defunció: J-P de Palmas (testa vers 1010 - 1012)
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Saint-Robert de Turlande) vii 2010

94.929.068:
HILDUIN ([925]-before 28 Jun 983). "Gariberga et Hildinus vicecomes et Ado
vicecomes" donated "alodem…in Substantionense in villa…Mairanichos" to
"ecclesiæ Sancti Salvatoris Gellonensis" by charter dated 961[1391]. "Ildinus"
donated property to Aniane for "parentes meosdefunctigenitore meo Lautardo et
genetrice mea.Senegunde et filios meos et filias uxore mea Archimberta" by
charter dated 8 Oct 972 subscribed by "Allidulfo, Ermengaudo, Odone"[1392].
Vicomte in Lodève (Hérault). "Hildinus vicecomes et uxor mea Archimberta et filii
nostri Ermengaudus, Adilulfus et Oddo" exchanged property with the abbey of
Saint-Guillem du Désert by charter dated 31 Mar 982[1393].
m ARCHIMBERTE, daughter of --- ([930-after 4 Jun 986). "Ildinus" donated
property to Aniane for "parentes meosdefunctigenitore meo Lautardo et genetrice
mea.Senegunde et filios meos et filias uxore mea Archimberta" by charter dated 8
Oct 972 subscribed by "Allidulfo, Ermengaudo, Odone"[1394]. "Hildinus vicecomes
et uxor mea Archimberta et filii nostri Ermengaudus, Adilulfus et Oddo" exchanged
property with the abbey of Saint-Guillem du Désert by charter dated 31 Mar
982[1395]. "Archimberta, vicecomitissa, et fillii mei, Allidulfus et Oddo et
Teugardis qui fuit uxor Ermengaudi filii mei, qui fuit olim" donated property to
Aniane by charter dated 28 Jun 983, subscribed by "Archimberta et Allidulfi et
Oddonis et Teugardis S. Ricardi "[1396]. "Archimberta" donated property to
Aniane, for the souls of "parentes meos qui defuncti sunt, id est genitore meo et
genetrice mea et filios et filias meas et viro meo Ildinone qui fuit quondam", by
charter dated 4 Jun 986, signed by "Odonis, Atonis, Siwini, Gifredi"[1397]. Hilduin
& his wife had four children (according to Duhamel-Amado[1398] other children
who died before 986 had issue in the local nobility, notably Gignac and Deux-
Vierges (Hérault).
[1391] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 110, col. 240.

-4787-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1392] Aniane, CCLIII, p. 378.
[1393] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 135, col. 294.
[1394] Aniane, CCLIII, p. 378.
[1395] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 135, col. 294.
[1396] Aniane, CCCV, p. 425.
[1397] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 140, col. 302.
[1398] Duhamel-Amado (2001), p. 257. [J.-C. Chuat]
Le pays de Lodève
Le pays de Lodève ou Lodévois était un comté dès le IXe siècle. Il fut compris, au
Xe siècle, dans le marquisat de Gothie sous le titre de vicomté. En 949, on voit
deux vicomtes de Lodève, appelés princes du peuple, Eudes et Hildin, jouissant «
d'une partie du domaine du Lodévois » sous la suzeraineté du comte de Toulouse.
Au milieu du XIe siècle, Nobilie, héritière de la vicomté de Lodève, épousa le
vicomte de Carlad ; leur fille Adèle, héritière à son tour, faute de mâles, épousa le
vicomte de Millau, Bérenger II, dont le fils aîné, Richard, réunit aux vicomtés de
Lodève et de Carlad le comté de Rodez. Ces réunions de domaines pouvaient faire
du Lodévois un fief puissant ; mais les évêques de Lodève ruinèrent son avenir en
se faisant céder successivement, par les comtes de Rodez, les comtes de Toulouse
et les vicomtes de Béziers tout ce qu'ils possédaient dans leur diocèse. En 1191 (?:
1
) donc, l'évêque Raimond Guillaume était seul seigneur temporel du Lodévois et
comptait parmi ses vassaux de riches barons. Après la soumission du Languedoc à
la couronne royale, le Lodévois fit partie de la viguerie de Gignac, dans la
sénéchaussée de Carcassonne.
Références
Raimond Guillaume, fut évêque de Nîmes de 1097 à 1112 !!
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii
2011
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 19 ii 2016

94.929.069:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 19 ii 2016

94.929.069a:
ERMENGAUD (-[31 Mar 982/28 Jun 983]). "Ildinus" donated property to Aniane for
"parentes meosdefunctigenitore meo Lautardo et genetrice mea.Senegunde et
filios meos et filias uxore mea Archimberta" by charter dated 8 Oct 972 subscribed
by "Allidulfo, Ermengaudo, Odone"[1402]. "Hildinus vicecomes et uxor mea
Archimberta et filii nostri Ermengaudus, Adilulfus et Oddo" exchanged property
with the abbey of Saint-Guillem du Désert by charter dated 31 Mar 982[1403].
Vicomte in Lodève.
m TEUDGARDIS, daughter of --- (-after 28 Jun 983). "Archimberta, vicecomitissa, et
fillii mei, Allidulfus et Oddo et Teugardis qui fuit uxor Ermengaudi filii mei, qui fuit
olim" donated property to Aniane by charter dated 28 Jun 983, subscribed by
"Archimberta et Allidulfi et Oddonis et Teugardis S. Ricardi "[1404].
[1402] Aniane, CCLIII, p. 378.
[1403] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 135, col. 294.
[1404] Aniane, CCCV, p. 425.
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25ii2011
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007

94.929.069b:
ALIDULF . "Ildinus" donated property to Aniane for "parentes
meosdefunctigenitore meo Lautardo et genetrice mea.Senegunde et filios meos et
filias uxore mea Archimberta" by charter dated 8 Oct 972 subscribed by "Allidulfo,
Ermengaudo, Odone"[1399]. "Hildinus vicecomes et uxor mea Archimberta et filii
-4788-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
nostri Ermengaudus, Adilulfus et Oddo" exchanged property with the abbey of
Saint-Guillem du Désert by charter dated 31 Mar 982[1400]. "Archimberta,
vicecomitissa, et fillii mei, Allidulfus et Oddo et Teugardis qui fuit uxor Ermengaudi
filii mei, qui fuit olim" donated property to Aniane by charter dated 28 Jun 983,
subscribed by "Archimberta et Allidulfi et Oddonis et Teugardis S. Ricardi "[1401].
Vicomte in Lodève 972-983.
[1399] Aniane, CCLIII, p. 378.
[1400] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 135, col. 294.
[1401] Aniane, CCCV, p. 425.
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25ii2011

94.929.069d:
daughter(s) . The fact that Hilduin had more than one daughter is shown by the
charter dated 8 Oct 972 under which "Ildinus" donated property to Aniane for
"parentes meosdefunctigenitore meo Lautardo et genetrice mea.Senegunde et
filios meos et filias uxore mea Archimberta"[1534].
[1534] Aniane, CCLIII, p. 378.
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006, J-P.de Palmas (FMG) 27 ix 2016
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.929.069e:
daughter(s) . The fact that Hilduin had more than one daughter is shown by the
charter dated 8 Oct 972 under which "Ildinus" donated property to Aniane for
"parentes meosdefunctigenitore meo Lautardo et genetrice mea.Senegunde et
filios meos et filias uxore mea Archimberta"[1534].
[1534] Aniane, CCLIII, p. 378.
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006, J-P.de Palmas (FMG) 27 ix 2016
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
29ix2008

94.929.072:
Boson II (c.910-†968) appelé aussi Boson VII de Provence, comte d’Arles, d’Avignon
et de Provence (949-968)
Son origine est controversée, même si sa vie est relativement bien connue.
Origine
Hypothèse 1 : Boson II, fils de Rotbold (Roubaud) ou Rodboald d'Agel (noble
mâconais) fait comte de Provence en 903 par Louis III l'Aveugle.
L'ascendance de ce Rotbald nous est restée inconnue. Des historiens considèrent
toutefois qu’il pourrait s’agir du mari d’une fille d’Ermengarde (fille de Boson V de
Provence) et de Guillaume d’Aquitaine (cf. généalogie des souverains de Provence
ici). Cette hypothèse repose sur le fait que l'origine d'une descendante de Boson
d'Arles (885-†936) est pour certains historiens rejetée car ce Boson n’aurait eu que
des filles[1]. Pour l'historien Jean-Pierre Poly qui soutient cette hypothèse, cette
famille comtale mise en place par les Bourguignons (ie Hugues d'Arles) serait
probablement originaire de Septimanie. Son représentant Boson aurait su virer de
bord à temps (vers 947-948?) en rompant son mariage avec Berthe, la nièce
d’Hugues, après les revers de fortune de celui-ci, puis en épousant une Constance,
qui bien qu’inconnue[2], était suffisamment illustre pour donner son nom à sa
petite-fille, Constance d'Arles, épouse d’un roi de France[3]. Le nom de Guilhem
porté par son frère et donné à un de ses fils évoque probablement les Guilhelmides
d’Auvergne. Et Conrad, le nouveau roi de Provence, aurait trouvé en Boson un
comte d’une famille de second rang, moins dangereux et ambitieux, plus à même

-4789-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de bien s’entendre avec les notables provençaux[4].
Hypothèse 2 : Boson II, petit-fils de Boson d'Arles (885-†936) par Rotbold l’Ancien
(c.907-† 936), fils d’un premier lit de celui-ci. D'un premier lit (non identifié)
précédant son mariage avec Willa de Bourgogne en 912, Boson d'Arles a un enfant,
Roubaud I ou Rotbold l'Ancien dit aussi Rotbold de Spolète (c.907-936) qui épouse
Ermengarde d'Aquitaine et est assassiné sur ordre de son oncle le roi Hugues
d'Arles en 936 probablement en même temps que son père lors d’une tentative de
coup d’État contre ce dernier.
Hypothèse 3 : Boson II et Boson Ier, une même et seule personne
Certains auteurs, comme P.A. Février[5] identifient Boson Ier et Boson II, le père
de Guillaume de Provence, comme une seule et même personne ; et de ce fait font
décéder Boson Ier en 968. À l’encontre de cette affirmation, certains auteurs
constatent que ce Boson aurait vécu 73 ans et aurait eu des enfants à un âge
avancé, à presque 60 ans.
Biographie
En dépit de ces interrogations, la plupart des auteurs, notamment ceux partisans
des hypothèses 1 et 3, considèrent que Boson épouse, probablement avant 931[6],
Berthe d'Arles, la fille de Boson d'Arles, le frère d'Hugues. Dans ces conditions il
aurait pu être comte d'Arles dès le départ de son beau-père en Italie, ou la mort de
ce dernier, soit en 931 ou 936. Ces mêmes historiens s'accordent sur le fait que ce
mariage aurait été rompu au moment des revers d'Hugues, c'est-à-dire au plus tard
vers les années 945-948. En 948, à la mort d’Hugues d'Arles, Conrad veille à
remplacer ce dernier et à maîtriser les pouvoirs de son ou ses successeurs. C’est
pourquoi, il éclate la Provence en trois comtés, limitant ainsi l’autorité et les
ressources des nouveaux comtes. Boson et son frère Guillaume, d’origine
incertaine, bourguignonne ou autre[7], prennent en charge les comtés d’Arles et
Avignon. Le comte Griffon d’Apt ayant été rapidement éliminé, les deux frères,
sans s’affranchir de l’autorité nominale du roi, deviennent les vrais maîtres du
pays. Vers 953 (ou 942 ?)[8], Boson II épouse Constance appelée parfois Constance
de Provence ou Constante de Vienne, supposée être une fille ou une sœur de
Charles Constantin, comte de Vienne. Boson II et Constance ont deux fils :

 Rotboald Ier (Roubaud) (†1008), comte d'Arles et de Provence


 Guillaume Ier le Libérateur (v. 953 † 993), comte d'Arles et de Provence
puis marquis de Provence en 975.

Il meurt en 968.
Notes

1. Ce qui est vrai, si on se limite aux seuls enfants issus de son mariage avec
Willa de Bourgogne en 912
2. D'autres auteurs identifient toutefois cette Constance à Constance de
Provence appelée aussi Constance de Vienne.
3. Robert II de France
4. Jean-Pierre Poly - La Provence et la société féodale 879-1166 - page 33.
5. P.A. Février (sous la direction de) - La Provence des origines à l’an mil -
Editions Ouest-France Université, 1989 – (ISBN 2737304563), on peut lire
: C’est en 949, après la mort d’Hugues, qu’apparaît un nouveau comte
d’Arles, Boson, sur l’identité duquel les historiens ont beaucoup hésité. Il
a été finalement été identifié avec le premier mari de Berthe, la nièce
d’Hugues, qu’il aurait répudié afin de dissocier son sort de celui des
proches du marquis au moment de ses revers de fortune. Il aurait alors
épousé Constance, une inconnue par ailleurs. Il en eut deux fils, Roubaud
et Guillaume Boson (qui) avec son frère appelé aussi Guillaume,
exercèrent de manière indivise l’autorité comtale, toujours unique, en
temps (tant ?) que représentants de Conrad. Berthe, quant à elle, se
remariait avec le comte de Rodez et terminait ses jours en Aquitaine.
-4790-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
6. On sait que lorsque son père Boson d'Arles part en Italie, elle est déjà
mariée.
7. D'après Jean-Pierre Poly, cité dans La Provence au Moyen Âge, page 12, le
premier de la dynastie, le père de Boson et Guillaume un dénommé
Roubaud, serait non pas d'origines bourguignonnes, mais provençales ou
septimanes.
8. Probablement après 945 et avant 948, c'est-à-dire au moment des revers
de fortune d'Hugues d'Arles.

Bibliographie :

 Florian Mazel, « Noms propres, dévolution du nom et dévolution du


pouvoir dans l'aristocratie provençale (milieu Xe - fin XIIe siècle) »,
Provence historique, 212, 2003, pp. 131-174 (disponible en ligne).

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 9 iv 2013


- família 1: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014
- família 2: J-P.de Palmas (Christian Settipani, Nos ancêtres de l'Antiquité : étude
des possibilités de liens généalogiques entre les familles de l'Antiquité et celles du
haut Moyen-Âge européen) 2013

94.929.073:
Sa filiation n'est pas connue et l'abbé Maurice Chaume a le premier mis en
évidence que le prénom de cette dernière renvoyait au comte de Vienne Charles-
Constantin. Il cite d'autres indices qui ne se révélèrent pas probants par la suite,
mais considérer Charles Constantin, comte de Vienne comme le père de Constance
de Provence reste la meilleure hypothèse de la filiation de Constance. Certains
chercheurs ont pensé qu'elle était sœur de Charles Constantin, mais Guillaume le
Libérateur, son fils, étant né vers 950-955, elle même n'a pas pu naître avant 910-
915. Or la mère de Charles Constantin, qui a transmis les prénoms de Constance et
Constantin, est morte en 903. Il est vrai que Constance pourrait être une nièce de
Charles Constantin, mais il est très improbable que ce dernier aie eu une sœur ou
un frère germain (brièveté du mariage des parents et absence dans les sources).
Mariage et enfants
Elle épousa avant 942 Boson II (928 † 968), comte d'Arles et eut deux fils[ 1 ] :

 Rotbald (Roubaud) († 1008) et


 Guillaume dit le Libérateur (†993) , né vers 950 et mort après le 29 août
993, comte d'Arles et de Provence puis marquis de Provence en 975.
Il est le père de Constance d'Arles épouse du roi Robert II de France.

Sources

 Christian Settipani, Nos ancêtres de l'Antiquité : étude des possibilités de


liens généalogiques entre les familles de l'Antiquité et celles du haut
Moyen-Âge européen, 1991
 Patrick Van Kerrebrouck, Nouvelle histoire généalogique de l'auguste
maison de France, vol. 1 : La Préhistoire des Capétiens (par Christian
Settipani), 1993
 Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Constance_de_Provence »

1
Constantia is named as the wife of Comte Boson, and mother of Guillaume and
-4791-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Rotbald, in the Cartulaire de Montmajour dated May 963 (Chartrier de Saint-Pierre
de Montmajour, ed. Dom Chantelou (1890/1), pp. 1-384, quoted in Settipani (1991),
p. 3 footnote 3.)
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (Christian Settipani, Nos ancêtres de l'Antiquité :
étude des possibilités de liens généalogiques entre les familles de l'Antiquité et
celles du haut Moyen-Âge européen) 2013
- família: J-P.de Palmas (Christian Settipani, Nos ancêtres de l'Antiquité : étude des
possibilités de liens généalogiques entre les familles de l'Antiquité et celles du haut
Moyen-Âge européen) 2013

94.929.074:
FOULQUES d'Anjou, son of FOULQUES I "le Roux" Comte d'Anjou & his wife
Roscille de "Loches" ([920]-11 Nov 958). The Gesta Consulum Andegavorum names
"Fulco Rufus alium [filium] …tertium iuniorem…alter Fulco cognominatus Bonus"
when recording that he succeeded his father[61]. He succeeded his father in 942
as FOULQUES II "le Bon" Comte d'Anjou. He made peace with the Normans.
m firstly (937) GERBERGE, daughter of --- (-before 952). "Gaufridus…Andecavorum
comes" names "patris mei Fulconis, matris quoque meæ Gerbergæ" in his charter
dated 19 Jun 966[62]. Maurice Chaume suggested that she was Gerberge,
daughter of Geoffroy Vicomte d'Orléans [Comte de Gâtinais], based on onomastic
reasons only to explain the introduction of the name Geoffroy into the family of the
Comtes d'Anjou[63].
m secondly (after 952) as her second husband, --- de Blois, widow of ALAIN II
“Barbetorte” Duke of Brittany, daughter of THIBAUT [I] "l'Ancien" Comte de Blois
& his [second wife Richilde ---]. The Chronicle of Nantes records the marriage of
"Theobaldus comes Blesensis…sororem suam relictam Alani Barbætortæ ducis"
and "Fulconi comiti Andegavensi"[64].
Comte Foulques II & his first wife had four children.
[61] Chronica de Gesta Consulum Andegavorum, Chroniques d'Anjou, pp. 66 and
67.
[62] Angers Saint-Aubin, Tome I, 2, p. 4.
[63] Saint-Phalle, E. de 'Les comtes de Gâtinais aux X et XI siècles', Keats-Rohan,
K. S. B. and Settipani, C. (eds.) (2000) Onomastique et Parenté dans l'Occident
medieval (Prosopographica et Genealogica, Vol. 3), p. 239, citing Chaume, M.
(1925) Les origines du duché de Bourgogne (Dijon) Vol. I, p. 534.
[64] Merlet, R. (ed.) (1896) La Chronique de Nantes (Paris) XXXVII, pp. 107-8.

Bibliographie

 Le pouvoir de Foulque le Bon, comte d'Anjou de 941 à 960, Mémoire de


Master I d'Histoire, Géographie et Document, de Denis Piel, 2009-2010
(Jean-Pierre de Palmas : communication de Christian Dernoncourt du 29 vi
2012)

Chronique des comtes d'Anjou : Foulques le [second] pieux a eu trois fils, dont le
plus vieux, Geoffroy, régna comme comte. Un autre, Gui, était évêque du Puy. Le
plus jeune, Drogo, était le bien-aimé de Foulques, qui l'avait engendré dans sa
vieillesse ; il fut formé dans les lettres et les arts libéraux, et a succéda à son frère
Guido comme évêque du Puy, avec la bénédiction du Roi Hugues.
Fonts: - persona: O.Guionneau ( H&G 99-164 ), J-P.de Palmas (FMG (Anjou)) 5 iv
2012, A.de La Gueronniere (note sur 3è fils) 25 viii 2013
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 26 i 2014
- casament 2: B.Yeurc'h (A.Aurejac)

94.929.075:

-4792-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Attention: ascendance douteuse coupée le 6 iv 2012 (avec Hervé de Bretagne X
Godehilde du Maine).Très grandes incertitudes pour son ascendance. Est-elle
Gerberge de Maine, Gerberge du Gâtinais ou bien Gerberge de Vienne ?
"Merci Stéphane pour ce retour aux sources de référence (Brigitte Bedos 1976,
1977, 1980)
J'ai donc mis Bouchard N en origine des Montmorency et reporté en notes votre
message forum et l'addenda que vous m'avez adressé par mail !
Ce tableau [voir fiche de Bouchard] n'est pas sans poser d'autres interrogations
pour des entrées de Roglo, par exemple celle de Gerberge du Maine qui serait en
fait Gerberge du Gâtinais." J-C de Vaugiraud (Message forum 2012-04-04 07:18:27)
4 iv 2012
"Pour Gerberge, voici ce qu'en dit Charles Cawley dans Medieval Lands, en
renvoyant notamment à Edouard de Saint-Phalle, que Jean-Baptiste pourra peut-
être consulter :
"FOULQUES d'Anjou, son of FOULQUES I "le Roux" Comte d'Anjou & his wife
Roscille de "Loches" ([920]-11 Nov 958). The Gesta Consulum Andegavorum names
"Fulco Rufus alium [filium] tertium iunioremalter Fulco cognominatus Bonus" when
recording that he succeeded his father[61]. He succeeded his father in 942 as
FOULQUES II "le Bon" Comte d'Anjou. He made peace with the Normans.
m firstly (937) GERBERGE, daughter of --- (-before 952). "GaufridusAndecavorum
comes" names "patris mei Fulconis, matris quoque meæ Gerbergæ" in his charter
dated 19 Jun 966[62]. Maurice Chaume suggested that she was Gerberge,
daughter of Geoffroy Vicomte d'Orléans [Comte de Gâtinais], based on onomastic
reasons only to explain the introduction of the name Geoffroy into the family of the
Comtes d'Anjou[63].
[62] Angers Saint-Aubin, Tome I, 2, p. 4.
[63] Saint-Phalle, E. de 'Les comtes de Gâtinais aux X et XI siècles', Keats-Rohan,
K. S. B. and Settipani, C. (eds.) (2000) Onomastique et Parenté dans l'Occident
medieval (Prosopographica et Genealogica, Vol. 3), p. 239, citing Chaume, M.
(1925) Les origines du duché de Bourgogne (Dijon) Vol. I, p. 534."
S. Bontron (Message forum 2012-04-04 09:00:31) 4 iv 2012
- J'ai l'ouvrage dans ma bibliothèque. Edouard de Saint-Phalle dans "Les comtes de
Gâtinais aux X et XI siècles" in "Onomastique et parenté dans l'occident médiéval",
2000, donne bien P. 235 un passage et des notes qui donnent la présomption de
Chaume et non la certitude d'Edouard de Saint-Phalle. Je cite: [Texte:] "Enfin il faut
faire justice d'un comte Geoffroi "de Gâtinais" en 933 qui a été mentionné comme
possible par Jules Devaux, et qui a servi à l'abbé Chaume de père à Gerberge,
comtesse d'Anjou (55): il s'agit d'un comte bourguignon, vassal du roi Raoul et
comte de Nevers dès 923, et encore en 940, et en 933, le Gâtinais devait dépendre
encore du comté de Sens qui était toujours sous influence bourguignonne, et, nous
l'avons vu, s'il y avait eu un titulaire particulier en Gâtinais en 933, il se fut intitulé
vicomte comme celui de Sens ou d'Orléans, et non comte." et [Note 55] "M.
Chaume, I, 1925, P. 534. Il en fait le père de Gerberge "de Gâtinais", épouse de
Foulque le Bon, pour expliquer l'apparition du nom de Geoffroi chez les comtes
d'Anjou."
- Un autre auteur, tout comme Chaume (et Brigitte Bedos), tient également
Gerberge comme fille de Geoffroy: il s'agit de Robert Delort: "Introduction aux
sciences auxiliaires de l'Histoire". Paris, Armand Colin, 1969. (Collection U, série «
Histoire médiévale » dirigée par Georges Duby, tableau de la P. 229 !
- Tous les auteurs ne sont pas aussi catégoriques que Chaume et Delort car nous
voyons Jean Gouget et Thierry Lz Hête (avec la collaboration d'Edouard de Saint-
Phalle) in "Les comtes de Blois et de Champagne", 2004, note 20, P. 67 dire en
parlant de Foulques: "Il était veuf de Gerberge (+ 952) dont on ignore encore
aujourd'hui, malgré les travaux de Bernard S. Bachrach "Some observations on the
origins of countess Gerberge of the angevins, an essay in the application of the
Tellenbach-Werner prosopographical method, , 1986 - qui propose qur Gerberge
ait pu être la fille de Rathburne, vicomte de Vienne et de Gerberge." !
- Il serait sans doute intéressant de pouvoir consulter une conférence du 1 iv 1995
à Oxford de Christian Settipani: "Les comtes d'Anjou et leurs alliances au X° et XI°
-4793-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
siècle". Le texte a été publié en 1997 en Grande-Bretagne, mais je ne l'ai pas vu et
ne sais si il a abordé Gerberge
- Quoi qu'il en soit notre Gerberge devrait bien perdre ses parents actuels car
aucune source sérieuse ne cite d'Hervé parmi les enfants de Salomon Peut-être
pourrait-on lui donner de multiples "parents possibles" avec ceux donnés par l'abbé
Chaume et ceux donnés par Bernard S. Bachrach ?
J-C de Vaugiraud (Message forum 2012-04-04 19:25:52) 4 iv 2012
Settipani avait épousé l'hypothèse de Chaume donnant Gerberge comme fille d'un
Geoffroy sur la simple constatation que le fils de Gerberge portait un prénom
pouvant alors avoir été "parrainé" par un grand'père du même prénom. Edouard de
Saint Phalle, ultérieurement, avait donné des raisons pour lesquelles l'hypothèse
n'était pas assez soutenable.. ESP, consulté, indique que Christian Settipani a
depuis lors adopté une nouvelle orientation en découvrant, à force de savantes
analyses, avec d'autres, que le prénom de Geoffroi d'Anjou lui venait du coté de
Roricon du Maine.
La dernière position sûre de Gerberge est donc qu' elle reste née de parents
inconnus...
Pour Gerberge, aucune hésitation : il faut balayer tout ancêtre et n'en signaler que
quelques uns en "notes" car l'un de ceux-ci pourrait, un jour, être admis comme le
plus possible, voire le plus probable !
JB de La Grandière (extrait d'un message sur forum 2012-04-05 14:56:15) 5 avril
2012
Je vois à l'instant que cet essai de filiation est dans "Onomastique et parenté dans
l'occident médiéval", 2000, par Christian Settipani (qui manque d'une table) in "Les
vicomtes de Châteaudun et leurs alliés, dans son stemma de la page 258 il donne,
(prénoms respectés), Rorico ——> Gausfred ········> Gausfred ——> Gausfred
········> Gerberge.
Les traits pleins —— = certain; les pointillés ······ = hypothèse !
J-C de Vaugiraud (message forum) 6 iv 2012
Son ascendance est donnée dans la thèse de François Doumerc (2010). C.Saint-
Félix 1ii2014
Fonts:
- persona: o guionneau/H&G 99-164
- família: J-P.de Palmas (FMG) 26 i 2014

94.929.075c:
GUY d'Anjou (-before 995). The Gesta Consulum Andegavorum names
"primogenitus Gofridus…Guido…episcopus Podii…tertius minor Drogo" as the
three sons of "Fulco Pius"[74]. The Chronicle of Saint-Pierre du Puy refers to the
bishop who was "frater germanus comes Gaufridus cognomento Grisogonella",
clarifying in a later passage that he was "dominus Guido sanctæ Vallavensis
ecclesiæ…episcopus"[75]. "Gaufridus…Andecavorum comes", with the consent of
"fratre meo Widone abate", established the right of the comtes d'Anjou to appoint
abbots of Saint-Aubin d'Angers, by charter dated 19 Jun 966[76]. He was appointed
Bishop of Le Puy in 975 by Lothaire King of the West Franks.
[74] Chronica de Gesta Consulum Andegavorum, Chroniques d'Anjou, p. 75.
[75] Chevalier, U. (ed.) (1884) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Chaffre du
Monastier et Chronique de Saint-Pierre du Puy (Montbéliard, Paris) (“Saint-
Chaffre”), Chronicon Monasterii Sancti Petri Aniciensis, CCCCXII, p. 152, and
CCCCXV, p. 153.
[76] Angers Saint-Aubin, Tome I, 2, p. 4.
Fonts: - persona: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)

94.929.075d:
DREUX d'Anjou (-998). The Gesta Consulum Andegavorum names "primogenitus
Gofridus…Guido…episcopus Podii…tertius minor Drogo" as the three sons of
"Fulco Pius", specifying that Drogo succeeded his brother as Bishop of Le Puy[98].

-4794-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Bishop of Le Puy .
[98] Chronica de Gesta Consulum Andegavorum, Chroniques d'Anjou, p. 75.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 26 i 2014

94.929.076:
Adalberto II d'Ivrea o Adalberto d'Italia (931 – Autun, 975) fu il sesto marchese
d'Ivrea e re d'Italia, con il padre Berengario II, dal 950 al 962 (dal 951 in
contrapposizione al re di Germania, Ottone I). Figlio del marchese d'Ivrea
Berengario II e di Willa III d'Arles (912-970), figlia del conte di Provenza e
marchese di Toscana, Bosone d'Arles e di Willa II di Borgogna, figlia del re di
Borgogna Rodolfo I e di Willa di Provenza. Nel 950, il 15 dicembre, Adalberto,
assieme al padre, Berengario II, venne eletto re d'Italia da una parte della nobiltà,
mentre l'opposizione alla loro elezione si coagulò attorno alla vedova di re Lotario,
morto nel novembre dello stesso anno, Adelaide, che però venne maltrattata e
imprigionata, per ordine di Berengario, ed inoltre le fu confiscata la sua ricca dote.
Adelaide, nel 951, riuscì a scappare e, in agosto, con l'aiuto del vescovo di Reggio
Emilia, a rifugiarsi nell'inespugnabile castello di Canossa, presso il conte
Adalberto-Atto, vassallo del vescovo di Reggio. Nel settembre dello stesso anno,
Ottone I di Sassonia scese in Italia per sostenere i diritti di Adelaide, e giunse a
Pavia senza incontrare alcuna resistenza. Mentre Adalberto e Berengario II si
rifugiavano in uno dei loro castelli, Ottone, a Milano, assunse il titolo di rex
francorum et longobardorum, dopo aver sposato Adelaide, vedova del re d'Italia e
chiese a papa Agapito II di incoronarlo imperatore. A seguito del rifiuto del papa,
dopo aver conquistato solo una parte del regno d'Italia, Ottone, nel febbraio del
952, tornò in Germania, lasciando il proprio genero, il duca di Lorena, Corrado, a
continuare la guerra contro Adalberto e Berengario, che ben presto vennero a patti
con Corrado. Alla dieta di Augusta (agosto 952), Adalberto e suo padre Berengario
II vennero confermati nell'investitura regia, come vassalli di Ottone, dovendo però
cedere al fratello di Ottone, il duca di Baviera, Enrico I, le marche di Verona, del
Friuli e dell'Istria. Rientrati in Italia, Adalberto e il padre misero sotto assedio, ma
senza risultato, il conte Adalberto-Atto e Berengario e la moglie Willa III si
vendicarono dei nobili e soprattutto degli ecclesiastici che li avevano traditi. Nel
955, dopo la morte di Enrico I di Baviera, mentre Ottone era impegnato a
combattere gli Ungari, Adalberto e il padre recuperarono la marca di Verona. E,
nel 957, Ottone organizzò la sua seconda spedizione in Italia, affidandone il
comando al figlio primogenito, l'ex duca di Svevia, Liudolfo, che sconfisse
Adalberto (mentre Berengario era fuggito) e conquistò tutta la Lombardia, ma che
morì improvvisamente a Pombia, sul lago Maggiore, per una febbre maligna.
Approfittando della morte di Liudolfo, Adalberto e il padre rioccuparono tutte i
feudi che avevano perso e presto iniziarono le vendette. Tra il 958 ed il 959 sposò
Gerberga di Châlon (?-986), figlia del conte di Châlon e d'Autun Lamberto. Nel 959,
constatato che il Ducato di Spoleto non era più un sostenitore leale, Berengario
attaccò Spoleto e ne scacciò il duca, Teobaldo II di Spoleto, mentre Adalberto
metteva a sacco il territorio romano, riducendo a mal partito papa Giovanni XII,
che nel 960, inviò una delegazione in Germania per sollecitare l'aiuto di Ottone.
Nell'agosto del 961, chiamato da papa Giovanni XII, Ottone scese nuovamente in
Italia e, mentre Adalberto cercava di organizzare una resistenza a nord di Verona,
Berengario, dopo aver incendiato il palazzo reale di Pavia, fuggì e si asserragliò
nella fortezza di San Leo. Adalberto tradito dalla quasi totalità di conti e vescovi,
dovette fuggire di fronte all'avanzata di Ottone, che entrò in Pavia, dove, dopo aver
deposto formalmente dal titolo regale Adalberto e Berengario, fu incoronato re
d'Italia, mentre il figlioletto, Ottone (rimasto in Germania), fu acclamato
coreggente. Ottone proseguì per Roma, passando da Ravenna, perché il
marchesato di Toscana era rimasto fedele a Adalberto e Berengario, e, il 2 febbraio
962, fu incoronato Imperatore da Giovanni XII. Ritornando verso nord attaccò il
marchese di Toscana, Uberto, lo sconfisse e lo esiliò, poi attaccò Adalberto,
asserragliato coi fratelli, Guido d'Ivrea e Corrado d'Ivrea e la madre, Willa III, nella
regione dei laghi. Adalberto fuggì a Fraxinetum nel sud della Francia che a quel
-4795-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
tempo era sotto il dominio saraceno e da lì raggiunse la Corsica. La madre invece
fu costretta ad arrendersi, nel castello vicino al lago d'Orta e le fu permesso di
raggiungere il marito, Berengario II a San Leo, mentre Guido, col fratello Corrado,
si sottomise e riebbe la marca d'Ivrea. Caduta San Leo nel 963 Berengario fu
arrestato ed esiliato a Bamberga assieme alla moglie Willa. Adalberto rientrò in
Italia nel 965, dopo la partenza di Ottone I e cercò di fomentare una ribellione, ma
venne sconfitto dal duca di Svevia, Burcardo III, inviatogli contro dall'imperatore
Ottone I e non gli riuscì di reimpossessarsi della marca d'Ivrea. Nel 968, Adalberto
si alleò con l'imperatore d'oriente, Niceforo Foca, nella guerra che lo contrappose a
Ottone I per il possesso della Puglia, e l'anno dopo, alla fine delle ostilità fra i due
imperatori, Adalberto fu costretto a rifugiarsi in Borgogna, dove morì nel 975.
http://it.wikipedia.org/wiki/Adalberto_II_d%27Ivrea
Adalbert (c.932 – c.975) was the king of Italy from 950 to 963. He was the son of
the Margrave Berengar of Ivrea and Willa.
On 15 December 950, both he and his father were crowned kings of Italy after the
death of Lothair II. His father forced Adelaide, widow of the late Lothair, to marry
Adalbert and cement their claim to the kingship. In 951, King Otto I of Germany
invaded Italy and rescued Adelaide, marrying her himself. He forced Berengar and
Adalbert to do homage to him for their kingdom in 952. In 953, Adalbert began
besieged Azzo, count of Modena, Reggio, and Canossa in his Canossan castle,
where Adelaide had taken refuge two years prior. In 957, Liudolf, Duke of Swabia,
invaded Lombardy and caused Berenagar to flee, though Adalbert gathered a large
force at Verona. He was defeated, but Liudolf died prematurely and his army left.
In 960, he joined his father in attacking the pope, John XII. Otto came down at the
pope's call and defeated the two co-kings and was crowned Emperor. Adalbert fled
to Fraxinet, then under the Saracens. From there he fled to Corsica. When he
returned, he tried to take Pavia, the Italian capital, but was defeated by another
invading Swabian army, this time under Burchard III. Only the interference of his
brothers Conrad and Guy, who died fighting, saved him to fight another day. He
never did. His negotiations with the Byzantine Empire fell through and he retired
with his wife Gerberga to Burgundy, where he died at Autun sometime between
971 and 975. His widow married Otto-Henry, Duke of Burgundy, and his son, Otto-
William, inherited through his stepfather the county of Burgundy and is thus the
forefather of the Free Counts and the Hohenstaufen emperors.
http://en.wikipedia.org/wiki/Adalbert_of_Ivrea
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de ; Manuel
Abranches de Soveral

94.929.077:
Nouvelle orientation de l'ascendance de Gerberge. Thierry Le Hête: dans son
"Errata et addenda" de janvier 1998 de "Les comtes palatins de Bourgogne"
corrige ses pages 25, 28 et 29, note 26 en se basant sur Noël Mathieu: "Nouvelles
recherches sur Gerberge, mère d'Otte-Guillaume" (Colloque de Saint Jean
d'Angely, 1996). Il avance une ouvrlle hypothèse, quant aux origines de Gerberge,
épouse d'Aubert. Pour lui, il est impossible que Gerberge ait pu être la fille de
Lambert, comte de Chalon. Dans l'esquisse d'une solution, il suggère que sa mère
Adélaïde, avant d'épouser Lambert de Chalon, ait pu être mariée avec un comte,
apparenté à la famille des Matfrid (ancêtres de la Maison de Lorraine) et aux
empereurs ottoniens. J-C de Vaugiraud 28 vi 2012
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Addenda 1998 comtes palatins de
Bourgogne) 16/09/2006
- família 2: J-C de Vaugiraud (Préhistoire des capétiens p 412)15/09/2006

94.929.078:
Renaud ou Ragenold 1 († 10 mai 967), fut un comte de Roucy et de Reims du Xe
siècle. Probablement d'origine viking, ainsi que son nom le laisse penser, il

-4796-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
apparaît en 943 aux côtés du roi Louis IV d'Outremer et l'assiste dans la lutte que
ce dernier mêne contre le comte Herbert II de Vermandois qui meurt en 943 2.
Renaud continue de servir le roi et prend pour son compte la ville de Sens en 945.
Vers 945, Louis IV, pour le récompenser maria sa belle-fille 3 Albérade de
Lotharingie à Renaud et lui donna en fief la terre de Roucy, située entre Reims et
Laon, avec charge pour lui de bâtir une forteresse, ce dont il s'aquitta entre 947 et
953. Durant cette époque, il souscrit une charte de donation à propose de l'abbaye
bénédictine de Charlieu, qui vient d'être fondée. En 946, Hugues de Vermandois,
archevêque de Reims est destitué par le roi et remplacé par Artaud. Ce dernier
confie le pouvoir temporel du diocèse à Renaud, qui devient ainsi comte de Reims.
En 954, à la mort de Louis d'Outremer, il reporta sa fidélité au fils du roi, Lothaire.
Il meurt le 10 mai 9674, laissant au moins quatre enfants, encore jeunes :

 Ermentrude († v. 1004), qui épousa en premières noces Aubry II de Mâcon


(† 982), comte de Mâcon, puis le comte Otte-Guillaume († 1026), comte de
Bourgogne
 Gislebert de Roucy († v. 1000), comte de Roucy et vicomte de Reims
 Brunon de Roucy (v. 956 - † 1016), évêque de Langres
 une fille5 mariée à Fromond II († 1012), comte de Sens.

Références

1. Foundation for Medieval Genealogy, Ragenold, comte de Roucy


2. Jean-Noël Mathieu, « La Succession au comté de Roucy aux environs de
l'an mil », dans Christian Settipani et Katharine S. B. Keats-Rohan,
Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval, 2000 [détail des
éditions]
3. En effet, Albérade était fille du duc Gislebert de Lotharingie, et de
Gerberge de Saxe, laquelle se remaria ensuite à Louis IV d'Outremer.
4. Chronique de Saint-Pierre-le-Vif
5. ↑ La Genealogia Comitum Flandriæ la mentionne sans la nommer,
Edouard de Saint-Phalle et Jean Noël Mathieu propose le prénom de
Giselberte en s'appuyant sur la base d'une charte de 1058 (mais peut-être
mal datée) éditée par M.QUANTIN (Cartulaire Général de l'Yonne, 1854-
1860)

RAGENOLD (-after 926). Flodoard records in 923 that "Ragenoldus princeps


Nortmannorum" was operating “in fluvio Ligeri” [River Loire] and pillaged
“Franciam trans Isaram” [River Oise] with help from “coniunctis sibi plurimis ex
Rodomo” [Rouen], that “fideles Heriberti” with “Rodulfo privigno Rotgeri et
Ingobranno comitibus” recaptured booty and freed prisoners, that Ragenold went
“in pagum Atrabatensem” [Artois] where he was defeated by “comes Adelelmus”
and took refuge “ad munitionem suarum”, and that King Raoul forced peace with
“Nortmanni” after they devastated “pagum Belvacensem” [Beauvaisis][1288]. The
reference to the Loire suggests that Ragenold may have been a member of the
group of Vikings who occupied Brittany in 919. Flodoard records that “Raginardus”
continued his raids in 924, attacking Burgundy, but that in 925 he was defeated by
“Warnerius et Manasses comites, Ansegisus et Gotselmus præsules” at “montem
Calaum” [Chalmont][1289]. The Chronicon Maceriense records in 925 that
"Manasses Porcensis, Marcus Dulcomensis et Guarinus Castriencis" defeated "cum
Reginaldo Rociensi Normannos apud Calvum montem"[1290]. Flodoard records
that “Nortmannos” (without naming their leader) attacked “in pago Atrabatensi” in
926 but were again defeated[1291]. same person as? RAGENOLD [Renaud] (-10
May 967, bur Abbaye de Saint-Rémy). There is no record of Ragenold over the
following twenty years, which suggests the possibility that the later entries do not
refer to the same person as further discussed in the Introduction to the present
-4797-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
chapter. Flodoard records in 944 that “Ragenoldus” attacked the abbey of Saint-
Médard de Soissons at the same time as the king´s troops attacked “episcopatum
Remensem”[1292]. The text of this passage suggests coordination, presumably
based on an alliance, which appears confirmed by Flodoard´s record in 945 that
King Louis “collecto secum Nortmannorum exercitu” attacked “Veromandinsem
pagum” and his report that Hugues “le Grand” suggested that “Ragenoldus”
represent the king at a conference organised after he defeated
“Nortmannis”[1293]. Comte [de Reims]: Flodoard records in 947 that "Ragenaldus
comes et Dodo frater ipsius præsulis" (the latter referring to Artaud Archbishop of
Reims) headed the army of the archbishopric of Reims against Hérivé, nephew of
the previous archbishop[1294]. This passage suggests that Ragenold may have
been installed as military chief at Reims after Artaud was restored as archbishop in
946. It is not certain that Ragenold´s county at that time was Reims. Orderic Vitalis
refers to "filiam Rainaldi comitis Remorum" when recording her marriage (see
below)[1295]. However, Orderic was writing about a century after events in the
mid-10th century and, in any case, it is likely that the archbishop of Reims enjoyed
comital jurisdiction in the town. A clearer statement is found in the (presumably
contemporary) charter dated to [948/54], relating to the foundation of Charlieu
abbey, which is subscribed by "Rainaldus Remensis comitis"[1296]. On the other
hand, the unusual phrasing “comes Ludowici”, in the extract which follows,
suggests that Ragenold owed his comital title directly to the king and that it may
not have been linked to a geographical county, although this would have been
unusual at the time. Flodoard records in 948 that Hugues “le Grand”
unsuccessfully besieged “munitionemsuper Axonam fluvium in locoRauciacus”
[Roucy] which was being built by “Ragenoldus comes Ludowici”[1297]. Comte de
Roucy. Flodoard records in 949 that “Ragenaldus comes” built “munitionemin
fluvio Maternaapud Maroilum” [Mareuil][1298]. Flodoard in 949 records that
"Ragenaldus comes" captured "castrum quondam Herivei…Castellionem"[1299].
Flodoard in 950 names "Arnulfo comite et Ragenoldo atque Artoldo archiepiscopo"
as the king´s representatives to negotiate the return fo the castle of Laon from
Hugues “le Grand”, and also that “homines Ragenoldi comitis” captured
“munitionem Rodomensis æcclesiæ super fluvium VidulamBrainam”[1300].
Flodoard in 953 records that "Ragenaldus comes" was threatened with
excommunication for having taken property of the church of Reims, but that the
king intervened on his behalf[1301]. Flodoard in 954 records that "Heribertus
comes" captured “Rauciacum munitionem Ragenaldi” but later returned it in
exchange for “quibusdam villis”[1302]. He supported King Lothaire on his
expedition to Aquitaine in 955[1303]: Flodoard in 955 records that "Ragenaldus
comes" captured “castrumsanctæ Radegundis urbi” during the siege of
Poitiers[1304]. Flodoard in 966 records that "Odelricus archiepiscopus"
excommunicated “Ragenaldum comitem” for having captured villages belonging to
the church of Reims and that Ragenold pillaged the archbishop´s territories in
revenge[1305]. A manuscript Noticia de benefactoribus S. Remigii includes the
donation by “Rogenoldus comes” of “Curtem Cedronis” [Courtcedre][1306]. The
necrology of Reims records the death “VI Id Mai” of “Raginoldus comes”[1307].
The Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis records that “Rainaldus consiliarus
regis Hlotarii” died “mense Junioanno nono ordinationis suæ”, the latter referring
to Archambaud who was appointed as archbishop of Sens in 958, therefore the
passage being dated to 967[1308]. m ALBERADE, daughter of GISELBERT Duke of
Lotharingia & his wife Gerberga of Germany ([929/30]-, bur Abbaye de Saint-
Rémy). "Mathilde et Alberada" are named as daughters of "Gerberga" in the
Continuator of Flodoard, which specifies that Alberada was mother of Ermentrudis
but does not name Alberada's husband[1309]. Two epitaphs in the church of Saint-
Rémy, Marly relate to "Ragenolde" and "Albrada", although neither refers to each
other[1310]. Bouchard highlights the absence of proof that the husband of
Alberade of Lotharingia was Ragenold Comte de Roucy[1311]. She is named in a
letter to Poppo of Stablo[1312]. Count Ragenold & his wife had [four] children.
Their parentage is deduced by a combined reading of the different sources which
refer to them. None of these sources names both parents, so the affiliation is not
-4798-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
beyond all doubt. Comte Renaud & his wife had four children.
[1288] Flodoard 923, MGH SS III, p. 372.
[1289] Flodoard 924, 925, MGH SS III, pp. 373-5.
[1290] Le Long, N. (1783) Histoire ecclésiastique et civile du diocèse de Laon
(Chalon), Pièces Justificatives, I, Chronique d´Alard de Gennilule abbé de Signy, p.
594.
[1291] Flodoard 926, MGH SS III, p. 376.
[1292] Flodoard 944, MGH SS III, p. 392.
[1293] Flodoard 945, MGH SS III, p. 391.
[1294] Flodoard 947, MGH SS III, p. 394.
[1295] Le Prévost, A. (1840) Orderici Vitalis Historiæ Ecclesiasticæ (Paris)
("Orderic Vitalis (Prévost)"), Vol. III, Liber VII, p. 155.
[1296] Cluny Tome I, 730, p. 685.
[1297] Flodoard 948, MGH SS III, p. 397.
[1298] Flodoard 949, MGH SS III, p. 399.
[1299] Flodoardi Annales 949, MGH SS III, p. 398.
[1300] Flodoardi Annales 950, MGH SS III, p. 400.
[1301] Flodoardi Annales 953, MGH SS III, p. 402.
[1302] Flodoardi Annales 954, MGH SS III, p. 402.
[1303] McKitterick, R. (1983) Frankish Kingdoms under the Carolingians 751-987
(Longman, London and New York), p. 321.
[1304] Flodoardi Annales 955, MGH SS III, p. 403.
[1305] Flodoardi Annales 966, MGH SS III, p. 407.
[1306] Varin, P. (1844) Archives administratives de la ville de Reims (Paris), Tome
I, Part 2, p. 169.
[1307] Varin (1844), Tome I, Part 2, p. 80.
[1308] Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis, Spicilegium II, p. 470.
[1309] Flodoard Addit codex 1 (inserted after 966), MGH SS III, p. 407.
[1310] RHGF IX, p. 105.
[1311] Bouchard (1987), p. 169.
[1312] Siegfried of Gorze, letter to Poppo of Stablo, in Gisebrecht, W. von (ed.)
(1885) Geschichte der deutschen Kaizerseit, 5th ed., II (Leipzig), pp. 714-8, cited in
Bouchard (1987), p. 269
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) vii2009
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006

94.929.079:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006

94.929.079a:

GISELBERT [de Roucy], son of RENAUD Comte [de Roucy] & his wife Alberade de
Hainaut ([948/55]-19 Apr [991/1000], maybe 997, bur Abbaye de Saint-Rémy). The
Acta Concilii Remensis ad Sanctum Basolum (dated to 991) quotes Bruno Bishop
of Langres referring to "unicum fratrem meum comitem Gislebertum…"[1531].
Comte de Roucy. “Gilbertus comes confirmavi” subscribed the charter dated 26
May 974 under which Lothaire King of the Franks confirmed the possessions of
the monastery of Saint-Thierry de Reims[1532]. Vicomte de Reims: Varin refers to
a manuscript which records that “comteGislebert fils de Renaud comte de Reims
et de Roucy” donated “la moitié de la vicomté [de Reims]à l´abbaye de Saint-
Rémi” while retaining the other half of the vicomté[1533]. The necrology of Reims
Cathedral records the death "XIII Kal Mai" of "Gisbertus comes"[1534].
m --- [de Poitiers]. Père Anselme states that the wife of "Gilbert Comte de Reims et
de Roucy…semble avoir été de la maison de Poitiers" and that the couple were
parents of Ebles, Liétard and Judith, shown below[1535]. The primary source on
which this is based is not known. However, it is doubtful whether it can be correct

-4799-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
in all its details. In particular, Judith Ctss de Rethel (alleged daughter of Giselbert
& his wife, see below) must have been born in [1020/30] for chronological
consistency with the estimated birth dates of her descendants, which excludes her
being Giselbert's daughter. In addition, the origin of the names Ebles, Liétard and
Judith is unclear among the family of Giselbert Comte de Roucy. Jean-Noël
Mathieu suggests that Giselbert died childless and that the father of these
children was Ebles de Poitou, son of Guillaume IV "Fier-à-Bras" Duke of Aquitaine
[Guillaume II Comte de Poitou] & his wife Emma de Blois, based partly on
onomastics and partly to explain how the territories of Rumigny-en-Porcéan and
Coucy (under the suzerainty, respectively, of the abbey of Saint-Nicaise de Reims
and the church of Saint-Rémi de Reims, and thereby closely connected with the
family of the Comtes de Blois-Champagne) came into the family[1536]. J-N.
Mathieu also suggests that the mother of these children was an otherwise
unknown daughter of Ermentrude de Roucy, sister of Comte Giselbert, by her first
husband Aubry [II] Comte de Macon who, in the ordinary course of events, would
have been heiress of Roucy if Giselbert had died childless. The suggestion appears
consistent from a chronological point of view. However, more research is needed
to establish the original source on which the affiliation from Giselbert is based.
Another possibility is that Ebles and Eudes were sons of Giselbert, but that
Lietaud and Judith were children born from a second marriage of their mother.
[1531] Acta Concilii Remensis ad Sanctum Basolum, auctore Gerberto
Archiepiscopo 9, MGH SS III, p. 661.
[1532] Halphen, L. (1908) Recueil des actes de Lothaire et de Louis V rois de
France (Paris), LXIII, p. 149.
[1533] Varin, P. (1839) Archives administratives de la ville de Reims (Paris), Tome
I, Part 1, p. 85 footnote continued from earlier pages, citing “Bibl. Roy. mss.
Reims, cart. VI”.
[1534] 'Obits mémorables tirés de nécrologes luxembourgeois, rémois et messins',
Revue Mabillon VI (1910-1911), p. 274.
[1535] Père Anselme, VIII, p. 862.
[1536] Mathieu, J. N. 'La succession au comté de Roucy aux environs de l'an mil',
Keats-Rohan, K. S. B. and Settipani, C. (eds.) (2000) Onomastique et Parenté dans
l'Occident medieval (Prosopographica et Genealogica, Vol. 3), p. 79.
Aucun document contemporain ne mentionne une épouse ou des enfants pour
Gislebert.

 le prénom de Lietaud renvoie aux comtes de Mâcon,


 celui d'Eudes renvoie aux Robertiens, aux Herbertiens où à la maison de
Blois.
 les terres de Rumigny et de Coucy appartenaient auparavant à la maison
de Blois.

Ce sont ces différents points qui ont incité Jean-Noël Mathieu à proposer une
nouvelle construction généalogique pour l'ascendance d'Eble de Roucy S1 et S2:

-4800-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Sources

 S1 : Jean-Noël Mathieu, « La Succession au comté de Roucy aux environs


de l'an mil », dans Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval,
Oxford, Prosopographica et genealogica, 2000, 310 p. (ISBN 1-900934-

-4801-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
01-9), p. 75-84
 S2 : Foundation for Medieval Genealogy : Comtes de Roucy
o Jean-Noël Mathieu suggests that Giselbert died childless and
that the father of these children was Ebles de Poitou, son of
Guillaume IV "Fier-à-Bras" Duke of Aquitaine [Guillaume II
Comte de Poitou] & his wife Emma de Blois, based partly on
onomastics and partly to explain how the territories of Rumigny-
en-Porcéan and Coucy (under the suzerainty, respectively, of the
abbey of Saint-Nicaise de Reims and the church of Saint-Rémi de
Reims, and thereby closely connected with the family of the
Comtes de Blois-Champagne) came into the family[1536]. J-N.
Mathieu also suggests that the mother of these children was an
otherwise unknown daughter of Ermentrude de Roucy, sister of
Comte Giselbert, by her first husband Aubry [II] Comte de
Macon who, in the ordinary course of events, would have been
heiress of Roucy if Giselbert had died childless. The suggestion
appears consistent from a chronological point of view. However,
more research is needed to establish the original source on
which the affiliation from Giselbert is based. Another possibility
is that Ebles and Eudes were sons of Giselbert, but that Lietaud
and Judith were children born from a second marriage of their
mother.

JB de La Grandière 12/10/2012 voir Notes sur Ebles d'Aquitaine Une hypothèse de


Mathieu est infiniment plus solide qu'une "donnée" du père Anselme sur le XIème
siècle
Les informations solides formulées sur Gilbert par FMG ne concernent pas sa
filiation.. Il serait donc convenable de transférer la progéniture.. J-P de Palmas
14/10/2012 - Confirmation de l'hypothèse de J-N Mathieu que j'avais positionnée -
en attente de validation - le 1 x 2012

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 1 x 2012


- família: H.R.Moser/EuSt-III.4/675

94.929.079b:
Brunon de Roucy (v. 956 † Langres, 31 janvier 1016[1]), fils de Renaud, comte de
Roucy et de Reims, et d'Albérade de Lotharingie[2], fut évêque de Langres de 980
à 1016. D'abord chanoine de Reims, il prend des leçons de Gerbert d'Aurillac,
l'écolâtre de cette ville. En 980, alors qu'il n'avait à peine que vingt-quatre ans, le
roi Lothaire, frère utérin de sa mère, le nomme évêque de Langres[3]. Il est
ordonné l'année suivante par Burchard II, l'archevêque de Lyon. Le mariage de ses
deux sœurs avec des comtes bourguignons[4] place cette nomination dans une
volonté du roi de se renforcer en Bourgogne. Il établit la réforme de Cluny dans
l'abbaye Saint-Bénigne de Dijon, en lui donnant pour abbé le bienheureux
Guillaume de Volpiano, qui réforma par la suite plusieurs autres monastères. Il fait
refleurir les études à l'école de Langres, où passèrent deux futurs archevêques de
Lyon, Halinard et Odolric. Le roi Lothaire mourut en 986, suivi de son fils Louis V,
en 987, et Bruno n'eut pas de difficultés à accepter l'avènement d'Hugues Capet.
En 990, quand Charles de Lorraine tenta de faire valoir ses droits au trône, Bruno
lui refusa le serment d'allégeance.[2]. Il ne fut cependant pas un fervent partisan
de la dynastie capétienne, car, beau-frère d'Otte-Guillaume qui réclamait la
succession du duché de Bourgogne[5], il était un obstacle au roi Robert II le Pieux,
qui revendiquait le même duché[6]. Le roi dut attendre la mort de Brunon pour
nommer un autre évêque de Langres (Lambert) et résoudre la succession de
Bourgogne.
Références

-4802-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1. Foundation for Medieval Genealogy : Comtes de Roucy [archive].
2. a  b  sur sa famille : Jean-Noël Mathieu, « La Succession au comté de
Roucy aux environs de l'an mil », dans Christian Settipani et Katharine S.
B. Keats-Rohan, Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval,
Prosopographica et genealogica, Oxford, 2000, 310 p. (ISBN 1-900934-01-
9) .
3. Gallia Christiana, IV p. 548.
4. sa sœur Ermentrude fut mariée avec le comte Aubry II de Mâcon puis au
comte Otte-Guillaume de Bourgogne et l'autre sœur (au prénom inconnu,
peut-être Giselberte) avec Fromond II de Sens.
5. En effet Otte-Guillaume était le fils d'un premier mariage de la veuve du
duc Eudes-Henri.
6. ↑ car neveu du même duc.

Fonts: - persona: E.Polti (d'après "L'avènement d'Hugues Capet", par Laurent Theis,
NRF/Gallimard), J-P de Palmas (wikipedia) ix2009

94.929.080:
ARLULF, son of --- (-after Mar 965). Konrad King of Germany noted that "Arlulfus"
held "in curte de Tresia…ex comitatu Marsiliacense…in comitatu Aquense" by
charter dated 18 Aug 950[793]. "Miles nobilissimus…Arlulfus pater Willelmi et
Aicardi" is named in a charter of Monmajour dated 12 Aug 1060[794]. "Bosoni
comitis, filii Rothboldi quondam" restored property to Saint-Victor, in the presence
of "virorum Arelatensium…Pontio vicecomitis, Arlulfo…", by charter dated Mar
965[795].
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG) 13 xii 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 13 xii 2014

94.929.081:
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG) 13 xii 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 13 xii 2014

94.929.081a:
Honorat est évêque de Marseille (948 - 976). Son frère Guillaume de Marseille est
le premier vicomte de Marseille. Sa famille occupera cet évêché sans interruption,
par un frère, un fils ou un neveu des vicomtes régnants, pendant cent vingt-cinq
ans, de 948 à 1073.
Biographie
Il succède comme évêque à Drogo, qui avait du par le passé fuir les Sarrasins. Dés
son investiture en 948, Arlulf de Marseille, futur beau-père du premier vicomte de
Marseille annexe l'évêché et le donne à un frère de son futur gendre, Honoratus de
Marseille.. Honorat est nommé évêque de Marseille très jeune le 7 octobre 948,
dans un échange entre Theusinde, l'archevêque Manassès et le chapitre d'Arles.
L'évêque, alors, rentre en ville et s'applique à ressaisir les biens de son église.
L’abbaye Saint-Victor de Marseille
Guillaume de Marseille et Honorat commencent à relever de ses ruines de l’abbaye
Saint-Victor de Marseille dont les Sarrasins n'avaient pas laissé une pierre debout.
Les exhortations d'Uwifret, abbé de Saint-Victor, les poussent à multiplier les
dépenses. Il laissera à Ysarn, son successeur, la gloire de mettre la dernière main à
la restauration de l'édifice.

-4803-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

II fait restituer par les comtes de Provence les biens usurpés jadis par les comtes
francs. Au mois de mars 965, à la prière d'Honorat, le comte Boson restitue à
l'abbaye de Saint-Victor de Marseille ses propriétés. Il rétablit la vie monastique et
donne des abbés aux religieux qu'il y a introduit. Il forme une congrégation de
moines bénédictins, en 966.
La fin de sa vie
Honorat paraît encore le 31 octobre 966 et meurt le 6 février d'une année que l'on
croit être 976. Pons Ier, son neveu lui succède comme évêque de Marseille,
l'administration des deux villes, haute et basse est presque sous une seule autorité
et reste dans la famille vicomtale.
Bibliographie La vie d'Hilaire d'Arles / Honorat de Marseille ; introduction,
traduction et notes par Paul-André Jacob ; texte latin de Samuel Cavallin
La référence à Mazel (sur la fiche wikipedia d'Arlulf) est celle-ci:
MAZEL, Florian, « Les Comtes, les grands et l'Église en Provence autour de l'an
Mil », in Le Royaume de Bourgogne autour de l'an Mil, Université de Savoie, 2008
Cet auteur a dû réviser sa position entre 2002 et 2008?
J-P de Palmas: citant wikipedia sur le forum du 30 iii 2011

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) 2010

94.929.081c:
AICARD . "Miles nobilissimus…Arlulfus pater Willelmi et Aicardi" is named in a
charter of Monmajour dated 12 Aug 1060[837]. 977/1008. m LEUTGARDE,
daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has not yet been
identified. 1008.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 13 xii 2014

94.929.082:
Arlulfe de Marseille, ou Arlulf, est né vers 920 certainement dans le Viennois et
mort vers 964 vraisemblablement en Provence occidentale.

-4804-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Arlulf de Marseille vivant au Xe
siècle est seigneur de Marseille
et de Trets. Installé par le roi
d’Arles, Conrad III, avec l’accord
d’Otton Ier du Saint-Empire.16 Il
s’empare de l'évêché de
Marseille et le donne au frère de
son gendre, Honoratus de
Marseille. Il allie ainsi les
pouvoirs temporel et spirituel.
Arlulf est l'un des ancêtres des
vicomtes de Marseille et peut
être considéré comme le premier
d'entre eux, même s'il semble ne
pas en avoir le titre.

Sa famille

D'après une historiographie


ancienne, Arlulf est le fils du
comte Thibert II d’Arles,
seigneur de 925 à 942 et
d’Aimenrade. La vie de son
grand-père Thibert dit d’Avignon,
comte d’Arles, est plus connue.

Arlulf appartient donc à l'aristocratie franque installée en Provence à l'époque


carolingienne. Il est originaire du Viennois, où son arrière-grand-père, Arnoux de
Vienne était comte 1.

Les derniers travaux sur la famille de Marseille 2 remettent en cause son


ascendance comtale et attribuent son installation en Provence à l'influence du roi
Conrad III de Bourgogne, dont Arlulf est l’homo, le vassal.

Biographie

Seigneur de Marseille

Arlulf vient en Provence avec Conrad dit le Pacifique

La situation de Marseille et de la Provence est catastrophique avant que Conrad ne


réorganise le sud de son royaume. Les derniers Carolingiens tout entier tournés
vers l'Italie n'hésitent pas à traiter avec les bandes de Sarrasins lorsque leurs
ambitions le nécessitent. Ces derniers, peu nombreux, n’ont rien à voir avec la
brillante société d’Al-Andalus. Ils dévastent le sud de la France. Les populations
urbaines se recroquevillent derrière de fragiles fortifications. Les marins et les
marchands sont attaqués par des pirates ou des brigands. Les petits seigneurs
locaux ne disposent pas d’une organisation militaire apte à se mesurer à
l’envahisseur. Les populations locales après la fuite des ecclésiastiques connaissent
un total désarroi et sont bien incapables de résister. Ils sont parfois vendus comme
esclaves 3 .

Dès 949, Conrad, dit le Pacifique, appuyé par Otton Ier du Saint-Empire 4, réussit à
faire reconnaître sa suzeraineté sur l'ancien royaume de Provence. Conrad affirme

-4805-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
son autorité en créant le marquisat de Provence et en nommant trois comtes et des
vicomtes. Le roi Conrad, nouveau suzerain de Provence, installe trois comtes sur
ses terres, un à Apt (Griffon), un à Avignon et un à Arles, En dessous d'eux, Conrad
nomme deux vicomtes pour les seconder, Nivion à Cavaillon et Arlulfe à Marseille.

Arlulfe reçoit en 949, des mains du roi Conrad III de Bourgogne, la vicomté de
Marseille, sous la condition de foi et hommage au comte d'Arles Rothbold 5. Cela
apparaît dans un précepte du 18 août 950, des donations des terres fiscales et des
droits publics du val de Trets. Le roi ne qualifie pas Arlulfe, il n’est donc pas
vicomte, contrairement à certaines légendes. Il lui concède seulement une
dépendance de la manse comtale de Marseille, sise au comté d’Aix-en-Provence,
c'est-à-dire le domaine de Trets avec la tour et tout ce qui en dépend 6. Ce fisc
s'étend sur toute la haute Vallée de l'Arc, entre la Montagne Sainte Victoire et les
Monts Auréliens, Olympe et Regagnas. Toutefois il exerce des fonctions
importantes et il est peut-être possible qu’il soit appelé vicomte à la fin de sa vie 7.

La ville de Trets apparaît donc dans l'histoire au Xe siècle. Arlulf fait restaurer la
tour de Trets, mais également bâtir un château-fort et des maisons pour ses sujets
et une chapelle dédiée à Saint-Michel.

Arlulfe est très présent à la cour d’Hugues d'Arles, son cousin8, mais il n’est pas
vicomte. Ses descendants au XIe siècle parlent de nobilissimus miles en parlant de
lui et de son fils9. Ce sont des chevaliers qui mettent leur épée au service de Dieu,
deviennent évêques et bénéficient donc d’un soutien total de l’Église.

L'évêché

Les deux tours de l’abbaye Saint-


Victor de Marseille.

Dès son investiture en 948, Arlulf


de Marseille, beau-père du
premier vicomte de Marseille
annexe l'évêché et le donne à un
frère de son gendre, Honoratus
de Marseille. Cet Honorat est
nommé évêque dès le 7 octobre
948, dans un échange entre
Theusinde, l'archevêque
Manassès et le chapitre d'Arles10.

L'évêque, alors, rentre en ville et


s'applique à ressaisir les biens de son église. Il entreprend de reconstituer Saint-
Victor, il lui rend les bâtiments qu'il a quittés et lui fait restituer par les comtes de
Provence les biens usurpés jadis par les comtes francs. Honorat commence la
reconstruction de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille détruite par les Sarrasins.
Il y rétablit la vie monastique et donne des abbés aux religieux qu'il y introduit.

Arlulf de Marseille a donc un pouvoir temporel et spirituel sur Marseille et le pays


de Trets. À une époque où l’idée de nation ou d’état provençal n’existe pas11. Cela
va lui permettre de résister aux envahisseurs et surtout d’administrer la cité et sa
terre, sans rencontrer trop d’oppositions.

Les Sarrasins

-4806-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Otton Ier du Saint-Empire.

En 923 - Arlulf de Marseille vient de naître - les


Sarrasins venant du Djabal al Kilal12 dévastent
l’abbaye Saint-Victor de Marseille et le territoire
marseillais. Toutefois à partir de 950, la situation se
stabilise.

Arlulf de Marseille ne semble pas avoir lutté,


comme ses fils, contre les Sarrasins. En 953-955
l’empereur Otton essaie de débarrasser la Provence
des Sarrasins par des négociations entreprises
auprès du calife de Cordoue. Cette action
diplomatique demeure sans effet13. Mais l'armée
musulmane qui attaque les Alpes à cette époque
épargne la Provence occidentale14.

Néanmoins, vers 964, année de la mort d'Arlulf de Marseille, témoignage d’une


certaine confiance revenue, l’on voit des négociants grecs s’installer auprès du
port de Marseille, et ouvrir des magasins pour le commerce des laines15.

Du fait de cette paix nouvelle qui règne entre les Provençaux à la mort d’Arlulf de
Marseille, sa famille contribue à chasser les Sarrasins de la Provence et des Alpes,
sous les ordres du comte de Provence, Guillaume le Libérateur.

Descendance

Arlulf de Marseille est à l'origine de la dynastie vicomtale de Marseille. Les


descendants de sa fille seront pendant plusieurs générations soit évêque soit
vicomtes de Marseille. Ils possèdent alors un immense domaine comprenant 21
communautés entre la Montagne Sainte-Victoire et La Ciotat, sans oublier
Marseille, Toulon et leurs possessions de l'est de la Provence.

Arlulf de Marseille se marie avec Odoacre. Ils sont les parents de :

 Aicard qui reçoit en 988 un important domaine, identifié à Saint-Zacharie,


au fond de la vallée de l'Huvaune, au sud de Trets, mais meurt sans
postérité, malgré son mariage avec Luitgarde. En 1008, à la mort de son
beau-frère Guillaume de Marseille, il hérite de revenus venant de l'abbaye
de Montmajour.
 Bellilde mariée à Guillaume de Marseille, frère d’Honoratus de Marseille.

Références

1. .↑ Phantoms of Remembrance : memory and oblivion at the end of the


first millennium / Patrick Geary J, p.76 et Olivier d’Hauthuille, Héraldique
et généalogie 89.I.160, généalogie tirée des ouvrages de Georges de
Manteyer, La Provence du premier au douzième siècle, études d'histoire et
de géographie, de Juigné de Lassigny, Généalogie des vicomtes de
Marseille, de Fernand Cortez, Les grands officiers royaux de Provence au
Moyen Âge listes chronologiques, de Papon, de Louis Moréri, du marquis
de Forbin, Monographie de la terre et du château de Saint-Marcel, près
-4807-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Marseille : du Xe au XIXe siècle, du président J. Berge, Origines rectifiées
des maisons féodales Comtes de Provence, Princes d'Orange, de Poly, La
Provence et la société féodale (879-1166), Paris, 1976, Saillot, Le Sang de
Charlemagne Sources également sur les vicomtes de Marseille : Édouard
Baratier, Ernest Hildesheimer et Georges Duby, Atlas historique et le
tableau de Henry de Gérin-Ricard, Actes concernant les vicomtes de
Marseille et leurs descendants
2. .↑ MAZEL, Florian, « Les Comtes, les grands et l'Église en Provence
autour de l'an Mil », in Le Royaume de Bourgogne autour de l'an Mil,
Université de Savoie, 2008.
3. .↑ Sénac Philippe, Musulmans et Sarrasins dans le sud de la Gaule du
VIIIe au XIe siècle, Le Sycomore, p.49 et 50.
4. .↑ Revue bénédictine, de Abbaye de Maredsous, p.320.
5. .↑ Florian Mazel, La noblesse et l'Église en Provence, fin Xe-début XIVe
siècle, pages 31,32.
6. .↑ Mémoires et documents, de Société de l'école des chartes, p.200.
7. .↑ Titre de courtoisie.
8. .↑ Phantoms of Remembrance : memory and oblivion at the end of the
first millennium / Patrick Geary J, p.76.
9. .↑ The Chivalrous Society, de Georges Duby, p.107 et 108.
10. .↑ Albanès, Ev. de Mars. n° 65.
11. .↑ Sénac Philippe, Musulmans et Sarrasins dans le sud de la Gaule du
VIIIe au XIe siècle, Le Sycomore, p.49.
12. .↑ Le djabal al-kilal (de l’an 880 a l’an 973) [archive]
13. .↑ Raoul Busquet - Histoire de Marseille, 1948, p.68.
14. .↑ Sénac Philippe, Musulmans et Sarrasins dans le sud de la Gaule du
VIIIe au XIe siècle, Le Sycomore.
15. .↑ Raoul Busquet - Histoire de Marseille, 1948, p.72.

Arlulfe reçoit en 949, des mains du roi Conrad III de Bourgogne, la vicomté de
Marseille, sous la condition de foi et hommage au comte d'Arles Rothbold . Cela
apparaît dans un précepte du 18 août 950, des donations des terres fiscales et des
droits publics du val de Trets. Le roi ne qualifie pas Arlulfe, il n’est donc pas
vicomte, contrairement à certaines légendes. Il lui concède seulement une
dépendance de la manse comtale de Marseille, sise au comté d’Aix-en-Provence,
c'est-à-dire le domaine de Trets avec la tour et tout ce qui en dépend. Ce fisc
s'étend sur toute la haute Vallée de l'Arc, entre la Montagne Sainte Victoire et les
Monts Auréliens, Olympe et Regagnas. Toutefois il exerce des fonctions
importantes et il est peut-être possible qu’il soit appelé vicomte à la fin de sa vie.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-P de Palmas (wikipedia)

94.929.083:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-P de Palmas (wikipedia)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-P de Palmas (wikipedia)

94.929.083a:
Il reçoit en 988 un important domaine, identifié à Saint-Zacharie, au fond de la
vallée de l'Huvaune, au sud de Trets, mais meurt sans postérité, malgré son
mariage avec Luitgarde. En 1008, à la mort de son beau-frère Guillaume de
Marseille, il hérite de revenus venant de l'abbaye de Montmajour.

Fonts:

-4808-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: J-P de Palmas (Iconographie: L'abbaye de Montmajour -->wikipedia)
- família: J-P de Palmas (wikipedia)

94.929.084:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014
- família: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

94.929.085:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014
- família: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

94.929.085a:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

94.929.085c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

94.929.085d:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

94.929.085e:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

94.929.086:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.929.087:
Fonts:
- família: J-L. Dega

94.929.087b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016
- família: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016

94.929.087c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016

94.929.088:
-4809-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Arnaud de Verdale, a later bishop of Maguelone, recorded that the domains of
Montpellier and Montpelléret ("Montispessulani et Montispessualanuli ville cum
adjacentiis suis") were donated to the church of Maguelone by "due
quondam…sorores, altera quarum Montempessulanum, Montempessulanulum
altera" and that "Fulcranus, a Substantionensium comitum stemmate maternum
sanguinem ducens, Magalonensis archidiaconus, gloriosissimus postmodum
Lodovensis episcopus" was their brother[1419]. Soon afterwards Bishop Ricuin
enfeoffed Guy with the part which was originally called Montpellier[1420]. The
grant was supplemented by the charter dated 26 Nov 985 under which Comte
Bernard and his wife Sénégonde granted property "in termino Montepestellario" to
Guillaume[1421]. Montpellier was inherited by the kings of Aragon following the
marriage of Marie de Montpellier and Pedro II King of Aragon, and was eventually
incorporated into the kingdom of Mallorca. It was transferred to France in 1349.

GUY [Wido] (-[975/85]). Fulcran Bishop of Lodève, in his testament dated 988,
donated property for the soul of "Pontii germani mei et…Guidonis", specifying that
had received vineyards from Guy[1422]. There is no indication of Fulcran's
relationship to Guy, if any, in this document. However, as discussed below under
his wife Engelrada, it is possible that she was Bishop Fulcran's sister. Later, Guy
was granted Montpellier by Bishop Ricuin[1423]. Settipani points out that the
purpose of these donations by Bishop Ricuin of Maguelone (which, granted
Montpellier to Guy and Montpelliéret to Deodatus and Arenfredus) was to enfeoff
the nobles who were related to St Fulcran with land which they had previously
donated to his predecessor[1424].
m ENGELRADA [Ingilrada/Aurucia][1425], granddaughter of BERNARD [I] Comte
de Melgueil, daughter of [--- & his wife Blitgardis]. The primary source which
confirms her parentage and marriage has not yet been identified. Granddaughter
of Bernard [I] Comte de Melgueil. Settipani suggests that the wife of Guy was the
daughter of an otherwise unknown son of Comte Bernard named Guillaume.
However, as Guy was subsequently enfeoffed with the part originally called
Montpellier by Bishop Ricuin[1426], it seems more reasonable to suppose that his
wife was one of the original donors. If this is correct, Engelrada would have been
one of the two sisters of Fulcran Bishop of Maguelone whom Arnaud de Verdale, a
later bishop of Maguelone, recorded as donors of the domains of Montpellier and
Montpelléret (see above, introduction to this Chapter)[1427]. This of course
assumes that the later report of the donation is accurate. "Ingilrada femina"
donated property "in comitatu Biterresne in villa Caunas" (Hérault) to Aniane, for
"viro meo Widone defuncto et filiis meis Willermo Berengario et Petro", by charter
dated 13 Jul [1000][1428]. Guy and his wife had [four] children.

[1419] Catalogus episcoporum Magalonensium, d'Arnaud de Verdale, Germain, A.


'Arnaud de Verdale, évêque et chroniqueur', Mémoires de la Société archéologique
de Montpellier 40-41 (1881), pp. 441-853. [J.-C. Chuat]

[1420] Germain, A. 'Arnaud de Verdale, évêque et chroniqueur', Mémoires de la


Société archéologique de Montpellier 40/1 (1881), pp. 441-853, esp. pp. 488-490.
Latin text available in Vidal, H. 'Aux origines de Montpellier: la donation de 985',
Bulletin historique de la ville de Montpellier (1985), pp. 9-38. [J.-C. Chuat]

[1421] Vidal, H. 'Aux origines de Montpellier; la donation de 985', Bulletin


historique de la ville de Montpellier (1984), pp. 9-38, Annexe II, p. 28. [J.-C. Chuat]

[1422] Gallia Christiana, VI, col. 269, cited in Settipani (1988), p. 50, n. 22.

[1423] Settipani (1988), p. 46, points out that the purpose of these donations by
Bishop Ricuin of Maguelone of, on the one hand, granting Montpellier to Guy and,
-4810-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
on the other, Montpelliéret to Deodatus and Arenfredus, was to enfeoff these
nobles who were related to St Fulcran with pieces of land which they had
previously donated to his predecessor. The documents in question are considered
as genuine by Settipani (1988) and even Baumel (1980). Contra: H. Vidal (1985)
esp. p. 11, as well as in other studies by the same author. [J.-C. Chuat]

[1424] Settipani (1988), p. 46. The documents in question are considered as


genuine by Settipani (1988) and Baumel (1980). Contra: H. Vidal (1985) esp. p. 11,
as well as in other studies by the same author.

[1425] Duhamel-Amado (2001), stemma p. 254, 255. [J.-C. Chuat]

[1426] Germain, A. 'Arnaud de Verdale, évêque et chroniqueur', Mémoires de la


Société archéologique de Montpellier 40/1 (1881), pp. 441-853, esp. pp. 488-490.
Latin text available in Vidal, H. 'Aux origines de Montpellier: la donation de 985',
Bulletin historique de la ville de Montpellier (1985), pp. 9-38. [J.-C. Chuat]

[1427] Catalogus episcoporum Magalonensium, d'Arnaud de Verdale, Germain, A.


'Arnaud de Verdale, évêque et chroniqueur', Mémoires de la Société archéologique
de Montpellier 40-41 (1881), pp. 441-853. [J.-C. Chuat]

[1428] Aniane, CCLXVIII, p. 394.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27ii2011
- família: J-L. Dega

94.929.089:
ENGELRADA [Ingilrada/Aurucia][1425], granddaughter of BERNARD [I] Comte de
Melgueil, daughter of [--- & his wife Blitgardis]. The primary source which confirms
her parentage and marriage has not yet been identified. Granddaughter of Bernard
[I] Comte de Melgueil. Settipani suggests that the wife of Guy was the daughter of
an otherwise unknown son of Comte Bernard named Guillaume. However, as Guy
was subsequently enfeoffed with the part originally called Montpellier by Bishop
Ricuin[1426], it seems more reasonable to suppose that his wife was one of the
original donors. If this is correct, Engelrada would have been one of the two sisters
of Fulcran Bishop of Maguelone whom Arnaud de Verdale, a later bishop of
Maguelone, recorded as donors of the domains of Montpellier and Montpelléret
(see above, introduction to this Chapter)[1427]. This of course assumes that the
later report of the donation is accurate. "Ingilrada femina" donated property "in
comitatu Biterresne in villa Caunas" (Hérault) to Aniane, for "viro meo Widone
defuncto et filiis meis Willermo Berengario et Petro", by charter dated 13 Jul
[1000][1428].

[1425] Duhamel-Amado (2001), stemma p. 254, 255. [J.-C. Chuat]

[1426] Germain, A. 'Arnaud de Verdale, évêque et chroniqueur', Mémoires de la


Société archéologique de Montpellier 40/1 (1881), pp. 441-853, esp. pp. 488-490.
Latin text available in Vidal, H. 'Aux origines de Montpellier: la donation de 985',
Bulletin historique de la ville de Montpellier (1985), pp. 9-38. [J.-C. Chuat]

[1427] Catalogus episcoporum Magalonensium, d'Arnaud de Verdale, Germain, A.


'Arnaud de Verdale, évêque et chroniqueur', Mémoires de la Société archéologique

-4811-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Montpellier 40-41 (1881), pp. 441-853. [J.-C. Chuat]

[1428] Aniane, CCLXVIII, p. 394

Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011
- família: J-L. Dega

94.929.089a:
GUILLAUME [I] ([955]-after 1025). "Ingilrada femina" donated property "in
comitatu Biterresne in villa Caunas" (Hérault) to Aniane, for "viro meo Widone
defuncto et filiis meis Willermo Berengario et Petro", by charter dated 13 Jul
[1000][1429]. "Bernardus comes et uxor mea Senegundis" donated property "in
civitatis Magalonensis in suburbia castri Substantionensis in terminio de villa
Candianicus…et in terminio de Monte-Pestellario" to "Guillelmo" by charter dated
26 Nov 985[1430]. Seigneur de Montpellier. Guillaume [I] had no children and was
succeeded by his nephew Guillaume.

[1429] Aniane, CCLXVIII, p. 394.

[1430] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 138, col. 300

Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28ii2011
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.929.089c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.929.089d:
GUIDENILDIS . Her supposed parentage is referred to by Duhamel-Amado who
names her husband Engelen[1433], "en" being the Occitan counterpart of the Latin
dominus, the name must be northern French "Goloin", from Godaloin, itself derived
from the Frankish roots "Gud-al-win"[1434].
m as his second wife, GOLOIN du Pouget (Hérault).

i) BERENGER . "Berengarius lo fil de Guidinel" confirmed that he would not take


"lo castel d'el Pojet…en Golen" from "Guillen lo fil de Beliarde" by charter dated
[23 May 1059/4 Aug 1060][1435].

[1432] Aniane, CCLXVIII, p. 394.

[1433] Duhamel-Amado (2001), p. 255. [J.-C. Chuat]

[1434] Dauzat, A. (1949/1977)Traité d'anthroponymie française, p. 78. [J.-C. Chuat]

[1435] Liber Montpellier, p. 668. [J.-C. Chuat]

Fonts:
-4812-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28ii2011
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.929.089e:
Il s'agit soit de Bérenger, soit de Pierre.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008

94.929.096:
Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

94.929.097:
Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

94.929.097b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien")
4i2015

94.929.097c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien")
4i2015

94.929.097d:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien")
4i2015

94.929.097e:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien")
4i2015

94.929.100:
Guillaume Fièrebrace (935 - 995) fut comte de Poitiers de 963 à 995 sous le nom de
Guillaume II et duc d'Aquitaine sous celui de Guillaume IV durant la même période.
Il succède à son père Guillaume III de Poitiers.
Il épouse Emma, fille de Thibaut le Tricheur, comte de Blois, en 968 dont il a
Guillaume le Grand, qui lui succède. Sa sœur Adélaïde épouse Hugues Capet. Il est
considéré comme un guerrier de valeur, qui impose son autorité aux seigneurs et
vicomtes du Poitou. Il résiste victorieusement au roi de France Hugues Capet qui
tente de s'emparer de Poitiers en 988. Mais ses nombreux adultères entachent son
règne, notamment sa liaison avec Aldéarde de Thouars, provoquant le départ de sa
femme Emma de Blois. Il disparaît des sources écrites, les moines rédacteurs
refusant probablement de parler d'un seigneur infidèle. Après un rapprochement
peu durable avec sa femme, il réapparaît quelque temps, avant de redisparaître
vers 993. Abdiqua en janvier 993, se retira à l'abbaye Saint-Cyprien de Poitiers,
puis à l'abbaye de Saint-Maixent où il se fit moine sur son lit de mort.
Fonts: - persona: F d'Avigneau (geneanet aurejac), M.Rérolle (FMG) 21/03/07
- família 1: F d'Avigneau (geneanet aurejac)

94.929.101:
Aldéarde est restée célèbre par la mésaventure qui lui est arrivée vers les années

-4813-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
980. Ayant eu une liaison avec le comte de Poitiers Guillaume Fier à Bras, elle s'est
trouvée exposée à la vindicte de la femme de ce dernier, Emma de Blois. Emma se
vengea en faisant rudoyer et violer sa rivale lors d'une rencontre. Emma se réfugia
alors dans le château de Chinon, où elle attendit que son mari lui pardonne cette
action.
[J-P de Palmas voir les Les vicomtes de Thouars]
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les vicomtes de Thouars) viii 2010
- família: F d'Avigneau (geneanet aurejac)

94.929.101-2a:
Fils bâtard. 1er Seigneur de Talmond (17).
Une fois veuf, il s'est fait moine à Sainte-Croix de Talmond.
Fonts: - persona: F d'Avigneau (geneanet aurejac)

94.929.112:
NOTICE RAYMOND IV 961-978
on Foundation for Medieval Genealogy

RAYMOND de Toulouse, son of RAYMOND III Comte de Toulouse & his wife
Gundinildis --- ([945/55]-killed "in Garazo" [972/79]). The Codex de Roda names
"Regemundo…et domnus Ucus episcopus" as the children of "Regemundus" (son
of "Pontio" and his wife "filia Garsie Sanzionis") and his unnamed wife,
specifying that the younger Raymond was killed "in Garazo"[318]. As pointed out
by Settipani[319], it is reasonable to suppose that Raymond was the same
person as "…Raymundo filio Gundinildis nepoti meo" who is named in the codicil
testament of "Gersindæ comitissæ", widow of Comte Raymond Pons, dated to
[972][320]. Apart from these references, there appears to be no documentary
record relating to this Comte Raymond. He succeeded his father [before 972] as
RAYMOND IV Comte de Toulouse.
[m firstly (repudiated) ---. The Vita Fulcranni records that "comitem
Tholosanum" (unnamed) repudiated his wife to marry another who had been
repudiated by her first husband[321]. The HGL dates this passage to [975],
although, because of the reconstruction of the family of the comtes de Toulouse
which it has adopted, it assumes that the count in question was Comte
Guillaume III "Taillefer"[322]. Even if the chronology had been favourable to this
identification, it is unclear how the passage could refer to Comte Guillaume´s
two marriages as there is no record of his second wife, Emma de Provence,
having been married before. On the other hand, it is not impossible that the
passage could refer to the comte de Toulouse who was the husband of Adelais
d´Anjou. No record has been found which dates the death of Adelais´s first
husband, and it is not impossible that their marriage was terminated by
repudiation rather than his death. If this is correct, the passage could refer to an
otherwise unrecorded first marriage of Comte Raymond IV.]
m [secondly] ([970/75]) as her second husband, ADELAIS d'Anjou, widow of
ETIENNE de Brioude, daughter of FOULQUES II "le Bon" Comte d’Anjou & his
first wife Gerberge --- ([940/50]-1026, bur Montmajour, near Arles). Her
parentage and first marriage are confirmed by the Chronicle of Saint-Pierre du
Puy which names "comes Gaufridus cognomento Grisogonella…Pontius et
Bertrandus eius nepotes…matre eorum Adalaide sorore ipsius"[323], the
brothers Pons and Bertrand being confirmed in other sources as the sons of
Etienne de Brioude, for example the charter dated 1000 under which "duo
germani fratres…Pontius, alter Bertrandus" donated property to Saint-Chaffre
for the souls of "patris sui Stephani matrisque nomine Alaicis"[324]. Adelais's
second and third marriages are confirmed by Richer who records the marriage
of Louis and "Adelaidem, Ragemundi nuper defuncti ducis Gothorum uxorem"
and their coronation as king and queen of Aquitaine[325]. She married thirdly
Vieux-Brioude, Haute-Loire 982, divorced 984) Louis associate King of the
-4814-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Franks [who later succeeded as Louis V King of the Franks]. The Chronicon
Andegavensi names "Blanchiam filiam Fulconis Boni comitis Andegavensis" as
wife of the successor of "Lotharius rex Francorum", but confuses matters by
stating that the couple were parents of "filiam Constantiam" wife of Robert II
King of France[326]. The Chronicle of Saint-Maxence names "Blanchiam" as the
wife of "Lotharius rex…Ludovicum filium" but does not give her origin[327]. She
was crowned Queen of Aquitaine with her third husband on the day of their
marriage. The Libro de Otiis Imperialibus names "Blanchiam" as wife of
"Ludovicus puer [filius Lotharii]"[328]. Rodulfus Glaber refers to the unnamed
wife of "Ludowicum" as "ab Aquitanis partibus uxorem", recounting that she
tricked him into travelling to Aquitaine where "she left him and attached herself
to her own family"[329]. Adelais married fourthly ([984/86]) as his second wife,
Guillaume II "le Libérateur" Comte d'Arles Marquis de Provence. Richer records
her marriage with "Wilelmum Arelatensem" after her divorce from Louis[330].
Her fourth marriage is confirmed by the Historia Francorum which names
"Blanca sorore Gaufridi comitis Andegavensis" as wife of "Guillelmi comitis
Arelatensis"[331]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Blanche
comitisse Arelatensis" as mother of "Constantia [uxor Robertus rex]", specifying
that she was "soror Gaufridi Grisagonelli"[332]. The Gesta Consulum
Andegavorum names "Blanca sorore eius" ("eius" referring incorrectly to
Foulques "Nerra" Comte d'Anjou) as wife of "Guillelmi Arelatensis comitis" and
as mother of Constance, wife of Robert II King of France[333]. "Adalaiz
comitissa" donated property to Saint-Victor de Marseille by charter dated 1003
subscribed by "Emma comitissa…Wilelmus comes"[334]. "Pontius…Massiliensis
ecclesie pontifex" issued a charter dated 1005 with the consent of "domni
Rodhbaldi comitis et domne Adalaizis comitisse, domnique Guillelmi comitis filii
eius"[335]. "Adalax comitissa mater Villelmi quondam Provintie comitis et
Geriberga eque comitissa…eiusdem principis olim uxor" donated property to
Saint-Victor de Marseille for the soul of their late son and husband respectively
by charter dated 1018[336]. [Adelais may have married fifthly (before 1016) as
his second wife, Othon Guillaume Comte de Mâcon et de Nevers [Bourgogne-
Comté]]. Her supposed fifth marriage is deduced from the following: Count
Othon-Guillaume's wife is named Adelais in several charters[337], and Pope
Benedict VIII refers to "domnæ Adeleidi comitissæ cognomento Blanchæ" with
"nuruique eius domnæ Gerbergæ comitissæ" when addressing her supposed
husband in a document dated Sep 1016[338], Gerberga presumably being Count
Othon-Guillaume's daughter by his first wife who was the widow of Adelaide-
Blanche d´Anjou's son by her fourth husband. However, the document in
question appears not to specify that "domnæ Adeleidi…" was the wife of Othon
Guillaume and the extracts seen (the full text has not yet been consulted) do not
permit this conclusion to be drawn. It is perfectly possible that the Pope named
Adelais-Blanche in the letter only in reference to her relationship to Othon
Guillaume´s daughter. If her fifth marriage is correct, Adelais would have been
considerably older than her new husband, and probably nearly sixty years old
when she married (Othon-Guillaume's first wife died in [1002/04]), which seems
unlikely. Another difficulty is presented by three entries dated 1018, 1024 and
1026 which appear to link Adelais to Provence while, if the fifth marriage was
correct, she would have been with her husband (whose death is recorded in Sep
1026) in Mâcon. These entries are: firstly, "Adalax comitissa mater Villelmi
quondam Provintie comitis et Geriberga eque comitissa…eiusdem principis olim
uxor" donated property to Saint-Victor de Marseille for the soul of their late son
and husband respectively by charter dated 1018[339]; secondly, "Vuilelmus
filius Rodbaldi" donated property "in comitatu Aquense in valle…Cagnanam" to
Marseille Saint-Victor by charter dated 1024, signed by "Adalaiz comitissa,
Vuilelmus comes filius Rodbaldi"[340]; and thirdly, a manuscript written by
Arnoux, monk at Saint-André-lès-Avignon, records the death in 1026 of "Adalax
comitissa"[341].] The necrology of Saint-Pierre de Mâcon records the death "IV
Kal Jun" of "Adalasia comitissa vocata regali progenie orta"[342]. An enquiry
dated 2 Jan 1215 records that "comitissa Blanca" was buried "apud Montem
-4815-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Majorem"[343]. No explanation has been found for her having been named
Adelais in some sources and Blanche in others, as it is difficult to interpret these
documents to mean that they referred to two separate individuals.
Comte Raymond & his wife had [two] children.
[318] Lacarra, J. M. 'Textos navarros del Códice de Roda', Estudios de Edad
Media de la Corona de Aragón Vol. I (Zaragoza, 1945) 33, p. 251.
[319] Settipani (2004), p. 43.
[320] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 126, col. 274.
[321] Vita S. Fulcranni Episc. Lodevensis, II, 8, Acta Sanctorum, Ioannes
Bollandus, Februarius, Tomus II, p. 712.
[322] HGL 3rd Edn. Tome III, p. 174.
[323] Chevalier, U. (ed.) (1884) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Chaffre du
Monastier et Chronique de Saint-Pierre du Puy (Montbéliard, Paris) ("Saint-
Chaffre"), Chronicon Monasterii Sancti Petri Aniciensis, CCCCXII, p. 152.
[324] Saint-Chaffre CXLIV, p. 70.
[325] Richer III.XCII and XCIV, pp. 112 and 114.
[326] Chronico Andegavensi 987, RHGF X, p. 271.
[327] Marchegay, P. and Mabille, E. (eds.) (1869) Chroniques des Eglises
d'Anjou (Paris) Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, p. 382.
[328] Libro Otiis Imperialibus, RHGF IX, p. 45.
[329] France, J., Bulst, N. and Reynolds, P. (eds. and trans.) (1989) Rodulfi
Glabri Historiarum Libri Quinque, Rodulfus Glaber Opera (Oxford) I.7, p. 17.
[330] Richer III.XCV, p. 116.
[331] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet
Actus 9, MGH SS IX, p. 385, additional manuscript quoted in footnote ***.
[332] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1013, MGH SS XXIII, p. 780.
[333] Marchegay, P. and Salmon, A. (eds.) (1856) Chroniques d'Anjou Tome I
(Paris), Chronica de Gesta Consulum Andegavorum, p. 110.
[334] Guérard, M. (1857) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille
(Paris) Tome I, 653, p. 645.
[335] Marseille Saint-Victor I, 15, p. 18.
[336] Marseille Saint-Victor I, 630, p. 626.
[337] Mâcon 471, 490, pp. 271, and 284-5, and Cluny Tome IV, 2694, p. 721-22.
[338] Benedict VIII, Letter 16, Patrologia Latina CXXXIX1603, cited in Bouchard
(1987), p. 270, and quoted in Manteyer, G. de (1908) La Provence du 1ère au
12ème siècles (Paris), p. 274.
[339] Guérard, M. (1857) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille
(Paris) Tome I, 630, p. 626.
[340] Marseille Saint-Victor I, 225, p. 252.
[341] Manteyer (1908), p. 273, quoting Bibl. nat. de Madrid, ms. Ee 40, fo 118
vo.
[342] Obituaires de Lyon II, Prieuré Saint-Pierre de Mâcon, p. 482.
[343] Manteyer (1908), p. 274, quoting Biblioth. Méjanes ms. 812, recueil
Bouquier, t. 1, pp. 145-6, Catal. des mss. Départements, t. XVI, Aix, 1894 ms.
915.

La thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits


hagiographiques des pays d'Olt et de Dordogne" (2011) montre que Raymond
l'Usurpateur n'est pas fils de Raymond de Toulouse, comme on le pensait
auparavant, mais très probablement fils de Hugues de Rouergue comte d'Albi.
La démonstration fait l'objet d'une partie de la thèse, consultables à l'adresse
suivante :

http://hal.archives-
ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf

-4816-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les comtes de Toulouse et FMG) v 2010
- família: J-L. Dega

94.929.114:
Ascendance contestée par Christian Settipani ("La noblesse du midi carolingien"),
qui le donne fils d'autre Roubaud de Provence et d'Emilde, fille probable d'Etienne
de Gévaudan et d'Anne. C.Saint-Félix 3i2015

ROTBALD [II] (-[1008/22 Apr 1015]). "Boso comes et uxor sua Constantia…illorum
filii…Willelmus comes, Rotbaldus comes, Pontius juvenis" signed the charter dated
May [963] under which "Gencius et uxor mea Aiburga" donated property "in pago
Aquense superiore ad castrum…Ansoyse" to Monmajour[211]. The order of birth of
the two older sons of Boson is unclear. The May [963] charter suggests that
Guillaume was his older son. However, the name order is reversed in the charter
dated Mar 965 under which "eius filio Rothboldo et fratre eius Wilelmo comite"
consented to the charter of "Bosoni comitis, filii Rothboldi quondam"[212], which
suggests that Rotbald was older. Comte de Provence, charters showing that both
he and his brother Guillaume were recorded as counts during the same period,
although it is not known whether this was a joint countship or whether there was a
geographical split between their jurisdictions. "Rotbaldus comes" consented to the
donation by "Wilelmus comes Provincie et coniunx mea Arsinna" to Saint-Victor de
Marseille by charter dated Apr 970[213]. "Willelmus comes" donated property to
Cluny by charter dated 28 Aug [990] signed by "Rodbaldus comes, Adalaix
comitissa, Wilelmus comes et filius eius Wilelmus"[214]. "Dominus princeps et
marchio istius provinciæ…Willelmus cum coniuge sua…Adelaix et filio
suo…Willelmo" restored property to the abbey of Saint-Césaire d´Arles by charter
dated 992, subscribed by "Domnus Rotbaldus comes…Willelmus comes filius
Rotbaldi et uxor sua Lucia, Wilelmus comes Tolosanus et uxor sua Ema…"[215].
"Rotbaldus marchio et conjux mea…Eimildis" donated "castrum…Podium
Odolinum" to Cluny by charter dated to [993/1002] signed by "Rotbaldus comes et

-4817-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
uxor sua Eimildis, Adalax comitissa et filius suus Willelmus…"[216]. "Rotbaldus
comes et coniux mea Ermengarda" donated "villam…Pertusus…in regno Provinciæ
in pago Aquense" to Monmajour by charter dated 1002, signed by "Rotbaldus
comes et uxor sua Ermengarda…Willelmus nepos suus…Adalax comitissa"[217].
"Pontius…Massiliensis ecclesie pontifex" issued a charter dated 1005 with the
consent of "domni Rodhbaldi comitis et domne Adalaizis comitisse, domnique
Guillelmi comitis filii eius"[218].

m [firstly] (before [975/80]) ERMENGARDE, daughter of ---. Her marriage is


confirmed by the charter dated 22 Apr 1015 under which her daughter "Ema
comitissa filia Rotboldi comitis et Hermengardæ uxoris eius, matris meæ" donated
property "ex hereditate…in comitatu Forojuliensi in castro…Favart" to the priory of
Courrenz (in Provence)[219].

[m secondly EMILDE, daughter of --- (-after [993/1002]). "Rotbaldus marchio et


conjux mea…Eimildis" donated "castrum…Podium Odolinum" to Cluny by charter
dated to [993/1002] signed by "Rotbaldus comes et uxor sua Eimildis, Adalax
comitissa et filius suus Willelmus…"[220]. According to Manteyer, Comte Rotbald
[II] married once and "Emilde" and "Ermengarde" refer to the same person. The
later references to Ermengarde (shown below as a possible third wife) suggest that
this may be correct. However, the roots of the two names appear different,
suggesting that they were two different persons. If that is correct, the charter
dated to [993/1002] shows that Emilde must have been Rotbald´s second wife,
assuming that the birth date of his daughter Emma is correctly estimated as shown
below. Her origin is unknown. Szabolcs de Vajay suggests[221] that she was
Emilde de Gévaudan, daughter of Etienne Vicomte de Gévaudan & his first wife
Anne ---.]

[m thirdly ([1002] or before) ERMENGARDE, daughter of ---. "Rotbaldus comes et


coniux mea Ermengarda" donated "villam…Pertusus…in regno Provinciæ in pago
Aquense" to Monmajour by charter dated 1002, signed by "Rotbaldus comes et
uxor sua Ermengarda…Willelmus nepos suus…Adalax comitissa"[222]. "Rotbaldus
comes et coniunx mea Ermengarda" signed a charter dated [1002][223].
"Ermengardi uxor Rodbaldi comitis" was among the subscribers of the charter
dated 1005 of "Pontius…Massiliensis ecclesie pontifex"[224]. Europäische
Stammtafeln[225] identifies her as Ermengarde, daughter of --- (-25 or 27 Aug after
1057), who married secondly ([24 Apr/28 Jul] 1011) as his second wife, Rudolf III
King of Burgundy. Presumably this is based on the charter dated 1019 which is
signed by "Ermengarda regina et filii mei Ugo et Willelmus"[226], assuming that
"Willelmus" was the same person as Guillaume [V] Comte de Provence, son of
Comte Rotbald [II], who is shown below. However, this co-identity is far from
satisfactory. There are two main problems. Firstly, the sons are ordered "Ugo et
Willelmus" in the 1019 document, which suggests that Hugues was the older son.
However, no reference has been found to Comte Guillaume [V] having an older
brother named Hugues, which in any case is not a name which is found in the
family of the comtes de Provence. Secondly, Comte Guillaume [V] is named with his
wife in a charter dated 992 which, if correctly dated, shows that he could not have
been born much later than [975]. If that is correct, his mother would have been too
old in 1011 to have married King Rudolf III, who was presumably hoping for an
heir as he was childless by his first marriage. Europäische Stammtafeln appears to
find a way around these difficulties by stating that Ermengarde was the wife of
"Rotbald [III]" who, it says, was the son of Comte Rotbald [II][227]. However, no
primary source has been found which confirms that this Rotbald [III] ever existed.
In addition, the 1002 charter quoted above confirms that Guillaume son of Adelais
(identified as Guillaume [III] Comte de Provence), was nepos of Ermengarde´s
husband, which would be correct if Guillaume´s father and Ermengarde´s husband
were brothers as shown in the reconstruction in the present document, although it

-4818-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
is recognised that the word nepos is used flexibly in contemporary documentation.
If it is not correct that Rotbald [II]´s supposed third wife married King Rudolf, the
possibility remains that Comte Rotbald [II] in fact only married once and that all
the references to Ermengarde and Emilde are to the same person.]

 Rotbald [II] & his first wife had one child :


o Emma.

 Rotbald [II] & his [first/second] wife had [three] children:


o Guillaume
o Emilde
o Tetberga

 Rotbald [II] & his [third] wife had [two] children:


o Hugues
o Guillaume

[211] Manteyer (1908), p. 225, quoting Chantelou Histoire de Monmajour, Revue


Historique de Provence, 1ère année, p. 37.

[212] Gallia Christiana Novissima, Marseille, Col. 47-48, no. 66, and Marseille
Saint-Victor Tome I, 29, p. 40.

[213] Marseille Saint-Victor Tome I, 598, p. 590.

[214] Cluny Tome III, 1837, p. 80.

[215] Devic, Dom C., Dom Vaissete, Dulaurier, E. (1875) HGL 3rd Edn. (Toulouse),
Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 153, col. 325.

[216] Cluny Tome III, 1987, p. 199.

[217] Manteyer (1908), p. 267, quoting Chantelou Histoire de Monmajour, Revue


Historique de Provence, 1ère année, p. 72.

[218] Marseille Saint-Victor Tome I, 15, p. 18.

[219] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 172, col. 361.

[220] Cluny Tome III, 1987, p. 199.

[221] Szabolcs de Vajay 'Comtesses d'origine occitane dans la Marche d'Espagne


aux 10e and 11e siècles. Essai sur le rattachement de Richilde, de Garsende et de
Letgardis, comtesses de Barcelone, et de Thietberge comtesse d'Urgel au contexte
généalogique occitan', Hidalguía 28 (1980), pp. 585-616, 601-2, cited in Settipani
(2004), p. 53.

[222] Manteyer (1908), p. 267, quoting Chantelou Histoire de Monmajour, Revue

-4819-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Historique de Provence, 1ère année, p. 72.

[223] MGH, Schieffer, T. Die Urkunden der Burgundischen Rudolfinger (Munchen,


1977), 131, p. 308.

[224] Marseille Saint-Victor Tome I, 15, p. 18.


[225] ES II 187.
[226] MGH, Schieffer, T. Die Urkunden der Burgundischen Rudolfinger (Munchen,
1977), 136, p. 311.
[227] ES II 187.
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (FMG)
- família: J-L. Dega

94.929.115:
Fonts: - família: J-L. Dega

94.929.115a:
GUILLAUME [V] (-after 1037). "Dominus princeps et marchio istius
provinciæ…Willelmus cum coniuge sua…Adelaix et filio suo…Willelmo" restored
property to the abbey of Saint-Césaire d´Arles by charter dated 992, subscribed by
"Domnus Rotbaldus comes…Willelmus comes filius Rotbaldi et uxor sua Lucia,
Wilelmus comes Tolosanus et uxor sua Ema…"[234]. ["Ermengarda regina et filii
mei Ugo et Willelmus" signed a letter dated 1019[235]. Thietmar records that
"King Rudolf's wife" commended to Emperor Heinrich II her two sons, stepsons of
her husband, at a meeting at Strasbourg in 1016 but does not name them[236]. As
discussed more fully above, it is doubtful whether the charter dated 1019 and
Thietmar´s text refer to Guillaume [V] Comte de Provence.] Comte de Provence.
"Vuilelmus filius Rodbaldi" donated property "in comitatu Aquense in
valle…Cagnanam" to Marseille Saint-Victor by charter dated 1024, signed by
"Adalaiz comitissa, Vuilelmus comes filius Rodbaldi"[237]. "Willelmus comes
Provincie et uxor mea…Lucia" donated property to Saint-Victor, Marseille by
charter dated 1030, signed by "Poncius comes, filius Tolosani, Bertrannus frater
eius"[238]. "Willelmus comes Provinciæ…Lucia uxor mea" donated property
"Diliadam et Septem Fontes…in episcopatu Regensi" to Cluny by charter dated
1037, which is marked on the back "Willelmi comitis filii Rodbaldi"[239].
m (992 or before) LUCIA, daughter of --- (-after 1037). "Dominus princeps et
marchio istius provinciæ…Willelmus cum coniuge sua…Adelaix et filio
suo…Willelmo" restored property to the abbey of Saint-Césaire d´Arles by charter
dated 992, subscribed by "Domnus Rotbaldus comes…Willelmus comes filius
Rotbaldi et uxor sua Lucia, Wilelmus comes Tolosanus et uxor sua Ema…"[240].
The list of subscribers of this document presents dating difficulties as the last two
named couples appear from other primary sources to belong to a later period. The
probable explanation is that two lists from two different documents were copied
and incorrectly combined. "Willelmus comes Provincie et uxor mea…Lucia"
donated property to Saint-Victor, Marseille by charter dated 1030, signed by
"Poncius comes, filius Tolosani, Bertrannus frater eius"[241]. "Willelmus comes
Provinciæ…Lucia uxor mea" donated property "Diliadam et Septem Fontes…in
episcopatu Regensi" to Cluny by charter dated 1037, which is marked on the back
"Willelmi comitis filii Rodbaldi"[242].
[234] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 153, col. 325.
[235] MGH, Schieffer, T. Die Urkunden der Burgundischen Rudolfinger (Munchen,
1977), 136, p. 311.
[236] Thietmar 7.27, p. 326.
[237] Marseille Saint-Victor Tome I, 225, p. 252.
[238] Marseille Saint-Victor Tome II, Chartularium Majus, 682, p. 22.
[239] Cluny Tome IV, 2917, p. 117.
[240] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 153, col. 325.
-4820-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[241] Marseille Saint-Victor Tome II, Chartularium Majus, 682, p. 22.
[242] Cluny Tome IV, 2917, p. 117.
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (FMG)
- família: J-L. Dega

94.929.116:
Aldebert 1er succéda à son frère Hélie 1er au comté de Périgord. Il possédait
déjà la Haute-Marche dont le Dorat était la capitale et où il fit bâtir un château
qui devint sa résidence et celle de ses successeurs.

Portrait par école française (chateau de Valençay - Indre)

Il fut remis en liberté par Gui, vicomte de Limoges, vers l'an 980, sous la
condition d'épouser la soeur de ce Prince, qui était resté maître du Périgord et
de la Marche pendant la captivité d'Aldebert mais on croît qu'il lui rendit l'une et
l'autre avec la liberté. Ce qui est certain, c'est qu'on voit Aldebert possesseur de
ces deux comtés vers l'an 980. Aldebert, l'an 995, ou environ, se joignit à son
frère Boson, pour enlever à Guillaume le Grand, duc d'Aquitaine, le château de
Gençai. Mais, tandis qu'il faisait le tour de la place sans armure, il fut frappé
d'un coup de flèche dont il mourut. Son corps fut porté à l'abbaye de Charroux.
"Eudes Ier de Blois parvient à créer une alliance qui réunit son beau-frère, le

-4821-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
duc d'Aquitaine, Guillaume d'Aquitaine, le comte de Flandre Baudouin IV le
Barbu, et même son ancien ennemi, le duc de Normandie, Richard Ier. Au cours
de l'hiver 995-996, ils mettent le siège devant le château de Langeais où s'est
réfugié Foulques III d'Anjou, mais l'arrivée du roi Hugues Capet au secours de
l'Angevin, met fin à leur entreprise."
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Eudes_Ier_de_Blois). Adalbert faisait partie de cette
alliance et ce serait alors qu' Hugues Capet le sommant de lever le siège, lui
aurait demandé "Qui t'a fait comte?" et Aldabert de répondre: "Qui t'a fait roi?"
A.Euverte 2 xi 2012

Fonts: - persona: T. Denis (C. Farcinet : L'ancienne famille de Lusignan), J-L. Dega,
S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 10, 29/11/2012

94.929.117:
Nommée Adalmode d'après C. Settipani. C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du
midi carolingien") 7i2015
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais) 16/06/2013

94.929.118:
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 13) 13/06/2013

94.929.119:
Notice sur le château de Grignols (Dordogne)
Par M. A. de Roumejoux
Inspecteur de la Société française d'Archéologie

Notice, page 701

-4822-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 13) 13/06/2013

94.929.120:
Pons II de Mevouillon est né vers 920, peut-être à Arles et est mort en 986. Pons II
de Mevouillon, précariste de l’église d’Arles à Nyons, devient un très riche
propriétaire et a huit fils, dont plusieurs sont illustres.
Un riche propriétaire terrien
Pons II de Mevouillon, riche précariste de l’église d’Arles à Nyons, se voit
confirmer la villa Jocondis à Mornas, dont le terminium avait été concédé en
précaire à ses parents, par l’archevêque Manassès d'Arles, en 954. On peut donc le
considérer adulte à cette époque et il vit au moins jusqu’en 983[6]. Il reçoit de
l’archevêque d’Arles, Ithier, la villa Niomes et des biens à Busayrol, situés dans le
comté de Vaison-la-Romaine. En 981, cette précaire lui est confirmé par Annon, ,
successeur d’Ithier, ainsi qu’à ses deux fils : Pons III de Mevouillon et Laugier de
Nice[7]. Le Pons qui fait un don à l’abbaye de Cluny en 956-957 c’est peut-être ce
Pons II de Mevouillon. En effet, ce dernier avec sa femme Richilde, originaire de
l’Uzège, tient de archevêque d’Arles, l’abbaye de Sainte Marie de Goudargues[8].
Pons II de Mevouillon a huit fils qui font une donation à l’abbaye de Cluny en 1023.
La charte de Cluny, n° 2779, du 22 mai 1023, donnée en concile à Saint-Privat,
territoire de Sarrians, révèle les prénoms des huit frères dont les domaines
s’étendent sur les diocèses de Gap, Die, Vaison, Orange et Saint-Paul-Trois-
Châteaux. Par cet acte, deux des frères, Laugier de Nice et Pons III de Mevouillon,
ayant déterminé de se faire moine à Cluny, donnent à cette abbaye la moitié du
castrum d’Auton dont l’autre a été précédemment offerte à Saint-Pierre de Cluny

-4823-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
par leur père. Cette libéralité s’effectue sur le conseil et le consentement de leurs
frères auxquels ils délaissent le reste de leur héritage. Ces six frères sont : Féraud
de Nice évêque de Gap, Pierre de Mirabel évêque de Vaison, Arnoul, Gérard, Raoul
et Rambaud[9].
Notes et références

1. Chroniques de Haute-Provence: bulletin de la Société Scientifique et


Littéraire des Alpes de Haute-Provence, Par Société scientifique et
littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, Publié par Chroniques de Haute-
Provence, 1996, no.330-331, p.132
2. The Cambridge Illustrated History of the Middle Ages: 950-1250, Par
Robert Fossier, Stuart Airlie, Janet Sondheimer, Robyn Marsack, Traduit
par Stuart Airlie, Robyn Marsack, Collaborateur Janet Sondheimer, Robyn
Marsack, Edition: illustrated, reprint, Publié par Cambridge University
Press, 1986, p.21.
3. p. 79
4. La Provence du premier au douzième siècle : études d'histoire et de
géographie politique: études d'histoire et de géographie politique, Par
Georges de Manteyer, Publié par A. Picard et fils, 1908, p.260.
5. Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France,
Par France Ministère de l'éducation nationale, Ulysse Robert, France
Ministère de l'instruction publique, Direction des bibliothèques de France,
France direction du livre, Publié par Plon, Nourrit & cie, 1893, p.383.
6. GCNN t III Arles n° 283.
7. GCNN t III Arles n° 285
8. GCN t III Arles n° 214.
9. ↑ Ripert-Montclar, p XXIV) cité par [010 [archive] Les origines de la
famille Mévouillon]

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) i2010


- família: J-P de Palmas ( La Provence et la société féodale 879-1166 - J.P.Poly)
i2010

94.929.121:
originaire de l’Uzège.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia
- família: J-P de Palmas ( La Provence et la société féodale 879-1166 - J.P.Poly)
i2010

94.929.121b:
Féraud[1] de Nice est né vers 970 à Chorges et mort en 1044[2]
Féraud est le frère de Laugier de Nice, marié à Odile de Provence, fille de
Guillaume Ier de Provence et peut-être d’Arsinde de Comminges[3]. Son frère se
fait moine à la fin de sa vie, un autre de ses sept frères. Pierre de Mirabel est
évêque de Vaison. Lui est évêque de Gap de (1000-1044)[4]. A la fin de sa vie, en
1044 avec Guillaume Bertrand de Provence, ils divisent entre eux la ville de
Gap[2].
Sa famille
Féraud est un membre de la première maison des comtes d’Orange-Nice, comme
ses frères Laugier de Nice, Pierre de Mirabel, tous les deux évêques et Pons III de
Mevouillon, tige des Mevouillon. Son père, Pons II de Mevouillon, précariste de
l’église d’Arles à Nyons, se voit confirmer la villa Jocondis (Mornas) dont le
terminium avait été concédé en précaire à ses parents, par l’archevêque Manassès
d'Arles, en 954. On peut donc le considérer adulte à cette époque et il vit au moins
jusqu’en 983[5]. Il reçoit de l’archevêque d’Arles, Ithier, la villa Niomes et des
biens à Busayrol, situés dans le comté de Vaison. En 981, cette précaire lui est

-4824-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
confirmé par Annon, successeur d’Ithier, ainsi qu’à ses deux fils Pons III et Laugier
de Nice[6]. Le Pons qui fait un don à l’abbaye de Cluny en 956-957 c’est peut-être
Pons II de Mevouillon. En effet, ce dernier avec sa femme Richilde, originaire de
l’Uzège, tient de archevêque d’Arles, l’abbaye de Sainte Marie de Goudargues[7].
Pons II de Mevouillon a huit fils qui font une donation à l’abbaye de Cluny en 1023.
La charte de Cluny, n° 2779, du 22 mai 1023, donnée en concile à Saint-Privat,
territoire de Sarrians, révèle les prénoms des huit frères dont les domaines
s’étendent sur les diocèses de Gap, Die, Vaison, Orange et Saint-Paul Trois
Châteaux. Par cet acte, deux des frères, Laugier de Nice et Pons, ayant déterminé
de se faire moine à Cluny, donnent à cette abbaye la moitié du castrum d’Auton
dont l’autre a été précédemment offerte à Saint-Pierre de Cluny par leur père.
Cette libéralité s’effectue sur le conseil et le consentement de leurs frères auxquels
ils délaissent le reste de leur héritage. Ces six frères sont : Féraud de Nice évêque
de Gap, Pierre de Mirabel évêque de Vaison, Arnoul, Gérard, Raoul et Rambaud[8].
Selon d’autres sources, il est fils d’Ismidon de Royans, dit le vieux et de Alloy,
dame de royans[9]. Son frère, Pierre de Mirabel est évêque de Vaison (1023-1043)
et témoin avec lui d'une donation des comtes de Provence à Sarrians le 26 mai
1037 en faveur de Cluny.
Fonts:- persona: J-P de Palmas (wikipedia) i2010

94.929.121c:
Pierre de Mirabel est né vers 975 et mort en 1056[1].
Pierre dit de Mirabel signe l'acte de la réforme de Saint Ruf. Il n'est pas un simple
évêque d'un diocèse jadis très pauvre, mais le frère de Laugier de Nice, marié à
Odile de Provence, fille de Guillaume Ier de Provence et peut-être d’Arsinde de
Comminges[2]. Son frère se fait moine à la fin de sa vie. Un autre de ses sept
frères, Féraud de Nice est évêque de Gap de (1000-1044)[3]. Lui est abbé de
d’Orange, évêque de Vaison et un seigneur temporel, malgré ses nombreuses
donations. A la fin de sa vie, en 1044 avec Geoffroi II de Provence et Guillaume
Bertrand de Provence, ils divisent en deux la ville de Vaison[4].
Sa famille
Pierre est un membre de la première maison des comtes d’Orange-Nice, comme
ses frères Laugier de Nice, Féraud de Nice, tous les deux évêques et Pons III de
Mevouillon, tige des Mevouillon.
Son père, Pons II de Mevouillon, précariste de l’église d’Arles à Nyons, se voit
confirmer la villa Jocondis (Mornas) dont le terminium avait été concédé en
précaire à ses parents, par l’archevêque Manassès d'Arles, en 954. On peut donc le
considérer adulte à cette époque et il vit au moins jusqu’en 983[5]. Il reçoit de
l’archevêque d’Arles, Ithier, la villa Niomes et des biens à Busayrol, situés dans le
comté de Vaison. En 981, cette précaire lui est confirmé par Annon, successeur
d’Ithier, ainsi qu’à ses deux fils Pons III et Laugier de Nice[6]. Le Pons qui fait un
don à l’abbaye de Cluny en 956-957 c’est peut-être Pons II de Mevouillon. En effet,
ce dernier avec sa femme Richilde, originaire de l’Uzège, tient de archevêque
d’Arles, l’abbaye de Sainte Marie de Goudargues[7]. Pons II de Mevouillon a huit
fils qui font une donation à l’abbaye de Cluny en 1023. La charte de Cluny, n°
2779, du 22 mai 1023, donnée en concile à Saint-Privat, territoire de Sarrians,
révèle les prénoms des huit frères dont les domaines s’étendent sur les diocèses de
Gap, Die, Vaison, Orange et Saint-Paul Trois Châteaux. Par cet acte, deux des
frères, Laugier de Nice et Pons, ayant déterminé de se faire moine à Cluny,
donnent à cette abbaye la moitié du castrum d’Auton dont l’autre a été
précédemment offerte à Saint-Pierre de Cluny par leur père. Cette libéralité
s’effectue sur le conseil et le consentement de leurs frères auxquels ils délaissent
le reste de leur héritage. Ces six frères sont : Féraud de Nice évêque de Gap,
Laugier de Nice, Arnoul, Gérard, Raoul et Rambaud[8].
Selon d’autres sources, il est fils d’Ismidon de Royans, dit le vieux et de Alloy,
dame de royans[9].

-4825-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Références

1. Société d'archéologie, d'histoire et de géographie de la Drôme, Bulletin de


la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Secrétariat de la
Société (Valence) p.247 et suivantes.
2. Cartulaire de Saint-Victor, n° 659, cité par Mariacristina Varano,
Institution épiscopale et autorité comtale dans le diocèse de Sisteron
[archive].
3. L'ordre de Cluny à la fin du moyen âge: le vieux pays clunisien, XIIe-XVe
siècles, Par Denyse Riche, Publié par Université de Saint-Étienne, 2000,
p.113.
4. Société d'archéologie, d'histoire et de géographie de la Drôme, Bulletin de
la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Secrétariat de la
Société (Valence) p.247 et suivantes et Dictionnaire géographique,
historique, archéologique et biographique des communes du département
de Vaucluse, Par Jules Courtet, Publié par Bonnet, 1857, p.327.
5. GCNN t III Arles n° 283.
6. GCNN t III Arles n° 285
7. GCN t III Arles n° 214.
8. Ripert-Montclar, p XXIV) cité par [010 [archive] Les origines de la famille
Mévouillon]
9. ↑ J. Berge, Origines rectifiées de Maisons féodales (1952), J. Berge,
Origines rectifiées de Maisons féodales (1952) et Caïs de Pierlas, Le XIe
siècle dans les Alpes-Maritimes, Turin, 1885 et Baratier Édouard ; Duby
Georges ; Hildesheimer Ernest ; Atlas historique : Provence, Comtat,
Orange, Nice, Monaco, A. Colin, Paris, (1969) INIST-CNRS, Cote INIST : S
6285 et H&G, n°120, 217.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) i2010

94.929.121d:
Tige des Mévouillon.
Fonts: - persona: J-P de Palmas

94.929.122:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (J-P Gaillard citant l'étude de Guillaume Clamens in
revue Archeam n°16, 2009 et Odile de Nice) 23 ix 2012
- família: J-P de Palmas (J-P Gaillard citant l'étude de Guillaume Clamens in revue
Archeam n°16, 2009 et Odile de Nice) 23 ix 2012

94.929.123:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: J-P de Palmas (J-P Gaillard citant l'étude de Guillaume Clamens in revue
Archeam n°16, 2009 et Odile de Nice) 23 ix 2012

94.929.123a:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- naixement: F.de Bernis (base deret) 4 vii 07
- família: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014

94.929.123b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (J-P Gaillard citant l'étude de Guillaume Clamens in revue
Archeam n°16, 2009 et Odile de Nice) 23 ix 2012
-4826-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: J-P de Palmas (J-P Gaillard citant l'étude de Guillaume Clamens in revue
Archeam n°16, 2009 et Odile de Nice) 23 ix 2012

94.929.123c:
En pays d'Aigues, parmi les maîtres traditionnels du sol et les grands feudataires,
on peut trouver Lambert époux de Galburge, neveu de l'abbé Maïol et souche de la
famille de Reillanne, qui co-signe à Ansouis en 961 ou 96329. Il faut le distinguer
d’un autre Lambert, qui signe Lambert judex et exerçait les fonctions de juge dans
l'entourage du comte Boso entre 952 et 1004. Marié à une Leogarde ou Laugarde,
ce Lambert judex était le frère d’Amic Ier de Vence et, selon J. Barruol, celui de
Pons, souche de la famille des Baux. Il aurait été de la famille d’Anno ou Annon,
archevêque d’Arles de 980 à 994 : on ne peut exclure qu’il fût même son fils30. Au
demeurant cela n’aurait rien d’étonnant car l’évêque Ingilran, le frère de
Nebelong, comte de Cavaillon, est connu pour la nombreuse progéniture qu’il a eue
de sa femme Adalgue ou Adalgarde31. C’est en tout cas Lambert judex, seigneur
de Cucuron et de Vaugines, qui a donné en 1004 à l'abbaye de Psalmody une partie
du territoire de Vaugines, la vallis Amata que limitait le rocher Juvina d’où ce
village tire certainement son nom (Vallis Juvina). Son fils Willelm ou Guillelm de
Cucuron devait épouser Prodecta, issue de la famille de Riez (riche de nombreux
fiefs dans le Var et les Préalpes et alliée par ailleurs aux Baux, aux Rians et aux
vicomtes de Marseille)32.

 29 Tenants d’un fief.


 30 G de Manteyer, La Provence du I° au XII° siècle, Paris 1908, p. 335. J.
Barruol, L'influence de saint Maïol et de sa famille dans la renaissance
méridionale du XI° siècle, ds N. Didier, H. Dubled, J. Barruol, Le cartulaire
de l'Eglise d’Apt (Paris, Dalloz 1967), pp. 72 et 77. M. Taron, Cucuron, ds
Connaître le Luberon, Cahiers 5 de Luberon-Nature, 1979, pp. 18-21.
 31 Sur les 58 prélats intronisés entre 980 et 1060, 9 ont eu des enfants
selon J.-P. Poly - et sur 21 évêchés, 8 au moins ont eu un évêque marié (J.-
P. Poly, La Provence et la société féodale, Bordas, Paris, 1976, pp. 252-
253).
 32 Voir G. Démians d'Archimbaud, Les fouilles de Rougiers (Paris, CNRS
1980), p. 32, qui distingue le Lambert judex donateur de Vaugines du
Lambert judex du milieu du X° siècle qu’elle identifie avec Lambert neveu
de l’abbé Maïol. Voir aussi M. Taron, Cucuron, ds Cahiers n° 5 de Luberon
Nature, pp. 19-20.

Histoire du Lubéron, par Jean Méhu

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (J-P Gaillard citant l'étude de Guillaume Clamens in revue
Archeam n°16, 2009 et Quelle famille pour Odile de Nice)
- família: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016

94.929.124:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base alboui) 27 i 08
- família: F.de Bernis (base alboui) 27 i 08, J-P.de Palmas (Uc de Castellane et T
Pécout) 3 iv 2016

94.929.125:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base alboui) 27 i 08
- família: F.de Bernis (base alboui) 27 i 08, J-P.de Palmas (Uc de Castellane et T
Pécout) 3 iv 2016
-4827-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.929.152:
JB de La Grandière 7 xi 2009 :
Dans "Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médièval" d'Hélène Débax (PU du
Mirail Toulouse 2008, page 73-74-75) , Didier Panfili au chapitre "Bas Quercy et
Haut-Toulousain : un kaléidoscope à vicomtes", (accessible dans google books)
énonce que Benoît de Toulouse, otage du comte Raimond est un neveu de Géraud
d'Aurillac,le Géraud qui teste en 909 : Saint Géraud
De ce Benoît de Toulouse, sont issus les vicomtes de Toulouse
Benoît de Toulouse avait un frère cadet Rainard N et une sœur cadette Raingarde
N ainsi qu'un frère ainé Bernard N viguier d'Alzone père Aton d'Albi vicomte
d'Albi,+>942 époux de Diafronisse N d'où les vicomtes de Saint-Antonin ancêtres
des premiers vicomtes de Lautrec !
Ces éléments amènent à modifier Settipani qui dit bien en français, dans son
"Noblesse du midi carolingien" pp 154/159 -Gramat-édité à Oxford en 2004 qu'
Avigerne d'Aurillac était 'sœur de Géraud d'Aurillac'' et, à l'aide de Didier Panfili, il
faut dire qu' Avigerne est fille de Géraud sgr d'Aurillac et d'Adaltrude et donc
soeur de Géraud d'Aurillac c'est à dire l'abbé d'Aurillac, canonisé..
L'autre sœur du saint, Adaltrude d'Aurillac est l'épouse d'Hildebert de Limoges.

Didier Panfili insiste aussi pour dire que les auteurs d'Histoire du Languedoc (Dom
Devic et Dom Vaisette) ont été largement responsables d'avoir rendu illisible une
Histoire suffisamment compliquée en soi.

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Didier Panfili qui corrige fmg et Christian Settipani "
La Noblesse du Midi carolingien" pp 150/159 -vicomtes d'Albi- Oxford 2004 , voir
note) 26 x 2009
- naixement: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015
- família: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi
carolingien" pp 152/153 -vicomtes de Lautrec- Oxford 2004 ) 26 x 2009

94.929.153:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi
carolingien" pp 152/153 -vicomtes de Lautrec- Oxford 2004 ) 26 x 2009

94.929.153c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Jean Darnaud "La descendance du marquis Raymond
Guilaume" 03/2002 ) 5 vi 2016

94.929.153d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015

94.929.216:
Il est fait mention de Bernard (II) vicomte de Nismes, et de Gauze ou Gauciane
vicomtesse, dans un acte de l'an 956, et comme il est certain qu'Aton frère de
Frotaire évêque d’Albi; fut vicomte de Nismes, ils étaient par conséquent fils du
même Bernard et de Gauciane, et la vicomté de Nismes étoit dans leur maison dés
le milieu Xe siècle.

Suivant un acte daté du règne de Lothaire le Lundi 13 d'avril le huitième jour de la


lune (ce qui ne peut convenir qu'à l'an 957.), une dame appelée Senegonde et ses
fils, donnent à Frotaire évêque, et à son frère Bernard (II) la moitié du château de
la Tour en Rouergue. Nous ne doutons pas qu'il ne s'agisse ici de notre Bernard (II)
-4828-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
vicomte de Nismes, qui comme on l'a déjà vu, possédoit des biens considérables
dans le Rouergue, où il fonda le monastère de Beaumont. Frotaire frère de ce
vicomte étoit donc déjà évêque dès l'an 957 et c'est le même, à ce qu'il nous paroit,
que Frotaire évêque de Cahors (de 957 à 961), dont il est fait mention en 961 dans
le testament de Raymond I comte de Rouergue.

Comme il est certain a que le même Bernard (II) vicomte de Nismes fut père du
vicomte Aton (II) et de Frotaire évêque d'Albi, cela nous donne lieu de croire qu'il
étoit fils du vicomte Aton (I), qui avec sa femme, fit en 942 une donation à l'abbaye
de saint Pons de Tomieres, et dont le père s'appelloit Bernard, car suivant l'usage
constant des IX. X. et XI siècle, les petits-fils portoient ordinairement le nom de
leurs ayeuls paternels. II est fait mention d'ailleurs dans un acte de l'an 1070 d'un
Aton vicomte d'Albi ou d'Ambialet, qualifié l'ancien (vetulo). Or cet Aton appartient
certainement à la généalogie des Trencavels, et par conséquent il n'est pas
différent du vicomte Aton, qui en 942 fit la donation dont nous venons de parler à
l'abbaye de S Pons, et qu'on qualifia l'ancien pour le distinguer d'Aton frère de
Frotaire évêque d'Albi, qui et le seul de cette maison qui ait porté le nom d'Aton
tout seul depuis l'an 956. jusqu'en 1070.

II résulte de ce que nous venons de dire, qu’Aton I vicomte d'Albi, qui vivait en 942,
avait épousé Diafronisse, puisque celle-ci étoit mère de Bernard qui possédoit la
vicomté de Nismes en 956. Or comme nous n'avons aucun monument qui prouve
qu’Aton I ait été vicomte de Nismes, nous ne doutons pas que Gauciane, épouse de
Bernard son fils, n'ait apporté cette vicomté dans sa maison; ce que l'acte de l'art
956 paroi d'ailleurs insinuer.

Gauze ou Gauziane aura donc été fille et héritière d'un vicomte de Nismes, et par
son mariage avec Bernard fils d'Aton I vicomte d'Albi ou d'Ambialet, ces deux
vicomtez auront été réunies dans la maison de ce seigneur, qui est là même que
celle des Trencavels.

La donation que le vicomte Aton fit en faveur de l'abbaye de S. Pons en 942 est
souscrite immédiatement après lui par Frotaire évêque, Bernard, le comte Hugues,
etc… ----- JB de La Grandière 8/11/2009
Hélène Débax (La Féodalité languedocienne p 345 -Trencavel-Toulouse 2003)la

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P de Palmas (HGL, Dom Vaissette, 1740
et Hélène Débax "La Féodalité languedocienne", p 345 - Trencavel-Toulouse 2003)
- naixement: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015
- família: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

94.929.217:
Il est fait mention de Bernard (II) vicomte de Nismes, et de Gauze ou Gauciane
vicomtesse, dans un acte de l'an 956, et comme il est certain qu'Aton frère de
Frotaire évêque d’Albi; fut vicomte de Nismes, ils étaient par conséquent fils du
même Bernard et de Gauciane, et la vicomté de Nismes étoit dans leur maison dés
le milieu Xe siècle.

Nous ne doutons pas que Gauciane, épouse de Bernard Trencavel, n'ait apporté
cette vicomté dans la maison Trencavel; ce que l'acte de l'art 956 paroi d'ailleurs
insinuer.

Gauze ou Gauziane aura donc été fille et héritière d'un vicomte de Nismes, et par
son mariage avec Bernard fils d'Aton I vicomte d'Albi ou d'Ambialet, ces deux
-4829-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
vicomtez auront été réunies dans la maison de ce seigneur, qui est là même que
celle des Trencavels.

JPP : "HGL"

Hélène Debax, dans "La Féodalité languedocienne XI° - XII° siècles" est séduite par
l' hypothèse de Béraud (in "Uzès, son diocèse, son histoire", p. 57) que Gaucia
puisse être une Gothia une fille de Gothie (Septimanie)..
page 43, note 137.

Pour moi, le plus intéressant est de noter la lutte des "Goths", contre les "germanos
et normanos".

Beaucoup d'auteurs modernes ne "voient" pas les différences fondamentales de


l'onomastique entre le "wisigothique" et le "germanique".

Ces différences pourraient être étudiées pour organiser les "poches de résistances
wisigothiques" avec des prénoms tels que :
-Diafronisse, Gaucia/Gothia, et sans doute Begon, Allildulf etc

Thèse à soutenir ??

JB de La Grandière 15/7/2015

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P de Palmas (HGL, Dom Vaissette, 1740)
- família: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

94.929.217b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015
- naixement: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015
- defunció: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015

94.970.016:
Attesté en 961/997 et 1002

Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

94.970.017:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

94.970.115:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas FMG) 15 xi 2014
- família: J-P.de Palmas FMG) 15 xi 2014

94.970.115-1a:

-4830-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

94.970.115-1b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

94.970.115-2b:
Bertrand Ier, mort après 1081, est comte de Provence de 1063 à sa mort. Il est fils
de Guillaume III Taillefer, comte de Toulouse, et d'Emma, comtesse de Provence.
Biographie
Une source non identifiée lui attribue comme épouse Alix de Die, dont il aurait eu
une fille, mariée au comte Raymond de Saint-Gilles, mais une étude récente
attribue cette fille au comte Geoffroi de Provence:
J-P de Palmas: Foundation for Medieval Genealogy.
Des incertitudes
La plus grande incertitude règne sur ce comte de Provence, peut-être même pas un
des comtes indivis de Provence, mais simple comte de Forcalquier.
Dans ce contexte, il ne faut pas le confondre avec son cousin Foulques Bertrand,
comte de Provence appartenant à la génération précédente et également nommé
Bertrand Ier[2],[3].

Notes

1. .↑ Foundation for Medieval Genealogy [archive].


2. .↑ Cf. Florian Mazel, La noblesse et l'Eglise en Provence fin Xe-début XIVe
siècle (ISBN 2735505030), page 75.
3. .↑ Cf. Martin Aurell, Actes de la famille des Porcelet (ISBN 2735504468),
actes respectivement de 1034, 1037, 1040 et 1044

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) vi 2010

94.970.176:
Nommé dans les deux chartes de Saint-Sever en 993 et 1009.
Fonts:
- persona: G Marsan (site Pierre Driout) 02.2005, A.Euverte ( Bourrousse de
Laffore,revue de l'Agenais janv-fev 1879, historiques des monuments féodaux et
religieux du Lot et Garonne) 22.08.2005
- enterrament: G Marsan ( site Pierre Driout ) 02.2005
- família: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

94.970.177:
Fonts: - persona: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
- família: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

94.970.236:
RAYMOND [II] (-[1008]). "Bertha comitissa" donated property inherited from
"avunculi mei Ubonis, regis in regno Gociæ in comitatu
Sustantionensi…villam…Candianicus…" to Montmajour by charter dated 26 Feb
960, signed by "…Emens vicecomes…"[1881]. The testament of "Raymundus
comes", dated 961, bequeathed property for life "alodes…in
Nemosense…castello…Casso" to "Bertanæ" and after her death to "Raymundo filio
suo" and if he died without heirs to "Bernardo et uxori suæ Adelais", and in case of
their death without heirs to "Hugo"; "alode de Losolario" to "Hugo filius noster";
"alode de Braciaco…castello…Vuandalors" to "Raymundo filio meo et Hugoni filio
-4831-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
meo"; "castello de Cerveria…de Sancto Laurentio…de Petrilense…de
Granolheto…de Mala-Morte…de Dargon…de Ventagione…de Monasterio" to
"Raymundo filio meo"[1882]. He succeeded his father in [961] as Comte de
Rouergue. "Berta…comitissa et filius meus Raimundus…comes" donated property
"in comitatu Nemausense" to Nîmes Notre-Dame by charter dated 7 Sep
961[1883]. "Berta…comitissa" donated property "in comitatu Nemausense" to
Nîmes Notre-Dame by charter dated 18 Aug 965, subscribed by "Raimundus filius
meus"[1884]. [A charter dated 2 Jul 972 records a hearing at Nîmes by
"Raymondus comes et marchio" relating to "ecclesiam Sancti Martini…in comitatu
Agatense" in the presence of "…Siguinus vicecomes et Bernardus frater
eius…"[1885]. It is not known with certainty whether this document refers to
Raymond [II] Comte de Rouergue or to Raymond III Comte de Toulouse, although
the former appears more likely.] "Raimundus comes filius Berteldis" donated the
church of Palatio to the abbey of Conques by charter dated Feb [998/1010][1886].
"Petrus…Bermudi filius" recalled "Raimundi Ruthenensium comiti et Biterrensium
vice comitisse Hermengardi" in a charter dated 27 Jun 1078 relating to the
donation of the church of Palatio to the abbey of Conques[1887]. The treatise of
Bernard scholasticus of the church of Angers records that "urbis Ruthenicæ comes
Ragemundus, filius…Ragemundi" died on pilgrimage to Jerusalem[1888].
m RICHARDE, daughter of --- (-after 1062). "Ugo…comes" donated property to the
abbey of Narbonne Saint-Paul by charter dated 23 Mar 1032, subscribed by
"…Ricardis suæ matris, Fides"[1889]. The treatise of Bernard scholasticus of the
church of Angers names "Ricarda comitissa…Raymundi viri sui vidua" when
recording her good works[1890]. "Hugo Ruthenensium comes et mater mea
Ricardis comitissa" donated property to Conques, for the soul of "Raymundi
comitis", by charter dated 23 Jan 1051, signed by "Ricardis commitissæ…Rodberti
comitis, Fidei comitissæ, Bertæ comitissæ, Berengarii vicecomitis, Bernardi
archidiaconi et fratrum eius"[1891]. Comte Raymond [II] & his wife had two
children.
[1881] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 107, col. 233.
[1882] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 111, col. 240.
[1883] Nîmes Notre-Dame LXI, p. 102.
[1884] Nîmes Notre-Dame LXVI, p. 109.
[1885] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 121, col. 267.
[1886] Conques, 17, p. 22.
[1887] Conques, 20, pp. 25-6.
[1888] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXVI, p. 674, and 3rd Edn., Tome V,
Preuves, Chroniques, 3, p. 12.
[1889] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 198, col. 399.
[1890] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXVI, p. 674, and 3rd Edn., Tome V,
Preuves, Chroniques, 3, p. 12.
[1891] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 231, col. 462.
Ascendance rectifiée en suivant la thèse de Sébastien Fray (2011), consultable à
l'adresse : http://hal.archives-
ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf. C.Saint-Félix
4x2014
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2014, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray
"L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014
- família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des
récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014

94.970.237:
RICHARDE, daughter of --- (-after 1062). "Ugo…comes" donated property to the
abbey of Narbonne Saint-Paul by charter dated 23 Mar 1032, subscribed by
"…Ricardis suæ matris, Fides"[1889]. The treatise of Bernard scholasticus of the
church of Angers names "Ricarda comitissa…Raymundi viri sui vidua" when
recording her good works[1890]. "Hugo Ruthenensium comes et mater mea
-4832-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ricardis comitissa" donated property to Conques, for the soul of "Raymundi
comitis", by charter dated 23 Jan 1051, signed by "Ricardis commitissæ…Rodberti
comitis, Fidei comitissæ, Bertæ comitissæ, Berengarii vicecomitis, Bernardi
archidiaconi et fratrum eius"[1891]. Comte Raymond [II] & his wife had two
children.
Elle est peut-être plutôt la fille de Raymond, vicomte de Narbonne et de Richarde
originaire de Millau, d'après T.Stasser "La maison vicomtale de Narbonne", 1993,
p.497. C'est ausssi le pointe de vue de Christian Settipani dans "la noblesse
carolingienne". C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5 xii 2012
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2014, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray
"L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014
- família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des
récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014

94.970.237b:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.970.238:
GUIFRÉ [III] de Cerdanya, son of OLIBA [II] "Cabreta" Comte de Cerdanya i Besalú
& his wife Ermengarda [de Empúries] (-[before 2 Feb 1046 or 31 Jul 1049], bur San
Martín de Canigón). The Gesta Comitum Barcinonensium names (in order)
"Bernardum, Olibam et Guiffredum" as the three sons of "Olibano Cabretæ",
specifying that "Guiffredus" succeeded "in comitatu Cerritaniæ"[961]. "Oliba comes
et coniux mea Ermengards" donated property to Sant Llorenç de Bagà by charter
dated 15 Jan 981, subscribed by "Bernardus prolis, Wifredus prolis, Oliba
prolis…"[962]. He succeeded his father in 988 as Comte de Cerdanya i Berga. A
charter dated 988 records that "Bernardus comes cum filio suo Guilliermo
et…Guifredus frater eius" were left under the protection of the Pope by "piæ
memoriæ patre Oliba comite"[963]. The Chronicon breve Canigonensis records
that "Guifredus comes" founded "monasterium Sancti Martini Canigonensis" in
"A.D. 1001, era 1039, anno VI Rodberti regis"[964]. “Vuifreduscomes et Bardina
vicecomes et uxor suaAdalez” donated “alodemin comitatum Berguitano super
castrumMatrona, ipsa roccaTerraca” to Santa Maria de Serrateix by charter dated
15 Oct 1003[965]. “Guifreduscomes et uxor meaWisla comitissa” donated property
“in suburbio Helinense in valle Confluentein locumAlgadedo” to Canigon Sant
Martin by charter dated 12 Jun 1006[966]. "Wifredus…comes et uxori meæ Wisla
comitissa" donated property to Ripoll monastery by charter dated 24 Feb
1011[967]. “Vuifreduscomes et uxor meaGuila c[omitissa]” donated property “in
comitatum Berguitano in appenditio de Avizano inVal de Serra” to Santa Maria de
Serrateix by charter dated 28 Oct 1017[968]. A charter dated 29 Aug 1019 records
the judgment, in the presence of "dompno Bernardo comite et fratre suo dompno
Gifredo", in favour of "Seniofredo vicecomite" relating to the church of Santa
Coloma del Conflent which had been held by "Bernardo vicecomite vel a filio suo
Seniofredo vicecomite"[969]. The Chronicon breve Canigonensis records that
"Guifredus comes" became a monk in 1036[970]. "Guifredus…comes" made his
testament dated 1036, bequeathing "comitatus Cerritaniæ cum Castro-Sono quem
teneo de Redes et comitatus Confluente…quem teneo de Rossilione" to "filio meo
Raimundo", "comitatus Bergitano…et Castrum S. Stephani de castro Folit, et
Pugalto et Gavar et Porello et Albispino" to "filii mei Bernardi" and in case of his
death without legitimate heirs to "fratris sui Berengarii", "in comitatu Confluente
alodem meum de Comâ" to "filio…meo Guifredo archiepiscopo", property "quod
Arnallus Boni filius tenet" to "filio…meo Ardoino", "ecclesiam S. Mariæ Ripensi" to
"Guillelmo…filio meo", "alodem meo de Molig" to "filio…meo Berengario", "alodem
de Campoltne…[et] hereditate in villa Onnega" to "filiæ meæ Fidei", "mea
dominicatura de Livia" to "uxori…meæ" specifying that "ipsa cum filio suo
-4833-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[Bernardo] teneat comitatum Bergitani" and in case of his death "cum filio suo
Berengario"[971]. The Gesta Comitum Barcinonensium records that "Guifredus
filius Olibani comitis" died in 1025 [evidently misdated] and was buried "in
Monasterio Caninogensi"[972]. An epitaph (now destroyed) in the monastery of San
Martín de Canigón recorded the death in Jul 1049 of "Guifredi comitis
Cineres"[973]. A document recording the removal of the remains in 1332 of
"dominus Wifredus condam, comes" and "eius uxor Elisabet comitisæ" records his
death "pridie Kal Aug" in 1049[974]. The Chronicon breve Canigonensis records
the death "pridie Kal Aug" in 1050 of "dictus Guifredus"[975]. There is some doubt
about the year of Guifré´s death assuming that the charter, dated 2 Feb 1046, in
which his son is named is correctly dated.
m firstly (before 12 Jun 1006) GUISLA, daughter of --- (-[20 Mar 1020/20 Jun
1020]). “Guifreduscomes et uxor meaWisla comitissa” donated property “in
suburbio Helinense in valle Confluentein locumAlgadedo” to Canigon Sant Martin
by charter dated 12 Jun 1006[976]. "Wifredus…comes et uxori meæ Wisla
comitissa" donated property to Ripoll monastery by charter dated 24 Feb
1011[977]. “Vuifreduscomes et uxor meaGuila c[omitissa]” donated property “in
comitatum Berguitano in appenditio de Avizano inVal de Serra” to Santa Maria de
Serrateix by charter dated 28 Oct 1017[978]. The testament of “Guisla comitissa”,
dated 20 Mar 1020, appointed “vir meus domnus Guifredus comes” among her
executors, and made bequests to religious houses, proved by charter dated 20 Jun
1020[979].
m secondly (before 30 Nov 1025) ISABEL, daughter of --- (-after 13 Feb 1038, bur
San Martín de Canigón). “Wifreduscomes et uxor mea Helisabet” sold property to
“Arnall et uxor tua Biliard” by charter dated 30 Nov 1025[980]. "Conde Wifredo y
su mujer Elisabet" donated property to the monastery of Ripoll by charter dated 5
Feb 1034 (original lost)[981]. She is referred to, but not named, in her husband's
testament dated 1036[982]. “Helisabetchomitissa cum consensuviri mei Guifredi
chomiti” donated “alaudem meum propriumin comitatu Ceritaniense qui mihi
advenit per donacionem viri meivillas Surigariascum ecclesia Sancti Michaelis” to
Santa Maria de Serrateix by charter dated 13 Feb 1038[983]. A document records
the removal of the remains in 1332 of "dominus Wifredus condam, comes" and
"eius uxor Elisabet comitisæ"[984]. Guifré [III] & his first wife had six children.
Guifré [III] & his second wife had three children.
[961] Gesta Comitum Barcinonensium I, RHGF IX, p. 69, and 10, RHGF XI, p. 290.
[962] Oliba 5, p. 9.
[963] Oliba 10, p. 16.
[964] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chroniques, Chronicon breve monasterii
Canigonensis, col. 54.
[965] Serrateix Santa Maria, 46, p. 122.
[966] Marca Hispanica (1688), Appendix, CLIII, col. 961.
[967] Oliba 43, p. 57.
[968] Serrateix Santa Maria, 63, p. 141.
[969] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMCLXXIV, p.
243.
[970] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chroniques, Chronicon breve monasterii
Canigonensis, col. 55.
[971] Spicilegium Tome III, p. 392.
[972] Gesta Comitum Barcinonensium I0, RHGF XI, p. 290.
[973] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Inscriptions, 15, p. 6.
[974] Pujades, G (1831) Crónica Universal del Principado de Cataluña (Barcelona),
Tomo VII, Libro XIV, Cap. LXVII, p. 367.
[975] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chroniques, Chronicon breve monasterii
Canigonensis, col. 55.
[976] Marca Hispanica (1688), Appendix, CLIII, col. 961.
[977] Oliba 43, p. 57.
[978] Serrateix Santa Maria, 63, p. 141.
[979] Marca Hispanica (1688), Appendix, CLXXXIII, CLXXXXIV, cols. 1019-21.
[980] Serrateix Santa Maria, 76, p. 154.
-4834-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[981] Oliba 111, p. 187.
[982] Spicilegium Tome III, p. 392.
[983] Serrateix Santa Maria, 88, p. 166.
[984] Pujades (1831), Tomo VII, Libro XIV, Cap. LXVII, p. 367.
Fonts: - persona: J-L. Dega, , J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.970.239:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.970.239a:
Fonts: - persona: J-L. Dega, N de Meyrignac (base pierfit, 12vii2008), C.Saint-Félix
(NLTaylor "Will et Society") 2i2015
- família: J-L. Dega, C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007

94.970.239c:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006

94.970.239d: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (NLTaylor "Will et Society") 2i2015


94.970.240:
On croyait à tort que les premiers comtes de Comminges étaient issus des comtes
d'Aragon. En fait, ils sont probablement des seigneurs de l'entourage des comtes
de Toulouse.
L'ascendance actuelle serait donc à revoir: Voir la Généalogie du Puy-Melgueil
Note de : J-P de Palmas ( Christian Settipani, La Noblesse du Midi Carolingien,
Prosopographica et genealogica, Oxford, 2004, 388 p. - ISBN 1-900934-04-3 -, p.
67-72 )
Charles HIGOUNET. Le comté de Comminges de ses origines à son annexion à la
Couronne. Toulouse-Paris, Privat-Didier, 1949. (Bibliothèque méridionale, 2e série,
t. XXXII.)
Charles Higounet. Le comté de Comminges de ses origines à son annexion à la
Couronne. Toulouse-Paris, Privât -Didier, 1949.
In-8°, lxi-745 pages en 2 vol., avec 6 cartes et 7 tableaux généalogiques.
(Bibliothèque méridionale, 2e série, t. XXXII.)
En rédigeant cet ouvrage, sa thèse de doctorat, M. Higounet a eu un triple dessein
: écrire l'histoire du comté de Comminges pendant tout le Moyen Age, faire une
monographie féodale, tenter un essai de géographie historique.
En fait, c'est seulement à la fin du xe siècle que commence l'histoire du comté.
La tentative pour débrouiller, selon la méthode exposée à la p. 25, n. 1, la
chronologie de la famille comtale, d'Arnaud, au milieu du xe siècle, à l'entrée de
Dodon au Temple de Montsaunès, en 1176, offre surtout l'intérêt de « donner des
cadres à l'histoire primitive du comté ».
Le père de Dodon, Bernard Ier, par son mariage avec l'héritière de Muret a orienté
le comté vers Toulouse et contribué fortement à sa formation territoriale. L'activité
diplomatique déployée par Bernard IV (1176-1225), la plus forte personnalité de la
maison de Comminges, pour rapprocher le comte de Toulouse du roi d'Aragon, et
sa participation à la croisade albigeoise accentuèrent cette orientation. Ses
successeurs eurent une politique aux horizons moins larges. Bernard V liquida la
situation née de la croisade. Bernard VI (1241-1295) fit hommage de son comté à
Raymond VII, et la réunion des possessions raimondines au domaine royal, en
1271, fit des comtes de Comminges les vassaux directs du roi de France. Avec
Bernard VII et Bernard VIII, le déclin s'annonce, d'autant que la royauté, par la
constitution de paréages, par la fondation de bastides, par la création de la jugerie
-4835-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Rivière, déjà réalisée en 1280, pousse des antennes de plus en plus nombreuses
en pays commingeois. La mort de Bernard VIII en 1336 clôt l'ère des grands
comtes, et la mort en 1339 de son fils posthume, Jean Ier, provoque une crise de
succession. En 1375, l'avènement de Marguerite, fille de Pierre-Raimond II, ouvre
une nouvelle période difficile dans l'histoire du Comminges. C'est que depuis la
perte du Nébouzan, au milieu du xine siècle, ses comtes avaient toujours été les
ennemis des comtes de Foix, tandis qu'au cours du xive siècle, par suite des
guerres anglaises et de la rivalité entre Foix et Armagnac, ils avaient toujours été
les alliés des comtes d'Armagnac.
Le comté devint ainsi l'enjeu de la lutte entre les deux grandes maisons
méridionales. Si les mariages de Marguerite avec Jean III d'Armagnac, puis avec
Mathieu de Foix, parurent faire pencher la fortune d'un côté, puis de l'autre, ce fut
la royauté qui l'emporta en intervenant dans le conflit et en se faisant, par l'accord
du 9 mars 1443, céder les droits du dernier mari. La contribution qu'apporte M.
Higounet à l'histoire du long conflit des maisons de Foix et d'Armagnac sera
précieuse à l'historien qui tentera de la retracer en tous ses aspects.
A la mort de Mathieu de Foix, l'union du comté au domaine royal ne fut pas
définitive ; elle ne le devint, en droit tout au moins, qu'en 1502, par un arrêt du
Parlement de Toulouse qui marque la fin de son histoire. Ce court résumé ne peut
donner une idée de la richesse d'un exposé à la construction duquel ont concouru
saine méthode, curiosité d'esprit et sens des nuances.
La monographie féodale (livre III) offre une image complexe du comté pendant sa
période d'épanouissement au хше et au xive siècle. Réserve foncière, forêts,
banalités du moulin, du four et de la forge, albergue et taille, péages et leude,
exercice de la justice, tous éléments d'origine impossible à établir, formaient le
domaine des comtes. Il faut y ajouter les châteaux que l'auteur nous montre plus
comme lieux de résidence, souvent temporaire, car les comtes n'eurent pas à
proprement parler de capitale avant que Bernard VIII n'ait fixé son choix sur
Muret, que comme forteresses. C'est au début du хше siècle que s'est formée une
ébauche d'administration centrale. Sous le règne de Bernard VI apparaissent le
sénéchal, lieutenant du comte, toujours pris dans la noblesse du comté, le juge
ordinaire, qui avait la garde des sceaux (on ne sait si c'est dès 1246 ou plus tard,
car il semble y avoir contradiction entre les p. 208 et 211), et le trésorier,
principaux officiers de l'administration centrale du comté. L'administration locale
avait commencé à s'organiser dès le xne siècle où apparaissent les bayles,
représentants du comte, dont le nombre s'accroît aux хше et xive siècles, et qui
furent supplantés au xivè siècle par les châtelains, ou capitaines des forteresses
comtales. Ce changement semble recouvrir non l'introduction d'un nouvel élément
dans la hiérarchie, mais une dégradation du pouvoir du bayle dont les fonctions
primitives de représentant du comte auraient passé au châtelain. Il est dommage
que M. Higounet n'ait pas davantage éclairci ce problème institutionnel.
in Bibliothèque de l'école des chartes,année 1951, volume 109
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de Jacques-Alphonse Mahul) 2008
- defunció: J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de Jacques-Alphonse Mahul)
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien
diocèse de Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 2008

94.970.241:
Depuis que le comté de Carcassonne était devenu héréditaire, les épouses des
comtes prenaient dans les actes, le titre de comtesse.
Ce fut donc la comtesse Arsinde qui figura dans les actes. Dés que ses enfants
eurent atteints leur majorité (an 957), ils gouvernèrent chacun leur portion de

-4836-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
l'héritage paternel.

[ARSINDE ([905/20]-after [959]).


The parentage of the wife of Arnaud Comte de Comminges is not known.
Settipani highlights that the obvious way of explaining the transmission of the
county of Carcassonne to the family of the Comtes de Comminges is that Arsinde,
wife of Comte Arnaud, was the daughter of Acfred Comte de Carcassonne[389].
This is also assumed to be correct by the HGL[390]. However, the chronology is not
ideal. As explained below (Part B), it is likely that her son Roger [I] Comte de
Carcassonne was born in the later part of the date range [930/40]. If this is correct,
it is likely that Arsinde married in [925/35] which would place her own birth in the
range [905/20]. Another difficulty is that there is no indication who held the county
of Carcassonne between the death of Comte Acfred [II] in [933] and the time when
Arsinde's son Roger was comte, the date of which is uncertain but is unlikely to
precede the 950s at the earliest. In particular, no proof has yet been found that the
county was inherited by Arsinde's husband, Comte Arnaud, which would have been
normal if his wife had been the heiress of Carcassonne. According to Europäische
Stammtafeln[391], Arsinde was the daughter of Acfred Duke of Aquitaine. The
primary source on which this is based has not yet been identified. It is assumed
that it is also speculative based on onomastics. A third possibility is proposed by
Stasser, who suggests that she was the sister of Raymond [I] Comte de Rouergue,
on the grounds that it is better supported from the onomastic point of view[392]. m
([925/35]) ARNAUD Comte de Comminges et de Couserans, son of --- (-before 27
Nov 957).]
extrait de Foundation for Medieval Genealogy
Dans sa thèse (2011), Sébastien Fray privilégie la thèse de T. STasser et considère
qu'Arsinde est une fille d'Ermengaud de Rouergue et d'Adélaïde sa femme. C.
Saint-Félix 5x2014. Didier Panfili (in Hélène Debax "Vicomtes et vicomtés")
privilégie la même ascendance. Il faut donc très vraisemblablement confondre
cette ARsinde avec Arsinde de Rouergue. C.Saint-Félix (D.Panfili in Hélène Debax
"Vicomtes et vicomtés") 16i2015
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul)
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien
diocèse de Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 2008

94.970.241b:
ODO de Comminges (-before Apr 1011). "Arnaldus et uxor mea Arsindis, et
Rodgarius et Odo filiis nostris" donated property to the abbey of Montolieu, near
Carcassonne for the souls of "…et Rodgario fratre meo" by charter dated 7 Apr
949[804]. "Arsindis comitissa cum filiis suis Odo et Raimundo" signed a charter
dated to [959] relating to their property "alode de Magrinnano et de Cugciaco…in
comitatu Narbonense"[805]. Comte de Razès. "Rogerius comes et conjux mea
Adalaizis comitissa" donated property to Saint-Hilaire, including property which
"frater meus Oddo comes habuit", for the soul of "fratris mei Oddoni comitis" and
for "filio nostro Regimundo comite", by charter dated Apr 1011, signed by
"…Bernardus et dominus Petrus…comites…"[806].
m ALTRUDIS, daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has
not yet been identified. Odo & his wife had one child:
i) ARNAUD (-[1020]). The primary source which confirms his parentage has not yet
been identified. Comte de Razès.

[804] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 89, col. 207.

-4837-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[805] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 106, col. 232.

[806] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 170, col. 358.

Foundation for Medieval Genealogy

Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul et FMG)
- família: J-L. Dega

94.970.241c:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.970.241e:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.970.241f:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

94.970.241g:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

94.970.241h:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

94.970.242:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (FMG) 2016
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul)

94.970.243:
Son ascendance est contestée par Christian Settipani, qui la voit plutôt comme une
petite fille d'Ermengaud, fille d'Arsinde et d'Acfred II. Ermengaud aurait bien eu
une fille nommée Sénégonde, mais elle aurait épousé Leuthard de Lodève.C.Saint-
Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015

Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul)

94.970.246:
Fonts:
- persona: B. Rousseau (base chautruf) 29.01.06
- família: B. Rousseau (base chautruf) 29.01.06

-4838-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.970.247:
Fonts:
- família: B. Rousseau (base chautruf) 29.01.06

94.970.247a:
Fonts:
- persona: B. Rousseau (base chautruf) 29.01.06

94.970.256:
OLIBA [II] "Cabreta" de Cerdanya, son of MIRÓ [I] Comte de Cerdanya & his wife
Ava --- (-[988/90]). "Rotrudes femina et filias meas…et Vuibertus et uxor mea
Goudovara et Emmo" sold property "in comitatu Helenense in Valle-
Asperi…alode…Costogia" to "Avane comitissa et filio tuo Holibano" by charter
dated 1 Jun 936[921]. “La condesa Ava y sus hijos Seniofredo, Wifredo, Oliba y
Miron subdiacono” donated “alodio en Armancius que habia comprado el conde
Miron” to Ripoll by charter dated 15 Apr 938[922]. “Ava comitissa et filiis meis
Seniofredus comes et Wifredus comes et Olibra comes et Miro levita” donated
property to Cuxà, for the sins of “Mironi comitis genitori condam nostro”, by
charter dated 1 Jul 941[923]. "Seniofredo conde de Cerdaña y Besalú y su hermano
Oliva conde" donated "el alodio de Aiguatebia" to "Isarno vizconde del Conflent" by
charter dated 15 Oct 960[924]. He succeeded his brother in [965/67] Comte de
Cerdanya i Besalú. "Oliba…comes Bisuldun" granted concessions to the abbess of
Saint-Jean by charter dated 966[925]. "Oliba comes et marchio et uxor mea
Ermengarda" donated property "in comitatu Ausona in valle Riopullensi" to Oliba
abbey by charter dated 16 Aug 967[926]. “Olibacomes et uxor mea Ermengardis et
Miro episcopus” donated “alodiumqui nobis advenit per præceptum Domini Regis
de condam Vuifredo vicecomite quem vocaverunt Falchero” to Ripoll Santa Maria
by charter dated 28 Jun 975[927]. “Olibanecomes et domini Mironis episcopi [sedis
Urgellitanæ] fratris nostri” founded the monastery of Santa Maria de Serrateix “in
comitatu Bergitano in locoSerra de Taxo” by charter dated 7 Oct 977[928].
“Miro…Gerundensis ecclesiæ…episcopus ac comes Bisuldunensis…cum fratribus
nostro domno Olibano ac Seniofredo comitibus” founded the monastery “sancti
Petri Bisuldunensis” to “ecclesiæ Bisuldunensi” by charter dated 24 Nov 977[929],
although this document must be misdated if the date of death of Senifredo is
correct as shown above. He tried to subjugate the county of Rasès but was
defeated in 981 by the Comte de Carcassonne-Rasès[930]. "Oliba comes et coniux
mea Ermengards" donated property to Sant Llorenç de Bagà by charter dated 15
Jan 981, subscribed by "Bernardus prolis, Wifredus prolis, Oliba prolis, Bernardus
vicecomes Cerdaniense, Bernardus vicecomite Confluente"[931]. "Oliba…comes et
Ermengardis comitissa" donated "alodum nostrum…in comitatu Bergintano in
apendicio de Castro Vivario, qui fuit de Goldregoto" to Santa Maria de Serrateix by
charter dated 1 Feb 988[932]. "Oliba…comes et Ermengards comitissa" donated
"alodum nostrum…in comitatu Rosselionensi…villam…Basone cum ecclesia Sancti
Vincentii et Sancti Joannis" to the monastery of Cuixà by charter dated 14 Feb
988[933]. He abdicated in 988 and entered the Benedictine monastery at
Montecasino. The Gesta Comitum Barcinonensium records the death in 990 of
"Olibano Cabretæ"[934]. The Chronicon alterum Rivipullense records the death in
990 of “Olibanus Capreta comes”[935]. A charter dated 988 records that
"Bernardus comes cum filio suo Guilliermo et…Guifredus frater eius" were left
under the protection of the Pope by "piæ memoriæ patre Oliba comite"[936], which
suggests that Oliba died shortly before this date.
m (before 16 Aug 967) ERMENGARDE, daughter of --- (-after 2 Jan 995). Oliba and
his wife Ermengarde donated property to Santa Maria de Ripoll by charter dated
16 Aug 967, expressed to be "in the hope of having children"[937]. "Oliba comes et
marchio et uxor mea Ermengarda" donated property "in comitatu Ausona in valle
Riopullensi" to Oliba abbey by charter dated 16 Aug 967[938]. “Olibacomes et uxor
mea Ermengardis et Miro episcopus” donated “alodiumqui nobis advenit per
præceptum Domini Regis de condam Vuifredo vicecomite quem vocaverunt

-4839-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Falchero” to Ripoll Santa Maria by charter dated 28 Jun 975[939]. "Oliba…comes
et Ermengarde comitissa" donated property to the abbey of Cuixà by charter dated
988[940]. “Miro…Comes atque Episcopus” granted “ecclesiam sancti Vincentii” to
“ecclesiæ Bisuldunensi”, with the consent of “Ermengardæ comitissæ et filio eis
Bernardo”, by charter dated 12 Apr 977[941]. "Oliba comes et coniux mea
Ermengards" donated property to Sant Llorenç de Bagà by charter dated 15 Jan
981[942]. "Oliba…comes et Ermengardis comitissa" donated "alodum nostrum…in
comitatu Bergintano in apendicio de Castro Vivario, qui fuit de Goldregoto" to
Santa Maria de Serrateix by charter dated 1 Feb 988[943].
"Ermengardis…comitissa cum suo prole Olibane" granted property to "Oriolo…in
comitatu Bergitano" by charter dated 30 Jul 990, subscribed by
"Bernardus…comes"[944]. “Ermengardis comitissacum prole meo Olibanecomes”
donated property “in comitatu Bergitanensium infra terminis castrum Pinos in
locumSelers de Oriol” to Santa Maria de Serrateix by charter dated 2 Jan 995[945].
Mistress (1): INGIBERGA de Besora, daughter of ---. The primary source which
confirms her name and relationship with Comte Oliba has not yet been identified.
Oliba [II] & his wife had five children. Oliba [II] had one illegitimate child by
Mistress (1).
[949] Gesta Comitum Barcinonensium I, RHGF IX, p. 69.
[950] Oliba 5, p. 9.
[951] Oliba 7, p. 12.
[952] Oliba 12, p. 17.
[953] Serrateix Santa Maria, 38, p. 114.
[954] Bol`s, J. (ed.) (2009) Diplomatari del monestir de Sant Pere de la Portella
(Barcelona) (“Sant Pere de la Portella”), 2, p. 210.
[955] Viage Literario, Tome V, Apendice, Chronicon alterum Rivipullense, p. 244.
[956] Oliba 73, p. 115.
[957] España Sagrada XLV, XIX, p. 285.
[958] Cartulaire Roussillonais XXVI, p. 42.
Le surnom "Cabreta" lui a été donné en référence à une chèvre (Cabreta, en
catalan). En effet, il parait que cet illustre personnage, extrêmement nerveux,
passait son temps à taper du pied pour marquer son indignation, son impatience,
comme le font les chèvres lorsqu'elles ne peuvent pas passer sur un chemin
Voir le site
http://histoireduroussillon.free.fr/Thematiques/Biographies/OlibaCabreta.php
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014
- família 1: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

94.970.257:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (histoire des comtes de Besalu) 19 viii 2011, C.Saint-Félix
(NLTaylor "Will et Society") 2i2015
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

94.970.257c:
Arrière-petit-fils de Guifred le Velu, Oliba hérite en 988 du comté de Bergà. Dès
1002, il cède à son frère Guifred, comte de Cerdagne, ses terres pour devenir
moine. Ses vœux furent prononcés à Sainte Marie de Ripoll en 1002. Il y restera le
temps nécessaire à sa formation sur les Saintes Ecritures, puis en 1008 il est
nommé abbé de Ste Marie de Ripoll et de St Michel de Cuxa, qu'il conservera
jusqu'à sa mort. En plus en 1018 il sera nommé évêque de Vich. C’est Oliba qui
introduit le décor architectural roman à Saint-Michel de Cuxà, qui de Cuxà se
répandit, à travers toute la Catalogne. À ce titre, l’on peut le considérer comme le
père fondateur de l’architecture romane.

-4840-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
L'abbé Oliva est très lié à Cluny. En 1027, en Catalogne, il lance la trêve de Dieu
avec le Synode d'Elne (dit aussi concile de Toulouges, 1027), puis en 1033 un
synode à Vich, son propre diocèse. Il introduit une notion temporelle: les exactions
et combats sont interdits le dimanche. A Vic, la trêve se définit comme protection
des chrétiens pendant les périodes liturgiques, et relève du seul clergé
contrairement à la paix qui relève du comte et de l'évêque. A Vic, on retrouve le
triptyque de Charroux : l'espace sacré des trente pas autour de l'église, les vilains
à ne pas maltraiter, ni les dépouiller de leurs vêtements, ni de leur cire (article du
Puy, cette fois). Comme pour le serment de Vienne, il faut également prendre
garde aux mules et mulets et ne pas détruire de maisons : cette fois, on protège
d'avantage la vie et le travail des paysans.(source Wikipedia)

OLIBA de Cerdanya (971-1046, bur Cuixà Monastery). The Gesta Comitum


Barcinonensium names (in order) "Bernardum, Olibam et Guiffredum" as the three
sons of "Olibano Cabretæ", stating in a later passage that Oliba was "Monachus
Rivipulli et Abbas, deinde Episcopus Vicensis", died in 1047 and was buried "in
Monasterio Cuxanensi"[949]. "Oliba comes et coniux mea Ermengards" donated
property to Sant Llorenç de Bagà by charter dated 15 Jan 981, subscribed by
"Bernardus prolis, Wifredus prolis, Oliba prolis…"[950]. "Oliba comes…cum
Berengarius et Olibanus filii mei" confirmed a donation to Santa Maria de Serrateix
by charter dated to [983/84][951]. Comte de Berga i Ripoll.
"Ermengardis…comitissa cum suo prole Olibane" granted property to "Oriolo…in
comitatu Bergitano" by charter dated 30 Jul 990, subscribed by
"Bernardus…comes"[952]. “Ermengardis comitissacum prole meo Olibanecomes”
donated property “in comitatu Bergitanensium infra terminis castrum Pinos in
locumSelers de Oriol” to Santa Maria de Serrateix by charter dated 2 Jan 995[953].
“Olibacomes” donated property inherited from “genitori meoOliba comite” to Sant
Pere de la Portella “in comitatu Bergitani” by charter dated 15 Jul 997, subscribed
by “Bernarduscomes, Bardina vicecomite”[954]. The Chronicon alterum
Rivipullense records in 1002 that “Oliba comes factus est monachus”[955]. Abbot
of Ripoll and Cuixà 1008. Bishop of Vic 1017. "Guifredus…archiepiscopi
Narbonensis, filius Guifredi comitis et Oliva pontifex Ausonensis frater prephati
comitis" dedicated Sant Pau del Pi by charter dated 14 Oct 1022[956]. The
testament of “Bernardo quondam Comite” dated 26 Sep “XXV regnante Roberto
Rege” (1020) names “…Oliva frater suus[957]. "Guifredus comes" donated property
to the monastery of Ripoll by charter dated [1023?] which names "fratris mei Olive
pontifice Ausonensis"[958].
[949] Gesta Comitum Barcinonensium I, RHGF IX, p. 69.
[950] Oliba 5, p. 9.
[951] Oliba 7, p. 12.
[952] Oliba 12, p. 17.
[953] Serrateix Santa Maria, 38, p. 114.
[954] Bol`s, J. (ed.) (2009) Diplomatari del monestir de Sant Pere de la Portella
(Barcelona) (“Sant Pere de la Portella”), 2, p. 210.
[955] Viage Literario, Tome V, Apendice, Chronicon alterum Rivipullense, p. 244.
[956] Oliba 73, p. 115.
[957] España Sagrada XLV, XIX, p. 285.
[958] Cartulaire Roussillonais XXVI, p. 42.
Fonts:
- persona: J-Louis Dega, , J-P.de Palmas (Wikipédia et FMG) 4 viii 2014) 1 viii 2014

94.970.257d:
BERENGUER de Cerdanya (-1003). "Oliba comes…cum Berengarius et Olibanus
filii mei" confirmed a donation to Santa Maria de Serrateix by charter dated to
[983/84][959]. Bishop of Elna.

-4841-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

94.970.257e:
ADELAIS de Cerdanya (-[1024]). The primary source which confirms her parentage
and marriage has not yet been identified.

m JUAN de Oriol, Señor de Sales, son of ---.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

94.970.257-2a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

94.970.258:
Sancho Garcés II apodado «Abarca». Rey de Navarra y conde de Aragón entre los
años 970 y 994.
Era hijo del rey García Sánchez I y Andregoto Galíndez, hija del conde de Aragón
Galindo Aznárez II (867-892)
En la Historia General de Navarra de Jaime del Burgo se cita -haciendo, a su vez,
referencia a la obra de José de Moret, Anales del Reino de Navarra- que con motivo
de la donación de la villa de Alastue hecha por el rey de Pamplona al monasterio de
San Juan de la Peña en 987, se titula rey de Navarra, siendo el primero que usó
este nombre: «reinando Yo, D. Sancho, rey de Navarra, en Aragón, en Nájera y
hasta Montes de Oca». En otros muchos lugares aparece como el primer Rey de
Aragón y en otros como el tercero. En esta época los reinos de León, Navarra y el
condado de Castilla estaban unidos por lazos familiares; la monarquía navarra
sostenía a Ramiro II de León, menor de edad. Al morir Alhakén II en el 976 y
sucederle su hijo Hixem II tutelado por Almanzor, se ensombrecieron aún más las
perspectivas de todos los reinos cristianos: las tropas de Almanzor vencieron a los
cristianos en Torrevicente, al sur de Soria; después les volvió a vencer en
Taracueña, cerca de Osma. En 975 fue derrotado por los musulmanes en San
Esteban de Gormaz, y en 981 en Rueda, a doce kilómetros de Tordesillas, los
cristianos sufrieron una humillante derrota. Como por las armas no se podía con
Almanzor, Sancho Garcés acudió a Córdoba como embajador de su propio reino,
llevando cuantiosos regalos para el victorioso Almanzor, pactando con él y llegando
a entregar al musulmán a su hija en matrimonio. Fruto de este matrimonio nació el
que habría de ser Abd al-Rahman Sanchuelo, heredero al Califato de Córdoba. Su
hijo Gonzalo volvió en 993 para dar seguridades a Córdoba de una actitud de
sumisión. Fundó los monasterios de San Andrés de Cirueña (972) y de San Millán
de la Cogolla. Casado, posiblemente, en 962 con Urraca Fernández de Castilla, hija
de Fernán González y de Sancha de Pamplona. Antes de 950 Urraca había estado
casada con Ordoño III de León y en 956 casó con el futuro Ordoño IV "El Malo", de
quien se separó. Enterrado actualmente en Nájera (La Rioja) en la iglesia del
monasterio de Santa María la Real, templo gótico edificado entre 1422 y 1453. A
sus pies se halla el panteón real (reconstruído entre 1556 y 1559) en el que están
enterrados varios reyes de Pamplona y de León. En la mencionada Historia General
de Navarra (pág. 487) se dice que: «El nombre de Abarca con que se le conoce ya
dijimos que no era contemporáneo. Aparece en documentos adulterados de San
Juan de la Peña, monasterio de Leyre y catedral de Pamplona, cuyas copias son de
los siglos XII y XIII».
Hijos:
García II Sánchez "el Temblón", Rey de Pamplona, casado con Jimena Fernández.
Ramiro de Navarra (m. 992).
-4842-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Gonzalo de Navarra. Algunos documentos lo presentan como conde de Aragón.
Bajo la dependencia de su padre gobernaba el condado de Aragón en unión de su
madre la reina Urraca.
Abda (Urraca) de Navarra "La Vascona", entregada a Almanzo antes de ingresar en
un convento. El Larousse cita a Urraca Teresa de Navarra, casada con Ramiro II de
León y madre de Sancho I "El Craso" Rey de León.
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: J-L. Dega

94.970.259:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família 3: J-L. Dega

94.970.272:
Raimond Borrell (Rotlle genealògic du monastère de Poblet, XVe siècle)

Ramon Borrell (? 972 - Barcelona, 1017), Comte de Barcelona, Girona i Osona (992-
1017). Fill gran del comte Borrell II de Barcelona i de la seva primera muller
Letgarda de Tolosa. Associat al poder pel seu pare el 988, va governar sol a partir
de la mort d'aquest, el 992. El 993 es casà amb Ermessenda de Carcassona, filla de
Roger I, comte de Carcassona. Van tenir un fill: Berenguer Ramon I (v. 1006).
Ermessenda participà amb ell en el govern dels comtats, en la presidència de les
assemblees i tribunals i en les campanyes militars a Al-Àndalus. Durant els anys
1000-1002, va ser objecte de diverses ràtzies del cabdill musulmà Almansor. El
1003 va dirigir una expedició a Lleida que va ser contestada amb una nova ràtzia
del fill d'Almansor, Abd al-Malik. L'any 1010, aprofitant que el Califat de Còrdova
havia entrat en un procés de guerra civil, la fitna, va organitzar una expedició a
Còrdova juntament amb Ermengol I d'Urgell, Bernat de Besalú i Wahid, un cabdill
musulmà partidari de l'omeia Muhammad II. L'expedició va derrotar Sulayman al-
Mustain a la batalla d'Aqbat al-Bakr prop de Còrdova i Muhammad II va recuperar
Còrdova, però fou asassinat pels homes de Wadih, que va reposar a a Hixem II.
Aquesta campanya va posar fi definitivament, al domini musulmà sobre Catalunya.
A més, amb la seva relació directa amb el Papa Silvestre II, va reforçar la seva
indepèndencia respecte el rei de França. Els anys 1015-1016 va realitzar noves
expedicions a l'Ebre i al Segre. Durant aquestes ràtzies, sobretot en la de l'any
1010, a més de victòries militars es van obtenir importants botins, principal motiu
de la participació dels nobles en la guerra. De cares a l'interior, va estimular la
repoblació de la part oriental de la Segarra, la Conca de Barberà i el Camp de
Tarragona. També va impulsar la construcció de la catedral de Barcelona. Com a
curiositat, direm que Ramon Borrell va ser el primer comte català que encunyà
moneda pròpia. A la seva mort, el 1017, va ser succeït pel seu fill Berenguer
Ramon I. La seva vídua Ermessenda actuarà com a regent fins a la majoria d'edat
de l'infant, el 1023.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P.de Palmas (Wikipédia) 7 x 2017
- família: J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2015

94.970.273:
Ermessenda de Carcassona (vers el 975 - Girona 1058), filla de Roger I de
Carcassona i d'Adelaida de Gavaldà, i muller del comte de Barcelona Ramon
Borrell. Va tenir un paper polític molt important per Catalunya sobretot després de
la mort del seu marit, el 1017. Casada el 993 amb Ramon Borrell, participà amb ell
en el govern dels seus comtats, en la presidència de les assemblees i tribunals i en
les campanyes militars a Al-Àndalus. Un cop vídua, s'encarregà de la tutela del seu
fill Berenguer Ramon I fins la seva majoria d'edat, vers 1021. Lluità llavors contra

-4843-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
el comte d'Empúries i, més tard, contra el seu propi fill per conservar el poder.
Quan aquest morí, el 1035, Ermessenda fou de bell nou tutora, aquesta vegada del
seu nét Ramon Berenguer I, perquè la seva mare, Guisla de Lluçà, havia perdut els
drets sobre el govern comtal arran del casament amb el vescomte de Barcelona,
Udalard II. A partir de 1053 lluità amb Ramon Berenguer, que havia estat
excomunicat a causa del casament amb Almodis de la Marca i que es trobava en
una situació difícil davant Mir Geribert i la noblesa revoltada. Durant les regències
d'Ermessenda, l'aristocràcia va iniciar el procés de feudalització de Catalunya
enfrontant-se als prínceps i a l'Església. Ermessenda fou recolzada per consellers
com Gombau de Besora, el jutge Ponç Bonfill Marc i el seu senescal Amat Elderic
d'Oris. També hi ajudaren els prelats partidaris de la reforma gregoriana com
l'Abat Oliba, bisbe de Vic i abat de Ripoll i Cuixà, o el seu germà Pere Roger de
Carcassona, bisbe de Girona. Ermessenda s'ocupà de l'església i animà les noves
fundacions, com el capítol de la Catedral de Girona, el monestir femení de Sant
Daniel de Girona o el masculí de Sant Feliu de Guíxols; així mateix féu importants
donacions a Roma en el seu testament. El seu poder provenia de l'immens dot que
va rebre de manera usufructuària, que comprenia els comtats de Girona i Osona.
http://ca.wikipedia.org/wiki/Ermessenda_de_Carcassona
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2015

94.970.273c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2015
- família: Renaud de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III.4, J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2015

94.970.274:
Sancho García, el de los Buenos Fueros (965?-1017). Conde de Castilla desde el
año 995. Arrebató el condado a su padre García Fernández, ayudado por el califato
de Córdoba. El origen de su apodo procede de los privilegios que concedió a las
ciudades de la frontera, para facilitar su repoblación.
Muerto Almanzor, Sancho pactó con los musulmanes para poder resolver los
problemas internos e intervenir en los asuntos leoneses durante la minoría de
Alfonso V (1004).
Apoyó a Sulayman al-Mustain, quien a cambio le entregó importantes fortalezas en
el Duero.
Sancho García hizo de Castilla una potencia respetada entre los reinos cristianos, y
consolidó su posición merced a los matrimonios de su hijas con Sancho el Mayor de
Navarra y Berenguer Ramón I de Barcelona.
Le sucedió García Sánchez.
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.970.275:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.970.275b:
García Sánchez último conde-soberano de Castilla (1017 al 1029), sucedió a su
padre Sancho García cuando era tan sólo un niño. La regencia durante la minoría
del Conde la ejercieron diversos magnates castellanos y la abadesa de Covarrubias,
Dª. Urraca, tía del joven conde, bajo el protectorado de Sancho el Mayor.
Alcanzo la mayoría de edad en el año 1028, fue asesinado cuando salía del palacio
real leonés por los hermanos Rodrigo e Íñigo de la familia Vela, a donde había ido a
conocer a su prometida la infanta Sancha, hija de Alfonso V.
Heredó el condado Sancho el Mayor de Navarra por estar casado con Muniadona
de Castilla, hermana del difunto.
De Wikipedia, la enciclopedia libre

-4844-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.970.275d:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.970.280:
Son existence est contestée : Certaines sources les disent marié avec Odobone,
dame et héritière de Hauteville, qui serait la petite fille de Hialt, viking fixé en
Normandie, dont il aurait eu deux fils, l'aîné Raoul de Tancarville, auteur de la
branche des seigneurs de Tancarville, et Tancrède de Hauteville, le cadet, auteur
de la branche des seigneurs de Hauteville. Selon d'autres sources, Tancrède de
Hauteville serait directement le fils du viking Hialt. Source : ( Généalogie des seigneurs de
Tancarville de la première race, premiers titulaires de l'office de "Dispensator" )

Fonts: - persona: F-L. Jacquier ( généalogies normandes )


- casament: F-L. Jacquier www.spens.info
- família: F-L. Jacquier - généalogies normandes

94.970.281:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes
- casament: F-L. Jacquier www.spens.info
- família: F-L. Jacquier - généalogies normandes

94.970.284:
Guaimar III (also Waimar, Gaimar, Guaimaro, or Guaimario and sometimes
numbered Guaimar IV) (c.983 – c.1027) was duke (or prince) of Salerno from
around 994 to his death. His date of death is sometimes given at 1030 or 1031, but
the most reliable sources consistently indicate 1027. Under his reign, Salerno
entered an era of great splendour and Opulenta Salernum was the inscription on
his coins. He made Amalfi, Gaeta, and Sorrento his vassals and annexed much of
Byzantine Apulia and Calabria. He was the second eldest son of Duke John II of
Salerno. The eldest was Guy, who ruled as co-ruler with his father from January
984 to 988. Sometime between January and March 989, John made Guaimar co-
regent. In 994 (also given as 998 or 999), his father died and he became sole ruler.
In 999, a band of Norman pilgrims returning from Jerusalem stopped at the port of
Salerno. While staying there, the city was attacked by Saracen pirates. The
frightened Salernitans did not offer battle, but the warlike Normans did. Soon their
bravery drew out the Salernitans and together they routed the Moslem menace.
Guaimar promptly offered them numerous incentives to stay, but to no avail, the
Normans returned to France, promising to spread the word about the need for
fighting men in the south. As a member of the independent Lombard leadership of
the Mezzogiorno, Guaimar himself supported the Lombard freedom-fighter Melus
of Bari and, after Melus' defeat in 1011, he was paid a visit by the victorious
Byzantine catapan, Basil Mesardonites, in October. Later, he sheltered Melus. He
was nominally a vassal of Holy Roman Emperor Henry II, but after the defeat at
Cannae in 1018, he discreetly transferred his allegiance to the Byzantine Emperor
Basil II. When Henry died in 1024, Guaimar sent an embassy to the new Emperor
Conrad II to plead for the release of his brother-in-law Pandulf IV of Capua, the
Wolf of the Abruzzi. Conrad, in a show of naïveté, complied. The Wolf immediately
put his old capital, Capua, of which he had once been prince, under siege. An
endeavour in which he had the support of Guaimar and his Normans under Ranulf
Drengot and the catepan of Italy, Boiannes. Guaimar made his eldest son by his
first wife, Porpora of Tabellaria (d.c.1010), John III, co-prince in 1015, but, in 1018,
he died. He then made his eldest son by his second wife, Gaitelgrima, the sister of
Pandulf, also named Guaimar, co-prince. It was this son who succeeded him in
1027 at the age of fourteen or sixteen under the regency of Gaitelgrima, who was
-4845-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
basically the pawn of her brother Pandulf. Guaimar III's second son, Guy, was
made gastald of Capua by his uncle and later duke of Sorrento by his elder brother.
His third son, Pandulf, became lord of Capaccio. He had a daughter (probably
about 1026) named Gaitelgrima, who married successively the brothers Drogo and
Humphrey, counts of Apulia.

http://en.wikipedia.org/wiki/Guaimar_III_of_Salerno
http://it.wikipedia.org/wiki/Guaimario_III_di_Salerno

Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05 , Manuel Abranches de Soveral,
E.Polti (d'après le site "Libro d'Oro della Nobiltà Mediterranea") 1 ii 2013
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 1 viii 2015
- família 2: E.Polti (d'après le site "Libro d'Oro della Nobiltà Mediterranea") 1 ii
2013, Joël Chirol (base familiale) 09/08/05

94.970.285:
GAITELGRIMA, daughter of PANDOLF III Prince of Capua and Benevento, Duke of
Salerno & his wife ---. "Guaimarius et Guaimarius…Longobardorum gentis
Principes" confirmed the rights of Salerno church, with the consent of "Gaitelgrime
Principisse…coniugis nostre", by charter dated May 1023, the dating clause stating
that the year was the thirty-fifth of "Domni Guaimarii Principis" and the fifth year
of "Domni Guaimarii eius filio", subscribed by "Gaitelgrimam Guaimarii III uxorem"
and "uxorem Guaimarii IV…Gemmam"[957]. Amatus records that the wife of
Guaimar [III] Prince of Salerno was the sister of Pandolf [IV] Prince of Capua and
that the latter was released after the intervention of Prince Guaimar[958]. The
dating clause of two charters dated Jun 1027 and Jul 1027 refer to the ninth year of
"principatus domni…Guaimari" and the first year of "principatus domne
Gaytelgrime genetrice eius"[959], indicating that Gaitelgrima was appointed co-
ruler or regent because of the minority of her son. "Gaitelgrima" is not named in
the charters from Nov 1027 onwards, presumably indicating that she died before
that date.
[957] Muratori, L. A. (1773) Antiquitates Italicæ Medii ævi, Tome I, p. 322.
[958] Amatus I.34, p. 56.
[959] Codex Diplomaticus Cavensis Tome V, DCCXCI, p. 131, and DCCXCI, p. 132.

Gaitelgrima is a Lombard feminine name. There are several notable Gaitelgrimas in


history. The identities of these four women (as well as some others of the same
name) are often confused because they were all closely related to each other and to
two men: Guaimar III of Salerno and his son, Guaimar IV, whose enumeration is
often altered making Guaimar III, Guaimar IV. The first was Gaitelgrima of Capua,
daughter of Atenulf I of Capua, married Guaimar II of Salerno and was the mother
of Gisulf I of Salerno. The second, also Gaitelgrima of Capua or Gaitelgrima of
Benevento (died after 1027), was the daughter of Pandulf II of Benevento and
sister of Pandulf IV of Capua. She was the second wife of Guaimar III and mother
of Guaimar IV (his successor), Guy (later duke of Sorrento), and Pandulf (later lord
of Capaccio). She was also the mother of the third Gaitelgrima. This third was
Gaitelgrima of Salerno, also known as Altrude, who married successively two
brothers, Drogo of Hauteville and Humphrey of Hauteville, who were counts of
Apulia. Through the latter, she was mother to Abelard and Herman. The fourth,
also named after Gaitelgrima of Benevento, was also a Gaitelgrima of Salerno. She
was the daughter of Guaimar IV of Salerno (see above) and Gemma. She was
married off by her brother Gisulf II of Salerno to Jordan I of Capua as was her
sister, Sichelgaita, to Robert Guiscard. The last was Gaitelgrima, Duchess of
Apulia, the second wife of William II, Duke of Apulia. She was the daughter of
Jordan II of Capua. She deeply loved her husband and cut off her hair to cover his
coffin at his funeral. http://en.wikipedia.org/wiki/Gaitelgrima
-4846-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 1
viii 2015
- família: E.Polti (d'après le site "Libro d'Oro della Nobiltà Mediterranea") 1 ii 2013,
Joël Chirol (base familiale) 09/08/05

94.970.285b:
Fonts:
- persona: E.Polti (Wikipedia) 1 ii 2013

94.970.285c:
PALDOLF di Salerno, son of GUAIMAR III Prince of Salerno & his second wife
Gaitelgrima of Capua ([1014 or after]-murdered 3 Jun 1052). A charter of Guaimar
III Prince of Salerno dated Feb 1032 names "Guidoni et Paldulfi germani
eiusdem…potestatis"[1090]. A charter dated Aug 1043 names "domni Paldolfi
germani…domni Guaimari…princeps et dux"[1091]. Lord of Capaccio 1040[1092].
A charter dated Jun 1047 records the presence of "domni…Guaimarii…principis et
ducis [et] domnus Guido dux et Paldulfus germani eius…filii…domni Guaimarii
principis" at a donation, with "Atenolfum comitem filium quondam Landolfi comitis,
et…Iohannem comitem filium quondam Alfani comitis" named as guarantors[1093].
Amatus records that "Pandolf" was killed at the same time as Prince Guaimar
IV[1094].
m ([1040/45]) THEODORA, daughter of GREGORIUS [II] Conte di Tusculo & his
wife --- (-after Jul 1068). A charter dated Oct 1052 records a donation "pro parte
domne Theodore…uxor fuit domni Paldulfi…filium bone memorie domni
Guaimarii…princeps et pro parte de filiis eorum"[1095]. A charter dated Mar 1053
records a donation by "Guiselmari vicecomite filius quondam Martini" with the
consent of "domne Theodore filie Gregorii et de domne Guaimarii, et Gregorii et
Iohanni germani filii sui", which names "domnus Paldulfus…genitor supradicti
domni…seniori"[1096]. A charter dated Feb 1054 names "Theodora…filia domni
Gregorii Romanorum ducis et consulis et fuerat uxor Paldulfi filii…domni Guaimarii
principis" when recording a donation[1097]. A charter dated Aug 1056 names
"domne Theodore filie domne Gregorii consulis et ducis Romanorum, que fuerat
uxor Paldulfi…filius…domni Guaimarii principis…et Guaimarii et Gregorii et
Iohannis et Guidonis filii ipsius domne Theodore et iamdicti Paldulfi"[1098].
Theodora is also named in charters dated Dec 1058 and Jul 1059[1099]. A charter
dated Jul 1068 records that "Ursus et Petrus germani…fils du défunt Alfan avec
leurs épouses Fresa et Laita" donated property to the church of San Michele
Arcangelo di Venanzana near Capaccio which belonged to "domne Theodore et
domni Guaimarii et Gregorii et Guidoni et Iohannes germani filii quondam domni
Paldulfi et prefate Theodore"[1100]. Pandolf & his wife had four children.
[1090] Codex Diplomaticus Cavensis Tome V, DCCCXLIII, p. 214.
[1091] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VI, MXXV, p. 240.
[1092] Drell (2002), p. 34.
[1093] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VII, MLXXXIII, p. 41.
[1094] Amatus III.28, p. 96, footnote 46 specifying that Pandolf was the prince's
brother. .
[1095] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VII, MCLXXII, p. 189.
[1096] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VII, MCLXXVIII, p. 198.
[1097] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VII, MCXCIV, p. 221.
[1098] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VII, MCCXXXII, p. 300.
[1099] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VIII, MCCLXXXII, p. 90, and MCCXCII,
p. 106.
[1100] Stasser (2008), p. 426, quoting Codex Diplomaticus Cavensis Tome IX, p.
193.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 1 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2016

-4847-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.970.285-1a:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 1 viii 2015

94.970.285-1b:
Fonts: - persona: E.Polti (Wikipedia) 1 ii 2013

94.970.286:
Fonts: - persona: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05, J-P.de Palmas (FMG) 27 iii 2016

94.970.287:
Fonts: - família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05, J-P.de Palmas (FMG) 27 iii
2016

94.974.080:
Seigneur de Mirepoix (09)
Sources: Jean-Michel Gil
Les Mirepoix, étaient cathares, ce qui leur valut des représailles . Pierre de
Vernejoul écrit que la famille de Vernéjoul fut dépossédée vers 1337 de sa
seigneurie "au profit de la branche non "hérétique" des Chateauverdun, comme
l'avait été quelques années plus tôt, Pierre Roger de Mirepoix, au profit des Lévis.
Les Lévis en ont d'ailleurs pris le nom
Mon lointain aïeul, qui porte ne numéro de sosa 503 709 700 par rapport à chacun
de mes enfants . numéro qui a de quoi donner le vertige. En se référant à
généawiki : dès l'an 1000, les ancêtres théoriques de chacun d'entre nous
représentent 100 fois les ancêtres disponibles à l'époque dans le monde entier ..
Dit en d'autres termes nous sommes tous cousins . Blason créé par Philippe et
Martine Belliard, en s'inspirant de celui de la ville de Mirepoix. Michel Roquebert,
dans : "L'Epopée Cathare" T4 "Mourir à Montségur 1230-1544", dit que le clan des
Mirepoix, était issu de la maison de "Roger Ier le Vieux", comte de Carcassonne,
mort vers 1012, venue elle-même des maisons de Foix, Comminges, et Couserans
qui serait ainsi mon très lointain parent "Lien" avec la famille Ségui ( M. Belliard).
Sources : Michel Roquebert dans : "l'Epopée cathare", Pierre de Vernejoul dans "La
Maison de Vernéjoul"-cercle généalogique de Languedoc - 4ème trimestre 1999
n°85
Fonts: - persona: LFlichy 15v06 (base chistera), D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv
2013
- família: D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013, LFlichy 15v06 (base chistera)

94.974.081:
Source : Michel Roquebert dans : "l'Epopée cathare", Pierre de Vernejoul dans "La
Maison de Vernéjoul"-cercle généalogique de Languedoc - 4ème trimestre 1999
n°85
Fonts: - persona: D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013
- família: D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013, LFlichy 15v06 (base chistera)

94.974.122:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28ii2011
- família 1, família 2: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006

94.974.123:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 30ix2008

-4848-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.974.123-2a:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006

94.974.123-2b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.974.123-2c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

94.974.336:
ARNAUD [II], son of ARNAUD [I] Vicomte [de Lomagne] & his wife --- (-[1059] or
after). The Historia Abbatiæ Condomensis quotes a charter dated 29 Jul 1011
under which "Ugo…Præsul, secundum lineam carnis eidem Duci propinquis et
affinis" donated property to the convent of Condom, with the consent of "eodem
Duce [provinciam Vasconiam Sanctione…ducatum]…et Arnaldo Vicecomite et cum
coniuge sua eorumque filio Arnaldo, eiusque coniuge Adalias…"[2024]. Vicomte de
Lomagne et d'Auvillars. Arnaud Vicomte de Lomagne et d’Auvillars restored the
château de Nérac to the convent of Condom and confirmed the donation by
"Raymond-Arnaud vicomte de Gascogne" of all his rights "sur le Condomois" as
"heres consanguineus Hugonis quondam domini de Condomiense" and all the
honours to which he could claim "en qualité de vicomte de Gascogne et de
Lomagne", by charter dated "du mercredi veille de la saint Martin sous le règne de
Henri I roi de France" (which Jaurgain calculates must date either to 1053 or
1059)[2025].
m (before 29 Jul 1011) as her second husband, ADELAIS, widow of GERAUD [I]
Comte d'Armagnac, daughter of ---. The Historia Abbatiæ Condomensis quotes a
charter dated 29 Jul 1011 under which "Ugo…Præsul, secundum lineam carnis
eidem Duci propinquis et affinis", with the consent of "eodem Duce [provinciam
Vasconiam Sanctione…ducatum]…et Arnaldo Vicecomite et cum coniuge sua
eorumque filio Arnaldo, eiusque coniuge Adalias…", donated property to the
convent of Condom[2026]. According to Europäische Stammtafeln[2027], she was
Adelais de Poitou, daughter of Guillaume V Duke of Aquitaine [Guillaume III Comte
de Poitou], but this appears impossible chronologically. Her second marriage is
confirmed by the charter of her son who declares himself "Oddo de Lomania frater
Bernardi comitis Armaniacensis" in his donation of property to the monastery of
Saint-Mont dated to [1062][2028].
Arnaud [II] & his wife had [two] children.
[2024] Ex Historia Abbatiæ Condomensis, RHGF XI, p. 395.
[2025] Jaurgain (1898), pp. 253 and 381, citing Art de vérifier les dates, Tome IX,
p. 331, which refers to archives de Nérac, liasse X, cote LL.
[2026] Ex Historia Abbatiæ Condomensis, RHGF XI, p. 395.
[2027] ES III 569.
[2028] Saint-Mont 5, p. 11.
Dernier de sa race à porter le titre de vicomte de Gascogne en 1050.
Il avait épousé Adalaïs de Poitiers sa cousine, veuve de Géraud Ier dit Trenqueléon
d'Armagnac et fille de Guillaume V dit le grand, duc d'Aquitaine, comte de Poitiers
et de Brisce de Gascogne. Sa postérité se continua dans les vicomtes de Lomagne.
Fonts:
- persona: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005), J-P.de Palmas (FMG) 2016
- naixement: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
-4849-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- defunció: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
- família: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

94.974.337:
ADELAIS, widow of GERAUD [I] Comte d'Armagnac, daughter of ---. The Historia
Abbatiæ Condomensis quotes a charter dated 29 Jul 1011 under which
"Ugo…Præsul, secundum lineam carnis eidem Duci propinquis et affinis", with the
consent of "eodem Duce [provinciam Vasconiam Sanctione…ducatum]…et Arnaldo
Vicecomite et cum coniuge sua eorumque filio Arnaldo, eiusque coniuge Adalias…",
donated property to the convent of Condom[2026]. According to Europäische
Stammtafeln[2027], she was Adelais de Poitou, daughter of Guillaume V Duke of
Aquitaine [Guillaume III Comte de Poitou], but this appears impossible
chronologically. Her second marriage is confirmed by the charter of her son who
declares himself "Oddo de Lomania frater Bernardi comitis Armaniacensis" in his
donation of property to the monastery of Saint-Mont dated to [1062][2028].
[2024] Ex Historia Abbatiæ Condomensis, RHGF XI, p. 395.
[2025] Jaurgain (1898), pp. 253 and 381, citing Art de vérifier les dates, Tome IX,
p. 331, which refers to archives de Nérac, liasse X, cote LL.
[2026] Ex Historia Abbatiæ Condomensis, RHGF XI, p. 395.
[2027] ES III 569.
[2028] Saint-Mont 5, p. 11.
Arnaud [II] & his wife had [two] children
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 19 xii 2016
- família 1, família 2: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

94.974.360:
ARNAUD [II] de Comminges . "Adalaiz…cum Arnaldus frater Rodgarii et alius
Arnaldus filius Rodgarii et Ber…" donated property to the abbey of Lagrasse for the
souls of "Rodgarii et Aimilde comitissa et…alio Rodgario" by charter dated [19 Jun
936/10 Sep 954] signed by "Raimundi comitis, Adalaiz comitissa qui hoc
fecit"[814]. m ---. The name of Arnaud's wife is not known. Arnaud & his wife had
three children.
Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P de Palmas (FMG) x2009
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P de Palmas (FMG) x2009 et xi2013

94.974.361:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P de Palmas (FMG) x2009 et xi2013

94.974.361c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG) x2009 et xi2013

94.974.976:
La vicomté de Soule apparut vers 1023 entre celle du Béarn, née vers 820 comme
le royaume de Navarre, et celle du Labourd créée par le roi de Navarre Antso
Handia en 1023. Sanche VI Guillaume, duc et comte de Gascogne investit
Guillaume Fort ( Guillen Azkar en basque) vicomte de Soule. C’était un seigneur
bigourdan déjà vicomte de Lavedan (du temps où la Bigorre était encore
bascophone), Ce seigneur aurait construit le premier château , alors en bois.

Fonts:
- persona: H.de Riberolles(Base Geraude), J-L. Dega (Navelle), J-P de Palmas (Le
château de Mauléon au Moyen-Âge)
- família: A Brabant (base Gil) 21/12/04

-4850-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.974.977:
Fonts:
- família: A Brabant (base Gil) 21/12/04

94.974.988:
CENTULE [IV] de Béarn, son of GASTON [II] Vicomte de Béarn & his wife --- (-
killed in battle [1058]). His parentage is assumed confirmed by the patronymic
attributed to him in primary sources. Vicomte de Béarn. A charter dated 13 Dec
1015 (probably spurious) records that “Centulus Gasto Benearnensis vicecomes”
killed “…Lupi Athonis et fratris sui Guillelmi vicecomitis” [Vizconde de Sola] twelve
days previously[883]. "Sancius…totius Gasconniæ princeps et dux" founded the
monastery of St Hilaire-de-Lassun, later known as St Pé-de-Générès, in the
presence of "…Centullus Gastonis vicecomes Bearnensis…", by charter dated to
[1022][884]. "Centuli Gastoni…" signed the charter dated Nov 1028 under which
"Comes Sancio" confirmed the foundation of the monastery of Saint-Sever by
"pater meus Willelmus Sancio"[885]. An undated charter records the donation by
"Santius…comes" to Bordeaux Saint-Seurin and the confirmation after his death by
his successor "eius nepos…Odo", signed by "Centullus de Bearnt, Arnaldus
Aquensis, Willelmus Lup, Aichelmus Guillelmi, Andro Auriohl"[886]. He adopted
the title vicomte d´Oloron from 1045[887].

m ([1005]) ANGELA d´Oloron, daughter of ANER Loup Vicomte d´Oloron & his
wife --- (-after 1058). An undated charter records that "Centullus Gastonis
vicecomes" refused to make reparations to Duke Sancho for his marriage to
"Angelæ"[888]. According to Jaurgain, she was the daughter of Aner Loup Vicomte
d´Oloron but he cites no primary source on which this is based[889]. As a widow,
she donated the church and village of Aubin to Sainte-Marie de Lescar[890].

Centule [IV] & his wife had three children.

[883] Llorente, J. A. (1807) Noticias Históricas de las tres provincias vascongadas


Álava, Guipúzcoa y Vizcaya (Madrid), Vol. III, 7, p. 49.

[884] Jaurgain (1898), p. 443, quoting Gallia Christiana, Tome I, Instrum. pp. 194-
5.

[885] Jaurgain (1898), p. 401, and Buisson (1876), Tome II, p. 144.

[886] Bordeaux Saint-Seurin, IX, p. 10.

[887] Jaurgain (1898), p. 169.

[888] Jaurgain (1902), p. 538, quoting Marca (Béarn), p. 275.

[889] Jaurgain (1902), p. 538.

[890] Jaurgain (1902), p. 538, quoting Marca (Béarn), p. 382.

Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 26 xii 2013
- defunció: tué dans une bataille
- família: J-L. Dega

-4851-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.974.989:
ANGELA d´Oloron, daughter of ANER Loup Vicomte d´Oloron & his wife --- (-after
1058). An undated charter records that "Centullus Gastonis vicecomes" refused to
make reparations to Duke Sancho for his marriage to "Angelæ"[888]. According to
Jaurgain, she was the daughter of Aner Loup Vicomte d´Oloron but he cites no
primary source on which this is based[889]. As a widow, she donated the church
and village of Aubin to Sainte-Marie de Lescar[890].
[888] Jaurgain (1902), p. 538, quoting Marca (Béarn), p. 275.
[889] Jaurgain (1902), p. 538.
[890] Jaurgain (1902), p. 538, quoting Marca (Béarn), p. 382.
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 26 xii 2013
- família: J-L. Dega

94.974.992:
The vicomté de la Barthe was created in the 10th century in the territory of the
county of Aure, which had itself been separated from the county of Astarac in
[960], and included "la vallée de Neste et la partie de celle de Barousse qui forma
plus tard la baronnie de Bramevaque". It became a vassal of the county of Bigorre
in 1083[1147].
According to Jaurgain, he was the son of Auriol Dat Comte d´Aure but he cites no
primary source on which this is based nor a source which specifies his
patronymic[1148].
[1148] Jaurgain (1902), p. 401.
Château de la Barthe
De cet important site médiéval supposé construit au XIème siècle par Mansion-
Auriol, 3ème vicomte de Labarthe, il ne reste qu’une partie de l’imposant donjon
bâti de galets et quartzite savamment agencés et de pierres taillées, la basse cour
et des murs renversés. Pourtant, face aux Pyrénées, aux vallées de Neste, d' Aure
et à l’Aragon, ce château a eu une importance de premier ordre. Un compte-rendu
d’une inspection de places fortes décrit au XVII me siècle le château de La Barthe
de Neste : « C’est un bâtiment d’une toise et demye d’épaisseur » (env. 2 m) au
milieu du dit carré qui est d’environ vingt toises (40 m), il y a un donjon élevé de «
trente toises (58 m !) de hauteur entouré de mâchicoulis à l’antique sans aulcung
flanc assuré. Le lieu n’est bon que de son assiette. Il est en lieu nécessaire pour
estre conservé comme estant proche de la frontière. » Les vicomtes de Labarthe
l’habitèrent jusqu’en 1330 et propriété de la Maison de La Barthe jusqu’à ce qu’il
passe aux Comtes d’Armagnac au XIVème siècle. En 1475 il devient propriété des
Rois de France jusqu’à Louis XI. Durant les guerres de Religion au XVIème siècle, il
est le refuge de Ligueurs ; Henri IV ordonne alors sa destruction. Le Sénéchal du
Roi à Toulouse fait raser le château à hauteur d’infamie (à hauteur du pont levis). Il
est reconstruit plus tard et devient le repère de 60 bandouliers qui terrorisent la
population. Au XVIIIème siècle, ce qu’il en reste est cédé au Duc d’Antin, puis à son
héritier, le Duc d’Uzès en 1768. Il est acheté par Pierre de Lassus en 1759 ; la
famille en est encore aujourd’hui propriétaire et porte le titre de baron de
Labarthe.
Château de La Barthe
Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG et iconographie :
château de La Barthe de Neste) 27 viii 2013
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (Wikipédia) 11 v 2016

94.974.993:
Fonts: - família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (Wikipédia) 11 v 2016

94.974.993b:
Garcie II de La Barthe est un archevêque d'Auch de 1025 à 1036, mort en 1036.
Origine
-4852-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Selon les auteurs de l'HGL, Garcie II serait un membre de la famille des vicomtes
de La Barthe1 et chronologiquement un fils de Mansion Auriol, premier vicomte de
la Barthe et cadet de la famille des comtes d'Aure, mais il n'est pas mentionné dans
la généalogie que donne Charles Cawley2.
Carrière
On ne sait que peu de choses de son épiscopat. Il fut élu à la mort d'Odon d’Astarac
et participa au concile régional de Pampelune en 10321.
Notes et références
1.↑ a et b Claude de Vic, Joseph Vaissete et Alexandre Du Mège, HGL, 1846 (lire
en ligne [archive]), p. 61.
2.↑ Les vicomtes de la Barthe : (en) Charles Cawley, « GASCONY » [archive], sur
Medieval Lands, Foundation for Medieval Genealogy, 2006-2014 (consulté le 23
octobre 2015).
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Wikipédia) 11 v 2016

94.978.058:
Alfonso V (994-1028), called the Noble, was King of León from 999 to 1028. He was
the son of Bermudo II by his second wife Elvira García of Castile. The Abbot Oliva
called him "Emperor of Spain". Because of his youth at his father's death, his
mother acted as a regent. She retired in 1007 and became a nun. He began the
work of reorganizing the Christian kingdom of the northwest of the Iberian
Peninsula after a most disastrous period of civil war and Arab inroads. Enough is
known of him to justify the belief that he had some of the qualities of a soldier and
a statesman. His name, and that of his wife Elvira Mendes (sometimes Geloria
Mendes), are associated with the grant of the first franchises of León (1017). He
was killed by an arrow while besieging the town of Viseu in northern Portugal, then
held by the Muslims
Family
His first wife was Elvira Mendes
Alfonso and Elvira had two children: Bermudo III (c. 1015-1037) Sancha of León (c.
1020-1067), married Ferdinand I of León
His second wife was Urraca of Navarre, daughter of García Sánchez II of Pamplona
Alfonso and Urraca had one daughter: Jimena of León, married Fernando
Gundemariz
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Alfonso_V_of_Le%C3%B3n
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, Francisco José Aguilar-de
Beauvilliers Urbina
- casament 2: G Marsan (site François Jaunais - fév 2005)

94.978.059:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.978.059b:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: J-L. Dega

94.978.060:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.978.061:
Fonts: - persona: Luís Soveral Varella (A.S.LAra, etc «Ascendências Reais de S.A.R.
a Senhora Dona Isabel de Herédia»)

94.978.061a:
1065 Rodrigo Moñiz, hijo del conde Munio Rodríguez, permutó a la condesa
Aldonza la villa de Villa Cagin por otras vilas en Figueras y en Adralés. Biblioteca
-4853-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Montserrat. Registro de Corias, f77r Corias, p.171
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: Luís Soveral Varella (V. Diego Carro « La Noble Familia de Guzmán»)

94.978.062:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.978.064:
ADALELME . A charter dated 987 at Avignon names "Eldebertus judex et
Adalelmus frater eius…Aldebertus et eius uxor Teucennis, Adalelmus et eius uxor
Belillis"[595].

m BELIELDE, daughter of --- (-after 1036). A charter dated 987 at Avignon names
"Eldebertus judex et Adalelmus frater eius…Aldebertus et eius uxor Teucennis,
Adalelmus et eius uxor Belillis"[596]. "Belielda…Carbonello filio suo" donated
property "in pago Forojuliensi…in castro Canneto" to Lérins by charter dated 10
Jun [1025/32][597]. "Belliildis…cum filiis meis Carbonello, Berengario atque
Amico" donated property "in comitatu Arelatense in loco…Gimellus" to Saint-Victor
Marseille, for the soul of "Heldeberti episcopi", by charter dated 1036[598].
Adalelme & his wife had three children.

[595] Manteyer (1908), p. 338, quoting Cartulaire de Saint-André, fos. 22 and 43.

[596] Manteyer (1908), p. 338, quoting Cartulaire de Saint-André, fos. 22 and 43.

[597] Lérins, XLIX, p. 47.

[598] Marseille Saint-Victor Tome I, 180, p. 210.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014

94.978.065:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014

94.978.065a:
CARBONEL (-after 1036). "Belielda…Carbonello filio suo" donated property "in
pago Forojuliensi…in castro Canneto" to Lérins by charter dated 10 Jun
[1025/32][758]. "…Carbonellus, Amicus frater suus…" subscribed a charter dated
1031 under which "Goncelenus" donated property to Saint-Victor Marseille[759].
"Belliildis…cum filiis meis Carbonello, Berengario atque Amico" donated property
"in comitatu Arelatense in loco…Gimellus" to Saint-Victor Marseille, for the soul of
"Heldeberti episcopi", by charter dated 1036[760].

[758] Lérins, XLIX, p. 47.

[759] Marseille Saint-Victor, Tome I, 620, p. 616.

[760] Marseille Saint-Victor, Tome I, 180, p. 210.

-4854-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: F.de Bernis (base deret) 4 vii 07, J-P.de Palmas (FMG) 28 x 2016

94.978.066:
MIRON (-[15 Sep 1003/11 May 1004]). "Miro et conjux mea Odila" donated
property to Saint-Pons by charter dated 9 Dec 999 at Lurs[843]. "…Domni
Mironi…" is named in a charter at Nice dated 22 Aug 1002[844]. A charter dated
15 Sep 1003 names "…Mironi vel uxore sua Odila…"[845].

m as her first husband, ODILE, daughter of ---. "Miro et conjux mea Odila" donated
property to Saint-Pons by charter dated 9 Dec 999 at Lurs[846]. A charter dated 15
Sep 1003 names "…Mironi vel uxore sua Odila…"[847]. She married secondly
(before 30 Dec 1010) Laugier. "Loger et Hodila et Pontius…episcopus et Mironi"
donated property to the church at Nice, for the soul of "domni Mironi qui fuit
quondam", by charter dated 30 Nov 1011[848]. “Odila et filii mei Pontius et
Bermundus et Mironi” donated property “prope civitate Cimela” to Nice Saint-
Pons, for the souls of “Mironi genitori nostro et Lodgerio rectore nostro”, by
undated charter[849]. Miro & his wife had five children.

[843] Manteyer (1908), p. 358, quoting Cartulaire de Saint-Pons, 1.

[844] Cais de Pierlas, E. (1888) Cartulaire de l´ancienne cathédrale de Nice (Turin)


("Nice Cathedral"), 18, p. 23.

[845] Nice Cathedral, 19, p. 25.

[846] Manteyer (1908), p. 358, quoting Cartulaire de Saint-Pons, 1.

[847] Nice Cathedral, 19, p. 25.

[848] Nice Cathedral, 8, p. 9.

[849] Gioffredo, P. (1658) Nicæa Civitas (Aosta), p. 159.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Le fief de CHATEAUNEUF " lès NICE", par Jean-Pierre
Lombard ; FMG)
- família: J-P de Palmas (Le fief de Chateauneuf-les-Nice" )

94.978.080:
Hugues Capet (né vers 940, mort au lieu-dit « Les Juifs », près de Prasville (Eure-et-
Loir) le 24 octobre 996[1]), duc des Francs (960-987), puis roi des Francs (987-996),
fut le premier souverain de la dynastie capétienne. Fils de Hugues le Grand et de
son épouse Hedwige de Saxe, il est l'héritier des puissants Robertiens, la lignée qui
est en compétition pour le pouvoir avec les grandes familles aristocratiques de
Francie aux IXe et Xe siècles.

La fin du Xe siècle connaît le début d'une révolution économique et sociale qui allait
trouver son apogée vers 1100. Les progrès agricoles, le début des défrichements et
l'augmentation des capacités d'échanges entraînée par l'introduction du denier
d'argent par les premiers Carolingiens, entraînent une dynamique économique
encore timide mais réelle. Dans le même temps, la fin des invasions et la continuité

-4855-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
des guerres personnelles entraînent la construction des premiers châteaux privés
où peuvent trouver refuge les paysans. En parallèle, la nouvelle élite guerrière, les
chevaliers, entre en concurrence avec l'ancienne aristocratie foncière
carolingienne. Pour canaliser ces nouveaux venus et pour assurer la protection de
leurs biens, l'aristocratie et l'Église soutiennent et exploitent le mouvement de la
paix de Dieu. C'est dans ce contexte qu'Hugues Capet peut instaurer la dynastie
capétienne.

Il bénéficie tout d'abord de l'œuvre politique de son père qui parvient à contenir les
ambitions de Herbert II de Vermandois, puis à en neutraliser la lignée. Cependant,
cela ne peut se faire qu'en aidant les Carolingiens, pourtant totalement évincés de
la course à la couronne depuis la déchéance de Charles le Simple, à se maintenir.
En 960, Hugues Capet hérite du titre de duc des Francs obtenu par son père en
échange de la concession de la couronne à Louis IV d'Outremer. Mais, avant de
parvenir au pouvoir, il doit se libérer de la tutelle des Ottoniens et éliminer les
derniers Carolingiens. C'est avec le soutien de l'Église, et en particulier de l'évêque
Adalbéron de Reims et de Gerbert d'Aurillac, tous deux proches de la cour
ottonienne, qu'il est enfin élu et sacré roi des Francs en 987.

Le 1er juin 987 l'assemblée des grands, réunie à Noyon, proclamait Hugues Capet
roi. Le dimanche 3 juillet 987 Hugues Capet était sacré à Reims par l'archevêque
Adalbéron. Pour assurer sa succession, il couronna solennellement roi son fils
Robert en l'église cathédrale Sainte-Croix d'Orléans à la fin de décembre de la
même année 987 (MR).

-4856-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Son surnom Capet (surnom attesté à partir du XIè siècle, soit bien après sa mort)
viendrait de l'abbaye de Saint-Martin de Tours dont il était abbé laïc et où l'on
conservait pieusement la chape (manteau) de saint Martin.

Bibliographie

Dominique Barthélemy, Nouvelle histoire des capétiens : 987-1214, Seuil, 2012,


370p., ISBN-13: 978-2020851633

 Présentation de l'éditeur

D’Hugues Capet à Philippe Auguste, les premiers monarques capétiens jetèrent


les bases d’un gouvernement monarchique absolu qui allait durer jusqu’à la
Révolution française. Si, après l’élection d’Hugues Capet, en 987, la dynastie
s’enlise au milieu des châteaux et des guerres de voisinage, au tournant de l’an
1100, les monarques capétiens entreprennent d’exploiter, accélérer ou
simplement accompagner les profonds bouleversements qui agitent la société
féodale pour donner naissance à un mode de gouvernement inédit jusque-là. En
effet, les mutations sociales qui s’amorcent au début du deuxième millénaire
sont riches de potentialités dans tous les domaines : socio-économique,
culturel, religieux.
Dominique Barthélemy choisit donc d’allier dans son propos une étude de cette
société qui se transforme à une exploration du processus monarchique pour
mieux mettre en lumière l’avènement de cette hégémonie inédite qui sera
définitivement en place avec le règne de Philippe Auguste. En s’appuyant sur
les chroniques de l’époque et sur les récentes découvertes de l’anthropologie
sociale, il met au jour le fonctionnement d’un système de canalisation des
conflits et dévoile le caractère structurel et dynamique du système féodal pour
donner un nouveau sens à la fameuse « mutation » de l’an 1100, si décisive
dans l’établissement de la monarchie française et de la transformation de la
France en nation.

Biographie de l'auteur

Ancien élève de Georges Duby, aujourd’hui professeur à l’université de Paris-IV


et directeur d’études à l’École pratique des hautes études, Dominique
Barthélemy a publié une série d’études sur l’an mil et la France capétienne qui
font référence depuis les années 1980, notamment Chevaliers et miracles
(Armand Colin, 2004) et La Chevalerie (Fayard, 2007).

Quelques statistiques sur sa descendance dans roglo :

 230 ascendants et 635 915 descendants enregistrés dans la base roglo au 10-
07-2008, dont 11 398 à la 12e génération.

 332 ascendants et 799 004 descendants enregistrés dans la base roglo au 22-
12-2009, dont 13 586 à la 12e génération.

 369 ascendants et 966 194 descendants enregistrés dans la base roglo au


26.08.2011, dont 14 603 à la 12e génération (descendance sur 39 générations).

 390 ascendants et 1 012 162 descendants enregistrés dans la base roglo au


-4857-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
21.01.2012, dont 15 198 à la 12e génération (descendance sur 39 générations).

 422 ascendants et 1 266 614 descendants enregistrés dans la base roglo au


21.10.2014, dont 16 015 à la 12e génération (descendance sur 40 générations).

 360 ascendants et 1 440 593 descendants enregistrés dans la base roglo au


21.06.2017, dont 16 500 à la 12e génération (descendance sur 40 générations).

Liens externes

 Sa page Wikipédia

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (notes d'après l' Histoire des rois de France et des chefs
d'état de Pascal Arnoux), L.Guion, M.Rérolle (Pays de Loire et Aquitaine, de Robert
le Fort aux premiers capétiens, p. 175) [D-693 116 20090104]
- defunció: M.Rérolle (FMG) 23/03/07
- enterrament: L.Guion

94.978.081:
Fonts: - defunció: 1006 dans l'édition 2000 du Quid (E.Polti)

94.978.081d:
elle préfère le Christ à la vie mondaine. Pour cela elle quitte sa famille et rejoint
saint Wolfgang, évêque de Ratisbonne, qui accepte sa vocation de solitaire et lui
fait construire un ermitage. Elle est vénérée à Strasbourg. Dates de Fête 15
octobre, Fête Locale

94.978.084:
Saint Vladimir Svyatoslavich the Great (c. 958–1015) was the grand prince of Kiev
who converted to Christianity in 988, and proceeded to baptise the whole Kievan
Rus. His name may be spelt in different ways: in Old East Slavic as Volodimir
(Володимир), in modern Ukrainian as Volodymyr (Володимир), in Old Church
Slavonic and modern Russian as Vladimir (Владимир), and in the Norse and
modern Scandinavian languages
Bloody way to the throne
Vladimir was the youngest son of Svyatoslav I by his slave girl Malusha, described
in the Norse sagas as a prophetess who lived to the age of 100 and was brought
from her cave to the palace to predict the future. Hagiographic tradition of dubious
authenticity connects his childhood with the name of his grandmother, Olga
Prekrasa, who was Christian and governed the capital during Svyatoslav's frequent
military campaigns.
Transferring his capital to Pereyaslavets in 969, Sviatoslav designated Vladimir
ruler of Novgorod the Great but gave Kiev to his legitimate son Yaropolk. After
Sviatoslav's death (972), a fratricidal war erupted (976) between Yaropolk and his
younger brother Oleg, ruler of the Drevlians. In 977 Vladimir fled to his kinsmen in
Scandinavia, collecting as many of the Viking warriors as he could to assist him to
recover Novgorod, and on his return the next year marched against Yaropolk.
On his way to Kiev he sent ambassadors to Rogvolod (Norse: Ragnvald), prince of
Polotsk, to sue for the hand of his daughter Rogneda (Norse: Ragnhild). The well-
born princess refused to affiance herself to the son of a bondswoman, but Vladimir
attacked Polotsk, slew Rogvolod, and took Ragnhild by force. Actually, Polotsk was
a key fortress on the way to Kiev, and the capture of Polotsk and Smolensk
facilitated the taking of Kiev (980), where he slew Yaropolk by treachery, and was

-4858-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
proclaimed konung, or kagan, of all Kievan Rus.

Years of pagan rule


In addition to his father's extensive domain, Vladimir continued to expand his
territories. In 981 he conquered the Cherven cities, the modern Halychyna; in 983
he subdued the Yatvyags, whose territories lay between Lithuania and Poland; in
985 he led a fleet along the central rivers of Russia to conquer the Bulgarians of
the Kama, planting numerous fortresses and colonies on his way.
Though Christianity had won many converts since Olga's rule, Vladimir had
remained thorough going pagan, taking eight hundred concubines (besides
numerous wives) and erecting pagan statues and shrines to gods. It is argued that
he attempted to reform Slavic paganism by establishing thunder-god Perun as a
supreme deity. It is probable that he instituted the practice of human sacrifices as
well.

Baptism of Rus
In the year 987, as the result of a consultation with his boyars, Vladimir sent
envoys to study the religions of the various neighboring nations whose
representatives had been urging him to embrace their respective faiths. The result
is amusingly described by the chronicler Nestor. Of the Muslim Bulgarians of the
Volga the envoys reported there is no gladness among them; only sorrow and a
great stench, and that their religion was undesirable due to its taboo against
alcoholic beverages and pork. Russian sources also describe Vladimir consulting
with Jewish envoys (who may or may not have been Khazars), and questioning
them about their religion but ultimately rejecting it, saying that their loss of
Jerusalem was evidence of their having been abandoned by God. Ultimately
Vladimir settled on Christianity. In the churches of the Germans his emissaries saw
no beauty; but at Constantinople, where the full festival ritual of the Orthodox
Church was set in motion to impress them, they found their ideal: "We no longer
knew whether we were in heaven or on earth," they reported, "nor such beauty,
and we know not how to tell of it." If Vladimir was impressed by this account of his
envoys, he was yet more so by political gains of the Byzantine alliance.
In 988, having taken the town of Chersones in Crimea, he negotiated for the hand
of the emperor Basil II's sister, Anna. Never had a Greek princess married a
Barbarian before, as matrimonial offers of French kings and German emperors had
been peremptorily rejected. In short, to marry the 27-year-old princess to a pagan
Slav seemed impossible. Vladimir, however, was baptized at Chersones, taking the
Christian name of Basil out of compliment to his imperial brother-in-law; the
sacrament was followed by his marriage with the Roman princess. Returning to
Kiev in triumph, he destroyed pagan monuments and established many churches,
starting with the splendid Church of the Tithes (989) and monasteries on Mt.
Athos.

Christian reign
He now formed a great council out of his boyars, and set his twelve sons over his
subject principalities. With his neighbors he lived at peace, the incursions of the
savage Pechenegs alone disturbing his tranquillity. After Anna's death, he married
again, most likely to a granddaughter of Otto the Great.
He died at Berestovo, near Kiev, while on his way to chastise the insolence of his
son, Prince Yaroslav of Novgorod. The various parts of his dismembered body were
distributed among his numerous sacred foundations and were venerated as relics.
One of the largest Kievan cathedrals is dedicated to him. The University of Kiev
was named after the man who both civilized and Christianized Kievan Rus. There is
the Order of St. Vladimir in Russia. Eastern Orthodox churches celebrate the feast
day of St. Vladimir on 15 July.
His memory was also kept alive by innumerable folk ballads and legends, which
refer to him as Krasno Solnyshko, that is, the Fair Sun. With him the Varangian
period of Eastern Slavic history ceases and the Christian period begins
http://en.wikipedia.org/wiki/Vladimir_I%2C_Prince_of_Kiev
-4859-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: Ostrogorsky/L.Orlandini , Manuel Abranches de Soveral
- defunció: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13
- família 1: H.R.Moser/EuSt-II, A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek)
- casament 3, casament 4: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten,
Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)
- família 3: D.de Rauglaudre (N.Rosenbalck (Europäisches Stammtafeln),
Ostrogorsky/L.Orlandini
- família 4: H.R.Moser/EuSt-II+Baumgarten
- família 5: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)

94.978.085:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-II, A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek)

94.978.085a:
Auteur de la Maison de Polotsk

Schwennicke dans son fameux "Europäische Stammtafeln" suit une autre


hypothèse. Il en fait le fils d'un Jarl norvégien non identifié.

Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes, J.M. Thiébaud : Dvorianskie Rody Rossiïskoï
Imperii, 1993, tome 1er p.92)
- família: H.R.Moser/EuSt-II, A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten,
Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

94.978.085c:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek)

94.978.085d:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)

94.978.085-2a:
Sviatopolk I Vladimirovich (c. 980 - 1019) was the Kniaz' (Prince)of Turov (988 -
1015) and Velikii Kniaz (the Grand Prince) of Kiev (1015-1019) whose paternity and
guilt in the murder of brothers are disputed.

Sviatopolk's mother was a Greek nun captured by Svyatoslav I in Bulgaria and


married to his lawful heir Yaropolk I. When Yaropolk was murdered by his brother
Vladimir's agents, the new sovereign raped his wife and she soon (some would say,
too soon) gave birth to a child. Thus, Sviatopolk was probably the eldest of
Vladimir's sons, although the issue of his parentage has been questioned.

At the age of eight Vladimir put him in charge of Turov and later arranged his

-4860-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
marriage with the daughter of the Polish king Boleslaus I. The young princess came
to Turov together with Reinbern, the Bishop of Calabria, whose intentions are
believed to have been to split the Russian Orthodox Church and the Greek
Orthodox Church and subdue the former to the Roman Catholic Church.
Dissatisfied with his father and instigated by his own wife and Reinbern, Sviatopolk
began preparations for war against Vladimir, probably counting on support from
his father-in-law. Vladimir soon found out about Sviatopolk's intentions and threw
him, his wife and Reinbern in prison.

http://en.wikipedia.org/wiki/Sviatopolk_I_of_Kiev

Son père est incertain. Certains (dont Dworzaczek) en font le fils de Saint Vladimir,
d'autres (dont Baumgarten) lui donnent pour père le frère ainé de Vladimir,
Iaropolk. A. Guibourgé-Czetwertyński

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek)
- família: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)

94.978.086:
Olof Skötkonung (Old Swedish: Olawær Skotkonongær, Old Icelandic: Óláfr
sænski), also known as Olaf Eiríksson (c. 980-1022) was a Swedish king, son of Eric
the Victorious and, according to Icelandic sources, Sigrid the Haughty. He
succeeded his father in 995

Etymology

One of many explanations to the name Skötkonung is that it is derived from the
Swedish word "skatt", which can mean either "taxes" or "treasure". The latter
meaning has given the interpretation "tributary king" and one English scholar
speculates about a tributary relationship to the Danish king Sweyn Forkbeard, who
was his stepfather.[1] This explanation is however highly speculative as it is not
supported by any evidence or historical sources. Another possible explanation of
the name is that it means "treasure king" and refers to the fact that he was the first
Swedish king to stamp coins.[2] An ancient land ownership ceremony which placed
a parcel of earth in someone's lap (Swedish: sköte) was called scotting and may
have been involved in this epithet.[3]

The Icelandic "Óláfr sænski" means "Olaf the Swedish", an epithet used to
distinguish him from the Norwegian kings Olaf Tryggvasson and Olaf Haraldsson.

Life

Our knowledge of Olof is mostly based on Snorri Sturluson's and Adam of Bremen's
accounts, which have been subject to criticism from source-critical scholars. But
according to Adam of Bremen, Sweyn Forkbeard was forced to defend his Danish
kingdom from attacks by Olof who claimed the Danish throne. The conflict was
resolved by Sweyn's marriage with Olaf's mother and the two kings were thereafter
allies. Also Snorri Sturluson describes Sweyn and Olof as equal allies when they
defeated the Norwegian king Olav Tryggvason in the battle of Svolder 1000, and
thereafter divided Norway between themselves.

-4861-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Viking expedition to Wendland

In a Viking expedition to Wendland, he had captured Edla, the daughter of a


Wendish chieftain, and she gave him the son Emund (who was to become king of
Sweden), and the daughter Astrid -later wife of Olaf II of Norway. He later married
Estrid of the Obotrites, and she bore him the son Anund Jacob and the daughter
Ingegerd Olofsdotter.

Alliance with Sweyn Forkbeard

Olof is said to have preferred royal sports to war and therefore Sweyn Forkbeard
retook Denmark, which Olof's father Eric had conquered.[4] Olof also lost the right
to tribute which his predecessors had preserved in what is now Estonia and Latvia.

In 1000, he allied with Sweyn Forkbeard, who was married to Olof's mother, and
with the Norwegian Jarls Eric and Sven, against the Norwegian King Olaf
Tryggvason. Olaf Tryggvason died in the Battle of Svolder and Olof gained a part of
Trøndelag as well as modern Bohuslän.[5]

[edit] Norwegian-Swedish War

When the Norwegian kingdom was reestablished by Olaf II of Norway, a new war
erupted between Norway and Sweden. Many men in both Sweden and Norway
tried to reconcile the kings. In 1018, Olof's cousin, the earl of Västergötland,
Ragnvald Ulfsson and the Norwegian king's emissaries Björn Stallare and Hjalti
Skeggiason had arrived at the thing of Uppsala in an attempt to sway the Swedish
king to accept peace and as a warrant marry his daughter Ingegerd Olofsdotter to
the king of Norway. The Swedish king was greatly angered and threatened to
banish Ragnvald from his kingdom, but Ragnvald was supported by his foster-
father Thorgny Lawspeaker.

Thorgny delivered a powerful speech in which he reminded the king of the great
Viking expeditions in the East that predecessors such as Erik Anundsson and Björn
had undertaken, without having the hubris not to listen to their men's advice.
Thorgny, himself, had taken part in many successful pillaging expeditions with
Olof's father Eric the Victorious and even Eric had listened to his men. The present
king wanted nothing but Norway, which no Swedish king before him had desired.
This displeased the Swedish people, who were eager to follow the king on new
ventures in the East to win back the kingdoms that paid tribute to his ancestors,
but it was the wish of the people that the king make peace with the king of Norway
and give him his daughter Ingegerd as queen.

Thorgny finished his speech by saying: if you do not desire to do so, we shall
assault you and kill you and not brook anymore of your warmongering and
obstinacy. Our ancestors have done so, who at Mula thing threw five kings in a
well, kings who were too arrogant as you are against us.

However, Olof married his daughter Ingegerd-Irene to Yaroslav I the Wise instead.
An impending war was settled when Olof agreed to share his power with his son
Anund Jacob. Olof was also forced to accept a settlement with Olaf II of Norway at
Kungahälla, who already had been married (unbeknownst to Olof) with Olof's
daughter, Astrid, through the Geatish jarl Ragnvald Ulfsson.

-4862-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Christian King

Olof was baptised in Husaby, probably by the missionary Sigfrid, c.1008, At Husaby
church,there is sign at Husaby Honor his baptism and what is thought to be the
well at the Holy spring where Olaf was baptised. to He was the first Swedish king
to remain Christian until his death. However, according to Adam of Bremen, the
fact that the vast majority of the Swedes were still pagan forced him to limit
Christian activities to the already Christian border province of Västergötland.

When he stamped coins in Sigtuna in the province of Uppland Olof used the word
rex for king. OLUF REX as in the coin displayed above or OLAF REX. The use of
Latin seems to suggest that he was already baptised at this time but on the other
hand the coins were imitating English pennies in type and style. Sigtuna is written
SITUN, ZINT (in the coin above), ZTNETEI, or SIDEI. The two last has been
deciphered as Si(gtuna) Dei meaning God's Sigtuna.[6][7]

Óláfsdrápa sænska

The Icelandic skald Óttarr svarti spent some time at Olof's court and composed the
poem Óláfsdrápa sænska describing Olof's war expeditions in the east. Other
skalds who served Olof were Gunnlaugr ormstunga, Hrafn Önundarson and Gizurr
svarti.

Death

His death is said to have taken place in the winter of 1021-1022. According to a
legend he was martyred at Stockholm after refusing to sacrifice to pagan gods.
He's venerated as a saint in the Catholic Church.

Since the 1740s, it has been claimed that he was buried in Husaby in the Christian
part of his kingdom, but such identifications are controversial.

References 1.^ Sawyer, Peter (1997). The Oxford Illustrated History of the Vikings.
Oxford University Press, 1997. ISBN 0192854348, p.169. 2.^ Myntkabinettet: Olof
Skötkonung 3.^ Lagerqvist & Åberg in Öknamn och tillnamn på nordiska stormän
och kungligheter ISBN 91-87064-21-9 p. 23 4.^ Adam of Bremen (book 2, chapter
30) 5.^ Snorri Sturluson, "Heimskringla" (Olav Tryggvason's saga, chapter 113)
6.^ Thunmark-Nylén, Lena + (1981). Vikingatidens ABC, Statens historiska
museum, 1981. ISBN 91-7192-490-6, p.232. 7.^ Maiander, Harry + (1947).
Sveriges historia genom tiderna. Första delen. Stockholm, 1947. p.159.
http://genealogics.org/getperson.php?personID=I00027060&tree=LEO

Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Olof_Sk%C3%B6tkonung

Fonts:
- persona: L. Gustavsson
- família 1, família 2: L. Gustavsson/ S.o.R.

94.978.087:
Fonts:
- família: L. Gustavsson/ S.o.R.

94.978.087b:

-4863-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: L. Gustavsson

94.978.087-1b:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson

94.978.088:
Arnould de Gand, né à Gand vers 951, tué sur la Meuse le 18 septembre 993, fut
comte en Frise de 988 à 993. Il était fils de Thierry II, comte en Frise, et
d'Hildegarde de Flandre.

Il est né à Gand d'où le surnom qui lui fut attribué (Arnulf Gandensis). Sa première
mention dans un document contemporain date du 26 octobre 970 où il est cité avec
ses parents. Il apparaît tout comme son père et initialement à ses côtés dans de
nombreuses chartes flamandes.

Il épousa en mai 980 Liutgarde (née en 955 à Bruxelles, fille de Sigefroy, comte de
Luxembourg). Luitgarde était la sœur de Cunégonde de Luxembourg, épouse de
l'empereur Henri II le Saint. Arnould et Luitgarde eurent trois enfants :

Adélaïde († vers 1045), mariée à Baudouin II, comte de Boulogne, puis à


Enguerrand Ier, comte de Ponthieu. Thierry III (vers 980 † 1044), Sigefroy (vers
980 † 1030) Arnould fut le premier à lutter contre les Frisons occidentaux en
révolte. Il offrit une partie de ses terres (dont Bergan, aujourd'hui Hillegersberg, et
Schie, aujourd'hui Overschie) au bord de la Schie au monastère d'Egmont. Cette
donation a peut-être un rapport avec les efforts d'assèchement des marais
hollandais par les moines d'Egmont. Il accompagna l'empereur Othon II à Rome en
983 et augmenta ses territoires vers le sud.

Arnould fut tué le 18 septembre 993, probablement à l'embouchure de la Meuse. Il


fut enterré avec d'autres membres de sa famille dans l'abbaye d'Egmont et il fut
plus tard canonisé. Liutgard offrit le territoire de Rugge à l'abbaye Saint-Pierre de
Gand le 20 septembre 993, en guise d'offrande pour le salut de son époux. En
juillet 1005, elle se réconcila avec les Frisons occidentaux en révolte.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Arnould_de_Hollande

Fonts:
- persona: L. Gustavsson , Manuel Abranches de Soveral

94.978.089:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson

94.978.090:
Bernard I (c. 950 - 9 February 1011) was the duke of Saxony (973-1011), the
second of the Billung dynasty, a son of Duke Herman and Oda. He extended his
father's power considerably.

He fought the Danes in 974, 983, and 994 during their invasions. He supported the
succession of Otto III over Henry the Wrangler. In 986, he was made marshal and
in 991 and 995 he joined the young Otto on campaign against the Slavs. He
increased his power vis-à-vis the crown, where his father had been the
-4864-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
representative of the king to the tribe, Bernard was the representative of the tribe
to the king [1]. Bernard died in 1011 and was buried in the Church of Saint
Michael in Lüneburg.

Family

In 990, Bernard married Hildegard (died 1011), daughter of Count Henry I the
Bald of Stade (died 976). They had the following issue: Herman, died young
Bernard II, his successor Thietmar, a count, died in a duel on 1 April 1048 in
Pöhlde Gedesdiu (or Gedesti) (died 30 June c. 1040), abbess of Metelen (from 993)
and Herford (from 1002)

and probably: Matilda, nun Othelindis (died 9 March 1044), married Dirk III of
Holland

Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Bernard_I,_Duke_of_Saxony

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 2 vi 2016
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")

94.978.091:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), Aurejac
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")

94.978.094:
HEINRICH von Schweinfurt ([970/75]-18 Sep 1017, bur Schweinfurt). His
parentage is specified in the Annalista Saxo[1080]. His birth date range is based on
his parents' estimated marriage date. Graf an der unteren Naab 981. Graf an der
unteren Altmühl 983. Markgraf auf dem bayerischen Nordgau 994. Graf im
Radenzgau 1002. He rebelled against Heinrich II King of Germany in 1003 on the
grounds that he had not been granted the duchy of Bavaria as promised and allied
himself with Bohemia and Poland. His rebellion was crushed and King Heinrich set
up the bishopric of Bamberg to provide central control in the area in place of the
margravate of bayerischen Nordgau[1081]. Graf an der Pegnitz 1009 and 1011.
Graf an der oberen Naab 1015. Thietmar records the death 18 Sep 1017 of
"Markgraf Heinrich my aunt's son and the glory of eastern Franconia"[1082].
m (before 1003) GERBERGA [von Hammerstein], daughter of HERIBERT Pfalzgraf
Graf im Kinziggau & his wife Imiza --- ([975/80]-after 1036). Thietmar names
"Ottone germano sui", referring to Gerberga wife of Heinrich von Schweinfurt,
whose captivity is recorded in the preceding paragraph, an earlier paragraph
referring to "Heriberti comitis filio Ottone" which appears to refer to the same
Otto[1083]. An alternative possibility is that Gerberga was the daughter of Otto
Graf von Grabfeld, the solution chosen by Europäische Stammtafeln[1084], but this
assumes that the two references to "Otto" in Thietmar were to different individuals.
It is also less likely chronologically as it would appear that Otto Graf von Grabfeld
was several decades older than Otto Graf von Hammerstein. Her birth date range
is estimated on the basis of her daughter Eilika having given birth to her first child
in [1020]. Thietmar states that Gerberga and her children were guarded by her
husband's brother Bukko during their rebellion against Heinrich II King of
Germany in 1003[1085].

-4865-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Markgraf Heinrich & his wife had [five] children.

[1080] Annalista Saxo 977 and 1015.

[1081] Schmeidler 'Franconia's place in medieval Germany' (1967), Vol. II, pp. 85-
6.

[1082] Thietmar 7.63, p. 352.

[1083] Thietmar 5.35 and 5.24 respectively.

[1084] ES III 54.

[1085] Thietmar 5.34, p. 228.

Fonts:
- persona: L.Orlandini, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, J-
M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011, J-P.de Palmas (FMG) 1 vi 2016
- defunció: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13
- família: J-M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011, Euro.St.
L.Orlandini, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, Jean-Marie Thiébaud
(Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009

94.978.095:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011, L. Gustavsson,
L.Orlandini, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, Jean-Marie Thiébaud
(Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009
- família: J-M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011, Euro.St.
L.Orlandini, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, Jean-Marie Thiébaud
(Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009

94.978.096:
Umberto I Biancamano di Savoia, detto altrimenti dalle Bianche Mani (in francese
Humbert aux Blanches Mains) (970 ~ 980 – 1 o 19 luglio 1047 o 1048), fu conte di
Savoia fra almeno il 1003 e il 1047. È considerato il capostipite della dinastia dei
Savoia. Una delle più antiche cronache riguardanti i Savoia è dovuta a Giovanni
d'Orville soprannominato Cabaret. Questi, per incarico di Amedeo VIII che, come
altri regnanti dell'epoca, si sforzava di recuperare antenati illustri, lavorò tra il
1400 e il 1420 circa ed è a lui che si deve l’ipotesi più suggestiva e romantica
sull'origine di Umberto I Biancamano. Secondo la leggenda, Umberto Biancamano
sarebbe il figlio di Beroldo, discendente del sassone Vitichindo, secondo altre fonti
sarebbe discendente di Ugo Capeto, o di Bosone di Provenza, o proveniente dal
ramo dei duchi di Borgogna o da quello dei duchi di Ginevra. Stando all’Orville, il
Biancamano era figlio di un certo nobile Bertoldo, nipote di Ottone II di Sassonia,
quindi di origine germanica, e di Caterina di Schiren o di Baviera. Secondo
un'antica tradizione questo Bertoldo aveva dovuto lasciare la corte di Sassonia in
quanto, avendo sorpreso l’imperatrice insieme con il suo amante, li aveva uccisi
entrambi per vendicare l’onore oltraggiato dello zio imperatore. Questo
personaggio, nella fantasia popolare, incarnò il cavaliere errabondo, senza macchia
e senza paura, raddrizzatore di torti, protettore degli umili e nemico degli
usurpatori. Sempre secondo la tradizione, lo ritroveremo in prima linea nelle
guerre spagnole contro i Mori e più tardi reggente del trono borgognone. Al figlio
Umberto I, e ai suoi successori, toccò dunque il compito di fondare un dominio che

-4866-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
si sarebbe a poco a poco esteso notevolmente.

on si hanno che poche e frammentarie notizie su Umberto; non sono noti né gli
antenati, né la data di nascita, collocabile probabilmente intorno all'anno 980.

Probabilmente la fonte più veritiera è quella che dice che discenda da una famiglia
di conti romani o romanizzati che provenivano dalla Borgogna. Egli è considerato il
capostipite della dinastia sabauda perché si tratta del primo personaggio storico
della casata definito conte, in un documento del 1003 del vescovo Oddone di
Belley.

Il suo nome compare per la prima volta in una carta del 26 gennaio dell'anno 1000
e successivamente in altri documenti del 1003 (compreso quello di Oddone di
Belley che lo definisce conte), del 1017, del 1024, del 1036, ma non è sicuro che si
riferiscano a lui, in quanto il nome Umberto era abbastanza comune a quel tempo
in casa Savoia. Probabilmente nel 1003 governava per conto del re di Borgogna
Rodolfo III 22 castelli nel Viennese (zona della città di Vienne) costituenti la contea
di Sermorens (Francia).

Con la morte di Rodolfo III, avvenuta nel 1032, Umberto I si schierò contro il
pretendente al trono Eude o Oddone, conte di Champagne; accompagnò la vedova
di Rodolfo III, Ermengarda, presso Corrado II il Salico per essere riconosciuto re di
Borgogna, e nel 1034 comandò le truppe inviate a Corrado dal marchese Bonifacio
di Toscana e dall'arcivescovo Ariberto di Milano, contribuendo alla disfatta
definitiva di Oddone, e ottenendo altre terre dall'imperatore.

Corrado II per l'aiuto ricevuto, infatti, ricompensó il Biancamano con una serie di
diritti sulla Moriana e sul Chiablese. Per effetto di tali concessioni Umberto
Biancamano poté esercitare da quel momento un pieno controllo sui valichi alpini
che nel Medioevo collegavano il nord con il sud dell’Europa, in particolare i passi
del Moncenisio e del Piccolo.

Mercanti e pellegrini che volevano valicare le Alpi per entrare nella pianura
padana potevano farlo solo con il consenso dei Savoia. Controllare quei valichi
significava controllare i traffici e si potevano accumulare ricchezze imponendo
pedaggi per il transito, gestendo locande e offrendo servizi ai viaggiatori. Ciò
comportò enormi vantaggi a favore di un territorio privo di frutti e di risorse
economiche. Ma la possibilità di bloccare quei valichi con sbarramenti militari, e
quindi favorire il passaggio solo a eserciti disposti a concedere favori e possessi
feudali, costituì la vera forza dei Savoia che seppero fondare un originale «stato di
passo» e giocare con spregiudicatezza tutte le opportunità diplomatiche che questo
possesso garantiva. Si installò al castello di Charbonnières costruito verso la metà
del IX secolo e che dominava la città di Aiguebelle che dunque fu la prima capitale
della contea. Morì, secondo l'obituario di Talloires, il 1º luglio 1048. Secondo altri
morì a Hermillon il 19 luglio 1047. Fu sepolto nel vestibolo della cattedrale di San
Giovanni di Moriana (oggi Saint-Jean-de-Maurienne), nella valle dell'Arc, dove
sorge il suo monumento. Degli interrogativi sussistono sulla identità della sua
sposa, che potrebbe essere: Ancilia d'Aosta (o Ancilia, Ancilla, Auxilia), figlia del
rettore laico dell'abbazia di Saint-Maurice d'Agaune, che sembra la più probabile;

Ancilia di Lenzbourg (o Ancillia di Lensbourg), (974-?), figlia di Arnold Von


Schannis, maggiordomo della casata di Borgogna; Ancilia di Nyon, figlia di
Anselmo di Nyon. Gli vengono attribuiti 5 figli:
Amedeo I, soprannominato la Coda, marchese della Moriana, che gli successe al
trono;

-4867-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Aimone, vescovo di Sion dal 1034 al 1054;
Burcardo, che divenne arcivescovo di Lione
Oddone che successe al fratello Amedeo I morto senza eredi
Adelaide di Savoia-Albon (v. 1025), sposa di Ghigo d'Albon, detto il Vecchio (1000 -
1070), conte di Albon e di Grésivaudan.
Grazie al matrimonio di suo figlio Oddone con Adelaide, figlia di Olderico Manfredi,
erede al trono del marchesato di Torino e della gastaldia di Susa, vide i suoi
territori estendersi notevolmente. Il suo soprannome Biancamano non viene da
documenti prossimi al periodo della sua vita, ma è menzionato per la prima
nell'obituario d'Altacomba nel 1342. Ancor oggi si discute sull'origine di quel
Biancamano (o dalle Bianche Mani), che sembra accordarsi così poco con le virtù
guerriere di cui dovette dar prova quest’uomo, fondatore di una dinastia millenaria.
Abbastanza suggestiva è l'ipotesi formulata da alcuni storici, secondo i quali quel
nome un po' assurdo gli fu attribuito per la banale svista di un amanuense che
stava redigendo un documento: il distratto scrivano, invece di scrivere
correttamente blancis moenibus (dalle bianche fortezze, riferimento alle montagne
innevate), vergò erroneamente blancis manibus (dalle bianche mani). E così il
conte passò alla storia con quell’attributo che probabilmente non gli competeva e
che quasi certamente non avrebbe gradito.
http://it.wikipedia.org/wiki/Umberto_I_Biancamano

Humbert I (Humbert-aux-Blanches-Mains or Hubert de Maurienne in French,


Umberto I Biancamano di Moriana in Italian and in official documents), (980 - 1047
or 1048 at Hermillon) became the first count of the House of Savoy, which ruled
Savoy throughout its independent existence and furnished the monarchs of Italy
after the unification. Surnamed Blanches-Mains or Biancamano (literally meaning
white-handed - in the original sense this should have meant a very generous man),
Humbert came of noble stock from either Saxony, Italy, Burgundy or Provence.
Most likely, he came from Italy because the chances of a person (at that time)
coming from a German Area living in northeast Italy and southwest France are
very slim. Humbert married Ancilla, Auxilia or Ancilia (Ancilia d'Aoste or Ancilia de
Lenzbourg in French) (Austrian, daughter of the Master of Ceremonies of the
House of Burgundy) and had at least four sons: Amedeo, later Amedeus I of Savoy
Aimone (died 1054 or 1055), bishop of Sion Burcado, or Burcardo (died 1068 or
1069), bishop of Lyon Oddone Some authors believe that he had further sons.
During the campaigns of Rudolph III of Burgundy to make Rome the imperial seat,
Humbert supported the Emperor (of which family he was an adherent by marriage)
with provisions and soldiers. Thus Emperor Henry II installed him in 1003 as the
count of the mountainous region of Aosta and of the northern Viennois as a reward.
Humbert in turn protected the right flank during the advance of the Holy Roman
Empire into Italy. However the county was essentially autonomous after the fall of
the Ottonian Dynasty of the Holy Roman Empire which was unconcerned about a
minor power. In 1032 he received the Maurienne, his native county, from Conrad II
the Salian whom he had helped in his Italian campaigns against archbishop Aribert
of Milan. http://en.wikipedia.org/wiki/Humbert_I_of_Savoy

The House of Savoia or in Italian, "La Casa di Savoia" (or more commonly, though
incorrectly is given a French name, the House of Savoie or Savoy) is a dynasty of
nobles who traditionally had their domain in Savoy, a region that includes current
day Piemonte, other parts of Northern Italy and a smaller region in France. Thus,
the house is neither an Italian or French reigning house, it is a royal house of
Savoy (Savoia in Italian and official documents). Though, the house may be more
Italian then French. Because all of the Rulers of Savoy, and Savoy itself, are Italian
in Official documents. They once had claims on the modern canton of Vaud in
Switzerland, but their access to it was cut by Geneva during the Reformation, after
which it was conquered by Bern. Their Kingdom ended with the 1946 referendum
by which Italians chose the republic as the form of state — see also birth of the
Italian Republic. Under the Constitution of the Italian Republic, male descendants
-4868-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
of the House of Savoy were forbidden from entering Italy. This provision was
removed in 2002. The house descended from Humbert I, Count of Sabaudia (or
"Maurienne") (Italian Umberto I "Biancamano"), (1003–1047 or 1048), and includes
the Counts of Savoy, the Dukes of Savoy, the Kings of Sardinia, and the Kings of
Italy. Piedmont was later joined with Sabaudia, and the name evolved into "Savoy"
(Italian "Savoia"). The Residences of the Royal House of Savoy in Turin and the
neighbourhood are protected as the World Heritage Site.
http://en.wikipedia.org/wiki/House_of_Savoy
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, J-M.Thiebaud (base Puechuzal) 27
iv 2011
- família 1: J-M.Thiebaud (base Puechuzal) 27 iv 2011
- família 2: Nicolas de Meyrignac (base pierfit) 18vii2007

94.978.097:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Puechuzal) 27 iv 2011
- família: J-M.Thiebaud (base Puechuzal) 27 iv 2011

94.978.097c:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- defunció: Emmanuel Arminjon (Marie José, La Maison de Savoie, Albin Michel
Edit.)

94.978.097d:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.978.097f:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/bases Alexis Gaudry et Puechuzal)
01 viii 2009 - 27 iv 2011
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Alexis Gaudry) 01 viii 2009

94.979.328:
Ebles, dit « le Vieux », marié à Béatrice de Normandie, réunit les deux titres de
Turenne et de Comborn pour les attribuer respectivement à ses fils Guillaume et
Archambaud II.

Relativement à la crédibilité des sources


De la sorte, l’enquête peine à accéder à de l’information brute : les notices de
cartulaires ont parfois été retouchées voire perverties dès le Moyen Âge par des
raccourcis ou des interprétations 18, et beaucoup de constructions lignagères
vicomtales datent de l’Ancien régime 19.

 18. On connaît l’adage « menteur comme le Cartulaire d’Uzerche », le


pire, dans ce domaine, étant certainement le cartulaire factice de l’abbaye
de Tulle, édité par accumulation de notices d’origines diverses grâce aux
soins de l’érudit limousin Jean-Baptiste Champeval, d’après de
nombreuses copies modernes, fortement corrompues.

 19. Pour les Turenne, on pense à l’Histoire généalogique de la Maison de


Turenne justifiée par chartes, titres, et histoires anciennes et autres
preuves authentiques, enrichie de plusieurs sceaux et armoiries et divisée
en deux livres, de C. Justel, Paris, 1645, livre 1 (généalogie), livre 2
(preuves) ; pour les Comborn, un manuscrit de 1752, reprenant une
généalogie réalisée au XVIIe siècle, a été édité par J.-B. Champeval, «
Généalogie de la Maison de Comborn en Bas Limousin », Bull. de la Soc.
sc., hist. et archéo. de la Corrèze, Brive, t. XI, 1889, p. 131-150, 325-337,
-4869-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
533-543 et 687-694.

Turenne
Le castrum Torenae est très ancien : Pépin le Bref s’en serait emparé lors de l’une
de ses expéditions en Aquitaine, en 767 44. Le lieu est plus tard le siège d’un pagus
carolingien, et tient une place éminente dans le patrimoine des derniers comtes de
Quercy 45. La Vie de saint Géraud d’Aurillac évoque Godefroi, « comte de Turenne
» (Gotafridus Torennensis comes) au milieu du IXe siècle 46. On a vu que le lien
probable entre cette famille et celle du vicomte Adémar (Tulle) restait l’objet de
conjectures, tout comme la question de l’apparition presque simultanée – entre 898
et le milieu du Xe siècle – d’au moins quatre vicomtes en Bas Limousin, vrai-
semblablement issus de la même souche 47. L’implantation d’un vicomte à Turenne
est signalée vers 941, avec Bernard, époux de Deda, fille du vicomte Adémar dit «
des Echelles » (Tulle), elle-même qualifiée de vicomtesse en 984. À la même date,
leur seul fils connu, Adémar vicomte, est dit défunt et le couple n’a plus que deux
filles, mariées respectivement à Archambaud de Comborn (le Boucher) et à
Ramnulphe d’Aubusson dit « Cabridel ». La détention du château de Turenne est
l’objet d’un âpre conflit entre ces deux personnages, mais c’est le premier qui
semble s’imposer. À partir de 992 en effet, le fils d’Archambaud et de Sulpicie de
Turenne, Ebles dit « le Vieux », est vicomte de Comborn et de Turenne. C’est à la
génération suivante qu’une séparation est opérée entre les deux héritages :
Guillaume, dont le prénom fait référence aux guillelmides, réactive la lignée des
Turenne alors que son frère cadet Archambaud II, assure la continuation des
Comborn. Les descendants de Guillaume, prénommés Boson et sur- tout Raymond,
se succèdent jusqu’au début du XIVe siècle [fig. 3], malgré une grave scission au
sein du lignage et une partition du patrimoine vicomtal entre 1243, mort de
Raymond IV, et 1251, partage de la vicomté imposée par Blanche de Castille. Les
Pons récupèrent dès lors les possessions périgourdines et se disent « seigneur en
partie de la vicomté de Turenne » jusqu’à la fin du Moyen Âge. Par mariage, le titre
passe aux Comminges au début du XIVe siècle et le titre est porté jusqu’au XVIIIe
siècle.

Mentionnons, pour mémoire, l’apparition, au début du XIIe siècle, d’un titre de «


vicomte de Ribérac », attribué à un cadet des Turenne 48.

 44. Chronique d’Adémar de Chabannes, Livre I, chap. 58-59.


 45. Voir les chartes les plus anciennes du Cartulaire de Beaulieu et Fr.
Aubel, Des comtes de Quercy…, 1995, vol. 1, p. 10-16 et 58-70.
 46. Livre I, § 37. Dans Migne, Patrologie latine, t. 133, chap. 37 et 39, col.
664-666. La rédaction de cette Vita n’est cependant pas antérieure aux
années 925.
 47. R. de Lasteyrie, Étude sur les comtes et vicomtes…, p. 60-61.
 48. Voir ci-dessous, les vicomtes de Ribérac.

Source : ( Didier Delhoume et Christian Rémy : "Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval" : Le phénomène
vicomtal (pages 218 à 263), PU du Mirail, Toulouse, 2008 )

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène
vicomtal (pages 218 à 263), in Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval,
Toulouse, 2008) 2008, JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t III-4 p 765
(Comborn)) 24 vii 2012
- família 1: J-P.de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène
vicomtal (pages 218 à 263), in Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval,
Toulouse, 2008) 2008, JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t III-4 p 765
-4870-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(Comborn)) 24 vii 2012
- família 2: J-P.de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène
vicomtal (pages 218 à 263), in Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval,
Toulouse, 2008) 2008, JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t III-4 p 765
(Comborn)) 24 vii 2012

94.979.329:
Fonts:- persona: M.Thompson
- família: J-P.de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène
vicomtal (pages 218 à 263), in Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval,
Toulouse, 2008) 2008, JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t III-4 p 765
(Comborn)) 24 vii 2012

94.979.332:
Fonts: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Marie Cheynier) 28 vii 2009

94.979.333:
Fonts: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Marie Cheynier) 28 vii 2009

94.979.336:
GEOFFROY (-murdered Chartres [1039/40]). His parentage is confirmed by the
charter dated to [1065] under which "Rotrochus comes de Mauritania et mea uxor
Adeliz et filii nostri Rotrochus et ceteri nostri infantes" donated property to Saint-
Vincent du Mans, for the anniversary of "avi mei Fulcuich comitis et avunculi mei
Hugonis et patris mei vicecomitis Gaufridi"[589]. "Hildegardis, vicecomitissa
Castridunensis" donated property "alodum meum de Bello Monte" to "sanctissimo
Petro Carnotensis cœnobii", with the consent of "filio meo Hugone, archiepiscopo
Turonorum", by charter dated to 1020, signed by "Hugo archipræsul., Gausfridi
nepotis eius…Helgaudi filii archiepiscopi…"[590]. Vicomte de Châteaudun 1004.
"…Gaufredi vicecomitis" subscribed the charter dated 1004 under which
"Gislebertus prepositus" recorded a donation[591]. "Gauffridus Castridunensium
vicecomes" founded the abbey of Saint-Denis de Nogent with the consent of
"domine meo Odone Palatino" by charter dated [20 Jul 1031/19 Jul 1032],
subscribed by "Hugonis filii domini Gaufridi vicecomitis, Rotroci fratris eius,
Eleusie matris eorum"[592]. "Gauffredus vicecomes Dunensis Castri" made a
donation to Saint-Denis de Nogent by charter dated 1040, witnessed by "Hugo
filius Gauffridi, Rotrocus frater eius"[593]. He was murdered in front of the
cathedral of Chartres.
m HELVISE [Elisabeth], daughter of --- (-after [20 Jul 1031/19 Jul 1032]).
1007/[1029/31]. "Hugonis filii domini Gaufridi vicecomitis, Rotroci fratris eius,
Eleusie matris eorum" subscribed the charter dated [20 Jul 1031/19 Jul 1032]
under which "Gauffridus Castridunensium vicecomes" founded the abbey of Saint-
Denis de Nogent[594]. Geoffroy & his wife had three children.
[589] Charles, R. and Menjot d´Elbenne (eds.) (1886) Cartulaire de l´abbaye de
Saint-Vincent du Mans (Mamer, Le Mans) ("Le Mans Saint-Vincent"), Liber primus,
609, p. 350.
[590] Chartres Saint-Père I, Liber Sextus, Cap. VI, p. 117.
[591] Marmoutier-Dunois III, p. 4.
[592] Souancé, Vicomte de & Métais, C. (eds.) (1899) Saint-Denis de Nogent-le-
Rotrou 1031-1079 Histoire et Cartulaire (Vanne) (“Nogent-le-Rotrou”), V, p. 13.
[593] Nogent-le-Rotrou L, p. 118.
[594] Nogent-le-Rotrou V, p. 13.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011
- naixement: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 1ii2014
- família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 1ii2014

-4871-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.979.337:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction
d'un espace princier"2010) 1ii2014

94.979.337b:
Fonts: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 1ii2014

94.979.337c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction
d'un espace princier"2010) 1ii2014

94.979.338:
Fils aîné, dcd avant son père. Vivant d'environ 1015 à environ 1050.
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Web)
http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm, C.Saint-Félix (thèse de François
Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014
- família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 2ii2014

94.979.339:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction
d'un espace princier"2010) 2ii2014

94.979.339b:
Bibliographie

 Histoire Ecclesiastique. Tome Dixieme., par Fleury


o En 1135 - Le patriarche d'Antioche était alors Raoul, natif de
Domfront aux confins du Maine & de la Normandie : homme
guerre magnifique et libéral & par là fort agréable au peuple & à
la noblesse. Bernard, premier patriarche Latin d'Antioche étant
mort la trente-sixième année de son pontificat, c'est à dire l'an
1135, les archevêques & les évêques dépendants de ce grand
siège s'assemblèrent au palais patriarcal pour procéder à
l'élection : mais le peuple sans leur participation élut
tumultuairement Raoul déjà archevêque de Mamistra, qui est
l'ancienne Mopsueste en Cilicie & il fut intronisé dans la chaire
de saint Pierre. Les prélats qui s'étaient assemblés pour
l'élection, craignant la fureur du peuple dont ils entendaient les
cris, se séparèrent & refusèrent d'obéir à ce patriarche qu'ils
n'avaient point élu ; mais il ne laissa pas de se mettre en
possession de l'église & du palais patriarcal

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction


d'un espace princier"2010) 2ii2014, J-P.de Palmas (Bibliographie) 15 i 2016

94.979.340:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Edouard de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282),
JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque Guy de Soissons
pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 12 x 2012
- defunció: Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque Guy de Soissons pp. 15/22
t. CXI SACSAM 1996
- família 2: JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu Origine archevêque Guy de
Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996 ) 12 x 2012
-4872-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.979.341:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (JN Mathieu : Origine archevêque Guy de
Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 12 x 2012

94.979.341-2a:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque
Guy de Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 11 x 2012

94.979.341-2c:
Pour l'attribution d'un patronyme "définitif" je suggère que l'on garde celui d'Arcis
car je considère que le "Manassès Calva Assina" se traduit par Manassès le Chauve
d'Arcis. Pour son fils la "chose" est peut-être différente, il est bien né d'Arcis mais
mort sous une autre appellation. jblg 14/10/2012
JB de La Grandière 12/10/2012 : ATTENTION ! il y avait de quoi créer une grosse
confusion car il a existé deux Manassès Calva, celui-ci et son oncle Manassès
d'Omont ! ( ce troisième chauve -un doublon- Manassès d'Omont va disparaître
avec sa progéniture, lors du prochain nettoyage de la base).
jblg 12/10/2012 : Lasseline d'Harcourt était indiquée comme sa mère, je l'ai
détachée.
La note ci-dessous confirme d'anciennes incertitudes
MANASSES (-after 4 Feb 1031). Robert II King of France confirmed the donation of
"Manasses comes" to Chartres Notre-Dame by charter dated 4 Feb 1031, signed by
"…Manasses comitis, Hilduini comitis fratris eius, filiorum eius Manassis et
Hilduini, Burcardo de Montemorenciaco, Evrardi filii Hilduini de Britoglio, Amalrici
de Monteforti, Milonis de Caprosa…"[1537]. same person as? MANASSES “Calva-
asina” ). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names "comes Suessionis et
comes de Dommartin et comes de Ronaco et Manasses cui agnomen Calva-asina"
as brothers of "Helduino comiti de Ramerut", specifying that Manassès married (as
her second husband) "prefatus comes Helduinus predicti Ebali uxorem dictam
Beatricem, sororum videlicet suam"[1538]. Some creative interpretation of this
passage is necessary to make sense of it, including the hypotheses that the wife of
Hilduin [III] married the comte de Soissons As her second husband (see above),
and that the comte de Dammartin was related more remotely (as discussed more
fully in the document PARIS REGION NOBILITY). If these hypotheses are
incorrect, it would be uncertain that Manassès “Calva-asina” was the same person
as the son of Hilduin [III] who is named in the charter dated 4 Feb 1031 which is
quoted above.
m ([1021]) as her second husband, BEATRIX de Hainaut, widow of EBLES [I]
Comte de Roucy, daughter of REGINAR IV Comte de Hainaut & his wife Hedwige
de France. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names "Beatricem" daughter of
"Hadevidem…comitissam Hainonensium", specifying that she married "Ebalus de
Roceio, cuius frater fuit Lebaldus de Malla et soror Iveta comitissa de Roitest" and
later "Manasses cui agnomen Calva-asina"[1539]. Manassès & his wife had three
children.
[1537] Chartres Notre-Dame, Tome I, XIII, p. 87.
[1538] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 10 and 11, MGH SS XIII, p. 254.
[1539] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 3 and 11, MGH SS XIII, pp. 252 and
254
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 1 x 2012, JB.de La Grandiere ( Origine
archevêque Guy de Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 12 x 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 1 x 2012

94.979.342:
En 1023, l'archevêque Ebles acquit définitivement le comté de Reims, qui fut érigé
en duché-pairie entre 1060 et 1170. Ebles Ier, mort en 1033, fut comte de Roucy
de 1000 à 1033 et archevêque de Reims de 1021 à 1033. La seule certitude
concernant sa famille est un document[1] qui le dit frère de :

-4873-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 Eudes (Odo) de Roucy, dit le Fort († 27 août, après 1021)[2], seigneur de
Rumigny.
 Liétaud de Marle, ou Létard, Létald[3].
 Judith qui épousa Manassès II de Rethel, comte de Rethel

Il est traditionnellement considéré comme fils du comte Gislebert de Roucy, son


prédécesseur, et de la fille d'un duc d'Aquitaine[4]. Cependant aucun document
contemporain ne mentionne une épouse ou des enfants pour Gislebert et d'autre
part ce lien n'explique pas tout :

 le prénom de Lietaud renvoie aux comtes de Mâcon,


 celui d'Eudes renvoie aux Robertiens, aux Herbertiens où à la maison de
Blois[5].
 les terres de Rumigny et de Coucy appartenaient auparavant à la maison
de Blois.

Ce sont ces différents points qui ont incité Jean-Noël Mathieu à proposer une
nouvelle construction généalogique pour l'ascendance d'Eble de Roucy S1 et S2:

-4874-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Sources

 S1 : Jean-Noël Mathieu, « La Succession au comté de Roucy aux environs


de l'an mil », dans Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval,

-4875-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Oxford, Prosopographica et genealogica, 2000, 310 p. (ISBN 1-900934-01-
9), p. 75-84
 S2 : Foundation for Medieval Genealogy : Comtes de Roucy
o Jean-Noël Mathieu suggests that Giselbert died childless and that
the father of these children was Ebles de Poitou, son of Guillaume
IV "Fier-à-Bras" Duke of Aquitaine [Guillaume II Comte de Poitou]
& his wife Emma de Blois, based partly on onomastics and partly
to explain how the territories of Rumigny-en-Porcéan and Coucy
(under the suzerainty, respectively, of the abbey of Saint-Nicaise
de Reims and the church of Saint-Rémi de Reims, and thereby
closely connected with the family of the Comtes de Blois-
Champagne) came into the family[1536]. J-N. Mathieu also
suggests that the mother of these children was an otherwise
unknown daughter of Ermentrude de Roucy, sister of Comte
Giselbert, by her first husband Aubry [II] Comte de Macon who,
in the ordinary course of events, would have been heiress of
Roucy if Giselbert had died childless. The suggestion appears
consistent from a chronological point of view. However, more
research is needed to establish the original source on which the
affiliation from Giselbert is based. Another possibility is that
Ebles and Eudes were sons of Giselbert, but that Lietaud and
Judith were children born from a second marriage of their
mother.

Références

 1 Genealogiciæ Scriptoris Fusniacensis


 2 L'obituaire de Reims note sa mort sur le "VI kal sep" (27 août), et
l'identifie comme frère de l'évêque Ebles: "Odo fortis frater domini Ebali
archiepiscopi".
 3 On le nomme "Lebaldus de Mal" dans "The Genealogiciæ Scriptoris
Fusniacensis" ou il apparaît avec Iveta sa sœur, comtesse de Rethel
(et…Iveta comitissa de Retest), comme frère et sœur de "Ebalus de Rocei".
Note concernant une certaine Mathilde épouse de Liétaud : "Albericus de
Cociaco…cum Adela uxore sua et matre eius Mathilde" qui fait une
donation à l'abbaye de Nogent-sous-Coucy en 1059.
 4 En effet le prénom d'Ebles n'est porté auparavant qu'au sein de la
famille des ducs d'Aquitaine et des comtes de Poitou. Chronologiquement,
ce duc est Guillaume III.
 5 Il y a bien le mariage entre Guillaume IV de Poitiers et d'Emma de Blois,
mais ce mariage arrive une génération trop tard pour le mariage Roucy-
Aquitaine.

Notice on Foundation for Medieval Genealogy

[EBLES (-11 May 1033). The Genealogiciæ Scriptoris Fusniacensis names


"Lebaldus de Malla et…Iveta comitissa de Retest" as brother and sister of "Ebalus
de Roceio"[1537]. Comte de Roucy 997. The Chronicle of Alberic de Trois-
Fontaines records the succession in 1023 as archbishop of Reims of "Ebalus qui fuit
comes de Roseio"[1538]. Archbishop of Reims 1021. Moranvillé casts doubt on the
co-identity of Ebles Comte de Roucy with Ebles Archbishop of Reims[1539]. He
deems significant that Alberic uses “Roseio” in the passage cited above, whereas in
all other passages in which he refers to the Roucy family he uses “Roceio”. He also
cites two sources which report the appointment of the new archbishop but make no
reference to his reported Roucy origin. Firstly, a letter of Fulbert Bishop of
-4876-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Chartres addressed to Guy Bishop of Soissons dated 1021[1540], and secondly
Hariulf´s Chronicle of Saint-Riquier[1541]. Both these sources refer only briefly to
the archbishop, without any description of his background, so the absence of any
reference in them to his antecedents would not be surprising. As for the difference
in spelling Roseio/Roceio, this could be explained by a simple mistake or
transcription error. In any case, no reference has been found to any “comte de
Roussy/Rousy”, as opposed to Roucy, at that time. It is correct that there are
numerous examples of information in Alberic which is disproved by other primary
sources. However, they are far outnumbered by cases in which his information is
corroborated, and are insufficient to conclude that Alberic´s statements which are
uncorroborated should be dismissed unless there are strong indications that he is
incorrect.] The Annales Mosomagenses record the death in 1033 of “Oebalus
Remorum archiepiscopus”[1542]. The necrology of Reims records the death “V Id
Mai” of “dominus Ebalus archiepiscopus” and his donation of “ecclesiam de
Betignivilla”[1543].

m (divorced before 1021) as her first husband, BEATRIX de Hainaut, daughter of


REGINAR IV Comte de Hainaut & his wife Hedwige de France (after [996]-). The
Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Beatricem" as daughter of "Rainero
comiti de Hainaco" & his wife Hedwige, naming her husband "Ebalus de
Roceio"[1544]. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis gives more details, naming
"Beatricem" daughter of "Hadevidem…comitissam Hainonensium" and specifying
that she married "Ebalus de Roceio, cuius frater fuit Lebaldus de Malla et soror
Iveta comitissa de Roitest" and later "Manasses cui agnomen Calva-asina"[1545].
She married secondly ([1021]) Manassès de Ramerupt "Calva-asina" [Montdidier].
Comte Ebles & his wife had two children

[1537] Genealogiæ Fuscniacenses 3, MGH SS XIII, p. 252.

[1538] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1023, MGH SS XXIII, p. 782.

[1539] Moranvillé, H. ‘Origine de la maison de Roucy’, Bibliothèque de l´Ecole des


Chartes, Vol. 83 (1922), pp. 40-3.

[1540] RHGF, Tome X, LII, p. 400.

[1541] Chronici Centulensis, Liber IV, Caput III, Spicilegium (1723), Tome II, p.
332.

[1542] Annales Mosomagenses, MGH SS III, p. 161.

[1543] Varin (1844) Statuts, Vol. I, p. 80.

[1544] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1031, MGH SS XXIII, p. 783.

[1545] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 3 and 11, MGH SS XIII, pp. 252 and
254.

Bibliographie

 Origine de la maison de Ramerupt-Roucy, par H. Moranvillé, Bibliothèque


de l'école des chartes, année 1925

-4877-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
o Dans une courte notice parue ici il y a quelques années B1 j'ai
cherché à compléter et à rectifier divers renseignements
recueillis jusqu'à ce jour sur les origines de la maison de Roucy et
j'avais arrêté ce travail à Ebles Ier de Roucy que, par une erreur
inexpliquéeB2, on a généralement identifié avec Ebles,
archevêque de ReimsB3 de 1021 à 1033. C'est ainsi que la date de
la mort de l'archevêque a passé partout pour la date de la mort
du comte de Roucy.
Avec Ebles Ier finit la première maison de Roucy, puisque, de son
mariage, tôt rompu pour cause de parenté, il n'eut que deux
filles. Je n'ai pas pu déterminer la date de sa mort ; cependant, il
faut qu'il soit mort jeune, car sa veuve, Béatrice de HainautB4,
remariée par l'un de ses deux gendres, Hilduin de RameruptB5, à
ManassèsB6, frère dudit Hilduin, eut trois enfants de cette
seconde union : 1° Manassès, archevêque de Reims (de 1096 à
1106) et deuxième de ce nom ; 2° Gui de Neufchâtel ; 3° Adèle,
abbesse7.
 B1 - Bibliothèque de l'École des chartes, 1922, t. LXXXIII, p. 10-42.
 B2 - J'ignore sur quels motifs se fonde M. de Roussen de Florival
(Positions des thèses soutenues par les élèves de la promotion de 1907
pour obtenir le diplôme d'archiviste paléographe, p. 177) pour soutenir, lui
aussi, cette opinion. Voir'Ch. Pfister, Études sur le règne de Robert le
Pieux, à la table, au nom Ebal.
 B3 - Le P. Anselme, t. II, p. 772 d, semble écarter cette identification. Cf.
Bibliothèque de l'École des chartes, année 1922, t. LXXXIII, p. 41, note 2.
 B4 - Béatrice était fille de Rainier, comte de Hainaut, et d'Hadwide, fille
d'Hugues Capet. Cf. Bibliothèque de l'École des chartes, t. LXXXIII, p. 38.
 B5 - Ramerupt, Aube, arr. d'Arcis-sur-Aube, chef-lieu de canton.
 B6 - On lui donna le sobriquet de « Calva Asina ».
 B7 - Genealogia regum Francorum tertiae stirpis, D. Bouquet, t. XIV, p. 4.

Liens externes

 wikipedia

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy : Comtes de Roucy) 1
x 2012
- família: J-P de Palmas (Fundation for Medieval Genealogy) 2 x 2010

94.979.343:
Fonts:
- família 1: J-P de Palmas (Fundation for Medieval Genealogy) 2 x 2010
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 1 x 2012

94.979.343-2a:
GUY [de Neufchâtel] (-before 1103). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis
names "Manassem Remensem archiepiscopum et Guidonem de Novo-castello et
Adelidem abbatissam…de Sancto Iohanne" children of "Manasses cui agnomen
Calva-asina" & his wife Beatrix[1544].

[1544] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 11, MGH SS XIII, p. 254.[1544]

-4878-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 11, MGH SS XIII, p. 254.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 1 x 2012

94.979.343-2b:
ATTENTION : il a existé deux archevêques de Reims nommés Manassès.. Celui-ci
qui est bien le fils de Béatrix de Hainaut l'autre étant Manassès de Gournay
(45ème sur wiki) que je viens de relier à ses parents. L'archevêque de cette fiche
est le 47ème noté sur wiki
http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Manass%C3%A8s_II_de_Reims

La Chronique d'Alberic de Trois-Fontaines indiquant Manassès fils de Béatrice de


Hainaut crée plusieurs confusions, notamment entre les deux archevêques.
Je laisse la note qui suit car elle explique le "pourquoi" de ces confusions.
La filiation, les noms et dates qui figurent maintenant correspondent aux données
très fiables de JN Mathieu (pas encore absorbées par FMG) JB de La Grandière
12/10/2012

MANASSES (-1085). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names


"Manassem" as the son of Beatrix by her second marriage, recording in a later
passage his election as archbishop of Reims in 1070 “per annos 16”[1540].
Archbishop of Reims 1070. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names
"Manassem Remensem archiepiscopum et Guidonem de Novo-castello et Adelidem
abbatissam…de Sancto Iohanne" children of "Manasses cui agnomen Calva-asina"
& his wife Beatrix[1541]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records the
death in 1085 of "Manasse" and the election of “Raynaldus” as archbishop of
Reims[1542]. [The necrology of the church of Reims records the death "XIV Kal
Oct" of "domnus ManassesRemensis archiepiscopus" and his donations of “iv
altaria, unum de Monte S. Petri, alterum de Miliaco, tertium de Taxeio, quartum
de Novavilla”[1543]. It is not known whether this entry relates to Archbishop
Manassès [I] or Manassès [II].]
[1540] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1031 and 1070, MGH SS XXIII,
pp. 783 and 796.
[1541] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 11, MGH SS XIII, p. 254.
[1542] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1085, MGH SS XXIII, p. 800.
[1543] Varin (1844) Statuts, Vol. I, p. 92.

J-P de Palmas 14 x 2012 - citant : H. Moranvillé, in Bibliothèque de l'école des


chartes, année 1925, volume 86, qui précise :

Dans ma note sur l'Origine de la maison de Roucy (Bibliothèque de l'École des


chartes, t. LXXXIII, année 1922, p. 42), j'ai, par une étourderie inexcusable,
calomnié Manassès II, archevêque de Reims, en le confondant avec Manassès Ier.
Manassès, deuxième archevêque de Reims de ce prénom, avait été fait chanoine
de Reims tout enfant : il devint prévôt et trésorier sans avoir reçu le diaconat. En
1077, il se démit de la prévôté au concile de Clermont entre les mains du légat
Hugues, évêque de Die (Gallia chrisliana, t. IX, col. 78).

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG et Lectionnaire de l'office de Reims) 2008 et 4 x
2012, JB.de La Grandiere ( JN Mathieu : Origine archevêque Guy de Soissons pp.
15/22 t. CXI SACSAM 1996) 12 x 2012

94.979.343-2c:

-4879-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
ADELA . The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names "Manassem Remensem
archiepiscopum et Guidonem de Novo-castello et Adelidem abbatissam…de Sancto
Iohanne" children of "Manasses cui agnomen Calva-asina" & his wife
Beatrix[1545]. Abbess of Notre-Dame de Laon.
[1545] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 11, MGH SS XIII, p. 254
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 1 x 2012

94.979.344:
En 1059, Bernard déguerpit d’une villa en faveur de Saint-Pierre de Sauve après
avoir pris conseil auprès de sa mère et de ses nobles (HLG t 5 n° 251).
Bernard est confronté à la guerre que se mènent les comtes de Toulouse et de
Barcelone au cours du XIe siècle. Un serment de fidélité de Bernard à Raimond
Trancavel a été rédigé et collationné dans le cartulaire des Trencavel [26] (CT n°
446). Cette alliance contre et envers tous sauf Bérenger Raimond [de Barcelone] et
Guilhem de Montpellier l’entraine dans le camp de Barcelone. Il a épousé Adélaïs
de Mandagout dont il a eu :

 Raymond qui suit.

En 1074, il est témoin de la donation de Pierre Bermond, son frère, et sa femme


Elisabeth de tout ce qu'il a au château de Meyrueys à l'abbaye de St Guillem,
Pierre fils d’Almerade son cousin germain est témoin de l’acte. En 1077, avec sa
femme Adalais, son fils Raymond, il offre … à la même abbaye de St Gellone, en
présence de son consanguineus Pierre fils Almerade.

BERNARD (-after 19 Jul 1077). "Petrus Bermundi filius Austorge…cum uxore mea
Helisabeth" confirmed donations to the abbey of Saint-Guillem du Désert by
"Bernardus avus meus marchio et Bermundus pater meus" to the abbey of Saint-
Guillem du Désert by charter dated 18 Jul 1077, subscribed by "Bernardi fratri
eius…"[1927]. [1928]. "Bernardus […castri Andusanici marchio] filius Bermundi et
Austorge et uxor mea Adalais et filius meus Raymundus" donated property to Saint-
Guillem du Désert by charter dated 19 Jul 1077, signed by "Petri-Bermundi fratris
sui, Petri-Almeradi sui consanguinei"[1929].
m ADELAIS, daughter of ---. "Bernardus […castri Andusanici marchio] filius
Bermundi et Austorge et uxor mea Adalais et filius meus Raymundus" donated
property to Saint-Guillem du Désert by charter dated 19 Jul 1077[1930]. Bernard &
his wife had one child.

[1927] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.III, col. 636.

[1928] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.I, col. 635.

[1929 et 1930] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.IV, col.
637.

Fonts:
- persona: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990), J-P de
Palmas (Les premiers sires d'Anduze et Foundation for Medieval Genealogy)
- família: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990)

94.979.345:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990)
- família: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990)
-4880-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.979.456:
"prince" de Malemort dont on sait que c'est une mauvaise traduction de princeps,
qualité à rapprocher de chevalier banneret.
J-C de Vaugiraud (J-B de La Grandière, forum) 23 ii 2011
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05, JB.de La Grandiere (René de Cosnac
: "La Maison de Malemort en Limousin", Brive 1955, -(compléments et..corrections-)
17 v 2014, J-C de Vaugiraud (J-B de La Grandière, forum) 23 ii 2011
- família 1: J-C de Vaugiraud (J-B de La Grandière, forum) 23 ii 2011
- família 2: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05

94.979.457:
petite-nièce de Géraud d'Aurillac
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (René de Cosnac : "La Maison de Malemort en
Limousin", Brive 1955, -(compléments et..corrections-) 17 v 2014
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05

94.979.458:
Fonts: - persona: Guillaume de Paysac
- família: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006

94.979.459:
Peut être Sénégonde d'Aunay fille de Cadelon VI ? d'après ES III Teilband IV Tafel
773. J-C de Vaugiraud 16/10/2006
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net
- família: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006

94.979.459a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Delhoume et Christian Rémy in "Vicomtes et
vicomtés" d'Hélène Debax) 19x2014

94.979.459b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Delhoume et Christian Rémy in "Vicomtes et
vicomtés" d'Hélène Debax) 19x2014

94.979.488:
ROGER [I] de Laron (-after Sep 1048). "Geraldus de Leron, cujus Rotgerius et
Vivianus fratres" donated "mansum de Castanet in vicaria Auriacensi" to Uzerche
by charter dated [25 Nov 999/24 Nov 1000][188]. "Rotgerius de Leron, uxor
Vierna, Ademarus et Geraldus filii et frater meus Vivianus" donated
"ecclesiam…Sancti Præjecti…et in Exandonensi mansum a Gorbas" to Uzerche, for
the souls of "patris nostri Ademari et matris nostræ Rocilæ", by charter dated 996,
after 23 Oct, witnessed by "Geraldus frater"[189]. "Rotgerius et uxor eius Vierna,
filii Ademarus, Geraldus, Guido, Geraldus" donated property "in parochia Sancti
Pardulphi de Bonaval" to Uzerche by charter dated 1037[190]. "Rotgerius de
Leron, Ademarus, Geraldus, iterum Geraldus et Guido fratres…" witnessed an
undated charter of Uzerche[191]. It is assumed that "Rotgerius" was their father
and not another brother. "Rotgerius de Leron" donated "ecclesiam…a Millevaccas"
to Uzerche by charter dated Sep 1048, witnessed by "Geraldus filius eius clericus,
alii quoque filii eius Guido de Leron et Ademarus de Leron"[192].
m VIERNE, daughter of --- (-after 1037). "Rotgerius de Leron, uxor Vierna,
Ademarus et Geraldus filii et frater meus Vivianus" donated "ecclesiam…Sancti
Præjecti…et in Exandonensi mansum a Gorbas" to Uzerche, for the souls of "patris
nostri Ademari et matris nostræ Rocilæ", by charter dated 996, after 23 Oct,
witnessed by "Geraldus frater"[193]. "Rotgerius et uxor eius Vierna, filii Ademarus,
-4881-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Geraldus, Guido, Geraldus" donated property "in parochia Sancti Pardulphi de
Bonaval" to Uzerche by charter dated 1037[194]. The name of Roger’s wife is not
known. Roger & his wife had four children.
[188] Uzerche, 433, p. 248.
[189] Uzerche, 574, p. 292.
[190] Uzerche, 432, p. 247.
[191] Uzerche, 575, p. 292.
[192] Uzerche, 420, p. 238.
[193] Uzerche, 574, p. 292.
[194] Uzerche, 432, p. 247.
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Ruchaud (Jean-Louis) Gén. limousines et
marchoises t. I pp. 119/176 (Pierre-Buffière) Mayenne 1982) 16 v 2014, J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 vii 2015
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

94.979.489:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Ruchaud (Jean-Louis) Gén. limousines et marchoises
t. I pp. 119/176 (Pierre-Buffière) Mayenne 1982) 16 v 2014
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

94.979.489a:
GUY de Laron (-after Sep 1048). "Rotgerius de Leron, Ademarus, Geraldus, iterum
Geraldus et Guido fratres…" witnessed an undated charter of Uzerche[219].
"Rotgerius et uxor eius Vierna, filii Ademarus, Geraldus, Guido, Geraldus" donated
property "in parochia Sancti Pardulphi de Bonaval" to Uzerche by charter dated
1037[220]. "Rotgerius de Leron" donated "ecclesiam…a Millevaccas" to Uzerche by
charter dated Sep 1048, witnessed by "Geraldus filius eius clericus, alii quoque filii
eius Guido de Leron et Ademarus de Leron"[221]. “Aldeberti comiti, Willelmi comiti
de Clarmont, Aldeberti Iambo, Ademari de Laron et fratri sui Guidoni” witnessed
the charter dated to 5 Aug [1047/50] under which “Petrus et frater meus Boso et
nepos meus Boso” donated part of “silva Corpso” to Limoges Saint-Etienne[222].
Bishop of Limoges . "Guido episcopus Lemovicensis" donated "mansum ad Clop in
parochia Sancti Pardulfi de Bonnavall" to Uzerche, for the soul of "patris sui
Rotgerii de Leront", by charter dated to [1073/86], witnessed by "Jordanus nepos
eius"[223].
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015, J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 vii 2015

94.979.489b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10 i 2015
- família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

94.979.489c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

94.979.490:
GUY [I] "le Noir" de Lastours (-after 1025). Seigneur de Lastours, de Hautefort et
de Terrasson. "Guido vicecomes et Emma uxor mea" granted privileges to the
abbey of Tourtoirac, with the consent of "…Guidone de Turribus…", by charter
dated 1025[182]. m ENGELSIAS de Malemort, daughter of HUGUES de Malemort
& his wife --- (-29 Aug ----, bur Arnac). The Chronicon Gaufredi Vosiensis names
"Engalcias…filia principis Malmortensis castri, quæ S. Geraldi Aureliacensis ex
nepte proneptis…" as the wife of "Guido de Turribus…cognominatus…Niger"

-4882-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
recording that she became "Arnaco Monacha" and died "IV Kal Sep"[183]. "Guido
de Turribus et Ademarus de Leron pater meus et Ingalsias menna mea" donated
property to Uzerche, for the soul of "Guidonis de Turribus avi mei", by charter
dated 1061[184]. "Guido del Lastors et fratres sui Geraldus et Golferius" donated
"ecclesia de Favars", which was the hereditary property of "Engelsias, filia Ugonis
de Malamort, et amita Guidonis qui fuit pater istius Guidonis", by charter dated
May [1073/76][185]. Guy [I] & his wife had one child.
[182] Gallia Christiana Tome II, reproduced at
http://www.guyenne.fr/ArchivesPerigord/Gallia_Christiana/Gallia.htm, no. VIII [20
May 2007].
[183] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis 3 and 6, RHGF XII, p. 422.
[184] Uzerche, 504, p. 276.
[185] Deloche, M. (ed.) (1859) Cartulaire de l'abbaye de Beaulieu en Limousin
(Paris) ("Beaulieu"), XV, p. 35.
Fonts: - persona: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

94.979.491:
Armes: « Fascé d'argent et de gueules de huit pièces. »
Petite-nièce de Saint-Géraud
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jean-Louis Ruchaud GLM IX pp 85-158
Lastours, 1997) 17 v 2014
- naixement: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015
- defunció: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

94.979.492:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Geni.com) 2016, JB.de La Grandiere (Peynot (Abbé
Michel) La Combraille pp. 176/219 (Saint-Julien) Guéret 1931) 13 iii 2017
- família: J-P.de Palmas (Geni.com) 2016

94.979.493:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Geni.com) 2016
- família: J-P.de Palmas (Geni.com) 2016

94.979.496:
RANULFE [III] (-[1060]). "Rainaldus vicecomes d´Albucio et Ramnulfus frater
meus" donated half "bosco de Las Jarozas…prope Millevaccas" to Uzerche by
charter dated 21 Jun [1060][811]. Vicomte d'Aubusson. "Ramnulphus de Albutio
vicecomes" donated "unum mansum…a Lastrada" to Uzerche, for the burial and the
soul of "Rainaldi de Albutio vicecomitis fratris sui", by undated charter, witnessed
by "uxoris eius Ainardis"[812].
m AINARDIS, daughter of ---. "Ramnulphus de Albutio vicecomes" donated "unum
mansum…a Lastrada" to Uzerche, for the burial and the soul of "Rainaldi de
Albutio vicecomitis fratris sui", by undated charter, witnessed by "uxoris eius
Ainardis"[813]. Ranulfe [III] & his wife had [three] children.
[811] Uzerche, 426, p. 245.
[812] Uzerche, 119, p. 149.
[813] Uzerche, 119, p. 149.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014
- família: H.R.Moser/Anselme-V/321

-4883-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.979.497:
Fonts: - família: H.R.Moser/Anselme-V/321

94.979.498:
Fonts: - persona: M.Rérolle (A.Auréjac) 10/11/06
- família: M.Rérolle (A.Auréjac) 10/11/06

94.979.499:
Possible. La filiation avec ses parents reste à vérifier.
Fonts: - persona: M.Rérolle (A.Auréjac ) 10/11/06
- família: M.Rérolle (A.Auréjac) 10/11/06

94.979.506:
AIMERY [II] de Rochechouart (-murdered [1049/50]). "Aimericus Ostifrancs"
donated half the church at "Nioll" to Uzerche, for the souls of "patris mei Geraldi et
matris meæ…Rotildis", by charter dated Mar 1019, signed by "Ava uxoris suæ,
Aimerici filii sui, Geraldi fratris eius…"[809]. "…Ava filiæ, Aimerici filii sui, Geraldi"
signed the charter dated Aug 1019 under which "Guido et uxor mea Emma…et filii
nostri Geraldus, Ademarus, Petrus" donated "ecclesiam…Sancti Bibiano…a Nioli"
to Uzerche[810]. “Aimerici de Roca Coart” witnessed the charter dated 1027 under
which “Tesalga” donated “æcclesiam de Buxolio” to Limoges Saint-Etienne[811].
"Aimericus et frater meus Geraldus et uxor mea Ermesindis" donated half the
church at "Nioll" to Uzerche, for the soul of "patris nostri Aimerici", by charter
dated to [1030/50][812]. "Aimerici de Rupe Choart" subscribed the charter dated
1047 under which "Goffredus comes et uxor mea Agnes" founded Notre-Dame de
Saintes and donated numerous properties[813]. An undated charter records
confirmations made to Uzerche by "Aimiricus de Rocachaart vicecomes" and adds
that, after his donation of "sylvam Despinaciosa", he was killed ("subita gladii
morte") by an unknown enemy (“nescio a quo suo inimico”)[814]. Général de
Rochechouart dates his death to [1049/50], supposedly based on the dating of the
charter dated to [1049/75] which is quoted below[815].

m ERMESENDE, daughter of [FOUCAUD Seigneur de Champagnac & his wife ---].


"Aimericus et frater meus Geraldus et uxor mea Ermesindis" donated half the
church at "Nioll" to Uzerche, for the soul of "patris nostri Aimerici", by charter
dated to [1030/50][816]. Général de Rochechouart states that Aimery [II] married
“Ermesinde, fille et unique et héritière de Foucaud, seigneur de Champagnac” but
he does not cite the primary source on which this statement is based[817].
Presumably this is based on Le Laboureur who names “Ermessindefille de Foucaut
S. de Champagnac” as the wife of Vicomte Aimery [II] without citing any primary
source[818]. The statement may be speculative based on the couple’s second son
Hildegaire being named "Ildegarius de Champania" in a charter of Uzerche dated
to [1085][819]. Until more data emerges, Ermesende’s supposed parentage is
shown here in square brackets. Another possibility is that Ermesende was the
daughter of Adaicius Vicomte de Fronsac, as discussed more fully under Aimery
[II]’s supposed younger brother. Aimery [II] & his wife had [four] children.
[809] Uzerche, 53, p. 98.
[810] Uzerche, 61, p. 110.
[811] Limoges Saint-Etienne, LXXVI, p. 88.
[812] Uzerche, 54, p. 101.
[813] Saintes Notre-Dame, I, p. 1.
[814] Uzerche, 58, p. 105.
[815] Rochechouart (1859), Tome I, p. 65.
[816] Uzerche, 54, p. 101.
[817] Rochechouart (1859), Tome I, p. 64.
[818] Le Laboureur (1731), Vol. III, p. 224.
[819] Uzerche, 59, p. 107.
-4884-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: G.Millet (Histoire de la Maison de Rochechouart, Histoire et
Généalogie de la Maison de Rochechouart - wikipedia, 19.ix.2008), J-P.de Palmas
(FMG) 14 xi 2014

94.979.508:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Patrick Dombrowsky, FMG Comborn ) 5 i
2014

94.979.680:
Guéthenoc (Guezenoc) de Porhoët, le premier ascendant connu des Rohan,
apparaît avec certitude avec l’abbé Gauzbert (du lignage des comtes de Blois) dans
une charte du Mont-Saint Michel du 28 juillet 990, aujourd’hui perdue. C’est déjà
un personnage important qui donne au monastère, en réparation d’une faute grave,
quatre terres relativement étendues situées dans le centre de la Bretagne (région
de Ménéac et de Mohon). L’exégèse de cette charte et d’autres documents
contemporains montre :
• qu’il est certainement de souche bretonne, peut-être descendant d’un riche
alleutier cité plusieurs fois dans le cartulaire de Redon à la fin du 9ème siècle (par
exemple à Caro en 878).
• que sa mère est par contre probablement issue d’un puissant lignage d’origine
germanique, sans doute celui des Rorgonides (comtes de Tours) pour lesquels
l’usage de prénoms tels que Gauzbert, Gauzlin est systématique.
• qu’il a été nommé vicomte de Rennes vers l’an 1000 (on ne parle pas de vicomte
de Porhoët, ce titre n’apparaissant que bien plus tard)
Son épouse Alarun est également bretonne. Il ne semble pas y avoir de source
contemporaine qui puisse donner sa filiation.
Guéthénoc est mort avant 1032, car c’est à cette date que son fils Josselin (alias
Gauzlin) apparaît comme vicomte de Rennes, également dans une charte du Mont
Saint Michel. Il apparaît dans de nombreuses chartes, toujours à une place
éminente.
Sources :
Hubert Guillotel :"De la vicomté de Rennes à la vicomté de Porhoët (fin du Xème –
milieu du XIIème siècle)" in "Mémoires de la Société d’Histoire et d’Archéologie de
Bretagne", Actes du Congrès de Josselin, 12–13-14 septembre 1994
Noël Yves Tonnerre :"Naissance de la Bretagne - Géographie historique et
structures sociales de la Bretagne méridionale de la fin du VIIIe à la fin du XIIe
siècle", 1994
Fonts: - persona: C.Denancé-G.Richard (forum 20.03.08)
- família: B.Yeurc'h, B.Yeurc'h (Le Lien n°4)

94.979.681:
Alarun, épouse de Guéthénoc, est également bretonne. Il ne semble pas y avoir de
source contemporaine qui puisse donner sa filiation.
Sources :
Hubert Guillotel :"De la vicomté de Rennes à la vicomté de Porhoët (fin du Xème –
milieu du XIIème siècle)" in "Mémoires de la Société d’Histoire et d’Archéologie de
Bretagne", Actes du Congrès de Josselin, 12–13-14 septembre 1994
Noël Yves Tonnerre :"Naissance de la Bretagne - Géographie historique et
structures sociales de la Bretagne méridionale de la fin du VIIIe à la fin du XIIe
siècle", 1994
Fonts: - persona: C.Denancé-G.Richard (forum 20.03.08)
- família: B.Yeurc'h, B.Yeurc'h (Le Lien n°4)

94.979.681b:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.979.681c:
-4885-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.979.684:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Chèdeville et Tonnerre "La Bretagne féodale")
2xii2012, J-C de Vaugiraud (recoupement avec B. Yeurc'h base Noblesse bretonne)
31 i 2014

94.979.696:
- Le 03/03/1128, fait à l'abbaye de Marmoutier une très importante donation qui
sera à l'origine du prieuré de Saint-Martin de Morlaix" B.Yeurc'h (Guillotel, 1971).
- Hervé I. du nom, comte de Léon, suivit son père à la Terre-Sainte l'an 1096. (Dom
Morice, 1742-6).
- Guyomarc'h et Hervé père et fils, croisé en 1096 (Potier de Courcy, 2000).
J-C de Vaugiraud (recoupement avec B. Yeurc'h base Noblesse bretonne) 31 i 2014
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-C de Vaugiraud (recoupement avec B.
Yeurc'h base Noblesse bretonne) 31 i 2014
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.979.697:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.979.704:
né en 1005 selon B.Yeurc'h (Le Lien).
reçut, en apanage, de son frère Alain, une grande partie de la Domnonée qui allait
devenir le Penthièvre.
initiateur de la branche des Comtes de Penthièvre.
Une branche cadette de la famille ducale, les descendants d'Eudes de Penthièvre.
Les filiations données par Roglo pour les familles féodales bretonnes sont
malheureusement basées pour l'essentiel sur des sources anciennes et souvent très
défectueuses.
Les travaux conduits depuis les années 70 par les historiens bretons (H. Guillotel,
A. Chédeville, etc.) et anglais (M. Jones, K.S.B. Keats-Rohan, etc.) ont permis de
renouveller considérablement la connaissance de ces périodes anciennes et offrent
des ressources facilement accessibles (revues d'histoire régionales, publications
très abordables de Morvan, Brunterc'h, etc. aux Presses Universitaires de Rennes).
La parution récente de la thèse de Stéphane Morin (Trégor, Goëlo, Penthièvre Le
pouvoir des Comtes de Bretagne du Xième au XIIème siècle, 406 p. PUR, 2010)
fournit un état précis des connaissances sur une branche cadette de la famille
ducale, les descendants d'Eudes de Penthièvre. Je donne dans ce qui suit les
éléments (sous forme de notes ajoutées aux données Roglo limitées à Eudes et à
ses enfants légitimes ou non) qui permettront aux magiciens intéressés de mettre à
jour la base (les descendants d'Eudes représentent environ 665000 personnes soit
à peu près 1/5ème de la base). Eudes, comte de Penthièvre (1035), vicomte de
Porhoët, né en 999, décédé en 1079 (à l'âge de 80 ans).
Note 1 : Eudes n'est pas comte de Penthièvre (l'appellation n'apparaîtra qu'au
XIIème siècle. Il est indiqué dans les chartes comme "Comes Britanniae" i.e. comte
de Bretagne ou "frater comitis/ducis", frère du comte/duc.). De plus son domaine
breton est largement plus étendu que le Penthièvre ("Pentevria") et se nommait
vraisemblablement "Pleteva". Comme on ne lui connait évidemment pas de
patronyme, il faudrait de préférence donner à sa lignée l'appelatif utilisé par les
historiens actuels, c.a.d. Eudonides.
Note 2 : il n'a certainement pas été vicomte de Porhoët; il s'agit là probablement
d'une confusion avec un autre Eudes, le fils de Josselin de Porhoët.
Note 3 : on ne connait pas sa date de naissance. Stéphane Morin, au vu de sa date
de décès [NB : corroborée par le fait que son mariage avec Agnès eut lieu
vraisemblablement entre 1034 et 1037] la situe vers 1007; il est très peu probable
-4886-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
qu'il soit né avant l'an 1000.
Marié avec Agnès de Cornouaille, née vers 1005, décédée, dont
Note 4 : les parents d'Agnès ne sont pas connus sur la base de sources certaines;
des considérations complexes (d'onomastique entre autres) conduisent Stéphane
Morin à considèrer que cette hypothèse ancienne est effectivement la plus
probable. A noter cependant que le nom donné par les chartes angevines à Agnès
est Orguen (racine bretonne Aor+Gwen = Or+blanc) et non pas Onguen comme
donné par Roglo.
Note 5 : la première des enfants du couple est très vraisemblablement Adèle, qui
était aux alentours de 1049-1055 (date imprécisée) la maîtresse de Geoffroy
Martel, et qui doit donc être née vers 1035
• Geoffroy Boterel, comte de Penthièvre (1080-1093), tué le 24 août 1093, Dol.
Marié avec ? ?.
Note 6 : idem Note 1.
• Étienne, comte de Lamballe (1080-1125), comte de Penthièvre (1093-1125),
comte de Richemont et de Tréguier, décédé le 21 avril 1137. Marié avec Havoise,
comtesse de Guingamp, née en 1075, décédée.
Note 7 : idem Note 1;
Note 8 : à cette époque Richmond (Richemont) est seulement considéré comme
une seigneurie ou une baronnie ("one of three largests lordships created by
William the Conqueror"") et il ne deviendra proprement un comté ("shire",
"earldom") qu'avec Alain le Noir (fils d'Etienne), qui fut le premier à se qualifier de
"Comes Richemondie", Comte de Richmond à partir de 1136. Note 9 : Etienne est
en fait le dernier des fils connus de Eudes et d'Agnès
• Alain le Roux, comte de Richemont, né vers 1040, décédé le 4 août 1093 (à l'âge
de peut-être 53 ans).
Note 10 : La notice Roglo est très bonne pour ce personnage. Il semble toutefois
que Brient soit son aîné et le préceda en Angleterre (il est le troisième fils
légitime). Alain le Roux se proclame « Count de Bretaigne et Dengleterre »
• Alain le Noir, comte de Richemont.
Note 11 : même remarque que pour les précédents au sujet du comté de Richmond.
Alain le Noir est mort en 1098. Les deux Alain, le Roux et le Noir, eurent
successivement une liaison avec Gunhilde,la fille d'Harold d'Angleterre (non
connue de Roglo)
• Brian, décédé en 1072.
Note 12 : Brient est en fait, selon Stéphane Morin le deuxième des fils connus de
Eudes et d'Agnès. Il aurait participé à Hastings et apparait à Paques 1069 dans
l'entourage de Guillaume le Conquérant^avec le titre de comte. Il est mort après
1084 ou il aurait participé à la fondation du Prieuré St Martin de Lamballe.
Note 13 : Roglo ne mentionne pas trois autres fils d'Eudes et Agnès. Il s'agit de
Guillaume, Robert et Richard (4ème, 5ème et 6ème fils) qui apparaissent avec
leurs parents, ainsi que deux de leurs aînés, Geoffroy Boterel et Alain le Roux en
1056/1057 dans la charte une charte de St Aubin d'Angers (ils ont alors plus de 13
ans car ils peuvent tester)
Enfants illégitimes
Note 14 : Agnès est la seule épouse légitime connue de Eudes. Il eut par contre au
moins six enfants illégitimes, dont deux au moins, Bodin et Bardul, étaient frères
germains.
Marié avec Ne N, dont
• Tihern de Chateaubriand. Marié avec Ynoguen de Biré.
Note 15: comme je l'ai indiqué dans un précédent message (5 XI 2008), la fausseté
de cette filiation donnée par Du Paz avait déjà été démontrée par Bizeul il y a plus
de 150 ans (voir Kerviler, notice 1173, t. 4 pp. 417-510).
Marié avec Ne N, dont
• Brient.
Note 16: Il s'agit là probablement d'une confusion avec Brian qui précède, fils
légitime de Eudes et d'Agnès
• Bardolf of Ravensworth. Marié avec ? ?.
Note 17: alias Bardulf; d'après un document du XVème siècle, son frère Bodin
-4887-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(absent de Roglo) serait devenu moine de Notre Dame d'York. Leur mère serait
peut être une normande de l'Avranchin, de la famille d'Yquelon.
• Robert Ripaldus de Midelham, seigneur de Midelham. Marié avec Béatrice de
Taillebois-Hephall.
Note 18: Il s'agit en fait de Ribald (en latin Ribaldus). Béatrice était la fille d'Yves
Taillebois ( peut-être l'Ivo de Taillebois de Roglo) et la veuve du thegn Eldred. Yves
Taillebois est l'ancêtre de la famille anglaise surnommée Taillebois ou de
Lancaster.
Marié avec ? ?, dont
• Ne. Mariée avec Guisand de Pleveno.

Note 19 : Il s'agit d'Enisand de Pleven (de Pleveno) et non pas de Guisand).

Relation avec Ne N, dont • Derrien, seigneur de La Roche-Jaudy.

Note 20 : Je crois qu'il faut lire en fait Derrien, seigneur de la Roche-Derrien,


l'appellation "La Roche-Jaudy" du nom de la rivière proche, n'apparaissant à ma
connaissance que plus tardivement. Le rattachement de la lignée des seigneurs de
la Roche Derrien à Eudes, donné par Le Baud et Du Paz, ne s'appuie que sur la
présence d'un "Deriandus Bastardus" dans l'entourage de Geoffroy Boterel Ier,
sans que rien n'indique de qui il y était le batard… D'autres solutions sont possibles
et il faudrait préciser que cette filiation n'est qu'une hypothèse.

L'exercice pourrait être poursuivi à la génération suivante, toujours à partir de la


même thèse. Il serait également utile de bien préciser dans la base que rois de
Bretagne les plus anciens comme Conan Meriadec et ses prédécesseurs sont des
personnages de fiction, extrapolés à partir de la "pseudo-histoire" de Geoffroy de
Monmouth, ou de les supprimer purement et simplement…
Bien cordialement
Gilles Richard
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Gilles Richard forum du 21-vii-2010), C. Denancé
(courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22) 15 vii 2010
- naixement: J-P de Palmas (thèse de Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre Le
pouvoir des Comtes de Bretagne du Xième au XIIème siècle", 406 p. PUR, 2010)
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien)
- família 1: J-P de Palmas (Gilles Richard citant la thèse de Stéphane Morin forum
du 21-vii-2010)
- família 4: J-P.de Palmas (Gilles Richard citant la thèse de Stéphane Morin, 2010)
20 ix 2012
- família 5: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre") 8xii2012

94.979.705:
A noter que le nom donné par les chartes angevines à Agnès est Orguen (racine
bretonne Aor+Gwen = Or+blanc).
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Gilles Richard citant la Thèse de Stéphane Morin
"Trégor, Goëlo, Penthièvre Le pouvoir des Comtes de Bretagne du Xième au XIIème
siècle", 406 p. PUR, 2010 - forum du 21-vii-2010)
- família: J-P de Palmas (Gilles Richard citant la thèse de Stéphane Morin forum du
21-vii-2010)

94.979.705a:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Gilles Richard citant la thèse de Stéphane Morin
forum du 21-vii-2010)
- defunció: pour la date précise B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)

-4888-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.979.705b:
Participe à la conquête de l'Angleterre et reçoit l'honneur de Richmond, mort sans
postérité .
"Brient, bâtard, établi en Angleterre" B.Yeurc'h (Dom MORICE, 1742-6)
"Brian, took part in the 1066 expedition" B.Yeurc'h (EVERARD, 2000, p.12)
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Gilles Richard citant la thèse de Stéphane Morin,
2010) 20 ix 2012

94.979.705c:
La première des enfants du couple est très vraisemblablement Adèle, qui était aux
alentours de 1049-1055 (date imprécisée) la maîtresse de Geoffroy Martel, et qui
doit donc être née vers 1035
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Gilles Richard citant la thèse de Stéphane Morin
forum du 21-vii-2010), , C.Maubois (père Anselme) 25 ii 2012

94.979.705d:
Alain le Roux (Alan Rufus ou Alan the Red en anglais) (vers 1040 – 4 août 1093[1]),
lord de Richmond, fut un noble breton qui participa à la conquête normande de
l'Angleterre et en devint l'un des plus riches barons. Il est appelé le Roux à cause de
la couleur de ses cheveux et pour le
distinguer de son frère Alain le Noir.

Biographie
Famille

Murs du château de Richmond, vus depuis


le donjon du XIIe siècle.

Il est le second[2] fils d'Éon Ier († 1079),


comte de Penthièvre, régent du duché de
Bretagne entre 1040 et 1047, et d'Agnès
de Cornouaille, fille du comte de
Cornouaille Alain Canhiart. Il est donc issu d'une branche cadette des ducs de
Bretagne, et comme son père règne sur une grande partie du territoire breton de
1040 à 1056, il a le droit d'être désigné par le titre honorifique de comte Alain de
Bretagne[2]. Il est aussi cousin au troisième degré de Guillaume le
Conquérant[3],[2] par Havoise de Normandie.

Il a souvent été confondu avec le Alain Fergent, duc de Bretagne de 1084 à 1112, et
avec Alain Canhiart, son grand-père[4]. E. A. Freeman, historien pourtant réputé du
début du XXe siècle, le confond avec Fergent tout le long de son œuvre[4]. Wace, le
poète du XIIe siècle l'a aussi confondu avec Fergent dans son Roman de Rou[4].
Conquête de l'Angleterre
Il est probablement recruté au service de Guillaume le Conquérant avant 1066[2]. Il
est très probable qu'il participe à la bataille de Hastings (1066), avec son frère
Brian, durant laquelle une division bretonne aurait été sous son commandement ou
sous celui de son frère Brian[5]. Dans son poème Lestorie des Engles (écrit enter
1135 et 1147), Geoffroy Gaimar lui consacre vingt vers et affirme sa présence à la
bataille[4]. Wace le place sur l'aile gauche de l'armée, mais il le nomme Alain
Fergent, ce qui est clairement une confusion[4].

En 1069, son frère Brian aide à repousser une attaque des fils du défunt roi Harold
II sur Exeter[2], puis retourne en Bretagne. Alain le Roux devient alors le chef de
file des Bretons d'Angleterre[2].
-4889-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Il est un témoin fréquent des chartes du roi[6], et un membre du cercle des
conseillers les plus proches[n 1] dont la présence est fréquemment requise[7]. Son
importance est parfois sous-estimée, car en tant que baron parfaitement loyal au
roi, il apparaît peu dans les chroniques contemporaines[2].

En récompense, le Conquérant lui donne de très nombreuses terres dans le


Yorkshire qui appartenaient, avant la campagne dans le Nord de 1069-1070, au
comte Edwin de Mercie († 1071). En 1086, à la rédaction du Domesday Book, il a
440 seigneuries[8] réparties dans 11 comtés. La majeure partie de ses possessions
est concentrée dans le Yorkshire, le Lincolnshire, l'Est-Anglie, et le sud-ouest[9].
Les premières terres qu'il reçoit sont probablement dans le Cambridgeshire[2].

Honneur de Richmond

Dans le Yorkshire, ses terres (environ 200 seigneuries) forment un très important
ensemble compact, ce qui est inhabituel pour l'époque. En général, le Conquérant
donnait à ses vassaux des terres dispersées afin qu'en cas de rébellion ils ne
puissent les protéger facilement. Cet ensemble, nommé « honneur de Richmond »,
est l'un des trois plus grands ensembles féodaux créés par le Conquérant. Il
comprend 199 seigneuries et 43 autres propriétés, et permet à Alain le Roux
d'établir une force militaire puissante dans le nord-ouest du Yorkshire, à la jonction
des principales routes venant d'Écosse et entrant dans la vallée d'York[8]. Cet
honneur est si important qu'il forme aujourd'hui le Richmondshire. Alain le Roux est
ainsi parfois considéré comme comte de Richmond, bien que n'ayant jamais été créé
ainsi par le Conquérant.

Certaines de ses terres avaient appartenu à l'anglo-breton Raoul de Gaël, comte


d'Est-Anglie, qui les avait perdues lors de sa révolte en 1075[10].

Ces terres font de lui le troisième plus riche baron laïc d'Angleterre, juste devant
Guillaume Ier de Warenne[10]. Il a été calculé que ses terres rapportent
annuellement 1 200 livres d'argent[10]. Les terres qu'il tient pour lui-même lui
rapportent 770 livres, le reste est inféodé à des sous-tenants[11].

Son honneur fut l'un de ceux qui exista le plus longtemps. Alors que les deux
honneurs plus importants que le sien n'existaient plus en 1104[n 2], le sien sera
tenu par les descendants de son frère Étienne Ier de Penthièvre, devenus ducs de
Bretagne jusqu'en 1399[10].

Fin de vie
Il fait construire le château de Richmond qui domine la rivière Swale, à partir de
1071[12]. C'est lui qui le nomme, d'après l'ancien français « Riche Mont ». Le
château sera le point central de son honneur et lui donnera son nom. Vers la fin du
règne du Conquérant, il commande l'armée royale qui assiège Hubert de Beaumont-
au-Maine, vicomte du Maine retranché dans son château de Sainte-Suzanne[13]. Le
siège durera trois ans, et Alain le Roux sera entre-temps remplacé à la tête de cette
armée par un autre breton.

À la mort du Conquérant, il reste fidèle à son fils et successeur Guillaume le


Roux[2]. Il l'aide à conserver son trône durant la rébellion de 1088, et un acteur
important du procès de l'évêque de Durham Guillaume de Saint-Calais qui
s'ensuit[2]. À l'été 1093, le roi Malcolm III d'Écosse semble avoir prévu de lui
donner sa fille Mathilde (ou Édith) d'Écosse en mariage[2]. Toutefois, ce n'est pas
certain. Alors qu'il lui rend visite avec Alain le Roux, le roi se rend compte que sa
fille porte le voile. Il lui arrache et déclare qu'il préférerait la voir mariée avec le
-4890-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
comte que nonne[14]. Cette remarque peu sembler sarcastique, mais peu aussi être
le reflet d'une véritable intention[14]. Quoi qu'il en soit, ce mariage n'aura jamais
lieu car Alain le Roux enlève la nonne Gunhilde, une fille illégitime du roi Harold II
d'Angleterre[15], du couvent de Wilton[9]. Édith sera convoitée par Guillaume II de
Warenne, et épousera finalement Henri Ier d'Angleterre alors que celui-ci vient tout
juste de s'emparer du trône d'Angleterre. Il fonde l'abbaye bénédictine Sainte-Marie
de York, et y fait construire une grande église de style roman[2],[16]. Il fonde aussi
un prieuré à Swavesey dans le Cambridgeshire[2].

Il meurt sans descendance le 4 août 1093, et est inhumé à l'abbaye de Bury St


Edmunds[3] dont il était un bienfaiteur[2]. Ses restes seront plus tard transférés à
l'abbaye Sainte-Marie, à la demande des moines du lieu[2]. Son frère Alain le Noir
lui succède dans ses possessions, et devient aussi le compagnon de Gunhilde[9],
mais il meurt peu de temps après en 1098[15]. L'honneur de Richmond passe alors
son dernier frère Étienne Ier comte de Penthièvre, qui a réussit à réunir les
possessions bretonnes et anglaises de la famille.

L'homme le plus riche d'Angleterre de tous les temps ?


Dans un livre intitulé The Richest of the Rich (Les plus riches des riches), Philip
Beresford et William D. Rubinstein désignent Alain le Roux comme le particulier[n
3] le plus riche d'Angleterre de tous les temps. Leur calcul[n 4] montre qu'en valeur
actuelle, sa fortune serait de 81,33 milliards de livres sterling (soit 117 milliards
d'euros)[17]. Guillaume Ier de Warenne, qui arrive deuxième dans cette étude, avait
été lui aussi désigné ainsi en 2000[18]. Le calcul est certes spécieux – les quinze
premiers du classement vécurent au Moyen Âge, mais démontre que les possessions
d'Alain le Roux étaient gigantesques.

Notes

1. Avec les demi-frères du roi, Richard de Bienfaite, Roger II de


Montgommery et Guillaume de Warenne.
2. Celui de Robert de Mortain est perdu par son fils Guillaume en 1104; celui
de Guillaume Fitz Osbern est perdu par son fils Roger de Breteuil en 1075.
3. L'étude porte sur toutes les personnes – monarques exclus – depuis la
conquête normande de l'Angleterre en 1066, jusqu'à 2007.
4. ↑ La fortune de chaque candidat fut évaluée suivant sa contribution au
produit national net du pays quand il mourut, ou quand sa fortune était à
son point culminant. Ce pourcentage fut ensuite multiplié par le produit
intérieur net de 1999. Celle d'Alain le Roux est évaluée à 7%.

Références

1. Walter Fröhlich, « The Letters Omitted from Anselm's Collection of Letters


», dans Anglo-Norman Studies VI : Proceedinds of the Battle Conference,
édité par Reginald Allen Brown, Éd. Boydell & Brewer, 1984, p. 65. (ISBN
0851151973).
2. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o K. S. B. Keats-Rohan, « Alan Rufus (d.
1093) », dans Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University
Press, 2004. Accédé en novembre 2008 [archive].
3. a et b Généalogie et prosopographie des Medieval Lands.
4. a, b, c, d et e André Wilmart, « Alain le Roux et Alain le Noir », Annales de
Bretagne, vol. 38 (1929), p. 576-602.
5. D. C. Douglas, « Companions of the Conqueror », dans History, vol. 28
(1943), p. 129-147, ainsi que dans William the Conqueror, p. 268, ou il
affirme qu'il sert dans le contingent breton à Hastings.
6. J. O. Prestwich, « The Military Household of the Norman Kings », dans The
-4891-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
English Historical Review, vol. 96, no 378 (jan. 1981), p. 1-35.
7. D. C. Douglas, William the Conqueror, Londres, 1964, p. 286.
8. a et b Richard Muir, The Yorkshire Countryside, A Landscape History,
Edinburgh University Press, 1997, p. 172. (ISBN 1853311987).
9. a, b et c D. C. Douglas, William the Conqueror, Londres, 1964, p. 267-269
et 426.
10. a, b, c et d J. F. A. Mason, « The 'Honour of Richmond' in 1086 », dans The
English Historical Review, vol. 78, no 309 (oct. 1963), p. 703-704.
11. Robert Fleming, Kings and Lords in Conquest England, Cambridge
University Press, 1991, p. 219.
12. Adrian Pettifer, English Castles, Éd. Boydell & Brewer, 2002, p. 295 (ISBN
0851157823).
13. Orderic Vital, Histoire de la Normandie, Éd. Guizot, 1826, vol. III,
Modèle:T.VI, p. 170-172.
14. a et b Lois L. Huneycutt, « Matilda (1080–1118) », Oxford Dictionary of
National Biography, Oxford University Press, 2004.
15. a et b Frank Barlow, The Godwins, Pearson Education, 2003, p. 162-163.
(ISBN 0582784409).
16. George Sheeran, Medieval Yorkshire towns: people, buildings and spaces,
Edinburgh University Press, 1988, p. 56. (ISBN 1853312428).
17. Jaya Narain, « 1066 invader was Britain's wealthiest man in history », dans
le Daily Mail, 8 octobre 2007. [(en) Texte de l'article dans le Daily Mail
[archive] (page consultée le 28 janvier 2008)]
18. ↑ (en) Warlord tops richest ever list [archive], article sur le site internet de
BBC News. Vérifié janvier 2008.

Source principale

 K. S. B. Keats-Rohan, « Alan Rufus (d. 1093) », dans Oxford Dictionary of


National Biography, Oxford University Press, 2004. Accédé en novembre
2008.

Bibliographie

 André Wilmart, « Alain le Roux et Alain le Noir », Annales de Bretagne, vol.


38 (1929), p. 576-602.
 J. F. A. Mason, « The 'Honour of Richmond' in 1086 », The English
Historical Review, vol. 78, no 309 (oct. 1963), p. 703-704.

Ce document provient de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_le_Roux ».

These first to call themselves Richmond were Normans, of Viking ancestry who had
settled in the area of France known as Normandy. Rollo (Rolf) the first Duke of
Normandy was a Viking warlord from Norway (Northland). By 911, Rollo the head
of a Viking Army, had been plundering the rich Seine River Valley for several Years.
Charles the Simple, King of France granted Rollo, through the treaty of St. Clair-
sur-Epte a large piece of French territory in return for his Oath of Loyalty and
pledge to defend France from other Vikings, Muslims and Magyars. This area
became known as Normandy ; an area between the Valleys of Bresle, L'Epte and
L'Avre he later received from King Philip of France. William the Conqueror, the
grandson of Rollo, expanded his kingdom to include England when he conquered
the Saxons. Alan Rufus (the red), a second cousin of the Conqueror, accompanied
William as a Viking Warlord and served at his side at the Battle of Hastings. For his
part, Alan Rufus was given land in Yorkshire and began construction of Richmond
Castle. William the Conqueror was the grandson of Rollo, first Duke of Normandy.
-4892-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Alan Rufus was the grandson of Richard the second Duke of Normandy, had a
daughter named Hawise. Hawise married Eudo, the son of Geoffrey Duke of
Brittany. Hawise and Eudo's third child was Alan Rufus (who build Richmond
Castle). This made William the Conqueror and Alan Rufus de Richmond second
cousins. Both had the same great-grandfather, Rollo. Richmond Castle, founded in
1071, is a gray stone fortress standing proudly atop a rocky spur overlooking the
turbulent River Swale. The castle's primary purpose was, apparently, to defend Alan
Rufus de Richmond and his followers against attacks by the dispossessed Saxons of
the area who didn't look too kindly upon their Norman conquerors. Richmond Castle
however saw very little fighting. Alan Rufus de Richmond also build the first Castle
in Middleton Wensleydale in Northern Yorkshire for his brother Ribald. They also
had a brother known as Alan Niger (the Black) and another named Stephen the
Count of Peathievre. Stephen had a son whom he named Alan Niger III, who
became heir to the title of Earl of Richmond upon his father's death in 1137. Some
historians will tell you that Roaldus Musard the heir listed below was not related to
Alan Rufus de Richmond, but the evidence shows differently. Roaldus Mustard de
Richmond was a Breton nobleman for certain. His son Hasculfus Vi de Richmond,
Count of Nates, had four sons -- 1. Hasculfus Musard 2. Hughe 3. Sir Rould d'
Adoube de Richmond 4. Enisan Musard de Richmond ( a known vassal of William
the Conqueror and therefore a Royal Land Holder). The fourth son of Hasculfus VI --
Enisan Musard de Richmond received 21 manors formerly held by Tor the Saxon.
Enisan Musard de Richmond also was shown as an early Constable of Richmond
Castle. He did not have any male heirs, but two daughters -- Garsiana and Adeline.
The next Constable of Richmond Castle was said to be Rouldas Le Ennase de
Richmond, a grandson of Hasculfus Musard and thus a great nephew of Enisan
Musard de Richmond. The third son of Hasculfus VI -- Sir Rould d' Aboude de
Richmond (knighted by the King), is listed in records of Francis Thackeray through
the author William Makepeace Thackeray, as a founder of a major branch of the
Richmond family in Wiltshire England. The first son of Hasculfus VI -- Hasculfus
Musard de Richmond had four sons of his own. -- 1. James de St. Hilary 2. Rouldus
fitz Hasculfus 3. Hasculfus de Cleasby 4. Eudo de Richmond (named after Alan
Rufus' father Eudo of Brittany). Note that the Roaldus Mustard was also of Breton
or Brittany Nobility and therefore related to Alan Rufus through his father Eudo, the
heir to the Dukedom of Breton in France, a hereditary title. Hasculfus Musard de
Richmond's second son Rouldus fitz Hasculfus married Garsiana, the daughter of
his uncle Enisan Musard de Richmond and therefore became heir to the job of
Constable of Richmond Castle, build by Alan Rufus his cousin several times
removed. Roaldus de Richmond a descendant, was later given more land by the
Crown and established his coat of arms with the ducal crown which indicates a
relationship to royalty, however it is difficult to follow ancestral lines prior to the
1483 establish- ment of the Herald's College by Richard III which started to record
lineage. http://trees.ancestry.com/tree/12758140/person/
306029546/media/2?pgnum=1&pg=0&pgpl=pid%7cpgNum
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-P de Palmas (« Alan Rufus (d. 1093) », dans
Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004) x2009,
T.Blanchet (Diel/Ladyman Family Tree) 3/12/2012
- defunció: J-P de Palmas (Walter Fröhlich, « The Letters Omitted from Anselm's
Collection of Letters »)
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 4 xi 2013

94.979.705e:
GUILLAUME de Bretagne . "Comes Eudo, uxor eius Orguen et filii eorum
Gausfridus, Alanus, Willelmus, Rotbertus, Ricardus…" witnessed the charter dated
to [1056/60] records the history of the acquisition by Angers Saint-Aubin of
property "in pago Belvacensi", finally donated by "comiti Britannie Eudoni"[264].
[264] Angers Saint-Aubin, Tome II, DCLXXVII, p. 171.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 ix 2017
-4893-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.979.705h:
ne laissa aucun enfant.
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.979.705-2a:
Alias Bardulf; d'après un document du XVème siècle, son frère Bodin (absent de
Roglo) serait devenu moine de Notre Dame d'York. Leur mère serait peut être une
normande de l'Avranchin, de la famille d'Yquelon.
Gilles Richard citant la thèse de Stéphane Morin (Trégor, Goëlo, Penthièvre Le
pouvoir des Comtes de Bretagne du Xième au XIIème siècle, 406 p. PUR, 2010)
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 12iii2008), J-P.de Palmas (Thèse Stéphane
Morin 2010) 20 ix 2012
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 12iii2008)

94.979.705-2b:
bâtard, établi en Angleterre.

Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com), B.Yeurc'h (Dom Morice), F-L.
Jacquier (Wendy Slocum - Geneanet "wendyslocum")
- família: F-L. Jacquier (Wendy Slocum - Geneanet "wendyslocum"), B.Yeurc'h
(ericlorant@hotmail.com)

94.979.705-3a:
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.979.705-4a:
Il bâtit le château de La Roche-Derrien (22, Côtes-d'Armor).

Derrien, seigneur de la Roche-Derrien, l'appellation "La Roche-Jaudy" du nom de la


rivière proche, n'apparaissant à ma connaissance que plus tardivement. Le
rattachement de la lignée des seigneurs de la Roche Derrien à Eudes, donné par Le
Baud et Du Paz, ne s'appuie que sur la présence d'un "Deriandus Bastardus" dans
l'entourage de Geoffroy Boterel Ier, sans que rien n'indique de qui il y était le
batard… D'autres solutions sont possibles et il faudrait préciser que cette filiation
n'est qu'une hypothèse.

Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-P.de Palmas (Gilles Richard citant la thèse de
Stéphane Morin) 20 ix 2012

94.979.705-5a:
Ses terres furent partagées entre son frère Bardulf de Ravensworth et Scotland de
Bedale.

Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre") 8xii2012

94.979.705-5b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre") 8xii2012

-4894-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.979.707:
Fonts:
- defunció: O.Guionneau (T.Le Hête "Les comtes palatins de Bourgogne")
- enterrament: J-P de Palmas (Université Paris I)
- família: H.R.Moser; N.Chardiny 13.11.09 (http://base.tudchentil.org), J-P de
Palmas (Michel Bur, La formation du comté de Champagne (v. 950 - v. 1150), 1977),
D.Thuret (famille)

94.979.707a:
Sans postérité.

Fonts:
- persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry)

94.979.707b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Liste des évêques de Châlons)

94.979.707c:
Hugues Ier de Champagne (né en 1074 et mort en 1126), est le troisième fils du
comte Thibaut III de Blois (dit parfois Thibaut Ier de Champagne) et d'Adélaïde de
Valois. En janvier 1093 il devient comte de Troyes, de Vitry et Bar-sur-Aube. En
1102 il se dit premier comte de Champagne. Il eut pour épouse :

 1094, Constance de France († 1125), fille du roi Philippe Ier de France. Ce


mariage fut annulé en 1105 faute d'enfants ;
 1110, Isabelle de Bourgogne, fille du comte Étienne Ier de Bourgogne dit
Tête Hardie. En 1123 Isabelle donne tardivement naissance à un fils
prénommé Eudes de Champlitte. Hugues ne reconnaît pas l'enfant et
chasse la mère et son fils. N'ayant pas participé à la première croisade, le
comte effectue en 1104 un premier séjour en Palestine et rentre en 1107.
En août 1114, il repart en Terre sainte accompagné de Hugues de Payns.
Ce dernier est l'un des fondateurs et maître de l'ordre du Temple en 1118
à Jérusalem

Revenu en 1116, le comte favorise l'expansion de l'abbaye de Clairvaux fondée en


partie grâce à ses fonds par saint Bernard de Clairvaux. En 1125, il abdique,
transmet son héritage à son neveu Thibaut IV de Blois (Thibaud de Champagne) et
rejoint l'ordre du Temple en Terre sainte. A propos du comté de Champagne''
Extract from FMG : References to Champagne as a county re-emerge in primary
sources in the late 11th century, when the family of the comtes de Blois acquired
control over the counties of Champagne and Troyes. The Chronicle of Alberic de
Trois-Fontaines refers to "Hugonem Campanie comitem" (brother of Eudes de
Blois) as one of the sons of "comiti Campanie Theobaldo"[7], referring to Count
Thibaut III, although it is not clear that the latter claimed to be count of
Champagne during his lifetime. Count Hugues's possession of Champagne is
confirmed by the charter dated 1110 under which "Hugo comes Campanie,
Theobaldi comitis filius" founded the abbey of Notre-Dame de Cheminon[8]. On the
retirement of Count Hugues in 1125 to become a Knight Templar, the county
passed to his nephew Thibaut IV "le Grand" Comte de Blois et de Troyes.
[7] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1062, MGH SS XXIII, p. 793.
[8] Barthélemy, E. de (ed.) (1883) Recueil des chartes de l'abbaye de Notre-Dame
de Cheminon (Paris) (“Cheminon Notre-Dame”), 1110, p. 42.

HUGUES de Blois (-Palestine 14 Jun 1126). The Chronicle of Alberic de Trois-

-4895-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fontaines names (in order) "Philippum episcopum Cathalauensem et Hugonem
Campanie comitem" as the two sons of "comiti Campanie Theobaldo" & his wife
Adela[4195]. The Liber Modernorum Regum Francorum names (in order)
"Stephanus et Hugo" sons of "comes Tetbaudus", specifying that Hugues "factus
est …Trecassinorum comes" on their father's death[4196]. Orderic Vitalis records
that “Stephanus Blesensis palatinus comes” had “consules Odonem et Hugonem
fratres”[4197]. He succeeded his brother in 1093 as Comte de Troyes. Friend and
counsellor of Philippe I King of France. He went on a pilgrimage to the Holy Land
1104-1107, 1114 and Jun 1126. "Hugo comes Campanie, Theobaldi comitis filius"
founded the abbey of Notre-Dame de Cheminon by charter dated 1110[4198]. After
repudiating his second wife, he became a Knight Templar. Pope Calixtus II sent
him to welcome the Archbishop of Mainz on his arrival at the synod of Reims in Oct
1119[4199]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records that "Hugo comes
Campanie" became a Knight Templar in 1125 and was succeeded by "Theobaldus
nepos eius"1125[4200].
m firstly ([1093/95], annulled Soissons 25 Dec 1104 on grounds of
consanguinity[4201]) as her first husband, CONSTANCE de France, daughter of
PHILIPPE I King of France & his first wife Bertha of Holland ([1078]-14 Sep
1126[4202]). Orderic Vitalis records that King Philippe married “Constantiamfiliam
suam” firstly to “Hugonis Trecassino comiti” and secondly to “duci Antiochiæ
Buamundo apud Carnotum”[4203]. "Hugo comes Campanie Teotbaldi comitis
filius" donated property to the abbey of Molesme by charter dated 2 Apr 1104,
which names "frater meus Odo comes, Constantiam regis Francorum filiam necnon
et comitissam Adelaidem uxorem fratris mei comitis Stephani nepotes…" and is
subscribed by "Teotbaldus puer filius Stephani comitis nepos huius comitis
Hugonis"[4204]. She married secondly (Chartres [25 Mar/26 May] 1106)
Bohémond I Prince of Antioch.
m secondly ([1110], repudiated) ISABELLE de Mâcon, daughter of ETIENNE de
Bourgogne[-Comté] “le Hardi” Comte de Mâcon Seigneur de Varais & his wife
Béatrice de Lorraine ([1090/95]-after 1125). The Chronicle of Alberic de Trois-
Fontaines names "Elizabeth sororem comitis Raynaldi de Burgundia" as wife of
"Hugo comes Campanie"[4205].
Comte Hugues & his first wife had one child.
[Comte Hugues &] his second wife had one child.
[4195] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1062, MGH SS XXIII, p. 793.
[4196] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet
Actus 11, MGH SS IX, p. 390.
[4197] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber V, XI, p. 393.
[4198] Cheminon Notre-Dame 1110, p. 42.
[4199] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XII, p. 253.
[4200] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1125, MGH SS XXIII, p. 826.
[4201] Ivo of Chartes, Epistolæ, in Migne, J. P. (ed.) Patroligiæ cursus completes,
serie Latina CLXII, pp. 163-4 ep. 158, cited in Chibnall, Vol. VI, p. 70 footnote 5.
[4202] See Falkenhausen, Vera von 'Constantia oppure Constantinopolis? Sui
presenti viaggi in Oriente della vedova di Boemondo I' in ΣΥΝΔΕΣΜΟΣ Studi …
Anastasi, 153-67 (1994), cited in Houben (2002), p. 39 footnote16.
[4203] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XX, p. 390.
[4204] Molesme, Tome II, 19, p. 26.
[4205] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1125, MGH SS XXIII, p. 826.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia ; FMG) iii2010
- naixement: O.Guionneau (T.Le Hête "Les comtes palatins de Bourgogne")
- defunció: O.Guionneau (T.Le Hête "Les comtes palatins de Bourgogne")
- família 1: E.Polti (d'après "La Capétiens" d'Yvan Gobry, chez Tallandier), J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 5 ii 2017
- família 2: H.R.Moser, L.van de Pas, J-C de Vaugiraud ( J. Gouget, T. Le Hête: "Les
comtes de Blois et de Champagne ", 2004, P. 390 et ss.) 16 vi 2012

94.979.707e:

-4896-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - família: D.Thuret (famille)

94.979.708:
Il eut des démêlés importants avec l'abbé de la Trinité Geoffroy. En lutte avec les
seigneurs d'Amboise, il est fait prisonnier en 1132 par Sulpice II
d'Amboise[[sulpice/d amboise/2/Sulpice d'Amboise et libéré l'année suivante. Il
accompagne Geoffroi Plantagenêt en 1136 lorsque celui ci commence la guerre
pour conquérir la Normandie au nom de sa femme Mathilde d'Angleterre. Peu
après, il part pour la Palestine pendant quatre ou cinq ans, il meurt à son retour en
France en 1145.
Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), JB.de La Grandiere
(Dominique Barthélémy "La Société dans le comté de Vendôme de l'an mil au
XIVème siècle" ) 28 vi 2012
- família: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

94.979.709:
Fonts:- família 1, família 2: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

94.979.709b:
Fonts:- persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), JB.de La Grandiere (
Dominique Barthélémy "La Société dans le comté de Vendôme de l'an mil au
XIVème siècle") 28 vi 2012

94.979.709c:
Fonts:- persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")
- família: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

94.979.710:
Fonts:- persona: JB.de La Grandiere (Dominique Barthélémy "La Société dans le
comté de Vendôme de l'an mil au XIVème siècle" art Lavardin, 1993) 28 vi 2012

94.979.711:
Fonts:- persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), JB.de La Grandiere (
Dominique Barthélémy "La Société dans le comté de Vendôme de l'an mil au
XIVème siècle" art Lavardin, 1993 ) 28 vi 2012

94.979.711-2a:
Fonts:- persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), JB.de La Grandiere (
Dominique Barthélémy La Société dans le comté de Vendôme p 799 (comtes de
Vendôme) Paris 1993 ) 28 vi 2012
- família: E.Polti (base "amotour" sur Geneanet ; 10.11.06)

94.979.968:
Mentionné fils aîné, par Raoul de Warren (Grand Armorial de France, tome V) /
Athéna.

Le tableau ci-dessous met en évidence l’imbrication entre la famille d’Anduze et


leur tige cadette des seigneurs de Sauve avec la branche des vicomtes de
Narbonne surnommée « Pelet » jusqu’à Bertrand-Pelet, qui s’arroge le comté de
Melgueil au décès de son père survenu peu avant 1170.

-4897-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) ii-2009
- família 1: F.de Roquefeuil (Annales du Midi, Thierry Strasser) 10 vii 2012
- família 2: J-L. Dega

94.979.969:
épouse de Raimond Bérenger de Narbonne (d’après H. Debax et T. Stasser [ 1])

Références

1. H. Debax et T. Stasser, Les vicomtes de Narbonne, in Annales du Midi 105

Fonts:
- persona: F.de Bernis (base Eric Polti) 2 x 08, J-P de Palmas (Les premiers sires
d'Anduze) 21 ii 2011
- família: F.de Roquefeuil (Annales du Midi, Thierry Strasser) 10 vii 2012

94.979.969-2a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega

94.982.656:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05
- família: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05

94.982.657:
Fonts:
- família: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05

94.982.660:

-4898-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (de Ribiers- noblesse d'Auvergne) 11.01.2014
- família: S. de L'Espinay (de Ribiers- noblesse d'Auvergne) 11.01.2014

94.982.661:
Fonts:
- família: S. de L'Espinay (de Ribiers- noblesse d'Auvergne) 11.01.2014

94.982.928:
Boson 1er, dit le Vieux, avait fourni des secours à Guillaume, Ranulfe et Richard,
neveux de sa femme Emme, pour les soutenir dans la possession du comté
d'Angoulême. Ceux-ci ayant été tués et dispersés dans le combat du 27 juillet 975,
la succession du comté de Périgord lui arriva du chef de sa femme Emme et il
fonda avec elle la seconde dynastie de ces souverains, reprise au troisième degré,
qui est celui de sa femme.

Une charte passée à Limoges au mois d'août de la première année du roi Lothaire
(955 de J.C.), lui donne aussi le titre de marquis et met le Limousin dans son
marquisat.

Boson fit construire le château de Bellac, dans la Basse-Marche, et fut fondateur de


l'église du Dorat (944).

Du temps du roi Lothaire, il fut battu, avec Hélie son fils, par Gui, fils de Giraud ou
Girard, vicomte de Limoges, à qui, de concert avec le comte de Poitiers, il voulait
enlever le château de Brosse.

Fonts: - persona: M.Rérolle (A.Auréjac ) 10/11/06, S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page


9, 29/11/2012

94.982.929:
Elle devint héritière de son neveu Arnaud 1er, dit "Bouration" qui ne laissa pas
d'enfants.

Elle porta le Périgord à son mari, Boson 1er, comte de la Marche, avec lequel elle
fonda le deuxième dynastie des comtes de Périgord.

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 9, 29/11/2012
- defunció: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 7i2015

94.982.929a:
Hélie 1er, fils aîné de Boson 1er, lui succéda au comté de Périgord.

La violence de son caractère est attestée par la manière dont il traita Benoît,
chorévêque de Limoges, à qui il fit crever les yeux pour l'empêcher de monter sur
le siège épiscopal de cette église lorsqu'il serait vacant.

Ebles, évêque de Limoges, qui destinait effectivement Benoît pour lui succéder, eut
tant de regret de cet événement qu'il en mourut de douleur, l'an 974 au plus tôt, et
non pas l'an 969 comme le marque un moderne. On voit en effet, dans Besli, une
charte d'Ebles, du mois de juin 974.

-4899-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Géraud, vicomte de Limoges, se chargea de venger le chorévêque Benoît. Il livra
bataille, avec Gui, son frère, au comte Hélie qui d'abord les défit. Mais Gui le
surprit avec Aldebert, son frère. Il enferma le premier dans le château de
Montignac et fit conduire l'autre à celui de Limoges. Hélie eut le bonheur de
s'échapper comme on allait lui crever les yeux pour lui faire subir la loi du talion.
Quelque temps après, il se mit en route pour se rendre à Rome mais il n'arriva pas
au terme de son voyage, étant mort en chemin.

Il ne laissa pas d'enfants.

Fonts:
- persona: T. Denis (C. Farcinet : L'ancienne famille de Lusignan), S.Fourlinnie (
Saint-Allais) Page 9, 29/11/2012
- naixement: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 7i2015
- defunció: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 7i2015

94.982.929d:
Il paraît être mort avant son père.

Fonts:
- persona: T. Denis (C. Farcinet : L'ancienne famille de Lusignan), S.Fourlinnie (
Saint-Allais) Page 9, 29/11/2012

94.982.929e:
Fonts:
- persona: T. Denis (C. Farcinet : L'ancienne famille de Lusignan)

94.982.930:
GERAUD, son of HILDEGAIRE, Vicomte de Limoges & his wife Thiberge --- (-988).
Settipani suggests that Géraud was the fifth signatory in the following document
dated 920[444]: “Dedane Helie, Eldegarii, Fulcherii, Gerao, Ingelberti, Gozberti,
Guillebaldi” signed the charter dated 920 under which “Deda femina” donated
property “in pago Limovicensi in vicaria Novicense in villaAdiola” to Limoges Saint-
Etienne, for the soul of “Hildeberti conjugis mei” and for the damage caused to the
church by “filius noster Hildebertus abba”, with the consent of “filio meo
Helia”[445]. However, the chronology of Géraud’s life, particularly the estimated
date of his marriage, is inconsistent with his having been old enough to have
witnessed a charter in 920. As noted above, it is more likely that “Gerao”, assuming
that he was a member of the vicecomital family, was a younger brother of Vicomte
Hildegaire. “Ramnulfus” sold property “in urbe Biturcico in vicaria Dunense in
villaDuno” to “Eldejere vescommite et ucxore suaTecbergane et Giraldo filium
nostrum” by charter dated 15 Mar 941[446]. “Eldegarius vicecomes et uxor mea
Teotberga et filii nostri Giraldus et Eldebertus” donated “mansos novem in pago
Limovicino vicaria Mansiacense in villaBenaias” to Limoges Saint-Marcial by
charter dated to after 943[447]. Vicomte de Limoges. The Chronicon Gaufredi
Vosiensis names "Geraldus" as successor of "Fulcherius" in the viscounty of
Limoges[448]. "Ademarus vicecomes et Geraldus vicecomes consanguineus meus"
donated “unum mansuma Meseirac in vicaria Usercensi” to Uzerche by charter
dated to the 11th century[449]. Baluze identifies the donors as Adémar Vicomte de
Ségur and Géraud Vicomte de Limoges, suggesting that they were first cousins,
sons of two brothers[450]. The Chronicle of Adémar de Chabannes names "Geraldo
vicecomite et filius eius Widone" when recording that they fought "Helias
Petragoricensi comite"[451], although this passage is presumably inaccurate as
Hélie [I] Comte de Périgord only succeeded to his county after the death of his
father in [1003/12], many years after the death of Vicomte Gérard.

-4900-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
m (after Mar 957) as her second husband, ROTHILDE, widow of ARCHAMBAUD
Vicomte ---, daughter of ---. “Archambaldus vicecomes et uxor sua Rotildis” sold
property “in pago Lemovico invillaIlle Cacœria” to “Droctrico” by charter dated 5
Mar 957[452]. "Hildegarius Lemovicensium pontifex" granted privileges to
Uzerche, naming "genitore meo…domno Geraldo vicecomite necnon et genetrice
mea Rotilde…" by charter dated to [970/86][453]. "Rotildis vicecomitissa" donated
"mansum…a Monsor…in vicaria Usercensi" to Uzerche, for the souls of
"Archambaldi senioris mariti mei" who had given this property to her and "Geraldi
vicecomitis senioris mei", by charter dated to [Jul 987/988], witnessed by "filii
eiusdem Rothildis, Aldegarius episcopus, Guido, Geraldus, Alduinus abbas et
cæteri filii…"[454]. Le Laboureur suggests that Rothilde was “fille et héritière du
Vicomte de Brosse et d’une dame nommée Tatberga, qualifiée ayeule du Vicomte
Guy dans un titre de l’abbaye d’Userche”[455]. The point relating to “Tatberga”
presumably refers to the charter dated Aug 1019 under which "Guido et uxor mea
Emma…et filii nostri Geraldus, Ademarus, Petrus" donated "ecclesiam…Sancti
Bibiano…a Nioli" to Uzerche, for the souls of "…aviæ meæ Tetiscræ et…patris mei
Geraldi et…Rotildis matris meæ"[456]. “Tetiscræ” in this last document is likely to
be a mistranscription. If the name was “Tatbergæ”, this probably refers to the
paternal grandmother of Vicomte Guy not the mother of Rothilde. Concerning the
fundamental point made by Le Laboureur, Settipani has pointed out that no
primary source reference is quoted by Le Laboureur to support the statement and
suggests that it may be based on an unsound conclusion drawn because the castle
of Brosse was held by Rothilde’s descendants and is later recorded as a
vicomté[457].

Vicomte Géraud & his wife had [eleven] children.

[444] Settipani (2004), p. 231.

[445] Limoges Saint-Etienne, XII, p. 33.

[446] Rivain ‘Textes bas-latins des ix et x siècles’, Tome XXVII (Limoges, 1879), 2,
p. 339.

[447] Rivain ‘Documents’ (1877), 1, p. 391.

[448] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 41, RHGF XII, p. 425.

[449] Uzerche, 151, p. 158.

[450] Baluze (1717) Historiæ Tutelensis, I, p. 58.

[451] Adémar de Chabannes III, 25, p. 147.

[452] Limoges Saint-Etienne, VII, p. 24.

[453] Uzerche, 31, p. 60.

[454] Uzerche, 134, p. 154.

[455] Le Laboureur (1731) Mémoires de Michel de Castelnau (Brussels), Vol. III, p.

-4901-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
211.

[456] Uzerche, 61, p. 110.

[457] Settipani (2004), pp. 231-3.

vicomte de Limoges en 980


Eut en apanage la seigneurie de Rochechouart en Poitou
JB de La Grandière 6/11/2009
Petit-neveu de Saint-Géraud dont il porte le prenom, et descendant de Sainte
Adelstrude.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 2009, JB.de La Grandiere (Europäische Stamtafeln t
III-4 p 773 Marburg 1989 ) 26 x 2009
- naixement: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 7i2015
- família: D.Thuret (généalogie Viellard par Jacques et Nelly Parisot), J-P.de Palmas
(V. Roblin, "Recueil des actes des vicomtes de Limoges") ) 12 vii 2015

94.982.931:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des
récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014, J-P.de Palmas (Sébastien Fray
"L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques", 2014) 4 x 2014
- família 1: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir
des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014
- família 2: D.Thuret (généalogie Viellard par Jacques et Nelly Parisot), J-P.de
Palmas (V. Roblin, "Recueil des actes des vicomtes de Limoges") ) 12 vii 2015

94.982.931d:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 9, 29/11/2012

94.982.931g:
HILDEGAIRE de Limoges (-11 Jun 990, bur Saint-Denis). The Chronicon Gaufredi
Vosiensis names "duo Pontificatum Lemovicensem adepti…Ildegarius et Alduinus,
alter Guido…qui Tursturiacensem Abbatiam construxisse narrator, Aimericus de
Rupecavardi…Ostofrancus, et Geraldus de Argentonio, Gaufredus…Abbas S.
Marcialis" as the children of "Gerardus"[462]. "Rotildis vicecomitissa" donated
"mansum…a Monsor…in vicaria Usercensi" to Uzerche, for the souls of
"Archambaldi senioris mariti mei" who had given this property to her and "Geraldi
vicecomitis senioris mei", by charter dated to [Jul 987/988], witnessed by "filii
eiusdem Rothildis, Aldegarius episcopus, Guido, Geraldus, Alduinus abbas et
cæteri filii…"[463]. Bishop of Limoges 976-980. He founded the abbey of Uzerche.
"Hildegarius Lemovicensium pontifex" granted privileges to Uzerche, for the souls
of "fratris mei Guidonis ac conjugis eius Emmæ", and names "genitore
meo…domno Geraldo vicecomite necnon et genetrice mea Rotilde…vicecomes
Lemovicensis Ademarus et uxor sua Melissendis", adding that after the death of
"predictus Ademarus…gener ipsius Guido" married "filia ipsius…Emma", by charter
dated to [970/86], witnessed by "…Archambaldi honorabilis, Sulpiciæ uxoris
eius"[464]. “Ramnulf et filii mei Geraldus” sold property in Limoges to “Eldoinus et
frater suus Ildegarius episcopus” by charter dated 19 Jun 988[465]. The Chronicle
of Adémar de Chabannes records the death, and burial "apud Sanctum Dionisium",
of "episcopus Aldegerius Lemovicæ" as well as the election of "pontifex Alduinus

-4902-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
frater eius" as his successor[466].

[462] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 41, RHGF XII, p. 425.

[463] Uzerche, 134, p. 154.

[464] Uzerche, 31, p. 60.

[465] Limoges Saint-Etienne, CXXXIV, p. 145.

[466] Adémar de Chabannes III, 35, p. 157.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 xi 2014

94.982.931h:
HILDUIN de Limoges (-23 Jun 1014, bur Saint-Martin). The Chronicon Gaufredi
Vosiensis names "duo Pontificatum Lemovicensem adepti…Ildegarius et Alduinus,
alter Guido…qui Tursturiacensem Abbatiam construxisse narrator, Aimericus de
Rupecavardi…Ostofrancus, et Geraldus de Argentonio, Gaufredus…Abbas S.
Marcialis" as the children of "Gerardus"[471]. "Rotildis vicecomitissa" donated
"mansum…a Monsor…in vicaria Usercensi" to Uzerche, for the souls of
"Archambaldi senioris mariti mei" who had given this property to her and "Geraldi
vicecomitis senioris mei", by charter dated to [Jul 987/988], witnessed by "filii
eiusdem Rothildis, Aldegarius episcopus, Guido, Geraldus, Alduinus abbas et
cæteri filii…"[472]. “Ramnulf et filii mei Geraldus” sold property in Limoges to
“Eldoinus et frater suus Ildegarius episcopus” by charter dated 19 Jun 988[473].
The Chronicle of Adémar de Chabannes records the death, and burial "apud
Sanctum Dionisium", of "episcopus Aldegerius Lemovicæ" as well as the election of
"pontifex Alduinus frater eius" as his successor[474]. The Chronicle of Adémar de
Chabannes records the death of "Alduinus episcopus" and his burial "apud
Sanctum Martinum", noting that he was succeeded by "Geraldus nepos eius"[475].

[471] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 41, RHGF XII, p. 425.

[472] Uzerche, 134, p. 154.

[473] Limoges Saint-Etienne, CXXXIV, p. 145.

[474] Adémar de Chabannes III, 35, p. 157.

[475] Adémar de Chabannes III, 49, p. 172.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 13 xi 2014

94.982.948:
GUY [I] (-[24 Jul] 1095, bur abbaye de Longpont). The Historia of Monk Aimon
names "Guidonem" as the son of "Theobaldus cognomina Filans-stupas, Forestarius
[Roberti Regis]" stating that he held "Montem-Lethericum"[3667]. Seigneur de
Montlhéry. He founded the priory of Longpont [1061]: Geoffroy Bishop of Paris
confirmed that "noster milesGuido" founded the church of Notre-Dame de

-4903-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Longpont, under the abbey of Cluny, by charter dated to [1061][3668]. "Guido de
Monte Leterico eiusque uxor Hodierna" donated property to Notre-Dame de
Longpont by charter dated to [1061], witnessed by "Wido filius eorum, Adam
vicecomes"[3669]. "…Guido de Monte Letheri…" witnessed the charter dated 29
May 1067 under which Philippe I King of France confirmed the possessions of
Saint-Martin-des-Champs[3670]. "Guido de Monte Leherico" donated property to
Notre-Dame de Longpont, confirmed by "filii mei Milo et Guido et conjux mea
Hodierna", by charter dated to [1070], witnessed by “Aymo vicecomes”[3671]. He
became a monk at Longpont. The necrology of Longpont records the death "IX Kal
Aug" of "Guido institutor hujus loci. Guido vicecomes; Adalaidis comitissa, uxor;
Wido filius eius", a supplementary section adding a further reference to the
anniversary of “donni Guidonis senioris hujus loci institutoris et Guidonis comitis
filii eiusIX Kal Aug” as well as the anniversary of “donne Hodierne uxoris ipsius
Guidonis senioris et Ermensendis de Sancto Galarico filie amborumVII Kal Apr”
with a reference to her visit to Cluny where “beato Hugoni abbati” gave her
“calicemaureum”[3672].

m HODIERNE de Gometz-la-Ferté, daughter of --- (-26 Apr ----, bur ---, transferred
1641 to Longpont church). The Historia of Monk Aimon records that "Guidonem",
son of "Theobaldus cognomina Filans-stupas, Forestarius [Roberti Regis]", married
"dominam de Feritate et de Gommet"[3673]. The primary source which confirms
her precise parentage has not yet been identified. The editor of the cartulary of
Longpont refers to a history of Longpont written in 1713 which records that "Gui II
de Montmorency fils de Thibaud de Montmorency surnommé File-Etoupes seigneur
de Bray" [presumed to refer to Guy [I] de Montlhéry] married "Hodierne fille et
héritière de Guillaume de Gomintez sénéchal de France seigneur de la Ferté" but
does not cite the corresponding primary source[3674]. The chronology of her
descendants indicates that Hodierne (whose great-granddaughter married in 1104)
was much older than Guillaume [II] de Gometz-la-Ferté (probably born in the
1060s). It appears unlikely, therefore, that she was the daughter of Guillaume [I]
but was more probably his sister. "Guido de Monte Leterico eiusque uxor
Hodierna" donated property to Notre-Dame de Longpont by charter dated to
[1061], witnessed by "Wido filius eorum, Adam vicecomes"[3675]. "Guido de Monte
Leherico" donated property to Notre-Dame de Longpont, confirmed by "filii mei
Milo et Guido et conjux mea Hodierna", by charter dated to [1070][3676]. ["Rodulfi
comitis, Willelmi Corboilensis comitis, Ivonis comitis Bellimonits, Nanterii
vicecomitis, Willelmi de Gomez" witnessed the charter dated 20 May 1043 under
which Henri I King of France confirmed the respective rights of "nostro
militeNivardo" and the abbey of Saint-Maur-des-Fossé over “villamEquatam in
finibus silve Aquiline sitam”[3677]. "…Willelmi senescalci…" witnessed the charter
dated to [1059/60] under which Henri King of France confirmed the foundation of
Paris Saint-Martin-des-Champs[3678]. “Willelmus de Gomethiaco” subscribed the
charter dated 29 May 1067 under which Philippe I King of France confirmed the
possessions of Paris Saint-Martin-des-Champs[3679]. “Guillelmi de Feritate”
subscribed the charter dated 1071 under which "Buccardus…Corbolensium comes"
donated property to the abbey of Saint-Spire de Corbeil[3680].] "Guido de Monte
Leherico" donated property to Notre-Dame de Longpont, confirmed by "filii mei
Milo et Guido et conjux mea Hodierna", by charter dated to [1070][3681]. The
necrology of Longpont records the death "IX Kal Aug" of "Guido institutor hujus
loci. Guido vicecomes; Adalaidis comitissa, uxor; Wido filius eius", a supplementary
section adding a further reference to the anniversary of “donni Guidonis senioris
hujus loci institutoris et Guidonis comitis filii eiusIX Kal Aug” as well as the
anniversary of “donne Hodierne uxoris ipsius Guidonis senioris et Ermensendis de
Sancto Galarico filie amborumVII Kal Apr” with a reference to her visit to Cluny
where “beato Hugoni abbati” gave her “calicemaureum”[3682]. The editor of the
cartulary of Longpont quotes an inscription in the church of Longpont which
records that the body of "Audiernæcomitissæ Herici Montisharum ædium
fundatricis" was transferred into the church 31 Aug 1641[3683]. Guy [I] & his wife

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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
had seven children.

[3667] Ex continuatione Historiæ Aimoni Monachi Floriacensis, RHGF XI, p. 275.

[3668] Longpont Notre-Dame, LI, p. 97.

[3669] Longpont Notre-Dame, XLI, p. 88.

[3670] Liber Paris St Martin-des-Champs XII, p. 28.

[3671] Longpont Notre-Dame, XLVIII, p. 95.

[3672] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Longpont, pp. 525 and 529.

[3673] Ex continuatione Historiæ Aimoni Monachi Floriacensis, RHGF XI, p. 275.

[3674] Longpont Notre-Dame, Introduction, p. 20, quoting Brémeron, Sire de


(1713) Livre contenant les Inventaires des Titres du petit couvent de Longpont &
de ceux de l’Hôtel-Dieu de Paris, Archives de Seine-et-Oise, H. Prieuré de
Longpont.

[3675] Longpont Notre-Dame, XLI, p. 88.

[3676] Longpont Notre-Dame, XLVIII, p. 95.

[3677] Tardif (1866), 268, p. 167.

[3678] Paris St Martin-des-Champs, Vol. I, 6, p. 14.

[3679] Paris St Martin-des-Champs, Vol. I, 12, p. 29.

[3680] Corbeil Saint-Spire, I, p. 1.

[3681] Longpont Notre-Dame, XLVIII, p. 95.

[3682] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Longpont, pp. 525 and 529.

[3683] Longpont Notre-Dame, Introduction, pp. 23-4.

Selon Eric Bournazel, "De nombreux généalogistes se fondant sur un passage du


continuateur d'Aimoin ont fait de Gui le fils de Thibaud File Etoupe. Une note de
Depoin insérée in fini dans son "Cartulaire de Pontoise" a démontré qu'il n'en est
rien. L'auteur a justement noté que le passage du manuscrit d'Aimoin
traditionellement invoqué présentait une lacune" (in Le gouvernement
capétien,p.32).
Le véritable père de Gui serait Milon de Montlhéry, attesté par une charte de 1042
de la cathédrale d'Amiens.

-4905-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Note de : F.Ripart

Biographie

Fonts:
- persona: H.R.Moser ( EuSt-III/624 ), F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet)
http://pdelyon.free.fr, J-P.de Palmas (FMG) 11 viii 2013
- família: H.R.Moser/EuSt-III/624

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- persona: H.R.Moser/EuSt-III/624, F-L.Jacquier (Patrice Delyon, Le Vesinet)
http://pdelyon.free.fr, Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii
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- persona: J-P de Palmas (Seigneurs de Montlhéry)
- família: N. Danican (C. Toumanoff, manuel de généalogie pour l'histoire de la
Caucasie chrétienne, et R. Grousset, Croisades), 22ii05, Aurejac, J-P de Palmas

94.983.008:
Fonts:
- persona: J-L. Dega(Jaurgain),JL.Mondanel (généalogie d'Auvergne) 16 iii 2011
- família 1: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2014
- família 2: Joël Chirol (Armorial du Gévaudan 21/09/07)

94.983.009:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie d'Auvergne) 24 iii 2011
- naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: Joël Chirol (Armorial du Gévaudan 21/09/07)

94.983.009b:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (Armorial du Gévaudan 21/09/07)

94.983.010:
Roger I (c. 1031-1040[1] - June 22, 1101), called Bosso and the Great Count, was
the Norman Count of Sicily from 1071 to 1101. He was the leader who expelled the
Muslim Moors from Southern Italy, which was welcomed by the native Christians.
Roger I was also the last great leader of the Normans who ruled Southern Italy.

Conquest of Calabria and Sicily

Roger was the youngest son of Tancred of Hauteville by his second wife
Fredisenda. By tradition, he was said to be the descendant of the Norseman
(Viking) named Hiallt, who is said to have settled in Normandy of northern France
in the 10th century. Roger arrived in Southern Italy soon after 1055..[2] Geoffrey
Malaterra, who compares Robert Guiscard and his brother Roger to "Joseph and
Benjamin of old," said of Roger:

"He was a youth of the greatest beauty, of lofty stature, of graceful shape, most

-4906-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
eloquent in speech and cool in counsel. He was far-seeing in arranging all his
actions, pleasant and merry all with men; strong and brave, and furious in
battle.[3]"

For a time Roger lived like a bandit in his castle of Scalea, on the Gulf of Policastro.
He shared the conquest of Calabria with Robert. In a treaty of 1062, the brothers
divided the conquest by making a kind of "condominium," by which either was to
have half of every castle and town in Calabria.

Robert decided to use Roger's genius to conquer Sicily. At the time, it was ruled by
Arab Muslims and the population was mostly Greek Byzantine Christians. The Arab
princes had become all but independent of the sultan of Tunis. In May 1061 the
brothers crossed from Reggio and captured Messina. After they took Palermo in
January 1072, Robert Guiscard, as suzerain, invested Roger as Count of Sicily.
Robert retained Palermo, half of Messina, and the north-east portion (the Val
Demone). Not till 1085, was Roger able to undertake a systematic conquest.

In March 1086 Syracuse surrendered, and when in February 1091 Noto yielded,
the conquest was complete. Much of Robert's success had been due to Roger's
support. Similarly, when the leadership of the Hautevilles passed to Roger, he
supported his nephew Duke Roger against Bohemund I of Antioch, Lando IV of
Capua, and other rebels. In return for his uncle's aid against Bohemund and the
rebels, the duke Roger surrendered his share in the castles of Calabria to his uncle
in 1085, and in 1091 his inheritance in Palermo.

Roger's rule in Sicily became more absolute than that of Robert Guiscard's in Italy.
In addition, due to immigration by Lombards and Normans, Latin Christianity
gradually replaced that of the Greek Byzantine tradition. At the enfeoffments of
1072 and 1092, no great undivided fiefs were created. The mixed Norman, French
and Italian vassals all owed their benefices to the count. No feudal revolt of
importance arose against Roger.

Conquest of Malta

In 1091 Roger, in order to avoid an attack from North Africa, set sail with a fleet to
conquer Malta. His ship reached the island before the rest. On landing, the few
defenders the Normans encountered retreated and the following day Roger
marched to the capital Mdina. Terms were discussed with the local qadi. It was
agreed that the islands would become tributaries of the count himself and that the
qadi should continue to administer the islands. With the treaty many Greek and
other Christian prisoners were released, who chanted to Roger the Kyrie eleison.
He left the islands with many who wished to join him and so many were on his ship
that it nearly sank, according to Geoffrey Malaterra.

Rule of Sicily

Politically supreme, the count also became master of the insular church. The
Papacy, favouring a prince who had recovered Sicily from Greeks and Muslims, in
1098 granted Roger and his heirs the Apostolic Legateship of the island. Roger
created new Latin bishoprics at Syracuse, Girgenti and elsewhere, nominating the
bishops personally, while he turned the archbishopric of Palermo into a Catholic
see. He practiced general toleration towards Arabs and Greeks. In the cities, the
Muslims, who had generally secured such rights in their terms of surrender,
retained their mosques, their kadis, and freedom of trade; in the country, however,
they became serfs. Roger drew the mass of his infantry from the Muslims; Saint
-4907-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Anselm, visiting him at the siege of Capua, 1098, found "the brown tents of the
Arabs innumerable". Nevertheless, the Latin element began to prevail, as
Lombards and other Italians flocked to the island in the wake of the conquest, and
the conquest of Sicily proved decisive in the steady decline of Muslim power in the
western Mediterranean from this time.

Family

Roger's eldest son was a bastard named Jordan, who predeceased him. His second
son, Geoffrey, may have been a bastard, but may also have been a son of his first or
second wife. Whatever the case, he was a leper with no chance of inheriting.

Roger's first marriage took place in 1061, to Judith, daughter of William, Count of
Évreux and Hawisa of Échauffour. She died in 1076, leaving all daughters:

A daughter, married Hugh of Gircea (died 1075/6), the first count of


Paternò
Matilda (1062 - before 1094) married firstly (repudiated before 1080) as
his second wife, Robert, Count of Eu married secondly (1080, divorced
1088) as his second wife, Raymond IV of Toulouse
Adelisa (died 1096), married in 1083 to Henry, Count of Monte
Sant'Angelo
Emma (died 1120), briefly engaged to Philip I of France; married firstly
William VI of Auvergne and secondly Rudolf, Count of Montescaglioso.

In 1077, Roger married a second time, to Eremburga of Mortain, daughter of


"William, Count of Mortain" (probably William Warlenc). Their children were:

Mauger, Count of Troina


Matilda, married Guigues III, Count of Albon
Muriel (died 1119), married Josbert de Lucy
Constancia, married Conrad of Italy
Felicia, married King Coloman of Hungary
Violante, married Robert of Burgundy, son of Robert I of Burgundy
Flandina, married Henry del Vasto
Judith (died 1136), married Robert I of Bassunvilla

Roger's third and last wife was Adelaide del Vasto, niece of Boniface, Lord of
Savona. They married in 1087. Their children were: Simon, Count of Sicily Matilda,
married Ranulf II, Count of Alife Roger II, Count, later King, of Sicily Maximilla,
married Hildebrand VI (of the Aldobrandeschi family)

Notes

1.^ The exact date of his birth is unknown. According to Hubert Houben, he was
probably born later, around 1040 (see: Roger II of Sicily: a ruler between East and
West, 2002)
2.^ Hill, James S. The Place-names of Somerset, St. Stephen's printing works,
1914, Princeton University. Page 256
3.^ Revue de l'Avranchin et du pays de Granville, Volume 31, Issue 174, Parts 3-4.
"Société d'archéologie, de littérature, sciences et arts d'Avranches, Mortain,
Granville," University of Michigan.

-4908-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Bibliography

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Longmans, 1967.
 Aubé, Pierre. Roger II de Sicile. Un Normand en Méditerranée. Payot,
2001.
 Houben, Hubert (translated by Graham A. Loud and Diane Milburn).
Roger II of Sicily: Ruler between East and West. Cambridge: Cambridge
University Press, 2002.
 Alex Metcalfe. The Muslims of Medieval Italy. Edinburgh, 2009.

http://en.wikipedia.org/wiki/Roger_I_of_Sicily

ROGER de Hauteville, son of TANCRED de Hauteville & his second wife Fressenda
--- ([1031]-Mileto 22 Jun 1101, bur Mileto, Abbey of the Holy Trinity). Malaterra
names "septimus Rogerius minor" last among the sons of Tancred & his second
wife[385]. The Annals of Romoald agree that he was the youngest son[386].
Amatus records that the brothers "Mauger, Geoffrey, William and Roger" arrived in
Apulia from Normandy[387], dated from the context to [1054/57]. He joined his
brother Robert Guiscard in Calabria in autumn 1057, where he soon subdued much
of the western part of the peninsula from his base at Cape Vaticano. He helped
suppress a rebellion in Melfi, but quarrelled with his brother and left his service in
early 1058. He joined his brother Guillaume Count of the Principate, and installed
himself in the castle of Scalea from where he led a life of brigandage. He helped
his brother Robert Guiscard to suppress the rebellions in Calabria triggered by the
famine of 1058, in return for the promise of half the territory involved. He captured
Messina in 1061, and crossed to Sicily. The Chronicon Breve Normannicum records
"Rogerius comes" captured "Mandorium" in 1061[388]. Still not having received his
reward for helping Robert Guiscard in 1058, Roger issued an ultimatum in 1062.
Robert reacted by besieging Roger at Mileto, but was captured at Gerace. A
compromise was reached, seemingly based on a scheme to divide each town and
castle into two separate areas of influence[389]. Roger returned to Sicily in Aug
1062, basing himself at Troina. After being besieged there for four months, he
defeated the Muslims at Cerami in 1063. Further progress in the conquest was
slow, but marked by the victory at Misilmeri in 1068. He helped his brother
capture Bari in 1071, the two of them returning immediately afterwards to Sicily
where they took Palermo in 1072 after offering terms of surrender which were
favourable to the Muslim population. Robert Guiscard claimed suzerainty over the
island, having been invested as Duke by the Pope several years earlier, but
installed his brother as ROGER I Count of Sicily. According to Houben, Roger
never used the title "magnus comes" or "Great Count", which was attributed to him
in documents after his death. Houben also points out that "magnus" may have been
intended in the sense of "elder" in the later documentation, to distinguish him from
his son[390]. Progress in conquering the island of Sicily was slow, and further
delayed by calls from Robert "Guiscard" for Roger's military help in Apulia.
However, Trapani was conquered in 1077, and Taormina in Aug 1079. In 1081, the
Muslims recaptured Syracuse, but lost it again to Roger's son Jourdain. Roger's
conquest of Sicily was completed by 1091, when he also captured Malta.
Magnanimous in victory, he was able to lay the foundations for a highly successful,
multi-cultural state in Sicily where Muslim, Greek and Norman elements all
prospered. Roger I also established control in areas of peninsular Italy. His nephew
Roger "Borsa" Duke of Apulia ceded him those parts of Sicily and Calabria which
were still under the control of Apulia in return for military support against his half-
brother Bohémond. Roger I also demanded the lordship of Naples in return for
helping Richard II Prince of Capua establish himself in 1098. He founded the
Benedictine Abbey at Mileto where he was buried. Lupus Protospatarius records
-4909-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
the death in Jun 1101 of "Rogerius comes Siciliæ"[391]. The Annales Siculi record
the death in Jul 1101 of "comes Rogerus pater regis Rogerii"[392]. The monk
Conrad´s Brevis Chronica records the death in Jul 1101 "apud Miletum" of "Comes
[Rogerius comes]" and his burial "in ecclesia quam ipse fundaverat"[393].
m firstly (San Martino d'Agri Nov 1061) JUDITH d'Evreux, daughter of
GUILLAUME d'Evreux [Normandie] & his wife Hawise --- (-1076). Orderic Vitalis
names “Judith” who later married “Rogerii comitis Siciliæ” as the child of
“Willermo Rodberti archiepiscopo filio” and his wife[394]. Orderic Vitalis records
that “duæ sorores uterinæ Rodberti abbatis [Robert de Grantmesnil, ex-abbot of
Ouche] Judith et Emma” had been left “apud Uticum in capella sancti Ebrulfisub
sacro velamine”, that when they learnt that “Rodbertum fratrem suum” was
established in Apulia with “secular power” (“sæculari potentia”) they left for Italy
where they both married, Judith marrying “Rogerius Siciliæ comes” and Emma
marrying “aliusque comes, cujus nomen no recolo”, dated to [1061/63][395].
Malaterra records the marriage "apud Sanctum Martinum" of "abbatum Sanctæ
Euphemiæ Robertum…Judicta sorore sua" and Count Roger[396]. Left at Troina in
Aug 1062 while her husband left to campaign further in Sicily, the citizens of the
town attempted to take her hostage. She and her returned husband were besieged
for four months.
m secondly ([1077]) EREMBURGE de Mortain, daughter of ROBERT Comte d'Eu
[Normandie] & his first wife Béatrice --- (-[1087]). Malaterra records the death of
"Eremburga filia Gulielmi comitis Mortonensis" wife of "comes Rogerius", dating
the event to 1089[397].
m thirdly ([1087]) as her first husband, ADELAIDA del Vasto, daughter of
MANFREDO del Vasto Marchese di Savona [Monferrato] & his wife --- ([1072]-
Palermo 16 Apr 1118, bur Patti, Convent of San Salvatore). Her origin is confirmed
by Malaterra who records the marriage of "comes Rogerus" and
"Adelaydem…neptem Bonifacii…Italorum marchionis, filiam…fratris eius", dating
the event to 1089[398]. According to Houben[399], she was "barely 15" on her first
marriage, although the basis for this statement is not known and if it is correct her
assumed birth year would be earlier or later than [1072] depending on the actual
year of the marriage. She was regent of Sicily for her sons Count Simon and Count
Roger II 1101-1112, jointly with Robert de Bourgogne, the husband of one of her
step-daughters. She suppressed rebellions by her vassals with great severity.
"Adalaidis comitissa Sicilie et Calabrie cum filio meo Rogerio" donated property to
the church of St Bartholomew for the soul of "dmi mei comitis Rogerii" by charter
dated [Mar 25/31 Aug] 1107[400]. "Adalasia comitissa Siciliæ et Calabriæ
et…comes Rogerius filius eius" donated property to the bishopric of Squillace on
the advice of "ipsorum baronum…Roberti Borelli et Gosberti de Licia et Willelmi de
Altavilla" by charter dated [Mar 25/31 Aug] 1107[401]. She established the Sicilian
capital at Palermo [Mar/Jun] 1112. She married secondly (Acre Sep 1113,
repudiated 1117) as his third wife, Baudouin I King of Jerusalem. Fulcher of
Chartres specifies that King Baudouin married the widow of Roger Count of Sicily
and names her "Adelaidis" in a later passage[402]. Albert of Aix records the
marriage at Acre of King Baudouin to the widow of "Rotgeri ducis Siciliæ, fratris
Boemundi", describing in detail the magnificence of her suite, dated to [1113] from
the context[403]. As a condition of her second marriage, she insisted that her son
by her first marriage, Roger Count of Sicily, would become heir to Jerusalem if the
second marriage produced no other heir[404]. Albert of Aix records that Arnoul
Patriarch of Jerusalem ordered the king to repudiate his wife "propter adulterium"
in relation to his "prima conjuge, de orta de principibus Armeniæ", implying that
the former wife was still alive when the king remarried, but adds that the king was
also accused of consanguinity with his wife who was "ortæ de sanguine Gallorum",
whereupon his wife returned to Sicily[405]. Fulcher records her death in Sicily in
April immediately after recording the death of King Baudouin[406]. The Annales
Siculi record the death in 1118 of "Adelasia regina Ierosolimitana mater regis
Rogerii"[407]. The monk Conrad´s Brevis Chronica records the death in 1118 of
"Adelasia uxor comitis Rogerii, mater regis Rogerii"[408]. Count Roger I & his first
wife had [five] children. Count Roger & his second wife had nine children. Count
-4910-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Roger & his third wife had three children. Count Roger had one illegitimate child
by an unknown mistress.
[385] Malaterra, I.4, p. 9.
[386] Romoaldi Annales 1057, MGH SS XIX, p. 405.
[387] Amatus III.43, p. 101.
[388] Chronicon Breve Nortmannicum, RIS V, p. 278.
[389] Norwich (1992), p. 151.
[390] Houben (2002), p. 23.
[391] Lupus Protospatarius 1101, MGH SS V, p. 61.
[392] Annales Siculi, Malaterra, p. 116.
[393] Epistola fratres Conradi…Panormitana ad episcopum Cathanensem, sive
Brevis Chronica 1027-1083, Rerum Italicarum Scriptores, Tome I, Part 2, p. 278.
[394] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, p. 30.
[395] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, V, p. 91.
[396] Malaterra, II.19, p. 35.
[397] Malaterra, IV.14, p. 93.
[398] Malaterra, IV.14, p. 93.
[399] Houben (2002), p. 24.
[400] Brühl, C. R. (ed.) (1987) Codex Diplomaticus Regni Siciliæ, Series I, Tomus
II/1. Rogerius II. Regis Diplomata Latina (Köln, Wien) ("Rogerius II. Regis
Diplomata Latina"), I, p. 3.
[401] Rogerius II. Regis Diplomata Latina, 2, p. 4.
[402] RHC, Historiens occidentaux, III (1866) Fulcherio Carnotensi Historia
Hierosolymitana, Gesta Francorum Iherusalem Peregrinantium (Paris) ("Fulcher")
II.LI and LIX, pp. 428 and 433.
[403] Albert of Aix (RHC), Liber XII, Cap. XIII, p. 696.
[404] WT XI.XXI, p. 488.
[405] Albert of Aix (RHC), Liber XII, Cap. XXIV, p. 704.
[406] Fulcher II.LXIV, p. 436.
[407] Annales Siculi, Malaterra, p. 116.
[408] Epistola fratres Conradi…Panormitana ad episcopum Cathanensem, sive
Brevis Chronica 1027-1083, Rerum Italicarum Scriptores, Tome I, Part 2, p. 278.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 6 xii 2015
- família 1, família 3: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 xii 2015
- família 2: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, , J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 6 xii 2015
- família 4: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 xii 2015

94.983.011:
JUDITH d'Evreux (-1076). Orderic Vitalis names her, gives her parentage and
records her marriage[1872]. In another passage, the same source specifies that her
mother had only one daughter by her second marriage[1873]. Her half-brother
Robert de Grandmesnil, Abbé de Saint-Evroul-sur-Ouche, was her guardian. After
quarrelling with Guillaume II Duke of Normandy, he fled Normandy with Judith,
her brother and sister, first to Rome where he tried to seek redress from the Pope,
and then to Robert Guiscard in Apulia who had founded the abbey of Santa
Eufemia in Calabria for him[1874]. Malaterra records the marriage "apud Sanctum
Martinum" of "abbatum Sanctæ Euphemiæ Robertum…Judicta sorore sua" and
Count Roger[1875]. m (San Martino d'Agri Nov 1061) as his first wife, ROGER de
Hauteville, son of TANCRED de Hauteville & his [second wife] [Fressenda] ([1031]-
Mileto 22 Jun 1101, bur Mileto, Abbey of the Holy Trinity). His brother installed
him as ROGER I Count of Sicily in 1072.
References
-4911-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1872] Orderic Vitalis, Vol. II, Book III, p. 31.
[1873] Orderic Vitalis, Vol. II, Book III, p. 23.
[1874] Norwich, J. J. (1992) The Normans in the South 1016-1130 and The
Kingdom in the Sun 1130-1194 (Penguin Books), p. 147.
[1875] Malaterra, II.19, p. 35
Fonts: - persona: L. Gustavsson, , J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 28 iv 2011
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere (corrections et
ajouts avec http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 xii
2015

94.983.011a:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015

94.983.011c:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes,, JB.de La Grandiere (corrections
et ajouts avec http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii
2015
- família 2: H.R.Moser/EuSt

94.983.011d:
Jourdain est le fils aîné de Roger mais le nom de sa mère, peut-être une concubine,
est inconnue. Il nait probablement en Italie du Sud entre l'an 1056 et l'an 1062[1]. /
(jblg 11/2/2015 élément corrigé avec fmg, Jourdain est fils de Judith; c'est Norwich
et Houben qui accréditèrent la naissance illégitime de Jourdain sans en donner les
éléments qui convainquent). Il s'illustre en Sicile contre les Musulmans aux côtés
de son père, notamment lors des sièges de Trapani (1077) et de Taormina (1079),
et participe à la prise de Noto (1091), qui marque la fin de la conquête normande
de l'île. Cependant, en 1075 (ou 1076), aux côtés de son beau-frère Hugues de
Jersey, il avait subi près de Catane une défaite face aux troupes musulmanes de
Benavert, réussissant à fuir contrairement à Hugues qui trouva la mort au combat.
Peu après la rébellion d'un vassal de Roger, Angelmar (1082), Jourdain se révolte
en Sicile contre son père avec quelques barons, Roger se trouvant sur le continent.
Ce dernier lui pardonne néanmoins, condamnant seulement les conseillers de son
jeune fils. En 1089, son père lui arrange des fiançailles avec une noble d'Italie du
Nord, soeur de Adélaïde de Montferrat, dernière femme de Roger.
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009

94.983.011e:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009

94.983.011-2a:
[FELICIA] of Sicily ([1078]-[1102]). Malaterra records the marriage in 1097 of
"Colomannus…rex Ungarorum" and "comitis Rogerii…filiam suam" but does not
name her[434]. Given that she gave birth to four known children before her death,
it is unlikely that she was born much later than [1078], in which case she would
have been the oldest child by Count Roger's second marriage. The marriage was

-4912-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
arranged, with the help of Pope Urban II, to seal King Kálmán's alliance with the
Normans of Sicily against Byzantium. King Kálmán's wife is named Felicia in
Europäische Stammtafeln[435], but the primary source on which this is based has
not been identified. She is sometimes referred to as "Buzilla", but according to
Kerbl this is simply a corruption of the French "pucelle"[436]. According to
Houben, her name is unknown[437].
m (1097) as his first wife, KÁLMÁN "Könyves/the Bookman", King of Hungary, son
of GÉZA I King of Hungary & his first wife Sophie van Looz (1065-3 Mar 1116).
[434] Malaterra, IV.23, p. 101.
[435] ES II 154.
[436] Kerbl, R. (1979) Byzantinische Prinzessinnen in Ungarn zwischen 1050-1200
und ihr Einfluß auf das Arpadenkönigreich (VWGÖ, Vienna), p. 21.
[437] Houben (2002), p. 23.
Fonts: - persona: G.Bor/EuSt/Theroff, JB.de La Grandiere (corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015

94.983.011-2b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015
- família: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015

94.983.011-2c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere (corrections et
ajouts avec http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii
2015

94.983.011-2d:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015

94.983.011-2e:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569 ) 11 ii 2015
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, J-P.de Palmas (FMG) 12 x 2016

94.983.011-2f:
MATHILDE of Sicily (-after [1132]). The De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis of
Alessandro Abbot of Telese names "comitissæ Mathildis sororis Regis Rogerii,
conjugisque Ranulphi comitis"[449]. The De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis of
Alessandro Abbot of Telese records that "comitissa Mathildis", hearing that
"Rogerium regem fratrem suum" had gone from Alife to Salerno, rejoined her
brother who restored her dowry "tota vallis Caudina", dated to [1130] from the
context[450]. The Chronicle of Falco Beneventano records that Roger King of Sicily
disinherited "principem Robertum et Rainulphum comitem" in 1132 and in the
same year sent "Mathildi uxori suæ" (wife of "Rainulphum") to Sicily to escape her
husband[451]. The De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis of Alessandro Abbot of
Telese records that Roger King of Sicily sent "Mathildem sororem suam…cum filio
suo Roberto" to Sicily to avoid her husband, dated to [1130] from the context[452].
The De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis of Alessandro Abbot of Telese records
that "comiti Ranulpho" demanded the return of Avellino and Mercogliano, along
with his wife and son, from Roger King of Sicily at Taranto, dated to [1130/32] from
the context[453].
m (before 1127, separated [1130/32]) RAINULFO, Conte di Alife e di Avellino, son
-4913-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
of ROBERTO Conte di Airola, Alife e Caiazzo & his wife Gaitelgrima --- (-30 Apr
1139).
[449] Alexandri Telesini Cœnobii Abbatis de Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis
("Alessandro of Telese´s De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis)", Re, G. del (ed.)
(1845) Cronisti e scrittori sincroni Napoletani, Vol. 1 (Napoli), Preface, p. 88.
[450] Alessandro of Telese´s De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis, II.XIV, p. 106.
[451] Falco Beneventano, p. 207.
[452] Alessandro of Telese´s De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis, II.XVI, p. 107.
[453] Alessandro of Telese´s De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis, II.XXV, p. 110.

Selon Patrick Deret, elle serait bien fille de Roger Ier de Sicile, mais de sa 2e
épouse Eremburge de Mortain et pas de la troisième car cela aurait impliqué
qu'elle ne pourrait être née qu'entre 1088 et 1101, ce qui provoquerait
d'innombrables difficultés et impossibilités ultérieures en cascade.
Jean-Pierre de Palmas : in wikipedia, 8 vi 2011 "L'épouse de Guigues d'Albon est
bien une Mathilde elle est connue de Thierry Stasser, lequel dans Où sont les
femmes ? in Prosopographica et Genealogica Oxford 2005, la donne comme fille de
Roger de Hauteville; elle n'a donc rien à voir avec Mathilde of England."
J-B de La Grandière (message forum du 8 vi) 12 vi 2011 Nommée par presque
toutes les sources, jusqu'au début du XXI° siècle, Mathilde d'Angleterre dite
Regina. J-C de Vaugiraud 12 vi 2011
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569
ne lui donne pas d'autre époux que Rainulf di Alife mais il ne devait pas avoir les
éléments de Thierry Stasser
JB de La Grandière 11/2/2015
Fonts: - persona: Jean-Pierre de Palmas (wikipedia, Base Geneanet Patrick Deret et
FMG) 8 vi 2011
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG)
6 xii 2015

94.983.011-2g:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009
- família 1, família 2: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015

94.983.011-2h:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes,, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015

94.983.011-2i:
JUDITH of Sicily (-before 19 Oct 1136). "Jullita filia comitis Rogerii cum consensus
fratris mei Rogerii regis Sicilie ducatus Apulie et principatus Capue" founded a
Cluniac abbey at Sciacca by charter, dated 1103 although this date appears
incorrect in view of the title attributed to her brother which he only acquired in
1130[464]. The primary source which confirms her marriage has not yet been
identified, although it is suggested by Ioannes Kinnamos who names "Bassavilla
Rogerii Siciliæ tyranni ex sorore nepos"[465]. It also suggested by the Chronicle of
Romualdo Guarna which records that "Robertus de Basavilla comes de Conversano
consobrinus frater eiusdem regis" was present at the coronation of Guillaume I
King of Sicily (in 1154)[466]. "Robert de Bassonville comte de Conversano"
donated the church of San Martino di Molfetta to Cava by charter dated 19 Oct
1136 which names "feue Judith femme du comte et Robert leur fils"[467].
m (1110) ROBERT [I] de Basonville "Chaperon", son of --- (-before Sep 1142). Roger
II King of Sicily created him Conte di Conversano in 1136.
[464] Houben (2002), p. 86.
-4914-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[465] Meineke, A. (ed.) (1836) Ioannes Cinnamus, Nicephorus Bryennius, Corpus
Scriptorum Historiæ Byzantinæ (Bonn) ("Ioannes Kinnamos") Liber IV, 2, p. 136.
[466] Romualdo Guarna, p. 19.
[467] Chalandon (1907), Tome II, p. 182, citing Archives de Cava, G.
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, J-P de Palmas (FMG) 8 vi 2011
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

94.983.011-3a:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 xii 2015

94.983.011-3b:
ROGER of Sicily, son of ROGER I Count of Sicily & his third wife Adelaida di
Savona [Monferrato] ([22 Dec 1095]-Palermo 26 Feb 1154, bur Palermo
Cathedral). The Annals of Romoald name "frater eius [=Symonis] Rogerus comes"
when recording that he succeeded his brother[470]. His birth date is calculated
back from Romuald recording his date of death 27 Feb 1154, at the age of 58
years, two months and 5 days according to the chronicle of Romuald of
Salerno[471]. He succeeded his brother in 1105 as ROGER II Count of Sicily, under
the joint regency of his mother and his brother-in-law Robert de Bourgogne. The
De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis of Alessandro Abbot of Telese records that
"frater primogenitus…Simon" succeeded his father, but died and was succeeded by
his brother Roger under the tutelage of "genitrix illius Adalasia"[472]. Declared of
age after 12 Jun 1112, the date of the last document issued jointly with his
mother[473]. "Rogerius Sicilie atque Calabrie comes" confirmed a judgment
relating to Bagnara by charter dated [Oct] 1116 witnessed by "Henricus avunculus
comitis, Robertus Avenellus, Rainaldus de Tirone"[474]. He strengthened the
Sicilian navy, which became one of the most powerful in the Mediterranean. As the
price for assisting Guillaume Duke of Apulia to crush the rebellion of Jordan Conte
di Ariano in 1122, Roger insisted on retaking Guillaume's half share in the cities of
Palermo and Messina along with the whole of Calabria. In revenge for the
Almoravid attack on Nicotera, on the coast of Calabria, in 1122, a Sicilian fleet
sailed in Jul 1123 with the aim of attacking Mahdia on the north African coast, but
the expedition was defeated by the Zirid emir al-Hassan. He seized Montescaglioso
in 1124, claiming to succeed to his deceased sister Emma. Duke Guillaume
promised to recognise Roger II as his heir at Messina in 1125, and when the former
died in 1127 Roger acted swiftly to assert his rights, laid siege to Salerno and had
himself acclaimed as Duke of Apulia at Reggio, ignoring the fact that the dukedom
should have reverted to the Papacy according to the legal rules of fiefdom[475].
Pope Honorius II, as rival claimant, formally forbade Roger from assuming the title
of Duke. The crisis escalated, with the two sides mustering troops on the River
Bradano in the eastern Basilicata in the summer of 1128. The Pope conceded faced
with the strength of the Sicilian forces, investing Roger as Duke 22 Aug 1128
outside the walls of Benevento. In 1129, Roger II expanded his area of authority in
Apulia, capturing Taranto, Nardò and Bari, though failing to take Brindisi. He had
all counts, bishops and abbots swear allegiance to him at a solemn court at Melfi in
Sep 1129. His conquest of southern Italy was completed in 1130 when Robert II
Prince of Capua submitted to him. He claimed the principality of Antioch in 1130 as
the nearest male heir of Bohémond II, but was unable to press this due to his
preoccupations in southern Italy. Taking advantage of the further weakness of the
Papacy following the schism of Feb 1130, he pressured anti-Pope Anacletus II to
invest him (by Papal Bull at Benevento 27 Sep 1130) as ROGER II King of Sicily,
justified on the fiction that Sicily had once been a kingdom[476]. He was crowned
at Palermo 25 Dec 1130. The duchy of Naples submitted to him in 1131. However,
he was faced with rebellion by barons in Apulia, led by his brother-in-law Rainulf
Conte di Alife, who defeated him at Nocera 25 Jul 1132. In 1133, Roger II exacted
his revenge, capturing Venosa, Montepeloso, Acerenza, Bisceglie, Trani and Troia.
-4915-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
With the arrival of Emperor Lothar in Italy, allied with Pope Innocent II, Roger
suffered reverses, Salerno surrendering to Imperial forces 8 Aug 1137. Emperor
Lothar and Pope Innocent II jointly invested Rainulf Conte di Alife as Duke of
Apulia. Roger II re-entered Salerno in Oct 1137, but was defeated by Rainulf at
Rignano near Monte Gargano, 30 Oct 1137. He unsuccessfully attempted to
conciliate with Pope Innocent II after the death of Anacletus II in Jan 1138.
Innocent II announced Roger's excommunication at the Second Lateran Council in
Apr 1139, but with the death of Rainulf later the same month Roger was able to
reassert control over the whole of southern Italy. He captured Pope Innocent II at
San Germano (now Cassino) and obliged the Pope to crown him again 25 Jul 1139.
Able now to turn his attention to north Africa, Roger II's fleet began plundering
coastal towns taking advantage of the weakness of the Zirid emir. The capture of
Tripoli in 1146 marked the start of a period of conquest, with Mahdia, Susa and
Sfax falling in 1148. The area was settled by Sicilian colonists, the local Muslim
inhabitants treated with tolerance, but Sicily's north African expansion was short-
lived, falling to the Almohads after Roger II's death. In the meantime relations with
Germany and Byzantium had grown tense, in part through the negotiations
between Emperor Konrad III and Emperor Manuel I for the latter's marriage with
the German Emperor's sister-in-law Bertha von Sulzbach, part of whose dowry was
confirmed under the Treaty of Thessaloniki 1348 as the duchy of Apulia. Roger II
launched attacks against Byzantium in 1147, partly to forestall any action on the
part of the Byzantine/German alliance, and captured Corfu, Corinth and Thebes,
although the Byzantine/Venetian alliance defeated the Sicilian fleet off Cape Malea
in 1149 and soon recaptured Corfu. Robert of Torigny records the death "1154 IV
Kal Mar" as "Rogerius rex Sicilie"[477]. The Annales Siculi record the death in
1154 of "Rogerius rex Siciliæ, ducatus Apuliæ et principatus Capuæ"[478].

m firstly ([1117]) Infanta doña ELVIRA de Castilla y León, daughter of don


ALFONSO VI King of Castile and León & his [fifth wife Isabel née Zaïda ---]
([1100/16 Mar 1104]-6 Feb 1135). The Chronicon Regum Legionensium names
"Sancha the wife of count Rodrigo and Elvira who married Duke Roger of Sicily" as
the daughters of King Alfonso and his fourth "legitimate wife…Elisabeth"[479].
Both daughters are named in a charter dated 16 Mar 1104[480]. In view of the
dates of their marriages, it is unlikely that they were born much before this date.
This suggests that their mother may have been King Alfonso's fifth wife, formerly
known by her Muslim name Zaïda, although if their estimated birth dates are
correct there would have been an interval of several years between their births and
the birth of their older brother Sancho, which seems surprising. In the case of
Elvira, there is another factor which suggests that Zaïda may have been her
mother, which is discussed below. The Annals of Romoald name "Albiriam filiam
regis Yspanie" as wife of "rex Rogerius…cum esset comes et iuvenis"[481].
According to Reilly, Elvira daughter of King Alfonso by "Elisabeth" married
Fernando Fernández[482]. If this was correct, it would mean that King Roger's wife
was King Alfonso's daughter by Jimena Muñoz (see below), which seems unlikely
given the estimated birth date of the older Elvira. It would also mean that King
Roger's wife was the widow of Raymond de Saint-Gilles Comte de Toulouse.
However, if that was the case, it would be surprising that the fact was not
mentioned in contemporary chronicles, considering how widely Raymond's
crusading exploits were recorded. Assuming that Zaïda was the mother of King
Roger's wife, her half-Muslim extraction may have been a factor which favoured
the marriage, as King Roger's good relations with the largely Muslim population of
Sicily was fundamental to the success of his dynasty in the island. The De Rebus
Gestis Rogerii Siciliæ Regis of Alessandro Abbot of Telese records the death of
"Alberia regina", dated to [1134/35] from the context[483]. The Chronicle of
Romualdo Guarna records the deaths of "Albyria…regina…et filia eius…Tarentinus
princeps et Anfusus Capuanorum princeps et Henricus", recorded in a section
dealing with 1145 although the text appears to be recapitalitive of earlier
events[484].

-4916-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
m secondly (1149) SIBYLLE de Bourgogne, daughter of HUGUES II "Borel/le
Pacifique" Duke of Burgundy [Capet] & his wife Mathilde de Mayenne ([1126]-
Salerno 16 Sep 1150, bur Monastery of the Trinity de la Cava de Tirreni). The
Annals of Romoald name "Sibiliam sororem ducis Burgundie" as the second wife of
"rex Rogerius", specifying that she died at Salerno soon after their marriage and
was buried "apud Caveam"[485]. The Chronicle of Romualdo Guarna records that
King Roger married "Sibiliam sororem ducis Burgundiæ" and that she died soon
after at Salerno and was buried "apud Caveam", dated from the context to after the
death of the king´s oldest son (in 1149)[486]. A short anonymous Chronicle of
Cassino records the death of "Sybilla regina" in 1150[487]. The Annales Casinenses
record the death in 1151 of "Sibilla regina"[488]. Chalandon states that King
Roger´s second wife died in childbirth, which he dates to 19 Sep 1151[489].

m thirdly (1151) BEATRICE de Rethel, daughter of ITHIER de Vitry Comte de


Rethel & his wife Béatrice de Namur ([1130/32]-30 Mar 1185). The Annals of
Romoald name "Beatricem filiam comitis de Reteste" as the third wife of "rex
Rogerius"[490]. The Chronicle of Romualdo Guarna names "Beatricem filiam
comitis de Reteste" as the third wife of King Roger and mother of
"filiam…Constantiam"[491]. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names
"Hugonem et Manassem cum aliis filiis et filiabus" children of "comitis Witeri de
Retest", specifying that one daughter married "Rogerus rex Sicilie"[492]. The
Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names (in order) "Albertum Sancti
Lamberti Leodiensis prepositum, comitem de Reytest Manasserum, castellanum
Vitriaci Henricum et Hugonem et Balduinum…et tres sorores" as the children of
"comiti Guithero Reytestensi" & his wife, naming the first daughter "regina Sicilie
Beatrix"[493]. The Chronicon Hanoniense refers to the two daughters of "comitissa
Retensis [filiam Godefridi comitis Namurcensi]", specifying that "rex Sicilie
Rogerus" married one as his second wife[494].

Mistress (1): --- di Molise, daughter of [HUGUES [I] Conte di Molise & his wife ---].
The Ignoti Monachi Chronica records that in 1141 King Roger married "sororem
comitis Ugonis de Molisio" by whom he had "filium Symonem, quem constituit
principem Capue"[495]. Houben assumes that she was the mistress of King
Roger[496], but assuming the date quoted in the Ignoti Monachi Chronica is
correct, it is not impossible that the couple married as it is after his first wife´s
death and well before his marriage with his known second wife.

Mistresses (2) and (-): ---. The names of King Roger's other mistresses are not
known.

[470] Romoaldi Annales 1101, MGH SS XIX, p. 413.


[471] Houben (2002), p. 31.
[472] Alessandro of Telese´s De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis, I.III, p. 90.
[473] Houben (2002), p. 30.
[474] Rogerius II. Regis Diplomata Latina, 5, p. 13.
[475] Houben (2002), p. 42.
[476] Houben (2002), p. 52.
[477] Delisle, L. (ed.) (1872) Chronique de Robert de Torigni, abbé de Mont-Saint-
Michel (Rouen) I, 1154, p. 283.
[478] Annales Siculi, Malaterra, p. 116.
[479] Chronicon Regum Legionensium: Barton, S. and Fletcher, R. (trans. and eds.)
The World of El Cid: Chronicles of the Spanish Reconquest (Manchester UP), p. 87.
[480] Reilly, B. F. (1988) The Kingdom of León-Castilla under King Alfonso VI 1065-
1109 (Princeton University Press), Chapter 14, p. 318, in the Library of Iberian
Resources Online, consulted at <http://libro.uca.edu/alfonso6/alfonso.htm> (7 Dec
2002).
[481] Romoaldi Annales, MGH SS XIX, p. 421.
-4917-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[482] Reilly, B. F. (1982) The Kingdom of León-Castilla under Queen Urraca 1109-
1126 (Princeton University Press), Chapter 7, p. 218, in the Library of Iberian
Resources Online [consulted at http://libro.uca.edu/urraca/urraca.htm (7 Dec
2002).
[483] Alessandro of Telese´s De Rebus Gestis Rogerii Siciliæ Regis, III.I, p. 129.
[484] Romualdo Guarna, 1145, p. 16.
[485] Romoaldi Annales, MGH SS XIX, p. 425.
[486] Romualdo Guarna, 1145, p. 16.
[487] Anonymi monachi Cassinensis breve chronicon ("Cassinensis breve
chronicon"), Re, G. del (1845) Cronisti e scrittori sincroni Napoletani, Vol. 1
(Naples), p. 467.
[488] Annales Casinenses 1151, MGH SS XIX, p.
310.
[489] Chalandon (1907), Tome II, p. 106, citing
Necrol. Pan, in Forschungen, Tome XVIII, p. 474.
[490] Romoaldi Annales, MGH SS XIX, p. 425.
[491] Romualdo Guarna, 1145, p. 16.
[492] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 9,
MGH SS XIII, p. 253.
[493] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium
1168, MGH SS XXIII, p. 852.
[494] Gisleberti Chronicon Hanoniense, MGH SS
XXI, p. 508.
[495] Gaudenzi, A. (ed.) (1888) Ignoti monachi
Cisterciensis S. Maria de Ferraria Chronica
(Naples) ("Ignoti Monachi Chronica"), p. 28.
[496] Houben, p. 36 footnote 10

Roger de Hauteville, le premier roi de Sicile, tel


que représenté
à l'église de la Martorana de Palerme.
Le royaume de Sicile a dans le passé recouvert
plusieurs zones géographiques différentes au fil du temps. L'histoire du royaume a
été particulièrement mouvementée, marquée par des assassinats, des guerres de
succession, des séparations. Les rois de Sicile n'ont donc pas tous régné sur un
territoire identique. On a même pu parler, lors des périodes au cours desquelles les
territoires ont été réunis de « Royaume des Deux-Siciles ».
Géographiquement, la Sicile est l'île de forme triangulaire (parfois appelée de ce
fait Trinacrie) qui se trouve à l'extrémité sud-ouest de la péninsule italienne. Mais
le royaume qui porte le nom de cette île ne s'est pas limité aux limites insulaires. Il
a été l'objet de convoitises de la
part des plus grandes familles
européennes, qui se sont battues
pour s'en assurer la possession.
Historiquement, jusqu'au XIe siècle,
la Sicile était depuis quatre siècles
sous domination musulmane. C'est
alors que des comtes normands de
la famille de Hauteville en firent la
conquête et s'intitulèrent comtes de
Sicile. Le comte Roger II prit le
contrôle des comtés et principautés
normandes de l'Italie méridionale :
(Apulie, Calabre, Capoue, Bénévent)
et reçut en 1130 du pape le titre de roi de Sicile, de Pouilles, de Longobardie et
d’Afrique, ce terme représentant la moitié sud de l'Italie et l'île sicilienne. Le
royaume passa ensuite par mariage à la maison impériale de Hohenstaufen. A
propos du château de Bari

-4918-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
C’est le roi normand Roger II qui, en 1131, construit ici un premier château,
partiellement sur des habitations d’époque byzantine et partiellement sur les
structures d’un complexe cultuel du onzième siècle. D’abord un mot d’histoire. Le
Normand Robert d’Hauteville dit le Guiscard conquiert le sud de l’Italie
continentale, et son jeune frère Roger la Sicile, dont il devient roi sous le nom de
Roger Premier. Ces conquêtes s’étalent, au onzième siècle, du milieu des années
cinquante à 1070. Le fils de Roger I, Roger II, né en 1095, n’a que six ans à la mort
de son père, mais sa mère Adélaïde assume la régence sur la Sicile. Pendant ce
temps-là, en Italie du sud, le fils aîné de Robert Guiscard et de sa femme la
princesse lombarde Sighelgaita, lui aussi nommé Roger et surnommé La Bourse
(Ruggiero Borsa), hérite des possessions de son père à la mort de celui-ci en 1085.
N’ayant ni les dons guerriers, ni l’autorité de son père, il est vite dépassé, il perd
Amalfi, Tarente, et se voit contraint de faire appel à l’aide de son oncle, le puissant
Roger I de Sicile. Marié en 1092 à Adèle, fille du comte de Flandres et jeune veuve
du roi de Danemark Knut le Saint, il meurt en 1111, laissant son royaume à son
jeune fils Guillaume II duc de Pouille (1095-1127) qui meurt sans héritier. C’est
alors que Roger II de Sicile prend par la force le royaume laissé par son cousin et
se fait sacrer prince de Salerne puis grand duc de Pouille en 1128. En 1130,
l’antipape Anaclet II institue Roger II roi de Sicile et de l’Italie du sud. Les
provinces d’Italie continentale ayant été annexées, l’ensemble s’appelle Royaume
de Sicile, mais c’est de là que le nom de Sicile s’est étendu à l’Italie du sud, et que
l’on parlera plus tard de Royaume des Deux-Siciles.
Liens externes

 Liste des rois de Sicile


 Sa fiche sur wikipedia

Fonts: - persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P de Palmas (FMG,


Iconographie & Liste des rois de Sicile : wikipedia) iii-2009
- casament 2: L. Gustavsson
- família 2, família 4: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

94.983.011-3c:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 xii 2015
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009

94.983.011-4a:
GEOFFROY, illegitimate son of ROGER I Count of Sicily & his mistress --- (-after
1120). It is not possible that this Geoffroy was the same person as Comte Roger´s
son, named Geoffroy/Godefroi, who is recorded as having been a leper. It is also
chronologically impossible that he was the son of Roger II Count of Sicily, given the
latter´s birth in 1095. It is assumed therefore that this second son named Geoffroy
was an illegitimate son of Count Roger I. His father granted him Ragusa[32].
"Tancredus de Siracusa et Goffredus de Ragusia et Robert Avenelles et Radulfus de
Belvaco" are named as present in a charter dated [Mar 25/31 Aug] 1107 under
which "Adalasia comitissa Siciliæ et Calabriæ et…comes Rogerius filius eius"
donated property to the bishopric of Squillace on the advice of "ipsorum
baronum…Roberti Borelli et Gosberti de Licia et Willelmi de Altavilla"[33].
"Geoffroi de Raguse, fils du comte Roger" is named with his three sons in a charter
dated 1120[34].
m ROGALIA, daughter of --- (-[after Sep 1141]). The primary source which confirms
her marriage has not yet been identified. She was presumably alive in Sep 1141,
the date of the charter, subscribed by "…Rogerii filii domne Raguse…", under
which "Gaimarus filius Alfani…et uxor mea Beatrix" restored property to the bishop
-4919-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
of Cefalù[35].
Godefroi & his wife had three children.
[32] Houben, H. (trans. Loud, G. H. & Milburn, D.) (2002) Roger II of Sicily, A
Ruler between East and West (Cambridge University Press), p. 22.
[33] Brühl, C. R. (ed.) (1987) Codex Diplomaticus Regni Siciliæ, Series I, Tomus
II/1. Rogerius II. Regis Diplomata Latina (Köln, Wien) ("Rogerius II. Regis
Diplomata Latina"), 2, p. 4.
[34] Chalandon, F. (1907) Histoire de la domination normande en Italie et en Sicile
(Paris), Tome I, p. 352, citing Pirro, R. (1733) Sicilia sacra, 3rd edn. (Palermo),
Tome I, p. 525.
[35] Garufi, C. A. (1899) I documenti inediti dell´epoca Normanna in Sicilia, Parte
Prima, Documenti per servire alla Storia di Sicilia, prima serie, diplomatica, Vol.
XVIII (Palermo), XVI, p. 41.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016

94.983.066:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de
Matha in Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.)
13/04/2010
- defunció: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010
- família: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010

94.983.067:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de
Matha in Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.)
13/04/2010
- família: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010

94.983.067a:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de
Matha in Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.)
13/04/2010

94.983.067c:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de
Matha in Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.)
13/04/2010

94.983.068:
 n'est pas cité comme seigneur de Mornac ; sans doute mort avant son
père.

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Famille de Mornac" ,


2003, aux archives de la bibliothèque municipale de Bordeaux) 29 xii 2016

94.983.104:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p. 291) 11/03/2010
- família: H.deRiberolles (message Jacques Marilleaud sur forum le 26 mars 2007),
S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie et de la Maison de Chabot et de
Rohan--Chabot - 1996)03.09.2015

-4920-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.983.112:
seigneur de Gençay(86), seigneur de Marcillac(16), seigneur de Taillebourg
Fonts: - persona: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La
Marche et du Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011
- naixement: [
- família: J-L. Dega

94.983.113:
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du
Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011
- família: J-L. Dega

94.983.115:
Domite (Dormita) pourrait être une deuxième épouse de Renaud
Fonts: - defunció: JB.de La Grandiere (Michel Brand'Honneur "Manoirs et Châteaux
dans le comté de Rennes p 290 Vitré Rennes 2001 ) 20 xi 2009

94.983.115b:
Abandonne sa fiancée pour devenir Templier. Biographie
Robert, comme Grand-Maître, apparaît la première fois dans les chroniques en
1140, et la dernière fois, en 1147, période malheureuse pour le christianisme
d'Orient. Au roi Foulque d'Anjou venait de succéder Baudouin III, mineur, âgé de
treize ans, sous la tutelle de sa mère Mélisande (1142). Pendant que les petits
princes chrétiens d'Asie se disputaient entre eux, le sultan d'Alep et Mossoul
Nourreddin défirent Josselin, comte d'Edesse. Dans ces graves occurrences, la
Palestine implora le secours de l'Europe, et le pape Eugène III fit prêcher la
croisade (1145). Saint-Bernard déploya toute son éloquence : Conrad, roi de Rome,
et Louis VII, roi de France, reçurent la Croix de ses mains (1146).
Entretemps, l'Ordre multipliait et s'enrichissait de jour en jour. Godefroy, duc de
Lorraine, le dota de très-beaux revenus dans le comté de Brabant (1142) [Du Puy,
p. 112]. Il fit surtout de grands progrès en France, en Provence et en Espagne. Dès
1143, la France avait sont Grand-Maître Eberhard ; le trône magistral de la
Provence et d'une partie de l'Espagne était occupé par Pierre de Rovera, comme on
le lit dans une curieuse charte de cette année [Du Puy, p 104]. Raymond Bérangar,
comte de Barcelone, dont la père avait été Frère-Chevalier de l'Ordre, voulut céder
son château de Monçon et ses dépendances au Grand-Maître Robert, sous
condition qu'il y fonderait une chevalerie d'Aragon, d'après la règle des Templiers,
pour faire la guerre aux Maures. Après de longues négociations avec le Grand-
Maître et le chapitre de Jérusalem, Bérengar établit à Monçon un bailliage
particulier. La charte de cette fondation fut confiée aux deux Grands-Maîtres
provinciaux, et l'on y nomme plusieurs Frères qui sont vraisemblablement les
premiers tenants de la nouvelle propriété. De même que les souverains
s'empressaient de doter le Temple, de même que le Saint-Siège lui prodiguait des
privilèges spirituels. Eugène III permit aux Templiers de dire une fois par an la
messe dans les lieux frappés d'interdit [Du Puy, p 110]. Ce pape fit encore une
importante addition à leur costume. En 1146, il orna les habits de l'Ordre d'une
croix octogone de drap rouge que portèrent non seulement les chevaliers, mais
aussi leurs Ecuyers et Servants.
Fonts: - persona: Louis-Benoît Verdon (toile) 10 iii 2007, J-P de Palmas (Histoire de
l'Ordre du Temple) vi2009

94.983.115c:
Fille ou petite-fille (?) de Renaud, sgr de Sablé et d'Enoguen de Vitré (voir
Broussillon pour essayer de trancher). Porte Losangé d'or et de gueules.

-4921-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Pére Anselme t VI pp 777/787 Créquy ) 20 xi
2009
- família: C-H.Maigret (P.A. Tome 6, p. 778) 18 ii 2012

94.983.154:
Fonts:- persona: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry)
vii2009
- família: JB.de La Grandiere (ESS t XIII p 1 Amboise/Marburg 1990) 4 vii 2009

94.983.155:
JB de Grandière 4/7/2009 Chana doit être fille de Gilduin (Guédoin) de Saumur, sgr
de Chaumont-sur-Loire, dont les fiefs furent saisis par Foulques Nerra en 1026
Gédoin était fils de Gilduin sgr de Saumur et de Gerberge de Mortagne (fille
d'Hervé I comte de Mortagne +> 955
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (ESS t XIII p 1 Amboise/Marburg 1990) 4 vii
2009, G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009
- família: JB.de La Grandiere (ESS t XIII p 1 Amboise/Marburg 1990) 4 vii 2009

94.983.156:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie
en Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012 ) 6 v 2015
- família: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en
Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012 ) 6 v 2015, JB.de La
Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en Charolais-Mâconnais" t.
2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012) 6 v 2015

94.983.157:
Fonts:- persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en
Charolais-Mâconnais" t. 2 -Sivignon- p 439-441, Mayenne 2012 ) 6 v 2015
- família: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en
Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012 ) 6 v 2015, JB.de La
Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en Charolais-Mâconnais" t.
2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012) 6 v 2015

94.983.157a:
Fonts:- persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en
Charolais-Mâconnais" t. 2 -Sivignon- p 439-441 Mayenne 2012 ) 6 v 2015

94.983.157b:
Fonts:- persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en
Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012 ) 6 v 2015

94.983.157c:
Fonts:- persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en
Charolais-Mâconnais" t. 2 --Sivignon- p 439-441 Mayenne 2012 ) 6 v 2015

94.983.157d:
Fonts:- persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en
Charolais-Mâconnais" t. 2 -Sivignon- p 439-441, Mayenne 2012 ) 6 v 2015

94.986.768:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.769:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

-4922-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.986.769a:
O conde D. Pedro já o coloca na cronologia certa, vivendo no reinado de D. Garcia
I, rei da Galicia (1065-1071) e 6º conde soberano de Portugal (1065-1071), falecido
em 1090, irmão de D. Sancho II, El Fuerte, rei de Castela (1065-1072) e Leão
(1065-1072), nascido cerca 1038 e falecido a 7.10.1072, e de D. Alfonso VI, El
Bravo, rei de Leão (1065-1109), Castela (1072-1109), Galicia (1073-1109) e
Navarra (1076), 7º conde soberano de Portugal (1072-1109) e conde de Aragão.
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.769b:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.769c:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.769d:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.776:
Fonts:- persona: J-P de Palmas (FMG) 25 iii 2013

94.986.777:
Fonts:- persona: J-L. Dega

94.986.780:
Fonts:- persona: J-L. Dega- família: J-L. Dega

94.986.781:
Fonts:- persona: J-L. Dega- família: J-L. Dega

94.986.781a:
Fonts:- persona: J-L. Dega

94.986.816:
García Sánchez II apodado el Temblón. Fue rey de Navarra entre los años 994-
1000. Era hijo de del rey Sancho Garcés II Abarca y de la reina Urraca Fernández.
Casado con la reina Jimena, hija del conde Fernando Vermúdez y de su esposa
Elvira. Están entre sus hijos el futuro rey Sancho Garcés III y Urraca, que casaría
con Alfonso V de León. Trató de sacudirse la sumisión que su padre había ofrecido
a Córdoba, para lo cual, al poco de subir al trono, se enfrentó a Almanzor, pero en
el año 996 se vio obligado a pedir la paz en Córdoba. Hacia el año 997 en una
expedición de pamploneses a tierras de Calatayud se dio muerte al hermano del
gobernador. Almanzor vengó esta muerte cortando la cabeza de 50 cristianos.
En la batalla de Cervera, en julio del año 1000, se coaligaron el conde Sancho
García de Castilla, Alfonso V de León, García Gómez de Carrión y García Sánchez II
de Navarra.De Wikipedia, la enciclopedia libre
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.817:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.832:
Documentado em 960. Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

-4923-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.986.833:
Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.834:
Fonts: Manuel Abranches de Soveral

94.986.835:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: Manuel Abranches de Soveral

94.986.842:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.843:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.844:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.845:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.847:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral
- casament: G Marsan (site François Jaunais - fév 2005)

94.986.847-1b:
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: J-L. Dega

94.986.862:
Il fut assassiné par son gendre Robert le Vieux
Fonts: - persona: Aurejac; M.Masseroni (J.Richard - Le Cartulaire de Marcigny-sur-
Loire)
- família: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306)
08/09/2008

94.986.863:
- Detlev Schwennicke : Europäische Stammtafeln, B. III-3, T. 434 ne la connait pas
?
- Gilles Maillet la dit fille de Gérard de Vergy et d'Elisabeth N ?
- L'abbé Cucherat la nomme bien Aremburge de Vergy mais ne donne pas le nom
de ses parents. (P. 281)
- Dugenne la nomme Aremburge de Bourgogne, fille d'Eudes alias Henri de
Bourgogne et Mahaut de Châlon ?
J-C de Vaugiraud 16/06/2010
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 3,
p. 84) 19/4/06, J-C de Vaugiraud (recoupements avec Settipani) 16/06/2010
- família: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306)
08/09/2008

94.986.863c:
Biographie
-4924-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Hugues de Cluny (1024-1109), parfois appelé Hugues le Grand ou Hugues de
Semur, est le sixième abbé de Cluny, de 1049 à 1109. Il a été canonisé par l'Église
catholique ; sa fête est le 29 avril.
Il est issu d'une famille aristocratique de châtelains[1], liée aux Carolingiens et
peut-être aux Capétiens. Son père est Dalmace Ier, baron de Semur-en-Brionnais
(1020-1068), dont le nom (Dalmatius) est de souche gallo-romaine, et issu de
Brioude. Les barons de Donzy en Nivernais, les Damas, sires de Cousan en Forez,
les comtes de Chalons, etc., sont ses parents.
Entré au monastère à l'âge de quinze ans, il est nommé prieur à vingt ans. En
1049, il devient l'abbé de Cluny où il est formé par son prédécesseur, Odilon de
Cluny [1].
En 1054, avec son frère Geoffroy, il fonde le premier prieuré de bénédictines de
Marcigny[2] dépendant de Cluny.
Sous son abbatiat, l'ordre de Cluny va s'étendre de l'Angleterre à la Pologne et de
l'Allemagne à l'Italie et l'Espagne.
Il mit en chantier la 3e abbatiale de Cluny, qui deviendra au début du XIIIe siècle
la plus grande construction en Europe et le demeurera jusqu'au XVIe siècle.
Hugues fut le principal artisan du mouvement monastique clunisien pendant le
dernier quart du XIe siècle.
Les relations d'Hugues avec Ferdinand Ier et Alphonse VI de Castille, ainsi que son
influence sur le pape Urbain II, qui fut avant son élection grand prieur à Cluny
même sous l'abbatiat d'Hugues, firent de ce dernier l'une des plus puissantes et
influentes figures de la fin du XIe siècle. De plus, comme parrain d'Henri IV,
empereur d'Allemagne, il joua également un rôle dans son conflit avec le pape
Grégoire VII au cours de la Querelle des Investitures[3]. Il refusa l’offre de
Guillaume le Conquérant de réformer les monastères saxons.
Iconographie
Hugues de Cluny, Henri IV d'Allemagne et Mathilde de Toscane
Bibliographie

 Exposition du Neuvième centenaire de la mort d'Hugues de Semur, en


2009

Notes et références

1. a  b  Marcel Pacaut, Les ordres religieux au Moyen Âge, Nathan, 1970,


p.58.
2. Jean Richard, Le cartulaire de Marcigny-sur-Loire, 1045-1144 [archive]
sur le site Persée
3. ↑ Agnès Gerhards, L'abbaye de Cluny, éditions Complexe, 1992, (ISBN
2870274564), p.21.

Succède à saint Odilon à la tête de Cluny.

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306)
08/09/2008, J-P de Palmas (wikipedia) vi2009
- naixement: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306)
08/09/2008,T.Blanchet(http://www.britannica.com/EBchecked/topic/274880/Saint-
Hugh-of-Cluny)
- defunció: T.Blanchet(http://www.britannica.com/EBchecked/topic/274880/Saint-
Hugh-of-Cluny)
- enterrament: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306)
08/09/2008

94.986.863d:
-4925-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES III-3, T. 434) 15/06/2010
- família: J-P de Palmas (Auxerre Historique) v-2009

94.986.863e:
Probabilmente assassinato dai soldati del duca.

94.986.863g:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 57) 17/06/2010
- família: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 57) 17/06/2010

94.986.880:
Notice on FMG
The Montmorency family was studied by Duchesne in the early 17th century[488].
More recently, the establishment of this family at the castle of Montmorency, and
its rise to power between the 11th and 14th centuries, was analysed in detail by
Brigitte Bedos[489]. Duchesne records that "la ville de Montmorency" is situated
"dessus un Mont à deux lieues de S. Denys sepulchre des Roys et à quatre de
Paris"[490].
[488] Duchesne, A. (1624) Histoire généalogique de la maison de Montmorency et
de Laval (Paris).
[489] Bedos, B. (1980) La Châtellenie de Montmorency des origines à 1368
(Pontoise).
[490] Duchesne (1624), p. 7.

Attention: ascendance douteuse coupée le 3 iv 2012 (Albéric d'Orléans X Elfleda of


England)
Cette filiation est très douteuse et repose en fait sur une charte de Lothaire (10
décembre 958 – Saint-Jean de Laon) qui a été reconnue comme fausse dès son
apparition au XVIIIème siècle. Elle aurait été mise en circulation entre 1624 et 1680
(voir la publication des chartes de Eudes 1er et Eudes 2 de Blois sur le serveur HAL
pour plus de détails sur la confection de la fausse charte.)
Voici ce que dit Madame Bedos dans l'introduction de sa thèse sur 'La châtellenie
de Montmorency des origines à 1348' qui est semble-t-il la référence sur la question
:
"L'étude de l'origine des Montmorency se heurte au fait que les documents
concernant les premiers Bouchard sont des faux notoires; cependant leur
confrontation, leur recoupement avec des sources contemporaines ou postérieures
invitent à établir la généalogie suivante :
1 - Aubry, tige du lignage de Montmorency, parent (à un degré difficile à préciser)
de Foulques le Roux, comte d'Anjou, eut pour fils
2 - Bouchard de Bray qui épousa Ildegarde, parente (peut-être fille) de Thibaut,
comte de Chartres et de Blois;"
Source : ( Message de G. Richard, d'après Brigitte Bedos "La châtellenie de Montmorency des origines à 1368. Aspects
féodaux, sociaux, économiques", 1977) ) 3 iv 2012

"Brigitte Bedos-Rezak qui voit dans la présence de Bouchard le Barbu aux côtés de
Robert le Pieux le résultat « d'une tradition et d'une migration ». « A la suite d'une
querelle de clan », Bouchard de Bray aurait été « éliminé de ses possessions
sénonaises » . Comme ses oncles il entre au service du Roi. L'auteur de La
châtellenie de Montmorency se montre cependant plus prudente que Joseph
Depoin. Pour elle, Bouchard de Bray ne descend pas du « duc » Aubri, mais de son
frère, Bouchard, souche des comtes de Vendôme."
Source : J-C de Vaugiraud (Nicolas Civel, La fleur de France: les seigneurs d'Ile-de-France au XIIe siècle, 2006, P. 60) 3 iv

-4926-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
2012

"Kalckstein (p. 321, n. 2; prétend qu'Eudes avait hérité de Bouchard de Bray, parent
du roi par sa mère anglaise Adive, et que c'était de la sorte qu'il était entré en
relations avec Lothaire, du vivant même de son père Thibaud. — Toutes ces
affirmations sont réellement absurdes. Il n'y a pas un texte qui dise un mot de tout
cela. Bouchard de Bray n'était nullement parent du roi. Le diplôme où il apparaît est
faux (Historiens de France, IX, 622, n° 8). ." Source : J-C de Vaugiraud (Ferdinand Lot, Arthur Giry:
Les derniers Carolingiens, Lothaire, Louis V., Charles de Lorraine (954-991), P. 59) 3 iv 2012

Fonde en 958 dans sa terre de Bray-sur-Seine un monastère destiné à recevoir les


corps de Saint-Paterne et de Saint-Pavace rapportés d'Angleterre par ses soins. En
978 son château est attaqué par Othon II empereur de Germanie (T. Ribaldone ).

Descendance de Bouchard Ier de Montmorency

 http://genealogy.euweb.cz/morency/morency1.html#B3

 http://209.85.129.104/search?q=cache:xFteABk2yhcJ:www.ville-
beauchamp.fr/decouvrir/historique.html+Bouchard+1er+de+Montmorenc
y&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr

 L'art de vérifier les dates

Vers le 10e siècle, les terres de Taverny et de sa région sont devenues des "Fiefs",
gérés héréditairement par des Seigneurs qui se dégagèrent, peu à peu, de l'abbaye
de Saint-Denis. Un de ces Seigneurs était Bouchard 1er le Barbu (987-1020) Baron
de Montmorency (ce Bouchard était contemporain de Hugues Capet), dont le
patronyme est resté, plus tard, à la commune voisine de Plessis-Bouchard.
Fonts: - persona: A.Brabant (Michel d'Herbigny "Dynastie Montmorency"), F-L.
Jacquier (Miroslav Marek - Web Genealogy.eu), Jean-Marie Thiébaud
(geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009
- família: A.Brabant (Michel d'Herbigny "Dynastie Montmorency"), Jean-Marie
Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009

94.986.881:
Ascendance possible mais incertaine
- "Bouchard de Bray qui épousa Ildegarde, parente (peut-être fille) de Thibaut,
comte de Chartres et de Blois."
J-C de Vaugiraud (Message de Gilles Richard) 3 iv 2012
- Ildegarde n'est pas reprise pages 30 et 31 dans "Les comtes de Blois et de
Champagne" et une note précise: "Joseph Depoin a prêté à Thibaud et Leugarde un
cinquième enfant appelé Ilgegarde et qui aurait épousé Bouchard Ier, seigneur de
Montmorency. Elle n'est citée ni par le R.P. Anselme ni par Detlev Schwennicke ni
par Régine Le Jan Bouchard Ier a bien épousé une Ildegarde. Et on a pu penser que
cette dernière était une thibaudienne dans la mesure où l'un des fils et l'un de des
petits-fils du couple ont portés le prénom de Thibaud"
J-C de Vaugiraud (Jean Gouget, Thierry Le Hête: Les comtes de Blois et de
Champagne, P. 67-68, note 38) 3 iv 2012
Fonts: - família: A.Brabant (Michel d'Herbigny "Dynastie Montmorency"), Jean-
Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009

94.986.881c:
Portrait : Albéric de Montmorency, connétable de France en 1060,
Alphonse Lavaudan (1796-1857), portrait rétrospectif (1834), Versailles Seigneur
-4927-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Vihiers en Anjou. Connétable du roi Henri Ier vers 1060. Nous le connaissons
grâce au fait que son sceau apparaît (avec de nombreux autres) au bas de la charte
de fondation par Henri Ier de l'église de Saint-Martin-des-Champs. Il n'a sans doute
aucun rapport avec Albéric Clément qui sera maréchal de France en 1191 (si ce
n'est l'homonymie de prénom). Il est en revanche le premier connétable de France
de la maison de Montmorency. C'est par son nom que l'on fait généralement
débuter la liste des connétables de France, et ce depuis le XVIIIe siècle.
Cependant, si ce sceau atteste d'un certain rôle administratif, rien n'indique encore
la militarisation de l'office.

[AUBRY [I] (-after 987). Seigneur de Vihiers-en-Anjou. An undated charter of Saint-


Aubin d´Angers recites the history of land at Champigné-sur-Sarthe, recording
firstly that "Gaufridus comes filius Fulconis comitis cognomento Rufi" (Geoffroy I
"Grisegonelle", Comte d´Anjou from 958 to 987), after his duel with "Hisgaldo
clerico apud Mosterolum super mare", brought "de pago Parisiacensi quendam
Albericum consanguineum suum" to Anjou and to whom he granted "omnem
terram de Vieriis et capellam Sanctæ Mariæ Caritatis"[512]. Europäische
Stammtafeln dates this grant to 975[513]. ["Adelelmus miles…ac
Burcardus…consobrinum meum" donated property, including "prædium in pago
Senonico…Villaris…cum ecclesia…beatæ Mariæ", to Saint-Benoît-sur-Loire, for the
souls of "genitore meo Rotberto et genitrice mea…Bertha et pro Burcardo", by
charter dated 8 Sep 975, witnessed by "…Alberici…"[514].] Ménage states that
"Alberic de Montmorenci oncle du Connestable de France et fîs de Bouchard I
Seigneur de Montmorenci fut Seigneurs de Vihers en Anjou par le don que lui en fît
vers 980 Geoffroi Grisegonelle Conte d´Anjou son parent"[515]. The primary
source which confirms the relationship has not yet been found, nor the precise
relationship between Aubry [I] Seigneur de Vihiers and Geoffroy I "Grisegonelle"
Comte d´Anjou.]
[512] Broussillon, B. de (ed.) (1903) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Aubin d'Angers
(Paris) (“Angers Saint-Aubin”) Tome I, 85, p. 100.
[513] ES XIV 116.
[514] Saint-Benoît-sur-Loire, Tome I, LXI, p. 56.
[515] Ménage, G. (1683) Histoire de Sablé (Paris), Tome I, p. 4.
Fonts: - persona: A.Brabant (Michel d'Herbigny "Dynastie Montmorency"), J-P de
Palmas (wikipedia et FMG) x2009,J-C de Vaugiraud (Mess. de G. Richard d'après
Brigitte Bedos "La châtellenie de Montmorency des origines à 1368) 3 iv 2012
- família: A.Brabant (Michel d'Herbigny "Dynastie Montmorency")

94.986.888:
Fonts:- persona: Renaud de Paysac (Tompsett/Ronald Wells), F-L.Jacquier (Tesson),
F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse), J-C de Vaugiraud
(William Mendel Newman : Les seigneurs de Nesle en Picardie, Tableau P. 288 +
texte) 29 viii 2011
- naixement: O.Guionneau (message de Tobias Parker selon Medieval Lands) 6 XII
11
- família: Renaud de Paysac (Ronald Wells),F-L.Jacquier (Tesson)

94.986.889:
Fonts:- família: Renaud de Paysac (Ronald Wells),F-L.Jacquier (Tesson)

94.986.890:
Turquetil (Thorketil) d'Harcourt, seigneur de Tourville, de Turqueville et de
Turqueray, possesseur de la terre d'Harcourt, est né vers 960, fils de Torf et
d'Ertemberge de Briquebec, et petit-fils de Bernard le Danois, allié de Rollon. Il
signe la donation faite à l'abbaye de Fécamp par le duc Richard II de Normandie
vers l'an 1002. Il est gouverneur de Guillaume le Conquérant durant sa minorité.
D'après Orderic Vital, il aurait été tué par les ennemis du duc, le parti richardide.
-4928-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Descendance
De son mariage avec Anceline de Montfort, fille du baron Hugues II de Montfort, il
eut trois enfants:

 Anquetil d'Harcourt, (Ansketil) seigneur d'Harcourt


 Lesceline († 1058), comtesse d'Eu, bienheureuse, fondatrice de l'abbaye
de Saint-Pierre-sur-Dives, épouse Guillaume, comte d'Eu, fils du duc
Richard Ier de Normandie
 Gauthier

Fonts:
- persona: N.Danican (Père Anseme, Maison d'Harcourt), J-P de Palmas (wikipedia)
15i2011
- família: N.Danican (Père Anseme, Maison d'Harcourt)

94.986.891:
Fonts:
- família: N.Danican (Père Anseme, Maison d'Harcourt)

94.986.891a:
ANSCHETIL d´Harcourt . Guillaume de Jumièges records that “Turulfo de Ponte-
AudomarifiliusTorf” was the brother of “Turchetillus pater Anschetilli de
Harecurt”[2711].
m ---. The name of Anschetil´s wife is not known. The charter dated 13 Jan 1103,
under which “Philippus de Braosa” confirmed agreement with the abbey of Fécamp
witnessed by “ex parte Philippi, Robertus frater eius, Anchetilli filius”[2712],
suggests that Anschetil´s widow may have married, as her second husband,
Guillaume [I] de Briouse (-[11 Dec 1093/1095]). Anschetil & his wife had [three]
children.
[2711] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VIII, XXXVII, p.
312.
[2712] Dugdale Monasticon VI.2, Fécamp, II, p. 1083.
Anquetil (Ansketil Anchetil, né en 991), fils de Turquetil et d’Anceline de Montfort,
est le premier à prendre le nom d’Harcourt. Il accompagne en 1066 Guillaume le
Conquérant lors de la conquête de l’Angleterre et obtient des domaines en
Angleterre. Il épouse Ève de Boissey.
Fonts: - persona: L.Guion, N. Danican (La Chesnaie Desboys) 4iv05 , J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 8 xii 2015
- naixement: JL.Mondanel (généalogie d'Harcourt) 25 iii 2011
- família: L.Guion, N. Danican (La Chesnaye Desbois) 25v05

94.986.893:
Fonts:- persona: F-L. Jacquier (Edouard de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282),
JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu Origine archevêque Guy de Soissons pp.
15/22 t. CXI SACSAM 1996 ) 12 x 2012
- família: JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu Origine archevêque Guy de
Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996 ) 12 x 2012

94.986.893a:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque
Guy de Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 11 x 2012

94.986.893c:

-4929-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Pour l'attribution d'un patronyme "définitif" je suggère que l'on garde celui d'Arcis
car je considère que le "Manassès Calva Assina" se traduit par Manassès le Chauve
d'Arcis. Pour son fils la "chose" est peut-être différente, il est bien né d'Arcis mais
mort sous une autre appellation. jblg 14/10/2012

JB de La Grandière 12/10/2012 : ATTENTION ! il y avait de quoi créer une grosse


confusion car il a existé deux Manassès Calva, celui-ci et son oncle Manassès
d'Omont ! ( ce troisième chauve -un doublon- Manassès d'Omont va disparaître
avec sa progéniture, lors du prochain nettoyage de la base).

jblg 12/10/2012 : Lasseline d'Harcourt était indiquée comme sa mère, je l'ai


détachée.

La note ci-dessous confirme d'anciennes incertitudes

MANASSES (-after 4 Feb 1031). Robert II King of France confirmed the donation of
"Manasses comes" to Chartres Notre-Dame by charter dated 4 Feb 1031, signed by
"…Manasses comitis, Hilduini comitis fratris eius, filiorum eius Manassis et
Hilduini, Burcardo de Montemorenciaco, Evrardi filii Hilduini de Britoglio, Amalrici
de Monteforti, Milonis de Caprosa…"[1537]. same person as? MANASSES “Calva-
asina” ). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names "comes Suessionis et
comes de Dommartin et comes de Ronaco et Manasses cui agnomen Calva-asina"
as brothers of "Helduino comiti de Ramerut", specifying that Manassès married (as
her second husband) "prefatus comes Helduinus predicti Ebali uxorem dictam
Beatricem, sororum videlicet suam"[1538]. Some creative interpretation of this
passage is necessary to make sense of it, including the hypotheses that the wife of
Hilduin [III] married the comte de Soissons As her second husband (see above),
and that the comte de Dammartin was related more remotely (as discussed more
fully in the document PARIS REGION NOBILITY). If these hypotheses are
incorrect, it would be uncertain that Manassès “Calva-asina” was the same person
as the son of Hilduin [III] who is named in the charter dated 4 Feb 1031 which is
quoted above.

m ([1021]) as her second husband, BEATRIX de Hainaut, widow of EBLES [I]


Comte de Roucy, daughter of REGINAR IV Comte de Hainaut & his wife Hedwige
de France. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names "Beatricem" daughter of
"Hadevidem…comitissam Hainonensium", specifying that she married "Ebalus de
Roceio, cuius frater fuit Lebaldus de Malla et soror Iveta comitissa de Roitest" and
later "Manasses cui agnomen Calva-asina"[1539]. Manassès & his wife had three
children.

[1537] Chartres Notre-Dame, Tome I, XIII, p. 87.

[1538] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 10 and 11, MGH SS XIII, p. 254.

[1539] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 3 and 11, MGH SS XIII, pp. 252 and
254

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 1 x 2012, JB.de La Grandiere ( Origine archevêque
Guy de Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 12 x 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 1 x 2012

94.986.904:

-4930-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
sire

Fonts:
- persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)
- naixement: T.Blanchet(http://www.ourfamilyhistories.org/index.php)
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)

94.986.905:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)

94.986.906:
Le premier comte de Dammartin dont nous avons la trace dans la documentation
est Manassès de Dammartin en 1025. Selon le comte de Luçay 9, il est le fils
d’Hilduin Ier, comte de Montdidier et petit-fils de Guillaume de Ponthieu et de
Montreuil. Cette origine, reprise par d’autres études, place Manassès dans une des
familles les plus importantes du système féodal du nord de la France au XIe siècle.
Elle est à la tête d’un patrimoine foncier très important. En plus du comté de
Ponthieu et de Montreuil10, s’ajoutent les comtés de Nanteuil en Valois11, de
Breteuil-en-Beauvaisis12 et de Clermont-en-Beauvaisis13. Cette famille a donc une
assise importante dans le Beauvaisis, qui lui permet de jouer un rôle de premier
plan dans les stratégies féodales du nord de l’Ile de France.

Nous disposons de peu d’informations sur Manassès. Il est le premier à apparaître


avec le titre de comte de Dammartin qu’il tient peut-être de son mariage avec
Constance14. Ce comté15 se trouve à une trentaine de kilomètres au nord-est de
Paris et à une vingtaine de kilomètres au sud de Senlis16, sur la route allant de
Paris à Soissons, en passant par Crépy-en-Valois17 et Nanteuil-le-Haudouin. Le
château, aujourd’hui détruit, était perché en haut d’une colline dominant cette
route. Le comté se trouve donc à la frontière du domaine royal des premiers
capétiens et dans leur aire d’influence directe. Cette situation stratégique crée des
relations particulières entre la famille de Dammartin et le roi de France, qui oscille
entre alliance et guerre ouverte pendant le XIe siècle et le début du XIIe siècle.

Frère d’Hilduin II, vicomte de Chartres, Manassès est un proche d’Eudes II, comte
de Blois et de Champagne, ennemi des rois de France, Robert II le Pieux et Henri
Ier et aussi son vassal au titre des terres possédées dans le Beauvaisis, puisque
Eudes II est aussi comte de Beauvais18 et à ce titre seigneur sur le Beauvaisis.

Le premier document où l’on trouve la trace de Manassès date de 1025. Il est


témoin d’un accord passé au nom du comte Eudes II entre Hilduin II et l’évêque de
Paris Francon au sujet de l’avouerie de Rozoy-en-Brie23. Par sa présence, Manassès
légitime l’action de son frère et se place au côté d’Eudes II. La souscription de
Manassès exprime ici les alliances seigneuriales plus que des liens familiaux. En
1028, Manassès souscrit un diplôme du roi Robert le Pieux en faveur de l’abbaye
de Coulombs24. Le 4 février 1031, Manassès obtient de ce dernier, la confirmation
d’une donation faite par lui à l’abbaye Saint-Père de Chartres en présence de son
frère Hilduin et de ses neveux Hilduin et Manassès25. Cette donation s’explique par
l’influence que devait posséder cette famille sur la ville de Chartres, Hilduin II en
étant vicomte. Il est présent à l’assemblée tenue à Paris au cours de laquelle
Foulques, comte d’Anjou reconnaît le roi de France, Henri Ier26. Entre 1034 et
1036, il est à Tours, à la cour d’Eudes II. Au cours de cette période, il est témoin
d’une donation à Marmoutier faites par Eudes II27.

Malgré les liens forts entre Manassès et Eudes II, le roi ne se détourne pas de lui.
Ainsi, Manassès réclamant Combs-la-Ville28, domaine de son grand oncle Hilduin,
-4931-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
au roi Henri Ier, le roi fait droit à cette réclamation pour s’assurer son soutien
contre Eudes II29. Pour autant, Manassès reste fidèle à Eudes II, ce qui va causer
sa perte. En 1037, le comte Eudes lance une offensive contre le duc de Lorraine qui
projette de s’emparer de la couronne impériale. Le 15 novembre, lendemain de la
prise de Bar-le-Duc par Eudes II, les deux armées se retrouvent à douze lieux au
nord de Bar-le-Duc sur les bords de l’Orne au lieu-dit Honol. Manassès y trouve la
mort. La Vita Beati Richardi abbatis S. Vitoni raconte ainsi la mort de Manassès :

« …et isdem venerabilis pater [Richard], dum cum monacho suo Waleranno,
cognomento Bonifacio, illo venisset, comitem Manassem de Domno Martino, eodem
susum praelio, cum quibusdam aliis isthuc deportari fecit, et honorifice sepelevit.
Quod audiens uxor ipsius, variis donis eumdem patrem muneravit, et tapetem
magnum huic ecclesiae dedit. » 30

Manassès laisse trois enfants : Eudes, Hugues et Eustachie. L’aîné, Eudes devient
alors comte de Dammartin. Ce dernier n’a pas laissé la même trace que son père et
que son frère, Hugues. Il meurt assez rapidement, laissant le comté à son frère. Il
apparaît à trois reprises dans les actes royaux, deux sous Henri Ier et un sous
Philippe Ier. Le roi absorbe une partie des réseaux de fidèles d’Eudes II. Il n’est
donc pas étonnant de retrouver Eudes du côté du roi. En effet, Manassès vaincu, le
roi peut confisquer des terres et prendre des sanctions à l’encontre des
Dammartin. Sans appui du côté des comtes de Champagne, Eudes préfère rester
du côté du roi et ainsi protéger sa famille. En 1061, il est mentionné dans la
donation de la villa de Combs, en Brie, par Philippe Ier à l’abbaye de Saint-
Germain-des-Prés31. Les deux autres mentions sont des donations faites pour le
salut de son père : en 1060, à la basilique Saint-Andrieu de Béthisy32 et à l’église
de Saint-Père-des-Chartres accompagné par son frère Hugues et sa sœur
Eustachie33. A sa mort, Eudes laisse le comté de Dammartin à son frère Hugues,
fondateur du prieuré de Saint Leu d’Esserent.

Extrait de : Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle, Mémoire


de maîtrise d'histoire médiévale, 2002
S'appuyant sur : Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes de
Dammartin », 1996

Références

9 Comte de Luçay, Le comté de Clermont en Beauvaisis, étude pour servir à son


histoire.

10 Montreuil, Pas-de-Calais, ch.-l. cant.

11 Aujourd’hui Nanteuil-le-Haudouin, Oise, cant. Crépy en Valois.

12 Breteuil-en-Beauvaisis, Oise, ch.-l. cant.

13 Nous parlerons, à présent, de Clermont pour désigner Clermont-en-Beauvaisis,


Oise, ch.-l. cant.

14 nous ne savons rien de plus sur cette Constance ; .Julien Delaitte, Les comtes de
Dammartin-en-Goëlle et leurs ancêtres du VIIIe au XIIIe .

15 Nous n’avons pu identifier quand les sources parlent pour la première fois de

-4932-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
comté de Dammartin. Il semblerait qu’il fasse partie des nouveaux comtés nés au
XIe siècle, Dammartin n’étant pas un pagus.
16 Senlis, Oise, ch.-l. cant.
17 Crépy-en-Valois, Oise, ch.-l. cant.
18 Olivier Guyotjeannin, Episcopus et Comes, p.19
19 Episcopus et Comes, loc. cit., la liste des biens et droits donnés suit cette
phrase.
20 Bulles, Oise, cant. Clermont.
21 Cf note infra ; aujourd’hui Saint-Leu-d’Esserent, Oise, cant. Montataire.
22 Mouchy-le-Châtel, Oise, cant. Noailles.
23 Benjamin Guéard, Cartulaire de Notre-Dame-de-Paris, t. I, p. 325
24 Bouquet, tome X, 617 B ; William newman, Catalogue des actes de Robert II roi
de France, n°72
25 Bouquet, tome X, 625 D ; Newman, n°88, ce dernier cite cette charte mais
identifie Manassès au comte de Dreux et non au comte de Dammartin comme nous
le pensons.
26 d’Arbois de Jubainville, Histoire des comtes et duc de Champagne, tome I, p.
291.
27 D’Arbois de Jubainville, loc. cit., t. I, p. 324.
28 Combs-la-ville, Seine-et-Marne, ch.-l. cant.
29 moranvillé, H., « Origine de la maison de Ramerupt-Roucy », dans Bibliothèque
de l’Ecole des chartes.
30 Ex vita Beati Richardi abbatis Sancti Vitoni Virdunensis, dans Bouquet, t. XI,
459 A
31 Maurice Prou. Recueil des actes de Philippe Ier, roi de France (1059-1108),
n°13.
32 Prou, n°11.
33 Frédéric Soehnée, Catalogue des actes d’Henri Ier (roi de France 1031-1060),
n°55.
Manassès, comte de Dammartin souscrivit en 1028, avec plusieurs Grands du
Royaume la charte de confirmation que le Roi Robert accorda à l'abbaye de
Coulombs, de tous les dons qui y avaient été fait par Roger, évêque de Beauvais, &
par Oldoric, évêque d'Orléans. [Anselme, VIII, 401]
Il épousa une ConstanceR1, qui lui apporte la terre de Dammartin R2.
Voir Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle de 2002 R3,
s'appuyant sur Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes de
Dammartin » R4, et révisant les premiers degrés.
Références
R1↑ L'identification de cette Constance est problématique. Selon les règles
onomastiques, il est quasiment certain que cette Constance soit une descendante
du comte Charles-Constantin de Vienne, qui tenait son prénom de son ascendance
maternelle, byzantine. Les seuls descendants connus de Charles-Constantin sont
les comtes de Provence et leur parents, parmi lesquels Constance d'Arles, femme
du roi de France Robert le Pieux. Comme il est plus probable que la femme de
Manassès soit issue de rois installé en Ile-de-France, plutôt que des comtes de la
lointaine Provence, des historiens ont déduit que Constance de Dammartin
descendait de Robert le Pieux et de Constance d'Arles. Chronologiquement, elle ne
pouvait être que leur fille. A l'appui de cette thèse, le roi et le reine sont présent
lors d'une donation faite par Mannassès. Le problème de cette reconstruction est
que le chroniqueur Raoul Glaber pourtant bien renseigné, ne mentionne que deux
filles nées du couple royal, Avoye et Adèle. Il existe une autre possibilité : Charles-
Constantin a eu deux fils, Richard et Hugobert, dont on ignore la destinée et la
postérité. Il est tout à fait possible que la comtesse de Dammartin Constance soit
une descendante de l'un d'entre eux.
R2↑ Europäische Stammtafeln, vol III, page 676
R3↑ Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle, Mémoire de
maîtrise d'histoire médiévale, 2002
R4↑ Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes de Dammartin »,
Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et archéologiques de
-4933-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Paris et de l’Île-de-France, tome 47, Paris, 1996, p. 7-59.

Les comtes de Dammartin-en-Goële appartiennent à cette catégorie intermédiaire


des grandes familles issues de la noblesse carolingienne qui, sans avoir su, à l’aube
de la féodalité, constituer une principauté territoriale, ont cependant tenu une
place non négligeable dans les préoccupations des premiers rois capétiens.
S’agissant des Dammartin, ces préoccupations ont connu leur point culminant
lorsque, au temps de Philippe-Auguste, Renaud comte de Dammartin et comte de
Boulogne par sa femme, se fit le champion de la coalition montée contre le roi de
France, qui trouva sa fin à Bouvines. L’objet de cet article est de clarifier l’histoire
de cette importante famille, en particulier grâce à une exploitation systématique
des archives anglaises. Il apparaît que les connexions du lignage de Dammartin
avec la féodalité anglo-normande sont beaucoup plus anciennes et étroites qu’on
ne pouvait le penser. L’article est composé de sept parties et d’une annexe
comprenant des arbres généalogiques :
I – Les origines du lignage de Dammartin
II – Le comte Hugues de Dammartin
III – Pierre comte de Dammartin. Sa succession
IV – Clémence comtesse de Dammartin
V – Aubri comte de Dammartin. Son origine
VI – La branche anglaise des Dammartin
VII – Le comte Aubri et son fils Renaud jusqu’au mariage de Boulogne (1190)
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers
comtes de Dammartin », Mémoires publiés par la fédération des sociétés
historiques et archéologiques de Paris et de l’Île-de-France, tome 47, Paris, 1996, p.
7-59) ix2009 et x2012
- família: J-P de Palmas (Généalogie Dammartin) ix2009

94.986.907:
Constance, mariée, depuis 1023 au moins, à Manassès, premier comte de
Dammartin, tué à la bataille de Bar-le-Duc en 1037. L'identification de cette
personne comme fille du Roi n'est pas certaine.1 et 2 Il s'agit d'une hypothèse de J.
Depoin, thèse reposant sur l’onomastique uniquement ( Recueil de chartes, Paris,
1912).
Références

1. L'identification de cette Constance est problématique. Selon les règles


onomastiques, il est quasiment certain que cette Constance soit une
descendante du comte Charles-Constantin de Vienne, qui tenait son
prénom de son ascendance maternelle, byzantine. Les seuls descendants
connus de Charles-Constantin sont les comtes de Provence et leur parents,
parmi lesquels Constance d'Arles, femme du roi de France Robert le
Pieux. Comme il est plus probable que la femme de Manassès soit issue de
rois installés en Ile-de-France, plutôt que des comtes de la lointaine
Provence, des historiens ont déduit que Constance de Dammartin
descendait de Robert le Pieux et de Constance d'Arles.
Chronologiquement, elle ne pouvait être que leur fille. A l'appui de cette
thèse, le roi et le reine sont présent lors d'une donation faite par
Mannassès. Le problème de cette reconstruction est que le chroniqueur
Raoul Glaber pourtant bien renseigné, ne mentionne que deux filles nées
du couple royal, Avoye et Adèle. Il existe une autre possibilité : Charles-
Constantin a eu deux fils, Richard et Hugobert, dont on ignore la destinée
et la postérité. Il est tout à fait possible que la comtesse de Dammartin
Constance soit une descendante de l'un d'entre eux.
2. Probable : son existence est affirmée avec précaution néanmoins par Todd
A. Farmerie dans une intervention du 15 septembre 2001 au Forum de
Généalogie Médiévale, s'appuyant sur Jean-Noël Mathieu "Recherches sur

-4934-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
les premiers Comtes de Dammartin" vol. 47 pp. 7-59 5 tableaux (1996).

[CONSTANCE de France. There is no proof that Constance, wife of Manassès de


Dammartin, was the daughter of King Robert II, the affiliation being proposed for
onomastic reasons only[220]. It is, however, suggested by the presence of the king
and queen at a donation by "Manasses comes" dated 4 Feb 1031[221]. Rodolfus
Glaber records that King Robert had two daughters by his wife Constance[222],
presumably referring to Hedwige and Adela. According to Europäische
Stammtafeln[223], the wife of Manassès was "Constance [de Dammartin]",
presumably on the theory that she brought her husband the county of Dammartin.
([1023 or before]) MANASSES, Comte de Dammartin-en-Goële, son of [HILDUIN [I]
de Montdidier Seigneur de Ramérupt & his wife ---] (-killed in battle Ornel, near
Etain, Bar-le-Duc 15 Nov or 15 Dec 1037).]
[220] Depoin, J. (1912) Recueil des chartes et documents de Saint-Martin-des-
Champs, monastère parisien, Vol. 1 (Paris), no. 6, pp. 15-16, expanded by Mathieu,
J. N. (1996) 'Recherches sur les premiers Comtes de Dammartin', Mémoires
publiés par la Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de
l'Ile-de-France, t. 47 (1996), pp. 7-60, 15-16, both cited in Kerrebrouck (2000), p.
63.
[221] Lépinois, E. de & Merlet L. (1862) Cartulaire de Notre-Dame de Chartres
d'après les cartularies et les titres originaux (Chartres), Vol. I, XIII, p. 87, cited in
Kerrebrouck (2000), p. 63 footnote 57.
[222] Rodulfi Glabri, Historiarum III.7, p. 107.
[223] ES III 676.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Patrick Van Kerrebrouck, Les Capétiens, 2000, p. 55-63), J-
P de Palmas (Généalogie Dammartin et FMG) ix2009
- família: J-P de Palmas (Généalogie Dammartin) ix2009

94.986.907b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes
de Dammartin », Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et
archéologiques de Paris et de l’Île-de-France, tome 47, Paris, 1996, p. 7-59.)
- família: J-P.de Palmas (Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes
de Dammartin », 1996, p.19, citant Ferdinand Lot, op.cit., n°49) 7 x 2012

94.986.907c:
EUDES de Dammartin . "Odo filius comitis Manassæ" donated a family of servants
to "Carnotensi monasterio Sancti Petri", with the support of "fratre meo Hugone ac
sorore nostra Eustachia", for the souls of "patre nostro Manasse et…nostra matre
Constantia", by charter dated 9 Aug before 1060 "in palatio Meleduni castri",
witnessed by "Gualterius comes…"[2183]. Comte de Dammartin after 1050-
[1060/61]. Philippe I King of France donated the village of Bagneux to the abbey of
Saint-Germain-des-Prés in exchange for Combs by charter dated 1061, which
recounts that "Hugonis ducis…magnus" [Hugues "le Grand"] had granted Combs to
"Hilduino…comiti de Monte qui vocatur Desiderius", who died before his
benefactor (i.e. before 956), and that Henri I King of France had regranted Combs
to "Manasses nepos supradicti Hilduini comitis" just as "suus avunculus Hilduinus"
had held it, noting that "Odo comes filius prefati Manassetis" now claimed the
property as held by "avunculus patris eius Hilduinus"[2184].

[2183] Chartres Saint-Père I, Liber Septimus, Cap. XXVIII, p. 154.

[2184] Tardif, J. (1866) Monuments historiques (Paris), 284, p. 175.

-4935-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Patrick Van Kerrebrouck, Les Capétiens, 2000, p. 55-63), J-
P de Palmas (FMG) ix2009
- família: J-P de Palmas (FMG) ix2009

94.986.908:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Simon de Solemy de Palmas) 24 iii 2017
- família: J-M.Thiebaud (base Simon de Solemy de Palmas) 24 iii 2017

94.986.909:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Simon de Solemy de Palmas) 24 iii 2017
- família: J-M.Thiebaud (base Simon de Solemy de Palmas) 24 iii 2017

94.986.910:
Robert le Danois fut archevêque de Rouen (989-1037) et comte d'Évreux (996-
1037) au temps des premiers ducs de Normandie.

Biographie

Fils du duc Richard Ier de Normandie et de Gunnor, il fait donc partie de ce


puissant groupe aristocratique appelé les Richardides. Son père lui confie très
jeune l'archevêché de Rouen, principal siège ecclésiastique du duché de
Normandie. L'historiographe Guillaume de Jumièges rapporte que les clercs se
sont opposés à cette décision tant que le duc refusait de se marier chrétiennement
avec sa frilla Gunnor. Selon le voeu du clergé, Richard Ier de Normandie épousa
finalement Gunnor et leur fils Robert put devenir archevêque. Quelques années
plus tard, peut-être juste après la mort de son père en 996, Robert reçoit la charge
du comté d'Évreux. Cette double fonction – archevêque de Rouen et comte – fait de
lui le plus puissant personnage de Normandie après le duc. De surcroît, le nouveau
duc, Richard II (996-1026), est son frère. Robert le Danois cumule donc une
fonction religieuse et une fonction laïque. Au titre de comte d'Évreux, il se donne le
droit de se marier : il épouse Herlève, probablement la fille de Turstin le Riche,
dont il aura plusieurs enfants (dont Richard et Raoul). Robert est donc un
archevêque marié et, de surcroît, père ! Même si la réforme grégorienne
interviendra plus tard pour imposer le célibat, il faut avouer que les cas de mariage
chez les hauts dignitaires ecclésiastiques sont déjà rares à cette époque. Pour
l'historien François Neveux, il ne fait pas de doute que Robert est « un archevêque
plus profane que religieux[1] ». À la fin des années 1020, nous savons toutefois
qu'il commence les travaux d'agrandissement de sa cathédrale. Nous savons aussi,
grâce aux fouilles de l'archéologue Jacques Le Maho, que l'archevêque-comte
transforme son château de Gravenchon en un véritable palais rural au tout début
du XIe siècle. Mécène, il entretient un cénacle littéraire autour de lui. Dudon de
Saint-Quentin et le satiriste Garnier lui dédient en effet quelques œuvres. En 1026,
Robert le Magnifique, le neveu de Robert, succède de façon controversée à Richard
III en tant que duc de Normandie. Peu après son avènement, il s'attaque à Robert
le Danois. Est-ce parce que ce dernier complote contre lui ? Ou est-ce parce que
l'archevêque proteste contre les usurpations de terres d'Église que pratique le duc
pour récompenser ses amis ? En tout cas, Robert doit quitter Rouen et s'enfermer
avec quelques chevaliers dans sa ville comtale d'Évreux. Le duc l'assiège. Après
une résistance digne d'un chef de guerre, l'archevêque négocie son départ. Il quitte
la Normandie pour la France mais, de son nouveau refuge, prononce
l'excommunication du duc Robert le Magnifique. Il semble que cette sanction fasse
plier le duc. Il se réconcilie avec Robert le Danois qui retrouve ainsi sa place à la
cour ducale. Il devient même le premier conseiller du duché. Une position
-4936-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
renforcée en 1035 après la mort de Robert le Magnifique qui laisse un enfant
comme héritier (le futur Guillaume le Conquérant). L'archevêque-comte est
l'homme fort du duché jusqu'à sa mort en 1037. Sa page wikipedia
Bibliographie

 François Neveux et Pierre Bouet (dir.), Les évêques normands du XIe


siècle, Actes du colloque de Cerisy-la-Salle (1993), Presses Universitaires
de Caen, 1995

Fonts: - persona: M.Thompson, J-P de Palmas (évêques de Rouen & wikipedia)


- família 1: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011
- família 2: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

94.986.911:
HERLEVA, daughter of ---. She is called "a wife named Herleve" whom the bishop
took "in his capacity as count" by Orderic Vitalis[1834]. Orderic Vitalis, in another
passage, says that "the practice of celibacy among the clergy was so relaxed that
not only priests but even bishops freely shared their beds with concubines and
openly boasted of their numerous progeny"[1835]. Chibnall mentions that clerical
marriage was formally prohibited in Normandy in the 1064 Council of
Lisieux[1836]. Ambivalence towards the marriage of senior members of the clergy
in early medieval times is discussed by Taglia[1837]. The author highlights the
uncertainty existing before the 12th century regarding the regularity of such
marriages, and the legitimacy of any children produced, the position remaining
unclear until the ecumenical councils of Lateran I (1123) and Lateran II (1139)
which ruled that the major holy orders were an impediment to marriage.
References
[1834] Orderic Vitalis, Vol. III, Book V, p. 85.
[1835] Orderic Vitalis, Vol. III, Book V, p. 121.
[1836] Chibnall, Vol. III, p. 121 footnote 4.
[1837] Taglia, Kathryn A. '"On Account of Scandal…": Priests, their children and
the ecclesiastical demand for celibacy', Florilegium 14, 1995-96, consulted at
<http://www.uwo.ca/English/florilegium/vol-xiv/taglia.pdf> (3 Apr 2005).
Fonts:
- persona: M.Thompson ; F-L. Jacquier (Paul Leportier, généalogie Bertrand), J-P de
Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

94.986.911b:
RAOUL d'Evreux (-1051). Orderic Vitalis names him as the son of "Archbishop
Robert"[1864]. Seigneur de Gacé et de Varenguebec.
' m as her first husband, BASILIE, daughter of GERARD Flaitel & his wife --- (-16
Jan [1099/1100]). Guillaume de Jumièges records that "Gautier-Giffard 1er"
married an unnamed daughter of "Girard Flatel", his other daughter "Basilie veuve
de Raoul de Gacé" marrying Hugues de Gournay[1865]. She married secondly
Hugues de Gournay. The Chronicon Beccense records a donation by "tres matronæ
nobiles…Basilia uxor Hugonis de Gornaco, et Amfrida neptis ipsius Basiliæ, et Eva
uxor Guillelmi Crispini", who lived at the abbey, adding that they died on three
Sundays, "Amfrida…IV Non Jan…Basilia…XVII Kal Feb…Eva…X Kal Feb" [dating
the passage to 1099 or 1100][1866]. Raoul & his wife had one child.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

94.986.911-2a:

-4937-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
RAOUL de Vacé . Guillaume de Jumièges records that "Raoul de Vacé, fils de
Robert l'archevêque" was one of those responsible for the murder of Gilbert Comte
d'Eu[1876] in 1040, and in a later passage that he was chosen as tutor of
Guillaume II Duke of Normandy[1877]. Robert of Torigny names "Radulfo de
Waceio filio Roberti archiepiscopi Rothomagensis" as murderer of "Gislebertus
filius…Godefridi"[1878].
References
[1876] WJ VII.2, p. 168.
[1877] WJ VII.3, p. 171.
[1878] Chronique de Robert de Torigny I, 965, p. 25
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse)., J-P de
Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

94.986.912:
Illustration : Statue de Richard Ier sur le socle de la statue du Conquérant à
Falaise.
Richard Ier de Normandie, dit Richard Sans-Peur (Fécamp v. 930-996), est le fils
naturel du duc de Normandie Guillaume Longue-Épée et de Sprota, et le troisième
« duc » de Normandie — en fait, ses prédécesseurs et lui-même dans un premier
temps se qualifient de « jarl » et/ou comte des Normands. Il est le premier à se
qualifier de marquis.
La principale source sur Richard Ier est le récit de Dudon de Saint-Quentin, De
moribus et actis primorum Normanniae ducum. Ce chanoine fut invité par Richard
à écrire l'histoire des premiers ducs de Normandie. Son œuvre, assez critiquée par
les historiens modernes, est peut-être mise en lumière par les Annales de Flodoard
qui couvrent la période avant 966. Biographie

Son tombeau

Son tombeau est dans l'église de La Sainte Trinité à Fécamp 1.

-4938-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
_______________
1
Henri II Plantagenêt fit déposer en l'église abbatiale de Fécamp en 1162 les
restes de Richard I et de Richard II, marquant ainsi son attachement à la dynastie
normande et à un de ses principaux sanctuaires.

Notice on FMG

RICHARD, son of GUILLAUME Comte [ de Normandie] & his first [wife] Sprota ---
(Fécamp [932]-Fécamp 20 Nov 996, bur Fécamp[81]). Guillaume of Jumièges
records that, after the rebel “Riulfus” was defeated at the battle of "Pratum-belli",
a messenger arrived “aFiscannensis castri” and reported the birth of his son to
“nobilissima puella Danico more sibi iunctaSprota” to Guillaume who ordered him
to be sent immediately to “Baiocasepiscopo Henrico” for baptism as
“Richardum”[82]. Flodoard records "filio ipsius Willelmi, nato de concubina
Brittana" being granted the land of the Normans by King Louis after his father's
death[83]. Richard is described as "a boy" on the death of his father by Dudo of
Saint-Quentin[84]. Guillaume of Jumièges records that, after his father was killed,
“puerum Richardum” was recalled from Bayeux and placed "sub tutela Bernardi
Dani"[85]. He succeeded his father as RICHARD I "Sans Peur" Comte [de
Normandie]. Orderic Vitalis records that "Willelmus dux" was killed in 942 “fraude
Arnulphi Flandrensis satrapæ” and that “Ricardus filius eiustunc decem annorum”
was made “dux Normannorum” a position which he held for 54 years[86]. He used
the title Comte de Rouen/comes Rothomagensium, and from 966 Marquis des
Normands/marchio Normannorum[87]. Guillaume of Jumièges records that Louis
IV King of the West Franks, after the death of Richard´s father, marched on Rouen,
was received by “Rodulphus et Bernardus atque Anslech totius Normannici ducatus
tutores”, and captured Richard, who was taken to Laon but was freed by
“Osmundusconsilio cum Yvone patre Willelmi de Belismo” and taken to
“Silvanectis” where “Bernarduscomes” protected “nepotem suum Richardum”[88].
His forces defeated the army of Otto I King of Germany after it attempted to
capture Rouen in revenge for the escape of comte Richard from captivity[89].
Comte Richard defeated French forces after King Lothaire of France captured
Evreux. Dudo de Saint-Quentin records that, soon after succeeding, Richard
suppressed the rebellion of Rodulf "Torta", who was banished and fled to Paris[90].
These events are not dated, but are recounted with the betrothal of Richard to the
daughter of Hugues Duc des Francs, which is dated to 956. Hugues "le Grand" Duc
des Francs nominated comte Richard as guardian of his son, the future Hugues
"Capet" King of France, in 956, the arrangement being confirmed by Richard's
betrothal to Hugues's sister[91]. He invited William of Volpiano, Italian abbot of
Saint-Bénigne at Dijon, to reform the Norman abbeys, and installed monks at Mont-
Saint-Michel and Fécamp[92]. He agreed a non-aggression pact with Æthelred II
King of England 1 Mar 991, designed no doubt to prevent either side from
sheltering Viking marauders[93]. "Ricardus filius Willelmi, dux Normannie"
founded Louviers "in Ebroicensi pago" by undated charter[94]. Guillaume of
Jumièges records the death “apud Fiscannum” in 996 of “Richardus dux
primus”[95]. Orderic Vitalis records the death in 996 of "Ricardo seniore"[96]. The
Brevis Relatio de Origine Willelmi Conquestoris records that "Ricardus…filius
Willelmi et alius Ricardus" were buried "Fiscanni"[97].
m firstly (betrothed 956, Rouen 960) EMMA, daughter of HUGUES "le Grand" Duc
des Francs, Comte de Paris & his third wife Hedwig of Germany ([943]-after 19
Mar 968). The Liber Modernorum Regum Francorum records the marriage in 956
of "Richardus filius Guillelmi principis Normannorum" with "filiam Hugonis ducis",
although she is not named[98]. Guillaume of Jumièges records the betrothal of
“Hugo duxfiliam suamEmmam” and “puerum Richardum”, with the consent of
“Bernardi Silvanectensis”, and in a later passage their marriage[99]. No direct
proof has yet been identified that Emma was the daughter of her father's third
marriage. However, this is likely given that betrothals at the time normally took
place when the female partner was still a child or in early adolescence. Guillaume
-4939-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
of Jumièges records the death without children of “Emma uxor eius filia Hugonis
Magni”[100].
m secondly ([before 989]) GUNNORA, daughter of --- ([950]-5 Jan 1031). Guillaume
de Jumièges records that "in domo forestariihospiti suouxorem suam Sainfriam"
rejected the advances of Richard I Comte [de Normandie] and sent “Gunnorem
sororem suam” to his bed in her place[101]. Guillaume of Jumièges records that
Richard married “Gunnor ex nobilissima Danorum prosapia ortam”, in the sentence
which follows the record of the death of Richard´s first wife[102]. According to
Robert de Torigny, the marriage took place to legitimise Richard and Gunnora's
son Robert to permit his appointment as Archbishop of Rouen[103]. It appears from
Dudo de Saint-Quentin that Gunnora was Richard I's mistress before she married
him. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Gunnor" as the wife of
"dux Normannie primus Richardus"[104]. "Duke Richard [II]" donated property to
the abbey of Mont Saint-Michel by charter dated to [1024/26], subscribed by
"…Gonnor matris comitis…"[105]. Robert of Torigny records the death in 1030 of
"Gunnor comitissa uxor primi Ricardi"[106]. The necrology of Saint-Père-en-Vallée
records the death "Non Jan" of "Gonnoridis…comitissa Normannie"[107].
Richard & his second wife had eight children (legitimated [before 989] by the
subsequent marriage of their parents).
Richard had five illegitimate children by unknown mistresses.
[81] Ademari Historiarum III.33, MGH SS IV, p. 131.
[82] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber III, II, p. 234.
[83] Flodoard 943, MGH SS III, p. 389.
[84] Dudo of Saint-Quentin, Chapter 27.
[85] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber III, XI, XII, p. 238.
[86] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, I, p. 9.
[87] Kerrebrouck, P. Van (2000) Les Capétiens 987-1328 (Villeneuve d'Asq), p. 50
footnote 6.
[88] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, II, III, IV, pp.
239-40.
[89] Dudo of Saint-Quentin, Chapters 44-45.
[90] Dudo of Saint-Quentin, Chapter 43.
[91] Kerrebrouck (2000), p. 47.
[92] Chavanon, J. (ed.) (1897) Adémar de Chabannes, Chronique (Paris), Book III,
27, and Rodolfus Glauber, Life of William Volpiano, 7.
[93] Houts (2000), p. 102.
[94] Bonnin, T. (ed.) (1870) Cartulaire de Louviers (Evreux) ("Louviers"), Tome I, I,
p. 1.
[95] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, XX, p. 249.
[96] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, I, p. 10.
[97] Brevis Relatio de Origine Willelmi Conquestoris, p. 14.
[98] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet
Actus 5, MGH SS IX, p. 383.
[99] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, X, XII, pp. 243-4.
[100] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, XVIII, p. 247.
[101] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VIII, XXXVI, p. 311.
[102] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, XVIII, p. 247.
[103] Robert de Torigny, Book VIII c. 36.
[104] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 998, MGH SS XXIII, p. 777.
[105] Round, J. H. (ed.) (1899) Calendar of Documents preserved in France
illustrative of the history of Great Britain and Ireland Vol I 918-1206 (London), 701,
p. 249.
[106] Chronique de Robert de Torigny I, 1030, p. 36.
[107] Obituaires de Sens Tome II, Abbaye de Saint-Père-enVallée, p. 180.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (notes, dates, lieux et tombeau - Photographies de
l'abbatiale par Véronique de Palmas - été 2005, FMG), V.Delalande (-de visu-) 15 05
06
- naixement: J-P de Palmas (Histoire des ducs de Normandie par A.Labutte, préface
-4940-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
par Henri Martin, Paris 1866)
- defunció: L. Gustavsson
- enterrament: J-P de Palmas (tombeau - photo Véronique de Palmas - été 2005),
V.Delalande -de visu- 15 05 06
- família 2: M.Thompson, D.de Rauglaudre (Aline x)
- família 3: J-P.de Palmas (Wikipédia et FMG) 6 xii 2015
- família 4: H.R.Moser/EuSt
- família 5: http://www.flemingmultimedia.com/Genealogy/RhysGriffith.html

94.986.913:
GUNNORA, daughter of --- ([950]-5 Jan 1031). Guillaume de Jumièges records that
"in domo forestariihospiti suouxorem suam Sainfriam" rejected the advances of
Richard I Comte [de Normandie] and sent “Gunnorem sororem suam” to his bed in
her place[101]. Guillaume of Jumièges records that Richard married “Gunnor ex
nobilissima Danorum prosapia ortam”, in the sentence which follows the record of
the death of Richard´s first wife[102]. According to Robert de Torigny, the
marriage took place to legitimise Richard and Gunnora's son Robert to permit his
appointment as Archbishop of Rouen[103]. It appears from Dudo de Saint-Quentin
that Gunnora was Richard I's mistress before she married him. The Chronicle of
Alberic de Trois-Fontaines names "Gunnor" as the wife of "dux Normannie primus
Richardus"[104]. "Duke Richard [II]" donated property to the abbey of Mont Saint-
Michel by charter dated to [1024/26], subscribed by "…Gonnor matris
comitis…"[105]. Robert of Torigny records the death in 1030 of "Gunnor comitissa
uxor primi Ricardi"[106]. The necrology of Saint-Père-en-Vallée records the death
"Non Jan" of "Gonnoridis…comitissa Normannie"[107].
Richard & his second wife had eight children (legitimated [before 989] by the
subsequent marriage of their parents)
[101] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VIII, XXXVI, p. 311.
[102] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, XVIII, p. 247.
[103] Robert de Torigny, Book VIII c. 36.
[104] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 998, MGH SS XXIII, p. 777.
[105] Round, J. H. (ed.) (1899) Calendar of Documents preserved in France
illustrative of the history of Great Britain and Ireland Vol I 918-1206 (London), 701,
p. 249.
[106] Chronique de Robert de Torigny I, 1030, p. 36.
[107] Obituaires de Sens Tome II, Abbaye de Saint-Père-enVallée, p. 180.
Herbastus, le prénom du père de Gunnor est mentionné dans : "William the
Conquror" a biography by George Slocombe, London 1959 (F-L. Jacquier).
Bibliographie

 Robert de Torigny and the family of Gunnor, Duchess of Normandy


by Todd A. Farmerie
o There have been many requests for information on the various
Norman relationships compiled by Robert de Torigny. This is an
attempt to summarize and harmonize several recent works on
some of the lines:
- Elisabeth M C van Houts. Robert of Torigni as Genealogist. in
Studies in Medieval History presented to R. Allen Brown, p.215-
33.
- Kathleen Thompson. The Norman Aristocracy before 1066: the
Example of the Montgomerys. in Historical Research 60:251-63.
- K S B Keats-Rohan. Aspects of Torigny's Genealogy Revisited. in
Nottingham Medieval Studies 37:21-7.

Robert de Torigny, writing after the Norman Conquest, recorded


the genealogical traditions which tied many of the Norman
nobility to the family of Gunnor, first mistress of Richard I, then
Duchess of Normandy. He reported the tradition that Richard had
-4941-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
become infatuated with the wife of one of his foresters, but being
the pious wife, she substituted her sister Gunnor, much to
everyone's satisfaction. He proceded to name the siblings of
Gunnor, and also indicated the she had numerous nieces, who are
left unnamed, but whose marriages and descendants are
provided. The genealogical information contained in his account
has at various times been praised and condemned, but recent
opinion seems to favor the view that, while minor errors abound,
the genealogies accurately represent a tradition of shared
descent that may account for the rapid rise of these nobles.
The parentage of Gunnor and her siblings is unknown. While
some sources call her father Herfastus, this was in fact the name
of her brother. She has also been claimed as daughter of the
Danish royal family, but there is no evidence for this, and the
context of her coming to the attention of Richard I and the
family's subsequent rise to power militates against her being a
royal daughter. Douglas argued (in a 1944 English Historical
Review article on the family of William Fitz Osbern), based on the
donations of brother Arfast to the monastery of St. Pere, that the
root of the family was in the Cotentin region of Normandy, but
van Houts has suggested that the Cotentin land was granted to
Arfast, rather than inherited by him. Thus we are left with the
more ambiguous statements of Torigny and others that she was a
member of a Norman family of Danish origins.

Fonts:
- persona: o guionneau/H&G 99-163, J-P.de Palmas (FMG et Robert de Torigny and
the family of Gunnor, Duchess of Normandy, by Todd A. Farmerie) 3 vii 2012
- família: M.Thompson, D.de Rauglaudre (Aline x)

94.986.913a:
MATHILDE de Normandie, daughter of RICHARD I "Sans-peur" Comte [de
Normandie] & his second wife Gunnora --- (-[1005]). Guillaume de Jumièges names
Mathilde, wife of "le comte Odon", as the third of the three daughters of Duke
Richard and Gunnor, specifying in a later passage that her husband was "Eudes
comte de Chartres" when recording their marriage after the death of her father,
her dowry being half the castle of Dreux given to her by her brother Duke Richard
II, and her death without children "quelques années après"[122]. The same source
recounts that this difficulty was the basis for the dispute between Comte Eudes and
Duke Richard which escalated into the construction of the château de Tillières
Verneuil, Eure and Eudes's defeat while attempting to capture it[123].

(Foundation for Medieval Genealogy)

1. Elle n'a pas eu d'enfant nommée "Berthe" et mariée à William Ramsay, si l'on en
suit Guillaume de Jumièges (WJ IV.18, p. 105, and V.10, pp. 123-4.) qui la dit
décédée sans enfants ;

2. On ne possède pas sa date exacte de naissance et de décès (974-1015 sont des


dates fantaisistes) ; je ne crois pas à 1015 vu le remariage d'Eudes en 1005, mais
cela reste à confirmer.

(S. Chevauché)

Fonts:

-4942-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: S. Chevauché (Foundation for Medieval Genealogy,
http://fmg.ac/Projects/MedLands/CENTRAL%20FRANCE.htm) 3 ii 2011
- família: S. Chevauché (Foundation for Medieval Genealogy,
http://fmg.ac/Projects/MedLands/CENTRAL%20FRANCE.htm) 3 ii 2011

94.986.913e:
1035-37 Regent Queen Emma of England
Born as Princess of Normandie, she was married to King Æthelred of England, who
died 1016 and had the son Edmund Ironside. Married secondly to Knud the Great
of Demark and England, who died in 1035. She sided with their son, Hardeknud,
King of England and Denmark 1018-42. He was ousted by Edmond and she was in
exile in Flanders (1037-40). In 1042 she married King Heinrich III of Germnay. She
died (1052)
Fonts:- persona: L. Gustavsson/ppmr
- casament 1, casament 2: L. Gustavsson
- família 2: H. Albeck

94.986.913i:
Fonts:- casament: M.Thompson- família: M.Thompson

94.986.913-3b:
ROBERT, illegitimate son of RICHARD I "Sans Peur" Comte de Normandie & his
mistress --- (-after [1015]). Comte d´Avranches. His parentage is established by
André de Fleury´s Vita Gauzlini which records that “Rotbertus Abricatinensium
comes” held “de sui jure patrimonii ecclesiam sancti Hylarii”, that after his death it
was held by “eius filius Richardus” who was banished “a proprio avunculo
Richardo” [Richard II Duke of Normandy][843]. "Rotbertus comes" donated
property to the abbey of Mont-Saint-Michel for the souls of "uxoris meæ Bileeldis
defunctæ et…vivente Ascelinæ, filiorumque meorum Vilelmi et Rotberti atque
Ricardi" by charter dated to [1015][844].
m firstly BILELDIS, daughter of --- (-before [1015]). "Rotbertus comes" donated
property to the abbey of Mont-Saint-Michel for the souls of "uxoris meæ Bileeldis
defunctæ et…vivente Ascelinæ, filiorumque meorum Vilelmi et Rotberti atque
Ricardi" by charter dated to [1015][845].
m secondly ASCELINE, daughter of --- (-after [1015]). "Rotbertus comes" donated
property to the abbey of Mont-Saint-Michel for the souls of "uxoris meæ Bileeldis
defunctæ et…vivente Ascelinæ, filiorumque meorum Vilelmi et Rotberti atque
Ricardi" by charter dated to [1015][846].
Robert & his [first/second] wife had three children.
[843] Vita Gauzlini, Liber I, X (1853), pp. 282-3.
[844] Delisle (1867), Pièces justificatives, I, p. 1.
[845] Delisle (1867), Pièces justificatives, I, p. 1.
[846] Delisle (1867), Pièces justificatives, I, p. 1.
Fonts: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 2ii2014, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 xii 2015

94.986.913-3c:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de
Nesle en Picardie, Tableau P. 288 + texte) 29 viii 2011

94.986.913-3d:
Fonts:- persona: J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de
Nesle en Picardie, Tableau P. 288 + texte) 29 viii 2011

94.986.914:
CONAN de Rennes, son of JUDICAËL [Juhael] Comte de Rennes & his wife
-4943-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Gerberge --- (-killed in battle Conquereil 27 Jun 992). The Chronicle of Nantes
names "Conano filio Judicael Berengarii Redonensi comite" when recording that he
held a large part of Brittany from Thibaut [II] Comte de Blois and fought with Hoël
Comte de Nantes[121]. His parentage is confirmed by the Chronico Sancti
Michaelis which records the death of his grandson "Gaufridus Dux Britanniæ filius
Conani filii Juhelli Berengarii" in 1008[122]. Comte de Rennes. He succeeded in
[970] as CONAN I "le Tort" Duke of Brittany. Rodulfus Glaber records that Conan
"crowned himself with a royal diadem", was defeated by his brother-in-law
Foulques Comte d'Anjou, and surrendered after his right hand had been cut
off[123]. The Chronico Sancti Michaelis records that "Conanus Brito…filius Juhelli
Berengarii" was killed in battle "V Kal Jul 992" against Foulques Comte
d'Anjou[124]. The Chronicle of Nantes reports that he was killed at the battle of
Conquereuil[125], dated "992 V Kal Jul" in the Chronicon britannicum[126]. The
Chronicon Kemperlegiense records the death "in bello Conçurruç…V Kal Jul" of
"Conanus comes, filius Iudicaëlis Berengarii Comitis Redonensis"[127].

m (973) ERMENGARDE d'Anjou, daughter of GEOFFROY I "Grisegonelle" Comte


d'Anjou & his first wife Adela de Meaux [Vermandois-Carolingian] (before 965-after
982). Rodulfus Glaber records that Conan married the sister of Foulques of Anjou
but does not name her[128]. The primary source which confirms her name has not
yet been identified.
Duke Conan I & his wife had five children.
" A la mort de Guerch, fils d'Alain Barbe-Torte, Conan Le Tort crut le moment
favorable pour imposer sa suzeraineté à Nantes : il s'empara de la ville, mais
Foulques Nerra, Comte d'Anjou, entreprit une campagne énergique, reprit la ville
de Nantes et imposa Judicaël aux nantais. Conan accourut au devant de son
adversaire : la rencontre eut lieu sur les landes de "Coquereuil". Le sort de la
bataille eût penché en faveur de Conan, si celui-ci ne s'était avancé imprudemment
à la poursuite de ses ennemis : cerné par un groupe de partisans des angevins, il
ne put se dégager et fut tué (27/6/992)" ["histoire de la Bretagne" par Henri
Poisson et Jean-Pierre Le Mat - Ed Gop Breizh]
Foulques d'Anjou, dit le bon, était le grand-père d'Ermengarde d'Anjou, épouse de
Conan..(notes Benoît Goullin)
Biographie
Conan Ier était le fils de Juhel Bérenger. Après s'être débarrassé de la tutelle de
Wicohen, l'archevêque de Dol-de-Bretagne, qui avait imposé sa suzeraineté à son
père Conan est mentionné pour la première fois comme «Conanus commes
Britanniae» le 16 août 979 à la cour du comte Eudes de Chartres.
Conan prend ensuite le contrôle du Vannetais en s'alliant avec Orscand le Grand,
évêque de Vannes (970-992). La première et indécise Bataille de Conquereuil
disputée contre Hoël de Nantes en 981 ne lui permet pas d'imposer sa suzeraineté
sur le Nantais. Le pouvoir du duc demeure partagé sur la Bretagne car entre 965 &
972 le Pape Jean XIII adresse un message aux chefs bretons « Juhel Béranger et à
son fils Conan, ainsi qu'à Hoël et à son frère Guérech ». Après la disparition du
comte Guérech de Nantes, il met la main sur le comté de Nantes en 990 après la
mort de son jeune héritier le comte Alain et aurait été proclamé "duc de Bretagne".
Lors de la confirmation d'une donation faite à l'abbaye du Mont Saint Michel, le 28
juillet 990 en présence de l'ensemble des évêques de Bretagne, Conan prend le
titre de "Princeps Britannorum". Le nouveau comte d'Anjou (Foulques Nerra)
s'inquiétant de son ascension politique se proclame le défenseur des intérêts de la
maison de Nantes et il lui livre combat. Conan Ier est tué dans la défaite, lors de la
seconde Bataille de Conquereuil le 27 juin 992[1] Conan Ier de Bretagne fut
inhumé dans l'église abbatiale du Mont Saint Michel dont il était le bienfaiteur.
wikipedia
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG ; wikipedia) 2005 et 2016
- naixement: B.Yeurc'h (Le Lien)
- defunció: Benoît Goullin ( Henri Poisson : "Histoire de la Bretagne" ) 07.2006
- enterrament: lieu : précision : Hervé Balestrieri ( Encyclopédie "Wikipédia" :
-4944-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mont-Saint-Michel ) 03.05.2017
- família 2: J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010

94.986.915:
ERMENGARDE d'Anjou (before 965-after 982). Rodulfus Glaber records that Conan
married the sister of Foulques of Anjou but does not name her[119]. The primary
source which confirms her name has not yet been identified. She was presumably
born before 965 if it is correct that her first child was born in 980.
m (973) CONAN Comte de Rennes, son of JUDICAËL BERENGAR Comte de Rennes
& his wife Gerberge --- (-killed in battle Conquereil 27 Jun 992). He succeeded in
990 as CONAN I "le Tort" Duke of Brittany.
[119] Rodulfi Glabri, Historiarum II.4, p. 59.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 v 2016

94.986.915b:
Le XIème siècle s'ouvrit avec l'évêque Judicael, l'un des plus grands prélats de
l'Eglise de Vannes, fils du duc Conan I et frère du duc Geoffroi I. C'est lui qui
provoqua, dès 1008, le rétablissement du monastère de Rhuys par saint Félix ; et
c'est lui qui procura la reconstruction de l'église cathédrale, dont les derniers
vestiges n'ont disparu qu'en 1770.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Infobretagne) ix 2010

94.986.915c:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-P de Palmas (wikipedia)

94.986.915d:
Tué au siège d'Angers (Maine-et-Loire).
Fonts:- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.986.915e:
Tué au siège d'Angers (Maine-et-Loire).
Fonts:- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.986.915-2a:
Fonts:- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

94.986.920:
Arnoul II de Flandre (°v. 961 - † Gand, 30 mars 988), dit le Jeune, fut comte de
Flandre de 965 à 988. Fils de Baudouin III et de Mathilde de Saxe. Il est le petit-fils
et successeur d'Arnoul Ier. Il n'est qu'un enfant à la mort de son père (961): son
grand-père Arnould Ier reprend alors la charge de comte jusqu'à sa mort en 965. À
son avènement, profitant de sa jeunesse, et se prévalant de la régence en tant que
suzerain, le roi Lothaire envahit la Flandre, s’empare des comtés de Thérouanne et
de St-Pol, de Douai et d’Arras (Artois et Ostrevant). Inquiété, l’évêque de Cambrai
et d’Arras appelle l’empereur Othon Ier à la rescousse : Lothaire se retire, mais
laisse un pays dévasté. À la mort de Louis V (987), par solidarité carolingienne,
Arnould soutient Charles de Basse-Lotharingie et son fils Otton face à Hugues
Capet, et ne reconnaît pas le roi élu. Hugues envahit alors la Flandre jusqu'à la Lys
et prend Arras. Arnould se réfugie auprès du duc Richard Ier de Normandie qui
s’entremet : le Capétien se retire, mais le comte de Flandre le reconnaît comme roi
(avait-il d’ailleurs le choix ?). Arnould disparaît un an plus tard, atteint de la fièvre
chaude. De sa femme Rozala d'Italie (° v. 950 - † 1003), fille de Bérenger II roi
d'Italie, il laisse trois enfants.

-4945-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
http://fr.wikipedia.org/wiki/Arnoul_II_de_Flandre
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t II p.
4 (comtes de Flandre) Marburg 1984) 18 xi 2016

94.986.921:
Rosala d'Italia, nota anche come Rosala di Ivrea o Susanna d'Italia (952 – Gand, 7
febbraio 1003), moglie in prime nozze di Arnolfo II, conte di Fiandra e in seconde
nozze di Roberto il Pio, re di Francia. Rosala era figlia del re d'Italia Berengario
II[1] e di Willa III d'Arles, figlia a sua volta del marchese di Toscana Bosone[2].
Attorno al 978 Rosala sposò Arnolfo II, conte di Fiandra (961 - 987), dal quale ebbe
due figli:
Baldovino IV di Fiandra (980 - 1035), conte di Fiandra dal 988
Matilde di Fiandra (morta prima del 995)
Alla morte di Arnolfo II (987) Baldovino aveva appena 7 anni; la tutela venne
assunta dalla madre. L'anno successivo Rosala sposò Roberto II, figlio del re di
Francia Ugo Capeto e associato al trono francese dal padre. Il matrimonio era stato
voluto da Ugo Capeto nonostante la grande differenza di età fra i due sposi: Rosala,
la quale nell'ascesa al trono francese aveva cambiato il proprio nome in Susanne,
aveva venti anni più del marito, ma portava in dote Montreuil, il Ponthieu e la
possibile tutela sulle Fiandre. Nel 991 o nel 992 Roberto ripudiò tuttavia Rosala, la
quale ritornò nelle Fiandre con il figlio Baldovino. Morì anni dopo a Gand e fu
seppellita nell'abbazia di Saint-Pierre-au-Mont-Blandin a Gand.
http://it.wikipedia.org/wiki/Rosala_d%27Italia
Rozala d’Italie (°v. 955 - † 7 février 1003), appelée également Rozala d'Ivrée ou
Suzanne d'Italie, comtesse de Flandre par mariage, reine de France. Fille du roi
d’Italie Bérenger II.
Elle épousa en premières noces le comte de Flandre Arnould II (961 - † 987), dont
elle eut :
Baudouin IV (980 - † 1035).
Eudes de Cambrai
Mathilde († 995)
Son fils étant mineur à son avènement, elle assura sa tutelle.
Devenue veuve, et malgré la différence d'âge (une vingtaine d'années de plus que
son futur mari), elle épousa alors le roi de France associé Robert II le Pieux en 988,
selon les souhaits de son père Hugues Capet. La dot était intéressante, puisqu'elle
apportait Montreuil et le Ponthieu1. Devenu seul roi, Robert la répudia (v. 991/992)
tout en gardant la dot.
Rozala, qui avait changé son prénom en devenant reine pour celui de Suzanne, se
retira en Flandre auprès de son fils Baudouin IV1 où elle mourut et fut inhumée en
l'abbaye Saint-Pierre-au-Mont-Blandin à Gand.
En fin d'année 996 ou début 997, le roi Robert II épousa Berthe de Bourgogne
veuve d'Eudes Ier de Blois. http://fr.wikipedia.org/wiki/Rozala_d%27Italie
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

94.986.922:
Sources sur FMG.
Notice sur wikipedia.
Fonts:
- persona: o guionneau/H&G 99-163, ppmr,(Genealogisches Handbuch des Adels-
Fürstliche Häuser, Vol 5, 1955),, JB.de La Grandiere (mix Projects Medlands
Luxembourg / Limburg et ES t I-2 p. 229 (Limbourg) ) 2 v 2013
- defunció: J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la
Maison d’Ardenne) 28/01/2008
- família: ppmr,(Genealogisches Handbuch des Adels-Fürstliche Häuser, Vol 5,
1955)., F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")

-4946-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.986.923:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de, F-L. Jacquier
(GeneaNet "mcbauche")
- naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- família: ppmr,(Genealogisches Handbuch des Adels-Fürstliche Häuser, Vol 5,
1955)., F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")

94.986.923b:
FRIEDRICH (-28 Aug 1065, bur Stablo). The Vita Adelheidis names "Heinrici
magnifici ducis et Adhelberonis Metensis episcopi, Friderici ducis fratrumque
suorum" as grandsons of "Irminthrudis", daughter of Megingoz[109]. One version
of the Genealogica Comitum Flandriæ names "Fredericus dux Lotharingie" as one
of the brothers of Ogive when recording her marriage[110]. "…Friderico comite
eiusque fratribus, Gisilberto et Theoderico…" were among the witnesses of the
testament dated 12 Nov 1036 left by "Adalbero…prepositus S Paulini Treuerensis,
dominus de Ruscheio, de Serico, de Sarburch et de Berincastel", who was their
paternal uncle[111]. He was installed by Heinrich III King of Germany as
FREDERIC Duke of Lower Lotharingia in 1046. Vogt of Stablo and Malmédy.
Ekkehard´s Chronicon Wirziburgense records that “Fridericus et fratres eius”
attacked “Germaniæ partibuscontra imperium Romanum” but were defeated by
“Agnete imperatoris et principibus regni”, dated to 1057[112]. Bernold´s
Chronicon records in 1059 that “Fridericus et fratres eius de Glichberga” rebelled
against “Heinrico regi”[113]. A charter dated 30 Aug 1067 records that "Dux
Fredericus et Stabulensis advocatus" donated “ecclesiam de Sprimont et
allodiumGenape” to Stablo abbey, after the death of “Gerberga uxore mea” from
whom was derived his rights to the property[114].
m firstly GERBERGE de Boulogne, daughter of EUSTACHE [I] Comte de Boulogne
& his wife Mathilde de Louvain (-before 1059, bur Abbey of Stablo). The
Genealogica ex Stirpe Sancti Arnulfi names "Gerbergam, Friderici ducis uxorem"
as daughter of "Mathildis filia Gerberge"[115]. A charter dated 30 Aug 1067
records that "Dux Fredericus et Stabulensis advocatus" donated “ecclesiam de
Sprimont et allodiumGenape” to Stablo abbey, after the death of “Gerberga uxore
mea” from whom was derived his rights to the property[116].
m secondly as her first husband, IDA of Saxony, heiress of La Roche in the
Ardennes, daughter of BERNHARD II Duke in Saxony [Billung] & his wife Eilika
von Schweinfurt (-31 Jul 1102, bur Namur). "Ida" is named as wife of "Albertus
comes Namucensis" in the Chronicon Sancti Huberti, which specifies that "prius
fuerat uxor ducis Frederici", but her origin is not given[117]. The Genealogia ex
stirpe Sancti Arnulfi names "Idam Namucensem…uxorem Angelberti marchionis et
Gertrudem comitissam Flandrensem" as children of "Bernardum"[118]. She
married secondly ([1065/66]) Albert III Comte de Namur.
Friedrich & his first wife had [two] children.
[109] Vita Adelheidis abbatissæ Vilicensis 3, MGH SS XV.2, p. 757.
[110] Genealogica Comitum Flandriæ Bertiniana MGH SS IX, p. 318.
[111] Mittelrheinisches Urkundenbuch I, 308, p. 360.
[112] Ekkehardi Chronicon Wirziburgense, 17, MGH SS VI, p. 31.
[113] Bernoldi Chronicon, 1059, MGH SS V, p. 427.
[114] Miraeus (1723), Tome I, XL p. 663.
[115] Genealogica ex Stirpe Sancti Arnulfi descendentium Mettensis 4, MGH SS
XXV, p. 383.
[116] Miraeus (1723), Tome I, XL p. 663.
[117] Chronicon Sancti Huberti Andaginensis 17 (24), MHG SS VIII, p. 577.
Although this passage is not dated, the editor has placed "c 1066" in the margin.
[118] Genealogia ex stirpe Sancti Arnulfi descendentium Mettensis 7, MGH SS
XXV, p. 384.

-4947-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
En tant que fils cadet, il avait peu de perspectives d'avoir une position très élevée.
Mais Gothelon Ier, duc de Basse et de Haute-Lotharingie, de la maison d'Ardennes,
mourut en 1044. Si Godefroy II succéda à son père en Haute-Lotharingie, la
situation de la Basse-Lotharingie et moins claire. Certains historiens mentionnent
un autre fils, Gothelon II, qui aurait succédé à son père et serait mort en 1046,
d'autre disent que l'empereur Henri III ne nomma pas de titulaire pour le duché.
En tout cas, Godefroy II, irrité de ne pas avoir aussi reçu la Basse-Lotharingie, se
révolta en 1046. Vaincu la Haute-Lotharingie lui fut retirée et confiée à Adalbert
d'Alsace, mais Godefroy continua la lutte. Pour défendre sa position en Lotharingie,
l'empereur nomma alors un cousin de la maison d'Ardennes à la tête du duché de
Basse-Lotharingie : ce fut Frédéric de Luxembourg. Grâce à l'aide de son frère
Adalbéron III, évêque de Metz, il réussit à s'imposer dans son nouveau duché et
dut lutter contre Godefroy qui n'avait pas renoncé. Il fut toujours fidèle à
l'empereur, mais ne réussit pas à empêcher le début du morcellement de la Basse-
Lotharingie. Il mourut alors qu'il était en guerre contre l'archevêque de Cologne.
Ida se remaria avec Albert III, comte de Namur. L'empereur Henri IV, donna la
Basse-Lotharingie à Godefroy II le Barbu. Avoué de Stavelot et Malmédy. Selon les
FMG, Udo et Judith sont bien les enfants de Frédéric et de Gerberge.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia & FMG) iv 2010
- defunció: P.Fauchère (FMG) 1.11.14
- enterrament: P.Fauchère (FMG) 1.11.14
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016
- família 2: P.Fauchère (FMG) 1.11.14

94.986.923d:
Il a été l'un des précepteurs de son cousin Bruno d'Eguisheim-Dagsbourg qui
deviendra le pape Léon IX. En 1047 il succède à son oncle Thierry de Luxembourg
comme évêque de Metz.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Mémoires couronnés et autres mémoires p15
[archive] Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique
1867 ) iv2010

94.986.923e:
Fonts: - família: J-P de Palmas (wikipedia) iv 2010

94.986.923h:
Oda de Luxembourg, fille de Frédéric de Luxembourg, fut consacrée de bonne
heure à Dieu dans l'église de Remiremont et y vécut de longs jours. L'Austrasie
respire et se relève; l'esprit religieux s'y ranime: Saint Gauzlin et Saint Léon
fondent Bouxières, Poussay et Bleurville, sur le modèle du monastère de Saint
Romaric. A Bleurville devaient être abbesses des religieuses de cette dernière
abbaye. Saint Léon, devenu pape, se souvint de son ancien diocèse de Toul : venu
en Lorraine, il alla consacrer l'autel de l'église édifiée sous le vocable de Saint-
Pierre par l'empereur Louis III, après l'irruption des Huns. Gérard d'Alsace,
premier duc héréditaire de Lorraine, assistait à cette solennité. Le 13 novembre
1051, Amé, Romaric, Adolphe et Gébertrude furent canonisés, et leurs corps placés
sur l'autel. C'est alors que Gérard d'Alsace devint l'avoué (protecteur des droits et
des intérêts temporels) de Remiremont : l'abbaye trouva en lui un défenseur
intégre. L'église, endommagée par le feu, fut réparée par lui et l'empereur Henri
IV. Gérard bâtit au confluent de la Moselle et de la Vologne, un château qui devint
le boulevard du monastère contre les routiers; il mourut à Remiremont, en 1070, et
fut inhumé dans l'église souterraine.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Chapîtres nobles de Lorraine : annales et preuves
de noblesse", par Félix de Salles 1888 ) iv 2010

94.986.944:

-4948-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Son fils Adam abandonne pour le repos de son âme l'église de Noisiel à Cluny.
Certains auteurs lui donnent également comme fils Hugues, lui-même père de
Richilde et Havoise.
Fonts: - persona: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien)
- família: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien), J-P.de Palmas (FMG)
18 vi 2014

94.987.040:
BERMOND de Sauve, son of BERMOND de Sauve & his wife --- (-after 1054). A
charter dated 1054 records that "Bermundus…de Salve" donated "villa…ad Portas"
to the church of Saint-Pierre de Sauve, with the consent of "filii sui Petri Bermundi
et uxoris suæ Astrigæ", for the soul of "patris mei Bermundi"[1918].
m ASTORGE, daughter of --- (-after 1054). A charter dated 1054 records that
"Bermundus…de Salve" donated "villa…ad Portas" to the church of Saint-Pierre de
Sauve, with the consent of "filii sui Petri Bermundi et uxoris suæ Astrigæ", for the
soul of "patris mei Bermundi"[1919].
Bermond & his wife had two children.
[1918 et 1919] HGL, 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 238.II, col.
476.
Fonts: - persona: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990), J-P
de Palmas (FMG) 27ii2011
- família: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990)

94.987.041:
ASTORGE, daughter of --- (-after 1054). A charter dated 1054 records that
"Bermundus…de Salve" donated "villa…ad Portas" to the church of Saint-Pierre de
Sauve, with the consent of "filii sui Petri Bermundi et uxoris suæ Astrigæ", for the
soul of "patris mei Bermundi"[1919].
[1919] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 238.II, col. 476.
Fonts: - persona: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990), J-P
de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27ii2011
- família: D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes, par Edoard Dumas, 1990)

94.987.168:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu et
Généalogie d'Albon) i2010
- casament: C-H.Maigret (H. & G. n° 200) 31 x 2011
- família: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu) i2010

94.987.169:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu) i2010
- casament: C-H.Maigret (H. & G. n° 200) 31 x 2011
- família: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu) i2010

94.987.169b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu) i2010

94.987.170:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Base Familles Visse, de Normandie) 19 iii 2016
- família: J-M.Thiebaud (Base Familles Visse, de Normandie) 19 iii 2016

94.987.171:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Base Familles Visse, de Normandie) 19 iii 2016
- família: J-M.Thiebaud (Base Familles Visse, de Normandie) 19 iii 2016
-4949-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.987.192:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_comtes_de_Metz
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: J-P de Palmas (wikipedia) viii2009

94.987.193:
Fonts: - família: J-P de Palmas (wikipedia) viii2009

94.987.193a:
Ide est abbesse de Remiremont en 1030. Elle est la fille d' Adalbert II comte de
Metz et comte d'Alsace et de son épouse Judith, son frère est Gérard II d'Alsace
comte de Metz. Elle est la grand-tante de Gisèle d'Alsace.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) viii2009

94.987.194:
Fonts:
- defunció: O.Guionneau (site http://www.berndjosefjansen.de/Tafel/frame3.htm; 2
XII 06)
- família: F d'Avigneau (geneanet aurejac),JL.Mondanel (généalogie Lorraine) 30 iii
2011

94.987.195:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ Erik XIV, Europaische Stammtafeln/L.Orlandini, L.
Gustavsson/ WW-Person
- família 1: F d'Avigneau (geneanet aurejac),JL.Mondanel (généalogie Lorraine) 30
iii 2011
- família 2: L.Orlandini
- família 3: L. Gustavsson/ Erik XIV, F d'Avigneau (geneanet frebault)

94.987.195-2b:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet aurejac)

94.987.196:
Albert I (died ca. 1011) was the son of Robert I, Count of Lomme. He became
Count of Namur in 998.

He married Ermengarde, daughter of Charles, Duke of Lower Lorraine, and had


two children:
Liutgard of Namur
Albert II, Count of Namur was father of Hedwige of Namur, who married Gerard,
Duke of Lorraine. They were the great-great-grandparents of Beatrice, who
married Emperor Frederick Barbarossa.

http://en.wikipedia.org/wiki/Albert_I,_Count_of_Namur

Fonts: - persona: Aurejac


- família: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006

94.987.197:
ERMENGARDE ([970/75]-after 1013). The Genealogica comitum Buloniensium
records that "Karolus dux" was father of "Ermengardem et Gerbergam"[210]. The

-4950-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Gesta Abbatem Trudonensium, on the other hand, names "Hermegardam Namursi
cometissam" as only daughter of "Ottoni duci Lotharingiæ", son of Duke
Charles[211]. The latter appears chronologically impossible in light of the sources
discussed in the document NAMUR which attest Ermengarde as the mother of at
least three of her husband's children. The Fundatio Ecclesiæ S Albani Namucensis
is less specific on Ermengarde's origin when it names her son "comes Albertus
secundus, ortus ex patre Lothariensi" referring to his mother as "matre vero
Francigena Ermengarde, nobilissimam Francorum regum prosapiam
trahente"[212]. The birth date range of Ermengarde is estimated on the basis of
her having been the mother of all Comte Albert's recorded children. Her marriage
date is suggested by Richer, who does not name her among the children of her
father when the family was imprisoned in 991: "Karolum…cum uxore Adelaide et
filio Ludovico, et filiabus duabus, quarum altera Gerberga, altera Adelaidis
dicebatur, necnon et Arnulfo nepote"[213]. This presumably indicates that her
marriage predated this imprisonment. It has been suggested that Ermengarde was
Albert [I]'s second wife, considering the likely difference in their ages[214]. If this
is correct, it is unlikely that there were any surviving children from his earlier
marriage as Albert's successor (presumably his eldest son) was the son of his
surviving wife, presumably Ermengarde, as shown by the Gesta Episcoporum
Cameracensium which records that "Rotberdo Namurcensi comite" betrayed
Lambert Comte de Louvain after the battle of Hougaerde (dated to 1013) and that
Lambert, captured by "Herimannum…comitem", was released after the
intervention of "Rotbodi…comitis mater"[215].
m (990) ALBERT [I] Comte de Namur, son of ROBERT [I] Comte de Namur & his
wife --- (-shortly before 1011).
[210] Genealogica comitum Buloniensium MGH SS IX, p. 300.
[211] Gestorum Abbatem Trudonensium Continuatio Tertia 1005, MGH SS X, p.
382.
[212] Fundatio Ecclesiæ S. Albani Namucensis, MGH SS XV.2, p. 962.
[213] Richeri Historiæ IV 49, MGH SS III, p. 642.
[214] Rousseau, F. (ed.) (1936) Actes des Comtes de Namur de la Première Race
946-1196 (Brussels) ("Namur"), p. xlvi.
[215] Gesta Episcoporum Cameracensium III 5, MGH SS VII, p. 468.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 v 2016, O.Guionneau
(wikipedia) 19 XII 12
- família: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006

94.987.198:
Fonts: - persona: Aurejac
- família: N. Danican (l'Art de vérifier les dates) 25iv05

94.987.199:
Fonts: - família: N. Danican (l'Art de vérifier les dates) 25iv05

94.987.199c:
portrait : source A.Marchand par A.B. 6.05.05
Fonts: - persona: C.Chéneaux (Jean Mathieu-Rosay, historien de la papauté), N.
Danican (l'Art de vérifier les dates) 25iv05

94.987.200:
Second mariage non cité par: J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et
ses marges (Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?")
13/05/2008
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, J-C de Vaugiraud (C.Settipani +
notes de lectures) 12/05/2006
- defunció: J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et ses marges (Velay,
-4951-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?") 13/05/2008
- casament 1: J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et ses marges
(Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?") 13/05/2008
- família 1: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-
Rosaz "L’Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin
du monde antique ?") 13/05/2008
- família 2: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05

94.987.201:
Le patronyme n'est pas donné.
J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et ses marges (Velay,
Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?") 13/05/2008
peut-être remariée à Guillaume de Bouzols
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, J-C de Vaugiraud (J.Berge: Origines
rectifiées, tableau p 113) 21/04/2008
- casament: J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et ses marges
(Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?") 13/05/2008
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz
"L’Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du
monde antique ?") 13/05/2008

94.987.201b:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges")
12v2006

94.987.201c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

94.987.201d:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

94.987.201e:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

94.987.201-2a:
Non cité par:
J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et ses marges (Velay,
Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?") 13/05/2008
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05

94.987.204:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle), J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du
midi carolingien p 310) 08/09/2008
- naixement: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 310)
08/09/2008
- defunció: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 310)
08/09/2008
- família: H.deRiberolles(Remacle)+Pierfit

94.987.205:
-4952-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - família: H.deRiberolles(Remacle)+Pierfit

94.987.232:
GUILLAUME [I] (-after 23 Nov 1025). A charter dated 23 Nov 1025 records the
election of "Leodegarium, Willelmi…filium" as abbot of Romans, and names
"genitore eius Willelmo…coniuge eius…Fida et fratre suo Willelmo"[484]. A charter
dated 1130 records an agreement between "Silvion de Clérieu" and the canons of
the church of Romans regarding his usurpation of the donations of his
predecessors "Silvion, Guillaume, Ado et Guillaume son père"[485].
m FIDA, daughter of --- (-after [1038/46]). A charter dated 23 Nov 1025 records the
election of "Leodegarium, Willelmi…filium" as abbot of Romans, and names
"genitore eius Willelmo…coniuge eius…Fida et fratre suo Willelmo"[486]. "Ado"
donated property "Drotianum mansum" to the church of Romans, by charter dated
to [1038/46] witnessed by "Leodegarii archiepiscopi, Uuillelmi, Armanni, Fidis,
genetricis"[487]. Guillaume [I] & his wife had four children.
[484] Romans (1856), 52 bis, p. 101.
[485] Romans (1856), 277, p. 214.
[486] Romans (1856), 52 bis, p. 101.
[487] Romans (1866), 93, p. 9.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu & FMG)
i2010 et 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 xi 2017

94.987.233:
Fonts: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 xi 2017

94.987.233b:
Fonts: J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu) i2010

94.988.160:
Les Barasc de Béduer : heurs et malheurs d'une famille noble au Moyen âge
quercynois par François Petitjean
Publication initiale : Quercy Recherche n° 90, octobre-décembre 1997.
De l'aristocratie quercynoise des XI-XIIè siècles émergent quelques grands
lignages, peut-être issus des vicomtes de Cahors ou des grands propriétaires
fonciers du Xè siècle, tels les Gourdon et sans doute les Cardaillac. Moins
puissants, mais dominant largement les simples milites, apparaissent des lignées
intermédiaires de "maîtres de châteaux", comme les Thémines ou les Pestilhac. La
famille Barasc, qui nous intéresse ici, est de ces familles. Sans avoir l'envergure
des Cardaillac ou des Gourdon, ces barons dominent la vallée du Célé depuis leur
château de Béduer jusqu'à Cabrerets. Pendant tout le bas moyen âge, ils jouent un
rôle non négligeable dans l'histoire du Quercy, dont ils suivent les péripéties : il
n'est pas un grand événement auquel ils ne participent et donnent même un
évêque de Cahors au XIIIè siècle. Mais, au-delà de ce qui peut sembler être la vie
"normale" d'une lignée de seigneurs quercynois, les Barasc semblent posséder une
caractéristique particulière : leur histoire est jalonnée, au cours de plusieurs
siècles, d'incidents violents. Les Barasc, barons quercynois L'origine de la famille
Barasc n'est pas bien connue. Barasc est d'abord un prénom (au sens de l'anglais
surname), fort répandu à l'époque et dans la région de la vallée du Célé où
commence l'histoire de la famille. Albe pense que les Thémines et les Barasc ont
une origine commune sans être vraiment démenti par d'Alauzier, ce n'est qu'une
hypothèse : "Il nous est impossible, écrit Albe (monographie de Béduer), de savoir
si les de Barasc sont une branche des Thémines ou les de Thémines une branche
des Barasc" (sur la généalogie des Barasc voir aussi d'Alauzier, Généalogie des
Barasc. Lacoste donne également des éléments généalogiques). La généalogie de
cette famille doit être manipulée avec précaution : du XIè au milieu du XIVè siècle,
les aînés s'appellent tous Arnaud ou Déodat (forme occitane de Déodatus, on
-4953-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
rencontre aussi Dieudonné ou Dorde), de sorte qu'il est quelquefois difficile de les
distinguer. Les Barasc apparaissent dans l'histoire du Quercy dès la fin du XIè
siècle, avec Déodat, seigneur de Béduer (le château de Béduer est attesté dès la
moitié du XIè s.), à qui a été donnée, à moins qu'il ne l'ait prise, l'avouerie de
l'abbaye de Marcilhac. Ce même Déodat, ainsi que de nombreux seigneurs
quercynois, accompagne Bertrand, comte de Toulouse, à la croisade de 1109. Un
peu plus tard, en 1193, un Arnaud de Barasc, descendant de Déodat, apparaît
comme témoin dans l'acte de cession de Roc Amadour à Tulle. C'est le fils
d'Arnaud, un autre Déodat, qui, le 12 juin 1214, prête serment à Simon de
Montfort, chef de la croisade des Albigeois. Cela ne l'empêche pas de passer sans
délai dans le camp du comte de Toulouse et ses fils Arnaud, Déodat et Guillaume
de participer en 1219, aux côtés de Raymond VI, à la défense de Toulouse assiégée
par Louis VIII. Il n'est pas surprenant de voir les Barasc prendre le parti du comte
de Toulouse, leur suzerain, le serment à Simon de Montfort pouvant n'être qu'une
attitude tactique. A cette époque, les Barasc, frères ou cousins, sont seigneurs de
Béduer, Montbrun, Cabrerets, Lissac, Larganol Ils ont également des fiefs en
Rouergue, mais leurs possessions sont principalement localisées dans un triangle
Figeac-Assier-Cabrerets. Les mariages conclus avec les grandes familles (unions
avec les vicomtes de Bruniquel, les Cardaillac-Lacapelle, puis, plus tard, les
Hébrard de Saint-Sulpice) montrent que la lignée est bien installée dans le paysage
quercynois. C'est en 1286 que Déodat Barasc, seigneur de Montbrun, fonde par
testament le prieuré de Lissac qu'il lègue aux cisterciennes, auxquelles il donne
également le Poujoulat qui sera lieu de sépulture de nombreux membres de la
famille. Selon ses volontés, la prieure sera "prise, s'il est possible, dans la maison
de Barasc". Quant au prieuré de Lissac, il sera soumis à l'abbaye de Leyme, "à
laquelle la prieure sera tenue de payer deux marbotins d'or en signe de
dépendance". Deux branches de la famille apparaissent dans l'assignation de 1287,
celle de Raymond Barasc (qui comprend Cabrerets, Larnagol - non compris la
Toulzanie -, Saint-Martin Labouval et Cénevières) et celle d'Arnaud Barasc,
seigneur de Béduer (Carayac, Boussac, etc). Comme dans toutes les familles nobles
de l'époque, de nombreux fils et filles Barasc sont d'Eglise. Le plus connu est
Géraud, élu en 1236 évêque de Cahors (il meurt en 1250). Au moyen âge, les
évêques sont, à quelques exceptions près, issus des familles nobles : on y trouve
des Cardaillac, des Gourdon, un Hébrard, etc Le successeur de Géraud,
Barthélémy de Roux, est de la maison de Valle-Ruffi (Valroufié). En 1250,
Guillaume (fils du Guillaume rencontré à Toulouse) est chanoine. Vers 1308, un
autre Guillaume (fils d'Arnaud) est archiprêtre de Saint-Cirq-Lapopie, tandis qu'une
fille, Gria, est prieure de Lissac. En 1329, un Dorde est prieur de Vailhoures (en
Rouergue). En 1398, c'est un autre Dorde qui est pourvu de la commanderie de
Palhes (diocèse de Mende). On ne s'étonnera pas non plus de retrouver Bertrand
de Béduer, sénéchal de l'évêque Bertrand de Cardaillac, à la cour du pape. On
pourrait multiplier les exemples Les Barasc s'illustrent pendant la guerre de Cent
ans. Dorde, châtelain de Gignac en 1346, reprend en 1363 Saint-Cirq-Lapopie alors
occupé par le camp Anglais, ce qui lui vaut une récompense des consuls de Cahors.
On le retrouve en 1369, participant à la défense de la ville qui s'est révoltée contre
le Prince Noir. En 1371, il négocie une sufferte (trêve) avec Bernard de la Salle, qui
occupe Figeac, puis en 1373 participe à une ligue anti-anglaise de seigneurs
quercynois. Au XVIè siècle, la seigneurie de Béduer passe par héritage aux
Narbonnès puis aux Lostanges de Saint-Alvère. On perd alors trace de la lignée
Barasc, après cinq siècles d'une histoire intimement liée à celle du Quercy. Il n'y a
là rien de vraiment extraordinaire : c'est le sort commun des familles nobles que de
combattre et de faire des clercs de leurs cadets. Mais si l'on étudie un peu
attentivement la documentation, on constate qu'en dehors des événements qui
viennent d'être rapportés (et en excluant la litanie des procès propre à l'époque), la
famille Barasc intervient dans un nombre important d'incidents qui ne sont peut-
être pas les simples faits divers qu'ils semblent être au premier abord.

-4954-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Lire la suite

A propos du château de Béduer

Ancienne possession de la famille de Barasc (XIe - XVIe), puis de Narbonnès, et


enfin de Lostanges (XVIIe - XVIIIe), la seigneurie de Béduer domina un temps tout
le territoire entre Lot et Célé et rivalisa avec l'abbaye de Figeac. La famille de
Lostanges est originaire de la commune du même nom en Corrèze. Dieudonné Ier
(ou Dorde Ier?), fut l'un des fondateurs de la dynastie Barasc. Il mourût en terre
sainte en 1085. En 1286, Déodat de Barasc, seigneur de Montbrun, créa à Lissac
un prieuré de religieuses cisterciennes dont les seigneurs de Béduer furent patrons
jusqu'à la révolution. Pendant la guerre de Cent Ans, le seigneur de Barasc reprend
aux Anglais le château de Saint Cirq. La guerre de Cent Ans laisse la région
exsangue ; cependant, protégé par le château, Béduer sera moins atteint que
d'autres villages du Quercy. Afin de repeupler et dynamiser le village après cette
période, on fit venir des régions voisines : Rouergue, Auvergne, Limousin des
paysans moyennant des " franchises " (avantages en nature) Le dernier Barasc,
Déodat VIII mourut en combattant les protestants en 1552. La transition des
Narbonnès En 1562, les protestants (C. de Cornely) s'emparent du château de
Béduer. En 1569, le comte de Montgomery pille et ravage la région. Le château est
repris par les catholiques (capitaine Roques) en 1577. Le château fut vendu à J. de
Narbonnès en 1594. Sa femme en devint la propriétaire à la mort de celui-ci. Elle
se remaria en 1604 avec Louis François de Lostanges qui devint son légataire
universel et en hérita en 1608. Voir Béduer
Fonts: - persona: E.Visseaux (J.M.Gil) / J-L. Dega, J-P de Palmas (Les Barasc de
Béduer : heurs et malheurs d'une famille noble au Moyen âge quercynois, par
F.Petitjean) 3 xi 2010
- família: E.Visseaux (J.M.Gil)

94.988.161:
Fonts: - família: E.Visseaux (J.M.Gil)

94.988.161b:
Fonts: - persona: J-L. Dega

94.988.161c:
Fonts: - persona: J-L. Dega

94.991.520:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Caumartin) 17/04/2006
- família: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006

94.991.521:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006
- família: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006

94.991.521a:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle)
17/04/2006

94.991.632:
Il se signala à la bataille de Majorque en 1115.
Fonts: - persona: C.de Moncade

-4955-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.991.640:
PIERRE Roger, son of ROGER Vicomte de Gabarret & his first wife --- (-17 Apr
1097). His parentage is indicated by the charter dated 3 Mar 1055 under which
"…Petrus Rogerius vice comes Gavaredi…" supported the foundation of the
monastery of Saint-Mont by "Bernardus comes…cognomento Tumapalerius" and
"nepote meo Centullo …"[1409]. Vicomte de Gabarret. "Petrus vicecomes de
Guavaretto" subscribed the charter dated 1079 under which Guillaume VIII Duke
of Aquitaine donated property to the monastery of la Grande-Sauve[1410]. "Petrus
Gavardensis vicecomes" founded the priory of Gabarret, and donated it to the
abbey of la Grande-Sauve, by charter dated to [1080], subscribed by "Arnaldi
Rogerii fratris vicecomitis ipsius…Petri de Gavaretto cusini vicecomitis…"[1411].
The cartulary of Auch records the death "XIV Kal Mai" in 1097 of "Petrus
vicecomes de Gavarreto"[1412].

m [firstly] ---. The name of Pierre Roger's [first] wife is not known. The fact of this
first marriage is strongly suggested by the estimated date of Pierre Roger´s
marriage to Agnes.

m [secondly] ([1080]) AGNES Dame de Dému et de Manciet, daughter of ---. The


cartulary of Auch records that, after the death of "Petrus vicecomes de Gavarreto"
in 1097, "uxor eius" donated the church of Sainte-Marie de Dému to the archbishop
of Auch and offered "filius Petrus…parvulum" (and "fratres sui" if the child died) as
a canon of Sainte-Marie d´Auch, signed by "Arnalt Rogerii fratris vicecomitis,
Agnetem uxoris eius, Petri filii eius"[1413]. "Agnes vicecomitissa, Petri Gavarreti
mater" donated property to Grande-Selve, confirmed by "Petrus vicecomes
Gavarreti filius eius et uxor ipsius et Rogerius et Arnaldus fratr. ipsius Petri et
Arnaldus Rogerius avuncul. ipsius vicecom.", when leaving on pilgrimage for
Jerusalem, by undated charter[1414].

[1409] Saint-Mont 1, p. 6.

[1410] Jaurgain (1902), p. 104, citing Cartulaire de la Grande-Sauve, fo. 5,


Oïhenart, vol. ms. de M. l. Abbé de Carsalade, fo. 47 vo.

[1411] Jaurgain (1902), p. 104, citing Cartulaire de la Grande-Sauve, fo. 107,


Oïhenart, vol. ms. de M. l. Abbé de Carsalade, fo. 52 vo, and Brugeles (1736),
Preuves de la III partie, p. 69.

[1412] Jaurgain (1902), p. 105, quoting Cartulaire Noir de Sainte-Marie d´Auch, fo.
47, and Lacave La Plagne Barris, C. (1899) Cartulaire du chapitre de l´église
métropolitaine Sainte-Marie d´Auch, p. 27.

[1413] Jaurgain (1902), p. 105, quoting Cartulaire Noir de Sainte-Marie d´Auch, fo.
47, and Lacave La Plagne Barris, C. (1899) Cartulaire du chapitre de l´église
métropolitaine Sainte-Marie d´Auch, p. 27.

[1414] Jaurgain (1902), p. 106, quoting Cartulaire de la Grande-Sauve, Oïhenart, l.


c., fo. 52 vo.

FMG

Fonts:
- persona: A.Euverte(Bourrousse de Laffore,revue de l'Agenais janv-fev 1879)
22.08.05, JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur "Les Nobles aieux " edit mars 2004
-4956-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Tossa del Mar ) 30 x 2009, J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- família: J-L. Dega

94.991.641:
AGNES Dame de Dému et de Manciet, daughter of ---. The cartulary of Auch
records that, after the death of "Petrus vicecomes de Gavarreto" in 1097, "uxor
eius" donated the church of Sainte-Marie de Dému to the archbishop of Auch and
offered "filius Petrus…parvulum" (and "fratres sui" if the child died) as a canon of
Sainte-Marie d´Auch, signed by "Arnalt Rogerii fratris vicecomitis, Agnetem uxoris
eius, Petri filii eius"[1413]. "Agnes vicecomitissa, Petri Gavarreti mater" donated
property to Grande-Selve, confirmed by "Petrus vicecomes Gavarreti filius eius et
uxor ipsius et Rogerius et Arnaldus fratr. ipsius Petri et Arnaldus Rogerius avuncul.
ipsius vicecom.", when leaving on pilgrimage for Jerusalem, by undated
charter[1414].

[1413] Jaurgain (1902), p. 105, quoting Cartulaire Noir de Sainte-Marie d´Auch, fo.
47, and Lacave La Plagne Barris, C. (1899) Cartulaire du chapitre de l´église
métropolitaine Sainte-Marie d´Auch, p. 27.

[1414] Jaurgain (1902), p. 106, quoting Cartulaire de la Grande-Sauve, Oïhenart, l.


c., fo. 52 vo.

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur "Les nobles aieux ;;" -vicomtes de
Gabarret p 330 Tossa del Mar 2004 ) 31 x 2009,, J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- família: J-L. Dega

94.991.641b:
Fonts:
- persona: J-L. Dega(Jaurgain)

94.991.648:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.991.649:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.991.680:
De Aurelio Isamat : Signataire de la constitution des Usatges de Barcelone à 1058.
À 1055, la région de Tarragone (sans la ville de Tarragone) fut annexée à la Comté
d’Egara, et laquelle devient la Comté de Tarragone. Les listes des Vicomtes de
Bésalu-Bas ne mentionent pas cette Bernat I, mais elles sont incomplets. Il y a
mention du Seigneur Uzabardo (Yçabart), Vicomte de Bas, c’est a dire, Isambart,
Vicomte de Bésalu et Baron de Bas, aussi Signataire des Usatges. Celui-ci doit
d’etre le Seigneur Bernhard Isambart, parce que celui-là ne signa pas au textes des
Usatges que nous avons vu, et la Vicomté de Bésalu-Bas étaint en deshors de la
juridiction des Usatges. (CM d'Amat, communication de Aurelio Isamat)

Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

-4957-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.991.681:
Fonts:
- persona: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7
- família: J-L. Dega

94.991.681a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014
- família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014

94.991.681c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014

94.991.682:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur : "Les nobles aïeux." p.
282A (Cardona) Tossa de Mar 2004) 1 vi 2016
- família: J-L. Dega

94.991.683:
du lignage vicomtal de Gérone

Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
14x2014
- família: J-L. Dega

94.991.683a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014

94.991.683c:
ascendance probable mais non certaine

Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014
- família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014

94.991.720:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.991.721:
Fonts:
- família: J-L. Dega

94.991.722:
-4958-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
UDALARD BERNAT (-after 6 Mar 1101). Vescomte de [Besalú].
"Udalardus…vicecomes et Ermessendis vicecomitissa uxor mea et filius noster
Petrus Udalardi" donated the churches of San Julián de Vallfogona and San Pedro
de Montgrony to the monastery of Ripoll Sant Joan by charter dated 7 Jan
1083[758]. "Udalardus vicecomes et Ermessindis vicecomitissa" donated property
to the monastery of Saint-Victor, Marseilles by charter dated to [1079/93][759].
“BernardusBisuldunensis comes” donated property to Ripoll Sant Pere, for the
souls of “genitoris mei Guillermi comitisfratris mei Guillermi comitis”, by charter
dated 17 Aug 1095, subscribed by “Udalardus vicecomes”[760]. “Uzaldus vice
comes et uxor mea Ermessendis et filio nostroPetrus Uzalard et uxor tue Loreta”
donated “mansumad me iamdicta Ermessendis per parentorum meorumin comitatu
Bisillino in parrochia Sancti Christofori de Fontis Subiranes” to Santa Maria de
Solsona by charter dated 6 Mar 1101[761].

m ERMESENDA de Empúries, daughter of PONCE [I] Comte de Empúries & his


wife Adelaida de Besalú (-after 29 Apr 1119). "Udalardus…vicecomes et
Ermessendis vicecomitissa uxor mea et filius noster Petrus Udalardi" donated the
churches of San Julián de Vallfogona and San Pedro de Montgrony to the
monastery of Ripoll Sant Joan by charter dated 7 Jan 1083[762]. The primary
source which confirms her parentage has not yet been identified. “Uzaldus vice
comes et uxor mea Ermessendis et filio nostroPetrus Uzalard et uxor tue Loreta”
donated “mansumad me iamdicta Ermessendis per parentorum meorumin comitatu
Bisillino in parrochia Sancti Christofori de Fontis Subiranes” to Santa Maria de
Solsona by charter dated 6 Mar 1101[763]. The testament of
"Ermesendis…vicecomitissa" is dated 29 Apr 1119, appoints "Udalardum
vicecomitem nepotem meum…" as one of her executors, and gives one third of her
property each to "Udalardo nepoti meo…Beatrici filie mee…Ermeniardi filio
meo"[764]. Udalardo Bernardo & his wife had three children.

[758] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMCCI, p. 294.

[759] Miret y Sans (1901), Apendix, I, p. 129.

[760] Marca Hispanica (1688), Appendix, CCCXII, col. 1196.

[761] Bach Riu, A. (ed.) (2002) Diplomatari de l´Arxiu Diocesà de Solsona (1101-
1200) (Barcelona) (“Solsona”), Vol. I, 6, p. 36.

[762] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMCCI, p. 294.

[763] Solsona, Vol. I, 6, p. 36.

[764] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMCCXX, p.
330.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 vii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 vii 2017

94.991.723:
ERMESENDA (-after 29 Apr 1119). "Udalardus…vicecomes et Ermessendis
vicecomitissa uxor mea et filius noster Petrus Udalardi" donated the churches of
San Julián de Vallfogona and San Pedro de Montgrony to the monastery of Ripoll
Sant Joan by charter dated 7 Jan 1083[1416]. “Uzaldus vice comes et uxor mea
-4959-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ermessendis et filio nostroPetrus Uzalard et uxor tue Loreta” donated “mansumad
me iamdicta Ermessendis per parentorum meorumin comitatu Bisillino in parrochia
Sancti Christofori de Fontis Subiranes” to Santa Maria de Solsona by charter dated
6 Mar 1101[1417]. The testament of "Ermesendis…vicecomitissa" is dated 29 Apr
1119, appoints "Udalardum vicecomitem nepotem meum…" as one of her
executors, and gives one third of her property each to "Udalardo nepoti
meo…Beatrici filie mee…Ermeniardi filio meo"[1418].

m UDALARD Vescomte de Besalú, son of --- (-after 6 Mar 1101).

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 vii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 vii 2017

94.991.723a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 vii 2017

94.991.723c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 vii 2017

94.991.760:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.991.761:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.991.768:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

94.991.769:
Fonts:
- família: J-L. Dega

94.991.780:
Sancho Ramírez rey de Aragón entre 1063-1094 y de Navarra entre 1076-1094.
Hijo de Ramiro I y Ermesinda de Foix. Se casó en primeras nupcias con Isabel de
Urgel de la que nacería el futuro rey Pedro I.
Sucedió a su padre a la edad de 18 años. Tomó Barbastro a los musulmanes, en
1065, en unión con Armengol, conde de Urgel, que murió en la reyerta. El rey de
Navarra, Sancho Garcés, primo de Sancho Ramírez, fue asesinado por su propio
hermano Ramón, que en una partida de caza le precipitó de una elevada roca. Los
navarros, no queriendo ser gobernados por el fratricida, eligieron por su rey a
Sancho Ramírez, el cual incorporo la corona de Pamplona a la de Aragón.
En 1078 taló los campos de Zaragoza, construyó la fortaleza de Castellar, más
tarde hizo tributario al rey árabe de aquella ciudad. En 1083 se apoderó del castillo
de Graus, de Piedra Tajada y de Ayerbe que mandó repoblar. La conquista del llano
se iba asegurando con la construcción de castillos que servían de lanzadera y luego
como protección de la tierra conquistada. Construyó Sancho Garcés los castillos de
-4960-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Loarre, Obano, Montearagón, Artasona, Castiliscaretc.
En el año 1086, habiendo ganado Monzón, dio esta plaza con título de rey a su hijo
Don Pedro, que ya lo era de Sobrarbe y Ribagorza.
Para establecer relaciones cordiales con Castilla, ayudó a Alfonso VI en la batalla
de Sagrajas (1086) y en la defensa de Toledo (1090) y, finalmente, concertó un
tratado de ayuda mutua con El Cid Campeador(1092).
Completó el cerco de Huesca fortificando Abiego, Labata y Santa Eulalia la Mayor
(1092).
Murió el 4 de junio del año 1094 de un flechazo que recibió sitiando Huesca. Su
cuerpo fue llevado al monasterio de Monte-Aragón, y trasladado después al de San
Juan de La Peña.
Durante su reinado se introdujo el rito romano en diversos monasterios bajo su
jurisdicción (1071)
Su segunda mujer fue Felicia de Roucy, de la que tuvo al infante D. Fernando de
Navarra, Alfonso I y a Ramiro II.
De Wikipedia, la enciclopedia libre

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013
- família 2: J-P.de Palmas (wikipedia) 25 iii 2013

94.991.781:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 25 iii 2013

94.991.781a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

94.991.781b:
Alfonso I, el Batallador, (1073 - 1134), rey de Aragón y de Navarra (1104 - 1134).
Él se hizo llamar (1109-1114): "Rey y Emperador de Castilla, Toledo, Aragón,
Pamplona, Sobrarbe y Ribagorza". Emperador, amparado en la teoría política que
concede el imperio al que domina tres o más reinos. Hijo de Sancho Ramírez (rey
de Aragón y de Navarra entre 1063 y 1094) y de Felicia de Roucy. También
hermanastro de Pedro I.
Los ecos de sus victorias traspasaron fronteras; en la Crónica de San Juan de la
Peña del siglo XV podemos leer: "clamabanlo don Alfonso batallador porque en
Espayna non ovo tan buen caballero que veynte nueve batallas vencio". Reinando
su padre participó en la toma de Huesca (batalla de Alcoraz (1096) y en la
expedición de ayuda al Cid en tierras valencianas contra los almorávides.
Sus primeros años los pasó en el monasterio de Siresa, (Valle de Hecho, Huesca,
zona de habla aragonesa (incluso en nuestros días: fabla chesa o cheso),
formándose en "letras" y arte militar (su ayo, era Lope Garcés).
Siendo Infante, Alonso Sánchez (como consta en diferentes documentos) se formó
en las tareas de gobierno como señor de Biel, Luna, Ardenes y Bailo.
Alfonso no estaba destinado a ser rey, ya que era hijo de un segundo matrimonio de
su padre el rey Sancho Ramírez, pero unas carambolas hicieron que murieran,
primero su padre en 1094 y luego en 1104, Pedro I, el hijo que aquel tuvo con su
primera mujer, Isabel de Urgel. A su vez Pedro I se había quedado sin herederos,
pues había perdido a sus dos hijos: Isabel (1103) y Pedro (1104, casado con María
Rodríguez, hija del Cid).
Por lo tanto Alfonso llegó al trono soltero y mayor de 30 años, sucediendo a su
hermanastro Pedro I (rey de Aragón y de Navarra, 1094-1104). Durante el reinado
de Pedro I destacó como militar, valiente y buen estratega, dirigiendo bien el
ejercito y yendo al frente.

-4961-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
En los 30 años que duró su reinado duplicó los límites del Reino de Aragón.
(Lo importante es el contexto geográfico-histórico, de los hechos aquí relatados y el
espacio temporal-territorial que lo circunda. Los hechos locales no deben
obscurecer los fenómenos mucho más generales)
(Nota: Era práctica habitual en el Reino de Aragón datar los documentos oficiales,
con la fecha de la Era Hispánica; según quienes con la Era de la Ercarnación, con
la Era del Nacimiento y en las crónicas musulmanas con la Era de la Hegira; a esto
se debe diferentes dataciones, para el mismo acontecimiento; v.g. vacilaciones en
la fecha de la conquista de Zaragoza; la batalla de Cutanda sucedió antes o
después de la conquista de Zaragoza etc.)
Conquistó Ejea y Tauste. Consolidó las posiciones del Castellar y Juslibol(1105)
Venció a Mostain II en Valtierra (1106)
Tamarite de Litera, y Esteban de la Litera. (1107)
Fitero, Corella, Cintruénigo, Murchante, Monteagudo y Cascante en (1117). Les
otorgó el disfrute de los montes colindantes en régimen de facerías (uso
compartido).
En 1118 el concilio celebrado en Toulouse (Francia) ofrece los beneficios de
cruzada a los que acudan a la ayuda de la conquista de Zaragoza. Numerosos
señores franceses (francos y bearneses) se concentraron en Ayerbe, conquistaron
Almudevar, Gurrea de Gállego y Zuera sitiaron a finales de mayo Zaragoza. El sitio
se completó con el corte de la acequia de la Romareda, abastecedora de agua de la
ciudad, la cual se tomó el 18 de diciembre de 1118. La ocupación se efectuó de
forma simbólica con la toma de posesión de la Azuda, edificio del Gobierno (todavía
hoy se conservan sus restos: el torreón de Zuda). Alfonso I cedió el palacio de la
Alfajería a los monjes Bernardos.
Le otorgó a Zaragoza el fuero "tortum per tortum" (facilita tomarse la justicia por
su mano). Está documentado que durante el primer año siguieron habitando
alrededor de 20 000 musulmanes en Zaragoza, hasta que se transladaron a los
arrabales dispuestos al efecto. La toma de Zaragoza supuso la caida de todo el
reino moro.
Fuentes de Ebro, Alfajarín, Tudela, el valle del Alhama: Cervera, Tudejen,
Castellón. Tarazona, Ágreda, Magallón, Borja, Alagón, Novillas, Mallén, Rueda,
Épila (1119) (Tudejen y Castellón, fortalezas medievales, hoy en ruinas).
Repobló Soria y comarca; sitió Calatayud (1119), pero debió salir al encuentro de
un ejercito almorávide que para parar el avance cristiano. Había subido desde el
Levante por la vieja calzada romana que trascurre por los cauces de los ríos
Guadalaviar-Turia y Jiloca. Encontró y venció a los almorávides en Cutanda, a 12
km. de Calamocha (Teruel). Se adelantó hasta los parajes de Monreal del Campo,
donde se instaló, fundando el actual pueblo. Acto seguido conquistó Calatayud; se
hizo con los valles del Jalón y Jiloca. Tomó Bubierca, Alhama de Aragón, Ariza y
Daroca (1120).
En Belchite (1122) fundó una cofradía militar para luchar contra los moros,
recibiendo los cofrades grandes privilegios e indulgencias. Era la pionera de las
Órdenes militares en Aragón. Años después organizó en Monreal del Campo
(Teruel) plaza que fundó la Militia Christi, a semejanza de las fundadas en Tierra
Santa.
En (1123) sitia Lérida ya en manos de Ramón Berenguer III, conde de Barcelona.
En el invierno de (1124) realizó una arriesgada incursión a Peña Cadiella
(Benicadell) como ensayo de la expedición a Andalucía que hará a finales de
septiembre de (1125).
Realizó una incursión militar contra Granada (el objetivo era implartar un
principado cristiano allí) y Cordoba (llegó hasta Motril) y trajo consigo más de
10.000 mozárabes y un gran botín. El recorrido de ida lo realizó vía Teruel,
Valencia y el de vuelta por Cuenca y Albarracín (1125-1126).
Conquistó Longares (1127). Perdió las posesiones castellanas a manos de Alfonso
VII de Castilla.
Firmó la paz con Alfonso VII de Castilla en Támara fijando las fronteras de ambos
reinos en (1128).
Conquistó Molina de Aragón, repobló Cella (Teruel), Ribolta y Monzón, volvió a
-4962-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
derrotar a los almorávides en Cullera y sitió Valencia (1129).
Expedición-incursión al Valle de Arán, (Octubre 1130 - inicios 1131). Tenía vasallos
al otro lado de los Pirineos y les debía protección; el mocarca decía reinar "desde
Belorado hasta Pallars y dede Bayona hasta Monreal".
Sitió durante un año y se apoderó Bayona (1131).
Sitió y se apoderó Mequinenza (1133).
Sitió Fraga con sólo 500 caballeros entre ellos García Ramírez, futuro rey de
Navarra y fue derrotado el 17 de julio.
Muere el 7 de septiembre de 1134 a consecuencia de las heridas recibidas durante
el combate, en la aldea de Poleñino (Huesca), entre Sariñena y Granén, siendo
sepultado en la abadía de Montearagón cerca de Huesca.
Alfonso se casó con Urraca de Castilla en el otoño de 1109, unica hija y heredera
de Alfonso VI, que había quedado viuda de Raimundo de Borgoña. El matrimonio
había sido proyectado por Alfonso VI, que no pudo asistir a la boda ya que murió el
29 de junio 1109 en Toledo, con el objetivo de unir las fuerzas de los dos reinos
para contener el avance de los almorávides. Los exponsales tuvieron lugar cerca de
Burgos en el castillo de Muñó. Urraca tenía un hijo de su anterior matrimonio:
Alfonso Raimúndez, el futuro Alfonso VII de Castilla.
En las capitulaciones matrimoniales de Alfonso VI de Castilla estaba pactado que
Alfonso I actuaría como rey de Castilla (Urraca se opusó en favor de su hijo) y que
en caso de tener un hijo este heredaría los reinos de sus padres; saliendo mal
parado Alfonso Raimúndez, cosa que no contentaba ni al arzobispo de Compostela
ni a varios poderosos gallegos que dieron lugar a revueltas tendentes al
independentismo.
El fuerte carácter de Alfonso I, la falta de mano izquierda en la politica, el choque
con el carácter de su mujer; (Alfonso I le llegó a pegar y encerrar en "las
mazmorras" de la fortaleza Castellar. Urraca llegó a decir que le pegó con manos y
pies) llevó al fracaso del matrimonio .
Como era habitual en aquellos años, los altos clérigos opuestos al matrimonio de
Alfonso I y Urraca de Castilla, presionaron al Papa y una reunión celebrada en
León en Octubre de 1144, dicto sentencia. No estaban permitidos los matrimonios
consanguineos y ellos eran ambos biznietos de Sancho III, "el Mayor", de Navarra.
Como los dos eran primos segundos, el papa Pascual II anuló el matrimonio y los
excomulgo aunque ellos siguieron juntos hasta 1114 en que debido a que no se
logró una unificación de los reinos, Alfonso que era profundamente religioso
repudió a Urraca. Pero siguió obstentando el título de rey de Castilla.
Alfonso I, vivió en una constante Cruzada; se dice como suya la frase: "un
verdadero soldado debe vivir con hombre y no con mujeres".
Hizo testamento en favor de Dios (1131) durante el asedio de Bayona: "En nombre
del bien más grande e incomparable que es Dios. Yo Alfonso, rey de Aragón, de
Pamplona [] pensando en mi suerte y refexionando que la naturaleza hace mortales
a todos los hombres, me propuse, mientras tuviera vida y salud, distribuir el reino
que Dios me concedió y mis posesiones y rentas de la manera más conveniente
para después de mi existencia. Por consiguiente temiendo el juicio divino, para la
salvación de mi alma y también la de mi padre y mi madre y la de todos mis
familiares, hago testamento a Dios, a Nuestro Señor Jesucristo y a todos sus
santos. Y con buen ánimo y espontanea voluntad ofrezco a Dios, a la Virgen María
de Pamplona y a San Salvador de Leire, el castillo de Estella con toda la villa [],
dono a Santa María de Najera y a San Millán [], dono también a San Jaime de
Galicia [], dono también a San Juan de la Peña [] y también para después de mi
muerte dejo como heredero y sucesor mio al Sepulcro del Señor que está en
Jerusalem [] todo esto lo hago para la salvación del alma de mi padre y de mi
madre y la remisión de todos mis pecados y para merecer un lugar en la vida
eterna"
Pero entre todos, Iglesia y Nobles, se llegó al acuerdo de que en Aragón le
sucediera su hermano Ramiro, que reinó como Ramiro II el Monje y en Navarra
García Ramírez, el Restaurador, hijo del infante Don Ramiro, que estaba casado
con una hija del Cid. Se separaban las coronas de Navarra y Aragón después de 50
años, quedando fijadas las fronteras definitivas entre Navarra y Aragón.
-4963-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Los restos del rey cheso fueron exhumados por dos veces: en 1920 (durante un
congreso de história) y en 1985, para su estudio.
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- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.991.781-1a:
Pedro I de Aragón, (n. 1070 - † 1104), rey de Aragón y de Navarra (1094 - 1104)
Hijo de Sancho Ramírez e Isabel de Urgel. A partir del 4 de junio de 1094 pasa a
ser rey de Aragón y de Navarra, cuando ya lo era de Sobrarbe y Ribagorza desde
1085.
El reinado de Pedro I significó el ensachamiento del territorio aragonés en sus
tramos central y oriental, llegando hasta la Sierra de Alcubierre y los Monegros.
Conquistó Huesca (1095), después de derrotar a Mustain de Zaragoza en Alcoraz.
Luchó al lado del Cid en la batalla de Bairén (1097), tomó Barbastro (1101),
Sariñena e intentó tomar Zaragoza. Sitió Tamarite de Litera (1104). Reglamentó el
fuero de los infanzones.
Consolidó la supremacía militar de las tropas cristianas sobre las musulmanas,
muriendo el 28 de septiembre de 1104, en el Valle de Arán.
Se casó en primeras nupcias con Inés de Aquitania, en Jaca, en 1086, de la que
tuvo dos hijos que murieron antes que el padre:
Pedro de Aragón, que casó con María Rodríguez hija del Cid, que murio en 1104.
Inés de Aragón, que murio en 1103.
En segundas nupcias se casó el 16 de agosto de 1097 en Huesca con Berta,
dándole como dote unas tierras en la Galliguera oscense, en la que gobernaría
varios años después de su muerte.
De Wikipedia, la enciclopedia libre

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- persona: Manuel Abranches de Soveral
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
- família: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)

94.991.788:
Bolesław III Wrymouth ("Boh-LEH-swahf"; Polish: Bolesław III Krzywousty; 1085 –
1138) was Duke of Poland from 1102. He was the son of Duke Władysław I Herman
and Judith of Bohemia, daughter of Vratislaus II of Bohemia.

Bolesław Wrymouth defeated the Pomeranians at the Battle of Nakło (1109) and
took control of Pomerania (1119-1123), thus regaining Polish access to the Baltic
Sea. The local government of the Pomeranians was left in place.

Bolesław also defeated Emperor Henry V (1109) in the Battles of Głogów and Psie
Pole (the latter also known, in German translation, as the Battle of Hundsfeld). In
the years 1113-1119 he had taken control over Pomerania.[1] In 1135, Bolesław
gave a tribute to Emperor Lothair II (Lothar von Supplinburg) and the emperor
received from Boleslaw parts of Western Pomerania and Rügen as fiefs.

Bolesław also campaigned in Hungary 1132 – 1135, but to little effect.

With his first wife, Zbyslava, daughter of Grand Duke Sviatopolk II of Kiev,
Bolesław had one son:

-4964-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Władysław II the Exile (born 1105), King of Poland. Bolesław subsequently married
Salome von Berg-Schelklingen, by whom he had 14 children (six sons and eight
daughters), of whom four sons and five daughters are known:

Bolesław IV the Curly (born 1125); Mieszko III the Old (born 1126); Henryk of
Sandomierz (born 1127); Kazimierz II the Just (born 1138); Rycheza of Poland
(born April 12, 1116), who married Grand Duke Volodar; Dobronega of Poland
(born 1128), who married Marquis Dietrich of Niederlausitz; Gertruda of Poland;
Judith of Poland (born 1132), who married Otto I of Brandenburg; and Agnes of
Poland (born 1137), who married Mstislav II of Kiev. Before his death in 1138,
Bolesław Wrymouth published his testament (Bolesław Wrymouth's testament)
dividing his lands among four of his sons. The "senioral principle" established in
the testament stated that at all times the eldest member of the dynasty was to have
supreme power over the rest and was also to control an indivisible "senioral part":
a vast strip of land running north-south down the middle of Poland, with Kraków its
chief city. The Senior's prerogatives also included control over Pomerania, a fief of
the Holy Roman Empire. The "senioral principle" was soon broken, leading to a
period of nearly 200 years of Poland's feudal fragmentation.

http://en.wikipedia.org/wiki/Boleslaus_III_of_Poland

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, A. Guibourgé-Czetwertyński
(Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família 1: o guionneau/H&G 94-282, A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1)
24 iv 2010
- casament 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : m. III i VII) 24 iv 2010
- família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família: o guionneau/H&G 94-282, A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24
iv 2010

94.991.789b:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : mort jeune) 24 iv 2010

94.991.789c:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família: A. Guibourgé-Czetwertyński (wikipedia)

94.991.789-2a:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : 26 VIII przed 1138) 24 iv
2010

-4965-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.991.789-2b:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson
- naixement: O.Guionneau (wikipedia) 4 V 14
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- casament 1: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- casament 2: L. Gustavsson
- família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten)
- casament 3: H.R.Moser

94.991.789-2c:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789-2d:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789-2e:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789-2f:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789-2g:
On n'est pas certain de la mère de ses enfants (Dworzaczek)

Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- casament 1: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek)
- família 1, família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- casament 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789-2h:
Mieszko III the Old (Polish: Mieszko III Stary) was a duke of Greater Poland (1138-
1202) and also a high-duke of all Poland (1173-1202, with interruptions), belonging
to the Piast dynasty.

Parents: Boleslaus III the Wrymounth, duke of Poland, and Salome of Berg
(Mieszko was the third son of Boleslaus, and second son of the ducal couple).
Born: 1126/1127 ?
Realm of power:
1138-1202 Duke of Greater Poland
1173-1177, 1190, 1198/1199, 1202 Duke of Kraków, High-duke of Poland

-4966-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Married to:
(1) in ca. 1140 Elizabeth of Hungary, daughter of Prince Álmos, brother of the king
of Hungary
(2) in ca. 1154 Eudoksia of Kiev, daughter of Izjaslav II, grand duke of Kyiv (Kievan
Rus')
Children:
Odon I
Boleslaus of Cuiavia
Mieszko of Kalisz
Vladislaus III Laskonogi
Died: 13 March 1202

Biography
According to the statute of the Polish duke Boleslaus III the Wrymouth Poland was
divided into the 4-5 hereditary provinces distributed among his sons, and a royal
province of Kraków for the eldest to be the high-duke of all Poland.
One of these provinces, Greater Poland was given to Mieszko, the third oldest son
of Boleslaus, and subsequenly divided among his descendants and successors. In
1173 Mieszko was promoted to the throne of Kraków and became a high-duke of
Poland (dux maximus, dux totius Poloniae), but was soon expeled from Kraków by
his younger brother Casimir the Just, and from Greater Poland by his son. Mieszko
never resigned his rights and ambitions and returned to Kraków four times before
he died in 1202.
http://en.wikipedia.org/wiki/Mieszko_III_of_Poland

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, A. Guibourgé-Czetwertyński
(Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- casament 1: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família 1: ppmr,(Gothaisches Genealogischer Hofkalender 1888, J.Perthes; 1868;
D. Schwennicke: "Europäische Stammtafeln", Marburg 1978).
- casament 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten; Dworzaczek : vers 1151 ou
1154)
- família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789-2i:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789-2j:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010

94.991.789-2k:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : 8 vii m. 1170 i 1176) 24 iv
2010

-4967-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família: H.R.Moser/EuSt-I.2/183

94.991.789-2l:
Fonts:
- persona: o guionneau/H&G 94-282
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten; Dworzaczek : 1137/38)
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten)
- casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família: o guionneau/H&G 94-282

94.991.789-2m:
Fonts:
- persona: zA. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 24 iv 2010
- família 1: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/3) 24 iv 2010
- família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (wikipedia)

94.991.856:
Fonts:
- persona: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/index3.htm)
- casament: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)
- família: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/index3.htm)

94.991.857:
Fonts:
- persona: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/index3.htm)
- casament: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)
- família: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/index3.htm)

94.991.860:
CENTULE [V] de Béarn, son of GASTON [III] Vicomte de Béarn & his wife Adelais -
-- (-murdered Tena 1090). The primary source which confirms his parentage has
not yet been identified. "Bernardus comes…cognomento Tumapalerius" and
"nepote meo Centullo …" founded the monastery of Saint-Mont by charter dated 3
Mar 1055[907]. Vicomte de Béarn. He succeeded as Comte de Bigorre in 1080, de
iure uxoris. “Centullus comes et uxor sua Beatrix et mater eius Stephania” donated
property to the monastery “S. Savini …in valle Levitanensis…in comitatu
Bigoritano”, by charter dated 1080 signed by “…Otgeri vicecomitis…”[908].
"…Centullo de Begorra et de Bearne…" witnessed the charter dated 6 Jul 1086
under which "Sancio rex et Petrus Sancii filius meus" donated property to Jaca
cathedral[909]. Sancho I King of Aragon passed sentence against the family of
“García Aznárez of the valley of Tena” who murdered “Centullo count of Bigorre,
Sancho´s vassal and Garcia´s lord and fled to Muslim lands”[910]. Marca relates
the expedition into Aragon of Vicomte Centule [V] and his murder "dans la vallée
de Tena", quoting an undated charter under which "Sancius…Rex" records that
"comite domino Centullo meum vassallum" came into Tena but was murdered by
"Garcia filius Aznar Athonis"[911].

m firstly GISLA, daughter of ---. Her marriage is confirmed by a letter from Pope
Gregory VII dated 11 Mar 1074 to "Centulli comiti" urging him to do penance for
marrying "consanguineam tuam"[912]. Her name is confirmed by the undated
charter under which "Centullus vicecomes Viarnensis" founded the monastery of
Sainte-Foi de Morlàas, for "uxorem meam Gislam et filium meum Guastonem", and

-4968-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
arranged for his wife to become a nun[913].

m secondly (1077 before 24 Jun) BEATRIX de Bigorre, daughter of BERNARD [II]


Comte de Bigorre et de Foix & his second wife Etiennette --- (-after 14 Oct 1095).
She succeeded her brother in 1080 as Ctss de Bigorre. "Centullus comes et uxor
mea Beatrix et mater eius Stephania" donated the monastery of Saint-Savin de
Lavedan "in comitatu Bigorritano" to Saint-Victor de Marseille by charter dated 12
May 1087[914]. “Beatrix comitissa Bigorritana” donated property to the monastery
of St Severius de Rostain, which “vir meus Centullus” donated to St Victor de
Marseille, confirmed by “Bernardus supradictæ comitissæ filius”, by charter dated
1091 which names “patrem meum Bernardum”[915].

[907] Saint-Mont 1, p. 6.

[908] Veterum Scriptorum I, col. 504.

[909] Lacarra, J. M. 'Documentos para el studio de la reconquista y repoblación del


Valle del Ebro', Estudios de Edad Media de la Corona de Aragón Vol. II (Zaragoza,
1946) 1, p. 471.

[910] Lacarra, J. M. (1967) Honores y tenencias en Aragón (Buenos Aires) pp. 188-
90. [MGM]

[911] Marca (Béarn), pp. 325 and 327.

[912] Jaurgain (1902), p. 541, quoting Marca (Béarn), p. 298.

[913] Jaurgain (1902), p. 543, quoting Marca (Béarn), p. 300.

[914] Guérard, M. (1857) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille


(Paris) Tome I, 484, p. 487.

[915] Veterum Scriptorum I, col. 539, and Marseille Saint-Victor II, Chartularium
Minus, 818, p. 169.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- família 1, família 2: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- casament 2: C.Saint-Félix (Benoit Cursente in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 13x2014

94.992.034:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie du Québec et site Deret) i2010
- família: J-P de Palmas (Généalogie du Québec et site Deret) i2010

94.992.035:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie du Québec et site Deret) i2010
- família: J-P de Palmas (Généalogie du Québec et site Deret) i2010

94.992.128:

-4969-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de
Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009
- família: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de
Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009

94.992.129:
Fonts:
- família: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de
Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009

94.992.144:
Ganelon, ou Guanon, ou Guennoie de Paluel (1080 - ap. 1165), témoin de la
renonciation faite par Robert de Vitray, Geoffroy, fils de Guiterue, et autres, aux
coutumes injustes que leurs prédécesseurs levaient sur la terre de l'Abbaye de
Villeloin, située auprès d'Epigné et sur le bois de Chedon, vers 1107 (Cartul. de
Villeloin, D. Housseau, IV, n° 1, 273.)[29]. Il est présent, lors de la ratification par
Hervé, seigneur de Saint-Aignan, d'une donation faite par les seigneurs de
Villentrois à l'abbaye de Barzelle, en 1162 (Arch. de l'Indre, tit. de Barzelle.). Le
même, nommé Guano, assista encore avec Pierre, son frère, et Geoffroy de Paluau
à une concession faite par le même Hervé aux templiers de l'Espinat, près
Valençay, en 1165. (Ibid., tit. de la commanderie de Villefranche.) Enfin, nous
avons vu Guenon de Paluau et son frère, Geoffroy, parmi les témoins d'un accord
concernant l'Abbaye du Landais, à la fin du XIIModèle:Exp siècle. Le nom de
Guanon ou Guenon est une abréviation de celui de Ganelon, très-usité dans la
contrée. Geoffroy Ier de Paluau (1160 - 1236), seigneur de Montrésor et de la
Motte-de-Paluau, que ce seigneur rappelle son extraction de Ganelon de Paluau,
qui est aussi seigneur de Chastillon-sur-Indre, dans une charte de l'an 1218[30].

Wiki Guy de Rambaud

NOTES ET RÉFÉRENCES

29.↑ Compte rendu des travaux de la Société du Berry à Paris, Société de


Département de l'Indre à Paris 1859.
30.↑ Compte rendu des travaux de la Société du Berry à Paris, Société de
Département de l'Indre à Paris 1859.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud : "Seigneurs de Palluau") 26 v
2017
- família: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

94.992.145:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017
- família: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

94.992.145b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

94.992.168:
De Beaumont : "De gueules au dragon d'or".

-4970-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Roger de Beaumont dit le barbu (barbatus en latin médiéval) (vers 1015 – 29
novembre 1094), fut vicomte de Rouen[1], seigneur de Vatteville-la-Rue, Pont-
Audemer, Beaumont (et peut-être de Brionne).
Biographie
Il était le fils d'Onfroi de Vieilles, qui serait apparenté aux premiers seigneurs
d'Harcourt[2],[3] et d'Aubrée (Albereda). Son grand-père Turold avait épousé une
sœur de Gunnor, la maîtresse du duc Richard Ier de Normandie[2]. Il fut le premier
seigneur de la ville de Beaumont qui prit son nom pour devenir Beaumont-le-Roger.
Avec Roger II de Montgommery et Guillaume FitzOsbern, Roger de Beaumont
constitua la nouvelle génération sur laquelle s'appuya le duc Guillaume le Bâtard
pendant et après la délicate période de sa minorité. L'écrivain britannique Planché
rapporte qu’il était le seigneur le plus riche, le plus noble et le plus vaillant de
Normandie et le plus fidèle des amis de la famille ducale. Il affronta
victorieusement Roger de Tosny vers 1040. Grâce à la possession de Beaumont-le-
Roger, le jeune duc trouvait en Roger de Beaumont un appui précieux sur les
marges du Pays d'Ouche. L’historien du XIIe siècle, Wace, rapporte qu’au moment
de la conquête de l'Angleterre, Roger fut appelé au grand concile de Lillebonne, à
cause de sa sagesse, mais que d’âge trop avancé, il ne fit pas partie de l’expédition
de 1066. Il fut, à la place, l’un des gardiens du duché durant la conquête, mais
n’hésita pas néanmoins à participer aux coûts de l’invasion en équipant à ses frais
soixante navires destinés au transport des troupes à travers la Manche. Ce n'est
donc probablement pas lui qui est figuré sur le quarante-troisième panneau de la
tapisserie de Bayeux, où l'on voit un personnage portant barbe et moustache, assis
à droite de Guillaume le Conquérant et à gauche d’Odon de Bayeux. Cette scène de
festin se déroule à Hastings peu avant la bataille, alors qu'on sait que Roger de
Beaumont est resté sur le continent pour administrer le duché en l'absence du duc.
Le port de la barbe était rare chez les nobles normands. Orderic Vital explique que
Guillaume le Conquérant confia le château d'Ivry à la garde de Roger de Beaumont
mais que vers 1089, le nouveau duc, Robert Courteheuse, céda la forteresse à
Guillaume de Breteuil. En compensation, Roger reçut le château de Brionne. Un
autre chroniqueur, Robert de Torigni, donne une version légèrement différente : le
fils de Roger de Beaumont, Robert Ier de Meulan, aurait demandé au duc
d'échanger Ivry contre Brionne, ce qu'il obtint. Il fonda, aux alentours de 1050,
l'abbaye féminine Saint-Pierre de Préaux , à proximité du monastère masculin
restauré par son père, Saint-Pierre de Préaux. En 1070, il jeta les fondements
d’une collégiale dédiée à la Sainte-Trinité qui fut édifiée à Beaumont-le-Roger. De
1071 à la mort du Conquérant, il reçut la garde du comte Morcar de Northumbrie
qui s’était rebellé.
Famille et descendance
Il épousa, entre 1045 et 1050, Adeline de Meulan († 8 avril 1081), fille de Galéran
III, comte de Meulan. Elle-même devint comtesse de Meulan lorsque son frère
Hugues III entra dans les ordres à l'abbaye du Bec en 1077. Ils eurent pour
enfants, entre autres :

 Robert Ier de Beaumont, comte de Meulan (1081) et de Leicester (1090).


 Henri de Beaumont († 1119), 1er comte de Warwick.
 Guillaume de Beaumont.
 Alberée (ou Aubrée) de Beaumont, abbesse d'Eton.

Notes et références

1. .↑ Jean-Michel Bouvris, "Contribution à une étude de l'institution


vicomtale en Normandie au XIe siècle. L'exemple de la partie orientale du
duché : les vicomtes de Rouen et de Fécamp", dans Lucien MUSSET et
Jean-Michel BOUVRIS, Autour du pouvoir ducal normand Xe-XIIe siècles,
Cahiers des Annales de Normandie n°17, Caen, 1985, p.160
-4971-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
2. .↑ a et b Guillaume de Jumièges, Orderic Vital et Robert de Torigni, Gesta
Normannorum ducum, Éd. Guizot, Paris, 1826. En ligne sur Gallica
[archive]
3. .↑ L'arrière-grand-père en ligne mâle de Roger était Turolf. Guillaume de
Jumièges rapporte que ce Turolf était le frère de Turquetil, premier
seigneur d'Harcourt, et l'oncle d'Ansketil de Harcourt.

Fonts:
- persona: Renaud de Paysac, F-L. Jacquier (Europäische Stammtafeln, III-4, tafel
700), J-P de Palmas (wikipedia) 29 iv 2011
- família: G.de Paysac/ Anselme II, 409, F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000
ancêtres de Henri d'Orléans ; Jeanine Gardye - Web)

94.992.169:
ADELINE de Meulan (-8 Apr 1081, bur Abbaye du Bec). Guillaume of Jumièges
records that “Rogerius de Bellomonte” married “Adelinam, Waleranni comitis
Mellenti filiam“, by whom he had “duos filios Robertum et Henricumpostea
comites”, and that Roger succeeded “post Hugonem avunculum suum comes
Mellentis”[3094]. Orderic Vitalis records that “Rogerius de Bellomonte” was
“gener Gualeranni comitis Mellentici et Hugonius sororius”[3095]. The Chronicle
of Alberic de Trois-Fontaines refers to "matrem Roberti comitis Mellentini" as
daughter of "Waleranni comitis [Mellentini]"[3096]. Yves de Chartres names
"Gualterius Albus" as father of "matrem Gualeranni comitis" and adds that the
latter was the father of "matrem Roberti comitis"[3097]. Her son inherited Meulan
from her brother Hugues Comte de Meulan. Robert count of Mellent donated
property to St Pierre, Préaux for the souls of his parents Roger de Bellomonte and
Adelina his wife, by charter dated to [1099][3098].

m ROGER de Beaumont-le-Roger, Seigneur de Beaumont et de Pont-Audemer, son


of HONFROI de Vieilles & his wife Aubreye --- (-29 Nov 1094, bur Préaux,
monastery of Saint-Pierre). He contributed 60 ships to the fleet of Guillaume II
Duke of Normandy which invaded England in 1066[3099].

Fonts:
- persona: Renaud de Paysac, F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com), J-
P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 ii 2016
- defunció: obituaire de Saint Nicaise de Meulan.prm
- família: G.de Paysac/ Anselme II, 409, F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000
ancêtres de Henri d'Orléans ; Jeanine Gardye - Web)

94.992.169a:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com)

94.992.169c:
Warwick Castle, Warwick, England.

Henri de Beaumont ou Henri de Neubourg († 20 juin 1119), 1er comte de Warwick,


fut un baron anglo-normand important des règnes de Guillaume le Roux († 1100) et
Henri Ier d'Angleterre, qu'il aida à sécuriser son trône.

Biographie
Il est le plus jeune fils de Roger de Beaumont († 1094), seigneur de Beaumont et de
Pont-Audemer, et d'Adeline, fille de Galéran III, comte de Meulan. Avant 1100, il
-4972-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
épouse Margaret, la fille de Geoffroy II, comte du Perche[1]. Il apparaît à la cour
ducale pour la première fois peu avant 1066, alors qu'il doit être un jeune
adulte[1]. Il est possible qu'il participe à la conquête normande de l'Angleterre,
mais il n'y en a aucune preuve[1]. D'après Orderic Vital, Guillaume le Conquérant
lui confie le château de Warwick, qui vient d'être construit, durant la campagne de
dévastation du nord de l'Angleterre[1]. Cette affirmation de Vital, qui n'est pas
contemporain de l'événement, ne peut être corroborée, et il se peut tout
simplement que celui-ci extrapole sachant que Henri de Beaumont reçoit plus tard
le titre de comte de Warwick[1]. En tout cas, il ne tient pas le château en 1086, car
il n'est pas présent dans le Domesday Book[1]. Il est plus probable qu'il passe la
majeure partie des années 1060 et 1070 en France[1]. Il apparaît à la cour du
Conquérant dans les années 1070, sans que l'on sache si c'est en Normandie ou en
Angleterre[1]. Au début des années 1080, il rencontre Guillaume le Roux, le
deuxième fils survivant du Conquérant, et devient un de ses proches amis[1]. Cette
amitié lui assure la prospérité quand celui-ci devient roi d'Angleterre en 1087.
Henri de Beaumont est l'un des principaux soutiens du roi, peu après son accession
au trône en 1088, quand les principaux barons du royaume se rebellent afin de
réunir le duché et le royaume sous le gouvernement de Robert Courteheuse[1].
Pour récompenser la fidélité de son ami, Guillaume le Roux le créé comte de
Warwick, probablement à l'été 1088[1]. Le roi est particulièrement généreux, et lui
donne la plupart du Rutland et une bonne part des anciennes possessions de Roger
de Breteuil, l'ex-comte d'Hereford (confisquées en 1075)[1]. Il lui donne encore
beaucoup d'autres domaines royaux, notamment dans le bourg de Warwick[1].
Curieusement, la majorité des domaines qu'il reçoit sont des terres du
Warwickshire et du sud du Leicestershire que son frère aîné Robert, comte de
Meulan avait reçues du temps du Conquérant[1]. Il est alors possible que leur père
ait servi d'arbitre dans ce partage. C'est aussi probablement grâce à son père qu'il
reçoit une portion du domaine familial en Normandie, l'honneur et la forêt du
Neubourg[1]. Henri de Beaumont joue, d'après Guillaume de Malmesbury, un rôle
important dans l'accession d'Henri Ier en 1100[1]. C'est grâce à son soutien et à
celui de son frère Robert qu'Henri arrive à s'imposer comme roi lors du
débarquement en Angleterre de Robert Courteheuse en 1101[1]. Il bénéficie d'un
retour de faveur du roi en 1107 quand il reçoit la seigneurie du sud des marches
galloises de Gower[1]. Il est présent à la cour royale au moins jusqu'en 1115, mais
il est probable qu'ensuite sa santé déclinante l'oblige à rester dans le
Warwickshire[1]. Vers 1118 il quitte l'Angleterre et entre dans l'abbaye familiale
de Saint-Pierre de Préaux. Il s'y fait moine et y meurt le 20 juin 1119[1]. Il est
inhumé dans la salle capitulaire de l'abbaye[1]. Son fils aîné Roger lui succède
dans ses terres anglaises, et son cadet Robert dans ses possessions normandes.
Guillaume de Malmesbury[1] le décrit comme « un homme honnête et de grande
vertu ». Il fut un bienfaiteur de plusieurs abbayes normandes et le prieuré augustin
du Saint-Sépulcre de Warwick le considère comme son fondateur[1].
Famille et descendance
Avant 1100, il épouse Margaret, la fille de Geoffroy II, comte du Perche. Sa femme
lui survit au moins jusqu'en 1156. Ils ont pour descendance connue :

 Roger († 1153), 2e comte de Warwick ;


 Robert de Neubourg († 1159), sénéchal en chef et gouverneur de la
Normandie sous Henri II. Il hérite de l'honneur normand de son père, et
épouse Godehilde de Tosny ;
 Rotrou († 1183), plus tard évêque d'Évreux puis archevêque de Rouen.
Sénéchal et gouverneur de la Normandie ;
 Geoffrey ;
 Henri de Gower.

Notes et références

-4973-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1.↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v et w David Crouch, «
Beaumont , Henry de, first earl of Warwick (d. 1119) », dans Oxford Dictionary of
National Biography, Oxford University Press, 2004.
Sources

 David Crouch, « Beaumont , Henry de, first earl of Warwick (d. 1119) »,
dans Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press,
2004. Accédé en décembre 2008.
 Earls of Warwick sur FMG

His notice on Foundation for Medieval Genealogy

About Warwick

King William II created Henry de Beaumont, from the family of the comtes de
Meulan in Normandy, as Earl of Warwick in 1088 as a reward for support in
crushing a rebellion. The earldom was inherited by Henry’s descendants until the
death in 1242 of Thomas Earl of Warwick who was succeeded by his sister
Margaret, whose second husband John du Plessis used the title in her right. When
John died in 1263 without direct heirs by his wife Margaret, the earldom passed to
Margaret’s first cousin William Mauduit, son of her paternal aunt Alice. In 1267,
the earldom passed to William’s nephew William de Beauchamp, whose
descendants retained the earldom until 1449.
HENRY de Beaumont, son of ROGER Seigneur de Beaumont-le-Roger & his wife
Adeline de Meulan ([1048]-[20 Jun] 1119, bur Préaux). Guillaume de Jumièges
names "Robert et Henri" as sons of "Roger de Beaumont" & his wife[1199]. He is
named as son of Roger by Orderic Vitalis[1200]. "…Rotgerius de Bello monte,
Hainricus filius eius…" witnessed the charter dated to [1073] under which William
I King of England confirmed the donation by "Nielli filii alterius Nielli" made by
"suus pater" of six churches on Guernsey to the abbey of Marmoutier[1201]. After
supporting William II King of England against the rebellion of 1088, the king
created him Earl of Warwick in [Jul/Dec] 1088. "Rogerus de Bellomonte" founded la
Sainte-Trinité de Beaumont-le-Roger, with the consent of "liberis meis Roberto
comite Mellentensi et Henrico comite de Warwic", by charter dated
[1088/89][1202]. He opposed the invasion of England by Robert Duke of Normandy
in Jun 1101, and remained loyal to Henry I King of England throughout his
life[1203]. "…Henrici comitis…" subscribed a charter dated 14 Sep 1101 under
which Henry I King of England donated property to Bath St Peter[1204].
“Henricus…Warwicense consul et Margareta uxor mea et Rogerus noster filius”
donated property to Warwick St Mary by undated charter[1205]. The Annals of
Margan record the death in 1119 of “comes Henricus de Warewic”[1206].
m MARGUERITE de Perche, daughter of GEOFFROY Comte de Mortagne et de
Perche & his wife Beatrix de Ramerupt [Roucy] (-27 Aug after 1156). She is named
and her parentage given in Orderic Vitalis, who also names her husband and, in a
later passage, her father and two older sons[1207]. The Genealogiæ Scriptoris
Fusniacensis names " Rotaldum eiusdem loci comitem et Iulainam de Aquila
matrem regine Navarrensis, et Margaretam uxorem Gisleberti de Novo-burgo" as
children, incorrectly, of "Rotaldo comiti de Pertica" & his wife Beatrix de Roucy,
specifying that Marguerite had children "Rotaldum Ebrodiensem episcopum cum
aliis liberis utriusque sexus"[1208]. “Henricus…Warwicense consul et Margareta
uxor mea et Rogerus noster filius” donated property to Warwick St Mary by
undated charter[1209]. The 1130 Pipe Roll records "comitisse de Warwic" in
Wiltshire[1210]. The necrology of the church of Evreux records the death "27 Aug"
of "Margarita mater Rotrodi episcopi"[1211].
Earl Henry & his wife had five children.
[1199] WJ VII.3, p. 171.

-4974-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1200] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 207.
[1201] Delisle (1867), Pièces justificatives, 33, p. 36.
[1202] Deville, E. (ed.) (1912) Cartulaire de l´église de la Sainte-Trinité de
Beaumont-le-Roger (Paris) ("Beaumont-le-Roger Sainte-Trinité"), A, II, p. 2.
[1203] CP XII/2 358-9.
[1204] Bath St Peter 42, p. 46.
[1205] Dugdale Monasticon VI.3, College of St Mary, Warwick I, p. 1326.
[1206] Annales de Margan, p. 10.
[1207] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, pp. 161 and 305.
[1208] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 14, MGH SS XIII, pp. 254-5.
[1209] Dugdale Monasticon VI.3, College of St Mary, Warwick I, p. 1326.
[1210] Pipe Roll 31 Hen I (1129/30), Wiltshire, p. 23.
[1211] RHGF XXIII, Ex Obituario ecclesiæ Ebroicensis, p. 463.

Fonts:
- persona: G.de Paysac / Anselme, J-C de Vaugiraud (HG 2000 p 295) 19/08/2007, J-
P.de Palmas (wikipedia et FMG) 20 i 2012
- família: G. de paysac / anselme, J-P de Palmas (wikipedia) 28 iv 2011

94.992.169d:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com)

94.992.176:
Fonts: - persona: C Patrouix : Données Wedgwood, J-P de Palmas (Liste des
seigneurs de Vitré et Michel Brand'Honneur : stemma)
- família: C Patrouix : Données Wedgwood, Scévole de Livonnière (Bernard Mayaud)

94.992.177:
Fonts: - persona: C Patrouix : Données Wedgwood, Scévole de Livonnière (Bernard
Mayaud)
- família: C Patrouix : Données Wedgwood, Scévole de Livonnière (Bernard Mayaud)

94.992.177a:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Ancestral Roots - James S Mills Jr - March 2003).

94.992.177c:
Marquise de Mayenne selon source non citée
N Isabelle dite Marquise selon B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)
Contesté. Jacques Saillot l'appelle de Mayenne et lui donne pour parents Gauthier
de Mayenne et Adeline de Presles. Nous suivons ici la version de Paul Theroff &
Michel Dourneau.
MARQUISE, daughter of ---. Her marriage is confirmed by a charter dated 1191
which records donations to Saint-Nicholas de Craon by "Mauricius…filius Hugonis
et Marquisiæ, Credonensis dominus" on the death of "fratris sui Fulconis de
Matefelon"[603].
She married firstly as his second wife, Hugues de Craon.
[She married secondly as his second wife, Hugues de Champagne, Seigneur de
Mathefelon. Her second marriage is indicated by the charter dated 1191 under
which her son "Mauricius…filius Hugonis et Marquisiæ, Credonensis dominus"
donated property to Saint-Nicholas de Craon on the death of "fratris sui Fulconis
de Matefelon"[604].]
She married [thirdly] Payen de Vaiges. Her [third] marriage is indicated by the
charter dated 1162 under which her son "Mauritius de Credonio" donated property
to "monachis sancti Melanii", at the request of "Marquisiæ matris meæ et Gaufredi
de Poëncio nepotis mei et Paganus de Vegia", signed by "…Pagano de Vegia et
Marquisia matre mea eius uxore…"[605].
-4975-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[603] Broussillon (1893), Tome I, 178, p. 116.
[604] Broussillon (1893), Tome I, 178, p. 116.
[605] Lobineau, G. A. (1707) Histoire de Bretagne (Paris), Tome II, col. 218.
Fonts: - persona: H.R.Moser/EuSt-XIV/136+III.4/719, J-P.de Palmas (Charles Cawley
& FMG) 30 x 2016
- família 2: D.Thuret (famille Sisyphe, Pierfit)13 xii 2009, J-P.de Palmas (FMG) 30 x
2016

94.992.180:
Porte De gueules à 4 fusées d'hermine mises en fasce accompagnées de 6
tourteaux de même 3 en chef 3 en pointe

Fonts:
- persona: C. Denancé (courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22) 15 vii 2010
- defunció: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)

94.992.181:
Fonts:
- persona: C. Denancé (courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22) 15 vii 2010

94.992.181a:
Fonts:
- persona: C. Denancé (courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22) 15 vii 2010,
C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 1xii2012
- defunció: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)
- família: F-L. Jacquier Peter Meazey, tome CXIV, 2005 de l'Association bretonne)
03-02-2007

94.992.184:
HENRI de Fougères, son of RAOUL [I] Seigneur de Fougères & his wife --- (-1154).
"Radulfus Filgeriensis" with "his wife Avitia" donated property to the abbey of Holy
Trinity, Sauvigny by charter dated 7 Mar 1113, subscribed by "Maino-franswalo
filius eius, Henricus et Robertus similiter filii eius…"[1186]. He succeeded his
brother as Seigneur de Fougères. The 1130 Pipe Roll records "Henr de Filger" in
Wiltshire[1187]. He became a monk at Sauvigny in 1150[1188].

m as her first husband, OLIVE de Penthièvre, daughter of ETIENNE [I] Comte de


Penthièvre & his wife Havise de Guingamp. Her two marriages are confirmed by
the charter dated 1174 under which "Olive daughter of Count Stephen" donated
the church of Bennington to the abbey of Sauvigny, with the consent of "Guillelmus
de Sancto Johanne maritus meus and Ralf de Filgeriis and her other sons"[1189].
She married secondly, as his first wife, Guillaume Seigneur de Saint-Jean.

Henri & his wife had five children.

[1186] Round (1899) 792, p. 287.

[1187] Pipe Roll 31 Hen I (1129/30), Wiltshire, p. 23.

[1188] Domesday Descendants (2002), p. 461.

[1189] Round (1899), 848, p. 305.

Fonts:
-4976-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322), J-P.de Palmas (Frédéric
Morvan, La Chevalerie bretonne, tableau n°19, 2009 et FMG) 20 ix 2012
- defunció: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la
noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322)

94.992.185:
OLIVE de Penthièvre . "Radulfus Filgeriensis dominus" founded Rillé abbey,
confirming donations made by "Aufredus de Filgeriis et Maino proavus meus et
Aaledis uxor sua et Radulfus avus meusHenricus pater meus" to Fougères, with the
consent of “fratribus meis Frangalo et Guillermo”, by undated charter, which also
records a donation made by “Oliva mater mea”[984]. Her two marriages are
confirmed by the charter dated 1174 under which "Olive daughter of Count
Stephen" donated the church of Bennington to the abbey of Sauvigny, with the
consent of "Guillelmus de Sancto Johanne maritus meus and Ralf de Filgeriis and
her other sons"[985]. Henry II King of England confirmed the possessions of the
abbey of Lessai, including donations by "Willelmus de Sancto Johanne et Robertus
frater eius et Oliva uxor Willelmi", by charter dated [1185/Jan 1188][986].

m firstly HENRI [I], Seigneur de Fougères, son of RAOUL [I] Seigneur de Fougères
& his wife --- (-1154). He became a monk at Sauvigny in 1150[987].

m secondly as his first wife, GUILLAUME, Seigneur de Saint-Jean, son of ROGER


de Saint-Jean & his wife Cecilia de la Haye (-[Sep 1201/Sep 1202]).

[984] Morice (1742) Preuves, Tome I, col. 606.

[985] Round (1899), 848, p. 305.

[986] Berger, E. (ed.) (1920) Recueil des actes de Henri II roi d´Angleterre et duc
de Normandie (Paris) ("Actes Henri II"), Tome II, DCLXXIX, p. 298.

[987] Domesday Descendants (2002), p. 244.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322), J-P.de Palmas (Frédéric
Morvan, La Chevalerie bretonne, tableau n°19, 2009 ; FMG) 20 ix 2012
- defunció: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la
noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09
- família 1: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322)
- família 2: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la
noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09, N
de Meyrignac (stirnet.com, 16xi2007)

94.992.185a:
tuteur de Geoffroy de Fougères *

*Un acte de 1199 cite Guillaume de Fougères comme administrateur de la terre de


Fougères. Dans ce document, Guillaume attesta qu’Hamon Le Voyer avait cessé ses
querelles avec l’abbaye de Marmoutiers. Les noms cités comme présents lors de la
signature de l’acte sont intéressants car il s’agit des vassaux des seigneurs de
Fougères : Hervé de Vitré (du lignage Goranton-Vitré), Hervé de Linières, Guiomar
Le Breton, Robert de Roche, sénéchal de Fougères, Hamelin le Roux, Guillaume de
Saint-Brieux, Guillaume d’Orenge et Guillaume du Chastelier (Dom MORICE, op.

-4977-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
cit.). Un autre document montre ce même Guillaume agir en faveur d’Hamon Le
Voyer, qui semble avoir été un de ses proches. En effet, en 1204, Guillaume de
Fougères confirma le don d’une terre fait par Hamon Le Voyer le jour de son
entrée au monastère de Martigné à cette même abbaye. Les témoins de l’acte sont
presque les mêmes que dans le document précédent. Il s’agit encore d’Hervé de
Vitré, Hervé de Linière, de Guiomarc’h Le Breton, de Hamelin Le Roux, de
Guillaume de Saint-Brieux, de Guillaume d’Orenge, de Robert de Roche, sénéchal
de Fougères, d’Hamelin Rufus et de Guillaume de Saint-Brieux. Toutefois, on
trouve aussi deux nouveaux comme Guillaume Chacebot et Pierre de Bellemonte
(Archives départementales d’Ille-et-Vilaine (A.D.I.V.), 6 H 33, n° 1, prieuré de
Saint-Sauveur des Landes, original, transcrit le 23 avril 1872, à Rennes).
Jean-Pierre de Palmas : Extrait de Tudchentil 2 xii 2012

Fonts:
- persona: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la
noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09

94.992.185b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre") 8xii2012

94.992.185c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (M. Brand'honneur "Manoirs et châteaux") 11i2013

94.992.185d:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322), C.Saint-Félix (Stéphane
Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre") 8xii2012, C.Saint-Félix (M. Brand'honneur
"Manoirs et châteaux") 11i2013
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322), C.Saint-Félix (M.
Brand'honneur "Manoirs et châteaux") 11i2013

94.992.185e:
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (A.Aurejac)
- família: B.Yeurc'h (A.Aurejac)

94.992.186:
Fonts:
- persona: T.Blanchet (Thomas-Burton) 30 xii 2011, JB.de La Grandiere (Michel
Brand'Honneur " Manoirs et châteaux du comté de Rennes" p 273 -sgrs de Dol-
Rennes 2001) 17 ix 2012
- família: T.Blanchet (Thomas-Burton) 30 xii 2011, JB.de La Grandiere (Michel
Brand'Honneur " Manoirs et châteaux du comté de Rennes" p 273 -sgrs de Dol-
Rennes 2001) 17 ix 2012, J-P.de Palmas (Tudchentil) 2 xii 2012

94.992.187:
tante du comte Etienne d'après la généalogie Le Nepvou (sur gallica)

Fonts:
- persona: T.Blanchet (Thomas-Burton) 30 xii 2011, JB.de La Grandiere (Michel
Brand'Honneur " Manoirs et châteaux du comté de Rennes" p 273 -sgrs de Dol-
Rennes 2001) 17 ix 2012
- família: T.Blanchet (Thomas-Burton) 30 xii 2011, JB.de La Grandiere (Michel

-4978-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Brand'Honneur " Manoirs et châteaux du comté de Rennes" p 273 -sgrs de Dol-
Rennes 2001) 17 ix 2012, J-P.de Palmas (Tudchentil) 2 xii 2012

94.992.187a:
Il prit le parti d'Eudon, comte de Porhoet contre le duc Conan.

Raoul II de Fougères, épousa sa cousine, Jeanne de Dol. Grâce à cette alliance, son
beau-frère mourant Jean de Dol, le nomma tuteur de sa fille unique, Iseult de Dol.
Raoul devait donc garder les châteaux de l’orpheline, soit les châteaux majeurs de
Dol et de Combourg. Cette garde causa pour le seigneur de Fougères
d’importantes difficultés car le roi d’Angleterre et duc de Normandie s’opposa
fermement à cet accroissement très important de pouvoir.

Fonts:
- persona: E.Polti (Tristan Robet, sa source : "un ouvrage de 1619 "hist génal. de
plusieurs illustres maisons de Bretagne par du Paz" ; 03.10.06), JB.de La Grandiere
(du Paz amendé par Michel Brand'Honneur " Manoirs et châteaux du comté de
Rennes" p 273 -sgrs de Dol- Rennes 2001) 17 ix 2012
- família: E.Polti (Tristan Robet, sa source : "un ouvrage de 1619 "hist génal. de
plusieurs illustres maisons de Bretagne par du Paz" ; 03.10.06)

94.992.187b:
Fonts:
- persona: T.Blanchet (Thomas-Burton) 30 xii 2011
- família: T.Blanchet (Thomas-Burton) 30 xii 2011

94.992.188:
"Richard du Hommet, l’un des descendants, est un partisan du Roi Henri 1er qui le
fait connétable de Normandie, titre héréditaire qui donne à la famille la forêt de la
Luthumière dans la Manche et la baronnie de Stamford dans le Lincolnshire, outre-
manche. Il épouse Agnès de Say qui lui apporte les seigneuries d’Aunay et de
Marigny. Les descendants jouent un rôle très important dans l’histoire de l’état
anglo-normand et s’allient aux puissantes familles de Brix et de la Haye."
J-C de Vaugiraud (wikimanche - Famille du Hommet) 8 iii 2011

Attention: 3 versions d'ascendance différentes, la filiation exacte reste à prouver (J-


C de V)

A) M. Lepingard: La Baronnie du Hommet, son origine, ses seigneurs


Notices, mémoires et documents publiés par la Société d'agriculture, d'archéologie
et d'histoire naturelle du département de la Manche, 1899, T. 17, P. 1 à 47.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4865668/f4.image.r=
Pour lui les parents de Richard sont Guillaume du Hommet X Ne N ?

B) Paul Leportier: du Hommet


Héraldique et Généalogie, 1988, P. 230.
Pour lui les parents de Richard sont Robert de Conteville X Mathilde du Hommet ?

C) Foundation for Medieval Genealogy: du Hommet


http://fmg.ac/Projects/MedLands/NORMAN%20NOBILITY.htm
Pour eux les parents de Richard sont Robert du Hommet X Ne N ?

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com, J-C de Vaugiraud (abbé Bernard annoté par
-4979-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
E. Lepingard: La baronnie du Hommet in Notices, mémoires et documents Manche,
17° vol, pages 1 à 47) 10 iii 2011
- defunció: J-C de Vaugiraud (abbé Bernard annoté par E. Lepingard: La baronnie
du Hommet in Notices, mémoires et documents Manche, 17° vol, pages 1 à 47) 10
iii 2011
- família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

94.992.189:
Say : "Écartelé d'or et de gueules".

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com
- família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

94.992.189b:
ENGUERRAND du Hommet . Robert of Torigny names "Guillermum, Enjorannum,
Jordanum" as the sons and heirs of "Richardus de Humet constabularius regis"
when recording his death[1368]. Henry II King of England confirmed the
possessions of the abbey of Aunay, including donations by "Richardi de Humetis et
Agnetis uxoris sue, filie et heredis predicti Jordani" with the agreement of
"Guillelmi de Humetis et Engerranni et Jordani filiorum suorum" and of
"Engueranni de Humetis…concessu Cecilie uxoris sue et Henrici filii sui", by
charter dated to [1181/89][1369]. m CECILE de Semilly, daughter of GUILLAUME
de Semilly & his wife ---. Her parentage and marriage are confirmed by the charter
dated to [1181/98] under which her son "Willelmus de Similleio, filius Enguerrandi
de Humeto" confirmed the donation of the church of Pert to Bayeux by "Willelmus
de Similleio avus noster" with the consent of "Ceciliæ filiæ et hæredis suæ et
matris nostræ"[1370]. "Cæcilia filia Willelmi de Similleio" confirmed the donation
of the church of Pert to Bayeux by "Willelmus de Similleio pater meus" by charter
dated to [1181/98][1371]. Henry II King of England confirmed the possessions of
the abbey of Aunay, including donations by "Engueranni de Humetis…concessu
Cecilie uxoris sue et Henrici filii sui", by charter dated to [1181/89][1372].
Enguerrand & his wife had two children

Fonts:
- persona: N. Danican - 4 iv 2005, F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des
rois d'Ecosse), S. Jahan (Medlands) 14 ix 2015
- família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

94.992.189c:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).
- família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

94.992.190:
Bruce : "D'or au sautoir de gueules; au chef du même chargé à dextre d'une étoile
d'or".

Alias: Lord of Skelton. Robert obtained the lordship of Annandale, Scotland by


marriage with Agnes Annand, heiress to that vast estate.[91502.ftw]Contact:
Sherry Huggins.

Selon le site de la FMG, les parents de Robert Bruce ne sont pas connus. Le site ne
lui reconnaît en outre que 3 enfants : Pierre et Luce n'y figurent pas (S. Jahan 26 ix

-4980-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
2015)

ROBERT [I] de Brus (-11 May 1141, bur Gysburne/Gisborough Priory). The
manuscript history of the founders of Gysburne/Gisborough Priory records that
“Robertus de Bruse…miles de Normannia” became “domini Castri de Skelton,
Merkes, Uplythum, S. Westyby et Brudone, dominus de Danby, Levyngton et
Parum, dominus de Kendall, et dominus Vallis Anandiæ”[904]. The manuscript
history of the Bruce family of Carleton records that “primus Brus de
Carleton…Robertus de Brus” came to England with William “the Conqueror”[905],
although this is not possible chronologically assuming that the text refers to Robert
who died in 1141. A charter of King Henry II records donations to York St Mary,
including the donation of land “in Apilton…et Hornby…Midelton” by “Robertus de
Brus”[906]. Lord of Skelton. "…Roberto de Brus…" witnessed the charter dated to
[1120] under which "David comes filius Malcolmi Regis Scottorum" founded the
abbey of Selkirk, listed first witness after the members of the royal family[907].
“Robertus de Brus” confirmed donations to the canons of Bridlington by charter
dated to [1120/35], witnessed by “…Ernaldus de Perceio…Petrus de Brus…”[908].
"Militum meorum Roberti de Brus…" witnessed the charter dated to [1123] under
which "David comes" made grants to the church of Glasgow with the consent of
"Matildis uxoris mea"[909]. "David… Rex Scottorum" granted Annandale to
"Roberto de Brus" by charter dated to [1124][910]. “Robertus de Brus” donated
property to St Mary’s, York by charter dated to [1125/35], witnessed by “Ada filio
meo, Petro de Brus…”[911]. The 1130 Pipe Roll records "Rob de Bruis" in
Yorkshire, Northumberland (three times)[912]. “Robertus de Brus…Agnes uxor
mea, filiusque noster Adam de Brus” donated property to Middlesburgh priory by
undated charter[913]. “Robertus de Brus…et Agnes uxor mea et Adam filius
noster” founded Gysburne/Gisborough Priory, Yorkshire by undated charter[914].
The manuscript history of the founders of Gysburne/Gisborough Priory records that
“Robertus de Brus pater” died “1141 V Id Mai” and was buried “apud Gysburghe in
Cleveland”[915]. The obituary of Gysburne/Gisborough priory records the death “V
Id Mai” of "Roberti de Brus fundator hujus domus"[916]. m [firstly] AGNES Paynell,
daughter of FULK Paynell & his wife [Beatrix ---] (-18 Nov ----). The manuscript
history of the Bruce family of Carleton records that “primus Brus de
Carleton…Robertus de Brus” married “Agnetam filiam Fulconis Paynell” and
received “manerium de Carleton” from his father-in-law[917]. “Robertus de
Brus…Agnes uxor mea, filiusque noster Adam de Brus” donated property to
Middlesburgh priory by undated charter[918]. “Robertus de Brus…et Agnes uxor
mea et Adam filius noster” founded Gysburne/Gisborough Priory, Yorkshire by
undated charter[919]. A charter of King Henry II, dated to [1176/86], confirmed
donations to the canons of Gysburne/Gisborough, among which a donation by
“Agnetis uxoris Roberti de Brus”[920]. The obituary of Gysburne/Gisborough priory
records the death “XIV Kal Dec” of "Agnetis Brus uxoris fundatoris nostri"[921]. [m
secondly AGNES, daughter of --- (-after 1155). The 1155 Pipe Roll records "Agnes
de Bruis…p filio suo"[922]. This entry suggests that Agnes represented her son,
who must have been a minor at the time, in relation to the property for which the
return was made. If that is correct, her son was presumably Robert [II] de Brus,
who must have been considerably younger than his [half-]brother Adam [I], and so
probably born from a different wife.] Robert de Brus & his [first] wife had one
child:

a) ADAM [I] de Brus (-[20 Mar] [1143], bur Gysburne/Gisborough Priory).


“Robertus de Brus” donated property to St Mary’s, York by charter dated to
[1125/35], witnessed by “Ada filio meo, Petro de Brus…”[923].

- see below.

-4981-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Robert de Brus & his [first/second] wife had one child:

b) AGATHA de Brus . A charter dated to [1145/54] records the dowry granted by


“Robertus de Brus” to “Agathe filie sue” on her marriage to “Radulfo Ribaldi filio”,
witnessed by “…Petro de Brus, Ernaldo de Perci…Herveo Ribaldi filio…”[924].
Although this charter is dated to after the death of Robert de Brus (died 1141), the
chronology of the family of Agatha’s husband suggests that Agatha must have been
his daughter and not the daughter of Robert [II] de Brus his son, the marriage
having taken place many years before the charter. [925]m RALPH "Taillebois", son
of RIBALD & his wife Beatrix Taillebois.

Robert de Brus & his [second] wife had one child:


c) ROBERT [II] de Brus ([1135/40]-[17 Feb, 26 Aug, or 4 Dec] after [1170/90]). The
manuscript history of the founders of Gysburne/Gisborough Priory names
“Robertus de Bruse…miles de Normannia” and “Roberto de Bruse filio suo juniori”,
adding that the latter was captured during the Anglo-Scottish wars[926].
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com, S. Jahan (Medieval Lands) 26 ix 2015
- naixement: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet)
http://www.geneal.com/geneal.php?base=capet
- defunció: http://awt.ancestry.com/cgi-
bin/igm.cgi?op=GET&db=:2531483&id=I531660904&printer_friendly
- família: Y. Gobilliard 2 9 08, F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com, F-L. Jacquier (Wendy Slocum - Geneanet
"wendyslocum")

94.992.191:
source : http://www.celtic-casimir.com/webtree/3/3541.htm
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Wendy Slocum - Geneanet "wendyslocum"), F-L.
Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com) http://pierremaraine.multimania.com
- família: Y. Gobilliard 2 9 08, F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com, F-L. Jacquier (Wendy Slocum - Geneanet
"wendyslocum")

94.992.191a:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com)
http://awt.ancestry.com/cgi-bin/igm.cgi?op=GET&db=:2531483&id=I531663780
- família: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com) http://ancestry.com

94.992.191b:
Cette Agatha de Bruce épouse de Ralph Taillebois of Middleham ne parait pas
devoir être fusionnée avec Agatha de Bruce épouse de Ralph Basset. Source:
http://www.celtic-casimir.com/webtree/4/32444.htm
Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Tom Blanchet, forum) 22-07-2012
- casament: F-L.Jacquier (Tom Blanchet, forum) 22-07-2012
- família: F-L.Jacquier (Tom Blanchet, forum) 22-07-2012

94.992.191d:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com) http://ancestry.com
- família: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com) http://ancestry.com

94.992.191e:
N.B : Mes données et celles de Roglo se contredisant, j'ai laissé celles de Roglo en
greffant ma branche à partir d'un point où les données se rejoignaient (C.
-4982-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Patrouix).
Fonts: - persona: C. Patrouix (Arbre généalogique et données sur la famille de Brix)
- família: C. Patrouix (Arbre généalogique et données sur la famille de Brix)

94.992.280:
John II Comnenus (September 13, 1087 – April 8, 1143) was Byzantine emperor
from 1118 to 1143. Also known as Kaloioannes (John the Beautiful), he was the
eldest son of the emperor Alexius and Irene Ducaena. He succeeded his father in
1118. On account of his mild and just reign he has been called the Byzantine
Marcus Aurelius. By the personal purity and piety of his character he effected a
notable improvement in the manners of his age, and he devoted his reign to
restoring the Byzantine Empire to its former extents, before the disaster at
Manzikert in 1071. His various successes against the invading Petchenegs,
Serbians and Seljuk Turks, whose progress in Asia Minor he reverted, along with
his attempts to establish Byzantine suzerainity over the Crusader States in Antioch
and Edessa, did much to restore the reputation of his empire, even if the
Comnenian dynasty in hindsight gave Byzantium, torn apart by corruption and
invasions, but a brief respite against disintegration. His only serious - but very
telling - setbacks were against the Venetians, upon whose naval strength the
empire was dependent after the breakdown of the Byzantine fleet in the 11th
century. An effort to reduce their extensive privileges within the empire ended with
a humiliating return to status quo, many Byzantine ports being plundered in the
process. John was known as Kaloiannis, 'John the Beautiful'. William of Tyre says
that he was short and unusually ugly, with eyes, hair and complexion so dark he
was known as 'the Moor'. The description Kaloiannis referred not to his body but to
his soul. Both his parents had been unusually pious and John surpassed them.
Members of his court were expected to restrict their conversation to serious
subjects only. The food served at the emperor's table was very frugal and John
lectured courtiers who lived in excessive luxury. Despite his austerity, John was
loved. His principles were sincerely held and his integrity great. He never
condemned anyone to death or mutilation. Charity was dispensed lavishly.
John married in 1104 Piroska of Hungary, daughter of King Ladislaus I of Hungary.
The marriage was intended as compensation for the loss of some territories to King
Coloman of Hungary. She played little part in government, devoting herself to piety
and their large brood of children. Piroska died on August 13, 1134 and was later
venerated as Saint Eirene. John and Piroska had eight children. Their two eldest
sons predeceased him, and he passed over the third son, Isaakios, in favor of the
youngest, Manuel, who had shown great promise.
John was accidentally poisoned by his own arrow during a wild-boar hunt on Mount
Taurus, on April 8, 1143.

-4983-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Portraits byzantins du peintre Antoine Helbert d'après une mosaïque de Sainte-


Sophie à Istanbul.
http://en.wikipedia.org/wiki/John_II_Comnenus

Fonts:
- persona: R. Dewkinandan , Manuel Abranches de Soveral, J.Michel-Levy (Image en
notes/S.Perrey) 12 x 2014
- família: R.Dewkinandan> WW-2

94.992.281:
Fonts:
- persona: o guionneau
- família: R.Dewkinandan> WW-2

94.992.281a:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família 1, família 2: R.Dewkinandan> WW-2

94.992.281b:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

94.992.281d:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

94.992.281f:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

94.992.281g:
Manuel I Comnenus Megas (November 28, 1118? – September 24, 1180) was
Byzantine Emperor from 1143 to 1180. He was the fourth son of John II Comnenus
-4984-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
and Piroska, daughter of King Ladislaus I of Hungary.
At the beginning of Manuel's reign, in 1144, he marched for Antioch at the head of
a huge army. He was furious, and rightly so: Raymond of Antioch had invaded the
Byzantine province of Cyprus, and having ransacked the island and plundered all
its wealth, his army had mutilated the survivors before forcing them to buy back
their flocks at exorbitant prices with what little they had left.
However, when he heard of the Emperor's approach, Raymond was terrified.
Realising that he had no hope of defeating Manuel's formidable army, he decided
on abject submission. He appeared before the Emperor, dressed in a sack and with
a rope tied around his neck, and begged for forgiveness. The Latin historian,
William of Tyre, commented that this ignominious scene continued for so long that
all present were disgusted by it. Eventually, Manuel forgave Raymond on condition
that he became a vassal of the Empire, effectively surrendering the independence
of Antioch to Byzantium. This episode demonstrates that from the beginning,
Manuel was not only interested in achieving the aim of his father and grandfather
in restoring Antioch to the Empire, but was also interested in a broader sense in
using the Latins and the West to bolster the Empire's position in the eastern
Mediterannean as a whole. This interest was to involve him in Crusading
adventures in Egypt later on, a region where the Byzantine Empire had not been
active for many centuries. In the following year Manuel drove the Seljuk Turks out
of Isauria. In 1147 he granted a passage through his dominions to two armies of
the Second Crusade under Conrad III of Germany and Louis VII of France; but the
numerous outbreaks of overt or secret hostility between the Franks and the Greeks
on their line of march, for which both sides were to blame, nearly precipitated a
conflict between Manuel and his guests. By 1148 Manuel secured his alliance with
Conrad, whose sister-in-law he had earlier married. But Conrad died in 1152, and,
despite repeated attempts, Manuel could not reach an agreement with his
successor, Frederick I Barbarossa.

The Italian campaign and Pope Alexander III


In the same year the emperor made war upon Roger II of Sicily, whose fleet had
captured Corfu and plundered the Greek towns, but in 1148 Roger was defeated
with the help of the Venetians. In 1149 Manuel recovered Corfu and prepared to
take the offensive against the Normans. With an army mainly composed of
mercenary Italians he invaded Sicily and Apulia, and with the help of disaffected
local barons including Count Robert of Loritello, achieved astonishingly rapid
progress as the whole of southern italy rose up in rebellion against the Sicilian
Crown.
Several cities, including Bari which had been the capital of the Byzantine
Catapanate of Southern Italy for centuries before being lost to the Normans in
1071, opened their gates to the Emperor's army. Although the progress of both
these expeditions was arrested by defeats on land and sea, Manuel maintained a
foothold in Southern Italy, which was secured to him by a peace in 1155, and
continued to interfere in Italian politics. Encouraged by the success he dreamed of
restoration of the Roman Empire at cost of union between Orthodox and Catholic
Church, a prospect which would frequently be offered to the Pope during
negotiations and plans for alliance. The union, however, would have to be
accompanied by the general acceptance of the Byzantine emperor's ultimate
secular authority over all Christians. To the Pope in Rome, it was he and he alone
who had the ultimate authority over Christians everywhere. Thus the two cultures
that had grown up around the Pope and the Emperor would have been very
difficult to reconcile, perhaps ultimately impossible. In order for the agreement to
have been reached on the Pope's conditions, Manuel would have had to accept the
supremecy of the Pope in some form. Even to such a pro-western Emperor as
Manuel, this would have been unacceptable, particularly in view of the Greek
Orthodox population and their hostility to the west. It seems likely that they would
have refused outright to acknowledge such a deal. Indeed this is precisely what
happened about two hundred years later when, briefly, the Orthodox and Catholic
churches were united under the Pope. However a defeat in 1156 at Brindisi put an
-4985-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
end to the restored Byzantine reign in Italy, and by 1158 the Byzantine army had
left Italy.
After Manuel's death, the Normans of Sicily would invade Byzantium again in 1185,
sacking Thessalonica, the second city of the Empire, and causing devastation in the
western Balkans. The Norman kingdom of Sicily was one of the constant thorns in
the side of the later Byzantine Empire, repeatedly launching invasions and
encouraging other powers to attack the Empire. Had Manuel succeeded in
restoring these long lost provinces (Sicily itself had succumbed to an Arab invasion
in 902), one of the greatest threats to the Empire would have been removed.
Manuel understood this, and he also knew that the situation in the central
Mediterannean would change as a result. His influence over the Pope was one
factor in the decision to invade Italy. In the early history of the Byzantine Empire,
the Pope was actually arrested and brought to Constantinople by Imperial troops
on more than one occasion. Although by Manuel's day things had changed to such
an extent that this would have been almost impossible (the reaction of the other
Western powers can scarcely be imagined), since the Pope dominated western
Christendom, by gaining influence over the Pope Manuel would have changed the
entire scope of the Empire's relations with the Western powers. Thus Manuel's
intervention in Italy can be seen within the context of his broader strategy of
attempting to influence the West.
If there was ever a chance of reuniting the eastern and western churches, and
reconciling the Pope permanently, this was probably the most favourable moment.
The Pope was never on good terms with the Normans, except when under duress
by the threat of direct military action. Having the 'Civilised' Eastern Roman Empire
on its southern border was infinitely preferable to the Papacy than having to
constantly deal with the troublesome Normans of Sicily. It was in Pope Alexander
III's interests to reach a deal if at all possible, since doing so would greatly
increase his own influence over the entire Orthodox Christian population.
However, ultimately such a deal proved elusive, and the two churches have
remained divided ever since. Such is the strength of feeling that these issues can
arouse, that even when Pope John Paul II made a historic visit to Greece in 2003,
he apologised to the Greek Orthodox community for the Sack of Constantinople,
nearly 800 years earlier!
In his endeavour to weaken the control of Venice over the trade of his empire
Manuel made treaties with Pisa and Genoa; to check the aspirations of Frederick I,
Holy Roman Emperor he supported the free Italian cities with his gold and
negotiated with Pope Alexander III. In spite of his friendliness towards the Roman
church Manuel was ultimately refused the title of "Augustus" by Alexander. Manuel
nowhere succeeded in attaching the Italians permanently to his interests.
Nonetheless in a brief war with the Venetians Manuel not only held his ground in
Italy but drove his enemies out of the Aegean Sea.
The final results of the Italian campaign were limited in terms of the advantages
gained by the Empire. The City of Ancona became a Byzantine base in Italy,
accepting the Emperor as sovereign. The Normans of Sicily had been damaged,
and now came to terms with the Empire, ensuring peace for the rest of Manuel's
reign. The Empire's ability to get involved in Italian affairs had been demonstrated.
However, given the enormous quantities of gold which had been lavished on the
project, it also demonstrated the limits of what money and diplomacy alone could
achieve, a lesson which Manuel would have done well to heed. The expense of
Manuel's involvement in Italy must have cost the Treasury a great deal, and yet it
produced only limited solid gains.

The Danube frontier and the defeat of Hungary


On his northern frontier Manuel expended considerable effort to preserve the
conquests made by Basil II over one hundred years earlier and maintained,
sometimes tenuously, ever since. He forced the rebellious Serbs to vassalage
(1150-1152) and made repeated attacks upon the Hungarians with a view to
annexing their territory along the Sava.
In the wars of 1151-1153 and 1163-1168 Manuel led his troops into Hungary and a
-4986-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
spectacular raid deep into enemy territory yielded substantial war booty. In 1168, a
decisive victory near Zemun enabled him to conclude a peace by which Dalmatia
and other frontier territories were ceded to him. Efforts were made for diplomatic
annex. The Hungarian heir Béla was sent to Constantinople to be educated in the
court of Manuel, who intended the youth to marry his daughter, Maria, and to
make him his heir, thus securing the union of Hungary with the Empire. In the
court Bela assumed the name Alexius and received the title of Despot which had
previously been applied only to the Emperor himself. However, when a son was
born to the emperor this engagement was broken. Nevertheless, overall Manuel
achieved considerable success in the Balkans, reducing Hungary to client status
and even appointing its King late in his reign. He extended the frontiers of the
Empire in this region, ensuring security for the whole of Greece and Bulgaria and
allowing the Western provinces to experience great prosperity in an economic
revival which had begun in the time of his grandfather Alexius I and would
continue to flourish till the close of the century.
Manuel's invasion of Egypt
In 1169 he sent a joint expedition with King Amalric I of Jerusalem to Egypt. The
expedition was a dramatic demonstration of the power of the Empire, involving a
large fleet and army which represented a substantial investment of resources by
the Byzantines.
One Crusader historian was impressed in particular by the large transport ships
which were used to transport the cavalry forces of the army.
Although such a long range attack on a state far from the centre of the Empire may
seem extraordinary (the last time the Empire had attempted anything on this scale
was the failed invasion of Sicily over one hundred and twenty years earlier), it can
be explained in terms of Manuel's foreign policy, which, as outlined above, was to
use the Latins to ensure the survival of the Empire. This focus on the bigger
picture of the eastern Mediterannean and even further afield thus led Manuel to
intervene in Egypt, as it was believed that in the context of the wider struggle
between the Crusader states and the Islamic powers of the east, control of Egypt
would be the deciding factor: consequently, whoever controlled Egypt would have
the edge over the opposing side.
A successful invasion of Egypt would have several advantages for the Byzantine
Empire. Firstly, it would prevent the Islamic powers of the region forming a
cohesive alliance capable of expelling the Crusaders from the Holy Land. Secondly,
Egypt was a rich province, and in the days of the Roman Empire had supplied much
of the grain for Constantinople before it was lost to the Arabs in the 7th century.
The revenues that the Empire could have expected to gain from the conquest of
Egypt would have been considerable, even if these would have to be shared with
the Crusaders. Furthermore, it would bind the Crusaders more closely to the
Empire, a goal which Manuel would pursue with determination throughout his
reign and which would be evident when King Amalric subsequently placed his
whole kingdom under the protection of Manuel, effectively extending the
agreement on Antioch by making the entire Kingdom of Jerusalem at least
nominally part of the Empire. However, this was a personal arrangement, in the
feudal tradition of Western Europe, and as such only applied for as long as Manuel
and Amalric were the rulers of their respective states.
The invasion of Egypt could even have expected some support from the native
Coptic Christians, who had lived under Islamic rule for over five hundred years.
However, due to the failure of the Crusaders and the Byzantines to co-operate fully,
the chance to capture Egypt was thrown away.
The Byzantine fleet sailed only with provisions for three months: by the time the
crusaders were ready, supplies were already running out, and eventually the fleet
retired after an ineffectual attempt to capture Damietta. Each side sought to blame
the other for failure, but both also knew that they depended on each other: the
alliance was maintained, and further plans were made, which ultimately were to
come to naught.
Overall, accounts of the reign of Manuel Comnenus have tended to pay only limited
attention to the expedition against Egypt, due to the failure of the project and the
-4987-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
importance of other issues such as the rise of the Republic of Venice and the Seljuk
Turks. However, the consequences of failure were serious. Manuel invested a lot of
time, money and manpower in the attack on Egypt, resources which might have
been better used against the Turks in Anatolia.
Seljuk Sultan Kilij Arslan II used this time to eliminate his rivals and build up his
power in Asia Minor. Not long afterwards, the rise of a young Kurdish general,
Saladin, was only made possible by his control of Egypt, and he was soon to
reconquer Jerusalem from the Crusaders, thus dealing the death blow to the Latin
kingdoms of the Holy Land and changing the balance of power in the eastern
Mediterannean forever.
In 1158-1159 Manuel fought with success against Raymond of Antioch and the
Seljuk Turks, but in later wars against the latter he made no headway. On
September 17, 1176 Manuel was decisively defeated by Kilij Arslan II in the pass of
Myriokephalon, where he allowed himself to be surprised in line of march. This
disaster, though partly retrieved in the campaign of the following year, had a
serious effect upon his vitality; henceforth Manuel declined in health and in 1180
succumbed to a slow fever.

Character
Manuel was a brave general and an even more skillful diplomat and statesman.
Famous for his charisma and his love of the West, he became a personal friend of
the Western Emperor Conrad III, and even treated his injuries after the failure of
the Second Crusade. Indoctrinated with the idea of a universal Empire, and with a
passion for theological debate, he was also perhaps the only chivalrous Emperor-
Knight of Byzantium. He is a representative of a new kind of Byzantine ruler who
was influenced by the contact with the western crusaders. The customs kept in his
court were not inspired by the traditional Byzantine opulence. He loved western
customs and arranged jousting matches, even participating in them, an unusual
and discomforting sight for the Byzantines.
Less intensely pious than his father, John Comnenus, he was an energetic and
bright Emperor who saw possibilities everywhere, and whose optimistic outlook
shaped his approach to foreign policy. Some commentators have criticised some of
his aims as unrealistic, in particular citing his involvement in Egypt as proof of
dreams of grandeur on an unattainable scale. However, to Manuel, such initiatives
were merely ambitious attempts to take advantage of the circumstances that
presented themselves to him.
Having distinguished himself in his father's war against the Seljuk Turks, he was
nominated emperor in preference to his elder surviving brother. Endowed with a
fine physique and great personal courage, he devoted himself whole-heartedly to a
military career. He endeavoured to restore by force of arms the predominance of
the Byzantine Empire in the Mediterranean countries, and so was involved in
conflict with his neighbours on all sides.

Assessment
In spite of his military prowess Manuel achieved but in a slight degree his object of
restoring the Byzantine Empire. In fact he succeeded in unifying many of his
neighbours in common hatred as enemies, rather than playing one foe against the
other. His victories were counterbalanced by defeats, some of them costly not just
in terms of lost opportunities, but also in terms of the expense to the Imperial
Treasury. Manuel was criticised for raising taxes: the money thus raised was spent
lavishly at the cost of his citizens. The expenses incurred by his expansive foreign
policy and generous attitude to money combined with the sumptuous magnificence
of his court put a severe strain upon the financial resources of the state.
The problems this created were counterbalanced to some extent by his successes,
particularly in the Balkans, but in view of the subsequent rapid collapse of the
Byzantine Empire, it might have been better to deploy the available resources more
carefully, either by building up a strong treasury or by concentrating on less risky
ventures. His pro-western policy caused much resentment in the Empire and
backfired in the reaction led by Andronicus I Comnenus whose arrival was
-4988-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
celebrated by a massacre of the Latins in Constantinople. These events among
others ultimately led to the capturing of the Empire in the Fourth Crusade. Manuel
would be remembered in France, Genoa and the Crusader states as the most
powerful sovereign in the world. During his reign he consistently defeated all
attempts by outside powers to attack his Empire: however, in the east, his gains
were compromised by the defeat at Myriokephalon in 1176. At his death, the
Empire was a great power, economically prosperous, secure on its frontiers, but
also there were serious problems. Internally, the Byzantine court required a strong
leader to hold it together, and after Manuel's death stability was seriously
endagered from within. Some of the foreign enemies of the Empire were lurking on
the flanks, waiting for a chance to attack, in particular the Turks in Anatolia, whom
Manuel had ultimately failed to defeat, and the Normans in Sicily, who had already
tried but failed to invade the Empire on several occasions. It would have taken a
strong Emperor to rebuild the Imperial Treasury and secure the Empire against the
foreign threats it now faced. Unfortunately for Byzantium, such a man was not
forthcoming.

Family
Manuel married, firstly in 1146, Bertha of Sulzbach, a sister-in-law of Conrad III of
Germany. She died in 1159. Children:
Maria Comnena (1152-1182), wife of Renier of Montferrat.
Anna Comnena (1154-1158).
Manuel married secondly in 1161, a daughter of Raymond and Constance of
Antioch, Maria (renamed Xena upon their marriage). His successor, Alexius II
Comnenus, was their son.
http://en.wikipedia.org/wiki/Manuel_I_Comnenus

Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2 , Manuel Abranches de Soveral
- família 1: Euro.St. L.Orlandini
- família 2, família 3: R.Dewkinandan> WW-2

94.992.281h:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

94.992.284:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

94.992.285:
Fonts:
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

94.992.384:
 c'est son fils qui est prénommé "Gotfred" = Geoffroi

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 124, sgrs de Lèves, 1990) 15 v 2016
- família: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 124, sgrs de Lèves, 1990) 15 v 2016

94.992.385:

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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 124, sgrs de Lèves, 1990) 15 v 2016

94.992.385b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 124, sgrs de Lèves, 1990) 15 v 2016

94.992.512:
Ansoud Le Riche de Paris, IIIème du nom, devint la tige de la maison de Maule [J.
Depoin, Cartulaire de Saint-Martin de Pontoise, page 270] : il déclare dans une
charte qu’il a pour ancêtres Ansoud et Guérin, bienfaiteurs comme lui de l’abbaye
de Saint-Evroult d’Ouche [Orderic Vital (édit. Le Prévost), t. II, page 451. - J.
Depoin, Recueil de chartes et documents de Saint-Martin-des-Champs, I, page 8] ;
le premier nous paraît être le mari de Reitrude et le second celui d’Hersende.
Ansoud III eut au moins quatre enfants :

 Pierre 1er de Maule,


 Guérin,
 Galon [J. Depoin, op. cit.. page 270. - Vers 1071, Ansoud de Paris fut
témoin à une donation de Galeran, comte de Meulan, en faveur de Saint-
Père de Chartres (Guérard, Cartulaire de Saint-Père de Chartres, page
270)] et
 Lisiard de Paris, connu par des actes de 1060 et 1089 [J. Depoin. Recueil
de Chartes, I, pages 23 et 69. - Lisiardus fîlius Ansoldi Parisiensis (Liber
lestamentortum Sancti Martini de Campis, édition J. Depoin, p. 89)], que
nous proposons d’identifier avec un homonyme qui était sous-chambrier
du roi en 1071 [M. Prou, Recueil des actes de Philippe Ier, page 145] :
Lisiard devint la souche des Le Riche de Montlhéry, sur lesquels le
cartulaire de Longpont [ (Marion), Cartulaire de Longpont, passim] fournit
de nombreux détails et qui paraissent avoir supplanté les descendants de
Thibaud File-Etoupes. A la suite d’une condamnation encourue par Milon
pour crime de lèse-majesté, le roi Henri 1er, à la prière d’Imbert, évêque
de Paris, l’exonéra d’une amende de cent livres, moyennant l’abandon de
la métairie des Champs, qu’il annexa à l’église de Saint-Martin. La cession
avait été consentie au roi par Ansoud III, frère du coupable, et les fils de
celui-ci, Guérin II et Milon II ; elle fut consignée dans un diplôme de l’an
1060 au bas duquel Etienne, prévôt de Paris, apposa sa signature
[Historiens de France, XI, page 605. - F. Soehnée, Catalogue des actes
d’Henri Ier, roi de France, n° 125. - J. Depoin, Recueil de chartes, I, page
18].

Vers la même époque, Milon renonça à ses protestations contre la décision royale
qui l’avait dépouillé de sa terre des Champs, l’abbé Engelard ayant transigé avec
lui [J. Depoin, op. cit., I, page 22]. La postérité de Milon se retrouve à Paris jusqu’à
la fin du XIIème siècle [idem, page 71, 126 et 164].

A propos des remparts de Maule

Au Xe siècle, la baronnie de Maule est la propriété de la famille Le Riche, qui la


transmettront aux Morainvillier puis aux Harlay. Guérin Le Riche (?-1045) est la
tige de la famille de Maule. Son fils Ansoud III est à l'origine de la fondation, en
1076, du prieuré administré par des moines bénédictins de Saint-Evroult en
Normandie ; il fait également ériger les remparts de Maule, vers 1050, que Louis
VI le Gros fit détruire avant 1125.

-4990-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.513:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.513a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.513b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.513c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.513e:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.544:
Tige de la Branche de Beauvais.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 29 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

94.992.545:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

94.992.548:
Gaudri était probablement fils d'Eudes et petit-fils de Gaudri vicomtes de Corbeil
issus de Bégon de Corbeil (voir Joseph Depoin "Les vicomtes de Corbeil pp 3/12
Corbeil 1917)
Fonts:
- persona: J-B de La Grandière (G.Estournet "Annales Archéologiques du Gâtinais t
-4991-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
38 pp 77/79 Fontainebleau 1926) 28 vi 2009
- família: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009, J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais
(tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.549:
Fonts:
- persona: J-B de La Grandière (G.Estournet "Annales Archéologiques du Gâtinais t
38 pp 77/79 Fontainebleau 1926) 28 vi 2009
- família: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009, J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais
(tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.549b:
Seigneur d'Yerres (Essonne).
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Estournet (G.) Annales Sté Archéol. du Gâtinais t.38
pp 77/79 Fontainebleau 1926 ) 18 vi 2010
- família: , JB.de La Grandiere (Estournet (G.) Annales Sté Archéol. du Gâtinais t.38
pp 77/79 Fontainebleau 1926 ) 18 vi 2010

94.992.549d:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Depoin (Joseph) les vicomtes de Corbeil pp. 3/12
Corbeil 1917 ) 18 vi 2010

94.992.549e:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

94.992.552:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

94.992.553:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

94.992.553b:
Cité 1082 avec Thion II et Berneuil 1er.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

94.992.560:
Voué de Saint Trond
Fonts: - persona: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes)
2.VII.2006 et D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014
- família: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006

94.992.561:
Fonts:
- família: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006
-4992-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.992.562:
Fonts: - persona: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014
- família: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014

94.992.563:
Fonts: - família: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014

94.992.564:
Il fonde l'abbaye d'Orval en 1070.
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani La Préhistoire des
Capétiens pp. 241/248 (comtes deChiny) , 1993) 1 viii 2016
- naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- defunció: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: D.Thuret (site Josiane Lefondeur) 11 vii 2014

94.992.565:
Fonts: - persona: D.Thuret (site Josiane Lefondeur) 11 vii 2014
- enterrament: O.Guionneau
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/CHAMPAGNE%20NOBILITY.htm#HilduinIVMont
didierdied1063) 7 V 15
- família: D.Thuret (site Josiane Lefondeur) 11 vii 2014

94.992.565b:
Sire de La Val, Monjoie, Marvil de Chiny
Fonts: - persona: D.Thuret (site Josiane Lefondeur) 11 vii 2014

94.992.568:
La Bataille de Cassel en 1071
La bataille de Cassel a lieu le 22 février 1071 entre le roi de France Philippe Ier et
Robert le Frison. Les Flamands s'opposent à la régence de Richilde de Hainaut,
soutenue par le roi de France, laquelle gouverne au nom de son jeune fils, le comte
Arnoul III. Tandis qu'ils appellent au pouvoir Robert, l'oncle d'Arnoul, qui s'empare
des principales places du comté, Richilde appelle à l'aide Philippe Ier. Les
belligérants se retrouvent à Cassel, au pied du mont. Robert sort vainqueur de la
bataille, au cours de laquelle Arnoul III est tué et Richilde faite prisonnière. Robert
devient comte de Flandre, usurpant le titre au détriment du fils cadet de Richilde,
Baudouin Ier de Hainaut.
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, famille Dedessus les Moustiers) 27 vii
2009, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011
- defunció: bataille de Cassel
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011

94.992.569:
Fonts:
- persona: Jean-Emile Tollé 10 iv 2005
- família 1: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011
- família 2: Jean-Emile Tollé 10 iv 2005

94.992.569b:
Agnès de Ribemont . Orderic Vitalis names her as the sister of Anselm de
Ribemont, and alleges that she fell in love with Robert III Duke of Normandy,
whose wife was poisoned soon after[207].
m WALTER Giffard Earl of Buckingham, son of WALTER Giffard Seigneur de
Longueville & his wife Ermengarde --- (-in England 15 Jul 1102, bur Longueville,

-4993-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Normandy[208]).
References
[207] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 39.
[208] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 37.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011
- família: J-B de La Grandière (LCB IX pp 238/242 Giffart) 11 vi 2009

94.992.569-2a:
Fonts:
- persona: Jean-Emile Tollé 10 iv 2005
- família: Jean-Emile Tollé 10 iv 2005, H.R.Moser/EuSt-XI/145

94.992.570:
ISAAC de Valenciennes (-after 1065). The primary source which confirms his
parentage has not yet been identified, but it is likely that Isaac was closely related
to the family of the Comtes de Cambrai, and was maybe the son of Hugues
Châtelain de Valenciennes. Châtelain de Valenciennes. Isaac is named in two
charters of Baudouin I Comte de Hainaut dated 1065[182]. “…Isaaci de
Valentianis…” subscribed the charter dated 1065 under which Philippe I King of
France confirmed the foundation of Hasnon abbey by “Iohannes vir illustris et
Eulalia soror eius”[183]. “Ysaac Valencensis, Gossuini Montensis” subscribed the
charter dated 1065, after 4 Aug, which confirmed the restoration of property to
Hasnon monastery by “Balduinus filius Balduini Philippi regis Francorum
procuratoris et bajuli”[184].

m MATHILDE, daughter of ---. Her marriage is confirmed by the charter dated


1107 under which her daughter "Emmissa quæ cognominor comitissa, Isaac et
Maltheldis filia, Fastrei de Fossato conjunx" granted revenue rights to the church
of Saint-Jean-Baptiste de Valenciennes[185].

[182] Duvivier, C. (1865) Recherches sur le Hainaut ancien (Brussels), 401 and
402, cited in Vanderkindere II, p. 97.

[183] Le Carpentier, J. (1664) Histoire de Cambray et du Cambresis (Leiden), Part


IV, Preuves, p. 8.

[184] Prou, M. (ed.) (1908) Recueil des actes de Philippe I roi de France (Paris),
XXII, p. 59.

[185] Duvivier (1903), 8, p. 22.

Fonts:
- persona: F.de Bernis (geneanet base puechuzal) 28 v 09, J-P.de Palmas (FMG) 20
iv 2011
- família: F.de Bernis (geneanet base puechuzal) 28 v 09, J-P.de Palmas (FMG) 11 vi
2016

94.992.571:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (geneanet base puechuzal) 28 v 09
- família: F.de Bernis (geneanet base puechuzal) 28 v 09, J-P.de Palmas (FMG) 11 vi
2016

94.992.572:

-4994-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (fusion) 14 xi 2011, J-M.Thiebaud (Généalogie Pire-
Sechehaye) 6 vi 2011
- família 2, família 3: J-M.Thiebaud (Généalogie Pire-Sechehaye) 6 vi 2011

94.992.573-3a:
Fonts:
- persona: M.de Posch (Base Geneanet ascendance Terlinden - Potesta (lard)) 31 vii
2017
- família: M.de Posch (Base Geneanet ascendance Terlinden - Potesta (lard)) 31 vii
2017

94.992.573-3b:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Généalogie Pire-Sechehaye) 6 vi 2011
- família: J-M.Thiebaud (Généalogie Pire-Sechehaye) 6 vi 2011

94.992.574:
Fonts:
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)

94.992.575:
Fonts:
- persona: Aurejac

94.992.608:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- família: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011

94.992.609:
Fonts:
- família: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011

94.992.896:
The involvement of the following family with the priory of Néronville suggests an
origin in the viscomté of Château-Landon (see CENTRAL FRANCE NOBILITY) in
which the priory was located. Adam, son of Etienne, is named "Adam de Chailly" in
later primary sources. Chailly is identified as "Chailly-en-Bière, canton sud de
Melun" by Henri Stein, editor of the Néronville cartulary[2425]. If this is correct, it
is therefore probable that it was one of the properties which was inherited by
Adam through his wife who, as noted below, is recorded as the daughter and
heiress of one of the earlier vicomtes de Melun.

ETIENNE (-after [1090]). It is possible that Etienne, father of Adam de Chailly, was
either Etienne son of Helduin or Etienne son of Joscelin, both of whom are named
in a charter dated to [1090] which records that "Roscelinus de Monsterollo atque
Stephanus filius Heldoini et Hersendis uxor eius…Stephanus filius Goscelini et uxor
eius Hersendis" consented to the donation of property to Néronville made by
"miles…Dimo"[2426]. It is assumed that "Stephanus filius Heldoini" and
"Stephanus filius Goscelini" were two different individuals, rather than the same
person whose father is misnamed in one of the two entries in this document. If that
is correct, it is probable that "Stephanus filius Heldoini" was the father of Adam de
Chailly, because another charter, dated to [1100/10] records "…Goscelini Infans,
filius Stephani" as consenting to another donation to Néronville[2427]. It is unlikely

-4995-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
that the father of "Goscelini Infans" was the same person as the father of the
brothers Adam and Gauthier who are named below, as no other record has been
found of their having a brother named Joscelin. It is therefore assumed that
"Goscelini Infans" was the son of "Stephanus filius Goscelini", named after his
paternal grandfather, leaving "Stephanus filius Heldoini" as the father of Adam and
Gauthier. It is probable that the two persons named Etienne in the [1090] charter
were closely related, maybe first cousins. Presumably based on the various primary
source entries which are quoted in this section, Burke’s Peerage shows "Etienne de
Courtenay", son of Joscelin [I] Seigneur de Courtenay and his first wife (see
CHAMPAGNE NOBILITY), as the father of "Adam de Chailly"[2428]. There are two
major difficulties with this supposed parentage proposed by Burke’s. Firstly, if
Etienne had been an older son of Joscelin [I], he would have inherited the
seigneurie de Courtenay in place of his supposed younger brother Milon de
Courtenay. Secondly, as noted below, "Adam filius Stephani" is first named in a
document dated to [1085], which places his birth in [1060/65] bearing in mind that
he is named in other documents until 1141. This means that Adam could not have
been the grandson of Joscelin [I] de Courtenay. As discussed more fully under the
entry for Etienne’s wife, it is more likely that the relationship between Adam de
Chailly and the Courtenay family was through Adam’s mother.

m (before [1060/65]) [HERSENDE], daughter of [ATHON] [Châtelain de


Châteaurenard] & his wife ---. As the mother of "Adam", her parentage and
marriage are suggested by the charter dated to [1116/18] which records that
"Robertus Bonet" became a monk at Néronville priory and donated "terram quam
habebat a Sed ultra flumen Feure (aliàs Fuhure)" with the consent of "Milo de
Curtiniaco et Adam nepos eius, de quorum beneficio erat…Fulco vicecomes
[Foulques Vicomte de Château-Landon] de cujus beneficio erat…Garnerius frater
Ade et uxor eius Ulgesendis cum filiis suis Herveo et Adam de quorum beneficio
erat"[2429]. "Adam nepos eius" can be identified as "Adam filius Stephani" who is
named in the charters of Néronville which are quoted below, and as Adam de
Chailly who was ancestor of later vicomtes de Melun. Presumably based on these
various data points, Burke’s Peerage shows "Etienne de Courtenay" as the son of
Joscelin [I] Seigneur de Courtenay and his first wife, and as the father of "Adam de
Chailly"[2430]. As noted above, this proposed parentage appears impossible.
Another more likely possibility is that the relationship was based on a family
connection in the previous generation, possibly through an otherwise unrecorded
sister of Joscelin [I] de Courtenay who married the father of Adam de Chailly.
Bearing in mind the notorious difficulty of translating the word nepos, it is
certainly possible that it indicates a relationship more remote than "nephew" in the
[1116/18] document. The presence of the names of Milon de Courtenay and "Adam
nepos eius" in the [1116/18] charter could be explained if the property which was
the subject of the donation had been part of the dowry of Adam’s mother, and was
then held by her son Adam as vassal of the seigneurs de Courtenay of whom Milon
was then the senior representative. Another possible explanation of the
relationship between Milon and Adam is that it was through the family of Milon de
Courtenay’s mother. In any event, it is possible that Adam de Chailly’s mother was
named Hersende. This is suggested by the charter dated [1090] which records that
"Roscelinus de Monsterollo atque Stephanus filius Heldoini et Hersendis uxor
eius…Stephanus filius Goscelini et uxor eius Hersendis" consented to donations of
properties to Néronville made by "miles…Dimo"[2431]. The question of the identity
of these two individuals named Etienne is discussed more fully above in relation to
[Hersende]’s husband, a debate which is irrelevant when considering the question
of [Hersende]’s name as the wives of both persons (assuming that they were two
different individuals) were named Hersende. This possible name of Adam de
Chailly’s mother appears corroborated by Burke’s Peerage, in its highly suspect
summary of the early generations of the Courtenay family, which names "Hersent
de Montereau" as Adam’s mother[2432]. As with all data in Burke’s, no information
is given on the primary source on which the statement is based. Etienne & his wife

-4996-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
had two children.

[2426] Néronville, VI, p. 307.

[2427] Néronville, XVIII, p. 315.

[2428] Burke’s Peerage I, p. 833.

[2429] Néronville, XXXI, p. 325.

[2430] Burke’s Peerage I, p. 833.

[2431] Néronville, VI, p. 307.

[2432] Burke’s Peerage I, p. 833.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016
- família: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016

94.992.897:
[HERSENDE], daughter of [ATHON] [Châtelain de Châteaurenard] & his wife ---.
As the mother of "Adam", her parentage and marriage are suggested by the charter
dated to [1116/18] which records that "Robertus Bonet" became a monk at
Néronville priory and donated "terram quam habebat a Sed ultra flumen Feure
(aliàs Fuhure)" with the consent of "Milo de Curtiniaco et Adam nepos eius, de
quorum beneficio erat…Fulco vicecomes [Foulques Vicomte de Château-Landon]
de cujus beneficio erat…Garnerius frater Ade et uxor eius Ulgesendis cum filiis suis
Herveo et Adam de quorum beneficio erat"[2429]. "Adam nepos eius" can be
identified as "Adam filius Stephani" who is named in the charters of Néronville
which are quoted below, and as Adam de Chailly who was ancestor of later
vicomtes de Melun. Presumably based on these various data points, Burke’s
Peerage shows "Etienne de Courtenay" as the son of Joscelin [I] Seigneur de
Courtenay and his first wife, and as the father of "Adam de Chailly"[2430]. As noted
above, this proposed parentage appears impossible. Another more likely possibility
is that the relationship was based on a family connection in the previous
generation, possibly through an otherwise unrecorded sister of Joscelin [I] de
Courtenay who married the father of Adam de Chailly. Bearing in mind the
notorious difficulty of translating the word nepos, it is certainly possible that it
indicates a relationship more remote than "nephew" in the [1116/18] document.
The presence of the names of Milon de Courtenay and "Adam nepos eius" in the
[1116/18] charter could be explained if the property which was the subject of the
donation had been part of the dowry of Adam’s mother, and was then held by her
son Adam as vassal of the seigneurs de Courtenay of whom Milon was then the
senior representative. Another possible explanation of the relationship between
Milon and Adam is that it was through the family of Milon de Courtenay’s mother.
In any event, it is possible that Adam de Chailly’s mother was named Hersende.
This is suggested by the charter dated [1090] which records that "Roscelinus de
Monsterollo atque Stephanus filius Heldoini et Hersendis uxor eius…Stephanus
filius Goscelini et uxor eius Hersendis" consented to donations of properties to
Néronville made by "miles…Dimo"[2431]. The question of the identity of these two
individuals named Etienne is discussed more fully above in relation to [Hersende]’s
husband, a debate which is irrelevant when considering the question of
[Hersende]’s name as the wives of both persons (assuming that they were two

-4997-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
different individuals) were named Hersende. This possible name of Adam de
Chailly’s mother appears corroborated by Burke’s Peerage, in its highly suspect
summary of the early generations of the Courtenay family, which names "Hersent
de Montereau" as Adam’s mother[2432]. As with all data in Burke’s, no information
is given on the primary source on which the statement is based.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016
- família: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016

94.992.897b:
GAUTHIER (-after [1122/42]). "Hauvinus frater Garmundi et Adam filius
Stephani…et Garnerius frater Adami, de corum beneficio erant" consented to the
donation of revenue from the chapel of Notre-Dame de Souppes to Néronville made
by "Fulco Faicus" by charter dated to [1090][2450]. A charter dated to [1116/18]
records that "Robertus Bonet" became a monk at Néronville and donated "terram
quam habebat a Sed ultra flumen Feure (aliàs Fuhure)" with the consent of "Milo
de Curtiniaco et Adam nepos eius, de quorum beneficio erat…Fulco vicecomes
[Foulques Vicomte de Château-Landon] de cujus beneficio erat…Garnerius frater
Ade et uxor eius Ulgesendis cum filiis suis Herveo et Adam de quorum beneficio
erat"[2451]. "Garmundus de Dunjione" confirmed the donation to the priory of
Néronville by "Huricus Motet" by charter dated to [1110/20], in the presence of "ex
parte Garmundi, Guillelmus frater eius…"[2452]. "Adam filius Stephani, Garnerius
frater eius…" witnessed the charter dated to [1122/42] under which "miles
Aubericus Forestarius" donated "molendinum…in alodio apud…Nosent" to
Néronville[2453].

m ULGESENDE, daughter of ---. A charter dated to [1116/18] records that


"Robertus Bonet" became a monk at Néronville and donated "terram quam habebat
a Sed ultra flumen Feure (aliàs Fuhure)" with the consent of "Milo de Curtiniaco et
Adam nepos eius, de quorum beneficio erat…Fulco vicecomes [Foulques Vicomte
de Château-Landon] de cujus beneficio erat…Garnerius frater Ade et uxor eius
Ulgesendis cum filiis suis Herveo et Adam de quorum beneficio erat"[2454].
Gauthier & his wife had two children.

[2450] Néronville, V, p. 306.

[2451] Néronville, XXXI, p. 325.

[2452] Néronville, XXXVII, p. 330.

[2453] Néronville, LII, p. 338.

[2454] Néronville, XXXI, p. 325.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016

94.992.898:
Pour JB de Courcelles, il est le fils de Guillaume 1er le Charpentier. Il eut pour
frère Eudes de Melun, qui mourut après 1141 et voulut être enseveli dans l'abbaye
de Hunencourt à qui il avait don des reliques de Saint Damien et de Saint Eloi.

-4998-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 1138 : il reconnait dans une charte, en faveur de l'abbé et des religieux de
Saint Maur des Fossés, n'avoir aucun droit de coutume dans les villes et
bourg de Moisenay et de Courceaux.

Fonts:
- persona: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de
France"de JB de Courcelles, 1825.
- família: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016

94.992.899:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016

94.992.904:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base aurejac, 20vii2008)
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 20vii2008), JB.de La Grandiere (Edouard
de Saint Phalle Les Thianges à Vallery Bulletin de la Sté Archéo de Sens n°31 pp.
15/20 1 ) 17 v 2015, JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle Les Thianges à
Vallery Bulletin de la Sté Archéo de Sens n°31 pp. 15/20 1989) 17 v 2015

94.992.905:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base aurejac, 20vii2008)
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 20vii2008), JB.de La Grandiere (Edouard
de Saint Phalle Les Thianges à Vallery Bulletin de la Sté Archéo de Sens n°31 pp.
15/20 1 ) 17 v 2015, JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle Les Thianges à
Vallery Bulletin de la Sté Archéo de Sens n°31 pp. 15/20 1989) 17 v 2015

94.992.905a:
seigneur de Marolles(Marolles-sur-Seine, 77), vicomte de Sens(Yonne), seigneur de
Villemaur(Villemaur-sur-Vanne, Aube)

Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base aurejac) 20 vii 2008, F.Ripart (E.Bournazel : "Le
gouvernement capétien" )
- família 2: JB.de La Grandiere ( Edouard de Saint Phalle Les Thianges à Vallery
Bulletin de la Sté Archéologique de Sens n°31 pp. 15/20 1989 ) 17 v 2012

94.992.960:
assiste en 1040 à la fondation du prieuré de l'église des Toussaints à Angers. Il
mourut très agé peu après 1045

Fonts:
- persona: Y. Gobilliard (16-7-06)
- família: Y. Gobilliard (16-7-06)

94.992.961:
On la croit de la maison de Poitou ; veuve une seconde fois, elle se fit religieuse à
St Maurice d'Angers.

Fonts:
- persona: Y. Gobilliard (16-7-06)
- família 1: Y. Gobilliard (16-7-06)
-4999-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.992.961b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (notes anciennes !) 10 xii 2009

94.992.961d:
Fonts:
- família: Y. Gobilliard (16-7-06)

94.992.964:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015
- família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015

94.992.965:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015
- família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015

94.992.976:
Pour J.Duguet, il n'y a aucune certitude que Geoffroy soit un fils de Aimery III !

Source: J-C de Vaugiraud (J.Duguet : "La question de la succession dans la famille de Thouars" in S.H.S. 72, 1° semestre
1994) 17/10/2006

Pour Géraldine Damon, Geoffroy est le fils de Savari III, frère d'Aimery III.

Source: M. Rérolle ( G. Damon : "Stratégies nobiliaires et politiques familiales dans le Poitou médiéval" in RH du C-O, t. V
(2006), p. 7-29 )

Ascendance corrigée en suivant C. Settipani. C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse


du midi") 11i2015
GEOFFROY [II] . The primary source which confirms his parentage has not yet
been identified. Vicomte de Thouars. "Vicecomes Gaufredus" donated property
"Flaheziacus sicuti fecerat avunculus meus et antecessor Radulfus" to St Cyprien
by charter dated [1015/20] subscribed by "Willelmi comitis, Aldeardis
vicecomitisse"[1560]. “Gauzfredi vicecomitis, Adinauris uxoris eius, Haimerici filii
vicecomitis, Savarici filii vicecomitis, Gauzfredi filii vicecomitis, Radulfi filii
vicecomitis” subscribed the undated charter under which
“Berengeriumcognomento Baoverium et de Branno Herbertum” donated property
to Marmoutier “in Oia insula”[1561].
[m firstly ALDEARDE, daughter of --- (-after [1015/20]). "Vicecomes Gaufredus"
donated property "Flaheziacus sicuti fecerat avunculus meus et antecessor
Radulfus" to St Cyprien by charter dated [1015/20] subscribed by "Willelmi comitis,
Aldeardis vicecomitisse"[1562]. It is assumed that Aldearde was the wife of
Vicomte Geoffroy [II] at the date of the charter in which no other person with the
title Vicomte is named.]
m [secondly] ([1020/30]) ELEONORE, daughter of ---. "Wilelmo duce et Josfredo
vicecomite Toarcensis castri et uxori sue…Aynors" donated property to Saint-
Maixent by charter dated [26 Mar 1027/31 Jan 1030][1563]. "Garnisus et uxor sua
Raingardis" donated property to St Cyprien by charter dated [1030] subscribed by
"Gaufredi vicecomitis et uxoris eius Ainoris et filii sui Aimerici"[1564]. "Gaufredus
Toarcensium vicecomes" donated property to St Cyprien affirmed by "mulieri sua
Ainori, deine filiis suis Savarico, Radulfo et Gaufredo" by charter dated
[1055/73][1565]. “Gauzfredi vicecomitis, Adinauris uxoris eius, Haimerici filii
vicecomitis, Savarici filii vicecomitis, Gauzfredi filii vicecomitis, Radulfi filii
vicecomitis” subscribed the undated charter under which
-5000-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
“Berengeriumcognomento Baoverium et de Branno Herbertum” donated property
to Marmoutier “in Oia insula”[1566]. Geoffroy [II] & his [second] wife had five
children.
[1564] Poitiers Saint-Cyprien 173, p. 112.
[1565] Poitiers Saint-Cyprien 167, p. 110.
[1566] Bas-Poitou (1877), I, p. 152.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, M.Rerolle (Damon)
12 xi 2009, J-P.de Palmas (FMG) 28 viii 2013
- naixement: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 11i2015
- defunció: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 11i2015
- família 1: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille
de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006
- família 2: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille
de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P.de Palmas (FMG) 28 viii
2013

94.992.977:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P.de Palmas (FMG)
28 viii 2013
- família: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de
Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P.de Palmas (FMG) 28 viii
2013

94.992.977b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille
de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

94.992.977c:
RAOUL . “Gauzfredi vicecomitis, Adinauris uxoris eius, Haimerici filii vicecomitis,
Savarici filii vicecomitis, Gauzfredi filii vicecomitis, Radulfi filii vicecomitis”
subscribed the undated charter under which “Berengeriumcognomento Baoverium
et de Branno Herbertum” donated property to Marmoutier “in Oia insula”[1572].
"Gaufredus Toarcensium vicecomes" donated property to St Cyprien affirmed by
"mulieri sua Ainori, deine filiis suis Savarico, Radulfo et Gaufredo" by charter dated
[1055/73][1573].
[1572] Bas-Poitou (1877), I, p. 152.
[1573] Poitiers Saint-Cyprien 167, p. 110.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 ii 2015

94.992.977d:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien)

94.992.977e:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 11i2015

94.993.024:
Né en 945 selon B.Yeurc'h (Le Lien). Il est le fils de Thibaud dit le Tricheur et de
Liutgarde de Vermandois, fille de Herbert II de Vermandois. En 982, il épouse
Berthe de Bourgogne, fille de Conrad III dit le Pacifique, roi de Bourgogne. Suite
au conflit qui opposait son père à l'archevêque de Reims sur le château de Coucy, il
reçoit en 965 ce château mais « en précaire » de l'archevêque. Dans les années
-5001-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
970, dans les conflits pour le duché
de Bretagne, il soutient le comte de
Rennes, Conan, affermissant
l'influence de sa famille dans ce
territoire. Il reçoit du roi carolingien
Lothaire le titre de comte palatin qui
restera dans sa famille. Il ne tarde
pas, avec ses cousins Herbertiens, à
devenir fidèle des Carolingiens
contre les Robertiens. En 988, il
assiste Charles de Lorraine dans sa
prise de Laon, qui avait appartenu à
son père Thibaut le Tricheur.

Ruines du donjon de Langeais érigé


par Eudes de Blois
En 991, il abandonne le parti du Lorrain contre la ville de Dreux. Mais à la mi-991,
en tentant de s'emparer de Melun qui appartient à Bouchard le Vénérable, le fidèle
parmi les fidèles d’Hugues Capet, il voit alors s’élever contre lui une alliance
comprenant Hugues Capet, Richard Ier de Normandie et le comte d’Anjou, Foulque
III Nerra, gendre de Bouchard.

Il reçoit d’Hugues Capet le titre d’abbé laïc de Saint-Martin de Tours et de


Marmoutier qui devient la nécropole dynastique des comtes de Blois. Vers 995, il
entre en guerre contre le comte d'Anjou, Foulque III Nerra, déjà en conflit sur sa
frontière chartraine avec Conan Ier de Bretagne. En Touraine, il érige alors le
donjon de Langeais, l'un des premiers construits en pierre. Eudes Ier parvient à
créer une alliance qui réunit son beau-frère, le duc d'Aquitaine, Guillaume IV de
Poitiers, le comte de Flandre Baudouin IV le Barbu, et même son ancien ennemi, le
duc de Normandie, Richard Ier. Au cours de l'hiver 995-996, ils mettent le siège
devant le château de Langeais où s'est réfugié Foulque III, mais l'arrivée du roi
Hugues Capet au secours de l'Angevin, met fin à leur entreprise. Malade peu
après, Eudes Ier de Blois rentre à l’abbaye de Marmoutier de Tours où il y meurt le
jeudi 12 mars 996. Sa veuve, Berthe de Bourgogne[1], se remarie avec le roi de
France, Robert, le fils d'Hugues Capet dont la mort le 24 octobre 996 a permis ce
mariage auquel il était farouchement opposé.
Notice on Foundation for Medieval Genealogy
EUDES de Blois (-Châteaudun [12 Feb/4 Jul][63] 995, bur Tours, Abbaye de Saint-
Martin, Marmoutier). "Odonis comitis filii Theobaldi comitis" subscribed the
charter dated 950 under which Ragnfred Bishop of Chartres donated property to
Chartres Saint-Père[64]. Rodulfus Glaber names "Odo…filius Tetbaldi Carnotensis
cognomento fallacis", recording that he was "chief among the rebels…who rebelled
against the king [Robert I] from positions that should have made them
humble"[65]. Rodulfus Glauber names "Odonem" son of "Tetbaldus [et] sororem
[Heribertum Trecorum comitem]"[66]. Ademar names "Odonis Campanensis" as
brother of "Emma", mother of Guillaume Duke of Aquitaine[67]. Odalric Archbishop
of Reims granted him Coucy after recovering it from Eudes's father[68]. He
succeeded his father as EUDES I Comte de Blois, de Chartres, de Châteaudun, de
Tours, de Beauvais et de Dreux. "Odo comes…" signed a charter dated Feb 977 of
Chartres Saint-Père[69]. "Odoni comitis…" signed a charter dated Oct 977 relating
to Bourgeuil[70]. "Ledgardis" donated property to "Sancti Petri Carnotensis
ecclesiam", for the souls of "senioris mei…comitis Tedbaldi…patris mei Heirberti,
Trecassini comitis", with the consent of "archipresule…Hugone et…comite Odone,
filiis meis", by charter dated 5 Feb 978, signed by "…Emma comitissa Pictavæ
urbis…"[71]. Seigneur de Chinon et de Saumur. A letter of Gerbert dated 983
records that "Heriberti Trecassini et Oddonis comitis filii Tedbaldi" were enemies
of "Adelbero Remonis archiepiscopus"[72], while a letter dated to mid-985 records
that "Ottonem, Heribertum" made peace with the archbishop[73]. “Odo comes”
-5002-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
restored “villamCulturas” to Marmoutier, for the souls of “domini Hugonis
archiepiscopi, cujus ibi corpusjacet”, by charter dated to [986], subscribed by
“Berte comitissæ uxoris eius, majoris filii eius Teutboldi, filii eius Odonis adhuc in
cunabulo”[74]. A letter of Gerbert dated to [late 986/early 987] records that "O et
Heribertus comites" were part of the council of Emma Queen of France[75]. It is
assumed that "Oddonis/Ottonem/O" all refer to the same person. "Robert Vicomte
de Blois" donated property to the abbey of Evron by charter dated 989 subscribed
by "Odonis comitis, Rotberti filii eius, Tetbaldi filius eius, Odonis alterius filius,
Hugonis vicecomitis Castridunensis, Raherii de Montigniaco"[76]. Rodolfus Glaber
records his place of burial when stating that his son Eudes II was buried next to his
father[77].
m ([978/80]) as her first husband, BERTHE of Burgundy, daughter of CONRAD I “le
Pacifique” King of Burgundy [Welf] & his second wife Mathilde de France
[Carolingian] ([964/965]-16 Jan after 1010). The Liber Modernorum Regum
Francorum names "Berta filia Conradi regis Burgundiæ" wife of "Odone comite
Carnotensium"[78]. Rodulfus Glauber names "Odo natus ex filia Chuonradi regis
Austrasiorum, Berta nomine"[79]. "Hugonis ducis, Odonis comitis, Hugonis sanctæ
Bituricensis archipræsulis, Letgardis comitissæ, Bertæ comitissæ, Gauzfridi
vicecomitis…" subscribed the charter dated 985 under which "Robertus" donated
property to "Sancti Petri Carnotensis", on the advice of "Odonem, simul cum sua
matre Ledgarde, pariterque dominam meam Bertam, ipsius æque coniugem"[80].
“Odo comes” restored “villamCulturas” to Marmoutier, for the souls of “domini
Hugonis archiepiscopi, cujus ibi corpusjacet”, by charter dated to [986], subscribed
by “Berte comitissæ uxoris eius, majoris filii eius Teutboldi, filii eius Odonis adhuc
in cunabulo”[81]. A charter dated 996 records the confirmation by "comitissæ
Berthæ" of the donation by "Odo comes" of property for the construction of the
abbey of Bourgeuil, with the consent of "filiorum suorum Teobaldi…atque
Odonis"[82]. She married secondly ([late 996/early 997], divorced [1003/05]) as his
second wife, Robert II King of France. Richer records that King Robert married
"Berta Odonis uxor"[83]. “Bertaregina cum filiis meis Tetbaldoepiscopo nec non
Odoni comitis” donated tonlieu over boats at Blois to Marmoutier by undated
charter[84]. "Bertæ reginæ, Odonis comitis filii eius…" subscribed the charter
dated 1004 under which "Gislebertus prepositus" recorded a donation[85]. "Odonis
comitis, Ermengardis uxoris eius, Bertæ reginæ…" subscribed the charter dated
after 1005 under which "comitem Odonem" donated property "in comitatu
Dunensi…Boscus Medius" to "Sancti Petri"[86]. The necrology of Chartres
cathedral records the death "XVII Kal Feb" of "Berta mater Odonis comitis"[87].
Comte Eudes I & his wife had [six] children.

[63] Richard, A. (1903) Histoire des Comtes de Poitou (republished Princi Negue,
2003) Tome II 7-8.
[64] Chartres Saint-Père, II, Liber Primus, 130, p. 351.
[65] Rodulfi Glabri, Historiarum III.5, p. 105.
[66] Rodulfi Glabri, Historiarum III.9, MGH SS VII, p. 65.
[67] Ademari Historiarum III.41, MGH SS IV, p. 135.
[68] McKitterick (1983), p. 322.
[69] Chartres Saint-Père I, Liber Tertius, Cap. VII, p. 62.
[70] Lex (1892), p. 59, quoting Housseau Collection de Touraine I, no. 226, from
Cartulaire de Bourgeuil, fo. 43 vo.
[71] Chartres Saint-Père I, Liber Tertius, Cap. VIII, p. 63.
[72] Havet, J. (ed.) (1889) Lettres de Gerbert 983-997 (Paris) ("Gerbert") 17, p. 13.
[73] Gerbert 59, p. 58.
[74] Marmoutier (Blésois), I, IV, p. 8.
[75] Gerbert 97, p. 89.
[76] Chartes Vendômoises XXIV, p. 34.
[77] Rodulfi Glabri, Historiarum III.38, p. 163.
[78] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet
Actus 9, MGH SS IX, p. 387.

-5003-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[79] Rodulfi Glabri, Historiarum III.9, MGH SS VII, p. 64.
[80] Chartres Saint-Père I, Liber Tertius, Cap. XVIII, p. 77.
[81] Marmoutier (Blésois), I, IV, p. 8.
[82] Lex (1892), Pièces Justificatives, VI, p. 129.
[83] Richer IV, supplementary notes following CVII, p. 308.
[84] Marmoutier (Blésois), I, V, p. 10.
[85] Lecesne, H. (ed.) (1874) Cartulaire de Marmoutier pour le Dunois
("Marmoutier-Dunois") III, p. 4.
[86] Chartres Saint-Père I, Liber Quintus, Cap. V, p. 96.
[87] Obituaires de Sens Tome II, Eglise cathédrale de Chartres, Nécrologe du xi
siècle, p. 5.
Fonts: - persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P de Palmas
(wikipedia et FMG) x2009
- naixement: E.Visseaux ( Brian Tompsett )
- família: J-P.de Palmas (FMG) 3 ii 2014

94.993.025:
A propos de son deuxième mariage
Berthe était la veuve de Eudes, comte de Blois. Mathilde, mère de cette princesse,
était fille de Louis d'Outremer et de Gerberge de Saxe, et se trouvait cousine de
Robert au deuxième degré ; plus malheureusement encore, Robert avait tenu, sur
les fonts de baptême, un des enfants du premier lit de Berthe ; ce double
empêchement n'avait point arrêté le mariage : la liaison de Berthe et Robert était
ancienne, ayant pris corps du vivant de Hugues Capet ; Robert aimait Berthe, dont
l'humeur était douce et la beauté remarquable.
Pour rendre régulier un mariage que prohibaient les canons, on convoqua un
synode qui fournit une dispense, et Archambaud de Sully, archevêque de Tours, les
maria. Mais à peine les époux avaient-ils goûté le bonheur d'être ensemble que le
pape Grégoire V appelé au trône quelque temps plus tôt réunit en 996 un synode à
Pavie, où il fut décrété :« Le roi Robert, qui, malgré l'interdiction apostolique, a
épousé sa parente, doit se rendre auprès de Nous pour Nous donner satisfaction,
de même que les évêques qui ont autorisé ces noces incestueuses ; s'ils refusent de
venir, qu'ils soient privés de la communion ». Le roi essaya inutilement de
négocier, envoyant à Rome un ambassadeur réputé pour son habileté :
« Nous avons certaines affaires en litiges avec le Saint-Siège, dit-il ;assurez
Grégoire V que je lui donnerai satisfaction sur tous les points s'il me laisse ma
femme ». Le pape refusa le compromis et ordonna, une fois encore, à Robert de
quitter Berthe. L'ambassadeur revint à la cour de France, où le roi accueillit son
message avec une grande colère : « Jamais je ne me séparerai de ma femme, dit-il.
Elle m'est plus chère que tout au monde ! Je veux que l'univers entier le sache ! »
Quelques mois passèrent, et le pape, en voyant l'obstination de Robert, convoqua à
Rome en 998 un concile général qui rendit les graves sentences suivantes. Canon I
: « Le roi Robert quittera Berthe, sa parente, qu'il a épousée contre les lois. Il fera
une pénitence de sept années, selon la discipline de l'Église. S'il refuse, qu'il soit
anathème. La même sentence est rendue contre Berthe ». Canon II : «
Archambaud, archevêque de Tours, qui a consacré cette union, et tous les évêques
qui ont assisté à ce mariage incestueux sont suspendus de la sainte communion
jusqu'à ce qu'il soient venus à Rome pour y donner satisfaction ». L'arrêt du concile
l'avait frappé d'excommunication, lui et sa femme, les rejetant ainsi de l'Église s'ils
refusaient de se soumettre ; l'anathème, qui était la plus forte peine que le pape
pût prononcer, condamnait vivant à la damnation éternelle. Profondément pieux,
Robert pourtant ne céda point et garda son épouse qu'il préférait au salut de son
âme. En voyant qu'il persistait, le pape fit plus : il lança un interdit sur toutes les
terres du domaine du roi et mit sa menace à exécution, condamnant le souverain à
sept ans de pénitence. Après la cérémonie d'excommunication, Robert et Berthe,
glacés d'épouvante, s'enfermèrent dans leur palais. C'était la première fois qu'un
tel arrêt frappait des populations entières : plus de chants sacrés, plus d'offices
saints, plus de sacrements. On administrait seulement la pénitence aux malades et
-5004-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
le baptême aux enfants en danger de mort ; on ne célébrait plus les saints
mystères, les églises étaient fermées, les images des saints voilées ; la cloche
n'annonçait plus l'approche d'une fête, le mariage d'un ami, ni l'agonie d'un frère ;
une consternation muette frappa tous les cœurs ; on supplia le roi de céder.
Robert, en proie à une douleur amère, regardait tantôt son épouse aimée, tantôt
son peuple en souffrance ; il voyait les seigneurs et les habitants de la cité fuir sa
présence naguère tant chérie ; son palais était devenu désert. Ce jardin, si souvent
rempli de la foule des pauvres que la libéralité du bon roi entretenait, était
silencieux ; les pauvres mêmes redoutaient de goûter aux restes d'un excommunié ;
ces restes étaient jetés comme souillés, et les vases qui les avaient contenus
devaient être purifiés par le feu ; de toute la maison du roi, il n'était resté que deux
serviteurs qui préparaient ces tristes aliments ; Berthe et Robert mangeaient le
pain de la douleur dans l'amertume et dans les larmes. Cependant Berthe allait
devenir mère, le roi se flattait que la naissance d'un héritier de son sceptre
désarmerait la sévérité du pontife et ferait ratifier son union ; mais l'inquiétude et
le chagrin avaient tari, dans le sein de la mère, les sources de la vie de l'enfant ;
Berthe mit au monde un enfant mort, et le bruit, dont Abbon se fait l'écho dans ses
chroniques, se répandit parmi la multitude crédule que la reine était accouchée
d'un monstre qui avait les pattes et le cou d'une oie. Plus de bornes alors au
désespoir des Parisiens, la clameur publique s'élève contre le couple royal ; la
douleur des fidèles ne pouvait plus croître ; Robert céda enfin, laissant partir en
1001 la reine qui commençait à dépérir. Le jour des adieux, dès que Berthe eût
franchi le seuil du palais et qu'elle fût hors de l'enceinte des murs de la cité, un cri
de joie signala son départ ; les cloches en branle se firent entendre, la foule remplit
les églises et de là se porta sous les fenêtres du roi pour le remercier. Si quelque
chose put le consoler de son sacrifice, ce fut le bonheur qu'il vit renaître autour de
lui ; mais s'il répudia Berthe, fournissant pour prétexte qu'elle ne lui avait pas
donné d'enfant, il ne souffrit pas que l'honneur de celle qu'il avait appelée son
épouse pût être terni ; il voulut qu'elle conservât le titre de reine et qu'elle fût
entourée des mêmes respects que si elle était restée sur le trône. Berthe continua
ainsi à voir son ancien époux, partageant secrètement sa couche chaque nuit. En
1008, après l'assassinat du favori du roi, elle effectua même avec Robert II un
voyage à Rome où ils tentèrent d'obtenir du pape Sylvestre II l'annulation du
mariage du roi avec Constance d'Arles qu'il avait épousée en 1003. Mais le
souverain pontife refusa. Berthe mourut en 1031, peut-être au château de Melun.
Robert, inconsolable, ne lui survécut que quelques mois. Berthe n'eut aucun enfant
avec Robert II.
Extrait de la France pittoresque
Fonts: - persona: F-L. Jacquier *(Site VanCrok), J-P de Palmas (France pittoresque)
19-ii-2009
- naixement: B.Yeurc'h (Le Lien)
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 3 ii 2014
- família 2: Hervé Balestrieri ( Encyclopédie Wikipedia, article
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_II_de_France ) 08.02.2011

94.993.025a:
THIBAUT de Blois ([979/81]-11 Jul 1004, bur Chartres Saint-Père). “Odo comes”
restored “villamCulturas” to Marmoutier, for the souls of “domini Hugonis
archiepiscopi, cujus ibi corpusjacet”, by charter dated to [986], subscribed by
“Berte comitissæ uxoris eius, majoris filii eius Teutboldi, filii eius Odonis adhuc in
cunabulo”[91]. "Odonis comitis, Rotberti filii eius, Tetbaldi filius eius, Odonis
alterius filius, Hugonis vicecomitis Castridunensis, Raherii de Montigniaco"
subscribed the charter dated 989 under which "Robert Vicomte de Blois" donated
property to the abbey of Evron[92]. He succeeded his father in 995 as THIBAUT II
Comte de Blois. A charter dated 996 records the confirmation by "comitissæ
Berthæ" of the donation by "Odo comes" of property for the construction of the
abbey of Bourgeuil, with the consent of "filiorum suorum Teobaldi…atque
Odonis"[93]. He resigned in favour of his younger brother and became a priest.
-5005-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
“Bertaregina cum filiis meis Tetbaldoepiscopo nec non Odoni comitis” donated
tonlieu over boats at Blois to Marmoutier by undated charter[94]. His bishopric has
not yet been identified. A charter dated to before 1024 records that "comes
Tedbaldus" was buried "in capitulo Sancti Petri" at the feet of "fratris sui
Teoderici"[95].
[91] Marmoutier (Blésois), I, IV, p. 8.
[92] Chartes Vendômoises XXIV, p. 34.
[93] Lex (1892), Pièces Justificatives, VI, p. 129.
[94] Marmoutier (Blésois), I, V, p. 10.
[95] Chartres Saint-Père I, Liber Quintus, Cap. V, p. 103
Fonts: - persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P.de Palmas
(FMG) 3 ii 2014
- defunció: J-P de Palmas (wikipedia) x2009)

94.993.025c:
[ROBERT (-[989/95]). "Odonis comitis, Rotberti filii eius, Tetbaldi filius eius, Odonis
alterius filius, Hugonis vicecomitis Castridunensis, Raherii de Montigniaco"
subscribed the charter dated 989 under which "Robert Vicomte de Blois" donated
property to the abbey of Evron[88]. Lex suggests that this document was a 12th
century falsification and that this supposed eldest son Robert did not exist[89]. This
position is supported by the charter dated to [986] under which “Odo comes”
restored “villamCulturas” to Marmoutier, for the souls of “domini Hugonis
archiepiscopi, cujus ibi corpusjacet”, subscribed by “Berte comitissæ uxoris eius,
majoris filii eius Teutboldi, filii eius Odonis adhuc in cunabulo”[90]. An alternative
explanation is that "Rotberti filii eius" was the son of the donor, not of "Odonis
comitis" whose name immediately precedes his.]
[88] Chartes Vendômoises XXIV, p. 34.
[89] Lex (1892), p. 61.
[90] Marmoutier (Blésois), I, IV, p. 8.
Fonts: - persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P.de Palmas
(FMG) 3 ii 2014

94.993.025d:
Fonts:
- família: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de
Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

94.993.025e:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 ii 2014

94.993.025f:
LANDRY de Blois (-after 27 Sep 1007). A charter of Robert II King of France dated
1007 confirmed the properties of "ecclesia B. Mariæ Bellimontis…sita a castro
Patris Martini" near Tours including the donation of "Liuziam" [Luzé] with the
consent of "Odonis comitis et fratris sui Landrici"[101].

[101] RHGF X, p. 589.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 ii 2014

94.993.025-2a:
Enfant mort-né.

-5006-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: Hervé Balestrieri ( Encyclopédie Wikipedia, article
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_II_de_France ) 08.02.2011

94.993.026:
Fonts:
- persona: J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du
VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010

94.993.028:
Porte du château de Sablé.

Hugues III, né vers 960, mort en 1014, fut comte du Maine de la mort de son père,
survenue avant 992 à 1014, de la famille des Hugonides. Il était fils d'Hugues II,
comte du Maine.

Allié au comte Eudes II de Blois, il combattit durant son gouvernement les rois
Hugues Capet et Robert II, ainsi que Foulque III Nerra, comte d'Anjou. Il est
cependant contraint d'accepter en 996 la suzeraineté du comté d'Anjou.

D'une épouse inconnue, il eut :

 Hugues Doubleau
 Herbert Ier Éveille-Chien († 1032), comte du Maine

A propos du château de Sablé


Le château de Sablé fut édifié au dernier tiers du Xe siècle par le comte du Maine,
Hugue III, « comes Cenomanensis quando fecit castellum de Sabolio »
(Cart. de la Couture, no 29).
Il construisit ensuite l'église de Saint-Malo : « Fecit in eo ecclesiam Sancti Machuti
» (Ibidem). Il le donna plus tard par inféodation au frère de son vicomte, Geoffroy,
et c'est le seul don de cette nature qui ait été fait sûrement et intégralement dans
le Maine par le comte, car Mayenne et même Laval n'ont pas été délégués sans
ingérence du comte d'Anjou. On ne doit pas faire remonter plus haut l'inféodation,
puisqu'il est dit expressément que c'est le constructeur qui en disposa et que
d'ailleurs il n'est pas mention de château édifié plus anciennement dans la
province.
in A. ANGOT, « Sablé », dans Bulletin de la Commission historique et
archéologique de la Mayenne, 1919, n° 35, p.166-189, 266-278, 369-380.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Turton, Plantagenet Ancestry), J-P de Palmas (wikipedia et
FMG)
- família: F-L. Jacquier (Joël Chirol - GeneaNet "joelchirol"), J-P.de Palmas (FMG) 2
xi 2017

94.993.029:
Fonts:
- família: F-L. Jacquier (Joël Chirol - GeneaNet "joelchirol"), J-P.de Palmas (FMG) 2
xi 2017

94.993.029a:

-5007-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 1ii2014

94.993.029c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 2ii2014

94.993.040:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Geneanet - Jean-Pierre de Palmas) 19 xii 2016
- família: J-M.Thiebaud (Geneanet - Jean-Pierre de Palmas) 19 xii 2016

94.993.041:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Geneanet - Jean-Pierre de Palmas) 19 xii 2016
- família: J-M.Thiebaud (Geneanet - Jean-Pierre de Palmas) 19 xii 2016

94.993.042:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Tyroller+Stuart

94.993.043:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Tyroller+Stuart

94.993.048:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009

94.993.049:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009

94.993.049b:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base des frères Pire) 18 viii 2009

94.993.052:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011, Auréjac, L.
Gustavsson
- família: J-M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011

94.993.053:
Fonts:
- família: J-M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011

94.993.053a:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011, E.Polti (Relatives
of Raphael Ackermann Switzerland/RootsWeb ; source généralement "Rübel Blass")
-5008-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
8 xii 2012
- família: J-M.Thiebaud (base Stéphane Chappellier) 10 ii 2011, E.Polti (Relatives of
Raphael Ackermann Switzerland/RootsWeb ; source généralement "Rübel Blass") 8
xii 2012

94.993.056:
GEOFFROY [I] de Semur, son of JOCERAN de Semur & his wife Richoara --- (-
[1020]). The genealogy of the Seigneurs de Semur, included in the cartulary of
Marcigny-sur-Loire and dated to [1144], names "Jaufrois…" as son of "Joceran et
Richoare"[1427]. 1015. He succeeded his father in [992/94] as Seigneur de Semur.

m firstly --- de [Brioude], daughter of DALMAS [II] Vicomte [de Brioude] & his wife
[Aldiarde ---] (-before 962). The genealogy of the Seigneurs de Semur, included in
the cartulary of Marcigny-sur-Loire and dated to [1144], names "Jaufrois qui eut la
fille de Dalmas Vicomte de Briode" as son of "Joceran et Richoare"[1428].

m secondly MATHILDE de Chalon, dame de Donzy, daughter of LAMBERT Comte


de Chalon & his [second] wife Adelais --- (-before 1019). "Gausfredus et uxor mea
Mahaldis et filii mei Gausfredus, Herveus, Oddo, Tethbaldus, Lanbertus" donated
property to Cluny by charter dated to [1015][1429]. "Hugo episcopus
Autisiodorensium" donated property to Cluny by charter dated 1019, which refers
to the prior donation by "soror mea Maheldis et sponsus eius Gauzfredus"[1430].
Her parentage and her marriage are confirmed by the charter of "Tetbaldus comes
Cabilonensis" dated [1050] which names "Lamberti avi mei [et] Adheleydem
comitissam aviam meam"[1431]. It is unlikely that her marriage could have taken
place much earlier than [990] considering the general chronology of the family,
although this date is too inexact to include as her likely marriage date. According
to Bouchard, Mathilde is shown in the 12th century genealogy of the family as the
first wife of Comte Geoffroy[1432].

Geoffroy [I] & his first wife had two children.

Geoffroy [I] & his second wife had five children.

[1427] Marcigny-sur-Loire I, p. 1.

[1428] Marcigny-sur-Loire I, p. 1.

[1429] Cluny, Tome III, 2693, p. 721.

[1430] Cluny, Tome III, 2722, p. 745.

[1431] Cluny, Tome IV, 3341, p. 430.

[1432] Bouchard (1987), p. 359.

FMG

Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Europäische Stammtafeln III 436; correction de
filiation) 28 viii 2009, J-C de Vaugiraud (Villenaut: Donzy) 18/01/2006, J-C de
Vaugiraud (T. Le Hête: Les comtes Palatins de Bourgogne p 356) 07/09/2008, J-P.de
Palmas (FMG) 2 xii 2013
-5009-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES III-3 T.437) 14/09/2006
- família 2: J-B de La Grandière (Jean-Noël Mathieu "Recherches sur la famille de
Fouvent "Annales de Bourgogne t 76 pp 99/133 Dijon 2005) 28 viii 2009, J-C de
Vaugiraud (Villenaut: Donzy) 18/01/2006

94.993.057:
Dite fille du comte Lambert par Schwennicke sur base du très fiable Henri de
Faget de Castelnau ? Si cette ascendance est retenue voir tome III/3 tafel 433 pour
ascendance.
Je modifie la date de mariage indiquée ccomme étant 1040 et efface l'année de
naissance donnée comme vers 0950 Je ne sais comment ont été "fabriquées" ces
deux dates que je modifie comme il suit :

Naissance : avant 969

Mariage :vers 1003

Ainsi les "anomalies" signalées disparaissent et les dates correspondent à des


réalitès.

JB de La Grandière 29/8/2009

Fonts:
- persona: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de
Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977), J-C
de Vaugiraud (Dugenne: dic Yonnr: Vergy) 14/09/2006, J-P de Palmas (Maison de
Vergy) iv-2009,, Manuel Abranches de Soveral
- família 1: J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Les comtes Palatins de Bourgogne p 356)
07/09/2008, J-P de Palmas (wikipedia) 13xi2011
- família 2: J-B de La Grandière (Jean-Noël Mathieu "Recherches sur la famille de
Fouvent "Annales de Bourgogne t 76 pp 99/133 Dijon 2005) 28 viii 2009, J-C de
Vaugiraud (Villenaut: Donzy) 18/01/2006

94.993.057a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Maison de Vergy) iv-2009; Jean-Marie Thiébaud
(Europäische Stammtafeln III 436; correction de filiation) 28 viii 2009

94.993.057d:
Envoyé en 1030 par le Comte de Champagne contre le comte d'Anjou, qu'il
vainquit. Le comte de Champagne lui donne Saint Aignan en Berry.
vassal d'Hugues de Chalon, évêque d'Auxerre, pour la baronnie de Donzy (185 fiefs
dont la chatellenie de Cosne-sur Loire)

Eudes II de Blois, comte de Troyes


et de Blois pour la magnifique seigneurie de Saint-Amand-sur-Cher

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Villenaut: Donzy) 18/01/2006, Guillaume de Paysac /
Jacques BIERRE "Les vies extraordinnaires de Hervé IVde Donzy et de Mahaut de
Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977)
- família: J-C de Vaugiraud (Villenaut: Donzy) 18/01/2006

94.993.057e:

-5010-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Les comtes Palatins de Bourgogne p 356)
07/09/2008

94.993.057-1b:
Fonts:
- persona: M.Massseroni (J.Richard - Le Cartulaire de Marcigny-sur-Loire), J-C de
Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006
- casament: M.Masseroni (M.Chaume - Recherches d'Histoire chrétienne et
medievales)
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, J-C.de Vaugiraud
(Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010

94.993.106:
COMTES de CLERMONT
The county of Condroz was the successor of the pagus Condrustensis. The division
of Lotharingian territories agreed 8 Aug 870 between Ludwig II "der Deutsche"
King of the East Franks and his half-brother Charles II "le Chauve" King of the
West Franks allocated "…comitatum …Condrust…" to King Charles[555]. No
record has yet been found in the primary sources so far consulted of any comtes de
Condroz. The castle of Huy was located within the county of Condroz, which lay
south of the river Meuse and west of the river Ourthe. The county of Huy emerged
in part of the territory of the ancient county of Condroz, probably in the early 10th
century, and included some localities in the neighbouring county of Hesbaie[556].
The castle of Clermont was situated on the right bank of the river Meuse in the
county of Condroz, near Liège. It emerged as the base of a county in the late 11th
century[557].

1. WIDRICH [I] (-[before 1062]). [Comte] [de Clermont]. "Widricus" names "patris
mei…Widrici in castello Clarimontis" by charter dated 1062[558].

m ---. The name of Widrich's wife is not known with certainty. However, it is
possible that she was Hersende, separated wife of Hildrad [Hezelin] Comte [de
Grandpré], daughter of ---, whom he would have married in [1020/25]. The line of
argument for this identification is complex and depends on the correctness of
several assumptions. Firstly, it is assumed, as explained below, that Giselbert
Comte de Clermont was the grandson of Widrich [I]. Secondly, it is assumed that
Ermengarde, wife of Gozelon Comte de Montaigu, was the paternal aunt of
Giselbert Comte de Clermont, as indicated by the latter´s charter for Cluny dated
1091, quoted below[559]. Thirdly, in a charter dated 1064, "Ermentrudis de
Harenzey" donated "allodium…Sumey" to Ardenne Saint-Hubert, for the soul of
"mariti mei Gozolonis", with the consent of "filiis meis…Cunone comite Rodulfo
Guidone Joanne Henrico et fratribus meis Hezelino comite et Rainaldo et
Balduino", by charter dated 1064[560], her brothers being identified as three of the
sons of Hildrad [Hezelin] Comte [de Grandpré]. Fourthly, Comte Hildrad´s wife is
named in the charter dated 1020, under which "Hildradus cognomento Hescelinus
comes" donated property for "Hercendis uxoris mee, Richardi quoque filii mei
quem ad clericatus" to Verdun Saint-Vanne[561]. Fifthly, the Gesta Episcoporum
Cameracensium records that "Gerardus episcopus…nepte" was the wife of
"Hezelino", and that the couple separated after eight years of marriage[562].
Sixthly, it is assumed that this was the same wife of Comte Hildrad [Hezelin] who is
named in the 1020 document (the chronology appears favourable) and that she was
the mother not only of Hildrad´s son Richard (named in the 1020 document) but
also of his three sons who are named in the 1064 document. "Hildradus
cognomento Hescelinus comes" donated property "Bolruuel" for "Hercendis uxoris
mee, Richardi quoque filii mei quem ad clericatus" to Verdun Saint-Vanne by
charter dated 1020, subscribed by "Albrici nepotis mei"[563]. It is conceded that

-5011-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
the argument is shaky and could fail if any one of these assumptions was incorrect.
Nevertheless, it is felt to be a sufficiently interesting possibility to include in the
present document. The precise parentage of Hersende is unknown. However, as
noted above, her possible relationship to Gérard Bishop of Cambrai, who was the
son of Arnaud Seigneur de Florennes, is indicated by the Gesta Episcoporum
Cameracensium which records that "Gerardus episcopus…nepte" was the wife of
"Hezelino". Gérard was elected bishop in 1010 but it is unlikely that he was born
much earlier than 990, bearing in mind that his mother was the daughter of
Godefroi Comte de Verdun whose marriage is dated to [963]. It is therefore
probable that "nepte" in Gesta should be translated as a more remote family
relationship than "niece": any children of Gerard's brothers and sisters could not
have been born earlier than 1005, whereas Hildrad's son Richard (presumably born
from his marriage with the bishop's niece) was assigned to be a cleric at Verdun
Saint-Vanne in 1020. It is possible that the bishop's relationship with Hersende was
through his mother's family, the comtes de Verdun. Widrich [I] & his wife had
[three] children.

[555] MGH LL Capitularia regum Francorum II, p. 195.

[556] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 214.

[557] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 221.

[558] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 221, quoting "Analectes XVI, 9".

[559] Cluny Tome V, 3659, p. 5.

[560] Ardenne Saint-Hubert, Tome I, XVIII, p. 19.

[561] Verdun Saint-Vanne (1898), XXVII, p. 427.

[562]Gesta Episcoporum Cameracensium III, 33, MGH SS VII, p. 479.

[563] Verdun Saint-Vanne (1898), XXVII, p. 427.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

94.993.107:
HERSENDE . "Hildradus cognomento Hescelinus comes" donated property
"Bolruuel" for "Hercendis uxoris mee, Richardi quoque filii mei quem ad clericatus"
to Verdun Saint-Vanne by charter dated 1020, subscribed by "Albrici nepotis
mei"[1014]. The precise parentage of Hersende is unknown. However, her possible
relationship to Gérard Bishop of Cambrai, who was the son of Arnaud Seigneur de
Florennes, is indicated by the Gesta Episcoporum Cameracensium which records
that "Gerardus episcopus…nepte" was the wife of "Hezelino". Gérard was elected
bishop in 1010 but it is unlikely that he was born much earlier than 990, bearing in
mind that his mother was the daughter of Godefroi Comte de Verdun whose
marriage is dated to [963]. It is therefore probable that "nepte" in Gesta should be
translated as a more remote family relationship than "niece": any children of
Gerard's brothers and sisters could not have been born earlier than 1005, whereas
Hildrad's son Richard (presumably born from his marriage with the bishop's niece)

-5012-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
was assigned to be a cleric at Verdun Saint-Vanne in 1020. It is possible that the
bishop's relationship with Hersende was through his mother's family, the comtes
de Verdun. The line of argument regarding Hersende´s possible second marriage is
complex and depends on the correctness of several assumptions. Firstly, it is
assumed, that Giselbert Comte de Clermont was the grandson of Widrich [I], as
explained in the chapter relating to the comtes de Clermont in the document
LOWER LOTHARINGIAN NOBILITY. Secondly, it is assumed that Ermengarde,
wife of Gozelon Comte de Montaigu, was the paternal aunt of Giselbert Comte de
Clermont, as indicated by the latter´s charter for Cluny dated 1091[1015]. Thirdly,
in a charter dated 1064, "Ermentrudis de Harenzey" donated "allodium…Sumey" to
Ardenne Saint-Hubert, for the soul of "mariti mei Gozolonis", with the consent of
"filiis meis…Cunone comite Rodulfo Guidone Joanne Henrico et fratribus meis
Hezelino comite et Rainaldo et Balduino", by charter dated 1064[1016], her
brothers being identified as three of the sons of Hildrad [Hezelin] Comte [de
Grandpré]. Fourthly, Comte Hildrad´s wife is named in the charter dated 1020,
under which "Hildradus cognomento Hescelinus comes" donated property for
"Hercendis uxoris mee, Richardi quoque filii mei quem ad clericatus" to Verdun
Saint-Vanne[1017]. Fifthly, as noted above, the Gesta Episcoporum
Cameracensium records that "Gerardus episcopus…nepte" was the wife of
"Hezelino", and that the couple separated after eight years of marriage[1018].
Sixthly, it is assumed that this was the same wife of Comte Hildrad [Hezelin] who is
named in the 1020 document (the chronology appears favourable) and that she was
the mother not only of Hildrad´s son Richard (named in the 1020 document) but
also of his three sons who are named in the 1064 document. It is conceded that the
argument is shaky and could fail if any one of these assumptions was incorrect.
Nevertheless, it is felt to be a sufficiently interesting possibility to include in the
present document.

m [firstly] HILDRAD [Hezelin] Comte [de Grandpré], son of ---.

[m secondly ([1020/25]) WIDRICH [I] [Comte de Clermont], son of ---.]

[1014] Verdun Saint-Vanne, 1898, XXVII, p. 427.

[1015] Cluny Tome V, 3659, p. 5.

[1016] Ardenne Saint-Hubert, Tome I, XVIII, p. 19.

[1017] Verdun Saint-Vanne, 1898, XXVII, p. 427.

[1018]Gesta Episcoporum Cameracensium III, 33, MGH SS VII, p. 479.

Hersende . "Hildradus cognomento Hescelinus vient" a fait don de la propriété


"Bolruuel" pour "Hercendis uxoris mee, Richardi quoque filii mei quem ad
clericatus" à Verdun Saint-Vanne par une charte datée 1020, souscrite par "Albrici
nepotis mei" [1014]. La filiation précise de Hersende est inconnue. Cependant, sa
relation possible de Gérard évêque de Cambrai, qui était le fils d'Arnaud seigneur
de Florennes, est indiquée par le Gesta Episcoporum Cameracensium qui
enregistre que "Gerardus episcopus Nepte" était l'épouse de "Hezelino". Gérard a
été élu évêque en 1010, mais il est peu probable qu'il soit né beaucoup plus tôt que
990, en gardant à l'esprit que sa mère était la fille de Godefroi comte de Verdun
dont le mariage est daté de [963]. Il est donc probable que "Nepte" dans Gesta
devrait être traduit comme un lien de parenté plus éloignée que "nièce": des
enfants des frères et sœurs de Gérard ne pouvait pas être né plus tôt que 1005,
alors que le fils de Hildrad Richard (probablement nés de son mariage avec la
-5013-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
nièce de l'évêque) a été affecté à un clerc à Verdun Saint-Vanne en 1020. Il est
possible que la relation de l'évêque avec Hersende était par la famille de sa mère,
les comtes de Verdun. L'argumentation concernant Hersende's possible second
mariage est complexe et dépend de la justesse de plusieurs hypothèses. Tout
d'abord, il est supposé que Giselbert comte de Clermont était le petit-fils de
Widrich [I], comme expliqué dans le chapitre relatif aux comtes de Clermont dans
le document INFÉRIEUR noblesse lorraine. Deuxièmement, il est supposé que
Ermengarde, femme de Gozelon comte de Montaigu, était la tante paternelle de
Giselbert comte de Clermont, comme indiqué par la charte de la CrEDH pour Cluny
daté 1091 [1015]. Troisièmement, dans une charte datée de 1064, "Ermentrudis de
Harenzey" don "alleu Sumey" pour Ardenne Saint-Hubert, pour l'âme de «Mariti
mei Gozolonis", avec le consentement de "filiis Meis Cunone comite Rodulfo
Guidone Joanne Henrico et fratribus Meis Hezelino comite et Rainaldo et Balduino
", par une charte datée 1064 [1016], ses frères étant identifiés comme trois des fils
de Hildrad [Hezelin] Comte [de Grandpré]. Quatrièmement, Comte Hildrad's
femme est nommé dans la charte datée 1020, en vertu duquel "Hildradus
cognomento Hescelinus vient" biens donnés pour "Hercendis uxoris mee, Richardi
quoque filii mei quem ad clericatus" à Verdun Saint-Vanne [1017]. Cinquièmement,
comme indiqué plus haut, la Gesta Episcoporum Cameracensium rapporte que
"Gerardus episcopus Nepte" était l'épouse de "Hezelino", et que le couple se
sépare après huit ans de mariage [1018]. Sixièmement, il est supposé que ce fut la
même femme du Comte Hildrad [Hezelin] qui est nommé dans le document 1020
(la chronologie semble favorable) et qu'elle était la mère non seulement de
Hildrad's fils Richard (nommée dans le document 1020 ), mais aussi de ses trois fils
qui sont nommés dans le document 1064. Il est admis que l'argument est fragile et
pourrait échouer si l'une de ces hypothèses était incorrect. Néanmoins, il est
ressenti comme une possibilité assez intéressant d'inclure dans le présent
document.

m [d'abord] HILDRAD [Hezelin] Comte [de Grandpré], fils de ---.

[M d'autre part ([1020-1025]) Widrich [I] [Comte de Clermont], fils de ---.]

[1014] Verdun Saint-Vanne, 1898, XXVII, p. 427.

[1015] Cluny Tome V, 3659, p. 5.

[1016] Ardenne Saint-Hubert, Tome I, XVIII, p. 19.

[1017] Verdun Saint-Vanne, 1898, XXVII, p. 427.

[1018] Gesta Episcoporum Cameracensium III, 33, MGH SS VII, p. 479.

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XXVI T.19 à 21) 01/12/2009, J-P.de Palmas (FMG)
20 v 2014, S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de Grandpré-2003/2006-
http:racineshistoire.free.fr/LGN)08.02.2016
- família 1: J-C de Vaugiraud (ES VII T.11) 15/09/2006, J-P.de Palmas (FMG) 20 v
2014
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

94.993.107a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

-5014-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.993.107c:
[MATHILDE [von Ehrenbreitstein] (-before 3 Aug 1101, bur Prüm St Salvator). The
necrology of Siegburg records “pridie Non Jun” that “Bruno comes et uxor eius
Mathilda de Erenbreitstein” donated “prædium in Gulse”[577]. Anno Archbishop of
Köln founded Siegburg abbey and listed its properties, including the donation of
"Flatlenadecimationemin Zulpiaco que in beneficio fuerat Sicconis comitis" made
by "Mathilda Brunonis quondam coniuge", by charter dated to [1064][578]. Anno
Archbishop of Köln confirmed possessions of Siegburg abbey, including the
donation of "Flattenadecimationemin Zulpiaco, quæ in beneficio fuerat Sicconis
comitis" made by "Mathilda Brunonis quondam coniuge", by charter dated
1064[579]. Emperor Heinrich IV restored "predium…Prümizfelt quidam comes
Bruno de Hengebach…tradidit…cum uxore sua Mathilde", taken by "comes
Henricus de Lintburc", to the abbey of Prüm (where Matilda was buried) by charter
dated 3 Aug 1101[580]. No direct indication has been found that Mathilde, wife of
Bruno von Heimbach, was the sister of Ermengarde Ctss de Montaigu. However,
the reference to "Prümizfelt" in the 1101 charter which names Mathilde and her
husband suggests a close relationship as the same place is named in the undated
charter, dated to [1040/44], under which "comitem Kadelonem [Gozelon Comte de
Montaigu] et eius contectalem Irmingart" donated hereditary property "de chorte
Prümizvelt"[581]. The absence of any reference to Bruno and Ermentrude being
siblings suggests that a relationship by marriage is a more likely possibility. If this
is correct, one explanation is that Prümizvelt was inherited by supposed sisters
Ermengarde and Mathilde from one of their parents. Indeed, if this was not the
case, it is difficult to explain why his wife Mathilde would have been named in the
1101 charter with Bruno. If Ermengarde and Mathilde were sisters, it is not certain
that they shared the same father: the reference to Mathilde “von Ehrenbreitstein”
indeed suggests that their fathers were different.

m BRUNO von Hengebach'', son of --- (-25 Feb [1063/64]).]

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

94.993.107-1a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014, , JB.de La Grandiere (E.S. XXVI, tab. 19 ,
comtes de Grandpré, 2009) 6 xi 2016

94.993.107-1b:
RICHARD ([1015]-7 Nov 1046, bur Verdun). "Hildradus cognomento Hescelinus
comes" donated property "Bolruuel" for "Hercendis uxoris mee, Richardi quoque
filii mei quem ad clericatus" to Verdun Saint-Vanne by charter dated 1020,
subscribed by "Albrici nepotis mei"[458]. The reference to "filii mei" rather than
"filii nostri" in this document suggests that Richard was not the child of Hildrad by
his marriage to Hersendis. The Gesta Episcoporum Virdunensium records a
donation by Richard Bishop of Verdun "pro anima patris sui comitis Hildradi qui
cognomentus est Hecelinus"[459]. Bishop of Verdun 1039. The Annales Sancti
Vitoni Virdunensis record the death in 1039 of “Raymbertus episcopus
Virdunensis” and the succession of “Richardus”[460]. "Heinricus…rex" confirmed
the foundation and possessions of the convent of Maria Magdalena at Verdun by
charter dated 16 Jun 1040, on the petition of "Ricardi Virdunensis ecclesiæ
presulis,…quodam suæ dioceseos clerico Ermenfrido, …tempore patris sui
Heizelini comitis", which records donations by "Beroldi…quod imprimis eius pater
comes Hezelinus…tradidit…[et] Guota per manus mariti sui Gotefridi ducis…aliud
etiam de Ionvilla quæ dedit Adelaidis comitissa"[461]. The Chronicon Hugonis
records that "Hildradus comes" offered "Richardum filium suum post episcopum"
to the church and died in Galilee[462]. The necrology of Verdun Saint-Vanne

-5015-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
records the death "VII Id MXLVI" of "dominus Richardus episcopus
Virdunensis"[463].

[458] Verdun Saint-Vanne, 1898, XXVII, p. 427.

[459]Gesta Episcoporum Virdunensium 10, MGH SS IV, p. 51.

[460] Annales Sancti Vitoni Virdunensis, MGH SS VIII, p. 526.

[461] D H III 53, p. 68.

[462]Chronicon Hugonis, monachi Virdunensis et Divionensis abbatis


Flaviniacensis II.9, MGH SS VIII, p. 376.

[463] Necrology Verdun Saint-Vanne, p. 147.

1-

RICHARD ([1015] -7 novembre 1046, bur Verdun). "Hildradus cognomento


Hescelinus vient" a fait don de la propriété "Bolruuel" pour "Hercendis uxoris mee,
Richardi quoque filii mei quem ad clericatus" à Verdun Saint-Vanne par une charte
datée 1020, souscrite par "Albrici nepotis mei" [458]. La référence à "filii mei"
plutôt que "filii nostri" dans le présent document suggère que Richard était pas
l'enfant de Hildrad par son mariage avec Hersendis. Le Gesta Episcoporum
Virdunensium enregistre un don de Richard évêque de Verdun "pro anima patris
sui comitis Hildradi Qui cognomentus is Hecelinus" [459]. Évêque de Verdun 1039.
Les Annales Sancti Vitoni Virdunensis enregistrer le décès en 1039 de
"Raymbertus episcopus Virdunensis" et la succession des "Richardus" [460].
"Heinricus rex», a confirmé le fondement et les biens du couvent de Maria
Magdalena à Verdun par une charte datée du 16 juin 1040, sur la pétition de
"Ricardi Virdunensis ecclesiæ presulis, quodam suae dioceseos clerico Ermenfrido,
tempore patris sui Heizelini comitis", qui enregistre les dons par «Beroldi quod
Imprimis eius pater vient Hezelinus tradidit [et] Guota par manus Mariti sui
Gotefridi ducis aliud etiam de Ionvilla Quæ dedit Adelaidis Comitissa" [461]. Le
Chronicon Hugonis rapporte que "Hildradus vient" offert "Richardum filium suum
après episcopum" à l'église et il est mort en Galilée [462]. La nécrologie de Verdun
Saint-Vanne enregistre la mort "VII Id MXLVI» de «dominus Richardus episcopus
Virdunensis" [463].

[458] Verdun Saint-Vanne, 1898, XXVII, p. 427.

[459] Gesta Episcoporum Virdunensium 10, MGH SS IV, p. 51.

[460] Annales Sancti Vitoni Virdunensis, MGH SS VIII, p. 526.

[461] DH III 53, p. 68.

[462] Chronicon Hugonis, monachi Virdunensis et Divionensis abbatis


Flaviniacensis II.9, MGH SS VIII, p. 376.

-5016-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[463] Nécrologie Verdun Saint-Vanne, p. 147.

2-

RICHARD ([1015] -7 novembre 1046, bur Verdun). "Hildradus cognomento


Hescelinus vient" a fait don de la propriété "Bolruuel" pour "Hercendis uxoris mee,
Richardi quoque filii mei quem ad clericatus" à Verdun Saint-Vanne par une charte
datée 1020, souscrite par "Albrici nepotis mei" [458]. La référence à "filii mei"
plutôt que "filii nostri" dans le présent document suggère que Richard était pas
l'enfant de Hildrad par son mariage avec Hersendis. Le Gesta Episcoporum
Virdunensium enregistre un don de Richard évêque de Verdun "pro anima patris
sui comitis Hildradi Qui cognomentus is Hecelinus" [459]. Évêque de Verdun 1039.
Les Annales Sancti Vitoni Virdunensis enregistrer le décès en 1039 de
"Raymbertus episcopus Virdunensis" et la succession des "Richardus" [460].
"Heinricus rex», a confirmé le fondement et les biens du couvent de Maria
Magdalena à Verdun par une charte datée du 16 juin 1040, sur la pétition de
"Ricardi Virdunensis ecclesiæ presulis, quodam suae dioceseos clerico Ermenfrido,
tempore patris sui Heizelini comitis", qui enregistre les dons par «Beroldi quod
Imprimis eius pater vient Hezelinus tradidit [et] Guota par manus Mariti sui
Gotefridi ducis aliud etiam de Ionvilla Quæ dedit Adelaidis Comitissa" [461]. Le
Chronicon Hugonis rapporte que "Hildradus vient" offert "Richardum filium suum
après episcopum" à l'église et il est mort en Galilée [462]. La nécrologie de Verdun
Saint-Vanne enregistre la mort "VII Id MXLVI» de «dominus Richardus episcopus
Virdunensis" [463].
[458] Verdun Saint-Vanne, 1898, XXVII, p. 427.
[459]Gesta Episcoporum Virdunensium 10, MGH SS IV, p. 51.
[460] Annales Sancti Vitoni Virdunensis, MGH SS VIII, p. 526.
[461] D H III 53, p. 68.
[462] La chronique de Hugh, l'abbé des moines de Verdun et Divionensis
Flaviniacensis II.9, MGH SS 8, p. 376.
[463] Necrology Verdun Saint-Vanne, p. 147.

3-

RICHARD ([1015] -7 novembre 1046, bur Verdun). "Hildradus cognomento


Hescelinus vient" a fait don de la propriété "Bolruuel" pour "Hercendis uxoris mee,
Richardi quoque filii mei quem ad clericatus" à Verdun Saint-Vanne par une charte
datée 1020, souscrite par "Albrici nepotis mei" [458]. La référence à "filii mei"
plutôt que "filii nostri" dans le présent document suggère que Richard était pas
l'enfant de Hildrad par son mariage avec Hersendis. Le Gesta Episcoporum
Virdunensium enregistre un don de Richard évêque de Verdun "pro anima patris
sui comitis Hildradi Qui cognomentus is Hecelinus" [459]. Évêque de Verdun 1039.
Les Annales Sancti Vitoni Virdunensis enregistrer le décès en 1039 de
"Raymbertus episcopus Virdunensis" et la succession des "Richardus" [460].
"Heinricus rex», a confirmé le fondement et les biens du couvent de Maria
Magdalena à Verdun par une charte datée du 16 juin 1040, sur la pétition de
"Ricardi Virdunensis ecclesiæ presulis, quodam suae dioceseos clerico Ermenfrido,
tempore patris sui Heizelini comitis", qui enregistre les dons par «Beroldi quod
Imprimis eius pater vient Hezelinus tradidit [et] Guota par manus Mariti sui
Gotefridi ducis aliud etiam de Ionvilla Quæ dedit Adelaidis Comitissa" [461]. Le
Chronicon Hugonis rapporte que "Hildradus vient" offert "Richardum filium suum
après episcopum" à l'église et il est mort en Galilée [462]. La nécrologie de Verdun
Saint-Vanne enregistre la mort "VII Id MXLVI» de «dominus Richardus episcopus
Virdunensis" [463]. [458] Verdun Saint-Vanne, 1898, XXVII, p. 427.

[459] Gesta Episcoporum Virdunensium 10, MGH SS IV, p. 51.

-5017-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[460] Annales Sancti Vitoni Virdunensis, MGH SS VIII, p. 526.
[461] DH III 53, p. 68.
[462] La chronique de Hugh, l'abbé des moines de Verdun et Divionensis
Flaviniacensis II.9, MGH SS 8, p. 376.
[463] Nécrologie Verdun Saint-Vanne, p. 147.
Sources : - personne : J-C de Vaugiraud (ES XXVI T.19 à 21) 01/12/2009, J-P.de
Palmas (FMG) 20 v 2014
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XXVI T.19 à 21) 01/12/2009, J-P.de Palmas (FMG)
20 v 2014, S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de Grandpré-2003/2006-
http:racineshistoire.free.fr/LGN)08.02.2016

94.993.107-1c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

94.993.107-1d:
Cité dans une charte de donation à l'Abbaye de Saint Hubert par Emmengarde,
comtesse de Montaigu.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014, S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de
Grandpré-2003/2006-http:racineshistoire.free.fr/LGN)08.02.2016

94.993.107-1e:
Cité dans une charte le 16.06.1040.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014, S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de
Grandpré-2003/2006-http:racineshistoire.free.fr/LGN)08.02.2016

94.993.108:
Jean François Nieus, historien et universitaire belge, a publié en 2005 "Un pouvoir
comtal entre Flandre et France: Saint-Pol 1000-1300" (on en trouve de larges
extraits sur google livres). Il y traite pages 33 et suivantes (
http://books.google.fr/books?id=X_FNTIVEGkMC ) du comté de Boulogne et y
indique que le comte de Boulogne Adalolfe meurt en 933. Le comté est alors
annexé par son frère le comte Arnoul de Flandre. Le fils d'Adalolfe, un autre
Arnoul, récupère le comté en mars 965 au décès de son oncle Arnoul de Flandre et
meurt en 988. Lui succède son fils Baudouin qui serait le père ou le frère ainé
d'Eustache I de Boulogne.
Jean François Nieus signale le peu de documents conservés sur le Boulonnais à
cette époque, ce qui a pu conduire à combler les lacunes par des hypothèses
généalogiques un peu hasardeuses.
Philippe Alasseur (forum) 01/03/2010
D'après Paul D. Abbot Eustache serait fils d'Arnoul. Pour Jean François Nieus, il y
aurait un degré supplémentaire: Baudouin, qui est soit le père, soit le frère aîné
d'Eustache ! C'est l'avant dernière hypothèse, chronologiquement meilleure, que
nous retenons. J-C de Vaugiraud 03/03/2010
"On ignore cependant le lien de parebté exact qui unit ce Baudouin à Eustache I
(1024-1027), le premier comte plus ou moins documenté. J. Dhondt pense au frère
évoqué par Lambert d'Ardres, tandis que H.J. Tanner penche plutôt pour un fils. La
possibilité d'une rupture dynastique ne semble pas pouvoir être envisagée."
J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 36) 15 x 2011

A comparer au travail des bénédictins qui disent: "1046. Eustache Ier, dit à L'œil,
fils de Baudouin II, comte de Boulogne, rentra dans l'héritage de ses pères, l'an
-5018-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1046, après la mort d'Enguerand. Il avait épousé Mahaut, fille de Lambert le
Barbu, comte de Louvain, et petite-fille, par Gerberge sa mère, de Charles, duc de
la basse Lorraine, et frère du roi Lothaire. Eustache mourut vers l'an 1049, laissant
de son mariage Eustache, qui suit; Godefroi, évêque de Paris; Lambert, seigneur de
Lens, mort en 1054 dans un combat que le comte de Flandre livra aux troupes de
l'empereur Henri III; et Gerberge, femme de Frédéric Ier, duc de la basse
Lorraine."
J-C de Vaugiraud (L'art de vérifier les dates, reédition 1818, T. XII, P.) 19 x 2011
Fonts: - persona: L. Gustavsson, J-C de Vaugiraud (Paul D. Abbot: Provinces, pays
and seigneuries of France: Boulonnais, p 118-119) 28/02/2010, J-C de Vaugiraud
(Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-
1300", 2005, P. 36) 15 x 2011
- defunció: J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre
Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 36) 15 x 2011
- família: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du
XVIIe siècle, 1998

94.993.109:
Fonts:
- persona: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats
du XVIIe siècle, 1998).
- família: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du
XVIIe siècle, 1998

94.993.109b:
Geoffroy de Boulogne et chancelier Pierre Geoffroy de Boulogne, parfois Godefroy
de Boulogne, mort en 1095, est un ecclésiastique français qui fut évêque de Paris,
de 1061 à 1095, et chancelier de France sous Philippe Ier, de 1064 à 1085, avant
de devenir archichancelier de cette date à 1094.
Il est le fils d’Eustache Ier, comte de Boulogne et de Mahaut de Louvain, elle même
fille de Lambert Ier de Louvain. Il avait pour frères Eustache II de Boulogne et
Lambert II de Lens. Il est ainsi l’oncle de Godefroy de Bouillon et du roi de
Jérusalem Baudouin de Boulogne.
Après avoir été archidiacre d’Arras, il accède à la chancellerie en 1064 avant de
devenir archichancellier en 1085, dans une carrière qui ne doit pas être étrangère
à ses liens avec Baudouin V de Flandre, tuteur de Phillipe Ier avec lequel il prend
part à la guerre de succession de Flandre en 1070 et 1071. Il est fréquemment
mentionné par les chartes de Philippe Ier et nombre de documents sont souscrite
de sa main jusqu’à sa mort. Il semble avoir bénéficié de la confiance du pape
Grégoire VII après avoir fait exécuter certaines décisions de ce dernier qui déplore
l’attitude des évêques français, plus enclins à suivre le roi que le pape. Le conflit
entre le pape et le roi de France se prolongera avec le successeur de Grégoire,
Urbain II suite à l’affaire du remariage de Philippe Ier : ce dernier convoque un
concile à Reims où les évêques français ne se prononcent pas. Finalement, un
concile d’Autun réuni à l’initiative de l’archevêque de Lyon Hugues de Bourgogne,
légat du pape, décrète l’excommunication du roi le 16 octobre 1094. Geoffroy de
Boulogne meurt l’année suivante et c’est Guillaume de Montfort, le frère de
Bertrade, nouvelle épouse du roi, qui lui succède à l’épiscopat de Paris.
Extrait du site Chevaliers et Troubadours: Les Ministres de la Justice en France
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les Ministres de la Justice en France) 17ii2011

94.993.109c:
LAMBERT de Boulogne (-killed in battle Phalampin 1054). The Genealogica
comitum Buloniensium records that "Eustachium et Lantbertum" were sons of
"comes Eustachius de Bolonia" and his wife Mathilde[1415]. Comte de Lens 1047.
After his death, the county of Lens reverted to his older brother Eustache
-5019-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[II][1416].

m ([1053/54]) as her second husband, ADELAIS de Normandie, widow of


ENGUERRAND [II] Comte de Montreuil Seigneur d’Aumâle, illegitimate daughter
of ROBERT II Duke of Normandy & his mistress --- (-[1082/84]). Robert de Torigny
names "Aeliz" as the daughter of Duke Robert II "de alia concubina" from
Herleve[1417]. The foundation charter of Saint-Martin d’Auchy names “Engueranni
consulis qui filius fuit Berte supradicti Guerinfridi filie et Adelidis comitisse uxoris
sue sororis…Willelmi Regis Anglorum”[1418]. She retained the title Comtesse
d'Aumâle after her first marriage. Her second marriage is deduced from the
foundation charter of Saint-Martin d’Auchy which names “Engueranni consulis qui
filius fuit Berte supradicti Guerinfridi filie et Adelidis comitisse uxoris sue
sororis…Willelmi Regis Anglorum” and “Judita comitissa domine supradicte
filia”[1419]. She married thirdly ([1060]) Eudes III Comte de Troyes [Blois].
Orderic Vitalis records that King William I granted "comitatum Hildernessæ" to
"OdoniCampaniensi nepoti Theobaldi comitis" who had married "sororemregis
filiamRodberti ducis"[1420]. Lambert & his wife had one child.

[1415] Genealogica comitum Buloniensium MGH SS IX, p. 301.

[1416] Murray (2000), p. 28,

[1417] Chronique de Robert de Torigni, Tome I, 1026, p. 34.

[1418] CP I 351 footnote d, quoting from Stapleton, T. Archaeologia XXVI, pp. 358-
60.

[1419] CP I 351 footnote d, quoting from Stapleton, T. Archaeologia XXVI, pp. 358-
60.

[1420] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber IV, VII, p. 221.

Lambert II, Count of Lens (died 1054) was a French nobleman.

He was the son of Eustace I, Count of Bologne and of Maud de Leuven (daughter of
Lambert I of Leuven). He married Adelaide of Normandy, Countess of Aumale,
daughter of Robert I, Duke of Normandy. Lambert was killed at the Battle of Lille.
He had a daughter, Judith of Lens and two sons, Seier of Lens and Walter of Lens.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Lambert_of_Boulogne

Fonts:
- persona: L. Gustavsson, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017
- defunció: J-P.de Palmas (Tué à la bataille de Phalempin) 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017

94.993.109d:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Histoire de la Maison d'Apremont) 21 iv 2012
- enterrament: P.Fauchère (FMG) 1.11.14
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

94.993.109e:

-5020-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t III-4 p 625 (Rethel)
Marburg 1989) 12 x 2012

94.993.110:
Fonts:
- persona: Europäische Stammtafeln/L.Orlandini, Europäische Stammtafeln - band
III-tav. 591/L.Orlandini
- defunció: F.de Bernis (geneanet Base Jmpiresechehaye) 20 v 09
- família 1: H.R.Moser/Brandenburg+EuSt
- família 2: L.Orlandini

94.993.111:
Fonts:
- persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini
- família 1, família 2: L.Orlandini

94.993.111b:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (geneanet Base Jmpiresechehaye) 20 v 09, JB.de La
Grandiere ( Europäische Stammtafeln t I-2 p. 202 (Basse-Lorraine) Klostermann
Francfort 1999) 31 iii 2013
- família: F.de Bernis (geneanet Base Jmpiresechehaye) 20 v 09

94.993.111-1a:
Fonts:
- persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini
- família: L.Orlandini

94.993.111-1a:
Figlia prediletta della Chiesa cattolica.Nel 1077 ospitò il Papa Gregorio VII a
Canossa, sugli Appennini Reggiani, nella rocca dove risiedeva. In questa occasione
il pontefice ricevette l'Imperatore Enrico IV in veste di penitente per i torti che
aveva inflitto alla Chiesa. "Andare a Canossa" è diventato un modo di dire per
indicare quando qualcuno si reca a chiedere scusa.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mathilde_de_Toscane

Fonts:
- persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini
- família 1, família 2: L.Orlandini

94.993.112:
Fonts:
- persona: Aurejac, JL.Mondanel (généalogie Louvain) 16 iii 2011
- naixement: G Grattepanche (A de carné/web)
- defunció: [w:JL.Mondanel]] (généalogie Louvain) 30 iii 2011
- família: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du
XVIIe siècle, 1998)., F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

94.993.113:
Fonts:
- persona: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats
du XVIIe siècle, 1998),JL.Mondanel (généalogie Louvain) 23 iii 2011
- família: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du
XVIIe siècle, 1998)., F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
-5021-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.993.113b:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson
- família 1: H.R.Moser ( EuSt-I.1/1544 ) 26 xii 2012
- família 2: H.R.Moser ( EuSt-I.1/144 ) 20 x 2012

94.993.114:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

94.993.115:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

94.993.140:
It was Hubert de Rie, who, in 1047, saved the life of the young Duke of Normandy—
the future Conqueror of England—when flying from the conspirators of the
Cotentin. He had made his escape by night from Valognes, without armour or
attendants, and "dared not," says Wace, "turn towards Bayeux, for he knew not
whom to trust, so he took the way which passes between Bayeux and the sea. And
as he rode through Rie before the sun rose, Hubert de Rie stood at his gate,
between the church and his castle, and saw William pass in disorder, and that his
horse was all in a sweat. 'How is it that you travel so, fair sire?' said he. 'Hubert,'
said William, 'dare I tell you?' Then Hubert said, 'Of a truth,' most surely! say on
boldly!'—'I will have no secrets with you; my enemies follow seeking me, and
menace my life. I know that they have sworn my death.' Then Hubert led him into
his hostel, and gave him his good horse, and called forth his three sons. 'Fair sons,'
said he, 'muntez! muntez! Behold your lord; conduct him till ye have lodged him in
Falaise. This way ye shall pass; it will be ill for you to touch upon any town.' So
Hubert taught them well the ways and turnings; and his sons understood all rightly,
and followed his instructions exactly. They crossed all the country, passed
Folpendant at the ford, and lodged William at Falaise. If he were in bad plight, what
matters so that he got safe?

Côté nord-ouest de l'Église Saint-Martin de Ryes


par Séraphin-Médéric Mieusement (1840–1905)

-5022-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

"Hubert remained standing on his bridge: he looked out over valley and over hill,
and listened anxiously for news, when they who were pursuing William came
spurring by. They called him on one side, and conjured him with fair words to tell if
he had seen the Bastard, and whither and by what road he was gone. And he said to
them, 'He passed this way, and is not far off; you will have him soon: but wait, I will
lead you myself, for I should like to give him the first blow. By my faith I pledge you
my word that if I find him, I will strike him the first blow if I can.' But Hubert only
led them out of the way till he had no fear for William, who was gone by another
route. So when he had talked to them enough of this thing and that, he returned
back to his hostel."
— Roman de Rou.

From Falaise, the young Duke, well out of reach of his pursuers, went to seek and
obtain the succour of the King of France, and returned to win the decisive victory of
Val-es-dunes. He never forgot the man who had done him so signal a service,[28]
and Hubert de Rie remained through life his friend and counsellor. When Edward
the Confessor, shortly before his end, sent over a messenger to Normandy,
requesting that some trustworthy envoy might go to him on the Duke's behalf, a
great council was called together by William, to consider the choice of a
representative. But the assembled nobles, one and all, hung back. They would not
undertake the embassy to England. "They remembered what had been done at
Guilford" (the massacre of the Norman companions of the son of Ethelred) "and
refused to visit the barbarous people." Then Hubert de Rie stepped forward,
volunteered to take upon himself the risk and the responsibility, and, "praised by all
and rewarded by the Duke," set forth on his mission with a great train, picked men
on splendidly trapped horses, equipped with all the pomp the Norman court could
furnish. He was well received by Edward, who presented him with some lands in
Esce (Ashe in Hampshire): and returned to Normandy with "the promise of the
kingdom, and the tokens confirming the promise:" a two-handled sword of which the
hilt enclosed the relics of certain saints, a hunter's horn of gold, and a great stag's
head.

For this second important service, the grateful Duke promised him the office of
Dapifer: but, soon after the Conquest, disturbances broke out in Cennomania which
Hubert, "prompt of hand and good at council," was sent over to quell, and we do not
hear of him again in England. He was then an old man, and must have died before
1086, as his sons only are entered in Domesday. There were four: Ralph, Hubert,
Adam, and Eudo, all of them magnificently endowed by the Conqueror.

The Battle Abbey Roll

A propos de la commune de Ryes

La commune doit son nom aux seigneurs de la famille de Ryes, contemporains de


Guillaume le Conquérant. Le seigneur de Ryes, Hubert de Ryes, est cité au milieu
XIe siècle pour avoir accueilli le duc Guillaume aux prises avec ses barons révoltés.
Il l'a ensuite sauvé en le faisant escorter par ses trois fils jusqu'à Falaise pendant
que lui-même envoyait les barons révoltés dans une autre direction.
La commune de Ryes

-5023-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
La Bataille de Val-ès-Dunes

La bataille de Val ès Dunes

Carte de la bataille

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Pedigree) 5 v 2011
- família: J-P de Palmas (Pedigree) 5 v 2011

94.993.141:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Pedigree) 5 v 2011
- família: J-P de Palmas (Pedigree) 5 v 2011

94.993.141b:
Hubert, the next brother, founded another baronial family, which proved of even
briefer duration. He held the Honour of Hingham in Norfolk, comprising thirty-five
knights' fees, and succeeded Ralph Guader as Castellan of Norwich in 1074. His
wife, Agnès de Tosny, a daughter of the first Baron of Belvoir, had been the richly-
dowered widow of one of the De Beaufoes, and brought him several other manors
in the county. "He cast his lot in closely with the church, half founded and richly
endowed the splendid cathedral of Norwich," and assumed the cross in his later
years. Both his son and his grandson, who in turn succeeded him, worthily
emulated his munificence to the church: and with the latter, another Hubert, the
line expired in 1188. This last Baron of Hingham again left two coheirs; Isabel, first
married (without the King's license) to Geoffrey de Chester, and afterwards to
Roger de Cressy; and Aliva, or Avelina, the wife of John le Mareschal. Aliva had no
children, and on her death in 1263, Isabel succeeded to her moiety of the barony.
She was then a very aged woman "of ninety and more," and yet survived till about
1270.
Un Hubert de RYE aida Guillaume le Conquérant à échapper à un complot en
Cotentin.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (The Battle Abbey Roll) 5 v 2011, F-L. Jacquier (Yvon Corfa,
GeneaNet - base "pierfit") 04-05-2005
-5024-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: J-P de Palmas (The Battle Abbey Roll) 5 v 2011, F-L. Jacquier (GeneaNet -
base "pierfit" Déméter) 04-05-2005

94.993.141c:
Adam, the third son, held considerable estates in Kent under Bishop Odo, and was
one of the compilers of Domesday Book. Little is known of him, and nothing of his
descendants, except that a Robert de Rie of Kent—presumably one of them—is
mentioned in the Pipe Roll of 1189.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (The Battle Abbey Roll) 5 v 2011

94.993.141d:
Eudo—generally styled Eudo Dapifer—the last born, was by far the ablest and most
distinguished of the four brothers. He received princely possessions, not only in
Essex, where his principal estates lay, but in Norfolk, Suffolk, Herts, Cambridge,
Berks, Bedford, Northampton, &c, with the great hereditary office of Seneschal or
Dapifer, that had been promised to his father, and then appertained to the
Conqueror's early friend, William Fitz Osbern. Dugdale gives a whimsical account
of the time and circumstances of this grant. While Eudo was "personally attending
the Court, it so hapned that that William Fitz Osberne, then Steward of the
Houshold, had set before the King the Flesh of a Crane, scarce half rosted: whereat
the King took such offence, as that he lifted up his Fist, and had struken him
fiersly, but that Eudo bore off the blow. Whereupon Fitz Osberne grew so
displeased, as that he quitted his Office, desiring that Eudo might have it. To which
request the King as well for his Father Hubert's demerits," (sic) "and his own,
readily yeilded." This must have taken place before 1074, when he witnesses a
charter of donation at Bayeux as Eudo Dapifer.

He was in attendance on his master's death-bed at Caen, and mindful of his last
wishes, hurried away to secure the succession of his son. He was the first to land in
England, and, concealing the King's death, went straight to Winchester, to demand
in his name the keys of the Treasury from the Treasurer, William de Pont de
l'Arche: thence proceeded to Dover, Hastings, Pevensey, and the other strongholds
of the south coast, and, as the King's appointed emissary, made the Castellans in
charge swear to open their gates only at his command. Having secured these
castles and harbours, he returned to Winchester, announced the Conqueror's
death, and "while the rest of the Nobles were consulting in Normandy touching the
succession" handed over the keys of the Treasury to William Rufus, who was at
once proclaimed King. Thus the new sovereign "began to reign without a hand or a
voice being raised against him." He was not ungrateful to Eudo. He confirmed him
in his office of Dapifer, and bestowed upon him the town of Colchester, partly at
the request of the townsmen, who had petitioned "that they might have this famous
Eudo to govern amongst them." For Eudo was not only a faithful servant, and an
astute and sagacious politician, but one of the very few Norman rulers that
endeared themselves to their English vassals: "he eased the oppressed, restrained
the insolent, and pleased all." Moreover, he was a great prince in all his doings and
dealings. The castle he built at Colchester could boast of the largest Keep ever
seen in England (the White Tower of London is not more than half its size), and he
founded a magnificent Abbey on the site of a wooden church then dedicated to St.
John the Evangelist. In this humble edifice "it had been observed," writes one of the
monks, "that Divine Lights sometimes appeared by night, and also the sound of
Heavenly Voices devoutly praising God (and yet no man there). And moreover,
taking notice of what had hapned to a certain man, who had been put in Fetters by
the King's command: viz. that standing in that Church at the celebration of Mass,
the Bolts of his Fetters flew out, whereby he was suddenly loosed, he" (Eudo)
"became so much transported with these Miracles, he resolved to found an Abbey

-5025-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
in that place, wherein perpetual suffrage might be made for his Soul."

He reached a good old age, and died in 1120 at the castle of Preaux in Normandy;
Henry Beauclerk standing by his bed side, and conferring with him as to the
disposal of his property. No son was left to inherit; for his wife Roesia, the
daughter of Richard Fitz Gilbert, Justiciary of England, had given him one only
daughter, Margaret. She married William de Mandeville, and her son Geoffrey,
Earl of Essex, was Steward of Normandy in her right.

Extract from The Battle Abbey roll, by the Duchess of Cleveland, London, 1889

Bibliography

 Eudo Dapifer's Honour of Walbrook, in Red Book of the Exchequer,i, 534-5

External links

 Wikipedia

Fonts:
- persona: Renaud de Paysac(Tompsett), J-P.de Palmas (La Bataille de Val-ès-Dunes
; iconographie : statue à Colchester ; FMG) 5 v 2011
- enterrament: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 x 2017
- família: Renaud de Paysac

94.993.141e:
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac
- família: T.Blanchet(Steffes Tree)

94.993.144:
Chourses ou Chourches est une mauvaise interprétation du toponyme français
Sourches, à Saint-Symphorien et à Tennie 72 (jblg)

Fonts: - persona: R. Sekulovich

94.993.148:
Fonts: - persona: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- família: C-H.Maigret (L'art de vérifier les dates) 6 ii 2012

94.993.149:
Fonts: - família: C-H.Maigret (L'art de vérifier les dates) 6 ii 2012

94.993.149b:
Fonts: - persona: C-H.Maigret (L'art de vérifier les dates) 6 ii 2012
- família: Renaud de Paysac

94.993.149c:
Succède à son oncle Enguerrand - sans postérité - pour le comté de Hesdin dont il
fut dépouillé peu de temps après.
Fonts: - persona: C-H.Maigret (L'art de vérifier les dates) 6 ii 2012
-5026-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.993.156:
Fonts: - persona: A Brabant (S.Joly) 8 vi 04
- família: A Brabant (S.Joly) 8 vi 04

94.993.157:
Fonts: - persona: A Brabant (S.Joly) 8 vi 04
- família: A Brabant (S.Joly) 8 vi 04

94.993.158:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Les vicomtes de Bourges, par Jacques Péricard, in
Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, 2008) 11 ii 2015
- família: J-P.de Palmas (Les vicomtes de Bourges, par Jacques Péricard, in Vicomtes
et vicomtés dans l'Occident médiéval, 2008) 11 ii 2015

94.993.159:
Fonts:- persona: T.Blanchet (Cavanaugh Family Tree)
- família: J-P.de Palmas (Les vicomtes de Bourges, par Jacques Péricard, in Vicomtes
et vicomtés dans l'Occident médiéval, 2008) 11 ii 2015

94.993.159a:
En 1064, toujours dans le même secteur, le vicomte Etienne ratifie la restitution
par Humbaud, Gilon de Sully et leur mère Agnès de l’église Saint-Jacques à La-
Chapelle-d’Angillon et des biens attenants. Il y consent en tant que seigneur de
cette famille (SSB, n° 72, « S. Stephani vicecomitis qui hec omnia concessit ». Dans
une clause suivant les souscriptions, il reprend cette fois-ci à son compte les
termes essentiels de la donation : « Ego Stephanus vicececomes dono atque dimitto
[…] ecclesiam Sancti Jacobi […] et omnem calumpniam remitto quam juste vel
injuste faciebam ac auctorizo et ore proprio fieri jubeo atque firmo hanc
donationem sicut Hunbaldus et Gilo frater ejus et mater eorum Agnes fecerunt Deo
et Sancto Sulpicio »).
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Jacques Péricard in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 19x2014

94.993.168:
EBBO (-after 1012). A manuscript entitled "Progenies Dolensium Principum" names
"Odo senior et Ebbo" as sons of "Radulphi Calvi"[724]. A manuscript entitled
"Généalogie de la noble et très-puissante lignée de Chauvigny" names "Raoulx,
Edes, Ebbes et Elie" as sons of "Raoulx le Chauve"[725]. [990/1012]. Philippe I
King of France confirmed donations made to Saint-Ambroix by “Gausfredus
Bituricum vicecomes et uxor illius Ildeburgis et Odo de Dolis et liberi illorum” by
charter dated 16 Oct 1102, which precedes the charter dated 1012 under which
“Gauzfredus et uxor mea Eldeburgis et filii mei Gozfredus et Madalbertus et fratres
meæ uxoris Odo et Ebbo” donated property for the soul of “patris meæ mulieris
Rodulfi” witnessed by “Rotberti regis, Dagberti archipræsulis”[726]. Seigneur de la
Châtre.
[724] Progenies Dolensium Principum, RHGF XII, p. 456.
[725] Généalogie de la noble et très-puissante lignée de Chauvigny, RHGF XII, p.
456.
[726] Prou (1908), CXLV, p. 358.
Fonts: - persona: Nicolas de Meyrignac (Bernard Imhaus) 16vii2007, J-P.de Palmas
(FMG) 5 ii 2015
- defunció: G.de Beauregard (Histoire des deux villes de Saint-Amand et Montrond /
Mallard 1895) 16 vi 2016

94.993.248:
Il est appelé "Archambaud du Montet" parce qu'il fit construire l'église de ce lieu
-5027-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
("qui ecclesiam de Monticulo construxit" et qu'il fut enterré au Montet ("qui apud
Monticulum jacet). Il est dit aussi "le Jeune" (Junior) ou "le Blanc" (Albus).
P. Fauchère 13.03.10
JB.de La Grandiere (ESS XIV p 56 -Bourbon-Marburg 1991)14 xii 2009 Un travail
de réfection des premiers degrés des sires de Bourbon est en cours sous la houlette
de Pierre Fauchère ; ce qui est indiqué actuellement ne correspond pas à une
réfection mais est un "simple état des lieux avant réfection".
Merci de signaler vos apports non sur les fiches mais sur :
http://roglo.eu/roglo_w?lang=fr;templ=xg;m=NOTES;f=Familles:Sires_de_Bourbon
(voir dans "sommaires des notes diverses" puis "familles" puis "Sires de Bourbons")
Fonts: - persona: Pierre Fauchère & JB de La Grandière suivant Max Fazy "Sires de
Bourbons" 1924/ réfection 16 xii 2009

94.993.249:
Déaurata semble bien être la traduction latine d'un clerc désignant "Bderrude"
Fonts: - persona: Pierre Fauchère & JB de La Grandière suivant Max Fazy "Sires de
Bourbons" 1924/ réfection 16 xii 2009

94.993.280:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, Jean-Marie Thiébaud
(Geneanet/basepierfit) 27 vii 2009

94.993.281:
Si nous suivons P-C Dugenne (Dictionnaire de l'Yonne, T. 2, p. 652), elle serait la
petite fille de Renard le Vieil, mais si nous suivond Miclel Bur (La formation du
comté de Champagne, p.145-146) elle en serait la fille ?
J-C de Vaugiraud 20/03/2010
ALIX de Sens . The primary source which confirms her parentage has not yet been
identified. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines refers to the wife of "comes
de Brena super Albam Engelbertus" as "comitissam Ioviniaci viduam de primo
marito"[2949]. She died before her husband, as the same passage refers to her son-
in-law inheriting Joigny after her death and subsequently building the first castle of
Joinville with the help of his father-in-law. m firstly GEOFFROY de Joigny, son of --
m secondly as his second wife, ENGELBERT [II] de Brienne, son of [ENGELBERT
[I] Comte [de Brienne] & his wife ---] (-1008 or after).
[2949] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1055, MGH SS XXIII, p. 790.
Fonts:- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, Jean-Ma rie
Thiébaud (Geneanet/basepierfit) 27 vii 2009, J-P.de Palmas (FMG) 12 xii 2015
- família 1: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, Jean-Marie Thiébaud
(Geneanet/basepierfit) 27 vii 2009
- família 2: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne,
p.145-146) ) 20/03/2010,

94.993.281a:
Reconnait la restitution de la terre de Migennes à Emme abbesse de Saint Julien
d'Auxerre.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, JB.de La
Grandiere (Saint Phalle (Edouard de) La 1ère dynastie ctes de Joigny Sté gén.de
l'Yonne Joigny 1991 p. 60/91) 1 i 2018

94.993.281c:
Nommé par le Roi Henri I, contre Mainard (frère de Daimbert, vicomte de Sene), le
candidat d'Eudes duc de Bourgogne.
Le Roi doit venir à Sens pour imposer son candidat, qui a été sacré à Paris en 1032.

-5028-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Mainard obtient en compensation l'évêché de Troyes en 1034.
J-C de Vaugiraud (Dugenne, T. 3, p. 653) 20/03/2010,

 destitué en 1049/ JB de La Grandière :Mathieu (Jean-Noël) Origine


archevêque Guy de Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de


Champagne, p.145-146) 20/03/2010,
- defunció: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne,
p.145-146) ) 20/03/2010

94.993.281-2a:
Son prénom n'est pas connu par Michel Bur. Son prénom n'est pas donné par FMG
: de Brienne, daughter of ENGELBERT [III] de Brienne & his second wife Alix de
Sens. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines refers to the only daughter of
"comes de Brena super Albam Engelbertus" & his [second] wife as wife of
"Stephano…de Vallibus"[1282]. Dudon abbé de Montiérender recalls the marriage
of "Engelbert de Brienne…une sœur vierge" and "Etienne de Joinville" in a charter
dated before 15 May 1027[1283].
[1282] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1055, MGH SS XXIII, p. 790.
[1283] Delaborde, Seigneurs de Joinville, Actes, 3, p. 241, citing 1er cart. de
Montiérender f. 35 v, and Mabillon Ann. Bened. IV, p. 712
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de
Champagne, p.145-146) ) 20/03/2010; , J-M.Thiebaud (base Rudy Nadales-Lerate)
28 i 2011, J-P.de Palmas (FMG) 15 vii 2012
- casament: C-H.Maigret (Racines et Histoire) 14 ii 2012

94.993.284:
Fonts: - persona: JB de La Grandière (Etudes sur Courtenay et Joigny d'Edouard de
Saint Phalle) 19 iii 2010

94.993.286:
GEOFFROY [II] de Gâtinais, son of HUGUES du Perche Comte de Gâtinais & his
wife Beatrix de Mâcon (-30 Apr [1043/45]). His parentage is confirmed by the
charter dated 26 May 1028 under which Francon Bishop of Paris agreed with
"Albericum illius supradicti Gosfredi filium et heredum", concerning a prior grant
by the bishop's predecessor to "Gosfrido comiti Landonensi castri", with the
approval of "fratribus ipsius Alberici, filiis Hugonis Pertice…Gosfredo et
Letoldo"[204]. A genealogy presented by Foulques IV "le Réchin" Comte d'Anjou to
the bishop of Angers in [1085], justifying the annulment of his fourth marriage with
the daughter of Gauthier Comte de Brienne, lists "ex Letaldo, Albericus natus est,
ex Alberico, Beatrix, ex Beatrice, Gosfredus de Castello Landonensi, ex Gaufrido,
Gaufridus et Fulco presens"[205]. He succeeded his half-brother as Comte de
Gâtinais, Seigneur de Château-Landon. The fact that Aubry Comte de Gâtinais and
Geoffroy [II] Comte de Gâtinais were two different individuals, the inevitable
conclusion from the two sources cited, is somewhat clouded by the Historia
Comitum Andegavorum which records that "Gaufridus Martellus…nepotibus suis"
were "filiis Adhelæ sororis suæ et Alberici comitis de Gastinais"[206], and by the
Chronicle of Saint-Maxence which names "Alberici Contracti comitis de Gastina" as
father of "Goffredus et Fulco Rechin"[207].
m ([1035]) as her first husband, ERMENGARDE d'Anjou, daughter of FOULQUES
III "Nerra" Comte d'Anjou & his second wife Hildegard [de Metz] ([1018]-murdered
church of Fleury-sur-Ouche, Côte d’Or 18 Mar 1076, bur Abbaye de Saint-Seine,
Côte d'Or). The Historiæ Andegavensis names "Goffridi de Castro Landono et
Ermengardis filia Fulconis Comitis Andegavensis" as parents of "Fulco comes
Andegavensis"[208]. She married secondly ([1048]) Robert I "le Vieux" Duke of
-5029-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Burgundy. Her second marriage is deduced from a genealogy of the Comtes
d'Anjou which names "Fulco (pater) Gosfridus et Ermengardis (mater) Gosfridus
(et) Fulco (et) Hildegardis, de altero patre, filia Roberti ducis fratris Henrici
regis"[209]. The necrology of Molesme records the death "XV Kal Apr" of "Robertus
dux Burgundie et Ermengardis uxor eius"[210]. She was murdered with her second
husband.
[204] Devaux, J. 'Etude chronologique des comtes de Gâtinais', Annales de la
Société Historique et Archéologique du Gâtinais 3 (1885), pp. 81-2, and Paris
Notre-Dame, Tome I, p. 326.
[205] Saint-Phalle 'Les comtes de Gâtinais', p. 231, citing Poupardin, R.
'Généalogies angevines', Mélanges de l'Ecole française de Rome 20 (1900), p. 208,
no. 6.
[206] Historia Comitum Andegavorum, Chroniques d'Anjou, p. 333.
[207] Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, Chroniques des Eglises d'Anjou, p.
402.
[208] Historiæ Andegavensis, RHGF X, p. 203.
[209] Halphen & Poupardin (1913), p. 247.
[210] Petit, Vol. V, p. 386.
mort en 1043 selon B.Yeurc'h (Le Lien).
Suivant les plus récentes analyses Geoffroy serait fils d'Hugues du Perche (fils du
comte de Mortagne et frère de Geoffroy vicomte de Châteaudun) troisième époux.
Note de : J-B de La Grandière - 29/8/2009

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 30 xii 2011

94.993.287:
ERMENGARDE d'Anjou, daughter of FOULQUES III "Nerra" Comte d'Anjou & his
second wife Hildegard [de Metz] ([1018]-murdered church of Fleury-sur-Ouche,
Côte d’Or 18 Mar 1076, bur Abbaye de Saint-Seine, Côte d'Or). The Historiæ
Andegavensis names "Goffridi de Castro Landono et Ermengardis filia Fulconis
Comitis Andegavensis" as parents of "Fulco comes Andegavensis"[208]. She
married secondly ([1048]) Robert I "le Vieux" Duke of Burgundy. Her second
marriage is deduced from a genealogy of the Comtes d'Anjou which names "Fulco
(pater) Gosfridus et Ermengardis (mater) Gosfridus (et) Fulco (et) Hildegardis, de
altero patre, filia Roberti ducis fratris Henrici regis"[209]. The necrology of
Molesme records the death "XV Kal Apr" of "Robertus dux Burgundie et
Ermengardis uxor eius"[210]. She was murdered with her second husband.
[208] Historiæ Andegavensis, RHGF X, p. 203.
[209] Halphen & Poupardin (1913), p. 247.
[210] Petit, Vol. V, p. 386.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III-4, T. 629) 20/03/2010
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)

94.993.287b:
Il hérite de son père du comté de Gatinais vers 1046. En 1060 il hérite de l'Anjou et
de la Touraine après la mort de son oncle Geoffroy Martel. En 1062 il récupère
Saumur que Geoffroy avait legué à sa dernière femme, Adèle. Son frère Foulques
hérite quant à lui de la Saintonge et de la seigneurie de Vihiers sous la tutelle de
Geoffroy III.
En 1062 Le duc d'Aquitaine Guy-Geoffroy enlève la Saintonge à Foulques qui est
frustré de ne conserver que Vihiers. Simultanément Geoffroy III se brouille avec le
clergé, il envahit l'Abbaye de Marmoutier près de Tours et, en 1065, il est en
conflit avec l'archevêque de Tours au sujet de l'élection de l'évêque du Mans.
Foulques organise alors le soulèvement contre son frère et s'empare de Saumur le
25 février 1067. Geoffroy III est excommunié par le Synode de Tours présidé par le
Légat du Pape. Foulques obtient l'appui des principaux seigneurs Angevins et
s'empare d'Angers le 4 avril 1067. Il fait prisonnier son frère Geoffroy.

-5030-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Suite à l'intervention du Pape, ils se réconcilient au début de l'été et vont ensemble
faire le siège d'Amboise. Ils se brouillent à nouveau au début de l'année 1068.
Foulques remporte sur Geoffroy une bataille à Brissac au début du mois d'avril
1068 et il fait à nouveau son frère prisonnier. Cette fois il le dépouille de ses
possessions et l'enferme dans un cachot à Chinon pendant vingt huit ans (jusqu'en
1094). Geoffroy en devint fou. Le Roi de France Philippe Ier et le comte Etienne de
Blois essayèrent en vain de le délivrer. Pourtant Foulques, à force de concessions,
réussit toujours à garder son frère prisonnier.
E.Polti -la Toile
Fonts: - família: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France
balade")

94.993.288:
Guichard Ier fit à l'abbaye de Cluny de nombreuses donations.
Fonts: - persona: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne),JL.Mondanel (généalogie Chabeu) 25 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Chabeu) 25 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Chabeu) 25 iii 2011
- família: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque
municipale d'Eaubonne)

94.993.289:
 JB de La Grandière 7/2/2013
Hubert Lamant confond cette Ricoarde

Elle se prénomme Adélaïde et est la mère de Ricoarde.


Fonts: - persona: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne)
- família: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque
municipale d'Eaubonne)

94.993.290:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base mcmmaurice1, 26xi2010),, JB.de La
Grandiere ( René de Beaumont (René de) Noblesse et chevalerie en Charolais-
Mâconnais" t. 2 -Bérard-, pp. 264-269 Mayenne 2012) 4 xii 2017
- família: N de Meyrignac (base mcmmaurice1, 26xi2010)

94.993.291:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base mcmmaurice1, 26xi2010), JB.de La
Grandiere ( René de Beaumont (René de) Noblesse et chevalerie en Charolais-
Mâconnais" t. 2 -Bérard-, pp. 264-269 Mayenne 2012) 4 xii 2017
- família 1: N de Meyrignac (base mcmmaurice1, 26xi2010)

94.993.312:
En 1002, à la mort du duc de Bourgogne Eudes Henri, (frère de Hugues Capet),
Landry, comte de Nevers, annexe Auxerre. "Le roi Robert le Pieux (héritier de son
oncle), ayant assiégé et pris la ville d'Auxerre, fit un traité en 1005 avec Landry,
comte de Nevers, qui le reconnut comme duc de Bourgogne et accorda leurs
enfants, donnant à Avoie (Hadvig, Advisa) ou Alaïs comme dot le comté d'Auxerre
qu'il venait de conquérir." J-C de Vaugiraud (P. Van Kerrebrouck: Les Capétiens p
58) 27/08/2008
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P. Van Kerrebrouck: Les Capétiens p 58)
27/08/2008
- defunció: O. Guionneau (P. van Kerrebrouck "les Capétiens"2000)
- casament: E.Polti (d'après le message du 7/3/2003, F.BBriès wikipédia 12/07/11
-5031-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'O.Guionneau qui cite "P. van Kerrebrouck "Les Capétiens" 2000")
- família: H.R.Moser/Eust-III.4/716

94.993.313:
Fonts: - persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry),JL.Mondanel
(généalogie capétienne) 22 iii 2011
- defunció: E.Polti (d'après le message du 7/3/2003 d'O.Guionneau qui cite "P. van
Kerrebrouck "Les Capétiens" 2000")
- casament: E.Polti (d'après le message du 7/3/2003, F.BBriès wikipédia 12/07/11
d'O.Guionneau qui cite "P. van Kerrebrouck "Les Capétiens" 2000")
- família: H.R.Moser/Eust-III.4/716

94.993.313c:
Guy de Nevers, seigneur de Nouatre, fils de Renaud Ier, comte de Nevers et
d'Avoie de France. En 1066, à la mort de son cousin Foulques l'Oison, comte de
Vendôme, il assura la tutelle du nouveau comte, Bouchard III le jeune, jusqu'en
1075. Il meurt en 1084, léguant ses biens à Bouchard III. Ce document provient de
« http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_de_Nouatre ».
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) ix 2010

94.993.314:
RAINARD de Tonnerre ([980/90]-after 16 Jul 1039). “Milo comes Tornodorensis
castri” donated property to the monastery of Saint-Michel, with the consent of
“coniugis mee Ermengarde et…filiorum meorum Achardi, Rainardi et Alberici”, by
charter dated to [992/1005][3260]. "Milo comes… Achardus, Odo, Raynardus"
witnessed the charter dated to [992] under which “Umbertus…et mee
conjugis…Giberge” donated property "in villa…Curtis-Secreta…in comitatu
Tornodorense" to Saint-Michel de Tonnerre[3261]. It is possible that the last three
names in the list refer to the children of Milo [IV] Comte de Tonnerre. Comte de
Tonnerre. "Raynardus comes Tornodorensis pagi et mater mea Ermengardis
comitissa" donated "alodum nostrum…Cappam" to Saint-Michel by charter dated
1002, signed by "Odonis vicecomitis…"[3262]. "Leotgarda comitissa…ac filii mei
Rogerii" donated "terram…in villa…Jassant" to Saint-Michel by charter dated to
[1005], signed by "Rogerius comes, Richardus, Rainardus comes, Alberic,
Erembertus vicecomes, Milo…"[3263]. “Rainaldus comes” donated property to the
monastery of Saint-Michel, for the soul of “filii mei Othonis” buried in the
monastery and “uxore mea Herviz…filio nostro Arduyno ac filia Ermengarda”, by
charter dated Jul 1036, subscribed by “…Raynaldi comitis, Willelmi comitis filius
eius”[3264]. “Raynardus comes” donated property to the monastery of Saint-Michel
(on his deathbed), with the consent of “uxoris mee Herviz et filii mei Harduini sive
filie mee Ermengarde”, by charter dated 16 Jul 1039 which also names “mater mea
Ermengardis”[3265].
m (after 1002) HELVIS, daughter of --- (-after 16 Jul 1039). “Rainaldus comes”
donated property to the monastery of Saint-Michel, for the soul of “filii mei
Othonis” buried in the monastery and “uxore mea Herviz…filio nostro Arduyno ac
filia Ermengarda”, by charter dated Jul 1036[3266]. “Raynardus comes” donated
property to the monastery of Saint-Michel (on his deathbed), with the consent of
“uxoris mee Herviz et filii mei Harduini sive filie mee Ermengarde”, by charter
dated 16 Jul 1039 which also names “mater mea Ermengardis”[3267].
Rainard & his wife had three children.
[3260] Yonne, Tome I, XXCI, p. 156.
[3261] Yonne, Tome I, XXC, p. 154.
[3262] Petit, Vol. II, 686, p. 428.
[3263] Petit, Vol. II, 687, p. 430.
[3264] Yonne, Tome I, XC, p. 171.
[3265] Yonne, Tome I, XCII, p. 177.
[3266] Yonne, Tome I, XC, p. 171.

-5032-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[3267] Yonne, Tome I, XCII, p. 177.
J.N. Mathieu suppose que Renaud Ier et Miles V ne sont qu'une seule et même
personne, et il considère que le nom d'Azeko n'est qu'une forme hypocoristique
d'Helvis. Pour audacieuse qu'elle soit, cette hypothèse mérite attention.
Jean-Pierre de Palmas citant : La très belle page de Pierre Le Clercq - 4 ii 2013

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P.


1779-1780) 3 ii 2013, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 12 xii 2015
- família: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779-
1780) 3 ii 2013

94.993.315:
Fonts:- persona: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P.
1779-1780) 3 ii 2013
- família: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779-
1780) 3 ii 2013

94.993.315a:
OTTO de Tonnerre (-before Jul 1036, bur Tonnerre Saint-Michel). “Rainaldus
comes” donated property to the monastery of Saint-Michel, for the soul of “filii mei
Othonis” buried in the monastery and “uxore mea Herviz…filio nostro Arduyno ac
filia Ermengarda”, by charter dated Jul 1036[3268]. Otto is shown in Europäische
Stammtafeln[3269] as having three possible sons, Robert, Wido and Renaud, all
“puer” 1036. This is based on the charter of “Rainaldus comes” dated Jul 1036 (see
above). The full list of subscribers to this document is: “Rainaldi comitis, Arduini,
Erviz matris eius, Ermengardæ sororis eius, Ervei, Widonis, Hugonis, Barnuynis,
Wydonis, Emelini, Iterii, Widrici, Rotberti clerici, Hugonis, Rodulfi, Attonis,
Raynaldi, Rotberti pueri, Widonis pueri, Raynardi pueri, Richardi, Otmundi, Attoni,
Joffredi, Otmundi, Aymonis, Millonis clerici, Raynaldi comitis, Willelmi comitis filii
eius”[3270]. None of the names has been identified apart from Comte Renaud and
his immediate family, and the last two. The names of the three “pueri” have no
special priority in the order of the list and it seems pure speculation to suggest that
they may have been the sons of Otto, deceased son of Renaud.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P.
1779-1780) 3 ii 2013, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 12 xii 2015

94.993.315c:
HARDOUIN de Tonnerre (-29 Sep 1065). “Rainaldus comes” donated property to
the monastery of Saint-Michel, for the soul of “filii mei Othonis” buried in the
monastery and “uxore mea Herviz…filio nostro Arduyno ac filia Ermengarda”, by
charter dated Jul 1036[3271]. “Raynardus comes” donated property to the
monastery of Saint-Michel (on his deathbed), with the consent of “uxoris mee
Herviz et filii mei Harduini sive filie mee Ermengarde”, by charter dated 16 Jul
1039 which also names “mater mea Ermengardis”[3272]. Archdeacon at Noyon
until 1050. Bishop of Langres 1050.
"Hardoin de Tonnerre, évêque de Langres, procède à la dédicace solennelle de
l'église Notre-Dame de Sexfontalne (ibid). Peu après 1058"
Chartes et documents de Saint-Bénigne de Dijon, P. 45, 119 et 252.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P.
1779-1780) 3 ii 2013, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 12 xii 2015

94.993.344:
AMAURY de Montfort (-after Apr 1052). An apparently incomplete fragmentary
passage of the mid-12th century continuation of the Historia of Monk Aimon
records that, during the reign of Robert II King of France, [name omitted] was
granted “Benia” taken from “dominio Sancti Germani”, fortified "Sparnonem et
Montifortem", married "de Novigento dominam" by whom he fathered "unum

-5033-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
filiumAlmaricum", who in turn was father of "duos filiosSimonem et Almaricum",
Simon being the father of “Almaricum de Monteforti et Bertrandam comitissam
Andegavensem”[442]. “Comes Ivo de Bello monte, Ebo miles, Guarinus miles
Parisius, Almaricus miles de Monteforte” witnessed the charter dated 1022 under
which Robert II King of France confirmed the possessions of the abbey of Saint-
Mesmin de Micy[443]. “…Almarici de Monteforti…” witnessed the charter dated
1028 under which Robert II King of France confirmed the possessions of the abbey
of Saint-Mesmin de Micy[444]. Robert II King of France confirmed the donation of
"Manasses comes" to Chartres Notre-Dame by charter dated 4 Feb 1031, signed by
"…Manasses comitis, Hilduini comitis fratris eius, filorum eius Manassis et
Hilduini, Burcardo de Montemorenciaco, Evrardi filii Hilduini de Britoglio, Amalrici
de Monteforti, Milonis de Caprosa…"[445]. He began the building of the castle of
Montfort l'Amaury, which was finished by his son[446]. Orderic Vitalis records that
Henri I King of France visited Fécamp, dated to [1032], on the advice of "Amalrici
senioris de Monte-Forti, filii Guillelmi Hanoensis"[447]. "Ivo de Curba villa"
dedicated "ecclesiæ Sanctorum Martyrum Gervasii et Protasii Cheonis" by charter
dated to [1048/61], witnessed by “Amalricus de Sparnoto, Simon et Mainerius filii
eius”[448]. "Amalricus miles" founded the priory of Saint-Thomas d’Epernon, with
the consent of "conjugis mee…Bertredis…et filiorum meorum…Simonis…atque
Mainerii", by charter dated [11 Apr 1052/Jul 1053][449].
m BERTRADE, daughter of --- (-after Apr 1052). "Amalricus miles" founded the
priory of Saint-Thomas d’Epernon, with the consent of "conjugis
mee…Bertredis…et filiorum meorum…Simonis…atque Mainerii", by charter dated
[11 Apr 1052/Jul 1053][450]. Amaury & his wife had [three] children.
[442] Ex continuatione Historiæ Aimoni Monachi Floriacensis, RHGF XI, p. 275.
[443] RHGF X, p. 605.
[444] RHGF X, p. 617.
[445] Chartres Notre-Dame, Tome I, XIII, p. 87.
[446] CP VII Appendix D, p. 708.
[447] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VII, XIV, p. 223.
[448] Lecesne, H. (ed.) (1874) Cartulaire de Marmoutier pour le Dunois
("Marmoutier-Dunois") CIX, p. 100.
[449] Moutié, A. & Dion, A. de (eds.) (1878) Cartulaires de Saint-Thomas d’Epernon
et de Notre-Dame de Maintenon, prieurés dépendant de l’abbaye de Marmoutier
(Rambouillet) ("Epernon Saint-Thomas"), I, p. 1.
[450] Epernon Saint-Thomas I, p. 1
Pour Detlev Schwennicke (Europäische stammtafeln, tome III/4, Tafel 642),
Amaury est le premier connu de sa famille ! Il ne parle pas de son rattachement
antérieur ? Note : J-C de Vaugiraud - 01/11/2009

Montfort-l'Amaury took its name from Amaury, or Amalric (d. c. 1053), the builder
of the castle there, whose father had been invested with the lordship by Hugh
Capet. Source : B.Yeurc'h ( "Encyclopædia Britannica" )
Fonts: - persona: F-L. Jacquier ( Guy Bastin : http://gw.geneanet.org/nobily ), J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xii 2015, C.Faucherand (ajout titre 2) 19 v 2016
- defunció: B.Yeurc'h (ENCYCLOPÆDIA BRITANNICA)
- família: F-L. Jacquier ( Guy Bastin : http://gw.geneanet.org/nobily ), J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 10 xii 2015

94.993.345:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier ( Guy Bastin : http://gw.geneanet.org/nobily )
- família: F-L. Jacquier ( Guy Bastin : http://gw.geneanet.org/nobily ), J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 10 xii 2015

94.993.345b:
MAINIER de Montfort, son of AMAURY [I] Seigneur de Montfort & his wife

-5034-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Bertrade --- (-before 1091). "Ivo de Curba villa" dedicated "ecclesiæ Sanctorum
Martyrum Gervasii et Protasii Cheonis" by charter dated to [1048/61], witnessed by
“Amalricus de Sparnoto, Simon et Mainerius filii eius”[3063]. "Amalricus miles"
founded the priory of Saint-Thomas d’Epernon, with the consent of "conjugis
mee…Bertredis…et filiorum meorum…Simonis…atque Mainerii", by charter dated
[11 Apr 1052/Jul 1053][3064]. “Mainerus de Sparr[n]one” subscribed the charter
dated 29 May 1067 under which Philippe I King of France confirmed the
possessions of Paris Saint-Martin-des-Champs[3065]. "Mainerium, fratrem Symonis
de Monte Forti" donated property, with the consent of "Simone fratre eius
comiteque Belli Montis Ivonis", by charter dated to before 1091, which also names
"domnus Simon, filio suo Amalrico"[3066]. "Mainerius" granted free passage at
Saint-Piat to the monks of Chartres Saint-Père, with the consent of "conjuge sua
Elysabeth, filiisque suis Amalrico et Willelmo", by undated charter[3067]. Seigneur
d'Epernon.
m ELISABETH, daughter of ---. "Mainerius" granted free passage at Saint-Piat to
the monks of Chartres Saint-Père, with the consent of "conjuge sua Elysabeth,
filiisque suis Amalrico et Willelmo", by undated charter[3068].
Mainier & his wife had two children.
[3063] Marmoutier-Dunois CIX, p. 100.
[3064] Epernon Saint-Thomas, I, p. 1.
[3065] Paris St Martin-des-Champs, Vol. I, 12, p. 29.
[3066] Chartres Saint-Père I, Liber Octavus, Cap. X, p. 235.
[3067] Chartres Saint-Père, Tome II, LV, p. 308.
[3068] Chartres Saint-Père, Tome II, LV, p. 308.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009, J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xii 2015
- família: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009

94.993.345c:
Pourrait-être fille de Amaury de Montfort et de Bertrade de Gommetz ?
J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009
[EVA (-23 Jan 1099, bur Bec abbey). Her possible affiliation is explained in the
Complete Peerage[453]. The Chronicon Beccensis Abbatiæ records that "tempore
S. Anselmi abbatis Becci tres matronæ nobiles…Basilia uxor Hugonis de Gornaco,
et Amfrida neptis ipsius Basiliæ, et Eva uxor Guillelmi Crispini" entered Bec and
lived at the abbey, adding that they died on three consecutive Sundays "Amfrida
Basiliæ neptisminorætate, virgo…IV Non Jan, qua sepulta…Basilia domina
eius…XVII Kal Feb…tertia Eva…X Kal Febpost mortemviri sui Guillermi
CrispiniBeccique usque ad finem vitæperseuerauit"[454]. Gurney dates the
passage to [1099/1100][455].
m GUILLAUME Crispin, son of GILBERT [I] Crispin & his wife Gunnora --- (-Bec 8
Jan 1074).]
[453] CP VII Appendix D, pp. 708-10 footnote j.
[454] Chronicon Beccensis Abbatiæ (1648), p. 5.
[455] Gurney (1845), p. 52.
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Guy Bastin, Nobily) http://users.skynet.be/nobily/, J-
P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 9 xii 2015
- família: J-P.de Palmas (Anselme, p.632) 4 v 2012

94.993.346:
Richard d'Évreux († 1067), fut comte d'Évreux de 1037 à 1067. Il était fils de
Robert le Danois, archevêque de Rouen et comte d'Évreux, et d'Herlève.

Biographie
Il apparaît en 1026 lorsque son père lui donne le domaine de Douvrend, indûment
retiré des biens de l'archidiocèse de Rouen. Il succède à son père en 1037. Le duc
de Normandie Robert le Magnifique étant mort peu avant, sa disparition provoqua
-5035-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
une déchirure du duché de Normandie à cause de sa succession, et certains
seigneurs refusèrent de reconnaître Guillaume le Bâtard (plus tard le Conquérant),
le fils illégitime du duc. En 1040, Raoul de Gacé, frère de Richard, fut l'instigateur
du meurtre de son cousin, Gilbert de Brionne, tuteur du jeune duc, et prit sa place
comme tuteur. Les deux frères profitèrent de leur position dominante dans le
duché pour accroître leurs biens, défaire le clan des Tosny et se partager les
dépouilles de leurs ennemis vaincus. Richard épousa ainsi la veuve de Roger Ier de
Tosny. Quand le duc Guillaume prit en main les destinés du duché, Richard, qui
semble avoir eu un rôle modeste dans les luttes de pouvoir, conserva les faveurs du
duc. Il fonda par la suite l'abbaye Saint-Sauveur d'Évreux, et fut présent à
l'assemblée des barons normands qui décida de la conquête de l'Angleterre. Trop
âgé, il ne participa à l'expédition, mais en finança une partie, envoya quatre-vingts
navires ainsi que son fils Guillaume qui participa à la bataille d'Hastings. Il meurt
le 13 décembre 1067 et fut inhumé à l'abbaye de Fontenelle.
Mariage et enfants
Il avait épousé après 1040 Godehilde, veuve de Roger Ier de Tosny. De ce mariage
naquirent :

 Guillaume († 1118), comte d'Évreux


 Agnès, mariée à Simon Ier († 1087), seigneur de Montfort
 Godehilde, nonne à Saint-Sauveur d'Évreux

Sources Foundation for Medieval Genealogy : Count of Evreux

 Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-XIe siècles), Caen, Presses


Universitaires de Caen, 2004, 474 p. (ISBN 2-84133-145-8)

Fonts: - persona: J-P de Palmas (La première Normandie (Xe-XIe siècles), Caen,
Presses Universitaires de Caen, 2004)
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

94.993.347:
Selon la Foundation for Medieval Genealogy, la fille de comte de Barcelone
(prénommée Adelaida dans les Europäische Stammtaffeln et Stephania par la
Chronicon S Petri Vivi Senonensi) et Godechilde sont deux personnes distinctes,
épouses de deux seigneurs homonymes et proches parents (S. Jahan 4 x 2015)

GODECHILDIS, widow of ROGER [II] de Conches [Tosny], daughter of ---.


Guillaume de Jumièges records the marriage of the widow of "Roger du Ternois"
and "Richard comte d'Evreux et fils de Robert l'archevêque"[1844]. The Miracles of
Sainte-Foy recount her being cured of a serious illness by miracle, when she was
still married to her first husband[1845]. Henry I King of England confirmed the
foundation of Conches by "Rogerius senior de Toenio et filius eius Radulphus senex
et Radulphus juvenis filius prædicti Radulphi senis et Rogerius filius Radulphi
juvenis", quoting the donation by "Godehildis comitissa Ebroicæ civitatis, quondam
uxor Rogerii de Totteneio" with the consent of "seniore meo comite Richardo",
dated to [1130][1846]. "Richardus, archipræsulis Roberti filius…et uxor mea
Godehyldis" founded Saint-Sauveur d´Evreux, in which "Godehylde filia mea"
became a nun, by undated charter[1847]. Comte Richard & his wife had three
children.
References
[1844] WJ VII.3, p. 171.
[1845] Liber Miraculorum sancte Fidis, ed. A. Bouillet (Paris, 1897), pp. 144-5,
quoted and trans. by Houts, E. van (ed. and trans.) (2000) The Normans in Europe

-5036-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(Manchester University Press), p. 214.
[1846] Gallia Christiana, XI, Instrumenta, V, col. 128.
[1847] Neustria Pia, p. 592
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2015
- família 2: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

94.993.347a:
GUILLAUME "Crespin" d'Evreux (-18 or 20 Apr 1118, bur Fontenelle, monastery of
Saint-Wandrille[1848]). Guillaume de Jumièges names Guillaume as son of "Richard
comte d'Evreux et fils de Robert l'archevêque" & his wife[1849]. The Brevis Relatio
de Origine Willelmi Conquestoris records that "Willelmo comite Deurons"
contributed 80 ships towards the invasion of England in 1066[1850]. Comte
d'Evreux. He was taken prisoner during the siege of the castle of Sainte-Suzanne in
1085[1851]. He and his wife were exiled from Normandy to Anjou in 1112 by
Henry I King of England who restored the county to them in late Feb 1113[1852].
Henry II King of England confirmed the property of the abbey of Saint-Martin de
Troarn, including donations by "…Willelmi comitis Ebroicensis et Helewisie uxoris
sue…", by charter dated to [1155/57][1853]. He was "struck down by apoplexy"
and, after his death without children, King Henry "took the county of Evreux into
his own hands" because the count's nephew Amaury de Montfort "had forfeited the
king's favour by his effrontery"[1854]. The necrology of the monastery of Ouche
records the death "18 Apr" of "Willelmus comes Ebroicensis"[1855]. The necrology
of the church of Evreux records the death "20 Apr" of "Willelmus comes
Ebroicensis"[1856].
m HELVISE de Nevers, daughter of GUILLAUME I Comte de Nevers & his first
wife Ermengarde Ctss de Tonnerre (-[Feb 1113/18 Apr 1118], bur Noyon[1857]).
She, her father and her husband are named by Orderic Vitalis, who says she was
"clever and persuasive, but cruel and grasping", and recounts her anger towards
"Isabel de Conches" which led to a bitter war with the latter's husband Raoul de
Tosny[1858]. "Willelmi comitis Ebroicensis, Helvisse comitisse" donated property
to the abbey of Saint-Martin, Troarn by charter dated to [1100/14][1859]. Henry II
King of England confirmed the property of the abbey of Saint-Martin de Troarn,
including donations by "…Willelmi comitis Ebroicensis et Helewisie uxoris sue…",
by charter dated to [1155/57][1860]. References
[1848] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 149, and Book XII, p. 189.
[1849] WJ VII.3, p. 171.
[1850] Brevis Relatio de Origine Willelmi Conquestoris, p. 22.
[1851] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VII, p. 51.
[1852] Greenway, D. (2002) Henry of Huntingdon: The History of the English
People 1000-1154 (Oxford University Press), II, 28, p. 53, and Orderic Vitalis, Vol.
VI, Book XI, p. 181.
[1853] Actes Henri II, Tome I, XXVIII, p. 123.
[1854] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 149.
[1855] RHGF XXIII, Ex Uticensis monasterii necrologio, p. 486.
[1856] RHGF XXIII, Ex Obituario ecclesiæ Ebroicensis, p. 462.
[1857] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 149, which gives not date but specifies
that Helvise died shortly before her husband.
[1858] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 213, and Vol. VI, Book XI, pp. 147-9.
[1859] Round (1899) 478, p. 169.
[1860] Actes Henri II, Tome I, XXVIII, p. 123.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

94.993.347c:
GODECHILDE d'Evreux . "Richardus, archipræsulis Roberti filius…et uxor mea
Godehyldis" founded Saint-Sauveur d´Evreux, in which "Godehylde filia mea"

-5037-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
became a nun, by undated charter[1863]. Nun at Evreux.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

94.993.347-1b:
En 1067, c'est Raoul, fils du précédent, qui, après s'être arrêté à Conques (en
Rouergue)
au retour du Pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle, donne son nom à la cité
de Conches.
Membre de la famille de Tosny, Raoul1 II de Tosny ou Raoul II de Conches (av.
1040-1102) est l'un des grands barons anglo-normands du règne de Guillaume le
Conquérant, il participa à la conquête normande de l'Angleterre.
Le porte-étendard du duc de Normandie
Vers 1040, quand son père Roger Ier et ses deux frères meurent au combat, Raoul
est probablement encore mineur. Sa mère signe en effet les actes avec lui jusqu'en
1050. Il doit donc être un peu plus jeune que le duc Guillaume le Bâtard. En 1054,
deux armées franco-angevine envahissent la Normandie. L'une d'entre elles est
battue à la bataille de Mortemer. Guillaume le Bâtard, heureux de cette nouvelle,
charge son porte-étendard Raoul II de Tosny d'annoncer l'événement à l'autre
armée ennemie. Au sommet d'une butte, le héraut ducal proclame la défaite de
Mortemer à l'armée franco-angevine. À cette annonce, les deux chefs de
l'expédition, Henri Ier de France et de Geoffroy II d'Anjou rebroussent chemin.
Vers 1061, le duc Guillaume exile Raoul ainsi que d'autres barons tels Arnaud
d'Échauffour et Hugues de Grandmesnil. Selon Orderic Vital, il semble que la
décision ducale soit motivée par les troubles que causaient ces seigneurs à leur
voisins. Influent à la cour, le couple Roger II de Montgommery et Mabile de
Bellême aurait incité le duc à exiler certains des rebelles2.Ils sont toutefois
rappelés peu après, vers 1063, en prévision d'une campagne contre le Maine.
Raoul II et l'Angleterre
Bien qu'étant un des premiers barons de Normandie, Raoul II ne fournit pas de
navires pour la conquête de l'Angleterre. Autre paradoxe, s'il participe à la bataille
de Hastings, il est peu récompensé de son service par le duc. En effet, il reçoit des
domaines modestes outre-Manche, dans six comtés différents (Berkshire,
Hertfordshire, Herefordshire, Gloucestershire, Worcestershire et Norfolk).
L'historienne Judith A. Green établit même qu'il est le plus maigrement doté des
principaux conseillers de Guillaume le Conquérant3.
Le pouvoir des Tosny siège en Angleterre à Flamstead4. Guillaume FitzOsbern, le
beau-frère de Raoul, lui confie le nouveau château de Clifford (Herefordshire). Il
compte sûrement sur l'expérience militaire du seigneur de Tosny pour défendre ce
secteur de la frontière anglo-galloise5. Grâce à sa nouvelle fortune, Raoul de Tosny
effectue plusieurs donations à l'abbaye familiale de Conches, en Normandie mais
en concédant des biens anglais et non plus normands.
Les querelles avec ses voisins normands
Musset constate que, tout au long de sa vie, Raoul « fait la guerre à tous ses voisins
notables sans exception et sans nul bénéfice réel. C'est un assez bel exemple des
agitations stériles où vont se perdre maintenant l'essentiel des forces de
l'aristocratie normande » 6. Cette agitation apparaît bien en lumière à la fin du
règne de Guillaume le Conquérant et surtout après sa mort. En 1078, Raoul
soutient Robert Courteheuse dans sa révolte contre son père Guillaume le
Conquérant. Ils fuient ensemble la Normandie. Les terres de Raoul, Conches et
Tosny notamment, sont saisies. La réconciliation entre le duc-roi et son fils permet
sûrement à Raoul de retrouver ses domaines. En 1087, meurt Guillaume le
Conquérant. Comme d'autres barons, Raoul de Tosny en profite pour élever
plusieurs châteaux et donner libre cours à ses penchants guerriers. En 1090, sous
la pression de sa femme, Isabelle de Montfort, le baron entre en guerre avec son
voisin et demi-frère Guillaume, comte d'Évreux7. À plusieurs reprises, pendant trois
ans, le territoire de Conches est ravagé. Finalement, la paix est conclue après la
capture par Raoul du neveu du comte d'Évreux, Guillaume de Breteuil. Mieux
qu'une paix, c'est une alliance puisqu'en 1100, les deux anciens ennemis partent
-5038-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
ensemble piller le territoire de Beaumont-le-Roger pour nuire à leur voisin Robert
Ier de Meulan8. Dans le conflit qui oppose les fils de Guillaume le Conquérant
après 1087, Raoul prend d'abord parti pour l'aîné, Robert Courteheuse, duc de
Normandie. Ensemble, ils partent châtier Roger II de Montgommery en 1088. Mais
quand vers 1190, Raoul se retrouve aux prises avec le comte d'Évreux, Guillaume,
Robert Courteheuse n'intervient pas. Déçu, le seigneur de Conches appelle alors à
l'aide le roi d'Angleterre Guillaume le Roux, qui répond à son appel, content de
trouver un nouvel allié dans le duché. En 1102, après une longue carrière, Raoul II
meurt et son fils Raoul III lui succède.
Famille et descendance
Femme : Élisabeth (ou Isabelle) de Montfort, fille de Simon Ier de Montfort. À la
suite de ce mariage, Simon donne à son gendre la châtellenie de Nogent-le-Roi, en
dehors du duché de Normandie 9.
Enfants :

 Raoul III de Tosny


 Roger II dit le Jeune, héritier de son père et aussi de Guillaume, comte
d'Évreux et de Guillaume de Breteuil mais mort trop tôt pour recueillir cet
héritage 10
 Godehilde mariée à Baudouin de Boulogne, futur roi de Jérusalem

Liens externes Famille de Tosny


Références

1. Ralph en anglais.
2. Orderic Vital, Histoire de Normandie, Tome II, éd. Guizot, p.75-76
3. Judith A. Green a réparti dans quatre classes les principaux conseillers de
Guillaume le Conquérant selon l'importance des terres possédées en
Angleterre. Raoul II de Tosny est le seul à entrer dans la dernière : la
classe D. Judith A. Green, The aristocracy of Norman England, Cambridge
University Press, 2003, p.28.
4. Abstraction faite des branches collatérales basées à Stafford et Belvoir
5. Lucien Musset, « Aux origines d'une classe dirigeante : les Tosny, grands
barons normands du Xe au XIIe siècle », Sonderdruck aus Francia
Forschungen zur westeuropäischen Geschichte, Munich, 1978, p.59
6. Musset, ibid, p.62
7. Orderic Vital, Histoire de Normandie, Tome III, éd. Guizot, p.302-307
8. Orderic Vital, Histoire de Normandie, Tome IV, éd. Guizot, p.102
9. A. Rhein, la seigneurie de Montfort-en-Iveline depuis son origine jusqu'à
son union avec le duché de Bretagne, Versailles, Aubert, p.32-33
10. ↑ Pierre Bauduin, la Première Normandie, Xe-XIe siècle, Presses
Universitaires de Caen, 2002, p.336

banner-bearer of the Normans, but excused from his duty to be able to fight at
Hastings.
Fonts: - persona: Renaud de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III.4, J-P de Palmas
(wikipedia) 2ii2011
- família: Renaud de Paysac, G.de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III.4

94.993.347-1c:
Probably so-named (Stafford) for being governor of Stafford Castle. Founded priory
at Stone, Staffs to atone murder of two nuns and a priest by Enysam of Waltone, a
companion of the Conqueror
Fonts: - persona: Renaud de Paysac
- família: Renaud de Paysac
-5039-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.993.364:
Accompagne Guillaume le conquérant à la conquête de l'Angleterre.hv
His notice on Foundation for Medieval Genealogy
RALPH (before 1040-on crusade after 1096). The Chronicon Centulense records a
charter under which King William I confirmed donations to Saint-Riquier made by
"le comte Raoul et Raoul son fils"[733]. King William I created him Earl of Norfolk
in 1070[734]. Florence of Worcester records that "Herefordensis comes Rogerus
filius Willelmi…East-Anglorum comiti Radulfo" conspired against King William in
[1074][735]. The Anglo-Saxon Chronicle records that he escaped to Denmark in
search of help, returning with 200 ships under Knud, son of King Svend, and Jarl
Hakon but that they left for Flanders before joining battle[736]. Orderic Vitalis
records that he was deprived of all his lands and his earldom in England and
eventually retired to Brittany, where he was Seigneur de Gaël[737]. Florence of
Worcester records that he and his wife accompanied Robert Duke of Normandy on
the First Crusade, in the course of which they both died[738].
m (Exning, Cambridgeshire 1075) EMMA of Hereford, daughter of WILLIAM
FitzOsbern Earl of Hereford & his first wife Adelisa de Tosny (-after 1096). Orderic
Vitalis says that Ralph de Gaël was a son-in-law of William FitzOsbern but does not
name his wife[739]. Florence of Worcester records that her brother "Herefordensis
comes Rogerus filius Willelmi" arranged her marriage to "East-Anglorum comiti
Radulfo" against the wishes of King William in [1074][740]. She held her husband's
castle during his rebellion in 1075, but was given safe conduct to leave
England[741]. Florence of Worcester records that Ralph and his wife accompanied
Robert Duke of Normandy on the First Crusade, in the course of which they both
died[742]. Earl Ralph & his wife had three children.
[733] Saint-Riquier, IV, XXIV, p. 255.
[734] CP IX 573 and Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 265.
[735] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, p. 10.
[736] Anglo-Saxon Chronicle D, 1076 [1075], and E, 1076 [1075].
[737] CP IX 574 and Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 319.
[738] Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 319.
[739] Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 265.
[740] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, p. 10.
[741] Anglo-Saxon Chronicle D, 1076 [1075], and E, 1076 [1075].
[742] Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 319.
Notice on wikipedia (en)
Ralph de Gael (otherwise Ralph de Guader, Radulf Waders or Ralph Wader) (before
1042 - c. 1096) was the Earl of East Anglia (Norfolk and Suffolk) and Lord of Gaël
and Montfort (Seigneur de Gaël et Montfort). He was the leading figure in the
Revolt of the Earls, the last serious revolt against William the Conqueror
Birth
Ralph was born before 1042, most probably about 1040 in Hereford, as not later
than 1060 he attested, in company with other Bretons, a notification at Angers as
son of Ralph the Staller.
Inheritances
He inherited the great Breton barony of Gaël, which comprised more than forty
parishes. In England, whether by inheritance or by grant from the Crown, he held
large estates in Norfolk, as well as property in Suffolk, Essex, Hertford, and
possibly other counties. In some of these estates he certainly succeeded his father,
but it is not known whether he obtained the Earldom immediately on his father’s
death.
Up to 1074
In 1065 he was with Conan II, Duke of Brittany when he besieged Thiwallon, Lord
of Dol, in the castle of Combour.In 1066 he fought on the Norman side at the Battle
of Hastings. In February or March 1068 he was present at William the Conqueror’s
court with his father. In 1069 he routed a force of Norsemen which had invaded
Norfolk and occupied Norwich. It may been in recognition of this exploit (or of
services rendered at Hastings) that the Conqueror created him Earl of Norfolk and
Suffolk, or the East Angles, the Earldom being also styled, from its capital, of
-5040-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Norwich. It is presumably this Ralph who, on 13 April 1069 was with the King at
Winchester and witnessed, as Earl Ralph, a diploma in favour of St.Denis of Paris
and in the same year witnessed, as Earl Ralph, a grant in favour of the Bishop of
Essex. 1074- It is possible that Ralph defended Dol when the Conqueror besieged it
unsuccessfully in 1074. Ralph built a church in Norwich, in the new town, and give
it to his chaplains; but there is no record of religious benefactions by him in
Brittany.
Marriage and revolt
Main article: Revolt of the Earls
He married, in or before 1075, Emma, daughter of William FitzOsbern, 1st Earl of
Hereford and Alice or Adelise (or Adelissa), daughter of Roger I of Tosny. Their
offspring were:

1. William de Gael
2. Raul de Gael
3. Alain de Gael

In 1075 the king's refusal to sanction this marriage caused a revolt in his absence
by Ralph, his new brother-in-law Roger de Breteuil, 2nd Earl of Hereford and
Waltheof, 1st Earl of Northumberland. The revolt was plagued by disaster.
Waltheof lost heart and confessed the conspiracy to Lanfranc, the Archbishop of
Canterbury, who urged Earl Roger to return to his allegiance, and finally
excommunicated him and his adherents- Waltheof was later executed by William.
Ralph encountered a much superior force under the warrior bishops Odo of Bayeux
and Geoffrey de Montbray (the latter ordered that all rebels should have their right
foot cut off) near Cambridge and retreated hurriedly to Norwich, hotly pursued by
the royal army. Leaving his wife to defend Norwich Castle, he sailed for Denmark
in search of help, and eventually returned to England with a fleet of 200 ships
under Cnut and Hakon, which failed to do anything effective. Meanwhile the
Countess held out in Norwich until she obtained terms for herself and her
followers, who were deprived of their lands, but allowed forty days to leave the
realm. Thereupon the Countess retired to her estate in Brittany, where she was
rejoined by her husband. Ralph was deprived of all his lands and of his Earldom.

At the time of his revolt, he was a land-holder in Whaddon, Cambridgeshire. This is


according to the Domesday Book, which uses the name of Radulf[us] Waders.
Baron of Brittany
For the rest of his life he remained a great baron of Brittany, with no interests in
England. In 1076, having plotted against Hoel II, Duke of Brittany, he was besieged
at Dol, and the Conqueror came to Hoel's aid; but Ralph finally made his peace. In
1089 he attested the judgment in a dispute between the monks of Redon Abbey and
the chaplains of the Duke of Brittany. He also attested a charter of Alan IV, Duke of
Brittany, in favour of St.Georges at Rennes (1084-1096). The Conqueror being
dead, Ralph appears in Normandy c.1093 as a witness in the record of a suit
between the abbots of Lonlay and St.Florent. There is, however, no record of
religious benefactions by him in Brittany.
Crusade
In 1096, accompanied by his wife and under Robert Curthose, he went on Crusade.
He was one of the Breton leaders who took part in the siege of Nicaea, after which
he joined Bohemund I of Antioch’s division of te army.
Both Ralph and his wife Emma died on the road to Palestine in the course of the
Crusade.
References
This article incorporates text from a publication now in the public domain:
Chisholm, Hugh, ed (1911). Encyclopædia Britannica (11th ed.). Cambridge
University Press.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Ralph_de_Guader

-5041-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (W.H. Thurton, The Plantagenet Ancestry), H.de La
Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii 2005
- casament: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii
2005
- família: F-L. Jacquier (W.H. Thurton, The Plantagenet Ancestry), H.R.Moser/EuSt-
III.4+Burke-ext, H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13
vii 2005, J-P.de Palmas (FMG) 19 iii 2013

94.993.365:
Emma de Guader was the wife of Ralph de Guader and the daughter of William
Fitz-Osbern, who, as the Lord of Breteuil and later 1st Earl of Hereford (Fourth
Creation), was a cousin and close adviser of William the Conqueror.[1] William's
opposition to their marriage led to the unsuccessful Revolt of the Earls. Life Emma
was born to William Fitz-Osbern and his wife Adeliza, the daughter of Roger I of
Tosny and his wife Adelaide (descendant from the County of Barcelona). She was
born in or around 1059 in Breteuil in Normandy.[2] In 1075, Emma, Countess of
Norfolk defended Norwich Castle when it was under siege. She eventually
negotiated safe passage for herself and her troops in exchange for her castle.[3]
Emma died some time after 1096 on the road to Palestine during the First Crusade
with her husband.[2] Emma's daughter, Amice, married Robert de Beaumont, 2nd
Earl of Leicester. Source:
http://en.wikipedia.org/wiki/Emma_de_Guader,_Countess_of_Norfolk
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (W.H. Thurton, The Plantagenet Ancestry), H.de La
Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii 2005, J-P.de Palmas
(FMG) 19 iii 2013
- defunció: G.Marsan (http://www.genealogie33.org)
- casament: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii
2005
- família: F-L. Jacquier (W.H. Thurton, The Plantagenet Ancestry), H.R.Moser/EuSt-
III.4+Burke-ext, H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13
vii 2005, J-P.de Palmas (FMG) 19 iii 2013

94.993.365a:
He succeeded his father as Seigneur de Gaël. Orderic Vitalis names him as nephew
of Guillaume de Breteuil, on whose death he unsuccessfully claimed Breteuil but
died soon after[743].
[743] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 41.
"si Guillaume était réellement un fils aîné [comme le dit Orderic Vital], cela
laisserait entendre que le prénom faisait partie de son patrimoine Il paraît très
probable que Guillaume ait été un fils cadet, nommé pour la famille maternelle
dont il se voyait offrir l'héritage. À sa mort, l'héritage passa à son frère aîné Raoul
II. L'héritier de Raoul II est son fils Guillaume de Montfort" B.Yeurc'h (KEATS-
ROHAN, 2016)" Ch. Faucherand, 17 ix 2016.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 19 iii 2013

94.993.365c:
ALAIN de Gaël . Orderic Vitalis records that he went with his father on the First
Crusade[749].
[749] Orderic Vitalis, Vol. III, p. 507, cited in CP IX 574 footnote n.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 19 iii 2013

94.993.368:
Hugues de Grandmesnil (v. 1025 – 22 février 1098), seigneur de Grandmesnil, est
l'un des vingt compagnons connus de Guillaume le Conquérant à la bataille de
Hastings. Il participe à la conquête de l'Angleterre en 1066, et est appointé shérif
du Leicestershire et constable de Leicester. Il était le fils de Robert de

-5042-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Grandmesnil († vers 1036), seigneur de Grandmesnil, et d'Hawise, fille de Giroie.
Avant 1060, il épouse Alice (Adelize) de Beaumont († 1091), fille d'Yves, comte de
Beaumont-sur-Oise, femme d'une grande beauté, selon Orderic Vital[1]. Ils ont dix
enfants (voir plus bas).
Biographie
Avant la conquête
Vers 1035-1040, son père, de concert avec Roger de Tosny, combat Roger de
Beaumont, lors des troubles qui agitent la minorité du jeune duc de Normandie
Guillaume le Bâtard (plus tard Le Conquérant). Robert reçoit une blessure aux
entrailles qui le fait mourir trois semaines plus tard. Auparavant, après avoir
distribué ses terres à part égales à ses fils Robert et Hugues[2], il se fait moine à
l'Ouche, pour y finir ses jours. Son fils Robert, marqué par l'événement, suit la
même voie. Vers 1050, leur oncle Guillaume Giroie, seigneur de Montreuil et
d'Échauffour, supplicié[3] par Guillaume II Talvas, les convainc, lui et son neveu,
de restaurer le monastère de Saint-Évroult d'Ouche[4], dont Robert deviendra
l'abbé en 1059[5]. En 1048, Hugues vient à l'aide d'Yves de Bellême, l'évêque de
Sées, pour libérer la cathédrale de Sées, envahie par une bande de pillards qui y
ont établi leur quartier général. Avec quelques autres, ils assaillent les intrus et
décident de mettre le feu à la tour dans laquelle les pillards sont retranchés.
Malheureusement, le feu se propage, et la cathédrale est brulée. Quand en 1049, le
prélat assiste au concile de Reims, le pape Léon IX s'en prend violemment à Yves et
le contraint, en pénitence, à restaurer la cathédrale incendiée de son fait[6]. Après
la bataille de Mortemer, en 1054, le duc Guillaume le Bâtard reprend pied dans le
pays de Bray. Il expulse Geoffroy, l'héritier du château de Neuf-Marché, pour le
confier conjointement à Hugues de Grandmesnil et à Gérold, son sénéchal[7]. Ce
fort qui est situé au bord de l'Epte, à la frontière du duché de Normandie, est donc
une marche du Beauvaisis. Hugues s'y installe pour combattre les raids des
chevaliers du Beauvaisis qui ravagent cette frontière du duché, après l'échec
d'autres barons normands. Il réussit en une année à capturer les deux principaux
seigneurs de Beauvaisis et à rétablir l'ordre dans la région[8]. Au début des années
1060, le duc, excédé par les incessants conflits entre certains barons, le dépouille
arbitrairement et le force à s'exiler avec d'autres[9]. Orderic Vital accuse le couple
Roger II de Montgommery et Mabile de Bellême d'être les instigateurs de la
réaction du duc[10].

Au printemps 1062, sollicité par les seigneurs de Montfort et de Breteuil[11], le


duc se résout à rappeler les bannis, un conflit contre les Bretons et les Manceaux
venant de débuter. Il leur restitue leurs patrimoines[12], et Hugues retrouve Neuf-
Marché.
Après la conquête
Il participe à la conquête de l'Angleterre en 1066, et combat à la bataille de
Hastings[13]. Dans le Domesday Book, il apparaît comme le plus grand
propriétaire terrien du Leicestershire. Il possède un nombre considérable d'autres
terres dans d'autres comtés[14]. Il est mentionné comme conseiller des co-régents
du Royaume d'Angleterre, Odon de Bayeux et Guillaume FitzOsbern, pendant le
retour du roi Guillaume en Normandie en 1067[15]. Avant 1086, il est appointé
shérif du Leicestershire et constable de Leicester[16]. À la compilation du
Domesday Book en 1086, il possède de vastes domaines dans le Leicestershire,
Nottinghamshire, Hertfordshire, Northamptonshire, Gloucestershire,
Warwickshire, et Suffolk[16]. À cette époque, les barons sont confrontés à un
problème domestique qui nuit à l'équilibre du royaume. Les épouses des guerriers,
restées en Normandie et délaissées depuis deux ans, se plaignent auprès de leurs
maris de leur solitude et de leur vide affectif. Orderic Vital résume ainsi le dilemme
de ces chevaliers : « Que feraient ces honorables athlètes si leurs femmes,
entraînées par le libertinage, allaient souiller par l'adultère le lit conjugal et
marquer leur lignée de la tache ineffaçable de l'infamie ? ». Ainsi, Hugues, qui est
responsable de Winchester et de sa région[17], et son beau-frère Onfroi du Tilleul,
tenant du rape d'Hastings, quittent leurs possessions anglaises pour faire le voyage

-5043-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
du retour. Orderic Vital écrit que les chevaliers qui désertèrent perdirent leurs
biens anglais[18], mais cela ne semble pas être le cas de Hugues. Ses deux fils
Yves et Aubrey participent à la révolte de Robert Courteheuse contre son père
Guillaume le Conquérant en 1078[16]. Hugues fait partie de ceux qui parviennent à
réconcilier le père et le fils en 1079[16]. Bien qu'il participe à la rébellion de 1088
en faveur de Courteheuse contre son frère le roi Guillaume le Roux, il est pardonné
et conserve ses domaines en Angleterre[16]. En 1090, la Normandie est en proie à
des troubles depuis plusieurs années déjà. Les habitants de Rouen, soutenus par le
nouveau roi d'Angleterre Guillaume II le Roux, se soulèvent contre son frère Robert
Courteheuse, le duc de Normandie. Robert II de Bellême, un soutien du duc,
entreprend une politique expansionniste, en construisant des forteresses sur des
terrres usurpées : (Fourches, près d'Argentan et Château-Gonthier dans le Canton
d'Écouché, sur l'Orne). Ce mouvement inquiète les seigneurs voisins et, au premier
chef, Hugues de Grandmesnil et Richard de Courcy, son allié. Ils entreprennent
une guerre contre le seigneur de Bellême, avec leurs fils et leurs alliés, pour lutter
contre sa tyrannie. De son côté, Robert II de Bellême, aidé par ses frères Roger et
Arnauld, cherche à les anéantir et à dévaster leurs possessions. Les Grandmesnil
sont bientôt rejoints par Matthieu, comte de Beaumont-sur-Oise, Guillaume II de
Warenne et d'autres. Bellême, voyant qu'il ne pourrait les vaincre, force le duc de
Normandie à l'aider. En janvier 1091, le duc met le siège devant Courcy. Malgré
l'appui militaire du duc, toutes les tentatives de Robert de Bellême sont
repoussées. Hugues de Grandmesnil envoie alors un message au duc, pour
s'informer des raisons qui le pousse à agir contre lui, alors qu'il lui a toujours été
fidèle, ainsi qu'à son père. Il lui offre 200 livres, lui demandant de s'éloigner une
journée afin qu'il puisse en découdre avec le seigneur de Bellême. Mais, le 23
janvier, Guillaume le Roux débarque à l'est de la Normandie. Aussitôt, le duc
épouvanté lève le siège et se retire. Les barons rentrent chez eux et le conflit est
terminé[19] ; le duc et son frère règleront leurs différents par le traité de Caen. Au
début de l'année 1098, Hugues, déjà très âgé, tombe malade en Angleterre. Il
prend la robe monacale et meurt six jours plus tard. Deux prêtres ramènent son
corps, conservé dans du sel et enfermé dans un linceul de cuir, en Normandie. Il
est inhumé dans le chapitre de l'abbaye de Saint-Évroult[20]. Hugues était l'un des
derniers compagnons survivants de Guillaume le Conquérant. Son fils Robert (†
1126) hérite de ses possessions normandes et son fils Yves († 1102) de ses
possessions anglaises. Yves engage ses terres auprès de son voisin, Robert Ier de
Meulan, comte de Meulan, pour partir deux fois en Terre sainte, la première fois à
l'occasion de la première croisade[21]. Il meurt lors de son second voyage. Le
comte Robert, de la famille de Beaumont, possède alors les trois-quarts du comté
de Leicester, ce qui lui permettra d'être créé comte de Leicester, en 1107. Les
terres normandes des Grandmesnil reviendront aux Beaumont, lors du mariage
entre Robert III de Beaumont et Pernelle, l'héritière des Grandmesnil, vers 1155.
Notes et références
Orderic Vital, éd. Guizot, tome 3, p. 315

1. Guillaume de Jumièges, p. 170.


2. Guillaume Talvas lui fit crever les yeux, couper les oreilles et castrer, lors
des noces du seigneur de Bellême. Orderic Vital, Interpolations à
Guillaume de Jumièges, Gesta Normannorum ducum, édition E. Van
Houts, tome VII, p. 111.
3. Orderic Vital, tome 2, p. 34-35.
4. Philippe Maurice, p. 226.
5. Philippe Maurice, p. 55-56.
6. Pierre Bauduin, La Première Normandie, Xe-XIe siècle, Presses
Universitaires de Caen, 2004, p. 274-276.
7. Orderic Vital, tome 2, p. 107.
8. Raoul III de Tosny, et Arnaud d'Échaufour entre autres subissent le même
sort.
9. Orderic Vital, tome 2, p. 76.

-5044-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
10. Paul Zumthor, Guillaume le Conquérant, Paris, Tallandier, 2003, (ISBN 2-
84734-065-3).
11. Orderic Vital, tome 2, p. 87
12. Guillaume de Poitiers, Vie de Guillaume le Conquérant, éd. Guizot, 1826,
p. 406.
13. Quatre-vingt-douze manors dans le Leicestershire (trente-sept en
domaine, cinquant-cinq à des sous-tenants), ainsi que des terres dans le
Warwickshire, Nottinghamshire, Northamptonshire, Hertfordshire. Levi
Fox, « The Honor and Earldom of Leicester: Origin and Descent, 1066-
1399 », in The English Historical Review, vol. 54, n°215 (1939), p. 385-
402.
14. Philippe Maurice, p. 157.
15. a, b, c, d et e K. S. B. Keats-Rohan, « Grandmesnil, Hugh de (d. 1098) »,
ODNB.
16. Paul Zumthor, ibid.
17. Orderic Vital, tome 2, p. 177.
18. Orderic Vital, tome 3, p. 315.
19. Orderic Vital, tome 3, p. 400.
20. Orderic Vital, tome 3, p. 402.
21. Orderic Vital, tome 3, p. 315
22. ↑ Orderic Vital, tome 3, p. 401, écrit qu'il meurt 28 ans après son père.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 1 viii 2011


- defunció: E. Driant
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking).

94.993.369:
Iconographie : Vue des ruines de l’abbaye de Saint-Évroult, à Saint-Évroult-Notre-
Dame-du-Bois (Orne).
Adelise de Beaumont, daughter of Ives [II] Comte de Beaumont & his first wife
Judith --- ([before 1045]-Rouen 11 Jul 1091, bur Ouche Saint-Evroul). Orderic
Vitalis records that “Hugo de Grentemaisnilio” married “Adelidem filiam Ivonis
comitis de Bellomonte”[346]. The date of her marriage is estimated based on the
estimated birth date of the couple´s oldest known son. Domesday Book records
“Adeliza wife of Hugh de Grandmesnil” holding Broxbourne in Hertford Hundred in
Hertfordshire; land in Shelton, Houghton Conquest and Chalton in
Bedfordshire[347]. She owned Peatling Magna, in the possession of Leofric in 1086
in Domesday Book[348]. Orderic Vitalis records the death “Rotomagi V Id Jul” of
“AdelizaIvonis de Bellomonte comitis, de Judæa genetrice, filia”, wife of Hugues de
Grantmesnil, seven years before her husband died and her burial at Ouche, adding
that she and her husband has six sons and six daughters[349].

[346] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XVI, p. 359.
[347] Domesday Translation, Hertfordshire, XLIII, p. 393, Bedfordshire, LIIII, p.
585.
[348] Chibnall, Vol. III, p. 237 footnote 12.
[349] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XXVIII, pp. 454-5.
Femme d'une grande beauté, selon Orderic Vital.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 15 i 2014
- defunció: E. Driant
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking).

94.993.369b:

-5045-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Guillaume de Grandmesnil[1] (c. 1055/1060 - † entre 1100 et 1114) est un baron
normand de Calabre, membre de la famille Grandmesnil et lié à la Maison de
Hauteville.
Biographie
Natif du duché de Normandie, Guillaume de Grandmesnil est le second fils de
Hugues, seigneur de Grandmesnil († 1098), l'un des compagnons de Guillaume le
Conquérant à la bataille de Hastings (1066), et d'Adelise († 1091), fille du comte
Yves de Beaumont. Il est également le neveu de Robert († 1089), abbé de Saint-
Évroult puis de Santa Maria di Sant'Eufemia en Calabre, dont la demi-sœur Judith
d'Évreux († 1076)[2] épousera en 1062, Roger de Hauteville, conquérant normand
de la Sicile musulmane (1061-1091).
Selon Ordéric Vital, Guillaume était très estimé à la cour du roi d'Angleterre qui
avait pour lui un tel attachement qu'il lui donna pour femme sa nièce Agnès, fille
du comte Robert de Mortain[3]. Mais Guillaume refusa. Poussé par l'inconstance et
influencé par un parent, Arnoul de Montpinçon, qui avait acquis de nombreux biens
en Italie méridionale[4], Guillaume décide de partir pour l'Apulie où il arrive autour
de 1080 avec quelques autres normands. En 1081, il participe à l'expédition
normande dirigée par Robert Guiscard, duc d'Apulie, de Calabre et de Sicile,
contre Dyrrachium (en actuelle Albanie), alors possession byzantine[5]. Il participe
à la seconde expédition de Guiscard contre l'Empire byzantin (1084-1085) et en
juillet 1085, sur l'île de Céphalonie, il fait partie selon Ordéric Vital, des parents,
alliés et magnats que Robert Guiscard, mourant, appela à son chevet pour les
entretenir de sa succession[6]. Établi en Calabre, il avait épousé à une date
inconnue Mabille[7], l'une des filles de Robert Guiscard et de la princesse
lombarde Sykelgaite de Salerne, et avait reçu en même temps de vastes domaines
dans le Val de Crati, dans le Coscile et à Crotone, avec une quinzaine de châteaux
en dot[8].
Dans les années 1090, Guillaume de Grandmesnil se révolta contre le fils et
successeur de Robert Guiscard, Roger Borsa, duc d'Apulie. En 1093, ce dernier
était tombé si gravement malade à Melfi que le bruit de sa mort se répandit
partout[9]. Un certain nombre de ses vassaux, dont son demi-frère Bohémond et
Guillaume de Grandmesnil en profitèrent pour se révolter. Guillaume, cherchant à
étendre ses domaines, s'empara notamment de Rossano (Calabre). Après le
rétablissement du duc Roger d'Apulie et la soumission de ses vassaux révoltés dont
son demi-frère Bohémond, Guillaume de Grandmesnil refusa d'abord de se
soumettre avant d'y être contraint par la force face aux troupes du duc, assisté par
Bohémond et son oncle Roger, comte de Sicile, qui arriva à la tête de troupes
musulmanes. Il perdit toutes ses places fortes et fut contraint à aller se réfugier à
Byzance avec sa femme (1094).

À l'automne 1096, il est de nouveau en Italie méridionale lorsqu'il voit arriver de


Normandie ses frères Yves († 1101/1102) et Aubry († apr. 1097), présents dans les
rangs des croisés normands dirigés par le duc de Normandie Robert
Courteheuse[10]. Il décide de les accompagner en Terre sainte, dans l'ost du
prince Bohémond de Tarente. Mais le 10 juin 1098, Guillaume et son frère Aubry,
effrayés par l'ardeur des combats contre les musulmans, réussissent à s'enfuir
d'Antioche, assiégée par les Turcs[11],[12]. Revenu dans le sud de l'Italie (avant la
prise de Jérusalem par les croisés le 15 juillet 1099 ?), il sera excommunié avec son
frère par le pape Pascal II en janvier 1100[13]. Si les sources diplomatiques italo-
normandes nous ont laissé des traces de sa présence en Calabre, on perd sa trace
après l'an 1100.
Notes et références

1. .↑ Grandemesnil, Grent(e)mesnil, Grant(e)mesnil


2. .↑ (en) Judith d'Évreux [archive] sur Medieval Lands
3. .↑ Ordéric Vital, Vol. IV, Livre VIII, p. 339.
4. .↑ ibid., Vol. III, Livre V, p. 167.
5. .↑ Ibid., t. III, p. 171.
-5046-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
6. .↑ Ibid., t. III, p. 183.
7. .↑ Geoffroi Malaterra, IV.21, p. 99.
8. .↑ Jamison, E. M. Some notes on the Anonymi Gesta Francorum, with
special reference to the Norman contingents from South Italy and Sicily in
the First Crusade, dans Studies in French Language and Medieval
Literature presented to Professor M. K. Pope (Manchester, 1939), pp. 199-
200, cité dans Chibnall, Vol. IV, p. 338 note en bas de page 6.
9. .↑ Geoffroi Malaterra, IV, 20.
10. .↑ Ordéric Vital, t. III, p. 484.
11. .↑ Ordéric Vital, Vol. V, Livre IX, p. 99.
12. .↑ Guizot. M. (ed.) (1824) Alberti Aquensis Historia Hierosolymitana -
Histoire des Faits et Gestes dans les regions d'Outre-mer par Albert d'Aix
(Paris) (“AA”) I.IV, p. 239.
13. .↑ Ordéric Vital, t. III, p. 545.

Guillaume de Grandménil et Alberic son frère, Lambert-le-Pauvre, Gui Troussel et


plusieurs autres chevaliers normands étaient épouvantés de la bataille d'Antioche «
et, se préparant à fuir le lendemain, ils avaient attaché des cordes aux murailles ».
C'est pourquoi on les appela les furtifs «funambules» et Gui Troussel revient
d'Antioche sous le nom de «danseur de cordes». Source : Hervé Balestrieri ( Note sur la fiche de
son frère Albéric ) 16.05.2014

Fonts: - persona: L.Orlandini ( Filippo Ferri Mancini - Manuale di Genealogia ), F-L.


Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie Vicking), J-P de
Palmas (wikipedia) 1 viii 2011
- família 1: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking).
- casament 2: corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569
- família 2: L.Orlandini, F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking).

94.993.369c:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking).

94.993.369d:
Yves (I) († 1101/1102), participe à la première croisade avec le duc de Normandie
Robert Courteheuse, et est présent au siège d'Antioche. Avec ses frères Guillaume
et Aubrey, il s'attire le déshonneur en s'enfuyant de la ville assiégée croyant que
les croisés vont tous se faire massacrer[10] et fut excommunié par le pape Pascal II
en janvier 1100[8]. À la mort de son père, il hérite du patrimoine anglais de la
famille, et devient donc lord de Leicester, possédant entre autres la ville et son
château[10]. Il succède aussi à l'office de shérif du Leicestershire[10]. Il épouse
une fille de Gilbert de Gant[10]. En 1100/1101, il choisit de soutenir Robert
Courteheuse dans son invasion de l'Angleterre contre son frère Henri Ier[10]. Mais
les deux frères s'entendent lors su traité d'Alton (1101), et Yves se retrouve exposé
à la colère royale. Il décide alors de faire un nouveau pèlerinage en Terre sainte
pour racheter ses fautes[10]. Ayant besoin d'argent pour financer son voyage, il
engage pour 500£ ses terres pour quinze ans auprès de son voisin (dans le
Leicestershire) Robert Ier de Meulan, comte de Meulan, et arrange un mariage
entre le fils aîné d'Yves et une fille de Robert[10]. Il meurt lors du voyage, et le
comte Robert, encouragé par le roi Henri Ier d'Angleterre, ignore les
revendications de Yves (II) le fils d'Yves sur ses terres et sur la fiancée promise, et
unit les terres des Grandmesnil avec les siennes[10]. Le comte possède alors le
gros de ce qui sera connu plus tard comme l'honneur de Leicester. C'est pourquoi
il est possible que Robert ait été créé comte de Leicester en 1107, bien qu'il n'en
existe aucune preuve formelle[11]. Le second Yves meurt avec son frère dans le

-5047-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
naufrage de la Blanche-Nef en 1120, ne laissant pas de descendant[10].
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking)., J-P.de Palmas (wikipedia) 16 ii 2012
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking).

94.993.369e:
Guillaume de Grandménil et Alberic son frère, Lambert-le-Pauvre, Gui Troussel et
plusieurs autres chevaliers normands étaient épouvantés de la bataille d'Antioche «
et, se préparant à fuir le lendemain, ils avaient attaché des cordes aux murailles ».
C'est pourquoi on les appela les furtifs «funambules» et Gui Troussel revient
d'Antioche sous le nom de «danseur de cordes». Les Turcs seldjoukides s'en
emparent d'Antioche en 1084. Puis, la ville est conquise par les croisés le 2 juin
1098. Ils en font la capitale d'une principauté au profit de Bohémond Ier de
Tarente, fils aîné de Robert Guiscard. Source : Hervé Balestrieri ( Encyclopédie "Wikipedia" :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antioche ) 16.05.2014

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la


Dynastie Vicking)., J-P de Palmas (A propos de la bataille d'Antioche) 2 viii 2011
- defunció: Hervé Balestrieri ( Notes sur la fiche & Encyclopédie "Wikipedia" :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antioche ) 16.05.2014

94.993.369f:
Sans alliance ni postérité.
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking).

94.993.369g:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking).
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking).

94.993.369h:
ROHESE de Grantmesnil, daughter of HUGUES de Grantmesnil & his wife Adelise
de Beaumont. Orderic Vitalis names “Adelinam et Hadvisam, Rochesiam et
Mathildem et Agnetem” as the daughters of “Hugo de Grentemaisnilio” and his
wife “Adelidem filiam Ivonis comitis de Bellomonte”, adding that Rohese married
“Roberto de Curceio”[2835]. Robert de Courcy & his wife had five children.
[2835] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XVI, pp. 359 and 362.
Fonts: - persona: N. Danican (La Chesnaye Desbois) 1iv05, F-L. Jacquier (Paul
Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie Vicking)., J-P de Palmas (FMG)
3xii2011
- família: A.Euverte( arbre généalogique dressé par le comte S. de Rouret en mai
1955 )29.03.05, N. Danican (La Chesnaye Desbois) 1iv05, F-L. Jacquier (Paul
Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie Vicking).

94.993.369i:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking).
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking).

94.993.370:
Fonts: - família: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014

-5048-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.993.371:
Fonts: - persona: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014
- família: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014

94.993.371b:
Fonts: - persona: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014
- família: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014

94.993.371c:
Fonts: - persona: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014

94.993.404:
Fonts: - persona: Aurejac, L. Gustavsson/ Brian Tompsett, ppmr,(Genealogisches
Handbuch des Adels-Fürstliche Häuser, Vol 5, 1955),J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de
Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la Maison d’Ardenne) 28/01/2008
- defunció: J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la
Maison d’Ardenne) 28/01/2008
- família: J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la
Maison d’Ardenne) 28/01/2008

94.993.405:
Fonts: - família: J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de
la Maison d’Ardenne) 28/01/2008

94.993.405b:
Le princier est le chef du chapitre de la cathédrale de Matz. "Il trouva la mort en
1097 à Antioche alors qu'il se distrayait en aimable compagnie dans un verger".
J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la Maison
d’Ardenne) 28/01/2008
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de
la Maison d’Ardenne) 28/01/2008

94.993.405d:
Fonts:
- persona: ppmr,(Genealogisches Handbuch des Adels-Fürstliche Häuser, Vol 5,
1955), J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la Maison
d’Ardenne) 28/01/2008
- família: H.R.Moser/EuSt-IV/92

94.993.405e:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la
Maison d’Ardenne) 28/01/2008
- família: J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la
Maison d’Ardenne) 28/01/2008

94.993.405f:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Les comtes palatins de Bourgogne)
28/01/2007
- família: J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Les comtes palatins de Bourgogne)
28/01/2007

94.993.614:

-5049-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Yves Reckelbus) 24 ii 2011
- família: J-M.Thiebaud (base Yves Reckelbus) 24 ii 2011

94.993.615:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Histoire généalogique et héraldique des pairs de France,
par J-B de Courcelles) 6 xi 2016
- família: J-M.Thiebaud (base Yves Reckelbus) 24 ii 2011

94.993.684:
Part en 1066 avec Guillaume le Conquérant pour l'Angleterre puis suit Roger 1er
combattre les Sarrasins et prendre possession de la Sicile. A son retour, constatant
que son gendre Mathieu Ier de Beaumont-sur-Oise s'est emparé de la motte de
Luzarches, il fait appel à Louis le Gros dont l'armée défait le comte de Beaumont
sur les hauteurs de Luzarches en 1102 ; le château est restitué à son titulaire.
Serait mort en 1114.

Fonts:
- persona: D.de Raugl (Maxim Olenev maximolenev@mail.ru), Y.Romain (
"Luzarches" d'après C. Garcia ) 03.05.2008
- família: D.de Raugl (M.Olenev)

94.993.685:
Apporta en dot le domaine de Luzarches.

Fonts:
- persona: YRomain (3.5.08) Luzarches de C. Garcia
- família: D.de Raugl (M.Olenev)

94.993.685a:
Fonts:
- persona: D.de Raugl (M.Olenev)

94.993.685b:
Fonts:
- persona: D.de Raugl (M.Olenev)

94.993.685c:
Fonts: - persona: D.de Raugl (M.Olenev)
- família: D.de Raugl (M.Olenev)

94.993.685d:
Fonts: - persona: D.de Raugl (M.Olenev)/Renaud de Paysac (Tompsett)
- naixement: T.Blanchet(Cavanaugh Family Tree)
- defunció: T.Blanchet(Cavanaugh Family Tree)
- casament 1: T.Blanchet(Odessa Heninger Family)
- família 1: o guionneau
- família 2: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1), D.de Raugl
(M.Olenev)

94.993.685f:
Fonts: - persona: D.de Raugl (M.Olenev), H.R.Moser
- família: D.de Raugl (M.Olenev), H.R.Moser/Anselme-VIII/398, P Ract Madoux (Paul
Guynemer: la seigneurie d'Offémont. Compiègne 1912)

-5050-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.993.685g:
Testament de Marguerite de Gerberoy, in Le Prieuré de Saint-Leu d'Esserent :
cartulaire (1080-1538) / par l'abbé Eug. Müller, 1901
Fonts: - persona: D.de Raugl (M.Olenev), J-P.de Palmas (FMG et Le Prieuré de
Saint-Leu d'Esserent : cartulaire (1080-1538) / par l'abbé Eug. Müller, 1901) 22 v
2014 - família: D.de Raugl (M.Olenev), J-P.de Palmas (FMG) 22 v 2014

94.993.685h:
RICHILDE de Clermont, daughter of HUGUES Comte de Clermont-en-Beauvaisis &
his wife Marguerite de Ramerupt. The primary source which confirms her
parentage and marriage has not yet been identified. Depoin states that the Histoire
de Vézelay, by Hugues le Poitevin, names “Dreux de MelloetRicheud, fille de
Hugues de Mouchy, sœur de Renaud II de Clermont et de Félicie reine d´Aragon”
as the parents of Guillaume abbé de Vézelay[1151]. However, the passage in
question has not been found in the edition of the Histoire which was consulted
during the preparation of the present document. The introduction of the name
Renaud into the family after this marriage suggests that the affiliation may be
correct. A charter which confirms donations to the abbey of Saint-Paul-en-
Beauvaisis includes the donation of “medietatem altaris de Camberonne” made by
“Richeldis de Merloto” and of “aliam medietatem” by “Berneri de Claromonte” (the
latter not yet having been identified, although his name and joint ownership of the
property in question suggests a relationship between Richilde and the Clermont
family)[1152].
Dreux [I] & his wife had [five] children.
[1151] Depoin, ´La maison de Mello en Beauvaisis´, Mémoires de la Société
historique et archéologique de l´arrondissement de Pontoise et du Vexin, Tome
XXXIII (Pontoise, 1915), p. 248.
[1152] Louvet (1631), Tome I, p. 617.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 21 v 2014 - família: PRactMadoux
("Inventaire des titres de la baronnie de Mello, dressé en 1625 par Pierre
d'Aberlenc, archiviste des Montmorency à Chantilly";Aurillac, 1932) 27 x 2006

94.993.688:
Fonts:- persona: C-H.M aigret (Jean-François Nieus. Un pouvoir comtal entre
Flandre et France) 17 x 2011
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus. Un pouvoir comtal entre Flandre et
France) 17 x 2011

94.993.689:
Fonts: - família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus. Un pouvoir comtal entre Flandre
et France) 17 x 2011

94.993.920:
Illustration : Château de Picquigny : La façade de la Porte de la Barbacane,
décorée à l'occasion de la fête médiévale de 2008.
Source : Hervé Balestrieri ( Photo de Marc Roussel "Markus3", cliché personnel du 07.09.2008, pour Wikimedia
Commons, sous licence Creative Commons Paternité – Partage des conditions initiales à l’identique 3.0 ) 19.07.2015

Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Picquigny
Fief : Voir une vue aérienne actuelle du bourg et des ruines du château de
Picquigny (Somme). (Lien vers le site Web "Geoportail" de l'Institut Géographique
National) Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 20.10.2015
Fonts:- persona: JL.Mondanel (généalogie Picquigny) 23 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie Picquigny) 23 iii 2011

94.993.921:
Fonts:- família: JL.Mondanel (généalogie Picquigny) 23 iii 2011
-5051-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.993.938:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com
- família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com, F-L. Jacquier (Alain de Carné - généalogie de
Carné) http://a.decarne.free.fr/gencar/gencar.htm

94.993.939:
Fonts: - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com, F-L. Jacquier (Alain de Carné - généalogie de
Carné) http://a.decarne.free.fr/gencar/gencar.htm

94.993.939b:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Hervé Laine-Bucaille)
http://perso.wanadoo.fr/herve.laine-bucaille/noblesse/P/pevrel.htm

94.993.944:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Stuart, Rodrick W., Royalty for Commoners, 2nd
Ed., Genealogical Publishing Co., Baltimore, 1993, 135-31) 2 vii 2012
- família: J-P.de Palmas (Stuart, Rodrick W., Royalty for Commoners, 2nd Ed.,
Genealogical Publishing Co., Baltimore, 1993, 135-31) 2 vii 2012

94.993.945:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Stuart, Rodrick W., Royalty for Commoners, 2nd
Ed., Genealogical Publishing Co., Baltimore, 1993, 135-31) 2 vii 2012
- família: J-P.de Palmas (Stuart, Rodrick W., Royalty for Commoners, 2nd Ed.,
Genealogical Publishing Co., Baltimore, 1993, 135-31) 2 vii 2012

94.993.945a:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas
Löeb ) , J-P.de Palmas (Stuart, Rodrick W., Royalty for Commoners, 2nd Ed.,
Genealogical Publishing Co., Baltimore, 1993, 135-31) 2 vii 2012
- família: H.R.Moser/EuSt-III.4, F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of
John Adam Thomas Löeb )

94.993.972:

-5052-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

J-P de Palmas : hypothèse de Foundation for Medieval Genealogy : Comtes de


Roucy

citant Jean Noël Mathieu 1 x 2012


Serait le père d'Ebles de Roucy et le grand'père de Ne N, le tout restant à prouver
mais, en tant qu'hypothèse de Jean-Noël Mathieu, tiendrait beaucoup mieux la
route que l'autre hypothèse formulée par le père Anselme qui donne Gilbert de
Roucy comme père sans l'étayer. C'est la position de Jean-Noël Mathieu qui donne
l'épouse de Manassès de Rethel et d'Hermann de Grandpré comme fille d'Ebles
-5053-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'Aquitaine

Nous ne devrions pas prendre les "données" Anselme pour le XIème siècle comme
étant plus solides que les "hypothèses" de Mathieu

À revoir. JBLG 13/10/2012


Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (preuves manquantes mais construction
plausible pour père d'Ebles de Roucy ) 13 x 2012
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy : Comtes de Roucy,
hypothèse du 1 x 2012) 1 x 2012

94.993.973:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy : Comtes de Roucy,
hypothèse du 1 x 2012) 1 x 2012

94.993.973c:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de Grandpré-2003/2006-
http:racineshistoire.free.fr/LGN)09.02.2016

94.993.976:
Attesté en 1043. Destitué en 1057 selon Héraldique.&.Généalogie n° 99.70 &
82.382.
Guillaume Guerlenc (Werleng, Werlenc, Guerleng), comte de Mortain (1032-1048),
régulièrement révolté contre le duc Guillaume, est banni vers 1060 ; il s’exile en
Italie du Sud.

Décès : après le 27 mai 1067, sous l'habit religieux.

COMTES d´AVRANCHES

South of the Cotentin in the south-west corner of the duchy of Normandy, lay the
diocese of Avranches, which included the pagus Abricantinus (Avranchin) next to
the duchy of Brittany[841]. The first count, Robert, was an illegitimate son of
Richard I Comte de Normandie. In the mid-11th century, the county (then referred
to as Mortain) was recorded in the hands of Guillaume Comte de Corbeil, son of
Mauger, a younger son of Duke Richard I. Guillaume was banished in 1063 by
Duke Guillaume II who appointed his uterine half-brother Robert to the county.
Henry I King of England deprived Guillaume, son of Robert Comte de Mortain, of
the county after the battle of Tinchebrai in [1106]. Thereafter the territory
remained under the direct control of the kings of England until Normandy was
captured by the Capetian kings of France in the early 13th century. The early
counts of Avranches/Mortain were studied by Potts[842].

[841] Le Prévost ´Anciennes divisions territoriales de la Normandie´ (1837-39), p.


1.

[842] Potts (1992) 'The earliest Norman counts revisited: the lords of Mortain', The
Haskins Society Journal, 4 (1992) pp. 23-37 [not yet consulted], quoted in Houts, E.
van (ed. and trans.) (2000) The Normans in Europe (Manchester University Press),
p. 91 footnote 59.

Fonts:
-5054-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: J-P de Palmas (Wikipédia and FMG), F-L. Jacquier (Edouard de Saint-
Phalle, H&G 1998, p. 281-282)
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008), F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van
Reeth - Ancestry.com)

94.993.977:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008), F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van
Reeth - Ancestry.com)

94.993.980:
JB de La Grandière 14/11/2017 : Hilduin de Montdidier figurait comme mari
"possible" de Lasseline ; compte tenu de la "numérotation donnée par JM Thiébaud
et une source (qui ne donne pas ses sources) Hildouin de Ponthieu correspondrait
mieux mais ce dernier pourrait être un doublon du premier. Autant ne pas
s'aventurer plus avant..dans des dédales de plus en plus "fabriqués", avec
abondance de dates exactes de naissance qui font "froid dans le dos"

Hildouin de Ponthieu pourrait doublonner avec Hilduin N

Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud
(https://gw.geneanet.org/rouchihaveluy?lang=en&pz=albert+mauricel+daniel&nz=
hebert&ocz=0&p=elisabeth&n=crecy) 13 xi 2017
- família:
https://gw.geneanet.org/rouchihaveluy?lang=en&pz=albert+mauricel+daniel&nz=
hebert&ocz=0&p=elisabeth&n=crecy

94.993.981:
Cette Lasseline d'Harcourt semble être décalée d'une génération..

La date exacte (sic) de naissance en 975 - trouvée sur sa fiche- ne peut qu'être
fantaisiste mais peut vouloir signifier qu'à cette date elle était en vie (née avant
975).. ;

Elle ne saurait être la mère de Manassès de Ramerupt époux de Béatrix de


Hainaut.

Je détache donc tout ce beau monde de cette Lasseline..


JB de La Grandière 12/10/2012

JB de La Grandière 20/8/2015 : je viens de lui attribuer d'office (peut-être à tort ?)


un mari qui "colle".

JB de La Grandière 14/11/2017 : Hilduin de Montdidier figurait comme mari


"possible".. compte tenu de la "numérotation donnée par JM Thiébaud et une
source (qui ne donne pas ses sources) Hildouin de Ponthieu correspondrait mieux
mais ce dernier pourrait être un doublon du premier.
Autant ne pas s'aventurer plus avant..dans des dédales de plus en plus "fabriqués",
avec abondance de dates exactes de naissance qui font "froid dans le dos"

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Yvon Corfa - base tournemire), Grégory Grattepanche
(fichier personnel)
-5055-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família:
https://gw.geneanet.org/rouchihaveluy?lang=en&pz=albert+mauricel+daniel&nz=
hebert&ocz=0&p=elisabeth&n=crecy

94.993.984:
ROGER [I] de Montgommery, son of --- (-[before 1048]). Seigneur de Montgommery
and Vicomte de l'Hiémois. He witnessed a charter of Robert I Duke of Normandy
for the abbey of Saint Wandrille dated [1031/32]. In [1028/35] he restored to the
Abbey of Jumièges the market at Vimoutiers which he had taken from the
monks[396]. Guillaume de Jumièges records that "Roger de Montgomeri" was
exiled to Paris "à cause de sa perfidie" in the early years of the reign of Guillaume
II Duke of Normandy[397].

m JOSCELINE, daughter of --- & his wife Sainsfrida [Senfrie][398] . Josceline, her
husband and her mother are named in a letter of Ives Bishop of Chartres to Henry I
King of England dated 1114 which explains the consanguinity between the king
and Hugues de Châteauneuf, who wanted to marry one of the king's illegitimate
daughters[399].

Roger & his wife had [six] children.

Guillaume de Jumièges names (in order) "Hugues, Robert, Roger, Guillaume et


Gilbert" as the five sons of Roger de Montgommery, commenting that they
remained in Normandy after their father was exiled "se livrant à toutes sortes de
crimes"[401].

[396] Vernier, J. J. (ed.) (1916) Chartes de l'abbaye de Jumièges, Tome I c 825-1169


(Rouen, Paris), Vol. I, p. 43, cited in CP XI 682 footnote d.

[397] WJ VII.2, p. 168.

[398] Sister of Gunnora, mistress of Richard I Duke of Normandy.

[399] Receuil des Histoires de France, Vol. XV, p. 167, cited in CP XI 683 footnote
c.

[401] WJ VII.2, p. 168

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 v 2011
- casament: T.Blanchet(Odessa Heninger Family)
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 4 v 2011

94.993.985:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 4 v 2011
- naixement: T.Blanchet(Odessa Heninger Family)
- defunció: T.Blanchet(Odessa Heninger Family)
- casament: T.Blanchet(Odessa Heninger Family)
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 4 v 2011

94.993.985a:
Hugh de Montgomery and Joscelina had a son Roger, but contrary to Torigny's

-5056-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
statements, he was not the Conquest baron of that name, but instead his father. By
a wife possibly named Emma, Roger had: Hugh; Roger (who married Mabel of
Belleme and played a significant role in pre-Conquest Normandy); William (who
murdered cousin Osbern); Robert, and Gilbert.
HUGUES de Montgommery (-killed in battle 7 Feb[440] [1035/before 1048], bur
Troarn401). Guillaume of Jumièges names “Hugo et Robertus, Rogerius et
Willelmus atque Gislebertus” as the five sons of “Rogeri[us] de Montegumeri“,
adding that they had remained in Normandy during their father´s exile[441]. He
witnessed his father's charter for the abbey of Jumièges397. He was killed during
the troubles in Normandy during the minority of Duke Guillaume II[442]. Vicomte
d'Hiémois.
[m JOSCELINE de Bolbec, daughter of OSBERN de Bolbec & his [first/second wife
Aveline ---/Hawise ---]. Josceline and her marriage are shown in Europäische
Stammtafeln[443]. This is presumably based on Robert de Torigny, continuation of
William of Jumièges[444], the unreliability of this part of whose chronicle is
discussed in the Complete Peerage[445]. Guillaume of Jumièges records that
“nepotespluresGunnorearumquintam” married “Hugo de Monte-gummerici” by
whom she had “Rogerius pater Roberti de Bellismo”[446]. There must be
considerable doubt about whether this can be correct as Osbern de Bolbec´s wife
and Hugues de Montgommery´s mother would have been first cousins.]
[440] ES III 695.
[441] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, II, p. 268.
[442] CP XI 683-4 footnote d.
[443] ES III 695.
[444] Robert de Torigny, Vol. VIII, c. 35, cited in CP XI 683 footnote d.
[445] CP XI 683.
[446] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VIII, XXXVII, p.
312.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Robert de Torigny and the family of Gunnor,
Duchess of Normandy by Todd A. Farmerie and FMG) 3 vii 2012
- defunció: T.Blanchet (Voir site)
- família: H.R.Moser/EuSt-III.4, J-P.de Palmas (FMG) 3 vii 2012

94.993.985b:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 4 v 2011

94.993.985d:
Guillaume de Jumièges records that "Osbern, intendant de la maison du prince
[Guillaume II Duke of Normandy] et fils d'Herfast" was murdered at Vandreuil in
the early years of the duke's reign by "Guillaume fils de Roger de
Montgomeri"[409]. Guillaume de Jumièges records that Guillaume was murdered
soon after on the orders of Barnon de Glote to avenge the murder of Osbern[410].
References
[409] WJ VII.2, p. 168.
[410] WJ VII.2, p. 168
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 4 v 2011

94.993.985e:
GILBERT de Montgommery (-murdered [1064]). Guillaume of Jumièges names
“Hugo et Robertus, Rogerius et Willelmus atque Gislebertus” as the five sons of
“Rogeri[us] de Montegumeri“, adding that they had remained in Normandy during
their father´s exile[451]. Orderic Vitalis records the return from Apulia of
“Ernaldus de Escalfoio Willermi Geroiani filius” who was pardoned by Duke
Guillaume who promised the return of his property, that “Mabilia Talavacii filia”
prepared poison for him which was drunk by “Gislebertus frater Rogerii de Monte-
Gomerici” who died three days later “apud Raimalastum”, dated to [1064] from the
context[452].
-5057-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[451] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, II, p. 268.
[452] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, IX, p. 106.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 4 v 2011

94.993.985f:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 4 v 2011

94.993.986:
Guillaume IIème du nom, 4ème seigneur de Bellème et d'Alençon.
Après le meurtre de Robert 1er dans la prison de Ballon, Guillaume, son frère,
quatrième fils de Guillaume ler, prit possession des seigneuries, à défaut d'héritier
en ligne directe, Robert étant mort sans postérité connue. Secondé par ses
vassaux, et principalement par Giroye de Courcerault, dont le dévouement pour la
famille de Belléme ne connaissait point de bornes, Guillaume Il recouvra les terres,
et reprit les places que les Manceaux avaient enlevées à son frère dans le Sonnois
et dans le Perche, pendant sa captivité. Guillaume Il, plus connu sous le nom de
Talvas, ne tarda pas à se brouiller avec Geoffroy ler, seigneur de Mayenne, au sujet
des limites de leurs seigneuries respectives, du côté du Sonnois et du Passais; il en
résulta une guerre dont nous ignorons les détails. Giroye, malgré son attachement
aux Belléme, se rangea en cette occasion du côté de Geoffroy, dont les prétentions
lui paraissaient mieux fondées; le seigneur de Mayenne, vaincu par Talvas dans un
combat qu'ils livrèrent, devint son prisonnier. Giroye, qui avait tant de droits à la
reconnaissance du sire de Belléme, intercéda pour le prisonnier et sollicita sa mise
en liberté. Talvas resta sourd à toutes ses prières, et inaccessible à toute
proposition raisonnable; Il consentit seulement à briser les fers de Geoffroy, à la
condition que Giroye ferait raser la forteresse de Montaigu, qu'il tenait de la
générosité du sire de Mayenne. Quelque dure que fût la condition, l'âme généreuse
du seigneur de Courcerault ne balança pas à faire ce sacrifice, pour obtenir la
liberté du malheureux Geoffroy; la forteresse fut démolie et les portes de la prison
souvrirent. Sensible à ce généreux sacrifice, Mayenne, sorti de son cachot, voulut
dédommager son libérateur de la perte de Montaigu; il fit donc construire pour lui
le château de Saint-Céneri, sur une roche escarpée, à deux lieues et demie sud
d'Alençon, y attacha des vassaux pour aider à le défendre en cas d'attaque . Ce
Talvas, suivant tous les historiens et chroniqueurs, ne démentit en rien le sang qui
coulait dans ses veines; il surpassa de beaucoup, en cruauté et en scélératesses son
père et ses frères. En voici deux principaux exemples, rapportés par Guillaume de
Jumiéges. Il avait épousé en premières noces Hildebourge qu'Odolent-Desnos
nomme Cudefort, fille d'Arnoult ou Arnulphe, d'une très noble famille; il en eut
deux fils, Robert, qui mourut fort jeune, Arnoult et une fille nommée Mabile,
célèbre dans les fastes de notre histoire par ses; attentats et son excessive cruauté.
Comme Hildebourge, ou si l'on veut Cudefort, était un modèle de vertus, d'une
piété consommée, et adonnée à toutes sortes de bonnes uvres, elle gémissait
continuellement sur les crimes de son indigne époux, qu'elle tâchait, mais en vain,
de ramener par tous les moyens possibles, à des sentiments plus humains. Souvent
en apprenant quelque nouvel acte de férocité, dont il s'était rendu coupable, elle ne
pouvait s'empêcher d'exprimer hautement son mécontentement, et de manifester
son indignation. Obsédé de ses remontrances, fatigué de ses censures, le barbare
couronna ses premiers forfaits par un attentat plus horrible encore que tous les
précédents. Ne pouvant plus contenir la haine invétérée qu'il avait depuis
longtemps conçue contre une compagne, dont la manière de voir était si opposée à
la sienne, il la fit saisir un matin et étrangler eu pleine rue par deux de ses valets,
chargés de l'office de bourreaux, lorsque suivant sa pieuse coutume, elle allait à
l'église pour entendre la messe. Le peuple qui chérissait cette dame, manifesta par
ses larmes et son indignation, l'horreur qu'il ressentait d'un si affreux spectacle.
Alençon fût le théâtre de cette scène barbare, qui fut bientôt suivie d'une autre,
dont voici les détails: Peu de temps après ce forfait, il pensa à contracter de
nouveaux noeuds. Il demanda à ce sujet la main d'Hildeburge, veuve de Thescelin,
seigneur de Montreveau ,et fille de Raoul II, vicomte du Mans, et invita à ses noces
-5058-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
plusieurs seigneurs du pays, entre autres Guillaume Giroye, avec lequel il
paraissait très bien remis.

Soit pressentiment, soit connaissance plus approfondie du c ur humain, et de toute


la perversité dont pouvait être capable un homme de la trempe du seigneur de
Belléme, un frère de Guillaume Giroye, Raoul, surnommé Male couronne ou
Mauvaise tonsure, parce qu'étant ecclésiastique, il avait plus de penchant pour les
exercices chevaleresques que pour les paisibles fonctions du sanctuaire, augurait
mal de cette invitation, où probablement devait avoir lieu la première entrevue
entre Talvas et Giroye, depuis leur différend.

Il fit donc tout son possible, épuisa toutes les ressources de son éloquence,
employa tous les moyens de persuasion pour détourner de son frère le malheur
qu'il pressentait, en l'empêchant de se rendre aux noces honteuses de ce féroce
bigame, et de donner dans le piège qu'il lui tendait.

La fatalité voulut que tant de sages et si amicales représentations échouassent


contre la ténacité du malheureux Giroye, qui ne pouvait soupçonner que
d'horribles embûches pussent lui être dressées sous un si riant appât.

Il ne tarda pas à connaître, mais trop tard, combien sa confiance était mal fondée,
et combien étaient justes les vives alarmes de l'amour fraternel.

Au jour indiqué, Giroye, sans armes et sans défense accompagné seulement de


douze cavaliers, part de son château pour se rendre à Alençon, bien disposé à
prendre part aux plaisirs de la tête; mais à peine a-t-il franchi le seuil du château,
que le farouche Talvas altéré du sang de sa victime le fait saisir comme traître et
félon, et jeter dans un cachot au fond d'une tour, qui jusqu'en 1782, où elle fut
détruite, porta toujours depuis le nom de Tour du Chevalier Giroye.

Le dîner terminé, Belléme et ses convives partirent pour la chasse. C'est pendant
leur absence que les satellites du tyran, chargés de l'exécution de son noir projet,
remplirent leur exécrable mission. Après avoir tiré Giroyé de son cachot, ils lui
coupèrent le nez et les oreilles, lui crevèrent les yeux, et pour comble de
scélératesse, ils lui firent subir un autre genre de supplice, que la pudeur nous
défend de spécifier ici.

L'ayant donc réduit à cet horrible état, ses bourreaux le congédièrent, et le petit
nombre de personnes présentes, saisies d'horreur à ce spectacle, éclatèrent en
sanglots. A la nouvelle de l'affreux attentat commis par Talvas, sur la personne de
son malheureux hôte, l'indignation de sa famille ne connut point de bornes; animés
par le plus vif ressentiment, les deux frères de la victime, Robert et Raoul Giroye,
intrépides chevaliers, se levèrent avec leurs beaux-frères, leurs neveux et autres
parents, pour déclarer à Talvas une guerre à mort, et tirer une vengeance
éclatante de l'affront fait à leur noble et puissante famille, dans la personne de son
chef. Au nombre des preux, décidés à tout oser et à ne reculer devant aucun
obstacle pour punir l'attentat, on voyait figurer Vauquelin, seigneur du Pont-
Echanfray, Robert de GranteMesnil, Roger sire du Merlerault, et Salomon-de-
Sablé, beaux-frères du mutilé, Robert-de-Saint-Céneri, son neveu, fils de Foulques
Giroye; les trois fils d'Ernault Giroye, seigneurs de Courcerault et petits-fils
d'Hidiarde, s ur du même Guillaume Giroye; les enfants et petits enfants de douze
autres filles de la même maison , qui toutes avaient épousé de riches et vaillants
seigneurs; enfin, un grand nombre d'autres parents ou alliés de la même famille se
présentèrent en armes, suivis de leurs vassaux, pour prendre part à l'expédition

-5059-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
contre le farouche auteur du crime.

Chacun l'attaqua de son côté, tous se débordèrent comme un torrent sur le


Bellèmois, l'Alençonnais et le pays de Domfront, et bientôt ces vastes domaines
devinrent le théâtre de toutes sortes de pillages, d'incendies et d'horreurs, tels
qu'on pouvait attendre d'une multitude furieuse, dévorée de la soit d'une horrible
vengeance. Arrachés de leurs maisons saccagées et en flammes, les vassaux de
Talvas, tombés au pouvoir des Giroye, étaient emmenés captifs comme un vil
troupeau de bétail. Pour forcer ce même Talvas, principal objet de la vengeance, à
sortir de ses retraites pour tenir la campagne, on lui adressait sous les remparts
des donjons inaccessibles, où il se tenait soigneusement renfermé, les plus
ignominieuses insultes, les provocations les plus humiliantes et les plus sanglants
défis; mais rien ne fut capable de piquer son amour-propre, ni de l'engager à en
venir aux mains.

Comme la lâcheté est souvent le caractère de la tyrannie, il dévorait ces affronts


sans oser faire face à ses provocateurs; devenu depuis longtemps l'exécration de
ses vassaux, et connaissant le peu de fond qu'il pouvait faire sur leur dévouement,
la sécurité de sa personne lui faisait un devoir impérieux de rester renfermé et de
vider en silence la coupe d'humiliation qu'il s'était lui-même préparée. Fatigués du
joug dont ils étaient écrasés les habitants de sa seigneuries du Perche,
principalement ceux de Domfront et d'Alençon, profitèrent des circonstances
critiques où il se trouvait, pour se déclarer contre lui et faire cause commune avec
les Giroye.

De tous les côtés s'élevait un concert de malédictions contre le malheureux Talvas;


partout l'horizon pour lui se chargeait de sombres nuages; partout grondait la
tempête prête à lancer la foudre.

Un des plus mortels ennemis de la maison de Belléme, Geoffroy martel, comte


d'Anjou, usurpateur du comté du Maine, et persécuteur de l'évêque Gervais, qu'il
avait chassé de son siège après sept ans de captivité, vint déployer sa bannière
avec celles des Giroye.

Cet ambitieux, insatiable de puissance et de richesses, profitant du


mécontentement des peuples de l'AIençonnais et du Passais, contre leur suzerain,
sut pratiquer des intelligences dans les deux villes dont il se rendit maître, et qu'il
garda en sa possession, jusqu'à l'époque où le duc de Normandie, Guillaume le
conquérant, les lui arracha, pour les rendre plus tard à leur ancien possesseur.

A tant de douleur vint s'en joindre encore une autre, qui malgré la perversité de
Talvas, dut néanmoins être pour lui la plus poignante de toutes le ciel, pour punir
ses forfaits, permit que la nature violât à son égard ses lois les plus sacrées, en
armant contre lui la main de son propre fils. instruit à l'école d'un tel père, témoin
journalier de tant d'actions criminelles, Arnoult, fils unique de Talvas, partagea
pour lui la haine universelle; sollicité par ses propres vassaux, il ne balança pas à
prendre part à la révolte et à contribuer, de tout son pouvoir, à l'expulsion de son
père du sein de ses domaines.

En butte à tant d'attaques, harcelé de tous côtés, et par les Giroye, et par Geoffroy
Martel et par le seigneur de Mayenne; Odieux à ses vassaux et à son propre fils,
l'infortuné Talvas, traqué comme une bête fauve, traîna quelque temps une vie
errante et malheureuse, toujours aux aguets, sans cesse entre la vie et la mort,
craignant jusqu'à son ombre, tremblant même au moindre bruissement d'une
feuille, n'ayant pas sur la terre un seul ami véritable. il prit enfin le parti de

-5060-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
s'éloigner de ses terres pour demander un asile à quelque seigneur du voisinage.

Ayant trouvé l'occasion de s'échapper, il se réfugia auprès du vicomte d'Hyesmes


Roger, IIème du nom, sire de Montgommery, parent et favori de Guillaume le
conquérant, duc de Normandie Roger fit au fugitif l'accueil le plus favorable, et lui
offrit l'hospitalité la plus généreuse. Talvas, pour lui en témoigner sa
reconnaissance, lui offrit en mariage sa fille, Mabile et lui fit la cession de tous ses
biens et dignités, qu'il avait perdus par sa mauvaise conduite, même des
seigneuries de Belléme et du Sonnois, qu'il conservait encore. Montgommery, en
habile politique, voyant l'immense avantage que lui procurait cette alliance, à
cause des grands biens de Talvas, accepta la main de sa fille, et garda chez lui son
beau-père qui y vécut en paix jusqu'à la fin de ses jours. Plusieurs historiens, entre
autres ceux du Perche, ne font aucune mention de l'époque de sa mort, qui suivant
l'auteur de la statistique de l'Orne pour 1854, dut arriver en 1052, au château de
Domfront, que lui avait rendu le duc Guillaume, et qui par le mariage de Mabile,
appartenait alors à Roger Il, de Montgommery, ainsi qu'Alençon et les seigneuries
du Perche et du Sonnois. On ignore s'il eut des enfants de sa seconde femme; nous
savons seulement, qu'outre les trois enfants du premier lit savoir: Robert, mort dès
l'an 1035, Arnoult et Mabile, femme de Montgommery il laissa trois bâtards Olivier,
Warin, et Raoul. http://www.saosnois.com/belleme/guillaume2.htm
Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342), D.Thuret
(Genea50) 8 ii 2014
- família 1: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342)., G.Marsan
(http://www.genealogie33.org)., P Ract Madoux (comte de Semallé: "Le Saosnois".
Mamers.1932) 30 xi 2004
- família 2: A.de La Gueronniere (Angot/Vicomtes du Maine + E.S. III-IV Tafel
687/JC de Vaugiraud Forum 25/9/2012) 29 ix 2012

94.993.987:
Morte étranglée sur ordre de son mari, par des serviteurs en pleine rue à Alençon,
alors qu'elle se rendait à la messe.
Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342)
http://hindskw.cts.com/KennethHinds/28695.html, C.Saint-Félix (thèse de François
Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014
- defunció: assassinée sur ordre de son mari
- família: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342)., G.Marsan
(http://www.genealogie33.org)., P Ract Madoux (comte de Semallé: "Le Saosnois".
Mamers.1932) 30 xi 2004

94.993.987a:
ARNOUL de Bellême (-murdered). Guillaume of Jumièges records that “Willelmus
cognomento Talavatius” married “Hildeburgefiliam Arnulfi” by whom he had
“Arnulfum et Mabiliam” and whom he had strangled “a duobus parasitis”[61].
Guillaume of Jumièges records that “Arnulfusfilius eius” [referring to Guillaume [II]
“Talvas”] rebelled against his father whom he expelled and sent into exile, but was
later strangled in his bed[62].
[61] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, X, p. 271.
[62] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, XII, p. 273.
Arnoult, fils de Guillaume Il, après avoir contribué à l'expulsion de son père, ainsi
que le racontent Ordéric Vital, et principalement Guillaume de Jumièges, qui
écrivait son histoire à l'époque même où se passaient les faits qu'il y mentionne,
partagea à son tour sa disgrâce et son exil. La haine des Giroye pour les Talvas
était telle que, malgré les dispositions hostiles du fils contre le père, malgré le
gage d'alliance que semblait leur garantir sa conduite dénaturée envers l'auteur de
ses jours, il ne put néanmoins trouver grâce à leurs yeux; il fût également chassé et
dépossédé des domaines paternels. Arnoult, dans sa détresse, alla demander un
asile à Yves, évêque de Sées, son oncle paternel. On trouve sa souscription avec
-5061-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
celle du prélat, apposée en bas d'une charte de Guillaume-le-Bâtard, due de
Normandie , en faveur de l'abbaye de Saint-Rignier. Il souscrivit encore quelques
autres chartes , émanées de son oncle. Presque tous les historiens gardent le
silence sur l'époque où mourut Arnoult, à l'exception de l'auteur de la statistique
de l'Orne pour 1834, qui, dans la partie historique de son travail, fixe cette même
mort à la date de 1052 sur la fin de l'année où mourut Talvas, son père. Voici, selon
les auteurs du temps, suivis en cela par les écrivains postérieurs, quelles furent les
circonstances de la mort de ce jeune seigneur. Comme il avait partagé les crimes
de ses devanciers, il participa aussi à leur châtiment; une mort inopinée l'arrêta, à
la fleur de son âge dans la carrière des vices où il avait vécu. Écoutons à ce sujet
les sages réflexions d'un de nos vieux historiens: " les enfants (dit Bry de la
Clergerie), ne sont pas juges ni censeurs des mauvaises humeurs de leurs pères, et
si Dieu le souffre quelquefois, c'est un denoyment de l'ordre commun, et le plus
aspre chastiement qui se trouve pour punir les impiétés d'une race maudite. La
main du fils est pour la gloire et le secours de son père, et non pour lever le baston
sur celui qui lui a donné la vie, ni corriger les fautes et les vices sur lesquels il n'a
autre juridiction et pouvoir que les voeux et les prières. La cruauté de Talvas est
grande, mais l'impiété de son fils en surpasse l'horreur, et Dieu ne laisse l'une ni
l'autre impunie. " Arnoult, partant un jour avec quelques vassaux pour, ses
excursions ordinaires, toujours accompagnées de rapines et de brigandages ,
suivant l'usage de ce temps, passa en chevauchant près de la retraite d'une pauvre
religieuse qui élevait un petit porc; il lui prit fantaisie d'enlever cet animal, plutôt
sans doute pour jouer un tour à la pauvre fille qu'alléché par l'appât du butin. Sa
volonté fut aussitôt accomplie que connue : le petit cochon fut emporté malgré les
cris et les prières de la malheureuse, qui poursuivit en pleurant et conjura le comte
de vouloir bien lui rendre son petit porc. Arnoult fut insensible à ses; réclamations
et continua sa route. De retour à son logis il commanda à son cuisinier de lui
préparer son gibier pour son souper. Ses ordres furent exécutés, et le mets,
préparé, fut servi sur la table. Harassé de sa course, Arnoult, stimulé par la faim,
mangea de bon appétit plusieurs morceaux du cochon; mais ce fut son dernier
repas, car la nuit suivante il mourut dans son lit, très probablement victime (le sa
gourmandise et à la suite d'une indigestion. on attribua cette mort au démon qui,
pour le punir de son vol, l'avait dit-on étranglé. La superstition du temps autorisait
de semblables conjectures. D'autres écrivains ont prétendu que ce diable
stranguIateur ne fut autre qu'Olivier, frère naturel d'Arnoult; mais des chroniques
normandes et Guillaume de Jumièges, qui connaissait Olivier, du moins de
réputation, rejettent cette imputation comme étant calomnieuse, Olivier s'étant
toujours conduit comme un brave et féal chevalier qui, après s'être illustré par une
foule d'actions, honorables au service de son prince, aspire à une gloire plus
durable. Cet Olivier voulant cueillir des palmes inflétrissables renonça au monde
sur le déclin de l'âge et s'enrôla sous les drapeaux du maître des rois en prenant
l'habit religieux, dans l'abbaye du Bec. Cette maison avait alors pour abbé le
célèbre saint Anselme, que ses, vertus et ses mérites élevèrent dans la suite au
siège archiépiscopal de Cantorbéry. Olivier vécut longtemps sous les livrées de la
pénitence, dans sa paisible retraite , où il mourut, plein de jours et de vertus.
Quant au malheureux Giroye, que nous avons laissé au sortir des mains de ses
bourreaux, il fut confié aux soins de son frère Raoul, dont les conseils, n'avaient pu
l'éloigner de ce malheur. Raoul Mâle-Couronne, l'un des plus habiles de son temps
dans l'art de guérir, parvint, à force de soins et grâce à sa science, à procurer à son
frère une guérison aussi complète que la grandeur du mal pouvait le permettre.
Guillaume, en reconnaissance d'une guérison si peu espérée, partit pour la Terre
Sainte, qu'il avait déjà visitée une fois. Au retour de la Palestine, il alla cacher ses
plaies sous l'habit monacal, dans l'abbaye du Bec. A sa sollicitation, Hugues et
Robert de Grante-Mesnil, ses neveux, entreprirent, en 1050, de relever les ruines
de l'ancienne abbaye d'Ouche, fondée par saint Evroult, et ruinée en 945 par le duc
de France, Hugues-le-Grand, lors de son démélé avec Louis d'outre-mer. À la prière
du même Giroye, le nouveau monastère fut bientôt richement doté par sa
nombreuse famille et tous ses amis, auxquels il donna l'exemple le premier de tous.
Guillaume Giroye mourut, suivant les uns, dans le monastère où il s'était retiré, et,
-5062-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
suivant Ordéric vital, à Cayette ou Gaëte, en Italie, où des affaires importantes
avaient réclamé sa présence. il était dans un âge très avancé quand il termina sa
carrière, le 5 février. il fut enterré dans l'église de Saint-François ou plutôt Saint-
Érasme. http://www.saosnois.com/belleme/arnoult.htm
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/arnoult.htm,
C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace
princier"2010) 2ii2014

94.993.995:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

94.994.002:
Le 16 octobre 2011, Roger était encore donné comme le fils d'Hugues de Boulogne
et Aldegonde de Saint-Pol, inconnus des archives.
"L'étude des origines du comté de Saint-Pol confine à l'utopie, tant les informations
sûres font défaut avant 1100.
Autant l'avouer d'emblée : la manière dont le premier comte de Saint-Pol a acquis
son titre à l'aube du XIè siècle restera toujours un objet de spéculation.
Un examen serré des éléments disponibles permet néanmoins de revoir les
hypothèses anciennes et de dégager des certitudes fragmentaires.
Les modalités de la dislocation du pagus carolingien de Thérouanne et de la
formation concomitante des comté de Boulogne, Guînes et Saint-Pol se laissent en
partie deviner.
On peut cerner à gros traits le rôle du comte Roger en tant que "fondateur" du
comté de Saint-Pol, ainsi que sa place sur l'échiquier politique du XIè siècle.
Mais la fin de la période soulève d'énormes problèmes : les sources manquent à ce
point que la généalogie comtale devient incertaine".
Roger apparaît dans les chartes du comte de Flandre entre 1024 et 1067.
Un acte non daté mentionne son épouse Hadvise (Haduis) et ses fils Manassès et
Robert.
Des deux fils, apparemment disparus avant leur père, seul Manassès paraît encore
une fois en 1051 (D. Haigneré, chartes, t. 1, p. 26-27).
[C-H.Maigret (J-F. Nieus. Un pouvoir comtal entre Flandre et France) 15 x 2011]

[P. 43] "Les Baudouin-Arnoul de la branche cadette de la dynastie flamande font


brusquement place à un comte Roger, d'ascendance inconnue."

[P. 44] "Un aristocrate champenois bien marié ?"


La seule chance d'éclairer les origines familiales du comte Roger se situe dans
l'onomastique.
Roger, Manassès, Robert Ces noms de baptême n'ont rien à voir avec la famille
comtale de Flandre.
Le fait n'a pas échappé à J. Dhondt et P. Feuchère qui ont tous deux suggéré des
rapprochements avec certains groupes familiaux de l'ancienne Francie.
Après avoir écrit qu'il était "impossible de conjoncturer même l'origine de cette
nouvelle dynastie", Dhondt a a pourtant émis l'hypothèse d'une parenté avec les
comtes de Dammartin-en-Goële.
Feuchère signale un comte de Montreuil appelé Roger au milieu du Xè siècle, mais
songe surtout à des lignages comtaux de Champagne au sein desquels les noms de
Roger et de Manassès sont utilisé à la fin du Xè siècle : Porcien, Omont-Rethel,
Arcis-Ramerupt, Dammartin-en-Goële.
Dans la foulée R. Fossier voit dans le premier maître de Saint-Pol "un chevalier
peut-être apparenté à des familles de Champagne".
Qu'en penser ? Si le nom de Robert - déjà bien diffusé avant l'an mil - est d'un
secours limité, le binôme Roger-Manassès constitue en revanche un intéressant

-5063-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
marqueur de parenté.
On trouve quelques Roger dans des lignées de châtelains en Normandie et en
Flandre au XIè siècle, mais la combinaison avec Manassès - nom biblique fort rare
à cette époque - semble bel et bien favoriser l'hypothèse d'un provignement
champenois.
Plusieurs grands aristocrates répondant au nom de Roger ou de Manassès, unis par
des liens de parenté avérés ou supposés, se partagent les charges comtales et
épiscopales de la principauté en formation au tournant des Xè et XIè siècles.
On citera par exemple la série de Roger qui rattache les comtes de Laon de la
première moitié du Xè siècle aux comtes de Porcien du siècle suivant.
Roger III, actif dans le Porcien vers les années 970-980, était l'allié de Manassès
Ier d'Omont-Rethel et probablement son parent. C'est une piste envisageable.
Roger est un rejeton de la haute aristocratie
On remarquera par ailleurs que son épouse, mentionnée à ses côtés dans une
charte pour l'abbaye de Fécamp, porte le nom d'"Halduis" qui la relie à la noblesse
la plus éminente.
D'origine ottonienne, il s'était transmis aux Capétiens par le biais de la femme
d'Hugues le Grand, fille d'Henri l'oiseleur.
Hugues Capet et sa soeur Emma, mariée au duc de Normandie, eurent chacun une
fille baptisée Hadwide, données l'une au comte de Hainaut, l'autre au comte de
Rennes.
Le nom s'est aussi propagé par la descendance de Robert le Pieux. Il se diffusera
dans les familles de rang comtal et châtelain au fil du XIè siècle, mais au début de
la période, il exprime encore une proximité avec la dynastie capétienne.
Le fils cadet - Robert, selon toute vraisemblance - tenait peut-être son nom de ses
ascendants maternels.
Une hypothèse parmi d'autres: Roger serait normand
A mes yeux trois hypothèses pour l'implantation de Roger à Saint-Pol:
- 1° la conquête de Saint-Pol par Roger ?
- 2° l'inféodation de Saint-Pol à Roger par Arnoul, l'un de ses fils ou son suzerain ?
- 3° l'alliance de Roger avec la fille, petite-fille ou une parente d'Arnoul, lui
apportant Saint-Pol par mariage ?
Ce pourrait même être une combinaison de ces points, par exemple une conquête
entrainant un mariage suite à accord négocié !
Nous n'avons aucune réponse prouvée, mais je ne peux m'empêcher de penser
comme J-F Nieus qu'"Une origine normande de Roger ne peut-être totalement
exclue." [Nieus, Pouvoir comtal, P. 53]. En effet le futur comté de Saint Pol se
trouvait sur des territoires qui relevaient auparavent du Ternois, et étaient sous le
contrôle d' Arnoul de Boulogne (de Ternois), territoires dont nous savons qu'un
autre oncle, autre Arnoul, avait protégé façe aux normands. "Le contrôle des pays
méridionaux était d'ailleurs indispensable pour Arnoul, dont la lutte contre
l'influence normande fut un souci majeur durant tout son principat." [Nieus,
Pouvoir comtal, P. 39]
Or une charte non datée, mais probablement de la fourchette 1031 avant 1051,
nous interpelle fortement: "Roger, comte du château de Saint-Pol", avec l'accord de
son épouse Hadvise et de ses fils Manassès et Robert, soumet 1'abbaye Sainte-
Berthe de Blangy (-sur-Ternoise) à celle de la Trinité de Fécamp." [Jean-François
Nieus, Les chartes, P. 83].
Notons que Fécamp est une véritable capitale pour les ducs de Normandie, que
l'abbaye bénédictine de la Trinité de Fécamp est une refondation majeure des ducs
de Normandie Richard I et Richard II (avec l'aide du réformateur Guillaume de
Volpiano), et que près de 200 kilomètres séparent l'abbaye de Fécamp (totalement
en zone d'influence des ducs de Normandie) de celle de Sainte-Berthe de Blangy
(située en zone d'influence des comtes de Flandres) ! Richard I, Richard II et
Guillaume de Volpiano sont inhumés dans l'église abbatiale et après 1066
Guillaume Le Conquérant installera sa cours à Fécamp, à proximité de l'abbaye.
Cette charte nous montre le comte Roger, lorsqu'il céde des droits de l'abbaye
Sainte Berte, avait le même pouvoir qu'avant lui le comte Arnoul de Ternois qui
"exercait le "comitatus manarchiam" suivant l'expression forte des Miracula, et
-5064-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
imposait une autorité directe dont la captation des biens d'église [de l'abbaye
Sainte Berte] sous couvert de l'avouerie." [Nieus, Pouvoir comtal, P. 42]. Dans
cette charte Roger associe son épouse Hadvise N "dont la dot aurait été assise sur
les anciens domaines de Blangy et les marges boisées du Thérouannais.". Cette
très nette mise sous contrôle normand d'un bien de la sphère flamande me semble
capital. Si il est très probable que son épouse soit originaire du Ternois ou au
moins de sa région, cette attirance de Roger vers la sphère normande me semble
devoir nous orienter pour son origine ? Les orientations onomastiques sur les
prénoms de ses fils (Manassès et Robert) données par J-F. Nieus [P. 44] peuvent
très bien concerner d'autres personnes de leurs ascendances (par exemple par la
mère de Roger, par la mère d'Hadvise ou par d'autres aïeux inconnus). De plus à la
même époque ce prénom de Roger se retrouve dans quelques familles normandes,
dont par exemple chez Roger de Toëny - qui, lui aussi, fera appel aux moines de
l'abbaye bénédictine de la Trinité de Fécamp lors de la fondation de l'abbaye Saint-
Pierre et Saint-Paul de Châtillon-lès-Conches vers 1035 !.
J-C de Vaugiraud (J-F. Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol
+ Les chartes des comtes de Saint-Pol (XIe-XIIIe siècles), 2008 + hypothèses) 18 x
2011

Fonts:
- persona: C-H.Maigret (J-F.Nieus) 15 x 2011, J-C de Vaugiraud (Jean-François
Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P.
39 et ss) 15 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 15 x 2011
- família: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouoir comtal entr Flandre et France) 15 x
2011

94.994.003:
[P. 47] "Roger pourrait éventuellement avoir épousé une fille d'Arnoul, dont la dot
aurait été assise sur les anciens domaines de Blangy et les marges boisées du
Thérouannais. La présence marquée d'Hadvise aux côtés de son mari lors de la
restauration de Sainte-Berthe témoignerait ainsi de l'origine féminine du pouvoir
comtal de Saint-Pol, et les "praedecessores dont Roger évoque la mémoire lors de
l'affiliation de Saintr-Berthe à l'abbaye de Fécamp correspondraient à sa parenté
cognatique."
[P. 45]"On remarquera par ailleurs que l'épouse de Roger, mentionnée à ses côtés
dans une charte sans date pour l'abbaye de Fécamp, porte un nom (Halduis) qui la
relie à la noblesse la plus éminente. [Prénom] d'origine ottonienne, il s'était
transmis aux Capétiens par le biais de la femme d'Hugues le Grand (+956), fille
d'Henri l'Oiseleur. Hugues Capet (+996) et sa soeur Emma, mariée au duc de
Normandie, eurent chacun une fille baptisée Hadwide, données l'une au comte de
Hainaut, l'autre au comte de Rennes. Le nom s'est aussi propagé par la
descendance de Robert le Pieux (+1031). Il se diffusera dans les familles de rang
comtal et châtelain au fil du XIè siècle, mais au début de la période, il exprime
encore une proximité avec la dynastie capétienne."
J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005 P. 47) 15 x 2011

Fonts:
- persona: C-H.Maigret (J-F.Nieus) 15 x 2011
- família: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouoir comtal entr Flandre et France) 15 x
2011

94.994.003a:

-5065-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouoir comtal entr Flandre et France) 15 x
2011

94.994.003b:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouoir comtal entr Flandre et France) 15 x
2011
- defunció: J-C de V (Jean-François Nieus: Les chartes des comtes de Saint-Pol (XIe-
XIIIe siècles), P. 83) 16 x 2011

94.994.004:
HUGUES [de Ponthieu], son of ENGUERRAND Comte [de Ponthieu] & his first wife
--- (-killed 20 Nov 1052, bur Saint-Riquier). The Chronique de Saint Riquier records
that "son fils Hugues" succeeded after the death of "Angelran"[1176]. He fought at
the Battle of Hastings in 1066 according to the poem Carmen, attributed to his
uncle Guy Bishop of Amiens, although the date is inconsistent with his date of
death shown here. Comte de Montreuil.

m BERTHE d'Aumale, daughter of GUERINFRID Sire d'Aumâle & his wife ---. The
foundation charter of Saint-Martin d´Auchy narrates the church´s foundation by
“Guerinfrido qui condidit castellum…Albamarla” and names “Engueranni consulis
qui filius fuit Berte supradicti Guerinfridi filie et Adelidis comitisse uxoris sue
sororis…Willelmi Regis Anglorum”[1177].

Comte Hugues & his wife had five children.

[1176] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, IV.XXI, p. 242.

[1177] CP I 351 footnote d, quoting from Stapleton, T. Archaeologia XXVI, pp. 358-
60.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet) , J-P.de Palmas (FMG)
14 iii 2013
- defunció: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet)
- família: L.Guion, F-L. Jacquier (GeneaNet - base "pierfit"); J-P.de Palmas (FMG) 14
iii 2013

94.994.005:
BERTHE d'Aumale, daughter of GUERINFRID Sire d'Aumâle & his wife ---. The
foundation charter of Saint-Martin d´Auchy narrates the church´s foundation by
“Guerinfrido qui condidit castellum…Albamarla” and names “Engueranni consulis
qui filius fuit Berte supradicti Guerinfridi filie et Adelidis comitisse uxoris sue
sororis…Willelmi Regis Anglorum”[1177].

[1177] CP I 351 footnote d, quoting from Stapleton, T. Archaeologia XXVI, pp. 358-
60.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet), L.Guion, J-P.de Palmas
(FMG) 14 iii 2013
- naixement: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet)
- família: L.Guion, F-L. Jacquier (GeneaNet - base "pierfit"); J-P.de Palmas (FMG) 14
iii 2013
-5066-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.994.005b:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 iii 2013

94.994.005c:
Fils du comte Hugues II et frère du comte Enguerrand de Ponthieu. Il participe à la
bataille d'Hastings.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Liste des compagnons de Guillaume Le
Conquérant) iv2010

94.994.005d:
Cité par la Chronique de Saint-Riquier, qui pourrait se nommer Galeran, tué à la
bataille de Mortemer en 1054. Si ce prénom se confirmait, cela renforcerait
l'hypothèse proposant que la mère d'Hugues soit de la maison de Vexin.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 iii 2013

94.994.005e:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) ix2009
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 2 v 2012

94.994.096:
Ingelram I van Esen, cité dans une charte de 1088, chevalier est le premier
châtelain de Dixmude selon Ernest Warlop dans ses Annexes à son étude «De
Vlaamse adel voor 1300 » publiée en 1968.
Sur base des chartes, Warlop lui attribue 4 enfants: Diederik, Radulf, Richard et
une fille dont le document de 1127 ne précise pas le prénom.
D'après Warlop, les descendants de la Maison de Menin, (Menen en néerlandais)
ont exercé la fonction de châtelain à Saint-Omer, Bergues-Saint-Winnoc, Furnes et
Dixmude. Dans les documents de l'époque, Warlop n'a trouvé aucune trace des
nombreux liens fournis par Dooghe. Source : N.Powis - 22.11.2009 Selon T. Delvaux, le fils
de Lambert et père de Mahaut (Mathilde) x Lambert II de Gand se nomme Wulfric
Rabel (ou Ouvri Kabel) châtelain de Saint-Omer, cité en 1073-1083.
Il fit prisonnier Robert de Flandre "Le Frison", vainqueur de Cassel en 1071. Source :
C-H.Maigret ( T. Delvaux : "Le sang des Saint-Omer" ) 19 vii 2012

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( ES VII p 81 ctes de Guines Marburg 1979 )


19 xi 2009, JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de
Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009
- defunció: ES VII 81
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, JB.de La Grandiere
(Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi
2009

94.994.097:
le nom de l'épousée reste une hypothèse indiquée comme telle par Didier-Georges
Dooghe "Les Châtellenies de Flandre" p.93 Wattignies 2003
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008,JB.de La
Grandiere ( ES VII p 81 ctes de Guines Marburg 1979 ) 19 xi 2009, JB.de La
Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre" p.93 Wattignies
2003 ) 19 xi 2009
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, JB.de La Grandiere
(Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi
2009

94.994.097a:
Diederik van Esen, cité dans les chartes de 1096 à 1133, "princeps" (pair de
-5067-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Flandre), "baro", châtelain de Dixmude après son père.
Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandres" p.93 Wattignies 2003 le
"fusionne" - à tort - avec Thierry de Beveren.
Warlop range également dans la famille d'Esen sans le relier Christian mentionné
en 1138 et 1139 comme châtelain de Dixmude. Warlop n'a pas trouvé de document
permettant d'affirmer ou d'infirmer que ce Christian soit issu de Thierry d'Esen.
Entre 1139 et 1152, aucun document ne mentionne de châtelain de Dixmude, la
fonction ayant été probablement vacante pendant cette période.
N.Powis (Ernest Warlop selon les Annexes à son étude «De Vlaamse adel voor 1300
» 1968 et Flemish Nobility tome I du même auteur) 22/11/2009
Fonts: - persona: N.Powis (Ernest Warlop selon les Annexes à son étude «De
Vlaamse adel voor 1300 » 1968) 22/11/2009

94.994.097b:
D'après Warlop, Froulf était châtelain de Bergues-Saint-Winnoc; il n'était pas un
fils d'Ingelram d'Esen, mais appartenait également à la Maison de Menin (Menen
en néerlandais). Il était le frère de Guillaume I, châtelain de Saint-Omer. N.Powis
(Ernest Warlop selon ses Annexes à son étude «De Vlaamse adel voor 1300 »
publiée en 1968) 22/11/2009
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de
Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009

94.994.097c:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de
Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009

94.994.097d:
D'après Warlop, Florens était châtelain de Furnes; il n'était pas un fils d'Ingelram
d'Esen, mais appartenait également à la Maison de Menin (Menen en néerlandais).
De 1105 à 1183, Warlop ne trouve aucun lien de parenté entre les différents
châtelains de Furnes qui se sont succédés. Source : N.Powis ( Ernest Warlop : Annexes à son étude
"De Vlaamse adel voor 1300", 1968 ) 22.11.2009

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de
Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009
- família: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre"
p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009

94.994.097e:
Radulf van Esen, cité dans les chartes de 1096 à 1115, est probablement le père
d'Ingelram II van Esen. Source : N.Powis ( Ernest Warlop : Annexes à son étude "De Vlaamse adel voor 1300",
1968)

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de
Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009
- família: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre"
p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009

94.994.097g:
Richard, cité dans les chartes de 1110 à 1128, appelé van Woumen, "nudus", porte-
étendard de Willem Clito. Source : ( Ernest Warlop : Annexes à son étude "De Vlaamse adel voor 1300", 1968
)

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de
Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009
-5068-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre"
p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009

94.994.097h:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de
Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009
- família: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre"
p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009

94.994.097i:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
- família: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre"
p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009

94.994.098:
L'épouse qui lui est donnée par le père Anselme ne se retrouve pas dans la
généalogie Louvain.
Devise : "Nul ne s'y frotte"
Cri : "À Créquy le grand baron"
[C-H.Maigret (P.A. Tome 6, p. 778) 18 ii 2012]

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008,JB de La Grandière
(père Anselme t VI pp 777/807 Créquy) ) 20 xi 2009
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008,JL.Mondanel
(généalogie Créquy) 23 iii 2011

94.994.099:
Bierback, Bierbeck = actuel Bierbeek (Christian Dykmans : 2012-07-16 09:37:45)

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008,JL.Mondanel
(généalogie Créquy) 23 iii 2011
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008,JL.Mondanel
(généalogie Créquy) 23 iii 2011

94.994.099a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Pére Anselme t VI pp 777/787 Créquy ) 20 xi 2009
- família: JB.de La Grandiere ( Pére Anselme t VI pp 777/787 Créquy ) 20 xi 2009

94.994.099b:
Bierback, Bierbeck = actuel Bierbeek (Christian Dykmans : 2012-07-16 09:37:45)

Fonts:
- persona: JB de La Grandière (père Anselme t VI pp 777/807 Créquy) ) 20 xi 2009

94.994.136:
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Racines et histoire/Ardres) 12 i 2016

94.994.137:

-5069-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Racines et histoire/Ardres) 12 i 2016

94.994.140:
Warlop ne dit pas qu'il fut seigneur d'Aalst (Alost) ?

Note de : J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier, C Patrouix, J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische
nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009
- família: F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van Reeth - Ancestry.com), C Patrouix :
Données Wedgwood

94.994.141:
Fonts:
- persona: P.Mahieu
- família: F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van Reeth - Ancestry.com), C Patrouix :
Données Wedgwood

94.994.141b:
Mentionné entre 1056 et 1096.

Source : J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009

94.994.141c:
Mentionné de 1056 à 1095.
J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009
[Line from "The Plantagenet Ancestry," W.H.Turton (Balt.: Gen. Pub. Co., 1968), p.
88, 100:] Gilbert "accompanied his uncle [William the Conqueror] into England,
and participating in the triumph of Hastings, obtained a grant of the lands of a
Danish proprietor, named Tour, with numerous other lordships. This Gilbert
happened to be in York, anno 1069, and had a narrow escape, when the Danes, in
great force on behalf of Edgar Etheling, entered the mouth of the Humber, and
marching upon that city, committed lamentable destruction by fire and sword,
there being more than 3,000 Normans slain. Like most of the great lords of his
time, Gilbert de Gant disgorged a part of the spoil which he had siezed to the
churches, and amongst other acts of piety restored Bardney Abbey, co. Lincoln,
which had been utterly destroyed many years before by the pagan Danes, Inquar
and Hubba." - Burke's "Dormant and Extinct Peerages," 1883, p. 227. Gilbert is
"son of Baldwin, Earl of Flanders, by Maud, sister of William the Conqueror".

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les familles de Monfort-sur-Risle &
Bertrand de Bricquebec, H&G 2003, pp. 321-324), C Patrouix : Données Wedgwood,
T.Blanchet(http://homepages.rpi.edu/~holmes/Hobbies/Genealogy/ps31/ps31_009.ht
m)
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les familles de Monfort-sur-Risle & Bertrand
de Bricquebec, H&G 2003, pp. 321-324), C Patrouix : Données Wedgwood,
T.Blanchet(http://homepages.rpi.edu/~holmes/Hobbies/Genealogy/ps31/ps31_009.ht
m)

-5070-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.994.141d:
Mentionné en 1095. Source : J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587
et ss) 28/11/2009

94.994.160:
Source : Miroslav Marek, "The family de Béthune",
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
- defunció: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 28 ii 2012
- família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html

94.994.161:
Fonts: - família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html

94.994.161b:
[ADAM] [I], son of --- . The Lignages d'Outremer state that "le premier seignor de
Bessan fu frere de l'aveué de Betune" and had one son "Adam qui fu seignor de
Bessan et esposa feme"[263]. Ducange names him Adam and identifies him as the
son of Robert [II] Seigneur de Béthune and brother of Robert [III] Seigneur de
Béthune (see the document FLANDERS, NOBILITY)[264]. Another primary source
which corroborates this information has not yet been identified. m ---. The name of
the wife of [Adam] is not known. [Adam] [I] & his wife had one child.
[263] Lignages d'Outremer, Le Vaticanus Latinus 4789, CCC.XLVI, p. 109.
[264] Rey (1869), p. 248.
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html, L.Guion, J-P.de Palmas (FMG) 1
ii 2013
- família: L.Guion

94.994.162:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
- família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html

94.994.163:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base André Masson) 24 x 2014
- família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html

94.994.164:
Fonts: - defunció: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: LFlichy 25ix06 (base patrickcacheux)

94.994.165:
Fonts: - família: LFlichy 25ix06 (base patrickcacheux)

94.994.165a:
Fonts: - família: LFlichy 25ix06 (base patrickcacheux)

-5071-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.994.208:
LAMBERT [I] (-after 1 Nov 1026). The Iohannis de Thilrode Chronicon names
"Lambertus" as first hereditary castellan of Gent installed by "comite
Arnulpho"[796]. Avocat of Saint-Pierre de Gand. "…Lantberti advocati…" signed
the charter dated to [996/1031] under which "Landen filia Landrade" submitted
herself to the abbey of Saint-Pierre de Gand[797]. "…Lambert advocati et filii eius
Folcardi…" signed the charter dated 1 Nov 1026 under which "Eremboldus"
donated property to Saint-Pierre de Gand[798].
m [GUNDRADA, daughter of ---. "Gundrada cum filio suo Folkardo" donated
"alodem suum…in pago Curtracinse [in] Wackinna" to Saint-Pierre de Gand by
charter dated 1010[799]. It is not known whether Folkard, son of Gundrada, was
the same person as Folkard [I], son of Lambert [I].]
Lambert [I] & his wife had one child.
[796] Iohannis de Thilrode Chronicon 7, MGH SS XXV, p. 563.
[797] Gand Saint-Pierre, 84, p. 68.
[798] Gand Saint-Pierre, 101, p. 75.
[799] Liber traditionum sancti Petri Blandiniensis, 109, p. 102.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017
- família: JB.de La Grandiere (ES t VII p 81 ctes de Guines Marburg 1979 ) 19 xi
2009

94.994.209:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (ES t VII p 81 ctes de Guines Marburg 1979 ) 19
xi 2009

94.994.216:
Rattachement de Robert Le Blount au comte Raoul de Guînes : F-L. Jacquier
(Ancestral Roots - James S Mills Jr - March 2003).
Fonts:
- persona: Auréjac, JL.Mondanel (généalogie de Guines) 15 iii 2011

94.994.217:
 Rosella de Saint-Pol est indiquée par A. du Chesne (qui reprend Lambert
d'Ardres, lire en ligne) comme fille d'un certain Hugues, comte de Saint-
Pol
 Personnages dont l'existence historique est douteuse d'après FMG.
 Elle n'est pas mentionnée dans les travaux récents sur les comtes de
Saint-Pol, qui considèrent d'ailleurs que son époux est légendaire (Jean-
François Nieus, Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol,
1000-1300, 2005, page 37).
 Sauf nouvel élément, il convient donc de ne pas chercher à rattacher
Rosella de Saint-Pol à la famille comtale de ce nom.

N. de Wissocq (21 iii 2016)


Jusqu'à ce jour, 19 x 2011, Rosella était indiquée comme fille d'Hugues de
Boulogne et d'Aldegonde de Saint-Pol. Mais la réalité historique de ces deux
personnages est fortement contestée ! J-C de Vaugiraud 19 x 2011
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Guy Bastin, Nobily) http://users.skynet.be/nobily/

94.994.217c:
Fonts: F-L. Jacquier (Ancestral Roots - James S Mills Jr - March 2003).

94.994.218:
Fonts: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

-5072-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.994.219:
Fonts: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

94.994.256:
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Beaugency) 25 iii 2011
- família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) ix2009

94.994.257:
Fonts: - família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) ix2009

94.994.304:
Châtelain de Cambrai, seigneur d'Oisy, Walincourt, etc.
Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de-
Brampton/6000000008640519782)
- defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de-
Brampton/6000000008640519782)
- casament: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), F-L. Jacquier (GeneaNet
"mcbauche")

94.994.305:
Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de-
Brampton/6000000008640519782)
- casament: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), F-L. Jacquier (GeneaNet
"mcbauche")

94.994.305a:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 08i2008),
T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de-
Brampton/6000000008640519782)
- naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de-
Brampton/6000000008640519782)
- defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de-
Brampton/6000000008640519782)
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 08i2008)

94.994.306:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), C-H.Maigret (D-G.Dooghe
"Les châtellenies de Flandre") 24 vii 2012
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), J-P.de Palmas (D-G.Dooghe "Les
châtellenies de Flandre") 5 x 2016

94.994.307:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base André Masson) 24 x 2014, F-L. Jacquier
(GeneaNet "mcbauche")
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), J-P.de Palmas (D-G.Dooghe "Les
châtellenies de Flandre") 5 x 2016

94.994.307a:
Il trouva la mort lors du siège d'Antipatride. Pris comme otage, il fut attaché par
les assiégés au mât de la forteresse où se dirigeaient les coups des croisés.

Fonts: - persona: N de Meyrignac (wikipedia, 16vii2008)


-5073-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
94.994.352:
Godefroid III de Florennes devait recevoir sa sépulture au monastère de Waulsort.
Cependant, les moines de Florennes ne l'entendaient pas ainsi.
Tandis qu'on préparait le transport de la dépouille, l'abbé Gonzon, de Florennes se
rendit à cheval à la rencontre de l'abbé Lambert, de Waulsort et l'interpella ainsi :
"Puisque vous ne retirez aucun avantage de ces funérailles, vous pourriez vous
épargner cette peine en nous concédant la sépulture des seigneurs de Florennes.
En compensation, recevez ce cheval pour votre usage : il est d'une force
extraordinaire."
Et l'abbé de Waulsort céda son privilège à ce prix.
Fonts:
- persona: H. de La Villarmois (Abbé Rolland - Histoire généalogique de la maison
de Rumigny-Florennes), J-M.Thiebaud (base Jean-Pierre Masson-Josserand) 11 ii
2011
- notes : C-H.Maigret (Pertz - Monumenta Germaniœ Historica, tome XIV, page 528)
13 vii 2011
- defunció: H. de La Villarmois (Abbé Rolland - Histoire généalogique de la maison
de Rumigny-Florennes)
- família: J-M.Thiebaud (base Jean-Pierre Masson-Josserand) 11 ii 2011

94.994.353:
Fonts: - família: J-M.Thiebaud (base Jean-Pierre Masson-Josserand) 11 ii 2011

94.994.384:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Settipani (Christian) La Préhistoire des
Capétiens pp. 211/240 (Vermandois) Villeneuve d'Ascq 1993) 3 ii 2012

94.994.385:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Settipani (Christian) La Préhistoire des
Capétiens pp. 211/240 (Vermandois) Villeneuve d'Ascq 1993) 3 ii 2012

94.994.424:
Personnage d'une certaine envergure, serait le fils de Jean Borel.
Les châtelains du XIe siècle sont des fonctionnaires comtaux amovibles.
C'est à l'orée du XIIe siècle que l'hérédité s'établit.
Leur rôle est encore en gestation ; ils sont les chefs incontestés de la châtellenie,
mais aucun acte ne permet de dégager des faits, le caractère réel des préfets du
XIe siècle.
[C-H.Maigret (Dr P. Feuchère, "Les châtelains d'Arras" 1948) 21 viii 2012]
Fonts: - persona: H.de La Villarmois (C-H.Maigret forum 14/03/2011/Pierre
Feuchère) 22 iii 2011,
- família: H.de La Villarmois (C-H.Maigret forum 14/03/2011/Pierre Feuchère) 22 iii
2011

94.994.425:
Fonts: - família: H.de La Villarmois (C-H.Maigret forum 14/03/2011/Pierre
Feuchère) 22 iii 2011

95.102.880:
Aleramo Miagro ( – 991) fu marchese del Monferrato, fondatore della casa degli
Aleramici.
Poco si conosce della vita del marchese Aleramo. Egli era figlio del conte
Guglielmo, forse identificabile con il Guglielmo sceso in Italia nell'888 assieme a
Guido da Spoleto. Aleramo viene citato per la prima volta in un documento del
luglio 933, nel quale viene nominato come Fidelis noster Alledramus comes e
riceve in feudo una corte nel vercellese da Ugo di Provenza e Lotario II, re d'Italia.
-5074-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Nel febbraio del 935 Aleramo ottenne l'investitura di terre nell'alessandrino (cioè
nel comitato di Acqui). Né da questi né da altri documenti emerge quale fosse il
comitato di cui erano titolari Aleramo e precedentemente il padre Guglielmo.
Aleramo fu nominato marchese (nel 958) da Berengario II, di cui aveva sposato in
seconde nozze la figlia Gerberga. Nel 961, però, Aleramo si schierò dalla parte di
Ottone I di Sassonia, che il 23 marzo 967 gli donò molte terre incolte nelle Langhe
tra il Tanaro, l'Orba e il mare. L'investitura fu concessa su esplicita richiesta di
Adelaide di Borgogna, figlia di Rodolfo II, moglie di Ottone I dal 951 e
precedentemente moglie di Lotario II. Questi eventi confermano la fedeltà di
Aleramo (come precedentemente del padre Guglielmo) alla famiglia di Rodolfo di
Borgogna e sono in buon accordo con una probabile origine borgognona di
Guglielmo. Dal primo matrimonio con la leggendaria Adelasia (o Alasia), Aleramo
ebbe tre figli, Ottone, Anselmo e Guglielmo (morto ante 961). Poco si conosce
anche su di loro. Probabilmente, alla morte del padre, i due figli superstiti
gestirono in modo consortile le terre a lui appartenute, anche se iniziarono a
delimitare le loro aree d'influenza: fu così che da Ottone discesero gli Aleramici di
Monferrato (termine, tra l'altro, allora molto vago) e da Anselmo gli Aleramici di
Savona, fra cui i Del Vasto e i Del Carretto. La completa separazione degli assi
patrimoniali ebbe luogo solo un secolo dopo circa. Vuole un'antica leggenda, (forse
coniata dal cronista monferrino Fra Iacopo d'Acqui, durante il governo di un
discendente di Aleramo, Guglielmo VII), che il marchese Aleramo fosse nato presso
Acqui Terme( più precisamente alcuni parlano del paese di Sezzadio) durante un
pellegrinaggio. Rimasto orfano dei suoi genitori, Aleramo venne ingaggiato
nell'esercito imperiale ed entrò alla corte dell'imperatore Ottone I. Ivi conobbe,
Alasia figlia dell'Imperatore, e tra i due nacque un tenero sentimento. Incapaci di
riferire la cosa a sua maestà temendo un rifiuto al matrimonio, i due innamorati
scapparono nelle terre natali di Aleramo. Qui, però, egli non riuscì a vivere senza
combattere ancora, e rientrò nell'esercito di nascosto. Quando l'imperatore Ottone
venne a conoscenza della cosa, volle incontrare il coraggioso giovane e perdonò i
due amanti. Ad Aleramo concesse allora, in un impeto di generosità, tante terre
quante egli fosse riuscito a percorrerne cavalcando senza sosta. Il territorio che
egli percorse adesso è il Monferrato: tale nome deriva da mun (mattone) e da frà
(ferrare), ovverosia i mattoni utilizzati per ferrare i cavalli che Aleramo, come
prova di aver percorso tali territori, aveva gettato dietro di sé. Esistono però
diverse varianti della leggenda, come quella che vuole Aleramo ottenere il
territorio che fosse riuscito a cavalcare in tre giorni e tre notti, e che il nome
Monferrato deriva dall'aver usato un mattone (mòn)usato a mo' di martello, per
ferrare il cavallo che aveva perso uno ferro (fér) durante la corsa. Altri fanno
risalire il nome Monferrato ai numerosi castelli in mattoni fortificati che sono
presenti in Monferrato. In questo caso il dono del territorio viene fatto risalire non
al suo amore con la figlia di Ottone, ma al valore dimostrato nella liberazione della
Liguria occidentale e del basso Piemonte dai cosiddetti saraceni. È difficile dire
quale sia la vera storia di Aleramo, di sicuro la sua vita si perde nella notte dei
tempi, rendendolo uno dei personaggi più misteriosi, affascinanti e sconosciuti di
tutta la storia. http://it.wikipedia.org/wiki/Aleramo_del_Monferrato
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P.de Palmas (FMG) 23 iii 2017

95.102.881:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

95.102.881c:
Guglielmo II degli Aleramici ( – 961) fu co-marchese del Monferrato. Guglielmo era
figlio di primo letto di Aleramo del Monferrato, nato da un matrimonio precedente
a quello con Gerberga, figlia del re d'Italia Berengario II. Il nome datogli era lo
stesso del nonno, Guglielmo I. Probabilmente, già dal 961 Guglielmo II era già
morto, senza eredi, e non poté pertanto governare alla morte del padre. La famiglia
fece edificare un'abbazia pro anime nostre et quondam Gulielmi qui fuit filius et
filiaster atque germanus noster seu parentum nostrum mercede. Questa è l'unica
-5075-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
volta in cui viene citato il figlio di Aleramo in un documento ufficiale.
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

95.102.888:
Arduino, detto Arduino Glabrione o semplicemente Arduino il Glabro, (930 – 976),
fu primo signore della Marca di Torino. Figlio di Ruggero, fu un nobile franco che
governò la Contea di Auriate in seguito ottenne da Ugo di Provenza il titolo di
Conte di Torino. In seguito passò nel campo di Berengario II che lo mise a capo
della Marca di Torino, appena costituita. Da Arduino il Glabro discese Adelaide di
Susa che sposando Oddone, figlio del primo conte di Savoia, Umberto Biancamano,
dette inizio all'influenza savoiarda in Piemonte.
http://it.wikipedia.org/wiki/Arduino_il_Glabro
Arduino, detto Arduino Glabrione o semplicemente Arduino il Glabro, (930 – 976),
fu primo signore della Marca di Torino. Figlio di Ruggero, fu un nobile franco che
governò la Contea di Auriate, in seguito ottenne da Ugo di Provenza il titolo di
Conte di Torino. In seguito passò nel campo di Berengario II che lo mise a capo
della Marca di Torino, appena costituita. Da Arduino il Glabro discese Adelaide di
Susa che sposando Oddone, figlio del primo conte di Savoia, Umberto Biancamano,
diede inizio all'influenza savoiarda in Piemonte.
http://it.wikipedia.org/wiki/Arduino_il_Glabro
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

95.102.889:
Arduin married a woman named Vmille in the Necrologio Sanctæ Andreæ
Taurinensis, probably Emilia or Immula. http://en.wikipedia.org/wiki/Arduin_Glaber
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

95.102.889-2a:
http://it.wikipedia.org/wiki/Dadone_di_Pombia

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

95.102.890:
I Canossa furono una potente famiglia feudale di stirpe longobarda che, a partire
dai primi decenni del X secolo, si insediò nelle valli dell'Appennino reggiano.
L'importanza del casato dei Canossa fu strettamente legata alla posizione del
territorio di cui furono i signori, poiché proprio su di esso, fino a tutto il XII secolo,
si confrontarono e si scontrarono i protagonisti della lotta per le investiture: il
Papato e l'Impero. Al momento della sua massima espansione, intorno all'anno
1100, il dominio dei Canossa si estese, solo in Italia senza considerare la
Lotaringia, dal Lago di Garda fino all'alto Lazio, includendo città come Mantova,
Modena, Ferrara, Firenze e Perugia. La provincia di Reggio Emilia fu il cuore del
potere militare e, di conseguenza, politico dei Canossa. Nel corso di poco più di un
secolo essi costruirono i baluardi difensivi delle vie di comunicazione che dai passi
appenninici scendevano fino al Po, riuscendo così a controllare la maggior parte
dei commerci tra l'Europa centrale e l'Italia e anche quelli che sulla Via Emilia
raggiungevano l'Adriatico. Proprio questa abile strategia permise al casato dei
Canossa di consolidare e ampliare le proprie fonti di ricchezza.

Le origini della dinastia dei Canossa iniziano con Sigifredo, conte longobardo che,
nei primi decenni del X secolo a causa della manifesta ostilità dell'Impero nei
confronti di ogni tipo di autonomia locale, decise di lasciare la città di Lucca per
insediarsi nelle vicinanze di Parma. Qui, a Vilianum, cominciò ad affermarsi il

-5076-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
potere della Famiglia su entrambe le rive del Po: per l'aumento dei territori
posseduti, per l'accorta politica matrimoniale attuata e per il consolidarsi dei
legami di amicizia sia con il Papato che con l'Impero. I Canossa riuscirono anche ad
inserirsi perfettamente nel sistema che procurava cariche ecclesiastiche: ulteriori
fonti di ricchezze che si andavano ad aggiungere a quelle che già possedevano. Il
figlio di Sigifredo, infatti, Gotifredo, fu vescovo di Brescia; la figlia Prangarda fu
sposa del figlio del marchese di Torino Olderico Manfredi I; un cugino omonimo fu
vescovo di Parma dal 927 al 945.

Il successore di Sigifredo, Adalberto Atto (939-988), detto Attone, capostipite della


dinastia degli Attoni, fece di Reggio Emilia la sua roccaforte e iniziò a fortificare il
territorio circostante con diverse costruzioni di tipo militare, compreso il castello
sulla rocca di Canossa (945-950), che successivamente diverrà il cuore del regno.
Sostenne la regina Adelaide, venne nominato conte da Ottone I e marchese da
Ottone II o da Ottone III.

Dal matrimonio di Adalberto Atto con Ildegarda nacque Tedaldo di Canossa.

Anche il primogenito di Adalberto Atto allargò e fortificò i suoi possedimenti,


spesso esigendo come propri i territori avuti in enfiteusi delle chiese locali.
Caratteristica principale del suo territorio fu il progressivo e sistematico
incastellamento, realizzato con la costruzione di castelli, a tre diversi livelli di
altitudine: a centocinquanta, a trecento e a seicento metri sul livello del mare, in
posizioni strategiche e di facile difesa, visibili tra di loro a catena e comunicanti
con un sistema di specchi e fuochi. Questa fitta rete di fortificazioni, ville, corti e
torri difensive diventò la caratteristica eccezionale di tutto il territorio dominato
dai Canossa, i quali, pur essendo signori di importanti città, rimasero sempre legati
al mondo rurale, come del resto tutti i feudatari del tempo, e fu proprio il territorio
agreste che si rivelò il vero punto di forza della casata nelle battaglie e nelle
guerriglie. Tedaldo accluse nei suoi possedimenti le città di Guastalla e Mantova,
mentre Ferrara venne donata alla Famiglia da papa Giovanni XIV. Ottenne il titolo
di Marchio dall'Imperatore, il quale da una parte temeva l'accresciuto potere
generale dei principi-vescovi e, dall'altra, quello particolare della marca confinante
di Tuscia.

Dal matrimonio di Tedaldo con Giulia nacquero: Tedaldo vescovo di Arezzo,


Corrado e Bonifacio (985-1052). Fu proprio con quest'ultimo che la dinastia
canusina toccò l'apice.

Offrì appoggio militare all'imperatore Corrado II, detto il Salico, nella sua
spedizione in Borgogna, e ottenne in cambio nel 1027 la Marca di Tuscia,
diventando così il signore di tutta l'Italia centrale. Vista l'importanza strategica
delle nuove terre aggiunte a quelle già in suo possesso, poté contrastare
l'imperatore Enrico III in occasione dell'elezione papale di Benedetto IX,
rifiutandosi di accompagnare a Roma, attraverso i suoi territori, Damaso II di
nomina imperiale. Bonifacio dovette comunque ritirare il suo rifiuto, in osservanza
del vincolo di vassallaggio, ma l'imperatore conobbe così l'ostinazione di Bonifacio,
saldamente sostenuta dalla potenza militare del suo esercito e dall'antico legame di
amicizia con il papato.

Bonifacio proclamò Mantova capitale del suo regno, ma la città non ricambiò il
gesto, rimanendogli infedele. Alla morte di sua figlia Matilde, nel 1115, la città si
costituì a Libero Comune.

Dopo un primo matrimonio con Richilde, Bonifacio ne contrasse un secondo

-5077-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
seguendo la politica diplomatica dei matrimoni d'interesse, attuata anche dai suoi
predecessori e d'uso comune all'epoca. Sposò nel 1037 Beatrice di Lotaringia
(1017-1076), figlia del conte Federico II e nipote dell'imperatore Corrado II,
aggiungendo così ai propri territori anche quelli portati in dote dalla moglie. I suoi
possedimenti comprendevano le attuali Toscana, Emilia-Romagna e Lombardia in
Italia e vaste zone del Belgio, Lussemburgo, Francia e Germania nel resto
d'Europa, ed era considerato il signore più potente dopo l'imperatore.

Dal suo secondo matrimonio nacquero Beatrice e Federico, scomparsi in tenera


età, nel 1053, forse avvelenati accidentalmente, e Matilde (1046-1115).

Bonifacio morì nel 1052 a seguito di un agguato durante una battuta di caccia. La
moglie Beatrice si trovò sola a capo del regno più potente dell'epoca. Dovette
pensare quasi subito a risposarsi, in quanto non era accettabile, a quel tempo, il
governo di una donna senza eredi maschi. La scelta cadde su Goffredo di
Lotaringia, detto il barbuto, signore della Lorena centrale e ostile all'Imperatore.
Quest'ultimo cercò, inutilmente, di ostacolare il matrimonio, per non unire le terre
di Goffredo a quelle già così estese dei Canossa.

La morte di Goffredo, avvenuta nel 1069, lasciò Beatrice solo con l'appoggio del
Papa. Neanche il matrimonio della figlia Matilde con Gotifredo V di Lotaringia,
detto il gobbo e figlio naturale di Goffredo IV, contribuì ad appianare le difficoltà
politiche. A partire dal 1076, vista la quasi contemporanea scomparsa del marito e
della madre, sarà Matilde, unica destinataria dell'eredità paterna, a dovere
decidere se dare il proprio appoggio al papato o all'impero.

Quando, nel 1115, Matilde morì senza lasciare eredi diretti, il casato dei Canossa si
disperse e in parte estinse. Il loro vasto territorio si frantumò: alcuni castelli
rimasero in possesso di signori locali e Communi Militum, cioè cavalieri e
mercenari; altri dei discendenti di Prangarda, sorella di Tedaldo, il nonno di
Matilde (come forse le famiglie che diedero vita alle dinastie parmensi dei Baratti e
degli Attoni - o Iattoni - di Antesica e di Beduzzo, effettive castellanze matildiche).
Alcuni possedimenti vennero addirittura dimenticati in un vuoto di potere, altri
semplicemente inglobati nei territori papali.

http://it.wikipedia.org/wiki/Dinastia_dei_Canossa#Adalberto_Atto

Fonts:
- persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini ; Manuel Abranches de Soveral
- família: L.Orlandini

95.102.891:
Fonts:
- persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini
- família: L.Orlandini

95.102.891a:
Fonts:
- persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini
- família: L.Orlandini

95.102.892:
Dopo Adalberto i primi nomi che s'incontrano nella famiglia d'Este sono Oberto I e

-5078-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Oberto II, vissuti sul finire del X secolo e al principio dell'XI secolo.

http://it.wikipedia.org/wiki/Estensi

Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie ;
Manuel Abranches de Soveral
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

95.102.893:
Fonts:
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

95.102.893b:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie
- família: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di
Mantova"2008
http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28
III 2017

95.102.894:
Fonts:
- persona: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di
Mantova"2008
http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28
III 2017
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

95.102.895:
Fonts:
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

95.102.895b:
Fonts:
- persona: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di
Mantova"2008
http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28
III 2017
- família: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di
Mantova"2008
http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28
III 2017

95.102.904:
à Yves Hamet forum 11/5/2010 Je viens de prendre connaissance de votre message
du 8 : Sujet: Ermengarde de Bar / JB de La Grandière 2010-05-08 12:30:54
Christian Settipani dans sa "La Préhistoire des Capétiens" qui est la "référence des
références pour ce type de familles et cette période, ignore le nom de famille
d'Ermengarde.
Je ne pense pas qu'il existe, dans l'état actuel de nos connaissances un "auteur
référençable" qui puisse donner un nom de famille à cette Ermengarde.
La famille de Bar est bien sûr une possibilité parmi bien d'autres mais il faudrait
alors qu'un "auteur" vienne étayer ce dire avec ses sources actées ..
En attendant il semble préférable de laisser Ermengarde sans nom de famille..tout
en gardant "de Bar" en alias.
-5079-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
JB de La Grandière 11/5/2010
Fonts:
- persona: E.Polti (tous les livres sur Hugues Capet), JB de La Grandière (C.
Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve
d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- defunció: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp
211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- casament: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp
211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- família: E.Polti (divers livres sur Hugues Capet), JB de La Grandière (C. Settipani
"La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 )
6 i 2010

95.102.905:
Christian Settipani dans sa "La Préhistoire des Capétiens" qui est la "référence des
références" pour ce type de familles et cette période, ignore le nom de famille
d'Ermengarde.
Je ne pense pas qu'il existe, dans l'état actuel de nos connaissances un "auteur
référençable" qui puisse donner un nom de famille à cette Ermengarde.
La famille de Bar est bien sûr une possibilité parmi bien d'autres mais il faudrait
alors qu'un "auteur" vienne étayer ce dire avec ses sources actées.
En attendant il semble préférable de laisser Ermengarde sans nom de famille tout
en gardant "de Bar" en alias. Note de : J-B de La Grandière ( Réponse à Yves Hamet sur forum ) 11/5/2010
Fonts: - persona: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens"
art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010, , JB.de La Grandiere
( pour fusion de deux Ermengarde qui n'en font q'une : voir forum du 8/5/2010 Yves
Hamet ) 11 v 2010
- casament: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp
211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- família: E.Polti (divers livres sur Hugues Capet), JB de La Grandière (C. Settipani
"La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 )
6 i 2010

95.102.905a:
Albert II de Vermandois, né vers 980-985, mort vers 1016, fut comte de
Vermandois de la mort de son père (entre 993 et 1002) à 1010. Il était fils
d'Herbert III, comte de Vermandois, et d'Ermengearde. Le 15 juillet 1010, il
renonce au comté en faveur de son frère Otton de Vermandois.
Source
Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique
de l'auguste maison de France, vol. 1), éd. Patrick van Kerrebrouck, 1993 (ISBN 2-
9501509-3-4)
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens ) 10 x
2011
- família: D.de Raugl (ppmr)

95.102.905c:
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry)

95.102.908:
RAOUL de Mantes, son of GAUTHIER [II] "le Blanc" Comte d´Amiens et du Vexin,
Comte de Mantes & his wife Adela --- (-1060). "Walterius comes" donated property
"prope nostrum castellum…Medanta" to "Carnotensi monasterio Sancti Petri", for
the soul of "coniugis mee Adelidis filiorumque meorum", by charter to [1006],

-5080-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
signed by "Walterii comitis, Rodulfi filii eius, Drogonis filii eius…"[1361]. The
Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Rodulfum" as son of "Gauterus
Albus de Albamarla"[1362]. Comte de Valois et d'Amiens. "Comes Drogo…cum
duobus fratribus Fulcone…et Rodulpho necnon uxore cum filiis supra memorati
Drogonis" are named in a charter of "Robertus Rex" dated 1030[1363].
m ADELA [Alix] de Breteuil, daughter of HILDUIN [Gilduin] de Breteuil Vicomte de
Chartres & his wife Emmeline de [Châteaudun] (-11 Sep 1051). The primary source
which confirms her parentage and marriage has not yet been identified.
[1361] Chartres Saint-Père I, Liber Septimus, Cap. XLIII, p. 170.
[1362] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1062, MGH SS XXIII, p. 793.
[1363] RHGF X, L, p. 622
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy et wikipedia) 3 v 2011
- família: J-P de Palmas (Valois)

95.102.909:
Fonts:
- persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
- defunció: http://geneweb.inria.fr/bauche?i=2758
- família: J-P de Palmas (Valois)

95.102.910:
Fonts: J-C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20
ix 2010

95.102.911:
Fonts: J-C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20
ix 2010

95.102.911a:
Fonts: J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010

95.111.216:
Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit),JL.Mondanel (généalogie Pierrebuffière) 18 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Pierrebuffière) 18 iii 2011
- casament: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit)
- família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)

95.111.217:
Fonts:
- casament: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit)
- família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)

95.111.218:
date de décès peu cohérente avec les dates de naissances de ses frères et soeurs.

GERARD [I] de Lastours (-after Jun [1062/72]). "Guido Turreset uxor eius Agnes et
filii eius Guido et Geraldus" donated the church of "Sancti…Vincinciani" to
Uzerche, for the souls of "Guidonis avis sui et Ademari de Leron patris eius", by
charter dated 1063[245]. The Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Guidonem,
-5081-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Geraldum et Golferium" as sons of "Guidonem" & his wife[246]. A charter dated
Jun [1062/72] records a donation by "Guido filius Guidonis del Lastors et Gerardus
frater meus et mater nostra Agnes" with "alio fratre nostro Gulferio" with the
advice of "iamdictæ Engelsianæ", subscribed by "Guidonis et Archambaldi del
Lastors"[247]. "Iterius Bernardus et Geraldus de Turribus" donated property "in
manso Al Roi de Alta Faia" to Vigeois, with the consent of "Geraldus de
Petrabufeira, filius Iterii BernardiAlmodis uxor Iterii Bernardi et filii eorum
Gaucelmus et CabrolsUmberga uxor Geraldi de Turribus", by charter dated to
[1092][248]. A charter dated to [1097/1108] records donations by "Berniardis…filia
Geraldi de Petrabufeira et Umberge uxoris eius" and "Geraldus de Las Tors et
Umberga uxor illius" of "mansum…Tendall…in villa de La Noallia in parrochia de
La Crozillia" to Uzerche[249]. "Geraldus de Turribus et…Golferius fratres" donated
property "in nemore…Dalonium" for the foundation of Notre-Dame de Dalon by
charter dated 1114[250].

m HUMBERGA de Lastours, daughter of SEGUIN de Lastours & his wife ---. The
Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Humberga, filia Seguini militis sui" as wife of
"Gerardus"[251]. The Pars Altera Chronici Lemovicensis of Geoffroy de Vigeois
names "Umberguam" as the child of "Seguinus", recording her marriage "propter
magnam hæreditatem" to "Geraldus senior suus"[252]. "Iterius Bernardus et
Geraldus de Turribus" donated property "in manso Al Roi de Alta Faia" to Vigeois,
with the consent of "Geraldus de Petrabufeira, filius Iterii BernardiAlmodis uxor
Iterii Bernardi et filii eorum Gaucelmus et CabrolsUmberga uxor Geraldi de
Turribus", by charter dated to [1092][253]. A charter dated to [1097/1108] records
donations by "Berniardis…filia Geraldi de Petrabufeira et Umberge uxoris eius" and
"Geraldus de Las Tors et Umberga uxor illius" of "mansum…Tendall…in villa de La
Noallia in parrochia de La Crozillia" to Uzerche[254]. Gérard [I] & his wife had two
children.

[245] Uzerche, 52 ter, p. 93.

[246] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis 6, RHGF XII, p. 422.

[247] Beaulieu, XIV, p. 32.

[248] Vigeois CXXXIX, p. 85.

[249] Uzerche, 611, p. 299.

[250] Dalon Notre-Dame 1, p. 29.

[251] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis 6, RHGF XII, p. 422.

[252] Gaufredi Prioris Vosiensis, Pars Altera Chronici Lemovicensis XXVI, RHGF
XVIII, p. 222.

[253] Vigeois CXXXIX, p. 85.

[254] Uzerche, 611, p. 299.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014

-5082-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

95.111.219:
HUMBERGA de Lastours . The Pars Altera Chronici Lemovicensis of Geoffroy de
Vigeois names "Umberguam" as the child of "Seguinus", recording her marriage
"propter magnam hæreditatem" to "Geraldus senior suus"[355]. The Chronicon
Gaufredi Vosiensis names "Humberga, filia Seguini militis sui" as wife of
"Gerardus"[356]. A charter dated to [1097/1108] records donations by
"Berniardis…filia Geraldi de Petrabufeira et Umberge uxoris eius" and "Geraldus
de Las Tors et Umberga uxor illius" of "mansum…Tendall…in villa de La Noallia in
parrochia de La Crozillia" to Uzerche[357].

m GERARD [I] de Lastours, son of GUY [II] de Lastours & his wife Agnes --- (-after
Jun [1062/72]).

[355] Gaufredi Prioris Vosiensis, Pars Altera Chronici Lemovicensis XXVI, RHGF
XVIII, p. 222.

[356] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis 6, RHGF XII, p. 422.

[357] Uzerche, 611, p. 299.

Fonts:
- persona: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005, J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

95.111.219a:
GUY [IV] "le Gros" de Lastours, son of GERARD [I] de Lastours & his wife
Humberga --- (-Jerusalem [1147/49]). The Chronicon Gaufredi Vosiensis names
"Guidonem et Seguinum" as sons of "Gerardus" & his wife, recording that he died
in Jerusalem on crusade with Louis VII King of France[293]. "Gui de Lastours et
son frère Seguin" witnessed an undated charter under which "Guillaume de Saint-
Yrieix et son frère Adémar de Saint-Rabier" donated property "dans la paroisse de
Badefol" to Notre-Dame de Dalon[294].

m as her second husband, MATHILDE du Perche, widow of RAYMOND [I] Vicomte


de Turenne, daughter of GEOFFROY Comte du Perche & his wife Beatrix de
Ramerupt [Roucy] (before 1100-27 May 1143, bur Arnac). The Chronicon Gaufredi
Vosiensis records the marriage of "Guidonem", son of "Gerardus", and "Matilde,
matre Bosonis de Torena quæ Arnaco condita est"[295]. In another passage, the
Chronicon Gaufredi Vosiensis records that "Raymundus" married "Mathilde…soror
Comitis de Pertico"[296]. The Chronicon Gaufredi Vosiensis records the death "V
Kal Jun" of "Mathildis uxor quondam Raymundi de Torenna" and her burial by
"Guidone…Crassus viro suo filio Geraldi de Turribus" at "Arnaco", recording that
her son Boson was killed within one month of his mother's death[297]. The
necrology of Saint-Martial records the death “IV Kal Jun” of “Matheldis
vicecomitissa”[298]. It is not certain that this entry relates to Mathilde du Perche
Vicomtesse de Turenne, but no other vicomtesse of this name has yet been
identified in the Limousin area.

-5083-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Guy [IV] & his wife had two children.

[293] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis 6, RHGF XII, p. 422.

[294] Dalon Notre-Dame 376, p. 107.

[295] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis 6, RHGF XII, p. 422.

[296] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 23, RHGF XII, p. 424.

[297] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 51, RHGF XII, p. 436.

[298] Documents historiques Limousin bas-Latins (1883), Tome I, Obituaire de


Saint-Marciale, p. 72.

Fonts:
- persona: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005, J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

95.111.219b:
Fonts:
- persona: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

95.113.984:
Photo : Perché sur un piton volcanique, le château de Calmont d'Olt surplombe de
500 m la vallée du Lot, et la ville d'Espalion (Aveyron). Source: J-P de Palmas ( Site Web
http://calmont.free.fr )

En 883: première trace connue de Calmont.


Dans le cartulaire de l'Abbaye de Conques: le rocher de Calmont constitue le
centre du "ministerium Calvomantense".
Voir une vue aérienne actuelle du site du château de Calmont-d'Olt, à Espalion
(Aveyron). (Lien vers le site Web "Geoportail" de l'Institut Géographique National)
Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 22.09.2014

Fonts: - persona: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue


du Rouergue, juillet-septembre 1972. et site Calmont:
http://calmont.free.fr/index_fram.html)
- família: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972. )

95.113.985:
Fonts: - família: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue
du Rouergue, juillet-septembre 1972. )

95.118.928:
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert
de la Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

95.118.929b:

-5084-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Pierre qui fit des donations à l'abbaye de Meynac en 1220.
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert
de la Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

95.118.929c:
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert
de la Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

95.118.929d:
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert
de la Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

95.119.360:
Fonts: - persona: J-L. Dega- família: J-L. Dega

95.119.361:
Fonts: - naixement: F.de Bernis (base chautruf) 10 ii 08 - família: J-L. Dega

95.119.368:
Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P de Palmas (FMG) x2009, JB.de La
Grandiere (Maurice Vuillier "Histoire de la famille de Benque", sept.1997 ) 20 viii
2013
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

95.119.369:
Fonts: - família: J-L. Dega (Jaurgain)

95.119.369b:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Maurice Vuillier "Histoire de la famille de
Benque", sept.1997) 21 viii 2013

95.121.425:
Adélaïde ou Alix de Provence, morte en 1129 à Avignon, fut comtesse de Provence
puis de Forcalquier de la mort de son père, survenue entre 1063 et 1067 à sa mort.
Elle était fille de Guillaume V Bertrand, comte de Provence, et d'Adélaïde de
Cavenez. Elle n'était pas encore mariée à la mort de son père, et donc non dotée, et
puis ainsi lui succéder comme comtesse de Provence, en indivision avec ses cousins
Bertrand Ier de Toulouse et Bertrand II. Elle possédait cependant en propre le
château de Forcalquier. Elle épousa en 1079 Armengol IV, comte d'Urgell, et fut la
mère de :

 Guillaume III († 1129), comte de Forcalquier.


 Sancha, morte jeune.

En 1092, son mari décéda, le comté d’Urgel passa à son beau-fils Armengol V et
elle s'installa avec son fils Guillaume en Provence, à Forcalquier. L'année suivante,
la maison de Provence s'éteignit avec la mort de Bertrand II, et ses droits
passèrent à Gerberge, mariée à Gilbert de Millau, comte de Gévaudan, puis, en
1115, à la maison de Barcelone. Les conflits d'intérêts entre les maisons de
Toulouse et de Barcelone causèrent les guerres baussenques et aboutirent à un
partage territorial de la Provence. Un premier accord attribuait le nord de Durance
à la maison de Toulouse et ignorait les droits d'Adélaïde et de Guillaume, installés
dans cette zone. Grâce à l'éloignement des Toulouse, il purent en administrer une
partie et Adélaïde s'intitula comtesse de Forcalquier à partir de 1110[1].. Un

-5085-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
second partage survenu au milieu du XIIe siècle, reconnaitra leur droits en
partageant le marquisat entre les maisons d'Urgel et de Toulouse.

Source Foundation for Medieval Genealogy : les comtes de Provence

 Edouard Baratier, Histoire de la Provence, Toulouse, Editions Privat,


1990, 604 p. (ISBN 2-7089-1649-1)

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 23 viii 2011
- família: JLouis Dega (Eugène Vasseur)

95.121.425b:
Fonts: - persona: O.Martel (site podeor), C.Faucherand (Maurice Bernard, H&G
1981) 5 ii 2015 - família: O.Martel (site podeor)

95.121.425-1b:
Armengol or Ermengol V (1078 – 1102), called el Mollerussa, was the Count of
Urgel from 1092 to his death. He was the son of Armengol IV and his first wife,
Lucy of La Marche. He passed the majority of his life in Castile, where he met and
married María Ansúrez, daughter of Pedro Ansúrez, lord of Valladolid, in 1095.
During his long absences in Castile, he left the government of Urgel to Guerao II of
Cabrera. He died young of unknown causes, but certainly as the result of Moorish
reprisals following the first ephemeral Christian reconquest of Balaguer in 1101.
He died at León. http://en.wikipedia.org/wiki/Armengol_V_of_Urgel
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: H.R.Moser/EuSt-III/132

95.121.672:
GERAUD [II] d'Armagnac, son of BERNARD [II] "Tumpaler" Comte d'Armagnac &
his wife Ermengardis --- (-end 1095). The Genealogica Comitum Guasconiæ names
"Geraldum" as son of "Bernardus Tumapaler"[389]. "Arnaldus et Geraldus filii
nostri" and their parents made a joint donation to Cluny dated 1049[390].
"Bernardus comes…cognomento Tumapalerius" and "…filiis meius Geraldo et
Arnaldo-Bernardo" founded the monastery of Saint-Mont by charter dated 3 Mar
1055[391]. "Bernardus cognomento Tumapalerius tocius condatus Guasconie
comes" and donated property to the monastery of Saint-Mont, on the advice of
"Geraldus filius meus et frater eius Arnaldus Bernardus…", by charter dated 1062
before 4 Aug[392]. Comte d'Armagnac. "Geraldus comes filius Bernardi comitis"
swore to defend the monastery of Saint-Mont by charter dated to [1065][393],
which implies he was then governing Armagnac in place of his father.
m firstly ([1070]) as her second husband, AZIVELLE de Lomagne, widow of
GERAUD [I] Seigneur d'Arbeissan, daughter of ODON [II] Vicomte de Lomagne &
his wife --- (-after [1086]). Her parentage and first marriage are confirmed by the
charter dated 9 Sep 1068 under which "filia Oddonis vicecomitis Lomanie uxor
Geraldi Obeissani" confirmed a donation of property to the monastery of Saint-
Mont[394]. Her name and second marriage are confirmed by another charter in the
same cartulary in which "Azivella filia Oddonis vicecomitis de Lomania" names
"Bernardo Tumapalerio socero meo", which is confirmed by "Bernardus filius
supradictæ dominæ"[395]. Her second marriage is further confirmed by, and her
two sons by her first marriage and her son by her second named in, the charter
dated to [1085] which refers to a donation to the monastery of Saint-Mont by
"nobilissima quiedam femina Azivera vicecomitis Lomanie Oddonis filia, mater que
Bernardi filii Geraldi Armaniaci comitis", on the advice of "eiusdem Bernardi filii
sui et Geraldi secundi coniugis et aliorum duorum filiorum Hugonis et
-5086-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Oddonis"[396]. "Domina Azivella matre dompni Bernardi Armaniacensis comitis"
made an agreement with the monks of Saint-Mont by charter dated to [1085][397].
It is curious that this charter names Azivelle's son, and not her husband, and that
he is accorded the title count although it appears from other sources that his father
was still alive at that date.
m secondly SANCHA, widow of FEDAC Vicomte de Corneillan, daughter of ARSIEU
Loup co-Seigneur de Bergons, Luppé, Daunian, Lapujolle et Balembits & his wife
Rose ---. An inventory of churches of the monastery of Saint-Mont includes details
of a serf "in…loco Pujole" donated by "Sancia uxor…Fedacii vicecomitis" on the day
her husband died, with the advice of "comitis Geraldi", dated to [1081][398].
"Comes Geroldus cum uxore mea Sazia" donated property to the monastery of
Saint-Mont by charter dated to [1095][399]. The primary source which confirms
that Sancha, widow of Vicomte Fédac, was the same person as Sancha, second wife
of Comte Géraud, has not yet been identified. Her parents are named by Jaurgain
but he cites no primary source on which this is based[400].
Comte Géraud [II] & his first wife had three children.
[389] Genealogia Comitum Guasconiæ, RHGF XII, p. 386.
[390] Cluny Tome IV, 2990, p. 188.
[391] Saint-Mont 1, p. 6.
[392] Saint-Mont 7, p. 14.
[393] Saint-Mont 10, p. 23.
[394] Saint-Mont 30, p. 48.
[395] Saint-Mont 31, p. 50.
[396] Saint-Mont 88, p. 136.
[397] Saint-Mont 33, p. 54.
[398] Saint-Mont 87, 28, p. 130.
[399] Saint-Mont 24, p. 41.
[400] Jaurgain (1902), p. 147.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família 1: A.Euverte( O'Gilvy Nobiliaire de Guienne et Gascogne tome I)21.i.2008
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014

95.121.673:
AZIVELLE de Lomagne, widow of GERAUD [I] Seigneur d'Arbeissan, daughter of
ODON [II] Vicomte de Lomagne & his wife --- (-after [1086]). Her parentage and
first marriage are confirmed by the charter dated 9 Sep 1068 under which "filia
Oddonis vicecomitis Lomanie uxor Geraldi Obeissani" confirmed a donation of
property to the monastery of Saint-Mont[394]. Her name and second marriage are
confirmed by another charter in the same cartulary in which "Azivella filia Oddonis
vicecomitis de Lomania" names "Bernardo Tumapalerio socero meo", which is
confirmed by "Bernardus filius supradictæ dominæ"[395]. Her second marriage is
further confirmed by, and her two sons by her first marriage and her son by her
second named in, the charter dated to [1085] which refers to a donation to the
monastery of Saint-Mont by "nobilissima quiedam femina Azivera vicecomitis
Lomanie Oddonis filia, mater que Bernardi filii Geraldi Armaniaci comitis", on the
advice of "eiusdem Bernardi filii sui et Geraldi secundi coniugis et aliorum duorum
filiorum Hugonis et Oddonis"[396]. "Domina Azivella matre dompni Bernardi
Armaniacensis comitis" made an agreement with the monks of Saint-Mont by
charter dated to [1085][397]. It is curious that this charter names Azivelle's son,
and not her husband, and that he is accorded the title count although it appears
from other sources that his father was still alive at that date.

[394] Saint-Mont 30, p. 48.

[395] Saint-Mont 31, p. 50.

-5087-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[396] Saint-Mont 88, p. 136.

[397] Saint-Mont 33, p. 54.

Fille ainée et héritière de Oton II, vicomte de Lomagne.

Fonts:
- persona: A.Euverte( O'Gilvy Nobiliaire de Guienne et Gascogne tome I)21.i.2008, J-
P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014
- família 2: A.Euverte( O'Gilvy Nobiliaire de Guienne et Gascogne tome I)21.i.2008

95.121.673b:
"La châtellenie baronnie de Batz", origine des Batz du Brulhois et des Batz
d'Aurice, est située près de Lupiac et de Vic-sur-Losse, dans le vicomté de Brulhois,
au diocèse de Condom.
Cette terre ne doit pas être confondue avec la seigneurie baronnie de Batz, située
en Chalosse au diocèse de Dax, dont sont issus les barons de Trenquelléon et de
Mirepoix.

Fonts:
- persona: J-L. Dega(Jaurgain),A.Euverte( O'Gilvy Nobiliaire de Guienne et Gascogne
tome I)21.i.2008
- família: J-L. Dega(Jaurgain)

95.121.676:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "comtes de
Fezensac") 3 i 2014
- defunció: Smaniotto
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

95.121.677:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

95.121.696:
Fonts:
- persona: J-L. Dega(Jaurgain)
- família: J-L. Dega(Jaurgain), J-P.de Palmas (Anselme) 11 ix 2012

95.121.697:
Fonts:
- família: J-L. Dega(Jaurgain), J-P.de Palmas (Anselme) 11 ix 2012

95.121.701:
GISLA, daughter of ---. Her marriage is confirmed by a letter from Pope Gregory
VII dated 11 Mar 1074 to "Centulli comiti" urging him to do penance for marrying
"consanguineam tuam"[912]. Her name is confirmed by the undated charter under
which "Centullus vicecomes Viarnensis" founded the monastery of Sainte-Foi de
Morlàas, for "uxorem meam Gislam et filium meum Guastonem", and arranged for
his wife to become a nun[913].

-5088-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[912] Jaurgain (1902), p. 541, quoting Marca (Béarn), p. 298.

[913] Jaurgain (1902), p. 543, quoting Marca (Béarn), p. 300.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013

95.121.701-2a:
BERNARD de Béarn, son of CENTULE [IV] Vicomte de Béarn & his wife Béatrix
Ctss de Bigorre (-1113). “Beatrix comitissa Bigorritana” donated property to the
monastery of St Severius de Rostain, which “vir meus Centullus” donated to St
Victor de Marseille, confirmed by “Bernardus supradictæ comitissæ filius”, by
charter dated 1091 which names “patrem meum Bernardum”[1094]. He succeeded
his mother in [1095] as BERNARD [III] Comte de Bigorre. "Bernardus filius
Centulli" ordered the writing of the customs of the county of Bigorre "tempore avi
sui Bernardi…comitis" by charter dated to [1110], which names "Arnaldus
vicecomes Levitanensis"[1095].

m (1110) as her first husband, AZELMA de Fezensac, daughter of ASTANOVE [II]


Comte de Fezensac & his wife --- ([1090]-before 1160). The Genealogica Comitum
Guasconiæ names "filiam…Adalmur" as the child of "Astam-Novam", specifying that
she was the mother of "Benetricis" who was childless[1096]. The primary source
which confirms the identity of her first husband has not yet been identified. She
married secondly (1119) Géraud [III] Comte d'Armagnac. "Geraldus comes
Armaniacensis…cum filio suo primogenito Bernardo" confirmed a donation to
Sainte-Marie d´Auch after the death of "istius comitisse…et filie eius Benetricis",
desiring "consulatum Fezenciaci", by undated charter[1097]. This is the only
charter cited by Jaurgain which supposedly confirms Azelma´s second
marriage[1098]. However, it is a curious document. The wording implies that
Comte Géraud confirmed Azelma´s donation because he desired her county,
although the confirmation was made after she died. If he had married her,
however, he would presumably automatically have been entitled to Fezensac and
the stated purpose behind the confirmation would have been pointless. Another
factor is that Géraud´s son Bernard is described in the document only as his son
not hers. Comte Bernard [III] & his wife had one child.

[1094] Veterum Scriptorum I, col. 539, and Marseille Saint-Victor II, Chartularium
Minus, 818, p. 169.

[1095] Jaurgain (1902), p. 379, quoting Marca (Béarn), p. 814.

[1096] Genealogia Comitum Guasconiæ, RHGF XII, p. 386.

[1097] Jaurgain (1902), p. 152, quoting Cartulaire noir de Sainte-Marie d´Auch, fo.
120 vo.-122 vo.

[1098] Jaurgain (1902), p. 152.

Fonts:
- persona: J-L. Dega (Navelle), J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família: J-L. Dega (Navelle)

95.121.702:
-5089-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: ppmr/ J-L. Dega

95.121.792:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Généalogie de Caumont La Force) 15/01/2014

95.121.793:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Généalogie de Caumont La Force) 15/01/2014

95.121.856:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Base Auréjac), J-P de Palmas (Le château de Mauléon au
Moyen-Âge)
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac)

95.121.857:
Fonts:
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac)

95.122.056:
RENAUD [I] de Saint-Valéry (-5 Aug [after 1163]). According to Domesday
Descendants, Renaud de Saint-Valéry was the son of "Bernard de Saint-Valéry and
grandson of Domesday´s Walter de Saint-Valéry" but no corresponding primary
source is cited[1446]. The primary source which confirms his parentage has not yet
been identified. The Historia Fundationis of Kingswood priory in Wiltshire records
that King Stephen granted “illi de Kingswode Haseldene…terras Reginaldo de
sancto Walerico” to "Johanne de sancto Johanne", in the early years of his
reign[1447]. Steward [Dapifer] of Normandy from [1146] to [1153]. "…Raginaldo
de Sancto Walerico dapiffero…" witnessed the charter dated to [1146/50] under
which "G. dux Norm et comes And et H. filius eius" confirmed the rights of the
abbey of Fécamp[1448]. "…Raginaldo de Sancto Walerico…" witnessed the charter
dated to [1151/52] under which Henri Duke of Normandy ordered an enquiry about
"la banlieue de Cambremer" with a view to its use being transferred to Bayeux
abbey as it had been in the time of "Ricardus filius Sansonis" [Richard de Douvres]
during the reign of King Henry I[1449]. "…Rainaldo de Sancto Walerico dapifero
meo…" witnessed the charter dated to [Sep 1151/Jan 1153] under which "Henricus
dux Norm et comes Andeg" donated property to the abbey of Mortemer[1450].
Henry Duke of Normandy confirmed a donation to Fontevraud abbey by
"Raginaldus de Santo Walerico…sive filius eius Bernardus" to Fontevraud abbey, in
the presence of "patris mei et mea fratrisque mei Willelmi" and with the consent of
"Bernardus eius filius", by charter dated to [Sep 1151/Jan 1153] witnessed by
"…Mathilde amita mea Fontis Ebraudi abbatissa"[1451]. The cartulary of Cercamp
includes a charter of Bernard de Saint-Valéry which recalls the pilgrimage of
"pater meus" (Renaud [I] de Saint-Valéry) to Jerusalem"[1452]. Renaud [I] de Saint-
Valéry is recorded in one source as Lord of Harenc, but it is not at all clear that
this can be correct. The precise date of Renaud´s arrival in Palestine is not known.
"…Rainaudus de S. Valerio…" witnessed the charter dated 1159 under which
Mélisende Queen of Jerusalem donated property to the leprosarium of St
Lazarus[1453]. "…Rainaldus de S. Gallerico…" witnessed the charter dated 1160
under which "Hugo de Ybelino dominus Ramathensis" donated property to the
church of the Holy Sepulchre, Jerusalem[1454]. Other sources name Renaud [I] de
Saint-Valéry in England and France between [1160/61] and 1163, suggesting that
he left Palestine soon after witnessing the charter dated 1160. The Red Book of the
Exchequer refers to "Reginaldus de Sancto Valerico c m - l milites" in Oxfordshire
in [1160/61][1455], and "Reginaldo de Sancto Valerico i m" in Berkshire in

-5090-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1161/62][1456] (although these entries do not prove that he was present in
England at the time). "…Raginaldo de Sancto Walerico…" witnessed a charter
dated 1162 under which Henry II King of England donated the forest of Hogues to
Fécamp abbey[1457]. Robert de Torigny records that "Rotrocus episcopus
Ebroicensis et Rainaldus de Sancto Walerio" recognised the rights of Henry II King
of England in Normandy in 1163[1458]. Henry II King of England addressed a writ
to "R[otrou] bishop of Evreux and R[eginald] de Sancto Walerico" confirming the
possession of the church of Lion by the canons of Briweton[1459]. In contrast to
this, we have a single primary source which indicates that Renaud de Saint-Valéry
was Lord of Harenc in 1158: Robert de Torigny records that "Balduinus rex
Jerosolimitanus" captured "Cæsaream magnam Palestinæ" near Antioch, and also
"castrum Harenc", adding that he granted the latter to "Rainaldo de Sancto
Valerico", dated to 1158 from the context[1460]. This source contradicts the
Chronicle of Patriarch Michel le Grand which records that "Hérim" was captured
by "le roi de Jérusalem" who gave it "au fils de Djoslin qui portait le même nom que
son père et qui était héritier de Romgla" [referring to Joscelin [III] de Courtenay,
son of Joscelin [II] Count of Edessa], adding that the latter ravaged Aleppo in
revenge for the death of his father but after two years was captured and died in
chains (although the sources quoted in the document EDESSA indicate that
Joscelin [III] did not die at the time)[1461]. William of Tyre does not help much in
resolving the conflict between the two texts as he records that Baudouin King of
Jerusalem besieged and recaptured "castrum urbi Antiochiæ vicinum" (which is not
named in the text, but named "castrum Harenc" in the heading of the relevant
chapter) and records that the king restored it to "domino principi, cuius
jurisdictionis fuerat", the old French text specifying that "li rois bailla le chastel au
conte Renaut, por ce qu´il devoit estre de sa princée" (presumably indicating
Renaud de Châtillon Prince of Antioch, as the suzerain of the area), dated to 1157
from the context[1462]. However, the History of Kamel-Altevarykh dates the
capture of Joscelin [III] de Courtenay to 1164 when it records that "au mois de
ramadhan Nour-eddin Mahmoud" conquered "le château de Harem" from the
Franks and that "le prince Boémond souverain d´Antioche, le comte, maître de
Tripoli…le fils de Josselin…et le duc" were captured[1463]. If this date is correct,
Joscelin probably held Harenc until its capture by Nur ed-Din, which leaves no
room at all for Renaud de Saint-Valéry to have been lord of Harenc. There appears
no way of reconciling these texts other than by suggesting that Robert de Torigny
was in error and that he had meant to indicate Renaud de Châtillon Prince of
Antioch when he named Renaud de Saint-Valéry. This would be surprising, as
otherwise Robert de Torigny appears to be an accurate and reliable source,
although it would provide the link to William of Tyre who, as noted above, indicates
that the castle was returned to Renaud de Châtillon. The necrology of Ulterioris
Portus monastery records the death "5 Aug" of "Reginaldus de Sancto Walarico et
eius uxor"[1464].

m [firstly] ---. The name of Renaud´s [first] wife is not not known. A possible origin
is suggested by the charter dated to [1191/1205] under which her grandson
"Thomas de Sancto Walerico" confirmed the donation of "ecclesiam de Tettebyr" to
Eynsham abbey made by "R. de Sancto Walerico avi mei", and of "terram de Fines-
stokes…ex dono Radulfi Basset et ex concessione R. avi mei"[1465]. This document
suggests a relationship with Ralph Basset (see UNTITLED ENGLISH NOBILITY A-
C). It appears unlikely that the mother of Renaud [I] de Saint-Valéry, titled
"comitissa", would have been the daughter of such an obscure noble. The other
possibility is that Renaud [I] confirmed the donation to Eynsham in the name of his
wife.

m [secondly] ---. The name of Renaud´s [second] wife is not not known. The
chronology of Renaud´s known children suggests that he married twice: his
daughter [Beatrix] died before 1144, whereas his daughter Laure was not married
until after 1162. The necrology of Ulterioris Portus monastery records the death "5
-5091-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Aug" of "Reginaldus de Sancto Walarico et eius uxor"[1466]. Renaud [I] & his [first]
wife had four children:

 Bernard
 Gautier
 Guy
 Beatrix

Renaud [I] & his [second] wife had one child:

 Laure

[1446] Domesday Descendants, p. 698.

[1447] Dugdale Monasticon V, Kingswood Priory, Wiltshire I, p. 425.

[1448] Actes Henri II, Tome I, VIII, p. 12.

[1449] Bayeux (Livre noir), Tome I, XVII, p. 24.

[1450] Actes Henri II, Tome I, XXXVII, p. 43.

[1451] Actes Henri II, Tome I, XLIV, p. 49.

[1452] Robert of Torigny, Tome I, p. 316, footnote 4, citing Cartulaire de Cercamp,


p. 81 (no precise citation reference nor date given).

[1453] Röhricht, R. (ed.) (1893) Regesta Regni Hierosolymitani (Oeniponti) 338, p.


88.

[1454] Röhricht (1893), 360, p. 94, and Rozière, E. de (ed.) (1849) Cartulaire de
l'église de Saint-Sépulchre de Jerusalem (Paris) ("Saint-Sépulchre de Jerusalem"),
65, p. 134.

[1455] Red Book Exchequer, Part I, Knights fees, p. 25.

[1456] Red Book Exchequer, Part I, Knights fees, p. 31.

[1457] Robert of Torigny, Tome I, p. 337, charter quoted in footnote 1.

[1458] Robert of Torigny, Tome I, p. 344.

[1459] Round (1899), 491, p. 175.

[1460] Delisle, L. (ed.) (1872) Chronique de Robert de Torigni, abbé de Mont-Saint-


Michel (Rouen), Tome I, p. 316.

[1461] Langlois, V. (trans.) (1868) Chronique de Michel le Grand patriarche des


-5092-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
syriens jacobites (Venice) ("Chronicle of Michel le Grand"), pp. 316 and 318.

[1462] WT XVIII.XIX, pp. 851-3.

[1463] Extrait du Kamel-Altevarykh, RHC Historiens orientaux, Tome I, pp. 537-40

[1464] RHGF XXIII, Ex Obituario monasterio ulteriores portus, p. 452.

[1465] Eynsham, 13, p. 40.

[1466] RHGF XXIII, Ex Obituario monasterio ulteriores portus, p. 452.

Fonts:
- persona: T.Blanchet (Morrison Family Tree)2/2/2012, J-P.de Palmas (FMG) 3 v
2012
- família: T.Blanchet (Morrison Family Tree)2/2/2012, J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012

95.122.057:
Fonts:
- persona: T.Blanchet (Morrison Family Tree)2/2/2012
- família: T.Blanchet (Morrison Family Tree)2/2/2012, J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012

95.122.057b:
GAUTHIER de Saint-Valéry (-1171). Domesday Descendants names "Bernard,
Walter later archdeacon of Rouen (d. 1171) and Guy" as the three sons of Renaud
de Saint-Valéry, citing the cartulary of Oseney abbey for Gauthier[1468].
Archdeacon of Rouen.

[1468] Domesday Descendants, pp. 698-9, citing Salter, H. E. (ed.) (1929-36) The
Oseney Cartulary (Oxford), Vol. V, p. 1037

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012

95.122.057c:
GUY de Saint-Valéry (-after [1183]). Domesday Descendants names "Bernard,
Walter later archdeacon of Rouen (d. 1171) and Guy" as the three sons of Renaud
de Saint-Valéry but does not cite the corresponding primary sources on which this
information is based[1469]. "…Widone de Sancto Walerico…" subscribed the
charter dated to [1179] under which Henry II King of England confirmed a
donation by "Robertus de Fay" to "comiti Willelmo de Maundevilla"[1470].
"…Widone de Sancto Walerico" subscribed the charter dated to [1183/89] under
which Henry II King of England confirmed income from the prévôté de Valognes
and the forest of Brix for the hospital de la Madeleine[1471].

[1469] Domesday Descendants, p. 698.

[1470] Actes Henri II, Tome II, DXLVII, p. 124.

[1471] Actes Henri II, Tome II, DCCLI, p. 395.

-5093-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012

95.122.057d:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012

95.122.058:
[AUBREY de Dammartin (-after [1135]). It is probable that Aubrey and William de
Dammartin were sons of Eudes [I] de Dammartin and his wife Basilia, assuming
that Eudes was the only family member who emigrated to England (and the
absence of any other Dammartin entries in the 1129/30 Pipe Roll suggests that this
is probably correct), but this affiliation has not been confirmed. The hypothesis
appears supported by the charter dated to [1130/35] under which Henry I King of
England confirmed "Alberico de Danmartin" in "totam terram patris sui de manerio
Norton" [in Suffolk][14], suggesting that Aubrey´s father has recently died, which
is in line with the estimated date of death of Eudes [I]. "Aubri comes Dommartini"
granted Norton, Suffolk to his brother William by charter dated [before 1135],
witnessed by Manassès de Dammartin, Bartholomew de Dammartin, Hamo de
Dammartin and William his brother, Alan de Dammartin, Walter de Dammartin,
Matthew de Dammartin, William the bastard, Gilbert de Dammartin and Roger his
brother, and Philip de Dammartin[15].]

[14] Johnson, C. & Cronne, H. A. (ed.) (1956) Regesta Regem Anglo-Normannorum


(Oxford), Vol. II, Appendix, CCCXII, p. 387.

[15] Evans, C. F. H. 'Dammartin', Genealogists' Magazine (1965), Vol. 15, pp. 53-
63, in Edwards, S. (ed.) (2003) Complete Works of Charles Evans, Genealogy and
related topics (Foundation for Medieval Genealogy) ("Evans (2003)"), pp. 80-1.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Jean-Noël Mathieu, Recherches sur les premiers comtes
de Dammartin, 1996, p.56 tableau 3 et FMG) 4 x 2012, G.de Paysac, Anselme VIII,
402, J-P de Palmas (Rootsweb) ix2009, JL.Mondanel (généalogie Dammartin) 30 iii
2011
- família 1: J-C Barbier (de Carne) 3 v 2008, J-P de Palmas (Généalogie Dammartin)
ix2009
- família 2: J-P de Palmas (Généalogie Dammartin) 2009

95.122.059:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Généalogie Dammartin) 2009

95.122.059-1a:
Aubri II de Dammartin

La première mention d’Aubri en tant que comte de Dammartin est une charte de
1162 par laquelle il confirme tous les biens tenus par l’abbaye de Chaâlis sur le
comté de Dammartin le jour où l’investiture du comté lui a été donnée par le roi
Louis VI : « Albericus camerarius et filius ejus comes de Dammartin… de manu
Ludovici regis Francorum investituram consulatus Domnimartini idem Albericus
suscepit »6. Cette abbaye avait déjà fait l’objet de donations de la part de Renaud
de Clermont qui se présentait en comte de Dammartin en 1138. D’après la charte
de 1162, Aubri a reçu l’investiture du comté des mains du roi. En effet, même si
Renaud faisait office de comte de Dammartin, en tant que mari de Clémence, le roi
-5094-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
avait conservé le château comme l’indique une charte de 1176. Appartenant au
lignage des Dammartin, Aubri pouvait prétendre à ce comté. A la mort de Renaud,
le roi le lui confie. Certainement pour dédommager Clémence des droits qu’elle
possédait sur le comté, il marie Aubri, le nouveau comte de Dammartin avec
Mathilde, fille de Renaud de Clermont et de Clémence.

Aubri II de Dammartin semble faire partie des fidèles du roi. En 1180/1181, il est
envoyé par Philippe Auguste à la tête d’une délégation auprès du roi d’Angleterre.
Il participe, au côté du roi, aux opérations contre le comte Philippe de Flandre,
durant lesquelles sont pris le château de Dammartin et fait prisonnier le comte
Aubri : « 1182, Principes autem ejus (comitis Flandriae), ut leonem catuli,
circuibant regionem regis, audactes euntes per arte Silvanectum, depopulando
usque in villam quae dicitur Lovres non multum distans a civitate Parisiensi,
ceperuntque Albericum comitem de Danmartin super lectum suum, et captus ad
comitem Flandriae adduxerunt. ». En 1186, le roi de France fait la paix avec le
comte de Flandre et commence à s’opposer au roi d’Angleterre Henri II
Plantagenêt. Il semble alors que les Dammartin, père et fils, passent au service de
ce dernier, puisqu’ils réapparaissent dans les comtes de l’échiquier anglais pour le
Norfolk et le Suffolk. Il est difficile de comprendre l’attitude des Dammartin :
veulent-ils agrandir leurs possessions en Angleterre ? Aubri a-t-il mal digéré sa
captivité chez le comte de Flandre et veut se venger du roi de France ou se met-il
au service du plus puissant selon lui ? Il est difficile de répondre à ces questions.
Dans tous les cas, ce choix a pour conséquence leur perte et surtout voit le destin
le plus tragique de la famille des Dammartin : Renaud, connu pour être le traître de
Bouvines.

Extrait de Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle

Dans FMG, confusion possible avec :

AUBRY [III] de Dammartin (-Lillebonne 20 Sep 1200, bur Jumièges). His parentage
is confirmed by a charter dated 1162 under which "Albericus comes de
Dampmartin, laudante patre suo Camerario" donated property to "monasterio Cari-
loci"[2213]. Comte de Dammartin. Seigneur de Lillebonne [en-Normandie].
"Radulfus comes Clarimontis" donated part of Hez wood to the church of
Froidmont by charter dated 1190 witnessed by "Alberico comite de Dammartin et
Renaldo filio eius…Aelidis uxor mea et filie mee Cathelina et Mathildis…Hugo
frater meus primicerius ecclesie Mettensis…"[2214]. "A. comes Domni Martini"
donated property to Saint-Leu d´Esserent by charter dated 20 Sep 1200, signed by
"M. comitisse Dampni Martini uxoris mee et…R. comitis Bolonie filii nostri"[2215].
An anonymous continuation of the Chronicle of Robert of Mont-Saint-Michel
records the death "XIII Kal Oct" in 1200 of "Albericus Dammartini Comes" and his
burial "apud Gemeticum"[2216].

m MATHILDE de Clermont, daughter of RENAUD Comte de Clermont-en-


Beauvaisis & his [second wife Clémence ---] (-after [May/Jul] 1218). "…Matildis
soror mea…" consented to the donation by "Radulfus…comes Clarimontis" to the
abbey of Notre-Dame d'Ourscamp by charter dated 1162[2217]. "R…comes
Clarimontis et dominus Brituliensis…et Aeliz comitissam uxorem meam" confirmed
the donation to the church of Breteuil by "Sangalo de Garda Malgerii, Henricus
filius eius" by undated charter, witnessed by "Albericus Domni Martini comes et
Mahaux soror mea, Domni Martini comitissa, Rainaldus castellanus
Britulii…"[2218]. "A. comes Domni Martini" donated property to Saint-Leu
d´Esserent by charter dated 20 Sep 1200, signed by "M. comitisse Dampni Martini
uxoris mee et…R. comitis Bolonie filii nostri"[2219]. King Philippe II confirmed the
donation made by “Mathilde jadis comtesse de Dammartin” to the nuns of Parc

-5095-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
near Crespi of revenue from “la prévôté de Crespi”, which the king had previously
granted to her in return for her rights over the county of Clermont after the death
of [her great-nephew] Thibaud VI Comte de Blois, by charter dated [May/Jul]
1218[2220]. Aubry [III] & his wife had [seven] children.

[2213] Anselme, Tome VIII, p. 401, which does not cite the document reference.

[2214] Lépinois (1877), Pièces justificatives, XXXVIII, p. 448.

[2215] Esserent Saint-Leu, XC, p. 94.

[2216] Anonymi Continuatio appendicis Roberti de Monte ad Sigebertum, RHGF


XVIII, p. 341.

[2217] Ourscamp Notre-Dame CCLXII, p. 158.

[2218] Lépinois (1877), Pièces justificatives, VII, p. 427.

[2219] Esserent Saint-Leu, XC, p. 94.

[2220] Delisle (1856), 1825, 1826, pp. 401-2.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes
de Dammartin », Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et
archéologiques de Paris et de l’Île-de-France, tome 47, Paris, 1996, p. 7-59.) 5 x
2012
- família: G.de Paysac, Anselme VIII, 402, Maxim Olenev maximolenev@mail.ru,
G.Hazard

95.122.068:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000 ancêtres de Henri d'Orléans, 25-
1499), JB.de La Grandiere (Stéphane Morin in "Trégor Goëlo Penthièvre" Société
d'émulation des Côtes d'Armor PUR 05/2010 pp 101-103 ) 28 xii 2017
- casament: F-L. Jacquier
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 xii 2016

95.122.069:
TIPHAINE de Penthièvre . The Testa de Nevill records that "Coleby" in Lincolnshire
previously belonged "de honore Britannie" and was granted "in maritagio cum
Thephania filia comitis Stephani" and later "in maritagio cum Oliva sorore Willelmi
camerarii de Tancarville"[982].

m as his first wife, RABEL de Tancarville, son of GUILLAUME de Tancarville & his
wife Mathilde d'Arques (-1140). Chamberlain of Normandy[983].

[982] Testa de Nevill, Part II, p. 1044.

[983] Domesday Descendants (2002), p. 729.

Son père lui donne Coleby, dans le Sud-Est de l'Angleterre.


-5096-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 xii 2016, JB.de La Grandiere (
corrigeant FMG : Stéphane Morin in "Trégor Goëlo Penthièvre" Société d'émulation
des Côtes d'Armor PUR 05/2010 pp 101-103) 28 xii 2017
- casament: F-L. Jacquier
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 xii 2016

95.122.069a:
Compagnon de Richard Coeur de Lion.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier
- naixement: F-L. Jacquier
- defunció: F-L. Jacquier

95.122.069c:
OLIVE de Tancarville . The Testa de Nevill records that "Coleby" in Lincolnshire
previously belonged "de honore Britannie" and was granted "in maritagio cum
Thephania filia comitis Stephani" and later "in maritagio cum Oliva sorore Willelmi
camerarii de Tancarville"[1932]. The name of Olive’s husband is not specified.
Domesday Descendants names "Oliva de Tancarville, daughter of Rabel and
Theophania de Richmond" as the wife of William [II] Malet[1933]. However, the
chronology for this marriage is not ideal. The birth of Olive’s maternal grandfather
is estimated to [1058/62]. His daughter was therefore probably born in
[1080/1100], and Olive in [1095/1115]. On the other hand, William [II] Malet is first
named in a charter dated Sep 1101 when he was presumably already adult, and no
mention of him has been found after [1117/21]. Stapleton suggests that Olive may
have been the mother of Guillaume Malet de Graville (see below) which appears to
provide a better chronological fit[1934].

[m WILLIAM [II] Malet, son of [ROBERT [I] Mallet & his wife Matilda ---] (-after
[1117/21]) or m MATTHEW de Graville, son of --- (-after 1172).]

[1932] Testa de Nevill, Part II, p. 1044.

[1933] Domesday Descendants, p. 474.

[1934] Stapleton, T. (1844) Magni Rotuli Scaccarii Normanniæ sub Regibus Angliæ
(London) ("Rotuli Scaccarii Normanniæ"), Vol. II, p. cxlii.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 7 xii 2016
- família: F-L.Jacquier (Paul Leportier, tome 2 : Les familles médiévales normandes)
8 x 2016, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 xii 2016

95.122.069d:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Olivier Pronost - GeneaNet "040363")
- família: P Ract Madoux (Pierre l'Estourmy: La Galissonnière: Pont l'Evêque) 19 iv
2003

95.122.070:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de
-5097-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Tancarville)
- família: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de
Tancarville)

95.122.071:
Fonts:
- família: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de
Tancarville)

95.122.071b:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de
Tancarville)

95.122.072:
Fonts:
- persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)
- família: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), H.R.Moser/EuSt-
XIII/113

95.122.073:
Fonts:
- persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), J-P.de Palmas (Racines
histoire) 5 viii 2013
- família 1: H.R.Moser/EuSt-VII
- família 2: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), H.R.Moser/EuSt-
XIII/113

95.122.073-1a:
Meurt assez jeune, dans la quarantaine

Fonts:
- defunció: N.Powis (Les seigneurs de Trazegnies au moyen-âge par J. Plumet, 1959)
2/7/2008
- família: H.R.Moser/EuSt-VII

95.122.076:
Fonts:
- casament: H.de La Villarmois (Abbé Roland) 16 vi 2006
- família: H.de La Villarmois (Abbé Roland) 16 vi 2006

95.122.077:
Héritière de Chièvres (Hainaut), fondatrice et bienfaitrice de l'abbaye de
Ghislenghien, d'une léproserie ou ladrerie à Chièvres, de chapelles.
Veuve de Gilles de Chin, chevalier, remariée en troisièmes noces à Nicolas III de
Rumigny.
N.Powis (Le Parchemin 2002) 6/12/2009

Fonts:
- persona: H.de La Villarmois (Bruges et le Franc tome III J. Gailliard , Bruges 1859)
23 vii 2009
- defunció: A.Brabant (Généanet)
- família 1: J-C de Vaugiraud (HG 119 p 207) 17/06/2006
- casament 2: G Grattepanche (fichier personnel) 27.VIII.2005
- família 2: N.Powis (Warlop "De Vlaamse adel voor 1300) 6/12/2009

-5098-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- casament 3: H.de La Villarmois (Abbé Roland) 16 vi 2006
- família 3: H.de La Villarmois (Abbé Roland) 16 vi 2006

95.122.077b:
Fonts:
- família: Jean-Emile Tollé 4 iv 2005, J-P de Palmas (Armorial général de France, par
Louis Pierre d'Hozier) 30xi2011

95.122.077c:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-VII

95.122.077-1a:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base raulguti, 16vii2008), H.de La Villarmois (site
G.Benoist) 9 xii 2008
- família: N de Meyrignac (base betthube, 16vii2008), H.de La Villarmois (site
G.Benoist) 9 xii 2008

95.122.077-2a:
Qualifié "nobiles, optimas, baro et primas", croisé (1177) ?

Décès : L'année de décès (1206) donnée dans les Manuscrits Sars de Solmont -
Gavre est inexacte.

Fonts:
- persona: N.Powis (Le Parchemin 2002 et Warlop "De Vlaamse adel voor 1300)
6/12/2009
- defunció: N.Powis (Le Parchemin 2002) 6/12/2009

95.122.077-2b:
Fonts:
- persona: N.Powis (Warlop "De Vlaamse adel voor 1300) 6/12/2009

95.122.077-2c:
Fonde l'abbaye d'Oliva.

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES VIII, T. 45 b) 27 ii 2011, S. de L'Espinay (Etienne
Pattou-gén. du Roeulx-2007/2015-http://racineshistoire.free.fr/LGN)21.02.2016
- família: N.Powis (Warlop "De Vlaamse adel voor 1300) 06.12.2009, J-C de
Vaugiraud (ES VIII, T. 45 b) 27 ii 2011

95.122.120:
Le château de Roucy était servi par au moins trois douzaines de chevaliers.
L'un deux était le père de Gérard dit "de Roucy" et de Gautier dit "de Roucy" et
surnommé Brise-Lance.

JB de La Grandière 19/5/2012

Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Frédéric Chevalier, forum 15/5/2012 : voir "Notes" )
16 v 2012

-5099-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.122.121:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Frédéric Chevalier, forum 15/5/2012 : voir "Notes" )
16 v 2012

95.122.121a:
dit "de Roucy".

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (F.Chevalier forum 19/5/2012 : compléments tirés de
Michel Bur ) 19 v 2012

95.122.122:
Seigneur de Bazoches-sur-Vesles (Aisne).

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006, JB.de La Grandiere (
corrigé et augmenté par Jean-Noël Mathieu Recherches sur les vidames de Châlons
Etudes marnaises Bulletin SACSAM 2006) 16 v 2012, JB.de La Grandiere (modifs de
F.Chevalier, forum 19/5/2012 citant art. d ) 19 v 2012
- família: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006

95.122.123:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006

95.122.123a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu : "Recherches sur les vidames de
Châlons", Etudes marnaises Bulletin SACSAM 2006) 16 v 2012

95.122.123b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006
- casament: J-C de Vaugiraud (après de décès du 1° époux) 21/03/2009
- família: J-C de Vaugiraud (HG 131 - p.184) 24/05/2006

95.122.123c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu : "Recherches sur les vidames de
Châlons", Etudes marnaises Bulletin SACSAM 2006) 16 v 2012

95.131.080:
ESPAIN (-after 1140). Vicomte de la Barthe. m AZERE, daughter of ---. "Odo et
Arnaldus Wlmi filii Espani vicecomitis de Barta et…Azera vicecomitissa mater
eorum et…Blancaflor soror prædicti vicecomitis et Petrus comes Bigorritanus…"
donated property "dans le territoire de Dozos" to the monastery of Bonnefont by
charter dated to [1140][1158]. Espain & his wife had three children.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
- naixement: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
- família: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

-5100-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.131.081:
Fonts:
- persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
- família: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

95.131.081b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

95.131.081c:
ARNAUD GUILLAUME . "Odo et Arnaldus Wlmi filii Espani vicecomitis de Barta
et…Azera vicecomitissa mater eorum et…Blancaflor soror prædicti vicecomitis et
Petrus comes Bigorritanus…" donated property "dans le territoire de Dozos" to the
monastery of Bonnefont by charter dated to [1140][1160]. m ---. The name of
Arnaud Guillaume´s wife is not known. Arnaud Guillaume & his wife had one child:

i) RAYMOND ARNAUD (-1205). Canon of Saint-Etienne de Toulouse. Bishop of


Comminges 1188.

[1160] Jaurgain (1902), p. 408, quoting Cartulaire de Bonnefont, Oïhenart, Vol. ms.
de Mgr. Carsalade du Pont, fo. 203 vo.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
- família: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

95.131.084:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Hélène Debax, Vicomtes et vicomtés dans l'Occident
médiéval, Généalogie des Miremont, tableau 3, 2008) 26 xii 2013
- família: J-L. Dega(Jaurgain), J-L. Dega (Bourdette)

95.131.085:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Bourdette), , JB.de La Grandiere (Jaurgain) 18 xi 2013
- família: J-L. Dega(Jaurgain), J-L. Dega (Bourdette)

95.131.086:
Fonts:
- família: Jean-Louis Dega

95.131.087:
Fonts:
- família: Jean-Louis Dega

95.131.112:
Porte : Écartelé d'or et de gueules

Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)

95.131.113:

-5101-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)/ J-L. Dega
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)

95.131.114:
Fonts:
- família: Paul Libérator de Boisgelin(Descendance de Bernard de Montlezun,
Michel Chevalier)

95.131.115:
Fonts:
- defunció: Paul Libérator de Boisgelin(Descendance de Bernard de Montlezun,
Michel Chevallier)
- família: Paul Libérator de Boisgelin(Descendance de Bernard de Montlezun,
Michel Chevalier)

95.131.115a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

95.144.256:
Pons et Bernard de MONTLAUR (Bernard II) sont cités par Aigrefeuille au nombre
des Seigneurs du voisinage de Guillaume comte de Montpellier qui se joignirent à
lui et à Raymond comte de Toulouse pour partir à la première croisade décidée en
1095 au Concile de Clermont (3). Ainsi, la maison de MONTLAUR apparaît-elle, il y
a 1000 ans, parmi les premières maisons du Languedoc.

Le château de MONTLAUR au diocèse de Maguelone " un des plus anciens


châteaux de la province" dit encore Aigrefeuille est le berceau de cette race (4).
C'est au château de MONTLAUR en Bas-Languedoc que sont nés les premiers
seigneurs de MONTLAUR qui illustrèrent ce nom et à partir desquels la filiation
peut s'établir.

 (2) " Histoire de la Ville de Montpellier", par Ch. d'Aigrefeuille. Tome 11


(1757).
 (3) Aigrefeuille ; ibidem» Tome I.
 (4) Les ruines du château de MONTLAUR actuellement commune de
Montaud (Hérault) à 18 kms de Montpellier sur l'axe de Sommières et de
Nîmes sont toujours dans la descendance féminine des premiers
Seigneurs de MONTLAUR. Elles appartiennent aujourd'hui à Charles-
Humbert-Jean deVILLARDI QU1NSON , V1I1° marquis de MONTLAUR
dont le cinquième ai'éul paternel les eût par mariage (28 décembre 1740).

Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007, J-P.de Palmas
(Généalogie Montlaur) 23 ix 2012
- família: C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007

95.144.257:
Fonts:
- família: C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007

95.144.257a:
-5102-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Bernard III de MONTLAUR, Seigneur de Vailhauques et Castries en Languedoc,
appelé aussi Bernard de Castries. Il apparaît comme un des personnages
considérables du Languedoc, étant témoin dans un différend entre le comte de
Montpellier et le comte de Melgueil en 1135 à côté de Raymond des Baux et de
Laugier, Evêque d'Avignon, et signant, en 1158, au contrat de mariage de
Guillaume comte de Montpellier avec Mathilde soeur du duc de Bourgogne.
D'après Aigre-feuille la seigneurie de Castries, un des grands fiefs du Bas-
Languedoc passa à la Maison de MONTLAUR dans les conditions suivantes : En
1158, à la suite de son mariage avec Mathilde de Bourgogne, Guillaume de
Montpellier hérita de son frère Tortose qui ayant perdu sa femme, Ermessendé de
Castries (de la première maison de Castries ). partit à Jérusalem pour y entrer dans
l'Ordre des Templiers. Tortose de Montpellier engagea alors ses biens à son frère
et lui fit donation du château de Castries qu'il avait du chef de sa femme. C'est
ainsi que ce fief sortit de la Maison des premiers Seigneurs de Castries pour entrer
dans celle de Montpellier d'où elle passa dans celle de MONTLAUR qui en jouissait
dans le XIII° siècle, et enfin dans celle de la Croix pour laquelle elle fut érigée en
Marquisat (1645).

 1135 : Fut témoin dans un différend entre le comte de Montpellier et le


comte de Melgueil à côté de Raymond des Baux et de Laugier, évèque
d’Avignon.
 1158 : témoin au mariage de Guillaume comte de Montpellier et Mathilde
de Bourgogne.

Fonts:
- persona: J-L. Dega, C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007, C.Maubois
(gen maison de Montlaur) 19 ii 2011
- família: J-L. Dega

95.144.257c:
Hugues de MONTLAUR. D'abord évêque de Riez il fut sacré archevêque d'Aix en
1167. L'année même de son élévation au siège d'Aix il assista à l'Abbaye de
Silvacane à la cérémonie au cours de laquelle le roi Ildefonce d'Aragon fit une
importante donation à ce monastère. Il en signa l'acte en même temps.

Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007, J-P de Palmas
(Généalogie de Montlaur) 20ii2011

95.144.257d:
Né au château de Montlaur, diocèse de Maguelone, Montaud (Hérault).1

 1159 : est élevé à l’évéché de Maguelone au cours d’une séance orageuse


où les chanoines réclamaient que soit nommé en même temps un prévot
pour défendre leurs biens temporels. Il s’impose comme pacificateur dans
les démélés qui opposent Bernard Pelet comte de Melgueil et Guillaume
de Montpellier. Il fait condamner l’erreur des Vaudois et des Albigeois qui
menaçait le Languedoc.
 1161 : il assiste au Concile de Toulouse.
 1163 : il reçoit à Maguelone le pontife (le pape Alexandre III)
magnifiquement. Il donne sa protection aux vassaux du comte de Melgueil
que celui-ci accablait d’impots. Il négocie le mariage d’Ermessende de
Melgueil avec Raymond comte de Toulouse amenant la paix.

-5103-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 1179 : il envoie deux messagers au roi Louis VII et obtient des avantages
considérables pour son diocèses.
 1181 : il inspire à Guillaume VIII de Montpellier l’acte proclamant la
liberté d’enseignement dont ne furent exclus ni les juifs ni les arabes.
 1190 : il fonde des écoles élémentaires, cultive les lettres et rédige une
chronique de Maguelone. Il s’occupait du divorce de Guillaume de
Montpellier lorsqu’il meurt en 1190. Il est inhumé sous la table d’autel de
la chapelle St Jean de sa cathédrale qu’il avait fait élever.

Références

1. Sur la naissance au château de MONTLAUR près de Montpellier de Jean


1er de MONTLAUR, évêque de Maguelone, voir:" Chroniques de
Maguelone" par Arnaud de VERDALLE évêque de Maguelone de 1339 à
1552; Guy ALLARD (déjà cité) qui dit que Jean 1er est le frère de
l'Archevêque d'Aix et l'oncle de' Pons, seigneur d' Aubenas; Fisquet (delà
cité) qui dit que Jean 1er est le petit-fils de Bernard de MONTLAUR,
seigneur de VAILHAUQUES; Oom Vaissète " Histoire générale du
Languedoc"; Louis de Laroques " Les évêques de Maguelone"; Ch.
d'Aigrefeuille (déjà cité); Catel: " Mémoires de l'Histoire du Languedoc";
Buriot-Darsilesetc.
J-P de Palmas: in Généalogie de Montlaur

Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007, C.Maubois (gen maison
de Montlaur) 19 ii 2011

95.144.272:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011

95.144.273:
Fonts:
- família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011

95.144.306:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Geni.com) 25 ii 2016, JB.de La Grandiere (rectif geni avec
Peynot (Abbé Michel) La Combraille pp. 176/219 (Saint-Julien) Guéret 1931) 13 iii
2017
- família: J-P.de Palmas (Geni.com) 25 ii 2016

95.144.307:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Geni.com) 25 ii 2016
- família: J-P.de Palmas (Geni.com) 25 ii 2016

95.144.387:
Accelena d’Apt est la fille de Rainald, seigneur d’Apt, et Beatrice 1.

Gisla, la supposée deuxième femme de Rambaud, et Accelena d'Apt sont la même


personne. Dans une donation elle apparaît sous le nom de Gisla, femme de
-5104-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Rambaud, mais signe Accelena2.

Sources

1. Florian Mazel: La noblesse et l'Église en Provence, fin X°-début XIV°


siècle p. 231 et Europäische Stammtafeln XIV 9 les seigneurs d'Apt et
Faire mémoire: souvenir et commémoration au Moyen Age : séminaire
Sociétés, idéologies et croyances au Moyen Age, Par Claude Carozzi,
Idéologi Séminaire Sociétés, Huguette Taviani-Carozzi, Université de
Provence Equipe de recherche "Sociétés, idéologies et croyances au
Moyen Age", Collaborateur Claude Carozzi, Huguette Taviani-Carozzi,
Publié par Publications de l'Université de Provence, 1999, p.224.
2. Recueil des actes concernant les évêques d'Antibes, publié par Georges
Doublet, Publié par Imprimerie de Monaco, 1915, p17 et n.6.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Florian Mazel: La noblesse et l'Église en Provence, fin X°-
début XIV° siècle p. 231 et Europäische Stammtafeln XIV 9 les seigneurs d'Apt)
i2010
- família: J-P de Palmas (Florian Mazel: La noblesse et l'Église en Provence, fin X°-
début XIV° siècle p. 231 et Europäische Stammtafeln XIV 9 les seigneurs d'Apt)
i2010

95.144.387a:
Laugier d’Apt, ou Leodegar, surnommé le Roux ou Laugier Rufus est seigneur
d’Apt[1], or les Orange-Nice sont seigneurs de Vence, mais pas d’Apt. Au niveau de
sa femme, Amancia, elle est peut-être une Castellane, une Glandevés, ou selon
Florian Mazel[2] la fille d’un Audibert de Lacoste, d’une branche cadette de la
prolifique Maison de Castellane. Il récupère le castrum de Saignon certainement
donné par son père[3].

Références

1. Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme, Par Société


d'archéologie et de statistique de la Drôme, Valence, 1893, v.27, p.146.
2. La noblesse et l'Église en Provence, fin Xe-début XIVe siècle, Cths Edition,
2008, p. 231.
3. ↑ La noblesse et l'église en Provence, fin Xe-début XIVe siècle: l'exemple
des familles d'Agoult-Simiane, de Baux et de Marseille, Par Florian Mazel,
Publié par Editions du CTHS, 2002, p.231.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) i2010
- família: J-P de Palmas (wikipedia) i2010

95.144.387c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J.Berge: Origines rectifiées, tableau p 113) 21/04/2008
- família: J-C de Vaugiraud (J.Berge: Origines rectifiées, tableau p 113) 21/04/2008

95.144.387d:
Pierre II de Nice est né vers 1035 et mort en 1103.
-5105-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Pierre II de Nice, pour lequel son père Rambaud de Nice achète dès l'enfance, la
succession du siège de Sisteron, après son frère Pierre de Nice. Ce scandale donne
lieu à de nombreuses péripéties[1]. Pierre II de Nice est néanmoins évêque de
Sisteron (1043-1059). Toutefois, Pierre II de Nice, évincé en tant qu'évêque de
Sisteron, est élu évêque de Vaison 1060-1103 avant l'année 1059. Cette élection,
que le Saint-Siège ne favorise certainement pas, est favorisée par le souvenir de
son grand-oncle le saint évêque Pierre de Mirabel et avec des protections que
seules les alliances de Rambaud peuvent justifier[2]. Mais d'autres historiens
estiment que Rambaud de Nice achète également l’évêché de Vaison, et que c'est
que du fait de cet achat que son fils Pierre devient l’évêque de ce diocèse[3].

Sa famille

Rambaud de Nice, son père, est coseigneur de Nice, de Courthézon et de Vence[4].


Il est l’un des petits-fils du comte Guillaume Ier de Provence, dit le libérateur[5]
Certains historiens lui donneront le titre de vicomte. Son père est un membre de la
première maison des comtes d’Orange-Nice. Rambaud de Nice, trois fois marié, a
de nombreux enfants, tiges de familles puissantes[6].
Rambaud fait avec ses épouses de nombreux dons à l’Église et l’un de ses fils est
moine après son décès.

Évêque de Sisteron (1043-1059)

Rambaud de Nice et de Vence, son père, essaie d'élever sur les sièges épiscopaux
ses parents ou amis, afin de détenir le pouvoir temporel et spirituel[8].

Comme bien des offices ecclésiastiques, l’évêché de Sisteron est approprié


illégalement, voire occupé par les laïcs aux Xe et XIe siècles. À Sisteron, Odile de
Provence administre elle-même les biens de l’évêque. Son fils, Rambaud de Nice
occupe la citadelle de Sisteron et achète l’épiscopat en 1043 pour son fils Pierre (8
ans). Le concile d’Avignon excommunie Rambaud de Nice, et nomme en 1060
Géraud Chevrier pour réformer l’évêché. Mais en 1066, les chanoines lui refusent
l’entrée dans sa ville ; il ne peut non plus entrer au château de Lurs, et installe son
évêché à Forcalquier, dont l’église Notre-Dame-du-Bourguet est élevée au rang de
concathédrale (deuxième cathédrale du diocèse), un chapitre est créé avec les
mêmes droits que celui de Sisteron, et la ville devient sa résidence principale.

Rambaud de Nice vend l’évêché à ses chevaliers et ne veut pas le rendre[9].


L'évêché de Sisteron est de 1043 à 1060 aux mains du « laïque » Rambaud de Nice,
qui en dilapide les domaines[10].

Pierre II tient son siège 14 ans avant de devoir le quitter vraiment à la mort de son
protecteur paternel. C'est là l'une des rares exceptions qui confirment la règle
générale concernant les successions d'évêques : quand une charge ne fait pas
l’objet de transactions, c’est qu’elle n’en vaut pas - ou plus - la peine.

Évêque de Vaison (1060-1103)

Pierre II de Nice, évincé en tant qu'évêque de Sisteron, est élu évêque de Vaison
1060-1103 avant l'année 1059. Cette élection, que le Saint-Siège ne favorise
certainement pas, est favorisée par le souvenir de son grand-oncle le saint évêque
Pierre de Mirabel et avec des protections que seules les alliances de Rambaud
peuvent justifier[11]. Mais d'autres historiens estime que Rambaud de Nice achète
également l’évêché de Vaison et c'est que du fait de cet achat que son fils Pierre

-5106-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
devient l’évêque de ce diocèse[12].

Pierre II de Nice, évêque de Vaison cède, en 1073, à Dieu, à N. S. Jésus-Christ, à la


Sainte-Mère Marie toujours Vierge et à l'église de Nice, l'héritage paternel, c'est-à-
dire, le château de Drap avec ce qui lui appartient. Si quelqu'un, si moi-même, si
l'un de mes héritiers ou tout autre ose vous troubler dans cette donation, que la
colère de Dieu tombe sur lui ; qu'il soit excommunié et interdit. Nous le séparons
de l'église et nous lui interdisons la porte de la maison de Dieu ; qu'il s'en aille avec
le traître Judas et que ses mauvais affidés ou conseillers soient précipités dans les
enfers avec Béelzébuds, prince des démons. Aux calendes de mai[13].

Notes et références

1. Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de l'Ordre du Temple


(1136-1214). T. 2 / publié et annoté par le marquis de Ripert-Monclar,,
Ordre du Temple. Commanderie (Richerenches, Vaucluse), Éditeur : F.
Seguin (Avignon), Éditeur : H. Champion (Paris), Date d'édition : 1907,
Contributeur : Ripert-Monclar, François de (1844-1921). Éditeur
scientifique, p.XXIX.
2. Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de l'Ordre du Temple
(1136-1214). T. 2 / publié et annoté par le marquis de Ripert-Monclar,,
Ordre du Temple. Commanderie (Richerenches, Vaucluse), Éditeur : F.
Seguin (Avignon), Éditeur : H. Champion (Paris), Date d'édition : 1907,
Contributeur : Ripert-Monclar, François de (1844-1921). Éditeur
scientifique, p.XXIX.
3. Noël Didier, op. cit., 1954, p. 16; Jean-Pierre Poly, op. cit., 1976, p. 255;
Édouard Baratier, Histoire de Provence, Toulouse, Privat, 1987, p. 129.
4. Chronique de Provence: histoire civile et religieuse de la cité de ice et du
Département des Alpes-Maritimes, Par Eugène Tisserand, Publié par
Visconti et Delbecchi, 1862, v.1-2, p.126.
5. Cartulaire de Saint-Victor, n° 659, cité par Mariacristina Varano,
Institution épiscopale et autorité comtale dans le diocèse de Sisteron
[archive].
6. Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme, Par Société
d'archéologie et de statistique de la Drôme, Valence, 1893, v.2, p.146.
7. Florian Mazel: La noblesse et l'Église en Provence, fin X°-début XIV°
siècle p. 231 et Europäische Stammtafeln XIV 9 les seigneurs d'Apt et
Faire mémoire: souvenir et commémoration au Moyen Âge : séminaire
Sociétés, idéologies et croyances au Moyen Age, Par Claude Carozzi,
Idéologi Séminaire Sociétés, Huguette Taviani-Carozzi, Université de
Provence Equipe de recherche « Sociétés, idéologies et croyances au
Moyen Age », Collaborateur Claude Carozzi, Huguette Taviani-Carozzi,
Publié par Publications de l'Université de Provence, 1999, p.224.
8. Chronique de Provence: histoire civile et religieuse de la cité de Nice et du
département des Alpes-Maritimes, Par Eugène Tisserand, Publié par
Visconti et Delbecchi, 1862, v.1-2, p.141.
9. La réforme grégorienne en Provence oriental, Par Mireille Fontana, Publié
par Pensée universitaire, 1957, p.37.
10. Le Moyen âge, Publié par H. Champion, 1888, p.521.
11. Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de l'Ordre du Temple
(1136-1214). T. 2 / publié et annoté par le marquis de Ripert-Monclar,,
Ordre du Temple. Commanderie (Richerenches, Vaucluse), Éditeur : F.
Seguin (Avignon), Éditeur : H. Champion (Paris), Date d'édition : 1907,
Contributeur : Ripert-Monclar, François de (1844-1921). Éditeur
scientifique, p.XXIX.
12. Noël Didier, op. cit., 1954, p. 16; Jean-Pierre Poly, op. cit., 1976, p. 255;
Édouard Baratier, Histoire de Provence, Toulouse, Privat, 1987, p. 129.

-5107-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
13. ↑ Chronique de Provence: histoire civile et religieuse de la cité de Nice et
du Département des Alpes-Maritimes, Par Eugène Tisserand, Publié par
Visconti et Delbecchi, 1862, v.1-2, p.127.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) i2010

95.144.387e:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (wikipedia) i2010

95.144.387f:
Mort jeune.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia)

95.144.401:
Fonts:
- persona: E.Polti (gros.nom.fr ; 19.11.05)
- família: J-P de Palmas (Généalogie des vicomtes de Marseille)

95.144.401a:
Pons II (né en ? — mort le 18 février 1073) était un noble provençal de la famille
des vicomtes de Marseille, qui fut évêque de Marseille de 1008 (ou 1014) jusqu'à
sa mort.

Biographie

Pons II était le fils de Guillaume II le Gros, vicomte de Marseille. Il succéda à son


oncle Pons Ier comme évêque de Marseille, probablement dès 1008 et
certainement à partir de 1014. Il occupa ce siège jusqu'à sa mort en 1073. Durant
ce long épiscopat il figure dans un grand nombre de donations à l'Abbaye de Saint-
Victor de Marseille, ou autres, ou dans des actes divers, soit avec ses parents, soit
avec ses frères ou ses neveux, de sorte que leur filiation, à tous, est établie de la
manière la plus certaine.[1]

En l'an 1030, Pons, évêque de Marseille, céda l'église Ecclesia sancti Justi au
monastère de Saint-Victor. Huit ans après, Pons augmenta encore le domaine des
religieux qui desservaient l'église de Saint-Just. « Cette nouvelle donation, dit Ruffi,
fut prescrite pour le donateur, par les vicomtes de Marseille et par Rixendre
Priorissa, ce qui a donné lieu de penser que cette église avait été autrefois habitée
par des religieuses. Si cette transaction est véritable, il y a apparence que Rixendre
devait être alors la prieure de cette maison. »

Vers 1069 eut lieu une opération qui compte dans l'histoire de Marseille : la
division de la ville entre les vicomtes et l'évêque. A cette date, l'évêque Pons II (le
troisième de la famille vicomtale), frère des vicomtes Guillaume III et Geoffroy,
occupait le siège épiscopal depuis plus de soixante ans (depuis 1008). La papauté
se dégageait alors des intrigues romaines dans lesquelles elle avait végété et s'était
avilie. Cinq papes successifs, Léon IX, Nicolas II et leurs successeurs prêtaient
l'oreille aux conseils d'un moine destiné à coiffer lui-même la tiare, Hildebrand, et
manifestaient leur autorité. Cluny réclamait la réforme du clergé; Nicolas II l'avait
-5108-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
entreprise. Les vicomtes comprenaient qu'ils ne pourraient conserver l'évêché dans
leur famille.

Ils se décidèrent donc à effectuer un partage avec l'évêque leur parent, qui, par sa
naissance, participait à leurs droits. Le partage se traduisit par une division
territoriale. La plus grande et la plus belle part échut naturellement aux vicomtes :
ils conservaient tout le versant méridional des hauteurs de Marseille et la nouvelle
ville de l'est. A l'évêque était attribuée toute la partie de la ville comprise à l'ouest
et au nord de la place de Lenche : le château Babon, le bas-fond de la Major (l'alleu
Notre-Dame), les quartiers neufs et quasi déserts qui sont devenus plus tard ceux
de la Charité et de l'Observance, se joignant la butte des Carmes, comprise
également dans le territoire épiscopal. Cette division se continuait dans le terroir,
en dehors des murs. La région nord (avec Château Gombert) était attribuée à
l'évêque; les vicomtes conservaient les territoires situés à l'est et au sud, et
notamment la vallée de l'Huveaune, dont ils devaient d'ailleurs se dépouiller
bientôt en partie.[2]

 [1]↑ Voir sur Pons II : Albanès, Gallia Christ. noviss, év. de Mars, col. 52-
62.
 [2]↑ Histoire de Marseille - Raoul Busquet - 1948

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie des vicomtes de Marseille& wikipedia)

95.144.401b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) iv-2009
- família: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

95.144.401c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) iv-2009
- família: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

95.144.401d:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

95.144.401e:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (wikipedia) iv-2009

95.144.401-2b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

95.144.401-2c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014
-5109-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.144.401-2d:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

95.144.401-2e:
souche des seigneurs de Solliès

Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

95.144.401-2f:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

95.145.018:
HOËL de Cornouaïlle, son of ALAIN "Caignart" Comte de Cornouaïlle & his wife
Judith de Nantes (-13 Apr 1084). The Chronicon Briocensi names "Hoellus Dux
filiusque Alani Cagnart et Judith Comitissæ" when recording his marriage[445].
"Benedictus episcopus atque comes" founded the monastery of Locmaria de
Quimper, later confirmed by "Alanus comes filius Benedicti supradicti" (witnessed
by "…femina ipsius comitis Iudeth…"), by charter dated to [1022/38] which also
records a later donation by "Alanus comes et uxor illius Iudeth…et filiæ suæ
Hodiernæ abbatissæ", witnessed by "Hoel…filius eiusdem comitis…Moruan
vicecomes…"[446]. He succeeded as Comte de Cornouaille, de Nantes, et de Léon.
The Chronicæ Sancti Albini records the death in 1084 of "Hoel Brito comes
Nannetensis" and his donation to Saint-Nicholas of "insulam…Deneralem"[447].
The Chronicon Britannico records the death in 1084 of "Hoëlus Comes"[448]. The
Chronicon Britannico Alter records the death "Id Apr" in 1084 of "Hoellus filius
Alani Chainnardi, qui fuit Dux Nannetensis et Britanniæ"[449]. The Chronicon
Universum in the cartulary of Sainte-Croix de Quimperlé records the death in 1084
of "Hoel comes"[450]. The Chronicon Kemperlegiense records the death "Id Apr" in
1084 of "Hoël Comes"[451].
m (1066) HAVISE de Bretagne, daughter of ALAIN III Duke of Brittany & his wife
Berthe de Blois (-19 Aug 1072). The Flandria Generosa names "Havisis
Namnetensis comitissa" daughter of "Berta comitissa", when outlining the basis for
the consanguinity between Baudouin VII Count of Flanders and Havise de
Bretagne, which constituted grounds for their separation[452]. The Chronicon
Briocensi records the marriage of "Hasevisiam sororem…Conani Ducis" and
"Hoellus Dux"[453]. Her marriage is confirmed by the charter dated to before 1072
under which "Constancius" donated property to the abbey of Redon with the
consent of "Jedear uxore mea" and affirmed by "Hoel comes et Haduis comitissa,
Alanus et Mathias et Eudo filii eorum"[454], read together with another passage in
the Flandria Generosa which names "comes Alanus" as son of "Havisis
Namnetensis comitissa"[455]. She was heiress of her brother Conan II Duke of
Brittany in 1066. The necrology of Chartres cathedral records the death "XIV Kal
Sep" of "Haduisis filia Berta comitisse"[456]. The Chronicon Universum in the
cartulary of Sainte-Croix de Quimperlé records the death in 1072 of "Hadeuguis
comitissa"[457].
Comte Hoël & his wife had seven children.
[445] Ex Chronico Briocensi, RHGF XII, p. 565.
[446] La Borderie (1888), VIII, p. 17.
[447] Chronica sancti Sergii Andegavensis, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 139.

[448] Ex Chronico Britannico, RHGF XII, p. 557.


-5110-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[449] Ex Chronico Britannico Altero, RHGF XII, p. 559.
[450] Quimperlé Sainte-Trinité, Chronicon Universum, p. 105.
[451] Chronicon Kemperlegiense, Stephani Baluzii Miscellaneorum, Liber I,
Collectio Veterum, p. 522.
[452] Flandria Generosa 25, MGH SS IX, p. 323.
[453] Ex Chronico Briocensi, RHGF XII, p. 565.
[454] Redon CCCXXXIII, p. 283.
[455] Flandria Generosa 25, MGH SS IX, p. 323.
[456] Obituaires de Sens Tome II, Eglise cathédrale de Chartres, Nécrologe du xi
siècle, p. 10.
[457] Quimperlé Sainte-Trinité, Chronicon Universum, p. 104.
hérite du duché de Bretagne par sa femme en 1066. Par son mariage en 1066 avec
Havoise Ière de Rennes l'ancien royaume de Cornouailles devenu comté fut réuni
au duché de Bretagne.
Fonts: - persona: B.Yeurc'h, J-P.de Palmas (FMG) 1 ii 2014
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien n°4)
- casament: B.Yeurc'h (Le Lien n°4)

95.145.019:
morte vers 1072 selon B.Yeurc'h (Le Lien).
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (http://assoc.wanadoo.fr/identite.bretonne/identite-
bretonne/histoire/exposition/presentation.html)
- naixement: B.Yeurc'h (http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html)
- casament: B.Yeurc'h (Le Lien n°4)

95.145.019a:
Croisé en 1096.
Après son abdication, en 1112, il se fait moine à l'abbaye Saint-Sauveur de Redon.

Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (http://assoc.wanadoo.fr/identite.bretonne/identite-

-5111-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
bretonne/histoire/exposition/presentation.html), N.Chardiny ( wikipedia ) 6 xii 2009
- família 3: J-P.de Palmas (wikipedia) 1 vii 2012

95.145.019c:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

95.145.019d:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

95.145.088:
Châteauneuf-en-Boutières (07), du comté de Randon.
Fonts: N de Meyrignac (base pikaia, 20vi2008)

95.145.089:
Fonts: N de Meyrignac (base pikaia, 20vi2008)

95.145.089a:
Fonts: N de Meyrignac (base pikaia, 20vi2008)

95.145.112:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Généalogie Dupuis) iii-2009

95.145.113:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Généalogie Dupuis) iii-2009

95.146.736:
GUILLAUME AIMON de Montpellier (-before 24 Jan 1103). The primary source
which confirms his parentage has not yet been identified. A charter dated to [1080]
records an agreement between "Petrus comes" and "Guillelmo de Montepessulano
et…Guillelmo-Aimono et…infantibus suis" to settle disputes and includes the
betrothal of "filiam suam" and "Guillelmum suprascriptum"[1400]. "Guillaume fils
d'Ermengarde" confirms a grant of property which "Guillemus Aymonis habuit…de
B. Guillelmo avo meo" by charter dated 1103[1401].
m ---. The name of Guillaume Aimon's wife is not known. Guillaume Aimon & his
wife had two children.
[1400] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 346, col. 667.
[1401] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, p. 9, which gives no citation for the
charter in question
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011, J-P.de Palmas (FMG) 27 ii 2011
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ,
2007) 25ii2011

95.146.737:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011

95.146.737b:
Guillaume V, seigneur de Montpellier, entreprit vers l'an 1105 un nouveau voyage
à la Terre sainte. II est certain en effet que ce seigneur etoit de retour en france
après la première croisade, dès le mois de Janvier de l'an 1103, puisqu'il passa
alors à Montpellier un accord avec Raymond Guillaume, évêque de Nifmes &
Bernard frère de ce prélat, touchant la viguerie & la baillie de Montpellier, qu'il
leur donna en fief & aux descendans du dernier à certaines conditions. On voit par
les actes qui furent dressez à cette occasion en quoi consistoient les rattachez à
-5112-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
cette viguerie & que le viguier avoit la principale autorité à Montpellier, après le
seigneur dans l'administration de la justice, Guillaume se réserva en même tems la
justice des chevaliers et la part que sa femme avoit aux plaids lorsque la somme
dont il s agissoit excedoit celle de quinze sols.
Ce seigneur donna outre cela en fief à l'évêque de Nismes & à frère le château
situé à la porte de St Nicolas de Montpellier avec plusieurs maisons et quelques
droits entr'autres sur les fours qui avoient été construits dans cette ville durant la
vie de Guillaume son ayeul. Godefroy, évêque de Maguelonne donna de son côté en
fief à Bernard Guillaume frère de l'évêque de Nismes, la viguerie de Montpeilleret.
Ces deux frères étoient ce qu'il paroît de la race des seigneurs de Montpellier,
d'une branche puînée qui avoit reçu en fief de l' aînée la viguerie de cette ville &
de ses dépendances.
Claude de Vic, Jean-Joseph Vaissète, HGL, Volume 2
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011, J-P de Palmas (HGL, vol.2) 25ii2011

95.146.740:
Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
30ix2008

95.146.741:
Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
30ix2008

95.146.741a:
Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
30ix2008

95.146.741c:
Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" , 2007)
25ii2011

95.146.742:
Fonts: - família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006

95.146.743:
Fonts: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

95.146.743b:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 8v2006

95.147.008:
Fonts: - persona: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de
Languedoc")
- defunció: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 26i2014
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

95.147.009:
Fonts: - persona: J-L. Dega, T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de
Languedoc")
- defunció: J-P de Palmas (testa en 990)
-5113-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

95.147.009b:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006, J-P de Palmas (châteaux de l'Aude)
- defunció: C.Saint-Félix (Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène
Debax) 12x2014

95.147.010:
Fonts: JB.de La Grandiere (Ajout d'une génération pour tenir compte des écrits de
Christian Settipani rectifiant les "anciens") 7 x 2014

95.147.011:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Ajout d'une génération pour tenir compte des
écrits de Christian Settipani rectifiant les "anciens") 7 x 2014

95.147.011c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4 i
2015

95.154.176:
La question des prévôts de Chauvigny
Un autre problème est posé par les prévôts. On n'en connaît que deux, Aimeri et
Hélie, le second paraissant postérieur au premier de deux générations (12). Ils se
manifestent surtout hors de Chauvigny, comme souscripteurs d'actes, de sorte
qu'on s'interroge sur la nature de leur charge. La notice de fondation de l'église du
Saint-Sépulcre attribue à Aimeri des moulins sur le Talbat. Il est probable que le
prévôt n'en a que la gérance. La qualité de "préteur" attribuée à Hélie (13) suggère
qu'il détient des pouvoirs de justice. Cette interprétation du terme paraît confirmée
par la participation d'Hélie, alors dit " prévôt de Chauvigny ", à une cour chargée
de régler, à Chauvigny, un différend entre l'abbé de Nouaillé Bertrand et Hugues
de Chitré (14). Il semble qu'Aimeri et Hélie soient de la même famille mais les
preuves formelles de parenté font défaut. Toutefois certains indices sont favorables
à l'hypothèse d'une implantation familiale dans la charge : la présence de Geoffroi
à côté de son frère le prévôt Aimeri, parmi les témoins de la fondation du Saint-
Sépulcre, et le surnom " de Chauvigny ", attribué hors de la ville aussi bien à
Geoffroi qu'à Aimeri (15). Dans les cas où les prévôtés sont devenues héréditaires,
les bénéfices qui leur étaient attachés sont devenus des fiefs. On ne perçoit rien de
tel à Chauvigny où on ne peut déceler le mode de rétribution des services des
prévôts et où aucun fief connu ne peut être considéré comme un fief de prévôté.
Toujours est-il qu'après la disparition d'Hélie, vers 1110, on ne rencontre plus de
prévôt à Chauvigny.
12. Aimeri paraît des environs de 1025 aux environs de 1050 et Hélie des environs
de 1080 aux environs de 1110. Voir Beauchet-Filleau, Dictionnaire des familles du
Poitou, 2e édition, article Chauvigny. Dans cet article, il y a des rectifications à
faire en ce qui concerne Hélie et Pierre Hélie.
13. AHP III, p. 140, n° 214, sans date.
14. AHP XLIX, 1936, p. 216 et 217, numéros 135 et 136.
15. Geoffroi est dit " de Chauvigny " vers 1025 (AHP III, p. 276, n° 438).
Chauvigny au XIe siècle, par Duguet
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Chauvigny au XIe siècle, par Duguet) 14 iv 2017
- família: a.Brabant (geneanet Auréjac)

95.154.177:
Fonts:
- família: a.Brabant (geneanet Auréjac)
-5114-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.154.192:
C'est Foucauld, né vers 980, qui donna, dit-on, son nom au
fief de La Roche en Angoumois qu'il possédait, et qui de lui
s'appela La Roche de Foucauld, Rupes Fucaldi, La
Rochefoucauld. Autour du donjon primitif du XIè siècle
encore debout, se sont accolées bien des constructions. Le
XIVè y a posé ses deux tours jumelles protégeant la porte
d'entrée. La renaissance y a ciselé ces splendides galeries,
et dressé cet escalier monumental, aux marches gigantesques d'une seule pièce,
que Chambord envierait. Aujourd'hui, l'édifice le plus beau de l'Angoumois n'est
plus habité. Campé fièrement sur son roc, il est là défiant le temps, muet témoin du
passé, et regrettant ses splendeurs évanouies. Que de longues heures j'ai passées
dans ces immenses salles, admirant chaque détail de sculpture et redemandant aux
murs construits par Anne de Polignac et François II de La Rochefoucauld, quelques
mots d'histoire et de souvenirs ! Ce Foucauld de La Rochefoucauld est l'auteur de la
famille, dont devait sortir le dernier évêque de Saintes. Et, par une coïncidence
remarquable, il signa, en 1047 (?), l'acte de fondation de la célèbre abbaye de
Notre-Dame de Saintes, qui devait tomber sous les mêmes coups et en même temps
que l'évêché de son arrière-neveu. Du tronc primitif sort la branche de Verteuil et
de Barbezieux, qui donne elle-même naissance à celles de Nouans et de Meilleran.
Des La Rochefoucauld-Nouans sont issus les Rochefoucauld-Bayers. Un rameau de
la branche de Bayers porta les La Rochefoucauld-Maumont, dont était Pierre-Louis
de La Rochefoucauld, évêque de Saintes et martyr.
- Voir l'étude de Christian Settipani "La noblesse du midi carolingien", 2004, p. 237
à 240.
- Voir le tableau généalogique du site du château de La Rochefoucauld:
http://www.chateau-la-rochefoucauld.com/histoire/popup-gen.htm

-5115-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Foucauld de La Roche naît en 973, fils possible du seigneur Adémar de La Roche et


d'Alaïz.

Foucauld Ier de La Roche (973-1030) seigneur de La Roche, fondateur de la Maison


de La Rochefoucauld. Il habite le Château de La Rochefoucauld perché sur une
-5116-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
roche fortifiée (La Roche), sur les bords de la Tardoire à 20 km au nord-est
d’Angoulême. Foucauld est le premier « Foucauld de La Roche » qui se transforme
en « La Rochefoucauld », nom porté par ses descendants. Il épouse en premières
noces N de Parthenay (Seigneurs de Parthenay) puis Jarsende de Châtellerault en
seconde noce. En 1019 il assista avec ses enfants à la donation que Guillaume
évêque d'Angoulême fit à l'abbaye d'Uzerche, de l'église de Saint-Bibien de Nieul. Il
fit construire le chateau de la Rochefoucauld vers 1026 à l'emplacement d'une
petite forteresse. Avant 1037 il fit don du lieu de Rahaut à l'Abbaye de Saint-Jean
d'Angely.
Fonts: - persona: o guionneau/H&G 99-171 Philippe Renaud (13 xi 2006), J-P de
Palmas (wikipedia) iii2010, J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010
- família: J-P de Palmas (Histoire généalogique et héraldique des pairs de France De
Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles- pp. 21-22),J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel
29) 10/03/2010, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de
La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)08.05.2016

95.154.193:
Prénommée Garsinde (dans Châtellerault) par ES X ! Jouissait en son temps d'une
grande réputation d'honnêteté et de vertu.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010, S. de L'Espinay (G.
Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e édition -
2015)08.05.2016
- defunció: Christian Settipani La Noblesse du Midi carolingen pp 270/276
(Châtellerault) Oxford 2004
- família: J-P de Palmas (Histoire généalogique et héraldique des pairs de France De
Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles- pp. 21-22),J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel
29) 10/03/2010, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de
La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)08.05.2016

95.154.193a:
Apparaît avec son frère Adhémar, dès 1019, dans les actes du cartulaire d'Uzerche
aux côtés de leur père. Il fonda en 1059 avec ses frères, Aymar et Foucaud, les
prieurés d Saint Nicolas de Coûtures d'Argenson et de Saint Florent. Le 19 mars
1060,il donna à son frère Aymar et l'épouse de celui-ci, à Saint Florent de Saumur
l'alleu des Coûtures.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010, S. de L'Espinay (G.
Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e édition -
2015)08.05.2016
- família: J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010

95.154.193b:
Avec son épouse et son frère Gui, il donna à l'abbaye bénédictine de Saint-Florent
de Saumur, toutes les oblations et la moitié des hommes dépendant de l'église de
Saint-Georges de Coutures.
On croit que c'est lui qui rebâtit l'abbaye de Notre Dame de Nanteuil en Vallée en
1046. En 1060, il fonda avec son frère Gui un prieuré à La Rochefoucauld.
Fonts: - persona: P.Theroff, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la
Maison de La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)08.05.2016
- família: J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010, S. de L'Espinay (G. Martin -
Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e édition -
2015)08.05.2016

95.154.193d:
Aurait épousé Aymery, vicomte de Rochechouart, bine que l'on donne à celui-ci
pour épouse Eve que l'on croit fille du comte d'Angoulême.

-5117-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de
La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)08.05.2016

95.154.193e:
Signa la charte de la fondation de l'abbaye de Notre Dame de Saintes en 1047.

Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La
Rochefoucauld - 3e édition - 2015)08.05.2016, P.Theroff
- defunció: Philippe Renaud (13 xi 2006)
- família: P.Theroff, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison
de La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)08.05.2016

95.154.194:
HILDUIN d’Angoulême (-1032 before 1 May). The Chronicle of Adémar de
Chabannes names "Hilduinum et Gosfridum" as sons of "comes…Engolismæ
Willelmus" and his wife "Girberga sorore comitis Fulconis"[508]. "…Willelmi
Engolisme comitis, Alduini eius filius…" subscribed the charter dated 3 Aug 1016
under which "Guilelmus…dux Aquitaniensium" granted rights to Saint-Hilaire de
Poitier[509]. "Vuillelmi vicecomitis Engolismense et Aldoini filii sui" subscribed a
charter dated 21 May 1021 under which "Belerendis" donated property "in pago
Pictave in viccaria Metulensi in villa…Blansiaco" to Saint-Jean d'Angély[510].
Ademar names "Hilduinem et Gosfridum" sons of "comes Engolismæ Willelmus"
and his wife "Girberga sorore comitis Fulconis"[511]. He succeeded his father in
1028 as Comte d'Angoulême. The Chronicle of Adémar de Chabannes records the
succession of "filius eius Alduinus" after the death of "Willelmus comes"[512]. The
Historia Pontificum et Comitum Engolismensis records that "Alduinus filius eius"
succeeded “in principatu Engolismæ” on the death of "Willermo", ruled for four
years and died “MXXX---”[513].
m ALAISIA de Fronsac, daughter of GRIMOARD Vicomte de Fronsac & his wife
Deda de Montignac. The Chronicle of Adémar de Chabannes records the marriage
of "Ilduinem comitem" and "comitissæ Alaiziæ", specifying that she brought "castro
Fronciaco" to her husband[514]. The Chronique de Guitres names “Alaaz
Engolismensem comitissam et Ameliam Petragorcicorum comitissam” as the
children of “Grimoardus” and his wife “de MontiniacDea”[515].
[According to Europäische Stammtafeln[516], Comte Hilduin married ([1020])
Alaisia de Gascogne, daughter of Sancho Guillén Duke of Gascony & his wife ---,
although the primary source on which this is based has not yet been identified and
it contradicts the sources cited above. Another table in Europäische
Stammtafeln[517], records their possible son as Berenger, "Duke of Gascony 1032,
died [1036/37]". He is named as such in L'art de verifier les dates[518], but if this
is correct it is unclear why Berenger (who would presumably have been his
parents' oldest son if he succeeded in Gascony) did not subscribe the charter dated
to [1020/28] which was subscribed by his presumed brothers Guillaume and
Arnaud[519].] The Historia Pontificum et Comitum Engolismensis records that
"filiusAlduiniWillermus Chausardus" held "solummodo Mastacium et medietatem
castri Fronciaci" after the death of his father and succession of his paternal uncle,
stating that “comes Willelmus eius avus” had disinherited “filios et filias” [of
Hilduin] because “uxor eiusdem Audoini” had poisoned him[520]. Comte Hilduin &
his wife had [three] children.
[508] Adémar de Chabannes III, 41, p. 163.
[509] Saint-Hilaire de Poitiers, LXXI, p. 78.
[510] Saint-Jean d'Angély CCLI, p. 306.
[511] Ademari Historiarum III.41, MGH SS IV, p. 134.
[512] Adémar de Chabannes III, 62, p. 192.
[513] Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, XXVII and XXIX, pp. 32-3.
[514] Adémar de Chabannes III, 68, p. 194.
[515] Chronique de Guitres, p. 100.
-5118-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[516] ES III 817.
[517] ES III 563.
[518] Art de vérifier les dates, p. 729, cited in Richard, Vol. II, p. 122 footnote 25.
[519] Saint-Amand-de-Boixe 3, p. 94.
[520] Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, XXX, p. 35.
JB de La Grandière 30/12/2016 . Frédéric Boutoulle, de l'Université Bordeaux
Montaigne, nous en dit plus sur les seigneurs de Blaye dans cette étude (en ligne)

Le prénom "Hilduin" découle d'un "mauvais latinisme" employé par la "Chronique"


d'Adhémar de Chabanne.
Le fils aîné du comte d'Angoulême est connu des historiens modernes comme étant
un "Audouin" ; j'ai modifié le prénom en laissant Hilduin -qui aurait du être saisi
par le chroniqueur sous "Haldwin" latinisé et non "Hildwin" latinisé.
"Aldwin" est la forme germanique du prénom francisé en Audouin.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Bulletin de la Société archéologique et historique de la
Charente - 1862 & FMG) xii2009, J-C de Vaugiraud (Christian Settipani "La
noblesse du midi carolingien", 2004, p. 270 et ss.) 10/03/2010
- naixement: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- defunció: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- família: G.Marsan (http://www.genealogie33.org)., J-P.de Palmas (Charles Cawley
& FMG) 21 ix 2016

95.154.195:
ALAISIA de Fronsac . The Chronique de Guitres names “Alaaz Engolismensem
comitissam et Ameliam Petragorcicorum comitissam” as the children of
“Grimoardus” and his wife “de MontiniacDea”[1703]. The Chronicle of Adémar de
Chabannes records the marriage of "Ilduinem comitem" and "comitissæ Alaiziæ",
specifying that she brought "castro Fronciaco" to her husband[1704]. The Historia
Pontificum et Comitum Engolismensis records that "filiusAlduiniWillermus
Chausardus" held "solummodo Mastacium et medietatem castri Fronciaci" after the
death of his father and succession of his paternal uncle, stating that “comes
Willelmus eius avus” had disinherited “filios et filias” [of Hilduin] because “uxor
eiusdem Audoini” had poisoned him[1705].
m HILDUIN d’Angoulême, son of GUILLAUME [IV] Comte d'Angoulême & his wife
Gerberge d'Anjou (-1032 before 1 May). He succeeded his father in 1028 as Comte
d'Angoulême.
[1703] Chronique de Guitres, p. 100.
[1704] Adémar de Chabannes III, 68, p. 194.
[1705] Castaigne, J. F. E. (ed.) (1853) Rerum Engolismensium Scriptores
(Angoulême), Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, XXX, p. 35.

JB de La Grandière 30/12/2016 . Frédéric Boutoulle, de l'Université Bordeaux


Montaigne, nous en dit plus sur les seigneurs de Blaye dans cette étude (en ligne)
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 21 ix 2016, JB.de La Grandiere
(modif prénom : Fréderic Boutoulle -voir Notes ) 30 xii 2016
- família: G.Marsan (http://www.genealogie33.org)., J-P.de Palmas (Charles Cawley
& FMG) 21 ix 2016

95.154.195a:
L'envahissement du comté d'Angoulême par Geoffroy de Taillefer obligea sans
doute Arnaud, son neveu, à quitter l'Angoumois et à aller chercher un asile ailleurs.
On présume avec raison que cet asile lui fut accordé par Aldebert II de Talleyrand,
comte de Périgord, son cousin germain. Au moins, paraît-il certain que c'est sous le
gouvernement de ce comte que les seigneurs de Taillefer se sont établis en
Périgord. Au surplus, il est à remarquer qu'il a existé de tous temps de grands

-5119-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
rapports entre les maisons de Talleyrand et de Taillefer. On ignore l'année de sa
mort aisi que les noms de sa femme et de ses enfants.
Fonts:
- persona: G.Marsan (http://www.genealogie33.org), S.Fourlinnie (Nobiliaire
Universel de France - Saint-Allais) 18/06/2013

95.154.195b:
Hugues de Taillefer est mentionné dans la charte du don de l'aleu d'Ermeteza, fait
à l'abbaye de Saint-Amand, en présence d'Aimery de Rancon et de Géraud, son fils,
d'Arnaud de Gouville, d'Hugues de Lezignem et plusieurs autres.
Fonts:
- persona: G.Marsan (http://www.genealogie33.org), S.Fourlinnie (Nobiliaire
Universel de France - Saint-Allais) 18/06/2013

95.154.195c:
Surnommé Chaussard ou le Chansar. Il est dit qu'il finit ses jours à Taillebourg
(vers 1074) après avoir été privé du comté d'Angoulême par Geoffroy, son oncle et
qu'on ignore si il avait été marié.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Nobiliaire Universel de France - Saint-Allais) 18/06/2013
- naixement: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- defunció: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- família: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).

95.154.202:
Fonts: J-P de Palmas (Seigneurs de l'Isle-Bouchard)) 5ii2011

95.154.203:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Seigneurs de l'Isle-Bouchard)) 5ii2011

95.154.203b:
Fonts: - persona: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012
- naixement: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015

95.154.204:
Fonts: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

95.154.205:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

95.154.206:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

95.154.207:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

95.154.368:
Geoffroy, frère d'Alduin (1032), devint comte d'Angoulême au préjudice de ses
neveux, exclus par le testament de Guillaume IT, et mourut en 1048.

JB de La Grandière 30/12/2016 . Frédéric Boutoulle, de l'Université Bordeaux


Montaigne, nous en dit plus sur les seigneurs de Blaye dans cette étude (en ligne)
-5120-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: H.de Riberolles(généalogie33 sur le net), J-C de Vaugiraud (E.S
XIV T. 50) 17/11/2006, J-P de Palmas (Bulletin de la Société archéologique et
historique de la Charente - 1862) xii2009
- família: J-P de Palmas (Bibliothèque sacrée, ou Dictionnaire universel historique
par Ch-Louis Richard) 2010

95.154.369:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (ES III-4 tableau 817 Angoulême) 30 xii 2016
- família: J-P de Palmas (Bibliothèque sacrée, ou Dictionnaire universel historique
par Ch-Louis Richard) 2010

95.154.369a:
Frédéric Chevalier : 2015-07-10 01:55:28
/l'épouse d' Adhémar de Limoges n'est certainement pas Humberge d'Angoulême
d'après Vincent Roblin in "Les vicomtes de Limoges. Famille et pouvoir entre
Limousin et Périgord (Xe-XIVe siècle)", thèse de doctorat nouveau régime de
l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (D. Barthélemy dir.), Paris, 2007(p. 29).
Étrangement, cet apport n'est pas repris par la "Foundation for mediaval
genealogies"
JB de La Grandière 10/7/2015

95.154.369c:
Guillaume II, de l’illustre maison des comtes d’Angoulême, était fils du comte
Gaufride. Il fut substitué à Gérard sur le siège d’Angoulême. On le loue de sa
sagesse, de son éloquence et de sa douceur. Il eut beaucoup de part aux bonnes
grâces de Godefroy VIII, duc d’Aquitaine, et de grands démêlés avec le comte
Foulques, qui lui firent prendre les armes. Il assista au sacre de Philippe 1er roi de
France, en 1069, et au concile de Bordeaux, sous Alexandre II. mourut en 107ÉV
On ? dit qu’il-siégea trente-trois ans, ainsi il a été fait évêque en 1043.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Bibliothèque sacrée, ou Dictionnaire universel historique
par Ch-Louis Richard) 2010

95.154.369e:
C'est Michel Smaniotto dans sa Génalogie de la Famille Rudel seigneurs de Blaye
(Cdrom 2000) qui permet de relier les Rudel à leurs ancêtres d'Angoulême.
JB de La Grandière 29/8/2009
"Rudel" n'étant pas un patronyme mais un surnom je transforme toute la lignée en
mettant "Rudel" accolé au prénom ; le "patronyme" sera alors constitué par le fief
principal : Blaye (c'est ainsi que la famille est suivie par les généalogistes actuels).
JB de La Grandière 30/12/2016 . Frédéric Boutoulle, de l'Université Bordeaux
Montaigne, nous en dit plus sur les seigneurs de Blaye dans cette étude (en ligne)
J
Fonts: - persona: H.de Riberolles(généalogie33 sur le net), JB.de La Grandiere (voir
Notes) 30 xii 2016

95.154.369f:
Fonts: - persona: G.Marsan (http://www.genealogie33.org)

95.154.370:
En médaillon : Tapisserie de Bayeux.
Robert fournit une partie des nefs qui vont transporter les futurs vainqueurs de la
bataille d'Hastings.

-5121-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Robert d’Eu (1022-1089), comte d'Eu, fut un baron anglo-normand.

Il est le fils aîné et successeur de Guillaume d’Eu, comte d'Eu.

Il participe pour 60 navires à la flotte qui permet le débarquement en Angleterre et


la conquête normande de l'Angleterre. Vers 1068-1070, Guillaume le Conquérant
confie à Robert d'Eu, le rape d'Hastings avec le château et les territoires qui en
dépendent, soit le cinquième du Sussex, après que Onfroy du Tilleul, le neveu
d'Hugues de Grandmesnil, soit rentré précipitamment en Normandie. Son fils
Guillaume II d'Eu est l'un des rares soldats dont on sait avec certitude la présence
à la célèbre bataille d'Hastings. Le père et le fils sont, si on additionne leurs
possessions séparées, propriétaires de domaines produisant un revenu d'environ
690 livres sterling annuellement à la rédaction du Domesday Book (1086).

En 1069, il est chargé par le roi avec Robert de Mortain de surveiller les Danois
dont la flotte mouille dans l'embouchure de l'Humber, pendant que celui-ci va
réprimer la révolte initiée par Eadric le Sauvage dans l'ouest. Quand les Danois
sortent de leur lieu de retraite pour piller le voisinage, les deux hommes et leur
armée leur tombent dessus à l'improviste et les écrasent, les forçant à s'enfuir par
la mer.

Très pieux, il fait des dons toute sa vie à l'Eglise, notamment de terres à l'abbaye
de la Sainte-Trinité de Rouen (1051) et est témoin d’une charte datée de 1053.
Veuf, il se remarie avec Mathilde de Hauteville (1062-1094), fille de Roger Ier,
comte de Sicile, et de Judith d'Evreux. Mais il la répudie et elle se remarie en 1080
avec Raymond IV de Saint-Gilles († 1105), comte de Toulouse et marquis de
Provence.

Le comte Robert meurt en 1089 et est inhumé dans l’abbaye Saint-Michel du


Tréport. Le comte avait fondé cette abbaye du Tréport, près de la ville d'Eu, entre
1057 et 1066, à la prière de sa première femme et par le conseil du duc Guillaume
et de Maurille, archevêque de Rouen.

Au nombre des puissants seigneurs qui ont accompagné le duc de Normandie dans
sa conquête et l'ont le mieux servi, le bon comte Robert s'est distingué au premier
rang, et il a reçu en récompense Hastings et de vastes territoires dans le comté de
Sussex. C'est à son arrière-petit-fils, le comte Jean, que le Tréport sera redevable
du don du prieuré de Hastings.
In Cartulaire de L'abbaye de Saint-Michel du Tréport (ordre de saint Benoît), par
Paul Laffleur de Kermaingant

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia et Cartulaire de L'abbaye de Saint-Michel du
Tréport") 16 ii 2012
- família 1: H.R.Moser/Anselme-II/494+EuSt, J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 14
iii 2013

95.154.371:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-II/494+EuSt, J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 14 iii
2013

95.154.371a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 14 iii 2013
-5122-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.154.371b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 14 iii 2013

95.154.371c:
ARMAND de Mortain, son of ROBERT Comte d'Eu & his first wife Beatrix --- . The
primary source which confirms his parentage has not yet been identified.

m as her first husband, BEATRIX de Hauteville, daughter of TANCRED de


Hauteville & his [first wife Moriella ---] ([1005/10]-1101). The Annals of Romoald
state that Tancred had three daughters without naming them or stating by which
marriage they were born[857]. Her marriage is suggested by the Gesta Roberti
Wiscardi which names "Robertus de Scabioso Monte comes…Gosfredi frater, et
ambo orti germana fuerant ducis"[858]. The chronology of her descendants
strongly suggests that Beatrix must have been born in [1005/10] and therefore was
one of her parents' older children. The primary source which confirms her name
and second marriage has not yet been identified. Beatrix is shown as the daughter
of Tancred by his first wife in Europäische Stammtafeln[859]. The basis for this is
not known. However, it appears more likely that she was the daughter of his
second marriage if her estimated birth date range is correct, especially in light of
the approximate date of birth of her brother Robert "Guiscard" in [1020]. The
Gesta Roberti Wiscardi names "Robertus de Scabioso Monte comes…Gosfredi
frater, et ambo orti germana fuerant ducis"[860]. Guerrieri highlights that
"Gosfredi" in this passage has been identified as Godefroi Conte di Conversano but
that it is not possible to confirm whether this is correct[861]. If the speculation is
right, Beatrix was the same person as the daughter of Tancred who is shown in the
document SICILY COUNTS & KINGS as married to "--- [di Conversano]". She
married secondly Roger ---.

Armand & his wife had two children.

[857] Romoaldi Annales 1057, MGH SS XIX, p. 405.

[858] Gesta Roberti Wiscardi III, MGH SS IX, p. 276.

[859] ES II 204.

[860] Gesta Roberti Wiscardi III, MGH SS IX, p. 276.

[861] Guerrieri ´I conti normanni di Bardò e di Brindisi´ (1901), p. 285

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

95.154.371d:
EREMBURGE de Mortain (-[1087]). Malaterra records the death of "Eremburga
filia Gulielmi comitis Mortonensis" wife of "comes Rogerius", dating the event to
1089[2349]. m ([1077]) as his second wife, ROGER I Count of Sicily, son of
TANCRED de Hauteville & his [second wife] [Fressenda] ([1031]-Mileto 22 Jun
1101, bur Mileto, Abbey of the Holy Trinity).

[2349] Malaterra, III.14, p. 93.

-5123-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 5 xii 2015
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, , J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 6 xii 2015

95.154.371f:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 v 2017
- família 1: JL.Mondanel (généalogie de Bully) 5 iv 2011
- família 2: H.R.Moser/EuSt-III.4+Anselme-II/495

95.154.372:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "L'abbaye de la Sauve-Majeure" pp
49/51 Bordeaux 1984 ) 30 x 2009

95.154.422:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pierfit, 24vii2008), JL.Mondanel (généalogie
Forez) 8 iv 2011
- família: N de Meyrignac (base pierfit, 24vii2008)

95.154.423:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t III-4 p 737 (Lyon)
Marburg 1989) 6 iii 2017
- família: N de Meyrignac (base pierfit, 24vii2008)

95.154.423a:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pierfit, 24vii2008)

95.154.424:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

95.154.425:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

95.154.432:
Fonts:
- persona: N. Danican (La Chesnaye Desbois) 25iv05
- família: N. Danican (La Chesnaie Desboys) 25iv05, J-P.de Palmas (Courcelles 1831
T11 p116/687 ) 9 xii 2011

95.154.433:
Fonts:
- família: N. Danican (La Chesnaie Desboys) 25iv05, J-P.de Palmas (Courcelles 1831
T11 p116/687 ) 9 xii 2011

95.154.433b:

-5124-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Courcelles 1831 T11 p116/687 ) 9 xii 2011
- família: J-P.de Palmas (J-P.de Palmas (Courcelles 1831 T11 p116/687 ) 9 xii 2011)
9 xii 2011

95.154.444:
NIVELON [I] de Pierrefonds . Seigneur de Pierrefonds. “Heddo Suessionensium
episcopus et Elinandus Laudunensium præsulFrollandus Silvanectensis episcopus,
Gualerannus camerarius, Theobaldus de Crispiaco, Nivelo de Petræfonte”
subscribed the charter dated 27 May 1061 under which Philippe I King of France
privileges to “basilicammartyris Adriani” founded by “Richardus Bistisiacensis
castellanus miles” [Béthisy], with the consent of “uxore sua Millesinde et filiis” and
confirmed donations including by “HugoRicardi filius”[2032].

m ---. The name of Nivelon’s wife is not known. Nivelon [I] & his wife had two
children.

[2032] Prou (1908), XI, p. 32.

Arrière-petit-fils d'Oger de Bérogne, il fut autorisé par Henri 1er, roi de France,
vers l'an 1047, à prendre titre de vicomte de Pierrefonds

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne: T.23)
20/05/2006, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 7 iv 2016
- família: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne: T.23)
20/05/2006, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 7 iv 2016

95.154.445:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne: T.23)
20/05/2006, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
- família: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne: T.23)
20/05/2006, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 7 iv 2016

95.154.445c:
HUGUES de Pierrefonds (-Aquileja 1103). Bishop of Soissons [1093].
"HugoSuessionensis episcopus" confirmed the property of “monasterio S.
Theobaldi juxta Basilicas sito” by charter dated 1093, subscribed by “Hugonis
episcopi tunc temporis decaniam et cancellariam in manu sua tenentisRainaldi
Remorum archiepiscopi, Elinandi Laudunensium episcopi, Fulconis Belvacensium
episcopi, Gervini Ambianensium episcopi, Ratbodi Noviomensium episcopi, Girardi
Morinorum episcopi”[2045]. "HugoSuessorum episcopus" donated “altare de villa
Novigentosuper Maternam fluvium” to Paris Saint-Germain by charter dated
1096[2046]. "Dominus Nivelo dominus de Petrafonte" donated the church of Saint-
Maxime at Pierrefonds to Marmoutier, with the consent of "filiis suis Petro,
Anscullo, Nivelone et Drogone…uxoris eius…[…Advisa]…et…domni Hugonis fratris
suis Suessionensis pontificis", the last named before leaving for Jerusalem, by
charter dated to [1100][2047].

[2045] Gallia Christiana, Tome X, Instrumenta ecclesiæ Suessionensis, XI, col. 103.

-5125-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[2046] Gallia Christiana, Tome X, Instrumenta ecclesiæ Suessionensis, XIII, col.
104.

[2047] Tardif (1866), 318, p. 193.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 7 iv 2016

95.154.445d:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, Bulletin de la Société Historique de Compiègne 1913,
Etudes sur Pierrefonds, 27ix2014

95.154.472:
mort à la première croisade, ainsi que son fils aîné Hugues.

Fonts:
- persona: A Brabant ( site deret) 4.08.05
- família: A Brabant ( site deret) 4.08.05

95.154.473:
Fonts:
- persona: A Brabant ( site deret) 4.08.05
- família: A Brabant ( site deret) 4.08.05

95.154.473a:
mort à la première croisade, ainsi que son père

Fonts:
- persona: C.Denancé-les Gouët (02.02.08)

95.154.473c:
Fonts:
- persona: C.Denancé-les Gouët (02.02.08)

95.154.475:
Fonts:
- família: L.Guion

95.154.475-1a:
MATHILDE (-drowned off Barfleur, Normandy 25 Nov 1120). She is named as
daughter of King Henry I by Orderic Vitalis, who specifies that the king "built up
[her husband's] power by greatly augmenting his estates and wealth in
England"[216]. Orderic also specifies that the king arranged her marriage at the
same time as that of her half-sister Juliane[217]. The Genealogiæ Scriptoris
Fusniacensis refers to, but does not name, the wife of "Rotaldus comes" as "filiam
regis Anglie", specifying that she had daughters[218]. Her father gave her lands in
Wiltshire as her dowry[219]. "Rotrocus comes et Beatrix mater eius atque
Mathildis uxor comitis" subscribed the charter dated to [1105/07] under which
"Guillermus de Loiscel" made donations to Saint-Denis de Nogent[220]. The
Continuator of Florence of Worcester names "…filia regis comitissa de Perceio…"
among those drowned in the sinking of the White Ship[221]. William of
Malmesbury also records that she drowned in the sinking of the “Blanche Nef

-5126-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[White Ship]”[222].

m (1103) as his first wife, ROTROU [I] Comte du Perche, son of GEOFFROY Comte
du Perche & his wife Béatrix de Roucy (-killed in battle Rouen [20 Jan/23 Apr] or 6
May 1144).

[216] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XIII, p. 399.

[217] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 41.

[218] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 14, MGH SS XIII, pp. 254-5.

[219] Domesday Descendants, p. 236.

[220] Souancé, Vicomte de & Métais, C. (eds.) (1899) Saint-Denis de Nogent-le-


Rotrou 1031-1079 Histoire et Cartulaire (Vanne) (“Nogent-le-Rotrou”), XI, p. 39.

[221] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, Continuatio, p. 74.

[222] William of Malmesbury, 419, p. 364.

Fonts:
- persona: o guionneau/H&G 99-163, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xii
2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xii 2015

95.154.475-2a:
Held Narbarth and Pebidiog in Wales

Fonts:
- persona: Renaud de Paysac
- família: Dennis Walsh's Descendants of Nesta/Renaud de Paysac

95.154.475-3a:
1135-50 De-facto Soverign Duchess Mathilda of Normandie (France) 1141-47/52
Sovereign Lady Domina of England 1141 Queen Regnant (2/2-September) [8th of
April-1st of November]

Matilda or Maud (She was christened Adelaide and took the name Mathilde upon
her marriage in 1114)was the only daughter of Henry V of England by Queen
Matilda and was sister of William the Ætheling, heir to the English and Norman
thrones. On January 7, 1114, she married the Holy Roman emperor Henry V, who
died in 1125, and secondly with Geoffrey of Anjou 1128. She was the only
legitimate of her father, Henry I's around 20 children, 1127 she was hailed as her
father's successor and her cousin, Stephen de Blois, swore an oath recognizing her
as heir, but broke it after Henry's death, and in her absence he ursurped the title.
She claimed the throne of England in 1139 and deposed King Stephen in April
1141. Elected "lady of the English" by a clerical council at Winchester in April, she
entered London in June; but her arrogance and tactless demands for money
provoked the citizens to chase her away to Oxford before she could be crowned
queen. Her forces were routed at Winchester in September 1141, and thereafter
she maintained a steadily weakening resistance in the west country. Left England
in 1148 and returned to Normandy, where she was Duchess Regnant here (1135-
-5127-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
67). Her son, Henri d'Anjou, became King Henry II.

Fonts:
- persona: R. Dewkinandan ( A. Weir : Britain's Royal Families )
- naixement: ( A.Weir : Britain's Royal Families )
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands) 12 XI 2006
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands) 12 XI 2006
- casament 2: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands) 12 XI 2006

95.154.475-3b:
Guillaume Adelin (1103 – 25 novembre 1120), était le seul fils légitime d’Henri Ier
Beauclerc et de son épouse Édith d'Écosse. Sa mort prématurée dans le naufrage
de la Blanche-Nef a amené un remaniement dans les relations politiques entre
l’Angleterre et la France.
Ses grand-parents maternels étaient Malcolm III d'Écosse et Marguerite d’Écosse.
La deuxième partie du nom de Guillaume, qui s’écrit indifféremment Audelin,
Atheling ou Aetheling, dérive du vieil anglais Ætheling signifiant « fils du roi ».

Biographie

Héritier désigné

Guillaume Adelin nait probablement au troisième trimestre de l'année 1103, ou


peut-être un petit peu avant, car le pape Pascal II envoie des félicitations au roi
anglais le 23 novembre de cette année 1. Son éducation est prise en charge par
Othuel Fitzearl, un fils illégitime d'Hugues d'Avranches, le comte de Chester, en
même temps que celles de plusieurs demi-frères illégitimes tels Robert de
Gloucester1.Le roi confie la châtellenie de la Tour de Londres à Othuel, et c'est
probablement là que Guillaume Adelin est élevé1.

De grands espoirs sont fondés sur lui, non seulement parce qu'il est le seul fils
légitime du roi, mais aussi parce qu'il est un descendant de la maison de Wessex et
que son père lui a prévu un mariage avec une fille de Foulque V, comte d'Anjou et
du Maine, ce qui ferait entrer le Maine dans la sphère d'influence normande 1.Pour
contrer les desseins du roi anglais, Louis VI de France promeut Guillaume Cliton,
le fils de l'ex-duc de Normandie Robert Courteheuse, comme héritier de la
Normandie1.

À partir de 1113, âgé de 10 ans, Guillaume commence à attester les chartes de son
père1.Cette même année, il est fiancé à Isabelle (ou Mathilde) d'Anjou, la fille aînée
de Foulque V d'Anjou1.Le roi d'Angleterre Henri Ier a conscience que s'il vient à
mourir, sa succession au trône n'est pas assurée car son fils est encore jeune. En
conséquence, il oblige, en 1115 et 1116, respectivement les barons de Normandie
puis les barons d'Angleterre à jurer hommage et fidélité à Guillaume 1.C'était une
cérémonie inédite en Angleterre2.

La reine sert habituellement de régente lorsque Henri quitte l’Angleterre pour la


Normandie. Après la mort de sa mère en 1118, Guillaume est assez âgé pour
occuper sa place1.

En 1119, il est marié à Isabelle (ou Mathilde) d'Anjou, à Lisieux1.La dot de sa fille
est le comté du Maine, et l'Anjou s'y rajoutera s'il meurt à la croisade1.Guillaume
est présent à la bataille de Brémule entre les Normands et les Français de Louis VI
de France, le 20 août 1119. Après la victoire normande, Guillaume renvoie à son

-5128-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
cousin Guillaume Cliton son palefrenier capturé1.Il est présent à la rencontre de
son père et du pape Calixte II qui a lieu à Gisors en novembre 1119 1.En 1119, une
charte qui nous est parvenue le décrit comme « designatus rex » (roi désigné).
Guillaume a néanmoins eu très peu de pouvoir réel.

En 1120, il rend hommage à Louis VI pour la Normandie1.C'est un moyen qu'a


trouvé son père pour ne pas avoir à rendre hommage lui-même, car étant roi lui-
même, il refusait de s'incliner devant un autre roi1.

Mort avant d'être adulte, il ne peut influer personnellement sur les affaires
politiques de son père. Sa mort affecte évidemment la destinée du royaume après
la mort d'Henri Ier en 1135. Pour J. F. A. Mason, l'opinion contemporaine est que
Guillaume aurait été un souverain très dur pour ses sujets1.Selon lui, en le
décrivant comme un « adolescent », Guillaume de Malmesbury met en doute son
potentiel à avoir pu être un bon souverain1.

Sources

 (en) C. Warren Hollister, Amanda Clark Frost, Henry I, New Haven, Yale
University Press, 2001 (ISBN 0300088582).
 J. F. A. Mason, « William (1103–1120) », Oxford Dictionary of National
Biography, Oxford University Press, 2004.
 Christopher Tyerman, « Guillaume Adelin », dans Who's Who in Early
Medieval England, 1066-1272, Éd. Shepheard-Walwyn, 1996, p. 102-103.
(ISBN 0856831328).

Références

1. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t et u J. F. A. Mason, «
William (1103–1120) », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford
University Press, 2004.
2. ↑ Christopher Tyerman, voir section sources.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) iv2010, R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's
Royal Families
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- defunció: naufrage de la Blanche Nef, A.Weir>Britain's Royal Families

95.154.475-4a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 25 viii 2013
- defunció: naufrage de la Blanche-Nef

95.154.475-4b:
JULIANE, illegitimate daughter of HENRY I King of England & his mistress
[Ansfride] . She is named as the daughter of King Henry I by Orderic Vitalis, who
specifies that the king arranged her marriage[199]. According to the Complete
Peerage[200], it is "not unlikely that she was the daughter of Ansfride" as her
presumed full brother Richard interceded with King Henry on her behalf in
1119[201]. After her husband's rebellion in 1119, the king (her father) besieged
her in Breteuil castle, from where she "was forced to leap down from the

-5129-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
walls…and fell shamefully with bare buttocks into the depths of the moat", and fled
to her husband at Pacy[202]. She and her husband were later pardoned. She
became a nun at Fontevraud Abbey[203]. Eustache & his wife had three children.

[199] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 41.

[200] CP XI Appendix D, 114.

[201] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XII, p. 279.

[202] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XII, p. 215.

[203] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XII, p. 279.

Elle épouse Eustache de Pacy. Quand son mari se rebelle contre le roi en 1119, il
l'assiège dans son château de Breteuil.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 25 viii 2013
- família: J-P.de Palmas (FMG) 25 viii 2013

95.154.475-5a:
Fonts:
- persona: M.Thompson

95.154.475-5b:
Dit "Robert de Caen", fils naturel d'Henri Ier de Beauclerc.

Début de carrière

Il est probablement l'aîné des enfants illégitimes d'Henri Ier d'Angleterre. Il est
généralement dit qu'il était le fils de Sybille Corbert[n 2], mais sa mère n'est pas
connue avec certitude. Les recherches de David Crouch[2] suggèrent que sa mère
était une fille de la famille Gay[n 3], de la petite noblesse du Oxfordshire dans la
région de Woodstock, qui était le lieu de villégiature préféré d'Henri Ier.

À l'image de son père, Robert reçoit certainement une éducation importante, car il
a la réputation d'un homme éduqué, écrivant le latin, et ayant un intérêt certain
pour l'histoire et la philosophie. Il est donc vraisemblablement élevé dans un
établissement religieux. Il devient rapidement un adepte de la politique de faction
pratiquée à la cour de son père[1]. Il est aussi mécène, soutenant notamment
Guillaume de Malmesbury et Geoffroy de Monmouth qui lui dédicacent plusieurs de
leurs œuvres.

En 1119, il combat à la bataille de Brémule contre le roi de France Louis VI le


Gros[1]. Il est déjà l'un des capitaines les plus capables du roi, et ce dernier se fie à
son jugement en matière militaire.

Lors du naufrage de la Blanche-Nef en novembre 1120, Henri Ier perd son unique
fils légitime et héritier désigné, Guillaume Adelin. La bâtardise de Robert l'exclut
d'une position éventuelle de successeur. François Neveux résume ainsi la situation
: « Après trois quarts de siècle de réforme religieuse, il n'était plus question pour

-5130-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
un fils illégitime d'accéder au trône, comme cela avait été le cas pour le duc de
Normandie, Guillaume, en 1035 ».
Les barons du royaume, dont les titres et droits fonciers reposent sur la légitimité
de la naissance, étaient eux aussi peu enclins à accepter un héritier illégitime.
Robert devient alors une pièce importante dans la nouvelle stratégique politique de
son père. Henri Ier se remarie immédiatement.

Fonts:
- persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 322 et 342.), H.R.Moser, J-P
de Palmas (wikipedia) x2009
- defunció: Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342.
- família 1: F-L. Jacquier (Web - Ancestry.com), J-P de Palmas (Essais historiques sur
la ville de Caen, par l'abbé Gervais de La Rue, Caen, 1820) 3 v 2011
- família 2: J-P de Palmas (wikipedia) ix2009

95.154.475-5c:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ Brian Tompsett

95.154.475-5e:
Fonts:
- persona: O.Guionneau (message de Tobias Parker selon stirnet) 4 I 12
- família: O.Guionneau (message de Tobias Parker selon stirnet) 4 I 12

95.154.475-6b:
Fonts:
- persona: N. Danican

95.154.475-10a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012, A.de
La Gueronniere (wikipedia) 29 ix 2012
- família: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012, C.
Chéneaux (Europäische Stammtalfeln), A.de La Gueronniere (Angot/Vicomtes du
Maine) 24 ix 2012

95.154.475-10b:
née vers 1095 selon B.Yeurc'h
(http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html)

95.154.475-10e:
Fonts:
- persona: N. Danican (G. Décultot, Montivilliers à travers les siècles) 27ii05

95.154.508:
JB de La Grandière 2/5/2013

N'est pas l'époux de Jutta de Luxembourg ! je coupe cette liaison dangereuse


initiée par JLM pour suivre ES et Projects Medlands.

Il n'est pas frère de Valéran d'Arlon !

Les généalogies Luxembourg et Limbourg, dans les premiers degrés, sont très

-5131-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
controversées. Projects Medlands propose quelques suppositions en pointillés dont
celle de faire d'Othon de Limbourg un fils de Friedrich de Luxembourg Je l'ai
suivien le faisant fils possible

Je l'ai aussi suivi pour Jutta de Luxembourg

Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Limbourg) 30 iii 2)2011, JB.de La Grandiere (
redressement d'un imbroglio avec Projects Medlands, Europäische Stammtafeln t I-
2 p. 229 -Limbourg-1999 v 2013

95.154.509:
JB de La Grandière 12/2/2013
La généalogie Luxembourg de W.L. Mondanel confondait deux Jutta de
Luxembourg.
La seule trace qui va rester de cette "généalogie" est cette mention en notes..car il
faut couper ce cordon que l'on ne saurait voir, ce que je fais sans état d'âme ayant
été mis sur la piste par O.Guionneau dont "on" avait dévoyé la saisie originale.

Jutta (Judith) est bien entendu fille de Gilbert de Luxembourg tel qu'indiqué dans
ES t I-2 p. 203 (Luxembourg), 1999

JB de La Grandière 2/5/2013
Le nettoyage des lieux n'était pas terminé ! (j'ai peur que ce type de virus persiste
à créer des infections sur la base.).. les Jutta de Luxembourg avaient leurs époux
inversés dont les pères n'étaient pas les bonsd'où est résulté un immense meli-
melo.
Othon de Limbourg n'est pas le frère de Valéran d'Arlon .On ne connait pas les
parents d'Odon qui figuraient sur la base : je les ai envoyé "ad patres" avec leurs
signataires sans sources ou avec des sources connues comme étant polluées.

La refonte ne prendra que "quelques heures" : ceux qui en "deux secondes" créent
tant de travail devraient être condamnés à des travaux d'intérêt général sur la base

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (redressement d'un imbroglio avec Europäische
Stammtafeln t I-2 p. 229 -Limbourg-1999 t I-2 p. 203 -Luxembourg-, 1999) 12 ii
2013

95.154.510:
BOTHO (before Dec 1024-1 Mar 1104). His parentage is confirmed by Ekkehard
who names "duo fratres Aerbo…et Boto paterno de sanguine Noricæ
gentis…Hartwici palatini comitis filii" when recording the death of "Boto comes
cognomento fortis Aerbonis…germanus"[760]. Graf von Botenstein 1074. The
necrology of Milstatt records the death "Kal Mar" of "Poto com et fundator huius
ecclesie"[761].

m (1056) as her second husband, JUDITH von Schweinfurt, widow of KUNO


[Konrad] Duke of Bavaria [Ezzonen], daughter of OTTO Graf von Schweinfurt & his
wife Irmgard [Aemilia/Immula] di Susa (-[1 Mar 1104]). The Annalista Saxo names
(in order) "Eilica, Iudhita, Beatrix, Gisla, Berta" as the five daughters of Otto von
Schweinfurt and Immula, naming Judith's two husbands[762]. "Heinricus…tertius
Romanorum imperator augustus" confirmed the donation of property "villa
Rounueld…in pago Vueringeon in comitatu Vueringeri" by "Boto Noricus natione

-5132-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
vivens Bauarica…coniugis sue Iudithæ" by charter dated 2 Sep 1094[763].

Graf Botho & his wife had one child.

[760] Ekkehardi Chronicon, MGH SS VI, pp. 225-6. .

[761] Necrologium Milstatense, Salzburg Necrologies (Regio Carinthiaca), p. 455.

[762] Annalista Saxo 1036.

[763] D H IV 440, p. 590, charter marked "verunechtet" in the compilation.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016
- defunció: Europäische Stammtafeln t I-1 p. 88 (Schweinfurt) , 1998

95.154.511:
JUDITH (-[1 Mar 1104]). The Annalista Saxo names (in order) "Eilica, Iudhita,
Beatrix, Gisla, Berta" as the five daughters of Otto von Schweinfurt and Immula,
and names both Judith's husbands[1107].

m firstly KUNO [Konrad], son of LUDOLF Vogt von Brauweiler [Ezzonen] & his
wife (-Hungary [15 Dec] 1055, bur Köln St Maria ad gradus). He succeeded in 1049
as KUNO Duke of Bavaria, deposed 1053.

m secondly (1056) BOTHO Graf von Botenstein, son of HARTWIG [II] Pfalzgrafen
von Bayern [Aribonen] & his wife Friderun [Immedinger] (before Dec 1024-1 Mar
1104).

[1107] Annalista Saxo 1036.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

95.154.552:
Prénom : Dénommé "Gui Geoffroi", il reprit le prénom de "Guillaume" lorsqu'il
succéda à son frère plus âgé.

Source : Hervé Balestrieri ( d'après Jean-Louis Dega sur Forum ) 21.10.2014

Fondateur de l'abbaye Saint-Jean de Montierneuf où il fut inhumé.


Il soutint des luttes contre certains de ses vassaux ou voisins, tels Hugues de
Lusignan ou Guillaume IV, comte de Toulouse,et des guerres ouvertes contre le
comte d'Anjou, Foulque le Réchin, ou le comte de Gascogne. Il prit part au siège de
Barbastro.

Fonts:
- persona: M.Rérolle (Favreau, Corpus des inscriptions de la France médiévale, t. 1,
p. 78-80
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac ) 21 III 2007
- casament 1: J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La noblesse du midi carolingien",
2004, page 175) 9 xii 2014
-5133-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.154.553b:
Fonts:
- persona: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
- família: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)

95.154.554:
NOTICE GUILLAUME de Toulouse (-killed in battle Huesca 1094).

on Foundation for Medieval Genealogy

The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Guilelmum et Raymundum" as


the two sons of "Guilelmi…Tolose comitis" & his wife "Alymodis multinuba"[384].
"Wilelmo…Raimundo…Ugoni" are named as sons of "Pontio" in the charter of
"Vilelmo comite Tolosano" dated 9 Jun 1063[385]. He succeeded his father in 1060
as GUILLAUME IV Comte de Toulouse. "Willelmus Tolosanus comes" donated
property to the abbey of Moissac, at the request of "quodam nobili viro Bernardo
Gauzelini et…filiis eius Arnaldo abbate ac Gauzelino", by charter dated 1061[386].
On the death of his cousin Berthe Ctss de Rouergue in [1063/64], the counties of
Agde, Béziers, Narbonne, Rouergue and Uzès reverted to Toulouse. "Rogerius
comes Fuxensis et coniux mea Sicardis comitissa" donated property to Saint-Pons
de Thomières by charter dated to [1074], subscribed by "domni G. comitis Tolosani
et domni Raymundi fratris eius comitis Ruthenæ"[387]. "Willelmus Tolosanus
civitatis comes" donated property to the abbey of Moissac by charter dated 14 Mar
1078[388]. "Guillelmus Tolonanensium, Albensium seu Caturcensium,
Lutevensium, Petragorensium, Carcassonensium, Aginnensium necne
Astarachensium comes et dux…cum uxore mea…Emma" confirmed donations by
"proavuo…meo Pontio Aquitanorum duce" to Saint-Pons de Thomières by charter
dated 16 Jun 1080, signed by "Regimundus comes frater eius, Bertrandus comes
nepos Willelmi et filius Raimundi, Guillelmi de Rehenti, Ademari
vicecomitis…"[389]. The relationship "proavuo/proavo" in this charter is incorrect
in light of the reconstruction shown in the present document. However, the rather
ornate language of the document, and the lengthy titles accorded to the donor,
suggest that it may in any case be spurious in whole or part. m firstly (before 1067)
MATHILDE, daughter of ---. "Willelmus comes et Adalmodis mater eius" donated
property to the abbey of Moissac by charter dated 1067, signed by "Mantilis
comitissa eius uxor"[390]. Catel records another donation dated 1067 by
"Wilielmus comes et Ysarnus episcopus et comitissa Matels" to the Hôpital Saint-
Raimond[391]. m secondly (before 1080) EMMA de Mortain, daughter of ROBERT
Comte de Mortain & his first wife Mathilde de Montgomery. Robert of Torigny
names "unum filium Guillermum et tres filias" as the children of "Robertus comes
Moritonii uterinus frater Willermi regis", specifying that one unnamed daughter
(mentioned third) married "comes Tolosanus frater Raimundi comitis Sancti
Ægidii"[392]. "Guillelmus Tolonanensium, Albensium seu Caturcensium,
Lutevensium, Petragorensium, Carcassonensium, Aginnensium necne
Astarachensium comes et dux…cum uxore mea…Emma" confirmed donations by
"proavuo…meo Pontio Aquitanorum duce" to Saint-Pons de Thomières by charter
dated 16 Jun 1080[393]. Her name is confirmed by the charter dated 1114 under
which her daughter “Philippæ comitissæ…Emmæ filia” reached agreement with
“Bernardus-Atonis filius Ermengardis”[394]. Comte Guillaume IV & his second wife
had three children:

 a) [PONS (-before 1094). An epitaph in Toulouse Saint-Sernin records the


burial of "Poncius filius Willelmi comitis Tolosæ et frater eius",
undated[395]. The HGL suggests that this epitaph relates to two otherwise
unrecorded sons of Comte Guillaume IV, who must have predeceased their
father, commenting that if the inscription had referred to Pons Comte de

-5134-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Toulouse it would have accorded him his comital title[396].]

 b) [son (-before 1094). An epitaph in Toulouse Saint-Sernin records the


burial of "Poncius filius Willelmi comitis Tolosæ et frater eius",
undated[397]. The HGL suggests that this epitaph relates to two otherwise
unrecorded sons of Comte Guillaume IV, who must have predeceased their
father, commenting that if the inscription had referred to Pons Comte de
Toulouse it would have accorded him his comital title[398].]

 c) PHILIPPA [Mathilde] de Toulouse (-28 Nov 1117). The Chronicle of


Saint-Maxence records the marriage of "Guillelmus" and
"Philippam…filiam Willelmi comitis Tolosani et neptem Raimundi de
Sancto Egidio"[399]. Robert of Torigny refers to, but does not name,
"filiam unam" of "comes Tolosanus frater Raimundi comitis Sancti Ægidii"
& his wife, who married "Guillermus comes Pictavensis et dux
Aquitanorum"[400]. "Guillelmus…Aquitainie similiter et Vasconie dux et
comes" confirmed donations to Sainte-Croix, Bordeaux by "genitor noster
Guillelmus qui et Gaufridus vocatus est" with the consent of "Mathildis
uxor…" by charter dated 23 Mar 1096[401]. It is assumed that Mathilde
and Philippa refer to the same person. "Willelmus comes et uxor mea
Philippia, filia Willelmi comitis Tolosæ" donated property to Toulouse
Saint-Sernin by charter dated Jul 1098[402]. She is also named in an
undated donation by Bertrand Comte de Toulouse which names her father
but not her husband[403]. “Philippæ comitissæ…Emmæ filia” reached
agreement with “Bernardus-Atonis filius Ermengardis” by charter dated
1114[404]. Orderic Vitalis recounts that "Hildegarde Ctss de Poitou"
complained to the synod of Reims, held in Oct 1119 by Pope Calixtus II,
that her husband had abandoned her for "Malberge wife of the vicomte de
Châtellerault"[405]. This is inconsistent with the date of death of Philippa,
shown above, not to mention the difference of first name. She became a
nun. The necrology of the Prieuré de Fontaines records the death "28
Nov" of "Philippa monacha, Pictavensis comitissa"[406]. m (1094, divorced
1115) as his second wife, GUILLAUME IX Duke of Aquitaine,
*GUILLAUME VII Comte de Poitou, son of GUILLAUME VIII Duke of
Aquitaine [GUILLAUME VI Comte de Poitou] & his third wife Hildegarde
de Bourgogne [Capet] ([22 Oct 1071]-10 Feb 1127).

Sa notice sur wikipedia en Français

Guillaume IV de Toulouse († 1094) est un comte de Toulouse de 1060 à 1094. Il est


fils de Pons, comte de Toulouse, et d’Almodis de la Marche.

Il succède à son père en 1060 et hérite de la plus grande partie de ses biens, son
frère Raymond n’ayant que les comtés de Saint-Gilles, de Nîmes, de Narbonne. Il
semble pourtant que Raymond partage avec lui le titre de comte de Toulouse,
comme l’indique une charte de 1088 qui lui attribue entre autres ce titre. En 1065,
à la mort de leur cousine Berthe, comtesse de Rouergue, Raymond s’empare de son
comté ainsi que du marquisat de Gothie et du duché de Narbonne[1] sans que
Guillaume ne fasse quelque chose pour l’en empêcher. Contrairement à son père et
à son frère, c'est un homme peu ambitieux et peu porté sur les armes[2].

Guillaume épouse en premières noces une Mathilde, puis en secondes noces (en
1080) Emma de Mortain, fille de Robert de Conteville, comte de Mortain et de
Mathilde de Montgomery. Cette dernière donne naissance à :

-5135-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 Pons, mort jeune
 Philippe († 1117), mariée en 1094 à Guillaume IX le Troubadour (1071 †
1127), duc d'Aquitaine, de Gascogne et comte de Poitiers.

Guillaume meurt en 1094 probablement au cours d'un pèlerinage en Terre


Sainte[3]. Le testament de son père spécifiait que si Guillaume décédait sans fils,
ses terres reviendraient à son fils cadet Raymond, qui lui succéda sous le nom de
Raymond IV. Mais deux décennies plus tard, Guillaume d'Aquitaine revendique le
comté de Toulouse et cherche à le conquérir.

Bibliographie
Jean-Luc Déjean, Les comtes de Toulouse (1050-1250), Fayard, 1979 (réimpr.
1988) (ISBN 2-213-02188-0) [détail des éditions], p. 23-26

 Foundation for Medieval Genealogy : Pons et Guillaume IV de Toulouse

Liens externes Wikipedia

Références

1. titres cependant théoriques et n’offrant qu’une suzeraineté sur des


territoires, la ville étant gouvernée par des vicomtes.
2. (Déjean 1979, p. 25).
3. ↑ (Déjean 1979, p. 26).

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy : Pons et Guillaume IV
de Toulouse ) ix2009
- naixement: L. Gustavsson
- defunció: bataille de Huesca

95.154.555:
EMMA de Mortain, daughter of ROBERT Comte de Mortain & his first wife
Mathilde de Montgomery (-after [1126/27]). Robert of Torigny names "unum filium
Guillermum et tres filias" as the children of "Robertus comes Moritonii uterinus
frater Willermi regis", specifying that one unnamed daughter (mentioned third)
married "comes Tolosanus frater Raimundi comitis Sancti Ægidii"[405]. "Guillelmus
Tolonanensium, Albensium seu Caturcensium, Lutevensium, Petragorensium,
Carcassonensium, Aginnensium necne Astarachensium comes et dux…cum uxore
mea…Emma" confirmed donations by "proavuo…meo Pontio Aquitanorum duce" to
Saint-Pons de Thomières by charter dated 16 Jun 1080[406]. Her name is
confirmed by the charter dated 1114 under which her daughter “Philippæ
comitissæ…Emmæ filia” reached agreement with “Bernardus-Atonis filius
Ermengardis”[407]. “Willelmusdux Aquitanorum” donated “ecclesiam S. Juliani de
Stapioecclesiam S. Mariæ de Clida” to Notre-Dame de Saintes “et abbatissæ
Sibillæ amitæ meæ” by charter dated “XII Kal Sep”, signed by “eadem abbatissa
Sibillla, et comitissa Tholosæ avia mea, et Agnete amita meaPetro episcopo”[408].
This charter does not specify the year but can be dated to [1126/27], given that
Guillaume X Duke of Aquitaine (identified as the donor) succeeded his father in
1126 and that the successor of Pierre Bishop of Saintes (assuming that he can be
identified as the subscriber “Petro episcopo”) is named in a document dated

-5136-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1127[409]. Comte Guillaume IV & his first wife had one child.

[405] Delisle, L. (ed.) (1872) Chronique de Robert de Torigni, abbé de Mont-Saint-


Michel (Rouen), Tome I, 1159, p. 319.

[406] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 336.II, col. 649.

[407] HGL 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XXVII, p. 362.

[408] Gallia Christiana, Tome II, Instrumenta, col. 484.

[409] Gallia Christiana, Tome II, col. 1068.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) xi 2010

95.154.568:
Fonts:
- persona: Aurejac

95.154.569:
[--- im Nordgau . According to Wegener, the wife of Gebhard Graf von Sulzbach
was the daughter of Berenger, Graf im Nordgau and maybe heiress of
Sulzbach[249]. The basis for this speculation is unclear, other than the
transmission of the name Berengar into her husband's family, but it seems unlikely
to be correct. As Graf Berenger was presumably adult in 1007, as shown by the
charters referred to above, it is likely that his children would have been born in
[1000/20] at the latest. On the other hand, Graf Gebhard was probably born in
[1030] which would mean he was considerably older than his wife if her origin is as
Wegener suggests.

m GEBHARD [I], Graf von Sulzbach, son of [--- & his wife Adelheid ---] (-1071 or
after).]

[249] Wegener (1965/67), pp. 196-7.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 iii 2015

95.154.569b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Tyroller

95.154.570:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie von Rott) 30 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie von Rott) 24 iii 2011

95.154.571:
Fonts:
- família: JL.Mondanel (généalogie von Rott) 24 iii 2011

95.154.572:
-5137-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: Auréjac
- família: H.R.Moser/Tyroller

95.154.573:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Tyroller

95.154.584:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09
- família: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09

95.154.585:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09
- família: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09

95.154.588:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016
- família 1, família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016

95.154.604:
JEAN de la Flèche, son of LANCELIN [I] de Baugency & his wife --- (-[1097], bur
Angers, Saint-Aubin). Son of Lancelin according to Orderic Vitalis, who says that
his mother was the daughter of the Comte du Maine[137], which appears to result
from confusion with his wife. "Domna Agnes comitissa" [wife of Geoffroy II "Martel"
Comte d´Anjou] bought "ecclesiam Sancti-Beati…juxta…castrum Vindocini" from
"Lancelino dominico vasso de castro Balgentiaco" and "apud Castrum-Dunum
alteram ecclesiam" from "filiis eiusdem Lancelino…Johanne et Lancelino" by
charter dated to before 1040[138]. A charter dated 13 Feb 1087 records donations
to Angers Saint-Aubin by "Johannes de Fissa", with the consent of "Helias filius
eius"[139]. A charter dated to [1097] records that "Johannes de Fissa" became a
monk after falling ill at Château-Gonthier and died soon after[140]. A charter dated
to [1097] records confirmation of donations to Angers Saint-Aubin by "Elias…filius
eius…et frater eius Gaufridus" after the burial of their father[141].

m PAULE du Maine, daughter of HERIBERT [I] "Eveille-chien", Comte du Maine &


his wife --- ([1025/35]-). Her father is named by Orderic Vitalis, who also records
her marriage to "Lancelin de Beaugency"[142]. However, in another passage the
same source names "Helias, Johannis et Paulæ filius, Hugonis Cenomannorum
consulis consobrinus"[143]. From a chronological point of view, it is more likely
that Jean, son of Lancelin de Baugency, was the husband of Paule du Maine.

Jean de la Flèche & his wife had [eight] children.

[137] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 197.

[138] Métais, C. (ed.) (1893) Cartulaire de l´abbaye cardinale de la Trinité de


Vendôme (Paris) ("Vendôme La Trinité"), Tome I, XXII, p. 42.

[139] Broussillon, B. de (ed.) (1903) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Aubin d'Angers

-5138-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(Paris) (“Angers Saint-Aubin”), Tome II, DCCXLVI, p. 237.

[140] Angers Saint-Aubin, Tome II, DCCXLVIII, p. 239.

[141] Angers Saint-Aubin, Tome II, DCCXLIX, p. 240.

[142] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 197.

[143] Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 305.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 8 xi 2012
- enterrament: G Grattepanche (fichier personnel) 12.IX.2005
- família: J-P.de Palmas (FMG) 8 xi 2012

95.154.605:
PAULE du Maine, daughter of HERIBERT [I] "Eveille-chien" Comte du Maine & his
wife --- ([1025/35]-). Her father is named by Orderic Vitalis, who also records her
marriage to "Lancelin de Beaugency"[142]. However, in another passage the same
source names "Helias, Johannis et Paulæ filius, Hugonis Cenomannorum consulis
consobrinus"[143]. From a chronological point of view, it is more likely that Jean,
son of Lancelin de Baugency, was the husband of Paule du Maine.

Jean de la Flèche & his wife had [eight] children.

[142] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 197.

[143] Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 305

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 8 xi 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 8 xi 2012

95.154.606:
Fonts:
- persona: G Grattepanche (fichier personnel) 12.IX.2005
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 12.IX.2005

95.154.607:
Fonts:
- persona: G Grattepanche (fichier personnel) 12.IX.2005
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 12.IX.2005

95.154.620:
Donnchad mac Crínáin (Anglicised Duncan) (died 15 August 1040) was king of
Alba. He was son of Crínán, hereditary lay abbot of Dunkeld, and Bethoc, daughter
of king Máel Coluim mac Cináeda.

Unlike the "King Duncan" of Shakespeare's Macbeth, the historical Donnchad


appears to have been a young man. He followed his grandfather Máel Coluim as
king after the latter's death on 25 November 1034, without apparent opposition.
He may have been Máel Coluim's acknowledged successor or tánaise as the
succession appears to have been uneventful. Earlier histories, following John of
-5139-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fordun, supposed that Donnchad had been king of Strathclyde in his grandfather's
lifetime, ruling the former Kingdom of Strathclyde as an appanage. Modern
historians discount this idea.

Another claim by Fordun, that Donnchad married a sister of Earl Siward of


Northumbria, appears to be equally unreliable. An earlier source, a variant of the
Chronicle of the Kings of Alba (CK-I), gives Donnchad's wife the Gaelic name
Suthen. Whatever his wife's name may have been, Donnchad had at least two sons.
The eldest, Máel Coluim mac Donnchada was king from 1057 to 1093, the second
Domnall Bán was king afterwards. Máel Muire of Atholl is a possible third son of
Donnchad, although this is uncertain.

The early period of Donnchad's reign was apparently uneventful, perhaps a


consequence of his youth. Mac Bethad mac Findláich is recorded as his dux,
literally duke, but in the context — "dukes of Francia" had lately replaced
Carolingian kings of the Franks and the over-mighty Godwin of Wessex was called
a dux — this suggests that Mac Bethad was the power behind the throne.

In 1039, Donnchad led a large Scots army south to besiege Durham, but the
expedition ended in disaster. Donnchad survived, but the following year he led an
army north into Moray, traditionally seen as Mac Bethad's domain. There he was
killed, at Pitgaveny near Elgin, by his own men led by Mac Bethad, probably on 15
August, 1040.

He is depicted as an elderly King in Macbeth by William Shakespeare. There he is


killed in his sleep by Macbeth.

He is featured in the Walt Disney animated television series Gargoyles. He was the
second person to use the Hunter persona.

http://en.wikipedia.org/wiki/Duncan_I_of_Scotland

Fonts:
- persona: N. Danican (Britain's Royal Families) , Portrait: Joël Chirol (archives
perso) 05/08/05 , Manuel Abranches de Soveral

95.154.621:
Fonts:
- persona: N. Danican (Buthlaw, Succession of Strathclyde, the Armorial 1961-62)

95.154.621b:
Donald III of Scotland (Domnall mac Donnchada) (c. 1033 - 1099) was king of
Scotland from 1093 to 1094 and 1094 to 1097.

In his native Gaelic language he was known as Domnall Bán which means Fair
Donald. The minor character of Donalbain in William Shakespeare's play Macbeth
is loosely based on him, this name is an English phonetic spelling of the former
name. He is also known as Donaldbane, Donald Ban, Donald Bane, or Donald Bain.

He was born about 1033 and became Mormaer (or Earl) of Gowrie about 1060. He
was the son of Duncan I, brother of the previous king Malcolm III, and uncle of his
successor Duncan II.

-5140-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Donald III took the throne of Scotland in 1093 on the death of his brother Malcolm
III, in a joint rule with his nephew Edmund I. No record exists that indicates that
Donald was ever crowned. Malcolm's son Duncan II deposed Donald III in May
1094 with the help of English troops, who then withdrew. Donald III and Edmund
then rose against Duncan, killed him, and retook the throne the following
November, with Donald ruling the north of the kingdom and Edmund ruling the
south. Donald III and Edmund were deposed by King Edgar in 1097, again with the
help of English troops.

Donald died, imprisoned at Rescobie, Angus, in 1099. He is buried on Iona.

At some point in his life Donald married, and had a daughter, Bethóc, through this
marriage. Bethóc married and had children of her own. Bethóc's husband was
Ughtred of Tynedale, an Anglo-Saxon noble and lord in Northumbria. They had a
daughter Hextilda, who married Richard de Comyn, a noble of Norman descent.
Their descendants, the Comyns became important in Scotland, for example
obtaining the earldom of Buchan by marriage, and lordship of Badenoch. However,
Bethóc's descendants did not make a bid for the Scottish throne until 1290, when
her descendant John Comyn of Badenoch, heir of William Comyn, son of Hextilda,
was one of claimants to the Scottish throne after the death of Margaret of Norway.

http://en.wikipedia.org/wiki/Donald_III_of_Scotland

Fonts:
- persona: N. Danican (Britain's Royal Families) , Manuel Abranches de Soveral

95.154.621c:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (base pierfit, 05vii2008)

95.154.622:
Édouard l'Exilé, son père Edmond et ses enfants : Edgar, Marguerite (un deuxième
fils, Edmond, apparaît également) et Christine.
Manuscrit généalogique du du XIIIe siècle.

Edward the Exile (1016 – February 1057), son of King Edmund Ironside and of
Ealdgyth, gained the name of "Exile" from his life spent mostly far from the
England of his forefathers. When only a few months old, he was sent by the usurper
Canute to be murdered in Denmark, rather than on English soil. Instead, he was
secretely brought to Kiev and then made his way to Hungary. On hearing the news
of his being alive, Edward the Confessor recalled him to England and made him his
heir. However, Edward the Exile died shortly after his return, causing a succession
dispute that ultimately led to the Norman Conquest of England.

The paternity of his wife Agatha is debated: the medieval sources agree that she
was a sister of a Hungarian Queen, and disagree as to other details. The Anglo-
Saxon Chronicle and Florence of Worcester's "Chronicon ex chronicis" describe
Agatha as a blood relative of the Henry III, Holy Roman Emperor. Based on these
sources, prominent genealogist Szabolcs de Vajay popularized an idea that she was
the daughter of the Emperor's elder (uterine) half-brother, Liudolf, Count of
Friesland (1962). Agatha's rare Greek name was recently interpreted in favour of a
different version, expounded by Geoffrey Gaimar and Roger of Howden, that her
father was a "Russian king", i.e. Yaroslav the Wise, and his daughter (Agathe
(Rurikides)).

-5141-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Their children included Edgar Ætheling, Saint Margaret of Scotland and Cristina.

http://en.wikipedia.org/wiki/Edward_the_Exile

EDWARD ([1016/17]-London 19 Apr 1057, bur London St Paul's). Maybe twin with
his brother Edmund or, as noted above, born posthumously. He is the first prince in
the Wessex royal family to have been named after his father, which suggests that
he may have been born posthumously which could have justified this departure
from the normal naming practice. According to the Anglo-Saxon Chronicle, King
Canute "banished [him] into Hungary … [where] he grew up to be a good
man"[1906]. Orderic Vitalis names "Edward et Edmund" as the two sons of king
Edmund II, specifying that King Canute sent them to Denmark to be killed but that
his brother "Suenon [error for Harald] roi de Danemark" sent them "comme ses
neveux en otage au roi des Huns" where Edward "épousa la fille du roi et regna sur
les Huns"[1907]. Florence of Worcester specifies that the infants were first "sent to
the king of the Swedes to be killed [but the latter] sent them to Solomon King of
Hungary to spare their lives and have them brought up at his court"[1908].
According to Adam of Bremen, the two brothers were "condemned to exile in
Russia"[1909]. Geoffrey Gaimar (in an altogether confusing account) names "Li
uns…Edgar…li alters…Edelret" as the children of King Edmund, recounting that
they were sent first to Denmark and later to "Russie [Susie], e vint en terre de
Hungrie"[1910]. Edward’s life in exile is discussed in detail by Ronay[1911].
Humphreys infers from the chronicles of Gaimar, Adam of Bremen and Roger of
Hoveden that Edward spent some time at the court of Iaroslav I Grand Prince of
Kiev[1912]. Assuming he was in exile in Hungary from childhood, he may have left
for Kiev in 1037 with András Prince of Hungary who fled Hungary after the 1037
disgrace of his father, although this is unlikely for the reasons explained above in
relation to his brother Edmund. If this is correct, he would have returned with
András in [1046/47] when the latter succeeded as András I King of Hungary after
King Péter Orseolo was deposed. Aldred Bishop of Worcester, ambassador of King
Edward "the Confessor", "proposed to the emperor to send envoys to Hungary to
bring back Edward and have him conducted to England"[1913], according to
Florence of Worcester to be groomed to succeed to the English throne[1914]. The
Anglo-Saxon Chronicle records that Edward died "at London soon after his
arrival"[1915] before meeting his uncle the king and also states his burial
place[1916].

m (Kiev[1917] [1040/45]) AGATHA, daughter of --- ([1025/35]-). Agatha is named as


the wife of Edward in many sources[1918], but her origin has been the subject of
lively debate for years. The early 12th century chronicles are contradictory. The
assertion by Orderic Vitalis that she was "daughter of Solomon King of the
Magyars"[1919] can be dismissed as impossible chronologically.

One group of chroniclers suggest a German origin, saying that she was "the
daughter of the brother of the Emperor Henry". This includes John of Worcester
("filia germani imperatoris henrici"[1920], in a passage which Humphreys
speculates was written some time between 1120 and 1131 although possibly based
on the earlier work of Marianus Scotus), Florence of Worcester ("daughter of the
brother of Emperor Henry"[1921]), the Anglo-Saxon Chronicle ("the emperor's
kinswoman"[1922] and, in relation to her daughter Margaret, "descended from the
emperor Henry who had dominion over Rome"[1923]). Ailred Abbot of Rievaulx
records that "Edwardo", son of "regem Edmundum" [King Edmund "Ironsides"],
married "filiam germani sui Henrici imperatoris…Agatha"[1924]. Matthew of Paris
calls Agatha "soror Henrici imperatoris Romani" when recounting the ancestry of
Henry II King of England[1925].

-5142-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
A second group of chroniclers propose a Russian origin, suggesting that Agatha
belonged to the family of Iaroslav Grand Prince of Kiev. For William of
Malmesbury, she was "sister of the [Hungarian] queen", which from a
chronological point of view could only refer to Anastasia Iaroslavna, wife of King
András I. In a 13th century interpolation in one copy of the Leges Anglo-Saxonicæ
(written in [1130]) she was "ex genere et sanguine regum Rugorum"[1926]. The
Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Agatham regine Hunorem
sororem"[1927], the Hungarian Magyars frequently, though incorrectly, being
referred to as "Huns" in many other sources. Lastly, Roger of Wendover records
that "Eadwardus" married "reginæ Hungariæ sororem…Agatham"[1928]. In
considering the German origin theory, the uterine half-brothers ("germani") of
Emperor Heinrich III provide a likely candidate. These half-brothers were Liudolf
von Braunschweig, Markgraf in Friesland (son of Gisela of Swabia, mother of
Emperor Heinrich III, by her first marriage with Bruno Graf [von Braunschweig]),
and Ernst von Babenberg Duke of Swabia and his younger brother Hermann IV
Duke of Swabia (sons of Gisela by her second marriage). The latter, the Babenberg
brothers, born in [1014/16], were both too young to have been Agatha's father so
can be dismissed. Liudolf von Braunschweig was first proposed as Agatha's father
in 1933[1929], and has been the preferred candidate for many historians since
then[1930]. His birth date is estimated at [1003/05] (see BRUNSWICK) which is
consistent with his having been Agatha's father. The marriage taking place in Kiev
would not exclude a German origin, as contacts were reported between Kiev and
the imperial court in 1040[1931], when Russia was aiming to create a tripartite
alliance with England and Germany to weaken Denmark, and also in 1043[1932],
when the situation required review following the accession of King Edward "the
Confessor" in England. The major drawback to the German origin theory is the
total absence of onomastic connections between the Braunschweig family and the
descendants of Edward and Agatha, although this is not of course conclusive to
prove or disprove the hypothesis. The Russian origin theory has also found
considerable academic support[1933]. Edmund must have had contact with the
Russian royal family during his period in Kiev, assuming it is correct, as suggested
above, that he spent time there during his exile. There are numerous onomastic
connections between the the extended family of Grand Prince Iaroslav and the
descendants of Edward and Agatha. For example, the names of Edward and
Agatha's own daughters, Margaret and Christina, were both used in the Swedish
royal family, to which Grand Prince Iaroslav's wife belonged. In the next
generation, among Queen Margaret's own children, the name David is one which
seems only to have been used in the Kiev ruling family among all contemporary
European royal dynasties. The major problem with the Russian origin theory is the
complete failure to explain the source references to Agatha's family relationship
with the emperor, which it is unwise to dismiss as completely meaningless. It is of
course possible that neither of these theories is correct, and that Agatha belonged
to a minor German, Russian or Hungarian noble family the importance of whose
family connections were exaggerated in the sources. Edward's relationship to the
kings of England may, at the time of his marriage, have seemed remote and
unimportant in eastern Europe, especially as England was ruled by Danish kings
whose position must then have seemed secure. He may not have provided a
sufficiently attractive marriage prospect for a prominent European princess.

In conclusion, therefore, there is no satisfactory way of deciding between each of


the competing theories concerning Agatha's origin and it appears best to classify it
as "unknown". It is unlikely that the mystery of Agatha's origin will ever be solved
to the satisfaction of all. The Anglo-Saxon Chronicle records that, after the Norman
conquest, Agatha left England with her children in Summer 1067 and found refuge
at the court of Malcolm King of Scotland[1934]. Florence of Worcester records that
"clitone Eadgaro et matre sua Agatha duabusque sororibus suis Margareta et
Christina" left England for Scotland, in a passage which deals with events in mid-
1068[1935]. According to Weir, in old age, possibly after the death of her daughter

-5143-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Queen Margaret, she became a nun at Newcastle-upon-Tyne[1936], but the
primary source on which this is based has not yet been identified. Edward & his
wife had three children.

[1906] Anglo-Saxon Chronicle, D, 1057.

[1907] Orderic Vitalis I, p. 165.

[1908] Florence of Worcester, 1017, p. 133.

[1909] Adami Gesta Hammaburgensis Ecclesiae Pontificium ex Recensione


Lappenbergii, MGH SS II, p. 51.

[1910] Geoffrey Gaimar, lines 4516-17, 4563-4590, pp. 154, 156-7.

[1911] Ronay (1989).

[1912] Humphreys, W. 'Agatha, Mother of St. Margaret: The Slavic versus Salian
solutions - a critical overview', Foundations: Newsletter of the Foundation for
Medieval Genealogy Vol 1, No 1 (Jan 2003), p. 31, available at
<http://fmg.ac/Users/Newsletter/01-01/Contents.pdf> (30 Jul 2003), p. 333, which
also cites Fest, S. (1938) The Sons of Eadmund Ironside (Budapest), the last noting
the opinion of Karácsonyi in 1928.

[1913] Florence of Worcester, 1054, p. 156.

[1914] Florence of Worcester, 1057, p. 159.

[1915] Florence of Worcester, 1057, p. 159.

[1916] Anglo-Saxon Chronicle, D, 1057, and E, 1057, the latter mentioning his
burial place.

[1917] Leges Anglo-Saxonicæ, written [1130], quoted in Ronay (1989), pp. 116 and
197 footnote 17.

[1918] Including MP, Vol. II, p. 22.

[1919] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 273.

[1920] Darlington, Reginald R. & McGurk, Patrick editors, trans. Jennifer Bray and
Patrick McGurk (1995) The Chronicle of John of Worcester, Vol II: The Annals from
450 to 1066 (Oxford: Clarendon Press), 1017, cited in Humphreys (2003), p. 34.

[1921] Florence of Worcester, 1017, p. 133.

[1922] "Caseres maga", Anglo-Saxon Chronicle, D, 1057.

-5144-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1923] Anglo-Saxon Chronicle, D, 1067.

[1924] Aelredus Rievallensis Abbas, Genealogia Regum Anglorum, Migne,


Patrologia Latina, Vol 195, col. 733D and 734B.

[1925] MP, Vol. II, 1155, p. 209.

[1926] Leges Anglo-Saxonicæ, quoted in Ronay (1989), p. 117.

[1927] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1100, MGH SS XXIII, p. 814.

[1928] Roger of Wendover, Vol. I, p. 462.

[1929] Herzog, Joszef (1933), Skóciai Szent Margit származásának kérdése [The
problem of St Margaret of Scotland's Scottish origins].

[1930] Including De Vajay, S. (1962) 'Agatha, Mother of Saint Margaret Queen of


Scotland' Duquesne Review: Journal of Social Sciences, 7: 71-80, and Faris, David
& Richardson, Douglas (1998) 'The Parents of Agatha, wife of Edward the Exile'
New England Historical and Genealogical Register, 152: 224-235.

[1931] Saxo Grammaticus, 1040, MGH SS VI, p. 684.

[1932] Annales Altahenses Maiores, MGH XX, p. 798.

[1933] Including Jetté, R. (1996) 'Is the Mystery of the Origin of Agatha, wife of
Edward the Exile, finally solved?', New England Historical and Genealogical
Register, 150: 417-32, and Ingham, N. W. (1998) 'Has a missing daughter of
Iaroslav Mudriy been found?', Russian History 23 (3):231-70.

[1934] Anglo-Saxon Chronicle, D, 1067.

[1935] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, Vol. II, p. 2.

[1936] Weir (2002), p. 28.

Fonts:
- persona: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families , Manuel Abranches
de Soveral, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 viii 2015
- casament: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 viii 2015
- família: M.Rébeillé-Borgella, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 viii 2015

95.154.623:
Fonts:
- casament: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 viii 2015
- família: M.Rébeillé-Borgella, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 viii 2015

95.154.623b:
CHRISTINA ([in Hungary] [1050/53]-after 1090). The Anglo-Saxon Chronicle
records that she left England with her mother in Summer 1067 and found refuge at
the court of Malcolm King of Scotland[1943]. Florence of Worcester records that

-5145-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"clitone Eadgaro et matre sua Agatha duabusque sororibus suis Margareta et
Christina" left England for Scotland, in a passage which deals with events in mid-
1068[1944]. Florence of Worcester records that "clito Eadgarus…germana
Christina" entered Romsey abbey as a nun in [1086][1945]. Eadmer of Canterbury
(writing [1093]-[1122]) comments about the religious life of Christina and her strict
control in the 1090s over her niece Edith, who later married to Henry I King of
England[1946].

[1943] Anglo-Saxon Chronicle, D, 1067.

[1944] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, Vol. II, p. 2.

[1945] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, Vol. II, p. 19.

[1946] Eadmer of Canterbury's Historia Novorum, cited in Humphreys (2003), p.


39.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 viii 2015

95.154.623c:
Foundation for Medieval Genealogy :
http://fmg.ac/Projects/MedLands/ENGLAND,%20
AngloSaxon%20&%20Danish%20Kings.htm#Edmunddied1016B dit que :
"No record has been found that Edgar ætheling ever married. However, the
1157 Pipe Roll entry quoted below suggests that he may have had descendants.
If this is correct, it is probable that it was an illegitimate line as there is no
record of their having claimed the throne." Olivier Guionneau: forum du 7 vi
2011

Edgar Ætheling (c. 1051 – c. 1126) was proclaimed, but never crowned, King of
England. He was the last male member of the West Saxon royal house of Cerdic.
Born in Hungary, he was also known as Edgar the Outlaw. The Anglo-Saxon
term aetheling or, as it was spelled during the Anglo-Saxon period, Æþeling,
denotes a man of noble blood and was used more specifically in the later Anglo-
Saxon period to designate a potential heir to the throne. Proclaimed king by the
witan following the death of Harold II in the Battle of Hastings on October 14,
1066, Edgar was never crowned and submitted to William I some eight weeks
later. He was only about thirteen or fourteen years old.

Edgar was the only son of Edward the Exile, heir to the English throne, and
grandson of King Edmund II Ironside. Upon his father's death in 1057, Edgar
was nominated as Heir Apparent by the king Edward the Confessor. Edgar was
brought up at Edward's court, together with his sisters, Saint Margaret of
Scotland and Christina. However he was too young at the time of the king's
death in January 1066 to defend the country against impending invasion, and his
election as king after Harold's death was no more than a symbolic token of
defiance against the invading Norman forces.

Edgar relied largely for his support upon Archbishop Stigand and upon Earls
Edwin of Mercia and Morcar of Northumbria and, when this weakened within a
matter of days of the witan, Edgar was forced inevitably to submit to William at
Berkhamsted in either late November or early December 1066.

-5146-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
William treated Edgar well. Seeing political advantage, he kept him in his
custody and eventually took him back to his court in Normandy. However, Edgar
joined in the rebellion of the earls Edwin and Morcar in 1068 and, though
defeated, he fled to the court of Malcolm III of Scotland. The next year Malcolm
married Edgar's sister Margaret, and agreed to support Edgar in his attempt to
claim the English crown. Edgar now made common cause with Sweyn Estridson,
the king of Denmark and nephew of Canute, who believed he was the rightful
king of England.

Their combined forces invaded England in 1069, capturing York. William


marched on the north, devastating the land as he went. He paid the Danes to
leave, whilst Edgar fled to Scotland. He remained in refuge there until 1072
when William successfully enforced a peace treaty on Malcolm, the terms of
which included the exile of Edgar. Edgar eventually made his peace with William
in 1074 but he never fully gave up his dreams of regaining the throne of
England. He supported Robert, Duke of Normandy, against William II in 1091
and again found himself seeking refuge in Scotland. He also supported his
nephew, Edgar, in gaining the Scottish throne, overthrowing Donald III.

Around 1098 he went to Constantinople, where he may have joined the


Varangian Guard of the Byzantine Empire. Later that year he was given a fleet
by Emperor Alexius I to assist in the First Crusade, and brought reinforcements
to the crusaders at the Siege of Antioch. He was taken prisoner at the Battle of
Tinchebrai in 1106 fighting for Duke Robert against Henry I. He returned to
England where Henry pardoned him, and he retired to his country estate in
Hertfordshire. His niece Edith (renamed Matilda) had married Henry I in 1100.
Edgar is believed to have travelled to the Kingdom of Scotland late in life,
perhaps around the year 1120, and was still alive in 1125, but may have died
soon after, in his early seventies. By then he was forgotten by most and is
remembered now only as the "lost king" of England.

http://en.wikipedia.org/wiki/Edgar_%C3%86theling

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-C de Vaugiraud (Patrick W.Montague-
Smith, The Royal Line of Succession) 12/10/2006

95.154.624:
Graf im Sundergau

Fonts:
- persona: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility, Herren
von Stauffen) 14.09.17
- família: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility, Herren
von Stauffen) 14.09.17

95.154.628:
Fonts:
- naixement: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac; 31 XII 06)
- família 2: C.Chéneaux

95.154.629:
Chronologie :

-5147-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 1025 : naissance (attestée en 1031 dans un document concernant son
demi-frère Guillaume VI le Gros)

 1029 : séparation de ses parents. Guillaume V se retire au monastère de


Maillezais en Vendée.

 1030 : janvier, mort de Guillaume V à l'abbaye de Maillezais

 1033 : Agnès à Saint-Jean d'Angelis chez son demi-frère Guillaume VI et sa


femme Eustachie

 1034 : Défaite de Guillaume VI par Godefroy d'Anjou. Agnès et sa belle-


soeur Eustachie en résidence surveillée dans un monastère.

 1037 : Agnès chez son oncle maternel (veuf) Réginald, comte de


Bourgogne, à Besançon

 1042 : Agnès est demandée en mariage par Henri III, le roi de Germanie

 1043 : Fiançailles officielles. Agnès couronnée reine à Mayence. Mariage à


Ingelheim

 1045 : Naissance de sa première fille, Adelheid

 1046 : 28 octobre, première rencontre, à Pavie, d'Agnès avec Hildebrand,


futur pape, Grégoire VII (de 1073 à 1085)
20 décembre, déposition du pape Grégoire VI. Exil de Hildebrand
25 décembre : Agnès couronnée impératrice à Rome

 1047 : avril, naissance d'une 2è fille, Gisèle

 1048 : octobre, naissance d'une 3è fille, Mathilde

 1050 : 11 novembre, naissance d'un fils : Henri IV, futur empereur romain-
germanique

 1052 : automne : naissance du 5è enfant, Conrad

 1054 : été : naissance de Judith

 1056 : 5 octobre, décès de l'empereur Henri III. Agnès devient Régente de


l'Empire

 1059 : décret de Hildebrand sur l'élection des papes

-5148-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 1061 : A Rome, élection à la sauvette du pape Alexandre II, Anselme da
Baggio.
Diète de Bâle : Pierre Badalus est nommé pape, en même temps, sous le
nom d'Honorius II, il avait eu l'appui d'Agnès.
Début du Schisme d'Orient
22 novembre, Agnès abandonne ses atours d'impératrice et prend le voile

 1062 : coup d'Etat de Kaiserswerth, le jeune Henri IV est enlevé par


l'archevêque de Cologne, Annon, pour élever prétendûment le futur
empereur en le privant de sa mère

 1063 : printemps, Agnès se retire définitivement à Rome


automne, première mission d'Agnès en Allemagne

 1066 : seconde mission en Allemagne

 1072 : troisième mission en Allemagne

 1073 : Agnès assiste à l'avènement de saint Grégoire VII (Hildebrand)

 1074 : quatrième et dernière mission d'Agnès en Allemagne

 1076 : conflit ouvert entre le futur empereur Henri IV et le pape Grégoire


VII

 1077 : janvier, entrevue de Canossa entre le pape et Henri IV, décembre


1077, mort d'Agnès à Rome

Fonts:
- persona: C.Chéneaux (Jean Mathieu, historien : "Agnès du Poitou")
- defunció: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011
- família: C.Chéneaux

95.154.629a:
Fonts:
- persona: C.Chéneaux (Jean Mathieu-Rosay)
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac; 31 XII 06)

95.154.629b:
Fonts:
- persona: C.Chéneaux
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac; 31 XII 06)

95.154.629c:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : 1047 po 9 iv) 18 iv 2010
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : 14 iii może ok. 1100) 18 iv
2010

-5149-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- casament 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010
- família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

95.154.629f:
Fonts:
- persona: C.Chéneaux

95.154.629-1a:
Fonts:
- persona: C.Chéneaux
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac; 31 XII 06)

95.154.632:
Alberto Azzo II d'Este, detto anche Albertazzo II per una crasi del nome (Modena,
10 luglio 1009 – Modena, 20 agosto 1097), è considerato il capostipite della casa
d'Este, essendo stato il il primo della famiglia ad essere signore di Este, cittadina
del Padovano. Ad Este fece costruire un castello intorno al quale crebbe poi la città
che all'epoca era poco più di un villaggio. Era figlio di Alberto Azzo I d'Este che era
conte di Luni, Tortona, Genova e Milano e discendente di Oberto. Alberto Azzo II fu
conte di Lunigiana e di Milano e signore d'Este e Rovigo. Nel 1077, l’imperatore
Enrico IV del Sacro Romano Impero conferma i beni ai sui figli Ugo e Folco. Nella
lotta fra papato e impero cercò di destreggiarsi alleandosi alternativamente con
l'imperatore e con il papa e Matilde di Canossa. Aveva possedimenti in tutto il Nord
Italia, nella Lunigiana da cui proveniva la sua famiglia e la sua signoria
comprendeva anche territori nel modenese. Sposò Cunizza (o Cunegonda) di
Altdorf, figlia del Conte Guelfo II di Altdorf, e successivamente Garsenda (Garsenda
del Maine - Francia) nel 1065, che era vedova di Thibaut, Conte di Champagne.
Nella Divina Commedia viene chiamato Azzo II e definito terzo Marchese d'Este nel
1039 con Imperatore Corrado II; nella stessa gli si attribuiscono due figli avuti da
Isabella del Monferrato: Bertoldo, quarto Marchese d'Este, e Albertazzo (forse
Alberto Azzo);
Suo figlio Guelfo IV d'Este si trasferì in Germania prima in Carinzia e poi in Baviera
dando origine ad una delle famiglie più importanti della storia europea, i guelfi, da
un cui ramo collaterale originerà il Casato degli Hannover, che salì sul trono
d'Inghilterra nel 1714 con Giorgio I d'Inghilterra. Un altro figlio, Folco I fu il primo
di cui si trovi documentata l'espressione di marchese d'Este.

http://it.wikipedia.org/wiki/Alberto_Azzo_II_d%27Este

Albert Azzo II (c.997–c.1097), Margrave of Milan and Liguria, Count of Gavello and
Padua, Rovigo, Lunigiana, Monfelice, and Montagrana, was a powerful nobleman in
the Holy Roman Empire.

Albert Azzo II was the only son of Albert Azzo I, Margrave of Milan. He inherited
his father's offices around 1020, and continuously increased his properties in
northern Italy. In 1069–1070, he tried to acquire Maine for his son Hugh, because
his wife, Garsende, was the heiress of the previous counts of Maine. Hugh was
declared count, but could not prevail against the dukes of Normandy. In the
Investiture Controversy between Henry IV, Holy Roman Emperor, and Pope
Gregory VII, Azzo attempted to mediate, but later he joined the side of the Pope.
Around 1073 he made a castle at Este his residence, from which the House of Este,
the dynasty to which he belongs, takes its name.

http://en.wikipedia.org/wiki/Albert_Azzo_II%2C_Margrave_of_Milan

Fonts:
-5150-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família 1, família 3: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-
mittelalter.de/este_familie
- família 2: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie, J-C
de Vaugiraud (T. Stasser : "Où sont les femmes ?", page 412 et note 82) 13 ii 2015

95.154.633:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ WW-Person
- defunció: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

95.154.633-2a:
Hugh V was the Count of Maine and titular count from 1069 until 1131. He was the
son of Azzo d'Este and Gersendis (a sister of Count Hugh IV).

In 1069, the citizens of Le Mans and some of the Manceaux barons revolted against
Norman control. After securing the southern border of Normandy and expelling the
Normans, they proclaimed young Hugh V to be Count of Maine.

Under Norman rule, Hugh V was count from 1069 to 1072, titular count from 1072
to 1090, count from 1090 to 1093, and finally titular count from 1093 to 1131.

http://en.wikipedia.org/wiki/Hugh_V%2C_Count_of_Maine

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (T. Stasser : "Où sont les femmes ?", page 412 et note
82) 13 ii 2015, F-L. Jacquier - généalogies normandes, A.Aurejac/ R.Dewkinandan>
http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie , Manuel Abranches de Soveral
- casament: J-C de Vaugiraud (T. Stasser : "Où sont les femmes ?", page 412 et note
82) 13 ii 2015
- família: G Grattepanche (fichier personnel) 12.IX.2005, F-L. Jacquier - généalogies
normandes, J-C de Vaugiraud (T. Stasser : "Où sont les femmes ?", page 412 et note
82) 13 ii 2015

95.154.633-2b:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Litta
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

95.154.636:
Suppression d'un mariage inexistant avec Hedwig von Formbach

Suite à une erreur de lecture du texte de la 1ere édition de G. Poull : "La


maison ducale de Lorraine", 1968.
Voir messages forum 2017-09-08 09:14:50, 2017-09-09 09:59:34 et 2017-
09-09 16:07:43
J-C de Vaugiraud (échanges avec J-É Tollé) 10 ix 2017

Ordulf (sometimes Otto) (c. 1022 – 28 March 1072) was the duke of Saxony from
1059, when he succeeded his father Bernard II, until his death. He was a member
of the Billung family.
Reign
His entire reign was occupied by wars with the Wends. He was allied with
Denmark, strengthening the alliance by marrying (1042) Wulfhild (died 24 May
-5151-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1071), daughter of Olaf II of Norway. Their son Magnus succeeded Ordulf as Duke
of Saxony.
His second wife, Gertrude of Haldensleben, daughter of a Count Conrad, was
imprisoned in Mainz in 1076 and died 21 February 1116. Their son Bernard died
after a fall from a horse at Lüneburg on 15 July (year unknown).

Ordulf is buried in the church of Saint Michael at Lüneburg.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 viii 2012
- família 2: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 viii 2012

95.154.637:
Wulfhild (1020 – 24 May 1071) , Old West Norse: Úlfhildr Ólafsdóttir, Swedish:
Ulfhild Olofsdotter, was a Norwegian princess and a duchess of Saxony, wife of
Ordulf, Duke of Saxony.

Wulfhild was born in 1020 to Olaf II of Norway and Astrid Olofsdotter of Sweden.
Her half brother was Magnus I of Norway. On November 1042 she was married to
duke of Saxony Ordulf of Billung, son of Bernard II and Eilika of Schweinfurt. This
marriage was supposed to strengthen the alliance between Saxony and Denmark.
Wulfhild and Ordulf had a son, Magnus.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 viii 2012

95.154.637-2a:
Mort des suites d'une chute de cheval.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 viii 2012

95.154.638:
Béla I (Hungarian: I. Béla, Slovak: Belo I), was king of Hungary between 1061 and
1063. Baptized as Magnus, Béla was his pagan given name. Béla was a member of
the Árpád dynasty, third son of Vazul and younger brother of András I who was
crowned king after the Vatha pagan rising.

In 1048, András conferred to Béla one third of Hungary as appanage ("Tercia pars
Regni"), making him Duke of the Nitrian Frontier Duchy, whose capital was Nitra
and which involved the southern Slovakian Nitrian Principality and the
northeastern historic Hungarian Bihar region (not identical to the later Bihar).

The two brothers shared power without incident until 1053, when András fathered
a son. Thereafter, András became determined to secure the throne for his son and
to displace his brother. András therefore had his son (Béla's nephew) Solomon
crowned future king in 1057. According to legend, András placed before Béla a
crown and a sword, representing royal and ducal power, respectively, and asked
Béla to take his choice. Knowing that choosing the crown would mean his life, Béla
instead selected the sword. In 1059, Béla fled to Poland where he was received by
his brother-in-law Boleslaus II of Poland, brother of Béla's wife Richeza.

In 1060, Béla returned to Hungary and defeated András I to become the new king.
After András' death, Béla was crowned king on December 6, 1060. During his brief
-5152-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
reign he concerned himself with crushing pagan revolts in his kingdom. Béla died
in an accident when his throne's canopy collapsed while sitting on it. After Béla's
death in 1063, Henry IV, Holy Roman Emperor installed Solomon as the new king
and his male progenies had to flee to Poland again.

http://en.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9la_I_of_Hungary

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: J-P.de Palmas (FMG) 21 x 2016

95.154.639:
Adelaide/Richeza of Poland, (22 September 1013 – 21 May 1075) was Queen
Consort of Hungary.
Family
She was a daughter of King Mieszko II Lambert of Poland, and his wife, Richeza of
Lotharingia. She is traditionally called Richeza, but contemporary sources do not
confirm this name. Nowadays it is supposed that she was called Adelaide.[1]
Between 1039 and 1043, she was married to king Béla of Hungary, who had served
her father and taken part in her father's campaigns against the pagan Pomeranian
tribes. In 1048, her husband received one third of Hungary (Tercia pars Regni) as
appanage from his brother, King Andrew I of Hungary, and the couple moved to
Hungary. On 6 December 1060, her husband was crowned King of Hungary after
defeating his brother.
Marriage and children
1039-1043: King Béla I of Hungary (c. 1016 – 11 September 1063)

 King Géza I of Hungary (c. 1040 – 25 April 1077)


 King Ladislaus I of Hungary (c. 1040 – 29 July 1095)
 Duke Lampert of Hungary (after 1050 – c. 1095)
 Sophia (after 1050 – 18 June 1095), wife firstly of Markgraf Ulrich I of
Carniola, and secondly of duke Magnus I of Saxony
 Euphemia (after 1050 – 2 April 1111), wife of Prince Otto I of Olomouc
 Helen I of Hungary (after 1050 – c. 1091), wife of Demetrius Zvonimir of
Croatia

Sources

 Kristó, Gyula - Makk, Ferenc: Az Árpád-ház uralkodói (IPC Könyvek, 1996)


 Korai Magyar Történeti Lexikon (9-14. század), főszerkesztő: Kristó,
Gyula, szerkesztők: Engel, Pál és Makk, Ferenc (Akadémiai Kiadó,
Budapest, 1994)
 Magyarország Történeti Kronológiája I. – A kezdetektől 1526-ig,
főszerkesztő: Benda, Kálmán (Akadémiai Kiadó, Budapest, 1981)

Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010, J-P.de Palmas
(Wikipedia) 17 x 2016
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010
- família: J-P.de Palmas (FMG) 21 x 2016

95.154.639b:
-5153-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Géza I (Hungarian: I. Géza) (c. 1044 - 25 April 1077) was King of Hungary from
1074 until his death.[1] During King Solomon's rule he governed, as Duke, one
third of the Kingdom of Hungary. Afterwards, Géza rebelled against his cousin's
reign and his followers proclaimed him king. However, he never achieved to
strengthen his position, because King Solomon could maintain his rule over the
Western part of the kingdom
Early years
Géza was the eldest son of the future King Béla I of Hungary and his wife
Adelaide/Rixa of Poland. When Géza was born, his parents were living in the court
of his mother's brother, King Casimir I of Poland, because Béla had been obliged to
leave Hungary after his father made an unsuccessful attempt against his cousin,
King Stephen, the first King of Hungary. Géza was probably his pagan name,
because he was baptized Magnus. In 1048, the family moved to Hungary, where his
father received as appanage one third of Hungary ("Tercia pars Regni") from his
brother, King Andrew I of Hungary who had acquired the throne from King Peter
after a pagan revolt. Following his accession, King Andrew I had to face the attacks
of Henry III, Holy Roman Emperor whose supremacy had been acknowledged by
King Peter. King Andrew I and Duke Béla cooperated closely against the German
attacks and they could preserve Hungary's independence. However, they
cooperation began to loosen from 1053 when the king fathered a son, Solomon,
because from that time he wanted to ensure his son's inheritance against his
brother, who pursuant to the old Hungarian customs, as the oldest member of the
royal family, could lay claim to the throne in case of the king's death. In 1057, King
Andrew I had Solomon crowned to ensure his accession, and Géza had to
participate in the coronation together with his father and his brothers, Ladislaus
and Lampert. However, Duke Béla and his sons left the country in 1059 and they
returned with Polish troops in the next year. King Andrew I lost two battles against
his brother and died, and after his death Béla was crowned on 6 December 1060.
During his father's reign, Géza was his main adviser and after his father's fatal
accident it was he who administered the defence of the country against the
German troops which entered Hungary in order to ensure Solomon's rule who had
escaped to Germany in 1060. After his father's death on 11 September 1063, Géza
offered to accept his cousin's rule if he received his father's former duchy.
However, King Solomon refused the offer and the superiority of his troops obliged
Géza and his brothers to leave Hungary and they went to Poland. However, after
the withdrawal of the German army, they came back to Hungary followed by troops
King Boleslaw II of Poland, their maternal cousin, provided them. The parties,
however, wanted to avoid the civil war and therefore they accepted the mediation
services of the bishops, and they made an agreement on 20 January 1064 in Gyor.
Under the agreement Géza and his brothers accepted Solomon's rule, and they
received their father's former duchy, i.e., the one third of Hungary.
Duke of Tercia pars Regni
After the conclusion of the peace, King Solomon and his three cousins celebrated
Easter together in Pécs. However, when a fire broke out, the two parties accused
the other's followers of incerdiarism. The bishops had to intervene again in order to
appease the king and the dukes. At that time, Géza married Sophia who was
probably a daughter of a German count. In the next years, Géza and his brothers
collaborated successfully with the king. In 1067, they led an army together to
provide assistance to Géza's brother-in-law, King of Croatia Dmitar Zvonimir
against Venice. In 1068, when the Pechenegs had overrun the territories of
Transylvania, Géza, his brothers and the king went together against them and they
won a victory at Kerlés. In 1071, King Solomon and the dukes led a campaign
against the Byzantine Empire and laid siege to the fortress of Belgrade. The siege
lasted two months, and the Greek commander surrendered the fort to Géza not to
the king. Moreover, Géza denied to hand over the king's share of the booty and set
the Greek captives free without the king's permission. Having the Byzantine troops
reoccupied Belgrade in the next year, Géza and King Solomon led their armies
together against the Greeks, but Géza left his two brothers behind, because he was
worrying about that the king's partisans would try to occupy their duchy during
-5154-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
their absence. The campaign was a total failure, because the king and the duke
were not able to cooperate during the siege any more. During 1073, both King
Solomon and his cousins were preparing for the coming struggle. The king sent his
envoys to his brother-in-law, King Henry IV of Germany, while Géza and his
brothers were seeking the help of their Polish and Czech relatives. In the beginning
of 1074, before the Polish and Czech troops arrived, King Solomon led his armies
against the dukes' territory and defeated Géza's troops on 26 February at Kemej.
However, after the arrival of the reinforcement from Poland and Bohemia, the
dukes' armies started a counter-attack and they won a decisive victory over King
Solomon's troops on 14 March in the Battle of Mogyoród.
King of Hungary
Following the Battle of Mogyoród, King Solomon ran to the Western borders of
Hungary seeking help from King Henry IV, whose supremacy he accepted, while
Géza was declared king by his followers. However, King Solomon could still
maintain his rule over the Counties (megye) of Moson and Pozsony. In August
1074, the imperial troops invaded the Northern part of the kingdom and advanced
till Vác, but the German king was obliged to return to his domain because of the
Saxons' uprising. Géza tried to obtain the international acknowledgement of his
rule; therefore he sent embassies to Pope Gregory VII, who was struggling against
the German king, and to Michael VII, Emperor of the Byzantine Empire. The pope
claimed the recognition of his supremacy over Hungary which Géza did not accept,
but the Byzantine emperor sent a crown, that was later incorporated with the
ancient crown of Hungary, to him and Géza was crowned by that crown because
the ancient crown was in the possession of King Solomon. At this time, Géza
married a niece of Michael VII's military commander Nikephoros Botaneiates.
During his reign Géza set up the Abbey of Garamszentbenedek and finished the
building of the cathedral of Vác. In 1076, he sent his troops led by his brother,
Duke Ladislaus against Pozsony, but King Solomon could beat off the troops. After
this failure, according to the chronicles, Géza, who had become more and more ill,
was thinking of his abdication in favour of his opponent, but they did not reach an
agreement. He was buried in the cathedral of Vác.
Marriages and children

1. 1. c. 1062: Sophia (? - before 1075)

1. 2. c. 1075: Unnamed daughter ("Synadene") of Theodulos Synadenos and


his wife, the sister of the future Byzantine emperor Nikephoros
Botaneiates (? - after 1079) King Coloman of Hungary (c. 1070 - 3
February 1116) Duke Álmos (c. 1070 - 1 September 1127)

Legacy
Géza was succeeded by his brother, King Ladislaus I of Hungary who managed to
establish himself on the throne after the abdication of King Solomon in 1081.
References

1.^ Hungary. (2009). In Encyclopædia Britannica. Retrieved July 16, 2009, from
Encyclopædia Britannica Online:
http://www.britannica.com/EBchecked/topic/276730/Hungary

[edit] Sources Kristó Gyula - Makk Ferenc: Az Árpád-ház uralkodói (IPC Könyvek,
1996) Korai Magyar Történeti Lexikon (9-14. század), foszerkeszto: Kristó Gyula,
szerkesztok: Engel Pál és Makk Ferenc (Akadémiai Kiadó, Budapest, 1994)
Magyarország Történeti Kronológiája I. - A kezdetektol 1526-ig, foszerkeszto:
Benda Kálmán (Akadémiai Kiadó, Budapest, 1981) Kosztolnyik, Z.J. Five Eleventh
Century Hungarian Kings, 1981.

-5155-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9za_I_of_Hungary

Fonts:
- família 1: G.Bor/EuSt/Theroff
- família 2: ppmr,(Gothaisches Genealogischer Hofkalender 1888, J.Perthes; 1868;
D. Schwennicke: "Europäische Stammtafeln", Marburg 1978).

95.154.639c:
LANKA ([1045]-1095). Baumgarten names Lanka as the wife of Prince Rostislav
and daughter of King Béla but only cites secondary sources in support[480]. She is
not shown in Europäische Stammtafeln[481]. Her birth date is estimated from her
having given birth to three known children before her husband died in early 1067.

m (before 1064) ROSTISLAV Vladimirovich, Prince of Rostov, Novgorod and


Vladimir in Volynia, son of VLADIMIR Iaroslavich of Kiev Prince of Novgorod & his
wife Oda von Stade ([1045]-3 Feb 1067). Prince of Tmutorokan 1064-1065.

[480] Baumgarten (1927), p. 16, citing Tatyszczew Histoire de Russie II 119 and
Chronique de la société généalogique russe à Moscou (1908) VIII.

[481] ES II 135 and 154.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 21 x 2016
- família: H.R.Moser/EuSt-II, A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten,
Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes), J-P.de Palmas (FMG :
citing Baumgarten (1927), p. 16) 21 x 2016

95.154.650:
Fonts:
- persona: o guionneau

95.154.651:
Fonts:
- persona: o guionneau, J-P.de Palmas (wikipedia) 3 viii 2012
- família 2: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 viii 2012

95.154.651-2a:
Mort des suites d'une chute de cheval.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 viii 2012

95.154.660:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.661:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.661a:

-5156-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.661c:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2 , Manuel Abranches de Soveral
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.661e:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.661f:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

95.154.661h:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.662:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.663:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.663a:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.663b:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.663e:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.672:
The Palaeologus (Gr. Παλαιολογος, pl. Παλαιολογοι) family was the last dynasty
ruling the Byzantine Empire.

The Palaeologans were originally petty rulers from Macedonia. The family was an
old one (George Palaeologus was a friend of Alexius I Comnenus), but its earliest
generations are unknown. The first to marry into an imperial family was one
Alexius Palaeologus, whose wife was a granddaughter of Zoe Dukaina, youngest
daughter of Constantine X, and her husband Adrianus Comnenus, younger brother

-5157-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
of Emperor Alexius I. Another Alexius Palaeologus married Irene Angelina, eldest
daughter of Alexius III and the Ethiopian-descended Euphrosyne Camatera. The
latter couple's daughter Theodora Palaeologina married her cousin Andronicus
Palaeologus, who descended from Zoe. The couple were the progenitors of the
Imperial dynasty. Theis son was emperor Michael VIII.

IMAGE: Flag depicting the Arms of the Palaiologos Dynasty before the ascent of
Michael VIII Palaiologos to the imperial throne in 1259.

http://en.wikipedia.org/wiki/Palaeologus

Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval , Manuel Abranches de
Soveral
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

95.154.673:
Fonts:
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

95.154.673b:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

95.154.676:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.677:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.677b:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.154.680:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

95.154.681:
Fonts:
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

95.154.684:
George II (Georgian: გიორგი II, Giorgi II) (c. 1054 – 1112), of the Bagrationi
Dynasty, was a king of Georgia from 1072 to 1089. He was a son and successor of
Bagrat IV and his wife Borena of Alania. Unable to deal effectively with the
constant the Seljuk Turkish attacks and overwhelmed by internal problems in his
kingdom, George was forced to abdicate in favor of his energetic son, David IV, to
whom he remained a nominal co-ruler until his death in 1112. He also held the high

-5158-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Byzantine titles of curopalates (c. 1060) and caesaros (c. 1081).

George’s childhood coincided with the civil war between his father, Bagrat IV (r.
1027-1072), and the rebellious Georgian feudal lord Liparit, who succeeded in
temporary driving Bagrat into the Byzantine Empire, crowned George as king at
the Ruisi Cathedral between 1050 and 1053, and declared himself a regent. By
1060, Bagrat IV had been able to secure the throne and made George his heir
apparent to whom the Byzantine emperor attached the title of curopalates. In
1070, Prince George, at the head of a combined Georgian-Alan army, inflicted a
decisive defeat on the Shaddadid emir of Arran, Fadl II, and ravaged his
possessions at Ganja.

George succeeded as King of Georgia upon the death of his father in 1072 and
received the title of nobilissimos and later that of sebastos from the Byzantine
emperor. A year later, he faced a major aristocratic revolt led by Niania Kvabulis-
dze, Ivane Liparitis-dze, and Vardan of the Svans. Although victorious, the king had
to buy the rebels’ loyalty through generously awarding them additional estates.
Soon, Georgia was attacked again by the Seljuks, a nomadic Turkic people, who
would prove to be a major menace to George II’s reign. Following the 1073
devastation of Kartli (central Georgia) by the Seljuk sultan Alp Arslan, George
successfully repelled, in 1074, an invasion commanded a Turkish general left by
the sultan in charge of the Caucasus. The king also secured the formal return of
Upper Tao/Tayk (Theme of Iberia), a frontier region which had been a bone of
contention between Georgia and the Byzantine Empire early in the 11th century,
by the Byzantine governor, Gregory Pakourianos, who began to evacuate the
region shortly after the 1071 disaster inflicted by the Seljuks on the Byzantine
army at Manzikert. On this occasion, George was bestowed with the Byzantine title
of Caesaros, granted the fortress of Kars and put in charge of the Imperial Eastern
limits. This did not help to stem the Seljuk advance, however. In 1076, the Seljuk
sultan Malik Shah I surged into Georgia and reduced many settlements to ruins.
Harassed by the massive Turkic influx, known in Georgian history as didi turkoba,
or the Great Turkish Invasions, from 1079/80 onward, George was pressured into
submitting to Malik-Shah to ensure a precious degree of peace at the price of an
annual tribute. George II was even able to garner the Seljuk military support in his
campaign aimed at bringing the eastern Georgian kingdom of Kakheti, which had
long resisted the Bagratid attempts of annexation, within a unified Georgian realm.
However, tired with a protracted siege of the Kakhetian stronghold of Vezhini,
George abandoned the campaign when snow fell, and headed for the Ajameti
forests to ease his disappointment by hunting. The Seljuk auxiliaries also lifted the
siege and plundered the fertile Iori Valley in Kakheti. Aghsartan I, king of Kakheti,
went to the sultan to declare his submission, and in token of loyalty embraced
Islam, thus winning a Seljuk protection against the aspirations of the Georgian
crown.

George II’s wavering character and incompetent political decisions coupled with
the Seljuk yoke brought the Kingdom of Georgia into a profound crisis which
climaxed in the aftermath of a disastrous earthquake that struck Georgia in 1088.
In 1089, George handed over the crown to his vigorous sixteen-year old son David.
This changeover is shrouded in mystery and is mentioned only in passing in the
Georgian chronicles. All that is recorded is that George crowned his son as king
with his own hands, after which he disappears from the chronicle. He was most
probably forced by his nobles, in a palace coup masterminded by the powerful
minister Bishop Giorgi Chkondideli, to abdicate in favor of David. George is
mentioned in prayers dated to 1203 as "king of kings, and caesar of all the East
and West", suggesting that he was still alive and given some titles by his reigning
son, but exercised no real power.

-5159-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
http://en.wikipedia.org/wiki/Giorgi_II_of_Georgia

Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval ; Manuel Abranches de
Soveral
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

95.154.685:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

95.154.688:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (V. Roblin, "Recueil des actes des vicomtes de Limoges") )
12 vii 2015
- família: J-P.de Palmas (V. Roblin, "Recueil des actes des vicomtes de Limoges") 12
vii 2015

95.154.689:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (V. Roblin, "Recueil des actes des vicomtes de Limoges") 12
vii 2015

95.154.736:
HAMON de Laval (-[1076/85], bur Marmoutier).

"Wido" relinquished rights to the chapter of Le Mans, before leaving for Jerusalem,
with the consent of "Haimo, supra scripti Guidonis filius et uxor eius Hersendis
filiique eorum Guido…et Hugo", by charter dated 11 Nov 1039[324]. "…Guidonis
de Valle filiorumque suorum Johannis et Hamonis" consented to a donation by
"Fulcodius" to Marmoutier by charter dated to [1040][325]. Sire de Laval. The
monks of Marmoutier record a donation by "Guido, castri quod Vallis nuncupatur,
in pago Cynnomennensi conditor atque possessor", at the request of "Johannis filii
sui monachi nostri", with the consent of "Haimone atque Guidone filiis
suis…Gervasium…tres his…sorores Hildesindem, Agnetem, Hildeburgem", by
charter dated to [1050][326]. "Hamo de La Valle Guidonis" donated property to the
monastery of La Charité Sainte-Marie d´Anjou, at the request of "suarum sororum
Agnetis et Odeline", with the consent of "uxore…sua Hersende", by undated
charter[327]. The monks of Marmoutier record a donation by "Guido,
castri…Vallis…in pago Cenomannensi conditorem ac possessorem", with the
consent of "suorumque filiorum…Haimonis…Gervasii atque Guidonis, simulque
Agnetis", by charter dated to [1050], witnessed by "…Rotrudis uxor predicti
Widonis, Gualterius filius eius…"[328]. The monks of Marmoutier record the
division of Laval fair and market profits with "Guido de Valle", with the consent of
"filii eius Hamon, Hildelinda, Agnes, Hildeburgis et Guido et Gervasius" by charter
dated to [1050], witnessed by "…Rotrudis supradicti Guidonis uxor, Gualterius
filius eius…"[329]. "…Haimo de Lavalle…" witnessed the charter dated 26 Feb
1062 which records an agreement of confraternity between Saint-Maurice
d´Angers and La Trinité de Vendôme[330]. "…Hamo de Valle filius Guidonis…"
witnessed the charter dated 1064 under which Guillaume II Duke of Normandy
settled a claim in favour of the monks of Marmoutier relating to property donated
by "Guido de Valle"[331]. "Hamon de Laval" donated property to Ronceray, at the
request of "ses sœurs Agnès et Hildelinde", for the souls of "Guy son père et de
Berthe sa mère", with the approval of "Guy son fils et de Hersende son épouse", by
charter dated to [1075][332].
m (before [1035]) HERSENDE, daughter of --- (-before Mar 1095). "Wido"
-5160-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
relinquished rights to the chapter of Le Mans, before leaving for Jerusalem, with
the consent of "Haimo, supra scripti Guidonis filius et uxor eius Hersendis filiique
eorum Guido…et Hugo", by charter dated 11 Nov 1039[333]. "Hamo de La Valle
Guidonis" donated property to the monastery of La Charité Sainte-Marie d´Anjou,
at the request of "suarum sororum Agnetis et Odeline", with the consent of
"uxore…sua Hersende", by undated charter[334]. "Hamon de Laval" donated
property to Ronceray, at the request of "ses sœurs Agnès et Hildelinde", for the
souls of "Guy son père et de Berthe sa mère", with the approval of "Guy son fils et
de Hersende son épouse", by charter dated to [1075][335]. "Guy II et sa mère
Hersende" assented to the donation of property to Ronceray by "Foulques du
Bignon", by charter dated to [1085][336]. His place of burial is confirmed by the
charter dated 1090 which records that "Guido junior" succeeded "in
paternum…honorem" on the death of "Haimonis senioris de Valle Guidonis" and
that when, after some time, "supradicti domni Guidonis conjugem" died, he granted
further rights to Marmoutier when she was buried "juxta patrem suum
Haimonem"[337]. Hamon & his wife had two children.
[324] Broussillon (1895), Tome I, 8, p. 21.
[325] Broussillon (1895), Tome I, 9, p. 23.
[326] Broussillon (1895), Tome I, 16, p. 25.
[327] Marchegay, P. (ed.) (1854) Archives d'Anjou, Tome III (Angers), Cartularium
monasterii beatæ Mariæ Caritatis Andegavensis ("Anjou Charité"), CCCLXII, p.
221.
[328] Broussillon (1895), Tome I, 17, p. 29, and Château-du-Loir 18, p. 7.
[329] Broussillon (1895), Tome I, 18, p. 31.
[330] Vendôme La Trinité, Tome I, CLIX, p. 276.
[331] Broussillon (1895), Tome I, 28, p. 39.
[332] Broussillon (1895), Tome I, 52, p. 50, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCLXII.
[333] Broussillon (1895), Tome I, 8, p. 21.
[334] Anjou Charité, CCCLXII, p. 221.
[335] Broussillon (1895), Tome I, 52, p. 50, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCLXII.
[336] Broussillon (1895), Tome I, 62, p. 63, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCCII.
[337] Broussillon (1895), Tome I, 67, p. 65.
Fonts: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 2 ii 2011

95.154.737:
Hersende, épouse d'Hamon de Laval, n'est pas identifiée par FMG (2016).

HERSENDE, daughter of --- (-before Mar 1095). "Wido" relinquished rights to the
chapter of Le Mans, before leaving for Jerusalem, with the consent of "Haimo,
supra scripti Guidonis filius et uxor eius Hersendis filiique eorum Guido…et Hugo",
by charter dated 11 Nov 1039[461]. "Hamo de La Valle Guidonis" donated property
to the monastery of La Charité Sainte-Marie d´Anjou, at the request of "suarum
sororum Agnetis et Odeline", with the consent of "uxore…sua Hersende", by
undated charter[462]. "Hamon de Laval" donated property to Ronceray, at the
request of "ses sœurs Agnès et Hildelinde", for the souls of "Guy son père et de
Berthe sa mère", with the approval of "Guy son fils et de Hersende son épouse", by
charter dated to [1075][463]. "Guy II et sa mère Hersende" assented to the
donation of property to Ronceray by "Foulques du Bignon", by charter dated to
[1085][464]. His place of burial is confirmed by the charter dated 1090 which
records that "Guido junior" succeeded "in paternum…honorem" on the death of
"Haimonis senioris de Valle Guidonis" and that when, after some time, "supradicti
domni Guidonis conjugem" died, he granted further rights to Marmoutier when she
was buried "juxta patrem suum Haimonem"[465]. Hamon & his wife had two
children.

-5161-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[461] Broussillon (1895), Tome I, 8, p. 21.
[462] Anjou Charité, CCCLXII, p. 221.
[463] Broussillon (1895), Tome I, 52, p. 50, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCLXII.
[464] Broussillon (1895), Tome I, 62, p. 63, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCCII.
[465] Broussillon (1895), Tome I, 67, p. 65.
Fonts: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 2 ii 2011

95.154.737b:
HUGUES [I] de Laval (before 11 Nov 1039-after [1093]). "Wido" relinquished rights
to the chapter of Le Mans, before leaving for Jerusalem, with the consent of
"Haimo, supra scripti Guidonis filius et uxor eius Hersendis filiique eorum
Guido…et Hugo", by charter dated 11 Nov 1039[339]. The date of this charter is
open to doubt. The brothers Guy [II] and Hugues are recorded well into the 12th
century and two of the known children of Guy [II] must have been born in the last
decade of the 11th century. If the date of the charter is correct, both Guy [II] and
Hugues would have been unusually old when they died. An undated charter
records that "Guido de Lavalle" succeeded to "honore patris sui Hamonis post
mortem eius" and confirmed his father´s donations to the monastery of La Charité
Sainte-Marie d´Anjou, with the consent of "uxor…Dionisia…Hugone fratre predicti
Guidonis…"[340]. A charter dated to [1080/90] records that "Guidone de Valle" sold
"boscum…Monduluet" to "domnus Rivallonus monachus" at Marmoutier, with the
consent of "Hugo frater eius…et Dionisia uxor eius"[341]. "Patricius de Cadurcis"
donated property to the abbey of La Couture by charter dated to [1085/97], in the
presence of "…Hugone de Lavalle…"[342]. A charter dated to [1093/1110] records
that "Guido filius Hamonis…et eius uxor Sicilia, filiusque eius…Guido" donated
property to Marmoutier when "fratrem suum Hugonem" appeared to be dying, and
a later donation by "Guido filius eius et Secilia uxor illius et Hugo frater
illius"[343].
Références
[339] Broussillon (1895), Tome I, 8, p. 21.
[340] Anjou Charité, CCCLXIII, p. 221.
[341] Broussillon (1895), Tome I, 64, p. 63.
[342] Piolin, P. (1856) Histoire de l´église du Mans, Tome III (Paris), Pièces
justificatives XXXVII, p. 666.
[343] Broussillon (1895), Tome I, 85, p. 72.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 2 ii 2011

95.154.768:
Fonts:- persona: R.Sekulovich (site adecarné), F.Camus (rectification Saint-Sévère
en Sainte-Sévère), F.Camus ( ) 20 x 2009 20 x 2009

95.154.769:
Fonts:- persona: R.Sekulovich (site adecarné)

95.154.816:
 1014 Corbon des Roches (Corbon IV), confirme le don fait par son père en
984 et le fait ratifier en 1014 par le roi Robert par charte, dans laquelle il
prend le titre de chevalier.

Fonts:- persona: J-P de Palmas (Grande et petite histoire de Rochecorbon) v2010


- família: J-P de Palmas (Grande et petite histoire de Rochecorbon) v2010

95.154.817:

-5162-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Grande et petite histoire de Rochecorbon) v2010

95.154.820:
C'est le filleul du Roi Hugues Capet, Le Comte d'Anjou Geoffroy Grisegonelle lui
confie la garde de la place de Bazougers sur le Loir. Toujours grace à Hugues
Capet, il épouse Helpes, l'héritière de la Seigneurie de Lavardin, d'où son nom
"Hugues de Lavardin". Hugues et Helpes ont pour enfant Eveline épouse de
Sigebrand de Mayenne, les parents de Salomon I de Lavardin. En secondes noces
Hugues se remarie avec Odile de Sainte Suzanne, la fille de Raoul II Vicomte du
Mans et la soeur de Raoul III et de Geoffroy de Sablé. Hugues et Odile ont pour
enfants:

 Lisois de Bazougers qui suit,


 Auger de Bazougers, Seigneur de Bazouges et Sénéchal de Touraine de
1061 à 1080,
 Aubri Seigneur de Sainte Christine.

C'est à l'occasion d'une fête pour ses 18 ans en novembre 984 que le comte d'Anjou
"Grise Gonelle" prit la parole pour annoncer qu'il lui offrait la place de Bazougers
sur le Loir. C'était un cadeau qui lui allait droit au coeur, puisqu'il s'agissait de la
ville où il était né, et où ses parents et grands-parents avaient vécu.
D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise
1999) 30 vii 2010
JB de La Grandière 24/11/2015 :

Une confusion entre deux fiefs de Lavardin bien différents a pu avoir comme
origine ce document

Le titre du document
"La filiation de la Maison de Lavardin, au Maine, en Touraine & en Beauce depuis
le X° siècle jusqu'au XVII°"
aura pu être compris comme concernant un Lavardin (Sarthe), lequel était alors
intégré dans l'ancien comté du Maine. Ce Lavardin là était tenu par Foulques
Riboul, Foulques Riboul etc.. JP de Palmas :
Notice on Foundation for Medieval Genealogy
HUGUES, son of --- . The Gesta Ambaziensium records that "vir illustris…Hugo"
was "filiolus Hugonis Capet ducis Francorum", at whose court he was present and
who granted him “Lavardinum”[1301]. Seigneur de Lavardin.
m firstly HELPES, daughter of ---. The Gesta Ambaziensium names "Helpes" as the
first wife of "vir illustris…Hugo"[1302].
m secondly ODELINE [Emmeline] de Beaumont, Dame de Bazoges et de Sainte-
Christine, daughter of RAOUL [II] Vicomte du Maine & his [first/second wife]
[Godehildis ---/Guinor ---]. The Gesta Ambaziensium names "Odelinam filiam Radulfi
vicecomitis de Sancto Susanna" as the second wife of "vir illustris…Hugo",
specifying that her dowry was "Basogerium oppidum et terram Sanctæ
Christinæ"[1303]. Hugues & his first wife had one child. Hugues & his second wife
had three children.
[1301] Gesta Ambaziensium Dominorum, Chroniques d'Anjou, p. 159.
[1302] Gesta Ambaziensium Dominorum, Chroniques d'Anjou, p. 160.
[1303] Gesta Ambaziensium Dominorum, Chroniques d'Anjou, p. 160.
Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), C. Chéneaux
(Europäische Stammtalfeln), J-P de Palmas (FMG)
- naixement: D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain
d'Amboise 1999) 30 vii 2010

-5163-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 2: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), J-P de Palmas (fusion
consécutive à un doublonnage) 3viii2009

95.154.821:
ODELINE [Emmeline] de Beaumont . Dame de Basoges et de Sainte-Christine. The
Gesta Ambaziensium names "Odelinam filiam Radulfi vicecomitis de Sancto
Susanna" as the second wife of "vir illustris…Hugo", specifying that her dowry was
"Basogerium oppidum et terram Sanctæ Christinæ"[552].
m as his second wife, HUGUES de Lavardin, son of ---.
[552] Gesta Ambaziensium Dominorum, Chroniques d'Anjou, p. 160.
La filiation probable compte tenu de la dévolution des seigneuries reste non
prouvée puisque seulement "sortie de la Chronique d'Amboise".
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (ESS t XIII p 1 Amboise/Marburg 1990) 4 vii
2009, J-P.de Palmas (FMG) 20 i 2014
- família: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), J-P de Palmas (fusion
consécutive à un doublonnage) 3viii2009

95.154.821b:
Il fut nommé sénéchal de Touraine par Foulques Nerra.
D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise
1999) 30 vii 2010
Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

95.154.821c:
ÇIl fut plus particulièremlent chargé du contrôle de la circulation sur le pont de la
Loire ainsi que de la navigation sur le fleuve, d'où la création d'une énorme tour.
Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

95.154.822:
Seigneurie de Verneuil-sur-Indre (Indre-et-Loire).
Fonts: - persona: J-P de Palmas (France Balade) viii2009
- família: J-P de Palmas (France-Balade & pierfit) viii2009

95.154.823:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Buzançais) 23 iii 2011
- família: J-P de Palmas (France-Balade & pierfit) viii2009

95.155.328:
EUDES [I] "le Roux" de Déols, son of RAOUL [I] "le Large" Sire de Déols & his wife
Dadda --- (-after 1045). A manuscript entitled "Progenies Dolensium Principum"
names "Odo senior et Ebbo" as sons of "Radulphi Calvi"[737]. A manuscript entitled
"Généalogie de la noble et très-puissante lignée de Chauvigny" names "Raoulx,
Edes, Ebbes et Elie" as sons of "Raoulx le Chauve"[738]. Sire de Déols, d'Issoudun,
de Levroux, de la Châtre et d'Argenton (in part). Philippe I King of France
confirmed donations made to Saint-Ambroix by “Gausfredus Bituricum vicecomes
et uxor illius Ildeburgis et Odo de Dolis et liberi illorum” by charter dated 16 Oct
1102, which precedes the charter dated 1012 under which “Gauzfredus et uxor
mea Eldeburgis et filii mei Gozfredus et Madalbertus et fratres meæ uxoris Odo et
Ebbo” donated property for the soul of “patris meæ mulieris Rodulfi” witnessed by
“Rotberti regis, Dagberti archipræsulis”[739]. He made a pilgrimage to Jerusalem
in 1027 with Guillaume IV "Taillefer" Comte d'Angoulême. 1045.

m ---. The name of Eudes’s wife is not known.


[737] Progenies Dolensium Principum, RHGF XII, p. 456.
-5164-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[738] Généalogie de la noble et très-puissante lignée de Chauvigny, RHGF XII, p.
456.
[739] Prou (1908), CXLV, p. 358.
Il est à Jérusalem en 1027.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 ii 2015
- defunció: 04
- família: G.Hazard (La Thaumassière - Histoire de Berry) 09/2011

95.155.329:
Fonts: - persona: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 04
- família: G.Hazard (La Thaumassière - Histoire de Berry) 09/2011

95.155.329b:
EUDES de Déols, son of RAOUL [III] "le Prudent" Sire de Déols & his wife Adda ---
(-1085). Sire d'Issoudun. The Chronicon Dolensis records the death in 1085 of "Odo
filius Radulphi Prudentis, dominus Exoldunensis"[813].
m BEATRIX, daughter of ---. La Thaumassière records that “Geoffroy Seigneur
d’Yssoudun” donated “des droitssur le sel en la ville d’Yssoudun” to “l’abbaye de
Chezal-Benoît”, with the consent of “Adelais sa femme”, for the souls of “Eudes et
Beatrix ses père et mère”, by charter dated 1106 but does not provide the source
citation[814].
Eudes [I] & his wife had two children.
[813] Ex Chronico Dolensis Cœnobii, RHGF XII, p. 455.
[814] La Thaumassière (1689), p. 367.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG : La Thaumassière (1689), p. 367. ) 5 ii 2015
- família: G.Hazard (La Thaumassière - Histoire de Berry) 09/2011

95.155.336:
Adalardus de Castro Melano, cité en mai 1012, appartenait à la famille des
seigneurs de la Roche-Guillebaud.
Fonts: F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile Chénon, Tome I ) 20 iv 2009

95.155.337:
Fonts: F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile Chénon, Tome I ) 20 iv 2009

95.155.552:
GIMON [I] de Mehun (-after 1072). La Thaumassière records that “Humbaud de
Vierzon Seigneur de Mehun” restored customs to Notre-Dame de Mehun, with the
consent of “Arembour [sa femme]de Gimon et Guillaume ses enfants, Arnoul
Seigneur de Vierzon son frere” by undated charter, without citing the source
reference[506].
m ---. The name of Gimon´s wife is not known. Gimon [I] & his wife had children.
[506] La Thaumassière (1689), p. 375.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG : La Thaumassière) 21 iv 2014
- família: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009

95.155.553:
Fonts: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009

95.155.584:
ARNOUL [I] (-[1082/95]). "Humbaldus cognomine dives Virsionnensis dominus"
became a monk at the abbey of Vierzon, with the consent of "nepos Arnulfe" to
whom he granted his territories, by charter dated 1025[588]. Seigneur de Vierzon.
"Dominus Gaufredus de Virzione et de Cella" renounced rights over the church of
-5165-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Saint-Eucise-sur-Selles, in the presence of "uxore sua Beatrice et liberis
suis…Hernulfus, Hubaudus, Guillelmus filii eorum, Adela filia eorum", by charter
dated to [1030][589]. A charter dated 1056 records the settlement of a war
between "Arnulfus Virsionensis castri dominus" and "Rainaldus Graciacensis [castri
dominus]"[590].
m BERTALDE, daughter of ---. Toulgoët-Treanna records that Arnoul and his wife
"Bertalde" subscribed a charter dated to [1071/92] under which Ansgarde donated
property to Vierzon abbey[591]. Arnoul [I] & his wife had two children.
[588] Toulgoët-Treanna (1884), Pièces Justificatives, IX, p. 469.
[589] Toulgoët-Treanna (1884), Pièces Justificatives, XI, p. 471.
[590] Toulgoët-Treanna (1884), Pièces Justificatives, XII, p. 472.
[591] Toulgoët-Treanna (1884), p. 67, citing Cartulaire de Vierzon, fo. XIX.
Fonts: JB de La Grandiére (ESS XIII-Vierzon p 158, 1990) 29 viii 2009, P Ract
Madoux (Chanoine Hubert: "Meung" et "La Ferté Nabert") 15 v 2004

95.155.585:
Fonts: - família: JB de La Grandiére (ESS XIII-Vierzon p 158, 1990) 29 viii 2009, P
Ract Madoux (Chanoine Hubert: "Meung" et "La Ferté Nabert") 15 v 2004

95.155.712:
Saint-Vérain : auj. Nièvre.
Fonts: - família: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain
des Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003

95.155.713:
Fonts: - família: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain
des Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003

95.155.728:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006, J-C de Vaugiraud (ES XV T 61)
25/05/2006, J-M.Thiebaud (Abbé Chomton, "Saint Bernard et le Château de
Fontaines-lès-Dijon", 1894) 24 ii 2011

95.155.729:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006; , J-M.Thiebaud (L.
Chomton, "St Bernard et le chateau de Fontaines les Dijon" p147) 29 ix 2014
- família: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006, J-C de Vaugiraud (ES XV T 61)
25/05/2006, J-M.Thiebaud (Abbé Chomton, "Saint Bernard et le Château de
Fontaines-lès-Dijon", 1894) 24 ii 2011

95.155.729b:
Note de : Michel
Pour Courtépée (2e éd., t. 3, p. 507) elle "mourut saintement en 1105 ".
Rérolle

Inhumation : d'abord en l'église Saint Bénigne à Dijon (Côte-d'Or), puis 145 ans
plus tard à Clairvaux.Source : J-P de Palmas (in Chronologie de Saint-Bernard) vi 2009
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006, J-P de Palmas (in
Chronologie de Saint-Bernard) vi 2009, J-M.Thiebaud (Abbé Chomton, "Saint
Bernard et le Château de Fontaines-lès-Dijon", 1894) 24 ii 2011
- naixement: T.Blanchet (Stubbs Family Tree)
- defunció: J-P de Palmas (nécrologe de saint Bénigne de Dijon)
- enterrament: J-P de Palmas
- família: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006, J-M.Thiebaud (Abbé Chomton,
"Saint Bernard et le Château de Fontaines-lès-Dijon", 1894) 24 ii 2011, J-C de
Vaugiraud (Rectifications d'épouses d'après J-B de La Grandière: forum du 29 i) 31 i
2011
-5166-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.155.729c:
Moine de Citeaux en 1113, cofondateur avec Saint Bernard et Gaudry de l'abbaye
de Fontenay. Note de : J-C de Vaugiraud ( C. Lelasseux : Forum du 2015-06-09 10:49:21 qui donne une longue liste
de sources) 12 vi 2015

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XV, Tafel 61) 04.08.2009

95.155.729d:
"Aussi appelé Gaudry de Touillon, moine de Citeaux ; co fondateur de l'abbaye de
Fontenay avec Saint Bernard ; il reçut probablement Touillon par mariage; sa
femme serait la soeur de la femme d'Hugues de Payns, fondateur de la milice du
Temple (origine des Templiers); eut un fils Lambert , religieux à Molesme. La
femme de Gaudry entre au couvent des moniales de Molesme." Source : J-C de Vaugiraud
(C. Lelasseux : message forum 2015-06-09 10:49:21 qui donne une longue liste de sources) 12 vi 2015

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XV, Tafel 61) 04.08.2009
- família: J-C de Vaugiraud (C. Lelasseux : message forum 2015-06-09 10:49:21 qui
donne une longue liste de sources) 12 vi 2015

95.155.729e:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base frebault, 01viii2008)

95.155.729f:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XV, Tafel 58) 04.08.2009
- família: J-C de Vaugiraud (ES XV, Tafel 58) 04/08/2009

95.155.732:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017

95.155.734:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017

95.155.735a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017

95.155.776:
« Milon [I] [de Noyers] (-after 1039). Europäische Stammtafeln names
“Milon I de Noyers 1039/1078” as the member of this family[268]. It is
possible that the earlier date refers to the following charter: "Milonis"
witnessed the charter dated 16 Jul 1039 under which "Raynardus comes"
donated property to Saint-Michel abbey[269]. It is possible that 1078
relates to the charter dated to [1078/84], quoted below, witnessed by
“Milo de Nugerio” who was most likely Milon [II] de Noyers. »
J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de
Noyers") 3 xii 2017
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de
Noyers", 2017) 3 xii 2017

-5167-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de
Noyers", 2017) 3 xii 2017

95.155.777:
Fonts: - família: J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs
de Noyers", 2017) 3 xii 2017

95.155.780:
Fonts: N de Meyrignac (base aurejac, 01viii2008)

95.155.781:
Fonts:- família: N de Meyrignac (base aurejac, 01viii2008)

95.155.781a:
Fonts: N de Meyrignac (base aurejac, 01viii2008)

95.155.784:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008),JB de La Grandière
(E.de St Phalle "Les seigneurs de Chappes" Sté Académique de l'Aube pp 31/65
Troyes 2007) 12 xi 2009, Jean-Marie Thiébaud (base François Gorgel) 05 x 2008
- defunció: JB de La Grandière (E.de St Phalle "Les seigneurs de Chappes" Sté
Académique de l'Aube pp 31/65 Troyes 2007) 12 xi 2009
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008)

95.155.785:

Non citée par William Mendel Newman : "Les seigneurs de Nesle en Picardie",
Tableau P. 288 + texte.
Note de : J-C de Vaugiraud (op. cit.) 29 viii 2011

ATTENTION : Ne pas lui attribuer de parents, qui ne sont connus d'aucune source
fiable. Note de: JB de La Grandière - 17.05.2012

Fonts: - persona: N.de Meyrignac (base aurejac) 21 vii 2008, JB de La Grandière


(E.de St Phalle "Les seigneurs de Chappes" Sté Académique de l'Aube pp 31/65
Troyes 2007) 12 xi 2009
- defunció: JB de La Grandière (E.de St Phalle "Les seigneurs de Chappes" Sté
Académique de l'Aube pp 31/65 Troyes 2007) 12 xi 2009
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008)

95.155.804:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne:
T.23) 20/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne: T.23)
20/05/2006

95.155.805:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne:
T.23) 20/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne: T.23)
20/05/2006

95.155.808:
ENGELBERT [III] de Brienne, son of ENGELBERT [II] de Brienne & his first wife
Wandelmodis --- (-1035 or after). A manuscript genealogy, dated to the early 12th
century, records "Letaldus comes Vesoncius et Umbertus comes Marisconensis
-5168-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
fratres", adding "ex Umberto, Adala comitissa, ex Adala Windesmodis soror matris
vestræ non german, ex Windesmode Ingelbertus et Witdo de Upione"[595].
"Ingelbertus…comes" donated property to Montiérender by charter dated [1027]
"actum Breona castello" in which he names "quondam Ingelbertus comes
predecessor noster", subscribed by "Adeledis comitisse, Wuarneri, Gocelmi,
Guntardi, Bernard"[596], although "Adeledis comitisse" has not been identified. It
is possible that she was an earlier wife of Comte Engelbert [III]. This source does
not specify that Engelbert's predecessor was his father, but the primary source
which confirms his parentage has not yet been identified. Comte de Brienne. 1035.
m PETRONILLE, daughter of --- (-after 6 Jun 1050). "Comes Breonensium
Gualterus cum matre sua Petronilla" donated property to Montiérender by charter
dated 28 Dec 1035[597], presumably following the death of their father/husband
although this is not stated in the document. "Comite Waltero et matre eius
Petronilla" are named as present in a charter dated [12 Jun 1050 or before] under
which "Bosoni iuvenis" donated property to Montiérender, naming "pater eius
Elbertus"[598]. "Walterus comes Brenensis…mater mea Petronilla" donated
property to Montiérender by charter dated 6 Jun 1050, subscribed by "Letaldi
comitis Cereaci"[599].
Comte Engelbert [III] & his wife had one child.
[595] Halphen & Poupardin (1913), Genealogiæ comitum Andegavensium, V, p.
249.
[596] Montiérender 22, p. 150.
[597] Montiérender 28, p. 157.
[598] Montiérender 29, p. 159.
[599] Montiérender 35, p. 163.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 12 xii 2015

95.155.809:
Dite de Joigny par certains généalogistes, mais sans preuve !
J-C de Vaugiraud 20/03/2010

95.155.810:
J.N. Mathieu suppose que Renaud Ier et Miles V ne sont qu'une seule et même
personne, et il considère que le nom d'Azeko n'est qu'une forme hypocoristique
d'Helvis. Pour audacieuse qu'elle soit, cette hypothèse mérite attention.
Jean-Pierre de Palmas citant : La très belle page de Pierre Le Clercq - 4 ii 2013

MILO [V] de Tonnerre, son of MILO [III] & his wife --- ([995/1005]-[before/after 29
Sep 1046]). His parentage is confirmed by the charter dated 29 Sep 1046 in which
Milo [V] Comte de Tonnerre names some of his paternal ancestors “Milo atavus
meus…Wuydo proavus meus…Milo pater meus…” (see further details
below)[3279]. His birth date range is estimated on the assumption that the birth
date range estimated for his son Guy is correct as suggested below. Comte de
Tonnerre. He presumably succeeded his cousin Renaud as Comte de Tonnerre in
[1039/40]. “Milo comes castri Tornodori” donated property to Saint-Michel de
Tonnerre, for the souls of “Milo atavus meus” (founder of the monastery) “Wuydo
proavus meus…Milo pater meus…Wuydo frater meus…et Wuydo filius meus”,
adding that the last named had been killed “a servis suis”, with the consent of
“uxoris mee Azece ac filiorum meorum”, by charter dated 29 Sep 1046, which
specifies that after the death of “supradicti Milonis regnante filio eius Hugone…”,
subscribed by “Waleranni filii eius, Joffredi filii eius” and signed by “Hugonis qui et
Raynardi…comitis, Thedbaldi Ruffi, Lamberti vice-comitis, Giselberti et Wydonis et
Gaufredi fratrum, Rodulphi, Willenci, Odonis filii Ingelbaudi”[3280]. It is unclear
from the wording of the charter whether the document is dated before or after the
death of the donor.
m AZECA, daughter of --- (-before 1068). “Milo comes castri Tornodori” donated
property to Saint-Michel de Tonnerre, with the consent of “uxoris mee Azece ac
-5169-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
filiorum meorum”, by charter dated 29 Sep 1046, subscribed by “Waleranni filii
eius, Joffredi filii eius”[3281]. Her date of death is fixed by the charter dated 1068
under which her son “Raynardum…[Lingonensis] ecclesie pontificali” donated
property to Saint-Michel de Tonnerre referring to property donated “post mortem
matris meæ”[3282].
Milo [V] & his wife had five children.
[3279] Yonne, Tome I, XCIV, p. 180.
[3280] Yonne, Tome I, XCIV, p. 180.
[3281] Yonne, Tome I, XCIV, p. 180.
[3282] Yonne, Tome I, XCIX, p. 190.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 12 xii 2015, J-C de
Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779-1780) 3 ii 2013
- defunció: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779-
1780) 3 ii 2013
- família: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne,
p.142) ) 20/03/2010,

95.155.811:
Je trouve des saisies probablement anciennes et non signées, sans doute basées sur
le site Aurejac, avec Azéka de Woëvre et son ascendance (de Woëvre et de Lassois)
remontant jusqu'aux capétiens ?
Je suis très réservé sur le sérieux de ces informations sachant que d'éminents
érudits, comme le savant Roserot au XX° siècle, n'avaient pas pu identifier cette
Azéka (et encore moins ses aïeux).
Elle est également nommée Azéko de Bar ou Azéko de Breteuil (peut-être fille de
Gilduin de Breteuil) d'après Dugenne qui semble se baser sur des travaux de Jean-
Noël Mathieu.
Je supprime tout ce qui se trouve entre Azéka (de Woëvre ?) et son aïeul (?)
J-C de Vaugiraud 13/09/2009
L'ascendance mal ou non sourcée qui avait été coupée le 13 ix 2009 a été recoupée
le 3 ii 2013 J-C de Vaugiraud
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (forum) 13/09/2009
- família: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne,
p.142) ) 20/03/2010,

95.155.811a:
HUGUES RAINARD de Tonnerre (-2/3 Apr 1084). “Milo comes castri Tornodori”
donated property to Saint-Michel de Tonnerre, by charter dated 29 Sep 1046,
which specifies that after the death of “supradicti Milonis regnante filio eius
Hugone…”, signed by “Hugonis qui et Raynardi…comitis…”[3284]. He succeeded
his father in 1046 as Comte de Tonnerre and Comte de Bar-sur-Seine. Archdeacon
at Langres. Bishop of Langres 1065. “Raynardum…[Lingonensis] ecclesie
pontificali” donated property to Saint-Michel de Tonnerre by charter dated 1068,
which refers to property donated “post mortem matris meæ”[3285].
[3284] Yonne, Tome I, XCIV, p. 180.
"[Hugues-Renaud] partage le comté entre sa cousine Ermengeard et sa soeur
Eustachie."
J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779-1780) 3 ii
2013
Reprise indispensable de la généalogie la famille de Tonnerre J-C de Vaugiraud
(forum) 3 ii 2013
"Suite à remarque d'un ami de Roglo (2 ii 2013), nous nous rendons compte que
l'origine de la famille de Tonnerre, sur Roglo, n'est basée que sur un "patchwork"
de données internet venant de multiples sites, et que cette construction très
instable, aux saisies souvent non conformes à la charte, est venue s'intercaler entre
des fiches correctement sourcées."
La totalité de la famille de Tonnerre doit donc être reprise !

-5170-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Je viens de supprimer quelques saisies soit en doublon, soit non conformes à la
charte Je propose la reprise de toute la famille en partant, dans un premier temps,
du travail de Paul-Camille Dugenne: "Dictionnaire biographique, généalogique et
historique du département de l'Yonne", 2000, T. V, P. 1779-1780. Cet auteur dit
s'être basé sur les travaux de Chaume, Cornat et Jolivet corrigés par ceux de +
Jean-Noël Mathieu."
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de
Champagne, p.142) ) 20/03/2010,, J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de
l'Yonne, T. V, P. 1779-1780) 3 ii 2013

95.155.811c:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de
Champagne, p.142) ) 20/03/2010,

95.155.968:
Fonts: - família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry)
vii2009

95.155.969:
Fonts: - família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry)
vii2009

95.156.036:
FOULQUES (-after 1122). "…Letaldi filiorumque suorum Fulconis et Godefridi…"
witnessed charters dated [1076] and 1080 of the abbey of Saint-Pierre at
Pithiviers[1907]. Vicomte de Château-Landon. [1076]/[1126]. "Fulco vicecomes et
filius eius Guillelmus, scilicet Guido Urso" confirmed a donation to the priory of
Néronville by "Robertus Bonet" by charter dated to [1108/20], subscribed by
"Rainaldus Pulcher…"[1908]. The Continuatio of Aimon´s Historia records that
Louis VI King of France bought "Moretum…et Castellarium, Boissas, Euram et
Cambim" (Moret, Le Châtelet, Boësses, Yèvre, Chambon) from "Fulcone Vicecomite
Wastinensi"[1909]. The passage is undated, but Estournet dates the sale to "vers
1115"[1910]. "…Fulco vicecomes Castrilandonis et filii eius Willelmus et Guido…"
approved a donation to the abbey of Rozoy by charter dated to after 1122[1911]. A
charter dated to [1120] records the repentance of "Fulco vicecomes" for the harm
he caused to the priory of Néronville[1912].

m (before 1098) BIOTE de Montlhéry, daughter of [GUY [II] "le Rouge" de


Montlhéry Comte de Rochefort & his first wife Elisabeth ---]. Her parentage and
marriage are confirmed only by a document written in 1630 which names "Fédéric
vicomte de Gastinois, fils de Guy…fils d´un autre Guy…vicomte de Gastinois nay de
Biote de Rochefort, sœur de Guy II comte de Rochefort et de Hugues de
Crécy"[1913]. Foulques & his wife had three children:

 Guillaume (-1120)
 Guy (-1154)
 Urson

[1907] Devaux ´Origines gâtinaises, 3. Les vicomtes´ (1896), p. 297, quoting Gallia
Christiana, VIII, instr. c. 495.

[1908] Néronville, XXIV, p. 320.

-5171-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1909] Ex Continuatione Historiæ Aimonii, RHGF XII, p. 123.

[1910] Estournet, G. (ed.) ´Les chartes de Franchard´, Annales de la société


historique et archéologique du Gâtinais, Tome XXXI (Fontainebleau, 1913)
("Franchard"), p. 289.

[1911] Devaux ´Origines gâtinaises, 3. Les vicomtes´ (1896), p. 302, quoting


Bibliothèque nationale, ms. fr. 5990, fo. 199 vo.

[1912] Néronville, XLIX, p. 336.

[1913] Devaux ´Origines gâtinaises, 3. Les vicomtes´ (1896), p. 304, quoting


Bibliothèque nationale, ms. latin 10089, p. 394.

Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Hélène Menu) 26 vii 2011, J-P.de Palmas (FMG) 4 iv
2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012

95.156.037:
BIOTE de Montlhéry . Her parentage and marriage are confirmed only by a
document written in 1630 which names "Fédéric vicomte de Gastinois, fils de
Guy…fils d´un autre Guy…vicomte de Gastinois nay de Biote de Rochefort, sœur de
Guy II comte de Rochefort et de Hugues de Crécy"[3114]. If this is correct, the
chronology suggests that she was born from her father´s first marriage.

m (before 1098) FOULQUES, Vicomte de Château-Landon, son of LETAUD [II] &


his wife --- (-after 1122).]

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012

95.156.037a:
GUILLAUME (-after [1108/20]). "Fulco vicecomes et filius eius Guillelmus, scilicet
Guido Urso" confirmed a donation to the priory of Néronville by "Robertus Bonet"
by charter dated to [1108/20], subscribed by "Rainaldus Pulcher…"[1914]. same
person as…? GUILLAUME de Fessard (-after [1130/40]). "…Guillelmus de
Ferssarth" witnessed the charter dated to [1130/40] under which "Theobaldus de
Nergi" donated property "in Villanova" to the priory of Néronville[1915]. Estournet
suggests that the witness to this document was the same person as Guillaume, son
of Foulques Vicomte de Château-Landon, and ancestor of the future vicomtes de
Fessard[1916]. He bases this on a declaration under which "vicecomes de
Fessardo" was recognised as vassal of the French king in respect of rights held
"apud Castrum Nantonis in vicecomitaria et in aliis" (Château-Landon) [1917]. This
is an interesting suggestion, but it is also possible that such rights were inherited
from the family of the vicomtes de Château-Landon through the female line.

[1914] Néronville, XXIV, p. 320.

[1915] Néronville, LX, p. 345.

-5172-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1916] Franchard, p. 289.

[1917] RHGF XXIII, p. 659.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012

95.156.037b:
GUY [I] (-after 1154). "Fulco vicecomes et filius eius Guillelmus, scilicet Guido
Urso" confirmed a donation to the priory of Néronville by "Robertus Bonet" by
charter dated to [1108/20], subscribed by "Rainaldus Pulcher…"[1918]. "…Fulco
vicecomes Castrilandonis et filii eius Willelmus et Guido…" approved a donation to
the abbey of Rozoy by charter dated to after 1122[1919]. Vicomte de Château-
Landon. "Vicecomes de Fessart…" witnessed a donation to the priory of Néronville
by charter dated to [1150/58], confirmed by "vicecomite Guidone Castri
Nantonis"[1920].

m ---. The name of Guy´s wife is not known. Guy & his wife had [one] child:

 GUY

[1918] Néronville, XXIV, p. 320.

[1919] Devaux ´Origines gâtinaises, 3. Les vicomtes´ (1896), p. 302, quoting


Bibliothèque nationale, ms. fr. 5990, fo. 199 vo.

[1920] Néronville, LXXVII, p. 355.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012

95.156.040:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (wikipedia, 24vii2008), J-P.de Palmas (Famille
d'Etampes) 1 ii 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

95.156.041:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

95.156.048:
surnommé "ecclesise Aurelianensis casatus"

Fonts:
- persona: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016
- família: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016

95.156.049:
-5173-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016
- família: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016

95.156.049b:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016

95.156.224:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Perroy tome II p 267 et ss: Damas) 12/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008

95.156.225:
- Gilles Maillet la dit fille d'Eustache de Guines et d'Elisabeth de Grimmingen ?
- P-C Dugenne la nomme Aélis alias Adèle de Guines, fille de Baudouin de Guines et
d'Adèle de Hollande ?
- L'abbé Cucherat la nomme Adélaïde de Guines (en Picardie), descendante de
Siegfrid dit le Danois et d'Arnould I comte de Flandes, par Elstrude, une de ses
filles. (P. 290)
- Detlev Schwennicke : Europäische Stammtafeln, B. III-3, T. 434 la nomme Aelis
(peut-être de Nevers, fille du comte Renaud), ce qui semble être une erreur. Pour
moi elle n'est pas une fille de Renaud de Nevers et de Advise (Capétiens) comme
précédemment noté, je pense à tort, d'après Detlev Schwennicke !
J-C de Vaugiraud 16/06/2010

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (suite à recoupements je diverge de ES III-3, T. 434)
15/06/2010
- família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008

95.156.225a:
Il devient moine à Cluny en 1088.

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Perroy tome II p 267 et ss: Damas) 12/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Perroy tome II p 267 et ss: Damas) 12/09/2008

95.156.496:
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)
- defunció: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60)
- família: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)

95.156.497:
Confirme en 1090, en présence de ses deux enfants, une donation faite par son
mari.

Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)
- defunció: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)
- família: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)

-5174-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.156.497b:
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)
- naixement: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)

95.156.508:
Croisé.

Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Patrick Déret) 17 vii 2009, données
de Pierre Bruger (pbruger )
- família 1: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Patrick Déret) 17 vii 2009, J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 20 ii 2017
- família 2: données de Pierre Bruger (pbruger ), J-P de Palmas (Histoire
généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne Par Jean-Baptiste
Guillaume) v-2009

95.156.509:
Fonts:
- persona: données de Pierre Bruger (pbruger )
- família: données de Pierre Bruger (pbruger ), J-P de Palmas (Histoire généalogique
des sires de Salins au comté de Bourgogne Par Jean-Baptiste Guillaume) v-2009

95.156.509-1a:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Patrick Déret) 17 vii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Patrick Déret) 17 vii 2009

95.156.509-1b:
ELISABETH de Salins . “Uxor eiusElisabeth” donated property “apud Salinas” to
Besançon Saint-Paul, for the soul of “Renaldi constabulis, fratris domini Petri
Sancti Stephani decani”, with the consent of “fratris sui Gualcherii et filiorum
suorum Rodulphiet Petriet Gualcherii”, by undated charter[514].

m RENAUD de Traves, son of --- (-23 Sep, after 1157). Constable of the county of
Bourgogne.

[514] Guillaume (1757), Tome I, Preuves, p. 42.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 20 ii 2017

95.156.512:
Fonts:
- persona: E.Bungener (Guichenon I 397) 8 xii 2016
- família: E.Bungener (Guichenon I 397) 8 xii 2016

95.156.513:
Fonts:
- família: E.Bungener (Guichenon I 397) 8 xii 2016

95.156.580:
Fonts:
- persona: données de Pierre Bruger ( pbruger ), JB.de La Grandiere (Europäische

-5175-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Stammtafeln t XV tableau 162B -sgrs de Traves- Marburg 1993 ) 20 ii 2017
- família: données de Pierre Bruger ( pbruger )

95.156.581:
Fonts:
- família: données de Pierre Bruger ( pbruger )

95.156.608:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Pierre Masson) 03 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Pierre Masson) 03 viii 2009

95.156.609:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Pierre Masson) 03 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Pierre Masson) 03 viii 2009

95.156.640:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie de Genève) 14 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Genève) 22 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Genève) 22 iii 2011
- família: E.Visseaux

95.156.641:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie de Genève) 14 iii 2011
- família: E.Visseaux

95.156.641c:
Fonts:
- persona: E.Visseaux

95.156.642:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Hervé Fouble) 24 ii 2011

95.156.648:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Dominique Michaud) 03 viii
2009,JL.Mondanel (généalogie de Faucigny) 14 iii 2011
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Dominique Michaud) 03 viii 2009

95.156.649:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Dominique Michaud) 03 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Dominique Michaud) 03 viii 2009

95.156.656:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)
- defunció: JB.de La Grandiere (abbé Félix Bernard "Les origines féodales en Savoie
et Dauphiné" pp 42/73 Chambéry 1949, 9 iii 2010) 9 iii 2010
- família: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841), Jean-
Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009

-5176-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.156.657:
Fonts:
- família: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841), Jean-
Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009

95.156.657b:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)

95.156.657c:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)
- casament: JB.de La Grandiere (abbé Félix Bernard "Les origines féodales en
Savoie et Dauphiné" pp 42/73 Chambéry 1949, 9 iii 2010
- família: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)

95.156.657d:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)
- família: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)

95.156.657e:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)
- família: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)

95.156.664:
Succéda à son père en 1007

"Pour J. Berge, serait Artaud d'Argental X1 Ne (de Royans) d'ou 2 enfants et X2


Pétronille (de Royans), la soeur de sa 1° épouse, d'ou 3 enfants ? Pour le même
auteur, Arnaud d'Argental est un proche (ou issu) de la famille de Forez !"
J-C de Vaugiraud (J.Berge: Origines rectifiées, tableau p 113) 21 iv 2008

ATtention : Artaud d'Argental X Pétronille de Royans seraient donc Artaud de


Forez X Petronille (de Royans), mais les travaux du Président Berge, mon unique
source, demandent à être vérifiés et recoupés. A ne fusionner qu'au vu d'une
source de référence.

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J.Berge: Origines rectifiées, tableau p 113) 21/04/2008
- família: E.Visseaux/P.Pluchot

95.156.665:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J.Berge: Origines rectifiées, tableau p 113) 21/04/2008
- família: E.Visseaux/P.Pluchot

95.156.665a:
Ide-Raimonde, son arrière-petite-fille, x1 Renaud II comte de Nevers, + 1089, x2
Guigues-Raimond de Viennois, de la maison d'Albon, auquel elle porta les comtés
de Lyon et de Forez.

95.156.665b:
Il prit le nom de Sassenage, chevalier, grand seigneur du Viennois, qui, après avoir
-5177-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
fait la guerre à Saint Léger, archevêque de Vienne, conclut avec ce prélat un traité
de paix entre 1030 et 1070.

Fonts:
- persona: L.Guion, E.Visseaux/P.Pluchot
- família: L.Guion, E.Visseaux/P.Pluchot

95.156.665f:
Mentionné dans un cartulaire de Saint-André-le-Bas, ch 206

95.156.712:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 10 x 2016
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016

95.156.713:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016

95.156.713b:
Fonts:
- persona: Auréjac

95.156.716:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Jean-Pierre Masson-Josserand, base papoo) 11 x 2010
- família: J-M.Thiebaud (Jean-Pierre Masson-Josserand, base papoo) 11 x 2010

95.156.717:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Jean-Pierre Masson-Josserand, base papoo) 11 x 2010
- família: J-M.Thiebaud (Jean-Pierre Masson-Josserand, base papoo) 11 x 2010

95.156.720:
Fonts:
- defunció: L. Gustavsson/ WW-Person

95.156.721:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ WW-Person

95.156.722:
Anti-empereur

JB de La Grandière 1/9/2009 : Rodolphe est décédé le 15/10/1080 et ses parents ne


sont pas ceux donnés par la base de Jöelle Bonne mais bien ceux donnés par
l'ensemble des généalogies combinées d' Europäische Stammtafeln ( Savoie,
Rheinfelden, Zahringen, Öhningen et Conradins ( cette dernière donnée par Viktor
Klostermann dans la refonte du tome I-1, pp 7 à 9, Francfort 1998), généalogies
que les différentes bases Internet ignorent au profit de généalogies plus anciennes,
plus connues et moins à jour

Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009,
R.Dewkinandan> WW-2, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Joëlle Bonne) 29 viii
-5178-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
2009, JB de La Grandière (ESS XII 95 A Rheinfelden) 1/9/2009
- família 1: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Joëlle Bonne) 29 viii 2009
- família 2: L. Gustavsson/ WW-Person
- família 3: R.Dewkinandan> WW-2, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre
Bruger) 05 viii 2009

95.156.723:
Cette Adélaïde a été confondue sur une base Internet ET JE CORRIGE DONC SON
ASCENDANCE AINSI QUE SON MARI A MOINS QUE LA BASE de Pierre Bruger
n'indique des éléments invalidants les données précises d'Europäiche Stammtafeln
sur les Généalogies combinées des Savoie, Rheinfelden et Zahringen et Conradins !
Elle est sœur de Berthe, épouse de l'empereur Heinrich IV (+ 07/08/1106).
Je ne demande qu'à corriger les dites références mais alors avec quelque chose
autrement plus solide que la simple mention d'un site internet ! Je suis prêt à
inscrire que Pierre Bruger, que je ne connais pas, a bien publié des recherches très
récentes dans lesquelles il donnerait des preuves que celles données par ESS sont
invalidées par les siennes : SVP, dates, noms, publication et actes au moins aussi
solidement établi que dans les généalogies précitées amplement actées. Merci
d'avance à celui qui pourrait alors nous donner le "scoop" qui déclasserait d'un seul
coup 4 généalogies familiales particulièrement bien étudiées par ESS et en dernier
lieu par Viktor Klostermann avec la ré-édition du tome I-1 de 1998 donnant les
mises à jours de la généalogie des Conradins

JB de La Grandière 1/9/2009

Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009, JB de
La Grandière (ESS t II p 190 Savoie
- naixement: L. Gustavsson
- família: R.Dewkinandan> WW-2, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre
Bruger) 05 viii 2009

95.156.723a:
Ne figure pas comme fille d'Agnès dans ESS : JB de La Grandière 29/9/2009;

Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Marie Josée Delrieu-François
Castaigne) 18 vii 2009, R.Dewkinandan> WW-2, Jean-Marie Thiébaud
(Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Marie Josée Delrieu-François
Castaigne) 18 vii 2009, R.Dewkinandan> WW-2, Jean-Marie Thiébaud
(Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009

95.156.723c:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.156.723d:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.156.723e:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.156.723-1a:
-5179-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: G. Képéklian (src. Aurejac - 1er mai 2005)

95.156.728:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (http://fabpedigree.com/) 18 vii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (http://fabpedigree.com/) 18 vii 2009

95.156.729:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (http://fabpedigree.com/) 18 vii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (http://fabpedigree.com/) 18 vii 2009

95.156.730:
54700 Mousson (Meurthe et Moselle) 68480 Ferrette (Haut-Rhin) Ferrette appelée
en allemand Pfirt.
A charter dated 1019, which records an agreement between Berthold Bishop of
Toul and "Olricus miles", is subscribed by "Riquini comitis, Ludovicus comitis patris
eius, item Ludovici filii eius, Theodorici fratris eius". same person as LOUIS
([1015]-[29 Aug 1071/1076])?. This co-identity is proposed by Europäische
Stammtafeln. Comte de Mousson. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines
names "comiti Montionis Ludovico" when recording his marriage. The Herimanni
Augiensis Chronicon records that "Ludowicus comes" expelled "Reginoldum
principem, reginæ Agnetis avunculum, sed Heinrico regi inimicum" (Renaud Comte
Palatin de Bourgogne) from "castellum…Mons Piligardæ"
(Montbéliard/Mömpelgard). He had possessions in the south of Alsace and around
Hagenau, covering the southern part of the county of Sundgau as far as Basel and
including Héricourt, Belfort, Altkirch and Ferrette, as well as the château de
Montbéliard temporarily. He was in dispute with Gérard d'Alsace Duke of Lower
Lotharingia in 1057 and 1063 over the inheritance of Pope Leo IX, his maternal
uncle. "Heinricus…rex" founded a market at "in villa Villach…in comitatu Francisci
Ludewici comitis" by charter dated 8 Feb 1060. "Heinricus…rex" granted property
"in pagis Cletgowe et Hegowe in comitatibus Gerungi et Lodawici comitis" to
"comiti Eberhardo" by charter dated 1067. "Heinricus…rex" donated property "in
villa Chambo in pago Einriche in comitatu Lodowici comitis" to St Suitbertsstift at
Kaiserswerth by charter dated 1067. He appears to have challenged the succession
of Thierry Duke of Lorraine in 1070, claiming the title himself. Comte Louis is last
recorded 29 Aug 1071 in a declaration of his son Frederic, but died before 1076
when his widow invested Sigefroi as abbot of Saint-Mihiel.

Source: http://www.celtic-casimir.com/webtree/13/65385.htm

Fonts:
- persona: Auréjac
- família: M.Rérolle (Frebault) 11/11/06, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base
Brynjuif) 31 vii 2009

95.156.731:
Fonts:
- persona: L. Gustavsson/ WW-Person
- família: M.Rérolle (Frebault) 11/11/06, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base
Brynjuif) 31 vii 2009

95.156.731a:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (Frebault) 11/11/06
- família: M.Rérolle (Frebault) 11/11/06
-5180-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.156.731b:
Fonts:
- persona: Auréjac

95.156.731c:
Fonts:
- persona: Auréjac

95.156.731d:
Fondateur de l'abbaye de Walbourg

Fonts:
- persona: ppmr,(Gothaisches Genealogischer Hofkalender 1888, J.Perthes; 1868; D.
Schwennicke: "Europäische Stammtafeln", Marburg 1978), G.Képéklian.
http://gw.geneanet.org/index.php3?b=frebault&lang=fr;p=th
- família: H.R.Moser/EuSt-I.2/226, G.Képéklian, Jean-Marie Thiébaud (généalogie
Carné) 27 vii 2009

95.156.864:
A suivre avec "Montréal à sire de Chastellux", publié en 2013, qui rectifie bon
nombre de données généalogiques dont on a tenu compte dans l'alignement de la
famille de Montréal sur la base.
Les parents qui lui sont donnés ne sont pas prouvés mais fort probables.
Je les ai gardé comme parents "factuels" afin que des données d'Ernest Petit,
copiées-collées" par un collègue, ne soient pas perdues. JB de La Grandière
19/12/2014 wikipedia wikipedia : "Famille des Anséric de Montréal" : données à
corriger car il ne s'agit pas "des Anséric" mais de la famille des seigneurs de
Montréal (Yonne) dont plusieurs furent prénommés Anséric..et d'autres Hugues,
Miles etc.

SEIGNEURIE DE MONTRÉAL-EN-AUXOIS

Par M. Ernest PETIT. PREMIÈRE PARTIE.

CHAPITRE I.

Coup d'oeil sur les Pays qui relevaient Jadis De Montréal.

SOUVENIRS QUI S'Y RATTACHENT.

Le bourg de Montréal est situé à l'intersection de la rivière du Serain et de la route


d'Aisy à Avallon. Cette route offre dans certains endroits de son parcours d'assez
gracieux paysages : dans les vallons d'Aisy, d'Anstrude, on trouve de l'eau, des
prés, des bois, des vignes, des peupliers, toutes choses qui vues ensemble
présentent un coup d'œil agréable. En traversant les territoires de Vassy cl de
Sanligny, les sites deviennent plus monotones ; d'un côté, ce sont de vastes champs
labourés; de l'autre, des forêts immenses qui bornent l'horizon sans y ajouter rien
de pittoresque.

Mais lorsqu'en quittant Santigny, on arrive au sommet de la colline où est situé le


vieux château de Monthelon, la vue se repose sur un spectacle d'autant plus
surprenant qu'il est plus inattendu et qu'il contraste avec la monotonie des pays
que l'on vient de parcourir. A des contrées montagneuses succède une immense
-5181-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
plaine dont on ne peut distinguer les limites : c'est la riche et fertile vallée
d'Epoisses ; le Serain y trace son sinueux parcours, marque son passage par un
vert ruban de peupliers et se glisse à droite derrière le côteau pour disparaître vers
l'Isle où il change de direction. Mille ruisseaux et ruisselets viennent se jeter dans
la rivière et fertilisent la prairie en l'assainissant; ce sont les ruisseaux de
Corombles, Perrigny, Vignes, Beauvais, Ségrin, Maison-Dieu, Etrée, Roseray,
Tréviselot, Saint-Martin, et enfin celui de la Planchette qui servait autrefois de
limite entre la Bourgogne et la Champagne.

Pour avoir une idée de l'ensemble du pays, le lecteur voudra bien se transporter
avec nous sur l'une des tours en ruines de Monthelon.

Château de Monthelon.

De la hauteur sur laquelle nous sommes parvenus, nous sommes éblouis par le
brillant et vaste tableau qui se développe à nos regards : d'ici, nous pouvons
compter plus de cinquante villages, témoins incontestables de la richesse
proverbiale dn territoire, et plusieurs châteaux auxquels les événements et les
noms historiques ont laissé une couronne de souvenirs : c'est Epoisses, ancienne
résidence royale sous les rois de la première race, Epoisses, qui depuis son origine
a vu passer sous ses murs une suite non interrompue de grands hommes et de
puissants seigneurs; c'est là qne résidait le chancelier Hugonet, ministre infortuné
que sa fin tragique a rendu si intéressant dans l'histoire; c'est par les fenêtres de
ce château que se sont envolées quelques lettres de cette immortelle marquise qui
a nom Madame de Sévigné. Les ruines de Beauvoir vous rappellent le nom illustre
des Beauvoir-Chastellux, auxquels ce castel servit de berceau. Voici Guillon,
célèbre par son fameux traité entre le duc de Bourgogne et le roi d'Angleterre
Edouard III (1360). Au milieu d'un parc immense et de futaies séculaires, voyez-
vous dominer les tours de Ragny, siège autrefois d'un puissant marquisat? Devant
nous apparaît Montréal, théâtralement placé sur le sommet d'un mamelon dont les
flancs, couverts de vignes, s'inclinent en pente raide du côté de la rivière.

Plus près, vous apercevez Sainl-Ayeul, ancien ermitage pittoresquement situé sur
le penchant d'une colline ; Thisy, vieux castel des abbés de Moûtier-Saint-Jean,
Perrigny, Trévilly, Courterolles, Sceaux, Cisery, Saint-André, Tronçois; dans celte

-5182-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
gorge étroite, vous distinguez Chérisy, Angely, Pancy et là-bas L'Isle disparaît noyé
dans un massif de hautes futaies. Admirez à l'ouest la gracieuse situation d'Origny,
Coutarnoux, Sainte-Colombe; à l'est, vous pouvez avec une longue-vue découvrir la
flèche des clochers de Roiivray, de la Roche-en-Brenil, et à une dizaine de lieues de
là les montagnes boisées du Morvand qui paraissent se confondre avec l'azur de
l'horizon.

Construite à la
fin du XIe et au
commencemen
t du XIIe siècle
par Anseric III
au retour de la
2e croisade
préchée à
Vézelay,
l'église de
Montréal est,
selon Viollet le
Duc, " un
véritable bijou
architectural ".

Cependant
Montréal joue
dans ce tableau
le rôle
principal ; Montréal, avec sa belle église collégiale, avec les débris de ses
fortifications tapissées de lierre, offre presque un coup-d'œil moyen-âgeux : mais si
nous jetons un regard en arrière de cent années seulement, les hautes tours de son
vieux château-fort, noirci par le temps, produiraient sur notre imagination un effet
saisissant et magique. La vieille ville a bien dégénéré depuis les guerres
désastreuses qui ont accéléré sa chute ; le temps n'est plus où, fière de ses
franchises et de ses privilèges, elle pouvait lever des soldats, défendre ses
murailles assiégées et prêter des subsides aux ducs de Bourgogne : depuis
longtemps, elle a laissé ternir son blason, comme un vain hochet peu en harmonie
avec sa pauvreté actuelle ; les habitants du modeste village qui représente
l'ancienne ville n'ont conservé que le souvenir des malheurs de leurs ancêtres.

C'est que Montréal fut éprouvé par de nombreux assauts ; la situation avantageuse
de cette petite ville, frontière de Bourgogne du côté de la Champagne, fut souvent
un point de ralliement pour les partis ennemis ; aussi lui voyons-nous toujours
jouer un rôle important aux époques les plus orageuses de notre histoire; c'est ce
qui prête à ses annales un si vif intérêt.

Les contrées que nous avons sous les yeux ont été, comme Montréal, maintes fois
ravagées par les fléaux et la guerre; la disparition de plusieurs villages habités
témoigne des vicissitudes que les hommes et les choses ont subies sur les bords du
Serain, aujourd'hui si paisibles. Vous chercheriez en vain Ancy, Froideville,
Varennes, Cappes, Chaumot, La Rue, Gros-Bois, les châteaux de Monlille, des
Bordes et les hameaux qui en dépendaient; une simple ferme représente l'ancien
village de Chérisy et rappelle une église depuis longtemps détruite; le fief de
Monthelon, qui comptait une population assez importante, agglomérée autour du
vieux manoir, ne se compose plus que de quelques masures à peine habitables, et
si vous alliez visiter l'ancien emplacement du château de Cannes, près Thalecy, on
ne pourrait vous donner aucune indication sur le grand événement qui dut amener
-5183-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
la ruine de cette forteresse des premiers âges féodaux ; la tradition ne nous a
conservé que son nom.

On peut, en quelques mots, résumer les faits principaux qui se rattachent à


l'histoire de la ville et du château de Montréal.

S'il en faut croire Courtépée, la reine Brunehaut et son pelit-fils Thierry y


résidèrent au vie siècle ; trois cents ans plus tard, suivant le même auteur qui s'en
rapporte à un vieux manuscrit, la forteresse fut prise, pillée par les Normands et
reconstruite ensuite par les Anséric.

Landry, comte de Nevers, vint l'assiéger à plusieurs reprises pendant les guerres
du roi Robert, c'est-à-dire vers 1005 environ, sans pouvoir s'en emparer.

Vers la même époque, les sires de Montréal fondent le prieuré de Saint-Bernard, et


en 1068 le Chapitre de cette ville.

Après la croisade de 1147, qui suivit la fameuse prédication de saint Bernard à


Vézelay, Anséric fit bâtir au retour de cette expédition la curieuse église que l'on
admire encore aujourd'hui.

La puissante maison de Montréal, après avoir joué un rôle des plus brillants en
Bourgogne pendant près de trois siècles, est dépossédée, en 1255, par la mauvaise
conduite de l'un de ses membres. Anséric X, dernier du nom, ayant par ses forfaits
attiré sur lui la colère du roi saint Louis, le duc de Bourgogne reçut ordre de
s'emparer de sa seigneurie et de son château de Montréal.

A SUIVRE directement en ligne..

Ernest Petit, « Seigneurie de Montréal-en-Auxois », dans Bulletin de la Société des


sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Année 1865, 19ème volume

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006, J-P de
Palmas (wikipedia et extrait Seigneurie de Montréal par E.Petit) ix2009
- defunció: "Montréal à sire de Chastellux"
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006

95.156.865:
Dans "Montréal à sire de Chastellux", 2013, E. de Saint Phalle indique qu'elle
pourrait être de la famille de Vendeuvre.

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (E. de Saint Phalle, H. de Chastellux : "Sire de
Montréal à Chastellux", p. 37, mai 2013) 15 vi 2014
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006

95.156.866:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (:"St Bernard et le château de Fontaines les Dijon" de L
Chomton p 134-135-136, J-M.Thiebaud (généalogie Carné) 24 iii 2011
- família: J-M.Thiebaud (:"St Bernard et le château de Fontaines les Dijon" de L
Chomton p 134-135-136) ) 29 ix 2014,

-5184-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.156.867:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (:"St Bernard et le château de Fontaines les Dijon" de L
Chomton p 134-135-136, J-M.Thiebaud (généalogie Carné) 24 iii 2011
- família: J-M.Thiebaud (:"St Bernard et le château de Fontaines les Dijon" de L
Chomton p 134-135-136) ) 29 ix 2014,

95.156.867a:
Merci de bien vouloir ne pas modifier à nouveau les saisies très bien sourcées par
des "données" d'un site généanet qui ne donne pas de sources et "saute" une
génération.
Constance Britain Bouchard Sword Miter and Cloister pp. 319/323 Cornell
University Ithaca 1987 est la référence qu'il ne faudrait plus modifier.
Attention : il ne faut pas confondre ce Jobert, dit "Le Roux", mort vers 1125 avec
son fils Jobert, également dit "Le Roux", mort en 1164
JBLG 18/6/2016
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (:"St Bernard et le château de Fontaines les Dijon"
de L Chomton p 134-135-136) ) 29 ix 2014, JB.de La Grandiere ( Constance Britain
Bouchard Sword Miter and Cloister pp. 324/327 Cornell University Ithaca 1987) 20
iii 2010, J-M.Thiebaud (généalogie Carné) 24 iii 2011

95.156.867b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t XV p 59 (Duesme)
Marburg 199) 17 v 2012
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Abel Gourment) 01 viii 2009

95.156.874:
Fonts: J-C de Vaugiraud (J-N Mathieu: recherches sur les vidames de châlons -
Sacsam 2006 p 61) 15/03/2007

95.156.875:
Fonts: J-C de Vaugiraud (J-N Mathieu: recherches sur les vidames de châlons -
Sacsam 2006 p 61) 15/03/2007

95.156.888:
Fonts: - persona: H.deRiberolles(Remacle), M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 419) 26/7/06
- defunció: M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 419) 26/7/06
- casament: M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 419) 26/7/06
- família: H.deRiberolles(Remacle), J-P.de Palmas (Les Vies de saint Etienne de
Muret: Histoires anciennes, fiction nouvelle, par Christine Brousseau, 2008) 17 iii
2013

95.156.889:
Fonts: - persona: H.deRiberolles(Remacle)
- casament: M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 419) 26/7/06
- família: H.deRiberolles(Remacle), J-P.de Palmas (Les Vies de saint Etienne de
Muret: Histoires anciennes, fiction nouvelle, par Christine Brousseau, 2008) 17 iii
2013

95.156.889b:
En médaillon : Buste reliquaire de saint Étienne de Muret dans l'église de Saint-
Sylvestre.
Saint Étienne de Muret (ou de Grandmont), ou Étienne III de Thiers né en 1046,
mort le 8 février 1124 (en fait, 1125 dans le calendrier actuel, car le changement
d'année se faisait le 25 mars dans le calendrier limousin de l'époque), est un ermite

-5185-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
religieux Limousin, fondateur de l'Ordre de Grandmont. C'est un saint de l'Église
catholique. Liturgiquement, il est commémoré le 8 février1.
Ordre
Unique fils du comte Étienne II de Thiers et de Dame Candide (ou Blanche,
Candida en latin), il abdique en faveur de son oncle GuillaumeRem 1 afin d'entrer
dans la vie religieuse2.
Il est le fondateur de l'ordre religieux de Grandmont. Cet ordre fondé vers 1074 sur
la Montagne du Muret près de Limoges, observe la règle de saint Benoît de Nursie
tout en gardant une dimension érémitique d'inspiration semblable à celle des
Chartreux. On attribue à saint Étienne de Muret un certain nombre de miracles3.
La châsse reliquaire et la dalmatique de saint Étienne de Muret (XIIIe siècle) sont
exposées dans l'église d'Ambazac. Le buste reliquaire de saint Étienne de Muret se
trouve dans l'église de Saint-Sylvestre.

Bibliographie

 Christine Brousseau 4, Les Vies de Saint Etienne de Muret - Histoires


anciennes, fiction nouvelle, Harmattan, Coll. Religions et Spiritualité,
2008, 276 p.
 Nougaret, L'Ordre De Grandmont Art et Histoire, Imp Jean, 1992, 220 p.,
ISBN : 2-296-05203-7
 Jean-Marie de La Mure, Histoire des Ducs de Bourbon et des Comtes de
Forez, Tome I. sur Google Livres, Imprimerie de Louis Perrin, 1809, page
192.
 E.Baluze, Histoire généalogique de la maison d'Auvergne, 1708
 Henri de La Marche de Parnac, La Vie de St-Etienne, 1704

-5186-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 J.Levesque, Annales ordinis Grandimontis, 1662
 C.Frémon, Vie de St-Etienne, 1647

Notes

1. Nominis : Saint Etienne de Grandmont [archive]


2. Histoire des Ducs de Bourbon et des Comtes de Forez, Tome I. sur Google
Livres, Jean-Marie de La Mure, Imprimerie de Louis Perrin, 1809, page
192.
3. Divers textes, confirmés par Ambroise Tardieu (historiographe), indiquent
qu'entre autres miracles, un chevalier limousin aurait été guéri de
paralysie par saint Étienne de Muret (voir Famille du Plantadis).
4. Christine Brousseau, agrégée de Lettres classiques, Ph-D Université de
Harvard en Littérature française, a enseigné dans des universités
américaines. Domaine de recherches et de publications : Moyen Age et
Renaissance.

Remarques

 Rem1 : D'après la Généalogie de Jean-Marie de La Mure, qui ne done


aucun frère à St-Etienne et fait de Guillaume, un oncle, en faveur duquel il
abdique

Liens externes

 Bio sur Nominis

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Les Vies de saint Etienne de Muret: Histoires anciennes,
fiction nouvelle, par Christine Brousseau, 2008) 17 iii 2013

95.156.889c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Les Vies de saint Etienne de Muret: Histoires
anciennes, fiction nouvelle, par Christine Brousseau, 2008) 17 iii 2013

95.156.891:
Fonts: - persona: Aurejac

95.182.976:
Bérenger N, sgr de Thézan du chef de sa femme : jblg avec H. de Vergnette de
Lamotte in " Filiations Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9 i 2017
- defunció: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ,
2007) 25ii2011
- família: J-L. Dega

95.182.977:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 8v2006, J-L. Dega
- família 1: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")

-5187-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
8v2006
- família 2: J-L. Dega

95.182.977b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 30ix2008

95.182.977-1a:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 8v2006

95.182.977-1b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
8v2006
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ,
2007) 25ii2011

95.187.060:
Fonts: N de Meyrignac (base pierfit, 03xii2007)

95.187.061:
Fonts: - família: N de Meyrignac (base pierfit, 03xii2007)

95.187.061a:
Fonts: N de Meyrignac (base pierfit, 03xii2007)

95.187.072:
Guillaume de Polignac et Auxilende de Tournon sont les parents de :

 Pons de Polignac (1065-1112), bienfaiteur de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-


Monastier à Le Monastier-sur-Gazeille en 1080. Il se ligue avec Héracle II,
en 1087, contre Adhémar de Monteil, évêque du Puy, au sujet de la
troisième partie du revenu de cette église, que réclament les deux frères.
Après quelques hostilités, les deux partis négocient la paix, et, au moyen
d'une indemnité de 26,000 sous du Puy, les deux vicomtes se désistent de
leurs droits. L'an 1097, le vicomte Pons, ses fils et leurs femmes
approuvent la charte par laquelle Pons et Pierre de Fay, fils de Pons de
Tournon, seigneur de Fay, et d'Agnès de Polignac, aliènent une partie de
leur patrimoine pour subvenir aux frais de l'expédition de la Terre-Sainte.
L'année suivante, le même vicomte, du consentement de Pons, évêque du
Puy, son oncle, de sa femme Élisabeth, et de leur fils Armand, fait une
donation à l'abbaye de Pébrac, au diocèse de Saint-Flour, que gouverne
alors l'abbé Bertrand de Ghasnac. En 1106, ces époux en font une seconde
à l'abbaye de Conques, au diocèse de Rodez. Le vicomte Pons Ier
accompagne à Rome, en 1112, Pons-Maurice de Montboissier, évêque du
Puy, nouvellement élu. Étant mort dans cette ville le 5 septembre de cette
année, on lui faît de magnifiques funérailles, et le pape Paul II le fait
inhumer dans l'église de Saint-Jean de Latran[1]. Pons se marie avec
Élisabeth Montboissier fille de Vir nobilis princeps Hugues Maurice III,
père de Pons II de Montboissier, évêque du Puy (1112-1128) et grand-père
de Pierre le Vénérable[2], de cette famille de Montboissier, est le
neuvième abbé de Cluny dès 1122. Ils sont les ancêtres des membres de la
première Maison de Polignac.
 Agnès de Polignac mariée à Pierre de Fay, croisé.

-5188-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 Alix de Polignac mariée à Giraudet Adhémar de Monteil, le 18 avril1107.
Giraudet est allé à la première croisade[3] et est le frère d'Adhémar de
Monteil[4]. Troisième fils de Giraud, seigneur de Grignan, de Monteil, de
la Garde, etc., il a par le partage qu'il fait avec ses frères, le 26 décembre
1095, la moitié de Monteil, la seigneurie de la Garde[5].
 Héracle II.

1. (Histoire de Languedoc, t. II, pp. 271,; Preuves, col. 8, 308, 345, 349 ;
Gallia Christiana, t. 11, col.59.
2. Surnom attribué par l'empereur Frédéric Barberousse ; Agnès Gerhards,
L'abbaye de Cluny, éditions Complexe, 1992, (ISBN 2870274564), p.74
3. 1ère Croisade [archive]
4. La noblesse de France aux croisades, Par Paul André Roger, Publié par
Derache, 1845, p.166 et Nobiliare universel de France, ou recueil général
des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Par
Nicolas Viton de Saint Allais, 1816, p484.
5. ↑ Revue numismatique, Par Société française de numismatique, Publié
par Blois, 1863, ser.1:t.8, p.418.

Fonts: - persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de


Polignac-2002)03.05.2016, J-P de Palmas (ascendance Autié de Villemontée
23/12/2004 et wikipedia)
- família: J-P de Palmas (ascendance Autié de Villemontée 23/12/2004 et
wikipedia),S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)04.05.2016

95.187.073:
Auxilende de Tournon, originaire du Vivarais. La maison de Tournon prend son
nom de la ville de Tournon-sur-Rhône, située en Vivarais, avec un château fort
qu'elle a possédé de temps immémorial. Elle est la sœur de Pons, l'un des abbés de
l'abbaye de la Chaise-Dieu. D'après les sources historiques, c'est en 1100
qu'Anselme de Cantorbéry séjourne dans cette abbaye, donc à la fin de l'abbatiat
de Pons de Tournon (1094-1102), cinquième abbé de Casa Dei. Or celui-ci est
amené à maintes reprises à passer à Lyon où se trouve Anselme de Cantorbéry en
ce moment en exil. Nous sommes en pleine époque des préparatifs de la première
croisade, décidée par le pape Urbain II, ami et admirateur d'Anselme de
Cantorbéry, croisade dans la préparation de laquelle l'abbaye de Casa Dei avec ses
nombreux prieurés prend une part très active. La visite du pape dans cette abbaye
n'en est que l'illustration éloquente. Pons de Tournon est évêque du Puy (1102-
1112) et succède à Adhémar de Monteil, mort en même temps que son neveu
Héracle II lors du siège d'Antioche.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) iv2010
- família: J-P de Palmas (ascendance Autié de Villemontée 23/12/2004 et
wikipedia),S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)04.05.2016

95.187.073b:
Se croisa au concile de Clermont. Il porta l'étendard de l'église en Terre Sainte en
1095.Il fut un des principaux seigneurs qui suivirent dans cette expédition Raymond
de Saint Gilles, comte de Toulouse, et le célébre Adhémar de Monteil, évêque du
Puy. Frappé d'une flèche à la bataille d'Antioche, il mourut des suites de ses
blessures le 9 juillet 1098. Héracle II de Polignac est né en 1075[1], peut-être au
château de Polignac, dans le Velay et blessé sous les murs d'Antioche, le 28 juin
1098, il y meurt le 9 juillet 1098[2].

-5189-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Sidoine Apollinaire parle du château de Polignac, comme de sa maison paternelle.
Héracle II de Polignac, vicomte du pays de Velay ou de Polignac, descend, à ce que
l'on prétend, d'un Apollinaire , vicomte de Velay. Il a toutes les marques de
souveraineté[3]. Selon la thèse de Bérangère Dumalle, Les châteaux de l'orbite des
Polignac en Velay (XIIIe-XVIe siècles), les Polignac sont sans doute alors la famille
la plus puissante de la contrée, la seule capable de rivaliser avec les évêques du
Puy, ce dont elle ne se prive d'ailleurs pas au fil des siècles du Moyen Âge. Elle a en
partie raison, et Héracle II de Polignac et son frère aîné, Pons, en sont les meilleurs
exemples en se liguant, en 1087, contre Adhémar de Monteil, évêque du Puy. Mais
elle oublie de remarquer qu’Étienne IV de Polignac évêque du Puy (1073–1077),
Pons de Tournon (1102–1112) et Pons II de Montboissier, évêque du Puy (1112–
1128). Et puis Adhémar de Monteil, lui-même, doit leur verser une indemnité de
26.000 sous du Puy, pour qu’Héracle et son aîné se désistent de leurs droits sur
l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monastier à Le Monastier-sur-Gazeille. Adhémar de
Monteil a besoin aussi du soutien des vicomtes, de leurs vassaux et de leurs familles
alliées pour l’accompagner à la croisade. Héracle II n’a que 20 ans quand il part à la
croisade, et il n’est qu’un fils puîné. Mais, l'an 1097, le vicomte Pons, ses fils et
leurs femmes approuvèrent la charte par laquelle Pierre et Pons de Fay, fils de
Pons, seigneur de Fay, et d'Agnès de Polignac, aliènent une partie de leur
patrimoine pour subvenir aux frais de l'expédition de la Terre-Sainte. La richesse et
la puissance des Polignac ne font pas de doutes depuis trente ans. Georges Duby
établit que les vicomtes de Polignac sont en même temps vicomtes du Velay et du
Puy[4]. Héracle, vicomte de Polignac est porte-étendard de l'Église, lors de la
première croisade. Ayant cédé son étendard à un autre et quitté son rang, il reçoit
au visage un coup de flèche, dont il meurt le 9 de juillet 1098. Il a son nom et les
futures armes de sa famille, qui figurent dans la cinquième des salles des croisades
du château de Versailles, celle des chefs des différentes croisades. Il part à la
croisade avec son beau-frère, Pons de Fay ou de Chapdeuil.

-5190-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

La première Maison de Polignac


Les premiers vicomtes de Polignac sont comtes héréditaires du Velay. Leur
puissance est telle en Auvergne, que les chroniqueurs les surnomment les Rois des
Montagnes. Le plus ancien connu est Armand de Polignac qui vit vers 886. Vital de
Polignac est évêque du Puy au IXe siècle[5]. La Gallia Christiana et les archives du
Puy établissement qu'il est de celle Maison. La monnaie des vicomtes de Polignac a
longtemps cours en Auvergne; on la nomme viscontine. Georges Duby nous dit que
les comtes du Velay et les vicomtes de Polignac en ont fait frapper ou touchent un
droit sur la fabrication des espèces. Une charte du roi Raoul de France, du 8 avril
924, dit bien positivement qu'antérieurement à cette époque les comtes du Velay
possèdent le droit même de fabrication[6]. La première Maison de Polignac est
établie en Velay, au château éponyme, dès le XIe siècle au moins, et possède à cette
date, depuis peut-être un certain temps déjà, le titre vicomtal. La butte de Polignac
est une position défensive très forte. Ses rebords abrupts font office de murailles
d'enceinte. Des mouches percées dans la muraille permettent aux sentinelles de
voir sans être vus. Par conséquent, les seigneurs de Polignac, à l'abri dans leur
forteresse, finissent par devenir les maîtres du pays, les rois de la montagne. Selon
la thèse de Bérangère Dumalle, Les châteaux de l'orbite des Polignac en Velay
(XIIIe-XVIe siècles), possédant une solide assise foncière et la charge vicomtale les
Polignac occupent le premier rang de la noblesse dans la gestion politique du pays
de Velay. La vicomté est la première des dix-huit baronnies aux États particuliers de
Velay. Cette famille prend une part active dans les évènements de l'histoire locale,
par les désordres qu'elle suscite en raison de ses luttes incessantes avec les
évêques du Puy ou des guerres privées qui l'opposent à des familles rivales, ou au
contraire en défendant la contrée face aux troubles venus de l'extérieur. Leur
caractère belliqueux et conquérant fait d’eux les vedettes des chroniques
religieuses des XIe et XIIe siècle. Les comtes d’Auvergne sont assez complaisants à
leur égard[7]. Certains des membres de la première Maison de Polignac sont
respectables et respectés, comme le vicomte Héracle II, qui participe à la première
croisade et y laisse la vie en 1098, à 23 ans. D'autres commettent excès et
brigandages.
Ses parents
La première Maison de Polignac grâce à une politique matrimoniale habile, et qui
dépasse de loin les frontières vellaves avec des possessions en Auvergne, Gévaudan,
Vivarais accroît sa puissance et sa richesse au fil des siècles et devant sans cesse
défier le pouvoir des évêques du Puy, ils se sont élire évêques du Puy ou favorisent
leurs proches parents. Étienne IV de Polignac est évêque du Puy (1073-1077). A sa
mort Adhémar de Monteil lui succède.
Guillaume de Polignac (1030-1075), père d’Héracle II, est souscripteur des deux
chartes des années 1056 et 1062. Il paraît être décédé peu de temps après son
père, et avant l'année 1078[8]. Ce vicomte épouse Auxilende de Tournon, originaire
du Vivarais. La maison de Tournon prend son nom de la ville de Tournon-sur-Rhône,
située en Vivarais, avec un château fort qu'elle a possédé de temps immémorial[9].
Elle est la sœur de Pons, l'un des abbés de l'abbaye de la Chaise-Dieu. D'après les
sources historiques, c'est en 1100 qu'Anselme de Cantorbéry séjourne dans cette
abbaye, donc à la fin de l'abbatiat de Pons de Tournon (1094-1102), cinquième abbé
de Casa Dei. Or celui ci est amené à maintes reprises à passer à Lyon où se trouve
Anselme de Cantorbéry en ce moment en exil. Nous sommes en pleine époque des
préparatifs de la première croisade, décidée par le pape Urbain II, ami et
admirateur d'Anselme de Cantorbéry, croisade dans la préparation de laquelle
l'abbaye de Casa Dei avec ses nombreux prieurés prend une part très active. La
visite du pape dans cette abbaye n'en est que l'illustration éloquente. Pons de
Tournon est évêque du Puy (1102-1112) et succède à Adhémar de Monteil, mort en
même temps que son neveu Héracle II lors du siège d'Antioche.
Guillaume de Polignac et Auxilende de Tournon sont les parents de :

-5191-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 Pons de Polignac (1065-1112), bienfaiteur de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-
Monastier à Le Monastier-sur-Gazeille en 1080. Il se ligue avec Héracle II,
en 1087, contre Adhémar de Monteil, évêque du Puy, au sujet de la
troisième partie du revenu de cette église, que réclament les deux frères.
Après quelques hostilités, les deux partis négocient la paix, et, au moyen
d'une indemnité de 26,000 sous du Puy, les deux vicomtes se désistent de
leurs droits. L'an 1097, le vicomte Pons, ses fils et leurs femmes
approuvent la charte par laquelle Pons et Pierre de Fay, fils de Pons de
Tournon, seigneur de Fay, et d'Agnès de Polignac, aliènent une partie de
leur patrimoine pour subvenir aux frais de l'expédition de la Terre-Sainte.
L'année suivante, le même vicomte, du consentement de Pons, évêque du
Puy, son oncle, de sa femme Élisabeth, et de leur fils Armand, fait une
donation à l'abbaye de Pébrac, au diocèse de Saint-Flour, que gouverne
alors l'abbé Bertrand de Ghasnac. En 1106, ces époux en font une seconde
à l'abbaye de Conques, au diocèse de Rodez. Le vicomte Pons Ier
accompagne à Rome, en 1112, Pons-Maurice de Montboissier, évêque du
Puy, nouvellement élu. Étant mort dans cette ville le 5 septembre de cette
année, on lui faît de magnifiques funérailles, et le pape Paul II le fait
inhumer dans l'église de Saint-Jean de Latran[10]. Pons se marie avec
Élisabeth Montboissier fille de Vir nobilis princeps Hugues Maurice III,
père de Pons II de Montboissier, évêque du Puy (1112-1128) et grand-père
de Pierre le Vénérable[11], de cette famille de Montboissier, est le
neuvième abbé de Cluny dès 1122. Ils sont les ancêtres des membres de la
première Maison de Polignac.
 Agnès de Polignac mariée à Pierre de Fay, croisé.
 Alix de Polignac mariée à Giraudet Adhémar de Monteil, le 18 avril1107.
Giraudet est allé à la première croisade[12] et est le frère d'Adhémar de
Monteil[13]. Troisième fils de Giraud, seigneur de Grignan, de Monteil, de
la Garde, etc., il a par le partage qu'il fait avec ses frères, le 26 décembre
1095, la moitié de Monteil, la seigneurie de la Garde[14].
 Héracle II.

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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Liens externes

Château de Polignac

Iconographie

 Héracle II de Polignac est le porte-étendart de l'Église.


 Le château de Polignac, deux gravures du XIX°s.

1. la forteresse de Polignac [archive]


2. Le concile de Clermont de 1095 et l'appel à la Croisade: actes du Colloque
universitaire international de Clermont-Ferrand (23-25 juin 1995), Par
Conseil régional d'Auvergne, Collaborateur Conseil régional d'Auvergne,
Publié par Ecole française de Rome, Palais Farnèse, 1995, p.52 et Annales,
Par Académie royale d'archéologie de Belgique, v.56 (1904), p.491 et
Dictionnaire biographique de la Haute-Loire, Par Gaston Joubert, Publié
par Editions "Per Lous Chamis", 1982, p.309.
3. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la
chronologie des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes,
& l'état des grandes terres du royaume On a joint le tableau généalogique,
historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une notice des , Par
François-Alexandre Aubert de la Chesnaye des Bois, Badier, Publié par
Chez la veuve Duchesne et l'auteur, 1776, Vol. 11 = Noa – Raz, p.388.
4. Monnaies féodales de France, Par Faustin Poey d'Avant, Publié par Bureau
de la Revue Numismatique Française, 1858, p.343.
5. La noblesse de France aux croisades, Par Paul André Roger, Publié par
Derache, 1845, p.185.
6. Monnaies féodales de France, Par Faustin Poey d'Avant, Publié par Bureau
de la Revue Numismatique Française, 1858, p.343.
7. 1095, le clair obscur: roman de la croisade, Par Jacques Céron, Publié par
EDITIONS CREER, 2005, p.244.
8. Hist. de Languedoc, t. II, p. 54g.
9. Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies
historiques des maisons nobles de ce royaume, Par Nicolas Viton de Saint-
Allais, Publié par au bureau du Nobiliaire universel de France, 1814, Vol.
2, p.447.
10. (Histoire de Languedoc, t. II, pp. 271,; Preuves, col. 8, 308, 345, 349 ;
Gallia Christiana, t. 11, col.59.
11. Surnom attribué par l'empereur Frédéric Barberousse ; Agnès Gerhards,
L'abbaye de Cluny, éditions Complexe, 1992, (ISBN 2870274564), p.74
12. 1ère Croisade [archive]
13. La noblesse de France aux croisades, Par Paul André Roger, Publié par
Derache, 1845, p.166 et Nobiliare universel de France, ou recueil général
des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Par Nicolas
Viton de Saint Allais, 1816, p484.
14. ↑ Revue numismatique, Par Société française de numismatique, Publié par
Blois, 1863, ser.1:t.8, p.418.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) 21-iii-2009, S. de L'Espinay (G. Martin -


Histoire et généalogie de la Maison de Polignac - 2002)23.04.2016
- família: H.de La Villarmois (Remacle) 28 xii 2007, S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Polignac-2002)04.05.2016,

95.187.073c:
-5193-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Céda en 1100, en qualité de prévôt et au nom du chapitre de Brioude, les droits
capitulaires sur les villages de Coltines et de Moret, à Odilon de Mercoeur, doyen.
Sa mort est indiquée comme suit dans l'obituaire de Brioude Le 3e jour des ides de
novembre mourut Guillaume de Polignac, prévôt
Fonts: - persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)04.05.2016

95.187.073d:
Fonts: - persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac-2002)04.05.2016
- família: J-P de Palmas (wikipedia) iv2010, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et
généalogie de la Maison de Polignac - 2002)23.04.2016

95.187.200:
Il fonde à proximité de Chirac le monastère du Saint-Sauveur vers l'an 1060 avec
son frère Aldebert.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) v 2010,JL.Mondanel (généalogie de
Peyre) 30 iii 2011
- família: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) v 2010

95.187.201:
Elle apporta aux peyre de riches possessions en Carladais
Fonts: - persona: J-L. Dega
- família: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) v 2010

95.187.201b:
Il est le neveu d’Aldebert Ier de Peyre, évêque de Mende de 1054 à 1095.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae
Gallicanae – diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) 14 xii 2014

95.187.328:
D'après ES XIV, T. 104, est père d'Etienne III de Mercoeur.
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges")
12v2006, J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- família: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010

95.187.329:
Prénom : Son prénom commence par un "V".
Fonts: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010

95.187.329b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010

95.199.266:
origine des sires de Calmont

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen"
pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 mets les pendules à l'heure..) 7 x 2014, C.Saint-
Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits
hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

-5194-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.200.784:
L'origine de la Maison de Roquefeuil
Se situe en Rouergue où se trouve le marquisat de Roquefeuil.
Son nom se rattache à L'Histoire Générale du Languedoc. C'est l'une des familles
les plus anciennes de cette région.
Au XII°s le seigneur de Roquefeuil n'a qu'une fille Adélaïde, héritière de la Maison
qui épouse en 1129 Bernard d'Anduze, seigneur d'Alès. Il prend le nom de
Roquefeuil, ainsi que ses descendants
La Maison Roquefeuil s'élargit au fil des siècles par d'importantes alliances avec la
puissante noblesse du Quercy, dont à titre d'exemple celle de Gourdon de la
seigneurie de Castelau-Montratier.
En 1317, l'un de ses descendants, Raymond IV représente la noblesse aux États-
Généraux du royaume.

 987, Henri de Roquefeuil aurait été un des électeurs d’Hugues Capet.

Bibliographie

 Chroniques de la Maison de Roquefeuil, par le colonel Daupeyroux,


Clermont-Ferrand, 1926 et 2nde éd., Paris 1996

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (in Le Lien du Centre Généalogique du Finistère n°93 1er
T.2005 par Danielle Le Faou-Machaux, adhérente n°1918Q), Joël Chirol (base
familiale) 19/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05

95.200.785:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05

95.204.288:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
- família: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007

95.204.289:
D'après Noël-Yves Tonnerre (in Naissance de la Bretagne), elle est probablement
issue du lignage des châtelains voisins de Commequiers.

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
- família: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007

95.204.289b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

-5195-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.204.289c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

95.204.289d:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

95.264.768:
Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008

95.264.769:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008

95.264.769c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008

95.264.802:
Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
1x2008

95.264.803a:
Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
1x2008

95.264.803b:
Il donne ses biens à son neveu Pierre Bérenger de Fozières, qui les lègue à
l'abbaye de Gellone avant de partir à Jérusalem. Cette donation est contestée par
Bernard-Raymond de Castelnau, qui soutient qu'Alquier en avait fait donation à son
neveu Raymond de Castelnau, moine d'Aniane et frère du dit Bernard.
C.Saint-Félix (Monique Bourin-Derruau "villages médiévaux") 18ix2014
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 1x2008

95.264.816:
Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008

95.289.856:
A propos de l'Abbaye de Moissac
Vers 1030, au temps de l'abbé Řaimond 1er, l'église abbatiale (probablement celle
qu'avait bâtie Louis le Débonnaire) s'écroula tout à coup. « C'était, » dit Aimery,
qui rapporte l'événement, « le signe précurseur des désordres qui allaient bientôt
éclater . » Et , en effet , la condition du monastère , déjà fort triste depuis
longtemps, ne tarda pas à devenir encore pire. Peu de temps avant sa mort, en
1037 environ, Guillaume III, surnommé Taillefer, comte de Toulouse, imagina de
vendre son abbatiat de Moissac à Gausbert de Gourdon ou de Castelnau ' 1 . La
vente, passée par acte authentique , fut conclue moyennant le prix de trente mille
sous 2. Quant aux droits de suzeraineté , ils furent spécialement réservés par le
comte pour lui et ses successeurs 3. Grâce à ce marché simoniaque, l'abbaye se
trouva donc avoir deux tyrans au lieu d'un.
Tant que Raymond vécut, les moines purent cependant compter encore sur quelque
protection : mais sa mort leva la dernière barrière opposée au désordre.
Maîtres de l'élection, le comte de Toulouse et Gausbert firent tomber le bâton
abbatial aux mains d'une de leurs créatures, Etienne 4, futur complice de leurs
-5196-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
déprédations. Le premier acte de celui-ci fut de confirmer, par une investiture
solennelle, l'abbatiat militaire à Gausbert de Gourdon. Livrée à de pareils
défenseurs, l'abbaye ne tarda pas à devenir une véritable caverne de larrons. «Ex
post,» dit Aimery, «dictum monasterium fuit submfssum, penitus destructum et
desolatum et ille [Petrus], qui fuit destructor dicti mouasterii pocius quam
constructor, in locum socii, seu pocius « subdicti, postmodum habuit superiores

in L'abbaye de Moissac. Notes d'un voyage archéologique dans le sud-ouest de la


France., Bibliothèque de l'école des chartes, 1850, vol. 11, n° 1, pp. 89-147, de
Jules Marion.

Références

1. . Castelnau de Vaux, plus tard Castelnau de Montratier, Lot,


arrondissement de Cahors. — Cette seigneurie appartenait à la maison de
Gourdon, dès la fin du douzième siècle; d'où la conjecture très-plausible
que Gausbert, seigneur de Castelnau , était en même temps de la maison
de Gourdon.
2. . Environ 150,000 francs de notre monnaie actuelle.
3. . Ann. ord. S. Bened., IV, p. 627; Gall, christ,, I, col. 161; Hist, de
Languedoc, II, p. 176; Chron. ď Aimery de Peyrac, loi. 157 r°; Chron. ms.
du Quercy. — Le titre d'abbé-chevalier (abbas miles) paraît ici pour la
première fois. Jusque-là, les comtes de Toulouse l'avaient confondu avec
leur titre plus relevé de seigneurs suzerains : mais ils n'en possédaient pas
moins tous les droits et privilèges attachés par un long usage à l'abbatiat
militaire. Ces expressions de la Chronique de Moissac (dans le Recueil des
Hist, de France), « que Gausbert en fut le premier abbé-chevalier, »
doivent donc être entendues en ce sens, qu'il fut le premier qui posséda
l'abbatiat militaire détaché de la suzeraineté, et nullement qu'il fut revêtu
par le comte de Toulouse de fonctions créées tout exprès pour lui, ainsi
qu'on pourrait l'induire des termes équivoques du chroniqueur : « Eidem
cœnobio Pondus comes prac- fecit abbates milites, et primus abbas miles
fuit Gausbertus. »
4. . Aimery de Peyrac donne à cet abbé le nom de Pierre. Le nom d'Etienne,
adoplé par le Gallia Christiana (I, col. 161), est d'ailleurs confirmé par le
texte d'une charte (Cartul. de Moissac, I, p. 67).

Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (L'abbaye de Moissac. Notes d'un voyage
archéologique dans le sud-ouest de la France., Bibliothèque de l'école des chartes,
1850, vol. 11, n° 1, pp. 89-147., de Jules Mrion) vii2009
- família: J-L. Dega

95.289.857:
Fonts: - família: J-L. Dega

95.289.872:
Fonts: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

95.289.873:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

95.289.873a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

-5197-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.289.873b:
Fonts: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

95.289.873c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

95.290.384:
Participa à la Première Croisade aux côtés de Godefroy de Bouillon.
Fonts: - persona: ? / G.Millet (Histoire de la Maison de Rochechouart, Histoire et
Généalogie de la Maison de Rochechouart - wikipedia)

95.290.385:
Fonts: - persona: ? / G.Millet (Histoire de la Maison de Rochechouart, Histoire et
Généalogie de la Maison de Rochechouart - wikipedia)

95.290.624:
En 1090, il reprend le marché de Clermont-Dessus (Clermont-Soubeyran) aux
moines de Saint-Maurin en même temps que le font ses deux frères.
En 1115, il est qualifié de "milès" (chevalier), et est encore cité en 1128.
Fonts: A.Euverte ( Henri Guilhamon : "La maison de Durfort au moyen âge" ) 08 v
2006

95.290.625:
Fonts: - família: A.Euverte ( Henri Guilhamon : "La maison de Durfort au moyen
âge" ) 08 v 2006

95.290.752:
Bibliographie

 Famille de Got, d'après M.Smaniotto

Fonts: - persona: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web), J-P.de Palmas
(M.Smaniotto) 8 v 2016
- família: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web)

95.290.753:
Fonts: - família: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web)

95.296.544:
EBLES de Ventadour, son of ARCHAMBAUD [II] Vicomte de Comborn & his wife
Rotburga de Rochechouart (-1095). The Chronicon Gaufredi Vosiensis names
"Archambaldum, Ebolum atque Bernardum" as children of "Archimbaldus qui
vindicavit patrem et occidit fratrem" and his wife "Rotberga sorore Vicecomitis de
Rupecavardi", adding that they divided their territories between them, Ebles taking
"castrum de…Ventadour"[1218]. The cartulary of Tulle St Martin records a
donation by "Ebalo de Ventedor vicecomiti et fratri germano Archambaldi
vicecomitis de Combor" dated [1035][1219]. Vicomte de Ventadour. A charter
dated Apr 1059 records the absolution of "Archambaldi vicecomitis, Eboli et
Bernardi fratrum eius", and names "quorum pater Archambaldus"[1220].
"Arcambaldus vicecomes et Ebolus frater meus et Boso consanguineus meus et
Bernardus frater meus" donated property "in villa…Virola" to Uzerche by charter
dated 1062[1221]. "Rotberga vicecomitissa, uxor Arcambaldi vicecomitis, cum filiis
meis Arcambaldo et Ebolo atque Bernardo" donated "duo mansi…al Maisil in
parrochia Sancti Pardulfi de Ortegeiras" to Uzerche by charter dated 7 Jan
-5198-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1068[1222]. "Vicecomes Arcambaldus" donated "ecclesiam de Maismac" to
Uzerche, with the consent of "mater mea Rotberga et Ermengardis uxor quondam
mea, fraterque meus Bernardus et filius meus Ebolus" but excluding "frater meus
Ebolus" who withheld his consent, by charter dated 3 Feb 1085[1223]. The dating
clause of a charter of Uzerche dated to [1086/96] names "Eboli vicecomitis,
Bernardi fratris eius"[1224]. "Ebolus vicecomes, Aalmodis uxor eius, filii
Archambaldus et Ebolus, Geraldo abbate, Bernardus vicecomes frater predicti
Eboli" are named in a charter of Uzerche dated to [1094][1225]. The cartulary of
Tulle St Martin records a donation by "Archambaldus Ebalus vicecomes de
Ventedorn, pater Arcambaldi et Ebali in infirmitate qua defunctus est fuit
monachus Sancti Martini Tutelensis" dated 1095, followed by another charter
dated 1096 "post mortem vero ipsius Ebali" in which "uxor eius Almodis et filii eius
Arcambaldus et Ebalus" made another donation[1226].

m firstly MARIE de Limoges, daughter of ADEMAR [II] Vicomte de Limoges & his
first wife Humberge d'Angoulême. The primary source which confirms her
parentage and marriage has not yet been identified.

m secondly ALMODIS de Montbron, daughter of --- (-after [1094]). The Chronicon


Gaufredi Vosiensis names "Almode sorore Alduini Borrel, patris Roberti de
Monbrond" as wife of "Ebolus de Ventadour" and mother of "Ebolum"[1227].
"Ebolus vicecomes, Aalmodis uxor eius, filii Archambaldus et Ebolus, Geraldo
abbate, Bernardus vicecomes frater predicti Eboli" are named in a charter of
Uzerche dated to [1094][1228].

Vicomte Ebles & his second wife had two children.


[1218] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 24, RHGF XII, p. 424.
[1219] Tulle Saint-Martin, 290, p. 174.
[1220] Uzerche, 310, p. 196.
[1221] Uzerche, 446, p. 252.
[1222] Uzerche, 464, p. 263.
[1223] Uzerche, 46, p. 78.
[1224] Uzerche, 336, p. 202.
[1225] Uzerche, 448, p. 253.
[1226] Tulle Saint-Martin, 401, p. 220.
[1227] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 24, RHGF XII, p. 424.
[1228] Uzerche, 448, p. 253.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG), JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "Les
vicomtes de Comborn") 5 i 2014
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xi 2016
- família 2: J-P.de Palmas (FMG)

95.296.545:
ALMODIS de Montbron, daughter of --- (-after [1094]). The Chronicon Gaufredi
Vosiensis names "Almode sorore Alduini Borrel, patris Roberti de Monbrond" as
wife of "Ebolus de Ventadour" and mother of "Ebolum"[1227]. "Ebolus vicecomes,
Aalmodis uxor eius, filii Archambaldus et Ebolus, Geraldo abbate, Bernardus
vicecomes frater predicti Eboli" are named in a charter of Uzerche dated to
[1094][1228].

Vicomte Ebles & his second wife had two children.

[1227] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 24, RHGF XII, p. 424.

-5199-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1228] Uzerche, 448, p. 253.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 16 v 2014
- casament 1: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit)
- família 1: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)
- família 2: J-P.de Palmas (FMG)

95.296.545a:
ARCHAMBAUD (-after [1113/22]). "Ebolus vicecomes, Aalmodis uxor eius, filii
Archambaldus et Ebolus, Geraldo abbate, Bernardus vicecomes frater predicti
Eboli" are named in a charter of Uzerche dated to [1094][1229]. The cartulary of
Tulle St Martin records a donation by "Rotberga vicecomitissa annuente Bernardo
filio suo" authorised by "Archambaldus vicecomitis de Ventedor et Ebalus fratres
cum matre sua Almodi de Montberolf ad obitum viri sui Ebali vicecomitis" dated
1095[1230]. Vicomte de Ventadour.

[1229] Uzerche, 448, p. 253.

[1230] Tulle Saint-Martin 347, p. 201.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG)

95.296.556:
Fonts:
- família: JB de La Grandière (Chantal Senseby "Peuplement et Société en Touraine
Méridionale pp 660/671 -Faye- Paris 1996) 10 ix 2009

95.296.557:
Fonts:
- família: JB de La Grandière (Chantal Senseby "Peuplement et Société en Touraine
Méridionale pp 660/671 -Faye- Paris 1996) 10 ix 2009

95.296.558:
http://www.cn-telma.fr/originaux/charte4849/ pour valider un fils : Guillaume JBLG

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou 38: Doué)
16/02/2007, JB.de La Grandiere ( « Charte Artem/CMJS n°4849» [En ligne] ) 15 x
2012
- família: Y. Gobilliard (16-7-06)

95.296.559:
Fonts:
- persona: E.Visseaux (J.M.Gil), J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou
38: Doué) 16/02/2007
- família 1: E.Visseaux (J.M.Gil), Y. Gobilliard (16-7-06), J-C de Vaugiraud (Dict. gén.
des familles de l'Anjou 38: Doué) 16/02/2007
- família 2: Y. Gobilliard (16-7-06)

95.296.559a:

-5200-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
http://www.cn-telma.fr/originaux/charte4849/ pour valider son père

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (« Charte Artem/CMJS n°4849» [En ligne] ) 15 x 2012
- família: J-P.de Palmas (racineshistoire.free.fr - Seigneurs de Montsoreau) 19 vi
2016

95.296.559-1a:
Mentionné avec ses parents et ses frères dans une charte de 1096.
Est témoin en 1120 de la donation de son beaufrère au prieuré de Chemillé.
J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, T. 3, P.149-150) 29/05/2010

Fonts:
- persona: E.Visseaux (J.M.Gil), J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou
38: Doué) 16/02/2007
- família: E.Visseaux (J.M.Gil), J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou
38: Doué) 16/02/2007

95.296.559-1b:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou 38: Doué)
16/02/2007, JB.de La Grandiere ( Teddy Véron in L'Intégration des Mauges à
l'Anjou -Chemillé-, Université de Limoges 2007 p. 137/142) 15 x 2012
- família: J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou 38: Doué) 16/02/2007

95.296.559-1c:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou 38: Doué) 16/02/2007

95.296.559-1d:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou 38: Doué) 16/02/2007

95.296.559-1e:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou 38: Doué) 16/02/2007

95.296.559-1f:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de l'Anjou 38: Doué) 16/02/2007

95.296.864:
Prit la croix en 1120.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Recherches historiques sur le département de l'Ain,
Volumes 1-3 Par Agricole Charles Nestor Lateyssonnière, 1838) x2009
- família: J-P.de Palmas (Recherches historiques sur le département de l'Ain,
Volumes 1-3 Par Agricole Charles Nestor Lateyssonnière, 1838) x2009

95.296.865:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Recherches historiques sur le département de l'Ain,
Volumes 1-3 Par Agricole Charles Nestor Lateyssonnière, 1838) x2009

-5201-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.296.865b:
En 1153, Humbert II de Baugé, archevêque de Lyon, abdiqua et il se retira à
Seillon, près de Bourg. Il y avait en cet endroit un prieuré de l'ordre de St Benoît, il
en fut nommé prieur.
Guichenon soutient, contre Paradin et Severt, que ce prieuré n'était pas encore une
chartreuse. Cet archevêque se retira du monde l'année après la mort de son frère.
Il dut être un bienfaiteur pour ce prieuré.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Recherches historiques sur le département de l'Ain,
Volumes 1-3 Par Agricole Charles Nestor Lateyssonnière, 1838) x2009

95.296.928:
Fit plusieurs donations en 1080 et 1099 avec son fils et son frère Amblard.

Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour
du Pin-2006)26.11.2017
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour
du Pin-2006)26.11.2017

95.296.929b:
Fonts:
- persona: Ph.Hennet (Généalogie : La Tour des Bains), S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire et généalogie de la Maison de Clermont-Tonnerre-2eme édition-
2004)15.08.2010
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour
du Pin-2006)26.11.2017, S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la
Maison de Clermont-Tonnerre)13.12.2017

95.297.016:
Guglielmo IV degli Aleramici (1030 – 1100) fu marchese del Monferrato.

Non si conosce la data di nascita di Guglielmo IV, ma la si potrebbe collocare tra il


1030 e il 1035. Era figlio di Ottone II e di Costanza di Savoia.

Viene citato per la prima volta in un documento del 1059 redatto a Savona, nel
quale egli limita il suo potere sulla città, probabilmente indotto dalle richieste della
cittadinanza.

In un altro documento, del 1093, nel quale Enrico IV del Sacro Romano Impero
dona il monastero di Breme alla chiesa di Pavia, viene citato tra i presenti anche il
marchese Guglielmo.

L'atto più importante che riguarda Guglielmo IV è però datato 15 settembre 1096,
nel quale Uvilielmus marchio filius quondam Uvilielmi et Ota iugalis eius filia
quondam Tebaldi et Uvilielmus filius presicti Uvilielmi et Ote, et Oto filius item
Otonis, seu Petrus filius Roberti, atque coniunx eius Ermengarda filia predicti
Tebaldi et Tezo filius iamdicti Petri et Ermengarde concedono alla chiesa di Santo
Stefano di Allein i diritti che essi possedevano sulla stessa.

Dal matrimonio con Otta di Aglié, Guglielmo ebbe il figlio successore Ranieri. Dal
precedente matrimonio, nacquero altri due figli, dei quali non si conosce quasi

-5202-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
niente.

http://it.wikipedia.org/wiki/Guglielmo_IV_del_Monferrato

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

95.297.017:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

95.297.020:
pour faire suite à une demande de Pierre Colin (Forum du 3/9/2009) je confirme la
date de sa mort mais infirme les données sur son épouse : JB.de La Grandiere
(Europaïsche Stammtafeln révision T I-1 p 84 -Babenberg- par Viktor Klostermann
Francfort 1998) 4 ix 2009

Fonts:
- defunció: JB.de La Grandiere (Europaïsche Stammtafeln révision T I-1 p 84 -
Babenberg- Francfort 1998) 4 ix 2009

95.297.021:
IDA (-after 1101). The Codex Traditionum of Formbach monastery records a
dispute with Suben monastery, and names "due…sorores Touta et
Himildrud…nobilissimis" and "filios Meginhardi comitis Odalricum et Hermannum
ac filios Tiemonis Ekkebertum et Heinricum et domnam Itam"[533]. same person
as…? IDA von Ratelberg (-Asia Minor [Sep] 1101 or after). According to
Europäische Stammtafeln[534], the wife of Luitpold II Markgraf of Austria was the
daughter of Graf Thiemo [II], although the primary source on which this is based
has not yet been identified. The chronology is not favourable for this hypothesis in
view of Graf Thiemo's death being recorded in 1040. If this paternity was correct,
Ida would have been about twenty years older than her husband, and at least in her
early to mid-forties when she gave birth to her son Luitpold, which seems
improbable. The primary source which confirms her name "von Ratelberg" has not
yet been identified. The Auctarium Mariaecellense in 1100 records that "Ita
marchionisse Austrie, Liupoldi marchionis relicta" left for Jerusalem[535]. Albert of
Aix records that "Guillaume comte et prince du Poitou de la famille d'Henri III
empereur" crossed Hungary peacefully with Welf Duke of Bavaria and "la noble
comtesse Ida de la marche d'Autriche", entered the territory of the Bulgars in
which "le duc des Bulgares nommé Guzh" refused their passage into
Adrianople[536], undated but a passage adjacent to this text records events in
1101. The army was scattered after being defeated by the Turks near Tarsus in
Asia Minor in [Sep] 1101. It is not known what happened to Markgräfin Ida, but
she was presumably killed. Albert of Aix says that "some say that she was taken
into permanent exile in the kingdom of Khorazan[537]. According to later legend,
she ended her days in a harem where she gave birth to the Muslim hero Zengi: the
Historia Welforum records that "Itam comitissam, matrem Leopaldi marchionis
orientalis" was kidnapped by "unus de principibus Sarracenorum…ex eaque
Sanguinem illum sceleratissumum, ut aiunt, progenuit"[538].

m LUITPOLD II Markgraf of Austria, son of ERNST Markgraf of Austria & his first
wife Adelheid von Meissen [Wettin] ([1058/63]-12 Oct 1095, bur Gars).

[533] Codex Traditionum Monasterii Formbacensis, CCCLVIII, Urkundenbuch des

-5203-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Landes ob der Enns, Vol. I, p. 729.

[534] ES XVI 37.

[535] Auctarium Mariaecellense 1100, MGH SS IX, p. 647.

[536] AA II.VIII, p. 32.

[537] AA II.VIII, p. 35.

[538] Historia Welforum Weingartensis 13, MGH SS XXI, p. 462.

Sa mère est inconnue


On ne connait que son père qui ne serait pas RADPOTO IV comme indiqué par une
"source du net" sur "roglo" mais Thiemo II (Thiemar) graf von Formbach, graf im
Schweinachgau, mort au combat enn Bohême, JB.de La Grandiere (Europaïsche
Stammtafeln t XVI p 37 -Formbach- Marburg 1995) 4 ix 2009

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europaïsche Stammtafeln t XVI p 37 -Formbach-
Marburg 1995) 4 ix 2009, J-P.de Palmas (FMG) 5 iii 2015

95.297.021d:
Fonts:
- família 1, família 2: Hervé Balestrieri ( Karl Lechner : "Die Babenger und
Österreich" in "Der Bindenschild, Darstellung aus dem Kultur-und Geisteisleben
Österreichs", Heft 6, Wien 1947 ) 09.07.2015

95.384.832:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "comtes de
Fezensac") 3 i 2014
- defunció: Smaniotto
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

95.384.833:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

95.384.833b:
JBLG : son surnom doit être lié à l'épiscopat..

FMG le cite comme oncle d' Astanove de Fezensac

restored property to Sainte-Marie d´Auch and to "Raimundo archiepiscopo


avunculo meo" by charter dated to [1040][1356].

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "comtes de Fezensac") 3 i 2014

95.384.833c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "comtes de Fezensac") 3 i 2014
-5204-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.385.664:
Il fut fait abbé séculier de l'abbaye de Moissac par Alfonse Jourdain, comte de
Toulouse, bien que le droit de nomination fut alors contesté par les moines de cette
abbaye. L'an 1115, il abandonna à l'abbaye certains droits et revenus qu'il
revendiquait au monastère.

Il se désista de son droit de gîte moyennant la somme de 1.225 sols, monnaie de


Cahors équivalant à 55 marcs d'argent, et fut autorisé à faire ce désistement par
une charte que lui octroyèrent, en 1125, Alfonse Jourdain, comte de Toulouse, et
d'autres personnages considérables. C'est peut-être le même Gaubert de Fumel qui
signa, en 1165, avec plusieurs seigneurs, le traité de paix fait entre Raymond,
comte de Toulouse, et le vicomte Raymond de Trincavel. (Hist. du Lang., Cart. de
Moissac, Arch. de Fumel et de Foix, Bibl. Imp.)

Fonts:
- persona: A.Euverte(Nobiliaire de Guyenne et Gascogne Tome I)15.viii.2007, J-P.de
Palmas (C.H.G.H.47 - de Fumel) 27 viii 2015
- naixement: A.Euverte(geneanet les cousins réunis par Jean Thiebaut)12.I.2009
- família: A.Euverte(Nobiliaire de Guyenne et Gascogne Tome I)15.viii.2007

95.385.665:
Fonts:
- família: A.Euverte(Nobiliaire de Guyenne et Gascogne Tome I)15.viii.2007

95.385.710:
Isaac Komnenos or Comnenus, Isaakios Komnenos; c. 1113 - after 1154), was the
third son of Byzantine Emperor John II Komnenos by Piroska of Hungary

Life

Shortly before his death in 1143, John II Komnenos designated his fourth son
Manuel as his heir, although the third son, Isaac, was still alive. At the time Isaac
was conducting the body of his eldest brother, the co-emperor Alexios Komnenos,
back to Constantinople.

Manuel had the powerful backing of the megas domestikos (commander-in-chief of


the army) John Axuch who took control of the capital before Isaac learned of his
father's death and could make any bid for the throne. Axuch was faithful to the
wishes of John II, although he is recorded as having tried hard to persuade the
dying emperor that Isaac was the better candidate to succeed. Although some of
the clergy, the people and the military, thought that Isaac was better fit to rule, he
had to resign himself to his younger brother's accession.[1]

In 1145-1146 he campaigned with him against the Seljuk Turks in Anatolia.


Although the relationship between the brothers remained uneasy, there was never
an open conflict, and Isaac enjoyed the court dignity of sebastokrator. The
marriages of Isaac's daughters served as useful tools of Manuel's foreign policy.

Family

By his first wife, Theodora, Isaac had five children: Alexios Komnenos. Irene
Komnene, who married an unnamed Doukas Kamateros and became the mother of
Isaac Komnenos of Cyprus. John Komnenos. Anna Komnene, who married
Constantine Makrodoukas. Maria Komnene, who married King Stephen IV of

-5205-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Hungary.

By his second wife, Irene Synadene, Isaac had two daughters: Theodora Komnene,
who married King Baldwin III of Jerusalem. Eudokia Komnene, who married
William VIII of Montpellier.

Notes

1.^ Magdalino, p. 195

References
K. Varzos, E genealogia ton Komnenon (Thessalonica, 1984) vol. 1 pp. 391-398.
P. Magdalino, The Empire of Manuel I Komnenos 1143-1180, Cambridge
University Press, 1993.

Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Isaac_Komnenos_(d._1154)

Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2, Aurejac, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base
William Hay) 21 vii 2009
- família 1: R.Dewkinandan> WW-2, o guionneau, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet,
base William Hay) 21 vii 2009
- família 2: R.Dewkinandan> WW-2

95.385.711:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

95.385.711a:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família 2: R.Dewkinandan> WW-2

95.385.711-1a:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Collenberg

95.385.711-1b:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.385.711-1c:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2

95.385.711-1d:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/Collenberg
- família: H.R.Moser/Collenberg

95.385.711-1e:
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2, H.R.Moser/Collenberg, Jean-Marie Thiébaud
-5206-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(Geneanet, base William Hay) 21 vii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base William Hay) 21 vii 2009

95.385.714:
ARNAUD [III] (-before 1180). "Arn. de Aura, W. Tort sos frair" swore homage to
Centule [III] Comte de Bigorre by charter dated to [1170][1165].

m ---. The name of Arnaud’s wife is not known.

Arnaud & his wife had one child.

[1165] Jaurgain (1902), p. 400, quoting Cartulaire de Bigorre (copies de Bordeaux,


fo. 25, de Pau xv siècle fos. 10 vo.-17).

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG, citing : Jaurgain) 22 ii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 22 ii 2017

95.385.715:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 22 ii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 22 ii 2017

95.387.652:
Fonts:
- persona: R.Sekulovich (pierfit) 11 iv 2013
- família: R.Sekulovich (pierfit) 11 iv 2013

95.401.488:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer, A.Euverte
(geneanet/robloth)
- família: A.Euverte (geneanet/robloth), D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par
Robert Cramer, J-P.de Palmas (Saint-Allais tome VII) 30 xi 2014

95.401.489:
Fonts:
- família: A.Euverte (geneanet/robloth), D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par
Robert Cramer, J-P.de Palmas (Saint-Allais tome VII) 30 xi 2014

95.401.489b:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer

95.401.489c:
Fonts:
- persona: A.Euverte (geneanet/robloth)
- família: H.R.Moser/G.Martin/107

95.401.489d:
Selon nos connaissances actuelles, Roncelin de Fos, l'auteur présumé des statuts
secrets de l'ordre des templiers, serait le cadet de quatre enfants du seigneur
Roger I de Fos et de Tiburgette de Baux, fille de Guillaume III de Baux, co-prince

-5207-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'Orange. Roncelin serait né aux environs de 1205 à Marseille et serait décédé à la
maison du Temple de Sainte-Eulalie-de-Cernon vers 1280

Pour Daniel PRADIER , Roncelin de Fos n'est pas le fils d'Amiel de Fos mais son
petit-fils. Extrait de son ouvrage Les Templiers. Comtat- Venaissin, Avignon, Pays
d'Arles , étude historique; Tours; 1986, p.122 :

" Amiel sut tirer son épingle du jeu en rendant, pour la première fois dans l'histoire
de Fos, l'hommage aux Barcelone et ramener ainsi la paix dans ses états. L'acte,
passé à Perpignan en avril 1196 se trouve aux archives d'Aix en Provence. Sur ce
document on voit la croix à triple pointe, signature d'Amiel de Fos qui
probablement ne savait pas écrire. A l'issue de ces évènements, Amiel fut
surnommé le Grand Marquis par ses vassaux et ses vilains d'Hyères. Il mourut aux
environs de 1215. Il avait épousé Adélaïde de Laidet, Dame de Lavera. Six enfants
leurs étaient nés. Bertrand, l'aîné, que l'on retrouve souvent dans les actes aux
côtés de son père, mourut sans postérité. Guy qui fut archevêque d'Aix en Provence
décéda en 1212. Roger sur lequel nous reviendrons. Mabile, la dame d'Hyères,
l'âme de la résistance provençale aux prétentions de Charles 1er d'Anjou et qui
épousa Rostaing d'Agoult, seigneur de Sault. Hugotte qui épousa Geoffroy Icart,
co-seigneur d'Hyères, et enfin Cécile qui selon toutes probabilités ne dépassa pas
l'âge de vingt ans. Roger donc, épousa Tiburgette des Baux, fille de Guillaume III
des Baux, prince d'Orange et de Valpurge, maison d'Agoult. Quatre enfants
naquirent de leur union. Philippe qui abandonna le nom de Fos pour relever les
armes de sa grand-mère paternelle, Lavera. Il fut grand sénéchal de Provence sous
Charles II d'Anjou. Guillaume ensuite qui s'allia également avec le comte de
Provence et lui obtint d'importantes victoires en Italie. Puis la troublante Bellière
qui enflamma le coeur de moult troubadours avant d'en épouser un en la personne
de l'attachant Boniface de Castellane, seigneur de Gabert. Enfin Roncelin, maître
du Temple en Provence qui naquit très vraisemblablement à Marseille (son père
résidait dans cette ville puisque son oncle Bertrand vivait seul à Hyères. Mais des
historiens, sans aucune preuve, l'ont fait naître à Bormes les Mimosas ? ) aux
environs de 1205 et disparu en la Maison du Temple de Sainte-Eulalie-de-Ceron
vers 1280, 1290."

L'auteur donne comme référence p. 121 note 7: de SAINT-ALLAIS ; Nobiliaire


universel de France; Tomes VII et IXX; Paris; Réedition de 1873/1874

En 1264, Roncelin de Fos recevra dans la commanderie de Richerenches en


Provence le chevalier Raimbaud de Caron – qui sera plus tard commandeur de la
terre à Chypre, et qui fera partie des dignitaires du Temple qui suivront le grand-
maître Jacques de Molay jusqu'à son arrestation dans l'enclos du Temple de Paris.
Raimbaud de Caron est soupçonné être le successeur de Roncelin de Fos à la tête
du parti conservateur au sein du Temple. Il décèdera pendant le procès suite aux
tortures infligées par les inquisiteurs.

La Commanderie de Sainte-Eulalie-de-Cernon

Sainte-Eulalie de Cernon fut la principale commanderie du Larzac. Guillaume de


Sonnac, élu dix-huitième grand-maître de l'Ordre en 1247, en est originaire.

Le village a été fortifié par les Hospitaliers en 1442-1443.

La Maison templière du Château de Tortose en Syrie

-5208-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Le château de Tortose se situait au bord de la mer Méditerranée dans le Comté de
Tripoli au nord de Tripoli au Liban.

Ruines du château de Tortose.

Bibliographie

 Blog concernant l'œuvre de Rudolf Steiner

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Saint-Allais tome VII et Daniel PRADIER, Les Templiers.
Comtat- Venaissin, Avignon, Pays d'Arles , étude historique; Tours; 1986 ) 30 xi
2014

95.401.491:
Elle est nièce de Guillaume Augier, également seigneur de Riez.
Son sceau repésente "d'un côté, une femme à cheval tenant un oiseau sur le poing,
de l'autre un écu et une épée mise en pal, dans son fourreau, avec son baudrier et
la légende illum domine Agnete de Regio, sceau d'Agnès, dame de Riez".
Elle fit son testament le 15 novembre 1242 et mourut avant le 25 février 1246. Ce
testament fut contesté par son mari et ses enfants en ce qui concerne certaines
dispositions prises en faveur de l'évêque de Riez, ville dont Agnès fut la
bienfaitrice.

Elle apporte en dot la terre d'Allemagne, au Sud-Ouest de Digne.

Fonts:
- persona: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin)04.vi.2009
- casament: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par
Georges Martin)04.vi.2009
- família: J-P de Palmas (Borel d'Hauterive, 1886) iv-2009

95.401.491a:
Premier baron de Provence, fut déclaré majeur en 1236. Son père lui fit la donation
de la principauté de Castellane le 4 mai 1247, et un peu plus tard de ses droits sur
-5209-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Riez. A cette époque,les seigneurs de Castellane diposaient de très imprtantes
prérogatives, justice, droits comtaux comme l'albergue, et n'acceptaient l'autorité
du comte de Provence qu'à la suite de rapports de force.
En 1251, il conduisit ses hommes au secours de Marseille. Charles d'Anjou ayant
gagné, il fut banni de Provence.
Le 11 juillet 1252, il codifia, par acte de souveraineté, la coutume de Castellane et,
le 26, fut témoin du traité de paix signé entre Charles d'Anjou et Marseille.
Bien qu'on le voit en diverses circonstances dans l'entourage de Charles d'Anjou, il
était hostile aux Français. Dès 1255, il prit le parti de Béatrice de Savoie en
désaxccord avec son gendre Charles Ier et entra en lutte avec celui-ci. Il fut
compris nommément dans le traité de Paris du 6 novembre 1256 conclu sous la
médiation de Saint-Louis.
Il annula, en juillet 1257, les anciennes coutumes à Castelleane établies par ses
prédécesseurs.Toujours en 1257, il lia partie avec les Marseillais révoltés.Il assista
au traité signé la même année entre les Marseillais et Barral des Baux. Lorsque
ceux-ci se révoltèrent de nouveau, en 1262, ils firent appel à Boniface qui réunit
une armée et une flotte. Il emporta, à Marseille, le château de Saint-Marcel où il
mit une garnison et, sur mer, porta la guerre jusqu'à Toulon. Charles d'Anjou
confia une armée à Barral des Baux qui investit Marseille. Dès juin, Boniface avait
quitté la ville avec ses troupes et était allé organiser la défense de Castellane. Le
comte de Provence arriva sous les murs de la foreresse le 12 aoûtet ne put
l'emporter qu'après deux mois. Boniface s'enfuit par un souterrain quand toute
résistance s'avéra impossible. Charles d'Anjoun réunit la baronnie de Castellane au
domaine comtal. Dès lors, il ne fut plus question de lui, mais le silence des textes et
d'autres indices prouvent qu'il ne fut pas exécuté, comme on l'a dit. La ville de
Castellane fut confisquée, mais les autres biens des Castellane leur furent
conservés.

Maison de Castellane :

Origine : PROVENCE. Cette maison est jugée issue de Thibaut, comte d'Arles.
Eldebert, sire de Castellane, est citée en 1009. La maison de Castellane posséda
Castellane en toute souveraineté, et ce n'est qu'en 1183 qu'elle dut rendre
hommage au roi d'Aragon, comte de Provence.
Armes : De gueules au château sommé de trois tours, maçonné de sable, la tour du
milieu plus élevée que les autres.
Devise : " May d'Honour que d'Honour ! "

Admise neuf fois aux Honneurs de la Cour entre 1749 et 1787, la maison de
Castellane a donné onze archevêques ou évêques, cent chevaliers de Malte de 1380
à 1795, un maréchal de France, des ambassadeurs, des chefs d'escadres, des
lieutenants généraux
Sources : Cartulaire de Saint Victor; Artefeuil; Pithon-Curt; Briançon; Icard; Isnard;
P.O. 613; Doss.bleus, 157; Carrés d'Hozier, 156; Cab. d'Hozier, 79; Nouveau
d'Hozier, 84.

Fonts:
- persona: O.Martel (site podeor), Paul de Boisgelin (Titres authentiquesD.de La
Barre de Raillicourt),Paul L. de Boisgelin (Les vieux noms de France, M.L.
d'Armagnac), O.Martel (site podeor),A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison
de Castellane par Georges Martin)04.vi.2009
- família 1: H.R.Moser/G.Martin/24, J-P de Palmas (Borel d'Hauterive, 1886 & La
Chesnaye-Desbois, t.IV) iv-2009
- família 2: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois, t.IV) v2009

95.401.491c:
Fonts:
- persona: C.Faucherand (Louis Barthélemy, "Inventaire des Chartes de la Maison
-5210-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Baux", p.543.) 5 ii 2015
- família: C.Faucherand ( Jacques Cru, "Histoire des gorges du Verdon", 2001 ) 15 ii
2015

95.401.491d:
Hugues de Baux, seigneur d'Allemagne, est majeur en 1257. Le 30 juin 1257, par
un acte passé à Allemagne, il confirme une vente. Il est cité dans une transaction
datée du 20 juillet 1263.

JB de La Grandière 8/6/2015
Hugues dont la descendance et l'ascendance sont Castellane est dit "des Baux".
Il était seigneur de :
- Allemagne-en-Provence (04)
-Riez (04)
-Saint-Martin-de-Brômes (04)
-Castellet
-La Robine
-Argens
-Barrême
-Thorenc, à Andon (04)
-Saint-Tropez (83)

Fonts:
- persona: C.Faucherand (Louis Barthélemy, "Inventaire des Chartes de la Maison
de Baux", p.543) 5 ii 2015

95.401.491e:
Il est mentionné dans un acte du 7 mars 1245.

Fonts:
- persona: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin)04.vi.2009

95.401.491f:
On la trouve dans une transaction du 16 mai 1260, comme ayant les droits de
Béatrix de Villeneuve, femme d'Hugues des Baux.

Fonts:
- persona: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin)04.vi.2009
- família: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin)04.vi.2009

95.401.491-1a:
Auteur des seigneurs de la Verdière, dont sont issus les seigneurs d'Esparron & de
Novejean.
"De Boniface de Galbert sont issus les Castellane de Salernes, Entrecasteaux,
Grignan, Esparron, Fos, etc."

Sans jamais le trahir, son frère aîné Boniface de Galbert, seigneur de Peyroules,
Salernes, etc., a fait preuve de plus de circonspection, s'est efforcé de rester à
l'écart des folles bravades. Sa propre femme, Sibille, est allée mourir loin de
Castellane après avoir reconnu, bon gré mal gré, le comte comme héritier
universel. Et c'est sans doute parce que son parent Féraud manquait d'ardeur dans

-5211-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
la solidarité, qu'il avait fait le siège de son château de Piégut.

Ce qui n'empêchera pas Charles d'Anjou, à la tête du royaume de Naples et de


Sicile, de sanctionner des hommes, assurément aussi mal disposés à son égard que
modérés, en les éloignant de Provence et les investissant de hautes charges en
Italie du Sud. Mais dignités et fiefs n'apaiseront leurs ressentiments ni ne leur
feront oublier la Provence. Bien que Boniface de Galbert ait finalement reçu un
domaine important dans la région des Abruzzes, à sa mort, son fils Réforciat, par
défi à l'Angevin autant que par attachement à la "nation" provençale, abandonnera
le nom de Galbert pour prendre celui de Castellane."

(Jacques Cru, "Histoire des Gorges du Verdon", 2001). Ch. Faucherand, 15 ii 2015.

Boniface de Gaubert, fils de Boniface de Castellane, est justicier de la Terre de


Labour entre 1267 et 1270, ainsi que du comté de Molise en 1269. Il reçoit un fief
dans les Abruzzes en août 1269. Réforciat, son fils, est seigneur de Monteodorìsio
en 1276-1277 et semble possessionné dans plusieurs places des Abruzzes aux
alentours de 1280. Son fils homonyme se marie à une certaine Thomasse de Sangro
dont il a un fils posthume Réforciat. Le testament du premier Réforciat qui choisit
en mai 1284 une sépulture en Provence et une autre chez les Mineurs en Apulie en
fonction de son lieu de décès, témoigne de fréquents déplacements entre le comté
et le royaume de Naples. La fidélité de Réforciat II de Castellane à Charles II est
récompensée par la concession en mai 1294 du mixte et mère empire sur
Villecroze, Fox-Amphoux et la moitié d'Entrecasteaux. Du reste, le départ de
membres de la famille de Castellane est assez limité et l'on ne peut donc expliquer
systématiquement l'ensemble des autres départs par la volonté du comte d'isoler
des lignages turbulents."

(Thierry Pécout, "Noblesse provençale et pouvoir comtal : l'exemple du pays de


Riez (Alpes-de-Haute-Provence), XIIe-XIVe siècles", 2001) C.Faucherand, 9 iv 2016.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Borel d'Hauterive, 1886) iv2009, C.Faucherand (JF de
Gaufridi, "Hist. de Provence", 1694, t. 1, p.133 ) 15 ii 2015, C.Faucherand (ajout
profession 2: T. Pécout, "Noblesse provençale et pouvoir comtal", 2001, en note) 9
iv 2016
- família: H.R.Moser/G.Martin/107

95.401.496:
Branche Sabran-Forcalquier

Fonts:
- persona: O.AUFFRAY
- casament: Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t III-1 p 132 (comtes
d'Urgell) Marburg 1984
- família: O.AUFFRAY, JB.de La Grandiere (Detlev Schwennicke Europäische
Stammtafeln t III-1 p 132 (comtes d'Urgell) Marburg 1984) 4 ii 2012

95.401.497:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY
- casament: Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t III-1 p 132 (comtes
d'Urgell) Marburg 1984
- família: O.AUFFRAY, JB.de La Grandiere (Detlev Schwennicke Europäische
Stammtafeln t III-1 p 132 (comtes d'Urgell) Marburg 1984) 4 ii 2012

-5212-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
95.401.497b:
GUIRAUD [III] Amic (-1215 before 25 Aug). Seigneur du Thor de Châteauneuf
[Sabran].

m (before 1208) TIBURGE de Baux, daughter of GUILLAUME de Baux Prince


d´Orange & his second wife Anne ---. Her parentage and marriage are confirmed
by the charter dated 9 May 1222 records a dispute between "Giraud Amic, fils de
feu Giraud-Amic et de Tiburge, gendre de Guillaume de Baux prince
d'Orange"[578]. Guiraud [III] & his wife had one child.

[578] Baux Chartes 205, p. 56, citing Mon. Saint-André-d'Avignon, f 48 v, Mss latin
no. 13916, de la Bibliot. nation.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG) vii 2010, JB.de La Grandiere ( Florian Mazel La
Noblesse et l'Eglise de Provence p 635 (des Baux) CTHS Villeurbanne 2002 ) 10 iii
2012
- família: O.AUFFRAY

95.401.497c:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY
- família: O.AUFFRAY

95.401.497d:
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY

95.401.500:
Fonts:
- persona: M.Rerolle (Fondation for Medieval Genealogy) 8 vii 2010; , J-M.Thiebaud
(Armoiries) 29 x 2010
- família: M.Rerolle (Fondation for Medieval Genealogy) 8 vii 2010

95.401.501:
Fonts:
- família: M.Rerolle (Fondation for Medieval Genealogy) 8 vii 2010

95.401.502:
II devait, avec d'autres chevaliers, libérer des ennemis le roi Philippe Auguste
tombé de cheval à la bataille de Bouvines le dimanche 27 juillet 1214.

Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet pdes), J-P de Palmas (Famille des Barres -
Histoire de St-Florent sur Cher)
- defunció: jblg : http://www.corpusetampois.com/che-20-
estournet1944lafertealais.html#guy1montfort
- família 1: F d'Avigneau (geneanet pdes), H.R.Moser/Eust-XIII/34
- família 2: H.R.Moser/EuSt-XIV/146+XIII/34

95.401.600:

-5213-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Le village de Sabran de nos jours avec les ruines du château

On trouve dès l'an 1029 Émenon, seigneur de Sabran, qui assista,


avec Guillaume comte de Toulouse, à la fondation du monastère
de Saint-Pierre de Sauve, par la vicomtesse de Béziers veuve de
Bernard seigneur d'Anduze. (D. Vaissette, Histoire de Languedoc,
t. II, p. 460; preuves, colonne 482.).

Sources : Site geneanet : lu777

Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008), F.BBriès maj 18/03/09
- casament: D.Thuret (Jean Mon) 6 i 2010
- família: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008)

95.401.601:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008)
- casament 1: D.Thuret (Jean Mon) 6 i 2010
- família 1: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008)
- família 2: D.Thuret (Michel Jourdan) 6 i 2010

95.401.601-2a:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Michel Jourdan) 6 i 2010

95.401.668:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas ( Généalogie de Livois) 8 vi 2011
- família: J-P de Palmas (Généalogie de Livois) 8 vi 2011

95.401.669:

-5214-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) 8 vi 2011
- família: J-P de Palmas (Généalogie de Livois) 8 vi 2011

95.401.672:
Fonts:
- persona: http://www.gros.nom.fr/pag126.htm#31
- família: http://www.gros.nom.fr/pag126.htm#31

95.401.673:
Fonts:
- família: http://www.gros.nom.fr/pag126.htm#31

95.401.792:
Jaufre Porcelet, remplace son père Gilhem à la tête du lignage. Ce personnage est
promis à un brillant avenir politique. Sa première apparition dans les textes rend,
en effet, compte du rôle qu'il va jouer dans l'installation de la maison de Barcelone
en Provence. Sa souscription figure ainsi dans les actes par lesquels Douce reçoit
de sa mère Gerberge la Provence, le Gévaudan, le Carladais et ses droits sur le
comté de Rodez et est promise à Raimon Bérenger III. Outre la comtesse Gerberge
et Jaufre Porcelet, trois autres personnages seulement apposent leur seing à ces
deux actes qui vont déterminer l'histoire politique de la Provence pendant plus
d'un siècle. Il s'agit de Bernat Bertran de la Roca, un châtelain catalan du Vallès
occidental, membre habituel de l'entourage du comte de Barcelone, ainsi que
d'Olibert de Canilag et de Raimon Aviric, sans doute deux nobles d'origine
languedocienne. Une nouvelle génération de la famille Porcelet se caractérise
encore par son attachement au parti catalan. Peu de temps après avoir remplacé
son frère Bérenger Raimon, assassiné près de Melgueil par les Génois à
l'instigation des sires provençaux révoltés, Raimon Bérenger IV reçoit l'hommage
de Guilhem Porcelet (1143-1158) et de Rostaing Porcelet (1147-1167), enfants de
Jaufre Porcelet, et d'autres chevaliers provençaux au cours d'une cérémonie qui se
déroule à Tarascon en 1147. A cette occasion, Raimon Porcelet (1102-1150) et
Raimon Sacristain, leurs oncles, font de même allégeance au nouveau comte. Ces
quatre membres du groupe familial plus Porcel (1150-1184), encore un fils de
Jaufre, assistent en mai 1150 au jugement que Raimon Bérenger rend à Aix contre
Peire de Lambesc et d'autres membres du parti baussenc au sujet de la villa de
Pélissanne dont ils ont dépouillé le monastère de Montmajour. Les fils de Jaufre
sont cités à la même époque dans d'autres actes de la chancellerie comtale parmi
les conseillers du Catalan.
Fonts: - persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005), N de Meyrignac (base
phchatenoud, 13vii2008), N de Meyrignac (Christophe de Montvallon via le forum,
30i2011)
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005), N de Meyrignac (base
phchatenoud, 13vii2008)

95.401.793:
Fonts:
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005), N de Meyrignac (base
phchatenoud, 13vii2008)

95.401.800:
Rostaing Porcelet compte de même au nombre des intimes de Raimbaud de
Reillanne, dont il signe les chartes entre 1056 et 1067. Bien intégré à la famille du
prélat, il figure entre les souscripteurs de la cession qu'Adalmoïs et Elisenda,
sœurs de Raimbaud, effectuaient en faveur de Saint-Victor des biens dont elles ont
hérités sur l'Huveaune. Il se rend aussi à la conclusion du pacte entre Roland, abbé
de Montmajour, et l'archevêque d'Arles au sujet du contentieux qui oppose ce
-5215-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
monastère au siège de Trophime après le malheureux abbatial d'Audibert.
L'influence grandissante que Volverade et Rostaing exercent au sein du chapitre
explique aisément que Bertran (1056-1105), fils de Rostaing, fût choisi par
Raimbaud et ses chanoines en tant que sacriste de la cathédrale. Il semble même
que Volverade soit admis dans le chapitre peu d'années avant sa mort, comme il
ressort de la présence de son nom à l'intérieur d'une liste de chanoines de la
cathédrale d'Arles dressée autour de 1060. Néanmoins, la faveur de Raimbaud de
Reillanne à l'égard de la famille Porcelet ne se limite pas à l'attribution de charges
canoniales. En mars 1048/49, ce prélat cède en alleu à ses fidèles Volverade et
Rostaing un champ sis à Méjanes, en Camargue, qui avait jadis appartenu au
patrimoine de sa famille. A leur tour, ceux-ci abandonnent cette terre au chapitre
de Saint-Trophime. Ce document sous-entend qu'ils ont détenu ce bien en fief de
l'archevêque. Les Porcelet arrondissent ainsi, dans la clientèle de Raimbaud de
Reillanne, leur domaine. Leur prestige n'en sort que mieux renforcé. Les textes
présentent Volverade non pas en tant que vassus d'Arles, comme on l'a prétendu,
mais en tant que senior de cette cité.
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base phchatenoud, 13vii2008), N de Meyrignac
(Christophe de Montvallon via le forum, 30i2011)
- família: N de Meyrignac (base phchatenoud, 13vii2008)

95.401.801:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base phchatenoud, 13vii2008)
- família: N de Meyrignac (base phchatenoud, 13vii2008)

95.401.801b:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base phchatenoud, 13vii2008)

95.401.888:
Vivait en 1089 et 1126. Boniface I de Castellane fut choisi (1089) avec deux autres
souverains, savoir: Fulco Dido, prince de Callian, gendre de Guillaume Ier comte de
Provence, et Raymond IV, comte de Toulouse, pour terminer un différent entre
l'abbé de Lérins et celui de St-Victor. Tous les historiens de Provence
reconnaissent la souveraineté de ces anciens barons de Castellane. M. Gofridy
dans son histoire de Provence en met l'époque en 993. Nostradamus déclare qu'ils
étaient reconnus princes de Castellane et qu'ils en portaient le titre. L'existence de
cette souveraineté est aussi certaine qu'aucun autre fait historique. L'étendue de
cette souveraineté se porta peu à peu jusqu'à plus de quarante villes, bourgs et
villages qu'il faut diviser en trois classes, savoir: 1° Ceux qui dépendaient
immédiatement de la ville de Castellane,au nombre de vingt-trois ; 2° Ceux qui
avoient appartenu aux anciens barons, au nombre de dix-huit; 3° Ceux qui furent
acquis à Boniface IV de Castellane par son mariage avec Agnès de Spata dame de
Riez, au nombre de six. On trouve la liste et les noms de tous ces lieux dans l'acte
d'hommage rendu par Boniface III de Castellane au Comte Bérenger de Provence.
(Archives du roi, à Aix.)

En mars 1094, Boniface (seigneur de Roumoules) et son épouse Stéphanie (qui


détient 1/6 de la seigneurie de Puimoisson en héritage) offrent leur fils Aldebert
aux moines de Lérins1. Leurs trois autres fils sont cités dans l'acte (CL n° 226).
C'est le seul enfant oblat issu de la haute aristocratie en Provence.

1 - Pour “accroître cette oblation”, Boniface offre au monastère un sixième du


castrum et de la villa de Puimoisson, biens qu'il avait reçus du père de sa femme,
Stéphanie, à l'occasion de leur mariage. Il s'agit donc de la dot de la mère qui sert
ici à doter l'enfant destiné à devenir moine. (Eliana Magnani, Lérins dans la société

-5216-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
féodale (Xe-XIIe siècle))

Références bibliographiques

 Lérins dans la société féodale (Xe-XIIe siècle), par Eliana Magnani, 2005,
in Cahiers cisterciens. Des lieux et des temps, 9, p. 123-248., J-P de
Palmas 4 iv 2016


Inventaire général des papiers renfermés dans les archives du château de
Grimaud , auquel on a joint l'histoire de la maison de Castellane de
Provence, pour servir à celle de Castellane St-Jeurs et Grimaud, fait en
l'année 1781

 Histoire de la commune de Puimoisson et de la commanderie des


chevaliers de Malte : langue de Provence, 1120-1792 : avec la chronologie
de ses commandeurs & de ses magistrats municipaux / M. J. Maurel. -
Paris : Alphonse Picard, 1897.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Borel d'Hauterive, p.142, 1886 & Eliana Magnani, Lérins
dans la société féodale (Xe-XIIe siècle), 2005) iv-2009 et iv 2016

-5217-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco, citant : Eliana Magnani, 2005) iv-
2009 et 2016

95.401.889:
Héritière de biens à Puimoisson.

En 1094, son époux Boniface signe au château de Roumoules qui lui appartenait,
un acte de donation à l'abbaye de Lérins des terres situées à Puimoisson.(J. Cru,
"Histoire des gorges du Verdon", Edisud, 2001) Ch. Faucherand 16 ii 2015.

D’après Eliana Magnani, Stéphanie, épouse de Boniface, appartient à la famille de


Riez. Trois arguments permettent cette astucieuse déduction :

 La famille de Riez est l’une des premières à entretenir des liens étroits
avec Lérins ;
 Les Riez possédaient Roumoules. Un Gui de Roumoules et son frère Pons
Malfait en témoignent ;
 Le prénom de Stéphanie nous ramène à Stéphanie x Aldebert de Riez qui
pourraient être les aïeux de l’épouse de Boniface.

Les enfants connus du couple sont :

 Laugier qui suit ;


 Albebert ; le 28 décembre 1122, cet Aldebert, devenu évêque de Senez,
signe un accord avec l’abbé de Saint Victor de Marseille, en présence de
ses neveux : Boniface de Petra Castellana, Dodon, Raymond et Hugues
(CSV n° 777) ;
 Hugues cité avec ses parents et ses frères en 1093 ; Il est encore témoin
en 1146 (CSV n° 990) ;
 Dodo cité avec ses parents et ses frères en 1093.

Lérins dans la société féodale (Xe-XIIe siècle), par Eliana Magnani, 2005, in
Cahiers cisterciens. Des lieux et des temps, 9, p. 123-248. : J-P de Palmas 4 iv 2016

Bibliographie

 Histoire de la commune de Puimoisson et de la commanderie des


chevaliers de Malte : langue de Provence, 1120-1792 : avec la chronologie
de ses commandeurs & de ses magistrats municipaux / M. J. Maurel. -
Paris : Alphonse Picard, 1897.
e-corpus

Fonts:
- persona: A.Euverte (Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin) 04.vi.2009, J-P.de Palmas (Thierry & Hélène Bianco : Les Castellane, citant
: Eliana Magnani, 2005) 5 iv 2016
- família: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco, citant : Eliana Magnani, 2005) iv-
2009 et 2016

95.401.889b:
-5218-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Aldebert. (J. Cru, "Histoire des gorges du Verdon", Edisud, 2001) Ch. Faucherand,
16 ii 2015.
i
détient 1/6 de la seigneurie de Puimoisson en héritage) offrent leur fils Aldebert
aux moines de Lérins. Leurs trois autres fils sont cités dans l'acte (CL n° 226).
C'est le seul enfant oblat issu de la haute aristocratie en Provence." () "le 28
décembre 1122, cet Aldebert, devenu évêque de Senez, signe un accord avec
l’abbé de Saint Victor de Marseille, en présence de ses neveux : Boniface de Petra
Castellana, Dodon, Raymond et Hugues (CSV n° 777)"
(http://thierryhelene.bianco.free.fr/drupal/?q=node/148)
Ch. Faucherand, 4 iv 2016.

Il entra dans la carrière ecclésiastique et fut nommé évêque de Senez en 1120 et le


resta jusqu'en 1150. Par acte du 28 décembre 1123, il renouvela la donation des
églises des prieurés de Castellane, de Blieux, de Bagarris et d'Allons. Cet acte est
signé par les chanoines de Senez, par Boniface de Castellane et plusieurs autres
seigneurs. On trouve son nom dans un instrument en 1125 et dans une sentence
rendue par le métropolitain d'Embrun Guillaume de Bénévent, dans l'affaire de
l'abbaye de Saint-Victor et d'Isoard Bastar, en l'an 1145.
Il portait: "de gueules à un château ouvert et sommé de trois tours d'or maçonnées
de sable."
Après la première guerre baucique, il fut chassé de son siège.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco, citant : Eliana Magnani, 2005)
iv-2009 et 2016, Ch. Faucherand (J. Cru, "Histoire des gorges du Verdon", Edisud,
2001) 16 ii 2015, A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par
Georges Martin)04.vi.2009

95.401.889c:
Hugues cité avec ses parents et ses frères en 1093 ; Il est encore témoin en 1146
(CSV n° 990).

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco, citant : Eliana Magnani, 2005)
iv-2009 et 2016

95.401.889d:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (modifications avec
http://thierryhelene.bianco.free.fr/drupal/?q=node/148#R29) 4 iv 2016

95.401.892:
Fonts: - persona: O.Martel (site podeor) - família: O.Martel (site podeor)

95.401.893:
Fonts: - persona: O.Martel (site podeor) - família: O.Martel (site podeor)

95.416.352:
Surnommé "le décousu" à cause de sa grande prodigalité. Fondateur avec sa
femme de l'abbaye de Saint-Michel-de-la-Cluse en Piémont. Possible fils d'Hugues
d'Usson. Note de : Henri de La Villarmois

Maison de Montboissier

-5219-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
La terre d’Aubusson appartenait anciennement à la puissante maison de
Montboissier. Dans le but de faire connaître un peu les origines de cette famille,
nous sommes heureux d’insérer les notes suivantes qui nous ont été communiquées
par le Révérendissime Père Abbé de Solesmes, à qui nous nous sommes adressé,
pour avoir des précisions sur Pierre Maurice de Montboissier que l’histoire connaît
mieux sous le de Pierre le Vénérable.
Voici quelques extraits de la notice que Bouillet, dans son «Nobiliaire d’Auvergne »
(Clermont-Ferrand, 1851, t. IV pp 204 sv.) consacre à la famille de Montboissier-
Beaufort-Canillac, « barons de Montboissier, seigneurs d’Arlanc, de Roche-Savine,
d’Aubusson, etc.… »
« Indépendamment du titre de « princes » dont les seigneurs de Montboissier sont
qualifiés par les anciennes chartes, les temps nous ont transmis le témoignage d’un
auteur qui écrivant pour ainsi dire près du berceau de cette famille, nous apprend
qu’elle tirait son extraction d’une race puissante et souveraine (cf. la « Chronique »
de Pierre de Poitiers, moine de l’Ordre de Cluny, contemporain de Pierre le
Vénérable).
Le château de Montboissier, appelé dans les anciens titres latins « Mons Buxerius,
de Monte Buxerio » ou « Monte Busserio » est situé comme l’indique la
signification de son nom, sur une montagne couverte de buis, distante de 32 Km de
Clermont. Quoique ce château fut le séjour ordinaire de ses anciens possesseurs,
c’était la petite ville de Cunlhat, situé sur le chemin de Clermont à Ambert, qui
était le chef-lieu de la baronnie de Montboissier. Nombre de fiefs et de châteaux
environnants relevaient à foi et hommage de cette baronnie qui elle-même relevait
des évêques que de Clermont.
Hugues Maurice, premier du nom, seigneur de Montboissier, surnommé le
Décousu, le premier seigneur de Montboissier dont le nom soit parvenu jusqu’à
nous, vivait sous Lothaire. Lui et sa femme Isengarde, au retour d’un pèlerinage de
Rome, s’étant arrêtés à Suze, pour accomplir le vœu qu’il avaient formé, fondèrent,
vers l’an 960, sur le mont Piscarien en Piémont, à 12 milles des Alpes, la célèbre
abbaye de Saint Michel de la Cluse, dont ils avaient acheté le fonds du marquis
d’Ivrée, et la dotèrent des prieurés de Sauviat, de Cunlhat et Arlanc, en Auvergne,
que le même seigneur de Montboissier avait fondés.
Hugues Maurice son fils, seigneur de Montboissier, désigné quelquefois sous le
seul nom de Maurice, est cité dans deux chartes des années 1045 et 1050 et dans
une troisième sans date du prieuré de Sauxillanges.
Hugues Maurice, troisième du nom, chevalier, qualifié, prince de Montboissier, né
dans les premières années du XI° siècle. On le voit intervenir avec Maurice de
Montboissier, son père, dans une charte du prieuré de Sauxillanges de l’année
1045, et autoriser la donation faite vers le même temps à ce monastère, par Gérald
Cellérier, fils de Pierre, de la dîme qu’il avait sur le lieu de « Las Costas » en
présence d’Albert de Boisse, et de plusieurs autres chevaliers, et du consentement,
porte la charte, de messire Hugues, prince de Montboissier. Il vivait encore en
1080.
Ses enfants furent : Pierre, père du vénérable abbé de Cluny, Guillaume Maurice,
seigneur d’Arlanc et Pons Maurice de Montboissier, abbé de la Chaise-Dieu.
Pierre Maurice, premier du nom, qualifié de prince de Montboissier, ainsi que son
père, fit le voyage en Terre Sainte pendant les Croisades et mourut à son retour. Il
fut enterré dans l’église de Sauxillanges. Indépendamment de sa haute naissance,
ce seigneur était doué des plus rares qualités, si l’on en croit la Chronique de
Pierre de Poitiers, Ringarde, son épouse, cousine du duc de Nevers, se retira, l’an
1115, après la mort de son mari, au monastère de Marcigny, où elle se fit
religieuse. Elle mourut le 24 juin 1134 ou 1135 , et fut mise au rang des saintes.
De ce mariage sont nés huit enfants, dont trois abbés bénédictins :

 1er Othon, mort sans postérité


 2ème Hugues, père de deux filles
 3ème Eustache, premier du nom, qui a continué la descendance

-5220-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 4ème Héracle, reçu chanoine de Lyon en 1139, et nommé archevêque de
la même ville en 1153
 5ème Pons, moine de la Cluse, abbé de Vézelay en 1138
 6ème Jourdain, moine de la Chaise-Dieu, et successivement grand prieur
et abbé en 1146
 7ème Pierre Maurice, surnommé le Vénérable, né vers l’an 1091,.
Consacré à Dieu par Sainte Ringarde, sa mère, dans le monastère de
Sauxillanges, il reçut l’habit religieux des mains de Saint Hugues, abbé de
Cluny, à l’âge de 16 ou 17 ans. Successivement prieur de Vézelay et de
Dommé, il fut élu le 22 août 1122, à peine âgé de 30 ans, abbé et général
de Cluny.
 8ème Armand Maurice, prieur de Cluny et de Manglieu, en Auvergne.

D’après ces notes et du fait que Pierre Maurice fut consacré à Dieu par sa mère,
dans le monastère de Sauxillanges, nous concluons que ce dernier naquit au
château de Montboissier, commune de Brousse, dans le canton de Cunlhat, sis à
une douzaine de kilomètres de Sauxillanges, et non point au château d’Aubusson,
comme nous l’espérions. Le saint Abbé témoigne lui-même de ses origines
auvergnates. Ainsi lorsqu’il raconte comment revenant un jour d’Italie et «
rapportant avec lui les pénibles fièvres romaines », il fut conseillé une cure « d’air
natal ». Il vient donc, dit-il, au monastère de Sauxillanges, de l’Ordre de Cluny, où
il avait passé toute sa jeunesse et où sa mère l’avait consacré à Dieu. Il parle de sa
mère en termes très touchants dans la lettre qu’il écrivit à ses trois frères moines,
à l’occasion de sa mort. Ces différentes notes ont été tirées des écrits de Raoul de
Cluny, contemporain et biographe de Pierre de Montboissier, dit le Vénérable. La «
Chronique de Cluny » écrite vers la fin du XV° siècle par François de Rivo, nous a
donné les mêmes précisions.
Il reste impossible semble-t-il de préciser la date de naissance de Pierre le
Vénérable vers 1091. On sait seulement qu’il avait environ 30 ans en 1122, lors de
son élection abbatiale.
Quant à la date de sa mort, la notice des Petits Bollandistes fait erreur en la
plaçant en 1157. La Chronique de Cluny parle en effet, à ce sujet du « premier jour
de l’année 1157 » mais en désignant explicitement par là le 25 décembre 1156,
suivant la coutume du Moyen Age, qui faisait commencer l’année ecclésiastique au
25 décembre.
Le « Chronicum Cluniacense » retrace par ailleurs la dernière journée de Pierre le
Vénérable, la vigile de Noël 1156, où il prononça son dernier sermon, sur le
mystère de la Nativité. C’est dans la nuit du 24 au 25 décembre qu’il mourut, « au
lever de l’aurore, à l’heure où l’on croit que le Christ apparut en ce monde ».
Ainsi se trouvait exaucé son désir de mourir un jour de Noël, pour la réalisation
duquel il avait tant prié et fait prier « Homme de paix » jusque dans sa mort. On a
pu dire qu’il fut « l’homme le plus politique de son temps » (Vacandard, Vie de
Saint Bernard, I). 100). (« Notre-Dame d’Espinasse » de l’Abbé J. Découzon. 1953).

Fonts:
- persona: H.deRiberolles (Remacle), H.de La Villarmois (Remacle) 28 xii 2007, J-P
de Palmas («Nobiliaire d’Auvergne », Clermont-Ferrand, 1851, t. IV pp 204 sv.,
Bouillet) iv2010
- defunció: H.de La Villarmois (Remacle) 28 xii 2007
- família: H.deRiberolles(Remacle)

95.416.353:
Fonts: - família: H.deRiberolles(Remacle)

95.416.384:
Fils puîné. Son aîné Rodolphe est attesté en 1008. Attesté en 1050.
-5221-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de
France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
- família: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de
France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009

95.416.385:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la
Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009

95.416.385b:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la
Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009

95.416.448:
En sa charte n° 465, le cartulaire de Tulle nous parle d'un Pierre de Tournemire,
petit-fils de Rigaud, qui prépare son départ pour la Terre-Sainte. M. Roger Grand
(p. 45 ) a montré d'après les documents limousins la part prise aux Croisades par
les Tournemire. Par ailleurs une lettre adressée le 19 avril 1704 à Massillon par
Dom Claude Béral, moine bénédictin (BN, fonds latin n° 12663 f° 74) prétend qu'un
Rigaud de Tournemire, au temps d'Urbain II, c'est-à-dire avant 1029, a pris la Croix
et qu'il est parti pour Jérusalem, qu'une relation détaillée de son voyage a été
écrite par un moine d'Aurillac qui l'accompagnait, que Rigaud est revenu porteur
d'une épine de la Couronne de N.-S. Jésus-Christ, qu'il déposa cette épine en
l'église de Tournemire où elle se trouve encore. La relation de ce moine d'Aurillac
est très malheureusement perdue.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Christian Settipani in La Noblesse du Midi carolingen pp
181/187 "Turenne")
- família: J-P de Palmas (Christian Settipani in La Noblesse du Midi carolingen pp
181/187 "Turenne")

95.416.449:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Christian Settipani in La Noblesse du Midi carolingen pp
181/187 "Turenne")
- família: J-P de Palmas (Christian Settipani in La Noblesse du Midi carolingen pp
181/187 "Turenne")

95.416.451:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J-B de La Grandière, forum) 23 ii 2011
- família: J-C de Vaugiraud (J-B de La Grandière, forum) 23 ii 2011

-5222-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

-5223-

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