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La cholangio-pancréatographie rétrograde endoscopique

(CPRE)

Valentina Sekaric
Étudiante en soins infirmiers
La cholangio-pancréatographie rétrograde endoscopique
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 Qu’est ce que la cholangio-pancréatographie rétrograde endoscopique ?

La cholangio-pancréatographie rétrograde endoscopique est une intervention


endoscopique qui permet d'examiner visuellement la vésicule biliaire (petit sac contenant
de la bile), le pancréas (glande digestive qui fabrique des enzymes digestives), le foie
(glande digestive fabriquant la bile) et les canaux qui drainent ces organes. Cet examen
permet la représentation graphique du canal pancréatique, du système de canaux de la
vésicule biliaire et du foie dans le but d'une étude détaillée de l'aspect et du
fonctionnement de ces canaux. C’est la méthode endoscopique qui s'utilisé pour identifier
les pierres, les kystes, les tumeurs bénignes ou malignes et les sténoses (rétrécissement)
des voies pancréatiques ou biliaires. Aussi, elle peut aider à diagnostiquer toutes des
modifications anatomiques au niveau des conduits biliaires et pancréatiques.

Une CPRE peut être réalisée lorsque le patient présente des symptômes comme la
jaunisse, douleurs abdominales, fièvre ou de malabsorption. Elle est particulièrement
utile chez les personnes ictériques parce qu’elle permet à déterminer l’obstruction
partielle ou totale de ces conduits et les caractéristiques des lésions obstructives.

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Les valeurs normales de la CPRE sont la taille normale des conduits biliaires et
pancréatiques et aucune obstruction ni lacune dans ces canaux.
L’examen consiste à injecter un produit de contraste généralement à la base d’iode dans
le canal biliaire (cholédoque) et dans le canal pancréatique à l’aide d’un appareil
endoscopique (le fibroscope) introduit par la bouche du patient. Cette procédure permet
de réaliser des films radiologiques par des rayons X et d’identifier des lésions des voies
biliaires ou pancréatiques. Aussi, le médecin gastro-entérologue qui réalise l’examen
pourra faire des biopsies1 ou un traitement endoscopique tel que l’extraction de calculs du
cholédoque.

L'endoscopie permet aussi élimination des calculs biliaires2 jusqu'à environ 2 cm de


diamètre qui gênent l'écoulement de la bile ou l'écoulement de la sécrétion pancréatique.
Il n'est plus nécessaire d'opérer patient qui souffrit de lithiases biliaires. Également, on
peut recourir à un ballon lorsqu'il s'agit d'élargir les rétrécissements dans le système des
canaux. On peut pratiquer ainsi une légère incision lorsqu'il y a rétrécissement du
1
Prélèvement d’un fragment de tissu sur un être vivant pour un examen microscopique
2
Des corps cristallins formés par accrétion ou concrétion de composants normaux ou anormaux de la bile
dans la vésicule ou les voies biliaires.

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débouché des systèmes biliaire et pancréatique dans le duodénum. Mais, le client ne


sentira pas cette incision grâce aux médicaments anesthétiques.

 Préparation médicale du patient avant la cholangio-pancréatographie


rétrograde endoscopique

La procédure endoscopique se réalise sous sédation du patient par un anesthésiste.


Immédiatement avant la procédure, le médecin ou l’infirmière font une anesthésie locale
de la gorge du patient afin d’éviter les nausées et pour soulager la douleur buccale. C’est
Xylocaine3 qui s’utilise plus souvent pour l’anesthésie des muqueuses. On peut appliquer
de 10 à 40 ml (selon la prescription médicale) de gelée à 2% dans la bouche du patient
avant l’introduction de la sonde. Le client peut avoir la sensation d’avoir la gorge
“épaisse” après l’administration du Xylocaine, mais cela ne l’empêchera ni de respirer ni
d’avaler. Au but de diminuer l'anxiété du client, il est important de lui expliquer que
l'administration de ce médicament ne dérangera pas l'absorption régulière de l'oxygène et
le rejet du gaz carbonique chez lui. Par la suite, ce sont Midazolam4 (Versed) et Fentanyl5
qui s’administrent par la voie IV pour la sédation et pour l’analgésie du client. Pour cette
raison le client ne peut pas conduire son véhicule 24h après l’examen car les deux
médicaments diminuent la vigilance. Il doit, donc, être toujours accompagné par
quelqu’un. Enfin, pour faciliter l’examen endoscopique, on administre 0,4 mg du
Glucagon6 par la voie IV 5 à 10 minutes avant l’examen ou juste au moment que le
fibroscope est introduit à la bouche du patient. L’administration du Glucagon sert à
produire une paralysie du duodénum nécessaire pour localiser facilement l’ampoule
hépato-pancréatique. Au besoin, on peut répéter l’administration de cette dose à chaque
15 minute (4 doses maximum) pendant l’intervention.
La cholangio-pancréatographie rétrograde endoscopique est une procédure totalement
indolore, mais sans la perte de conscience du patient. La sédation sert seulement pour
engourdir les sensations et les muscles du client. Même qu’il peut montrer l’inconfort
pendant l’intervention, le client ne se souvient pas de ces événements après l’intervention
en raison d’utilisation du Versed qui efface la mémoire du client. Le seul sentiment qui
peut être présenté chez le client après l’intervention est une légère confusion temporaire
due à l'anesthésie.
Aussi, avant l'examen, on pose une perfusion saline au client qui permet d'injecter à la
demande ce qu'il faut. Également, elle sert à administrer une dose d'antibiotique avant
l’examen, ce qui signifier la précaution utile (prévention d’infection) quand on intervient
dans les conduits naturels. Cette perfusion est gardée pendant le temps de la surveillance

3
Anesthésique locale par l’inhibition du passage des ions sodiques à travers les membranes neuronales,
empêchant aussi le déclenchement et la transmission des influx nerveux normaux, Judith H. DEGLIN,
Guide des médicaments, p.621
4
Anxiolytique et hypnosédatif du groupe de benzodiazépines qui fait la dépression généralisée du SNC,
Judith H. DEGLIN, Guide des médicaments, p.701
5
Analgésique opiacé qui fait la liaison aux récepteurs opiacés du SNC modifiant la perception de la
douleur et la réaction à celle-ci, Judith H. DEGLIN, Guide des médicaments, p.412
6
Hormone pancréatique qui fait la relaxation des muscles du tractus gastro-intestinal (estomac,
duodénum, intestin grêle et côlon) par une inhibition de la motilité, Judith H. DEGLIN, Guide des
médicaments, p.473

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du client (1 à 3 jours selon le geste réalisé), en surveillant de tous les signes d'infection
tels que la fièvre, la douleur ou les saignements.
Le but principal d’utilisation de ces médicaments est la sédation du patient et la
diminution de la douleur. On existe, aussi, les autres médicaments qui peuvent être
utilisés pour l’anesthésie des clients, mais le choix de la sédation dépend du médecin qui
fait l’intervention et du client. Pour cette raison, il est bien important de questionner les
clients avant la procédure par rapport des allergies ou d’intolérance aux médicaments
pour faciliter à l’intervenant de choisir bonne sédation du patient.

 Comment se réalise une cholangio-pancréatographie rétrograde endoscopique

Pendant l'examen endoscopique, qui dure d’environ 60 minutes, client est


confortablement couché sur le côté gauche dans la position décubitus dorsal ou latéral et
il peut se retourner ensuite sur le ventre. Une infirmière s'occupe de lui pendant toute la
durée de l’intervention et une autre infirmière assiste le médecin. Une radiographie
simple du rein, de l’urètre et de la vessie peut être prise pour s’assurer qu’il ne reste pas
de baryte dans l’abdomen qui peut déranger la visualisation.

Sa présence dans l’abdomen résulte d’une série de radiographies de la partie haute du


tube digestif ou d’un lavement baryté, ce qui peut empêche une visualisation adéquate
des conduits biliaires et pancréatiques.

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Une fois que le patient est anesthésié, le médecin insère un fibroscope7 dans la gorge.
L’insertion du fibroscope ne fait pas souffrir du patient. Seulement l'impression de devoir
vomir au moment de l'introduction du tube dans le pharynx peut être désagréable. On
insère le fibroscope dans l'œsophage qu'on fait glisser jusqu'à l'estomac, puis à l'intestin
grêle. Le médecin dit au patient quand il doit avaler, ce qui facilite considérablement la
descente de l'endoscope. Parfois, il est nécessaire d’aspirer la bouche du patient parce que
l’introduction du tube peut provoquer une hypersécrétion.
Le gastro-entérologue fait progresser doucement le fibroscope jusqu'au duodénum. Après
que le fibroscope est bien placé, il fait glisser un petit cathéter dans la lumière de
l’endoscope et l'oriente vers l'orifice commun du canal cholédoque et pancréatique. Ce
petit cathéter traverse l’ampoule hépato-pancréatique et pénètre dans le conduit
cholédoque et, par la suite, dans les conduits pancréatiques. Lorsqu’un cathéter est inséré,
le gastro-entérologue injecte un colorant dans les canaux pour qu'ils apparaissent
clairement à la radiographie. La visibilité aux rayons X permet au médecin d'évaluer la
taille, la longueur et bien sûr des voies biliaires et pancréatiques. Ce produit va remonter
dans l'ensemble des voies biliaires et pancréatiques et des résultats de la recherche sont
pris de tout l'arbre biliaire, dans différentes positions. L'endoscope n'est pas retiré tout de
suite. Les résultats de la recherche sont développés et interprétés immédiatement et s'il
faut un geste thérapeutique par voie endoscopique, il peut être réalisé aussitôt, sans
recommencer l’endoscopie.

Sur les radiographies le médecin peut identifier la cause de la maladie dans les conduits.
En plus de l’observation directe, l’endoscopie permet de traiter les fistules dans les voies
biliaires ou pancréatiques, la biopsie de tissus suspects, la résection de polypes,
l’injection dans des vaisseaux variqueux et des nombres interventions chirurgicales. Il est

7
Instrument mince semblable à un tube pourvu d'une lumière et d'une loupe qui permet d'observer
l'intérieur d'organes ou de structures du corps.

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possible ainsi d'éliminer les calculs ou de traiter le rétrécissement de ces canaux ou de


leur débouché dans le duodénum pendant l'examen endoscopique.

PHOTO : Radiographie pendant la cholangio-pancréatographie rétrograde


endoscopique confirme l'existence de défauts de remplissage avec dilatation au canal
cholédoque en raison de la présence de calculs dans ce canal.

La cholangio-pancréatographie rétrograde par voie endoscopique est une radiographie


avec opacification du canal cholédoque (canal d'évacuation principal de la bile) et du
canal pancréatique (canal d'évacuation des sécrétions digestives du pancréas). Pour
pouvoir opacifier ces canaux, il faut se placer à leur abouchement dans le duodénum qui
est situé entre l'estomac et l'intestin grêle à l'aide d'un tube souple que le client avale, et
par lequel passe le cathéter où l'on va envoyer le contraste.

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 Complications possibles de la cholangio-pancréatographie rétrograde


endoscopique

La cholangio-pancréatographie rétrograde endoscopique a une grande valeur


diagnostique complémentaire aux autres examens du pancréas et des voies biliaires. Sa
réussite dépend de plusieurs facteurs tels que la collaboration du patient et l’expérience
du médecin. L’intervention demande la coopération de la personne malade, car la
cannulation de l’ampoule hépato-pancréatique nécessite une immobilité complète du
client.

Parmi les complications possibles à l’intervention endoscopique les plus souvent sont :

- Perforation de l’œsophage, de l’estomac ou du duodénum causée par la


progression exagérée du fibroscope ;

- Septicémie à gram négatifs résultant de l’introduction des bactéries dans le


système biliaire et dans le sang, qui se produit habituellement chez les personnes
atteintes d’un ictère obstructif. Pour cette raison, il est utile d’administrer une
dose d'antibiotique avant l’examen pour prévenir l’infection possible ;

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- La pression causée par l’injection du produit de contraste peut provoquer une


inflammation du pancréas (pancréatite) ;

- Il est aussi possible d’avoir l’aspiration pulmonaire du contenu gastrique durant


l’examen, ce qui se prévient par l’aspiration de la bouche du patient durant toute
l’intervention.

L’examen nécessite que le client soit à jeun. Seulement un peu d’eau et les
médicaments personnels peuvent être ingérés le matin de l’examen. Il faut aussi éviter
de prendre de l’Aspirine et des anticoagulants pour une période de 7 jours précédant
l’examen, car il y a un faible risque d’hémorragie, de la perforation, de l’infection ou
de la pancréatite8 chez certains clients. Dans de 1 à 5% de cas, ces complications
peuvent parfois nécessiter une opération d’urgence ou une hospitalisation. Elles sont
imprévisibles et plus souvent rencontrées lors de procédures thérapeutiques telles que
l’extraction de calculs.

 Responsabilités infirmières dans la cholangio-pancréatographie rétrograde


endoscopique

L’infirmière joue un rôle important et complexe dans la cholangio-pancréatographie


rétrograde endoscopique.

Les responsabilités de l’infirmière AVANT L’INTERVENTION :

- Expliquer l’examen à la personne malade ;


- Assurer le client que sa respiration ne sera pas inhibée par la présence du
fibroscope ;
- Informer le patient qu’il ne doit rien ingérer après minuit le jour de l’examen ;
- Expliquer au patient l’utilité des anesthésiques et les effets qu’ils entraînent (la
perte de mémoire qui peut être entraînée par le Versed) ;
- S’assurer que le consentement écrit et éclaire est obtenu avant d’effectuer la
prémédication du client ;
- Prévenir la personne que l’examen dure environ une heure, durant laquelle il
devra demeurer complètement immobile sur une table radiologique dure ;
- S’assurer que le client est bien compris son rôle dans l’intervention nécessaire ;
- Vérifier la présence des allergies aux médicaments chez le client ;
- Vérifier et installer l’équipement pour l’examen ;
- Installer l’oxygène à 3-4 L/minute via lunette nasale ;
- Installer le saturomètre au doigt du client ;
- Vérifier l’état et le fonctionnement du cathéter intraveineux installé.

8
Inflammation du pancréas

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Les responsabilités de l’infirmière PENDANT L’INTERVENTION :

- Administrer la prémédication au patient selon ordonnance médicale ;


- Surveiller la respiration, la saturation et la fréquence cardiaque du patient tout
au long de l’intervention ;
- Surveiller l’administration de l’oxygène via lunette nasale ;
- Assister au médecin à l’administration du contraste ;
- Calmer le client durant l’intervention et l’encourager de rester complètement
immobile.

Les responsabilités de l’infirmière APRÈS L’INTERVENTION :

- Ne rien donner à manger ni à boire au client avant le retour du réflexe nauséeux ;


- Maintenir les mesures de sécurité jusqu’à ce que l’action des tranquillisants soit
disparue ;
- Conseiller au patient de changer lentement sa position pour réduire le risque
d’hypotension orthostatique ;
- Au besoin, obtenir le dosage de l’amylase sérique9 car la pression de l’injection
dans le conduit pancréatique principal peut provoquer une poussée de pancréatite
aiguë ;
- Surveiller régulièrement la température du patient, sa fréquence cardiaque,
pression artérielle et la saturation ;
- Rechercher les symptômes d’une bactériémie ou d’une septicémie ;
- Surveiller régulièrement les effets secondaires des médicaments tels que l’apnée,
laryngospasme, dépression respiratoire, somnolence, confusion et la phlébite au
point d’injection IV ;
- Noter le niveau de la conscience du client pendant les 2 à 6 h qui suivent
l’intervention ;
- Aviser immédiatement le médecin en cas d’une fièvre ou des frissons parce que
ces symptômes peuvent indiquer la présence d’une angiocholite 10;
- Surveiller la présence de la douleur abdominale, de nausée ou de vomissements,
qui peuvent être les signes précoces d’une pancréatite ou d’une perforation
gastroduodénale ;
- Expliquer à la personne qu’elle pourrait avoir mal à la gorge qui peut être soulagé
par boire du liquide frais. La personne malade peut se gargarise avec un rince-
bouche pour diminuer la douleur à la gorge ;

9
Enzyme présente dans les sécrétions pancréatiques ainsi que dans la salive qui intervient dans la
digestion des sucres complexes. Tout processus pathologique touchant le pancréas (pancréatite) peut
induire une augmentation du taux sanguin de l'amylase.
10
Une infection de la bile et des voies biliaires, le plus souvent secondaire à une obstruction aiguë de la
voie biliaire principale. Elle présente une urgence médicale parce que l’obstruction brutale de la voie
biliaire principale va entraîner la stase biliaire, ce qui peut provoquer une infection grave avec septicémie,
choc septique, anurie et coma.

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- Encourager le client à prendre des repas légers pendant les 12 à 24h qui suivent
l’examen ;
- Recommander au client de ne pas conduire son véhicule 24h après l’examen parce
que les médicaments anesthésique peuvent provoquer la diminution de sa
vigilance, des étourdissements et de la somnolence ;
- Recommander au patient d’éviter de boire de l’alcool et de ne pas prendre
d’autres dépresseurs du SNC dans les 24 heures qui suivent l’examen ;
- Expliquer au client qu’il doit observer la présence de la fièvre, des douleurs ou
des saignements et qu’il doit informer son médecine s’il en présente.

Mots de clé du système digestif

1. Œsophage - Partie du tube


digestif situé entre le larynx et le
cardia de l'estomac.
2. Estomac - Partie du tube digestif
en forme de poche, siège du
mélange et de la mise en réserve
des aliments.
3. Duodénum - Début de l'intestin
grêle.
4. Gros intestin - Le côlon court du
cæcum jusqu'au rectum qui
constitue la partie terminale de
l'intestin.
5. Intestin grêle - Partie du tube
digestif située entre l'estomac et
le gros intestin.

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Références :

1. Judith H. DEGLIN, Guide des médicaments, ERPI, 2e édition, publié en 2003.


2. Elaine N.MARIEB, Anatomie et physiologie humaine, Le système digestif, p.906-
958. ERPI, 3ème édition, publié en 2005.
3. Sharon M.LEWIS, Soins infirmiers médecine-chirurgie, Tome 3, Troubles du
foie, des voies biliaires et du pancréas, p.214
4. Garnier DELAMARE, Dictionnaire illustré des termes de médecine, 29e édition,
publié en 2006.
5. Kathleen Deska PAGANA et Timothy James PAGANA, L'infirmière et les
examens paracliniques, 5e édition, Cholangio-pancréatographie rétrograde sous
endoscope, p.109, publié en 2003.
6. Société française d'endoscopie digestive, La CPRE (en ligne),
http://www.sfed.org/Examens-Endoscopiques/La-CPRE.html
7. Soins infirmiers, Les lithiases biliaires (en ligne), http://www.soins-
infirmiers.com/lithiases_biliaires.php

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