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• Dans ce rapport, je tiens à présenter la société où j’ai effectué mon stage, ses
activités et son fonctionnement et dans lequel j’essaie de bien définir le cadre de
mon travail et de couvrir le déroulement de mon stage en décrivant les activités et
les tâches que j’ai effectuées.
• Le rapport de stage est le résumé de votre expérience acquise lors de votre stage
en entreprise, à la fois pour le correcteur mais aussi pour vous, pour vous aider à
faire le point sur votre future carrière... Voici notre guide de rédaction de votre
rapport de stage avec le style à adopter, les attentes des profs...
• Lorsqu’il a lieu au tout début des études s, le stage constitue souvent une période
de découverte du monde du travail. Il donne lieu à un rapport de stage « simple ».
Qu'est-ce qu'un bobinage moteur
électriques et moteur électriques.
• Un moteur électrique est une machine tournante qui permet de convertir
l’énergie électrique en énergie mécanique. De nos jours, il est omniprésent et
constitue l’outil électromécanique indispensable pour diverses applications
industrielles et tertiaires.
•
• Par contre, ce type de moteur ne permet pas un démarrage en direct sur le réseau.
Si on lui demande trop de couple, le moteur décrochera.
• Pour les machines asynchrones, la vitesse du rotor est inférieure à celle du champ
tournant (notion de glissement).
• Plus la charge augmente, et plus le glissement augmente, ce qui a pour effet de
faire diminuer la vitesse de rotation.
• Le moteur nécessitera peu d’entretien et pourra démarrer directement sur le
réseau (grand couple de démarrage).
• Par contre, le facteur de puissance à vide est relativement faible et il faudra gérer
la pointe de courant au démarrage sur les moteurs ayant une grosse inertie
(moyenne et grosse puissance).
• Pour une entreprise industrielle utilisant des machines équipées de moteurs
électriques, le bobinage est l’une des réparations indispensables pour garantir le
bon fonctionnement de l’ensemble des engins. Le bobinage peut être considéré
comme un métier assez particulier qui exige du prestataire une expertise
avérée. Quoi que d’importance essentiellement industrielle, ce type de réparation
nécessite une intervention principalement artisanale. De plus, pour un meilleur
résultat, il est important que chacun des moteurs concernés fasse l’objet d’un
traitement particulier. D’ailleurs, les prestations en ce domaine sont nombreuses.
Ainsi, il peut s’agir d’une offre de bobinage couronne de frein ou encore de
bobinage embrayage électromagnétique.
•
Quelles sont les différentes phases
d’un bobinage réussi?
• Le bobinage d’un moteur électrique passe par diverses étapes. D’abord, il y a la
coupe du chignon avant de s’attaquer au four à débobiner. A ce niveau, il faut
placer chaque moteur dans le four à débobiner. Ce qui permet de retirer plus
facilement les fils de cuivre. Une fois cette phase terminée, on procède au
nettoyage puis vient le bobinage proprement dit. Ensuite, il faut procéder au
vernissage de chaque moteur après le bobinage. Après l’étape du vernissage, un
étuvage des moteurs électriques est réalisé. Cette phase consiste à placer chaque
moteur dans une étuve avec une température de 170°C durant plus de deux
heures. A la fin de ces deux heures, on procède au remontage et au changement
des roulements. Enfin, le bobinage se termine toujours par des essais.
Qu’est-ce qu’un moteur électrique et
comment fonctionne-t-il ?
• Du point de vue de la physique, l’électricité et le magnétisme se combinent
pour former la force électromagnétique. Un moteur électrique est un
dispositif qui utilise cette force pour produire une énergie mécanique.
• Ányos Jedlik est un physicien hongrois qui a commencé ses expériences sur les
bobines électromagnétiques en 1827. Il a construit ce qu’il a appelé la « foudre
magnétique auto-rotor » et qui est le premier exemple de moteur électrique, tel
que nous le connaissons aujourd’hui.
• Les développements se sont poursuivis jusque dans les années 1800 pour aboutir
aux moteurs électriques à courant continu et à courant alternatif. L’efficacité et la
longévité des moteurs électriques actuels est le fruit des efforts continus de la
recherche pendant près de cent ans. Grâce à ce développement continu, la
résistance à l’usure, la puissance et la fiabilité des moteurs électriques ont
progressé, pour en faire des composants incroyablement solides et omniprésents
dans notre vie quotidienne.
Fabrication du moteur électrique
• Le boîtier : Il contient tous les composants du moteur électrique.
• L’axe : Il reçoit l’énergie générée par la rotation du moteur. Il la transmet à un
système externe par l’intermédiaire d’une connexion mécanique. Pièce de métal
se prolongeant vers l’extérieur du boîtier.
• Le stator :Il est stationnaire et constitue habituellement l’aimant du moteur
électrique. Il peut s’agir d’un aimant permanent ou d’un électroaimant. Un
électroaimant contient un bobinage, qui est le plus souvent en fil de cuivre.
• Le commutateur :Situé près du stator, il inverse la direction du courant dans le
dispositif. Il est une des rares pièces mobiles des moteurs électriques.
• Balais : Les balais sont au contact du commutateur et complètent le circuit
électrique nécessaire au passage du courant vers le bobinage.
• Roulements :Ils portent l’axe du moteur et sont montés dans les parois du boîtier.
Ils autorisent une rotation libre de l’axe avec une friction minimale et éliminent les
mouvements parasites.
• Armature :Ce composant conducteur est situé au centre du moteur électrique.
Sous l’effet combiné du champ magnétique et du bobinage, il génère le couple
mécanique qui déclenche la rotation de l’axe.
• Support d'extrémité : Monté sur le boîtier en bout d’axe, il permet de fixer le
moteur et laisse passer l’axe.
•
Processus de bobinage des moteurs et
ma mission.
• Calcul du nombres des spires pour un moteur
asynchrone alternatif.
1. Données à connaître :
•
2. Nombre de spires par bobines.
N.B :
• Dans les cas des moteurs monophasés, il convient de faire le calcul pour
l’enroulement de « travail » .
• Pour l’enroulement de démarrage, le nombre de spires sera multiplié
par deux, du fait que cet enroulement occupe un nombre d’encoches
égal à la moitié de celui de l’enroulement « travail » (la surface est
aussi réduite de moitié )
•
3. Démonstration des formules.
• Si pour une phase, l’enroulement possède plusieurs groupe de bobines, il faut voir
ce quel sont ceux qui sont en série et dans ce cas :
• Þ etotal = S e = e . c
• b) Pour un groupe de bobines :
- Détermination de e
• e = N . = ( N . Bmaxi .S . sin( w . t ) )’ . K2 . K3
e = N . Bmaxi . S . w . cos (w . t ) . K2 . K3
En valeur efficace :
Détermination de K2
• K2 = facteur de remplissage des encoches.
• Tous les faisceaux positionnés dans les encoches ne sont pas forcément positionnés
de manière parallèle. Il en résulte une légère perte de performances, estimée par
K2.
• 0.65 < K2 < 0.95
• - Détermination de K3.
•
K3 = coefficient de bobinage.
• Les encoches d’un demi-groupe de bobines, sont décalées de quelques degrés les
unes par rapport aux autres. Les tensions imposées aux faisceaux se trouvent donc
légèrement déphasées.
•
Un calcul trigonométrique simple permet de calculer Le rapport entre la somme
arithmétique et l’intensité de la somme vectorielle.
•
• L’angle élémentaire jx = 360° / nombre d’encoches au total.
• L’angle des déphasages sera à déterminer, en fonction du nombre d’encoches
utilisés pour un demi-groupe de bobines, de la référence angulaire prise et de
l’angle élémentaire.
• Ici, j1= jx ; j2 = 0° ; j3 = - jx
Détermination de S utilisée pour un groupe de bobines :
Exemple :
Pour un enroulement entier.
• Détermination finale de la valeur efficace à imposer pour un
enroulement :
• Rappel :
• Pour un groupe de bobine : E = 4.44 . N . Bmaxi . S . f. K1 . K2 . K3
• Pour l’enroulement : Et = 4.44 . N . Bmaxi . S . f. K1 . K2 . K3 . c
• (c = nombre de groupe )
• on connaît S,
•
C nombre de groupe
• Il convient de calculer le nombre de spires
par bobines à partir de N
• Par groupe, il y a n bobines Þ N = n . X spires
par bobine.
•
• Fiche de travail.
• Pour effectuer un calcul de nombre de spires de
moteurs asynchrones il faut effectuer dans
l’ordre :
• a) Calculer K1
•
Estimer K2 ( et soigner le remplissage des
encoches ).
Calculer K3.
• Ce qui implique que le schéma a été pensé et que l’on connaît les données de
base.
• S = P . diamètre du stator . l
Appliquer la formule :
•
f) Réaliser.
Conclusion.
D’autre part :