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Sur toute cette étendue géographique Eurasienne, on retrouve aussi des haplogroupes ADNmt U et H qui sont
sans doute, du moins en Asie (car en Europe, ils ne sont pas seulement représentatifs des peuples Indo-européens
originels), associés aux Indo-européens (l’haplogroupe H est l’haplogroupe ADNmt le plus répandu d’Europe).
D’autres haplogroupes ADNmt sont visiblement concernés mais les choses sont en général moins claires à
démêler pour eux.
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(1) Les haplogroupes sont des signatures génétiques qui identifient les différents peuples suite à des mutations
du génome, propres à un groupe éthnique donné.
Il y a deux ensembles d’haplogroupes.
Certains marqueurs les identifiant se trouvent sur le chromosome Y (haplogroupe ADN-Y ) et permet de
déterminer l’appartenance ethnique de l’ancêtre masculin le plus lointain ayant eu cette signature génétique, de
manière exclusivement patrilinéaire (le père du père du père du père du père etc…).
L’autre ensemble d’haplogroupes est identifié à partir de l’ADN mitochondrial (haplogroupe ADNmt ) et cet
ADN est transmis de manière strictement matrilinéaire (la mère de la mère de la mère de la mère, etc…) et
permet de déterminer l’appartenance ethnique de l’ancêtre féminin le plus lointain ayant eu cette signature
génétique propre.
Article d’un blog d’anthropologie faisant état de cette découverte (en Anglais)
On peut supposer qu’avant que les peuples Berbères n’arrive de l’est de l’Afrique (origine supposée des
Berbères il y a environ 10000 ans [une origine vers le nord-est de l'Afrique (où le sud du proche-orient ?) est
aussi envisagée et pourrait expliquer la présence de certains haplogroupes Eurasiatiques dans la population,
mais pas tous)],
des peuples Europoïdes (apparemment aussi parfois avec des caractéristiques telles que des peaux pâles, des
cheveux blonds et des yeux bleus puisqu’on en trouve toujours au Maghreb) habitaient l’endroit, ce qui
expliquent ces caractéristiques Europoïdes chez certains Africains du nord modernes, tels que les Kabyles
d’Algérie.
Une explication beaucoup plus convaincante et plausible que les esclaves Européens raflés en Europe du sud et
les quelques Vandales et Alains du 5ème siècle, ayant fondés un royaume en Afrique du nord (dans ce qui est
aujourd’hui la Tunisie).
La répartition des phénotypes Européens en Afrique du nord ne plaident pas tellement pour la thèse « Vandale »
ou « barbaresques » (encore qu’un apport Vandale n’est pas à exclure totalement chez les Kabyles).
On sait qu’il a existé une culture dite Ibéro-maurusienne supposé être le résultat d’une migration de cro-
magnoïdes (de type dit « Mechtoïde ») venus de la péninsule Ibérique (d’où le nom). La culture Capsienne,
apparaissant sans doute vers les -8000, en Afrique du nord, est supposée par certains marquer la présence de
peuples Afro-asiatiques venus de l’est (les avis divergent sur la question).
Cela pourrait peut-être aussi expliquer la présence de phénotypes Europoïdes en Egypte ancienne.
Voici par exemple la statue, découverte en 1871 par Auguste Mariette, de Rahotep (grand prêtre d’Héliopolis,
général, et prince de Pe, une des villes saintes de l’Egypte antique et fils du Pharaon Snéfrou, premier Pharaon
de la 4ème dynastie de l’ancien empire (qui règna environ de -2575 à -2550) et prédécesseur de Kheops.
Certains le pense le fils du Dernier pharaon de la 3ème dynastie, Houni) et Nofret (ou Néfret) sa femme :
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Partout où la présence Indo-Européenne en Asie a été importante, on trouve l’haplogroupe R1a. C’est le cas
dans le Nord/Nord-ouest de l’Inde, dans une grande partie de l’Afghanistan et du Tadjikistan, le Xinjiang, et
dans l’est de l’Iran, berceau de la Perse. Iran dont le nom, de manière significative, veut dire
étymologiquement « Terre des Aryens » (d’après un mot en proto-Iranien, Aryanam, donnant Eran en moyen-
Persan (Etymologie d’Iran – ici en Anglais (plus complet)). Les Aryas (mot Sanskrit) sont sensés être un peuple
Indo-européen ayant apporté avec lui une langue Indo-européenne antique à l’origine des langues Indo-
européennes parlée en Asie centrale et en Asie du sud.
Il est question de ce peuple Indo-européen dans la tradition Védique (2) (ensemble de textes sacrés (les Vedas) à
l’origine du Védisme, la religion à l’origine de l’Hindouisme), même si l’interprétation du mot Arya est sujet à
discussion. La tradition Iranienne antique (Perse) est plus explicite et utilise clairement le terme Arya comme
dénomination ethnique, notamment dans l’ Avesta, ensemble de texte religieux sacrés de la Perse antique
(probablement composés autour de 1000 avant J. C.), du sage Zarathoustra (aussi appelé Zoroastre, supposé
avoir vécu vers -1000, et pour certains plutôt vers -600).
(2) [Veda est le mot Sanskrit qui veut dire Savoir, Sagesse dont on retrouve des parents dans les langues Indo-
européennes d'Europe comme le verbe Suédois veta "savoir", weten en Hollandais avec le même sens, wit ou
wisdom en Anglais (respectivement intelligence et sagesse), on le retrouve avec un glissement de sens dans le
verbe Latin videre (voir) donnant video...
Et même dans notre mot druide ! (du Gaulois druvid- : dru- (très, beaucoup, fortement ; toujours présent dans
l'expression "il pleut dru"), vid- (savoir), donc littéralement une personne sachant beaucoup), mais aussi dans
les verbes Russes vedat' (savoir) et videt' (voir) et dans bien d'autres langues d'Europe]
Darius Ier, le plus grand Empereur Perse (né en -549 mort en -486 ) fait écrire sur une inscription gravée à
Naqsh-e Rostam :
« Je suis Darius le Grand Roi, Roi des Rois, Roi de pays contenant des hommes de toutes sortes, Roi dans cette
grande terre large et étendue, Fils d’Hystaspès, un Achéménide, un Perse, fils de Perse, un Aryen, d’une lignée
Aryenne.«
Empire Achéménide de l’époque de Darius le Grand On retrouve aussi certains symboles sans doute liés à la
culture de ces proto-Indo-européens, de l’Inde à l’extrême nord-ouest de l’Europe. Ainsi, la swastika, ce
symbole positif en Asie (et autrefois en Europe) qui est devenu en Europe un symbole mauvais à la suite des
évènements politiques du 20 ème siècle, se retrouve chez quasiment tous les peuples Indo-Européens (Indiens,
Iraniens, Slaves, Germains, Hittites, Grecs, Latins de l’antiquité et Celtes ou il est plus généralement représenté
sous la forme d’un Triskel).
Collier à swastikas trouvé à Kularaz dans la province de Gilan (Iran) datant du premier millénaire avant J. C.
(Musée National d’Iran)
Broche appartenant sans doute au peuple Germanique des Alamans de la période des grandes invasions
Swastika sur la tête d’un religieux d’Asie. La swastika est un symbole bénéfique très répandu en Asie.
Swastika sur un temple Bouddhiste de Taïwan. La Swastika est un symbole majeur des religions originaires de
l’Inde (Hindouisme, Bouddhisme, Jaïnisme) Un autre fait qui pourrait être vu comme un indice, a à voir avec les
fameuses momies du Xinjiang (Le Turkestan Chinois, situé au nord du Tibet, dans le bassin du Tarim du
desert du Taklamakan, sorte d’annexe du désert de Gobi à la même longitude que l’Inde).
Dans cette région aride et hostile ont été découvertes des momies parfois très anciennes dans un état de
conservation admirable.
Momie de type Européen trouvée dans le Bassin du Tarim dans le nord-ouest de la Chine. La surprise est venue
du fait que ces momies avaient l’air d’être des momies d’européens, ce qui était plutôt inattendu dans l’ouest de
la Chine. Les traits, la morphologie et la couleur des cheveux (blonds, roux, châtain) semblait indiquer une
origine Européenne. Des Tartans (tissu écossais) typiques de l’Europe ont aussi été retrouvés (datant d’entre -
1200 et -700).
Tartan du bassin du Tarim trouvé à Qizilchoqa (Xinjiang). Ce genre de motif est normalement typiquement
rattaché au peuple Indo-européen Celte. Les tests génétiques sur des restes humains anciens du bassin du
Tarim, ont confirmés que ces populations avaient bien une composante importante ouest-Eurasienne en leur
sein (certaines des signatures génétiques précises relevées parmi cette ancienne population sont d’ailleurs
trouvées à travers toute l’Europe (voir entre autres cette étude de 2010)).
Homme de Cherchen, 1000 avant J. C. La présence de ce peuple remet d’ailleurs en question le développement
supposément en vase clos de la civilisation Chinoise, car ce peuple Europoïde, aux marches de la Chine antique,
était apparemment plus avancé dans le domaine des textiles et de la métallurgie que les chinois de l’époque.
Ils pourraient avoir aussi apportés la domestication du cheval et le char en Chine antique.
Femme déterrée à Cherchen datant de 1000 avant J.C. De vieux textes Chinois évoquent la présence dans ces
régions de gens aux cheveux roux et blonds et ayant les yeux bleus et verts.
La présence de peuples Indo-européens dans ces régions est attestée (Tokhariens (Parmi ces peuples
Tokhariens, certains étaient appelés Yuezhi par les Chinois (et les Quanrong pourraient aussi en avoir été)),
Wusun , Kushans, etc…). Les momies du bassin du Tarim sont sans doute les proto-Tokhariens, du moins en
partie (suite au premier peuplement Indo-européen, une deuxième vague Indo-européenne, apparemment
d’origine Scythe (Saka), est venue se greffer quelques siècles plus tard).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tokhariens
Extrait d’article, sur un peuple supposé être Tokharien, à travers d’anciens écrits Chinois
Vers l’an 800 de notre ère, des peuples Turco-mongols ont envahis ces régions et depuis lors la région est
Turcophone et le type physique largement typé Asiatique, néanmoins des caractéristiques physiques Europoïdes
se rencontre régulièrement dans la population (des cheveux châtains, roux et tirant sur le blond, des yeux verts
et bleus et des peaux pâles) et certaines langues de la région bien que de la famille turco-mongole ont un
vocabulaire contenant beaucoup de mots d’origine Indo-européenne.
Les tests génétiques sur les Ouïghours, l’ethnie Turco-mongole majoritaire de la région, ont révélé un grand
mélange, parmi les haplogroupes relevés se trouvaient une proportion non négligeable d’haplogroupes du type
R1 (présence de R1a et de r1b).
Les plus anciennes momies trouvées à ce jour au Xinjiang datent des environs de 2000 avant Jésus Christ (parmi
les plus anciennes momies, la beauté de Loulan, une femme rousse et son enfant, qui ont été datées de 1800
avant J.C.).
Etrangement, c’est vers cette date que serait arrivé dans le nord-ouest de l’Inde (sans doute entre 1800 avant
J.C. et 1600 avant J.C.), le peuple Indo-européen nommé Arya, les fameux Aryens – peuple historique Indo-
européen dont le nom, suite aux tribulations du 20ème siècle, est entaché (Le sanskrit Arya venant apparemment
d’une antique racine Indo-européenne ar- signifiant valeureux, noble qui aurait donné aristos en Grec ancien (à
l’origine de notre mot aristocrate via aristokratos, littéralement « le pouvoir aux meilleurs » ou « le pouvoir aux
plus nobles« )).
Article Français de wikipédia sur les momies du Xinjiang (très succint)
Article en Anglais de wikipédia sur les momies du Xinjiang (beaucoup plus complet)
Article du Khaleej Times d’après des informations de l’AFP sur les momies du Xinjiang (en anglais)
Carte de la région (en couleur claire, pour repère, l’Afghanistan). De même dans l’Altaï, aux portes de la
Mongolie, l’on a trouvé des momies ayant pour caractéristiques d’avoir la peau pâle et les cheveux blonds (et
de fait les restes humains jusqu’à l’âge du fer sont clairement typiquement « caucasien », dans le sud de la
Sibérie).
Ces momies de plus de 2500 ans appartenaient a un peuple Scythe et était donc un peuple Indo-Européen
parlant une langue Indo-iranienne apparentée au Perse, comme tous les peuples Scythes (Peuples appelés
Sakas en Asie (Saces en Français)).
Les individus de cette culture ont été nommés Pazyryk par les archéologues.
Liens en anglais :
http://en.wikipedia.org/wiki/Pazyryk_burials
http://www.pbs.org/wgbh/nova/transcripts/2517siberian.html
http://www.spiegel.de/international/0,1518,433600,00.html
Momie Scytho-sibérienne du Tuva (République de Russie, au nord de l’ouest de la Mongolie) Il semble probable
qu’à une époque ancienne, une bonne partie de l’Asie centrale (ainsi que le sud de la Sibérie occidentale et
centrale) était peuplée en grande partie de peuples blancs Indo-européens, jusqu’à ce que les hordes Turco-
mongoles l’investissent pour de bon et s’imposent en maîtres sur ces régions (plus de détails).
Des études génétiques récentes (2004 et 2009) sur des restes humains de l’âge du bronze et du fer de l’Asie
centrale et du sud de la Sibérie centrale confirment une origine très majoritairement ouest-
Eurasienne/Européenne de ces populations (particulièrement dans les périodes les plus anciennes concernées
–
ici, l’âge du bronze (les plus anciennes dates étant de -1800)) - notamment dans un article scientifique récent
d’Human Genetics (Mai 2009) qui décrit aussi ces individus comme ayant très régulièrement des yeux et des
cheveux clairs et semble donc confirmer la thèse soutenue sur ce blog (lire la traduction d’un extrait de cet
article).
Rappelons ici que Zarathoustra, le sage de la Perse antique, et l’Avesta situaient l’habitat d’origine des Aryens
(Aryanem Vaejah) en Asie centrale, selon certains historiens (ce qui correspondrait bien avec la culture
ancienne d’Andronovo, datant de l’âge du bronze et semblant être une culture possiblement reliée aux anciennes
cultures Indo-iraniennes (de nombreux éléments rendent cette théorie crédible), ou d’Afanasevo, plus ancienne,
s’étendant du centre du Kazakhstan à l’ouest de la Mongolie et dont les sépultures ont de remarquables
ressemblances avec les sépultures de la culture Yamna en Ukraine
– même s’il est beaucoup plus vraisemblable qu’il faille voir pour cette dernière, la culture d’Afanasevo,
l’arrivée de l’ancêtre de la langue Tokharienne (langue ayant plus en commun avec les langues Indo-
européennes de l’ouest (y compris des points communs avec le Hittite) qu’avec les langues Indo-iraniennes
d’Asie, pourtant plus proches géographiquement).
Tout les points énumérés précédemment semblent pouvoir nous donner des indications sur le type physique des
peuples Indo-européens originels et leur point de départ. Mais il est intéressant de constater que près de 4000
ans (plus de 5500 ans pour certaines régions d’Europe et d’Asie) après ces mouvements de population supposés
(une période de temps très longue puisque cela nous renvoie à l’âge du bronze (et au Chalcolithique pour les
périodes les plus anciennes)
– pour comparaison, Ramsès II vivait il y a environ 3200 ans), l’on trouve toujours, semble-t-il, des traces
visibles de ces migrations dans les populations locales.
Malgré une population qui devait être bien moindre que celle des autochtones, malgré les guerres et invasions
(Invasion Islamiques très sanglantes en Asie du Sud, Invasion très sanglantes des Mongols et des Timourides),
malgré peut-être des gènes récessifs, l’ont peut toujours voir ce qui pourrait bien être l’expression visible des
gènes de ce peuple.
Il semble bien que des peuples Blancs se soient mélangés avec ces populations Asiatiques (en fait, en conclusion
d’études génétiques de 2000 et 2006, les traces de présence ouest-Eurasienne semblent même mener jusqu’au
Shandong, région du nord de la Chine bordant la mer Jaune).
Même s’ils ne sont, dans l’ensemble, PAS représentatif de la population générale de ces régions (les raisons de
cette rareté), encore que pour certaines de ces régions ils ne soient pas rares non plus, voici quelques exemples
de phénotypes Asiatiques particulièrement éloquents dans une suite d’articles par régions d’Asie :
• Afghanistan
• Pakistan (Burusho et autres)
• Kalash de l’Hindu Kush (Nord du Pakistan)
• Inde
• Inde (suite)
• Iran (Perse)
• Iran (suite) et Kurdistan
• Tadjikistan et Pamir
• Xinjiang (Nord-ouest de la Chine)
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• Précisions et informations complémentaires
• Précision sur l’optique du blogue
Afghanistan
février 22, 2009
Géographiquement entre l’est de l’Iran et le nord-ouest de l’Inde, l’Afghanistan est supposé avoir été le lieu
d’habitat intermédiaire des Aryas (Aryens), peuple Indo-Européen de l’âge du bronze, dans leur progression
dans le sud de l’Asie (l’origine des proto-Indo-iraniens est supposée être la culture Andronovo (émergeant
apparemment à partir de la zone du sud/sud-ouest de l’Oural et s’étendant au cours du temps jusque dans le sud
de la Sibérie et l’Altaï ainsi qu’au Tadjikistan au sud-est) de l’âge du bronze par de nombreux spécialistes) [à
noter que les tests génétiques effectués sur l'ADN ancien des restes humains appartenant à cette culture, sont
très largement d'origine ouest-Eurasienne et "Europoïde" - voir la section 1b de la page "critique-réponses"
pour plus de détails].
Les langues officielles du pays que sont le Dari (une forme du Perse) et le Pachtoune sont toutes deux de la
branche Iranienne du groupe Indo-iranien des langues Indo-européennes.
Notons au passage, que durant la dynastie Perse Achéménide, La Satrapie d’Arya, aussi appellée Aryana, se
situait principalement en Afghanistan (Une Satrapie était une région de l’empire Perse gouvernée par un
Satrape, le gouverneur de cette province). Un célèbre roi Kouchan (ou Kushan) parlait d’ailleurs de la langue
locale de la Bactriane (ancienne région principalement localisée dans l’actuel nord et est de l’Afghanistan) en
la nommant la langue Aryenne (source en Anglais).
Les Pachtounes, ethnie principale du pays et peuple de langue Iranienne, pourraient vivre là depuis
extrêmement longtemps puisqu’il y est fait semble-t-il référence dans le texte sacré de l’hindouisme le plus
ancien en tant que Pakhtas (Le Rig-Veda dont les plus anciens textes sont sensés avoir été composé entre 1700
et 1000 avant J. C.).
Certains groupes ethniques, tels les Nuristanis, ont relativement fréquemment des caractéristiques
phénotypiques Europoïdes pour des peuple d’Asie du sud.
L’haplogroupe R1a est très présent dans la population masculine Afghane.
Petite fille Afghane (Nuristani / Kalasha)
Petite Afghane, Herat, Afghanistan
Petite Pachtoune de la zone tribale
Petite fille de kaboul
Petite Afghane
Jeunes Afghans
Homme Pachtoune d’Afghanistan
Petit enfant Afghan
Jeune Afghan d’un camp de réfugiés
Jeune Afghan
Jeune Afghane
Enfants Afghans
Afghans
Fille Wakhi, extrême est de l’Afghanistan, région montagneuse coincée entre au nord, le Tadjikistan, à l’est, la
Chine et au sud, le nord du Pakistan
Petites Afghanes
Bébé Kalash
Femme Kalash
Kalashas du Chitral
Deux Femmes Kalash
Garçon Kalash
Enfants Kalash
Homme Kalash (Pakistan du nord)
Enfants Kalashas
Petite Kalasha du chitral
Homme indien Publié par pastmist Classé dans: Antiquité, Asie, ethnographie, ethnologie, histoire, Langues
indo-européennes, Peuples, Uncategorized ·Mots-clefs: Asie, étymologie, cachemire, Арии, азия, арийцы,
индия, индоевропейцы, Inde, Indien, Indo-européens, kashmir, Kourganes, Kurgans, langues indiques, langues
indo-aryennes, Langues indo-européennes, linguistique, rajasthan Commentaires désactivés
Inde (suite)
février 21, 2009
Hindu.com : Des chercheurs Indiens pensent que la civilisation de l’Indus est Aryenne [ndr : Indo-iranienne] et
connectée avec le Rig Veda. Vous êtes un chercheur spécialisé dans les Vedas et vous vous spécialisez aussi sur
l’écriture de l’Indus. Quelle est votre réaction sur ce point de vue ?
Asko Parpola : Les hymnes du RigVeda parlent souvent de chevaux et de chars tirés par des chevaux, et le
sacrifice du cheval, l’Ashvamedha, est parmi les plus prestigieux rites védiques. Le seul équidé sauvage natif du
sous-continent Indien est l’âne sauvage d’Asie (Hémione ou Onagre), ce qui est connu par les os trouvés dans la
civilisation de l’Indus et par ses représentations dans l’art et dans l’écriture. Le cheval domestiqué est absent
d’Asie du sud jusqu’au second millénaire avant Jésus Christ. Des trouvailles du site de Pirak (Balouchistan,
Pakistan) et du Swat (district du nord du Pakistan) datant d’environ -1600 [ndr : les dates de ces sites semblent
aller jusque vers -1800] montrent qu’il a été introduit de l’Asie centrale après la civilisation de l’Indus. Les
trouvailles archéologiques les plus anciennes de char tirés par des chevaux viennent de tombes datées des
alentours de 2000 avant J.C. dans les steppes Eurasiennes, l’habitat naturel du cheval. Il y a aussi des emprunts
de mots anciens Indo-iraniens dans les langues Finno-ougriennes parlées dans le nord-est de l’Europe (par
exemple, le mot « cent » dans mon propre langage, le Finlandais, est « sata » [ndr : mot similaire au Sanskrit]).
Certains de ces mots emprunté à l’Indo-iranien représente un stade plus archaïque de développement (C’est-à-
dire qu’ils sont phonétiquement plus proche du vieux langage proto-indo-européen) que le Sanskrit du RigVeda.
Il est très vraisemblable que ces mots aient intégrés les langues Finno-ougriennes à partir du proto-Indo-iranien
parlé dans les steppes de la Volga.
Source en Anglais
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Petit Indien
I
ndiens du nord de l’Inde
Collégienne, New delhi, Inde
Petite fille Indienne
Petit Indien
Sources:
Pastmistishicilinique Blog.
INDO-EUROPEEN suite
http://vilistiaasie.fr-org.org/