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Autour des manifestes situés – Sébastian Marot

Art de la mémoire, comme dimension essentielle du projet, mise en scène de la mémoire du site sur
le quelle se déploie un programme. Un projet est un moment du territoire et de l’histoire (espace et
temps). Le symétrique de l’art de la mémoire est l’art d’espérée. L’espoir est quelque chose qui
n’est pas là. On a un tableau de plus ou moins de futur et l’absence d’optimisme. Ce serait peut-être
aux projeteurs déconstruire un espoir. Revue le Visiteur (assumer le point de vue de l’exténuent,
argument de la visite comme connaissance). Ex. de Visiteurs : Jackson (initiateur des étudiés sur
les landascape) a écrit “Discovering the Vernacular landascape “. Au début du livre on se trouve
une définition du paysage, à la fin du livre il y a la conclusion sur les paysages. Remarquer le
passage des singulier au pluriel parce que il y a des paysages, différents genres. Il y a hésitation
entre classification typologique ou chronologique. Paysage 1) vernaculaire ou médiéval : petits
paysage, sans (tìa) localement. Touts les types changeants, vivant. (cf.  Vernaculaire : verne/latin est
esclave). Les patois du paysage. Paysage 2) est classique, aristocratique, politique, canonique. Le
points divergés du paysage 1 sont : (?) grands territoires, ils sont paysage fixe et paysage de la
connections. Paysage 3) n’est pas nommé. Il a les caractéristiques communes avec le paysage 1
parce que touts les types changeant. Sorte de nouvelle dimension du paysage vernaculaire est un
paysage de la mutation permanente (le long des autoroutes). Intérêt est l’hésitation de Jackson. Est-
ce que ces paysages ne seraient pas tous contemporaines ? Ce sont des paysages très contemporains
et souvent superposés. Cf. photos de Raymond Degaedon. Tous les paysages sont des
hyperpaysages : des rencontres, inter pénétrations des paysages 1, 2, 3. C’est un paysage de
paysages. “The necessity for ruins“, Jackson est un texte sur le paysage comme théâtre. Cette
métaphore est à l’origine de paysage 2. Le problème de cette métaphore est que elle ne marche plus
aujourd’hui. Le paysage classique envisager comme théâtre a besoin d’une autre métaphore
aujourd’hui pour comprendre la complexification, l’industrialisation, l’hyperpaysage. Une
différente métaphore : palimpseste. Le support pour écrire, réutilisé traces des couches successives.
Il y a une correspondance avec les différentes planes d’un paysage. Distinction entre analogie et
métaphore : l’analogie est une comparaison, une maquette. La métaphore n’utilise plus le
palimpseste. Jackson trouve que le territoire comme palimpseste a tordu. Thomas de Quincey a
proposé en 1823 l’idée de palimpseste : le palimpseste du cerveau humain dans les “Confessions
d’un mangeur opium anglais“. Hypertexte : procédé de manigation études éléments qui n’ont rien a
voir les unes avec les autres. Banques de données, pas d’ordres. Les avantages de l’hypertext sont :
la liquidité, on range. L’avantage de le palimpseste est la gravité. Marcel Duchamp a la passion
scientifique pour cette question. Les joueurs d’Echecs. Le grand vert : “la mariée mise a une pour
ces célibatains, mariée tableau sur deux panneaux de verre. En haut il y a le domaine de la mariée et
en bas il y a le domaine des célibatains (machines pour attirer l’attentionde la mariée). Il sont
séparés par le manteau de la mariée. 1700, les curiosités de la nature et de l’art. John Dixon Hunt
avec le concept de la troisième nature : 1) originelle, livrée par Dixon, 2) cultivée, modifiée par
l’homme pour ses besoins, habitudes, 3) le jardin, marceau de territoire comme maquette. La
métaphore parfait du théâtre est avoir une compréhension verticale du paysage alors que c’est
souvent en profondeur. Beaucoup plus tard Duchamp suppose un paysage classique à un dessin du
grand vert. Les éléments du grand Vert sont la chute d’eau et le gaz d’éclairage. Le visiteur peut-
être un célibataire que regarde à taures le manteau de la mariée avec une remise à part du grand
Vert. 1990, le paysagistes resurgissent des les débats urbanistiques veulent renverser l’idée que le
programme invente le site lorsque que le site donne le programme. Concept de sub–urbanisme : du
site au programme. A’ la même époque il y a le concept opposé de sur–urbanisme (production de
site).

Suburbanisme : intervention grandissante des paysagistes de l’urbanisme suggèrent de partir de le


site pour aller vers le programme. Sururbanisme : programme appliqué sur un site. Ithaca au nord de
l’état de New York. Elle une petite ville vient du nom d’une ile grecque. Elle a une grande vieille
université (Cornell), une énorme école. Ithaca avec ses dix lacs est la région des “finger lakes“. Les
Irakois ont un concept très vertical du paysage, il y a en fait le mythe du Skywoman qui tombe du
ciel et elle atterrit sur le dos d’une tortue. Leur territoire était organisé au tour de 5 lacs. 1786, tout
le territoire est transformé en “no man’s land“ au centre géographique ou dessine. Une grille sur
tout ce territoire et on distribuait des lots aux vétérans de la guerre d’indépendance. Siméon DeWitt
dessine la grille (il a dessiné la grille de Manhattan). Ce héros de Manhattan rêvait de la grille au du
lac d’Ithaca, cette de s’y installer. Nomme lui-même la ville, les lacs gardent leur nom indien. E.B.
White, “Cornell is in Ithaca, N.Y., where Greek meets Indians“ grands bassins autours de la ville et
de le canal. Son rêve géographique était de connecter cette petite île avec la mer et les grands lacs.
Il y a une tension entre la métropole et cette petite île, la planification par choix d’un géographe.
1930 est l’époque des manifestes proactifs pour Ithaca. Il y a dessin d’artistes pour rauter une ville
et les premières manifestes sur les gorges magnifiques. Syndrome de Cornell porte à un très haut
tax de suicide aux USA. Cornell fait fortune en installant le morse de tout l’est des USA et pour les
investissement à Ithaca, comme la bibliothèque et l’université avec les études du science
académiques et sciences appliquées. Théorie glacière apparaît au milieu de le XIX siècle avec Louis
Agassiz (Suisse). Il y a une diffèrent réception en Europe et en Amérique. En Europe est l’époque
leonidle repousse les population. En Amérique, le glace que emporte, rencontre des population.
Agassiz était invité aux USA à l’inauguration de l’université de Cornell en 1868 : “je n’ai jamais vu
une région si riche au niveau de l’histoire naturelle“. Naissance d’une école avec la recherche de le
voyage depuis l’Alaska et la Groenland.
Trivial de montage. Photos avec les comparaisons des détails. Ex. plans Alaska, plans ville US,
skyscraper, downtown Athletic Club. On ponnait mouler l’une de l’autre. Vladimir Nosokov, Bend
Siuister, 1946. Le voyage d’un ascenseur a travers les étages est un voyage de les âges, vers le
paradis.
Cornell suppose 3 situation : 1 ingénieries, école sur les gorges, désolément du savoir, barrage.
Amateur d’architecture, bibliothèque. Un sataniste, horticulteur, avec tous les territoires entre le
deux gorges, paysage comme laboratoire universitaire. A’ Ithaca les 3 natures sont superposées
avec la gorge. Lac-agni-universitè.
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Ithaca “compares épais“. Recroit à l’image de la suburbia de la Renaissance, près de la ville mais à
la campagne, entre-deux. La situation suburbaine a trois natures superposées. Le mariée du grand
vert est le site visitée. Les trois célibataires sont Cornell, Wright, Bailey. Collein Rowe est un
théoricien de l’architecture. Il a enseigné pour trente ans à Cornell, il a décuit les phénomènes de
télescopage, juxtaposition, collages et transparence littérale et phénoménale. Description des
phénomènes spatiaux à l’architecture moderne, transposition de la notion du collage au l’urbanisme
et la ville : “Collage City“. Pour lui, les plus brillants architectures sont ces de Le Corbusier. Il
déteste l’urbanisme moderne mais il aime l’architecture moderne. Il tente de comprendre la
schizophrénie du mouvement moderne (qui détermine la ville). Le but est de réconcilier
l’architecture moderne et l’urbanisme traditionnel. Collein Rowe voit dans le plan de Nolli une
interaction entre le plein et le vide, le solide et le vide, le noir et le blanc. Il publia “le
mathématique de la ville idéale“ et il compare Villa Stein-Le Corbusier et Villa Palladio-
Malcontenta. Il va aux USA, à Yale pour Henry Russel Hitchcock, le premier historien-observateur
de le mouvement moderne, spécialiste d’archéologie médiévale. C. Rowe fait un voyage pour voir
tous les bâtiments de Wright et il restitue l’histoire moderne. En 1960 Rowe arrive à Cornell et il
critique l’historianisme (l’histoire que a un sens, une direction). Il est d’accord avec Karl Popper
que critiquait les sciences et la politique. Selon lui la science construit des modelés que sont vrais
tous qu’ils ne sont pas falsifiés donc il n’est pas possible d’établir la vérité. 1970 “Roma Interrotta“.
Thèse : le développement continue de Rome a été annelé, avec ses étudiantes chacun doit imaginer
l’histoire de Rome. A’ Ithaca il y a les contextualistes, pour eux l’architecture est un lien avec le
conteste et ils donnent importance au site. En 1968 Ungers va à Ithaca, il écrit “Zu einer neuen
Arkitectur“. Il utilise le mot “milieu“ pour expliquer le contexte e la reconnaissance du site. “The
Urban Ville“, il peut lutter contre la suburbanisation, étalement urbain. Il produise “Die Stadt in der
Stadt“, pour stimuler la décroissance des villes avec une sélection des îles, quartiers. 1972,
Koolhaas va à Ithaca et il finit l’Exodum avec la ville du bloc captif. Le méthode paranoïaque-
critique est le délire d’interprétation. 70’s sont marquées par la guerre du manifeste situe.
“Learning from Las Vegas“, “Los Angeles et le écologise“, “Chicago à la Carte“, “Collage City“,
“New York Délire“. Ils sont tous conçu ces manifestes à partir d’Ithaca. Points en commun : villes
que accueille les présentations modernes, chacun identifie des parcs comme points de départ,
laboratoire d’un nouvel urbanisme, mobilisation d’un artiste en particulier comme réponse. Les
trois théoriciens du manifestes situés sont à Ithaca et ils mobilisent tous un artiste contemporaine
comme sources d’inspiration : de Rome-C.Rowe-Picasso ; de Berlin-Ungers-Magritte ; de
Manhattan-Koolhaas-Dali. Les trois poets : 1969, dans le musée d’Ithaca il y a l’expo “Earth Art
Show“, expo organisée par le directeur du musée de Cornell et Wibbie Shay. Le projet était de faire
quatre expo sur le quatre éléments (feu, air, eau, terre). Imitation des artistes avec un plan des salles
d’expo, un plan de la région. Les ouvres permanents ont le places de le territoire. Robert de Maniai
et R. Morris faisaient l’expo dans une salle. Haus Hacker avec la “grass grows“. Denis Oppenheim
avec les entailles dans la glace. R. Smithson a créé la plus marquante. Une grande connaissance des
géologies d’Ithaca et géographes. Ithaca est un site parfois particulier que toutes les géologies US
connaissent. Smithson se passionne pour les ruines de sel fossiles coudrait stratégique militaire sous
le lac. Le site de Smithson sont le fd ( ? ) de la mine. Son projet consiste à transformer ce site
(conche profonde) avec un non-site (avec une représentation logique en 3D) dans le musée. Le site
et le non-site deviennent une piste de miroirs (“la littérature est un miroir que l’on promené“). Ces
miroirs relient mentalement le site et le non-site avec l’introduction de la distinction entre le site et
le non-site. “Incidence of mirror travelling in Yucatan“ est un éco à un géologue qui a étudié le
ruines Maya. Les miroirs sont un trou dans le paysage. Dans la salle Smithson faut les miroirs sur
des tas de sel fossile. Site et non-site trouvent l’équivalent des le musée avec un non-site et sub non-
site. C’est le dernier non-site de Smithson. Le non-site est un portrait logique en 3D d’un site, il est
un dispositif qui fait voyageur mentalement les visiteurs vers un site dehors. 2D est un tableau qui
ressemble au site par imitation. 3D est un portrait qui ne ressemble pas mais y redoit appelle ca une
relation logique. Ex. la maquette d’architecture est en 3D mais ressemble au sat ( ?). voyage sur la
lune selon Smithson : “It’s a very expansive non-site“. Une autre intervertissions de Smithson est le
première non-site on site. A’ partir de son intervertissions à Ithaca, Smithson compare le site et le
non-site.
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La mémoire littérale est un individué propre et la mémoire phénoménale est un espace disponible
pour un profondeur de champs. Nabokov dit que le future n’existe pas (la tempérance des choses).
La question de l’art d’espérer semble avoir un rapport avec les disciplines de projet : programmer,
projeter, prévoir, supposer, anticiper. Le futur n’est pas quelque chose qu’a forcement se produire.
Citations : Karl Marx pendant l’histoire d’une lutte des classes, il avait l’idée que l’histoire a un
sens, l’espoir de la fin de cette lutte. L’exaspération est la philosophie de l’histoire, de l’espoir.
Vauvenargues : “la patience est l’art d’espérer“. On ne sait pas on ça va, attendre. Ce n’est pas une
passivité car l’art c’est agir. Il y a deux espoirs différentes, deux visions de l’art d’espérer: la
première se bases sur des prémices du future, l’autre représentation ne connaît pas le future. Il y a
un ménage des conditions de patience. On se donne tous les moyens de prédéfinir le futur. Espérer
est différente de désir. Vaclav Havel est un écrivain de théâtre de l’absurde. Il faisait écrits
politiques contre le régime technique. Il fonde le mouvement de forum critique. Il y a une
incapacité d’utiliser le mot socialisme parce que il est un mot qui signifie tellement de choses que
c’est difficile de s’entendre. Des mots usés, tellement utilisé, épuisés. Ils sont mots qui devraient
être supprimés et remplacés par des mots plus actifs. Question de l’optimisme et du pessimisme :
l’architecte est comme obligé d’espérer. Il est dans une situation d’espérance obligatoire. Nicolas
Bourriand a écrit “Esthétique relationnelle“. Il est le commissaire d’exposition, il a un intérêt pour
l’art relationnel : la forme d’art qui corresponde à notre époque ce sont des installations qui ont pour
objet, avant d’être utilisé et vécues, la mise en scène des participants que sont des micro-utopias.
Les formes de convivialité : l’art a été un façon de communiquer avec le transcendent. Pendant la
Renaissance il y a un intérêt pour le monde lui- même. La scène représentée se réduit, de plus en
plus proche. Aujourd’hui, le sujet de l’art est la relation entre le gens. 1) formes de vie : le parcours
de l’artiste est l’expérience. 2) postproduction : les artistes ne travaillent plus avec de la matière
premières, ils assemblent des dispositifs déjà avancés. 3) radicant : il est un mot proposé pour
remplacer le terme radical. Le plante qui projette ses propres racines, pas attacher spécialement à un
sol. Collin Rowe parle de Le Corbusier : “ses ouvres sont des fragments d’une ville globale“.
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la carte est le territoire. Les parcours d’un architecte et d’un peintre sont divergés : artiste qui
représente des espaces des les quelles on ne vit pas les représentations critiques. Situation du père,
architecte qu’il doit construire des situations habitables. La distinction fondamentale entre ces deux
personnages est que l’architecte a une responsabilité, il ne peut avoir une distance critique, ironique.
L’artiste peut. Houellebecq se décrit lui- même dans le livre. Il appartienne a la génération marquée
par un acceptations, résignations. Houellebecq est quelqu’un qui souffre. Houellebecq veut
témoigner du monde d’aujourd’hui, de ces poèmes le monde n’est pas réjouissant, ténébreux.
“Rester vivant“ est le texte ou il explique que vivre est difficile, il faut survivre. “Plate Forum“ est
la témoignage sur la mutation du monde. Houellebecq. Il porte une vision globale du monde, il est
intéressé au domaine du tourisme (le tourisme sexuel comme base de l’économie du tourisme) avec
la logique d’exaspération. Houellebecq se trouve entre la dénonciation et l’approbation. Fourrier
appartienne à la génération exaspérée des figures modernes. Il réagis contre le fonctionnalisme. Il a
le rêve communautariste “Phalanstére“, un modèle social. W. Morris est un des grands précurseurs
du prè- raphaelism. Il critique le mécanisme de la révolution Industrielle, veulent revenir à la pre-
Renaissance. Le Moyen-âge témoigne un lien direct entre l’art et l’artisanat. “News from Nowhere“
est une utopie rétroactive. Conversation peintre (Houellebecq a un grand intérêt pour Morris et
Fourrier. La thèse est que l’argent n’est pas le seul moteur, satisfaction d’accompli un ouvre, il faut
renouer avec le type de satisfaction. Conversation père/peintre : philosophie pour le doigts du
monde. Fourrier ne s’identifiait avec une certain production/ouvre. “Le projet local“ de Alberto
Magnaghi, une sorte de W. Morris d’aujourd’hui, propose une régression active vers un nouveau
moyen-âge, critique de la métropolisation du territoire. Il faisait une reterritorialisation du territoire
en éléments autonomes. Bruno Latour a écrit “Politiques de la nature“ et il propose le concept de
réseau diffèrent de sphère. Il étude les scientifiques des leurs laboratoires (leurs habituds, protocole,
financement). Par la dimension ironique. Il n’y a pas la science mais des sciences. Alors il n’y a pas
d’un objet de la science on c’est la nature de la nature n’existe pas. On a l’habitude de deux causes
politiques : les humains qui sont les valeurs et les non-humains représentés par les scientifiques. Le
concept de Nature n’est plus considérée comme un état dominé, c’est un collectif. “L’image de la
cité“ écrit par Kevin Lynch : la ville est une représentation d’elle- même. Dans “What time is this
place ?“ la ville est vu come espace- temps. Francis Yates avec son livre “The Art of the Memory“
comment les Anciens mémorisaient, falsification de bâtiment mentaux. Il n’y a pas de pensée ni
image mentale (théorie philosophique). Il y a une relation entre l’espace territorial et la pensée. Le
topo est la reconnaissance de lieux communs. Théâtre de la mémoire construite, jardins classiques
Boboli Florence. L’art de jardin est l’art topière. S. Freud avec son livre : “Malaise dans la
civilisation“ affirme que la psychologie est l’archéologie de la mémoire, il faisait une image pour
faire comprendre la 4D de la psychè. Halbwachs, “les codes sociaux de la mémoire“. Il est contre
Freud et il assimile la mémoire à un percevoir. La mémoire est le rapport entre réalité et individu.
La ville est un cadre de la mémoire.
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Francis Yates affirme que les livres sont des déchargeuse de la mémoire, des problèmes. En Moyen-
âge l’art de la mémoire avait comme une révolution avant l’invention du livre. A force d’être
enseigner, les images échangées et elles deviennent communes. Un patrimoine d’édifices/images
communs s’est constitué. L’art de la mémoire sert à la doxa chrétienne dogmatique qui sert à
imprimer dans l’âme des chrétienne ce qu’ils doivent se souvenir. C’est une codification de
l’espace et des images du monde chrétienne. Didactique portagé : les bâtiment deviennent
communs, on peut les construire. La lecture était un privilège élitiste, mais le monde peut lire des
images. Il est un ménage articule en trois dimensions. L’espace mental du bâtiment de mémoire
devient si partageable qu’on peut le construire, le peindre. Les plans des églises devaient faire échos
à la Jérusalem Céleste de l’imagination. On lit la ville, la cathédrale comme des instances de
construction idéale des instances de la foi. Il y a un rapprochement entre la tipologie et la topique.
Le trois grandes scènes du théâtre sont tragique, comique, satirique. Cadre de bâtiment où déroulent
les actions. Il est un cadre d’un type de discours où se trouve la même différence entre la cité et la
ville, par exemple la différence entre la ville et la cité est comme la diversité entra le genre tragique
et comique. Dans la rive droit il y a la ville, dans l’île il y a la cité et dans la rive gauche
l’université. L’art de la mémoire a fait que certains types de discours s’intègrent dans certains
cadres spatiaux. Question importante : comment on oublie les choses ? Il faut trouver des
techniques d’effacement basé sur l’idée aristotélicienne qu’on ne peut avoir d’idée sans images. Les
images de la mémoire devraient être différents des lieux de la mémoire. Mais finalement les deux se
contaminent. Halbwachs dit que la ville est un corpus changé de mémoire sous laquelle on
n’existerait pas. Pour lui le siège de la mémoire est la société. L’art de la mémoire avait survécu
dans l’art de jardin. Versaille : au nord il y a le pays pas encore conquis, au sud il y a l’orangerie et
au est et ouest il y a le canal qui est un sorte de modèle réduit du territoire réel et projeté. Freud y
compare la complexité de la psyché. Le rapprochement de Rowe est multidimensionnelle : l’ancien
et le présent sont présent ensable à coté. Halbwachs a écrit dans “le codes sociaux de la mémoire“
que la mémoire n’est pas un acquis ma c’est un construction. Un acte de mémoire est comme un
rassemblement. Un souvenir est comme un bâtiment romain. Pour les situationnistes la ville est un
réservoir d’ambiance. Robert Smithson appartiens à la génération que réagit contre le
réductionnisme en art. “Le destin de la peintre c’est se rapprocher du mediums. Smithson réagit
contre ca. Smithson est a Rome pour faire une expo sur Dante lui- même. Il retour aux USA jusqu'à
1966 et il appartiens au mouvement minimaliste. 1965 : “site-seeing“ dans zones abandonnés, état
industrielle, “les monuments des Passic“. Il faisait des visites de sites. 1968 : installation non-site.
Deux références au début : 1) livre de science fiction Brian Avis. 2) mouvement pittoresque
anglais. Les ruines à l’avers est opposé a la ruine classique, choses qui s’élèvent au ruine avant
d’être construits. Rêves des claves dans la banlieue. Dans le parc de Lancy de Georges Déscombes
il y a la même situation que Smithson à Passaic. Il a une connaissance interne de l’histoire de
paysage. Il étudie les phases de transformation de la banlieue. Il faisait le contre- projet du port-
tunnel d’une point d’inflexion du paysage. On peut mentalement

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