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l
BERLIN COLLECTION
GIVEN BY
MARTIN A. RYERSON
H. H. KOHLSAAT BYRON L. SMITH
CHAS- L. HUTCHINSON C. R. CRANE
H. A. RUST CYRUS H. MCCORMICK
A. A. SPRAGUE C. J. SINGER
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[l/Mi/L Malt-‚9M 1%: „Q. j
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Des jgzti A 1;
Ingenieurs Taschenbuch.
Herausgegeben
„die Hütte“.
Vierte,
lnit Berücksichtigung des neuen Gewichts-Systems
vollständig umgearbeitete und sehr vermehrte
Auflage.
Berlin,
V e 1- lag von Ernst‘ & Korn.
(Gropius’scho Bueh - und Kunsthandlung.)
1862.
«a.
u‘
Berlin Collofction
'sr
Vorrede
zur ersten Auflage.
beschadet der Einheit des ganzen Werks zulässig, weil, wie schon
bemerkt, jeder Theil für sich abgeschlossen dasteht.
Für die Maafs- und Gewichts-Angaben ist du rchgitngig
das preul'sische Maal‘s und Gewicht zu Grunde gelegt;
doch ist Bedacht genommen, durch Aufnahme von Reductions
tabellen jede Umwandlung von Maafseu und Gewichten leicht
vornehmen zu können.
Vorrede
zur zweiten Auflage.
V or r e d e
zur dritten Auflage.
Vorrede
zur vierten Auflage.
Erster Abschnitt.
Mathematik.
‘ Seite
I. Tabellen. ‘
sehe Reciproke “'erthe, Quadrate, Cuben,‘Quadrat- u- Cuhikwurzeln 3
Tafel der gemeinen 0d. Briggischen Logarithmen . . . ‚ 32
Natürliche Logarithmen -. . . . . . . . . . . . 42
Tabelle zur Verwandlung von gemeinen in natürlichen Loga
rithmen. . . .. . 44
Kreisurnfangs - und Inhalts-Tabelle . . . . . . . . 44
Tabelle für Bogenlänge, Bogenhöhe und Kreisabschnitt . . . 50
Trigonometrische Tabelle . ‚ . . . . . . . . . . - 51
II. Algebra.
s9171!’! Reihen.....................59
a. Arithmetische Progressionen - ' . . . . 59
b. Höhere arithmetische Reihen . . .' . . ' . . . . . 59
c. ' Einige Anwendungen der arithmetischen Reihen . . 60
J. Geometrische Progressionen . ‘ . 60
c. Zinseszins— und Rentenrechnung . . . . . . . . . 61
j‘. Binomische Reihe . . . . . . . . . . . . . . . 61
g. Exponential- und logarithmische Reihe . . . . . . . 62
h. Goniometrische und cyclometrische Reihen . . . . . 62
B. Beziehungen zwischen den Exponential- u. trigonom.Functionen 63
C. Gleichungen . . . . . ‚ . . ‚ ‚ ‚ ‚ ‚ 1,. 63
a. Gleichungen zweiten Grades . _. _ . . . . . . . 63
b. Gleichungen dritten Grades . . . . . . . . 63
c, Newtons Methode zur Auflösung höherer numerischer Glei
chungen durch Näherung . . . v. . .. . .:. . . . '. 64
HE Methode der kleinsten Quadrate . . . . . 65
Differentialrechnung ‚ . ‚ _ ‚ _ ‚ ‚ ‚ ‚ ‚ 57
a. Difl‘erentialformeln . . . . . . - - . . . . . 67
b. Taylor’sche Reihe . . . . . . . . . . . . . . 68
c. Maclaurin’sche Reihe " '. . . ‚ . - . . - - 69
J. Bestimmung der Werthe, die unter unbestimmter Form
erscheinen . . . . . . ‚ . . . . ‚ . . . . . . 69
e. Maxima und Minima . . . . . . . . 69
Integralformeln . . ‚ ‚ ‚ _ ‚ ‚ _ _ ‚ ‚ _ ._ _ _ ‚_ ‚ 70
Inhaltsverzeichnifs.
Seite
lll. Goniometrie und Trigonometrie.
J. Goniometrische Formeln . . . . . . . . . . . 75
B. Trigonometrische Berechnung der Dreiecke . . . . 77
C. Reguläre Polygone . . . . . . . . . . . . 79
D. Formeln zur Auflösung sphärischer Dreiecke . . . 79
Neper’sche Analogieen . . . - . .‚ . . 80
Gaufs’sche Formeln . . . . . . . . . 80
V. Stereometrie.
Oberflächen . . 0 C Q v c o o o n n ‘0 ' 0 . 104
Inhalte.......‘......... . 104
Guldin’sche Regel . . . ‚ . ‘. .‘ . . . . . 105
Simpson’sche Regel . . . . . 105
Brix’sche Körperscala . . . . . . . . . . . . 106
V1. Projections-Verhältnisse . . {0a
Zweiter‘Abschnitt.‘
Mechanik.
‚ I. Geostatik. -
Zusammensetzung und Zerlegung von Kräften . 103
ß. Kräfte, die auf einen Punkt wirken . ‚ . . 108
b. Kräfte, die auf ein festes freies System wirken . 109
Inbaltsverzeichnil’s. XI
Seite
B. Gleichgewichts - Bedingungen
a. für ein festes und freies System von Punkten . 110
b. für ein festes und nicht freies System von Punkten . 111
c. für ein ganz beliebiges System von Punkten 113
C. Princip der virtuellen Geschwindigkeiten . 113
D. Vom Schwerpunkte. 114
a. Schwerpunkt von Linien 115
b. Schwerpunkt von Flächen . 115
c. Schwerpunkt von Körpern‘. ’ . 118
E. Widerstände der Bewegung, . . .‘ 119
a. Gleitende Reibung 119
b. Zapfenreibung ‚ 119
c. Tabelle der Reibungscoefficienten nach'Mui-in . 123
d. Rollende Reibung . . 125
e. Reibung der Seile und Ketten 126
f. Steifigkeit der Seile und Ketten 126
F. Theorie der einfachen Maschinen . . . ’. 127
a. Der Hebel 1‘ 7
b. Die Rolle . 127
c. Die schiefe Ebene . 129
(1.
e. DerKeil
Die Schraube . . . . . . 3 . 130
131
II. Geodynamik.
fl. Definitionen. Messung der Kräfte 132
B. Bewegungsgesetze . 134
a. Geradlinige Bewegung 134
b. Krummlinige Bewegung . 135
c. Princip der lebendigen Kräfte 13T
d. d'Alembert’scbes Prlncip 138
e.. Rotation um eine feste Axe . . . . . . . . . ‘. 138
f. Centrifugalkraft . . 141
g. Das Pendel 142
h. Der Stol's 143
III. Hydrostatik. 1
a. Hydrostatischer Druck 116
b. Auftrieb . ‚ . . . . . . 146
c. Gleichgewicht schwimmender Körper 146
IV. Hydrodynamik.
a. Theoretische Ausflufsgeschwindigkeit und Ausflul'smenge
bei constantem Drucke . . . . . 147
b. Corrigirte Ausflursgeschwindigkeit und Ausflufsmenge bei
constantem Drucke . . . ‚ . . . . . . 148
XII Inhaltsverzeichnifs.
Seite
c. Ausflufs des Wassers aus Röhren . . . . . . 154
Tabelle der Wassermengen und Druckhöhen für Röh
renleitungen ‚. . . . . . . . ‚ . 156
d. Ausflul's des Wassers unter abnehmendem Druck . . . 162
e. Anlage von Wehren . . . . . . .1 164
f. Bewegung des Wassers in Kanälen und Flüssen . . 165
Tabelle über die gröl'ste Geschwindigkeit des Wassers
‚ in denselben . . ' 166
' Tabelle über Querprötile von Mühlgräben . .
g‘.b. Stofs
Stofs des
des Wassers
unbegrenzten "Wassers '. ." ' I '." 167
168
169
V. Aörostatik. l‘
a. Mariotte's und Gay-Lussac’s Gesetze . 171
b. Dalton’s Gesetz . 171
c. Barometrische Höhenmessung . ' ‘ 171
VI. Aerodynamik. \
a. Ausflufs derLuft aus der Oetfnung eines Gefäfses ‚ 172
b. Die bewegende Kraft des Windes . . . 173
Dritter Abschnitt: . 3.
l Elasticität und Festigkeit." '
I. Absolute und rückwirkende Elasticität und
‘ Festigkeit. ‚ N
fl. Elasticitäts - Gesetze C c 0 p ‘b u ‚0 o 0
l. Allgemeine Formel
Ä 2. Tabelle über die Belastungen, die eiserne u. messingene
Stäbe von kreisförmigem , quadratischem und rechtecki
gem Querschnitte mit Sicherheit xgegen das Abreifsen
tragen können ‘ " . 178
3- Form eines Stabes von gleicher Widerstandsfähigkeit ge
I
gen Zerreil‘sen . . . . . . . 178
E. Berechnung der Wandstärke cylindrischenRöhren . . 179
0. Röhren mit innerem Druck . 179
l'- Röhren mit äufserem Druck 180
C. Kugelförmige Gefäl'se 181
II. Schub- oder Abscheerungsfestigkeit 181
Inhaltsverzeicbnil's. XIII
' Seite
III. zusammengesetzt rückwirkende Elasticität und
Festigkeit. ‚
1. Tabelle über dierückwirkende Elasticitiit und Festigkeit 182
2. Resultate der Versuche von Hodgkinson„. . . . .« . 184
IV. Relative Elnsticität und Festigkeit.
1. Definitionen und allgemeine Gesetze . . . . . . . 185
2. Formeln für specielle Fälle . . . . . . . . . . 186
Beste Verwendung des Materials fiir Balken, die auf Bruchl'estig
keit in Anspruch genommen werden i. . . . . . . . . 196
Querschniltsformen von gleicher stabiler Festigkeit für Gufseisen . 198
Tabelle über die Trägheitsmomente und Widertandsinomeute der -
üblichen Querschnittsformen . . . . _. . . . . . . . 201
V. Torsions-Elasticität und Festigkeit.
Allgemeine Formeln. . . . . . . .. . . . . . . . . . ‚.204
Tabelle über die ‘Nerthe des Torsionswinkels ‚. . . . . . . . 207
VI. Zusammengesetzte Elastic'ität und Festigkeit.
Betrachtung einzelner Fälle . . . . . . . . . . . . . . 208
V11. Berechnung plattenförmiger Körper . . 210
VllI. Federn.
‚8. Allgemeine Bemerkungen: . . . '. . . .".' ‚q . . . . 211
Vierte'r Abschnitt.
Eiserne Brücken.
I. ‚Einfache gerade Brückenträger.
.8. Aus Gufseisen ‘. . . . . . . . . . .‘ . . . . . . 217
B. Aus Schmiedeeisen. . . . . .‘ ‚. . ‚ . . . 217
' II. Gitterträger'. ‚
Allgemeines und Definitionen . . . . . . . . . . . . . . 2l7
I. System des rechtwinkligen Dreiecks. \
fl. Der untere Streckbalken ist unmittelbar belastet.
1. Einfaches System . . . '. '. . . . . . . . . 221
2. -ZusammQngesetzte Systeme . '. . ' . . i . . . . 222
B. Der obere StreCkbalken ist unmittelbar belastet . . . ‚ ‚ 226
C. Die Brückenbßllll liegt zwischen den Streckbalken . . .=- ‚M226
D. Beide Streckbalken sind unmittelbar belastet . . .. .. . .' 227
XIV Inhalts verzeichnifs.
Seite
II. System des gleichschenkligen Dreiecks.
J. Der untere Streckbalken ist unmittelbar belastet . . . . . 227
1. Einfaches System . . . . . . . . . . . . . . 227
2. Zusammengesetzte Systeme . . . . . . . . . . 230
‚was Der obere Streckbalken ist unmittelbar belastet . . . . . 232
Die Brückenbahn liegt zwischen den Streckbalken . ‚ . . 232
Beide Streckbalken sind belastet . . . . . . . . . . . 232
III. Blechträger. . . . . . . . 233
IV. Hängebrücken.
‚d. Berechnung der Dimensionen . . . . . . . . . . . . 236
B. Tragketten oder Seile . ' . . . . . . . . . . . . . . 23?
Coordinaten-Tabelle der gemeinen Kettenlinie . . . . . 238
Tabelle der Kettenquerschnitte und Kettenlängen . . . . 240
C. Spannketten . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242
D. Stützpfeiler. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
E Widerlager . . . . . . ‚ . . . . . . . . . . . 244
Fünfter Abschnitt.
Einfache Maschinentheile.
I. Passive Maschinentheile.
Seite
ll. Active Maschinentheile.
Seite
4. Berechnung der Kurbelwarze . . . . . 298
5. Tabelle zur Bestimmung des Durchmessers der
Kurhelwurze . . . . . . . . . . . . . 298
b. Lenkerstange . . . . ‚ . . . . . . . . . 298
1. Berechnung der Lenkerstange auf rückwirkende
Festigkeit . . . . . . . . . . . ' 299
2.
Berechnuag der Lenkerstange auf zusammenge
setzte Festigkeit . . . . . ‚ . ‚ . . . . 301
c. Balancier . . . . . . . . . . ‚ . . . . . 302
d. Geradfiihrungen durch Hebelcombinationen . . . . . 303
F. Regulirende Maschinentheile . . . . . . . . . . . 306
a. Schwungräder . . . . 306
l. Berechnung des Schwungrades einer beliebigen
' Maschine. . . .' . . . . . . . . ‚ . 306
' 2. ElnpirischeßestimmungdesGewichts desSchv‘vung
rades einer Dampfmaschine . . . . 308
3. Gewichtsbestimmung von Schwungrädern für Ar
beitsmaschinen mit sehr veränderl. Widerstands 311
4. Verhältnisse eines Schwungrades . . 312
b. Schwungkugel—Regulatoren . . . . . i. 313
Sechster Abschnitt.
Kraftmaschinen.
Pferdestärke . . . . . . . 314
Bremsdynamometer . . . . . . . . . . .‚ .. . . 31-1
I. Belebte Motoren. ‚
‚ä. Formeln für die Leistung derselben . . . . . . 314
B. Tabelle der Leistung, Kraft u. s. w. . . . . . . . . . 315
11. Windmühlen.
Constructions-Verhältnisse der Windmühlen . . . . . . . 316
lll. Hydraulische Motoren.
d. Wasserräder . ‘s . . . . . . .
a. Allgemeine Sätze . .1. i . . . . . . .. .. 318
318
b. Bestimmung derDiinensionen u.‘\"erzeichnun;,r der Räder 319
B. Turbinen . . . . . i . 323
Seite
IV. Dampfmaschinen. -
fl.wirme..;.....‚..‘.‘...;} 330
a‘ Thermometerscalen . . ‘ ‚ . . . . . . 330 ' \‚
5. Ausdehnung der Körper durch die‘ Wirrns ‚ . . ‚ 330
Tabelle über die Ausdehnung verschied; Substanze . 331
t. Schmelzpunkte verschiedener Substanzen . . . . ‚ . 332
11. Siedepunkte verschiedener Substanzen; . . . . . 332
e. Specifische Wärme . . . . . . . . ‚ ‚ . . . 332
Tabelle der specifischen Wärmen . . ‚ . . . 333
f. Wärmeaufnahme resp. Wärmaabgabs in atmosph. Luft . 334
5‘. Temperatur von Mischungen, latente_Wir|ne und Con
densntion des Dampfes . . . . . ‘I. . . ‚ . . .
336
h. Spannung. relatives Volum und Dichte des Dampfes
337 .
Tabelle darüber ‚ . . . . . . ‚ . ‚ . . .
339 .
3-Damp{kessel........Ä.....‚..‘. 340
u. Feuerungen der Kessel . . ‚ . . . . . . . . . 340
Tabelle der Heilkraft der Brennstofl‘e und der zu ihrer
Verbrennung nötliigen Luftmengen . . . . . . am
Tabellen über Brennmaterialverbrauch und Rostflichen an
Schornsteine . ‚ . . . . ‚ . . ‚ . . . . . 342
b. Verhältnil's der Kessel . . . . . . . 34a
c. Garnitur der Kessel . . ‚ . . . . . . . . 344
C- vBerechnung der Dampfmaschinen . . . . . ‚ . _ 344
a. Doppeltwirkende Dampfmaschinsn mit einem Cylinder ‚ 344
Expansionstabelle . ‚ . . . . ‚ . ‚ . „._‚ . 347
Tabelle der Cylinder-Durchm. für Dampfmaschinen
mit (oder ohne) Expansion u. ohne Condensation 351
Tabelle der Cylinder-Durchm. für Dampfmasehinen
mit Expansion undflondensation . . . . . 355
b. Woolf‘schs Maschinen . . . . . . . . . . ‚ 358
Tabelle über die (Zylinder-Durchmesser von Woolf
schsn Maschinen . . . . . . . . . . . . 360
c. Einfach wirkende Cornwallis’sche Wasserhebungsmaschi
nen mit Expansion und Condensatiou . ‚ . ‚ . 361
II. Tabellen . . . . ‚ . . ‚ . . . . . „.‚ . . L. .364
e. Ccndensation und Speisung . . . . ‚ . .. ‚ _. . 366
f. Dampfkluäle . . . . . ‚ . . . . ‚ . ... . _. 368
D. Locomotiv-Bau. ‚ . ‚ ‚ -. ‘. -. . . . .
u. Die Maschine . '. . . . . . ‚ . . . . . . .
6. Wagen, Oberbau etc. . 372
E. Schifisbau . . . . . '. ‘‚ . . . ‚ 375
a. Form und Verhältnisse der Schifl'e . 375
b. Hydrornechanik der Bchifie . 376
‘VIII Inhaltsverzeiehnil‘s.
Seite
c. Behifl’smaschinen . . ‚ . . ‚ . . . . . . . . 378
Tabelle der Huuptdimensionen derselben . . . . . 379
ü. (Jonstruction eiserner Schifl'e .I ‚v . ‚I . . Ä . . . 382
l Tabelle über die Dimensionen derselben ‚ ‚ . . . 386
e. Regel, nach welcher der Tonnengehelt der Schifl'e in Eng
land registrirt wird . . . . . . . . ‚ . . . 387
II Ungefähre Gewichtsbestimrnungen . , . . . ‚ . . 388
Siebenter 'Ahschniftt.
Technologie.
I. Mechanische Techn ologie.
J. Maschinen zur Bearbeitung der Metalle . . . . . . . . 390
B. Maschinen zur Bearbeitung des Helles . . . . . . . . 392
C. Mahlniühlen . . . ' . ‚ . . . . . . ‚ . . ‚ . . 393
D. Oelmiihlen . . . ‚ . . . . . ‚ . ‚ . . . . . - 394
E. Lohmühleu . . - . . . ‚ . . . - ‚ . . . . . . 398
F- 'l'ral's- und Gypsmühlen . ‚ . . ‚ - . . .1 . . . . 399
G. Flachs- eder Leinenmanufactur - . . . . . . . . . ‚ 399
d. Rösten (Rotten) . . . ‚ . . . . . ' . . . . 399
6. Brechen, Schwingen und Heeheln' . . . L . . . . 399
v. Spinnerei des Langflachses . . . . . ‚ . ‚ . . 400
d. Wergspinnerei . . . . . ‚I . . . ‚ . . . . . 401
e. Bleichen von Leinwand . ' . . . . . . . - . 402
f. Appretur ‚ . _ . . . . ‚ . . . ‚ . . . ‚ . 403
II. Baumwollenmanufactur . . -. . . . - . ‚ - ‚ . . . 403
n. Gewinnung der Baumwolle . - . - ‚ . ‚ - - . - 403
b. Spinnerei . . . . . . . . . . ‚ ‚ . . . . . 404
c. Weberei - . . . . . . . . ‚ . . . . ‚ . . 408
11. Bleicherei, Zeugdruckerei und Färberei . ‚ . . . . 409
J. Wollenmenufactur . . ‚ . . .' . . . . . . . . . ‚ 409
u. Kammgarnspinnerei . . . . . . . ‚ . . . . . 409
b‚ Streichgarnspinnerei' . -. . . . . . . . . . . . ‚ 412
c. Tuehweberei . . . . '. .. . .r . . . . . . . . 414
J. Tnchappretur . .‘ ‚i‘ s . . " . . ‚. .. ‚ . _ . 414
K- Maschinen-Pnpierfnbrikatiun . . . .. . . r‘ . . ‚ .\ . 415
L- Brauerei ‚ . - ' . - . . . . -. ‚ ‘r’ ‚- .‘ . . .‚ . 418
M. Brennerei . - . - - . - ‚ . ‚ . ‚ ‚ . ‚ . '‚ . . 420
‚W‘. Zuckerl'nbrikation - . » - - - . . . 3 _.‚ - - . . . 423
0. Pumpen . ‚ . . . . ‚ - - - . ‚ . ‚_. - . ‚ . . . 429
I1. Eisenhüttenkunde.
fl- Roheisen-Fabrikation‚ . . . . . . ‚ . f t 431
ß- Eisenerze . - ‚ . ‚ - . - . . - .1 . ‚ ‚ . . 431
b. Aufbereitung der Erze . . . . . . .1 . . . . . 432
Inhaltsverzeichnifs. XIX
Seite
c. Beschickung und Zuschläge ‚ . . - .';.- 1 . ‚ . . 432
I1. Das Mauerwerk der Hohöfen . . ‚ . . . . . . . 433
s. Die innere Construction der Hohöfen . . ‚ .. 4 . . 435
Tabelle über die Production von Hohöfenbei bestimm
ten Kohlensackdurchmessern . . ‚ . ‚ ‚ . ‚ 439
f. Zweckmäßige Art und Menge des Brennmaterials . . 440
5. Gebläse . . ‚ . . . . . . . ‚ ‘‚ ‚ . . . . 441.
Vsntilatoren ‚ . . . . . ‚ . . . . . . . . 444
h. Regulatoren . . . . . . ‚ . . . . . . . . Ä . 446
I'.Düsen........‚........‘.446
k. Hohofenbetrieb mit erhltzter Gebläseluft . . . ‚ . . 446
l. Das Umscbmelzen des Roheisens . . . . . . . ‚ 448
m. Bestimmung des Gewichts grofser Gufsstücke . . . . 449
Schwindmaafs-Tsbelle . . . ‚ . . . . . . 450
B. Stabeisen-Fsbrikation . . . . . . . ‚ . . . ‚3 . . 451
u. Vorbereitung des Roheisens . . . . . . . . . . 451
b. Stabeisenbereitung nach der deutschen Frischmethode . 451
c. Stabeisenbereitung in Flsmmöfen . . . ‚ . . . . 452
a1. Das Zängen der Luppen . . . . . . . . . . . 453
e. Das Puddel-oder Luppenwslzwerk . . ‚ . . . . 453
f. Schweil'sofenbetrieb . ‚ . . . . . . . . . . . 453
8'. Das Grobeisen-Walzwerk . . 4. '. . . . . . . . 454
h. Das Feineisen-Walzwerk .‘ . . ‚_. . ‚t‘. . . . . 454
i. Das Blech-Walzwerk . l. . '. H. ' . l. . ‚ . . 455
‘v-‚r Seite
D. Die chemische Reinigung ‚ . . . . . . . . . . . . 465
a. Auf nassem Wege . . . ‚ . . . . . . . . . . 465
b. AuftrockneniWege . . . . ‚ . . . . . . . . 466
E.Gnso|neter‚..‚............‚467
F. Röhrenleitungen . . . . . ‚ . . . . . . ‚ . . . 468
II. Bestimmung
Q Tabelle des
für Röhrendurchmessers
Strnl‘senleitungsröhren. .. .. .. 1. .. .. 468
468
Achter Abschnitt.
Bauwissenschaft. 475
(Alphabetische Anordnung.)
_' Anhang‘.v
Seite
IV. Bauholztnhellen.
1. Inhalts -Tabelle von Rundholz nach dem Durchmesser . 630
2. Inhalts-Tabelle von Rnndholz nach dein Umfange . . 631
3‚ Gnuzholz-Tnbelle . . . ‚ . . . . . ‚ . . . 632
4. Hnlbholz-Tabelle . . . . . . ‚ . . . . . ‚ 633
5‚ Kreuzholz-Tabelle ‚ . . . . . . . . . ‚ . . 634
6. Inhalts -Tabelle von quadratisch und rechteckig beschla
genem Bauholze ‚ . . . . . . . . . . . . 834
7. Tabelle des Schnittholzes aus Gnnz- oder Sägeholz oder
Sägeblöcken . ‚ ._ . . . . . . . . . . . 638
8. Schnittholz aus Mittelbsuholz . . ‚ - . - - - - 639
9» ‚ „ Kleinhnuholz . . . . . ‚ . . . 639
Seite
II. Tabelle über die Gewichte eines Cubikzolls und Cubikful'ses ver-'
schiedener Körper . . . . . ‚ . . . . . . . . . . 667
J. Gewichts-Tabelle für Metallplatten . . . . . . . . . . 668
K. Gewichts-Tabellen für Schmiedeeisen
Bandeisen-Tabelle . . . . . . . . . . . r . 669
8.9 19 ‘? Stab- oder Stangeneisen- Tabelle . '. . . . . . . 670
Qnadrateisen-Tabelle . . . . . . . . . . . . 673
Rundeisen -Tabelle . . . . . . . . ‚ . . . . . 673
Winkeleisen-Tabelle . . . . . . ‚ . . . . . . 674
T-Eisen-Tabelle . . . . . . . . . . . . . . 675
L. Gewichts-Tabelle für gufseiserne Kugeln . . . . . . . . 675
‚771. Gewichts-Tabelle für gufseiserne Röhren . . . . . . . . 676
JV'. Tabelle über das Gewicht eiserner Niete . . . . . . . . 677
0. Tabelle über den Preis und das Gewicht der im Handel am mei
sten vorkommenden Nägel ‚ . . . . . . . '. . . . . 677
P. Tabelle über die Preise von Holzschrauben . . . . . . . 679
Q, Atomgewichte und Zusammensetzung der für die analytische:
Chemie wichtigsten einfachen Körper und ihrer Verbindungen 679
IV. Lohntabelle . . . . . . . .. 683
Erster Abschnitt.
Mathematik.
'I 'uallaqil 5
‘l "lßllß‘lßl
‘V eqoldgoe'a ‘aqqJaM ‘QI’BJPBUÖ ‘uaqno 421mm?)
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001 0001 I 9991‘9 1191‘z
11,1 1991 9919‘9 I 01zz‘z
111 szu 1191‘9 1 169m
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92a 9199 0919‘9 1 z991'z
99a 9601 1 0000‘1 1 99191
09a 9101 1991‘1 ' 9119‘9
1z9 (‚999 9z1z‘1 ‚ L0z9‘z
199 0999 9999‘1 1999‘0
001 0008 1211‘1 111m
111 19z6 9199‘1 699m
191 81901 1069‘1 ozos‘z
67,9 ‚491m 8961‘1 6919‘1
909 11991 0609‘1 91991
919 99991 0000‘9 0%6‘5
919 91941 0060‘9 9z96‘z
au 99961 6961‘9 0000‘9
18/. ZQBIZ 9190‘9 9990‘9
119 688W 9992‘9 euo‘e
000 000m 9111‘9 9101‘9
190 161.68 9199‘9 1111‘9
1z01 991.52 6999‘9 9141‘9
0901 LSGQS 9111‘9 9102;‘9
9911 10969 0198‘9 9699‘9
‚91
4 Erster Abschnitt. —-— Mathematik.
91
92
01099
01087
8281
8464
i 753571
778688
9,5394
9,5917
4,4979
4,5144
93 01075 8649 804357 9,6437 4,5307
94 01064 8836 830584 9,6954 4,5468
1 a
n z- i n’ n" l/n V"
n i "2 "3 i Vn
ß
1
n | i „9 1 „a V; 1;?‘
1„ i „= „ß 1/; V;
3
0,00200 290220
„
l114004120
.‚_.._‚_
22,0227 7,9000
490 00200 290190 ‚114791200 22,0404 7,9022
487 00200 297109 110001909 22,0681 7,9070
488 00200 299144 110214272 22,0907 7,9790
489 00200 299121 _110990109 22,1199 7,8784
490 00204 240100 117049000 22,1909 7,0097‘
491 00204 241091 110970771 22,1090 7,9991
492 00209 242004 119090480 22,1011 7,9944
499 00209 249049 119823157 22,2090 7,9990
494 00202 244090 120553784 22,2201 7,9001
490 00202 240020 121287970 22,2400 7,9100
490 00202 240010 122020990 22,2711 7,9109
497 00201 247009 422709479 22,2990 7,9211
499 00201 249004 ‘129000992 22,9109 7,9204
499 00200 249001 124201499 22,3888 7,9917
000 00200 200000 1200000001 22,9007, 7,9970
501 00200 201001 11207010011 22,9890 7,9429
002 00199 202004 120000000 224004119470
009 00199 209009 127209027 22,4277; 7,9029
004 00198 204010 ‘1280240641 22,4499! 7,9581
000 00198 200020 ‘129707020 22,4722 7,9094
000 00198 200090 129904210, 22,4944; 7,9000 l
007 00197 207049 190929049; 22,0107; 7,9799 ,
00a 00197 l 200004 191090012; 22.0909! 7,9791
009 00196 i 259081 1191072229‘l 22,0010 7,9049
010 00190 i 200100 192001000 22.0992,E 7,9090
011 00196 201121 I199492991‘, 220009! 7,9949
012 , 00195 l 202144 1194217720; 22,0274‘ 90000
019 00190 1 209109 1190000097‘ 22,04901‘ 8,0002
\ 014 \ 00194 ; 204190 E199790744:
l l
22,0710’,| 0,0104
i, 010 00194 200220 {1900909701 226996; 9,0100
h 010 l 00104 l 200200 1197909090 22.7100 9,0200
017 0019-3 267289 i19s19s419? 22,7970, 8,0260
019 00199 5 209924 ;199991092 22,7090; 9,0911
ll 019 | 00193 l 209901 11997989091 22,79101 8,0363
2
[8 Erster Abschnitt. - Mathematik.
l ———-- _‚
1
555 0,00180 308025 ‚1709538751 23,5584i 8,2180
556 00180 309136 ‘1718796161 23,5797, 8,2229
557 00180 310249 1728086931 23,6008 8,2278
558 00179 311364 173741112 23,6220' 8,2327
559 00179 312481 174676879, 23,64321 8,2377
560 00179 313600 ‘175616000 23,6643‘ 8,2426
561 00178 314721 1765584811 23,6854‘ 8,2475
562 00178 315844 ‘177504328 23,7065_ 8,2524
563 00178 316969 178453547, 23,72761 8,2573
564 00177 318096 ‚1 1794061441 23,7487 ‘i. 8,2621
669
668
00140- 447561 298077632
00150i 446224
290418309 25,8650
25,845?
8,7460
8,7416
670 . 00149- 448900 300768000 25,8844 8,7503
671 00149.‘! 450241 302111711 25,9037 8,7547
872 00149 451584 303464448 25,9230 8,7500
673 00140 452029 304821217 25,0422 8,7634
674 _‚ 00148 454276 306182024 25,9615 8,7677
675 00148 455625. 3075468751 ‘25,9808 8,7721
676 00148 456976 308915776| 26,0000 8,7764
677 1 00148 4583201 310288733;I 26,0192 8,7807
678 . 00147 459684 3711665752 26,0384 8,7850
679 00'147» 461041 3130468319 26,0576 8,7893
680 00147 462400 ‘314432000 26,0768 8,7987
681 _ 00147 4,63761 315821241 26,0960 8,7980
682‘ 00147 465124 317214568 26,1151 8,8023
683 00140. 466480 318611087 26,1348 8,8066
684 . 00146 467856 320013504‘ 26,1534 8,8109
685 001461 469225 321419125 26,1725 8,8152 I
686 00146 470506 322828856 26,1916 8,8194‘
687 00146 471969 324242703 26,2107 8,8237
688 00145 473344 325660672 26,2298 8,8280
689 00145 474721 327082769 i 26,2488 8,8323
690 00145 476100 328509000‘ 26,2679 8,8866
691 ‘ 00145 477481 3299393711 26,28691 8,8408
692 00145 I 478864 331373888- 26,3059; 8,8451
693 00144 480'249 ‘332812557 ‘ 26,3249 8,8493
694 00144] 481636 ‘1334255384 263439 8,8536 ,
I. Tabellen ' ‘23
„ 1 „2 „= v: ‚5;‘,
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835 0,00120‘ 697225 582182875 | 28,8964 >9,4166
836 001 20 698896 584277056 ‘ 28,9137 9,4204
837 00119 700569 586376253’ 28,9310 9,4241
838 0011 9 702244 588480472 28,948‘) 9,4279
839 00119 703921 590589719, 28,9655 9,4316
843 00119 y
844 09118 1 710649 599077107 29,0345
712336 ‚601211594 29,05175 9,4466
9,4509 ,
845 00118 714025 ' 603351125‘ 29,0689 9,4541 l
846 001 18 715716 605495736‘ 29,0861 9,4578 1:
847 001 18 717409‘ 607645423 29,1089 9,4615 l
848 001 18 719104 609800192 29,1204 9,4652
849 00118 720801 611960049 29,1376 9,4690
869
868 00115 l
00115 755161
753424 656234909
653972032 29,4788:
29,4618 9,5427
9,5391
28 Erster Abschnitt. — Mathematik.
n n1 1b 2 "3 —
V" t.
Vn
905 0,00111
1’ ‘1
819025 741217625 30,0832 9,6727 1'
’
906 00110 820836 l749677416 30,0998 9,6768
907 00110 822649 746142643 30,1164 9,6799
908 00110 824464 748613912 30,1830 9,6834
909 00110 826281 751089429 30,1496 9,6870
910 001 1 0 828100 753571000 30,1662 9,6905
V 911 00110 829921 756058031 30,1828 9,6941
912 00110 831744 758550528 30,1999 9,6976
913 00110 '‚ 899569 761048497 30,2159 9,7012 ‘
‚14 00109 885996 763551944 30,2824 9,7047’
915 00109 ' 887225 766060875 30,2490 9,7082
916 00109 , 899056 768575296 30,2655 9,7118
917 00109 ‘ 840889 771095218 30,2820 9,7158
918 00109 842724_ 773620632 30,2985 9,7188
919 00109 844561776151559 90,9150 9,7224
920 00109 846400 778688000 30,3815 9,7259
921 00109 848241 781229961 30,3480 9,7294
922 00108 850084 783777448 60,8645 9,7829
923 00108 851929 786960467 30,3809 9,7964
924 00108 853776 788889024 30,9074 9,7400
, 925 00108 855625 791458125 30,4138 9,7485
‘ 926 00108 857476 794022776 30,4302 9,7470
927 00108 859929 796597983 30,4467 9,7505
928 00108 861184 799178752 30,4631 9,7540
929 00108 869041 801765089 30,4795 9,7575
930 00103 864900 804357000 30,4959 9,7610
931 00107 866761 806954491 30,5123 9,7645
1 00107 868624 809557568 30,5287 9,7680
932
_ 933 00107 870489 812166237 30,5450 9,7715
00107‘ 872356 814780504 30,5614 9,7750
935 00107 874225 817400375 30,5778 9,7785;
936 !) 00107 7 876096 1820025856 1 30,5941 9,7819 ‚
937 ' 00107 ' 877969 822656959i 30,6105 9,78541
638 00107 879844 825298672’ 30,6268 9,7889
939 00107 881721 ‚827986019,‘ 30,6481 9,7924
30 Erster Abschnitt‚ — Mathematik.
n »n— n n y n V 1, ä
!
975 0,00103 950625 026850375 31,2250 9,9160i
976 00102 052576 929714176 81,2410 9,9104 ,
977 00102 954529 032574833 31,2570 9,9227 ,
978 00102 956484 935441352 31,2730 9,9261 1
979 00102 958441 988313730 81,2890 9,9295 ,
980 00102 960400 041192000 31,8050 0,0829
981 00102 962361 044076141 81,8209 9,9368
982 00102 964824 946966168 31,3369 9,9806
988 00102 966289 949862087 31,8528 9,9430
084 00102 068256 952763004 31,3688 9,0464 ‘
985 00102 970225 ‚955671625 81,3847 0,9497
986 00101 972196 958585256 81,4006 9,0581
987 00101 074169 961504803 81,4166 0,9565
988 00101 976144 964430272 31,4325 9,9598
989 00101 078121 067361660 81,4484 ‚(9,9632
990 00101 980100 070209000 81,4643 9,9666
991 001011. 982081 973242271 81,4802 9,0699
992 00101 984064 976101488 31,4960 9,9733
993 00101 986040 979146657 31,5119 9,9766 ‚
994 00101 988036 082107784 81,5278 9,9800
995 00101 990025 085074875 31,5486 9,9888
996 00100 992016 988047936 31,5595 9,9866
997 00100 994009 991026973 81,5753 9,9900
998 00100 996004 994011992 81,5911 9,9033
999 00100 908001 997002999 31,6070 9,9967
1000 31,6228 10,0000
Die Quadrat- und Cubikwurzeln aus Zahlen, welche > 1000
sind, werden gefunden mit Hülfe der Näherungsformeln
b
az+b=a+fl
3 b
Va’ + b = a + 2m.
Briggischen Logarithmen.
N0. T 6 T 7 i 8 9 Differenzen.
V
Bn'ggischen Logarithmen.
"1 T‘
No. 6 7 8 9 Differenzen.
.L 1
‘ N0. o 1 2 9 4 5
Briggischen Logarithmen.
N0. l 6 7 8 9 Differenzen.
‘011 o i 1 5 \ 8 1 v‘ l 9
L___
911 01.090 80190 91190 88190 15590 89590
911 91790 88190 15990 89990 96990 88990
[.11 61890 99890 86890 08690 L9690 100L0
811 881L0 955L0 595L0 865L0 988L0 5L8L0
611 QQQLO 169L0 859L0 199L0 OOLLO LSLLO
051 816L0 196L0 066L0 L5080 89080 66080
161 6L580 11880 09690 98880 55180 89180
661 98980 51.980 LOL80 81L80 SLLSO 11880
661 16680 96060 19060 96060 66160 L9160
151 51860 LL860 51160 L1160 58160 L1960
951 16960 95L60 091.60 QGLGO 08860 19860
961 L600I 66001 90101 07101 91301 60601
[.51 08801 91101 61101 88101 L1901 19901
851 15L01 99L01 68L01 SZQOI [3801 06801
661 69011 66011 96111 09111 66111 16611
061 16811 85111 19111 16111 86911 19911
161 LZLII 09611 66611 96811 09811 86811
661 L9051 06051 85151 99151 68151 55551
881 98851 81151 09151 88151 91951 81951
181 OILZI 81451 QLLZI 80851 01851 M851
981 88081 99081 86081 08181 59181 16181
981 19881 98881 81181 09791 18751 91981
L81 5L981 102.81 98181 1,9!‚81 661.81 08881
881 88661 61011 19011 58011 11111 911111
681 10811 88811 19811 968V! 95161 L9111
011 81911 11911 ‘3.1911 90L11 L8L11 89L11
111 85611 89611 88611 11091 91091 M091
511 65591 69591 06591 05891 19891 18891
811 18991 19991 16981 95991 99991 98991
111 98891 99891 L6891 L56Q1 L9691 L8691
911 L8191 1,9191 L6191 1.5591 99591 98591
911 98191 99191 96191 15991 19991 18991
L11 58L91 19L91 161191 05891 09891 6&891
811 96061 990L1 980L1 11161 81IL1 8L1L1
611 618L1 818L1 LL8L1 901L1 981L1 191L1 V‘
l. Tabellen. 39
Briggischen Logarithmen.
V
N0. 6 7 8 9 Differenzen.
‚ "A "1
Briggischen Logarithmen.
N0 6 7 8 9 Differenzen.
i__
150 17783 17811 17840 17869 29
1 151 18070 18099 18127 18156 29
1 152 18355 18384 18412 18441 28
153 18639 18667 18696 18724 28
154 18921 18949 18977 19005 28
155 19201 19229 19257 192851 28
156 19479 19507 19535 19562‘ 28
m7 19756 19783 19811 19838 28
158 20030 20058 20085 20112 27
159 20303 20330 20358 20385 27
160 20575 20602 20629 20656 27
161 20844 20871 20898 20925 27
162 21112 21139 21165 21192 27
m3 21378 21405 21431 21458 27
164 21643 21669 21696 21722 26
165 21906 21932 21958 21985 ‘ 26
166 22168 22194 22220 22246 26
167 22427 22453 22479 22505 26
m8 22686 22712 22737 22763 26
M9 22948 22968 22994 23019 26
H0 23198 23223 23249 23274 25
23452 23477 23502 23528 25
H2 23704 23729 23754 23780 25
‘ U3 23955 23980 24005 24030 1 25
U4 24204 24229 24254 24279 25
1% 24452 24477 24502 24527 25
U6 24699 24724 24748 24773 25
H7 24944 24969 24993 25018 24
H8 25188 25212 25237 25261 24
U9 25431 25455 25479 25503 24
R0 25672 25696 25720 25744 24
m1 25912 25935 25959 25983 24
ß2 26150 26174 26198 26221 24
ßä 26387 26411 26435 26458 24
N4 26623 26647 26670 26694 24
42 Erster Abschnitt. — Mathematik.
N0. '
— 111-5 0 1
-i i 51 2 1 1:- 3 _ 4„1, ' 1 5
C. Natürliche Logarithmen.
l 1 1:
n0 1 lnn
.155" ‘ n 17171, n i1‘ ln'n
7 "m | n_ W lnn
7 7a‘
Briggischen Logarithmen.
N0. 6 7 8 , 9 , Differenzen. ‘
fi Z 1 7 | A,
C. Natürliche Logarithmen.
g g, Natürlicher Logarithmusmwm_fl
nmläier
11- Umfäng 165611
7: d 2 “Emb-
mcsser l _
Uxlf‘äng 1611510
71 112
d ‚t 4 d 4
68
69 213,63
216,77 3631,7
3739‚3 F 86
85 267,04
270,18 5674,5
5808‚8
70 219,91 3848‚5 87 273,32 51:44,7
71 223,05 3059,2 88 276,46 6082,1
72 226,19 4071,5 89 279,60 6221,1
73 229,34 4185‚4 90 282,74 6361‚7
74 232,48 4300,8 91 285,88 6503,9
75 235,62 4417,11 92 289,03 6647‚6
76 238,76 4536,5 93 292,17 6792,9
77 241,90 4656,6 94 295,31 6930,23
78 245,04 4778,4 95 298,45 7088,2
79 248,19 4901,?‘ 96 301,59 7238‚2
so 251,33 5026,6 07 304,73 7389,8
81 254,47 51:33,0 98 307,88 7543‚0
82 257,61 5281,0 99 311,02 7697‚7
83 260,75 5410,6 100 314,16 7854,0
84 ‚l 263,89 5541‚8 ‘. ä.‘ l
T5 S= F5 s.
U Bogen- Bogen- 2 ‚g ‘3 Bogen- Bogen- ä 5
E, 3 länge höhe g m 5 2 länge höhe b m
wo ‚5 | N gßu ‚ä l 54
11g s l 16 1-009Z 5‚. R Pi e.| —9L 1: l-c03Z ._.3 R
180 2 g 81g }M P4
i 180 2 5 61g F11
wo ucavnßw w
0,0175T0,0000T0,00000 ‘1 34-‘ 0,5934 0,0437 0,01711
0,0349 0,0002 0,00000 35 0,6109 0,0463 0,01864
0,0524 0,0003 0,00001 36 0,6283 0,0489 0,02027
0,0698 0,0006 0,00003 37 0,6458 0,0517 0,02198
0,0873 0,0010 0,00006 38 0,6632 0,0545 0,02378
0,1047 0,0014 0,00010 39 0,6807 0,0574 0,02568
0,1222 0,0019 0,00015 40 0,6981 0,0603 0,02767
0,1396 0,0024 0,00023 41 0,7156 0,0633 0,02976
0,1571 0,0031 0,00032 42 0,7330 0,0664 0,03195
10 0,1745 0,0038 0,00044 43 0,7505 0,0696 0,03425
11 0,1920 0,0046 0,00059 44 0,7679 0,0728 0,03664
12 0,2094 0,0055 0,00076 45 0,7854 0,0761 0,03915
13 0,2269 0,0064 0,00097 46 0,8029 0,0795 0,04176
14 0,2443 0,0075 0,00121 47 0,8203 0,0829 0,04448
15 0,2618 0,0086 0,00149 48 0,8378 0,0865 0,04731
16 0,2793 0,0097 0,00181 49 0,8552 0,0900 0,05025
17 0,2967 0,0110 0,00217 50 0,8727 0,0937 0,05331
18 0,3142 0,0123 0,00257 51 0,8901 0,0974 0,05649
19 0,3316 0,0137 0,00302 52 0,9076 0,1012 0,05978
20 0,3491 0,0152 0,00352 53 0,9250 0,1051 0,06319
21 0,3665 0,0167 0,00408 54 0,9425 0,1590 0,06673
22 0,3840 0,0184 0,00468 55 0,9599 0,1130 0,07039
23 0,4014 0,0201 0,00535 56 0,9774 0,1171 0,07417
24 0,4189 0,0219 0,00607 57 0,9948 0,1212 0,07808
25 0,4363 0,0237 0,00686 58 1,0123 0,1254 0,08212
26 0,4538 0,0256 0,00771 59 1,0297 0,1296 0,08629
27 0,4712 0,0276 0,00862 60 1,0472 0,1340 0,09059
28 (54887 (50297 0‚00961 61 1,0647 0,1384 0,09502
29 0,5061 0,0319 0,01067 62 1,0821 0,1428 0,09958
30 (55236 0,0341 0,01180 63 1,0996 0,1474 0,10428
31 M411 0‚0364 0,01301 64 1,1170 0,1520 0,10911
32 0,5585 (50387 0,01429 65 1,1345 0,1566 0,11408
33 0,5760 0,0412 0,01566 66 1,1519 0,1613 0,11919
l. Tabellen. 51
l< 1 {l
‘J | Ü. _>-
.‚. E» r:
ä ‚5 | JBogen- Bogen- E E‘
g " ; 5 E llnge höhe g m
‚n | N gl’o‘ ‚Q I ‘N
‚ä R ‘q S- l 7! l-cos‘l ‚ä ä
g 51% 180 2 g s‘
34 ‚P4 “
67 1,1694‚0,1661 0,12443 84 1,4661 0,2569 0,28578
68 1,1868_ 0,1710 0,12982 85 1,4885 0,2627 0,24367
69 1,2043 0,1759 0,18585 86 1,5010 0,2686 0,25171
-70 1,2217 0,1808 0,14102 87 1,5184 0,2746 0,25990
71 1,2392'O‚1859_0‚14683 88 1,5859 0,2807 0,26825
72 1,2566 0,1910 0,15279 89 1,5588=,0,2867 0,27675
78 1,2741 0,1961 0,15889 90 1,5708; 0,2929 0,28540
74 1,2915‘ 0,2014 0,16514 100 1,7458=0,8572 0,88026
75 1,3090 0,2066 0,17154 110 1,9199 0,4264 0,49008
76 1,8265 0,2120 0,17808 120 2,0944 0,5000 0,61418
77 1,8489 0,2174 0,18477 ,180 2,2689 0,5774 0,75144
78 1,8614. 0,2229 0,19169 ‘140 2,4485 0,6580 0,90084
79 1,8788! 0,2284 0,19859 1150 2,6180‘ 0,7412 1,05900
80 1,8963 0,2840 0,20573 160 2,7925 0,8264 1,22525
81 1,4137 0,2896 0,21801 170 2,9671 0,9128 1,89671
83 1,4486 0,2510 0,22804
i 82 1,4812 0,2458 0,22045 180 8,1416 1,0000‚1,57080
G. Trigonometrische Tabelle.
G. Trigonometrische Tabelle.
__'T
Grad|Min. sin. cos. l tg. Fcotg.‘|
I — L .‚—- - _ _
2 0 0,03490 0,99939 0,03492 23,63625 0 33
10 0,03731 0,99929 0,03733 26,43160 50
20 0,04071 0,99917 0,04075 24,54176 40
30 0,04362 0,99905 0,04366 22,90376 30
40 0,04653 0,99392 0,04653 21,47040 20
50 0,04943 0,99373 0,04949 20,20555 10
3 0 0,05234 0,99363 0,05241 19,03114 0 37
10 0,05524 0,99347 0,05533 13,07493 50
20 0,05314 0,99331 0,05324 17,16934 40
30 0,06105 0,99313 0,06116 16,34935 30
40 0,06395 0,99795 0,06403 15,60473 20
50 0,06635 0,99776 0,06700 14,92442 10
4 0 0,06976 0,99756 0,06993 14,30067 0 86
10 0,07266 0,99736 0,07235 13,72674 50
20 0,07556 0,99714 0,07573 13,19633 40
30 0,07346 0,99692 0,07370 12,70620 30
40 0,03136 0,99668 0,03163 12,25050 20
50 0,03426 0,99644 0,03456 11,32617 10
5 0 0,03716 0,99619 0,03749 11,43005 0 35
10 0,09005 0,99594 0,09042 11,05943 50
20 0,09295 0,99567 0,09335 10,71191 40
30 0,09535 0,99540 0,09629 10,33540 30
40 0,09374 0,99511 0,09923 10,07303 20
50 0,10164 0,99432 0,10216 9,73317 10
6 0 0,10453 0,99452 0,10510 9,51436 0 34
10 0,10742 0,99421 0,10305 9,25530 50
20 0,11031 0,99390 0,11099 9,00933 40
30 0,11320 0,99357 0,11394 3,77639 30
40 0,11609 0,99324 0,11633 3,55555} 20
50 0,11393 0,99290 0,11933 3,34496 10
7 0 0,12137 0,99255 0,12273 3,14435 0 33
10 0,12476 0,99219 0,12574 7,95302 50
20 0,12764 0,99132 0,12369 7,77035 40
30 0,13053 0,99144 0,13165 7,59575 30 |
40 0,13341 0,99106 0,13461 7,42371 20
50' 0,13629 0,99067 0,13753 7,26373 10
’. __ Ä‚_
„r
cos. sin. Lcotg. tg. Min. Grad
l
I. Tabellen. 53
G. Trigonometrische Tabelle.
F M 1' | "r——
Grad in. sin. cos. tg. cotg. l l
G. Trigonometrische Tabelle.
'GradPMin.
sin. CO8. tg. cotg.
1.
14 , 0 ‘0,24192 0,97060 0,24966 4,01078
" 10 J 0,24474 0,96959 0,25242 6,96165
20 0,24756 0,96887 0,25552 3,91364
30 0,25068 0,96815 0,25662 6,66671
40. 0,25320 0,96742 0,26172 6,82086
50 0,25601 0,96667 0,26466 6,77595
15‘ 0 0,25682 0,96596 0,26795 8,73205 ’
10 0,26166 0,96517 0,27107 6,66909
20 0,26446 0,96440 0,27419 6,64705
30 0,26724 0,66666 0,27762 6,60588
40 0,27004 0,96265 0,28046 6,56557
50 0,27284 0,96206 0,28360 6,52609
16 0 0,27564 0,96126 0,28675 6,48741
10 0,27843 0,96046 0,28990 6,44951
20 0,28123 0,95964 0,29605 6,41266
30 0,28402 0,95682 0,29621 6,67594
40 0,28660 0,95799 0,29966 6,64026
50 0,28959 0,95715 0,60255 6,60521
17 0 0,29237 0,95660 0,60576 6,27085
10 0,29515 0,95545 0,60691 3,23714
20 0,29793 0,95459 0,61210 6,20406
30 0,30071 0,95672 0,61560 6,17159
40 0,30348 0,95284 0,61850 6,16972
50 0,30625 0,95195 0,62171 6,10842
18 0 0,30902 0,95106 0,62492 6,07766
10 0,31178 0,95015 0,62814 6,04749
20 0,31454 0,94924 0,66166 6,01786
30 0,31730 0,94862 0,66460 2,98668
40 0,32006 0,94740 0,66766 2,96004
50 0,32282 0,94646 0,64108 2,96169
19 0 0,32557 0,94552 0,64466 2,90421
10 0,32932 0,94457 0,64756 2,87700
20 0,33106 0,94661 0,65085 2,85026
30 0,33381 0,94264 0,65412 2,82691
40 0,86655 0,94167 0,65740
50 0,66929 0,94066 0,66068 2,77254
J 2,79802
CO8.
T ein. Lcotg. I tg.
l. Tabellen. 55
G. Trigonometrische Tabelle.
1" 0 'l‘ ' "A .__————.__T|
GradlMin.‘ sin. ' cos. T tg. , cotg. i l
__ I1 .. ‚
‚1
“ 201 O 0,34202 0,93969 ' 0,36397 9 2,74748 O 70
10 0,34475 0,93869 0,36727 2,72281‘ 50
20 0,34748 0,93769 0,37057 2,69853 40 4
1 30 0,35021 0,93667 0,37388 2,67462 30 1
40 0,35293 0,93565‚0,37720 2,65109 20
50 0,35565 0,93462 0,38053 2,62791 10, .
21 0 0,35837 0,93358 0,38386 2,60509 0 69
| 10 0,36108 0,93253i0,38721 2,58261 50 '
20 0,36379 0,93148 0,39055 2,56046 40 i
30 0,36650 0,93042 0,39391 2,53865 30
40 0,36921 0,92935 0,39727 2,51715 20
50 0,37191 0,92827 0,40065 2,49597 10
22 , 0 0,37461 0,92718 0,40403 2,47509 0 68
10 0,37730 0,92609,0,40741 2,45451 50
20 0,37999 0,92499 0,41081 2,43422 40
30 0,38268 0,92388 0,41421 2,41421 30
40 0,38537 0,92276 0,41763 2,39449 20
1 50 0,38805 0,92164 0,42105 2,37504 10
23‘ o 0,39073 0,92050 0,42447 2,35585 0 67
1 10 039341 091986 0,42791 2,33693 50
20 O:39608 0:91822‘0,43136 2,31826 40
30 0,39875 0,91706 0,43481 2,29984 30
40 0,40141 0,91590 0,43328 2,28167 20
50 0,40408 0,91472 0,44175 2,26374 10
24 0 0,40674 0,91355 0,44523 2,24604 0 66
11° ("3233i 3'333 3333;; W857 3°
20 0, ‚ , 2,21132 0
30 0,41469 0,90996 0,45573 2,19430 30
„40 0,41273: 0338220451334 2,17743 20
50 0 0 7 3 0,46‘ 21609 10
25‘, 0 0142262 0:90631[0,46631 2114451 0 65»
110 0,42525 090507046985 2,12832 50
20 0,42788 0,90ß83‘0,47841 2,11233 40
.30 0,43051 0,90259 0,47698 2,09654 30
, 40 0,43313 0,90133 0,48055 2,08094 20
50 0,43575 0,90007,0,48414 2,06553 10
3 1 ___- 1_„__‚_J___
1 cos. ein. cotg. t tg. ‘Ihn. Grad
L _ .l .‚
56 Erster Abschnitt. — Mathematik.
G. Trigonometrische Tabelle.
G. Trigonometrische Tabelle.
J i’ ‚ , v
iGrad‘ Min. sin. cos. tg. cotg. i I
136 i 50
0 0,58779 0,80902
0,58543 0,72654
0,81072 0,72211 1,37638
1,38484 100 54
10 0,59014 0,80730 0,73100 1,36800 50
20 0,59248 0,80558 0,73547 1,36968 40
30 0,59482 0,80386 0,73996 1,35142 30
40 0,59716 0,80212 0,74447 1,94323 20
50 0,59949 0,80038 0,74900 1,33511 10
37 1 O 0,60181 0,79864 0,75355 1,32704 0 53
10 0,00414 0,79688 0,75812 1,31904 50
1 20 0,60645 0,79512 0,76272 1,31110 40
30 0,60876 0,79335 0,76733 1,30323 30
40 0,61107 0,79159 0,77196 1,29541 20
50 0,61337 0,78980l0,77661 1,28764! 10
_ l l cos. l sin. l cotg. tg. Min. Grad
58 Erster Abschnitt. — Mathematik.
G. Trigonometrische Tabelle.
IVGrad Min. L simli cos. tg.
f ___
601g. l ‘I
——1
.
38 0 0,61566 0,78801 0,78129 1,27994! 0 52
10 0,61795 0,78622 0,78598 1,27230
20 0,62024 0,78442 . 0,79070 1,26471
30 0,62251 0,78261 0,79544 1,25717
40 0,62479 0,78079 0,80020 1,24969
50 0,62706 0,77897 0,80498 1,24227
39 0 0,62932 0,77715 0,80978 1,33490 0 51
10 0,63158 0,77531 0,81461 1,22758
20 0,63383 0,77347 0,81946 1,22031
30 0,63608 0,77162 0,82434 1,21310
40 0,63832 0,76977 0,82923 1,20593
50 0,64056 0,76791 0,83415 1,19882
40 0 0,64279 0,76604 0,83910 1,19175 0 50
10 0,64501 0,76417 0,84407 1,18474
20 0,64723 0,76229 0,84906 1,17777
30 0,64945 , 0,76041 0,85408 1,17085
40 0,65166 0,75851 0,85912 1,16398
‘50 0,65386 0,75661 0,86419 1,15715
41 0 0,65606 ‘ 0,75471 0,86929 1,15037 0 49
10 0,65825 0,75280 0,87441 1,14363
20 0,66044 ‘ 0,75088 0,87955 1,13694
30 0,66262 0,74896 0,88472 1,13029
40 0,66480 0,74703 0,88992 1,12369
50 0,66697 0,74509 0,89515 1,11713
42 0 0,66913 0,74314 0,90040 1,11061 0 48
10 0,67129 0,74120 0,90969 1,10414
20 0,67344 0,73924 0,91099 1,09770
30 0,67559 0,73728 0,91633 1,09131
40 0,67773 0,73531 0,92170 1,08496
50 0,67987 0,73333 0,92709 1,07864
43 0 0,68200 0,73135 0,93252 1,07237 0 47
10 0,68412 0,72937 0,93797 1,06613
20 0,68624 0,72737 0,94345 1,05994
30 0,68835 0,72537 0,94896 1,05378
40 0,69046 0,72337 0,95451 1,04766
50 0,69256 0,96008 1,04158
l_0,72136
ljiiml 5d tg.
‚J
.
Mm. Grad]
11. Algebra. 59
G. Trigonometrische Tabelle.
II. Algebra.
A. Reihen.
u. Arithmetische l'rogl'esslonen.
Für die arithmetische Progression a, a+ d, a-l- 2d, . ..
. . a + (n .- l)d ist das m9 oder letzte Glied:
1. u=a+(n__1)d
und die Summe der n ersten Glieder:
2- 8=a+u
‚n; oder:
3. 3=(a+(L_E-1E)n,
4. l=(ü—(l—__2—lliz)fl und
2 1 3
5. Die Summe aller Cuben von 1"I bis 713=n—(n\:_ ) .
d. Geometrische Progresslonen.
Für die geometrische Progression: a, ae, (1.432, . . . mal-1 ist;
das um oder letzte Glied:
1. u=ae"—l,
und die Summe der n ersten Glieder:
2. s = ilfl ;0der
e_1
g eu—a
.‚ 8: '
c—1 ’
‚I l
n-l n-l
4 s__.
u l
—a l un
<1
I-l n-l
'M -__G‚
5 u(e"— 1)
5 8="__‘—‚
(e_1)e"—1
Ist n=6o und e ein üchter Bruch, so hat man:
6. s= .
II. Algebra. 6l
—l —2 )un—3b3 +.‚_
2. (1 +5)-=1+ "1—b+’l.(";*2l)-5=
_l__n(n—1)(n‚—2lb3 + l I b
1-2-8
Die erstere Reihe ist nur dann convergent, wenn a>vb‚ die
letztere wenn b<1
62 Erster Abschnitt. — Mathematik.
x’ 9:3 z‘ m5
3. l 1 1 1
4. ln(:c+1)_-ln:v=;-—5F+‘F_EE+“
1 l 1
5. l m“ 2 [4+1
w—'1+'(z—1)3+' L4 5
6' __.3 4+1
y ‘5’ 4+1")3
|‚_‚'{‚
7. l11‚(a1:—|»-y)-—.lnz._--2[2:ß_*_y-}-ä 2064-?!)
+'( y 1 )5+ ]
g 2x+y . .
_1-2-3-4-5-6-7+"'
2 1 I2 z‘ m6
‚ cos x: — 1‚2+1.2‚3‚4
7 _ 1‚2‚3‚4‚5.6
' 5 + ..‚
3 tac__ac_‘‚_w3_'_2-.10‘_'_17.907_'_ 62-29
g ‘_ 3 3-5 31.5.7 3*.5-7-9+“'
II. Algebra. 63
8.
2 3 5 7
1. cosw=l=V-—lsinz=ed: "V :1
2. (c0sx=l=l/ —1sina:)"=cosmx=l=|/__1sin mm
__e=Em-V:1
welche Forme] den Namen Moivre‘sche Binominalformel fiihrt.
3. (cosm-i-V — 1sinz)(cosy+l/__ 1 sing)
=cos(cc+y)+]/— 1sin(x+y)
c0sz=%( 8‚v:’1+e—‚v:1)
1 1-V:i__ —xV:l
sin zu:
2V:IG _j )
1 1 + V—— 1
„=————l ‚_ .
2V-1 1_V_nm
C. Gleichungen.
a. Gleichungen des zweiten Grades.
Ist x2+pm=q, so hat man:
p 2
x==—-—:2—-=!=‘/q+%.
=
v p2 vm
T
———=l= —-‚
Ist x=l=y=s
und wy=p‚ so folgt:
„im 4 s—— l/rsv“ =F4PI
8+V3T=_F__I_7‚ undy=
x:
2
64 Erster Abschnitt. —— Mathematik.
3 _
.132 =LEI —
f’ (xi) '
der zweite corrigirte Werth ist:
x =m — —„A- u. s. w.
3 2 f (Z2)
Man fiihrt in dieser Weise fort, bis man einen Näherungs
werth an, erhält, der von dem vorigen VVerthe 78,-‘ so wenig
verschieden ist, dal's der Unterschied vernachlässigt werden kann.
5
66 Erster Abschnitt. - Mathematik.
‚
E2172
3 2 +1]2h’—-——+C2k28fqä;+-U
8F8F äF‘öF
=212 (b__.F)8—€,
=Zh’ (b__F)8—:,
u. s. w.
Sind nur die Correctionen S und 1] zu bestimmen, so ist:
671 2h’(b _ F)3z‚2h’
8_F 8F)2_2h 28178m
5.12 8T‘ä-ylz‘hm-F) 22H‘l
E=—— 87 2 3 2 ÖVFTS 2 ’v'—1
2h’ 2h’ 8;) — (zus-51g?)
‘öF
2h’ (b_-_F) 5-9226‘ 36‘ = „wir,
öFöF 817
am‘ (54%;
17:
E. Differentialrechnung.
u. Dill‘erenflall’ormeln.
In den folgenden Regeln können die Gröi'sen u, v , w . . .
entweder unabhängig veränderlich, oder Functionen ein und der
selben veränderlichen (x) sein.
d (a + u) = du
d (au) = a - du
d(u+v+w+...)=du+dv+dw+...
.. d(uv)=u- dv-l-zw du
du dv dw d
‚6o‘6131491 . d(uvwz..)=uvwz.. -—-+u 2' + w z
u v-du_.u‚dv
F‘
99°?‘ d v — v2‘
du"='mu*"‘1 -du
da"=a" lnaulu
dur =u"“ (1111m ‚ d‘v +2» ‚ du)
5*
68 Erster Abschnitt. -— Mathematik.
1
10. dlog(I) u = „In“ . du
d
11. dzm7=l
u
12. dsinu=cos1ndu
13. dcosu=__sinu-du Quadranten:
14 darcsinu-—=|=-——du I; n; In; W;
7/1—'u2 + __ ._ +
15. d&1‘CC0SU:=f=_/u"1
d
V1—u‘ _ __ + +
. ‚d
16. dsecu=w
cos u
cosu-du
17. dCOSeC“=_E27F Quadranten:
18 darcsecu—=l= du"- I; n; Inllv;
i 741/u2—1 + + _ _
5 d
19. darcc0secu==f=———L '
uVu’__1 ___ + + _
du
20. dtgu=cosnu
21.. d co tgu___-
—— Hinz
‘du u
d
22. d3.rctgu=„1v
1—|-u2
23. d
d8rcc0tgu=_1—_;u?z
b. Taylor'sche Reihe.
c. Mnelaurln'sche Reihe.
1. 9;. Nimmt der Bruch g)??? für x=a die Form 1% an,
"r” m ‚
.. . 99 (w)
S0 erhalt man den wahren Werth, wenn man x= a in 50 a:
setzt, wo 971.12) und 1p'(m) die Ableitungen von 969:) und 1])(3'1)
nach m bedeuten. Stellt sich auch T (a) in der Form 1‘} dar,
„ 99T!)
so ist der wahre Werth 91, Eag- u. s.‘ f.
a
also 8
l, öl. . .
., gleich Null und entwickelt aus diesen so er
3.7; 83/
haltenen Gleichungen die zu einander gehörigen Werthe der ver
änderlichen Gröfsen. Alsdann entspricht diesen Gröfsen ein
Maximum oder Minimum, je nachdem sie der zweiten Ableitung
f" (an, y, z ...) einen negativen oder positiven Werth verleihen.
Ergiebt sich f"(x‚ y, z =0, so erkennt man das Maximum
‘oder Minimum an der Bedingung, dal's die darauf folgende erste
Ableitung gerader Ordnung, die für diese Werthe nicht Null
wird, durch Einsetzen dieser Werthe entweder einen negativen
oder positiven Werth annimmt.
Specielle Fälle.
l. Ist f(x, y) == 0, so ergeben sich die zusammengehörigen
Werthe von 1.3 und y aus gl;=0;'g—f&==0.
—=
‘öf öf
—==O
öf
-—:: .
8x 0’ Sy ’ 32 0
Diese müssen die Bedingung:
' 3’f
ö’f _ ( 3*f ’ 0
. ‚d.
82:’ 83/‘ 32: 83/) >
erfifllen und je nachdem sie den Größen
99‘ w so‘ w 921‘ ‘ 91 fi’f ’
3x’ 81;’ ' iäz‘_—8y’ . 5933.82) 822 äshöy
_ö 2 f ‘<9 21f 1 ) 2 + 2 8 g f 1 8 2f 3a f
'_ 359 ' 39-34 33.32 ' 32.317 ° 33-31,’
1 undä;
ö’f '
einen negativen oder positiven Werth verleihen, entsprechen sie
einem Maximum oder Minimum der Function.
‚ß‘ .
‚F. lntegralformelmf
1. fa-da;_'—..a-fd9:+C=ax-}—C
II. Algebra. 71
xl+l
2. an‘ da: = +6‘
n+1
3. ffw- 8 g?) dm=f(1;)-q‚(x)— M5). 3gifldx
4 fdj=lnx+c
x
5 fd-—:=——1—+C
x x 1
‘dm ‘ -— t C i
. 1+x2-—-a‚rc gx+ ‘
da: 1 l
7. fa+bx=—b—ln(a.—l—bz)+i
du: 1 b
8' fm=v.fi‘m‘gl/T”+C \
1 V-a
=—:l ——;—__+0,fi1
2V--ab nzvb—v—a r a"an F11,
a
10‚ fa«'‚dx=—a;+(‚'
lmr
12. f 1—-—w2—'dZ==—:;—l/1.—x’+liarcsinx+c
_ 2 ümv 3
14. fva+bwudz=fi(va+bw) +6‘
dm
—“—___—__+C
xj‘Va-k?6924-03:2
18' 1/„fL1'=’"(”+"w*.—1)+C
19. fvgffi=lntx+vmß+n+c
n:
m" o dan
23. = ac"—‘
f .___- X (m_1)a
___ . x"-2da:
X
va+2bx+cx2 m-C mc
(2m—1)b m--Ídaç
‚X _ mc
wenn X: l/a-{--2b:»:+can2
24 fxl—l (a+b„).‚dx=w)_'t (m'_1)a
(m+n)b _(m+1í¿
X [af-2 (a+bac)" o da:
ac"(a+bz)" na
= m+n +m +15
xfx"1(a+bz)"¡ o da:
26. sin*x-d;n=__¬§-coszsinw+}¿x+0;
fcos“ x- dz=.}sinaccosz+7'¡x+C
27. fein;x-dw=-_:}cosx(sin’m+2)+C;
28. ftgx-dx=--lncosau+0;fcotgx-dx=lnsinx+0
da: x da: yt x
29' sinx =l ntg2+
—- C"7 cosa:
——=l ng 4+2
t (_ _. + C
da: dx
30. fšp-x=_cotgx+0,ft;éñ~_tgx+0
31.
.
fiinxc0sxbdw=-}sm“z+C;fiáz=lntgw+c
d
n n
fcos"x-d¢=sm$cos ‘ n—l ac--|-iL---1ƒ`cos'H2ac-alac
__
n n
33. ƒ.tg'':zr:-dflb'=~íu
t —|:_fig'IJz-dx
n-l
fcotg‘x - dw=_%l_fcotg”-2x- da:
n-l
74 Erster Abschnitt. — Mathematik.
- wenn a2>b2.
‚u . asinbx-—bcosbx
36. fe .sinbx‚dx= an +6,‘ - 8"+C
u acosbx-i-bsinbm u
fe -1::osbar‚dn6=__:2_*_b„2 ‚de +0
87 und” — ”
a’+a:’ —2a
0
38 dm n __l
l/aT:5Ä2 — 2
u
b a b ‚.- h
f=—f1f=f+f
u
x 2 ß‘
0 ,o
41. f5_'2'dx=1ijv;
0 , .
41: 11: 3
‚2. __a
42. fcosx- dw=2 fcosx-du:
71: 0
T
ff„(„..„.„,= „78.184,86.
111. Goniometrie und Trigonometrie. 75
Quadranten :
I; II; III; IV;
‘l
44. arcsinx-dx=xarcsinx:l=V1—z2+C + __. — +
arccosz-dx=a:arccosxq=vl_z’+C _. _ + +
\‚
46. farctgz. dx=xarctgaz—ä 1n(1+a:2) + C
1—cos2a
2
76 Erster Abschnitt. — Mathematik.
1 —tg2 l
1 cotga 2
(308a:
Vm—|/IL1QEO1QQ 1+tg,
2
__V1+cos2:;
_ _2—
sin 2a=2sinac0sa
10. c0s2a=cos2a—Sin2a=l—2sin’a=2cos’a—1
11. sin 3a=3sina_4sin’a
12. c0s3a=4cos3a——3cosa
13. Silll2 a=%(1—-c0s2a)
14. cos" a=‚“(1+cos2a)
15. 9in3 a=%(3sina—8i113 a)
16. cos3 ‘u = T, (3 coSa +008 3 a)
17. 1+cosu=2 cos2 ä; 1—c0su=2sin" ä
1+cosa t a 1—cosu a
18. ‚
sma =c0 g ——-’ _———=
sind —
2
19. sin (a=|=ß)=sin acosfld: cosasinß
20. 008 (a=l=ß) =cosacosßq=sin asinß
21. sin (90:l=a)=00sa
22. 005 (90=l=u)=q:sina
. a=i=sinß=2sin a =i=
8111 2 ß cos 5:548
23.
0c
34 t 21: g2
— sin2u ———.—.—
1.—cos2a
. g a: 1 t a a = 1+COS2a = 1+c0s2a__
g 2
fl. t 2 cotg’a-—1
=——
30 cog a 2c0tga
c0tg"—'i—-1 ‚ 2 ———
36 cotga_ __ 3m 11 _V1+cos2u
' a 1—c0s2a 1—c0s2a
2cotg—
2
sin(aifl)
37. tga zi: tgß =—————
cosacosß
38
. 1'.
Co ga
=i= t
Co gfl
' (die
=2n—-v—
sinasinß
4. (a.——b)C0S—Z-=csintvß
2
5 a+b___
.güß
2
' a‚_.b—-tga—ß
78 Erster Abschnitt. —- Mathematik.
‚ b sin 64
a, 11,61 sin [3 =
a
2c y=180° —<«+ß>
c ___ a sin y
— sina
I I: ab Ziny
a‘sin
a, 9,)’ (l tga=b__adä%;;
ß
“+9-
*-r.__90°— 21%; 2
l. a:_ß_“—b
—a+b eotg 2
l‘
C. Reguläre Polygone.
Ist bei einem regulären Polygon F der Inhalt, U der Um
fang, a die Seite, 1- der Radius des nm- und R der des ein
geschriebenen Kreises, n die Zahl der Seiten, so ist
1. =#::—G2 cotgä =%'l‘2 sinTät=nR2tg€1L‘2 ‚
2. U=na=2nr sin3i=2nRtgl
1G n
3. Es ist fiir:
F Il r a
71.: l
‚l,
2, (‚0511:-cosßcosy+sinßsinycosa
_ sin u sin b
3. sin a == —— _
smfl
80 Erster Abschnitt. — Mathematik.
4. cosa=cosbeosc + sinbsinccosa
a sin(s—b)sin(s—c) a sinssin (s-a)
5 . s1'n ‚—=
9 - ——__ ; C08 2 = ____.____
.‚ sinbsinc sinbsin c
a+b+
worin s = .
2
Nepersche Analolieen.
Gauss‘sehe Formeln.
a"=bc' -—cb'
b"=ca'—ac'
c"=ab’ __ba'
3. Es ist sowohl der Anfangspunkt als auch die Richtung
der Axen geändert. Die Bezeichnungen sind dieselben wie in
1. und 2., jedoch sind a, a’, a", b, b', b" auf ein mit dem
alten Coordinatcnsystem gleiehgerichtetes, durch den neuen An
fangspnnkt gehendes Coordinatensystem bezogen, dann ist:
2:=a:c' + by' + cz' +f z'=a(a:-f)+a' (y-g)+a"(z-h)
11 =a'w' + b'y' + v'z' + 9 y'=b(x-f)+b' (.v-9)+b" (z-h)
z =a"x'+ b"y'+ c"z'+ h z’ =c (a:-;f)+c' (y-g) + c" (z-h)
Die Formeln für die Transformation der Coordinaten in der
I,y-Ebene erhält man, indem man z=z'=c=c'=c"=h=0
in den obigen Formeln setzt.
4. Um die Coordinaten 75,3; eines Punkts einer ebenen Fi
gar in Polarcoordinaten r, zu verwandeln, suche man zu
nächst die Coordinaten an’ y bezogen auf ein rechtwinkliges
Axensystem, dessen Anfangspunkt der Pol und dessen x-Axe
die Polaxe ist, dann ist: '
(C = rcosy, y = rsmp.' 6*
84 Erster Abschnitt. —— Mathematik.
C. Ebene Curven.
a. Allgemeine Sätze.
1. Eine ebene Curve, bezogen auf zwei J- Coordinaten
Axen, wird ganz allgemein dargestellt durch zwei Gleichungen:
w=w.(0‚ y=w2 (‘h
wo t eine beliebige unabhängige Variabele 1st.
Gelingt es t zu eliminiren, so folgt die einfachere Form:
F(x, y) = 0 _ .
Wenn diese Gleichung auflösbar ist, kann man sie schreiben:
y=f(m)
Bezogen auf Polarcoordinaten hat die Gleichung einer ebenen
Curve die Form: b
F, (1', 9;) = 0 oder 1‘ =f‚ (97):
2. Die Gleichung der Tangente, welche im Punkte 21,31 der
Curve dieselbe berührt, ist:
%e—x)—j—f(5-w=0
0F 8F
ä—w(E—w)+%(1z——1/)=°
n—y=f'(w)(E-—=v)
wo E u. 1; die laufenden Ooordinaten der Tangente bezeichnen.
3. Den Winkel a, den die Tangente mit der X-Axe bildet,
findet man aus:
t a—(‚ü 51 —ü eosnz:iig
g _ dyy n a — da’ dß
während das Differential des Bogens:
ds=V(d.e)2 + (81,)‘ ist.
4. Bezeichnet man den ‘Vinkel, den die Tangente in ei
nem Punkte der Curve mit dem zugehörigen Radiusvector r
bildet, mit 19', so ist:
sin19'=——d7———, ‘ d
c0s19'=%ä,
l/(drP +35, V09)‘: +5145
d .
tg 19:1‘ ä
5. Die Gleichung der Normale im Punkte my ist:
dy ü
;f(E—-'ß)+ d, (n-—y)-0
äi:(s—w>—ä—:0‚—y>=0
E_-:v
77—y='—“_—_
IV. Analytische Geometrie. 85
6. Die Curve ist nach der Seite der positiven Y-Axe hin
d’ y d? y
concav, wenn In,’ < 0, com'ex wenn (im, >0.
7. Unter dem Krümmungskreis einer Curve im Punkte azy
versteht man den Kreis, der mit der Curve diesen Punkt und
die beiden benachbarten Punkte gemeinsam hat.
Der Krümmungsradius ist: .
de3 als’
e — dm d’y—dy (l'x _ (die)!
ds
= v 112: 2 (fiy 2
d-—- d—
( ds) +( ds
sämmtliche Difi‘erentiale nach t genommen.
Für die einfacheren Formen der Gleichung wird:
8 2 8 2 13'
[(3)493]
9: E’JF ‘8'!’ 232g‘ 811‘ +611)’ S‘F
87 e57_ 83 8„ 8681, 85 39‘
_[1 + (f’(w))‘]"3
e‘ fe)
Für Polarcoordinaten erhält man:
e
=___;&__n
‚ 2 dr 2
[1+ 3 ‘1*
d 'r
r w —r —
+ d? dm’
8. Bezeichnen wir die Coordinaten des Mittelpunktes des
zum Punkte xy der Curve gehörigen Krümmungskreises, mit
X, Y, so ist:
«1.11
X=x—9
Ä
Y: y +9 Es: ü
Man findet die Gleichung der Evolute, indem man aus der
Gl. der Evolvente, deren Ableitungen und den G1. filr X, Y die
Coordinaten z, y und ihre Ableitungen eliminirt, und dann X, Y
als variabel betrachtet.
Jeder Krflmmungsmdius ist Normale der Evolvente, Tan
gente der Evolute. '
Die Bogenlänge zwischen 2 Punkten der Evolute ist gleich
der Differenz der zu diesen Punkten gehörigen Krümmungsradien
der Evolvente.
10. Zwei ebene Curven, welche einen Punkt gemeinsam
haben, bilden in demselben einen Contact nter Ordnung, wenn
da: d’w d‘a;
die ersten n Ableitungen: 42-8’ de’ n“ ds" in dem betreffen
den Punkte für beide Curven gleich sind.
Bei einem Contacte von gerader Ordnung schneiden sich
die Curven in dem gemeinsamen Punkte gegenseitig, bei einem
Contacte ‘von ungerader Ordnung berühren sie sich ohne zu
schneiden. Die Tangente einer Curve bildet mit derselben im
Allgemeinen einen Contact erter Ordnung, der Krümmungskreis
einen Contact zweiter Ordnung.
11. Ein Wendepunkt ist ein Punkt einer Curve, in wel
chem diese mit ihrer Tangente einen Contnct von gerader Ord
nung hat, also die Tangente schneidet.
Für einen Wendepunkt ist (2:09, also im Allgemeinen
‚0
Sp eciell:
du:
IV. Analytische Geometrie. 87
Der Inhalt des Sectors, welcher zwischen der Curve und den
zu den Winkelabscissen 9:0, q: gehörigen Radien r“, 1‘ liegt, ist:
s=‚fve “+6814
0
I.‘
Für Polarcoordinaten:
(p
v z d'r 2
s= r +(ED) .191
(P0
b. Anwendunl auf einige gebrüuehllehe Curven.
a. Der Kreta. .
“g. L 1. Gleichung des Kreises (Fig. 1):
(x-— 11)2 +(y —-b)”=r". Gehen OX
und OY durch M, so wird die Mit
telpimktegleichung:
„2 +312 =r2‚
2. Polarglez'chu/ng:
@2-—2@fc0sq:+f2=r2.
3. Schließen die Coordinatenaacen
den Winkel m ein und sind a und ‚5'
X die Coordinaten des Mittelpuuktes,
so ist die Gleichung des Kreises:
(:r—-a)“-i‚-(3/—l>)2 +2(==—a) (y—b) c0sw=0.
Fig. 2. 4. Kreisabschnitt: (Fig. 2.)
1.2
=(0,01745 d_ sin ö) —2—.
5. Kreisausschnitt:
8
F= 3760 xr'=0,00873dr°
88 Erster Abschnitt. — Mathematik.
ß- Die Ellipse.
1. Mittelpunktsgleichung. Nimmt man die halbe grol'se
Axe OB=a (Fig.4.) zur X-Axe und die halbe kleine Axe
0D =b zur Y-Axe, so ist die Gleichung
2
_+-_—=1_
b?
der Subnormale: LM = —2 x
a
a
bß 2 ‘i
a
1 72.
(22 a2
Für den Scheitel A ist Q'=— und für D g" = ——.
a b
9. Die Polargleichung der Ellipse, bezogen auf den Brenn
punkt F als Pol und die grofse Axe FB als Polaraxe, ist:
P
r = 1'—c cos (p
.
(F‘g . 4. )
Fig. 4
. b2 2:
alsdann EH die Tangente und tg a = _ ä’. Ist EL ‚I- EK
so ist LFEL=LF,EL. a 3/
Fis- 5- 14. Constmction einer
‚1b Tangente an die Ellipse
von einem Punkte R au
fserhalb (Fig. 5). 1 Kreis
mit 2a um F; 2 Kreis
mit RF, um R; 3 ver
bindet F mit dem Durch
schnitt der Kreise; 4 ist
die Tangente.
15. Zu OC den con
jugirten Durchmesser zu
constrairen (Fig. 6). —
1 ist ‚I- SS‚; 2 verbin
detImitO; 3 ist J- 2
in 0; 4 ist J- SS, durch
II; 5 = 0D ist der con
jugirte Durchmesser zu
S’ 0c.
16. Es sind OC=a‚
'uml 0D = b, der Gröfse
und Lage nach als 00a
jagirte Durchmesser ge
geben; man soll dieH'aupt
amen der Ellipse finden
(Fig. 7). — 1 ist ‚l- 0D
von C; CG=CF=I2,;
2 verbindet G mit O;
3 verbindet F mit O;
4 halbirt den L GOF
und ist eine Hanptaxe;
5 ist ‚l- 4 in O und die
zweite llauptaxe. Die
Längen der Hauptexen
sind:
IV. Analytische Geometrie. 91
G OFund 0B=b=—0G._
—"O—--——+ 2—'OF.
OS=a_
r X’
2 2 s
8. Der Krümmungsradz'us ist: Q: 7117 1251+ 2:7 T
Fig. 10.
Fig. 11.
12. Constv'uction
der Hyperbel aus den
Asymptoten OY'‚OX'
und einem Punkte
M der Hyperbel
(Fz'g. 11). Man ziehe
Mn, Mb, Mc, Md
u. s. W. und mache
a'm' = Ma; b’ m"
= Mb; c'n' = JlIc;
dn =Md u. s. w.,
dann sind m'‚ m", n’,
n" u. s. w. Punkte
der Hyperbel.
94 Erster Abschnitt. - Mathematik.
3. Die Parabel.
1. Scheitelgleichamg. y’ = 21m.
2. Der Brennpunkt hat den Abstand AF=‚1-p (Fig. 14)
vom Scheitel, p ist die Ordinate im Brennpunkte. Eine Linie
die im Abstande —1';p=A0 der Y-Axe parallel läufl, heifst
Direktrix.
Es ist dann für jeden Punkt der Parabel FE = EB =p+:v.
3. Ein Durchmesser EX’ (Fig. 14) der Parabel halbirt alle
Sehnen, welche der Tangente E Y’ in seinem Endpunkte ä: sind.
Betrachtet man EX’ und EY’ als Goordinatenaxen, so ist
die Gleichung der Parabel: y’ 2= .
8m a
4. Die Gleichung der Tangente in einem Punkte xy ist:
n9=p(€+1)
Die Gleichung der Normale: 17 _ y = _ F‘?- (E —
Die Subtangente DE = 2m, die Snbnormale CG=p.
5. Die Polargleichzmg bezogen auf F als Pol, FX als Polar
axe ist: r= 2 81112 y)
2 3
6. Der Krümmun sradius ‘2' =E G3 (Fig.14.)
g 9 Vp P2
7. Quadratur: die Fläche AEC=ä-xy‚ aEb==gabcll
8. Rectification: die Länge des Bogens AE ist:
831196113611
ein kleiner Bruch ist, so ist annähernd
Fig.12.
7
iw 9. Constrnctian
der Parabel,
wenn der Schei
tel A, die Axe
AXnndeinPunlt-t
III gegeben sind
(Fig. 12). — 1
ist .l- AX inA;
IV. Analytische Geometrie. 95
e- Die L'ycln‘de.
1. Die Cycl0ide ist die Curve, welche ein Punkt A der
Peripherie eines Kreises AB beschreibt, wenn sich dieser ohne
zu gleiten auf einer Geraden AC' abwälzt.
2. Construetion (Fig.
15): Man mache AC=
dem Bogen AB, theile
beides in dieselbe Anzahl
gleicher Theile, construire
die Durchschnittspunkte
1, 2, 3 und mache 1a
=aI‚ 2ß=bII und 3y
=cIII; dann sind u, ß, 7
Punkte der Cycloide.
3. Die Gleichungen der Cycloide bezogen auf AC als X-Axe
und AB als Y-Axe sind:
x=r(9a_sin9v), y=r(1—c0sq>)
r—y v————
x = r arc siu y ? l/(2T—y)y
4. Die Normale für irgend einen Punkt geht immer durch
den Berührungspunkt des erzeugenden Kreises und der Basis
fir die betrefl‘ende Lage.
5. Der Krümmungsradius ist:
Q=—4rsinä-9J=_2V2ry.
Er ist doppelt so lang als die Normale.
6. Quadratur. Es ist die Fläche;
AED=1"(%9D—— 2sinr+isin2 r) =%rx—iy VW
A c 3 =% wirr".
7. Rectzfication:
AD=S=4T (1—COS%T)=41'—-2V2 r (21‘ _y)
A ö‘ = 4 7'.
sich dieser auf der äufseren resp. inneren Seite auf der Peri
pherie eines anderen Kreises 0A abwälzt.
“8.15. 2. Construction (Fig. 16
Y u. 17): Man theile den Bo
gen AB und den L AOD
=% 180° in dieselbe An
zahl gleicher Theile u. ziehe
die Radien 1, 2, 3, 4 durch
O und die Kreisbögen 5, 6,
7‘ 8 um‘ 0; macht man nun
a‘a = m'a, b‚b =ß‚ß und
c‚c=y‚y‚ so sind A, a, b,
c, D Punkte der Epicycloide
(Fig. 16) und der Hypocy
cloide (Fig. 17).
1’
nu‘l' m ni ‘a l’
„um ‚.„1 ß
- 3. Gleichungen:
. R=|= .
w=(R.=‘i=.1‘‚c0s(-;-rp)._rc0s( R 7T)
' R=l=
y = (R ä: ") sin — 1‘ sin TeEl 9;)
AD=4T(R:")_
8. Die G1. dieser Curven wird algebraisch, wenn R und 1‘
commensurabel sind.
Die Hypocycloide wird fiir 24:3:- eine’ Gerade in der
Richtung A0. d
3. Archhnedtachc Spirale.
1. Diese Spirale entsteht, indem auf einem Strahle, wel
eher mit gleichförmiger Geschwindigkeit um einen festen Punkt
rotirt, sich ein Punkt [1 (Fig. 19) von M aus ebenfalls mit
IV. Analytische Geometrie. 99
l- Logarithmlache Spirale.
Fig' >20‘ l. Gleickwng: .1‘ =a‘p.
(Fig. 20.) Die Curve beginnt
in A, so dal's OA=1.
2. Die Tangente in ei
nem beliebigen Punkte B bil
det mit OB einen constau
vten Winkel a ‚ so dal's
G0tga=lna.
.3. Der Krümmungshalb
messe'r in einem Punkte, des
sen Radiusvector 'r, ist:
7‘
9:1‘ 1+‘(lna)’—a‚
4. Die Evolute der Curve ist eine eben solche Curve, wel
‚ n ln (In a) ‚ _
ehe um den Winkel ?—A „m—— gegen die ursprüngliche
verdreht ist.
100 Erster Abschnitt. —— Mathematik.
“’=“”+<" a 7;’Y=”+<"
da 2 als Z__
“+91 2 41.“
du
E- Krumme‘ Flächen.
d- Allgemeine Sätze.
1. Die Gleichung einer ‘krummen Fläche hat allgemein die
Form: F(z‚j y, z) = O
Durch Entwickelung von‘ z wird dieselbe: z:f (x, y).
2. Die Gleichung der Tangentz'alebene im Punkte m, y,‘ Z
der Flüche ist: '
SF F er
(‘5 '—='=) ‘ä; +‘(11"—y‘)"2—y + (Ä-Ü ä: = 0'
3. Die‘ Gleichung der Normale ist:
€Il _ tßl ._. 5 "' z
SF _ er “ er '
8x 57 ä
Die Winkel a, ß, y, welche die Normale mit den X, Y, Z‘
Axen bildet, erhält man aus:
1 öF . 4‘1-|3|F. ‚1 ö'F
‘1°5a=——“, cos -—-——— vÄcosy=-—— —„
8x ß’wey’ß Wöz
wobei gesetzt ist.
F==21rfyds, V==1rfy“dm.
r \
. so I0 Y 'x‘.
V. Stereometrle.
A. Oberflächen.
1. Cylindermantel: F = 27r1‘h. w w
2. Mantel des geraden Kegels: F'=:rn‘ V1"2 +712 =u‘rs,
wenn s die Seite ist.
3. Kugelobenfläche: F= 4 n 1'2
4. Calotte: F: 27m‘ h.
5. Zone.- F=27zrh.
'
./
B. Inhalte.
1. Cylinder und Prima. J = Grundfläche X Höhe.
2. Schiefabges'chnittenes dreiseitiges Prisma: J=FgTfic‚
3
wo F der Normalquerechnitt und u, b, c die Längen der drei
Kanten sind.
3. Pyramide und Kegel: Ä‘T=.'r Grundfläche x Höhe.
U 5 ‘A Q
J=(2a+a‚)%.
7. Kugel:J=;„r3=4,l888r3 r= 7
3——
47!
a
J=%1Id3 = 0,5236d3 = 0,62035 V J .
V. Stereometrie. 105
C. Guldin’sche Regel.
1. Der Inhalt einer Umdrehungsfläche, die durch Umdre
hung einer ebenen Linie um eine in ihrer Ebene liegende Axe
erzeugt wire, ist gleich dem Product aus der Länge der Linie
und dem Wege ihres Schwerpunktes, vorausgesetzt, dal's die Er
zeugungslinie auf einer Seite der Axe liegt.
2 . Der Inhalt eines Umdrehungskö‘mers, der durch Drehung
einer ebenen Fläche um eine in ihrer Ebene liegende Axe er
zeugt wird, ist gleich dem Product aus dem Inhalt der Fläche
und dem Wege ihres Schwerpunktes.
D. Simpson’sche Regel.
Fig. 24. Flächeninhalt einer be
liebigen Figur (Fig. 24):
Es sei vorausgesetzt, dafs
die Figur von drei Sei
ten durch grade Linien,
von denen zwei, AC und
BC, zur dritten AB nor
mal stehen, begrenzt ist,
da sich jede Figur in sol
che zerlegen litl‘st. Den
Inhalt einer solchen fin
det man, wenn man AB
106 Erster Abschnitt. — Mathematik.
E. ‘Brix’sehe Körper-Scala.
Der Inhalt unregelmäßiger Kör
pe1'(Fig.-25) wird bestimmt, indem
man den Abstand ab zwischen zwei
parallelen Ebenen Al und A7 in eine
gerade Anzahl (hier 6) gleicher Theile
theilt, und Ebenen -H- A, durch die
Theilpunkte legt‘. Dann errichtet
man auf einer Linie CD in densel
ben Abständen Ordinaten, auf denen
man Stücke abträgt gleich den durch
Zahleneinheiten ausgedrückten Flä
C' 1) eilen-Inhalten A. A2 . . . A7 , und
verbindet deren Endpunkte durch
eine Curve‚' deren ‘Inhalt man nach der Simpson’schen Regel
berechnet. Der Inhalt des Körpers wird dann durch eine glei
ehe Zahl wie der Inhalt der Ebene dargestellt.
2. Mmzorlimetrische Pro
Fig. 26. jection: a. ga=ga=1 und
gb=‚'2; dabei ist L a =
82° 49' und ‚/_,e—_—4s° 35'.
(Die Tangenten der Com
bw' Lple’mentw. sind annähernd
% und 35.)
‘ "b. g’c =ga=1‚ gb=%;
dabei ist La=86°49' und
.“WJ I'I‘i i Lß; 46° 36'. (Die Tan
genten der Complernentsw.
c. Für gc=ga= 1, gb={sind
wird:
annähernd
Lu=88° T‘; und
13' und
Mechanik.
I. Geo statlk.
A. Zusammenstellung und Zerlegung von Kräften.
a. Kräne die auf einen Punkt wirken.
Fig. 27. 1. Kräfte deren Richtungsliniefl
zusammenfallen, haben eine Resul
tante gleich ihrer algebraischen
Summe, wenn alle gleich gerichtel
ten Kräfte mit demselben Vorzei
chen behaftet gedacht werden.
2. Sich schneidende Kräfte P
R=VP’+Q’.
B. Gleichgewichts - Bedingungen.
u. Gleichgewichts-Bedingung fiir oln festes und freies
System von Punkten.
1. Beliebige Kräfte P, die mit drei rechtwinkligen Coor
dinaten-Axen die Winkel a, ff, y, a„ ß„ y„ u. s. f. bilden,
deren kleinste Abstände von den Axen p, q, r sind und deren
Angrifl‘spunkte die Coordinaten x, y, z haben, sind im Gleich
gewicht, wenn die resultirende Kraft R und das resultirende
Paar G einzeln gleich 0 sind, oder wenn folgende 6 Gleichun
gen erilillt werden;
‚ZTPCOS a] =X=0, 2'[P(z cosß-g cos y)]=2[Ppsina]=L=0,
2[Pcosß] = Y=0‚ 2[P(x cos y-z cos a)]=2[Pq sinß]=M= 0,
ÄTPCOS y] =Z=0‚ 2‘[P(y cosa-xcosß)]==2[Prsiny]=N=0.
Sind diese Bedingungen nicht erfüllt, so haben die Kräfte
im Allgemeinen eine resultirengle Kraft:
_ R = Vx= + Y“ +22
und ein resultirendes Paar, dessen Axe:
G=l/L‘+M’+N".
Die resultirende Kraft R und die Axe des resultirenden Paa
res bilden einen Winkel 19', so dafs:
XL + YM +ZN
cosü':
RG '
Die A30 des kleinstmögliehen Paares ist:
‘ ‘ ‘XL + 1731+‘ ZN
Die Kräfte haben eine Resultirende R, wenn XL + YM
+ ZN = O ist.
Zur Bestimmung der Lage der Resultirenden gelten die Glei
chungen: X Y Z
c0sa=E—; cosb=f; cosc=—‚
wenn a, b, c die Winkel der Besultirenden mit den Axen sind,
und: L=€Y—-1]Z;M=EZ—CX;N=1]X-—EY;
unter ‘g, 1;, g die Coordinaten des Angrifi‘spunktes der Mittel
kraft verstanden. ‘
2. Kräfte die auf ‘einen Punkt wirken, sind im Gleichge
wicht, wenn X=0, Y=0, Z= 0, d. h‘ die Summe der Com
ponenten der Kräfte nach drei normalen Axen=0 ist.
3. Kräfte P, die ä: der z-Axe gedacht werden, haben
Gleichgewicht, wenn 2[P]= 0, 2[I’y]= 0 und 2[Px] —_-0
ist. _ Haben sie‘eine Resu’ltante, so ist dieselbe 18:2 [P]
und der Mittelpunkt des Systems, d. h. der Punkt, durch den
die Resultante immer hindurchgeht, wenn man auch alle Kräfte
in parallelen Ebenen in demselben vSinne um beliebige gleiche
Winkel gedreht hat, bestimmt sich durch die Coordinaten:
' E___2'[Px]_ __2[Py]' _2'[Pz]
"' 2m ” ”" ztP] ’ g“ 2m‘
4. Kräfte P in der x, y-Ebene sind im Gleichgewicht, wenn
X=O, Y=O, N=0 ist.
Wenn-X: 0; Y=0; so reduciren sich die Kräfte auf ein
Paar N.
Haben die Kräfte die Resultante R = 'l/X2 4:717’, so bildet
Y
diese mit der x-Axe einen Winkel y, so dal's tg 7:: k- ist.
8a: 83/ Bz
wenn f(2:, y, z)=0 die Gleichung der Leitfläche in Bezug auf
die Axen darstellt, nach welchen die Zerlegung der Kräfte vor
genommen ist. ‘
2. Der Punkt bewege sich auf einer festen Leitcurce. Die
resultirende äufsere Kraft mul‘s in die Normalebene zur Leit
curve hineinfallen, d. h. es mul‘s sein:
X-FY‘E +Zid—z-=O.
das du:
ß. Gleichgewicht eines Syntemc von Punkten.
1. Ein Punkt ist fest. Die äufsern Kräfte müssen eine Mit
telkrafi haben, die durch den festen Punkt hindurchgeht. Diese
Mittelkraft ist der Richtung und Gröfse nach gleich der Pres
sung des Punktes.
2. Zwei Punkte sind fest. Es mul's die Summe der Mo
mente aller äul‘sern Kräfte in Bezug auf die gerade Verbindungs
linie der beiden festen Punkte gleich 0 sein. Denkt man die
Pressung'en der beiden Punkte zerlegt in je zwei Componenten
nach dieser Verbindungslinie und normal zu ihr, so ist nur die
letztere Componente bekannt.
3. Drei beliebige Pwnkle sind fest. Das Gleichgewicht fin
det von selbst statt. Von den Pressungen der festen Punkte
sind nur die zur Ebene derselben normalen Componenten be
kaum, Vorausgesetzt, dafs die andern Componenten in diese
Ebene hineinfallen. w
4. Das System stützt sich mit gewissen Punkten oder Flä
chen gegen gewisse Flächen oder Punkte. Bei einem Stützpunkte
müssen die äufsern Kräfte eine Mittelkraft haben, die in dem
l. Geostatik. 1'13
8
118-); ferner in dem Punkte :r„ y„ z‚ eine Kraft, deren Cum
öf öf äf
ponenten l ä}? [i 811’, V87’ sind u. s. w. angebracht, unter
Ä, n, v unbestimmte constante Zahlenwerthe verstanden. Diese
Kräfte in den Punkten x, y, z; x„ y„ z, . . . fallen in die Nor
malen derjenigen Flächen, welche durch f = 0 ausgedrückt wer—
den, wenn man darin nur x, y, z oder nur z’, y„ z, u. s. w.
als veränderlich betrachtet.
Zur Bestimmung der Gleichgewichts-Bedingungen eines be
liebigen Systems dient das:
D. Vom Schwerpunkte.
Es bezeichnen im Folgenden: S, 17, g die Coordinaten des
gesuchten Schwerpunktes, P das totale Gewicht des Körpers
(Fläche, Linie) .und 7 das specifische Gewicht des Körpers (Flä
I. Geostatik. 1 15
nähernd = T714‘. 7‘
b. Schwerpunkt von Flächen.
Ist eine Fläche z = f (m‚y) gegeben, so ist:
=%fxdxfydy
8*
116 Zweiter Abschnitt. —— Mechanik.
3 a-l-b
unter h den Abstand der
=|= Seiten verstanden.
5. Parabel
segment (Fig.
39) g Zieht man
die Tangente
O-Yparallel der
Sehne BC des
Segments, und
den Durchm es
ser OX der Pa
rabel, so ist für
den Schwer
punkt S ‘des
Segments OBC
OS 0A.
NimmtmanOX
u. OYals Coor
dinatenaxen‚so
erhält man die
Coordinnten E,
17 des Schwer
punkte des halben Segments OAB, wie die des Segments 0A C’,
0A; 1]=%AB‚
6. Ringstück (Fig. 38):
R3 _ 1-5 sin a
OS: ‚g; in IIFT . »‚;A_
fmyds
b
OS = —n-—-—
f y d!
o
unter x, y die Coordinaten und'un
ter da das Bogendil'l'erential der Me
ridianlinie verstanden.
8. Kugelzone oder Calotte: der Schwerpunkt liegt in der
Mitte der Höhe.
9. Mantel der Pyramide oder des geraden Kegels: Der
Schwerpunkt liegt in der Axe um äh von der Basis entfernt.
10. Mantel des normalen abgeküreten Kegels: Sind die Ra
118 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
1-4a,+2-2a,+3-4a‘+4-2a5 +...2n-a2‚+l
E=b
„ al+4a,+‘2a‚+4al+2a5+...a2‚+1
‘i _,a,‘+4a„1+zaaß+4ag+2a‚*+...a2,„+‚
J.‘ 77-7 al +4a,+2aa+4a‘+2a5+...a2‚+| '
c. Schwerpunkt von Körpern: 1. P'risma und Cyl'in
der: Der Schwerpunkt liegt im Mittelpunkt der Schwerpunkte
Axe.
2. Pyramide und Kegel: S liegt in der Schwerpunkte-Arie
h
im Abstand »4—- von der Grundfläche.
3. Abgekürzte Pyramide; Sind A und B die Endflächen,
so ist der Abstand von der Ebene A:
E__l. A+2Vfi+3ß
A+VXE+B
4. Abgelcürzter Kegel: Sind R und r die Radien der End
flächen, dann ist der Abstand von der ersteren;
ä__ R2+2Rr+3fl h
R2+Rr+r’ ' 4
5. Kugelausschnitt (Fig. 38); 0S=E=är (1 + cosa).
Für die Halbkugel: = gr.
3 (2'r—h)2
6. Kugelabsehnitt: 5:} 3 h ‚ wo h die Höhe des
r_
Abschnitts‘ ist.
7. ümdrehungsköwer (Fig. 40): Der Schwerpunkt ist be
stimmt durch: a
fw 3/2 da:
os = ”T_‚ (Fig. 40.)
fydäß
b
I. Geostatik. 119
‘) Nach Grnshnf
120 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
Speciell ist:
a) Für eine ebene Ringfläche:
s s
1. M=‚3„.P;{—"„ 2. M=;,.P(r+@)
und für den vollen ebenen Stützzapfen:
1. M=%/4Pr‚ ‘l. M=-;»‚uP'r.
ßFür eine Ku elcalotte: g. . ‚
1, M: P ÄTE‘IÄQSE 2‚ M: p Ä
‘u T sin’u ’ ‘u Ta-l-sinacon;
1
. M=?3M Pi,
sina
2. M=‘-72” Pi-..
sina
3) Wenn aufser dem abgekürzten Kegelmantel auf die
Grundfläche 1:92 sich ein Lager reibt:
P ‚.a_es P1‘2
1. M=;„;;[93 + ]‚ 2. M_.l„„e+(r_e)ging
sina
e) Für den Schiele’schen oder sogenannten Antifrictions
Zapfen, falls hier t die constante Länge der Tangente von ir
gend einem Punkte der Umdrehungsexe an die Curve bezeichnet:
1. M=„tP, ebenso für 2.
II. Tragzapfen (liegende Zapfen).
Der Druck P ist .l. gegen die Axe gerichtet.
l. Für einen neuen Zapfen: '
p ‚r ,.2_ 2
M=9r;z-ify‘ds‚ =?P F9”.
2. Für einen eingelaufenen Zapfen:
M=_2_„P F ’ =ipfdxsinoo
n‘ fdxcosa n’ fdxcosa
Wo a den W'inkel bezeichnet, den die -l- zur Reibungs
fläche in irgend einem Punkte mit dem Radius macht.
Bei sämmtlichen Formeln ist angenommen, dal's der Zapfen
ganz vom Lager umschlossen sei. Dann ist_speciell:
a) Für den cylindrischen Zapfen:
4
l. M=-7€—„Pr‚ A==O; 2. M=—„Pr‚ A=0.
7T ‚.
122 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
(1,
2 F: t2 M
2 M=;.“Pt ‚r „.2__e2’ A'={Tt‚
l” Q _ 2t24
F r V r Q V (‚ä _ ‘r
1—-t—2—;— 1_t—2+arcsm?
9 .
__arc sin-
t
III. Für die betrachteten Zupfenformen, mit Ausnahme des
gewöhnlichen cylindrischen Zapfens mit ebener Endflüche, gel
ten die folgenden beiden Sätze, sowohl für neue, als filr ein»
gelaufene Zapfen.
a) Wirkt auf einen conoidischen Zapfen ein Druck P in
der Richtung der Axe und ein Druck PI normal zur Axc, so
ist das Gesammtmoment der Reibung so zu berechnen, als 0b
der Druck P lediglich auf den Zapfen als Stützzapfen wirke,
der Druck P‚ aber gar nicht vorhanden wäre.
Bei einem cylindrischen Zapfen mit ebener Endflüche sind
dagegen die Reibungsmomente von P (fiir die ebene Endflächc
als Stützzapfen) und von Pl (für die Cylinderflächc als Trag
zapfen) zu addiren. .
I. Geostatik. 123
g . Gleitende zaPfen'
"d ä Zustand Reibung Dliesiblllrng.
Reibende Körper. änä der ’ der wi'r‘ä e‘ifl'ä‘ää:
‘J Oberflächen. der Be- auf unun
* Ruhe. we- gew. terbro
J ) gung Art. chen.
Gleitende zapfen‘
ä Zustand Reibung Reibilung.
Reibende Körper. gn ä der der eilrgrmuel‘uegz
5 {14 Oberflächen der Be- auf unun
Ruhe. we- gew. terbro
„ __‚ ‚v „‚ r - A _ gung. r Art. chen.
H Gleitende zajpfen
‚ä E Zustand Reibung lteibung.
Reibende Körper. nhzo ä der der 35218512331:
5 p‘, Oberflächen. der Be- auf unun
Ruhe. w: tälllläi
Fg ‚W _„ 3T |gu 8' ‘L’vv
schelkalk aufMu-
Schmiedeisen . . . . . ! trocken ‚0,42 0,24. |
Eiche auf Muschel- I i ' i
kslk . . . . . . . ‚L i trocken 0,64 0,38 . l
Muschelkalk auf Mu- l
schelkalk. . . . . trocken 0,70 0,38 . .
Muschelkalk auf Ro
genstein . . . . . trocken 0,75 0,67 Ä
Rogenstein auf Ro- :
genstein . . . . . mit Mörtel 0,74 .
9° — 2 Q + P "
wenn r der Radius des Cylinders ist, über dem eine Schnur
hängt, deren eines Ende das Gewicht Q, das andere das Ge
wicht Q-‘l-P trägt. während bei geringster Vermehrung von P
der Cylinder auf der Horizontalebene rollt. In Q ist das halbe
Gewicht des Cylinders mit enthalten. (Für Rollen aus hartem
Holz und Eisen kann man 91:?‘F bis 3% setzen, filr den Zu
stand der Bewegung=-5'„‚ wenn 1' in Zollen ausgedrückt ist.)
3. Ist a der Neigungsw. einer Ebene, unter dem der Cy
linder zu rollen beginnt, so ist <p=r tg a.
Fig. 44. 4. Ist eine Last Q über Walzen fort
zuschieben, und ist I’, die horizontale Kraft,
welche die auf die m" ‘Valze kommende
Last Q... zu schieben vermag (Fig. 44), so
2
Der ‘Verth E ist filr ein Seil vom Durchmesser 3, 5=€2-‚
statt P zu setzen.
L
128 Zweiter Abschnitt. — Mechanik
P= i
2n
sein.
9
130 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
__ sin(a+g) Q
P
CO8‘)
P
und 3 = 8131312
Q, sm ß— ‚1. cosfl
3. Die Kraft, die den Keil am Zu/rückgehen hindert, findet
man, wenn man ‚t und p,’ negativ setzt und, damit der so ge
fundene Werth von P negativ werde, d. h. damit der Keil nicht
von selbst zurückspringe, hat man a < g + 9' zu machen, vor
ausgesetzt, dafs ß und y spitze Winkel sind; hierin ist tge=y
und tg 9' == ‚4'.
nutzbar gemachte Arbeit
4 . Der Wirkungsgrad = aufgewandte Arbeit = "m
. b.8"“
Keil:
__ sina—(‘u+‚u‚') cosß cosy_
17 — (1 — ;z‚u')sina+(y+„')cosa '
1] wird ein Maximum, wenn ß oder y=72l ist u. wächst mit a.
In
_
diesem Falle
'7 1 +Mgß'
wächst n aber wieder mit u.
Fig. 55. e. Die Schraube. 1- Das
rechteckige Gewinde (Fig. 55).
R Ist der Druck Q, durch eine am
Hebelsarm R wirkende Kraft
u P, mittelst einer Schraube mit
"// ‚1/ L4
‚Y
( /' ’ k", rechteckigem
. Gewinde,
. von. der
‚/ TV’:
’ fixes?25:33:32???"
1 ‚ .
{113 = Q tg (a + Q)’
worin g der Reibnngswinkel n. 1
der mittlere Radius der Schraube
ist.
Der Wirkungsgrad:
___ tga
W _ tg (a-l-Q)
‘VII. Ge‘odynamik.
A. Definitionen. Messung der Kräfte.
1. Unter der Geschwindigkeit v in einem gewissen Augen
blicke versteht man den Quotienten aus Weg und Zeit in die
d
sem Augenblicke: v = d-‘Z. Bei der gleichförmigen Bewegung
messen durch das Product aus der bewegten Masse in die Ge—
schwindigkeit, die der Masse ertheilt war.
B. Bewegungs-Gesetze.
u. Geradllnlge Bewegung.
2
Den Werth s =;— nennt man die Geschwindigkeitshöhe.
-.9
3. Gleichförmig verzögerte Bewegung. (Bewegung eine! V61‘
tical aufwärts geworfenen Körpers.) Hier ist v == v0 -— 9‘?
gt"2 . . .. . ‘"02 '
e==s0 +v„t_ T. Die Sterghohe ist h=?g—- — In glel'
chen Zeitabständen vom Culminationspunkte befindet sich beim
Aufsteigen und beim zurückfallen der Körper in gleichen Punk
ten der Bahn, und hat gleiche aber entgegengesetzte Geschwin
digkeiten.
Beim freien Fall ist:
‘QIH‘QIH‘QIH
für preufs. Maafs; g = 31,25’; = 0,032; V55‘; = 7‚906‚
0,0
0,1 0,0002 24,01 9,210
, 0,2 0,0000 24,5, 9,004
0,8 0,0014 25,0 10,000
0,4 0,0020 20 10,900,
0,5 0,0040 27 11,004
0,0 0,0058 28 12,544
‚ 0,7 0,0078 29 18,450
0,8 0,0102 80 14,400
l’ 0,9 0,0180 81 15,870
i 1,0 0,010 32 10,884 «
1,1 0,019 88 17,424
‘ 1,2 0,028 84 18,490
. 1,8 0,027 95 19,000
1,4 0,081 80 20,780
i 1,5 0,036 87 21,904 ‘
1,0 0,041 38 28,004
1,7 0,040 89 24,880 ,
1,8 0,052 40 25,600
1,9 0,058 41 26‚896
2,0 0,064 42 28,244
2,1 0,071 43 29‚ö84
2,2 0,077 44 30,976
2,8 0,085 45 M400
2,4 0,092 46 33,856
2,5 0,100 47 85,844
2,0 0,108 48 36,864
2,7 0,117 49 38‚416
2,8 0,125 50 40,000
b. Krummllnlge Bewegung.
1. sind a; =_.—y;‚ (t), y ==1,p, (t), z = yls (t) die Gleichungen
für die Bahn eines Punktes, so sind die Geachwindigkeitscom
da: dyfi
ponenten nach den Axen bezüglich: g}, a? dt- Die diese“
Richtungen entsprechenden Beschleunigungen sind:
136 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
d2 x
7; eos a — m3 ‚
d2 y
yzcosß:
d t’ ’
d2 z
WCOS7=
d tz ’
und die resultirende beschleunigende Kraft drückt sich aus durch :
dzx 2 dzy 2 ‚122 2
.1‘=V(‚„=)+ m! + ‚1.2)
Die drei Componenten der bewegenden Kraft P = m? sind also:
d’z d’y d’z
X=mm7; Y=m dt’; Z==m dtz.
R auf die Richtung von B ist, r,I und r aber den Werthen v0
und v entsprechen. —. Ist die Kraft R constant und geschieht
die Bewegung in der Richtung derselben, so stellt sich das
Princip dar durch die Gleichung:
.„2
—— _ „o 2 G = R3,
2a
worin G das Gewicht des Körpers, g die Beschleunigung der
Schwere und s der zurückgelegte Weg ist.
Häufig wird diese Formel zur Ermittlung der Endgeschwin
digkeit v gebraucht, und für diesen Fall hat man:
v Rs
v= v„" + 2 g ‘6 .
Wenn die Gröfse Rdr=Xdx+ Ydy + Zdz das vollstän
dige Differential einer gewissen Function F(a:, g, z) ist, so drückt
F(z, y, z)=c ein System von Flächen (Niveaaflächen) aus,
138 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
d. d’Alembert'sches Prlnclp.
Auf den Punkt von der Masse m eines beliebigen Systems
wirke die äufsere Kraft P, deren Componenten nach drei auf
einander senkrechten Axen X, Y, Z seien; zur Zeit t habe der
Punkt die Coordinaten x, y, z. Wegen der Verbindung dieses
Punktes mit anderen Punkten des Systems (oder durch Führun
gen) entstehen gewisse Spannungen. Zerlegt man P in zwei
Componenten Q und R, von denen Q allein dem treigedachten
Punkte dieselbe Beschleunigung der Richtung und Gröi‘se nach
ertheilen würde, wie die ist, welche er wirklich hat, so nennt
man die andere Componente R die verlorene Kraft, und ihre
Componenten nach drei auf einander senkrechten Richtungen
sind: _d'a: d’y d’z
X—m w, Y_1nd—tu, Z__.md-tiz.
M
20W)
= —e2——.
T: T33 M 7'".
7) Für einen normalen abgekürzten Kegel, der sich um seine
Axe dreht, und dessen Endflächen die Halbmesser R und r
haben: T: T86 Rs_„5 .
R3—.r3
“8-59- s) Für den Ring (Fig. 59), dessen
Querschnitt
1,2
rechteckig: T= M(r2 + I ‚
f.‘ Centrlfugalkrafi.
In jedem Augenblicke lassen sich alle auf einen bewegten
Punkt von der Masse M wirkende Kräfte ersetzen durch eine
Tangentialkrafß die tangential an die Bahn des Punktes gerich
tet, dem frei beweglich gedachten Punkte dieselbe Bewegung
ertheilen würde, als diejenige, welche er in dem betrachteten
Augenblicke hat, und eine nach dem Krümmungsmittelpunkte
der Bahn gerichtete Centripetalkraft von der Gröi‘se:
M11 2 = l
=Mw2 e’
P:
9 99
unter 9 den Krümmungsradius, G das Gewicht des materiellen
Punktes‚ v die absolute und m die Winkelgeschwindigkeit ver
standen.
142 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
g. Das Pendel.
Fig. 61.
A L
‘t
A
‘\‘
B
1.
61).
Das Kreispendel (Fig.
Die Schwingungszeit,
welche vergeht zwischen zwei
Durchgängen des Pendels
durch die Lothlinie, ist:
‚ä
7‘—" „I;
g[l+(r) 2T+(n 4) 2T
3
+(,{‚.;.%)I(2ÄT
Il. Geodynamik. 143
worin h die Fall- oder Steighöhe und 1‘ die Länge des Pendels
bedeuten. -_ Für kleine Schwingungen setzt man:
7 h V 'r ‚ a
T=77V’; =7r ?(1-i-q}s1n2 3),
wenn a der Elongationswinkel ist. — Bei sehr kleinen Elon—
gationswink ein ist annähernd :
T=n
.9
Die Cycloide hat noch die Eigenschaft, dafs auf ihr ein Körper
in der kürzesten Zeit von einem Punkte derselben zu einem tiefer
gelegenen herabfillt, wenn ihre Grundlinie horizontal liegt.
3. Das physische Pendel reducirt sich auf das einfache
Kreispendel, wenn man seine Masse in einem Abstand
R __ 2111/172] __ Trägheitsmoment
— Me — Statisches Moment
bezüglich der Drehaxe vereinigt denkt, wobei M die Masse und
e der Abstand des Schwerpunktes des Körpers von der Dreh
axe ist. ._ Die Gerade, welche durch den Reductionspunkt im
Abstand R von der Aufhängungsaxe ä: dieser gedacht wird,
heifst Schwingungsaze.
4. Die Beziehungen zwischen Aufhilngungs- und Schwin
gungsaxe sind reciprok, d. h. die Schwingungszeit ist dieselbe,
mag man das Pendel in der einen oder andern von beiden auf
hängen. _ Der Schwerpunkt des Körpers liegt stets zwischen
Aufhängungs- und Schwingungsaxe.
h. Der Stars.
Diejenige gerade Linie, welche im Augenblick des Stofses
zur gemeinschaftlichen Berührungsebene zweier sich stofsenden
Körper im Berührungspunkte J- gedacht wird, nennt man Stofs
linie. Befinden sich die Schwerpunkte der Körper in die!“
144 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
‘_ M.—1—Mz ’
I
a bestimmt sich hierin aus der Gleichung a=h—, wenn h die
Höhe ist, von der man eine Kugel aus dem betreffenden Ma
terial niederfallen läl‘st und hl diejenige, bis auf welche sie zu
rückprallt. [Für Elfenbein ist a=(g 2, fiir Stahl und Kork
a= .i)”-]
29. Der schiefe centrische Stofs. Man zerlege die Geschwin
digkeiten vor dem Stofse in Componenten 4: und -l- zur Be
rührungsfläche; die parallele Componente bleibt unverändert, die
normale ändert sich nach den Regeln des geraden Stofses; die
II. Geodynamik. 1 45
10
146 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
III. llydrustatlk.
u. llyllrutaflscher Druck.
b. Der Auftrieb
IV. llydrodynamllm
u. Theoretische Ausflul‘sgeschwlndlgkelt und Ausflul's
menge bei constantem Drucke.
1. Aus horizontaler Wand. Bezeichnet:
v die theoretische Ausflufsgeschwindigkeit in Fui‘sen,
Q die theoretische Ausflufsmenge in Cubikfufsen,
A den Querschnitt der Ausflufsöfl'nung in Quadratfufsem
h die Druckhöhe der Flüssigkeit in Fufsen,
0 den Inhalt der Oberfläche der Flüssigkeit in Quadr.-F.‚
g =31‚25 Fui‘s die Endgeschwindigkeit eines freifallenden
Körpers nach der ersten Secunde, so ist:
2 gh
0:
“T7
1- (—) 0
Ist 0 im Verhältnii's zu A grofs, etwa. > 10A, so ist
v =V2‚T= 7,906 Vif
(Tab. über die entsprechenden Werthe von v und h siehe
Seite 135.)
Ist der Druck auf die Oberfläche gröfser, als der Gegendruck
auf die Ausflufsmiindung, und entspricht die Difl‘erenz der Drucke
einer Flüssigkeitshöhe = Ö‘Fnfs, so ist:
29(h+8) .
1):
143) A 2
Fig. 65.
»=[1—se>”—w5äc>‘]W
Für einen rechteckigen Uebeijfall hat man
(Fig. 65):
v=%l/m‚ Q=%bh1/2gh‚
g: 2"“
g” 2 2- 1 __ 1,
‘q: 9T; r -‚ .
das Verhältnifs der verlorenen ‘Ge
T9
schwindigkeitshöhe zur efl’ectiven Geschwindigkeitshöhe oder
‘der Widerstands - Coefficient, - -‘
2 .
_ C v— die Widerstandshöhe.
‘29
M Für den Ausflufs durch Oefl’nungen in dünner ‘Vänd ist im
ittel:
a = 0,64
q: == 0,96
{L = 0,615
g = 0,085.
8. Wenn die Zusammenziehung (Contraction) des Strahles
nicht auf allen Seiten der Oefl‘nung stattfindet, so sagt man;
es finde unvollständige oder partielle Contractz'on statt.
Unvollkommene Contraction findet statt, wenn der. Querschn.
der Ansflufsöfl‘nung gegen den der Wand, in welcher sich die
selbe befindet, nicht so klein ist, dal‘s das Wasser vor der Oeff
nung als stillstehend zu betrachten ist.
Ist p der ganze und u der Theil des Umfangs, auf dem keine
Contraction st'attfindet, und bezeichnet {4' den‘ AusfluI's-Coeffic.
bei partieller und ‚u den bei vollkommener Contraction, so ist:
‚p, =y (1 + 0,155
4. Tabellen der Auqflufs-Coefficiemen ‚t filr den Ausflufs
durch rechteckige Oeffnungen in einer verticalen dünnen Wand,
wenn die Ausfiufsmenge;
Q == ‚uFV2g/h; wo h der verticale Abstand des
Wasserspiegels von der Mitte der Ausflufsöff
nung ist.
150 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
16 „ 20 „ „ „ „ „ 6 bis 8Z0ll.
Füllt der Wasserstand unter die so eben bezeichneten Gren
zen, so sind die Äusflnfs-Coeflicienten aus der folgenden Ta
belle *) zu entnehmen.
l ’ T—W 'A |
Höhe Wasserstand Ausflufs
der über der Mitte Coefiicient
Ausflui‘söfl’nung der Oefi'nung k = ‚u
,‚ ‘ I 7:, Zoll
.
0,61 bxs 0,64
l
‘
'
i z‘ Z0“ 2 „
4 0,60
0,46 062
0:40 '
7:,
1,‘; „ 063
0,42 „ 065
0,45 x
‚ 12°“ ä 2 „ 0:57 Z 0:62 l
=‚}„FV2gh ist.
u. Bei vollkommener Contraction.
Die Druckhöhen sind in mindestens 3' Entfernung von der
Ausflufsöfl‘nung gemessen.
[r _
‘ Wasserstände
' Z ll i 2 1
Ueberfalls
schwelle II = {
13661-062: 1} 1 17} 3 i 4 6 8
e (n
0’,422}0‚414%)‚407I0,404 0,397 0,395.0,a93 0,390
154 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
Verhältnifs zwischen
Länge und Durch
messer der Ansatz 1 2bis3 12 24 36 48 60
röhre.
" l v J 1 H v l 1 Y
0,1
0,2 0,0679
0,0522 0,7
0,8 0,0346
0,0333 43 0,0242 l=
0,0220
0,3 0,0453 0,9 0,0322 6 0,0213 ‚
0,4 0,0411 1 0,0313 s 0,0204
0,5 0,0383 1,5 0,0282 12 0,0192
0,6 0,0362 2 0,0263 20 0,0182
Der Coefl‘. g des Eintrittswiderstandes ist im Mittel 0,505,
läfst sich aber durch Abrundung der Einmündung auf 0,08 her
abziehen. Bei langen Röhren ist er ganz zu vernachlässigen.
Nach Haagen ist Q abhängig von der Temperatur des Wassers.
Findet eine Verengung der Röhre nach der Ausflufsöfi‘nung
hin statt und ist der Durchm. der letzteren d’, so ist, wenn u
die Ausflufsgeschwindigkeit und C, den ‘Viderstandscoeflicicnten
flir das Ausmündungsstück bedeuten:
2 4 l
h_-.-';—[1+%7(C+Ä—d-)+Q‚] undv= _.d‘—g—72 h „
g 1+;,‘T(c+i „—)+c‚
l
55
—'fl
125%‘
=3ra
ägs
U;
0,1
0,2
0,3
0,4
5'
,
1
-
.
l
|
Zweiter Abschnitt. - Mechanik.
2
—.-‚
'
l‘
—*
3
—*—-
4
'l
5
i ‚
Innere Röhrenweite d in Zollen.
'1
11 12
i 7 \ 0 0 10 .
1,00051 2,0044
, 2,0507 0,2725 0,0507 4,7124
' 0,0180 0,0100 0,0145 0,01004 0,0110 0,0100
0,2070 4,1800 5,0014 0,5450 7,0105 0,4248
0,0570 0,0501 0,0440 0,0401 0,0005 0,00042
4,8100 0,2802 7,0522 0,8175 11,870 14,107
0,1118 0,0078 0,0000 0,0782 0,0711. 0,0052
0,4141 8,0770 10,000 10,00 15,800 18,850
0,1805 0,1500 0,1404 0,1204 0,1140 0,1050
0,0211 12,500 15,004 10,005 20,758 20,274
, 0,0570 0,0101 0,2780 0,25045| 0,2277 0,2087‘
l 12,828
0,5045 10,755
0,5114 21,200
0,4540 20,100
0,4001 01,078
0,0710 07,000
0,0400
10,005 20,044 20,507 02,725 00,507 47,124
0,8580 0,7514 0,0070 0,0012 0,5405 0,5010
20,044 20,100 00,104 40,000 40,400 58,005
1 1,2050 1,1070 0,0840 0,8850 0,0051 0,78801
24,058 01,410 00,701 40,087 50,000 70,000
1 1,4500 1,2002 1,1282 1,0154 0,0201 0,0402
28,002 00,052 40,007 57,200 00,205 82,407
1 2,2801 1,0077 1,7758 1,5002 1,4520 1,0018
02,070 41,000 50,014 05,450 70,105 04,248
2,8010 2,5200 2,2405 2,0207 1,8007 1,0804
40,088 52,000 00,208 81,812 08,000 117,01
4,0014 0,7007 0,0457 0,0110 2,7070 2,5002
,48,100 02,802 70,521 08,175 ‘ 110,70 141,07
1; 5,0040 5,2185 4,0087 4,1748 0,7050 0,4700
04,141 00,770 100,00 100,00 158,00 108,50
i 10,020 0,7740 7,7004 7,0105 0,0014 5,8405
' 80,170 104,72 102,54 100,02 107,00 205,02
1 15,050 10,174 11,710 10,5004 0,5010 8,780
, 90,211 125,60 150,04 100,05 207,50 202,74 ,
121,002 18,403 15,247 14,720 ‚ 10,004 12,208‘,
128,28 167,55 212,06 |261,8O 1316,78 376,99‘
‚35,761 31,291 27,814 25,033 22,757 20,861
‘160,35 209,44 265,07 327,25 395,97 471,24 ‘
I‘ 54,150 ‘ 47,350 42,113 ‘ 37,902 34,46 ‚ 31,585‘
158 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
„Milz,
suche in 3. das dazu gehörige Ä. und setze diese Werthe von
Z und d‚ in die Formel u. s. w.
7. Die Wassermenge, welche durch eine Röhrenleitung von
gegebenen Dimensionen bei gegebenem Gefälle h‘ erhalten wer
den kann, ist:
a
=flv=0‚7854d'v.
4
Darin bestimmt man v aus der Gleichung:
‘U: vfl»l
V2 9 h
1,505 +l. i
1
Darin ist:
7
g, = 0,101 + 1,847
Für l g ‘
‚
1:0,1 0,2 0,0 0,4 0,5 0,0 0,7, 0,8 0,9 1,0 I
‚ w ‚- - 1
C,=0‚101 0,138 0,150 0,200 0,294 0‚44010‚001i0‚977 1‚408“1‚978
2M‘ l
10. Es ist der Druekhöhenverlnst in Folge der plötzlichen
Geschwindigkeitsänderung;
a. in dem Falle (Fig. 70):
Fig. 70. h=kQf=(‚i lyji
c 29 F’ ’ 29
5:01.
1:52;
00001
also der Widerstandscoefficient
1 Gä O Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
F, ‚
T=0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0
F‚-‚=F=0, 0,2 0,3,’ 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0
2a
Der Widerstcndscoefficient g ist für den Durch
gang des Wassers:
a. durch Schieber im parallelepipedischen
Rohre von Querschnitte F:
lV. Ilydrodynmnik. 1 61
r‘‚
70,0 Ö‘ßlL? ‚0,6 j 0,5 I|. 0,4 {0,3 0,2 0,1
n v L ‘ i
.F V‘ i
z-v
30° 40°: 5001 60°{_65° 66 “82 0
i;
4,349 0,0s70‚520i0,a5%0,18sl _
'‚31 1,84 0,15 20,7 {05,0v
‚E‚i
-—-- ._‘ an
_ "0 _
__
i | .
' 1
0 850 0,692 0,535:0,385 0,250 ‘0,187 0,09l‘ _ 0 i
J) 1 ..
‘0,20 1,50 5,47 17,3 52,6 20av I4s0| _‚ m!
11
162 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
F
‘IT
l 1 l l ,
‘l0,826i0,658i0,500‘0,357f0,234 O‚l34{0,060 0
‘ I ‚
g 0‚45l1,a4 3,54 9,27 24,9 77,4; 368 co
e. durch Kegelventile:
F 2
;=(1,645 1T, —1) wenn
F‘ der Querschnitt d'er Oefi‘nung im Ven
tilsitz, F der der Röhre und die Erhebung des Ventils minde
stens gleich der halben Weite der Ventilsitzöfi‘nung ist.
Fig. 77. f_ durch Klapnenventile:
F 2
g .._ (an? _ 1) wenn
F der Querschnitt der Röhre und F' der
der Oefi‘nung irnventilsitz ist. Angenäherte Werthe von a fiir
verschiedene Oefi‘nnngswinkel enthält folgende Tabelle:
„„ '_
Oefi
Ffäfif’ 15° 20° 25° 30° 35° 40°'45°150° 60° 70)°
1 -
k a = 0,178 031010350 0‚2s9l0‚a‘12i0‚304'0‚45s‘0524106740311
‚ ‚ ‚1 ‚ i
d. Ausfluss des Wassers unter abnehmendem Drucke.
.l. Es bezeichne:
k die anfängliche Druckhöhe in Fui‘sen,
G den horizentalen Querschnitt des Gefdfses, aus dem der
Ausflufs stattfindet, in Quadratfufsen,
F den Querschnitt der Ausflufsöfi‘nung, in Quadratfufscn,
Q das der anfänglichen Ausflui'sgesehw. entsprechende \Vasser
qnantum in. Cubikfufsen pro Secunde und
‚u den Ausflul‘s-Goefficientem, ‚
Wenn das zufliefsende Wasscrquantum gröfscr oder kleiner
ist als das Ausflufsquantum ‚2Fv2gh, so steigt oder sinkt der
IV. Hydrodynunik. 1 63
1' 3
Wasserspiegel, bis die Druekhöhe = — wird und dann
2 y (‘F
bleiben Druckhöhe und Ausflul'sgeschwindigkeit constant.
Erhält das Gefiifs keinen Zuflufs, so sinkt der Wasserspie
gel gleichfönnig verzögert und die Zeit zum Entleeren ist in
Secunden:
__ 2Gh =_2Gh=10‚253 G Vh“
„FV2gh Q FF
Die Zeit, innerhalb welcher die Druckhöhe h in h, über
geht, ist bei freiem Abflufs:
‚= 2 G- (yr..vi.j) = 0,253 „iF (VIT—V7f‚)‚
.uFl/Ty
Fig. 78.
beim Ausflufs unter Wasser (Fig. 78):
t
_ 2 GG‚(Vh_— W52
„F<G+G‚> vn
2. Bezeichnet h, die Tiefe des Un
terwasserspiegels unter, und h2 die Höhe
des Oberwasserspiegels über der Mitte
der Schützöfl’nung einer Schleusenkum
mer,
G den Querschn. derselben (Fig. 79)
// ‚ / ß in Quadrstfufsen,
F die obere Schützöfi’nung in Quadratfufsen,
F, die untere Schützöfl‘nung in Quadratfui‘sen,
S0 ist die Zeit zum Anfällen der Schleuse:
t__ (h‚+2 h,)G
‚fit/29h,’ „...„„
die Zeit zum Entleeren der Schleusenkammer’:
a. wenn sich die Mündung im Unterthor ganz unter dem
Unterwasserspiegel befindet: i ‚ ‚
t=2GVh‚+h,
_ 7
HFJ’Qs
ß. wenn die Mündung theilweise über dem Unterwasser
spiegel hervorsteht, und a, die Höhe des Theils über, a, die
des Theils unter dem Unter-Wasserspiegel ist:
t: 2g(h‚+h.)
„Wü (a, l/h‚+hi— %+«i2 Vh‚+ h?)
unter b die Breite der Mündung verstanden.
11 *
164 Zweiter Abschnitt. -'— Mechanik.
=— h
| 3 ‘4 1,3528hn
0,02 1,5119
‘ 0,03 1,6540 .
0,04 1,7980
0,05 1,9266
‚0,06. 2,0495
0,07 2,1683
0,08 |-‚ 2,2839.
0,09 2,3971
0,1 ‚ 2,5683
0,2 2,6179
Die Stauweite selbst ergiebt sich eilniihernjd‘ eins:
‘ t h " ' ‘
l=H— —- _ 001 ‚ww' 1
„14,11“ „ >]_„_‚. ‚ , ‚
f. Bewegung den Wassers In Kanälen und ‘Fliiuom,
1. Die mittlere Geschwindigkeit d'es'WessereE in einem Quer
schnitt des Kanals ist: ‘ :
__Wasserqnantun1 pro Secunde Q
v _Inhalt des Kanalquerschnitts F
Bezeichnet: ' ‘
v, die Geschwindigkeit im Stromstriche in Fui'sen,
so ist nach P‘tony: '
7,50 —i-1)l
11 = —— U .
9,97 +11, ‘ . ,
Annähernd nimmt die Geschwindigkeit des Wassers von der
Oberfläche nach dem Boden hin um 17% ab, so dal's die mitt
lere Geschwindigkeit nahezu ‘8%% kleiner ist, als die an der
Oberfläche. - -' « . . . m‘ " 'l
Bezeichnen ferner: 1 - - .
L die Länge des Kanals in Fufsen,
h das totale Gefälle desselben in Falken,
F den Querschnitt des Wasserkörpers in Quadratful'sen,
s den benetzten Umfang inFuI‘sen,
so ist bei gleichförmiger Bewegung:
Lsv2 v, ‚V,E'.|‚ r.ix‘„'‚\.
h—g? ü und vv_ gtrzlrqh, V": N‘
166 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
___ Fsinö‘ d
a— 2_c0s8un
F ‚
= ;-——ae0tg8ist.
Q
Bö- Relative Untere Absolute l .5 ‘Es
schungs- Bö- Tiefe Breite Bö- m“ 8 netzter
Winkel sclmng a b schung g ä Umfang
l 3 cotg 3 acotg Ö‘ ‚n + . s
, O ‚e ___’
lJ 00o
00° 0,000 0,700
0,577 0,707 1,414
0,077 0,000
0,430 1,414 2,032
1,755 2,828
} 45° 1,000 0,740 0,010 0,740 2,002 2,704
40° 1,192 0,722 0,525 0,860 2,240 2,771
‘36° 52' 1,333 0,707 0,471 : 0,943 ‘2,357 2,828 :
| 35° 1,402 0,097 0,439 {1 0,005 2,430 ‘2,870 g
1 30°a4’ ! 2,000
{20° 1,732 0,030
0,004 0,050‘ 1,272
0,300 1,150 vy 2,844
2,050 3,012 1
3,144
1mm“; — W798 — — 1 0m 2,507
Man wählt passend:
Fin- gegrabene Kanäle in fester Erde, mit Ufer
bekleidung . . . . . . .‘ . . . . cotg 3: 1.
Für Futtermauern . . . . . . . . . cotg 8 = 1}.
Für gegrabene Kanäle in fester Erde ohne Ufer‘
bekleidung . . . . . . eotg ö=l= 1;.
Für Kanäle in lockerer Erde, S‘and‘ et-c. . . cotg 3 = 2.
168 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
beim ‚Stofse .gegen eine hohle Flüche, wo der Strahl in die ent
gegengesetzte Richtung _umbiegt:
„‚ ..1
11:?’ Qy:
IV. Hydrodynamik. 1.69
Fig. 85.
Hat derselbe nach hinten eine scharfe Kante, wie Fig. 86,
g = 1.
170 Zweiter Abschnitt. - Mechanik.
»Y-'’''
Ist der_Körper am vorderdEnde scbarfkantig, wie Fig. 87,
so ist:
Fig. 8B.
---—---- (-1:
Fig. 89 .
W. Aerostatlk.
u. Marlotto’s und Gsy-llussac's Gesetze.
b. lhlton's Gesetz.
Zwei oder mehrere Gase, welche sich gleichzeitig in dem
selben Raume befinden und nicht chemisch auf einander wirken,
verhalten sich nach denselben Gesetzen, als 0b jedes Gas allein
vorhanden wäre.
c. Barometrlsche llßhenmessung.
Bezeichne:
h den gesuchteniverticalen Abstand zweier Orte in Fufscn,
1‘ den Erdradius bis zum Niveau des Meeres iniFul‘scn,
172 Zweiter Abschnitt. — Mechanik.
1+0‚004 t°2+tl { k‘ l b‘ h
h= 577541-'—0‚002588cos2l -“ 1 (Ä) 21 (1
r‘) [g ‘b +g +1: —)]
Liegt die untere Station ‚nicht sehr hoch über dem Meere,
R l h
so kann man mit genügender Näherung setzen 7:1, I—;=:
und filr‘r den mittleren Erdradius r‘: 19989000 Fufs. ‘
VI. Aerodynalnlk.
a. Ausfluss der Luft aus der oefl’nung eines Gefässes.
Bezeichne :
p, die specifische Spannung der Luft im Gef‘dl'se,
tl die Temperatur derselben in Graden Celsius, v_
po ‘die spec. Spannung und tn die Temperatur des die Aus
flui‘söfl‘nung umgebenden‘ Mediums,‘ ' “ ‘ ' ‘
b den Barometerstand, der di'e 'Spafiiinng'ßo rn‘ii'st,"
h den Barometerstand, der dem Ueberdrucke p, _po ent
spricht,
F den Querschnitt der Oefl’nung in Quadratful‘sen.
‚u den Ausfiul‘scoefficienten, -
V das pro Secunde ausfliefsende, unter dem äul'seren Drucke
po und bei der Temperatur to gemessene Volum Luft, in
Kubikfufsen. ‘ ‘ ‘ '
VI. Aerodynamik. 173
Es ist:
V=l42nFäü V I1)0,291 [ 51)0,291 —1]
. _ V273-+-tl Po_ Po
näherungsweise :
‘I3 h
V= 76,5 „F li‘ll
V27s+:‚ 4b b ‘ h.b 2'
Vf-[1-o,0e4(—)—0‚004(—)
Bei kleinem Ueberdrucke und nicht erhitzter Luft, kann
man die Formel anwenden:
i ‘v‘=‘pr1/2’g‘87[
wo 8 die Dichtigkeit der Bsrometerfilllung in Hinsicht auf die
äufsere Luft bezeichnet.
Wird der Ueberdruck p, —p„ durch eine Quecksilbersäule
von h Zoll Höhe gemessen, so hat man:
V= 235 „FVI
Ist F in Quadratzollen angegeben, so wird:
V= lßöyFvh.
Der Ausflnjlscoefficient {1, ist nach Versuchen von Weifsbach:
Bei Mündungen in der dünnen Wand von kreisförmigem
Querschnitte n=0‚565 bis 0,787. Es ist n gröfser bei zu
nehmender Pressung.
Bei kurzen -cylindrischen Ansatzröhren
‚u=0,730 bis 0,833.
Bei innen abgerundeten kurzen eonischen und längeren 00m‘
schen düaenförmigen Mundstücken:
n=0‚95 bis 0,97.
Bei conisch convergenten Röhren:
n=0‚91 bis 0,964.
‘) Die mit einem Stern bezeichneten ‚Wertlie gelten für die rück
wirkende Festigkeit.
l Ungegliiht, nusgeglfiht k: 8000.
2 Fiir absol. Festig. 1::3500; für riinkw. u. relat. Festigk.:7000;
für einfach rückwirkende Festigk. kann man, wenn die Länge höchstens
gleich dem öfaehen der kleinsten QlIQI’SClL'DlmCDSlOH ist, 1:220000
rechnen.
3 Ungeglüht; ausgeglüm k:4500.
I- Absolute und einfach rückw. Elssticität und Festigkeit. 177
P 7
oder logy=log7c- -I— 0,434 -—x.
k
Darin ist:
y ein beliebiger Quer‘schn. des Stabes in Qua
drat-Z. im Abstande x Zoll vom unteren be
lasteten Ende,
P die Belastung in Pfunden,
k die zuläss. Belastung nach Tab. S. 176 u. 177.
I. Absolute und einfach rückw. Eiasticität und Festigkeit. 179
Hierin ist:
närl’fi sßv
die Wandstärke der Röhre g in Zonen
der innere Dnrchm. derselben ’
der Druck pro Quadr.-Z. der Röhrenwandung in Pfunden,
die zuläss. Belastung nach Tab. S. 176 und-177,
eine Const., für deren Bestimmung maal‘sgebend ist:
1) die Möglichkeit der practischen Ausführung, die Gröfse
des Dnrchm. und (bei horizontaler Lage) die freie Länge
des Rohres,
2) die Temperatur,
3) die Abnutzung durch mechanische oder chemische Kräfte.
Für gewöhul. vorkommende Verhältnisse ist erfahrungsmäi'sig:
n Eisenblech
fiir e z.
c= l Kupfer
fiir 4,2. l Holzfin' {bis 1 z.
Durchm. d,
_ Eich.- _ _ 2 5200 E
Quadxn-Sdule7 hol, L2
wo h die Seite _ h‘
des Quadrats. _ __ 18000 F
21;‘:
oder annähernd; e = d: EJ t
Z'Pl
2. Formeln für specielle Fälle"). Bemerkung. Im Folgen
den bedeuten:
J, W und k dieselben Werthe wie oben unter 1.;
R und S die Reactionen der linken resp. rechten Stütze;
3 die gröfste Durchbiegung des Balkens; für gewöhnlich ist
0,0011 zulässig; .
z’ und y’ den Abstand der gröfsten Durchbiegung von R resp. S;
S und 1] die Abstände des Bruchquerdurchschnitts von Rresp.S;
Q eine gleichmäl'sig vertheilte Last (auch Eigengewicht);
P eine Einzellast.
Die Bedeutung der übrigen Buchstaben ist aus den Fig. ersichtlich.
") Vergl. Zeitschr. d. Vereins deutscher Ingenieure, Bd. 2 und 3.
IV. Relative Elasticitiit und Festigkeit. 187
Rechtecke von
-gleicher Breite b
und veränderliche!‘
Höhe y.
Kreise
vom Durchmesser y
(Paraboloid).
Aehuliche Rechtecke
von der Höhe y und
der Breite z;
das Verhältnifs der
Seiten:
Z
—=(1‚
31
Begrenz. Formeln
des Län zur Berechnung
genprofils Näherungsform der Balken
der Querschnitts
obere un Dimensionen
tere
r
FQua
drat.
Ge- Para
rsde bel
Quadrati
sche
Parab el
Nr.
Kubische
Parabel
Kubische
Parabel
a Q
11 S=PT+‘?‚
Wk .__(P“ Q2’
m, wenna<
P b‘“
2a ‚
oder
Wk=(P+—2—
Q a—l—,
b wenn E) 2a .
P _:b—.a
l
Im ersteren Falle ist 1] = g- a + 3-, im‘ letzteren ‚7 = b.
Läfst man Q unberücksichtigt, so wird:
Wk=PaT,b und für a=bqt
4Wk=Pl. Wird P=0 und ist Q>0‚ so ist:
8.Wk=Ql.
Ferner ist wenn a=6‘.
8_P+%Qg
EJ 48'
Nach diesen Formeln ergiebt sich folg. Tabelle (S. 191):
\
Formenrgleicher Wi
a a s
1‘ Quadrat von P=556 g‘- P=389 i'- P=56 g’
\ der Seite L I’
l =a s __ a_ a „_
2 u ' a‚=0‚121e l/PL u‚=0‚137|/PL a‚=0,261]/PL
‚0:5 b ‚L2 b [L2 b ‚L2
Rechteck mit P=556 71T 13:14:89’?- 13:56 L
den Seiten _ _ _._
‘ b’ und h h=0,0424 V7
PL h=o‚0s07l/b—
PL h=0,1336 V71
PL
a=b h’ b h’ b h2
Rechteck mit Q=1112 L Q=778—i—- Q=111 L
den Seiten —L- —* '
L
bflund h_ ‘ h=0‚03 VQT h=o‚036 VQTh=0‚0945‘/%
ders m1 dsfähigkeit
7 u‘n- 7 „7 i‘ ä
obere tere Formeln N"h f
Begren- zur Berechnung a emngs Ormen
zung ä?
Zwei
6P l_
drat. l
l
Para-
beln rade
Ge- yl ’ bkl l I ‘
n-l Q u
2 P+ Ta‚._1<R und 2P+-Ä(l2—a„>R ist.
1 1 .
Zur Berechnung dient:
In-l Q
Wk=ZPa._ äl E2, wenn ä>a„_l und <a‚„
1
Wk=2Pa
n- 1 — 9- a.._1(E—a' —1
2 )‚ wenn 'g‘<a„_1
1 l
uv-l Q an
Wk=2Pa+ 711.. (E——»2-)‚ wenn 5>am
. 1
Es ist: R ‘211D
g=__ L l.
Q
IV. Relative Elastieität und Festigkeit. 193
UD
obere tere Formeln
Begren' zur Berechnung
zung
El- Ge
l
lipse rade
1’ b ‘ b
W „ __ „l + ‚L Q[‚
13
194 Dritter Abschnitt. —— Elasticität und Festigkeit.
Ferner ist:
P 2 b 52 b
5:69“ T_62gl_2m‚+%l<a, wenn
P l’(3a—5b) _
—<
Q 4b(3«“+6ab+2b2)"
__Pa”(2a+3b) P l"’(5b—3a)
‘" — Q 21’ +8äl < b ’ wenn —
Q <4a2(2a+3b)
——_.‚
b2 l
Wlv=P“-l‚—+?—2 und 5:0.
Wenn (2:0, so ist:
P 211'123 ‚ 2b
Ö‘ =————-—-————
EJ 3(a+3b)’ undy = a+3b l ’
ist a=b, so ist:
b P 3 ' ll
3=0‚0052‘fil und y =‚z .
Es bedeuten: ‘
M „ M2 . . . die Spannungsmomente (Wk) über den Innenstfltzen.
N, N l ‚ N, . . . die gröfsten Spann-Momente zwischen den Stützen.
d, 11„ (Z2 . . . die Entfernungen der zunächst nach sul‘sen liegen
den Stiitzen von den Querschnitten, in denen die Mo
mente N stattfinden,
T„ T„, T3 . . . die Resctionen der gleichnamigen Mittelstützen,
lt und S die Reactioneu der Aufsenstützen.
Es ergeben sich hier folgende Tabellen:
Tabelle der Momente M.
mente 3 l 4 5 L 7 ‘ 9
Es sind überall nur die VVerthe bis zur Mitte des Trägers
gegeben, da in Bezug auf dieselbe Alles symmetrisch ist.
‘Q
wo
y’ die Entfernung der am stärksten ausgedehnten und
y" die Entfernung der am stärksten gedrückten Faser von
der neutralen Axe bedeuten, und
K’, K" bezüglich die Maafse der vollkommenen Zug- und
Druck-Elast. bezeichnen.
Ein Querschnitt, welcher dieser Bedingung genügt, möge ein
solcher von gleicher stabiler Festigkeit genannt werden.
Bei ‚Schmiedeeisen, welches sich gleich elastisch gegen Zug
und Druck verhält, ist:
K’ ' 'I
IT": 1; y =y .
‚1
W" ä unmäsfißtßää
ämämämäfiäaä
gleicher stabiler Festigkeit für Gufseisen.
‚W fieafinwnoäh
_
Dritter Abschnitt. —— Elasticität und Festigkeit.
hi‘
_ .
_
„c fiomoä u „Q wäm 1 mgqo" „Q nwdm
fiöäoämwaöäwggr 1 r
32 ‚bzw: ‚5a co> ..„ _
‚52h sßxumäww am? Qw ‚q Qw .. ‚u . .. «N w
‚eine „ä ‚e .Eeäm v
_
ä fiöäoäwtwswmeh _
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-fi ‚ ‚„ l äafll „.2 - l .QMZUQ Q2 . .‚.,
L 226" 2 §2 „äääduämää .2 ‚..‚.
Relative Elasticität und Festigkeit.
„äeoämwsaää i ‚ ‘ „fäoanfläb
J‘ ‚.llr a
713-?
3.4. ‚53a ‚8c so».
33m ääoaäom „5% ß m
ihüw Ea ‚c .:‚5‚B:m l
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202 Dritter Abschnitt. —- Elastieitüt und Festigkeit.
J?
8 die
von
Reguläres
Seite
'n Seiten,
und
Polygon
1‘woders E' E(3
F 1"— S2 1:) V "‘ Z
F J
‘ ‚14 0 da
9 ‚ {II =% "3—2=0‚09s2 d’
E = 0,0491 ‚11‘I
Ä
n 7x D‘ —d"
-—- D4—d‘ = —— ———
10 64 ( ) 32 D
7 l
4 (R 0 _r 0 ) _.l
— 4 164-74
R
l
‘
n “Z 53 =O,785a_b3 m; 122 =0‚7854ab2 1
311 1 1
1,2 Jl“[10
_ d4 ‚ __
6h[ 0 ’ 5 8M 4 ‚
+b<hß-d@>+bß(h-d>] +b(ha-da)+w<h-d>]‚
/ A‘ —a‚‘
13y 12
‘ A‘_a4
12
A‘—a‘ —
‘4 , 12A v2
1 A4 a
l =117s i‘
') "oder näherungsweise: {7'2 F. Demgemäß ist W: } rF‚
IV. Relative Elasticitüt und Festigkeit. 203
________*'_”__l
, BH3—bh3 Elis-bin’
15 12 611
16 b(ha-h‚a)+b‚(h‚a-ha’) b(h’-h‚3)+b‚(h‚"-h2 3)
12 ’ 6hw
B1I3__bh‚a BH3_—_bh3
17 12 6 11
19 BH3-4-bh3 BH3+bh‘
A 12 ’ 6 11
204 Dritter Abschnitt. -— Elastieitit und Festigkeit.
i l (BH2
_— _ b h?) 2 ' [ B H2 -_ b h '
T’? [ BII _ b h ‘i ‚
2° 4BHbk(H-h)"" 4BHbh(H—h)‘
— BH-bh J“ BH‘—bh*
(am _‚ih=)z
i [ß‘ähzwh-wm
4BHbh (H-hy] -
BIF- 2bHh+ am
1 bh"
22
i 24
Im Folgenden bedeute:
E der Elasticitätsmodulus s. S. 176 und 177,
F den Flächeninhalt eines Querschnitts,
N die Anzahl der zu übertragenden Pferdestärken,
P die auf Torsion wirkende äufsere Kraft in Pfd.‚
R den Hebelsarm von P J- zur Torsionsaxe in Fufsen,
1' „ „ „ „ „ in Zollen,
T die Summe der Trägheitsmornente (J + J,) bezogen auf
2 Axen, die sich, in der Ebene des Querschnitts liegend
im Schwerpunkt, rechtwinklig schneiden,
a die Seite des quadratischen Querschnitts in Zollen,
b und h die Breite resp. Höhe eines rechteckigen Querschnitts
in Zollen,
d den Durchmesser eines kreisförmigen Querschnitts in Zollen,
e den Abstand der entferntesten Faserschicht vom Schwer
punkt des Querschnitts,
k die zulässige Belastung für Maschinenconst. s. S. 176 u. 177,
l die Länge des auf Torsion beanspruchten Körpers,
n die Anzahl der Seiten eines regulären n-eckigen Quer
Schnitts.
9 der Radius des umschriebenen Kreises,
s die Seite dieses Querschnitts,
u die Anzahl der Umdrehungen eines Körpers pro Minute,
‚L die Ausdehnung an der Elasticitätsgrenze, s. S. 176 n. 177.
x
Die allgemeine Formel zur Berechnung eines auf Torsion
beanspruchten Körpers ist:
k (J+J,)=?T.
Pr-—7 ‚ k
Demnach ist
für einen Kreis: Prz-rlä nkd3=0,1946kd3
2
„ ein Quadrat: P1‘: ka3 = 0,2357ka3
IstN und u gegeben, so hat man für das auf Torsion wir
kende Moment:
A7
PR = 4582 i
u
a_
„————* 'fi 3 ‚A N
V PR=76,69 VI; VPR: 16,61 v7
ä:
‘Vellen
und
auf
banderen
Torsion
Körpern.
evon
anspruchten ASFormel
GlcEä
Holz
uh75
mfgisedmeiesc,ien,e Scihcehrehrehietit PR'19
'Si‘ä :164
41
027
20
29
115
,‘14
16
022
4 3=0uia l
16a:37kd,7 a__
a‚_
94VPR=ßVpR
3 3’
d:
0,18
ß:
0,33
0,29
0,36
0,21
0,37
0,72
0,63
0,40
0,41
0,79
g m Vke
g—_-—..y“/—
d=»‚a’—
4,82
3,04
6,07
5,52
5,43
3,42
6,84
6,21
ä
l
10,38
6,54
13,08
11,89
y:
Formeln
Berechnung
eDrBelastung
derzifuozur
oder mrledänrsliscohiengen,n [6
l
|694’510000u k
2,5l
137‘
‘g
PR196
:49
25
33
23
34
017
20
3,0e=2ka",3
5 =ea3
‚v-Lo
M
ä
E
5 I/PR=€VPR
g(‘T-‘F
g:
0,17
0,27
0‚310,33
0,31
0,19
0,37
0,39
0,85
0,74
0,67
0,58
—="°ä45
39
357
00
32
250
—4231
e3kaß=—_-— da
65
N
44
" u
33“.
am
w,71, 4
Vk3 1M33____3:_
‘N6
0,50357
IN‚
Q‘1.
VI. Zusammengesetzte Elusticität und Festigkeit. 207
- l l l l
8822:; 0,07047 0,0540? 0,00004Prfi 00000251»?
Gufs- 0 0955i 00675 l ‘ 00000’13 l 000004 Pri
einen ’ d ’ d ’ I 7d? ’ a‘
l l l l
Holz 0,191 — 0,135 —- 0,00073Pr — 0,00043 Pr
d a d‘ a‘
Anm. Die Formeln unter I. gelten fiir den Augenblick, wo
die grq'fste vorausgesetzte Belstg. eintritt und die Spannung in
der äul‘sersten Faserschicht die Hälfte der Elast.-Grenze erreicht.
Hat man die Dimensionen d und h nach der Tab. S. 206
auf 1-, 4—, 6- oder Sfache Sicherheit berechnet, so geben die un
ter I. aufgeführten Formeln den größten Verdrehungswinkel, wel
cher bei dem angenommenen Max. der Belstg. eintreten wird.
Der normale Werth des Torsionswinkels ist alsdann resp. 1;}, {- y),
{M11 oder % 1;). Man pflegt als zulässige Gröl‘se des Torsions
Winkels 7‘; bis 1° anzunehmen.
Die Formeln 'u/nter II. sind zu gebrauchen, wenn die Span
nung. der äufserstcn Faser-Schicht nicht bekannt, sondern nur
das auf Torsion wirkende Kraftmoment Pr gegeben ist.
Festgk.
Art der Befestigung Gleichungen zur Berechnung
welche
und Belastung des der erforderlichen Dimen- g
der
Balkens. sionen oder der zulässigen
Balken
Belastung des Balkens.
änfsert.
Schub-
relative
und
P=[%+% V 1 +(lFy)
4J 2 Ply
_7 ___
] J
Für den rechteckigen Quer
schnitt bh ist:
kennen
k
relative
und
absolute P= 1
T‘l‘p _Jy
Für den rechteckigen Quer
schnitt bh ist, wenn
= h:
P = ä k b h.
Wirkt P in der Richtung
der Axe, sov ist nach S. 177
P= kbh.
VI- Zussrnlncngesetzte Elasticität und Festigkeit. 209
E
‘5 J cos (l . EJ
5
P: cosa
_1»-_.__
l y arg
‚d
2 “f + J ‚i
ä Für einen Balken von
l w ‘rechteckigem Querschnitt bh
E ist:
g b h: 1*
‘‚ ‚o
w l P=k bl sma+hcosu
1:
s:
5
‘9 k
Ei P=cosa ly sina
‘M ‚5‘.
E’. |ä ___.
F + 7.’.J __ Äl
‚M
. äh ‘ ii
; i
VI)“ Man berechne P näherungsweise nach Gleichung 1., setze den
gefundenen Werth in V P‘
EJ
ein und bestimme dann P definitiv nach Gleichung II.
") Ist l überwiegend, so kann man h cos u im Nenner vernach
lässigen, zumal wenn der Winkel m nicht sehr klein ist. 14
210 Dritter Abschnitt. —— Elasticität und Festigkeit.
h= „k
—— = 0,56
V7 ‚ 4‘2 V?k
._
5 P7" P7‘2
8= —
6 7! E ha = 0 ’ 26 53E
— h3 .
2. Die kreisförmige Platte sei an ihrem Umfang fest ein
geklemmt:
Dann ist;
12:37" h’k=4‚71h"k
VIII. Federn. 211
VIII. Federn. *)
A. Allgemeine Bemerkungen.
Alle Federn gleicher Constrnction oder Systems haben, wenn
sie bei gleichem Material und Belastung dieselbe Aenderung er
fahren, auch gleiches Gewicht. i
Die zur Berechnung der Federn nöthigen Festigkeitscoefli
cienten sind aus folgender Tabelle zu entnehmen, in der bedeutet:
E den Elasticitätsmodul,
la die zulässige Belastung pro Quadr.-Z.,
G =%E den Modul der Schubelasticität,
K die Belastung an der Elasticitätsgrenze,
K
Ei einen Werth für die Biegsamkeit des Materials.
__=_______T*„____B_____T_
Material. E k G g
' x
H Gew. Schmiedeisen . 27400000 1000010900000 0,00075
2. Schmiedeisen, stark
gehämmert . . . . . 27400000 17000 10900000 0,00125
9’ Gew. Stahl, ungeh. . 27400000 17000 10900000 0,00125
4. Derselbe gehärtet und
angelassen . . . . . 27400000 34000 10900000 0,00250
5. Feinster Federstahl,
ungehärtet . . . . . 27400000 44000 10900000 0,00325
pesfl Ders.geh. u. angelass. 27400000 50000 10900000 0,00400
Gufsstahl ungehärtet 27400000 61000 10900000 0,00360
Ders.geh. u. angelass.=342000001 92000113700000 0,00540
Feinst. Gufsstahl geh.
u. angelassen . . . . ‚34200000 102000 13700000 0,00600}
10.Messing gehiimmert 13680000 9000 5470000 0,00140
l1.Eiehenholz . . . . 1640000 1300 656000 0,00167
12.Tannenholz . . 1900000 1700 766000 0,00162
B. Einfache Blattfedern.
Es bedeuten:
P die zuläss. Belastung der Feder,
b, h u. l die aus den Fig. ersichtlichen Dimensionen,
k u. E s. oben,
3 die gröl‘ste zuläss. Durchbiegung.
") Vcrgl. Reuleaux, Theorie der Federn.
14*
212 Dritter Abschnitt. —-— Elasticität und Festigkeit.
1. Rechteckfeder.
k bh“1 4 Pla 2 k 1 1
6 z‘ Ebha Ei 1.
I n
2. Dreieckfeder. l 1
75 .
’ ——-—-" F k am 6 PH k z l
J’*—-. ‘6 l E bha E h ‘5
4 "‘ 1
k bh’ 6Pl3 k Z l
i7 Ebha . E h Y
C. Zusammengesetzte Blattfedern.
Legt man mehrere der oben genannten Blattfedern aufein
ander, so erhält man ein Blattfederwerk. Hanptbedingungen
fiir ein gutes Federwerk sind:
1. dal's es möglichst einen Körper gleicher Widerstandsfähig
keit bilde;
2. dai‘s es bei der Biegung nicht klafl't, d. h. dai's sich die
Blätter nicht von einander entfernen.
Diese Bedingungen erfüllt nur das erste der folgenden Feder
werke beide, die anderen nur die letzte vollständig.
Fig. 155.
a. Das Trapezfederwerk.
in
W q: Wenn man die Dreieck
feder(Fig.1551) in eine gerade
‘.4 Anzahl gleich breiter Streifen
zerschnitten denkt und diese
so zusammenfilgt, dal's sie den
Körper 155 n) bilden, so er
hält man in diesem die Gestalt
eines zweckmäl‘sigen Blattfe
derwerks, das dieselbe Trag
fihigkeit hat als die Dreieck
feder, aus der es entstand.
D.‘ Schraubenfedern.
Es ‘bedeutet :
‚ P die zulässige Belastung:
kund G die entsprechenden Werthe aus Tab. S. 211;
‚ n die‚Anzi_1hl der Windungen;
1'.‚den gröl‘sben Radius der Schraubenfeder bis zur Mitte der
i Drahtes;
d“ die durch P hervorgebrachte Längenändernng;
ä‘ einenWerfh‘ fiir die Biegsamkeit der Feder.
‚r 1 - : ‘ . .
'HIA '"JQPQJ HZ
g
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h3
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Federn.
‘voder i ‚1:52.97?
411ml:
21:11h:
5
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5.
rundem
mit
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recht-
mit
K'eg3.
elschrauben_feder
‘„4"“"W‘ki.C""=1‘.47‚1k -—b4WA _ M/
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5;‘?
‘-°'®
‚s;
216 Dritter Abschnitn — Elastieität und Festigkeit.
E. Spirali'edern.
m. 162. Für eine Spiralfeder nebenstehender Art
gilt zur Berechnung:
wenn 2
Eiserne Brücken.
I. Einfache gerade Brückentrüger.
A. Gufseisen. Man überbrückt kleinere Oefi'nungen bis
zu 25' mit einfachen Trägern, die einen Quersch. gleicher sta
biler Festgk. (s. S. 198 bis 200) haben und entweder doppelt
oder einfach T-‚ oder U-förmig sind.
Fig. 163.
B. Nach Fig. 163 aus Eisenbahnschienen gebil
dete Träger verwendet man bis zu 8’ Spannweite. Sie
werden direct vom Zuge befahren, lagern einfach in
Scbienenstühlen und sind mit äzölligen Nieten alle 6"
vernietet und aufserdem an einzelnen Stellen mit Stahl
keilen verdilbelt.
Im Folgenden bedeutet ;
l die Länge des Trägers, der nur mit seinen Enden auflie
gend vorausgesetzt wird;
h die Höhe, von Mittellinie zu Mittellinie der Streckbalken
gemessen;
d die Länge eines diagonalen Gitterstabes, bis zu den Mittel
linien der Streckbalken gerechnet;
b die Breite eines Trägerfeldes, d. h. die Länge einer Trä
gerstrecke = der Horizontalprojection eines geneigten Git
terstabes;
n die ganze Zahl von Feldern, welche der halbe Träger ent
hält, so dal's l==2nb; .
q die gleichförmig vertheilt vorausgesetzte Belastung incl. Ei
gengewicht pr. lauf. Fufs des Trägers;
b
p dieselbe pro halbes Trägerfeld, also p=
' ---------------—7‚-—‚———1’2
Fig. 165.
1=—-—------——---————-—--—--—-—1 l r
x’+(a:_1)‘ b
PX=SX= n’ — 2 )I'_IT'
ll. Gittertrigcr- 223
h. Vielfache Systeme.
u. m-faches System mit geneigten Streben.
Fig. 167.
d
Die Pressung einer Strebe ist = -h— x der Spannung des
jenigen Ankers, womit sie in einem Knotenpunkt des oberen
Streckbalkens zusammentrifi't; die Pressungen der steileren Zwi
sehenstreben des letzten Feldes sind, wenn ihre Längen mit
d], d, . . . d._|
bezeichnet werden, streng genommen nach dem Ausdruck
=33';; 3:}; 43; 4%; 5%; 5%; 6; 6}; 63; 7%; 7%; Bgxg)
ß. m-faches System mit vertz'calen Streben.
Fig. 168.
1
H,l = (211. — )p.
m
Jede Zwisclienstrebe im xten Felde hat die Pressung
P
H‘, „= 2 (.1: — l) "I;
die Spannung des am oberen Streckbalken damit zusammentref
fenden Ankers ist im Verhältnifs d;h gröl'ser. Hinsichtlich der
steileren Diagonalen im letzten Felde gilt das sub a. Gesagte.
Die Pressung P und Spannung S werden wie sub a. berech
net, nur dal's ihre Zahlenwerthe sich umtauschen.
Für schiefe Belastung sind die Formeln
flfi=wna+eb—no—angeuß=mg
zu gebrauchen.
(Die in der Figur —- n= 4, m= 2 .._ angegebenen Gegen
anker beziehen sich auf den Fall, dal's b<ög%b.)
y. m-fach gekreuztes System.
Fig. 169.
In der ersten Abth. des xten Feldes ist die Pressung des
oberen und Spannung des unteren Streckbalkens:
2--|—(.1r:—l)2 2:c—-1 m—1 b
Px ‚ 1 = Sx, 1 = [11 ‘2 ___ 7,2 ‚h __ + 2 m 7 ]P h
und nimmt bis zur letzten Abth. dieses xten Feldes bei jedem
Knoten um
Pi
‚.‚
i
270 i
4;» ‘V4 F
dlv ‘5' I7?
d
constante Differenz = 4p
Die Pressungen P und Spannungen S nehmen ab nach den
Differenzen
15*
‘228 Vierter Abschnitt. _ Eiserne Brücken
4 ; 8 ; l?
b
zweite Differenz constant = 8])
Bei schiefer Belastung wird höchstens
d
Dx=1)‚‘+1=[na+x(l-—a)]2p'—k—, wo w: 1, 3, 5 .
b
P l=—9*.2 T;
„2 1 b
S2: ”7_ 1)2p—h
und die Pressung der Auflagerstütze: H„=O‚
.‘ ‚tz'i ldr zu: 6 und vollst. Belastung:
Fig. 171.
I6
I1 n2_.1 b
‚29.,7? S z=“—.2p——; H„='Z’np.
2 2 h
B. n=7 und vollst. Belastung:
Fig. 172.
H. Gitteiträger. 229
I
v 2 v constante Differenz = 4p ‚l
a.
Ist n eine gerade Zahl, so ist
„2 b
P2=S‚= —2 .2pT; H„=2np.
Z. B. n=6 und vollst. Belastung:
2. Zusammengesetzte Systeme.
7'. \Ä'.23‚
r’ 27» 22» 21? 27‘e s „'‚.__„,
er» 21/’:
Bei voller Belastung ist 1m xten Felde die
d
Spannung des Ankers: D‚=xp7
d
Pressung der Strebe: D‘ = (x_ 1) p —h.
Die Pressung des oberen Streckbalkens ist im ersten Felde
b
P1="2P"};‘
und nimmt nach der Difl'erenz
b
Px —- PX+1= 2x1) -h—
nach dem Auflager hin ab; aufserdem ist
b
Sx=Px—p_‚;‘; H„=1b19
P%=(„*+;—m’m,—— 1 )p?
b
25A,”l n
gen der Diagonalen und
Streckbalken auch im letz
üfi' m=3 ten Felde nach denselben
Z Gesetzen wie in den vor
‘i 9 Ä hergehenden; die Aufla
“IS gerstütze erfährt aber eine
von oben nach unten zu
nehmende Pressuug und aufserdem eine Biegung durch Hori
zontalkritfte, über deren Ermittelung die beispielsweise fiir n=5‚
m=3 entworfene Figur Aufschlufs giebt.
den; die Gefahr der Biegung der Streckbuiken oder, wenn diese
vermieden wird, die theilweise Wirkungslosigkeit der Verticulen
läi‘st jedoch diese Anordnung hier nicht empfehlenswerth er‘
scheinen.
Ein gekreuztes System wird durch solche Verticalverbindun
gen zwischen allen übereinander liegenden Knotenpunkten in
das cong-ruente gekreuzte System des rechtwinkligen Dreiecks
verwandelt, ist also wie dieses nach I. zu berechnen; die ver
ticale Verbindung von nicht allen übereinander liegenden Kno
tenpunkten liefert ein gemischtes System von unbestimmter
Wirkung.
III. Bleehträger.
Die Blechträger bestehen der Hauptsache nach aus zwei
horizontalen Streckbalken, die durch eine verticale Blechwand
mit einander verbunden sind.
Zur Berechnung der Blechträger dienen dieselben Formeln,
die zur Berechn. von Balken auf relative Festigkeit angegeben
sind (S. 185-196); doch hat man hier, besonders bei gröi'seren
Trägern, die neutrale Faserschicht selbst und die Verbindungs
stellen der Blechwand mit den Streckbalken insofern in Betracht
zu ziehen, als hier ein Bestreben auf Abscheeren des Bleches
vorhanden ist.
Bedeuten:
R die Summe der Belast. vom mittleren Querschn. (S. 219)
bis zum betrachteten Querschn. hin,
H die Entfernung der Angrifl‘spunkte der resnltirenden Span
mmgen in den beiden durch die neutrale Axe erhaltenen
Querschnittstheilen,
J das Trägheitsmoment des Trägerquerschm,
M das Moment des in den Streckbalken vorhand. Kräftepaars‚
234 Vierter Abschnitt. — Eiserne Brücken.
7. 2b(a+d)(e__—:—)’=J
einen ohngefahr ebenso grol‘sen lVerth fiir J liefert als Gl. 5.‚
Hierauf berechnet man R nach G1. 4 fiir den betrachteten
Querschn. Setzt man jetzt die Werthe von M’, J, R, b,f, u. d
in die Formel 2 ein, so findet man daraus einen Werth für a.
(Für k ist hier die überhaupt zuläss. Spannung zu setzen.) Jc
nachdem das Verhältnifs a: d von dem angenommenen verschie
den ist, corrig'ire man a und d so lange, bis die Gl. 7 einen
solchen Werth von J giebt, der die Formel 2 erfillt.
Auf diese Weise berechne man eine zur Ausführung des Trä
gers genügende Anzahl Querschnitte.
Es ist zu bemerken, dafs die Maxima von M und R nicht
unter denselben Bedingungen stattfinden, doch ist es ausreichend,
den Träger nur für das Max. von 11! und das zugehörige R,
also den Fall zu berechnen, wenn die mobile Last über den
ganzen Träger reicht.
Mit Rücksicht auf die Verschwächung durch Niete hat man
särnmtliche Dimensionen noch angemessen zu vergröfsern. Die
Dicke der Mittelwand macht man etwa ämal so stark, als die
Rechnung ergiebt.
In Bezug auf die Vernietungeu") sind folgende Regeln zu
beobachten:
Fig- 181- Die Summe der Querschnitte der
zu jeder Seite des Stofses angebrach
ten Niete mufs ebenso grol‘s sein,
als der Querschnitt des durch die
erste Nietreihe verschwächten Ble
ches. In die äufserste Nietreihe hat
man die wenigsten oder schwächsten
Niete zu setzen, in die inneren die
stärksten (s. Fig. 181).
Wo es irgend geht, hat man
isemmeril‘g‘l...
Locomotive ‚ 0400 7100 5s00|4200 3700 3550 H
IV. Hängebrücke!»
A. Man berechnet die Dimens. der tragenden Theile von
Hängebrücken unter der Voraussetzung, dafs die zufällige Maxi
lV. Büngebrücken. .237
_ „(
y”'ßl ß )
ß=g (s.H unten).
In der folgenden Tabelle bezeichnet:
a’ den Winkel, den die Tangente im Punkte xy der Ketteu—
linie mit der Horizontalen bildet. Dieser Winkel steigt
selten über 20°.
a,__ a: __ y __ y ___ s _ l s _
ß ß x “1? y _‘
' ’ I
lGrad 0,0002 0,0175 114,5108 0,0175 1,0000
U‘PFWN’
owooqm „ 0,0006 0,0349 57,2020 0,0848 1,0001
„ 0,0014 0,0524 38,1695 0,0524 1,0008
„ 0,0024 0,0699 28,8180 0,0699 1,0007
„ 0,0088 0,0874 22,8729 0,0875 1,0012
„ 0,0055 0,1049 19,0458 0,1051 1,0018
„ 0,0075 0,1225 16,8107 0,1228 1,0025
„ 0,0098 0,1401 14,2527 0,1406 1,0088
„ 0,0125 0,1577 12,6529 0,1584 1,0042
H „ 0,0154 0,1754 11,8706 0,1768 1,0052
1 11 „ 0,0187 0,1982 10,8207 0,1044 1,0068
12 „ 0,0228 0,2110 9,4488 0,2128 1,0075
13 „ 0,0268 0,2289 8,7006 , 0,2309 1,0088
14 „ 0,0306 0,2468 8,0628 0,2498 1,0102
15 „ 0,0358 0,2649 7,5079 0,2680 1,0117
lV, Hängebrücke“. 239
‚ 'w '1/ 2/ l
“====i
ß lß |w
Nennt man:
2
L die halbe Länge der Kette = Z (1 +
q den Kettenquersehnitt,
7 das Gewicht der Cubikeinheit des Materials (1 Cub.-Z0ll
Eisen = 0,274 Pfund),
p die durchschn. Schwere der Bahn, incl. der Tragstangen,
pro Längeneinheit der Bahn,
H die horizontale Componente der Kettenspannung, welche
eonstant in jedem Punkte der Kette gleich der Spannung
im Scheitel ist,
so ist die gröl'ste Spannung der Ketten (in A):
l L
s_ 1’ ‚41,1? =kq‚
sma
daraus. _‚„_ZL__
q— L Bin a, _ L -
Auf Grund dieser Annahme und der obigen Formeln ist die
folgende Tabelle berechnet, worin
g, den Querschn. der Drahtseile,
q „ „ „ Ketten
in Quadr.-Z. für jeden Fufs der Bahnbreite bedeutet (so dal's
für eine Bahn von b Ful‘s Breite der Querschnitt der Kette bq,
Quadr.-Z. ist) und 2 L die ganze Kettenlänge in F. ist.
_ Für die genaue Berechnung der Länge der Ketten und der
Hängestangen bedient man sich Navier’s Gleichung, die eine
parabolisch gekrümmte Fahrbahn voraussetzt. Ist
P das Gew. der Längeneinheit 1151 Bahn incl. der zwischen
Y B und Y‚N (s. Fig. 184) liegenden conßtanten Stücke der
HüngesL-angcn,
a das Gew. der Längeneinheit der Kette, welches sich nach
der vorigen Tab. aus q ergiebt, '
a der mittlere Abstand der Hängestangen von einander,
y das Gew. des Tragstangeneisens pro Längene‘mheit,
16
242 Vierter Abschnitt. — Eiserne Brücken.
l
T = {7 —_(f+f‚)‚ (= der Summe der veränderl. Gew. der
a
Tragstangcn zwischen C und B),
2 a
"= W111
I’ l2 ._ ;f1‘[(1’+v)y’+(1+——;f:
._
( +0) + 2 + 3
so hat man die genaue Länge der
Ilängeslangen:
h=x+BN+x‚=x-}-BN+% yz.
vNennt man endlich L die genaue
L=l[l+‚}‘% (1+1ä5;'_(%_3g;
Wegen der bleibenden Ausdehnung der Ketten mufs man
denselben ursprünglich eine geringere Länge geben, entsprechend
folgender Angabe. Ist nämlich:
‚l, die bleibende Ausdehnung eines Kettenstücks L2,
p die gleichförmig vertheilte Eigenlast und Probelast pro Län
geneinheit,
E = 30000000 der Elasticitlitsmodul für Schmiedeisen,
q der Kettenquerschnitt, so hat man:
___ L3]; l’
” ‘- 6fqE '
C. Spannketten: Die Spannketten, welche die Verlängerun
gen der Tragketten über die Stützpfeiler hinweg nach den Ufer
pfeilern sind, müssen, mögen sie die Bahn mit tragen oder nicht,
so angeordnet werden, dnfs filr eine gleichförmige Belastg. der
Bahn der Horizontalzug der Spannketten (H‚=S‚c0sa‚) gleich
IV. Bi'mgebriicken. 243
v ‚
die Spannung 17„ 1 und f die Werthe, die dem Scheitel der
Parabel der Spannketten entsprechen und durch die Gleichung
der Spankettencurvcn zu finden.
16*
244 Vierter Abschnitt. -— Eiserne Brücken.
G>11‚ (1 +432)
sein, worin bei belasteten Spannketten:
‘6r—ts«‚—-
r —— H’ 1.
g’.
Hierin ist p der Coefi‘. der Reibung der Kette auf dem Stein,
durchschnittlich = 0,28; e = 2,71828;
‚9' der Centriwinkel des von der Kette berührten Segmentes.
Fünfter Abschnitt.
Einfache Maschinentheile.
l. Passive Maschinenthello.
A. Befestigung derselben.
u. Leimen. Wirkt eine Kraft normal zur geleimten Fläche
und ohne Stofs, so ist nach Versuchen von Karmarsch die ab
solute Festigkeit der Fuge pro Quadr.-Z. in Pfunden, wenn ge
leimt ist:
Hirnholz an Aderhol; an
Hirnholz Aderholz
12„
(A5_
lO
nt85
ifricti.o.n-__M.etal ) 14
25
75
„.-—_.,_ 15„
80-._—
2
18
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73,3„_.
13,3
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5 2oc_k‘e—_n—.’g0ult
3:11:11
MBLegirung
der
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Zink
Zinn
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und
2,75
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1,5—
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22,2
44,4
eopicfoehmtn—ofl-ti.L_-a—vsgeinrg,
M1
Blech
Draht
und
dessing,
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R.
77.0
90 116 124 128 135 137 144 149 151 155 183 207
Zapfenlager
auch
Lsehr
bocrmaotuivc-Kholb.eanringe, Smit
Gewinde
grobem
chraubenmut ern
Ringe
Excevonntriks. schmelzb‚ar
bei
n 3313317113
VKolben,
Peunmtipleknastienfel,
Lfllr
eangkersftuatngenr :31::::41:1:
Druckwal„z.en
Legirungen
Metall-
schmelzbare
7’
Y! Leicht
7n’
17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33. 34 35 36
250 Fünfter Abschnitt. —- Die einfachen Mßschinentheile.
‚ _
„ (1:530 „ t=1,00 8
„ a=55° „ t=0,96 s
„ a=60° „ z=0‚s7 s.
Bei den Schrauben der Whitworth’schen Scaln ist a=55".
D = 1,4dl + 0,25"
h = i; oder bei Muttern, die häufig gelöst werden, h = g d.
h =——.
252 Fünfter Abschnitt. —- Die einfachen Mnschinentheile.
r d d1 d2 n ‘" '
n1 ‚1 d‚ d2 =‘
‚1 ‚i ‚11
I T5,
4 0,243
0,303 0,15
0,20 5 [20
53 18 2,‘,
2,‘, 2,183
2,425 1,75
2,00 109 ‘44
g 0,364 0,25 6 16 23 2,608 2,18 9: 3,‘,
T", 0,424 0,29 6% 14 3 2,910 2,42 10, 3,1
‚g 0,485 0,33 6 12 3} 3,153 2,63 10,8, 31.
ä 0,606 0,44 6% 11 3% 3,395 2,88 112 3;;
ä 0,728 0,55 7% 10 3% 3,638 3,08 11% 3
4 0,840 0,65 7;- 9 4 3,880 3,33 12 3
1 0,971 0,75 8 8 4,‘, 4,012 3,55 12,1, 2,1,
1,;- 1‚091 0,84 71 7 4,‘, 4,365 3,80 124% 2,’,
.‚ 1% 1,213 0,96 8% 7 4:} 4,617‘ 4,03 13T’? 2%
) 12 1,334 1,04 8; 6 5 4,855 4,27 13g 24
‚3 w
lä- 11698 3; 2. 2 3
1
1,35 '
8% 5 Q2
5% 1
5,589 4:95 '‘14%
‘2 142 23,
Q:
d P P, ——————“
0,5P 0,2P ! 0,16P
I _ __ A. ‚ _ ‚ ‚__ .._.1.‚_ 1„ 4,
‘ 4 69,4 192,9 34,7 14,0 11,1
‘5a 108,5 301,4 54,3 21,7 17,4
I % 156,2 434,0 78,1 31,2 25,0
T7: 212,7 590,7 106,4 42,5 34,0
g, 277,8 771,5 138,9 55,6 44,4
4 434,0 1205,5 217,0 l 86,8 69,4
g 625,0 ' 1735,9 | 312,5 f 125,0 100,0
g. l 850,6 F 2362,7 1 425,3 ; 170,1 1 136,0
254 Fünfter Abschnitt. — Die einfachen Maschinentheile.
d P P’ _—‚________.___-_————
_‚ 18 151435115734 1:4
S W 1 1 1 1 1 1 1 2 2
4 0 L2 1T 1.2 lila. an.
2334455677
.lß 1274811548 35.!‚217
l 2 2 2 3 3 4 4 5 6
‚lllllllrll
1103141818 1.810111135
l. 1 1 1 1 l
Passive Maschinenthoile.
351.415 7.433.450. 1T
3 4 5 6 6 7 8 0 1 3
1 1. 1
3KITRÄXÄ3ÄIÄ3I1T3€II
12290344567
Fig. 193.
ITSWBIJTlH-Lä lslß
l l 1 l
Anzahl
‘)
256 Fünfter Abschnitt. — Die einfachen Masehinentheile.
Fig. 194.
Für (a—'r)_kann ä" als Min. und ä" als Max. gerechnet
werden.
M M M H
ä: u 2H 3 Q2 3N „K H EH 2:. m2 3H _
2 Q: ä „w m NH“
EH m2 2 2a 2N 3 2: SH. 2H. 3H. 2 2H ä . m m HH
2: 3H 3 m8 2H 3 3? i: H: EH 2 H; H:
17
m m H: H
Hi 3H 3 S 2: E £7 ä: 31m2» wHL_ ä ä „w N, m "
m2 m: 3 Hi 2:. 2. 3H ‚t: äf 2: w 2 S ä w . m w
Passive Muschinentheile.
Fig. 19.’).
2a=1,17d+-1‘"==circa 1,25d
a_.r=0‚074d+0,1"=circa 0,1d
b=1,5r; c=1,85r; c‚=1,75r.
3:2,51‘; e,=2,357'.
f= 3,257‘; f.=3,17‘.
g=4‚2'r; g‚=4,01'.
h=2,257-; i=0‚927'.
k=2,75r; 1:21,87‘.
m=0,9r; n=2,1r.
a=1‚21d+%”=circa 1,341.
q=4,25r; s=0,65r.
I. Passive Mnschinentheile. 259
t=6‚171‘; t‚=6‚0r.
u=0‚7r; v=5‚37'r; v‚=5,l'r.
8:0‚661‘; 3'=0‚5r.
Die mit Marken versehenen Buchstaben gelten für Lager
über 5%" Zapfendurchmesser.
Fig. 196.
2a=1‚17d+{"=circa 1,25d.
a—'r=0‚074d+0‚1"=circa 0,1211.
b=circa 0,51‘; 0:1,881'.
e=2,3'r; f=3,31'.
g=4,5'r; l=5,45r.
m=0‚57r; h=2,751'.
i=0,6'r; k=O,6’l”.
b=äd li
a=%(l k=6d
C=läd I k'=1w4d
T =ßd i ö=äd
n f=‚}d E 1:;4
l ' 9=4d ' m=|d
'="i'd? v=gd
„=;„
P={‚d
schmiedeeiserner Zapfen
lfache S1 cherh. *)‘ 4fache Sicherh. öfache Sicherh. ‘ Sfach eSi chr h J
N
PR‘ ß
PR PR
I .N
u
PR
.N
‘u
PR I Ä PR Ä PR Ä PR Ä
u u u u
a
l=}d|/u, und zwar ist
bis zu 64 Umdrehungen pro Min. . l=%d
von 64 bis 125 Umdrhg. pro Min. l=gd
„ 125 „ 216 „ „ „ l=2d
„ 216 „ 343 „ „ .‚ 1:17,01
„ 343 „ 512 „ „ „ l=gd
über 512 „ „ „ l=3d.
Wenn P die zulässige Belastung des Zapfens in Pfunden
bezeichnet, so ist:
für schmiedeeiseme Zapfen fiir gufseiseme Zapfen
s 3...
d=0‚0184VPl/u a=0,0220l/PV„
d’ de
P=2946’3— P==2064 3
V7 V7
Für u= 64 ergiebt sich
für schmiedeeiserne Zapfen: d= 0,037fi
„ gufseiseme „ d=0,044l/?’_.
Auf Grund dieser Formeln ist die nachstehende Tabelle be
rechnet. (Seite 264.)
5. Für hohle gufseise‘me Zapfen, welche auf Abbrechen in
Anspruch genommen werden, ‚gelten die Formeln:
1-_a‘
P==687,5 D‘Z
D=0,04 V
1—a
‚V?
Hierin bezeichnet:
P die mit Sicherheit zulässige Belastung in Pfunden,
D den iiufsern Zapfendurchmesser
d‘den innern Zapfendurchmesser 2 in Zollen,
l die Länge des Zapfens
d l
“=n'ß—n
Die Coefficienten von D2 und für verschiedene Wer
the von a und ‚8 siehe Seite 265.
796‘ “11'193 'urmmqv -- 91a uaqmquge '91g3q‘1nangq5ssn
‘UDurch-
64
bis
125
2,16
mdrehungen 118413,
6
12900
1
1}
344
516
736
413_
4589
5
21';
91% 72
2%}
9.}
2;-
1.}
3},
2255
25284
1580
1804
1054
36089
1264
1504 12 ; 2}
33024
35';
47136
2064
2946
2357-
1652
1376
4
8964
0;- 4%
2091
2983’
3%
41796
59657
39
2612
1742
12485
37282 13%
31}
2},-
4%
3225
4603
51600
_73660
2150
8068
5
2581
3682
10 53
616
4
4644
12
3096
106056
5
43717
6
74304
303
629
419
P
Belstg.
u.
iZadigns
P
Zadäns
11.
i1:6.nnLänge
H,Länge
Lange
Länge.pz
‚p suc6lh,'mz’eisen
l=äd
l=‚}d
l=2d
'Gul's
G6015-‘,
Gufs-
SSchm- s.-meisen
°eeisen
isen
1
ABdas
über
und
Sdie
bewelchen
mit
sie
ilcrgegen
ahesctrhuenigten,
gTabelle
Zapfen
6.
Duchfrmsicehdeimesesrnerer
die
süber
und
m_ e-‘_s ser. ‚
015 3%
34';
4%
5%
7218
9022
5059
6321
67
4214 17256
5
6}
71}
5808
8286
4838
6905
0357
können.
widerstehen
54
11784
6;
8256
9427
6608
7856
8
5504
1}
g
43';
3}
5151-
5450
6.}
7779
5186
4362
6223,
3664
' V
2 21}
1;-
7%
‘921
2T'7
2,‘,
5.}
7645
806
1151
538
767
9‘15609 4T"?
3%
2%
5.‘;
5570
3123
2602
14}
3902
4456
3713
11
62436
89116
5:
r—>1—-—
1ä
10449
1,‘,
6
4}
331
194
276
1},
4232
1290
491414
L}
18
2
1326
2};
21161
18576
929
774
3
66514
657
105 ‚
H. Active Masehinemheile. 265
687,5 v‘i
1.. ‘ = m und 0,04 l/fiß—=q.
i|b——vv
a: ik
ß0
?_—H\ f 7:"?
0,2 _:»V
1-«1‘
1 0,5ii_ir_rg_ls—v_
| 0,4 \ 0,5 l 0,
' 1 1 „>70 _ _
I‚ _,
i ‘ |
m=5 515,81 514,9‘ 511,5 502,4
483,4 448,8,
ß"? q=‘ 0,040 0,046 0,046 0,047 0,048 0,050‘
_5 1n=; 412,5 411,8 409,2 401,0 386,7 359,0
5"‘! q=i 0,052 0,052 0,052 0,052 0,053 0,055
f _2 'm=l343,75 343,2 341,0‘a34,95 322,3 299,2 l
‘ß- :q=‘ 0,057! 0,057 0,057 0,057 0,058 0,051 ’
l
Anm. Der Werth a=0 entspricht dem vollen Zapfen.
Aus der Tabelle und der Formel für D ersieht man, dafs hohle
Zapfen bei gleicher Sicherheit, selbst wenn a bis 0,5 steigt,
nur wenig dicker zu sein brauchen, als volle Zapfen.
8. Auf Zerdrücken sind zn berechnen:
Die Spurzapfen stehender oder sehrägliegender Wellen und
die Zapfen horizontaler Wellen, welche einen Längendrnek
erfahren.
Der Durchm. der Stirnfläehe eines Spurzapfens betrage, wenn
eine der reibenden Flächen aus Bronze oder dergl. besteht, ä’,
wenn beide ans Stahl sind, 1} von dem Durchm., welchen ein
schr‘niedeeiserner Zapfen bekommen würde, der durch dieselbe
Belastung auf Bruch. in Anspruch genommen wird. _ Hiernach
hat man ‚ wenn
P den Gesammtdruck für die reibenden Flächen in Pfd.,
d den Zapfendnrchmesser in Zollen bezeichnet:
c. liuppolungon.
In den folgenden Formeln bezeichnet d den Durchmesser
der gekuppelten Wellen.
Fig. 199.
- 1. Kuppelung durch Ueberblatten,
lll
7!‘ a. mit quadratischen Köpfen,
z b = 1,5 d,
Q.“ ä l
.V
Länge des Kopfes l= 1‚25d—|— 2",
Durchmesser der Schrauben = %d.
3 7
e dem]
Aeufsere Durchmesser der Scheibe:
B. Räder.
a. Allgemeine Sitze.
In der fortlaufenden Gleichung:
R s
wg‘ = ‚57:? = 1;, = dem Umsetzumgsverhältmj‘s.
sind die drei Sätze erhalten;
l) die Winkelgeschwindigkeiten (w und m‚) zweier Räder
verhalten sich umgekehrt wie ihre Theilril‘shalbmesser
(R und R’);
2) die Anzahl der Umdrehungen (u und u‚) in gleichen
Zeiten ist den Theilrii‘shalbmessem umgek. proportional;
3) die Anzahl der Umdrehungen zweier Räder ist ihren
Winkelgeschw. direct proportional.
Bei einem m-fachen Vorgelege hat man fiir das Umsetzunge
verhältnifs der beiden äufsersten ‘Venen:
u, RR R2 . . . .
oder, wenn dasselbe aus lauter Zahnräderpaaren zusammenge
setzt ist:
_ u __zz‚z, ......z„
""— u, —zzlz‚....z_‘
Hierin bezeichnet:
u die Umdrehungszahl der ersten treibenden Welle,
u, „ „ „ ‚ letzten getriebenen Welle,
1‘, 1}, 'r, . . . die Halbmesser der getriebenen Räder,
z‚ 2', z, . . . die Zahl der Zähne der getriebenen Räder,
R, R‘, R2 . . . die Halbmesser der treibenden Räder und
Z Z, Z2 . . . die Zahl der Zähne der treibenden Räder.
b. l‘rlctionsräder.
Bezeichnet
R den Halbmesser des Frictionsrades in Zollen,
P den Druck in Pfunden, mit welchem dasselbe gegen das
treibende Rad geprefst wird,
c. Blemschelbeu, Sehnurscheiben.
1. Es bezeichne:
m8 2m 4 die getriebene Riemscheibe,
' ' Tv die Spannung im ziehenden Riemende in
t die Spannung im gezogenen Riemende Pfd.,
die mittlere Spannung, welche vor Beginn der
Bewegung im Riemen stattfindet, in Pfd.,
‚Luke‘,
‚L den Reibungscoeflicienten,
0 a das Verhültnifs: —ULqpEl-13Fir _BOg'en-"—--,
Ganze Peripherie von A
R den Halbmcssor von A in Fufsen,
N die Zahl der durch A zu übertragenden Pferdestärken,
u die Umdrehungszahl von A pro Min. und ‘
4582 N .
P = ?— ‚"- den zu übertragenden Druck lIl Pfunden, wel
u
1,1
Y) ‘ =r:1'
ö) T, = T‚7;7t=0,55fll1.1
1’__
270 Fünfter Abschnitt. —- Die einfachen Maschinentheile.
1,1 ‘r
53360 = T: —-—- P.
17-1
Für die gewöhnliche Riemenstärke 3:116" ist (unter Bei
behaltung der obigen Bezeichnungen) die erforderliche Breite:
3) 5 = 0,0182 l. P oder
'r—1
84N 7:
i g) b = —
Ru —.
'r—1
ve+ VW
Für nahe liegende Stufenscheiben mufs eine Correction statt
finden.
Will man jetzt noch Vorgelege zum Ein- und Ausrücken
anwenden und somit 21) Abstufungen in den Geschwindigkeiten
erreichen, so ist das Umsctzungsverhältnifs des Vorgeleges eP.
Nach dem Einrücken desselben sind dann die Geschwindig
keiten: e", eP'H, . . . . e2P—‘.
ll. Aotive Maschineutheile. 273
d. Bremsvorrlehtungen.
R
Macht man r,=%, R‘: F, so werden die Hypocycloiden
gerade Linien, also die Wurzeln der Zusammenarbeit. Zähne radial.
163.212. ß_ Innere cycl.
- Verzahnung: cab
Zahnform des Rades
R, ead Zahnform
von 1'. ab hypoey
eloidischer Bogen
durch Abwälzung
v‘on r, in R, ad hy
pocycloidiseher Bo
gen durch Abwäl
zung von r, in 'r er
zeugt, ac epieyeloi
discher Bogen durch
Wälzung von R, auf
R, eu epieycloider
Bogen durch ‘Väl
zung von R, auf 1'.
Angenäherte
Cycloiden- Ver
zahnung durch
Kreisbögen:
Es bezeichne:
1' und R die
Theilrifsra
dien zweier
zusammen
arbeitender
Räder,
1/; das Umsez
zungs - Ver
hältnii's,
t dieTheilung‚
v2 Abrundungs
halbmesser
für die Zahn
0 curven vom‘,
‚
l
_
R .
„52-7 0.75 0,77 0,79 0,80t0,83 0,90; 0,92 1
A R-i-r
füra b=————»4
R+2r't
/'\
ac=
R__1z‚t
12—2R‚
ll. Active Maschinentheile. 277
2. Evolventen - Verzahnung. ‚
Fig.215. R der Theilkreis
einesRades. TKopf-,
\_ T‚Fufsendenkreis der
/ _ Zähne. bc Gerade
_ /' V h: durch d.Berilhrnngs
\_ punkt a der Theil
\\ kreise der beiden zu
“ sammen arbeitenden
Räder gelegt o g=G
-l- bc. daf Evolv.
durch Abwickl. vom
Grundkreis G erzeugt.
fa gerade und radial.
Der vortheilh. ‘Verth
fiir den Winkel a ist
0 75°.
Die innere Verzahnung ist auf dieselbe Weise auszuführen,
nur kommt bei dem innen verzahnten Rade gerade die entge
gengesetzte Seite der Zahuflanke zum Angriff.
Fig. 216. Angenäherte Evol
venten- Verzahnung
mitt'elst Kreisbö
gen *).
TKOpf-‚ T‚Fui's‘
endenkreis der Zähne
des zu verzahnenden
Rades und zugleich
Grundkreis fiir den zu
substituirendenEvol
ventenbogen. ab Tan
gente
bc= aqb.
von ad
a an
Kreis
8 = ‚41g. t ; 1= t.
=‘lriti h4=‘l'51't; h: —'zrt'
— 'l
s=ßfdvzfi
TV?
7.
Wenn die Welle von Schmiedeeisen und die Zähne von Gufs
eisen sind, so ist: Q‘ 7
:=0,55d —— bis 0,7 —.
1‘ 'l‘
Anm. Um die der gegebenen Theilung") entsprechende An
zahl der Zähne zu finden, mufs man diese in den gegebenen Rad
halbmesser r dividireu und den gefundenen Quotienten in der
Tab. (8.280 u. 281) aufsuchen. Geht man von der gefundenen
Stelle links hinüber und vertieal aufwärts, so findet man die Zehner
und Einer der gesuchten Zahl der Zähne. Um abgerundete ganze
Werthe für n zu erhalten, hat man r noch etwas zu corrigiren.
°) Eine Tabelle über die Theilril‘shalbmesser, berechnet für Räder von
der Theilung 1 nach Formel y, ist in der Kreisumfnngstabellc enthalten.
280 Fünfter Abschnitt. — Die einfachen Maschinentheile.
0 l 1 l 2 l 3 | 4
L__ L; l „____
10 1,618 1,774 1,032 2,089 2,247
20 3,196 3,355 3,513 3,672 3,830
30 4,783 4,942 5,101 5,260 5,419
40 6,373 6,532 6,691 6,850 7,009
50_v 7,963 8,122 8,281 8,440 8,599
' 60 9,553 9,712 9,872 10,031 10,190
1 70 11,144 11,303 11,463 11,622 11,781
V 80 12,735 12,895 13,054 13,213 13,371
i 90 14,327 14,486 14,645 14,804 14,963
, 100 15,918 16,077 16,236 16,395 16,554
110 17,509 17,668 17,827 17,987 18,146
120 19,101 19,260 19,419 19,578 19,737‘
’ 130 20,692 20,851 21,010 21,169 21,328
140 ‘12,283 22,442 22,602 22,761 22,920
150 23,875 24,034 24,193 24,352 24,511
160 25,466 25,625 25,784 25,944 26,103
170 27,058 27,217 27,376 27,535 27,694
' 180 28,649 28,808 28,967 29,126 29,286
‚ 190 30,241 30,400 30,559 30,718 30,877
1 200 31,832 31,991 32,150 32,310 32,469
, 210 33,424 33,583 33,742 33,901 34,060
i 220 35,015 35,174 35,333 35,492 35,652
230 36,607 36,766 36,025 37,084 37,243
240 38,198 38,357 38,516 38,675 38,835
' 250 39,790 39,949 40,108 40,267 40,426
260 41,381 41,540 1 41,699 41,858 42,018
270 42,973 43,132 1 43,291 43,450 43,609
280 44,564 44,723 ‘ 44,882 45,042 44,201
290 46,156 46,315 i 46,474 46,633 46,792
5 6 . 7 8 9
i ‚#_____
g. Konische Bäder.
[Bezeichnet in Fig. 219;
L BAC=a+a, den Winkel, welchen die Axen zweier ko
nischen Räder mit einander bilden,
II. Active Maschinentheile. 283
Construction Material
em
w: 3
eä
'u z äz
ä m2
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ig
-‘‚i ' "a ‘ d zE d
d" Eäs 2%‘ sie ‚g’z- am.
N b der der 2a E3 2.5 ‚Jg 5 ä;
a e Welle Nahe Qz Q3 ä 3°
m J n
‘ T
Schrn.- Sohn.
eisen eisen 6d %d Hiwi lärd %d
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ausgebohrt eisen eisen
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lsd 1
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Sehm.- Schur.
eisen eisen
d ä d 2d 1.}d ä d
Mit Gufs- Gul's
Z . h \ ßißen eisen
WlSC en
rflärgnäild Schrn.-
einen Gufs
eisen d g d 2% d 1% d 1} d
am Eises“
uI - d 4%‘: 1%‚1 ‚12%.; .541 i
Anm. Die Länge der Nahe ist bei Zahnrädern noch von
der Breite der Zähne, bei Riemscheiben von der Breite des
Kreuzes etc. abhängig. Das oben angegebene Verhältnii's ist
als das kleinste zu betrachten.
2. Bei Naben i‘ür hohle gufseise'rne Wellen bestimme man
die Dimensionen nach vorstehender Tabelle mit Bezug auf den
äufseren Wellendurchm. und flige überall den Factor
1 ‘"' ("‘)‘
d
hinzu, wo
d den äul'seren Wellendnrchmesser,
d, den inneren Durchmesser bezeichnet.
3. Den scheibenförmigen Rand eines Wellenkmnzes macht
man gewöhnlich = .1.
bei sehr langen Armen = l der Armlänge.
bei sehr kurzen Armen = ä 2
ll. Active Maschinentheile. 285
l. Zalmrelhung.
Bezeichnet :
r, den Radius des treibenden Rades,
r, den des getriebenen,
t den Eingrifl‘sbogen,
P den im Theilkreise stattfindenden Druck,
R die auf denselben reducirte Zahnreibung,
[z den Reibungscoei‘ficienten (bei gufseisernen Rädern = 0,16),
dann ist bei äui‘serem Eingriff
R= l- + i ‘Lt . P
7
1‘ , 1‘2 2
und gilt die Formel sowohl für den Eingriff vor als hinter, als
auch vor und hinter der Centrale bei gleichen Bögen t vom
Berührungspunkt der Theilkreise aus gerechnet.
Gewöhnlich ist t gleich der Theilung, dann ist:
1 1
R: . ) vt ÄuP,
n, 172
worin n, und n, die Zähnezahlen der beiden Räder bedeuten.
Bei innerm Eingriff ist 7', resp. n, negativ zu nehmen.
Für conische Bäder wendet man am besten die nämlichen
Formeln an.
von Stahl unter denselben Verhältnissen T‘U resp. T33- des Wel
lendurchmessers.
Ein Keil, welcher nicht in Nuthen eingreift, mufs unter
denselben Verhältnissen 1.‘2 mal so breit sein als eine Feder
oder ein Keil, welcher in Nuthen eingreift.
Die Höhe des Keile, radial zur Nabe, macht man 1'! seiner
Breite.
286 Fünfler Abschnitt. -— Die einfachen Maschinentheile.
l. Ball - Arme.
Es bezeichne:
h die Höhe der Arme, d. i. die Dimension in der Richtung
des Drucks,
c die Dicke der Arme,
r die Länge der Arme, vom Mittelpunkt der Welle aus ge
messen,
d den Wellendurchmesser,
D den ünfsern Nabendurchmesser,
n] die Anzahl der Arme,
n die Anzahl der Zähne,
s die Stärke der Zähne.
Alle Dimensionen sind in Zellen zu nehmen. Dann ist:
a. wenn man den Arm als Balken betrachtet, der an dem
einen Ende befestigt ist und an dem andern die Last
trägt, nach ‘Viebe:
3
. d d
für eiserne Wellen: h = a 3 1 -— T
V75 a
. d 2d
fiir hölzerne Wellen: h = a 3 1 — E‘ -
V7»:
Hülfstabelle für die Werthe von a.
h =‚1' s V n und
c’ die Dicke der Arme wird const. gelassen. Man verjüngt den
Arm nach dem Kranz hin auf ä seiner Höhe an der Nahe. Die
Verstärkungsrippen, äc stark, werden nicht mit in die Rech
nung gezogen.
3. Die Anzahl der Arme betrage
fürn;32...30der4‚
„fl=32bis64...40der5und
n „ n=64bis128...6;
— sei wo möglich eine ganze Zahl, besonders bei Rädern mit
11
Hblzzähnen, oder solchen, die aus einzelnen Stücken zusammen
gesetzt werden.
ß. Betrachtet man den Arm als Balken, der an beiden
Enden eingeklemmt ist und in dessen Mitte die doppelte
Last= 2 .P wirkt, dann ist, wenn allgemein h=sc ge
nommen wird und P den Druck im Theilkreis in Pfun
den bedeutet, nach Grashof:
3
„ „‚=6 h=0,087VPr.
In. Elllptische Räder.
Fig. ‘221.
Es bezeichne in Fig. 221 ;
A den Drehpunkt des treiben
den Rades,
Alden Drehpunkt des getrie
benen Rades,
a die halbe grofse Axe der
beiden Ellipsen,
b die halbe kleine Axe der
beiden Ellipsen,
A, B, AI, B‚ die Brennpunkte
derselben,
a1 die const. Winkelgeschm
des treibenden Rades A,
w, die gröl‘ste Winkelgeschw. des getriebenen Rades A„
w, die kleinste Winkelgeschw. des getriebenen Rades A 1 .
288 Fünfter Abschnitt. — Die einfachen Maschinentheile.
im Punkte C: _ AC r} m2
und
fl-—-’i—‘L'I_-V
W2—"‚2—m2_
2. Wenn die Entfernung der beiden Wellen AA‚=2a und
das Verhältnifs V gegeben ist, so findet man b und somit die
Form der elliptischen Räder durch die Gleichung:
4
Bezeichnet:
P die an der Schraube wirkende Kraft,
u, den Hebelsarm derselben,
Q die am Rade wirkende Kraft,
b den Hebelsarm derselben,
'r den mittleren Halbmesser der Schraube,
1" den Theilrii‘shalblnesser des Rades,
‚u den Reibungscoefficienten,
n die Ziihnezahl des Rades,
so ist, wenn die Bewegung von der Schnecke ausgeht:
1) bei einfachem Gewinde:
flT-[LTI 7" (1
m1‘‚+‚un1' 0' b
II. Aetive Maschinentheile. 289
o. Sporn-älter.
Unter Beibehaltung der bei den
Zähnen der Stirnriider eingeführten
Bezeichnung (S. 278) drücken sich
die Verhältnisse aus durch:
s = (2 bis 3) h
b = (2%- bis 31;) k
P
h = l/ T2‘:- “k
fiir Gufseisen . . . k=0‚0O6VP
fiir Schmiedeeisen h= 0,005 V P
Hierin bezeichnet:
P den auf Abschieben wirkenden Druck in Pfunden,
k die pro Quadratzoll zulässige Belastung des Materials in
Pfunden (vergl. Tabelle S. 176).
19
06% ‚101111115 ‘ugnqosqv — 91g uaqonjuia 'elgeqmauiqasem
125611‘2
Px
dz
942
173601a
2208dz
dn
(I2
7320
da
10906
22630012
a2
6000
20450
‘ 3)
Belastung
dieser
Bei
biegen
sich
Ketten
die
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BüVaucan trocken
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nafs
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mit
rscu.ohcwnek’iels'ncsethdegseüe
regursezlämen
huoder
tliegenden
negethe ert,
Ketten G
0,28112
0,281?
0,337d2
0,33711"
1,2112
d2
2,6
10d2
d"
10,55l
16,16
Lgetheert
weifs
getheert
DräQhutersnte|
gen 0.028155‘
0,0211/TJ
0,0331/15
0,0241’?
0V15
00131/13
0,0066VF
VTJ
,d0 0,007
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Tabelle
Berechnung
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11200
2880
2210
8500
14000
600
12000
7740
r’.
I1. Active Maschinentheile. 291
WSFeluisgedrehte
blfest
close
ätw-
d
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en- _‚. Quadr.-Z
I’fd.
16810
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Seile erSfcwie
geschlagen
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dl3
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citlcafhne.dusetn
Zoll
Pfd.
Loth
Pl‘d.
Lin.
Zoll 15!2
70
14
7857
5042
22
3442
|31
7
5,942
17,356
2,-17,‘I
10196
251
2172
3 8
826-_—2-g_— I
5%
25
992
645
364
10,962
5,920
2%
9%
5-— 6%
31449
6
926
15,785
631
8,770
113
3
0—- .,_ 42525
98
1646
1122
28,063
15,347
3
1
4
0—%10 49 5,517— %11
3227
2058
54},
1422
1
19,732 50
10
4022
2572
1754
11
7
24,116
53,848-%
—- 12
55
11
4864
3087
2123
25%
1
29,817
94,810_%. 22:067
101040
11.3
20122409—0_._ 27
22918
1112
3
4
8
2,564
8,559
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C11,
1856).
Le(vergl.
Pnioterlafylebtlreatucnhgn.
131‘,
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12
5799
3704
2525
32
411
6
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11„‘T
,640
’des
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773;
37
1917
1262
860
21,486
11,839
3.,‘S
11
5-— —%
‚——
ll. Active Maschinentbeile. 293
MWN M/M
%=sina (1 -— Zcosa)
(13km = 1 + ä
In den todten Punkten ist 2:0.
v
Für die Beschleunigung der Punkte B ergiebt sich:
du: ____ l 2 c2
E__(c0sa_ cos a) 7
und erreicht diese ihr Maximum in den todten Punkten
du: c2
(W max = (1 _ Ä.) 7 im oberen‚
(1 +l)c—-z im unteren todten Punkte.
'r
für a=90° ist l
d = 1c—
2
dt 'r
d = 0.
dem gröl‘sten Geschwindigkeitsverhältnil's entsprechend all;
Doppelt wirkende
2. Handlcurbeln.
Für eine durch Menschenkraft
Fiß- 229- zu bewegende Kurbel sind mit
Bezug auf Fig. 229 folgende Ver
hältnisse passend:
d = 1.1," bis 2%"
Für 1 Arbeiter l = 10" „ 12"
Für 2 Arbeiter l = 18" „ 20"
l’: 10" „ 16:,
3. Krummzapfen.
Die Höhe eines Krummzapfens (in der Richtung des Drucks
gemessen) wird wie die der Rad—Arme berechnet (s. Seite 286),
wobei n‚= 1 in die Formeln einzusetzen ist.
Die Berechnung der Nahe des Krummzapfens geschieht wie
bei den Rädern (s. S. 284).
7 IT
dI = 1,16 dv——
'r k
II. Activc Maschiuentheilc. 299
der
Material
Welle l Schmiedeeisen
“Warze von l von
“varze
Stahl ‘il
Schmiede- d d
eisen
Gul'seisen
b. lrenkerstange.
l. Berechnung der Lenkerstange auf rückwirkende Festig
keit“). Bei der doppelt wirkenden Kurbel wird die Lenkerstange
sowohl auf rückwirkende als auch auf absolute, bei der einfach
wirkenden Kurbel nur auf eine dieser Festigkeiten in Anspruch
genommen. Im letzteren Falle sucht man die Anordnung wo
möglich so zu treffen, dal's die Stange ziehend wirkt.
In der folgenden Tabelle bezeichnet:
in a. L die Länge der Lenkerstange in Fufsen,
P den Widerstand in Pfunden, welcher die Stange
auf rückwirkende Festgk. in Anspruch nimmt;
in ß. h die kleinere, b die gröfsere Dimension;
in ß. und y. d den Durchm. der kreisrunden Lenkerstange, wel
che dieselbe Widerstandsfähigkeit hat, als die
von rechteckigem und kreuzfiirmigem Quersclm.
Die Qucrschnitts—Dimeusionen sind in Zellen zu nehmen.
V ‘) NachWiebe.
300 Fünfter Abschnitt. — Die einfachen Maschinentheile.
4 4
Schmiedeeisen . T16 VPL2 T‘T VPL’
4 4
Gui‘seisen . ä l/PLa k T10. PL2
i 4 4
Holz . . . . . . ‘ i VPL" T1; PL’
h: 0,87
T
0‚es‚1|0‚61a
0,87d 1,02d 1,1711 1,46d 1,73d 1,98d 2‚21.zi2,44 dil
"(5'
.n_
‘Mr 4
h= 0,30m
11= 1,21611
II. Active Maschinentheile. 301
F ’ L ‚
P’: i'll Eigner-{(1 —3Lcosa)
z=0,57L u+a,=k‚
*) Nach Grushol'.
302 Fünfter Abschnitt. — Die einfachen Msschinentheile.
Bezeiehne noch
d den Durchmesser des kreisförmigen Querschnitts der Len
kerstange in Zollen,
h die Höhe des rechteckigen Querschnitts (Dimension in
der Biegungsebene) in Zollen,
b die Breite desselben in Zollen, so ist hiernach:
fiir den Kreis 0,000016y‘u'l L“dR +%ä. F—_---l‚
T
c. Balancler.
1. Bezeichnet:
'r den Kurbelhalbmesser
L die ganze Länge des Balaneiers
II die Höhe derselben in der Mitte in Zellen,
b die Stärke desselben -
D den Kolbendurehmesser
p den Druck pro Qnadratzoll Kolbenfläche in Pfimden,
P = %71D2 p den am Ende des Balanciers wirkenden Druck
in Pfunden,
Fig. 232.
d = d'
2 _
und die gröl‘ste Seitenabweichung f= j: Vi;
a
F. Regulirende Maschinentheile.
a. Schwungrärler.
l. Berechnung des Schwwngrades einer beliebigen Maschine“).
Es bezeichne:
A die auf einen Punkt im Abstand = 1 von der Schwung
radaxe reducirte Masse der stetig rotirenden Maschinentheile,
(constante Gröfsc),
B die auf denselben Punkt reducirte Masse der sämmtlichen
übrigen Maschinentheile (veränderlich während der Be
weglmgh
P die auf jenen Punkt reducirte Summe der bewegenden
Kräfte,
Q die Summe der siimmtlich dahin reducirten Widerstände,
w die veränderliche Winkelgeschwindigkeit der Schwungrad
., ‚ welle,
‚ m deren Max. während. der Dauer einer Periode der Bewe
gung’ i
w das entsprechende Min. derselben,
y die mittlere winkelgeschwindigkeit, welche im Allgemeinen
von E52“ verschieden ‘ist,
l , ___ n ‚ V
ö‘ = u den Ungleichfiirmigkeitsgrad.
y ..
Man pflegt demselben folgende Werthe z-u geben:
Für Maschinen, die eine sehr nngleichförmige Bewegung Zulas
sen, ‘wie Hammel-werke . . . =—;
‘Für Maschinen,‘ die einige Unregelmäßigkeit gestatten, wie Pum
pen, Schneidemühlen etc. . . . . ‚ =„i‘U bis 5%
20"
308 Fünfter Abschnitt. —- Die einfachen Maschinentheile.
Wcolf’sche Maschine. ‚
4%- Atm. Spannung '
a) fiir liäfache Exp. mit ‘ 1- 5 120200
b) „ 7%- „ „ „ ‚} 5 130800
Hochdruck - Maschine mlt ‘i 5 153600
- Exp. ohne Cond.
mit „ gl 5 177700
„ 1 5 200000
5 Atm. Spannung. l 5 221500
a! 3'
mit ä- 5 151300
Hochdruck - Maschine „ wg V 5 173500
mit Expansion ohne „ ä 5 193300
Condens. 6 Atmsph. „ » 5 209200
Spannung. ‚ „ 1': ‚ 5 233200
ohne ä 5 186600
310 Fünfter Abschnitt. —- Die einfachen Maschinentheile.
‘ ‘ 1
i„Hochdruck - Maschine 1
mit oscillirendem Cy- ohne 1'; ‘ _- 158400
linder.
Maschine
Druck mit vollem E
b) „ 3 „ „ 1200 „ 1
. 1 .. ; 14200
l i.
ß. Ist:
q__ Länge des Kolbeuweges vor der Absperrung
-—- M7”
Länge des ganzen Hubes
1_ Kurbellänge
_ Länge der Lenkerstange’
so ist nach Wiebe:
a=(1 +1) (2 _. q) 10000.
Tabelle über den Werth (1 +1.) (2-q).
Hammers
— pro Min‘ «4' in Pfd. - i ‘ ‚. f
y
‚ v 6000bm‚ 7000,‘v
F 434000
R,
Stiinhammer 70 bis 80 1,
ti ‚ ‘s000„
‚ _ 10000,
. . .»R5-e
651000
.. _
‘ ‘
Aufwerfhammer
il 100 „ 110 1200 „ 1709‘
325500
“.1?”
ll ‘l
4
1 Form Für gufseiserne i Für schmiedecisernei
l: des Arme, 1 Arme 1
Querschnitts i 1
s ll i
Kreisförmig oder i
elliptisch . . . 2‚1 (in-.02)’ 1,74 (v‚-_v,)2 ‘
13.239.
g, 7‘ 27'
oder annähernd
!’::Ei Z: I- „-_-.l/”_".
' 7
ä Setzen wir fiir Gul‘seisen k= 3000
'' Pfd.‚ 9:875 Zoll und y = “v Pfd.,
so ist v = 2022 Zoll = 168 Fufs die gröl'ste Umfangsgeschwin
digkeit im Abstamle r von der Drehaxe, ehe die höchstens zu
lässige Spannung k überschritten wird.
6. Schwuugkugel - Regulatoren.
Bezeichnen: l die Länge eines Pendelanns in Ful'sen,
‚l den Durchmesser der Schwnngkugeln in Fui‘seu,
u die Anzahl der Umdrehungen pro Min.,
a den Winkel, den die Pendelarme mit der Umdrehungsaxe
bilden (fllr gewöhnlich gleich 30°),
a die Entfernung der Aufhängepunkte der Pendelarme von
der Umdrehungsaxe,
g =3l‚25 Fui's,
Q das Gewicht beider Kugeln zusammengenommen,
F das zu hebende, auf einen Kugelrnittelpunkt reducirte Ge
wicht") G der Hebel, Gestänge etc.,
dann ist nach Werner fllr jeden Regulator die Subnonnale q
(s. Fig. 240): 2850 1 + F
l = —
l u“ ( Q) 0
‚ F . .
Fm- ä = 0, ergxebt sich
l. Für den ‘Vatt'schen Regulatmn Länge der Pendelarme:
_ g 60 60 ___ 2850
— (2 nu)’ 008a _ u2 cosa'
‘2. Ein mllk. Regulator ist ein sol
cher, welcher nur bei einer ganz be
stimmten Zahl von Umdrehungen pro
Min. sich im Gleichgewicht befindet und
welcher so lange seine Stellung ändert,
bis diese bestimmte Zahl von Umdre
hungen stattfindet.
Wenn die Curve AB, welche der Be
wegung der Schwungkugeln zu Grunde
gelegt ist, so beschaffen ist, dal's die
flijilgtwgrlie verticale Erhebung von G und fdie der Kugeln, 5° ist‘
G5
F: ä,
f
314 Fünfter Abschnitt. — Die einfachen Maschinenthsile.
u = 75,5 —'.
V
a:
ß. Verbesserte Watt'sche Regulatoren. Der 'Watt’sche Re
gulator läl'st sich näherungsweise zu einem vollkommenen Re
gnlator machen, wenn man die Anfhiingepunkte der Peudclarme
auf die eine Seite der Axe legt, während der Ausschlagr der
Kugeln auf der entgegengesetzten Seite erfolgt.
Fig. 241.
Die Entfernung das Aufhängepimktes
von der Umdrehungsaxe ist zu nehmen:
l(cosa -— cos 11,)
a=
cotg a—-cotg a, ’
wo a der kleinste und a, der gröfste Aus
schlagswiukel ist, und die Anzahl der Um
drehungen des Regulators pro Mim:
„ = 60
_ V ls1na—-a
21:
Kraftmaschinen.
Pferdeslärke. Wir rechnen dieselbe zu 480 Secundenfufs
pfund. Eine Tabelle zur Vergleichung dieser fiir Preufsen durch
Ministerial-Erlafs empililenen Gröfse mit den in andern Län
dern üblichen Gröfsen der Pferdestärke findet sich im Anhang.
Bremsdynamometer (Prony'scher Zaum). Ist G das Gewicht
in Pfunden am Hsbelsarm l, welches man anbringen mul's, um
das Dynamometer ins Gleichgewicht zu setzen, so ist die über
tragene Arbeit:
7"”
30'480- a Pferd es täk
rcn,
I. Belehte Motoren.
A. Die Leistung eines belebten Motors ist bei einer mitt
leren Kraft, einer mittleren Geschwindigkeit und einer mittleren
Arbeitszeit ein Maximum. Bezeichnet:
L das Maximum der täglichen Leistung eines belebten Mo
tors in Fpf.,
P die dabei ausgeübte Kraft,
v die entsprechende Geschwindigkeit pro Secunde in Fufsen,
t die tägliche Arbeitszeit in Sccunden, Welche dem Maximum
L entspricht, so ist:
L==Pvt.
316 Sechster Abschnitt. —- Kraftmasehinen.
v des
Benennung "Echt
(56‘ Maschine in
P Dpro
Fulis pro Sec. L in_ Fp
Leistung
‘0' t’
nach Maseheck = (3 — -— -—- —) P zu setzen,
v t
letztere Formel ist die gebräuchlichere.
II. Windmühlen. *)
Bezeichnet:
v die Geschwindigkeit des Windes in Fufsen pro Secunde,
u die der Geschwindigkeit v entsprechende Anzahl der Um
drehungen des Flügelrades pro Minute,
\
318 Sechster Abschnitt. — Krzmmnschinen.
a. Allgemelne Sätze.
1. Bestimmung von 2, a und b. Man pflegt zn nehmen:
b ’w
Für Schaufelräder e=3'i bis .‘I; —-= 1,75 l/Na.
a
b ‘w w
„ Zellenräder e= bis 1}; -a—= 2,25 I/Na.
v ‚10,4 V2 gII =
3,16 V17,
R=6' bis 12‘.
Neigung der Ebene AB gegen den H0riz0nt=-‚2'6.
Neigung der Schütze gegen den Horizont=60 o
Höhe des Wasscrstandes im Abflufska‘nal, übereinstimmend mit
der Höhe des Punktes T.
320 Sechster Abschnitt. — Kraftmaschineu.
"" _ _ . x' N
15,57};
T" v=6I;
“(7317?
die Tiefe des Punktes B unter dem Unterwasserspiegel: 1,51,
und die Coordinaten des Scheitels A des Parabel. Einlaufs:
BD= 14: und AD=O,5t.
Die Verzeicbnung der Schaufelform wie in 2.
III. Hydraulisch. Motoren. 321
v = 4,78’ und R:
Die Entfernung t des Punktes 1 von
dem höchsten Wasserstände mn nehme
man'r'l', trage 1 c=v in 1 tungi‘rend
an_d‚en_ Umfang des Gerinnes ‚an ‘und
mache 1d=‘ V2gt= 7,9‘, so ist ae
- zi: 0d. (Die Punkte i, d und bvliegenri‘n
einer durch den Mittelpunkt'O des Rades
gehenden Geraden‘ und es ist a b—‘_:,; a.)
Die Breite des Rades mache man = 1‘? R bis R; die Höhe
der Radkrone u=0,476 bis 0,509 H, oder etwa = ‘R; die
Schaufeltheilung m 0,3 H, die ‘Vasserschicht unmittelbar vor
dem Bade bis 115-11, die Tiefe des WVassers unmittelbar hinter
dem Rade 0,6 H; die Neigung ‚des Gerinnebodens AB betra
gen 3“. Die Krümmung des Gerinnes entspricht einem Win—
kel a = 15°.
Ill. Hydraulische Motoren. 323
Fig. 249.
W. ‚/’ //‚
Die Schaufeln bilden mit der äul‘seren Peripherie einen Win
kel ß=23°. Trägt man diesen Winkel in C an C0 an und
macht CD=0,44 bis 0,7 H, so erhält man in einem Kreis
bogen um D mit DC eine passende Schaufelform.
Das gröl‘ste practisch zulässige Gefitlle ist 5, 4', der gröl‘ste
‚ Radius etwa 9%’.
D. Turbinen. *)
Gut construirte Turbinen sind in den meisten Fällen allen
andern Wasserritdern vorzuziehen. Für jeden practischen Gebrauch
eignen sich am besten die Henschel’schen (Jonval’schen); die
selben sind mit Vortheil bei allen Gefallen von 3' aufwärts an
zuwenden, wenn nicht bei hohen Gefällen und geringen Wasser
mengen die Turbine zu kleine Dimensionen, etwa unter 1' Durch
messer bekommt. In diesem Falle ist bei sehr veränderlichem
Kraft- und Wasserverbrauch ein oberschlitchtiges Wasserrad, bei
ziemlich constantem Krafl- und Wasserverbrauch entweder eine
Poncelet’sche oder eine schottische Turbine anzuwenden. Four
neyron’sche Turbinen sind ihrer tiefen Lage wegen nicht recht
zugänglich.
Im Folgenden bezeichne:
H das Gefälle in Fui‘sen,
Q die pro Secunde in das Rad gelangende Wassermenge in
Cnbikfufsen,
a den Winkel, den das zuerst getrofl‘ene Schaufelelement mit
dem Umfange des Rades bildet,
ß den Winkel, unter welchem das Wasser die Schaufel trifl’t,
8 = u _ ‚8 den Winkel, den der eintretende Wasserstrahl mit
der Peripherie des Rades bildet,
*) Nach Wiebe.
21*
3'24 Sechster‘ Abschnitt.‘ ‘- Knflmascbinen.
Damit das Wasser ohne Stol's in das Rad eiutrete‚ mul's sein:
‚ ‚ l ;.,„„; csina=vsinß.
‚ r nueulthspan ‘ sich-‚den absoluten Weg, den das Wasser bei
sqinerßewsgung durch das Rad unter dem Einflusse der Schau
.felf0r;m ‘und der Bewegung des Rades durchläuft und in jedem
beliebigen Punkte ‚die Geschwindigkeit des Wassers in zwei Com
-ponenten zerlegt, von denendie eine, die absolute Tangential
geschwindigkeit, in der Richtung der Bewegung des Rades ‘liegt,
und die andere, die absolute Normalgecchwindigkeät, normal zur
Richtung der ersteren ist, so ist im Punkte des Eintritts des
‚Wassers erstere = c cosö‘ und letztere = csin 3 und, wenn
das Wasser seine ganze lebendige Kraft an das Rad abgegeben
‚haben soll,’ im Punkte des Austritts: die absolute Tangential
geschwindigkeit = 0 und die ‘absolute Normalgeschwindigkeit
F-W'ÄPWM» ‘1 „ I
r 11m Folgenden nehmen wir an, dal‘s die Tangentialgeschwin
digkeit von c cos 3 bis 0‘ in der Art abnehme, dal's zu den
Weg‘elementen, welche das Wasser vermöge dieser Geschwindigk.
in den auf einander folgenden Zeitelementen nach der Richtung
llI. Hydraulische Motoren. 52b
e=-}sc0tgö‘R_;R’.
m ‘I'll!
mluub
‘o = 01)
‘411i euluam
eib‘ylumli 9'351
"’‚“‚"l‘1ä "UV
dmmgp ' um
‚AniW nub in‘ in; "r. ‘ VI
326 Sechster Abschnitt. — Kraftmaschinen.
3
an und mache III 3=-;-aq, 112::01], I l=Tuq etc.,
theile be in n’ gleiche
Theile, ziehe in h im
Kreise R eine Tan
gente an letzterem
z}: 0a, theilc hf in n gleiche Theile und errichte in den Theil
punkten Normalen auf hf, die den über hf als Durchmesser
beschriebenen Halbkreis in den Punkten 'z„ z, etc. schneiden.
Jetzt beschreibe man um h mit 122;’, imz etc. die hf in _v/„ y, etc.
schneidenden Kreisbögen und mit 03/’, Oyz etc. Kreise um 0.
Verbindet man dannO mit dem lsten, 4ten, 9ten etc. Theil
punkte von be, so erhält man die Punkte l, II, III etc. des
Wasserweges. Man mache nun Winkel aqb=m‚ ai=‚}q‚
ziehe Ok J- hg‚ hl-H- ka und ZqI-H- Oi, so ist
R R
ar1‚=‚}s.—;_2 ‘R cotg9v=z;
' 1
es sei ferner no (auf dem Eintrittskreise) =—aq‚. Zieht man
n
jetzt On und O0 und macht I1 =1I„o„ II 2=2nz o2, III 3
=31|>a oa etc., so sind 1, 2, 3 etc. Punkte der Schaufelforin.
328 Scr'hster Abschnitt- —- Kraftmaschinen.
v Specielle Fälle:
V 1. Die Fourneyron’sche Twrbjne.
Anzshl' der Directionszellen 20 bis 22. ‘1920,97; ‚4=0‚77 ;
_ ‘ R Q
7:60
‚ ‘2...b1s652;
DM Tangentialrad
s_="1Z; 8:20";
oder die Poncelet'sche
R=0,566
Turbine.
S = 1,1
3_ .
l 2 gH
‘Fallen’ die Oefl‘nungen nicht zu grofs aus, wenn man 2 Arme
nimmt, so empfiehlt sich diese Annahme wegen der Einfachheit
der Constru'ction; in andern Fällen nimmt man 3 Arme.
Der innere
Ä Der iiul'sere I'Ialhmesser
'Halbmesser:ist: R=0,22 VQ.
R’ = 4 R fiir 2armige Turbinen,
R’ = 3 I2 f‘n'r vßarmige Turbinen. i
Die Höhe der Rudkaniile ist: a=‚%R.‚_
’Di'e äul'sere Weite s der Badkanäle ist dann:
8 J’? fiir 2armige Turbinen,
Comtruction de'r
Zellen einer zwei
m‘migen Turbine.
VomMittelpunkto
‘Q / 2"}auseiner Umwindung
construire man
IV. Dampfmachlnen.
A. Wärme.
u. Thermometer-malen.
Es bezeichne:
R die einer bestimmten Temperatur entsprechenden Grade nach
Reaumur,
' C'nach Celsius,
F nach Fahrenheit, so ist
F=32+%C=32+%R
Ü = %(F—32)=i‘-R
L_1i‚?ßfi und
F2 _ 1 +2 b‘zz
V, 1 + 3 3a,
V; 1 + ßöt,
(300 (200 Ö)
. w ‘—r———*=i
Platin . . . . . . . 2500_ ‚Silber . . ‚ . . . . 1000 ‘l
. 1500 Bronce . . . . . . . 900
Schmiedeeisen . . bis Antimon .‘ . . . 432 i
1600 Zink . . . . . . . . 360
Stahl, strengflüsig . 1400 Blei . . . . . . . . 330 z
„ weichflüssig . ' 1300 Wismnth . . . i J J ‘ 260
Gnl‘seisen, graues . 1200 Zinn . . . . . . . . 230
„ weifses . 1050 Schwefel . . . . . . 109
S 1100 Gelbes Wachs . 61
Gold . . . . . . . . bis Phosphor . . . . . . 43
‚ l 1250 ‘Seife . . . . . . .. 3a
1100 Terpentinöl . . . . . —10
Kupfer . . . . . . . 1 bis -Quecksilbe1‘. . . . . -—1-39 ‘
1200 _ ‚ _ i h
d. xsiedepunkte verschiedener Substanzen.
l
Substanz vapec' Substanz SBeC'
arme l W arme l
___1____1‚:_ „I; l. 7 ,
i
Antimon . . ‚ . . ‚ ‚0,050Bi Silber . . ‚ . . . . . 0,0570}
Blei . . . . . . . . ‘0,0314, Stahl ‚ . . . . . . . 0,1184}
Eisen ‚ . . . ‘0,1138' VVismuth . . . . . . 0.0308
Glas ‚\. . ‚ . . . . i0‚1777} Zink . . . . . . . . 0,0955
Gold . . . .fl . 0,0324 Zinn . . . . . ‚ ‚ . 0,0562
Gul‘seisen . . . . . . 0,1298 | 0,1890
Kohle . . . . . . . . 0,2411 Ziegelsteine. ‚ . . . bis
Kupfer . . ‚ . . . . 0,0951 l 0,2410
Messing. -. . . . . . 0,0939 V ‚
Platin -. . . . . . . 0,0324 Alkohol (absoluter) . 0,7000
Quecksilber . . . ‚ ‚0,0333 Schwefelsäure . . . ‘0‚3350|
Schwefel . . . . ‚ ‚ ‚0,18801 Vl'asser ‚ ‚ . . . . . 1‘1‚0O00|
‘._ _. ‚ ‘ 1
Specifischc Wärme
0 0 1 1 6728
für verticale Cylinder: 0,13674+-—’i ä2,542+ eäidl
l/d l/H l
fir verticale Ebenen L= 0,3475 -l—- Ofl—’—»—_e-—-‚
22875
, VH
wenn d den Durchmesser in Zellen, II die verticale Höhe in
Fufsen bezeichnet,
‘A1 'uauiqasnuljdln'nq 9153
1 Luft.
Tfür
10°
die
100°,
Temperatur
5,
der
ey=0,
und
‘20
m10,
t=
peraturdi.f erenz
‘95:
00
78,135
10,666
62,460
122,147
47,084
34,577
04,050
531423,10870 '95:
5°
10,005
35,655
80,515
64,401
22,835
40,480
107,010
53876,016205 3:100
042615,742138520 95=15°
11,428
66,020
51,415
37,045
23,730
183,660 11,875
60,535
53,420
38,405
24,655
187,540
0472581,70517050 95=25°
03,860
75,080
157,680
12,820
41,565
26,620
8315640,201853405 1848,450
215,050
67,100
767:45"
14,045
31,035
5,83260,1053,84015
_’{
i
'‘"r
-—-‚—r
l
{
T50o
l60°
70°
40°
300
80°
100°
200
102
00o
2=
1,00779)
71(tTabelle
'und
Werthe
der
182,640
12,“’90= ,57385.1‘1—"139)
168,6I
r
\‘622,2
r‘52,2
04,0T
„m39:
161,5
141,7
86,0
122,0
36,6
0,4
78,010
50,035
13,320
107,530
9„=30o
43,100
27,660 7204,51638,‘238043,01 28164,710
641082,036503 181,060
13,840
95:35o
62,275
44,875
28,745 46,630
20,865
14,385
495=40o
‚0572308‘,1608351,25305 2100,040
65:50u
50,345
32,267
15,530
309483‚,872368502=
12,340
v1„=20°
00,330
72,260
155,510
40,000
25,620
375083,02683405
335 Sechster Abschnitt. — Krnftmlschinen.
1+w+m%
Hierin sind S und L die Werthe in 1; t_— t’ ist die Tempe
raturditi'erenz ‘der beiden Oberflächen der Hülle; c die Dicke der
Besteht
Hülle die Hülle
in Eufsen‘, ausLeitungsooefficient.
C der mehreren Schichten von verschiedener
Material C ‚V Material ‘
Kupfer.
Eisen . .. '.. .. V.. ‚U. ‘43,96%
9,924 Eichenholz
Fasern . . ‚l-. .zu. den
Zink . . . . . . . . 19,237
Blei .;...... 9,618 Glas.....r...r.
ymwi . 4
Kalkstein (imMittel) I bis lQuarzsand . . . . .
(II 1,161 ‘Ilolzasche‚ . . . . .
-‘ _ ‘n‘ S'r0‚4740 Holzkohle (gepulv.)r‚.
Ziegel ‚. .‘ . . -. l‘ bis Coaks .
'Lannen- ‘L zu den i_:0,3504
z Flanell L‘ l
Fasern . . iO 0689 i Ä- 1‘
holz ’
‚1(=i=z_udenselb.;0,1168;
im. 1. l. , ‚ ‘
B. Dampfkessel.
a. Feuerungen der Kessel.
1., mur vollständigen Verbrennung ist es uöthig, dem Brenn
heerde die doppelte theoretische Luftmenge zuzuführen. Fol
gende Tabelle giebt nach Schinzfiir die wichtigsten Brenn
materislien sowohl die theoretischen Wärmemengen, als die zur
Verbrennung .nöthige zweifache theoretische Luftmenge und die
hieraus her-vorgehenden ‘Gasmengen an;
i“ ‚:.'._- '."
ää. ‚ä‘äe
ä‘ ä , g E 6 Aus derverbrennung
‚. _ ‚ , t ääfl, ‚i: 5 hervorgehende Gas
»ßrennmaterial ‘ ‚= , = o3: menge in Cubfi, l‘
- ‚ ll ‚E°-="„ °in> ä - auf
reduclrt UI1
'‚ I1 2s ä.
‚"fls'pt’ä
s ä° 2ä =s . '0° ‘300°
1
-— ___. - v __ ' H . ‚.12 l
7
Brennmaterial
‚man __ ‘ Totale Rost- _‘
—‘___——_ ‘Fenerraum (‚ä
Steinkohle . . . ._ . . ‚ . . . . g _ "
Hartes Holz und Braunkohle . ' ’ ' '
Weiches Holz und Torf . . .
Holzkohlen und Coaks . . . . y
4. Bezeichnet
F die freie Oefl‘nung der Rostfläiche pro 100 l’fd. Brennma
terial, die stilndlich"vcrbrannt werden sollen‘ in 'Q‚-F.‚;
q die doppelte theoretische Luftmenge nach Tabelle 1, wel
'che je 100 Pfd. Brennmaterial erfordern,
v die Geschwindigkeit pro See. der in den Rost einströmen
den Lut’t in Ful‘sen, so ist: ‘ '
F: l o l
_ v 60‚-60 /_
die Bestimmungsgleichung der freien Rostfläche.
5. Hierbei nimmt man zweckmäßig: v
für gewöhnl. station.‘ Kessel . .. ‘ er: 2" — 3' pro See,
„ Cornwall-Kessel . . ‚ . v = 1%’ _.« 2' „ „
„ Schifl‘kessel . . . . r. r v = 31;’ -— 41}, „ ..
„ Locoinotivkessel . . . . v = 15' ‘- 17' „ ,.
6. Folgende Tabelle giebt fiir die mittlere Geschwindigkeit
v=3' die freie sowie die totale Rostfläche und deren Verhält
nisse flr stationäre Kessel an, um stündlich 100 Pfund zu ver
brennen: . '
0,30. .- . . . . . . . B:553;
Woolf’schen Kessel mit 2 Siedern vom Durchm. Ä
Es bezeichne: . .
N die Leistung. der Maschine in Pferdestärken,
IV. Dampfrnnsehinen. 34 5
m und n s. S. 338,
—i das rel. Volum des Dampfes (s. S. 337),
ö
l l-i-c
k = z‚+c+
" l "1+5 (s. S. 364),
l
= für Maschinen ohne Expansion.
l+c
1. Für eine schon vorhandene Maschine:
mQk
0
-F[(1+(4)-'+n+z1„+a]’
_ mQlc n+p„+a
I’
_Fv(1+/4)— 1+!‘ ’
N: mQk -—Fv (n +p„+a)
34560o(1+„)
msQlc
=645600[(1+‚.)s+„+p„+a]’
a=fäcoo+t>+n+n+ai
2. Die möglichst gröi'ste Leistung bei einer ‚bestimmten
Expansion wird erreicht bei der möglichst kleinsten Geschwin
digkeit v’, und diese findet statt, wenn die Spannung p, des
Dampfes im Cylinder der Spannung p des Dampfes im Kessel
gleich ist“).
Demnach ist fllr eine bestimmte Verdampfung Q‘
1)
_9_ m _i
'_ Fa ' n+p_-Fad
__ek(n+p)—n+p„+a
s’ 1+” ,
N_ mQ k_n+p„+a
'— 345600 (1 +,.) e(n+P) '
3. Ist p die Spannung des Dampfes vor der Expansion,
V das Volumen des Dampfes vor und
V, das Volumen desselben nach der Expansion, ferner
") Wegen der aus der Reibung des Dampfes an den Röhrenwänden,
aus den Widerständen bei plötzlichen Geschwindigkeits-Veränderungen
desselben und aus der Abkühlung an den Wänden der Leitung entsprin
genden Verluste kann die Spannung im Cylinder nie ganz die Spannung
im Kessel erreichen. Die Differenz beträgt 1-20 pCt., bei gut con
struirten und nicht zu schnell gehenden Maschinen jedoch nur 1—5 pCt.
IV. Dampfmaschinen. 347
Man kann auch, wenn sich etwa die Nutzlast nicht ver
stärken lassen sollte, die Dampfspannung im Kessel vermindern,
bis sie die Maschine bei der gewöhnlichen Ladung eben nur
noch in Bewegung zu erhalten vermag. Man hat alsdann nur
s‘ und die dieser Ladung entsprechende Spannung anstatt s2
und p in obige Formel einzusetzen.
Auf diese Weise läl'st sich auch der gesammtc Widerstand
der Maschine finden. Ist p, die Dampfspaunung‚ welche die
348 Sechster Abschnitt. - Kraftmaschinen.
4 bis 8
10 „ 30
30 „ 100
Für Hochdr'uckmaschinen.
Wirkungsgrad 01] l
‘N beiZustande‘
gutem der Unterhaltung
bei gewöhnlichem
(‚Lp l p,’ l
N= ___-___ l ._ _ _ __.
"00.4s0.12.31+"1‚ p l‚
uFl p l p l
== —„"———- 1 — — —'-' — ä
”30.4s0.12(1+ "l, p l‚)
l
In T: lnl-„lnll 3.8.42.
‚ . . ‚.
u Wirkungsgrad 1] ‚J‘
_ ___... i ‚ ‚ Zustande
A „ ‚ der Unterhaltung
_ „„ „A l
, — Ä i ‚ I l
4 bis 8 0,33 ‘ 0,30 1
10 „ 20 0,42 0,35 ß
20 ‚ ‚30 ‚ 0,44 0,35 l
30 „ 40 , 0,49 0,39 i
40 „ 50 ' 0,07 0,40 |
50 „ 60 ' ‚ 0,02 , _ 0,50
00 „ 70 ‚ 0,66 0,53
70 „ a0 0,70 0,50
80 „‚ 100 0,82 0,66
d=1‚129l/Q‚=1,129V m 4a
Igsö n-i-p 1J‚e
= N(1 + e)
71° V», [eh (n +12) — (n+p„+ an’
ß) wenn die Morin-Poncelet’sche Theorie zu Grunde
gelegt wird:
so.4so.12.1v.ö‘
l p,’ l
’7p(1+l"T_"T)'
Bei der Construction nimmt man an:
für Watt’sche Maschinen 1] = 0,4, ‚
fiir Hoch- und Mitteldruckmaschinen ohne Cond.
4v--8
0,35
10-18
0,37 0,40
„M1
20-28 30 — 40 40u.darüb.{
0,42 0,45
i”:
Für Hoch- und Mitteldruckmaschinen mit Cond.
j‘ N: 4 — 8 LIO — 18 1 20 ._ 28 ‘äthwdarüber
0,40
17: “l 0,34 1 0,36 ' ' 0,38
_ ._—_„ L
6 Atmosphären 5,5 Atinosph.
N , _ l _ l
4,25‘ 4 ‘3,5
T,-
3 l2,5 V
Tf
1 ‚
8,34‘8,21 7,79 7,37 6,95 6,52
10,2 10,0 9,54 9,03 8,51 7,99
11,8 11,611,0 10,4 9,83 9,23
12,3'12‚1‚11,5.10,91029,62
13,5113,3 12,6 11,9 11,2 10,5
15,1,14,8 14,1 13,3 12,5 11,8
16,7 16,4 15,6 14,8 13,9 13,1
18‚0.17,7 16‚8Ä15,9 15,0 14,1
19,1 18,8 17,6 16,7 15,9 14,9
20,0 19,7 18,7 17,7 16,7 15,7
21,4.21,1 20,0 18,9 17,8 16 7
22,0 21,6 20,5 19,3 18,2 17,2
5,5 Atmosphären
2
T,
l
1,5 1 9,5 ‘
5 Atmosphären
l‚——
l‚_
1,5
*1
1
i
6,89 6,47 6,21 8,85 7,93 6,87 6,59
8,44 7,92 7,61‘ 10,8 9,98 8,41 8,07
9,74 9,14 8fl8 12,51 10,4 9,71 9,92
10,2 9,53 9,15 13,0‘ 10,8 10,1
l9,71
11,1 10,4 10,0 14,6 11,8 11,1 10,6
12,4! 11,7 ‘‚11,2 16,0 13,2 12,4,11,9
13,8, 12,8 42,3 17,7 14,7‘ 13,8‘13,2
14,9} 13,9 13,4 19,1 15,8 14,8 14,2
15,61 14,6 14,0 20,3 16,7 15,6 15,0
16,6 15,5 ‘14,9 21,2 17,6 16,5 15,8
17,71 16,6 15,9 22,7 18,81 17,6 16,9
18,1} 17,0 116,3 23,9, 19,2 18,0 17,3
18,5? 17,3 16,7 23,7 19,6 19,4 17,7
19,4 18,2 17,5 24,9 20,6 19,9 18,5
20,2 19,0 18,2 26,0 21,5 20,2 19,9
21,0‘ 19,7 18,9 26,0 22,3 20,9 20,0
22,4 21,0 20,2 28,8 23,8 1 22,3 21,4
23,8, 22,3 21,4 90,5 25,9 23,7 22,7
25,1‘ 23,5 22,6 32,2l 26,7 25,0,24,0
26,3 24,7 29,7 33,7 28,0 26,2'25,1
N l
T
1,5: 2,751 2,5 2 1,5
._‚_.
T “.1
8,99, 8,42 (7,86 7,35 7,04 9,50 9,17 8,53 7,95 7,61
11,0, 10,3 9,63 9,00 8,63 11,6 11,2 10,4 9,74 9,32
12,7,1 11,9 11,1 10,4 9,96 13,4 13,0 12,1 11,2 10,8
13,3; 12,4 11,6 10,8 10,4 14,0 13,5 12,6 11,7 11,2
14,5} 13,6 12,7 11,9 11,4 15,3 14,8 13,8‘ 12,8 12,3
16,21 15,2 14,2 13,3 12,7 17,1 16,61 15,4 14,4 13,7
18,0, 16,9 15,3 14,7 14,1 19,0 18,41‘ 17,1 15,91 15,3
19,4‘ 18,2 16,9 15,8 15,2 20,5 19,8 18,4 17,1 16,4
20,61 19,1 17,8 16,7 16,0 21,8 21,0 19,5 18,0 17,4
21,6, 20,2 18,9 17,61 16,9 22,8 22,0‘ 20,5 19,1 18,3
23,11 21,6 20,2 18,9 18,1 24,4 23,5 21,9 20,41 19,5
23,7’ 22,2 25,7 19,3‘ 18,5 25,0 24,1 22,5 20,9 20,0
24,1‘ 22,6‘ 21,1 19,7 18,9 25,4 24,6‘ 22,9 21,3 20,4
25,3 23,7 22,1 20,71 19,8 26,7 25,8‘ 24,0 22,4 21,4
26,4 24,7 23,1 21,6 20,7 27,9 26,9 25,1 23,3 22,3
27,4 25‚6‚ 23,9 22,4 21,4 28,9 27,9 26,0‘ 24,2 23,1
29,2; 27,4 25,6 23,9 22,9 30,9 29,8 27,7 25,9 24,7
31,01 29,0 27,1 25,3 24,3 32,7 31,6 29,4 27,4 26,2
32,7 30,6 28,6 26,7 25,6 34,5 33,3 31,0 28,9 27,7
34,3 32,1 30,0 28,0 26,9 36,2 35,0 32,5 30,3 29,0
35,8 33,5 31,3 29,3‘ 28,1 37,8 36,5 34,0 31,7 30,3
37,3 34,9 32,6 30,5 29,2 39,4 38,0 35,4 33,0 31,5
38,7 36,2 33,8 31,6 30,3 40,8 39,5 36,7 34,2 32,7
40,0 37,5 35,0 32,7 31,4 42,3 40,8 38,0 35,4 33,9
‘23
356 Sechster Abschnitt. — Kraftmaschiuen.
1
‚ 4 Atmosphären 3,5 Atmosphären
g N l =
_ l =
ä 1
, l7 l7
1 1 1 ‘ 1 1 1
' 5 1 4 3,5 ; 3 4,5 4 1 3,5 1 3 1
|
1 4 9,48 8,84 8,50 8,14 9,84 9,48 9,11 8,93
1 6 11,5 10,8 10,4 9,97 12,0 11,6 11,2 10,7
v108 13,4
14,5 12,5
13,4 12,0
12,9 11,5
12,3 13,9 14,4
15,0 13,4 12,9
13,8 12,3
13,2
I
120 39,5 36.8 35,4 83,9 41, 39,5 37,9 3
130 41,1 39,3 41,1 39,5 3 |l
140 42,7 39,8 38,2 36,6 44,3 42,7 41,0 3 |
150 44,2 41.2 89,6 38,0 45,8 44,1 42,4 4
IV. Dampfmaschinen. 35 7
i
|\ 3 Atmosphären 2,5 Atmosph. 2 Atmosph.
N l_ l
l_‚— l_‚— —
b. Woolf'sehe Maschinen.
Dieselben gewähren einen gröi‘seren Wirkungsgrad und den
Vortheil einer gleiehf‘ormigen Bewegung. Es sei:
F der Querschnitt des groi‘sen Cylinders in Ouadr‚-Z.,
f „ „ „ kleinen „ „ ‚V
I) der Durchmesser des grofsen Cylinders
d „ „ „ kleinen „ ‚
L der Kolbenhub des grofsen Cylinder-s m zollen’
l der des kleinen Cylinders (gewöhnlich ist l=%L) v
S der specif. Nutzwiderstand in Pfd. (pro Q.-Z. grofser Kolbfl.)
h der Weg, um welchen dieser Widerstand wäh
rend eines Kolbenhubes fortbewegt wird
v die Geschwindigkeit des kleinen Kolbens
h .
‘V die des Nutzwiderstandes pro Min. = Ble- lll zollelh
V, die vortheilhafteste Geschwindigkeit desselben
C = 0,05 L
c = 0,05 l
25
A =B der specifische Druck der Reibung der leergehenden
l e
F(L+C)+fc 1,05a-i- 0,05 ‚
'
k + " f(1+c)+FC
=k l ———————= k+l"1,05+0‚0su
v
s. S. 365.
Die übrigen Buchstaben haben dieselbe Bedeutung wie in (a)
(s. 345):
1 V__ mQklh v
'. FL("+P„+Ä)+fla+(l+ß)sh
_ _mQk‚__ FL (n+1I„+A) +flu
(1+e) V (1 +1‘) h
N__ mzQk‚h—. [FL (_nj-p{(-l-A)+fla] V
— —_—345600 (T;q57‚"—" '"‘
Q: FL("+P„+ A>+fla+<1 +1081» V
m k’ h
IV. Dsmpfmuchinen. 35 9
slsn auch a= V e
Meute)
Der vortheilhufteste Werth von e ist:
n+ä
oder flir a: = Vuu
360 Sechster Abschnitt. — Kruftmaschinen.
z, = 1+ c (1 _ 51’;
p,
a, der specifische Druck der Reibung der leer
gehenden Maschine beim Niedergangs des Kol
27 2
bens = -j;—, d nach vorläufiger Schätzung in Pfd'
angenommen, pro Q.-Z.
_
a, denselben beim Aufsteigen 15
des Kolbens =-d—‚ K o lbfl.
s =o'‚+d',
s, das der möglich-größten Leistlmg entspre- i‘: äfiä
ehende s pKolb'i-i '
G das specifische Gegengewicht ‚ '
v der vom Kolben bei seiner Nutzwirkung in 1 Min.
durchlsufene Weg in Zollen.
345600N‚(1+„)(l,+c)
Q= _‚_
1n(l+‘lc)[k-—(l +„)k, _ h+p„+a‚+(1+„)a‚"'
e(fl+1)) ]
Die Bruttoverdampfung kann man der wirksamen gleich
setzen.
Um fiir eine gegebene Leistung den Durchmesser des Cy
linders zu finden, verfährt man wie in a 7, S. 349.
d. Tabellen.
l. Tabelle der vortheilhaftesten Geschwindigkeit
v1") (nach Watt).
1 I 7'
H N: 4-8 8_15115_25 25-40 40_60 60_100
v, Zollen
pro Sec.. in. 34 37 40 43 46 50
v, pro Min. in
Zollen . . 2040 2220 2400 2580 2760 3000
= 130 V l ,
wo l den Kolbenhub in Ful'sen bedeutet.
ll
2
ho"
3
MP1‘
3
14H“ Z1 140-5
3 HH"
2 S
MP1‘
7516167 Q Q Q Q 9 Q
' ‘-|— w
0,10 2,613 2,205 1,926 0,31 1,931 1,7431590
0,11 2,569 2,180 1,910‘ 0,33 1,884 1,707 1,561 ‘
0,12 2,527 2,155‚1,894 0,36 1,818 1,654 1,519
0,13 2,485 2,130 1,877 0,40 1,735 1,588 1,465
0,14 2,446 2‚105 1,861 0,44 1,660 1,526 1,413
2 408 2,082 1,844 i 0 50 1,555 1,439 1,340
, 0,15 r ‘ 1
0,16 2,371 2,058 1,827, 0,55 1,476 1,372 1,282
0,17 2,336 2,033 ‘ 1,810 0,57 1,445 1,347 1,260
0,18 2,301 2,012 1,794 0,60 1,402 1,309 1,227
0,19 2,268 1,988 1,778‘i’ 0,63
0,66 1,361
1,321 1,273
1,238 1,195
1,165
0,20 2,235 1,966 1,761
0,21 2,203 1,944 1,744 ‘0,68 1,295 1,215 1,145
0,22 2,173 1‚922‘1,728 0,70 1,269 1,193 1,126
0,23 2,142 1,901 1,712 0,75 1,209 1,140 1,081
0,25 2,085 M459 1,680 0,80 1,153 1,090 1,033
0,27 2,032 1,819 1,650 0,88 1,067 1,014 0,964
0,29 1,980 1,781 1,620 0,90 1,047 1,996 0,948?
0,30 1,955 1,762 1,605 0,95 1,000 1,951 0,908
r) Nach uorriru gilt dieselbe auch fiir Mittel- u. Hochdruckmaschiuen.
i.
365
„am 22 ‚.55
32 32 2d
„ä.“ “2%. „ad
31m „zum 23
«w; E2 E6
«21m „31m E6
2.3.. 2.:, 3a
Dampfmaschinen.
«3a m3.“ 2a
„E3. ä; 2a
3b.“ „E.“ 3d
äwä E2 3.5
22 32 3.:
äqm in:
3.
IV.
äa
äa
m
h
_
no> 33.5? .Sw „321:. .m
.N 2d "Q .33 ‚Q
366 Sechster Abschnitt. -— Kraftmaschinen.
1 ‚ 1 31 3, 311, 1 31 2 2
11 T” |1 53331531
11 1111 11. 711535336
u
1 | 111 111
o Q! o &Z_A__>7Q7‘
1 1
‘ t‚—. t,
Hiernach ist fiir die Mittelwerthe von t‚=35° und t2 = 12°
das Verhältnifs des Einspritzwasserquantums zum Speisewasser
quantum:
Q
_' = 26,3.
Q
2. Kaltwasserpumpe. Man hat, da dieselbe einfach
wirkend ist:
V, 2a, 2(640—t‚)3
151,’ _" 711 ""—(1I_.z,)'_'
IV. Dampfmaschine“. 36"
f. Dampflnnälo.
l.Der Querschnitt der Dumpfwege fiir die Zuleitung wird
F 2F
für rsschgehende Maschinen=-2— bis 2: ‚ für langsamer ge
o
. F . F .
hende Maschinen E5 blS ä genommen. Im ersteren Falle Wll'd
der Durchmesser des Zuleitungsrohrs = 3d bis äd, im letzte‘
ren = ‘d bis ‚2d.
Bei Woolf’schen Maschinen ist der Querschnitt des Zu
teitungsrohres und der Dampfkanäle = l, selten L ‚ der
nen. Der mittlere Kanal wird 2 bis 2%mal so hoch als jeder
der beiden äui'sern.
Der Querschnitt des Schornsteine sei Jr; bis {f der tot. Rostfl.
Die Mündung des Blasrohrs sei 0,00019FQuadr.-Fufs.
Der Pumpenk'olben beschreibe pro Hub einen Raum von
0,085 F Cub.-Zoll.
Der Durchm. .der Saugerohre, Druckrohre und Ventile sei
0,071/7.2011.‘ "“ f‘. ‚ “ ‘
6. Dcr Wasservenlust bei Locomotiven betragt im Mittel
15 bis 16 %, von welchem 10 % durch den Dampf direct mit
übergerissen werden. Um diese Verluste zu einem Min. zu
machen, mache man: die Höhe des Dampfraums etwa gleich
1" vom Kesseldurchinesser; den Dampfdom, etw‘a 3' hoch, in
der Nähe des Schornsteins, den Inhalt desselben gleich dem
4 fachen Inhalt eines C'ylinders; die untere Begrenzung der Feuer
thürzarge rund und die Siederöhren mindestens 2 Zoll vom
Langkessel entfernt.
Die Entfernung der Siederöhren von einander betrage bei
kleinen Kesseln von weniger als 100 Röhren mindestens ‚} Zoll
bei s0'1chen‚von‚.100 ___ 150 Röhren mindestens . vlslaluwlv‘
n
bei solchen von 160 _ 200 Röhren mindestens . an
‚bei solchen von mehr als 200 Röhren mindestens . „
lhr iiufsererÄDurchmesser ist 1-Z——‘2 Zoll. 'Die Linie des mitt
leren Wasserstandes liegt gewöhnlich 6 Zoll über der Oberkante
der S‘iederöhren‘. Die obere Röhrenreihe liege circa auf g- des
Kesseldurchmessers.
i ‚
Macht die Bahn aber Curven unter 3000’ Rad, oder wehen
Seitganwinde, so ist W, lämal so grofs. Steigt die Bahn, so
vermehrt sich der Widerstand des Zuges um das mit dem Sinus
des Neigungswinkels multiplicirte Gew. des Zuges.
Um den Totalwiderstand W des ganzen Zuges im Behar
rungszustande auf horizontaler Bahn zu überwinden, müssen die
gekuppelten Räder auf den Schienen zusammen die Reibung von
1,11 W
l\‘. Dnmpfmnschinen. 373
d=
0,41 V? Zoll
4
V k
sein, wo P seine Belastung in Pfunden ist und k=8000 Pfd.
pro Quadr.-Z. angenommen zu werden pflegt; die Länge des
selben sei 1,56d Zoll.
Der Durchmesser eines inneren Axenschenkels ist gleich dem
des übrigen Axenkörpers und seine Länge gleich seinem Durch
messer.
Der Durchmesser der Axe ist:
3 —
2,17 P Zoll,
wo m die Entfernung in Zollen von der Mitte des Nabensitzes
bis zur Mitte des Axenschenkels ist.
Axen mit äufseren Schenkeln werden von der Mitte gegen
die Nahen hin um 11b- verstärkt.
Der Durehlnesser eines stählernen Kurbelzapfens sei
0,022 VE Zoll,
wo Q der Druck in Pfunden auf denselben ist, seine Länge
ist gleich dem Durchmesser.
4. Federwerke ll‘). Ist v
P die Belastung einer Feder in Tonnen h 20 Centner,
l ihre Spannweite in Zollen,
b die Breite, c die Dicke der Platten in Zollen, wo man c
passend T53" annimmt,
so ist die nöthige Anzahl der Platten aus Federstalll:
Pl
22,7 b C2 '
Die Dnrchbiegung eines Stahlfederwerks pro Tonne Belastung
ist in Zollen
I3
39480bc31l'
F. Schifl'sbau.
u. Form und Verhältnisse der Schifl‘c.
Es bezeichne im Folgenden:
L Lange des Schiffes,
B Breite „ „
H Höhe „ ‚.
T Tiefgang „
A Flächeninhalt des eingetauchten Querschnittes,
F „ der Ladewasserlinie,
W Volumen des Deplacements (verdrüngtes Wasserquantum),
V Geschwindigkeit des Schiffes pro 1 Secnnde,
v Peripheriegeschwindigkeit der Schaufelräder gegen das Schiff,
n Kolbengeschwindigkeit der Maschine,
l Lange des Kolbenhubes,
d Durchmesser der Schaufel,
a Länge einer Schaufel,
b Höhe einer Schaufel,
s Anzahl der Schaufeln eines Rades.
Alle Dimensionen sind in Fufsen angegeben.
Die gewöhnlichen Verhältnisse bei Schiffen sind etwa folgende:
Flafsdampfer. Seedampfer. Segelschiffe.
L 8 12 5 7 5 4
—_= — __. ——'
B
H ‚
E= 0,5 4 0,6 — 0,7
T
E = 0‚18—-O,2 0,3 — 0,4 0,4
Segelschiffe erhalten schärfere Spanten und stumpfere Was
serlinien als Dampfer. Die gröfste Zuschärfung erhalten Flufs
dampfer mitunter am Vordertheil, während Seeschifl‘e dieselbe
hinten erhalten. Seedampfer nähern sich in ihrer Form einiger
msfsen den Segelschifl‘en; namentlich gilt dies von Schrauben
dampfern, die schon immer einigen Segeldruck aushalten sollen.
Es ist bei Schraubendampfern von grofser Wichtigkeit, dem
Hintertheil recht scharfe Linien zu geben, damit das Wasser
möglichst freien Zugang zur Schraube hat. Flufsdampfer, deren
Tiefgang weniger als %B beträgt, erhalten einen flachen Boden
und dürfen vorn und hinten nicht zu scharf gebaut sein. Land
seeschifi'e können etwas auf Kiel gebaut werden. Küstendarnpfer,
die auch Flufsmiindungen befahren sollen, werden im Allgemei
nen wie Seedampfer gebaut, erhalten aber einen flachen Boden.
Die Zuschiirfungen müssen stets so gewählt werden, dafs der
Schwerpunkt des Deplacements nicht zu weit hinter die Mitte
376 Sechster Abschnitt. — Kraftmasehinen.
2. Oscillationen.
n. Die Zeit einer Verticaloscillation ist:
f
7‘ ßs
wo g die Beschleunigung durch die Schwere.
ß. Ist J das Träghcitsmomcnt der Schwimmfläche in Be
zug auf ihre Lüngenaxe,
M das Trügheitsmornent des ganzen Schiffes mit Ausrüstung
etc. in Bezug auf eine durch den Schwerpunkt gehende Längen
axe, so ist die Schwingungszeit des Schlinyerns:
V M
7' g(J.-.e W)‘
Ist J, das Trägheitsmoment der Schwimmflä-che in Be
zug auf ihre Queraxe,
d!’ das Trägheitsmoment des ganzen Schiffes in Bezug auf
eine durch seinen Schwerpunkt gehende Queraxe, so ist die
Schwingungszeit des Stampfens:
c. Schifl’smaschlnen.
1. Die zur Bewegung eines Dampfschifi‘es erforderliche
Anzahl von Pfrdst. ist nach dem vorigen, wenn v die Peri
pherie-Geschwindigkeit der Schaufelräder und IV“ im Mittel
= 1,4 ist,
V3A61,7 ‘U 3
N—Ä—2—g—EO—‘V-—Ü‚OO2QV A.
Dieses kann man auch für Schraubenschifl'e gelten lassen, wo
dann v die Geschwindigkeit bedeuten würde, die das Schiff
haben mül'ste, wenn die Schraube sich in einer festen Mutter
bewegte.
Anmerkung. Man nimmt auch wohl an, dal's der Wider
stand, den gut geformte Schiffe im Wasser erleiden, nur von
der Reibung an den Seitenwänden herrührt. Aus diesem Ge
sichtspunkte hat Redtenbacher Formeln berechnet, die für
prenl‘sisches Maafs folgende sind:
R= 0,0194 KB TV2
N= 0,00004 KB TV3 ä,
v KBT
V_ + 1.201,’
N
K=0‚1(1+e—— L
m5) (;—f+2 L k=125.
E);
zv
Tabelle der Werthe von g=0,1(1+e l“5)"‘).
IINMHNCMIÄII
i 10 0,103 150 0,141 400 i 0,109 i
30 0,183 " 200 0,130 450 ; 0,106 1
50 0,174 250 0,122 500 | 0,105 l
80
100 ‘ 0,102 ‚l
0,155 300
350 0,117
0,112 | .1
‘) e :. 2,7182818 . ..
‘A1 'uaugqosvmjdmq 6L9
i
Luftpumpe
der
28,81
stangen
41,15
36,54
61,54
51,92
Ä66,92
von
70,38
‘i
l.
‘l
20
10
50
30
l
._1__w'‚:_‚l
100
80
120
ScZollen)
hi(in
fHvonsamudie
Tüber
ps2.
atcdhbinem lnsieonen
NPin
Leistung
ofemridensetlärken
Sdes
1,46
2,19
1,96
p2,42
3,19
3,42
3,92
eise„rl.ohrs i
b4,15
Welle
6,12
6,85
9,77
e11,23
8,31
12,19
weg„e.nden l,
CHub
des
yl23,46
35,151
29,31
54,62
41,15
61,54
i70,38
nderko.lbens
Field.
und
Maudslay
von
g‘
Bder
Theile
ezeichnung
Endes
3
Con-
tle run„gsrohrs Abstand
Axen
der
Pleiel-
seitlichen,
K1,96
der
d3,92
3,23
2,69
4,65
oe4,88
5,38
lsbenls„bt.ean ge dK2,69
2,19
1,96
1,23
3,19
oe3,65
4,15
lrbsenls„b.tean ge
Ä2,19
Wa3,42
2,92
'6,35
4,15
5r7,31
mw,38
as„e.„rpumpe
Sp5,85
7,31
e9,19
13,69
10,27
15,62
i17,58
sepump„en.kolbens
Lu11,73
20,50
17,58
14,65
f27,35
35,15
30,77
tpumpe„nk.olbens
l„
der
K3,42
2,42
u6,35
4,88
3,92
r7,19
7,81
belwar.ze. Se105,38
des
125,00
152,31,
h175,77
222,69;
269,62
246,15
aufelr„a.des ‘
Luftpumpe
16,62
11,73
22,46
18,08
26,92
29,31
33,23
„. D6,35
5,62
3,92
10,73
9,77
7,58
a11,73
mpfr„.ohrs
Durchm.
Cylinders
des
31,27
26,88
19,54
46,92
39,23
51,15
55,77
.‚ 4,88
d1
9,27
7,81
6,85
12,69
11,23
1ens3,69
ato.rs
088 ‚131911-798 ‘muqosqv ‘— >uaugqasemyexx
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Kessel
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Anzahl
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1100
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20
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50
10
20
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04,32,‘
l
1‚1
74,23
81,92‘
105,33,
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M3a,s0csh;i1n.e2,n3.,02 6,35
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3,42
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9,771
18,57
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Breite
7,31
14,65
11,23
Dampfve.ntile
der
der
nPbetragen.
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Breite
i213,69
22,46
Bin
des
Mitte
der
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7,35
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' „‚
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76,15
‘58,40;
81,15
32,23
Cyhndem)
45,02,
ben
‘433,23
‘13,08
39,23,
24,92
20,50
26,38
bäume
5,00,.‚
5,38
5,12
4,38
1,93
3,92
3,19
‘2,69
i ufsere‚,„u.Axe
2,921
4,15‘
4,33
4,35
Iiöhe
2,41
1,96
1,461.„, 2,42
lDicke
1,12
2,31
1,85,
0,96
1,43
2,58
,.„,
lV. Dampfinaschinen. 381
b _ ‚ ‚
71-: 0,2 0,234
2
7: 0,94 — 1,04 0,85
‘Zub
B T = 0,318 0,143
d 2 ‘r
1 — 7;‘ 7‘
Auf grofsen Seedampfern ist die unterste Schaufel etwa
18_2l" unter Wasser; bei kleinen 12.-.15". Schnelle
Flufsdampfer haben oft nur 1 _2" Wasser über der untersten
Schaufel, wenn die Räder grofs sind.
4. Die Schraube erhält mindestens 2 —-3 Blätter, selten
mehr.‘ Den Durchmesser macht man so grol's als möglich, liii‘st
aber die Schraube dabei so tief als möglich ins Wasser tau
chen, bei Seeschiffen etwa 18—-24l‘. — Die Steigung wird
verschieden genommen, durchschnittlich etwa. 25°. Die Länge
nimmt man etwa gleich 7', der Steigung.
5. Man wendet Schaufelräder stets bei flachgehenden Schif
fen an, also auf Flüssen mit Stellen unter 6—7' Tiefe. Fer
ner bei Seeschifi'en, wenn diese mit einer ganz zuverlässigen
Regelmäßigkeit zwei nicht zu entfernte Orte mit einander ver
binden sollen; endlich bei Schleppdampfern. — Die Schraube
wendet man vorzugsweise bei Kriegsschifl‘en an, auch bei Schif
fen, die längere Seereisen zu machen haben und nicht streng
an eine bestimmte Zeit gebunden sind, und überhaupt dann,
wenn auf der Fahrt die Tauehung des Schifl'es sehr variabel
ist. Endlich wendet man die Schraube meist da an, wo Segel
schifi‘e Dampfhilfskraft erhalten sollen.
Bei Fahrten gegen Wind und See, oder beim Schleppen
eines Schiffes consumirt die Schraube eine bedeutende Kraft,
weil beim Wachsen des “'iderstandes, also bei einem lang
samem Gang des Schiffes, sich die Reaction der Schraube ge
gen das Wasser vermindert, sie deshalb eine sehr schnelle
Bewegung annimmt, aber ihren todten Gang ganz enorm ver
382 Sechster Abschnitt. — Kraftmaschineu.
r n‘ x 2x Tli ‘z ‘r
1200 9 xs fixs xs.‘I Ißixaäxa ,9„,xs„1vx4‚'x
1500 10 xs «‚‘-'„‚x5.'‚x3‚1r ,°,x4 x5‚[r Tggxö X5
2000 12 X3 {2x6 X4 ,-H’;X4 X3; -:—%>(6-}><5‚1i
2500 12 xs', T',',x6,‘,x4 'tgx4 x26‘, ljäxfilgxsä
3000 12 x31‘, ‘n',><6‚;><4 +gx4 x34 +gx6‚;x5.}
für Platten von ist der Durchm. der Niete
1‘: bis 16,; Zoll ‚2- Zoll
7 9 3
13‘ ‚a T‘H v 1' n
I2.
.“ n +2
I3 „ 1H ”
T1; u T'G v 1 v
Ist die Entfernung der Spanten 16", so werden die Schifl'e
auf 12, ist sie 18", so werden sie auf 6 und 9 Jahre classi
licirt.
Wenn hohle Kiele angewandt werden, so mul's die Dicke
der Platten für dieselben wenigstens das 1,‘: fache von der der
Kielplatten betragen. Die Dicke der Aufsenplatten darf an den
Enden des Schiffes vom Kiel bis zur Oberkante des Schan
deckels nicht vermindert werden. a
Alle Deckbalkenplatteu müssen für jeden Fufs Länge des
mittleren Deckbalkens 113’ Tiefe erhalten und doppelte Winkel
eisen an der Oberkante haben, deren Breite etwa der Tiefe
der Deckbalkenplatte betragen mul‘s.
Die Tiefe der Flurplatten» darf nicht geringer sein als 1"
filr jeden Ful's der Höhe des Schiffes.
Balkwegerplattcn etwa das 4fache der Spantcnbreite. Der
IV. Dampfmaschine“. 387
Dicke
‘r
der Platten in T‘; Zoll Durchm.
‚3311351321533. m‘ifiltg ‘11.0’ ID’i‘Zlie des
melphw . . ‘3232211231132: R“ °“
’ . derh
schitftiefe und nenne dieses die Länge,- dann ist der Tonnen
gehalt
___ Länge x Summe der Tiefen X Summe der Breiten
3500
Wenn das Schifl‘ eine Hütte oder ein Halbdeck hat, so messe
man die innere Länge, Breite und Höhe, multiplicire sie mit
einander und dividire das Prodnct durch 924, so ist dies die
Anzahl Tonnen, welche noch zu dem vorigen hinzugefügt wer
den mul‘s.
Die ältere Methode der Bestimmung des Tonnengehalts, ge
nennt Buz'lder’s measurement, ist:
B2
L__
2
Tonnengehalt =ü 94
(1 Tonne = 20 Ctr. engl.)
f. Ungefähre Gowlchtsbestlmmungen.
Technologie‘.
l. Mechanische Technologie.
A. Maschinen zur Bearbeitung der Metalle *).
1. Scheeren und Lochmaschinen.
Bezeichnet:
3 die Dicke des zu schneidenden Bleches, in Zollen,
a den Scheerenwinkel,
d den Durchmesser der beiden Scheiben einer Kreisscheere,
in Zollen,
d’ den Durchmesser eines zu stofsenden Loches, in Zollen,
u, das Stück, um welches sie übereinandergreifen, in Zollen,
P den gröl‘sten Druck an der Schneide, in Pfunden, so ist
bei Scheeren:
tga=% bis ä,
P= 60000 82.
Die Geschwindigkeit der Schneiden — 1%’ pro Secunde;
bei Kreisscheeren: d = 80 3
u = 0,0152 d
bei Loehmaschinen: d’ in minimo=ö
3 in maximo = d’
P = 188500 d’ 2.
2. Drehbänke.
Die Peripheriegeschwindigkeit des abzudrehenden Stückes
betrage=für Stahl . . . . . . . 1‘-—2‘l pro Secunde
„ Schmiedeeisen . . . . 3_5” „ „
„ gr. weiches Gul‘seisen . . 2_4” „ „
„ w- hurtes „ . . 53-?‘ „ „
„ Messing oder Bronze . . 6—8" „ „
„ Holz . . . . . . . 8—.10” „ „
Die Seitenbewegung des Stichels betrage:
T11: bis ‘wir!’
für eine Umdrehung.
3. Cylinderbohrmaschinen.
Die Peripheriegeschwindigkcit betrage ä von der bei Dreh
bänken angegebenen, die Seitenbewegung des Stichels
c't bis rsiuii'
Der gröl‘ste Druck circa 1000 Pfund.
4. Bohrmaschinen.
Bezeichnet d den Durchmesser des Bohrers in Zellen, so
betrage die Anzahl der Umdr. pro Min. —3—;
tür Stahl ist . . . . ‚c=20—24
„ Schmiedeeisen . . . 38 —- 60
„ weiches Gul‘seisen . . 24 — 40
„ hartes „ . . 10 — 15
„ Messing oder Bronze . 80 — 120
„ Holz. . . . . . 120—160.
Der Vorschub betrage: ‚I‘: bis Tim”.
Gröfster Druck=r2500 d.
Zahl der Pferdestärken (bei Schmiedeeisen)=d‚
5 . Hobelmaschinen.
Die Geschwindigkeit des Stichels sei wie bei Drehbänken.
Die Seitenbewegung des Stichels betrage
für leichte Hobelrm: für schwere H0belm‚:
T's bis r‘ia'" 1": bis 316"’
Die gröfste Breite des Spahns betrage
für leichte Masch‚.: fllr schwere Masch.:
fiir Gufseisen ä” 2 w
„ Schmiedeeisen 7'," i‘
Der gröfste Druck an der Spitze des Stichels ca. 1000 Pfd.
Kraftverbrauch l bis 1% Pferdest.
Für Rundhobel und Nulhemtofsmaschinen gelten die für kleine
Hobelmaschinen gemachten Angaben.
392 Siebenter Abschnitt. —- Technologie.
C. Mahlmühlen.
Reinigungsmaschinen.
a) Rüttelsiebe. Sie haben pro laufenden Fui's 1__ 1%” Fall
und 5_6 Maschen pro laufenden Zoll.
b) Cylindersiebe. Sie sind gewöhnlich von sechseckigem
Querschnitte, haben ca. ‘l Ful‘s Durchmesser bei 6__8’ Länge
und machen 30—40 Umdrehungen pro Minute. Sie sind auf
g der Länge mit einem Gewebe bespannt, das 13-14 Maschen
pro lfd. Zoll erhält, während das letzte Drittel mit einem Ge
webe mit 6 Maschen pro lfd. Zoll versehen ist. Die Neigung
der Cylinder beträgt Q” bis l" pro lfd. Fufs.
c) Spitzgang. Der unten liegende Läufer ist mit fester
Haue versehen, hat bei 2%——3’ Durchmesser mindestens 12"
Höhe und macht 150 -— 180 Umgänge pro Min; er ist in
%— l" Abstand mit einem Mantel, der mit Reibeblech beschla
gen ist, umgeben. Statt eines (zylindrischen Läufers wendet man
oft zweckmäßig einen conischen an.
d) Bürst'werk. Anzahl der Umdrehungen 200-240.
e) Ventilator. Meistens aus Holz; 300 Umgänge.
Vomalzen. Weizen pflegt man vor dem Vermahlen zwischen
2 verstellbaren Walzen von ca. 8” Durchmesser und 16” Länge‚
von denen die eine 48 und die andere 60 Umgänge pro Min.
macht, vorzuquetschen.
Mahlgänge. Die Steine haben 4_..5'Durchrnesser und der
Läufer im Mittel 25’ Peripheriegeschwindigkeit. Bei 4fiil'sigen
Steinen hat das Läuferauge höchstens 10—12" Durchmesser;
das Mühleisen 2%—3” Durchmesser; der stählerne Spurzapfcn
1%” Durchmesser. Die Steinbuchsen sind 5.._6” hoch und
zweckmäßig von Pockholz. Der hölzerne Umlauf ist ä” stark
und nach oben verjüngt. Bei der Centrifugal—Aufschüttung hat
das Zumhrungsrohr bei Getreide 211-", bei Schrot und Gries 33;"
lichten Durchmesser. Beim Ricmenbetrieb hat die Scheibe auf
der Mühlspindel wenigstens 3' Durchmesser und einen 5--6"
breiten Riemen. Ueher dem Mühlengebiete ist zum Anbringen
von Steinkrahnen zum Abheben der Läufer ein freier Raum "an
8' Höhe erforderlich.
Beuteleylinde'r. Ihre Neigung Allgemeinen ä" pro lau
fendeu Fufs) mufs verändert werden können. Sie haben als
Querschnitt ein reguläres Sechseck, gewöhnlich 18__20’ Länge
und 25, 32 oder 38" Durchmesser. Die 32zölligen machen
25_80 Umdrehungen pro Minute. Die Gaze wird zu 32 und
38” Breite gefertigt und erfordert:
394 Siebenter Abschnitt. -— Technologie.
D. Oelmühlen.
Quetschwalzen.
Bei h l . ‚
stündlich. er a ten die Walzen an; Druck? Betriebs
vemp l I zwiischen kraft
bem‘ng Durchm-
‚
Länge Umdreh' Walzen 8D
Pfdrde
n
E. Lohmühlen.
200 je nach der Stärke des Gurus. Anzahl der Umdn-für die
geriffelten Streckwalzen 20 bei 2%" Durchm., für die gerifi'eltcn
Zuführungswalzen 4} bei 1%" Durclun. Anzahl der Rifl‘eln pro
Zoll Durchm. 24. Die Leistungsfähigkeit beträgt pro Spindel
in 12 Stunden 900’. Die Zahl der Drehungen des Garns ist:
° 2,2 I/ Numimerfldes Garns.
d. Wergsplunerei.
r 1. Vorlorempel oder Grobkurde.
T“ „r ';‘_“ _
Benennung i Zahl Durch- Benennung Zahl Durch- i
der ‚ U der messer der der messe)’
w l en mdrc- in walzen Umdre> in
3 Z hungen Zellen hungen Zolleu
v‘ H- _- vs . :.- » w A ‚ ——-— V "l
| ‚
1
Tambour . . 120 48} 9Arbeiter . 0,3 “1%
3 gul'seiserne 3 Kammwal- i
speisewalzenl 0,63 2h‘; zen . . ‚ ‚ 0,97} 12-1
1 gui‘seiserne | i l ‚
Speisewalze i 0,7 | 2)“! äBürstwalzen . 5,6 | 4} i
.‚
‘
1 9 Wendcr . ‚l ‘232,3 g 5% ‘I3 Zugwalzeu. 5,6 ! 31'?
l V | l
2.} St. bei 1%“ B.‚ der fünften 3 St. bei 1‚'[°B., der sechsten
2 St. bei 1% ° Beaume.
5. Drei Säurebehälte'r aus Tannenholz, a 6' lang, 6' breit
und 5' hoch. Das Rad besteht aus verdünnter Schwefelsäure
von 1,007 bis 1,01 spec. Gewicht.
' 6. Das Bleichfafs (Tannenholz) hat 7’ Durchm. und eine
Tiefe von 5%. Zeitdauer des Bades 6 bis 8 St. — Nach jedes
maligem Waschen mufs das Leinen 2 bis 3 Tage auf dem
Bleichplan liegen. Man rechnet auf 1 Stück a 60 Ellen 3.} Pfd.
calc. Soda. Der Gewichtsverlust, den das Leinen durch die
Bleichoperationen erleidet, beträgt 30-3- im Durchschnitt.
f. Appretur.
1. Das Stärken. Auf 100 Stück Leinen rechnet man
durchschnittlich 12 Pfd. Stärke.
2. Stofs- oder Stampfkalander (Beetling mills). Die Lei
nenwalze ist 10’ lg. und 13,’ dick, aus Buchenholz. Anzahl
der Stampfer a 4" im Quadn; 30. Die Daumenwelle macht
30 Umdn, die Leinenwalze 1 bei 146} Umdr. der Daumenwelle
und l hin- und hergehende Bewegung bei 12 Umdrehungen’
der Danmenwelle. Betriebskraft 1.‘! Pfrdst.
3. Mangel. Durchm. der Walzen (Ahornholz), auf wel
che das Leinen gewickelt wird, 6". Die 2 Platten (Ahornholz),
zwischen welchen die Walzen rollen, sind 20—30’ lg.‚ 4’ br.
und 3-4” dick. Das Gewicht der oberen beweglichen Platte
sammt dem darauf befindlichen Steinkasten beträgt 200 bis
400 Ctr. Betriebskraft ‚l- Pfrdts.; liefert bei derselben Arbeits
zeit doppelt so viel als der Kalander.
Die Zeit der ganzen Bleich- und Appreturarbeiten beträgt
im Durchschnitt 6 Wochen. Eine Bleiche, welche 8—.- 10000
Stück jährlich fertig macht, erfordert 30 Pfrdst.
H. Baumwollen - Mannfactur. *)
u. Gewinnung der Baumwolle.
Sägenengrenirmaschine. Anzahl der Umdrehgn. der Sage
blattwalze 150 -_ 200 bei 60 —80 Sägeblattscheiben; Durch
messer der letzteren 10- 12". Betriebskr. 2 Pferdest. Die
Leistung beträgt 50 — 80 Pfd. reiner Faser pro Stunde.
Es können in Bezug auf die Leistung, die Betriebskraft und
die Anzahl der Umdrehungen der einzelnen Spindeln nur Grenz
werthe angegeben werden, da die genauen Angaben hier ganz
von der Güte der Baumwolle, von der Feinheit und dem Draht
b. Spinnerei.
1. Konische?‘ Willow (Zeufeler). Anzahl der Umdr. der
konischen Trommel 4- 600 bei 48" und 21” Durchm. und
6’ Länge. Länge der Stifte 5 -—— 6". Die tägliche Leistung be
trägt 2000 — 2500 Pfd. Betriebskraft 3 Pfrdst.
Ein anderer, häufig angewendeter Wolf ist der Whipper von
Mason. Anzahl der Umdrebgn. der ersten Welle 12- 16000,
der zweiten 13 — 18000. Die runden, geraden oder etwas ge
bogenen Schläger haben 5-6" Länge. Auf der ersten Welle
sitzen 10, auf der zweiten 12 Schläger. Ueber und unter der
ersten Welle sind je 6 Schläger befestigt. Tägliche Leistung
2500 -‚3000 Pfd. Betriebskraf‘t ca. 1 Pfrdst.
2. Schlagmaschine. Anzahl der Umdrehungen der Riem
trommel 60, der Druckwalzen 13.2T bei 5%" Durchm.; Druck
auf dieselben 50 Ctr. Die ‘Vickelwalzen machen 10 Umdr. bei
8“ Durchm., die erste Speisewalze 18 bei 2" Durchm., die
zweite 10 bei 23" Durchm., die dritte 15 bei 2” Durchm., die
Speisetuchwalze 6,5 bei 4%" Durchm., der erste Schlagflügel
‘1300,69; zweite 1500, die Siebtrommel 2% bei 16“ Durchm.
Abstand zwischen Flügel- und Speisewalzen 2% bis 3'”. Breite
der Maschine 40". Die Lieferung beträgt in 12 Arbeitsstnn—.
‘den 2000 Pfund.
3. Epwratemr.‘ Anzahl der Umdrehungen:
der Winkelwalzen . . . 0,1 bei 6%”Durchm.‚
„ Einlal'swalzen . . . 0 ‚5 „ 1%" „
des Tambours . . . . 250 „ 48" .,
„ Rifl’elcylinders . . . 2 „ 1 g" „
der kleineren Trommel . 72 0 „ 1 2%“ „
„ Hülfstrommel . . . 0,4 „ 8" „
„ ersten Filetwalze . . 1 „ 1 2%” „
„ zweiten „ . . 1% „ 12%" „
„ dritten „ . . 1.;- „ 12 ä“ „
.‚ ersten Abzugswalzen . 87} „ 3ä" „
„ zweiten „ . 8.‘; „ 3 ä" „
„ dritten „ . 8.1. „ 3%” „
„ Wickelwalzen ‚ . . 3 „ 10” „
Peripheriegeschwindigkeit des Lattentuches 9,5". Breite der
Walzen 3‘. Der Epurateur verarbeitet pro Stunde 15-—20 Pfd.
Betriebskraft 4} Pfrdst.; derselbe eignet sich sehr gut zur
Wattenfsbrikation.
l. Mechanische Technologie. 405
l
Grobflyer lllittelflyeri Feinflyer ragrägi; 1
l
in Loth . ‚ . ‚ . . 36 l 21 i 12 C 7 V
Umdrehungszahl der I '
SpindelnproMin. . ,360—480:540—680 720_—880 900-1 100.
Bewgkr. pr. Spindel
in Pfrdst. . . . . . 0,03 0,02 0,015 0,012
Spindel - Anzahl ge
wöhnlich . . . ‚ . 30-50 60_80 80—120 100—150
9. Mulemaschine mit 400 Spindeln. Anzahl der Umdr.
des Vordercylinders . . 60_80 bei 1” Durchm.,
„ Hintercylinders . . 9 „ 1„” „
„ Mittelcylinders . ‚ 11 „ .1." „
I. Mechanische Technologie. 407
c. Weberel.
v_ __ '_1{=PP——
‚ i
Spulmasch. mit i i 110 i ||
144Spinde1n . . 1 g 0,2 120 1 41'“ gi
Zettdlmasehine .' 2 ‘ 0,1 93 I 43,8 ‚i
1 |
Schlichtmasch. . 3 —4 0,7 g 120 43‚6 ‚i
Webstuhl . . .‘ 100 0,1 100 40,2 I
Ein mechanischer Webstuhl producirt in 12 Arbeitsstunden
24—-32 Ellen Shirting oder Druckkattun. Die Breite des
Zeuges ist hierbei 31} Elle; 100 Schul‘si‘aden kommen auf 1".
Der Schützen macht in diesem Falle 100_18O Läufe pro Min.
J. Wollenmanufactur.
Wollwaschmaschine mit Pumpe. Betriebskraft = 11} Pfrdst.
Leistung in 12 Arbeitstunden = 600 Pfd. Anzahl der Um
drehungen der Wollwalze = 15 bei 12" Durchm. und li’
Länge. Der Druck auf letztere beträgt 40 Ctr. — Die Wasch
lauge besteht aus: Seifmuzel, Soda und Kalk; Temperatur der
selben 56o R.
Centry‘ugaltrockenmaschine siehe oben.
u. Kammgarnspinuerel.
1. Handkämme. Das Tförmige Holz ist 7" lg., 2” br.
und ä" dick, hat 2 Reihen Zähne; in der äufseren stehen 24
bis 30 h. 10.1" lang, in der inneren 23_29 ä 8" lg. Zahn
410 Siebenter Abschnitt. — Technologie.
Streckwalzen, Umdr.
‚ pro Minute . ‚ . ! 96-240 100—278 70—l80
Eingezogene Bandlgf f
pro Min. in Zollen . ‚ 65_355 49—--357 34__235
Abgegebene „ „ „ . ‘|527__13l9‘15l4_-_l392 357-916
Streckung . . . .1 s‚7_s,15 a‚9_10‚4 3,9_10‚5
i Spindeln, Umdr. pro i ‘
Minute . 400 600 700
Drehungen .prc ‚Zoll E
Vorgespinnst . . . 0,3._0‚76 0‚43—l,16 0‚76.—1
Höhe der Spulen in
Zellen . . . . . 9,5 8 6,5
Die Führungswalzen an der Mittel- und Feinspindelbank
haben 1%" Durchm. Die Peripheriegeschwindigkeit ist am er
sten Paare um 1%, am zweiten etwa um 1'? gröfser als jene
der Einziehwalzen. -
5. lllulemaschine.
Anzahl der Umdr. der Betriebsw. bei der einfachen Geschw. 175,
dezEinziaehwalzen
W „ bei
. ” . . 7’1,9-2‚86 „ doppelten
1" Durchm. „ pro 236,
\Va—
Garnnummer 20 25 1 so _| a5 40 50 i 60
Production pr. l
l
| l
!
r
e‘
r
l '
SpindelinPfd.‘ 1,251 0,98 o‚s0_ 0,67; 0,57: 0‚4s|o‚aa I
412 Siebenter Abschnitt. — Technologie.
b. Streichgarnsplnnerel.
c. Tuchwcberel.
Ein Arbeiter webt täglich 3—6 Berliner Ellen bei ä» Tuch
breite.
d. Tuchappretur.
1. Walzenwaschmaachine. Anzahl der Umdrehungen der
beiden glatten oder gerifl‘elten ‘Valzen 60 bei 18—21”Durchm.
und 3‚}__4’Länge. Betriebskraft 1 Pfrdst. Zeitdauer der voll
ständigen Reinwiische von 2 Stücken Tuch, die zugleich in Ar
beit sind, 2—4 Stunden.
2. Hammerwalke. Länge des Hammerkopfes (Eichenholz)
6‘ bei 8 — 9" Breite (auf der convexen und concaven Seite
gemessen) und 14” Dicke. Länge der Schwinge 6’. Gewicht
des Hammers incl. Schwinge 230-330 Pfd. Die Schwinge
bildet mit der Horizontalen einen Winkel von 45—65°. Hub
des Hammerkopfes 18 -—20". Anzahl der Schläge 45 _ 60.
Betriebskraft 132-2 Pfrdst. Ein Arbeiter kann 2 Walklöcher
bedienen. Man rechnet auf 100 Pfd. Tuch 15-20 Pfd. Seife.
Dauer der Walke 6 —- 24 Stunden, je nach der Beschaffenheit
des Tuches.
3. Walzemualke. Tiefe des Troges 5’ bei 61,’ Länge und
2’ Breite; derselbe wird mit einer 1;’ hohen Kappe bedeckt.
Höhe des Einführungskanals 5 —- 6” bei 2l — 3" Breite, des
Ausfuhrungkanals 3.';_.4” bei 6" Breite. Anzahl der Um
drehungen der beiden, aus hölzernen Latten zusammengesetzten
Trommeln 85 —90 bei 1;’ Durchm. und 6.—7“ Länge, der
l. Mechanische Technologie. 415
K. Maschinen - Papierfabrikation.
l. Alle hier folgenden Zahlenangaben beziehen sich auf
eine Fabrik, die mit einer Papiermaschine ununterbrochen (d. h.
Tag und Nacht) arbeitet.
2. 40 bis 60 Arbeiterinnen sind zum Sortiren und Zertren
.nen der Lumpen erforderlich, um in 12 Arbeitsstunden den täg
lichen Lumpenbedarf von 31 bis 46 Centner zu liefern. Der
Gewichtsverlust beträgt im Mittel 2 g.
3. Der Lumpenschnez'der von der jetzt gebräuchlichsten
Form, von denen einer für eine Fabrik ausreicht, besteht aus
einer massiven gui‘seisemen Trommel von 18" Durchmesser und
18” Breite, die mit 2 in sehr steilen Spiralen liegenden Messern
versehen ist. Die Trommel macht 100 bis 150 Umdrehungen in
4.16 Siebenter Abschnitt. — Technologie.
L. Brauerei.
Die Fronten des Gebäudes wo möglich gegen Morgen oder
Abend.
Quellbottich. Aus Holz, Stein oder Gui‘seisen, Bär-4%’ hoch;
1 Cub.-F. trocknes Getreide erfordert 1%- Cub.-F. und 1 Scheffl.
desgl. 2% Cub.—F. Bottichraum, der aufserdem noch 6" Bord
höhe erhält. Es ist für vollständiges Fundament, bei hölzernen
Bottichen fllr Schwellwerk, zu sorgen; Quellzeit 2 - 3 Tage.
Stäbe 6" bt., 2" stk. Die Riegel sind unter dem Boden 4"
Quadr. und die Unterlagen 5" stark. Der Bottich erhält 3 ei
serne Bänder von 2 — 2%" Breite und {-— g" Stärke.
Quellraum. Er wird überwölbt und befindet sich im Erd
geschofs oder im Keller; seine Grundfläche ist gleich der 4 bis
öfachen, für 2 Bottiche gleich der 3_4fachen der der Bottiche.
Mulztenna (Keimboden). Am besten überwölbt, etwa 9'
hoch und 5 — 6' unter der Erde gelegen; Mulzzeit 8 Monate
(Mitte September bis Mitte Mai). Man kann monatlich Smal7
jährlich 64 mal malzen, wonach der jährliche Getreidebedarf zum
Brauen und Brennen zu vertheilen ist. Kleinster Malzsatz 18
Schffl.; man gewinnt:
1 Schffl. Grünmalz aus g. Schffl. trocknem Getreide,
und 1 „ trocknes Malz aus g; „ „ „
l „ Gerstenmalz wiegt 61 Pfd.
Es erfordert
l C.-F. trocknes Getreide 7%, oder 1 Schffl. 13:} Quadr.-F.
Tennfläche bei 2" hoher Schüttung; bei starkem Betriebe rech
net man 18 Quadr.-F. pro Schffl. Ordnet man 2 über einan
der liegende Malzplätze an, so giebt man jedem g dieser Gröl'se.
Schwelchboden. Er liegt am passendsten über dem Keim
boden und geht durch die ganze Tiefe des Gebäudes. Höhe
7 _8'; Gröfse proSchffl. trockues Getreide 18 Quadr.-F. bei
L'I" hoher Schüttung; das Schwelchen dauert c. 14 Tage.
Dar're. Möglichst nahe dem Schwelchboden; man'kann 5mal
abdarreu, während lmal gemalzt wird. 1 Schffl. trocknes Ge
treide erf. bei besonderer Feuerung 2 Quadr.-F.‚ bei Benutzung
der Dampfkesselfeuerung aber 4 Quadr.-F. Darrfläche bei höch
stens 8” hoher Schuttuug.
Darrraum. Höhe bei gewölbter Decke 8’, bei Balkendecke
10’ im Lichten. Breite des Ganges um die Darre etwa 4’.
DasiDunstrohr hat mindestens 2 Quadr.-F. Querschnitt.
Malzkammer zum Aufbewahren des Darrmalzes; man braucht
pro Schffl. Trockenmalz 1%_1.‘2 Quadr.-F. Schiittfläche.
I. Mechanische Technologie. 419
Siebtrommel zum Entkeimen des Malzes ist 8-. 10‘ lg. bei
2 — 3’ Durchmesser.
Gerstenboden. Soll den jährl. Bedarf an Getreide fassen können.
Einsprenge zum Anfeuchten des Trockcumalzes vor dem
Schroten. Man rechnet pro Scheffel des täglichen Malz-Ver
brauchs 18 Quadn-F. Grundfläche.
Schrotmühle. Erfordert c. 200 Qnadr.-F. Grundfläche.
Maischbonich. Ans Holz oder Kupferblech; höchstens 5’
hoch incl. 6” Bord- und 6” Seihbodenhöhe; er soll 4% des
Inhalts eines Gebräas und das zu verbrauchende Malz fassen.
Zapfbottich. 4—5’ hoch, soll H- des Inhalts des Gebräus,
sowie den nöthigen Malzzusatz fassen. 17 Tonnen Aufgufs ge
ben c. 10 Tonnen Bier.
Wasserkochfafe. Aus Eichenholz; in der Nähe und über
dem Maischbottich 3-5’ Durchmesser; Höhe etwa: 1.} Durch
messer. Aufserdem bedarf man eines Wasserreservoirs, mindest.
in der Gröfse des Maischbottichs, zum Speisen des Quell- und
Maischbottichs, sowie der Pfanne und zum Reinigen der Gefitfse
und des Kühlschiffs.
G‘rand (Würztrog). Ans Stein oder Kupfer, fafst c. 300 C.-F.
Braupfarme (Kessel). Hat des Inhalts der zu brauendeu
Tonnen Bier weniger 0,6 Cub.-F. pro Schffl. des nöthigen Mal
zes zu fassen, da in jedem Schffl. Malz c. 0,6 Cub.-F. Aufgufs
zurückbleiben. Man giebt der Pfanne 2’; der Länge zur Breite,
{- der Breite zur Höhe, und vermehrt letztere um einige Zoll.
Die gröfste Pfanne ist nicht über 3‘ hoch.
Die Brnupfanne ist aus Kupfer.
Die Böden wiegen pro Quadr.-F. mind. 5 Pfd.‚
„ bis 45 Quadr.-F. Oberfl. bis 10 „ und
n n w n n 12 n
Die Wandungen sind 2—4 Pfd. pro Quadr.-F. leichter als
die Böden und die Deckel aus 2—-4”' starkem Kupfer mit 5"
breiten Rändern. Die Gewichte der Braukessel nach gegeb.
Inhalt siehe unter Kessel. '
Brauküche. Wo möglich nach Norden gelegen, 13-- 16'
hoch und. gewölbt. Die Grundfläche ist 12 mal, und wenn der
Maischbottich zugleich als Zapfbottich gebraucht wird, 9mal so
grofs, als die des gröfsten Bottichs. »
Kühlschifh 13 — 15" hoch. Die prenfs. Tonne Würze
(100 Quart=3‚7 C.-F.) erfordert bei 2” Höhe 22,2, bei 3"
Höhe 14,8, bei 4" Höhe 10,1 und bei'6" Höhe 7,4 Quadr.-F.
Kühlschitffläche. Der Boden wird aus 2"igen Kiefer-Kernbohlen
und die Seitenwände aus 2"igen Eichenbohlen gebildet. Die
Riegel unter dem Boden befinden sich in 3—4‘ Entfernung, sind
27"
420 Siebenter Abschnitt. —‘ Technologie.
‘4‚'—5" stk. und mit v2' gebogenen Haken von 8-—10 Pfd. Ge
wicht versehen. Die Schrauben zum Zusammeuhalten des B0
deusT‘undderYSeitenwände befinden sich in Entfernungen von
‘1‚'8‘._. 20".
-1\‚Kühlm1nn. 97-8‘ hoch, erfordert einen Gang von 3‘ Breite
rings um das Schifi‘.
Güm‘botw'ch. 13%.“? hoch; übersteigt ein Sud 25 —37
'proul‘s. Td'n'nen’nitzht, so nimmt man auf jeden Sud 1 Bottich;
hierbei i‘st noch ‘derSteigraum = ä des Inhalts zu’ berücksich
tigen. Die Zahl der Bottiche ist aus der Gährungszeit, die fijr
‚Weii‘sbier 36 Stunden, für einfache Braubiere 3 Tage, fiir La—
gerbiere (bain) 10.-11.2 Tage ist, zu ermitteln; aufserdem mui‘s
1 Reservebottich vorhanden sein.
"iHl‘fengq'd/k. Von 1 Wspl. Malz oder 17-1800 Quart
Würze rechnet man cazx 100 Quart zum Verstellen der Hefe,
wozu incl. ‘Steigraum ein Ge'fitfs von 8000 Cub.-Z. Inhalt er
'fordeflich‘ist; Anzahl der Hefeugefll‘se mindestens = 2.
Gähwaum. Er ist gewölbt, liegt 4 __- 8‘ iu der Erde, hat
9 bis 10’ Höhe und bedarf an Grundfläche 2%—3mal so viel,
als ‘die der Bottiche betragt.
h " ‘Hapfenkammer. vIn den oberen Räumen belegen; man braucht
pro Wspl. Malz 3--6‘Schffl. Hopt'en, und pro Wspl. Hopfen
v‚6 ‘Quädn-F. Grundfläche incl. Ginge.
Spülraum. Er befindet sich zu ebener Erde und ist mindest.
so Ägrofs wie die Brauküche.
Aufserdem ist noch ein Fai‘sboden, ein Holzschuppen, eine
Stube fiir die Brauknechte, eine Wohnung für den Braumeister.
und für Dampfhrauereien ein Kesselhaus und ein Maschinenraum
erforderlich.
M. Brennerei.
Die Fronten desGebäudes wo möglich gegen Abend oder
Morgen zu stellen.
‘19' Die‘allgemeinen Sätze fiir Quellbottich, Quellraum, Keim
boden, Schwelakboden, Daw‘e, Darrruum, Malzkammer, Schrot
mühle ‘siehe: Brauerei.
Kartofi'elwaschmaschine steht entweder über oder unter dem
Dampffal‘s und braucht einen Raum von 74;’ Länge und 3%’
Breite. Die Waschtrommel ist couisch, 6 bis 7 F. lang, Durch
messer 2 bis 21} F. und 2.‘, bis 3 F. Sie ist gewöhnlich aus
Latten gebildet, auch aus Baudeisen. Die ihre der Trommel
ist horizontal. Der Kasten ist aus 2.} bis Bzölligeu Bohlen
hergestellt, etwa 1 F. breiter als die Trommel und so weit wie
I. Mechanische Technologie. 421
N. Zuckerfabrikation.
Rübemnagazin. Es mufs mindestens einen Bedarf für 2 Tage
fassen können. 1 Ctr. Rüben erfordert 3 C.—F. Raum; man
kann sie bis 6' hoch aufschütten. Werden die Rüben in dem
Magazin zugleich geputzt. so rechnet man 200-300 Qnadn-F.
auf Gänge und Arbeitsstellen.
Waschmaschine. Für 250‚Ctr. täglicher Verarbeitung is
die Trommel, welche 15— 20 Umdrehungen pro Min. macht,
8‘ lang, bei 2i-3’ Durchmesser. Diese Trommellänge nimmt
mit je 100 Gtr. täglicher Verarbeitung um 1%.—1,'‚‘ zu. Man
rechnet snf einen Baum von 3—4’ Breite um die Maschine.
Der Elcvator, der die Rüben nach dem Prei'ssaal schafl't‚
wo die Reibxnsschine steht, nimmt eine Grundfläche von ca
12 Quadn-E ein.
Die Reibe verarbeitet bei 22—24" Durchmesser, 13" Länge
des Reibcylinders und 500-—700 Umdrehungen desselben‘ pro
Minute 250—3OO Ctn, bei 900 Umdrehungen 600 Ctn, wüh
424 Siebenter Abschnitt. —- Technologie.
3-4' Breite und 2-3’ Tiefe; je nach der Gröfse des Betriebes
sind 4-8 Stück erforderlich. Die Krystallisation dauert 3 bis
4 Wochen. Für das vierte Product benutzt man gemauerte
Bassins von 10—12’ Länge und 5-6’ Breite und Tiefe; in
diesen verbleibt die Masse bis zum Verkauf. Es geben 1000
Ctr. Rüben c. 30 Ctr. Syrup und hierzu sind 37—-38 Cub.-F.
Bassinraum für je 1000 Ctr. der in einer ganzen Campagne zu
verarbeitenden Rüben erforderlich.
Die Füllstube enthält die Kühler, den zur Füllung der For
men erforderlichen Raum, die Krystallisationsgef‘al‘se, und ver
langt pro 1000 Ctr. des täglichen Rübenverbrauchs ca. 3000
Quadr.-F. Grundfläche.
Die Zuckerböden erfordern, wenn raflinirter Zucker bereitet
wird‚ pro 1000 Ctr. etwa 6000 Quadr.-F., in Rohzuckerfabriken
c. 5500 Quadr.-F. Grundfläche zur Aufstellung der Formen.
Die Höhe der Zuckerböden ist nicht gröfser als 7.1’ von Fufs
boden zu Ful‘sboden.
Die Trockenstuben enthalten Horden-Etagen von 2%‘ Ent
fernung von Oberkante zu Oberkante zur Lagerung der Brode;
1 Quadr.-F. Hordengrundfläche pro Brod genügt für jeden Fall.
Die Zeit zum Trocknen beträgt etwa 8 Tage.
Zum wiederbeleben der Kohle sind nöthig:
a) 2 oder mehrere Bottiche zum Säuern von solcher Gröfse,
dal‘s sie von der zu belebenden Kohle nur zur Hälfte ge
fiillt werden;
ß) 1 Bottich zum Mischen der Säure; er mufs pro Ctr. der
wiederzubelebenden Kohle 20——22‚} Quart fassen. Pro
Ctr. Kohle braucht man c. 15——17ä- Quart Wasser und
pro 1000 Qrt. Saft, der durch die Filter gegangen ist,
10 Pfd. Salzsäure.
y) Mehrere Gährbottiehe, die zusammen den l‚}fachen Inhalt
der zu belebenden Kohle fassen, oder bei trockner Gäh
rung Verschläge. Die Gährung dauert 8_14 Tage.
d) 1 Kohlenwaschmaschine, c. 8_10‘ lg.‚ bei 3' Durchmesser.
g) 1 Darre zum Vortrocknen der gewaschenen Kohle; man
rechnet 60 Quadr.-F. Trockeuplatten auf je 1000 Ctr. täg
lich zu verarbeitender Rüben.
g) 1 Gliihofen; für je 100 Ctr. täglich zu glühender Kohle
gebraucht man 2 Glühcylinder.
Knochenkohle. 1 Cub.-F. wiegt 37-42 Pfd.; mit Safl; ge
sättigt 65—70 Pfd.
Der Kohlenwiederbelcbimgsruum erfordert pro Filter durch
schnittlich 300._-320 Quadr.-F. Grundfläche.
428 Siebenter Abschnitt. —- Technologie.
O. Pumpen.
‘Es bezeichne:
Q das Wasserquantum, welches eine Pumpe liefern soll, in
Cub.-Ful’|en pro Secnnde,
d den Durchmesser des Pumpencylinders in Ful‘sen,
h die Hubhöhe des Kolbens in Ful‘sen,
u die Anzahl der Doppelhübe pro Min.‚
v die Kolbengeschwindigkeit in Ful‘sen pro Secunde‚ in der
Regel 1‘ bis 11;’, höchstens 2",
c die Geschwindigkeit des Wassers in den Suugröhren, ye
wöhnlich = 3 bis 3,5’.
1. Das theoretische Wasserquantum, welches eine Pumpe
pro Secnnde liefert, ist:
fllr einfach wirkende Pumpen Q=-6u—0 571.-
a2 h,
d?
für doppelt „ „ =€6 "2 h.
2. Das ejfective Wasserquantum erhält man, indem man
das theoretische Wasserqnantum multiplicirt mit:
0,9 bis 0,85 bei gut ausgeführten Pumpen,
0,85 „ 0,8 „ gewöhnlichen „
3. Der erforderliche Durchmesser des Pumpencylinders ist:
4
für einfach wirkende Pumpen d = 1,41 Vk fl-i ,
4Q
'
für doppelt „ .‚ (l = V10 —
7“ ,
432 Siebenter Abschnitt. — Technologie.
k 100+c z
D = o ’ 888 3 V[1O0y‚+ «1,7 ]24E’
_
für Steinkohlenhohöfen
3
k
—v—« 100+c —E
Z
D = 0,9723 V
[100y‚+ qly 24 ’
28*
436 Siebenter ‘Abschnitt. — Technologie.
,1 TI fürLuft
kalte für Luft
erhitzte ‘3
n '
j, fiirkohlen
weiche. Holz-
. . . i
l
0:0,47661/E
a_
l
— 1>=0,4500 VE
s_ L:
,
t a__ a
im: harte 00.. . D==0,41251/E 0:0,30201/15 |‚
3__ 3__
im Coaks ‚Hi D=0,6054l/E
l ' -‘ ‘
| für Steinkohlen .
s_
D=0,6249l/E ’
D=0‚5657VE
12=0‚5917 VE
s_
l
ö‘. Für die übrigen Dimensionen giebt Lindauer folgende
Verhältnifszahlen an:
II
für für für '
Holzkohlen Coaks Steinkohlen|
W31’
Durchm. der Gicht. . . . . 0,401) 0,5 D 0,6 D 1
„ oben im Gestell. . 0,35 D 0,25 D 0,25 D
„ zwischen d. Formen 0,25 D 0,21 D 0,25 D
Höhe
„ des
„ ganzen
Obergestells
Gestells. . . 0,74
0,49DD 0,667 D
0,457D 0,1461)
0,25 D
„ V für ‘ fiir |
"
l
1
| —
kalte Luft
_
P erhitzte Luft
d
[r
l 3 3
l‚
‘ für weiche Holz- l E E l
1. m. 00.11.3. . . .
l
'
D= 0,9629 V2
9’
a
VF
D= 0,8997 V-E;
v
s
l
VE ' l
für Stemkohlen ‚ D= 0,8526 — D= 0,8135 -—
.! , i?’ 9’
i‘ i
[8; „3,618:
3'“: F‘ "11 „1289;,
114‘ 11 n w. vom 1 F" ‚I'
ä knlte Wßrma kalte ‘ ‘warme kalte “ wnnnc. knlte' E warme
Es‘ Luft Luft Luft Luft LLufl: Luft 1 Luft L_Lul't_1
Bedarf i
Beschaffenheit der Erze |
an an
Holzkohlen Coaks
'. Gebläse.
l. Die Windmenge. Nach älteren Angaben rechnet man auf
l Pfd. Brennmaterial 120 Cub.-F. Wind. Nach der Regel von
Thomas und Laurens soll die dem Hohofen durch die Formen
zugefilhrte Windmenge höchstens so grofs sein als zur Umwand
lung der Kohle, welche durch die Gicht aufgegeben wird, in
Kohlenoxydgas erforderlich ist. Hiernach sind in 1 Minute
73,62 Cub.-Fufs Luft von 0“ nnd 28" Bammeterst. auf jedes
Pfund festen Kohlenstofl’ erforderlich. Die flüchtigen Substan
zeu, so wie auch das Wasser und die Asche müssen bei der
Berechnung abgezogen werden. Für gew. Holzkohlen, die 7 3
Wasser, 2‚',»0°— Asche und 142 flüchtige Bestandtheile enthalten,
ist die Luftmenge 57 Cub.-Fu(‘s fllr 1 Pfd. Kohle. Für Coaks
von 5% Wassergehalt, 33 Gehalt an flüchtigen Stofl'en und 12g
Asche würden 59;- Cnb.-Ful'a auf 1 Pfd. nöthig sein. Berück
sichtigt man den Windverlnst, welcher unter Umständen % des
ganzen Luflzvolnmens betragen kann, so kann man die Luft
menge auf 78 Cnb.-Ful‘s auf 1 Pfd. Kohle annehmen.
Nach Mayrhofer soll die kleinste Windmenge, welche ein
Hohofen in lMinute nöthig hat, = 0,785 (34-D) Dl Cub.
Ful‘s und die gröfste 1,1 (34—D) D’ Cub.-Ful‘s betragen,
wenn I) der Kohlensackdurchmesser in Ful‘sen ist.
Karsten giebt zur Berechnung des Windquantnms folgende
Regeln an:
i v ___„__‚ I
‘ _ —-- II „„iDzII Lwindmfnge
I c._c.:-z—ß‚ _‚
pro Minute l
r
y‘ i 3 ‘ “ r
“1; Holzkohlenhoh-
Coakshohöfen . 1r 40.40‘ ‘i1=3‚g_4 nie unter2000 ‘V
Man läl'st die Ventile 18-—20° (das ist ‚f; ihrer Breite)
aufgehen. Die Ventile müssen gegen die Kolbenstange zu auf
gehen und rings um die Oefl‘nnng i-ä" Auflager haben. Durch
grol‘se und viele Einlafsventile werden ihre Dauer und der ganze
Betrieb bedeutend verbessert.
g. Der Querschnitt aller Druckventile ist mindestens ‚5'?
vom Querschnitt des Cylinders oder Kastens.
11. Das Verhältnifa zwirchen der eingeaaugten wnd der aus
geblannen Luft ist bei hölzernen Kastengebläsen 5 : 3,
und bei eisernen Cylindergebläsen 4 : 3.
‘9. Der Querschnitt der Windleitung. Ist F die Summe
der Flächeninhalte sämmtlicher Gebläsekolben und f der Quer
schnitt der Windleitung, so soll
bei einer Kolbengeschw. von 4‘, f = 2%: sein,
„ „ „ „ 34;’, f=2l; „
‚ „ „ „ 3‘, f=2i „
„ „ „ „ 2%’, und
„ „ „ „ 2', f= sein.
e_ 2 R’ sin a '
m = 30 R",
446 Siebenter Abschnitt. — Technologie.
R2
a s
In dieser Formel bezeichnet:
s das specifische Gewicht des Modells,
S „ „ „ „ Gul'sstücks,
M „ absolute Gewicht des Modells,
a „ Schwindungsverhältnifs. Dieses ist das ursprüngliche
Volumen, dividirt durch das Schwiudmaal‘s "‘). Letzteres
beträgt für Gul'seisen flir die Längenausdehnung 5'? der
Länge, für die Flüche 1‘? vom Quadratinhalt und filr den
Körper 1'.‘ vom Cubikinhalt. Mithin ist für Gul‘seisen a
annähernd = 32 zu setzen.
Modells a
ß 5
‚ä
ä
m
ä ä)
A M
N5
Schwindmaafs -Tsbelle.
er‘
| ä.‘e!
V
B. Stabeisen - Fabrikation.
a. "orbereltung des Bohelsens.
(Das Weil‘smacheu.)
c. Stabeisenbereitung in Flammöfcn.
Betrieb der Puddelöfen mit Steinkohlen und Holz.
Der Einsatz beträgt 360—460 Pfd.
Daa Gewicht der Lappen ist 50 —— 70 Pfd.
Die Dauer des Garmachens ist bei grauem Roheiseu 2% bis
ä Stunden, bei weil‘sem 1%—2{ Stunden und bei Feineisen
‚1- —- 2 Stunden.
Der Abgang ist bei weifsem Eisen gew. 7 — 9% und bei
grauem Holzkohlenroheisen gew. 12 ‘.1.
Der Brennmaterialverbrauch ist fiir 1 Pfd. Feineisen 1} bis
i} Pfd. Steinkohlen, und für ‘l Pfd. weifses Eisen ca. 1 Pfd.
Steinkohlen.
Von lufttrocknem Holze sind 9—'10 Cubikfufs (220 bis
240 Pfd.) gutes Fichtenholz zu 100 Pfd. Luppeneisen bis zur
Darstellung der Rohschienen nöthig.
Die wöchentliche Praduction (in 6 Tagen) ist bei grauem
Holzkohleuroheisen etwa 200 Ctr. und bei Feineisen 280 bis
300 Ctr.
Il. Eisenhüttenkunde. 453
f. Sehwell'sol'enbetrleb.
l. Das Blechwnlzwerk.
Die Länge der Walzen hängt von der Breite der Bleche ab,
wie die Tabelle zeigt.
v'l
Schieneulänge
__‘—_i -l
I 18‘ ‘_ 15' I 12' i
Pfund Pfund Pfund
Gewicht eines Paquets . . . . 480 405 375
Gewicht der daraus erhaltenen fer
tigen Schiene . . . . . . [375 315 ‘290
Ein Paquet enth. an Deckschienen
und Stäben . 125 105 95
„ „ „ Rohschienen ‚ 355 300 280
Aus 100 Pfd. paqueti'rtem Eisen
erhält man:
an fertigen Schienen . . . . 78,12 77,78 77,33
an Schienenschöpfen und Appretur
abfüllen . . . . . ‚ . . 11,46 13,58 14,67
an Abbrand . . . . . . . 10‚42 8,64 8,0
Der Kohlenaufwand zu 100 Pfd.
fertigen Schienen ist incl. den
25 Ctr. Kohlen zum Anheizen
des Schweil'sofens . . ‚ . . 60 50 50
2. Schwmuzhäm'mer.
i
1 i Gew- des Anzahl 7 i Productiorl l
i Hammers Hubhöhe derschläge in
ohne Ilelm I pro Min. 12 Stunden
C. Stahlfabrikation.
u. Boh- oder schmelmtnhlbereltung.
1. Aus grauem Roheisen. In Westphalen und Oberschle
sien gehen auf 1 Centner Rohstahl bis 40 Cub.-Fufs Kohlen.
Bei ordinairem Roheisen erhält man ans 3 Centner Roheisen
2 Centner Stahl, bei besserem aus 7 Centner Roheisen 5 Centner
Stahl, und bei sehr gutem Roheisen aus 4 Ctr. 3 Ctr. Roh
stahl. Die wöchentliche Prodnction in einem Feuer beträgt
etwa 25 Ctr.
2. Aus Spiegeleieen. Im Siegenschen erhält man aus 100
Pfd. Spiegeleisen 73-- 75 Pfd. Rohstahl; davon sind 75 bis
86g spröder (Edelstahl) und 211-253 weniger spröder Stahl
(Mittelkühr). Auf 100 Pfd. Roheisen gehen etwa. 17 Cub.-Ful's
Kohlen, und ein Feuer liefert wöchentlich 40-50 Ctr. Stahl.
3. Aus weifsem garsckmelzenden Rohea'sen mit geringem
Kohlenstofi‘gehalt.
458 Siebenter Abschnitt. — Technologie.
b. Puddelstahlhereitung.
Zu Gaisweide und zu Haspe werden pro Charge 320 Pfd.
Holzkohlenroheisen und 70 — 80 Pfd. Spiegeleisen eingesetzt.
Man macht in Gaisweide in 13 zwölfstündigen Schichten 68
Chargen, während man zu Haspe in 12 Stunden 8 Chargen
macht. Der Abgang beim Puddeln beträgt 7 —Sg und beim
Heizen der Luppen 4 —5%‚ also in Summa 11 _1a.g‚. Zu
100 Pfd. Stahl und Eisen sind 113,4 Pfd. Roheisen und 131
. Pfd. Steinkohlen erforderlich.
Zu Lohe bei Siegen verarbeitet man Stahlberger Rohstahl
eisen, welchem man nach dem Einschmelzen kalte Rothschlacke
und ein Gemisch von Braunstein und Kochsalz, im Verhältnifs
von 1:2, zusetzt. Auf einen Einsatz von 350 Pfd. Rohstahl
eisen kommen folgende Perioden:
vom Einsetzen bis zum Einschmelzen des
Rohstahleisens . . . ä Stunden,
auf den Schlackenzusatz . . . . . . ä
auf das Garen . . . . . . . . . ä
auf Luppenmachen und Wiederherstellung
des Ofens . . . . . . . . . . {- „
in Summa 2 Stunden.
Man macht aus einem Einsatz von 350 Pfd. 7-—8 Luppen
und verarbeitet in 24 Stunden 4200 Pfd. Rohstahleisen, hat
20 g Abgang (davon 9 3- beim Puddeln und 11% beim Aus
schweifsen), so dal's 3360 Pfd. Puddelstahl erfolgen, und zwar
durchschnittlich 78% erster und 22% zweiter Sorte. Der Koh
lenverbrauch zu 1 Ctr. Puddelstnhl ist 0,50 Tonnen.
Zu Neuburg pnddelt man in einem Gasofen in 28 zwölf
stündigeu Schichten 118 Chargen s 3 Ctr. Roheisen, und er
hält mit 70 Wiener Klafizem Holz und 35400 Pfd. Eiseuflossen
30504 I’fd. Stahl. Auf 100 Pfd. Stahl gehen 116,5 Pfd. Roh
ll. Eisenhüttenkunde. 459
c. Cemeutstahlbereltung.
Die Cernentirkiisten sind gew. 8—15’ lang, 26-36" breit,
28—36" hoch und werden aus feuerfestem Thon oder feuer
festen Ziegeln, zuweilen auch aus feuerfesten Sandplatten an
gefertigt. Die schmiedeeisernen Stäbe, welche zur Cementation
genommen werden, sind mindestens 2" kürzer als die Kästen,
31'—_9 Linien dick und 2}—5%" breit. Ein Einsatz filr
einen Ofen beträgt gewöhnlich 300 Centner. Für Oefen, de
ren Einsatz zwischen 200 und 480 Centner schwankt, lassen
sich die Dimensionen der Kästen nach folgenden Formeln be
rechnen:
1. v = 0,002688 P
3
2. 1:0,32 VF
3._
3. b=0,08 l/P
a
4. e= 0,0436 VP.
In diesen Formeln bedeutet:
P den Einsatz in Pfunden,
l die Länge der Cementirkitsten in Fufsen,
b die Breite der Cementirkästen in Ful‘sen,
v das Volumen der Cernentirkästen in Cub.-Ful'sen und
e den Raum zwischen zwei parallel in einem Ofen stehenden
Cementirkästen, in Fufsen.
Das Volumen des in jeden Kasten eingeladenen Eisens
kann bis 36% vom ganzen Volumen betragen. Als Cementir
pulver dient Holzkohle, am besten von hartem Holze (Bu
chen-, Birken- oder Eichenholz). Die Kohle wird theils als
Pulver, theils in kleinen Stücken, die das Volumen von 7'5 Cnb.
Zoll nicht übersteigen, angewendet. Man kann auf l Centner
Einsatz ungefähr } Cub.-Fufs Holzkohlen rechnen. Die Oefen
fassen zwei Cementirkästen und werden mit Steinkohlen oder
Holz gefeuert. An Steinkohlen gebraucht man etwa %—%
Pfund auf 1 Pfund Cementstahl. Der Prozefs dauert bei einem
Einsatze von 340 Centner 5 ——9 Tage, gewöhnlich aber 7 Tage.
Ein Cementir-Ofen kann jährlich höchstens 20mal betrieben
werden.
Beim Raffiniren oder Gerben des Stahls beträgt der Abgang
7_12g- und der Brennmaterialverbrauch auf 100 Pfd. mffinir
460 Siebenter Abschnitt. — Technologie.
III. Gasfabrlkaflon.
A. Die zur Gasbereitung angewendeten Kohlen
und ihre Ausbeute.
a. Gnausbeute.
1. Der Quantität des Gases nach hängt die Güte der Koh
len im Allgemeinen von dem in ihnen enthaltenen Ueberschnfs
an Wasserstoff über den zur Wasserbildung nöthjgen Gehalt ab.
Es beträgt die ganze Ausbeute per Zoll-Centner:
bei den besten sächsischen Kohlen bis 445 Cub.-Fufs engl.
33312 3313 Saarbrücker .‚ „ 480 „ „
westphälischen „ „ 500 „ „
.‚ New Castle „ „ 500 „ „
.„ BogheadCannel„ „ 750 „ „
111. Gasfsbrikuion. 46 1
b. Die Coaksausbeute
beträgt dem Gewichte nach von
sächsischen Kohlen . . . ‚EO-60%,
Saarbrücker „ . . . 60 ‚3.,
lVestphiilischen „ . . . 70 g,
New Castle „ . . . 70 g und darüber.
c. Theer
gewinnt man ca. 4+3. dem Gewichte nach. 1 Cub.-F. Theer
wiegt, je nachdem er flüssig oder verdickt ist, 70-—80 Pfd.
An Ammoniakwasse'r gewinnt man ungefähr 10 Gew.-3.
B. Die Destillation.
a. Das Brennmaterial.
1. Der Verbrauch an Coaks bei der Feuerung beträgt:
bei grofsen Werken und Oefen mit 7 und mehr Retorten
20_.a0 g. ‚
„ kleinen „ „ „ „ 1, 3 und 5 Retorten
36 _ 50 g
der Coaks-Production.
2. Bei zweckmäfsiger Anordnung zur Feuerung mit Theer
ersetzt l Ctr. Theer l preufs. Tonne (= 1.} Ctr.) Coaks.
lII. Gasfabrikation. 463
b. Die Retorten.
1. Die Dauer von gufseisernen Retorten ist bei Anwen
dung einer Chamottehülle ca. 8-9 Monate, von Thonretorten
2—2.} Jahr. Das Material zu letzteren ist ein Gemenge von
1 Theil Thon mit 11'; bis 2 Theilen Chamotte.
2. Gewöhnliche Dimensionen von Thonretorten sind: 16 bis
22" Weite, 12-18" Höhe, 7-9‘ Länge. Das Gewicht be
trägt 9- 15 Ctr., der Preis 20_36 Thlr. Die Wandstärke
ist 2_3” mit einer Verstärkung nach vorn bis zu 3.} und 4"
zur Aufnahme der Schraubenbolzen, mittelst welcher das Mund
stück befestigt wird.
3. Das Mundstück erhält denselben Querschnitt wie die
Retorte. Die Fuge zwischen Mundstück und Retorte mufs sorg
faltig mit Eisenkitt gedichtet werden, fllr welchen folgende Zu
sammensetzung zu empfehlen ist: 1 Pfd. Eisenfeilspähne, 1 Loth
Schwefel, 1 Loth Salmiak und 1} Pfd. feuerfesten Thon. Die
Wandstärke beträgt ä bis 1". Das auf dem Mundstück auf
geschraubte Rohrende (zur Aufnahme des Ableitungsrohres) hat
eine lichte Weite von 5—6”.
4. Der Deckel ist ‚y‘ dick und mit kreuzförmiger Verstär
kung versehen. Auf der Innenseite hat er einen Rand von ä"
Höhe. Die Dichtung wird mit irgend einem billigen Binde
mittel hergestellt.
5. Das Ableitungsrohr ist 5—6” weit und soll sich oben
zu nicht weniger als 4" verjüngen.
c. Die Deren.
1. Die Lage der einzelnen Retorten in einem Ofen ist von
ihrer Anzahl (am zweckmäfsigsten 5, 6 oder 7) abhängig und
aus der folgenden Darstellung ersichtlich:
Lage für 2 Retorten in einem Ofen . . A ‘l:
l
7, D 3 ‚Y 99 5 ‚l l Q l
Q Q
a’ ‚v 5 n n v w c Q oder
C1
464 Siebenter Abschnitt. —— Technologie.
Q Q
Lage fiir 7 Retorten in einem Ofen . . Q Q Q
Q Q
O O O
n ‚3 77 7! ‚y ‚y o o o o
O O O
Die horizontale Entfernung der Retorten von einander ist
ungefähr 6".
2. Das Gewölbe des Ofens, wie alles unmittelbar mit dem
Feuer in Berührung stehende Mauerwerk, ist recht stark aus
Chemottesteinen herzustellen und umschliefst die Retorten in
einer Entfernung von 2,1... 3”.
8. Der Feuerunysraum ist je nach der Art des Brennma
terials und der Anzahl der Retorten verschieden. In Bezug auf
die Rost/‘(ziehe kann man bei Coaksfeuerung und einem Verhält.
nisse der Rostspalteu zur Rostfläche wie 1 : 2 im Durchschnitt
rechnen:
fiir einen Ofen mit 1 Retorte 1} — 11, Quadr.-F. Rostfläche,
” 2 9‘ "_ W n
„ 3 „ 1*} —- 2 „ „
„ 5 n 2 —2{' „ „
„ 6 „ 2% —— 2}; „ „
v 7 n 2'} —' 3 ‚l v
Die Breite der Roststäbe ist passend 1%.-—1‚}”‚ die Länge
des Restes ea. ‚1, der Retortenlflnge, die Sehichthöhe des Brenn
materials 9" bis 1’.
4. Dem Aschenfall giebt man eine. Tiefe von mindestens
18"; derselbe ist so viel als möglich voll Wasser zu halten.
5. Den Fuchs bringt man in der Höhe der untersten Re
torten an. Den Hauptcanal einer Ofenreihe legt man am zweck
mäfsigsten über die Oefen. Für den Schornstein ist die kreis
runde Form die_beste und man rechnet für jeden Quadrat-Fuß
Rostfläche ca. 2} bis ‚'i Quadrat-Fuß Schornsteinquerschnitt. 70
—- 100’ ist die ‘geringste Höhe.
6. Zur Bestimmung der Gröfse des Retortenhauses sind
noch folgende Dimensionen maafsgebend:
Dicke der Hinterwand bei einfacher Ofenreihe . 9 _ 12“
Dicke der Scheidewand bei doppelter Ofenreihe . 3’
Sehlufsmauerwerk am Ende einer Ofenreihe . . 4 — 6‘
Höhe des Gebäudes in den Längenseiten . . . ca. 20’.
Ill. Gasfabrikation. 465
d. Die Vorlage.
Der Querschnitt derselben ist zweckmäfsig ein Ut‘önniger,
die Weite und Höhe ist 1—2', die Wandstarke ‚y‘. Die Länge
ist je nach der Gröfse der Oefen verschieden und hängt davon
ab, ob man die Vorlage fllr alle Oefen gemeinschaftlich macht
oder jedem eine besondere giebt. Man flillt sie mit Was
ser und läl'st die Röhre — U," eintauchen.
C. Die Condensation.
a. Bei der Luftcondensatz'on rechnet man auf 1 C.-F. Gas,
welches die Kuhlröhreu pro Minute passirt, 3 Quadr.-F. Kühl
fläche oder 50 Quadr.-F. auf 1000 Cub.-F. Gas pro Stunde.
b. Meist wendet man zur Vervollständigung der Condensa
tion noch den Coakscondensator (Scrubber) an, mit. dem man zu
gleich ein Waschen des Gases verbinden kann, dadurch, dal's
man die Coaks feucht erhält. Die Gröl‘se dieser Apparate hängt
von der Wirkung der Luflzcondensation ab und mul‘s dabei stets
der Grundsatz berücksichtigt werden, „dal's eine starke Condensa
tion nie schädlich wirken kann“. Bei kalter Luftternperatur
ist 10° C. in der Condensation nicht zu überschreiten.
c. Wird das Gas in besonderen Waschapparaten, und nicht
zugleich im Scrubber gewaschen, so erhält das Wasser sehr pas
send einen Zusatz von i ,‘}- irgend einer Saure.
d. Ein „combinirter Reinigungsapparat“ (Waschapparat,
Scrubber und Coudensator enthaltend) ist da zu empfehlen, wo
es auf Raumersparnifs ankommt. Ein Apparat von 4’ im Qua
drat genügt’fllr eine Production von 50000 Cubik-Ful‘s in 24
Stunden.
e. Unmittelbar hinter dem Condensator ist der passendste
Platz fijr den Exhaustor. Die Gröl‘se desselben, die Zahl und
Höhe der Hübe bei Glocken- und Kolbenexhaustoren oder die
Zahl der Umdrehungen bei rotirenden richtet sich nach der
Gasproduction, so dafs immer mehr Gas producirt wird als der
Exhaustor fortschafl‘t. Bei der Veränderlichkeit der Gaspre
duction ist es vortheilbaft, die Zahl der Hübe oder Umdrehun
gen verändern zu können.
E. Gasometer.
Der nutzbar räumliche Inhalt des Gasometers einer Fabrik
mui‘s mindestens gleich der Hälfte der Consnrntion in der läng
sten Nacht sein. Es ergiebt sich aus folgender Formel:
c
g._b=k—-äs,
wobei g der nutzbare Gasometerinhalt ist,
b der Bestand an Gas, welcher fllr besondere Fälle stets auf
bewahrt werden mul‘s (pro Flamme ca. 3 Cub.-Fufs),
k der Consuln zwischen den beiden Zeiten bei Tage und bei
Nacht, wo Consumtion und Production einander gleich
sind,
c der Consum in 24 Stunden bei dem stärksten Botrieb‚
s‘ die Zeit in Stunden während k consnmirt wird.
k
Ist das Verhältnifs von -—=—n- (einem nach Wahrschein
c m
lichkeit angenommenen Bruch), so läfst sich das Gasquantum c,
das bei einem bestimmten Gasometer-Inhalt g und gleichförmi
ger Prodnction in 24 Stunden abgegeben werden kann, aus fol—
gender Formel „berechnen:
C=—g _b .
‘II 8
m‘24
Im Allgemeinen schwankt der Gasverbrauch in der längsten
Nacht zwischen dem 2- und ‘lifuchen Betrage des täglichen Mit
tels aus dem Jahresconsum.
Die Höhe des Gasometers ist am zweckmitfsigsten gleich dem
halben Durchmesser, und dieser ergiebt sich aus dem Inhalte g
durch die Formel:
3
8— 3
d = V;g==l,3655
Der Druck, den eine Gasometerglocke auf das darin befind
liche Gas ausübt, wird ausgedrückt durch die Formel:
__ 0,27 W (0‚085S(H—b) 0 oogh
p _" dz — (" ' d, H‘ + 1 )
F. Röhrenleitungen.
Bestimmung des Böhrendurchmessers.
1. Prechtl, der bei seiner Formel nicht auf den Druck am
Anfang u. Ende der Röhrenleitung Rücksicht genommen, giebt fol
gende an: d V k V‘l’
= 0,0178 V k V7,
3 162,28
wo d den Durchmesser der Röhre in Zollen,
k die Gasmenge in Cub.-F., die pro Stunde durch die Röhre
gefiihrt wird, und
l die Länge der Leitung in Ful'sen bezeichnet.
2. Die von d’Aubisson gegebene Formel nimmt auf den
Druck und die Dichtigkeit des Gases Rücksicht. Sie heifst:
5__—_.—_
d=v35‚os 4 77599
1
h.
Ausflufsmengen in Cub.-F. pro Stunde bei 1“
J
l“ i
60 ‘2291 7253
90 2149 59411216021262
120 1659 5127'1134016192 26965
150 1666 4560 941716367 25756 3616653306
300 1777 3244 66521164316322 2698913767050519
450 961 2653 5421 946314966 210273075641334
600 633 2264 4706 820912976|190512661135757
750 745 2053 4212 7357115661706623646 32367
900 679 1871 3644 671610594154792166629196
1200 589 1615 3326 5604 91361359416576‘25259
1500 529 1433 2960 5129 816412039i16848 22526
1600 460 1324 2721 4725 74611097015292 20557
2100 442 1227 2505 4307 6901101671416919026
2400 _ 1142 2354 4063 6463 95261330517624
2700 _ 1061 2203 3647 6075 69961226616639
3000 __. 1020 2095 3676 5763 653311636i15965
5260 _ — 1576 2767 4374 6416 396512137
7920 _ — 1236 2261 35475225 7257 9641
10560 _ .- 1123 1957 3013 4496 6307 6529
15640 — — — _ 2527 3704 5164 6889
21120 — _ — _- _ 3175 4496 6014
26400 _. ß _ _‘ _ ._ _- 5356
30000 _. __ _‚_’ _.— _
_ l’ 2:’
Ill. Gssfabrihtion. 469
2
d = l/Ä,
(2338)‘):
wo Q die Ausflufsmenge in Cub.-F. pro Stunde,
l die Länge der Röhre in Ful‘sen,
d Durchmesser der Röhre in Zollen,
h Druck in Zollen Wasserhöhe,
s Dichtigkeit des Gases (Luft: 1) bezeichnet.
4. Tabelle für Strafsenleitungsröhren.
Wasserdruck und 0,420 Dichtigkeit des Gases.
65475
53970 84758 l‘124362
46575 73288 107950 150681 201986
42580 65703 96579 134774 179252 235440 300564
37935 59875 881111123033 164899 214920 272467 392418
32845 51904 76204 106464139530 136840235877 344050
29430 46461 68266 95785 127714 164700211048 308458
26865 43379 62181 871455116785 151740 192753 281080
24840 39288 57682 809245108037 140400 177071 260091
23220 36547 53978 75740 101039 131220 166617 243664
21870 34599 50803 71248 95653 124200 158122 228062
20790 32853 48157 67382 90541 117720 148972 218111
17010 24688 36250 50803 68234 88560112384164268
12690 20217 29635 41512 55549 72360 91476134152
11070 17526 25686 35942 48114 62640 79061115900
9040 14191 20905 28030 39336 50760 64680 94910
7836 12247 17992 25228 34117 44280 55892 82134
7020 10886 16140 22464 29305 39420 50311 73008
__ 10303 15081| 21082, 284311 36720 47044, 68445
470 Siebenter Abschnitt. — Technologie.
Ist der Druck ein anderer, so hat man nur die in der Ta
belle angegebene Zahl mit der Quadratwurzel des Drucks zu
multipliciren.
Ist die Dichtigkeit eine andere, so mufs die Zahl durch die
Quadratwurzel aus der gewünschten Dichtigkeit dividirt und
mit V0,42 multiplicirt werden.
5. Die Zuleitungsröhren für die Laternen mache man nicht
unter 9,” weit, diejenigen fiir Privathäuser
für 1 — 20 Flammen — 1” weit
„ 20—s0 „ — 1%" „
so _. 50 „ _ 1,1," „
50.430 „ — 2“ „
6. Tabelle für Röhrendimensionen von Hausleitungen bei
stündlichem Consum von 5 Cnbik-Ful‘s pro Flamme.
21% 350
150 22895 15665 11448 9037 70
30 60
25 50
20 40
16 13
25 H
Beim Berechnen von Röhrendimensionen ist noch auf die
Neigung, in der sie liegen‚ Rücksicht zu nehmen. Auf 10 _ 12'
Niveaudifiierenz rechnet man T15" Druckdilferenz.
b.— von dem Material.
Die Röhren zu den Strafsenleitungen bestehen aus Gul'seisen
und werden am besten durch an dem einen Ende angegossene
Mnfl'en, die aber nicht conisch ausgedreht sind, mittelst Werg
Blei gedichtet.
Die Metalldicke ist passend:
8: s" wenn 11:2”
8:: 7 I’ „ d = 12"
Ö‘ = 22;’ „ d = 20"
und die Dimensionen der Mulfen sind:
lll. Gusl'lbrication. 471
l‘ 2 1' s 9 42 i 1; u,
1 2; 4 6 9 54 g 1; 2 ‘
1} 3 g 9 3 100 i 1% 2,} 4
4 i i 9 4 140 i 1% 3%
i 5 g ‚ 9 r 4 2001 1 5 |I
6 g ‘ 9 | 4 1 250 ! 2 6:; ß
| s ‚g ‘V 9 ! 4 4007 2% 9 '
10 1‘; 1‚ 9 1 4:! 590 2; 12;
I 12 g ! 9 4% ‚ 760 f 2% 163; v’
l 15 ‘ 1} ; 9 4.‘,I ‚1000 i 24 29.‘, l
1 | V i
l 18 1 % 1 9 4% 11380 2% 92% |
Anm. In Betrefl‘ des Preises rechnet man: pro Ctr. Röh
ren 845-4 Thln, pro Ctr. Blei 6‚‘;——7 'I‘hIr.‚ pro Pfd. Schü
inannsgarn 3 Sgr.
472 Siebenter Abschnitt. —— Technologie.
lilammen,
ewelche
Uhr
ist:
die
fiir
iAnzahl
der
ngerichtet l___‘„
1.__ :‚_
—. -— ‘-— -— T
1._; —._‚
,_/‚r—‚\-\_
1‘
Durchmes er b,
Trommel
der
din
Tiefe
Zol
erselben Durchmes er
Wasser
des Wölbung
Vorkam er
der ei nerTrom elumdrehung
Quantität
welche
bei
2,50
v5,30
5,00
4,35
3,45
3,00‘
5,90
e6,50
9,98
7,45
rschlus esinlo len. M1,70
Zollen.
1,20
1,92
in
3,03
3,72
2,70
3,28
i4,00
6,00
4,90
t elöfl‘nung ETiefe
der
inlafsötfnun ATiefe
der
uslal'söfl’nun Cub.-",
in
wird
geliefert
Zin
0,00
0,05
0,50
0,43
1,20
1,22
1,05
0,90
e1,70
1,50
1,26‘
2,00
lgene.n
Zollen
17,14
14,75.
12,80
9,00
23,00
21,50
19,47
51,90
in
27,55.
24,80 0,90
Zollen
1,05
0,84
1,06
in
1,30
1,00
1,70
1,60
1,70
2,49
2,17
2,05
.
50,125
Fufsen
0,0833
1,00
0,50
0,25
2,5
2,00
1,5151
,3,0303
4,00
0 17.,6‚923
4,50
3,30
len
9,60
6,70
4,90
15,50
12,75
12,40
11,00
22,45
19,10
17,75
. 0,39
0,30
0,28
0,96
0,82
0,62
0,58
0,57
0,98
1,50
1,78
gen.
H3’ iaznaqaig 'uguqnsqv -— ‘5150101111501
Juli
10.
1853szählebrwerden.
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Mai
April
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Aug.
Juli
Juni
Nov.
März
Fehr.
Jan.
Dec.
en ganze
zeit Jahr 50
68
96
114
83
‚56
149
10
202
177
‘11456
129
145
87„ 126
80
99
144
114
87
11
180
233
207
160
173
‘218
1821„ 156
130
174
145
118
110
237
21]
12
264
191
201
249
2186„ 254
275
230
294
4
269
242
335
357
373
388
3644„
315
313 5
0
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1„ V
St'in
unden.
In
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Mrineisutefrsiaelvnerfii
laut Uals
100
der
in
mMinute
dmacht.
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S54
36
bis
0
26
87
U117
127
140
67
89
744
hx'-1Abds. 216
Mgns.
192
2
234
207
180
170
272
297
233
257
311
326
2916„ ‘4UhrMgns.
32
0
3
51
275
154
103
125
von
82
‘6718
49
Sonnen
Von untergang Sonnen
Bis
‘In.‘«- 47--—-\
Achter Abschnitt.
Bauwissenschaft.
A.
Abfallrohr, siehe Dach.
Abflussgraben. Neigung mindestens 1 = 1200 oder 1" Fall
auf 100’.
Äbtl'itt. Für 1 Person 215-43’ bt., 3.}—4' tief; Sitzbrett
1%’ tief; Vorbrett 1%’ hoch; Abfallröhne 16__20“ Quadr.
Alkoven. Für 1 Bett mindestens 7' lg.‚ 3,; bt.; an 2 Bet
ten 7’ lg., 7’ bt.
Anker. 1 gew. Mauernnker erford. c. 8_ 10 Pfd.
1 „ Giebelanker „ „ 6—- 8 „ Eisen.
Anschlag. Der innere für Fenster, wenn keine Läden im
Innern vorhanden 21'," bt.; wenn Läden vorhanden 4-5” bt.
Arbeitsleistung‘). 1 Mann fiirdert in 24 Arbeitsstunden auf
1’ Höhe (nach Weisbach):
mit der Pumpe 15000 Cub.-F.
7’
„ Scheibenkunst 12000 ‚I
„ „ Schwungschaufel 12000 „
„ „ Schnecke 10000 „
„ dem Kastenwerk 7000 „
„ der Wurfscheufel 5000 „
„ dem Eimer 4750 „
1 Arbeiter kann auf eine Entfernung von 50.—100’, wenn
die Tiefe der auszugrabenden Erde 6’ ist, in 1 Stunde
in leichtem Boden 16 Karrengünge,
„ festem Boden 14 „
„ kiesigem Boden - 12 „
„ thonigem und lehmigem Boden 10 ‘ „
„ sumpfigem Boden oder Torf 8 „
„ aufgeschüttetem Torf 6 „
B.
Backofen. Ein grofser Ofen ist im Lichten c. 11‘ lg.,
9‘ bt.; ein mittlerer ist 10’ lg.‚ 8’ bt.; sie sind meist viereckig
und ihre Lange c. 1} der Breite. Die kleineren sind meist
eirund; zwei sich von aufsen berührende Kreise, deren Mittel
punkte in der Axe des Ofens liegen und deren Radien sich
verhalten wie 1 : 2, sind durch zwei tangirende Kreisbögen zu
einem Oval geschlossen. Ihre Länge beträgt 6 —8’.
Bei Weii'sbrodbäckereien auf l Ctr. Mehl ‘l Quadr.-R. Heiz
fläche.
Baunun. Betonsenkklsten. 417
v = 90,91 l/‚Ä.
IP
Die Wasserpfeiler bewirken stets eine Verengung des Pro
fils und hierdurch eine Vermehrung der Geschwindigkeit und
eine Stauung des Wassers.
Ist B die mittlere Breite des unverengten Profils;
h die Tiefe desselben;
v die Geschwindigkeit des Wassers in demselben;
b die Breite des verengten Profils;
V die Geschw. in demselben in Folge der Stauung;
H die Stauhöhe;
M die durchzuführende Wassermenge;
g die Beschleunigung der Schwere;
«p ein Contractions-Coefficient; dann berechnet sich
M2 ä B’h‘
H=2g121 h’ „*b1(H+h)1—1’
woraus H durch Näherung zu bestimmen, indem man anfänglich
h
==l setzt, sowie
I1+h
___ vBh
—w’IUl-HIY
480 Brücken.
nung; die zweite oder dritte Säule jedesmal verstrebt mit einer
5 _ 6" starken Strebe.
Eisenbahnbrücken bedürfen keiner Geländer; genügend ist
für sie ein Bordbalken.
Eisbrecher. Bei kleinen Eisgängen genügt es, den vor
deren Ortpfahl der Joche um T'u-—-% der Höhe geneigt einzu
rammen und mit spitzen Eisen zu armiren; filr grofse Eisgänge
dagegen ordnet man besondere Eisbrecher in 3 —- 9’ Abstand
von den Jochen an und giebt ihren mit scharfen Rücken gear
beiteten und mit eisernen Schienen beschlagenen Eisbalken eine
Neigung von 1: 1; bis l : 3.
Hängewerksbricken. Kleinster Neigungswinkel der Stre
ben gegen den Horizont == 22°, mithin ist bei 4’ hohem
Geländer die gröfstmögliche Oefl‘nung der Brücke fiir ein cin
fsches Hängewerk c. 19’, fiir ein doppeltes mit 11‘ langem
Spannriegel c. 30’. Wird die Spannweite über 36‘, so werden
horizontale Versteifimgen durch Windkreuze nothwendig. Hänge
werke von mehr als 6’ Höhe müssen seitlich verstrebt, und bei
mehr als 10_12’ Höhe durch mindestens 13’ hoch angebrachte
quer über die Brückenbreite gehende Zangen verankert werden.
Brücken solcher Construction sind bis 100’ Spannweite ausfiihrbar.
Sprengewerksbrücken. Bis zur Spannweite von 140‘ an
wendbar, wenn die Höhe der Brücke eine solche sein kann,
dal's die Streben vom höchsten Wasserstande nicht erreicht wer
den; der Neigungswinkel der Streben gegen den Horizont nicht
unter 30°. Bei Berechnung der Stärken der Widerlager sieht
man dieselben als freistehend und nur von einer Seite entwe
der durch die Hinterfiillungserde, oder durch die Construction
gedrückt an.
Fig. 256. Bezeichnet (Fig. 256)
d die Stärke des Widerlagers,
h die Höhe desselben,
b’ die Höhe des Angriii’spunktes des Schubes,
l die Länge des Widerlagers,
a +11’ die halbe Länge des Trägers, s. Fig.,
a den Neigungswinkel der Streben,
p die Last pro Längeneinheit des Trägers eines Sprengwerkes,
s die Anzahl der Sprengwerke,
y das Gewicht der Cubikeinheit des Mauerwerks,
der Verticaldruck V= s E1701 + a’) 2; dann ist:
I
der Horizontaldruck H= s {p (a + tg a; und
(3h —3 2h’)ly+l/(ah—
=-— ——-——-—
V 321m7 {2 h’ H+(3h_.
‘-—_—
3 V2
21:’)17
-———_*‚ .
Brücken. 483
a. Quellbrunnenkessel. Cub__cub__:
1. 4‘ im Lichten weit. 'Fm’s- F‘“!
Von Bruchsteinen mit 15”Wandung 27,‘ C.-F. 7%- 1%
„ mit 18” „ 34.} „ 9; g,
Von Ziegeln, grol‘se Form . . . . . . . 125 Stück 4 3‘
mittlere „ . . . . . . 135 „ 3% ä
Von Formziegcln, grol‘se Form . . . 126 „ 4 ä
mittlere „ . . . ;146 „ 3%- -}
2. 5’ im Lichten weit. I
Von Bruchsteinen mit 18” Wandung 41 C.-F. 1 101'- 2
Von Ziegeln, grofse Form . . . . . [150 Stück‘. 5 1’:
mittlere „ . . . . . 165 „ 4% ä
Von Formziegeln, groi‘se Form . . . 151 „ 5 7%
mittlere „ . . . 176 „ 4% 5b.
3. 6’ im Lichten weit. ,
Von Bruchsteinen mit 18” Wandung 47 C.-F. 111‘; 2%
Von Ziegeln, grofse Form . . . . . 175 Stück 51; 1
mittlere „ . . . . . 195 „ 5 1
l Von Formzicgeln, grofse Form . . . 176 „ 5.‘; 1
mittlere „ . . . 206 „ 5 1
4. 7’ im Lichten weit.
Von Bruchsteinen mit 18” Wandung 54 C.-F. 13%‘ 2.}
Von Ziegeln, groi'se Form . . . . . 200 Stück 6} 1,‘;
mittlere „ . . . . . ‘225 „ 5.‘; 11‘;
Von Formziegeln, grofse Form . . ‚ 201 „ 6%’ 11'ir
mittlere „ . . . 236 „ 5% 1,’;
5. 8’ im Lichten weit.
Von Bruchsteinen mit 21” Wandung 72 C.-F. 20 3
Von Ziegeln, grofse Form . . . . . 225 Stück 7 1%
mittlere „ . . . . . 250 .‚ 6%; 1.}
Von Formziegeln, grol'se Form . . . 226 „ 7 1.‘,
mittlerc „ . . - 267 „ 6} 13‘;
“) Der Mörtel ist entweder aus Kalk und Sand oder Lehm und Moos
zuasmmenzusetzen, wo Moos stets In, des Mörtels ist.
486 Brunnen.
b. Sammelbrunnenkessel.
1. 4' im Lichten weit. Cub.-F.
Von Bruchsteinen mit 15" Wendung 27.‘,- C.—F. 7.}
mit 18" „ 344 „ 9.1,
Von Ziegeln, groi'se Form . . . . . 151 Stück 1.‘; .‘
Von
‘ Formziegeln,
_ mittlere
groi'se
„ Form
. . . . . 157
167 „ 1.‘,
1% 1,
mittlere „ . . . 186 „ 1% 1
2. 5‘ im Lichten weit. i
Von Bruchsteinen mit 18” Wendung 41 C.-F. 10.,‘i s
Von Ziegeln, grol'se Form . . . . . 182 Stück 13"! ,
‚VonFormziegeln,
mittlere
grofse„ Form
. . . . . 201
189 „ 1% '
..__'‚—;.__:____:___.;7:::-__—_.‚_._
Oub.-F.
von Formziegeln, grol'se Form . . . 251 Stück! 2}
mittlere „ . . . 300 „ 2
_ 5. 8' im Lichten weit. ‘
l‘ Von Bruchsteinen mit 21”Wandung 72 C.—F.: 20
Von Ziegeln, grol‘se Form . . . . . 273 Stück‘ 2};
mittlere „ . . . . . 805 „ 2}
Von Formzlegeln, grofse Form . . . ‘283 „ 2:,
mittlere „ . . . 339 „ 2}
6. 10’ im Lichten weit.
Von Bruchsteinen mit ZWtWandung 86 C.—F. 24
Von Ziegeln, grofse Form . . . . . 334 Stück 3
mittlere .‚ . . . . . 374 „ 2%
> Von Formziegeln, grol‘se Fonn . . . 845 „ 3
mittlere „ . . . 416 „ 2% l
ll 7. 12’ im Lichten weit.
l Von Bruchsteinen mit 21” Wendung 100 C.—F. 28
j Von Ziegeln, grol‘se Form . . . . . 895 Stück B;
i mittlere „ . . . . ‚1448 „ 3%‘
Von Formziegeln, große Form . . . 408 „ ‚ 8.}
h mittlere „ . . . H93 „ | 3;
G.
Oemente.
Borussia-Gement von Haslinger bei Berlin (Moabit).
1 Tonne wiegt 337 Pf'd. Netto = 4 Scheffel = 7,5 Cub.-F.
lose Masse (kostet 3; Thlr.). 1 Cub.-F. wiegt fest zusammen
gestampft 55 Pfd., lose gefüllt 37.} Pfd.
Marmor-Cement von Keene (Alaungyps).
Gemeine. 489
i’ Kieselerde . . .
Bittererde . . .
Kali und Natron
52,28
14,58
6,31
—
56,53
21,88
2,80
4,54
Eisen-Oxyd und ‚
-Oxydul. . . 26,88 14,25 ß
Thonsand . . . — l
Cement-Mörtel. s. Mörtel.
Uhflmottstelne. 1 Thei] trockner Thon, 2‚"—2 Th. Cha
rnottpulver. Zur Glasirung benutzt man eine mit verdünntem
Essig zu einem flüssigen Brei angerührte Mischung von 3 Thei
len trocknem Lehm und 1 Theil Kochsalz.
Chaussee. Wölbung der Steinbahn 1 : 24 bis 1 = 36. Stein
packung 7--8", Steinschüttung 5._6" stark. Breite der Stein
bahn 15-24‘, des Sommerweges 8—12’‚ des Materialienban
quetts 5-6', des Fufsgängerbanqnetts 3- 6'. Die Gmbensohie
liegt 2' unter dem Plenum, ist 1—-2’ breit; Böschung innen
1%, aufsen lfüfsig, Längengefälle 1%’ ; 100 = mit; Schüttung:
6 Cub.-F. Kies geben 5 Cub.-F. Chaussee; 1 Schtr. Kies giebt
7‚}——8‚} lfd. Rth. Chausseeschüttung von 1" Höhe.
Durchlaf s. Mindestens 1),’ breit; Längengefiilie ‚2"; kann
bis 2‘ Breite mit Steinplatten abgedeckt werden.
Nach gesetzlichen Bestimmungen ist fllr Prämienchausseen:
Plenum mindestens 24‘, mit Semmel-weg 28’, Steinbahn
14' breit; ohne Sommerweg 26’, Steinbahn 16’ breit.
Steinbahn. Stärke bei gutem Material mindestens 8", bei
schlechterem 12".
Steigungen, in Gebirgen höchstens 8", im Flachlande 6"
pro lfd. Rth.
Gräben 2‘ breit, 2’ tief. Böschung in den Abtritgen lllfiifsig
und 2’ breitem Banqnett neben dem Graben.
Goak. 1 preul‘s. Tonne wiegt 140-178 Pfd.; l preufs.
Schffl. a5_44,;1>ra.
Gorridor. 4_s' bt.; werden Schränke aufgestellt, minde
stens 6‘ breit; in öffentlichen Gebäuden 8 - 10‘ breit.
D.
Dach. s- Landbau.
Dampt‘heizung. s. Heizung.
Dampfkeuel. Eisenbahnen. 49 l
A. Bahnbau.
Planum. Das Planum aller Eisenbahnen, welche nicht blos
Zweigbahnen bleiben sollen, ist so anzuordnen, dal's es fiir zwei
Geleise eingerichtet werden kann. '
492 Eisenbahnen.
Seite des Plenums von der Mitte des nächsten Geleises ein Raum
von 70’ bei Nadelholz und von 48‘ bei Laubholz von solchen
Holzbeständen frei gehalten werden, welche beim Umsturz das
Bahngeleise erreichen können. Seitengräben, bei Abtragen, er
halten nie unter 2' Tiefe und 1‚1-—3‘ Breite und das Gefälle
der Bahn.
Schienen. Länge derselben nicht unter 18’. Der Kopf der
selben soll nicht weniger als 2%” breit sein und eine gewölbte
Oberfläche haben, deren Halbmesser zwischen 5 und 7" be
ta'ägt. Die Höhe der Schienen soll nicht weniger als 4%" be
tragen; die gröfste Belastung einer Schiene soll 130 Zoll
Centner nicht übersteigen; die Schienen sollen nach Innen
geneigt sein, und diese Neigung soll mindestens 7% der Höhe
betragen. In Curven soll die iiul‘sere Schiene mit Berücksich
tigung der Fahrgeschwindigkeit um so viel höher gelegt wer
den, als die innere, dal's die Schienenkante nicht von den Spur
kränzen nachtheilig angegriffen wird. In Curven, welche mehr
als 6000’ Halbmesser haben, tritt keine Erweiterung des Spur
maafses ein; in Curven von 600’ Halbmesser darf die Erweite
rung höchstens 1%" betragen.
Folgende Tabelle giebt die Maafse der Erweitenmg und Er
höhung der Schienen bei verschiedenen Krümmungsradien der
Curven.
l
Krümmungs- Spur- Schienen- l
redins erweiterung erhöhung iy
in Metern in Metern in Metern 5
— l
1800 0,013 0,005 i
1500 0,015 0,010 i
1200 0,017 0,016
000 0,020 0,022
600 0,022 0,035
300 0,025 0,050
100 0,030 0,065
Die Oberkante der Schienen soll am innern Rande dersel
ben über den Befestignngsmitteln, als Stühle, Nägel u. s. w.
mindestens 1%” erhöht sein. Die Stofsverbindungen der beiden
Schienen eines Geleisee sollen in der Regel einander normal
gegenüber angeordnet werden. Die beste Stofsverbindnng ist
eine Laschenverbindung mit 4 Schraubenbolzen.
Unterlagen. Querschwellen sollen unter den Stöfseu eine
494 Eisenbahnen.
BE= r _r=secanß._r=r(_c0s@,oderman
1_
cosß 00518
mache: AD= CF=r tang g‘, ziehe DF und halbire in E.
ß
COS —
.
m LE1M=90°—-f—,
LE2M=90“—-2(%)‚ LE3M=90°—3(g). . ..
Ist EC=t‚ so sind die auf den radialen Coordinaten ab
zutragendeu Strecken:
1a= -— 1 2 t=1-i—‚ 2b=*- 2 2 t—-—4—t—....
n n’
Fig.260. oder 2) man macht, wie in Fig. 260, die
v I‚V
1' I l‘ Tang. in E = der Sehne NA, theilt CE
wieder in n Theile und errichtet in den
Theilpunkten Perpendikel.
4 ' Wird die Bogenhöhe
NE='r(l—cosß)=h
gesetzt, dann sind die auf den Perpendi
M keln abzutragenden Stücke:
1a=(—l—) 2 h=1——h 2 2 h=
2b= — h
——
n 112 ’ n n’ ’
3 2 h
3c=(— h=9—2 etc.,
n n
Fig.261.
‘.E' w 6 oder 3) wie in Fig. 261, man theilt die
o Sehne AN= 21‘ sin ß in n Theile und er
richtet die Normalen, so ist alsdann:
N 1„=[1-(.i.)‘]„, „[145],
M etc., wo h= 1‘ (1 i- cos
BE sin ß,
‘Die Tangente BC ist alsdann = 1', tang ß‚ = 1 cos ß '
Fig. 253.
Die Punkte A und C und die beiden Radien 'r und 'rl sind
gegeben, die beiden Kreisbögen sollen unter sich durch eine
Grade verbunden werden. —
Bekannt ist ferner die Strecke A C= a und die LJA (1:3,
und KCA = 8.
Bestimme die Ooordinaten der Mittelpunkte
CH=w =r‚sinö, IIM =y =r cosd‘‚
AG=z‚='r‚sind„ GM‚=y‚=r‚cOSö‚.
Ziehe MF=|= AC und ME=1=DL der Tang. an die beiden
Bögen. IstLM‚MF=„, so ist:
M‚G—MH___ y‚—y _
Hang”:
GH — a-—(w+w‚)
MM‚=@=V[d— (“+0012 +(1/‚—y)’
Es sei LM‚ME=q/, so ist:
——r l
siuw=' —‚ es 1st aber:
Eisenbahnen. 499
(a+ mh)2
der Auftrag ACD == —-———— und
2 (m —n)
__ 2
der Abtrag DE B = (LL);
2 (m _ n)
FiB. 266. ist d ebenfalls > 'Ill/l; es
ist hier:
der Aufirag
_ h ‘l und
A CD = (a—m)
2 (m —n)
der Abtrag
DE B = (_afll‘L , 2
2 (1n—_ n)
_l F,_F F‚_F,_
___?[F+4F,+F2+( l + ,l—')(11—1)]‚
‘bd'er wenn l=l„ so ist:
Z
V=‘—(-S- (F+ 4 F, + F2).
Eisenbahnen. 501
45 414,213
44 390,164 394,085 398,041 402,032 406,058 410,117 I
B. Bahnhofsanlagen.
Stationen. Bei Abzweig. von Bahnen ist ein gemeinsch. Bahn
hof durchaus erforderlich. Zwischenstationen sollen drei Bedingun
gen erfüllen: a) Züge, welche in entgegengesetzter Richtung fahren,
müssen einander mit Sicherheit ausweichen können; b) Züge,
welche nicht anhalten, sollen ohne Gefahr den Bahnhof mit ei
ner Geschwindigkeit von 20' in der Secunde durchfahren kön
nen; c) Züge dürfen nie unnöthig durch Ausweichungscurven
fahren. Diese Bedingungen sind vollständig nur bei doppel
geleisigen Bahnen zu erfüllen. Jeder Zwischeubahnhof erhält
sufser zwei Hauptgeleisen mindestens noch ein drittes und den
Raum für ein viertes‘ Geleise. Auf den gröl'seren Stationen sind
die Anlagen für die Beförderung der Personen von denen für
Frachtgüter und Producte zu sondern.
Entwässerung. Die Entwässerung der horizontalen Bahnhöfe
ist gründlich nur durch unterirdische Kanäle zu erreichen. Min
destens ist für eine Drainirung und tiefe Gräben aufserhalb der
Bereiche der Geleise zu sorgen.
Entfernung der Geleise. Als geringste Entfernung der Ge
leise auf Bahnhöfen von Mitte zu Mitte sind 12' zulässig, bes
sei‘ 14’.
Weichen. Wo sehr lange Züge einander kreuzen, können
die Ausweichungon noch aufserhalb der Station liegen. Aus
weichungen sollen in allen Geleisen, wo ganze Züge durchgehen‚
mit Radien von mindestens 600’ angelegt werden. Wünschens
werth ist es, die Endweiohen der Bahnhöfe für durchgehende
Züge mit Radien von 1000’ zu construiren. Zwischen den bei
Eisenbahnen. 503
Spielraum für die Spurkränze darf nicht unter und bei gröl‘ster
zulässiger Abnutzung nicht über 1" betragen. Bei Loeomotivcn
mit Mittelrädern ist bei gleichem lichten Abstand zwischen den
Rädern ein Gesammtspielraum bis 115" zulässig. Der lichte
Abstand soll 4' 5%” betragen und die gröl'ste Abweichung hier
von ä‘. Die Höhe der Spurkränze von der Schienen-Oberkante
ist zwischen den Grenzen 1% und 1", die Breite der Radreifen
zwischen den Grenzen 6 und 5%" zu nehmen. Güterzug-Lo
eomotiven mit einer Geschwindigk. von 3 deutschen Meil. pro St.
erhalten gekuppelte Triebräder von 4‘ Durchmesser, Personen
zug-Locomotiven mit 5%—6 Meilen Geschwindigkeit 'I‘riebr'a'der
von mindestens 5’ und Schnellzug-Locomotiven von 8 Meilen
Geschwindigkeit solche von mindestens 6’ Durchmesser.
Kessel ist möglichst niedrig zu legen. Vortheilhafteste
Dampfspannung 5.1-——7 Atm. Die Kesselwände dürfen bei einer
mit Wasser bis zum lilfachen zulässigen Drucke vorzunehmen
den Probe keine bleibende Formveränderung erleiden. Die Probe
geschieht bei entblöfstem Kessel und wird zuerst nach einer
Fahrt von 10000 Meilen und später nach je 8000 Meilen, min
destens aber alle 3 Jahr wiederholt.
Sicherheitsventile. Mindestens zwei, die mit Federwagen an
Hebeln wirken und einen verticalen Spielraum von mindestens
ä’ haben. Der Kessel erhält ein Wasserstandsglas, 3 Probir
hähne, von welchen der unterste 4" über dem höchsten Punkt
des F euerkastens steht.
Der Aschenkasten ist an der Vorder- und, wenn es erforder
lich ist, auch an der Hinterseite mit einer beweglichen Klappe
versehen und müssen dessen tiefste Punkte mindestens 5" von
den Schienen entfernt bleiben.
Dimensionen. Gröfste Breite resp. Höhe 10‘ und 15'.
Bahnräumer müssen 2_. 24;" von den Schienen entfernt
bleiben.
Tender. Am besten mit 6 Rädern von mindestens 3' Durch
messer; gröi‘ste Breite 9‘, gröfste Höhe des Wasserbehältexs
über den Schienen 8‘.
Radrezj‘en. Geringste zulässige Dicke %".
Schraubensystem. Für alle Schrauben ist das Wbitworth’sche
System anzuwenden.
D. ‘vagen.
Radstand. Bei Wagen von mehr als 4 Rädern und festen
Axen als Maximum bei Bahncurven
bis 1000’ Radius 12 Fufs,
„ 1500‘ „ 15 „
„ 2000’ „ 18
lhenblhnol. 507
Die Reifen müssen eine conische Form von mindestens „4,; Nei
gung und eine Breite von mindestens 5, höchstem 6” haben;
die geringste zulässige Stärke ist ä“. Der Spielraum für die
Spurkränzc darf nicht unter ‘3" und bei gröl‘ster Abnutzung
nicht über 1" betragen. Der lichte Abstand zwischen den Rä
dern soll 4’ 5.:” und die gröl'ste Abweichung hiervon i!” be
tragen. Gröfste Höhe der Spurkränze von der Schienenober
kante gemessen sei 1%”.
Amen. Bei bestem Eisen ist als Minimum des Axendlu'ch
messers in der Nabe anzunehmen fiir
75 Ctr. Bruttolast pro Axe 4"
100 v n r n 4%“
n n n n 5"
bei Personenwagen 41;". Entfernung der Mitten beider Axschen
kel = 6’ 5“ bis 6’ 6*”. Die Stärke der Schenkel ist im Mi
nimum 2!“ 8, 3%" fllr eine Bruttolast von resp. 76, 100, 130
Ctr. pro Axe. Länge der Axschcnkel 5 __8"‚
Federn. Zu Tragfedem verwendet man Druckfedern aus
Gul‘sstahl mit Blättern von höchstens ä" Stärke und einer Länge
von mindestens 5’ resp. 3%’ für Personen- und Güterwagen.
Das Spiel der Federn zwischen beladenen und unbelsdenen Wu
gen betrage mindestens 2" und höchstens 4".
Bremsen. Die tiefsten Theile müssen mindestens 5" von der
Oberkante der Schiene entfernt bleiben.
Bufl’er. Normale Höhe des Mittelpunktes von den Schienen
3' 5", Abweichung 1" bei leeren, 4" bei beladenen Wagen.
Horizontale Entfernung von Bufi‘ermitte zu Bufl‘ermitte 5’ 9".
Gröfste Annäherung der Vorderflltchen der Scheiben an die
Kopfschwellen 14'“. Kleinste Durchmesser der Scheiben 14”.
Höhe der Wölbung der runden Scheiben mindestens l”.
Nnthketten. Horizontale Entfernung 3’ 6". Nothketten,
Zughaken und Buffer liegen in horizontaler Linie.
Dimensionen der Wagen. Gröl'ste Breite der Personenwagen
8’ 7“ im Kasten und 10‘ (bei Güterwagen 9') in den Tritten
und allen vorspringenden Theilen; Entfernung des höchsten
Punktes von den Schienen 12’ 4". Gröl'ste Höhe des bedeck
tcn Schafi’nersitzes 15' und des Trittes 9‘ 4". Lichte Kasten
höhe der Personenwagen 6’ 4", mittlere Höhe des Fufsbodenß
4‘ über den Schienen.
E. Zustand der Betriebsmittel.
Stärke der schmiedeeisernen Radrcifen fiir Locomotiven und
Tender mindestens ä", für Wagen mindestens i".
50 8 Eisenbleeh. Erde.
‘5,3 n „ v 3 ‚ „ n q 5"
€l5 v v w 2 7 „ q 4.
‘ z
Theile der Rüderpaare gebremst werden kann.
Revision der Wagen. Nach Zurücklegnng von 2500— 3000
Meilen sind Axen, Lager und Federn abzunehmen und zu re
vidiren.
Eisenblech. s. Schwarzblech.
Eisenblechdaoh. s. Dach im Landbau. -
2180111118111}. Zum ‘Berohren dienen Dreiband, Ring 875’;
Vierband, Ring 1175’; Fünfband, Ring 1225—l235’ lg. Der
Uuntner enth'llt 24 Ringe.
Eisentabellen. s. Anhang.
Eisenkitt. s. Kitt.
Eisenüberzug. Asphalttheer, bei einer Temperatur unter
80 ° R. flüssig gemacht, mit einer Bürste aufgetragen. 100
Quadr.-F. Eisenfläche erfordern 1.} Pfd. Asphalttheer.
Entwässerung. Der Wasserspiegel der Kanäle soll fiir Wie‘
sen 12;’, Getreide 2’, Obst 5’ unter der Bodenfläche liegen.
Erde.
Trockne, magere. 1 C.—F. wiegt 82 Pfd.; 1 Schtr. wiegt 115 Cm;
Dichtigk. c. 1,338.
2 Cub.-F. feste geben 3 Cub.-F. lose Erde.
Gartenerde, trockne:
Feste. 1 Cub.-F. wiegt IOOä-Ffdq 1 Schtr. wiegt 141 Ctr.;
Lose. 1 „ „ 67 „ 1 „ „ 91 „
Dichtigk. c. 1,63.
Gartenerde, frische:
Feste. 1 Cnb‚-F. wiegt 126 Pfd.; 1 Schtr. wiegt 177 Ctn;
Lose. 1 „ „ 84 „ 1 „ „ 118 „
Dichtigk. c. 2,047.
Trockne und lehmige:
Feste. 1 Cub.-F. wiegt 119 Pfd.; 1 Schtr. wiegt 166 Ctn;
Lose. 1 „ „ 79,‘, „ 1 „ „ 111 „
Dichtigk. c. 1,928.
Frische und lehmige:
Feste. 1 Cub.-F. wiegt 127 Pfd.; 1 Schtr. wiegt 178 Ctn;
Lose. 1 „ „ 85 „ 1 „ „ 119 „
Dichtigk. c. 2,063.
Estriche. Fangedamm. 509
Die Pfähle sind 4‘ entfernt und 4-6‘ tief in der Erde; Zangen
sind 4’ entfernt.
Feldstein. 1 Cub‚-F. wiegt 140 Pfd., 1 Cub.-Z. wiegt
2,8 Lth.; Diehtigk. c. 2,5. ‘
1 Schtr. hat ä Zwischraum, enthält mithin 108 C.-F. Stein.
1 Schtr. kleiner Feldsteine wiegt c. 1581} Ctr.,
1 „ gesprengter „ „ c. 121 „
Feldsteinpflaster. s. Pflaster im Landbau.
Fenster. Die geringste Breite 1‘, gewöhnlich 3{-—3‚';’; die
Höhe ist entweder gleich der 2- oder 2i-fachen Breite oder
gleich der Diagonale des Rechtecks aus der einfachen und dop
pelten Fensterbreite; die Höhe über dem Fenster bis zur Decke
bei Massivbau ist 18", bei Fachwerk 15_20".
Fenster-Anschlag. s. Anschlag.
Fenster-Anstrich Das Verhült'nii‘s der lichten Fenster
öffnung (ohne Fensterbrett) zur Anstrichsfläche ist wie
1 : 2% bei 5 Quadr.-F. lichten Fensteröfi‘nung g wenn das
1 : 2% „ 9 „ „ „ F.2‚1rflügel.
1 : 2% „ 15 „ „ „
1 : 2% „ 18 „ „ „
1 : 2a- „ 20 ‚ „ „ wenn es
1 : 2% „ 24 „ „ „ Gflügelig.
1 z 2 „ 30 „ „ „
1 = 1% n 35 ‚l n u
1 : 1;} „ 55 „ „ „ wenn es
1 ' l’l' v 70 n n ‚y 4flügelig.
Die Holzhreiten dürfen nicht über 2%” betragen.
Fensterb lei. s. Blei.
F ensterh rü stung. 2‚}-— 3‘ hoch.
Fenst e r fa s c h e n. —ä_ 1'.- der Breite der Fensteröfl’nung.
Fensterflügel. 1„1‚__. 2%’ breit, 1%” stark.
F e nste rk i tt. Gleiche Theile Bleiweis und Kreide mit
Leinölfirnil's zu Teig geknetet. ( 1.} Pfd.: 1%- Pfd. : 1 Quart
mit 1 Lth. Silberglätte.)
F ensterkreuz. 1,‘; — 2” breit, 3” stark.
F e n s te rl a d en. Materialverbrauch s. Thür.
F en sterr ähme. Erford. bis 41,’ Höhe auf jeder Seite 2,
bis 8’ Höhe auf jeder Seite 3 Bankeisen und an 1%” igem
Brett {- — 95 der lichten Fensteröfl‘nung (hierbei ist das stärkere
Holz auf lwi-"iges zurückgeführt).
Win d ei s en. {1' breit, T'F" stark.
Feuereimer. 1a- 14" hoch, sei-6” im Boden, s_9"
in der Mündung weit, fai'st c. ‚i- Cub.-F. Wasser.
Feuerheerd. Futtemluern. 51 1
G.
GGI‘ätllGllällS. s. Landwirthschaftliche Anlagen.
GBSlmS. s. Landbau.
Getreidemagazin. s. Landwirthschaftliche Anlagen.
Gewächshaus, Hauptfront womöglich gegen Süd-Süd-Ost.
Temperatur. a.‘ Conservatorien oder kalte Häuser 1—5°R.
b. Tepidarien oder laue Häuser 5—.l()° R.
c. Caliderien oder warme „ 8 — 14°R.
Dachneigung 30 — 40"; Fundament über der Erde 2" h.;
Vorderwand meist. 3-—4’ hoch. Stiele höchstens 4%’ v. M.
zu M. Sparren 4 u. 8" stark; Falze in den Sparren 1” breit,
ä!’ tief, der untere aber bis 2' über d. Mitte d. Fensterbreite
2.12” breit, um den unteren Fensterfl. 2‘ unter den oberen schie
ben zu können. Fensterrähme gewöhnlich 2%” bt., 1%” stk.;
die Sprossen 1" bt., die Ecken durch Winkelhaken mit 4—9”
langen Schenkeln gesichert.
Heizung durch Feuer-Kanäle. Der Ofen gewöhnlich
4‘ lg., 1‚‘i—2' bt., 1%’ hoch und c. 4’ unter dem Boden des
Gewächshauses; die Decke 10” stark gewölbt, der Boden ge
gen den Kanal auf 6" ansteigend. Der Kanal hat auf 6-—10’
Länge l‘ oder mehr Steigung; die Sohle, aus einer flachen Zie
gel-‚ dann zwei Dachsteinschichten; in Lehm auf Fundament
gelegt, Seitenwände c. 10" hoch, wozu am besten Thonplatten
zu benutzen sind; die Ausmündung mul's mindestens 5’ über
dem Feuerheerde liegen. .._ Vergleiche Heizung.
Heizung durch Warmwasser. Feuerung einige Fufs
unter dem Ful'sboden des Feuerraumes; über derselben liegt
in gleicher Höhe mit dem Fufsboden ein 3—4’ langer und 10"
weiter Cylinder von Kupferblech; von dem höchsten Punkte des
Cylinders sind 311-" weite Röhren nach einem 4‘ hohen Reservoir
von 2‘ Durchmesser geleitet. Vom Boden des letzteren geht
eine Röhre nach dem tiefsten Punkte des Cylinders zurück.
Vergl. Heizung.
Stellagen in der Mitte ‘c. 4_6’ von der Vorderfront
entfernt, so dal's der Vordergang 2—3’ bt., Fensterregale nicht
unter ‘1%’ und nicht über 2’ breit.
Ein Lohbeet in der Mitte des Hauses 3-4‘ tief, an der
Hinterwand 6_8” höher, so breit als bequem.
Gewölbe. s. Landhau.‘
Glas. Weifses und halbweifses in Bunden zu 1 Tafel 36
--40” hoch, 27 .—28" breit, bis ‘Z4 Tafeln ä. 13" hoch, 12“
bt.; grünes in Kisten zu 20 Bund, das Bund zu 20 Scheiben.
Glaspfanne. 14;" lang, 9" breit.
Glocken. Handrannne. 513
H Kacheln D h M ab
Ofenart ——— _ac ' im
lang breit hoch „egal z g’
W L 7' vvvvvu ‘Stück am: Ob-F.
1 kleiner Ofen 3.;- 2 8od.9 125
1 mittl. „ 4 odnh} ‘l’!- 9 150 ‘
l „ „ 4%041 5 3 9 180 ‘E B0‘ .’ 20 I
l groi‘scr „ 5 o 3%- 9 210 ‘ 55 22 V
‚ 1 „ „ 5-%._ 6%.’ 4 9 250.11. 60 27 T
Heizung. 515
K.
Kacheln.
Zum Ofen, Eckkachel 8 u. 4" bt., 9" h.; auch 9 u. 4%" bt.,
81,” hoch; ‘
Eckfrieskachel 8 u. 4" bt., 4.',"h.; auch 9 u. 41," bt.,
Frieskachel 8" bt., 4.}"h.; ' v
Plnttkachel 8" bt., 9" h.; „ 9”Qu.; auch
7.1," bt., 8:,” hoch. -'
Zur Wandbekleidung dienen Kacheln von 9” Quadn; die
Quadn-R. erfordert 324 Stück Kacheln; die Fugen sind mit
Gyps zu verstreichen.
518 Kachelofen. Kalklöschen.
Kachelofen. s. Heizung.
Käsekitt. s Kitt.
Kalk.
a. Fetter Kalk. Sein Volumen vermehrt sich durch Lö
scheu bis auf das 3% fache; er hat bis 10% Kiesel, Thon, Bit
tererde, Eisen und Manganoxyd etc.
b. Mage're'r Kalk. Läfst sich nur durch Eintauchen in,
oder Anfeuchten mit Wasser löschen. Hat er wenig Thon, Kie
selerde, Bitterde, Eisen- und Manganoxyd (bis 20 g), so gieht
er gewöhnlichen Luftkalk, bei Zusatz von sehr fettem Thon
vor dem Brande aber guten Wasserkalk; hat er viel Thon mit
Kieselerde, Eisen- und Manganoxyd (c. 20——-30 %), so giebt er
auch einen guten Wasserkalk.
c. Sehr magerer Kalk. Löscht sich nur in Pulverform,
oder gar nicht, wenn Kieselerde in c. 30% vorhanden. Hat er
Thon mit geb. Kieselerde (30 —40 g), so giebt er sehr guten
hydranl. Kalk. Bei 50% mui's fetter Kalk zugesetzt werden.
1 Tonne gebrannter Kalk = 4 Schffl. = 71} Cuh.-F. = 4
Cub.-F. Kalk und 3% Cub.-F. Zwischenraum = 8% -—- 3% Ctr.
1 Cub. F. = 78.1- Pfd. Dichtigk. c. 1,27.
1 Tonne gelöschter Weifskalk = 12 — 15 Cub.-Fu1‘s und
1 Cub.-F. = 187 Pfd.
1 Tonne hydraulischer oder Wasserkalk 8-10 Cub.-F. ge
löscht (vergl. Mörtel).
W311‘. 8‘ lg., 6’ bt., 14” hoch, löscht c. ä Wispel
Kalk auf einmal; kleinere 4' lg., 2' —3’ bt.‚ löschen c. Wis
pel Kalk.
Kalkbl'ennen. Bei fettem Kalk (wenn die Nebenbestand
theile nicht über 10g betragen), sind erforderlich:
Zu 1 Ctr. Kalkstein: 2 Cub.-F. Kief. Holz oder ‚l- Schffl.
Steinkohlen oder 20.- 24faches Kalkvolumen an Torf. Das
Schwinden beträgt gewöhnlich 45% des Gewichts oder 10 bis
20 7'} des Volumens, bei einigen Kalksorten nur 23 g, bei an
deren 54% des Gewichts. Die Zeit des Brandes je nach Um
ständen; gewöhnlich aber 36—40 Stunden.
Kalkkasten. 2’ lg., 20" bt.‚ 18” hoch, am 5 Cub.-F.
Mörtel.
Kalklöschen.
a. Zu‘ Kalkbrei durch Aufgiefsen von c. 3,2—3,6fachern
Volumen, oder c. 2.‘, des Kalkgew'ichtes an Wasser. Ist die
sor Kalkbrei soweit abgetrocknet, dal‘s er Risse bekommt, so
ist das Volumen das 3% _. 33, das Gewicht das 2{.fuche des
ungebraunten Kalkes.
Kalkmörlel. Kessel. 519
i ‘A53
2‘ —8_
Wegen der beim Anzünden sich entwickelnden Rauchmenge ist
es vortheilhnft, diesen Werth um ca. i- zu vergröfsern. Die
Querschnitte der Feuergänge sind gleich ß, die lichte Oefl’nnng
über der Feuerbrücke gleich 1% fl, die Zugöfl’nung des Rostes
gleich 2,6 zu nehmen.
Materialverbrauch. a. Für Dampfkessel. Zur Ver
mauernng eines Dampfkessels von 4‚1——- 5’ Durchmesser und 12'
Länge, ohne das Grundmauerwerk von 15‘ Länge und 8’ Breite,
gehören:
1750 Stk. Z. grofser Form und 60 Cub.-F. Mörtel, oder
2000 „ mittlerer „ „ 54 „ „ „
2400 „ kleiner ‚. „ 58 „ „ „
Für jeden Fufs über diese Länge treten:
110 Stk. Z. groi'ser Form und 4 Cub.-F. Mörtel, oder
130 „ mittlerer „ „ 3% „ „ „
150 „ kleiner „ „ 3.‘; „ „ „
hinzu. Zur Verblendung des Feuermums ist der zehnte Theil
an feuerfesten Ziegeln nöthig, von denen jedes Hundert eine
Mischung von 1 Ctr. Charnottmehl und l Cub.-F. Thon als
Mörtel bedarf.
b. Für Koch- u/nd Waschkessel. 1 Kessel von 2%’ Durch
messer, 1%’ Tiefe, incl. Feuerplatz, Aschenfall und Verhau, excl.
Grundmauerwerk von 4’ lg.‚ 34;’ bt., bedarf zur Vermauerung:
210 Zieg. gr. F. u. 6 C.-F. Mört. (Mörtel aus Lehm oder
oder 260 „ m. F. u. 5 ‚. „ Chemottmehl und Thon
oder 350 „ k1. F. u. 6 „ „ zu gleichen Theilen.)
1 Kessel von 3‘ Durchm., 1%’ Tiefe, incl. Feuerplatz, Aschen
i‘all und Verhau, excl. Grundmauerwerk von 4%’ lg., 4’ bt.:
260 Zieg.gr.F. u. 6 C.-F. Mört.
"oder 333 „ m. F. u. 5 „ „ g (Mörtel do.)
oder 450 „ kl. F. u. 6
Kesselziegel. Kitte. 521
e 40 v n ‚1 n 1% ‚r
‚v 50 n n v ‚r ä‘ ‚s
w 55 v ‚1 n ‘s 5'?‘ ‚9
v ‚9 n a! n ‘ä’ ‘ß
65 v ß n n w
Kupferbleohäaoh. s. Dach.
Kupferdraht. Gewicht wie gehämmertes Kupfer.
Kuppelgewölbe. S. Gewölbe.
L.
Landbau.
I. Mauerwerk.
Eine Mauer erfordert verschiedene Stärken, wenn sie, unter
sonst gleichen Umständen ‚ von verschiedenen Materialien auf
geführt wird. Die Stärken verhalten sich bei Anwendung von
Werksteinen, Ziegelsteinen, lagerh. Bruchsteinen, Geschiebsteinen
wie 5 _ 6 : 8 : 10 : 15
Festigkeit der Materialien. s. Seite 175.
Rückwirkende Festigkeit, einfache oder Druck
fe s t i g k e i t. Insbesondere filr Steine und Mörtel.
Landhnu. 525
bei den Säulen der Kirche aller Heiligen zu Angers c. 622 Pfd.
„ „ Pfeilern im Dom des Invalidenhauses zu
Paris............c.424 ‘88113
3:13:23 3333
Pfeilern des Domes vom Pantheon zu Paris c. 414
Pfeilern des Thurmes der Kirche zu St. Mery c. 413
Säulen in der Kirche St. Paul bei Rom . c. 278
Pfeilern des Domes St. Paul zu London . c. 272
„ Pfeilern des Domes St. Peter zu Rom . c. 230 „
Bestimmung der Mauerstärken: In Folgendem sind stets Zie
gelmauern von mittelguter Arbeit und mittelgutem Material zu
Grunde gelegt. Bei Verwendung von anderem Material sind
die Resultate nach obigen Verhältnissen umzurechnen.
Das Minimum der Mauerstärken ist nach Rondelet, wenn
in Folgendem: '
s die Mauerstärke
l die freie Mauerlänge in Fufsen bedeutet,
h die Mauerhöhe
h
n=
8
A. Für freistehende Mauern, welche an ihren Enden keine
Unterstützung haben:
a. für starke Mauern . .
b. für mittelstarke Mauern
iii i 7%
TL h’
(l
c. für schwache Mauern T‘‘t h
B. Für Umfasswnyemauem, die an ihren Enden unterstützt
sind, giebt Rondelet folgende Regeln:
a) unbelastete Mauern: 1. gradlinige:
a Fig' 269‘ Erriehte auf der freien Länge ef der
Mauer in e eine .l- ae=h, theile ae in
ä 8, 10 oder 12 Theile (wenn die Mauer
M eine schwache, mittelstarke oder starke),
trage auf af einen dieser Theile, z. B. ac -- —}-h‚ ziehe cd -H> ae,
dann ist ed die verlangte Mauerstärke, oder es ist:
l. h
8
n 1/zz + h“
2- Bei kreisrunden Mauern ist ef==l =-‘-‘„ der Peripherie
zu setzen, nach Rondelet == der Seite des eingeschriebenen
12 ecks oder annähernd = lD des äufseren Kreises, es ergiebt
sich hieraus:
D.h
S=—‚——4
_„
nl/D“+16h'
Llndhan. 527
b) belastete Mauern.
l. Mauern zu Gebäuden, die nur 1 Geschoi‘s hoch sind:
a) sind die Mauern in ihrer llöhe nicht unterstützt und
von Balken belastet, die eine Verankerung bilden, so ist illr l
die lichte Gebäudetiefe t zu setzen und
t. h
s=—-_12 V c’ + h; I
ß) Sind die Mauern in irgend einer Höhe unterstützt, so
dal's die darüberliegende Höhe h’ ist, dann folgt:
48 ’
unter s die Maucrstllrke des oberen Geschosses verstanden.
C. Trennende Mauern: l) Mittelmsuern, welche das Gebälk
zu tragen haben:
_ h +:
8
_ 36 '
2. Scheidemauern; man giebt ihnen durch mehrere Stock
werke 1 Ziegel zur Stärke.
Nach Redtcnbacher ist für Wohn- und Fubrikgebüude,
wenn t die Tiefe des Gebäudes, h' h’ h3 etc. die Höhen der
Stockwerke von oben gerechnet und s‘ s’ r’ etc. die entspre
chenden Mauerstürken bedeuten:
„_L+E
40 25’
‚____z_ h'+h2
‘"40 _2'ET ’
4=i “1:,”“1‘3 e,
40 25
Die Stärke der Zicgelmauem, nach Ziegeln angegeben, er
giebt in Fufsen und Zollen:
528 Landbau.
Wandstärke
bei einer für Ziegel w
l
Verhältnil‘s der Breite der Böschung zur Hübe,
wenn die Stärke: |
wenn der Bö
ßchlmgs-Lw
24o ab | 0,4093
0,4917 43b l 0,3073
gab 0,2732
gab i 0,2450’
T'ö-ab
l
1‘ “Wiese-ä]?
2- P‚= i h‘ 7 [tg(45° +121)?
8. a=n‚=:gh.
B. Ist die loekcrc Masse oben noch belastet und
q der Druck in Pfunden, welchen diese Belast. pro Quark.
Fufs der Oberfläche des g'röfsten Druckkeiles ausübt,
so ist ohne Rücksicht auf die Cohäsion der Masse:
2
1. P=(‚‘,h’y+qh) [tg (4a°_%)] i
__h7+3q h
2.a
—hy+ 2q . .5‘
C. Ist die lockere Masse noch über dem Mauerkopfe um die
Höhe h, in F. mit natürlicher Böschung aufkesehüttet, so
ist ohne Rücksicht auf die Cohdeion der Maue:
’ h ‘(l-sing)
1. P='w {h
( + h ‚) *[ ‘s (4s°_i
2 1 ._'——‘_
‘in? ‚
oder mit Vernachlässigung des letzten Gliedes:
1
1>=.;„ (h+b‚)’ [tg(45° __%)]
und zur Bestimmung von a
3 — c
2- P“=i7;(h+h‚)’[tg(45°__%)]‚_L%?Q _
II. Futtermnuern, nach Weifsbacb.
l. Die Stabilität der Fnttermauern erfordert:
a) dafs die Mauer hinreichenden Widerstand gegen Glei
ten leistet, und dafs somit der Winkel, den die ‘Normale zu
einer horizontal gedachten Fuge mit der Mittelkrsft R, gebildet
aus dem Erddrucke P und dem Gewichte der Mauer über die
ser Fuge, einschliefst, kleiner als der Reibungswinkel ist;
b) dafs dieselbe auch hinreichenden Widerstand gegen
Kippen bietet, dafs also die Widerstandslinie die Basis, sowie
34"
"'_'
53 2 Lnndbau
*) Die Formeln für den Fall unter I. (J. 1.) erhält man durch Null
setzen von Il,. “
Lsndbsu. 533
Ä, =l,4tg(45°—eT;-) „‚_‚ M
c) welche vom geböscht sind, wenn nochy.l
b‚=b+nh.
B. Für geneigte Futtermsuern hat man, wenn noch
h die senkrechte Mauerhöhe in F.,
l die schräge Mauerhöhe in F. und
a‚ der Neigungswinkel der Mauer ist, mit Rücksicht auf Stü
bilität gegen Kippen:
8 y SH] 2
b=lz F2 i an +i@°ts‘«‚—i°°‘g“‚‘
2
R e d t e n b a c h e r giebt für Futtermsuern mit geböschter Vor
der- n. verticnler Hinterflflche folgende Formeln. Es bezeichne:
h die Höhe der Futtermauer,
b die obere
B die untere 2 Stärke der Mauer,
u den Neigungswinkel der Vorderflltche gegen die verticßle
Richtung. Alsdann hat man:
E ‚ ‚.
=Vo‚2s:‚1+;i 1a
T
-b—=—--—-tga oder fiir
h h
='};'ä’i%i1'lo‘;1"l;1llii;01
m5
=-|
>I|
es
=0,308; 0,301; 0‚294; 0,291; 0,289; 0,286; 0,285,
l ll l l l I
m ‚3%
1;: {1 5?!
ä» 3;.
‘v gl! 931
Z1 A11 54: ‘L 961
‘538 Laudbau.
d =—D8(D_‚_H)+
3D-H
‚er? 1 +1;Ih ,
d==(3;;')+1+%h
Für den Halbkreis ist H =‚i-D, also n=‚“, mithin:
.d=‚fID+1+%h.
Folgende Tabelle giebt die Werthe für:
D 3D—H
_———d 1.
“ s D+H +
Lmdbau. 539
I Bogenweite
fir-l-l —2+1 —
1 1 2; 1 ‚ a 1 3,1,
2 l 1 ' 5 1 6 1 01
a ’ 1 7; 1 1 9 1 9,96
4 1 1 10 2 i — 2 1',
5 2 ‚j, 2 3 2 4;
6 2 2 a 2 6 2 7;
7 2 1‘ 5; 2 9 , 2 11,‘,
s 2 1 8 a ._. s 2}
9 2 10.; a ß s 5,‘,
12
10
..
2 1 2 ß 9 4 22
s l 1 a
4 _
6 , e
4
0
_
1a s ‘ 8.‘, 4 a 4 10%"
14 3 11 l 4 ‘ 6 5 1;
22 2 ‘2 ' 2 4
9
__
2 2%
17 4 ß; 5 3 5 8:‘,
18 4 s 5 6 5 11}
19 4 , 112 ' 5 9 6 2,’,7
20 5 : 2 6 _ 6 6
ä; 2 i 3*
2 1 9* 22 ä9 32 21°“
‘1 —
92“ '
—
3'
s
25 6 ' 2; 7 3 7 10%
a0 7 s s 6 9 3
36 s 6 10 _ 10 10%
40 9 4 11 — 12 _
50 11 5 13 6 14 5T’,
60 1a 6 16 _ 17 6
I Senkung (s) der Rüstungen für Gewölbe. Ist w die Spann
hängende Lehrgerüste
von mittelmäfsiger Ausführung: s= 0,019 (w _ h)
„ guter „ s=0,0l (w_ h)
stehende Lehrgerüste
„ guter Ausführung . . . s=0‚005 (w_h)
Das Setzen der Gewölbe kann auch ohne Rücksicht auf das
Lehrgerüst pro 1 Ful‘s Spannweite: bei halbkreisförmigen auf
1'", bei gedrückten B. auf li’” angenommen werden.
III. Gewölbetheorie, nach Weifsbach.
A. Der Druck im Gewölbescheitel.
Sind (die Gewichte in Pfunden, die Dimensionen in Fufsen
genommen): ‚
GI, G2, (1'a . ‚ . die Gewichte der Gewölbesteine vom Schei
tel aus, und ferner,
für die lste, 2te, 3te . . . Gewölbefuge vom Scheitel aus:
a, , 11„ a3 . .. die Neigungswinkel der Gewölbefugen mit
der durch den Kämpfer gelegten Horizontalen;
11„ (1„ aa .. . die Abstände der unteren Endpunkte der Ge
wölbefugen von der durch den höchsten Punkt des Ge
wölbes gelegten Horizontalen;
0„ 0„ ca . . . die Abstände der oberen Endpunkte der Ge
wölbefugen von derselben Horizontalen;
b], [2„ (23 -- . die Abstände der unteren Endpunkte der Ge
wölbefugen von der verticalen Schwerlinie der Stücke G,_.
G|+G„ G,+G,+G3...;
dl, dz, «l3 . .. die Abstände der oberen Endpunkte der Ge
wölbefugen von derselben Linie derselben Stücke, und wird
e der Reibnngswinkel nach Rondelet = 30 0, also tg 30°
= 0,57735 angenommen,
so hat man zu berechnen:
1. G‘ tg (aß-Q), (G‚+G‚) tg (a, -9), . . (G‚+G‚ - . G.)
Xtg('1u—9) = PI;
2. G‚tg(«‚+@>‚ <G‚+G‚) ßg_<«2+@>‚ . - <G‚+ G. „0.)
xtg(a.—e)=Q.;
b b
3. G‚-—‘, (G‚+ 6,) J, . . . . . (GI-FGl „0.)
a. a2
X—-=P-‚
a
d‚ d,
4, (;‚c_‚ (G‚+G,) -c—‚ . . . . . (G‚+G.‚ .. G.)
‚ z
X —.‘= Q-v
Llndbsu. 54 l
.=v;€gz=.,..v’g.
C. Gewölbestärke im Scheitel.
Ist r der innere Radius des Gewölbes in F.;
h die senkrechte Tiefe der Bruchfuge unter dem inneren
Scheitelpunkte in F.;
a die senkrechte Höhe des Hnfsersten Punktes der Ueber
mauerung über dem inneren Scheitelpunkte in F-ö
e die Gewölbestarke im Scheitel in F.;
K, das Maafs der Druckfestigkeit pro Quadr.-Ful's (pro Qudß'
Zoll unter Festigkeit S. 525 angegeben), so ist:
542 Lmdbsu.
e=<M"'—hß+2Th—T3-„h=>%‚*>
worin h aber zuvor aus der Gleichung: I
K K K
h‘Jg" (—’+%r-3a)h‘+’5°(—-ir-%4a+%'r"-7ar+5a‚‘)h")
7 7 7
+ 25° 21-a(2r__5a)h+ 15° 51" a’ = 0 zu bestimmen ist.
Empirische Formeln nebst Tabelle siehe S. 535 und 556.
Gewölbeform. Dieselbe kann je nach der Construction
der Gewölbe ein Kreisbogen, eine Ellipse, oder ein Korbbogen
sein. Constr. der Ellipse siehe Seite 88‚
Korb bogen. Besteht aus einer ungraden Anzahl stetig
in einanderlaufender Kreisbögen; er wird der Ellipse deshalb
meist vorgezogen, weil sich in jedem Punkte seines Umfangs
mit Leichtigkeit eine J- eonstrniren läl‘st. Gegeben ist stets
die Spannweite und Pfeilhöhe, ab die halbe Spannweite, bc
die Pfeilhöhe. .
‘) Man setze der Sicherheit wegen für K, 11% der auf S. 525 auge
gebenen Werthe.
Lsndblu. 543
1. 1200 Töpfe (4” Durchm. u. 4" Höhe) mit 101i- Schffl. Gyps.
2. 1000 „ (4ä" „ 5” „ ) „ 12 „
a. 885 „ (4?’ „ 6" „ ) „ 14 „
4. 800 „ (5" „ 7" „ ) „ 16%. „
5. 660 „ (51,” „ 10” „ ) „ 22 „
Zum Gyps des Volumens Sandzusatz.
Das Gewicht pro Quadr.-R. Topfgewölbe beträgt:
ad 1: 2470 Pfd. ad 2: 2920 Pfd. ad 3: 3475 Pfd.
ad 4: 3930 Pfd. ad 5: 5210 Pfd.
Das Eisenwerk bei der Wölbung zwischen gufseisernen Bal
ken und Gurten wiegt pro Quadr.-F. für die schwerste Decke
25 Pfd., für die leichteste 17 Pfd.; hierbei resp. 18 und 13%
Schmiedeeisen auf Anker, Bolzen, Schrauben etc.
Gurtbogen werden stets als volles Mauerw. gerechnet,
von dem die lichte Oel‘l'nung abgezogen‘ wird. ’
Gesims. Aus. gewöhnlichen Ziegeln, 1 Cub.-Ful‘s erford.
8 Stück gr. Form, 10% mittl. Form, 13"‘.- kleiner Form. Man
rechnet pro 1000 Stück gr. Form 60 C.-F., mittl. Form 48 C.—F.‚
kl. Form 36 C.-F. Mörtel zum Vermauern, Putzen und Ziehen.
Gesimssteine haben gewöhnlich folgende Dimensionen:
20” lg., 6" bt., 3%" stk., 23 Pfd. schwer u. 1 C‚-F. —._.— 4.} Stück,
18” „ 6:’ „ 3;,” „ 20 „ „ „V1 „ =4s „
16"„ 6’„ 3 4, 15 „ „ „1 „ =5 „
14" „ 6” „ 2” „ 14 „ „ „ 1 „ =7 „
Fachwand. Dimensionen. Schwellen sind mindestens 1%’
über der Erde, bei leichten Gebäuden 8" bt. und 5” hoch, bei
mittleren 11” bt. und 6” hoch, und bei stark belasteten 1‘2 bis
14” bt. und 9” hoch; die Stiele sind gewöhnlich 3—3‚'!’ von
M. zu M. entfernt, 5._.6" stk.; die Eckstiele haben mindestens
8" Quadn; die Fache sind 12 bis höchstens 14 Quadr.-F_ groß;
das Eckfach mit der Strebe ‘ist 4-—5’ weit. Neigung der Strebe
ä; das Rahmholz ist 6 und 8?’ stk. 8’ hohe Wände erfordern
einmalige, 11’ hohe zweimalige und über 13' hohe Wände drei
malige Verriegelung. 1 Q.-R. erford. 96—114 lfd. F. Holz.
Materialverbrauch, ohne Holzabzug.
1 Quadr.-R. Fachwand, ‚i Ziegel stk., erfordert:*)
420 Stk. mit 14 Cub.-F., 480 Stku mit 13 Cub.-F., 576 Stk.
mit 14 Cub.-F. oder 750 Cleve'sche Ziegel mit 9 Cub.-F.
Mörtel.
11. Holzwerk.
l)‘ Unbearbeitet.
Verstä rkung eines Baumstammes pro 6 lfd. F. c. 1”.
Einthrilung der Bauholzstlmme;
1. Extraordinflrstarkes über 45'154. mit mehr als 13" Zopfstärke.
2. Ordinärstarkes . 40—45‘ „ l1—13H ‚.
ß. Mittelbau- 0d. Rie
gelholz . . . . 30_40’ „ 8—l0" „
31. K1einbau-od.Sparr- '
‚ um . . . . 30__36' „ s_s“
5. Bohlstlmme . . 24__30‘ „ 5”
6. Lattstälmme . . 20_.24‘ „ 3"
7. Schwammbaum 0d.
rindschßliges Holz 30-40' „ 8—1OH .‚
8. Sägeblöcke (Absch.
von Langholz) . l:'>_24’ „ 12, 1-1__18" ‚.
Inhalts-Tabelle von Rundholz siehe Anhang.
2) Bearbeitet.
A. "erb andho l z, eingethcilt in Ganz-‚ Hulb- und Kreuzholz.
Die Ganz—‚ Halb- und Kreuzholz-Tabello, sowie die von he
schlagenem Bauholz siehe im Anhangc.
550 Landbau.
B. Schnittholz, eingetheilt
in Bohlen . . . . . . . ‚ nicht unter 2" stark
in Bretter: Ganze Spundbretter . 1%” „
Halbe ‚; . 1%" „
Tischlerbretter . . . 1%" „
Schalbretter . . . . 1" „
Kistenbretter . . . . %._%" „
Fourniere . . . . . %_T‘-K" „
‘in Latten: starke . . . . . 3"bt., 1%" hoch
schwache . . . . . 2-'f“bt.‚ 11;-_1:‘f“ „
Die Tabelle des Schnittholzes aus Ganz- oder Sägeholz, so
wie aus Mittel- und Kleinbauholz siehe im Anhange.
Balkenlage. In Wohngebäuden. Auf 1 Quadr.-F. Grund
fläche c. ‚}_7} laufende Ful‘s Balken. Im Dache vgl. Spar
renweite.
Balkenweite. Je nach Stärke der Balken und Dielung
höchstens 3-4’ von Mitte zu Mitte.
Nach der Erfahrung liegt frei:
1" starke Diele 2%’,
1"‘2’“ n n 3‘1
‚ 1%" „v „. 3-—4’‚
‘2" „ Bohle 5‘,
211714 „ v 6'151,
3” w ‚1 7%’!
4” ” „ 1 01’
5” v a7 121'111
6" „ „ 14%’.
B a l k en s tärk e. Frei ohne Unterstützung bei gewöhnlicher
Belastung:
aufll’ Länge 7 u. 7", auf 16’ Lg. 9 u. 9", auf21’ Lg. 10 u. 11"
„ 12‘ „ 711.8", „ 17' „ 811.10”, „ -z1‚g'„ 911.12“
„ 134;‘ „ 811.8", „ 18’ „ 911. _10", 22' „ 1111.11" 3333
„ 14' „ 7 u. 9", „ I8‚II‘„ 8 ü. 11", 2215‘ „ 10 u. 12"
„ 15' „ 81.1. 9", „ 19' „ 10 u. 10", '24’ „ ll u. 12”
„ 16’ „ 711.10", „ 20' „ 911.11", 25‘ „ 1211.12"
l
Nach einer pract. Regel ist die Höhe = (6 +2- ”, wenn
l die frei tragende Länge in Ful‘sen; die Breite 1” geringer bei
3 —32'-’ Entfernung der Balken.
Träger von Kiefern- oder Fichtenholz tragen bei gleich
förmiger Belastung und Unterstützung an den Enden ohne ein
zubiegen auf den lfd. F. bei:
Landban. 6b 1
fach. Stuhl nicht über 32_34’ lg.; über dem Fnl‘sboden min‘
destens 6’ entfernt. Stuhlrähme gew. 12—l4’ freiliegend,
7 u. 8", auch 8 u. 9" bis 9 u. 10” stark. Stuhlsänlen gew.
6 u. 7", auch 7 u. 7" bis 8 und 9” stark. Hahnebalken
1}, gew. %, auch “S” stark, je nach der Sparrenstärke.
Fettendach. Fetten gew. 7 u. 8” stark, können von
Mitte zu Mitte bei Ziegeldach 12——l3’‚ bei Asphalt- und Me
talldach 1’3—15'‚ bei Rbhr- und Strohdach 133-17’ weit frei
liegen. Die Hauptsperren, gewöhnlich 7 und 8” stark, in je
12—_-13’ Entfernung unterstützt. Daehstreben auch 7 und 8”
stk. Die Fettensparren gew. 6 u. 7.” stk., sollen bei Asphalt-‚
Lehm—, Metalldach in je 14—‚-15' Entferm, bei Ziegeldaeh in
je 13_14’ Entferm, bei Rohr- und Strobdach in je l5—l6’
Entfern. unterstützt werden. Die Knaggen werden in je 10
12" Entfern...mit langen Nägeln befestigt.
Flache Dächer. Gewöhnliche Stärken: Sparren 6 u. 7",
Rähme 7 und 8”, Stiele 6 u. 7"’, Kopfbitnder 6 u. 7", Saum
schwelle 6 u. 7”.
Streben, bei einem Hängewerk. Ihre Stärke (s) wird
wie die der Balken berechnet (siehe Balkenstärke). Hier
bei wird für die Länge im Minimum die horizontale Projec
tion der Strebe, im Maximum ihre volle Länge gesetzt. Die
Breite (b) wird meist= 5} der Spannbalkenbreite gesetzt. Auch
H l’ ‚I
s= (6 oder (6 , wo H die Höhe der Neigung
der Strebe in Ful'sen ist.
Kopfbän der. ' Nicht über 5’ lg-‚ gew- 3—4%'1g-‚ %—— 97",
auch g" stark. ’
Aufschieblinge je ‚nach der’ Länge 5 und 6” bis 6 und
7ll stark. Länge gleich dem öfacheu Ueberstande.
‚ Hl ==Q‚sinac0sa=1}-Q‚sin2a‚ V’ =Q Goss a,
H2=(Q-l-Q‚sin2 a) cotga‚ V,=Q+Q sinaa+a1
R = .Q +Q‚sina.
sma
C. Für das Hängewerk ist:
a. wenn dasselbe ein. einfaches ist:
der Druck in der Hängesäulß = Q„
Lnndbnu. 555
1
"_r
der Verticulschub in B, V= R sin a = 1}
b. wenn dieselbe ein doppeltes ist:
Q Q,
die Pressung in den Streben R: ’ und ‚ ,
Sllla siua
die Horizontaldruckc im Spann
riegel wie im Spnnnbslken II= alcotga u. Q, cotga.
l
der Horizontsldruck im Balken H = P T cotga
1
I
der Verticaldr. in B, sowie in D, V= P 7,
\
-— -—e"—->‘=
Fig. 281 —- g.—- —- >
181%‘I
d4
=%&L+B—)
Fig. 290.
560 Landbau.
Fig. ‘191.
„ „ F‚B: s‚=s+‚}‚1a‚€l3;‚
Lnndbu. 551
<--‚w'-—+
36
1.‘!
562 Landban.
Höhe h 6‘
2== in d.Mitte‚
über der ' °° »Abstand - '
Dimtäisionen der
{5: durch d. g zweier _ puren
ä Auflage‘.1 ‚f Hänge_ (s. Fig. 292 u. 293)
S gehenden ‚in
| ‚ä‘ Horizont k! Stangen i
m
(Fig.290) r; w l l d i r
'
F7’ -„ —_ ‚„i --—
‚ Y ’l "
20; 41 6a 51 I 211 I y; ‚ 2%” ‘%u
21, | 41 2,121, 6%” 51 311 2,1 g %II ' 2%” i Lgu
221
231 4 511“ 6%‚1/
71 ' 5]
5! 611
911 2&1!
2%” I 3%“
'ill 2211
2%11 ; %11
_g_ll
eiserner Dächer.
_ _ Durchmesser
Dimensionen der
I
(s.
F-1g.292)
Streben
ä s » = ‚ß‘ ab « e «‚
l
dgolmv ‚12V m31 xsö
20A ä’DA ä’ A a’ A1
die einzelnen Filzstilcke sind etwa 7 5' lang und 2%’ breit und
wiegen 100 Quadr.-F. c. 40 Pfd.; die Nagelung geschieht mit
1”igen Nägeln, 2-3" weit. Der Filz wird mit einer Mischung
von 12__14 Maafs Steinkohlentheer und 1 Maafs Kreide oder
zerfallenem Kalk heifs überstrichen u. mit scharfem Sand bestreut.
Bleidach. Höhe 1" pro Fnl‘s Tiefe; Länge der Tafeln bis
zu 10,1 Breite 2;’ genügend; Stärke wählt man am besten zwi
schen 1%" und 1%". ‘ ‘
36 *
""T
‘564 Lundbau.
1 Q.-R. Dachfläche erf. bei T‘g” starken Platten 612% Pfd. Blei,
1} Schock verzinnte Nägel.
1 Q.-R. Dachfläche erf. bei T',” starken Platten 840 Pfd. Blei,
1} Schock verzinnte Nägel.
Leisten 1.}_2” bt., abgerundet: Ueberdeckg. auf den Leisten
1%"; horizontale Ueberdeckg. 3_4” mit Löthfuge; Nagelung
auf den Leisten in 1‘ Entfernung.
K up ferb l e chda c h. Vgl. Kupferblech. Dachneigung 2. Fufs
Tiefe; 1 Zoll. Neigung bei Gesimsen, Altanen ä. F.; bis 1! Zoll.
Hafter: 3_3‚'[” lg., 1-2" bt. in 2_3’ Entfernung und am
Ende jeder Tafel. Falze, stehende, erford. 3%" Breite, liegende
1%” Breite von jeder Tafel.
l[Bedarf an Blech,
Hafter und ‘i? Bei Platten von 5
|
1 Q.-Ruthe
Dacbfläche . 84 Pfd. 10 Pfd. 3' ‚1- Pfd. 7%
(zuBlechsind 118 „ 3’ 73; „
5-63 an Ver- 15a „ 3’ 1 „ glölf
lust noch hin- 200 „ 3’ 1} „
'znzurechnen) 233 „ 3’ 1% „ 26 I!
Die 3füfsigen Platten erfordern 6, die öfiifsigen 7 und die
10 flifsigen 8 Hafter; jeder Hafter 2 Nägel.
Rohrdach. Dachhöhe %— 1 der Tiefe; Dauer c. 30 Jahr;
14" stark. 1 Q.-R. erf. 1%- Schk. Deckrohr, 41} Cub.-F. rind
schälig. Holz, 3. Stück Lattstämme ä 24’ lang. Für jeden lfd.
Fufs Traufschicht 1 Geb. Stroh. Urn 24 lfd. Fufs eines zwei
seitigen Daches von beiden Seiten zu verpuppen, bedarf man
2 Lattstämme b. 24’ lang, 14 Geb. Stroh.
Schieferdach. Dachhöhe der Tiefe. Nachfolgende
Angaben gründen sich auf diese Dachhöhe; bei sehr hohen Dä
chern wird der Bedarf um %‚ bei kleinen runden Kuppeln um
10-_12% vermehrt. Auf 1 Quadr.-R. Dachfliiche bedarf man
3 Leitsrhaken und pro lfd. F. Traufe 2 Bordnägel.
Bedeckung mit deutschem Schiefer.
a. Unbearb eiteter incl. Verhau, nach Centner oder Biers.
1 Riefg = einer 8’ langen Reihe aus unbearbeiteten Schie
ferplatten. Vor der Verwendung geschieht eine Sortirnng
Laudbau. 555
10"
__
g‘r. 500 St.
_.18 Schk.
r‘3241.1“. 5%"w.
‚
4821.13‘. 4” w.
12" „ 340 „ 12 „ [216 „ 6;"„ 346 „ a" „
|‘_14" „ 240 „ 8% „ ‘242 „ 711-’ „ 288 „ ‘ 6" ,
') Die Anuahen bei Deckung in schräger Reihe gelten, wenn die
Höhe der Neigung der Reihen gleich der halben Länge ist.
566 Landbau.
l an Latten i
an Schiefer und Nägeln ‘—bei schräger beigTder’]
Reihe , J Reihe i‘
‘ ‘ ‚1
Dimension Anzahl sen-Nägel“ Latten Egelatlet' Latten E gelgßeei
[' l
(Auf den K. Mühlen in Berlin liegen die 7.1,’ bt. Bleche auf
eine Länge von 13’ auf und sind alle 394" verschraubt.)
b. Trippstadter bei Kaiserslautern.
Ueberdeckung. 5%" in der Länge, IT'Ü” in der Breite.
Gewichtsvermehrung bei No- 16—2l in Folge der
Befestigungs-Federn 7 __14{‚’; für die vollständig eingedeckte
und angestrichene Dachfläche 28__87 g. Unterstützung alle
7%’; geschieht dieselbe durch T-Eisen, so ist dasselbe oben
'21,” breit, g" stark, 2%" hoch, in T9," Stärke, 16’ freilie
gend.
Steinpappdach‚ vgl. Steinpappe. Dachhöhe T‘ —-‚'T der
Tiefe; die Pappe wird vor der Eindeckung l‘l_24 Stunden
invwasser erweicht, zu welchem Kalk gesetzt ist. Schalung
aus ä’figen gespundeteu oder gedübelten Brettern. Dübel aus
s}”igem Rundeisen, 24-8” lang; in der Mitte der Bretter zwi
sehen je zwei Sparren. Eindeckung mit Leisten 3” breit,
l{_1.‘‚” hoch mit 4—-5" langen Nägeln befestigt: in Entfer
nnng die .%-—-11}" Weniger als die Pappenbreite oder PLänge. An
den Leisten werden Sie J," aufgebogen; darüber Kappen in 1%”
Entfernung mit Rohrn‘l'geln genagelt. Eindeckung ohne Lei
sten nach Puhlmaml mit 4" Ueberdeckung und Nagelung in
1%” Weite, ä” von der Kante. Verbindung in horizontaler
Richtung durch Falze mit J,” breitem Uebergrifl‘e, bei Nage
lung mit 1.; .- 2" Weite. Am Forst überdecken sie sich ein
fach um 6" mit Nagelung von 1%_1‚'[" Weite. Anstrich alle
2 _ 3 Jahre. '
1 Quadn-Rth. mit Leisten erf. 1 Ctr. Ebart'sche Pappe,
1200 Stk- Rohmägeh Tonne Steinkohlentheer, Schffl. Kalk
zu Staub gelöscht, 2 Pfd. Graphit; ohne Leisten: dito, aber
statt 1200 Nägel 2000 Nägel.
1 Quadr.-Rth. Dachpappen aus Duisburg und Trutenau er
fordern 33 Tafeln, 1500 Stück Kreuznägel, a 1" lang.
Strohdach- Dflßhhöhe 1}_1 der Tiefe; Dauer c. 20 Jahre
» l Quadr.-R., 14" Stark gedeckt, erf. 1 Schock langes Stroh;
1.}_1% Schock kurzes Stroh; 4,1, Cub.-F. rindschälig Holz zu
Bandstöcken, 3 Stück Lattstämme h, 24’ lßng- 24 lfd. Fufs
zweiseitig Dach von beiden Seiten zu verpuppen erfordern 14
Gebund Stroh, 2 Lattstamme s 24’ lang.
Weifsblechdecm vergl. Weifsblech. Dachhöhe .‚II der
Tiefe. Horizontale Falze umgreifen sich auf ‚15% 4 Stück wep
den meist zusammengelöthet. Hafter 1%— 2” Quadr. groß.
Lnndbau. 569
i 1 Qundn-Ruthe Eine
Dachfläche Weil'sblech Haftet Nägel Tafel
erfordert deckt
_Tafeln Kiste: A; ‘
2. Im Rheinlande.
1 Pfanne, 12” lg„ 8” bt.‚ ä” stk., wiegt 2%—3 Pfd.
Die kurzen Latten ä 91',’ lg., für 2;‘, die langen b. 142’ lg.
für 2% — 3’ Sparrenweite.
Häufig liegt unter dem Pfannendach eine Strohschicht; es
erfordert 1 Q.-Rth. Pfannendach 100 Pfd. Stroh und 3 Cub.-F.
Lehm.
Mitunter ist zur Forst- und Gratsicherung eine Schicht an
gewandt‚ zu welcher pro 50 lfd. F. 1 Tonne hydr. Kalk und
24 Cub.-Fufs Sand nöthig sind.
Zinkblechdach, vergl. Zinkblech. Dachhöhe bis ‚2" der
Tiefe, oder auch pro lfd. Fufs .ÄT" Fall.
.Daue'r für Blech N0. 12 und 13 c. 20 Jahre.
Deckungsart.
_ 1. mit Falzen. Hafter aus Eisenblech 1” bt., 2” hoch,
oben %”‚ unten 2” umgebogen, wird in 52-3’ Entfern. mit 2 Nä
geln befestigt. Horizontale Ueberdeck. 4 — 6” oder 1-.1—— 2"
mit Löthfuge; die Tafel deckt 13a. Quadr.-Ful's;
‘.2. mit aufgenagelten Leisten. Leiste 1%” bt.‚ 1” hoch,
Ueberdeck. an den Leisten 1-—1}”, genagelt in 1’ Entfernung;
die Tafel 16 Quadr.-F‚ deckt 14} Quadr‚-F. Dachfläche;
3. mit aufgenagelten Leisten und aufgeschobenen Deckeln.
Leiste 2" bt., 1%” hoch. Hafter aus Eisenblech in 2.‘: fiä’
Entfernung, JE” oben umgebogen; die Tafel deckt 12% Q.-Fufs;
4. mit aufgeschobenen Leisten. Leiste 1%" 'bt.‚ 2” hoch.
Höhlnng 1” weit, 14-” hoch; die Tafel deckt 10% Q.-Fufs;
5. mit Rollen. Die Rolle 1” breit, 1%” hoch; die Tafel
deckt 12,} Q.—Fufs;
6. mit aufgeschobenen Rollen und Doppelhaftem. Haftet
1%” nach aufwärts gebogen. Rolle 1%” im Durchm. Die
Tafel deckt 11% Q.-Fufs;
7. ohne Schalung in wellenartiger Form. Die Tafel, 6’
lang, 3’ breit, deckt 12.5- Q.-Fufs. ‘
Zinkblechverbrauch. ‚
Landwirthschaftliohe Anlagen.
Diiugergrub e. 1‚',--—2’ tief, Einschließung durch 18—24"
hohe Mauer und 5.—8" tiefe Rinne. 1 Pferd producirt nach
Abzug des bei der Arbeit verloren gehenden Düngers jährlich
7 Fuder s 25 Cub.-F.‚ l Stück Rindvieh bei Stallfutterung 8 bis
10, 1 Schaf (von October bis Mai) g, 1 Schwein desgleichen
1 __ 1% Fnder Dünger.
Federviehstall. Hauptfront wo möglich nach Mittag.
Höhe div-7’ im Lichten. Bodenmum pro Ente 1% Quadr.-F.‚
pro Gans 2%.Quadr.-F., pro Huhn 1% Quadr.-F., pro Pute 3
Quadr.-F. Hühnersteige 6—8" Sprossenweite. Taubenzellen
für ein Paar 18" breit, 18" hoch, 1.-_1‚E‘ tief, mit Oefl‘nungen
von 6" Quadr.
Geräthehaus, Schuppen oder Wagengebäude.
1 Kutsche ohne Deichsel 10—l2’lg.‚ 5—6‘ bt., 9’ hoch, mit
Deichsel 20‘ lg.;
1 Emdtewagen » 1 ‚
1 Düngerwagen ä „ 10_l2’ „ 5—6‘bt.,m.De1chs.20 L,
lPflug . . . . . . . 7'lg.‚ ö’breit;
1Egge..... 4’ 4’„
‘1Seh1itten . . . . .'4%_5‘: 21-3’ „
1 Feuerspritze ohne Deichsel 9’ „ 5’ „ 6' hoch, mit
Deichsel 17’ lgn;
1 Klafter Brennholz = 108 Cub.-F.‚ kann 10’ hoch gepackt
‘ werden; vergl. Holzstall.
1 „ Torf . . v="-- 120 „
Zum Kleinmachen des Holzes 60_100 Quadr.-F. Grundfläche;
Länge des Raumes für Geschirrholz = der Brettlänge; Geschirr
kammer 240 —300 Quadr.-F. .
An Bedarf der Ackeryeräthe rechnet man auf 1 Zug Pferde:
1 Erndtewagen oder 2 Düngerwagen und 2 Pflüge, wozu bei
einer erhaltenen Anzahl immer zur Reserve 1 Düngerwagen und
1 Pflug zu rechnen ist. Aufl Pferd rechnet man 1 Egge; au
fserdem 2 Reserve-Eggen zur ganzen Anzahl.
Höhe bei massiven Wänden mindestens 12’, bei hölzernen
Wänden 10%’ im Lichten.
Thore zur Wagenremise mindestens 7%’ bt.; Pfeiler zwischen
den Thoren mindestens 2% Stein breit, 10%’ hoch.
Pferdestall. Vorderfront wo möglich nach Abend oder
Mitternacht.
Standraum ohne Krippe, Y
für 1 gew. Ackerpferd, zu 4 nebeneinander, 7—8’ lg., 4’ bt.
Lnndvrirthschnftlichs Anlagen. 573
Fenster. 1' bt.‚ 2%’ h.; 5' über dem Düngergang; auf
12 Qu.-F. Grundfläche c. 2% Qu.-F. Fensteröfi‘nung. r
Decke. Gestreckter Windelhoden; Oefl'nungen in der Decke
mit Fallthüren, 3—4‘ lang und gleich der Breite des Balken
fachs; alle 30’ eine Oefl‘nung. -
Krippen. Von der Oberkante bis zum Fufsboden höchstens
2". Von Stein 16—18” breit, 9-1‘2" tief. Von Holz
oben l8_.19”, unten 12” bt., 10_12” tief, aus 2—2.-E"igen
Bohlen. Sandsteinkrippen 13” weit, 9" tief, aus Stücken von
6_8’ Länge, mit ä” langen Nuthen zusammengesetzt.
Nackenriegel aus 5”igem Kreuzholz; von der Unterkante
bis zur Oberkante der Schwelle 2%’. 3'
Kuhstacken 2" stark. Die zwischen ihnen für die Kuh be
findliche Oeifnung 2)!’ weit. " w <
Abfall des Pflasters in Kuhstitllen wenig oder gar nicht, in
Ochsenställen bei Feldsteinpflaster 2-3” auf 7—.8’ Standlünge‘.
Fall der Abzugsrinnen pro lfd. Rth. 1-—1ä".
Futterboden. Die Winterfütterung pro Kuh beträgt 20-22
Ctr. ä 15 Cub.-F. an Heu. ‘
Heuluken nicht unter 3' breit, 3’ hoch; in 60—70’ Ent
fernung, dazwischen ein Dachfenster. ‘
Futterkammer. Für grünes Futter und Hitcksel pro Haupt
4- 6 Quadr.-F. Flächenraum.
Mägde- und Kneehtekammer. 1 Magd auf 15, höchst. 20
Kühe; 1 Knecht auf 4 Zugochsen. 1 Hängebett mindest. 6’
von der Erde, 4' von der Decke entfernt.
Jungviehstall pro Stück 18 Quadr.-F. Grundfläche.
Kälberstall pro Kalb 14—16 Quadr.-F. Grundfläche; die
Stände geschieden durch 4' hohe Wände. Zur Erhaltung des
Kuhbestandes rechnet man auf 4 Kühe 1 Kalb. _ ‚
Mastviehstall. Mit der aus 1 Schffl. Malz täglichen Bran
des gewonnenen Schlempe können 2-2); Stück Rindvieh ge
mästet werden, wozu sie noch aufserdem ‘das nöthige Rauch
futter erhalten. Mastzeit 5—6 Monate. '
Mollcenhüche. Der Käse- oder Wadicke-Kessel ist fiir 180
bis 200 Kühe 34-35" weit und 2l—22” tief.
Schaf stall. Vorderfi'ont wo möglich nach Mittag, beson
ders bei Ställen für Muttervieh und Lämmer.
Grundfläche
für 1 Jährling 5—6 Qua‘dräF. ‘oder h Haupt durchschn.
„ 1 Hammel 6-7 „ 6_-7 Quadr-‚F. (Gesetzl.
„ 1 Mutterschaf 7-.8 „ Bestimmung.)
„ 1 Bock in besonderem Stalle s. Sprungkammer (s. unten).
Tiefe des Stalles. Nicht unter 30’, nicht über 40’. Rech
576 Lan dwirthschaftliche Anlagen.
15" lg., 71,” bt., 6" stk. = 675 C.-Z. wiegt 37 I’fd.; 2% Stück
= 1 CubwF.
11“ lg., 5%” bt., 6" stk.=363 „ „ 18-10Pfd.;4.3 Stück
= 1 Cub.-F.
1000 Stück der kleinen Sorte verlangen 240 C.-F. frischen
Lehm, 10 Gebund Stroh und 4 Schffl. Flachsscheben.
‘ Lehmpatzenmauerwerk. s. Mauerwerk.
Lehmschindel und -Da.ch. s. Dach.
Lehmsteino ‘ '
a) grofser Form. 11%" lg., 5%" bt., 3-‘4" stk., wiegt 10—14
Pfd. Inhalt: 189i- oder 253 Cb.-Z.; 9% 0d.
6% Stück = 1 Cub.-F.
1000 St. erford. zu ihrer Anfertigung 150
bis 220 Cub.-F. Lehm und zum Vermauern
(50-72 Cub.-F. Lehm als Mörtel.
b) mittlerer Form. 10" lg.‚ 4%” bt., 3” stk., wiegt 8._8{- Pfd.
Inhalt: 145 C.-Z.; 12 Stück: 1 C.-F.
1000 St. erford. zu ihrer Anfertigung 124
Cb._F. Lehm und zum Vermauern 52 Cb.-F.
Lehm als Mörtel. __
1 Cub.-F. Lehmsteine wiegt c. 99 Pfd.
Leinpfad, Für Menschen 4’, für 1 Pferd 6’, für 2 Pferde
8' breit.
Lösohbank. s. Kalkbank.
Luftheizung und Luftheizungsofen. s. Heizung.
Luftziegel. siehe Lehmsteine.
M.
Magazine. l- Getreide-Magazin, Kornboden‚
Kornspeicher etc. s. Landwirthsch. Anlagen (Schüttboden).
2. Mehlmagazin od. Mehllager. Meist im Erdgeschol‘s.
] Mehlta'nne 33".’ lg.‚ 2%’ im Bauehe stk.‚ fai'st 6 Schffl.
Mehl; mehr als 3 Tonnen nicht übereinander; 2 Tonnenreihen
nebeneinander, dazwischen ein Gang von 4’ Breite. In dieser
Weise brauchen 30 Tonnen excl. Gänge einen Raum von 11%’
lg., 6%’ bt. Etagenhöhe mindestens 9’ im Lichten.
3. Salzmagazin erhält 1, höchstens _2 Geschosse von
mindestens 9’ Höhe.
1 Salztonne hat dieselben Dimensionen wie eine Mehltonne
und c. 408 Pfd. Gewicht. Jeder Quadr.-F. Bodenfläche wird
bei 3 Tonnenlagen übereinander mit c. 160 Pfd. belastet.
Fenster 3—3‚i-' bt., 4’ h., zwischen je 2 Bändern eins.
Windlöcher 5’ bt., 4’ hoch mit Klappthüren.
582 Ma'nsardedacn Mörtel.
Mansardedaoh. s.Dacl1.
Marmorinolutz. s. P1112.
Marmor. s. Bruchstein. '
Marmor-Gemein. 11. Cement.
Mastix-Gement, s. Cemäm.’ ‘ ' ‚ ‚ 1
Mauer-Anstrich. 'Wqsseg‘dicbtey‘ 1315115. aufgetragene Mi
schung aus 1 Th. gekochtleni’Leijiöl‘find‘j'ü B'Ieig‘lätte, zu
sammen geschmolzen mit 2'Th. Harz. ' 1 ‘ _ '
. Grund zum Malen: 3 T11, „gekochtee‘Lein'jlä‘fj‘ü Th; Blei
glätte, 1 Th. Wachs. 1 ' ‚ l ' ‘ _ ‘ ' ‘ '
1 QuadL-R. feuchte Mauerfläche ‘ini't Steinkohlentheer zu
winken erfordert 25 Pfd. Theer. I '
Mßrgßl. Erdiger. 1 (‘L-F. wiegt 1144 Pfd.; Dichtigk. c. 2,4.
Harter. 1 „ „ “156 „ „ c. 2,6.
Messing. -1 Cub.-F. wiegt 518. Pfd.; 1 Cub.-Z. 9 Loth;
Dichtigk. Q. ‚8,4... 8,71.
x ‘ Messingblech. 1 QufldL-F. 1'?" stark, wiegt 3T’? Pfd.
Messingdraht. 1 C.-F. wiegt 518 Pfd.; 1 C.-Z0ll 9 Lth.;
Dichtigk. 8,43 —— 8,73. "
Mistbeetfenster. 1}—%zöllige Ueberdeckung der Scheiben
mit einem Kittstreifen. Der Kitt besteht‘ aus 1}! Pfd. Bleiweifs
und liPfd. Kreidepulver, das mit 1 Quart Leinöl und 1 Lofih
Silbergl‘a‘tte in Firnil‘s gekocht wird. ‚
MiStStättß. s. Landwirthschaftliche Anlagen.
Mörtel. 1 .
Cem'entmörtel vergl. Cemente.
Borussia-Cement. v
1 Ctr. rein braucht‘) ' Bei Sandzusatzpro
77 Pfd. Wasser, > 'Mörtel‘ i C.—F. Sand „3]- Cub.-F.
1 (‚‘.-F. rein braucht \ ‘zu ‘Vasser mehr.
77T C.-F.'Wasser ‚ geben.
1 Tonne rein ' l giebt Cub‚-F. Mörtel
'1‘ „ ‘mit 6 Cnh-F. Sand „, 11% „‘ „ '
‘1 „ mit 12 „ ‘ „ '‚. ‘16 V „ oder
1 Cub.-F. lose Maäse mit 1 Cub.-F. Sand giebt.l,54 Cub.-'F. Mörtel
' ‘_ _ ' (1,75 Eimer Wasser).
1 Cub.-F. lose Masse mif? ÖubJLF. Sand giebt 2,39 Cub.-F. Mörtel
(2,33 Eimer Wasser).
1 01111-11. lose Masse mit a cuh-nsaim giebt 3,19 Cub.-F. Mörtel
1“ i ‘ ' (3,00 Eimer Wasser).
Die beste Mischung ist l‘Th‘. Cement und 2 Th. Sand; auch
eine Mischung von 1 Th.fri'schen‘l' Cement init_3 Th. Sand giebt
noch einen guten Mörtel. ' ‘ ' ‘ H " ‘ ‘ .
Mörtel. 583
1 „ „ „ 21 „ „ 24'E „
1 C.—F. loser Cement mit 1 C.-F. Sand giebt 1,50 C.-F. Mörtel
(1,50 Eimer Wasser).‚
1 „ „ 2 „ „ giebt
I (2,332,33 C.-F.
Eimer Mörtel
Wasser).
1 „ „ 3 „ „ giebt 3,25 C.-F. Mörtel
(3,00 Eimer Wasser).
1 „ „ 4 „ „ giebt 4,17 C.-F. Mörtel
(3,67 Eimer Wasser).
Cement von White aml sons
rein zum Mörtel, wird in . . . . . 10 Tagen steinfest.
mit 1—2 Vol. Sand gemischt, wird in 12 v „ „
mit 3 n ‚v n v 14 n n
mit 4— 6 „ „ „ 7! 3 Wochen „
Beste Mischung: 1 Th. Cernent mit 3 Th. Sand; 1 Th. Ce
ment mit 4 Th. Sand giebt noch einen guten Mörtel, wenn der
Cement frisch ist.
Roman-(Zement. Englischer:
1 Cub.-F. Cement mit 1 Cub‚-F. Sand giebt 1,50 Cub.-F. Masse
(1,75 Eimer \Vnsser).
1 „ ‚. „ 2 „ „ giebt 2,25 Cub.-F. Masse
. (2,25 Eimer Wasser).
1 ‚- „ „ 3 „
giebt ‚8,00 Cub.-F. Masse „
(3,00 Eimer Wasser).
Beste Mischung: 1 Th. Cement mit 2 Th. Sand. 1 Th. mit
3 Th. Sand giebt noch einen sehr guten Mörtel, wenn der Ce
ment frisch ist.
Von Woderb und Goslich in Berlim.
1 Cub.-F. erfordert c. T‘T Cub.-F. Wasser, um weichen Mörtel
zu geben.
1 Tonne, rein verarbeitet, giebt 471 Cub.-F. Mörtel.
1 „ mit 4', Crl“. Sand „ 7} n ' ‚y
1 „ ‚i 8:? n w n 1 u n
1 „ „ 13 „ n ‚s 1512i n n
Der Cemcnt mit 4% Cub.-F. Sandzusatz pro Tonne ist in
5 Wochen steinfest.
584 Mörtel.
0.
Ochse. Zugkraft unter Arbeitsleistung; vergl. ferner Land
wirthschaftliche Anlagen. '
586 Ochsenstall. Pise. .
0..
fluadrateisen. s. Anhang.
R.
llähmhölzer. s. Fachwand. ‚
Räucherkammern. Mindestens 5-_6’ lg. und bt.‚ 5_s’
hoch. Nach gesetzlicher Bestimmung müssen sie ganz massiv
und mit eisernen oder mit Blech bekleideten Thüren versehen
sein; die den Rauch zu- und abführendeu Röhren dürfen nur
3" weit sein.
lläucherstangen müssen 12’ vom Heerde entfernt sein.
Sind sie von Holz, so dürfen sie nicht in die Schornsteinwan
gen hineinreichen, sondern müssen auf besonders vorgestreckten
Steinen liegen.
liammbeton. Der nachgebende Grund wird festgeschlagen,
darauf eine c. 1’ hohe Lage Bauschutt gebracht und eingerammt;
in dieser Weise wird fortgefahren bis die Lage 3-4' stk- ist.
Unter günstigen Umständen trägt eine 111’ starke Schicht schon
‚ein 2 Etagen hohes Gebinde. ' '
Kaminen. Wirkungderselben.
A. Nach Briz, wenn auf die Zusammenpressung des Hol
. ‘_ zes keine ‘Rücksicht genommen wird. Ist:
Q das Gewicht des Rammklotzes in Pfd.;
q das Gewicht des Pfables in Pfd ;
h die Fallhöhe des Rammklotzes in v
‚ ‚_m ein Sicherheitscoefficient, der nach Eytelwein =.= 4 ist; ‚w
„ Pdie gröfste Belastung, welche der Pfahl, ohne tieferein
musinken, noch tragen kann in Pfd.;
P .
_ p =——‘die zulässige Belastung in Pfd.;
m .
m1 e‚<e+q‚>=(q‚+q>*
P ==‚q hQ2qq7
‚__‚ ‘m a
2 2
I=i (algyiäw; e’ wird um so kleiner, je
m P q, q‚ q
kleiner q] ist.
B. Nach Redtenbaehe'r ist, wenn auf die Zusammenpressung
des Holzes Rücksicht genammen wird, die Tragfdhigu
heit des Pfahles:
E _______‚_‚
2E Q’h " eE ' ‘
a R: ä\ l
—L V al ‘ Q-l- Q + l a7
Rüokzaun. s. Zaun.
Ruudeiseu. s. Anhang.
Rundholz. s. Anhang.
Rundlatte. 24-30’ lg. bei 1.'_2" Zopfstärke.
S.
Sägeblook. s. Bauholz.
.. _ h u
Säulen, hölzerne. Ihre Stärke betrage (6+—8-—) bis
h H
(6+ —6») ‚ wenn h ihre Höhe in Fufsen bedeutet. Die Fun
damente mindestens 1.} Ziegel im Quadrat. .
Säulenordnung. Vergleichungstabellen der Dimensionen
verschiedener Monumente. Es ist der Säulenhalbmesser: 1 M0
dul= 30 Partes angenommen.
I. Säulen-Architektur.
A. Darz'ache Ordnung. a. Die in folgender Tabelle an
gegebenen Dimensionen sind genommen:
l. Vom Tempel der Minerva auf Aegina. _
‘7. 331g Tempel des Theseus zu Athen (Theseion).
ä. Parthenon zu Athen.
4. Tempel des Apollo Epicurius bei Phigalia.
5. chorag'ischen Monument des Thrasyllus und Thra
sykles z'u Athen.
b. Vergleichungs-Tabelle dorischer Monumente.
z‘. T‘
F ad 1. ad 2. . ad 3. ‚ad 4. ad 5.
3 ‚3 o ‚g > o d o ä Q ‘5 ‚
‘ A Ln-r E 9-1 E Phi 9.1.2 n.
Säulenhöhe“) . . ‘10 20g 11 _.\11 _._ 10 22 116 sag
Schafthöhe
Hals . . . excl.
. . . 9 l15% 10 d_ 10 2 9 23 15 11%
Capitälhöhe incl i
Hals . . . . ‚.115 1_—2s_29—27
Gebälkhexclsimaj 4; 6} 4 11 4- _ 3 16 3‘ 6.}
Architravhöhe . 1 1 ‚20g 1 20 2 14.1: 1 15 1115
Frieshöhe. . . . 1 ‘20g 1 20 1 1a; 1 15%; 11 2%
Kranzgesimsh. . '-.-i24% 1 1 1 2} _— 15; -— 19
Oberer Säulen- i J l
durchm.**) . . . 1 1 143} 1 17 l 17.’! 1 17} 1 ;27
Abacusbreite. . . 1 2‘14 2 9 2 5 2 4; 2 15%
Zu ad 5: Pilasterhöhe.
*') Zu ad 5: Oberer Pilasterdurchmesser.
F92 Siulenordnung.
o r s o . o e Q s e s
| _,‘_2\o< 2710., E_n-' äincä ml
Triglyphenbreite . 29g 1 1 —- 27 _‚. 28} _.
Metopenbreite . . 1 1 20% 1 16 1 12 __1 15% _ _|
Ausladung der i "" ‚es. 1
‘Kranz‘platte. . . _ 23.: _ 26; ._ 20g _ 21! _‚ 20g
tAntenbreite . . . 1 21% 1:16 1 15 1 20 __. ._
Capitälhöhe . . . ._. 22 -— 20% —- 18 —- 16% _-_ -1,
‘g, ‚n ‚ ‚M‘! H
B. Jom'sche Ordnung. , a. Die in folgender Tabelle ange
gebenen Dimensionen sind genommen: .. r
1. Vom Tempel am Illissus bei Athen;
- 2. Von der Portike des Tempels der Minerva Polias zu Athen;
3. Von den Propyläen des Tempels d. Minerva Polias zu Priene.
I b.‘ VergleichungshTabelle jonischer Monumente.
"es 1. ad 2. ad s.
Mod. Part. M911.‘ Part. Mod. Part,‘
.‚ „
Säulenhöhe . . . 16 ._ 19 —- 18 17 i
Basishöhe’“. -.1. . .;: ‚ 1 .__ — 24,‘: 1 3 \
Schafthöhejxcl. Hals . 13. 29% 16 22.‘, 16 1a
Capitälhöhe. m91. Hals ‚». a1 . J, 1 1a _ 26
Gebälkhöhe . 1'. ._... ‚ 14 ""16 ‚ 4 171!- 4 6
Architravhöhe T .' . "T ‘1 25 1 21; 1 12;
‘g Frieshöheui. _‚_ _.‚ "1 ‘ L9 1 181i‘ —— 28
Kranzgesimshöhe . . . 1 2 1 7"; 1 25.}!
Oberer Säulendurchm. . ‚ ‚'1 2-1 1 20 1 22 ‚
Ausladung der Kranzplatte -- 26;‘,i -—-‚ 251} 1 8},
Antenbreite ,_. ‚ . . . -'1 27 1 19 _ _\
Basishöhe . . .i . . ._ 23.‘, — 28.; -»_ __‘;
Capitälhöhe .‚ - 1 a; 1 8.1, __ __ 2.
C.‘ Karinthische Ordnung. a. Die in folgender Tabelle an
gegebenen Dimensionen sind genommen:
1. Vom chorag. Monument des Lysikrates zu Athen;
'2. Vom Thurm der Wiiide‘zu Athen;
'3. ‘Von der Portike' des Pantheon zu Rom;
4. Vom Tempel der Pandrosus zu Athen.
b. Vergleichungs-Tabelle korinthischer Monumente.
Biulenordnung. 593
ad 1. ad'2. ad?» ad 4
1
's
U u
ersieälei'aim
'U i“ ‚g i ‚u l ‚U 1 g
o ‘5 o i 1; ; o . ä o l d
v- 2 m'äinwzwu 21m
.‘:_.:._;=____4—'__„„ „„„„‚%_„
fsiulä'niö’he' . . . '20 "4' ib'isg 19m6; 10781,‘)Q
Basishöhe . . . 1. 8.‘, __}_ 1\_‚ -« 18.12)
schaflhöhe . . 15 ‘26
Qapitälhöhe. V. . 2 25.‘; 142 _I
16.‘ 16
2 8i103)‘_
7; — 27
Gebälkhöhe . . . 4 20.; 3 20 416} s ‘25.;
Architravhöhe .
V Frieshöhe 11 219.} 11 7)‘l 11 121‘
9.; -—-1 ‚25%
_
Kranzgesimshöhe ._ 1 20 1 E12ä 1 24 2
‚Oberer Säulendurchmi 1 20 1 20_ 1 22% _
Auslad g ‚der Kranzpl. 1 11‘I 1 7It 1 13‘I f
II. Bogen-Architektur.
Vergleichung-Tabelle einiger antiker Bögen. _4 _:_
Berner-k. Die Bögen sind% _ '_ F "T Eyä ää ‚Ä
halbkreisförmig, mehr 0d. Llcme i: ä 2 s" ä'w‘ä
.. ‚ .. . BOen_j‚-<:‚_\2Eo.‘:} m.‘
weniger überhoht. Die g g y _‚_, ‚z ‚r: 3 m39?
lichte Bogenweite ist: 10 7' n. Q ‘ä ä Q‚ ä‘
‚ „genommen, 'lweite Hahn J 5 Q ‘
Bögen auf
Wasssrleit. zumPfälern:
Thurm der '
W'inde zu Athen . . . 5 2 5 .
Theater des Mar- g 1. Stockl 2 8'
cellus zu Rom 2. „ . 21 6,5 2,8‘
1._Sl.ock
Colosseum zuRomg 2. v tl 5,4}
5,5 2';‚_ l t ‘2,6
2,7
Irigrnphbogen'des Titnszu - ‘ 5' __ ‘
;‚R‚9m_ . ._ ' 1- ' 8' 1,3 0,8’ 2,1
Triumphbogen d. Sept.’ Ser-_ : ..
'verns zu Rom . . .‘ .
Triumphbogen ‘d.- Cönstantim
—zu'Rom. .-’. . ‘ß o: H .. ‚p H r v1
Bögen (mf‚SduIen: _ llll
Im Palast des .Diocletianrgu -
TSaloha . V. Q.‘ .‘ keine 1‚'8 1,5»? 2,4
Mausoleum der Constantjna
‘zu Rom. . '. .-.- . w 1,5 keine keine
Beim Cast. veccio in Ferrara’ „ 1,7 0,9 111
H Es ist 1) die Höhe der Caryatide mit Sockel, 2) die des Sockels\ und
a) die der Caryatide. 38
969 ‘Sunupxouqngs
Vitruv’s
VvoAVeDriThüren
sMaenebst
der
mcrongehltruiscimhfeukontgden-tTraenb.ler’ Bdesganzen
ezeichnung i slBmasuewserks Mod‘Part.
"gFrieses
oben
Kranzes
unten
eunten. MmLäPart.
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‘ ‘Sand. 1
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(u Ä ‚- . - '- Dichtigk. c. 1,64. T
"„ Bächen . . ,. 1 „ „ 11'7 „ i Schtr. 168 Ctr.:
- Ä ‚ » ' - - - ‘ - 1' Diehtigk. c. 1‚9.- ‘
m‘: Wasser gesättigt. 1 '„ ‘121.1. „ 1 Schtr. 174 Ctr.‘_';"
ß ' ‘Dichtigk.c.1‚94."'
‚1 ‚1.F“‚h1'e =12‚—.' 15 C-‘F- '——‚-. l2—..I 15 Ctr.
'l Saudkal'khaiu'. B‚_Khllä-‘Plh€_‘unte:r rasa.
ßandsteinmauerwork:
‚.1 httelhölwl'. “n; M‘nuerwe'rk.‘
.ß-fl'räsrn. ‚ ‚ . ' V ‘ ‚
„_„Bphrphtruthes 112.’.‚lg„‚1_2’ im lfhoch a: 144 C.-F. „4.,
._‚ Die Tabelle, nunyerlwnndlung der (_lulp-F». in Schachtruthen
und umgekehrt s. Anlnuzgewi ‚ „‚ „,-‚-‚ , . . ‚3„‘
Schalung. Pfllhle 4‘ entfernt nnd so tief in der Erde als
die'l‘löhe’
‘"‘(ihtflhlll
‘der'ßellleiduhkr'mekleidüng‘
's."Lsndwirthschattiiche4 _
Anlagen.
5" stsrk. l ‘3 "'_""
Sth‘aitm'tt. " ‘!"'stk.‘,»“20‘; 24' vig. und‘ ‘20 - 24 Qnadiu-P'.
grpfs. . 1 _Schoqk ‚Schnlbmttqgß 24.‘, 513i giebt c. 7.5 Quadn-R.
sehnldecke- , ‚ .. ‚o. ‚h... .‚:- . ‚ h.
‚Scheunen. MLWdwj-ühxehgfllkh gnlngernuv _‚ „I ._‚_
1.‘; ‘brat Geh-‚Fuß 1903er‘; TEIdF" ‚ " ‚ Il' r u
Schiefer und Schiefer-(1Min. „ .u.._ im)“ ,
Schieferschaiung lqtbrechternlwünde (in Westphalerä)’
1!Qnadr;-R‘.‘_ erfordert 'a merr'seniever m aoqo stk.‘ Nägel.
-““8c'hi‘lnn‚ter.° fGew/ie"_nu n ‘ictri'ä' ._'‚-'‚ "des 'rdmengeiimsü"
-r-‚ sammle}:""24‘JJ25Wlarig,“d'i!” °breit‚-‘-'ä"‘stdrk;'l' um;
=ä'4‚:sbhbe‘k_uy|n ‚(Hd-1m I. .1" .|| "2' < ("12' nu'nh':
“Seliinfleldach. 1’. DÄchS"-“" ‚.1 > u. ‚wh =1 w.
Schmiedeeisen. “"T'CubJ-F. ‘fliegt ‘ 469 Lesern, 10m.“
S-s‘if“ ä‘EL‘h." ‘r " ‘im? - 'h‘ml “In u ‚'E! -.\. ‘\|\\!‚\;\\H\\‚'\ .' -‘.\ K1
sßhilße. LCub-‚Jlufs locherehgübftmz'r, fesfiembir-äilßhh-tfls
Wasser. 'nymni wie". 1-»i»-i_ ‘um .ei r. im‘? .. i. "‚>; warnt“
Schneideholz. s. Sägeblock u. Schnittholz’ nm'er‘naühöiä
...‚„S9h1wllloth ‚.13 Fibu-1319i’- 1233i‘- ZÄP“:«.‚:sr.f?m“-5v 2M
sehurnsteim A111 saß»: Nach. gesetzl- ‚Jäesmmwhnen-„ ‚I
Ä Die .lfiolz'fißrls W11 ‚mindert-.8’! Sender inww-Waudfläehn
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Ziegel
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vierfach,
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dreifach,
17. „
Schrnuben. Schwnnblech. 599‘
_ 7' . üddfl’ß
_‘ [Fewicht Durchmesser] Zahl dßaäi'lfija
.‚ ‚ 1 pro . ‚. des 'h» l der Fäden 511533
‚ ‚ M.- m Klnfter i ‚Y. Seiles F in der Litze xi mein-"l
‘ H. ‚ ."l-x'x"
Y. ‚-». J‘ JL'ÜSIZ
. ‚ = ‚ ä Pfd- 1': Zoll -4 ‚9M 1mm
J ‘1 z % v! T97: n 6 -‚l-Z '‚Em PHI.’
% n % n 4 ssbqq qninIZ
‚ z 1 . » 1} „ 1° sq qmm
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‚I‘ Vl h = ' ‘ 3'
„_ 2 „ 1 „ 20 ;„
3‘ „ lä „ 30 ‚1
4.} „ 1; „ 50
.JJederFaden in der Litze wiegt auf,‘ Pfd. pro Klafter.
5 Fäden tragen c. 2 Ctr. auf die Dauer. Berechnung der Trag
fühigkeit und des Gew. der Seile s. S. 290 u. 292.
Gewöhnlich vorkommende Seile und Taue. —’
1. Bindetau am Kldben '24’ lhng‚ J!" stark. "'
2. Rüstseil . . . . 6’ „ .'‚_ä" „. i
3. Pfahltnu . ‚ . . 80' „ -}—l"v „ - ‚
4. Kranztau . ‚ . . 20’ „ IÄ‘Q‘ _ ‚-, ‚
5 Flohrtsu .‚f . . 20-24’ „ . 1%” ‚
6 Anfahrtstan . . . 240‘ „ 1'" „
' 7. Rammtuu . . . 100’ „ L's-1.x" v „
Siccatif. Es wird eine'Misehung aus 2 Pfd. gebr. Gyps,
‘Z Pfd. gebr. Umbra, 2 Pfd. Mennige und ‘2 Pfd. Silberglütte' mit
3 Quart Leinöl gelinde gekocht und kuhl mit 7 Qnart Terpen
finöl vermischt. Als Trockenmittel zur Oelfarbe, suf l Pfd-=
2—5 Loth. ' ’ ‘ ’ ' r ‘
Spaltlatte. s. Lattstemm unter Bauholz:
Spritzenhaus.
l‘; “"Fflr' l'Spritze 17‘ lang, 18' breit — U
„ 2 „ -'28’ „ 20‘ » lichm Höhe e‘. ' ‘r
„ a „ ins a9‘
Bei Einstellung „ 21' s. Lsnd'wu
Geräthehaus ‚v‘ - Anl'b‘gbhw ‘ "I "
602. Spundbrctt. Stuhlsiulen.
Spundbrett. s. Bauholz.
Spundwand. 1 1m. R. erfordert 18 Stück Halbholzpf‘ahle
(9" breit), oder ebensoviel Ganzholz'pfllhle (9.1" breit), oder
13 Stück 4"ige Bohlen (12'! breit) und 12 lfd. F. Ganzholz fiir
Holme. ‚
S urweite. Für Frachtwagen 4%’, Ladung höchst. 9’ bt.
S abeisen. s. Tab. im Anhang.
Stabholz. 4-41' lang, 6_8” breit, 1‘_2" stark.
Stärkemehl in Kartofl'eln 14— 25 2, in Weizen c. 70 ß.
stdkell. 150 Stück erhält man aus 4-—-5 Stück Schal
brettern a 18' lg-‚ oder aus .}_.1 Schwammbsnm von c. 28
Cub.-F.
Steinkitt. s. Kitt. v
Steinkohle. 1 pro Tonne'ä: 4 Schffl. = 342 Pfd. = 59,8 g
Kohle mit 40,2%"Zwischenranm; 1 Cub.-F.' wiegt 80 Pfd.
Steinpappdach. s. Dach. 1 y
Steiupappe von Ebart in-Berlin und Weitlage in Neustadt
Eberswalde. 1 Ctr. enthält 24-28 Tafeln a 38“ Länge und
29" Breite und kbstet 4% Th‘lr. Die Streifen zu den Kappen
sind 4—4%” breit.'__ Steinpappenv aus Duisburg und Trutenau
bei Königsberg: l'fl‘afel 33”'lang, 29” breit, kostet 4 Sgr.
Stiele_ s. Faehwand. "
Sticlfnndamente. Mindestens 1; Ziegel im Quadr. grofs.
Streben. s. Fachwand. .
Streckdeeke. ‚1 Quadr.-R. erfordert 12 Spaltlatten.
Stroh. 1 Gebund= mind. va Cnb.-F.; 1 Cub.-F. festge
bunden wiegt circa ääPfd; l Gebund giebt circa l-sl Schefi‘el
Hücksel.
Strohdach. s. Dach. .- Öl
Strohlehin‘. ‘
Frisch: 1 Cub.-F‘.' wiegt 74 Pfd.; Dichtigk. c. 1,19.
Trocken: 1 " „ '66 „ „ 1,07.
Auf 12 Gab-‚Eiechhet‘män‘c. 1 Bund Krummstroh.
Stromgefäll‘e. .‚Es 1111m‘ bei 1” Fan auf 300/: n.“ M
qnem stromaufwärts gefahren werden.
. Stromgesohwindigkeit. Die mittlere‘ ist 3 _ 4', die
gröl'ste selten über 1212’; die der Donau 5‘-—6‘, des Amazonen
flusses 7,3’, der Linth 11,6’. ‚h.
Stuck. S. Gypsstuck. „y
stülpdeoke. Zu 1. Qusdn-rRth. sind 11 Stück Bretter a
24’ 1g.=undj3:._'r Schock Lattnägel erforderlich. v
Stuhlrähme. s. Dach- z‘:
Stuhlsäulen. s. Dach- ‚ ‘r
Tagolöhnorhaua. Trafs. 603
T.
'l'agelöhnerhaus. s. Landw. Anlagen.
Tagelohn. siehe Tabelle im Anhange.
Tapeten. l Rolle überzieht eine Wandfläche von 12 Ellen
Länge und 18" Breite, oder 8 Rollen 2% Quadr.-R. 1 Rolle
bedarf lzPfd. Makulatur, T‘, Pfd. Stärke, J; Pfd. Mehlkleister,
„'1- Elle Leinwand und 34 —- 38 ganze oder halbe Schlol‘snägel.
Tenne, venezianischen s. Estrich (Kalkmörtel-ll‘‚strich).v
Thon. 1 Cub.-F. wiegt 111 Pfd.: Dichtigk. c. 1,8__2‚63.
‘ 111011185. Mind. 8"bt.; fllr Frachtwagen ‘mind. 14’ bt.
' Tllllf. Eingangsthnr flir ein Schauspielhaus 6—7'‚ filr ein
Haus 3' -_5‘‚ fllr Fabrik- und Versammlungssäle 4.3‘ breit‘;
eine einflügLThür ist gewöhnlich 35"—3.'!’; eine zweiflügl. nicht
unter 41',’ breit‘; eine Tapetenthllr sei nicht unter 2%’ breit.‘ Die
Höhe meistens gleich der doppelten Breite. ' ' ‘
1 Quadn-Fufs guprmdete Thür mit eingeschobenen oder
aufgenagelten Leisten erfordert 1% lfd. F. Brett 12” breit und
1; Nagel. '
l zusammengestemmte Thür, Thürfutter, Fensterladeu oder
Wandbekleidung erfordert auf die Rähme ‚E, auf die Füllung {
der Fläche. '
Thünarge‘bedarf an 'lfd. F. Holz 2 (lichte Länge + lichte
Breite) + 5'. ‘
Lattenrhür. Auf jeden Quadr.-F. Fläche rechnet man fllt
2 Leisten und l Strebe Quadr.-F. und fjr 2 Friese {.(L-F.
Brett; aufserdem 3 lfd. F. Latten und 2 Lattnügel.
'StallIhür. Für anfgenagelte' Leisten und‘ Streben rechnet
man-g der Thürfläche an Brettern, und ‚pro Quadr.-F. Thür
fläche l; Nagel. ‘ „
'l'onuengewölbe. s. Gewölbe.
Topfziegel. 4-5ä” Durchmesser, 4—10” Höhe und {1'
Stärke. _
'l‘opfziogelgewölbe. s. Gewölbe. ' -
Torf. Das Stuck ist frisch 12" lang, 4)!" breitY 5" hoch.
Beim Ankauf ist l Klafter = c. ‚1" Haufen, ’1 Haufen = c. 240
Küpen; die Küpe fafst c. 1,73 Cub.-F. oder 24 Stück Torf.
Torfmaafs. 1 Klafter = 108 Cnb.-F. enthält 71} g Torf
und 28}fl Zwischenraum. ‚ I
Torfmsal'skorb. Ist 15" hoch und.hßt 8395 Cub.-Z.
Inhalt.‘ Die unteren und oberen Begrenzungsfiächen haben ei
nen Inhalt von 13" resp. 17" Quadr. Auf eine Klafier rech
net man 77 Körbe (Streichmaafs). ' ’
Träger. s. Landbau._ ‚ ‚g ‘ ‘ .
'l'rass und 'l‘rassmörtel. s. Cernent n'n'd'Mörtel. r
604 " v"I'feppäl ‘Trdt'toin'
—v—‘———< = o
4 4
Diese zerlegt sich in die _ ‚ v,‘ ‚ '_
.‚„‚a.‚ vauf rückwirkende Festigkeit wirkende Componente:
_ P+Bn65 _. 1?-+-Bn65v s
' ‘ ’ — Sma—_‘-_—'——- ..—“‚
‘ w ' ' Z4‘ Va‚+‘2
‘und in dieÜ ‘ "‘ “ ‘ '
b. auf‘ relative Festigkeit wirkende! ‘
P-f-Bhöö "P-i-“Bnöö -
‚————_——coSu=1TPJ-.?’—Y'P'TT—". '
a
.
4' ,_ _,Va'l+8I
U.
Untenug. s. Träger. i l‘ ‘
i
Äv_ _
1M‘
d
w
‚r Verdichten des lirdreichs. Ist oft nothwendig und kann
nur bei einer gleichmäßigen Beschnfl'enheit des Untergrundes
ausgeführt werden. Es geschieht durch einegeufgebrsuhte'Last
oder durch Schlagen mit der Ramme. ‘Bei Anwendung der
Ramme ist: 1;,
P ä G c,
wo P der Druck, den 1 Quadr.-F. verdichtetes —Erdreich aus
zuhalten vermag‚ in Pfunden,
G das Gewicht des Rumrnklotzes in Pfunden, und l
c der der Fallhöhe h ‘(in —Fufsen) des Klotzes entspre
chende Coeificient"H"ist,‘‘ ‘welcher
belle ergiebt:v sich ans folgender T1
—l '/
C! I i ‘ ‚ , l
a9
‚ Anhang.
I Regulativ, _
betrefl'eml die Anlage von Dnmprkesseln.
Vom 31. August 1861.
Unter Aufhebung des Regulativs, betreffend die Anlage
von Dampfkesseln, vom 6. September 1848 und der Nachträge
zu demselben vom 19. Januar 1855 und vom 6. August 1856
wird auf Grund der 55. 12 und 15 des Gesetzes, betrefi'end die
Errichtung gewerblicher Anlagen, vom 1. Juli 1861, für die
Anlage von Dampfkesseln, es mögen solche zum Maschinenbe
triebe oder zu anderen Zwecken dienen„ das nachstehende Re
gulativ erlassen: ‚
5. 1. Dem Antrags auf Ertheilung der Genehmigung zur
Anlage eines Dampfkessels (g. 2 des Gesetzes vom 1. Juli
1861) sind nachstehend genannte Zeichnungen und Beschreie
bungcn in doppelter Ausfertigung beizufügsnh
I.‚ wenn die Anlegung eines feststehenden, Dampfkessels
beabsichtigt wird: '
1) ein Situationsplan. welcher die zunächst an den Ort
der Aufstellung stofsenden Grundstücke umfafst und in
einem die hinreichende Deutlichkeit gewlihrenden Maafs
stabe aufgetragen ist; .
2) der Baurifs, wie er von dem Erbauer wegen Angabe
der erforderlichen Räume geliefert’ wird„ ‘aus welchem sich
der Standpunkt der Maschine und des Kessels, der Stand
punkt und die Höhe des Schomsteins und die Lage der
Feuer- und Rauchröhren gegen die benachbarten Grund
stücke deutlich ergeben mufs; hierzu kann den Umstän
den nach ein einfacher Grundrifs und eine Längenansicht
oder ein Durchschnitt genügen;
8) eine Zeichnung des Kessels in einfachen Linien‚ aus
welcher die Gröfse der vom Feuer berührten Fläche zu
berechnen und die Höhe des niedrigsten zulässigen Was
serstandes über den Feuerzügen zu ersehen ist;
4) eine Beschreibung, in welcher die Dimensionen des Kes
sels‚ die Stärke und Gattung des Materials, die Art der
DampfkesseIregulativ. 6 11
looivo‘aa
1 i y y
4a
1
36%2‘2625
v 1 ‘ , J y
22'20
‚' l
185117
l‚ 1
‘511mm
freie
i ‘Oefl'n.
Wenn mehrere Kessel einen gemeinschaftlichen Dampfraum
oder ein gemeinschaftliches Dampfabführungsrohr ‚haben, von
welchem sie nicht einzeln abgesperrt werden können, so ge
nügt es, wenn darauf im Ganzen mindestens zwei dergleichen
Ventile angebracht sind.
Die Ventile müssen gut bearbeitet und so eingerichtet sein,
dal's sie zwar beliebig geöfl‘net, aber nicht mehr belastet wer
den können, als die vorgeschriebene Spannung der Dämpfe er
fordert. Sind zwei oder mehrere Ventile angeordnet und be
sitzt eins derselben die im Vorstehenden festgesetzte freie Oefll
nung zum Abführen der Dämpfe, so genügt es, wenn nur dies
eine Ventil gegen unbefugte Belastung geschützt wird.
Für das Ventil und den Belastungshebel mufs eine Füh
rung angebracht und bei beschränktem Dampfraum im Kessel
eine Vorrichtung getroffen werden, durch welche beim Erheben
des Ventils das Ausspritzen des Kesselwassers durch die Oefl‘
nung verhindert wird.
Dampfschifl‘s-‚ liocomotiv- und Locomobil-Kessel müssen
mindestens zwei Sicherheitsventile erhalten. Bei Dampfschifl‘s
kesseln mufs dem einen Ventil auf dem Verdeck eine solche
Dampfkesselregulativ. 61 5
Verschiedenes Bauwiuenscheftliche.
l.
Ueber Dauer, Alter, Werth und Unterhaltungskosten
von Baulichkeiten, nebst einer Tabelle der wichtigsten
Erfabrungssätze dieser Punkte.
Ueber Dauer, Alter, Werth neuer und alter Bau
lichkeiten in Beziehung zu einander.
. Im Folgenden bezeichne: D die ganze Dauer,
d die künftige Dauer, A das zeitige Alter,
W den Neuwerth, w den zeitigen Werth und
E die Entwerthung oder Abnutzung einer Baulichkeit.
l. Dauer, Alter, Neuwerth und Entwerthung. Man nimmt gep
wöhnlich an, dafs die Bauwerthe im einfachen Verhältnisse der
Zeitdauer abnehmen, dal's
also W:w=D:d ist, woraus sich ergiebt:
Wd
der zeitige Werth: w= ‚H,
die künflige Dauer: d == D
‚Hi/f,
Geht man von der Annahme aus, dafs die Entwerthung pro
portional dem Quadrate des zeitigen Alters, dal's
also W:E=D’:A2 ist, dann ergiebt sich:
A2
der zeitige Werth: w=W(l_ 17,- ,
7a"
die
das künftige
zeitige Alter:
Dauer: A=
d= D (l
V-ä,
—
A2
die Entwerthung: -E = WD—2,
Die vier letzteren Formeln geben Resultate, welche der
Wahrheit näher kommen. Noch sicherer geht man, wenn man
aus den entsprechenden Werthen der letzten acht Formeln das
arithmetische Mittel zieht.
622 Anhang.
"l
2. Unterhaltungskosten. Dieselben sind in folgender
Tabelle als Procente des Neubauwerthes angegeben. Sie werden
jährlich erfordert, aber nicht jährlich verwendet. Von der Ge
sammtsumme der Unterhaltungskosten während der ganzen Bau
periode kommen bis zu i der ganzen Dauer: ä, bis zu der
selben: ä, bis zu Z derselben: #2 und bis zum Ablauf der gan
m Periode: 1'. zur Verwendung.
3. Tabelle mittlerer Erfahrungssätze über Neu
werth, Dauer, Amortisation“) und Unterhaltungsko
Sten der gewöhnlichsten Bau-Anlagen nach ihrer
Grundfläche zur Ermittelung der Kosten-Ueber
schläge.
6 * 7 ‚in Ä ‘ ‘I3 ._ I
‘ l e 3: i:
ROT Neuwerth
5.) für
die Einheit Ganze Dauer Amortisat Betrag Unterhalt. Kosten
IT‘Laufendeo,
Bauart und Benutzung
„ 4 .
‘l Brau- und Brennerei-Gebäude, „ „ ß Ja
zum Theil gewölbt:
in 1 Stockw. pro Qusdr.-F.
Grundfläche 1;—1‚'‚ an
o0 _‚o HN
Werkstätten
‚9 2 und
w gewöhnl.
v1 w Ma M
schinen-Betriebs-Gebäude;
in 1 Stockw. pro Quadr‚-F.
Grundfläche l —1{
„ 2 „" „' ;, III-1% älOO 1 Mao
au 3 n n n. V2 _21
iMagazine oder Speicher- Ge
bäude:
in 2 Stockw. pro Quadr.-F.
Grundfläche l2—1‚}}
„ 3 „ „ „ 1{—2 ‚ q O- m|w
‚q...
„4 .‚ „ „ 21445
Scheunen- und Schupp‘en-Ge- '
bäude: '
pro Quadr.-F. Grundfläche 1,70 wir»
‚q
Schafstall-Gebäude:
pro Quadr.-F. Grundfläche T’7_ .g 150 “in ‘du
Rindvieh- und Pferdestall-Ge- '
bäude: pro Quadr.-F. Grundfl. %__1 150 du wir:
Schweinestall-Gebäude:
pro Quadr.-F. Grundfläche 100 H {w
Federviehstall-Gebäude: '
in 1 Stockw. pro Quadr.-F.
Grundfläche -Q-%
‚7 2 ‚Y ‚7 W
x24 - „Abhang. ‚ _‚
".i -‘ |‚= l l: J.“ ‘
€ä=?-i-‚==—
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'ää'ääsig‘iäii
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‚2' = ;-__“‚“-—e “"‘g äe‘iävßämse;
ä ‘ Z <1 D '- u
Ä __‚ i _ ‚als ‚JEh‘aPCE- ‚99.31.
12 Wasch-, Back—, Schlacht- und l i 1. „ ‚i
Molkenhituser: l b i
13 pro v.
Backöfen Quadr.-F. Grundfläche
24 Quadrat“. Heerd- _ —1' ‘ 120 ä
11‘
„g.
ä w’
“Bauart
‘ ‘ “ ff =.‚
r‘und..„'‚'
Benutzung ä
-. 11.
"55 'ää 2M‘: l
=\
a Z <1 z: ‚r'
;_.|‚..„'‚_;w„ „;„‚.-=‚ -.‚IP#°F; Jemßcäyßl
5 Magazin- 0d. Speicher-Gebäude:
r ‘ _b in 2 Stockw. pro Q.-F. Gruudfl. 1 —1'% ISO 11‘ l ‘
F' w 3 in w n ' v :lä-—-1";\ -' T
6‘ Scheunen- und Schuppen-Gen
' ‘‚ bäude: pro madn-F. Grundfl. i‘1—- 1" 80 1% 1
75.Schafstall-Gebäude: pro Quadr.- ‚1‘:
‘P Ful's Grundfläche . ‘‚ . . “1‘‚!.—'‚} 70 1% 13} '
‚ 8‘ Rindvieh- und Pferdestall-Ge- ‘
bäude: pro Quadr.-F.Grundfl‚ T7‚;_ %= 70 1% 1%
9 Schweinestall-Gebäude: pro Q.
‘ F. Grundfläche . . ‚. . . ‚in-177. 50 2 2
101 FedervieHstall-Gebäude?‘ ' ‚
in 1 Stoc k w . proQ
' .- F . Grundfl . T;-
‘ — ‚g‘äso
I 1% 1
‘ n 2 l H u n j'- ‘g‘ ‚ ’ l
11 ‘WßSCh‘, Back-1; Molke‘h- und s V '
h Schlachthäuser: pro Quadn- ‘
Fufs Grundfläche . ‚ . 60 l; 1,‘:
IQIAbtritte: pro Sxtz . . .7‘ . 12-15 60 1% 11'! l
13 A'Phmpenröhren: '20 lfd. Fuf's . r 10-12 10 10 1.‘, ‘
14 (.Plankenzlune, 6 Fufs hoch: pro ‘
I-‘iilfCL Ful‘s . . ‚ . "." . . 54W: 15 «2 24
15 r Stacketenzäune, bFufs hoch: pro .
;'lfd.Fufs. . . . “.}—;2o 5 2,5
16 iBl'licll‘enT ynit festen Jochen: pro .'. -‚
Qujndn-F. Oberfläche . . . 25 4 211
ml Uferschälungenä "1‘0 Fufe- hoch :' ' i T '
"pro 1m‘. Fufe . "ff . .‘ 's—1 0 25” 4 2;.
18 'W'nsserJA‘rcherr? pro ‘Qdäün-F; 5 '
/‘""‘Grün<lfiliche ‘. '. . I.‘ . uriä 25‘ 4 2%
19 =B'runnen_schachte‚ _1’2 F. tief: pro‘ “ ‘
r’ Stücke“. . .-. . .= . ‘.' 30416 15‘ 63 1}
20" Bockwindmühleri-Gebäu‘tfi . "f 70’ ' 1% 11.‘!
C. Fü'r'jMasIsivbau ‘i’p Lehrn- oaer Mörtelmaszse gelten
fqr'Neuwerthe die Mittels‘ätze zwischen Massiv- rmd Nadel
ho'lzban, fiir Dauer u‘. Unterhaltuhg die Sätze deä Piolzbaues.
D. Für Holzbau aus hartem Laubholz gelten ‚für Neu
' 'werthe,‘ Däuer und Unterhaltung der Mittelsätze zwischen
Massiv- und Nadelholzbau. ‘
40
623 Anhang.
711 2 s24' 7
25 ‚7%‚ 1;,
3; 57 1005
T? 31 T; 60 j; H 102
116 35 \ 1‘r 2?“ i T‘L' 63 3 Z; 104
YIE 4‘ ' T17; 2‘ ' {1 z; 105
| 1.“ 31 ‘.1 72% 1 11 68 31 m8
v‘s i 3 85 i‘ am 51 11K 111
‚ N 6 .53 30 41 -}=;- 69 ‘g 112
7:6 7; 13.‘ a2 3; 2.‘,5 72 114
Tli ‘8 1.3 33 l ‚13 75 116
T5 .> ‘Ja 36 Y; 76 V 1; 117
7;; 1O2 1: 39 ‚ ‚251 78 In‘ 1 20
11T 107-l T; 40l 2 80 g? 1.23
1.7 112; z- 417 T1‘ 81 ‘173 124
11T 131W‘ ‚3T 4:‘ V: 1;, 84l g 126
T16 145» H 4a; - g 86g ja 128
-„‚- 16 I H 44 „ 3% 87 h- 129
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F 18 z I 48 g 90 1% 135
35,: 20 ‘ 3,; 50 äfi 92 2} 136
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211 ‚an :r‚1
„2 .325‚i 93
96 ä
Es 138
140
m 22g 7 54 H 99 n 141
1 144 11 1584; 21 3024 31 4464
2 288 12 1128i 22 3168 ‘ a2 4608
3 432 13 1872 1! 23 3312 1 33 4752
;| 1
40’
23 Änhmg. 3
1 ' m ‚l I- i 1 71T
Schtr. Cub.-F‚ ‘ Schtr. ICub.-F. Schtni Cub.-F. Schtr. Cub.-F.
‚ 1 1
‚ ‚ I |l
181 260641 211 30384 241 | 347.04 211 39024
182 1 26208‘ 212 30528 242 34848 ‘ 272 39168
183 20352 1 213 30672‘ 243 34992I 273 39312
184 26496, 214 30816 244 351.36; 214 1 39456
185 266401 215 30960. 245 35280‘ 275 39600 1!
186 26784 216 31104 246 35424 . 276 39744 i
187 1 26928 217 31248 241 ‘ 35568 271 39888
188 27012 ' 218 31392 248 35712 ' 2787 40032
189 ‘27216’ 219 31536 249 135856 279‘ 40116
190 ‚ 27360 V‘' 220 316801l 250.1 '‘36000 ‚ 280 i 40320V ‘i
1
199
28080}
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198 285.125,
286561"
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225
226
228.
229
227
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32832,
32976
32688
255’ 36720
256136864l
258 ‚311.52
259
251 ‚37296‚
‚37008 l
285 .‚
286„
2,88,
2.89
281
41040
41184
41472
41616
41328
|
200 28800 230 33120 260 31440 290 41760
201 28944- 231 332641 ‘.1;
26111137584‘ 3
291‚ 3 ‘‚
41904
202 29088 232 33408 262 1 l37728 292 42048
203 29232 233 33552 263, 31872‘ 293„ 421,92
204 29376 234 33696 264‚ 38016 294_ 42336
205 29520 235 33840 265 38160 295’ 42480
206 29664 236 33984 26611383941 296, 426.24
207 29808 237 -34128 267 38448 297„ 42768
208 29952 238 34212 268 ‚385112 298‚_ 42912
209 30096 233 34416 269„387116 299v 430,56
210 30240 240 34560 270 ‚38880 300 43200
Gewichts-Tabelle der gewöhnlichen Bau-Materialien. 629
lll.
Gewichts-Tabelle der gewöhnlichen Bau-Materialien
zur Berechnung der Fuhren.
IV.
Bauholz - Tabellen.
92,895 76 319,193
97,482 77 327,648
102,179 78 336,214 I
106,987 79 344,890
111,906 80 353,677
116,934 ‚ ‚
122,074 81 362,574
127,324 82 371,582
132,684 83 380,700
138,155 84 389,929
85 399,268
143,736 86 408,718
149,428 87 418,278
155,231 88 427,949
161,144 89 437,730
167,168 90 447,622
173,302
179,546 91 457,625
185,901 92 467,738
192,367 93 477,961
198,943 94 488295
. - 95 498,740
205,630 96 509,295
212,427 97 519,960
219,335 98 530,736
226,353 99 511,623
233,482 100 552,620
240,721
248,071 101 563,728
255,531 102 574,946
263,102 103 586,275
270,784 104 597,714
‚ 105 609,264
‚ 278,576 „ 106 620,924
286,478 ‘ 107 632,695
294,491 ,‘ 108 644,576
302,615 ‘ 109 656,568
310,849 1 110 668,670‘
632 Anhang.
r
Umfang ‚100 li‘ufs Umfang 100 Fufs UmfangFIOO Fufs l
l
, Zoll Gala-E. i Zoll , __gnh-F. | Zoll Cub.-F‚
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l 111 680,883 ‘ 125 863,469i 199 1067,717
112 693,207 126 877,840 ‚140 1083,135
119 705,640 127 891,921 ‚ .
. 114 718,185 _128 905,419 141‘ 1098,664
115 780,840 1, .129‘ . 919,615 ‚142 ‚1114,903
116 743,605 190 : 933,928 143 ‘1130,053
117 1 756,482 _.,. ‚ 144 1145,918
I 118 769,468 ‘ 131/1 948,351 145 1161,884
119 782,565 ‘182. 962,885 , 146 1177,965
120 795,779 133 . 977,550; 147 1194,157
_ 134: 992,284 l’ 148 I 1210,459
121 809,091 135 1007,150 i 149 ‚1226,872
128 ‘ ' 822,520
122 836,059 167 . 110.117,212.
136 1022,126 i 150 21248,.895
I
4124 1849‚709 138 11052410‘
| 1
3. Ganzholz-Tabelle.
, Ein Baumstamm giebt beschlagen nach Abzug‘ von ä” Rinde:
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16.‘, 11,31 12 „10,58 12 124- „ 11,‘,
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17.,‘, 12,5 11,52 12.„ 13.1, 12
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18.1, 12,72 13,5, 11,9 1 13.‘, l 14 „ 13
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4. Halbholz-Tabelle.
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5. Kreuzholz -Tabelle.
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1 Seemeile (nauticul mfle) = ‘w'fi'Gradäü'dßl'ßß Fufs engl.
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Kilometer = 443,295936 pur. Linien -‘.-= 3,07844 alte
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Are = 100 Quadratmeter. ‘1. Hektare: 100=Aree.
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1 Elle = 2 Fufs. 1 Klafter = 6 Fufs. '
1 Marscbmthe = 14 Ful's. 1 Geestruthe == 16 Ful‘s.
1 Morgen ‘Marschland = 600 Quadr.-Marschruthen.
1 Schefl‘el Saatland = 200 Quadr.-Geestruthen.
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1 Meile = 24000 Ful‘s. ‚. . .„ ‚.l l
1 Joch: 1600 zqßfldl'lthhfßel'w ' = 1 ‘310V l
1 Maafs = 0,0448 Cubikful's ===\ 71,335 pur. Cubikzoll.
1‘ -Eima“‘-==r4ß v;Mn‚a‚fs|:= 180.‘.S6idel =‚ 320 ' Pfifl‘.
1 Metze = 1,94471 Cubikfufa 412:;310015 parn Cubikzoll.
ql‘Muth; T- BOJlIotzen == 480 Maafsel:==!l920 Futter
mufsel=3840 Becher.‘ M _ .-‚ ‚-„ „ 3
oldenburg: 1 Fufs = 12 Zol1= 1s_1'‚162“par;'1;ini'e‚{.;‘ m -
1 Ruthe‘=='18"0dei“r20 Fu'i‘sÖ ‘I ' f‘ ‘ z Lärm"
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‚0,5104 ‚0,50a8t‚—0,s771 07004 0,84118|,0,027,1
‚' 0,5208" 0,60‘4‘2f 0,16875‘ 0,7708‘ 9,854‘2'!_0,9ä75
0,5812! 0,0'1‘46‘4-„079 ‘0,178121 ‘01,8646‘Ib‚9419
0,5417, 0,6250; 0,7083 0,7017 0,8750, 0,088’
_ 0,5521 0‚6354;0‚7187 0,8021 0,8854“‘0‘,068
0,5020 ’0‚-64_58 00,7202 '0,8125-‘-0‚8958110‚97>92
‘ 7 ‘1 0,5729, 0,6623? 0,7000 0,8220 0,9003 0,0890
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650 Anhangl
D. verwandlunghdervifloll“rmd‘lLinien in Fufs.
Zoll
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Mäh‘ ß „l, 6 J
0 . 0,0000 ‚0,0999 1, 0,1667; 0,2600, 0,9999 0,4167
i ‚1 0,00691"0‘,09O3‚ 01736103569 0,9409 0,4296
2 0,0199 0,09721 0,16061 0,2699 0,9472 0,4906
9'- 0,0206 10,10421 o,i1s76="0,270a ‚0,9642 ‚0,4976
4 0,0278 0011111101944. 02776109611 0,4444
‚ 6 00947101191 0,2011 ‚0,2847 _0,3681 0,4614
6 0,0417‘ ‘0,1260’ 0,2069 ‘0‘,2917“'0,3750‘ 0,4583
v7 0,0486 0,1919 0,2169 0,2996 0,9819 0,4669
' s 0,0556" 0,1999" 0,2222 ‘0,3050 0,9969 0,4722‘
6 9 010625 ‘014531193222 ‘oßlfbäßmßßsß 047-92
10 0,0694 0,1629 0,2961 0,9194 0,4029 0,4961
11 0,0764 0,1697 0,2490 0,9264 0,4097 0,4990
511316 4,1111„Q1069...l‚;1‚.191,«‚-L"11»
Linien |
0A
10
0,6000
0,5069
0,5833
0,6909
0,6667,
0,6796‘
0,7500
0,7669
0,8333
0,8403
0,9167
0,9266‘
2 0,5139 0,6972 0,6805 0,7699 0,9472 0,9305
9 0,5208 0,6042 0,6875 0,7708 0,8642 0,9375
1' ui‘r " 0,6279‘ 0,6111}; 0,6944“ 0,7779‘ 0,8611 ' 0,9444;
‘T61 0,0947‘031'191 0,7014‘ 0,79417“ 0,8681 0,9614;
‘F6’. ‘ 0,51117" 0,6230" 0,70991‘ 0,7017“ 0,8760 ' 0,9669:
"771W 0,01166‘ 0,6019 l“ 0,7169‘ 0,7966 0,9819" 0,9669‘
7116“;
9" '' 0,0066-
0,6620 ' 0,6889
0,6460‘‘ 0,0222i
0,7292 0,9066‘
0,19126‘ 0,6899
0,6968 1 0,9722
0,9792‘
‚10 0,6694. ‘ 0,6626 1 0,29614‘ 0,91941‘ 0,9026 0,99615
121‘. ‘0,5764 0,6697 0,7490'0,9264 0,90971‘ 0,99901.
II
E. Verwandlung der Quadrat-Zoll in Quadrat-Fuß.
"(luden-Fürs’!
Quant-26111’ 9310694471’
1 1 | 0,019999
2 11 0,020899
9 | 0027778,
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‚ ‚0_ 0,002167‘4T"0,0017961
“Merk-1.x 11 03029148
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071710 ‚o02s99sl0‚00a4m! 000406091000'102001 0 ‚00620691 000501701
l. Mul'atnbellou. 651.
_ ‚ G. Reductions-Tabelle
des Meten'nnafsea auf preufsieches Mnafs und umgekehrt.
‚_:=F:=V l ‚ ‘ _ _k_‚____‚_ ‚__
1' „1:400 M‘
.__. 1 ‚1 10-‚1519 , 1461,87 ' 1 ‘T, 32,34595‘45589ß‚7
„2 1‘ 20.5097 2923,74 . 2 1 64,6917“7111787‚4
3 90,4556 4985,61 a 1 97,0976 167681,1
4 40,60751 75:47,48 1 . 4 11293885 2285748
5 50,7593 7909,95 5 161,7293 l 279468,4
6 60,9112 8771,22 6 194,0752 335362,1
7 71,0632 10233,09 ‘1, 7 226,4211 {391255,8
8 81,2150 ll694,95 8 258,7670 4471405
9 1 9l,3668\ 13lp6,S_2=,| [291,1129 503043,?
llcducllonsnbelle des preul's. Mnal'seu aul’MetermnnI'l.‘
3:13:74‘- ‚ ‘ H‘ L—-"+V—V-" w“
1 Hessen.
Niederhessen s. Frankfurt a. M. ||r
Oberhessen s. Preul‘sen.
Holland. . ‘ ‚ . i
1 Gulden =100 Cents . . . . . . 16
Holstein s. Dänemark und Hamburg. ‘l,
‚101105615, . . «- .-= . .. ‘l
1 Specieadaler =5 Mark (Ort) ‚2,24. Skilling
‘ Oesterreioh. . . .
1 Gulden = 100 Kreuzer . . . . _ . „ 1.. 20'
Oldenburg ,s‚ Bremen. <‚' =-- ‚ ß
Portugal. . ‚ ‚
1 Milre'i's (Coroa)‘= 1000 R'ei's‘ Ä “. ‘ ':.= ' L’ ‘
1 Conto de Reis =-..‘ 1 Million Reisl‘ " ‘ “.1 v
l Coroa d’ouro = 5000 Reim. ‚l‚ af
1 rQruscrado F 4_80 Reis .‚ \. __
‘ Preussen. f;
l Thaler= 30. Silhergrosche'n h
1 Friedrichsd‘or = 5} Thaler. f
1
Russland. ' ‘ ‘
1 Rubel.='l00 Kopeken h 4 Polnsehke‘n . -.I
- xlvlmperltl»: 5 Rubel (Silber)".) ' . . 4.11 ‘.1 H11‘
Sachsen. .1. v1 ‘r =4
, ‚.1‚Tha,l_er‘=\30 l‘lzengroschen h 10 ‚Pfennige‘ .
Schweden. ‘ ' ‘
. __1_ Rikfidaler ‚; 4:8 Skillingar- ä. 4 Styfver I ‚
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l 1' Species=4 Riksdaler . . ' . . . .
Spanien. _ _ ‚ _ ‚ ‚
" i 1. Drift} 3 l Eseudos ä flfl’ezetes'ä 41135103 3 ’
""l 1 ‘Reale-de
Escudo =Vellbn ä'84h märhmies'de'venon"
10 Reales 10 Decimen . '
Türkei. . .
1 1314662214011573 303 4833m: .efrwlß. 2
‚'"i 1 ‘3601611013653: 500 P1331511”. 01"" "l?" "
1 33m1 Gold (16m6, Chise) = 3000011115135‘;
lWilrtornberg s. 3121111111111 a.‘ M.‘ 'J’" T—=‚"“‘_"‚'‚ I‘
‘7. 1 ‚ 7:‘ ‚ ‘1 z.- _r‘\1" »:;n‘.r.-„." l
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656 .w‘ M‘Käbmg'dl .‚v
‚1102201!
m. hewiäms-nuygnenr ‘ 4 ‚H
_ v. ‚ln‚/n(-l::‘\|\'
I 1 Centner'=‘100
Centner; ' Pama‘. ' im“:
' ‘1 16;- Ücififl‘spfund
-—' ' = 52
‚.
England; 1 Pfund ßvoir dupoig == 453,5976 Gramm = 27,2159
Loth preufs. v ‚ -. ‚1' 1
‘ 1 Pfund Tr0y-Gewicht'=‚ 5760 Gratins = 373,246 Gramm.
1 Tonne =‚20 Gentner 3:160 ‚Stein = 2240 Av.-Pfiu1d.
Frankfurt a. M.; 1 Pmnq (leichtes Hande1sgewicht)= 32 Loth
= 497,914 Gramm: ”
1 Centner‘Handelsgewicht i: 108‘Pfd. Leichtgewicht = 100
Pfund Schwergewicht. " ‘ '
Frankreich: v1 Kilqg'r. =;‘10OD Gl'm. = Gqwicht eines Litre
oder Cubik-Decim. Wasser bei sginer gröfsten Dichte im
luftleerep Raun1_e„ v
1 altes Pfund= 489,506 Gramm.
1 neues Pfund = 500 Gramm = 16 Onces = 128 Gros
.-= 9216 Grainm, . |. ‚
H1. Gewichts-Tabellen. 657
ii .
Rltes Neues Gewicht 1 Altes Neues Gewicht |
‚Gewicht 5 , Gewicht
' Lth.‘ 1. z1.l Korn 1 _JPM. Emil qelltzz. LiKrorrnr
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4. „ . . 2 17,405 1 28 „ . ‘ 24 4,828
.1 „ . 5 4,81029 „M;‚25, 1,786
‚l, „ 1 5 0 9,620 , 30 „ ‘261 8,744
3 „ 1 | 6 ‘4,4301 31 „ 271 5,703
1 „ 2 ; 1 9239
2 „ 4 3 ‘8,479‘ 1 Pfd.1 . 28 'Nfl’aOWxlHO‘WNi-IHOQDüGIQCaGäU‘ßWNt-‘HO 2,661
9 „ 6 5 ‚7,719, 2 „ 1 26 5,322
1 1.111. . 8 7 16,958,‘ 3 „ 2 24‘ 7,982
2 „ 1 7 513,916‘ 4 „ 3 22 0,643
3 „ 2 6 3 |0,874 5 „ 4 20 3,304
4 „ 3 5 0 ‘7,833’ 6 „ 5 18 5,965
5 „ 4 3 8 4,7911 7 „ 6 16 8,625
6 „ 5 2 6 ;1,749‘ 8 „ 7 14 1,286
7 „ 6 1 3 8,7071 9 „ 8 12 3,947
s „ 7 0 1 15,665 , 10 „ 9 10 6,608
9 „ 7 8 9 12,623" 11 „ 10 8 9,268
10 „ 8 7 619,581‘ 12 „ 11 6 1,929
11 „ 9 6 4 6,540‘, 13 „ 12 4 z4,590
12 „ ‘10 5 2 3,498‘, 14 „ 13 2 7,251
13 „ 11 4 0 0,456 15 „ 14 0 9,911
14 „ 12 2 717,414 16 „ 14 29 2,572
15 „ 13 1 5 14,372‘ 17 „ 15 27 5,233
16 „ 14 o_ 3 1,83301‘ 18 „ 16 ‚25 7,894
17 „ 14 9 0 j8„288‘ 19 „ 17 23 0,555
18 „„ 16 15 18 21 3,215
19 67 86 1-,205
i5,247| ‚ 20
30 „„ 28 1 9,823
20 „ 17 5 3 ‘9,163 40 „ 37 l‘l 6,431
21 „ 18 4 1 “6,121, 50 „ 46 23, 3,038
3 9,646
22
23 „„ 19
20 21 97 {0,0371}
9,079i 7060 „„ 56‘
65 14 6,254
24 „ 21 9 4 699611 80 „ 74 ;25 2,861
25 „ 21 0 2 {3,954 1 90 „ 84 5 9,469
. 26 „ 22 8 0 10,9121100 „ 93 _16 6,076
42”
660 Anhang.
17
18 {1149
‘18,52 7,1
410 67 8,313
5,629! 800
900 ‘‚ 926
8'23'17I 4,1,41 7,260
6|23{4 5,668
19 11905 0,0 6 0,997 1000 1028‘,96,12 6 s 4,0751
2. Vergleichung des neuen Gewichtes mit dem alten
Gewichte.
9 „ 1 0,10510i3,
87 „ 87 15 1,85643
17 2,69306
9 1 „ 9 19 352969,
lLOth ‚ 1 0,56122 10 „ 10 22 ‘0:36633i
2 „ 2 112244„ 20 „ . 21 12 0,73265‘,
3 „ 3 1,68366}, 30 „ 32 2 1,09898‘
4 9 4 2,24488‘ 40 „ . 42‘ 2111,46530‘
1 5 „ l 5 2,80611l 50 „ 53 14 1,83163
l 76 „ . ; 67 3,36733
3,92855}„ 60
70 „ 64 264 12,19795
‚ 74 2,56423
l 8 „ 9 0,48977‘ 80 „ f 85, 16 ‘2,93061
l 13 „‚1 , 10 1,25039“
7 - | 90 „ ,' 96 6 329693
11 „ 12 2,17343, 1011 . 1106 28 ,3,663‘16
12 „ 13 2,73465’ 2 „ 1 103 25 ‘3,32651
13 „ 14 ‘3,29587; 3 „ 2 11001 22 12,98977
14 „ . 15 3,85710‘; 4 „ 3 97 19 2,65303
1, 15 „ . |1710,41832‘ 5 „ 4 94 16 2,31629
i 16 ‚ 18 ‘0,97954 6 „ 5 “ 91 13 1,979541
17 „ 19 1,54076 » 7 „ s-l 88 10 1,64280=
18 „ 20 2,10198 8 „ 7 85 7 1,30606‘1,
19 „ 21 2,66320, 9 „ 8 , 82 4 0,96931“
20 „ 22 3,224421 10 „ 9 i 79 1 0,63257"
21 „ 23 ,3,78564 20 „ 19 , 48 2 1,26514!
22 „ 2510,84686 30 „ 29 1. 17 3 1,89772‘
23 „ . 26 0,90808 40 „ 38 ‘ 96 4 2,53029
24 „ . 271469311‘ 50 „ 48 ‘ 65 5 ‚3,16286‘
25 „ ; . 28 12,03053 1 60 „ 58 „, 34 6 3,79543‘,
26 „ . 29 2,59175 70 „ 68 ' 3 8 0,42800‘
27 „ 30 3,15297 , 80 „ 77„ ‘82 9 1,06058
28 „ . 31 3,71419‘, 90 „ 87%‚51 10 1,69315
29 „ 1 1 0,27541 100 , 97'_ 20 11 2,32572!
662 Anhang.
b. pro Längen.
Flüssigkeiten.
- ‚ . |7 t“ ‘1
131:?‘ ‘31:38 Druck auf Druck auf i
den preul‘s. das Quadrat
Atmosphäre Quseäcuklzilrner' qzeäiiüibsr' Quadrntzoll centilneter in ‘l
puis.Zoll (Zentimeter m Pfund » xüognmm ll
_,__ .._=.———. __„„-__,
1'
verschiedenen Landesmaafsen.
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Preufsen 480 ‘425,55, 515,76‘ 502,18 75,31 554,80l
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1 Oestreich 1485,04} 430 ‘521,16 507,45 76,10 550,52
md.,sc1‚w61„ 1 1 500
und 477‚93‘429,71 519,54‘ 542,45
‘ Frankreich f 75
‘) Nach Rühlrnnnn.
") Efl‘ective Pferdeszirke, die nominelle s. S. 380.
664
Porphy'r . . . .
Porzellan . . . . 2,38 _ 2,49
Porzellan-Erde . . . . . 1,16
Quarz (siehe Kieselsteine).
Roggen in‘ Masse . . . 0,78
Sand, fein und trocken . . . 1,40 1,64
„ „ „ feucht . . . 1,90 1,96
„ grob . . 1,97 _ 1,49
Sandstein . 1,90
Schiefer . . -_ -. -. . 2,64
Silber, gegossen ._ . . 10,10 _10,47
„ gehämmert . 10,61 _1o,62
Stahl, Cement- . . 7,26
„ gefrischt, . . . . 7,60 _ 7,8l.
„ Gufs- . . .‚ . . 7,83 _ 7,92
Steineiche .. .‚ ‚ . . 0,71 — 1,07
Steinkohlen . . . . 1,21 — 1,61
Steinkohlen, Cannel . 1,42
Tannenholz, frisch . . 0,89
„ trocken . . ._ . 0,66
Thon. . . . ._ . 1,80 — 2,68
Thonschieferfrisch
Ulmenholz, - . . .‚ ..v : I , . 2,76 _ 2,88
. 0,96
„ trocken . .‚ .v . 0,68
Wachs . . . . 0,97
Weidenholz, frisch . . 0,99
„ trocken . 0,49 ._ 0,68
Ziegelstein, gemeiner . 1,40 _ 2,20
„ Klinker . 1,62 __ 2,29
Zink, gegossen . . ‚ . . . 6,86 _. 7,22
„ gewalzt . . 7,19 _ 7,86
Zinn. . . . . . 7,29 __ 7,47
b. 'l‘ropfbaro Flüssigkeiten.
Aethel‘, bei 20°’ 0., . 0,716
Alkohol, absoluter, bei ‘20;’ C. . . 0,792
Bier. . . . 1,029 bis 1,094
Kochsalzlauge, bei ‚188,10 C. gesättigt . 1,208
Milch . 1,02 _1,04
Oele: Baumöl bei 12° C. . I. 0,919
0,940
Leinöl bei 12° C. ‚
Olivenöl bei 15" C. . 0,918
Rüböl bei 15° C. . . 0,913
Quecksilber bei 0° C. _ . 13,55 —19,68
III. Gewichts - Tlbeilen. 657
Quecksilber.
Silber . . . . . . . . . 0,374
0,494 Pfd.
„ W297.
Stabeisen . . . . ‚ . . . 0,278 „ “ .481 Pfd.
=8%Lth. 24% CH‘
Wasser . . . . . . . . . 0,036 P91, 61,7.‘
„ -Dampf. . . . . . . . *’ 0,05
Zink. . . . . . . . . . 0,245 „ 424
Zinn . . ‚ . . . . . . . . 450
d. ßandeisen-Tabelle.
„ 1% 2% „ 3 10 3835
„ 1%" 3% „ 3’ 23V’ 3191},
„ 13” 3;- „ 2' 8%” 2733;‘
” 2h 4% „ 2! 4%” 239%!
”„ 211”
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