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Art de la mémoire, comme dimension essentielle du projet, mise en scène de la mémoire du site sur
le quelle se déploie un programme. Un projet est un moment du territoire et de l’histoire (espace et
temps). Le symétrique de l’art de la mémoire est l’art d’espérée. L’espoir est quelque chose qui
n’est pas là. On a un tableau de plus ou moins de futur et l’absence d’optimisme. Ce serait peut-être
aux projeteurs déconstruire un espoir. Revue le Visiteur (assumer le point de vue de l’exténuent,
argument de la visite comme connaissance). Ex. de Visiteurs : Jackson (initiateur des étudiés sur
les landascape) a écrit “Discovering the Vernacular landascape “. Au début du livre on se trouve
une définition du paysage, à la fin du livre il y a la conclusion sur les paysages. Remarquer le
passage des singulier au pluriel parce que il y a des paysages, différents genres. Il y a hésitation
entre classification typologique ou chronologique. Paysage 1) vernaculaire ou médiéval : petits
paysage, sans (tìa) localement. Touts les types changeants, vivant. (cf. Vernaculaire : verne/latin est
esclave). Les patois du paysage. Paysage 2) est classique, aristocratique, politique, canonique. Le
points divergés du paysage 1 sont : (?) grands territoires, ils sont paysage fixe et paysage de la
connections. Paysage 3) n’est pas nommé. Il a les caractéristiques communes avec le paysage 1
parce que touts les types changeant. Sorte de nouvelle dimension du paysage vernaculaire est un
paysage de la mutation permanente (le long des autoroutes). Intérêt est l’hésitation de Jackson. Est-
ce que ces paysages ne seraient pas tous contemporaines ? Ce sont des paysages très contemporains
et souvent superposés. Cf. photos de Raymond Degaedon. Tous les paysages sont des
hyperpaysages : des rencontres, inter pénétrations des paysages 1, 2, 3. C’est un paysage de
paysages. “The necessity for ruins“, Jackson est un texte sur le paysage comme théâtre. Cette
métaphore est à l’origine de paysage 2. Le problème de cette métaphore est que elle ne marche plus
aujourd’hui. Le paysage classique envisager comme théâtre a besoin d’une autre métaphore
aujourd’hui pour comprendre la complexification, l’industrialisation, l’hyperpaysage. Une
différente métaphore : palimpseste. Le support pour écrire, réutilisé traces des couches successives.
Il y a une correspondance avec les différentes planes d’un paysage. Distinction entre analogie et
métaphore : l’analogie est une comparaison, une maquette. La métaphore n’utilise plus le
palimpseste. Jackson trouve que le territoire comme palimpseste a tordu. Thomas de Quincey a
proposé en 1823 l’idée de palimpseste : le palimpseste du cerveau humain dans les “Confessions
d’un mangeur opium anglais“. Hypertexte : procédé de manigation études éléments qui n’ont rien a
voir les unes avec les autres. Banques de données, pas d’ordres. Les avantages de l’hypertext sont :
la liquidité, on range. L’avantage de le palimpseste est la gravité. Marcel Duchamp a la passion
scientifique pour cette question. Les joueurs d’Echecs. Le grand vert : “la mariée mise a une pour
ces célibatains, mariée tableau sur deux panneaux de verre. En haut il y a le domaine de la mariée et
en bas il y a le domaine des célibatains (machines pour attirer l’attentionde la mariée). Il sont
séparés par le manteau de la mariée. 1700, les curiosités de la nature et de l’art. John Dixon Hunt
avec le concept de la troisième nature : 1) originelle, livrée par Dixon, 2) cultivée, modifiée par
l’homme pour ses besoins, habitudes, 3) le jardin, marceau de territoire comme maquette. La
métaphore parfait du théâtre est avoir une compréhension verticale du paysage alors que c’est
souvent en profondeur. Beaucoup plus tard Duchamp suppose un paysage classique à un dessin du
grand vert. Les éléments du grand Vert sont la chute d’eau et le gaz d’éclairage. Le visiteur peut-
être un célibataire que regarde à taures le manteau de la mariée avec une remise à part du grand
Vert. 1990, le paysagistes resurgissent des les débats urbanistiques veulent renverser l’idée que le
programme invente le site lorsque que le site donne le programme. Concept de sub–urbanisme : du
site au programme. A’ la même époque il y a le concept opposé de sur–urbanisme (production de
site).