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Tour Eiffel

La tour Eiffel porte le nom de l’ingénieur Gustave Eiffel,


qui en fut l’un des concepteurs.

Tour Eiffel
Les ingénieurs Nouguier et Kœchlin de la société Eiffel conçurent la tour pour le concours
ouvert par le ministre du Commerce et de l’Industrie Lockroy à l’occasion de l’Exposition universelle de
1889, qui prévoyait le projet d’une tour haute de 300 m sur une base de 125 m. Le projet Eiffel fut retenu
parmi 700 concurrents.

Initialement haute de 312,27 m avec le drapeau, puis de 320,75 m après la construction de


l’antenne du poste émetteur de télévision en 1957, actuellement 317,96 m, elle fut construite sur la partie
du Champ-de-Mars qui borde la Seine, face au palais du Trocadéro, construit également pour l’Exposition
universelle.

Elle devait par ailleurs être détruite à l’expiration de la concession (1909) et fut sauvée grâce
à sa reconversion dans le domaine militaire, puis par l’installation d’un radio émetteur civil.

Au moment de sa construction de violentes protestations émanèrent de plusieurs personnalités,


parmi lesquelles Dumas fils, Huysmans, Maupassant, Coppée, Sully Prudhomme, Charles Garnier,
Gounod, etc.

Certains d’entre eux firent plus tard amende honorable. Coppée sera lyrique au sujet de la tour.
Dès 1889, Sully Prudhomme dit tout le bien qu’il en pense. Elle inspire à Gounod lui-même un petit «
concerto dans les nuages ».

Depuis, la tour Eiffel s’est incorporée à la physionomie de Paris. Par un juste retour des choses,
les poètes (Apollinaire, Fargue, Cocteau, etc.) et les peintres du XXème siècle, ces derniers surtout, ont su
voir ce que cette construction unique apportait de nouveau : non pas tant Pissarro ou Utrillo, ni même Van
Dongen, qui ne la peignent que parce qu’ils peignent Paris, mais surtout Delaunay, dont les théories en
peinture, de même que celles de Pevsner, sont liées à une vision « dynamique » de la tour.
Blois
Rappelons simplement pour memoire que du X au XIV siecle, les comtes de Blois érigerènt
puis tinrent sur ce promontoire dominant d'un côté, un ravin et de l'autre la rive droite de la
Loire, le premier château de Blois, siège du comté, que devaient agranoir à peu au fil de siècles
leur royaux successeurs. Propriété de la maison du câtillon au XIII siècle. Agrandie dans les
dimensions du palai actuel. Elle présente ses courtines définitives, flanqués de trois tours au front
du Nord, et d'une tour à l'angle Sud.
Quant à la célèbre salle du Etats du XIII siècle. Ces grands vaisseau de deux neufaceolées
séparées par brissés elle s'élève déjà dans sou état primitif au loigis seigneurial de l'angle Nord.
En 1391, la forteresse sera vendue à Louis d'Orléans, frère de Charles VI, par le dernier
compte de Blois.
La véritable histoire du château ne commencera pourtout qu'en 1440, avec le retour en ses
murs de Charles le poéte, Charles d'Orléans, qui furt retenu presonier 25 anées durant à Londres,
été capture lors de la bataille d'Azincourt en 1415.
Ayant fait jeter bas toute la partie Sud-Est du château féodal, face à la Loire, il la
reconstruisit dans le style gracieux du XV siècle, la gothique flamboyant. Ce cera l'aile Charles
D'Orléans, élégant bâtiment alternant la pierre blanche et la brique adossé à la chapelle royale
Saint-Calais, mais dont ne subsiste aujourd'hui que la moitié seulement, sur une galerie ouverte
d'arcades en anse de panier surbaissées.
L'autre moitié de cet ensemble charmant sera stupidement démolie au XVII par Mansart en
même temps que la nef de l'edification de l'énorme aile Gaston d'Orléans, ce monument de
prétention affalé au milieu des grâces du château Renaissance.
Louis XII s'est installé à Blois des 1498 et y transfere bientôt les chantiers alors en activité
au château d'Amboise. Aussitôt débute la reconstruction sous la direction de Colin Biart de l'aile
N-E du palais, l'actuel corps de logis Louis XII de l'entrée. A l'extérieur, le portere Lois XII sera
surmaté d'une niche faboyante décorée de gâble à fleurons et clanchetons, d'ars festonmés,
format l'écrin précieux en dentelle de pierre blanche tapissé de fleurs de lys, de la grande statue,
questre du roi sculptée a l'époque par Guido Mazzoni.
Depart et d'autre, du portail est de sa poterne, s'ouvrent les deux étages de baises disposées
irrageguliére,ent dans la façade gothique, cemprenant deux balcens dont le balcen, de la chambre
royale, à gauche.
Cette façade se caractériste par les bandeaux à moulurs bouzantales de limitant les baises.
Une balustrade flamboyante court tout au long de sa coiniche, à la basse du cemble ajouré de
cinq lucarnes à gàbles scluptes. Cinq cheminées monementales, décerées de motifs gothiques,
jaillisent enfin au faîte du tout, tres pentu. C'est dans ce corps de logis que trépassa le 9 janvier
1514, Anne de Bretagne reine de France.
En 1508, l'on procéde à la consécration solennelle de la chapelle royale saint-calais,
reconstruite dans le style flamboyant derriere l'aile Charles D'Orléans. Louis XII fera encore
tracer au nord-ouest du château, de magnifiques jardins et des partteres, par Pacello Da
Mercogliano venu lui aussi d'amboise.
Pendant dix ans, jusqu'en 1515 Françoi I réactivera les chantièrs du chatêau après la mort de
Lois XII en 1515 en reconstrissant l'angle Nord-Ouest, dout les traieaux seront cofiés à Jaques
Sourdeau. Ce sera l'aile François I. En clavé entre la salle des Etâts du XIII siècle et la futur aele
XVII de Gaston d'Orléans le bâtimans deviendra le chey d'ouvre de la gloire de Blais. La façade
intervenue témaigne encore d'une continuitée dans l'ordonence architecturale à la française du
gothique et la Renaissance avec ses trois étages de fenêtres à meneaux couronné d'une croinche
sculptée des coquilles au dessu de laquelle d'ouvrent les belles euranes du comble.
Son fleuron, le grand escalier vis polygonal dressé en saillie jusqu'aux combles, dans une
splendide cage à huit pans évidés entre ses contreforts d'angle verticaux au milieu du corps de
logist, donne la mesure de la géniale conception de l'ensemble. Les cinq balcons formes pair sa
rampe hélicoidale et sa terrasse superieure à balustrade servaient jadis de tribunes à Cour un peu
à l'image des terrasses de Chambord, et la rampe était si spacieuse, qu'un cavalier pouvait
escalader ses marches, droit sur son palefroi.
En 1626, un siècle plus tard, débutera la derniére et la plus la plus malheureuse des
compagnes de travaux du château, avec l'érection de l'aile Gaston d'Orléans.
Mansart, chargé de cette besogne, abattra l'aile gothique Sud-Ouest, l'extremité Ouest de
l'aile.
François I, la moitié Sud de l'aile Charles d'Orléans et la nef de la chapelle royale.
Aprés ces demolitions, il érige l'aile Gaston d'Orléans, corps de bâtiment de trois étages avec
un avant corps central formant cage d'escalier, flanqué de deux amorces d'ailes en retour
d'equerre faisant saillie à l'exterieur, au dessu de la contrescarpe de l'en ceinte des comtes de
Blois.

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