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— le Pont, Novembre 2010 —

- Novembre 2010 -

Bulletin des Eglises Réformées Evangéliques de Montauban, Saint Martial


et Saint Antonin-Noble-Val.
reprendre. » (Es 54.6-7, PDV) L’apôtre Paul, quant à lui,
Editorial est si convaincu que l’amour conjugal est une parabole
vivante des liens qui unissent le Christ à l’Eglise qu’après
A quoi sert l’Eglise? avoir parlé de l’amour entre époux (Ephésiens 5.31), il a
cette conclusion: «ce mystère est grand, je dis cela par
rapport à Christ et à l’Eglise» (v. 32). L’union conjugale est
«Je lis ma Bible, je prie le Seigneur, et cela me donc un modèle de l’union de l’Eglise avec et en Christ.
suffit…» C’est là plus qu’un début de réponse à cette Si à cela vous ajoutez que l’amour du Christ pour son
déclaration bien dans l’air du temps. Eglise est infiniment plus fort et plus parfait qu’aucun
Ces propos désabusés, plusieurs fois entendus, amour d’homme pour sa femme, alors vous comprenez que
couvrent souvent une aversion coupable pour tout l’Eglise n’est pas une question d’utilité mais d’amour dans
engagement communautaire, mais traduisent parfois une le sens le plus profond du terme.
déception véritable qui n’a pas été surmontée. Après une Et, à moins d’avoir perdu la flamme de votre amour,
implication forte dans la vie de l’Eglise, tel frère ou telle vous ne dites pas à celui qui vous a aimé au point de donner
sœur a été témoin, sinon victime, de tensions qui ont sa vie et qui vous précise tout au long des pages de sa
dégénéré en divisions. Pour se protéger, cette personne s’est révélation qu’il a fait de vous un peuple: «Une Eglise, mais
retirée soit en quittant l’Eglise locale, soit en réduisant au à quoi ça sert?» Vous comprenez ce qu’il y a de déplacé et
minimum son implication spirituelle et émotionnelle. même d’inquiétant dans une interrogation aussi triviale.
Pour justifier cet éloignement, elle met donc en L’Eglise n’est pas d’abord le lieu d’un faire, mais
question l’utilité de la communauté. Ce pragmatisme rejoint d’un laisser faire, le lieu où nous sommes aimés par le
l’air du temps. Mais l’importance de l’Eglise se mesure-t- Christ et où nous nous abandonnons à cet amour.
elle à son utilité ou à son efficacité? Une invention redoutable
Une affaire d’amour Ceci dit, la question de l’utilité de l’Eglise n’est pas
A mon sens, la question de l’utilité de l’Eglise traduit illégitime. Le tout est de savoir si nous sommes prêts à
une vision erronée de l’Eglise quand c’est la première entendre la réponse qu’apporte l’Ecriture. Lorsque j’ai posé
question qui est posée à son endroit. la question aux membres d’une communauté que je visitais,
Imagine-t-on des fiancés ou des conjoints s’interroger j’ai obtenu des réponses variées. Les uns m’ont dit que
sur l’utilité de leur relation? Quand l’amour délaisse le l’Eglise était là pour évangéliser; d’autres, pour enseigner
langage de l’admiration, de l’envie de plaire et du don de la bonne doctrine; d’autres encore, pour adorer Dieu; et
soi pour emprunter celui des intérêts immédiats et de la presque tous, pour leur faire du bien. Mais personne n’a
seule utilité, ou il se meurt ou il n’a jamais réellement pensé à indiquer qu’elle était aussi là pour les remettre en
existé. question, les former et les transformer.
Ce qui est significatif, c’est que la Bible compare Ce à quoi je pense ici, c’est à ce que Paul dit quand il
fréquemment la relation entre Dieu et son peuple à l’amour écrit: «le Christ a aimé l’Eglise et s’est livré lui-même pour
entre un mari et sa femme. Le prophète Esaïe met, par elle afin de la sanctifier après l’avoir purifiée par l’eau et la
exemple, ces mots dans la bouche du Seigneur: «Ton Dieu parole» (Ep 5.26).
dit: Est-ce que quelqu’un peut vraiment rejeter la femme (…) Sans l’œuvre exigeante de l’Esprit en nos cœurs,
qu’il a choisie quand il était jeune? Je t’ai abandonnée très sans accueil des autres avec leur richesse bienfaisante et
peu de temps. Mais, avec une grande tendresse, je veux te
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leurs manies irritantes, sans apprentissage du pardon, il n’y a se, souvent décevante, parfois blessante, toujours exigeante,
pas de vie d’Eglise qui vaille la peine – surtout reste pleine de sens car elle est préparation à une réalité plus
d’Eglise digne de celui qui l’a aimée au point de donner sa glorieuse, l’entrée dans la présence bénie et éternelle de notre
vie pour elle. Comme le dit Rob Parsons, dont j’apprécie la Seigneur. Et ce sens a un nom en théologie, c’est l’espérance.
lucidité et la qualité de l’écriture, «l’Eglise est une redoutable Or, quel lieu par excellence où se nourrit, se chante, se
invention.» proclame l’espérance, sinon l’Eglise? Vouloir réduire l’Eglise
Un lieu d’espérance à sa seule utilité immédiate, c’est lui enlever une dimension
La sanctification, dont nous venons de parler, conduit à vitale pour notre foi.
ajouter immédiatement qu’on ne peut réduire l’Eglise à la Quand votre pasteur vous décevra, qu’un frère ou une
dimension présente. En effet, tout l’enjeu de cette transforma- sœur vous blessera, que votre Eglise vous paraîtra mal en
tion coûteuse et de ces ajustements douloureux, c’est un ren- point ou que l’épreuve vous donnera envie de la quitter, sou-
dez-vous divin à venir qui nous introduira à la félicité éternel- venez-vous qu’elle ne vaut pas pour son utilité mais pour le
le: le Seigneur veut faire paraître devant lui une Eglise glo- prix que le Seigneur a payé pour la faire naître et la faire croî-
rieuse, sainte et sans défaut (Ep 5.27). tre.
Cette perspective est propre à modifier toute notre vision La fuir n’est pas une solution et, surtout, c’est oublier que le
présente. Ce qui est difficilement supportable quand nous Seigneur ne vient pas seulement vous chercher vous seul avec
n’en voyons pas la fin devient acceptable quand nous savons votre Bible et votre piété, mais nous ensemble avec notre
qu’une autre réalité nous attend. C’est toute la différence qu’il amour imparfait dont il se charge de gommer taches et rides
y a, par exemple, entre les douleurs d’une maladie incurable pour que le banquet soit une vraie fête.
et celles d’un accouchement. Egalement intolérables, leur
issue fait toute la différence. (…) Ce qui fait la différence, Etienne Lhermenault
c’est l’absurdité qu’il y a à souffrir pour mourir et le sens (d’après Pour la Vérité, sept./oct. 2010)
qu’il y a à souffrir pour donner la vie. Ainsi, la vie de l’Egli-

Paul, le mal aimé

F aut-il qu’il ait été fidèle, si l’hostilité du monde et des faux frères est indice de fidélité! L’apôtre Paul, persécuté
de son vivant, et malgré la part décisive qu’il a eue dans le façonnement du christianisme historique, reste la vic-
time de l’hostilité sourde ou bien ouverte. Même souvent de ceux qui disent révérer Jésus!
Pourquoi? La vivacité de la défense personnelle de Paul, les déclarations qui semblent orgueilleuses, irritent certains
lecteurs. On oublie la situation : la guerre incessante que faisaient à l’apôtre ses adversaires.
Mais la vraie raison n’est pas là. Ce qu’on reproche vraiment à Paul, c’est d’être si net, si précis, systématique de telle
sorte qu’il n’est pas possible d’échapper à la chaîne de ses raisons, aux lignes si fermes qu’il trace. Avec Jésus, à cause du
caractère énigmatique de la présentation qu’il devait faire de lui-même avant la Croix, à cause de l’usage abondant d’images
et de paraboles, on peut dire une chose ou l’autre… du moins dans certaines limites. Avec Paul impossible! Si l’on ne veut
pas de sa dénonciation si ferme de l’incapacité totale de l’homme à se sauver, si l’on ne veut pas de la netteté de son accent
sur la rédemption objective accomplie par Jésus-Christ, il ne reste plus que le rejet.
En réalité, il est vain d’opposer Jésus à Paul, non seulement parce que toute la cohésion du Nouveau Testament est en
jeu, mais parce que l’enseignement de Jésus-Christ a la même rigueur que celui de l’apôtre. On peut noter à son crédit que
même un Bultmann, chef de file d’une école qu’on s’accordera pour considérer comme nettement libérale, a reconnu que la
grande différence entre Jésus et Paul, c’est que Jésus se situe dans son enseignement avant et que Paul se situe après l’événe-
ment dont tous les deux parlent. En fait, nul ne peut accéder au véritable Christ des Evangiles, s’il ne consent à accompagner
l’apôtre Paul. Si Paul est le mal-aimé, c’est qu’il n’y a pas assez d’amour du Seigneur Jésus lui-même, dont l’apôtre n’a été
que le serviteur, l’«esclave» comme il aime à le dire.
En notre temps de désarroi et de décomposition, rien n’est plus nécessaire que la netteté de l’enseignement de cet homme qui
a payé d’un service exténuant, et de sa vie finalement, son amour de la vérité du Seigneur. Pour nous aussi, les paroles de
Polycarpe sont justes : «Ni moi-même, ni un autre, nous ne pouvons atteindre à la sagesse du bienheureux et glorieux Paul»,
ou, dans les mots de Pierre, «du bien-aimé frère Paul» (2Pierre.15).
Revue Ichthus (mars 1982)

Clin d’Œil
A un carrefour d’une rue piétonnière, ils sont enlacés et pratiquent un bouche-à-bouche qui n’a rien de
médical! Adolescents à peine sortis de l’enfance, il sont dans leur «bulle», tout à fait étrangers aux voitures qui
peuvent traverser cet endroit, aux passants qui vont faisant leurs courses, indifférents eux aussi…
Il dit bonjour à un Portugais qu’il connaît un peu, le croisant parfois sur son chemin: une
conversation s’engage dans un français incompréhensible, déformé par l’accent étranger… Perplexe
devant ces deux situations: témoin silencieux je fus:
– comme j’aurais voulu pouvoir dire à ces jeunes l’amour défini dans 1Corinthiens 13 (à relire!),
– comme j’aurais voulu pouvoir dire à cet homme la joie du salut en Jésus-Christ… mais je suis
passée, allant mon chemin, moi aussi…

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Cérémonie
Compte rendu du culte d’installation du pasteur Sandratana RARIJASON

L
e dimanche 3 octobre était coché depuis plusieurs semaines sur le calendrier de l’Eglise Réformée
Evangélique de Montauban. C’était le jour choisi pour accueillir officiellement le pasteur
Sandratana Rarijason arrivé dans notre bonne ville avec sa famille dans le courant de cet été 2010.
Depuis plus d’un an, le presbytère était vide, mais les visites fréquentes des serviteurs d’autres
Eglises et le dévouement des membres du Conseil ont fait que notre communauté n’était pas sans berger.
Cependant, si une telle situation peut se révéler enrichissante, elle ne doit être que momentanée...
Une église bien remplie et plus de solennité qu’à l’ordinaire pour ce jour particulier. Le culte a commencé
avec les belles voix du groupe «GOSPEL TRAIN» qui, sur des airs bien connus, nous ont rappelé que d’esclaves
que nous étions nous sommes devenus des hommes libres.
On se souviendra de la prédication du pasteur Bernard Bordes, en poste au Mas d’Azil et président de la
Commission Exécutive sud-ouest des Eglises Réformées Evangéliques, toute empreinte de sincérité et de vérité,
allant à l’essentiel et qui, bien que dédiée au nouveau pasteur, s’adressait à chacun dans l’église... Si le
conducteur connaît de grands moments spirituels, il est aussi confronté au quotidien avec ses contingences et ses
vicissitudes. Le pasteur est, comme tout un chacun, un serviteur inutile (Luc 17.10). Ce dernier mot étant à
comprendre au sens de: banal, quelconque, pas indispensable. Une telle avalanche d’attributs ne peut produire que
de l’humilité et c’est sur la base de cette humilité que la grâce agit...
Après une telle mise au point, l’assemblée pouvait chanter, sans triomphalisme, avec les musiciens: We
shall overcome.
Un repas fraternel, composé des mets préparés par les convives, fut ensuite partagé dans la salle du Conseil.
Les uns et les autres avaient pu, chez eux, s’exercer à la cuisine américaine grâce à des recettes données par Mark
et Mary Mylin.
Beaucoup de gaieté, d’échanges, de partages au rythme des allées et venues entre les tables et le buffet.
Puis le pasteur Sandratana Rarijason (Sandra, pour les intimes que nous sommes déjà...) prit sa guitare pour
interpréter, avec sa grande et belle famille, une chanson qu’ils chantent souvent ensemble. Beaucoup d’émotion
en voyant et en écoutant le pasteur, son épouse Anne et leurs quatre filles, arrivant tous les six dans une ville
inconnue avec en perspective une nouvelle tranche de vie, chanter:
Seigneur, pour moi tu as des plans
De bonheur et de parfaite joie.
Seigneur conduis-moi maintenant,
Je suis faible mais toi tu es grand.
Olivier de Scorbiac

Evénement
Le Gospel TRAIN à Montauban!

«Tu m’entoures de chants de délivrance» (Psaume 32.7)

Le week-end des 2 et 3 octobre marquera dans la vie de notre paroisse.


Tout d’abord, un magnifique concert grâce au Gospel Train, mené avec brio par le pasteur Pierre Alméras.
En écoutant les négro-spirituals qui ont été chantés, nous avons pu juger de la puissance des voix de ce
quartet, créé en octobre 1997 à St-Martin-de-Londres, dans l’Hérault.
Un rappel plein de conviction a été fait des moments forts des débuts de ces chants, qui ne s’exprimaient
que dans la douleur par des hommes venus d’un autre continent. Ces hommes qui n’étaient pas considérés comme
tel à cause de la couleur de leur peau. Le pasteur Alméras a insisté fortement sur l’action de Martin Luther King et
sur le chant «We shall overcome» associé à la non-violence.
Très vite, Pierre Alméras a su unir l’assistance dans un «KUMBAYA» que nous n’oublierons pas de si tôt!
Kumbaya, mot du créole anglais « le Gullah », signifiant «Come by here» (passe par ici)
Kumbaya my Lord (passe par ici Seigneur)! Pour moi, le Seigneur est passé, ce samedi soir, par le 20 quai Mont-
murat!
André Greslé
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Réflexion
Prier pour les morts?

«Quand ils (les catholiques romains) objectent que la coutume de prier pour les morts a été reçue
dans l’Eglise depuis plus de treize siècles, je leur demanderai, en retour, selon quelle parole de Dieu, à
partir de quelle révélation et en suivant l’exemple de qui, cela a été fait. Car, non seulement, il n’y a au-
cun témoignage dans l’Ecriture, mais on n’y trouve aucun exemple de croyants le faisant. L’Ecriture ra-
conte souvent, et avec quelle intensité, que les croyants ont pleuré la mort de leurs parents et comment
ils les ont ensevelis. Mais qu’ils aient prié pour eux, il n’en est pas question. Or, comme c’est une ques-
tion de plus grande importance que les larmes et la sépulture, cela n’aurait pas manqué d’être mentionné.
D’ailleurs les Pères de l’Eglise chrétienne, qui ont prié pour les morts, reconnaissent qu’ils n’avaient ni
commandement de Dieu pour le faire, ni exemple de poids.
«Comment alors, demandera quelqu’un, ont-ils osé le faire? Je dis qu’en ce qui concerne cette prati-
que, ils ont trop concédé aux sentiments humains; mais il ne faut pas prendre la suite en les imitant. Les
croyants ne doivent rien entreprendre sans certitude de conscience, comme le dit Paul (Romains 14.23),
et cela est particulièrement vrai pour la prière.
«On objectera qu’il est vraisemblable que cette pratique n’est pas sans justification. Je réponds
qu’elle a pour origine un sentiment humain suscité par la recherche de l’atténuation de la douleur. Il
semblait inhumain de ne témoigner aucun signe d’amour envers les morts. Nous expérimentons tous
combien notre nature est encline à éprouver cela.
«…Puisqu’il n’y a pas, dans toute la Loi et l’Evangile, une syllabe qui nous permette de prier pour
les morts, j’affirme qu’aller au-delà de ce que Dieu a permis, c’est profaner son nom.»

Jean Calvin (1509-1564)


Informations
Des échos du Conseil Presbytéral

Le Conseil Presbytéral s’est réuni en séance plénière le 6 octobre 2010. Le pasteur Rarijason a mé-
dité brièvement deux textes: Philippiens 3.12-16 et Proverbes 17.9, soulignant que l’amour de Dieu nous
pousse à chercher l’unité.
Les points habituels des ordres du jour sont abordé : les finances, l’agenda des cultes et les tra-
vaux. La Sainte Cène sera célébrée le premier et le troisième dimanche du mois. Après un moment de
débat, il est convenu qu’elle se déroulera comme cela s’est fait le dimanche 3 octobre, jour de l’installa-
tion du pasteur Rarijason: la distribution du pain sera suivie par celle du vin, la coupe et les petits gobe-
lets étant présentés ensemble par deux personnes, le panier destiné à recevoir ceux-ci après usage ne l’é-
tant qu’ensuite. Afin de bien marquer que les responsables de l’Eglise sont des serviteurs, les anciens et
les pasteurs communient après avoir accompli leur fonction. Cette manière de faire, qui est une tradition
dans les Eglises Réformées, est aussi un symbole fort. Le souvenir du texte de la prédication du pasteur
Bernard Bordes est rappelé: Luc 17.1-10; nous ne sommes tous, en définitive, que des serviteurs inutiles.
Matériellement, la disposition du temple ne se prêtant pas à la constitution d’un cercle, la distribution
des espèces se fera dans les rangs.
De nombreuses informations sont ensuite communiquées: entre autres, des nouvelles de nos en-
voyés en Haïti, Jacky et Myriam Yapoudjian ainsi que de Claire Chapuis.
Le numéro de téléphone, avec répondeur, du bureau du pasteur Rarijason, situé au 1er étage dans
les locaux du temple, 20 Quai Montmurat, est: 05 63 20 72 80.
Le Conseil exprime sa reconnaissance à tous ceux et celles qui apportent leur aide à l’installation
tant du Pasteur dans son bureau que de sa famille au presbytère.
Mark Mylin,
Pasteur, secrétaire du Conseil presbytéral

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Anniversaires du mois

Le 14 novembre Mme Denise Lacaussiguerie

Le 24 novembre Mme Hélène Gary

Le 29 novembre Mme Eva Lartigue

Toute l’équipe du « Pont » vous souhaite un joyeux anniversaire

Pensons dans la prière aux malades


«Mais ceux qui espèrent en l’Eternel renouvellent leur force.» ( Es 40.31a)

à M. Maurice Dubois-Godin

à M. Bert Gundlach

à Mme. Monique Rolland

Mots croisés n°37 par Jale


VERTICALEMENT : 1 - Certitudes. 2 - Impossibles. 3 -
HORIZONTALEMENT : Caresse de la main - habitude - deux consonnes. 4 – En dé-
A - Bien de saison! B - Arrêt - soleil égyptien. C - Pas futées sordre, de bonne heure - donne le ton. 5 - L’ours en raffole -
- va bien avec la manière. D - En désordre, ne sent pas très transformer en petits morceaux. 6 - Possessif - se rendra. 7 -
bon - auxiliaire. E - Participe passé bien gai – consonnes dou- Temps défini - toux tenace et qui dure! 8 - Ferme. 9 - allas de
blées qui laissèrent un bien mauvais souvenir. F - Bocal pour -ci, de-là - enzyme. 10 - Tout à fait contente.
un usage précis . G - Dépourvus de tout - grand air. H - Dé-
monstratif - soulageai. I - Existe - abréviation admirable. J -
Jonchée. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
A
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 B
Solution du mois d’octobre (N°36)

A
C
B
C D
D E
E F
F G
G
H
H
I I
J J

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Dates à retenir
Vous devez savoir...

1°) Le dimanche 7 novembre, le pasteur Yan NEWBERRY, après avoir apporté la Parole de Dieu,
présentera le séminaire sur la prière qu’il a accepté d’animer, à la demande du Conseil presbytéral, le
samedi 12 et le dimanche 13 février 2011. Ce séminaire est destiné à chacun dans l’Eglise.

2°) La prochaine réunion de l’équipe de visite aura lieu le lundi 15 novembre à 15h30 dans la salle du
Conseil.

3°) Exposition-vente de livres organisée avec la Croisade du Livre Chrétien (CLC)


Elle aura lieu dans la Salle du Conseil, chaque dimanche, après le culte, à partir du dimanche 28
novembre et jusqu’au dimanche 9 janvier 2011 inclus. Une occasion à saisir en pensant, en particulier,
aux cadeaux de fin d’année!

4°) Le samedi 27 novembre au Temple de la Faculté à 20h30 Concert de soutien aux enfants d’Haïti
avec la participation de Benjamin et Olivier de Scorbiac. Entrée gratuite, libre participation aux frais.

5°) Calendriers 2011


Le moment est venu de les commander en vous adressant soit M et Mme Lucas Blom, soit à M.
et Mme Jean-Paul Carcenac.

6°) Après-midi conviviale de Noël


Organisée par l’équipe de visite, elle aura lieu le vendredi 17 décembre prochain. Invitation cor-
diale à tous.

7°) 4ème Carrefour théologique et biblique du jeudi 13 janvier 2011


Il se tiendra, de nouveau, dans le temple à partir de 9h30. Les intervenants seront, le matin, le
pasteur Louis SCHWEITZER, membre du Comité Consultatif National d’Ethique, qui traitera le sujet:
«La bioéthique : les enjeux du débat, notamment du point de vue chrétien» et, l’après-midi, Mme Jéma
TABOYAN, mère de trois enfants, responsable jeunesse dans les Eglises Evangéliques Arméniennes et
rédactrice en chef du Guide de lecture biblique pour adultes de la Ligue pour la Lecture de la Bible, qui
traitera le sujet: «La jeunesse et la foi chrétienne dans la société d’aujourd’hui».
Soyez nombreux à bénéficier de cette journée. Les participants viendront de toute la région du
Sud-Ouest. Parlez-en autour de vous.

8°) Week-end d’Eglise aux Monts d’Olmes des 5 et 6 février 2011


Réservez ces dates, dès à présent.
Les inscriptions seront reçues courant décembre, moment où il faut procéder aux réservations des
places nécessaires dans le «super chalet» du Lum d’Amont. Plus d’informations pratiques seront com-
muniquées ultérieurement. En attendant, Aline Maillard peut, si vous le souhaitez, répondre à des ques-
tions : 05 63 66 60 37.

9°) Projet de voyage en Israël en mai 2011


Une idée est dans l’air… Pourquoi pas un voyage en Israël l’année prochaine?
Pas n’importe quel voyage touristique, bien sûr: un voyage Bible en main pendant une douzaine de
jours.
Si cette idée vous plaît, dites-le, sans plus tarder, à Lucas et Erica Blom (05 65 30 01 36 ou l.blom@
orange.fr) qui s’occuperont de tout l’aspect matériel de l’entreprise: voyage, séjour, prix…

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Programme des ACTIVITES


chaque lundi Halte prières 10h30 MRP

19h30 Salle du Conseil du Tem-


chaque jeudi Halte prières
ple

chaque vendredi Culte pour les résidents de la M.R.P. et autres 15h Chapelle MRP

Renseignements: Aline Maillard


1/2 samedi Groupe de Jeunes
05 63 66 60 37

Programme des CULTES Horaires et lieux


N o u ve l h o r a i r e d u C u l t e :
Tous les dimanches : Pouponnière, garderie et enseignement des enfants
à 1 0 h 0 0 l o u a n g e - a c c u ei l
pendant la prédication.
Culte à 10h15
L i t u r g i e : M . R o do l f o H o r m a z a ba l 10h00 louange
P r é d i c a t i o n : P r . Y a n N ew be r r y 1 0 h 1 5 c u l t e T em pl e de l a F a -
07 Sainte-Cène culté
dimanche
Novembre Deuxième Collecte (ADRIEL)
Temple St. Antonin : Mme M. Charles 1 0 h 3 0 T em p l e d e S t . A n t o n i n

Liturgie : Pr. Mark Mylin 10h00 louange


P r é d i c a t i o n : P r . S a n d r a t a n a R a r i j a so n 1 0 h 1 5 c u l t e T em pl e de l a F a -
14
dimanche culté
Novembre Temple St. Antonin : 1 0 h 3 0 T em p l e d e S t . A n t o n i n

L i t u r g i e : C u l t e d e s J eu n e s 10h00 louange
P r é d i c a t i o n : P r . S a n d r a t a n a R a r i j a so n 1 0 h 1 5 c u l t e T em pl e de l a F a -
21
dimanche Sainte-Cène culté
Novembre Temple St. Antonin : Mme M. Charles 1 0 h 3 0 T em p l e d e S t . A n t o n i n

Liturgie : P r . S a n d r a t a n a R a r i j a so n 10h00 louange


Prédication : P r . M a r k M y l i n 1 0 h 1 5 c u l t e T em pl e de l a F a -
28
dimanche culté
Novembre T e m p l e S t . A n t o n i n : M . W . V a n h er w e ge n 1 0 h 3 0 T em p l e d e S t . A n t o n i n

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Adresses utiles
M. Alain BOULBES
12 rue Antoine Saint Exupéry
Le pasteur Sandratana RARIJASON (président du Conseil Presbytéral de Montauban)
Bureau du Temple Tél. 09.52.30.60.12 ou port 06 59 75 92 67
20 Quai Montmurat Mél : alain.boulbes@free.fr
82000 Montauban
Tél. 05 63 20 72 80 Mél : eremontauban@orange.fr Mme Monique COURNILLE
pour l’ERE de St. Martial
2051 chemin de St. Martial
Le pasteur Mark MYLIN Tél. 05 63 03 13 46
2 lotissement des Pins
82230 Léojac M&Mme KIRSCHLEGER
Tél. 09 63 21 24 85 Mél : mdm955i@gmail.com pour l’ERE de St. Antonin Noble Val
La Gardelle, Poussou 82140 St. Antonin
Tél. 05 63 68 23 66

Site Internet : www.ere-montauban.fr


Cultes : à Montauban (Temple de la Faculté) 20, quai Montmurat
Chaque dimanche 10h00 louange-accueil et 10h15 début du culte
(école du dimanche, garderie, etc.. pendant la prédication)
A St. Martial (Temple chemin de St. Martial) chaque 3ème dimanche du mois à 18h
A St. Antonin-Noble-Val, chaque dimanche du mois à 10h30.

Clubs : Sympa, Groupe de jeunes


Edification : Etudes Bibliques dans les familles et au Temple (centralisées)
Réunion de prière (chaque Jeudi à 19h30 au Temple), équipes de visite, etc.
CCP de l’E.R.E. Montauban (Temple de la Faculté) : CCP 1657 76 H Toulouse
Trésorier : Gérard ROLLAND, 437 chemin de Boissel - 82370 Villebrumier

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