You are on page 1of 4

Terminale S Physique – Chapitre 2 : Ondes mécaniques progressives périodiques – Page 1 sur 4

Chap. 2 : Ondes mécaniques progressives


périodiques – Exercices
Exercice n°4 p52
1. Les ondes ultrasonores sont des ondes mécaniques longitudinales de compressions-décompressions.
2. L’oreille humaine est sensible aux ondes de fréquences comprises entre 20 Hz et 20 kHz. Or 2,00 MHz = 2,00.103 kHz
est supérieure à la fréquence maximale audible par l’oreille humaine.
3
3. Nous savons que  = v.T = v. A.N. :  = 1,5.10 6 = 7,5.10–4 m soit 0,75 mm.
 2,00.10
4. La fréquence d’une onde est caractéristique de la source. C’est donc une grandeur indépendante du milieu de
propagation (de même que son inverse, la période !). En revanche, la célérité et la longueur d’onde dépendent du
milieu de propagation. En conséquence, la célérité de l’onde et la longueur d’onde sont modifiées lors d’un
changement de milieu de propagation.
Exercice n°6 p52
z 
1. La hauteur d’une vague correspond à la distance verticale crête à amplitude hauteur
crête. Tandis que l’amplitude correspond à la distance verticale
d’une crête par rapport à la position moyenne. Ainsi l’amplitude est
égale à la moitié de la hauteur soit 5,5 m.
2. La longueur d’onde correspond à la distance séparant deux crêtes x
consécutives. Elle vaut donc  = 490 m.
3. Nous savons que  = v.T. Par conséquent v =  =  = 27,7 m.s–1.
T 
Exercice n°7 p52
1. Le schéma est le même que celui de l’exercice précédent !
2. L’onde est une onde mécanique progressive transversale.
3. La longueur d’onde est la distance entre deux cercles clairs consécutifs par exemple. Pour gagner en précision, on peut
mesurer la distance entre plusieurs cercles non consécutifs. Par exemple 8. = 1,8×3 (en cm) en tenant compte de
l’échelle de représentation. Ainsi  = 0,67 cm.
Ainsi la célérité de l’onde est : v = . A.N. : v = 0,67.10–2×30 = 0,20 m.s–1.
4. La représentation étant décalée d’une période temporelle à chaque fois, une bosse prend la place de la bosse
voisine et un creux du creux voisin. Par conséquent la représentation est à chaque fois la même.
Exercice n°13 p54
1. La longueur d’onde est égale à la distance séparant deux rides consécutives :  = 12 cm. La célérité de l’onde est donc
définie par la relation  = v.T  v = . A.N. : v = 12.10–2×12 = 1,4 m.s–1.
2. a. Le flotteur A situé à 24 cm est placé à 2 fois la longueur d’onde. Son mouvement est donc le même que le
mouvement du vibreur (ils vibrent en phase). Celui situé à 30 cm est placé à 2,5 fois la longueur d’onde (deux
longueurs d’onde plus une demi). Son mouvement est donc en opposition de phase avec celui du vibreur (lorsque le
vibreur est en position haute le flotteur est en position basse et inversement. Le flotteur C est situé à 3,5 fois la
longueur d’onde et est donc également en opposition de phase par rapport au mouvement du vibreur. Il a le même
mouvement que le flotteur B.
b. Les flotteurs B et C sont en phase. Le flotteur A est en opposition de phase par rapport aux flotteurs B et C.
Exercice n°14 p54
1. v = F. Or  = mcorde. Par conséquent : v = F.lcorde
. A.N. : v = ,×, = 31 m.s–1
 lcorde m corde .–
2.  = v.T   = . A.N. :  =  = 0,31 m ou 31 cm.
v
 

3. Pour que les points M1 et M2 vibrent en phase, il est nécessaire que x2 – x1 = k. avec k   et x2 – x1 < lcorde.
Il existe donc deux possibilités : x2 – x1 = 31 cm ou x2 – x1 = 62 cm.
4. Pour que les points M1 et M2 vibrent en opposition phase, il est nécessaire que x2 – x1 = (k + 1). avec k   et
2
x2 – x1 < lcorde. Il existe donc trois possibilités : x2 – x1 = 15,5 cm, x2 – x1 = 46,5 cm ou x2 – x1 = 77,5 cm
Terminale S Physique – Chapitre 2 : Ondes mécaniques progressives périodiques – Page 2 sur 4

Exercice n°16 p55


1. v = .R.T A.N. : v = 1,4×8,32×(273 + 19) = 342 m.s–1 soit 3,4.102 m.s–1
M 29.10–3
2. L’oscillogramme représente une tension (la tension aux bornes du micro est proportionnelle à la variation de pression
de l’air provoqué par le passage de l’onde sonore) en fonction du temps. C’est donc la périodicité temporelle qui est
mise en évidence !
3. Deux crêtes successives sont séparées par 2,5 div. La période de cette onde est T = 2,5×1 = 2,5 ms.
Ainsi la fréquence de l’onde est :  =  . A.N. :  =  = 400 Hz soit 0,40 kHz (2 C.S.)
T ,.–
4.  = v.T. A.N.  = 3,4.102×2,5.10–3 = 0,85 m soit 85 cm.
Exercice n°17 p55
1. Schéma.
2. La distance d séparant 11 points équidistants correspond à 10 longueurs d’onde : 10. = d donc  = 8,3 mm.
3. a. v = . A.N. : v = 8,3.10–3×41,7.103 = 346 m.s–1 soit 3,5.102 m.s–1 (2 C.S.).
b. Cette vitesse est la même que celle des ondes sonores : l’air est un milieu non dispersif dans les conditions
ordinaires.
Exercice n°18 p55
1. Il s’agit d’une onde ultrasonore. Sa vitesse de propagation est de l’ordre de 340 m.s–1.
2. La largeur de la fente doit être proche de la longueur d’onde. Or  = v =   = 14 mm. La largeur de la fente doit
 .
donc être de l’ordre du cm !
3. Si  = 2.106 Hz alors  =  = l,7.10–4 m soit 0,17 mm. Si la largeur de la fente est de l’ordre du cm, le phénomène
.
de diffraction ne sera pas mis en évidence car la longueur d’onde est trop petite (ou la fente est trop large).
Exercice n°19 p55
1. Avant l’obstacle l’onde est une onde rectiligne, après l’obstacle il s’agit d’une onde circulaire : il y a diffraction !
2. Le phénomène mis en évidence est le phénomène de diffraction.
3. La longueur d’onde est la même avant et après l’obstacle.
4. a.  = 0,87 cm (6. = 1,3 cm et on multiplie par 4 pour tenir compte de l’échelle).
b. v = . A.N. : v = 0,87.10–2×20 = 0,17 m.s–1.
Exercice n°20 p55
1. Nous sommes dans les conditions où h >> , ainsi le modèle applicable est : v = g..

a. La houle est une onde mécanique transversale car la perturbation est perpendiculaire à la direction de propagation
de l’onde.
b. Appliquons la relation v = g. : v = ,× = 8,8 m.s–1.
 π
c. [ g.] = [ g.] = ([g].[])1/2 = (L.T–2.L)1/2 = (L2.T–2)1/2 = L.T–1. Cette expression est bien homogène à une vitesse

d. v =  donc  = v. A.N. :  = , = 0,18 Hz.
 
e. La vitesse dépend de la longueur d’onde donc de la fréquence de l’onde : le milieu est donc dispersif dans ces
conditions pour la houle. Si la profondeur est faible, la célérité de l’onde est v = g.h. Elle ne dépend plus alors de
la longueur d’onde et le milieu n’est alors pas dispersif pour la houle.
2. Nous sommes dans les conditions où h << , ainsi le modèle applicable
est : v = g.h. A
a. Au point A : vA = g.H ; au point B vB = g.h. La célérité est la plus
grande au point A !
b. Le sommet de la vague se déplace plus vite que sa base : la vague se B

déforme donc : elle déferle !


3. A l’entrée du port on observe une diffraction.
a. Le phénomène de diffraction se manifeste lorsque la longueur d’onde est de l’ordre de grandeur
de la dimension de l’ouverture. La longueur d’onde de la houle doit être de l’ordre de 25 m.
b. h <<  donc : v = g.h. v = 9,8×2,4 = 4,8 m.s–1.
c. En mer, la houle est considérée comme une onde rectiligne. Après diffraction, il y a des ondes
circulaires à l’intérieur du port. La fréquence et donc la longueur d’onde ne sont pas modifiées.
Terminale S Physique – Chapitre 2 : Ondes mécaniques progressives périodiques – Page 3 sur 4
Exercice n°21 p56
1. A l’aide du document 1, on détermine graphiquement que T = 0,80 ms. Ainsi  =  =
1
= 1,25 kHz.
T 0,80.10–3
2.  = v.T. A.N.  = 340×0,80.10–3 = 0,27 m = 27 cm.
3. Les deux signaux sont en phase, puisqu’ils passent par leurs extremums simultanément. Par conséquent la distance d
est un multiple de la longueur d’onde : d = k. avec k entier.
4. a. L’amplitude de u1 est la même sur le doc. 2 que sur le doc. 1 : le micro M1 n’a donc pas été déplacé.
L’amplitude de u2 est plus petite sur le doc. 2 que sur le doc.1 : le micro M2 a été éloigné du haut-parleur.
b. Les signaux u1(t) et u2(t) sont en opposition de phase car lorsque u1 est maximal u2 est minimal et inversement.
c. La distance d = 13,6 cm est égale à une demi-longueur d’onde (13,5 cm) : c’est une confirmation !
5. (ou 6. !!!) Si la fréquence est doublée, la longueur d’onde est divisée par 2, donc le décalage des micros correspond
alors à une longueur d’onde et les deux signaux sont alors à nouveau en phase !
Exercice n°22 p56
1. On appelle « mer du vent » une région où des vagues sont engendrées par le vent local.
2. a. Le texte indique un transport d’énergie, sans déplacement de matière, avec une certaine période : c’est
caractéristique d’une onde mécanique périodique.
b. Les ondes sont transversales car la perturbation est perpendiculaire au sens de déplacement de l’onde.
3. Les trains de vagues qui atteignent en premier les côtes sont ceux dont la période est la plus grande (trains de vagues
de grandes longueurs d’onde). v
Vitesse du vent (nœud) T (s)  (m) v (m.s–1) (m.s–2)
4. a. Voir ex. 6. T
b. La hauteur d’une vague est le double 17 – 21 7,7 93 12 1,6
de l’amplitude. 22 – 27 9,9 153 15,5 1,6
5. et 6. v =  le rapport est constant : v est
v 28 – 33 12,4 240 19,4 1,56
T T 34 – 40 14,9 345 23,2 1,56
donc proportionnel à T ! 41 – 47 17,7 490 27,7 1,56
7. La célérité de l’onde dépend de sa période, 48 – 55 20,8 675 32,5 1,56
donc de sa fréquence : le milieu est
dispersif ! Des vagues de fréquences différentes ont des
vitesses différentes.
Exercice n°23 p57
Une erreur s’est glissée dans le texte : l’épicentre est la
projection sur la surface du foyer ou hypocentre d’un séisme.
Il ne peut donc se trouver sous la surface !
1. La profondeur h = 6000 m = 6 km. Or le texte précise que
  100 km. La longueur d’onde est donc très supérieure à
la profondeur h : il s’agit d’onde longue. Ainsi le modèle
applicable est v = g.h. A.N. : v = 0,24 km.s–1.
2. La durée de parcours est t = 31 min. La distance
parcourue est d = 160 km. Ainsi : v = 86 m.s–1. Cette
valeur est une célérité moyenne. La célérité de l’onde
diminue lorsque l’onde se rapproche des côtes car la
profondeur diminue.
3.  = v.T = 0,24×15×60 = 216 km (2,2.102 km avec 2 C.S.)
Sujet BAC : Les sons chez les dauphins L’usage de la calculatrice n’est pas autorisé
1. Généralités sur les sons
1.1. Une onde mécanique est engendrée par une perturbation qui se propage dans un milieu matériel élastique, sans
transport de matière mais avec déplacement d’énergie.
1.2. a. D’après le modèle la perturbation possède la même direction que la direction de propagation de l’onde : c’est
une onde longitudinale.
b. La célérité d’une onde mécanique dépend de l’élasticité du milieu (pour un ressort de la constante de raideur !)
La célérité augmente avec la rigidité du ressort, donc avec la constante de raideur.
c. La célérité dépend de l’inertie du milieu, elle est donc liée à sa masse. Plus l’inertie est élevée (masse
importante) plus la célérité sera faible.
2. Le biosonar des dauphins : écholocalisation
2.1. Les ultrasons sont des sons de fréquence supérieure à 20 kHz.
2.2. a. A l’aide de l’oscillogramme, figure2, on détermine que T = 20 s. Par conséquent  =  =  – = 50 kHz.
T .
Terminale S Physique – Chapitre 2 : Ondes mécaniques progressives périodiques – Page 4 sur 4
b. Le retard  est inférieur à la périodicité temporelle. Par conséquent, les deux ondes sont décalées d’une durée
inférieure à la période T. D’après la figure 2, on peut déterminer que  = 8 s. Ainsi v = d.

–
. –1 –1
– = 1,5.10 m.s . La célérité des ultrasons dans l’eau est égale à 1,5.10 m.s .
3 3
A.N. : v =
.
c. La longueur d’onde est définie par la relation :  = v.T
A.N. :  = 1,5.103×20.10–6 = 30.10–3 m = 30 mm.
2.3. D’après la figure 3, un « clic » dure environ 50 s.
D’après la figure 4 entre deux « clics » s’écoule une durée de 50 ms. A l’échelle des trains de clic, la structure
d’un « clic » (1000 fois plus courte) n’est donc pas visible, les oscillations sont « écrasées » en un trait vertical !
2.4. a. Avec la figure 5, on trouve graphiquement : t = 200 ms.
–3
a. Les ultrasons effectuent un aller-retour ainsi : H = v.t = 1530×200.10 = 1530×0,100 = 153 m !
 2
Sujet BAC : La physique sur un plan d’eau L’usage de la calculatrice est autorisé
1. Onde à la surface de l’eau
1.1. La cuve à onde est basée sur la projection d’ombres.
1.2. L’onde générée est transversale puisque la perturbation est verticale et la direction de propagation de l’onde
horizontale.
1.3. Le brin d’herbe possède un mouvement de translation verticale ascendant puis descendant lors du passage de
l’onde et se retrouve à sa position d’origine lorsque la perturbation est passée.
1.4. Il y a une erreur sur le schéma de droite : le cercle étant de rayon plus grand l’instant t2 est
postérieur à l’instant t1. Par conséquent la légende devrait être : t2 = t1 + 10 s. L’erreur
n’apparaît pas sur le sujet original (http://labolycee.org/2004-USA-Sujet-Exo1-
PartieA.pdf).
Le rayon r1 du cercle à t1 est : r1 = 0,55 cm et à t2 : r2 = 1,1 cm. L’échelle étant de 1/100e,
les valeurs réelles sont les mêmes mais exprimées en mètre ! On peut en déduire que l’onde
a parcourue entre les instants t1 et t2 une distance d = 1,1 – 0,55 = 0,55 m. Par conséquent :
d ,
v= = = 5,5 cm.s–1.
t 
(Avec le sujet original on trouve une distance d = 1 cm et donc v = 10 cm.s–1 : le livre n’est pas à l’échelle
1/100e !)
1.5. On mesure 1,5 cm entre deux crêtes consécutives. Puisque c’est un agrandissement à l’échelle 2 :  = 0,75 cm
1.6. v = . A.N. : v = 0,75×5 = 3,8 cm.s–1 (avec le sujet original on trouve  = 0,88 cm et donc v = 4,4 cm.s–1).
1.7. a. L’ordre de grandeur de la distance entre les deux galets doit être
le même que celui de la longueur d’onde de l’onde générée par
les ailes du papillon.
b. Ce phénomène est appelé diffraction.
c. Les ondes sont circulaires : arcs de cercles centrées au centre
des galets et séparés entre eux de la même distance que les
ondes circulaires générées par le papillon.

You might also like